Archive pour mai, 2015

La Biognose : Rencontrer le Divin dans chaque être vivant

 

 Biognose. Fred Lefaune nous dit :  Je découvris ce mot pour la première fois dans le livre de Stephen Harrod Buhner, «The secret teachings of plants : the intelligence of the heart in the direct perception of Nature».

 94928987Le titre du bouquin est en soi très révélateur. Il exprime le fait que si l’on souhaite accéder à l’enseignement des maîtres végétaux, il convient de développer une forme d’intelligence, celle du cœur, laquelle nous ouvre à une perception différente de la nature. La gnose postule la possibilité d’appréhender le divin par l’expérience directe. Par la biognose, c’est le divin qui habite tout être vivant qui se donne à connaître. En parcourant le livre de cet auteur, je parvins pour la première fois à me reconnaître moi-même sur le plan spirituel. Je n’étais donc pas le seul à interroger le monde végétal. Je ne parle pas d’une connaissance biologique, mais bien d’une démarche spirituelle. 

La plupart de mes expériences cherchent à comprendre les  plantes, pas seulement sur un plan botanique, voire médicinal, mais bien sous un point de  vue spirituel. Je crois, personnellement, que le divin se manifeste à travers chaque être vivant. Je crois aussi que cette partie divine se donne elle-même à connaître. Et qu’elle se manifeste pour peu qu’on l’approche avec un esprit libre et ouvert. Si tous les êtres vivants sont interconnectés, nous pouvons parcourir ces fils qui nous relient et diminuer du même coup la distance qui nous sépare les uns des autres. Croire la chose possible est une première étape. Recevoir l’enseignement en est une autre.` 

J’emploie plusieurs méthodes pour cela. La première passe par l’observation de la plante. Cela suppose de l’approcher physiquement, dans son milieu de vie. On l’observe. 

Comment sont ses feuilles ? Les perd-elle en hiver ? Comment se comporte-t-elle ? Est-elle seule ? De quelles plantes s’entoure-t-elle ? Où pousse-t-elle ? Comment sont ses fleurs et ses fruits ? Quel est leur parfum, leur couleur, leur goût ? Est-elle comestible ? Toxique ? Si oui, en quoi ? A la voir, quel trait de caractère semble-t-elle posséder ? Est-elle massive ? Elancée ? Rampante ? A quelle période de l’année se réveille-t-elle ? 

Ensuite, il faut laisser se dissoudre les frontières et croire qu’il est possible de rencontrer la plante sur un plan plus spirituel. Interroger la plante. Accepterait-elle de dialoguer ? Si le moindre malaise surgit, autant abandonner. Si ce n’est pas le cas, pourquoi ne pas poursuivre ? On peut entrer dans un état méditatif et laisser surgir les images. La tentation serait de croire qu’elles naissent de notre propre imaginaire. Qu’elles ne signifient rien. Qu’elles ne sont que tromperies. Avec le temps, je me suis libéré de cette tentation. Les images ont un sens. 

 Il est très fréquent qu’une  plante communique au moyen  d’images. Dans son livre, «Plant Spirit Familiar», Christopher Penczak nous le souligne. Après tout, les plantes ne se nourrissent-elles pas de lumière ? En général, je procède à une méditation guidée. Ce n’est pas nécessaire. Peut-être même cela est-il limitatif dans certains cas. On peut tout aussi bien se laisser aller à une méditation libre et laisser faire les choses. Toutefois, cet exercice guidé me donne un canevas que je juge utile. Avec le temps, ce guidage s’est ancré dans ma mémoire et s’opère de lui-même sans besoin d’écouter un enregistrement. Je commence tout bêtement par me détendre. Je m’ancre à la terre qui me porte, je me centre et je laisse les pensées s’en aller. Le plus souvent, je réalise alors des exercices de rééquilibrage des chakras. Si je le sens nécessaire, j’appelle la protection de mes gardiens et le conseil de mes guides. 

Puis j’observe longuement la plante. Ensuite, je ferme les yeux et la laisse apparaître en esprit. En général, une sorte d’abri apparaît. Qui est une forme de métaphore de son corps. J’ai vu des abris incroyables et totalement loufoques. Un gâteau par exemple. Ou des fenêtres ornées de paupières. Ensuite, un personnage se montre. Ce personnage est une autre métaphore qui permet d’appréhender cette fois l’âme de la plante. Que fait-elle ? A quoi sert-elle ? Quelle est sa fonction en ce monde ? Souvent, je laisse des images de bougies et de coupes apparaître. Je note leur aspect souvent riche d’informations. Je bois alors le liquide de la coupe, en esprit, et laisse d’autres visions surgir, qui seront un conseil personnel délivré par la plante elle-même. Des éléments d’une nature plus spirituelle encore peuvent se manifester sous la forme d’une phrase, de quelques mots, souvent parcimonieux. Puis vient l’instant où je laisse mon esprit offrir quelque chose à la plante. Le cadeau qui lui est offert, ainsi que la réaction du personnage, sont très révélateurs. C’est un remerciement, bien sûr.

Mais c’est aussi, parfois, la métaphore de moyens très humains avec lesquels nous pouvons nous rapprocher de la plante en question, coopérer avec elle. J’ai découvert énormément de choses avec cette méthode. Je consigne ensuite tous les éléments que j’ai aperçus. Tout de suite. Afin de ne rien oublier. Puis, seulement, j’effectue des recherches sur la plante rencontrée. Je parcours des livres. Ou encore internet. Je compare mes interprétations aux connaissances déjà existantes. Au fil du temps, j’ai découvert que je ne suis pas le seul à pratiquer ce genre d’expérience, loin de là. A chaque fois, je les vis comme un vrai cadeau. Un bonheur. Une rencontre. Un partage. J’éprouve une intense gratitude pour ces végétaux. Il est utile, bien sûr, d’effectuer cet exercice en étant soi-même assis ou couché, voire debout, à côté de la plante elle-même. 

Ce n’est toutefois pas nécessaire. Un des plus extraordinaires moyens de communication que les végétaux utilisent est leur parfum. Il ne faut pas hésiter à fermer les yeux en se penchant sur leurs fleurs. Surtout, il faut rester ouvert aux images révélées. Humer un parfum d’huile essentielle est également porteur. Une autre méthode que j’utilise fait appel au pendule. J’étale alors une liste de divinités devant moi. Des dieux et des déesses provenant de divers panthéons. J’ai peu de goût pour la mythologie, je le confesse. J’en connais peu de choses. Toutefois, par le biais du pendule, je parviens à trouver un dieu ou une déesse associé(e) à la plante étudiée. Parfois, la divinité désignée par le pendule sera très différente de celle que la culture populaire lui a attribuée. Pour prendre un exemple, il se peut que le pendule montre une autre déesse qu’Artémis lorsque l’on étudie l’Armoise. C’est que la divinité désignée possède elle-même un attribut, une caractéristique qu’elle partage avec le végétal concerné. La plupart du temps, cela nous ouvre des horizons insoupçonnés. Quand on parcourt le monde de la magie verte (comme certains la dénomment), un triste constat s’impose très vite. Les auteurs, et ils sont nombreux, vous enseignent comment telle plante attirera sur vous l’amour. Ou bien encore la chance. Ou guérira telle ou telle maladie. Des préoccupations somme toute très anthropocentristes. C’est égoïste, je regrette. On peut tout aussi bien se poser d’autres questions. D’abord, quelle place spirituelle la plante occupe de manière générale dans le monde. Ou, pour le dire autrement, quelle lumière du divin elle rayonne, manifeste, rend réelle. Souvent, c’est vrai, les végétaux ont un double visage. Je l’ai fréquemment constaté. 

images (1)La Rose a des épines. Ce n’est pas par hasard. Il serait fou d’imaginer que le peuple végétal soit totalement gorgé de bienveillance pour les humains. Certaines plantes s’intéressent bien peu à l’humanité.   Une plante peut néanmoins  adopter une forme humaine quand elle se manifeste à nous  en esprit. Mais cela s’explique uniquement par le fait que sous cette forme nous la comprendrons peut-être mieux. Ce que je verrai n’est pas ce que vous verrez. Cependant, il se peut que les enseignements retirés concordent, si tant est que nous devions collaborer avec cette plante de la même manière. Ce n’est pas forcément le cas. Les plantes ont de nombreuses facettes. Une autre démarche intéressante est de comprendre comment l’humain peut soutenir le peuple végétal en esprit. Si telle plante est connue pour purifier un lieu, en enlever les pollutions énergétiques, pourquoi ne pas la soutenir ? 

On peut le faire matériellement, bien sûr. Dans cet exemple, il s’agira de retrousser ses manches et de nettoyer l’endroit pollué. Mais on peut également opérer cette aide par la visualisation par exemple. Si les plantes communiquent avec nous par le biais des images, je suis persuadé que cette communication fonctionne dans les deux sens. Une visualisation diversifiée sera plus efficace, à mon sens, qu’une prière. Si telle plante est liée à l’amour maternel, il s’agit par exemple d’imaginer toute une série de scènes par lesquelles cet amour-là se manifeste. On pourrait m’objecter que ce n’est pas forcément l’esprit de la plante que je rencontre lors de ces exercices. Que c’est peut-être un cadeau de mes guides. Que ce sont eux qui m’enseignent et pas les plantes elles-mêmes. C’est possible. Mais je ne le crois pas. Je crois qu’une époque est venue. Un temps où l’homme va cesser de se croire supérieur aux autres êtres vivants. Un temps où l’homme va re-découvrir que le divin habite chaque être de la nature. Et qu’il est également possible de les rencontrer.

Qui sont ces esprits végétaux ? Des élémentaires ? Autre chose ? Je l’ignore. Je suis par contre convaincu qu’ils sont très étroitement liés aux plantes qu’ils protègent. Certaines personnes opèrent une sorte de communication «verticale». Elles s’intéressent à une forme de divin céleste et se moquent complètement du reste des êtres vivants. Ils ne les perçoivent pas comme habités par le divin. Beaucoup de religions monothéistes procèdent de cette manière.

 Je pratique pour ma part une communication «horizontale». Je ne recherche pas à contacter un divin totalement désincarné. Mais au contraire à trouver la lumière divine exprimée en chaque être vivant. Ce Dieu qui est au ciel ne me concerne pas.

 Le divin qui vit dans la mousse, l’Hellébore, le Pommier m’interpelle beaucoup plus. C’est une façon pour moi d’expérimenter le paradoxe immanence-transcendance. Contacter le divin qui s’exprime chez une plante revient à admettre que nous sommes différents, qu’une distance nous sépare. Sans cela, il n’y a pas de contact possible, à mon sens. Rejoindre ce divin, le vivre, le célébrer, accepter qu’il procède de la même source que le divin qui habite l’être humain relève par contre de l’immanence. Nous faisons partie du Vivant. Nous faisons partie du Divin. Quand une plante et moi unissons nos lumières divines, cela, oui, c’est de la Magie.

Cette union de l’humain et du végétal possède son symbole : l’homme vert. Au Royaume Uni, ces masques à la fois humains et végétaux sont nombreux. Ceux que vous admirez sur cette page proviennent d’un site où il est possible d’en acheter. Il y en a de superbes, vraiment. 

Retrouvez les articles de Fred Lefaune sur son blog : http://sentierdesfaunes.canalblog.com

 

Publié dans:HUMANITE, NATURE, POUVOIR |on 31 mai, 2015 |Pas de commentaires »

La technologie Arcturienne

 

ovnisNotre technologie qui comporte plusieurs niveaux et divers aspects, dont l’un est lié à la durée de la vie. J’imagine qu’il est inconcevable pour vous qu’un être puisse vivre des millions d’années. Les Arcturiens résident entre la cinquième dimension et la neuvième. La plus grande partie de notre civilisation se trouve dans la cinquième et notre technologie utilise les propriétés uniques de la lumière. Comme je l’ai précisé antérieurement, nous maîtrisons les forces opposées, et j’entends par là les forces subatomiques et la dynamique quantique.

Dans notre corps quinquadimensionnel, notre durée de vie naturelle est de plusieurs milliers d’années de temps terrestre. Avant de devenir une civilisation intergalactique, nous avons maîtrisé l’art de la régénération du corps physique, une technologie qui nous a permis d’explorer l’univers, sans devoir nous soumettre à la cryogénisation.

La chambre de régénération consiste en un tube arrondi aux deux extrémités et dans lequel nous entrons aux divers cycles de notre vie. Plus une situation est exigeante et épuisante pour notre force vitale, plus nous entrons souvent dans ce tube.

Cette technologie m’a permis de vivre pendant des millions d’années et d »’explore les dimensions de la conscience pour développer des aptitudes que je n’aurais jamais pu acquérir si j’avais été limité à la durée de vie naturelle limitée à quelques milliers d’années.

Au cours de mes explorations, j’ai observé les états corporels propres à chacune des dimensions et j’ai préféré l’énergie de la neuvième. L’existence dans cette réalité me confère une présence lumineuse et c’est pourquoi certaines personnes me considèrent comme un maître « ascensionné ».

Je porte habituellement mon costume de commandant de secteur, mais mon champ énergétique scintille d’une lumière blanche, ce qui est un simple effet physique. Etant dans un état de basse énergie, même les Arcturiens de la cinquième dimension me perçoivent comme une lueur. Un être de la troisième dimension peut se sentir dépassé par ma présence. Comme je peux me déplacer entre la cinquième et la neuvième dimension, certains êtres qui m’ont rencontré on mal interprété leur expérience. Quiconque me rencontre me perçoit en fonction de son  propre degré de développement. Un être qui ne connaît pas la mécanique quantique ni les technologies des formes de lumière risque de me prendre pour un dieu. Je peu apparaître dans la dimension où réside un être, puis disparaître, grâce à un changement de fréquence vibratoire qui se produit par une interface entre mon intention et un dispositif arcturien. Sans celui-ci, que j’ai toujours sur moi, je serais incapable de passer d’une dimension à une autre. Il s’agit d’une version réduite du dispositif qui se trouve dans le vaisseau et au moyen duquel ce dernier peut donner à sa structure moléculaire une fréquence vibratoire supérieure ou inférieure.

Lorsqu’un humain me rencontre dans le tunnel de la perception imitée et de la compréhension intellectuelle, il s’illusionne facilement sur mes capacités, à moins d’être particulièrement intelligent ou expérimenté en la matière. Comme je possède une énergie charismatique et que la lumière composant mon corps d’une dimension supérieure est très intense, et comme j’ai des aptitudes qui semblent surnaturelles, un humain peut tomber dans l’un des pièges les plus grands et les plus insidieux de la conscience humaine : l’adoration d’un autre être.

J’ai moi aussi mes limites et mes faiblesses. Certaines de mes limites, comme celles de tout Arcturien et de tout être intergalactique, sont contournées par une technologie de pointe et par la connaissance des potentialités existantes. C’est ici qu’intervient l’interaction entre la personnalité de l’être et la technologie afin d‘exercer une action bienveillante ou malveillante.

Il existe des êtres que vous appelleriez des intelligences extraterrestres et qui possèdent une technologie très puissante, mais dont la personnalité est très suspecte. Certains de ces êtres sont incroyablement arrogants. De notre point de vue, la haute technologie et l’arrogance forment une très mauvaise combinaison. Les « dieux » vengeurs de vos religions appartiennent  à cette catégorie. D’autres religions parlent de  dieux bienveillants qui nous conviennent mieux comme description.

Je vous dirai toutefois qu’ils ne sont pas plus des « dieux » que moi. C’est simplement qu’ils furent perçus comme tels par des peuples primitifs aux connaissances limitées. Il est difficile, sinon impossible, de comprendre la vraie nature d’une réalité supérieure quand on réside dans une dimension inférieure. Par rapport à un être hautement dimensionnel on ne peut y faire l’expérience que des séquelles de la rencontre énergétique ainsi que des limites perceptuelle spécifiques à la dimension où l’on réside.

Je mentionnerai ici l’un de ces êtres bienveillants. Je vais simplement le nommer. Vous l’appelez Jésus de Nazareth. Pour moi, c’est un Arcturien. De tous les Arcturiens que j’ai connus, il est vraiment le plus bienveillant et le plus compatissant. Il a su appliquer notre technologie comme aucun autre ne l’a fait. Il vous en parlera lui-même en temps venu.

Extrait du message de Sanat Kumara – Arcturiens  retranscrit par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

  Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

 

Publié dans:CHANNELING, O.V.N.I et E.T. |on 31 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Nous sommes tous des guérisseurs qui s’ignorent

 

Interview

telechargement-12Dhyan Manish, vous proposez une formation de « Guérisseur Authentique » depuis plusieurs années, qu’est-ce qu’un guérisseur authentique ?

Avant de répondre à cette question très importante, il me semble indispensable de préciser ce qu’est la guérison selon ma vision et mon expérience de guérisseur depuis plus de 30 ans.
La guérison est la transformation de la maladie et de la souffrance, mais c’est surtout la prise de conscience de sa propre vérité et de son authenticité.

Pour cela nous devons recevoir, reconnaître et accepter nos blessures, nos souffrances et nos conditionnements, c’est-à-dire tout ce qui nous a rendu malade, tout ce qui nous a éloigné de notre propre être intérieur, de notre centre. Recevoir, Reconnaître, Accepter sont les trois premières étapes du processus de guérison. La quatrième étape, c’est la Transformation. Ce processus, je l’ai appelé la « Voie du Cœur ».

La guérison ne vient que de l’intérieur. Elle peut provenir d’une cellule de l’organisme qui se propage à toutes les autres cellules. Lorsque l’être humain devient conscient de son intérieur profond, il libère chaque cellule qui le rendait malade. Se guérir, c’est simplement éliminer tout ce qui ne nous appartient pas et qui nous empêche d’exprimer notre essence propre. Il est inutile d’accuser l’extérieur, les autres et les parents… tout est caché en nous, nous pouvons le regarder et l’exprimer, car maintenant tout nous appartient. Même si le responsable est l’extérieur. La guérison et l’authenticité sont inséparables.

Chaque guérison individuelle apporte la guérison, la transformation à son entourage. La guérison crée l’amour et la paix.
La guérison est la prise de conscience de notre propre être et de son individualité. Elle s’obtient grâce à la relation entre l’existence et nous-même. Elle se réalise par la conscience, séparée du mental et de l’égo.

La guérison, c’est s’abandonner totalement à l’existence, c’est dire oui inconditionnellement aux situations qui perturbent notre vie. Si un malade dit oui totalement à sa maladie c’est déjà une guérison. La « Voie du Cœur » est un chemin de guérison pour arriver à la transformation. La guérison est un acte spirituel envers soi.

« Lorsque vous essayez de faire quelque chose seul, séparés du Tout, c’est un échec. Le succès est en Dieu et avec Dieu. » (Osho) Par Dieu, il faut entendre le principe Créateur, vous pouvez l’appeler l’Existence, l’Energie de vie…

Pour mieux comprendre le processus de la guérison, je vais continuer en répondant à votre question initiale : qu’est ce qu’un « guérisseur authentique », « Authentic Healer » ?

Le guérisseur authentique n’est pas seulement quelqu’un qui connaît et utilise une technique de guérison pour guérir les autres, il est avant tout un homme ou une femme qui a pris le chemin de la rencontre avec son être intérieur pour trouver sa propre guérison. Pour être un guérisseur authentique pour les autres, il est indispensable de suivre la voie de l’autoguérison. Le guérisseur est un être spirituel qui utilise son énergie individuelle pour accompagner l’autre afin qu’il se guérisse par sa propre conscience.

Notre propre guérison nous permet d’être connecté à la vie de tous les jours dans un état de présence, d’écoute, de réceptivité, d’authenticité et d’amour.
Lorsque nous sommes guéris, nous sommes ouverts et réceptifs aux autres et pouvons les recevoir et les aider dans le cœur, pour les accompagner dans leur travail sur eux-mêmes pour leur propre guérison.

Être un guérisseur authentique est un état naturel de l’être humain qui se donne le droit d’être connecté à l’existence. Nous sommes tous des guérisseurs, c’est une qualité humaine.
Si vous êtes un professionnel de santé ou désirez le devenir, suivez la voie de la guérison authentique pour être présent à vous-même et en vous-même. Vous deviendrez le guérisseur de votre vie. Alors vous guérirez peut-être les autres simplement par votre présence et par votre nouvel état d’être.

Nous sommes tous des guérisseurs et tous guérissables. Grâce à notre état authentique, notre entourage profite de notre bien-être, notre qualité de vie les attira dans leur propre conscience. Il n’est pas nécessaire d’être professionnel pour être un guérisseur authentique. Le guérisseur est avant tout un état naturel dans la présence, la réceptivité et l’amour. Le guérisseur authentique offre ce qu’il est, il ne peut pas offrir autre chose que cela.

Aider les gens, ce n’est pas obligatoirement agir et faire quelque chose pour eux, il suffit juste d’être présent avec soi-même. Notre nouvel état d’être et la nouvelle qualité de notre vie deviennent un miroir qui attire l’attention de l’enfant intérieur des autres. Le guérisseur authentique crée un parfum qui apporte la guérison aux autres par l’amour.

Le guérisseur n’est pas celui qui guéri mais celui qui aide à la guérison.
Il est parfois nécessaire d’agir rapidement, par des moyens fiables, pour bloquer une maladie, mais il est ensuite indispensable de découvrir le pourquoi de cette maladie. Le médicament, la chirurgie sont des thérapies merveilleuses lorsqu’elles sont utilisées à bon escient. Mais l’expression émotionnelle est indispensable pour accéder à une véritable guérison.Tant qu’il y a des nœuds émotionnels, des kystes émotionnels, qui résident dans nos corps physique, émotionnel et de conscience, l’état de guérison ne peut-être que momentané.

Si la maladie est trop avancée, l’expression émotionnelle aide le malade à moins souffrir, s´ il accepte sa maladie et ses conséquences. Cette prise de conscience va lui permettre de vivre plus dignement. C’est la première phase de la guérison. Il ne s’agit pas d’une soumission, mais bien d’une acceptation, ce qui est totalement différent.

Beaucoup de maladies graves ont été créées par des systèmes de contrôle et des résistances à la vie. Le lâcher-prise est un élément nécessaire pour la guérison. Un des rôles du guérisseur est d’accompagner la personne pour que se lâcher-prise aie lieu. Cet aspect nécessite lui aussi des qualités d’être particulières, qui vont se traduire dans la voix, le mouvement, la créativité du guérisseur.

L’état psychique est aussi important que l’état physique. Le guérisseur authentique permet au malade de redevenir conscient de lui-même et de découvrir le système qui est caché derrière sa maladie, afin de favoriser la guérison.

Le guérisseur authentique, dans son accompagnement, doit-être dans le non vouloir. Plus il sera dans une réelle présence à lui-même, dans un état méditatif, plus il sera en lien avec la nature profonde de son client, avec son mouvement spécifique, plus il pourra l’accompagner sur son chemin de libération et de guérison.

Vous pouvez, s’il vous plaît, nous parler plus précisément de la technique sur laquelle repose l’accompagnement du guérisseur au cours des sessions de guérison ?
Vous nous avez parlé également des Nœuds émotionnels, ou kyste émotionnel, vous pouvez nous préciser ?

Oui, bien entendu, mais tout d’abord permettez moi d’insister sur le fait que c’est toute la qualité de présence du guérisseur et son authenticité qui permettront à cette technique d’être totalement efficace. La Confiance, la Compassion et l’Amour qui en découlent sont indispensable. Cette technique ou plus exactement ce processus, je l’ai appelé « Energétic Breathing ® »

Energetic Breathing est une technique simple et naturelle. Elle peut être même pratiquée par un enfant. Cette technique utilise la respiration diaphragmatique profonde et consciente pour retrouver son être originelle, authentique.
Energetic Breathing est un processus naturel pour prendre conscience des émotions réprimées et permettre à celles-ci de s’exprimer pour libérer notre être.

Toutes les techniques de respiration sont indispensables pour retrouver son être originel. Mais la technique Energetic Breathing est certainement la plus efficace, la plus juste et la plus puissante car elle touche directement les problèmes et va directement à l´essentiel.

Energetic Breathing agit dans tous les corps et possède plusieurs qualités et plusieurs fonctions :

  1. Psychique : nettoyer des émotions réprimées par l’expression
  2. Physique : retrouver la santé et un équilibre métabolique par la déméthylisation
  3. Spirituelle : découvrir la méditation par la relaxation profonde
  4. Existentielle : découvrir une dimension au-delà des frontières du mental par la conscience

1. Psychique : L’expression émotionnelle est aussi importante que les sens.
Pour information les émotions sont : le rire, les pleurs, la colère, le bien-être, le plaisir, la souffrance, la joie, la tristesse, la peur… Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises émotions. Il y a simplement des émotions, elles sont une partie intégrante à l’être humain.
Depuis la naissance l’enfant exprime ses émotions naturellement. Déjà fétus il les exprimait. Les émotions non exprimées créent un dérèglement dans le corps physique et psychique. Cette anomalie perturbe le corps donc forme des blessures. Ces blessures créent la maladie physique et psychique.

La technique Energetic Breathing aide à libérer les émotions et à retrouver son énergie émotionnelle.
Par exemple : Quand un computer est charger par des virus, des chevaux de Troyes, il faut le nettoyer pour qu’il fonctionne avec sa qualité première. Pour que notre corps fonctionne il faut nettoyer notre mental, notre psychique de toutes les infections et les traumas reçus dans notre vie.
Il n’y a pas de guérison sans expressions émotionnelles.

2. Physique : Les stress, les angoisses et les émotions réprimées forment des groupes de méthyles qui bloquent le transfert des gènes sur la RNA.C’est ce que j’appelle aussi kystes émotionnels.
La méthylisation réduit les gènes au silence. Un choc ou un stress physique peut provoquer un phénomène chimique que l’on appelle méthylisation. Marqués par des molécules des méthyles (CH3) certains gènes ne peuvent plus se transmettre sur la RNA ce qui crée des problèmes car ils sont souvent des régulateurs du stress. Mais ce blocage est réversible grâce à Energetic Breathing.

Energetic Breathing fait disparaître les marquages des méthyles sur la RNA et les gènes peuvent s’exprimer à nouveau. De ce fait les cellules retrouvent leurs activités, le corps physique guérit et les maladies et les symptômes peuvent alors disparaître.

3. Spirituelle : La société moderne est tellement obsédée par l’extérieur que nous sommes depuis notre enfance conditionnés par l’extérieur. Ce n’est pas la nature de l’être humain. L’être humain est créé pour être au centre, à l’intérieur, et être en relation avec le monde extérieur depuis ce centre.
Energetic Breathing® permet de découvrir son être profond par une respiration douce, profonde qui permet de se détendre et de découvrir l’espace de la relaxation et l’état méditatif. Cet état méditatif a des influences très bénéfiques sur le corps physique.

4. Existentielle : Energetic Breathing permet – après s’être débarrassé des obstacles physiques et mentales – de découvrir un monde au-delà du mental et de l’égo. Libéré de toutes informations, de tous conditionnements, cet espace intuitif permet de créer, d’inventer, de découvrir un monde nouveau qui n’a jamais été explorer par le rationnel. Cela s’appelle le monde astral.
Imagine tous les gens.… John Lennon

Pour en revenir au rôle du guérisseur, celui-ci accompagne son client dans cette respiration spécifique. L’hyperventilation qui se crée conduit à l’hyper-oxygénation. Avec la présence méditative du guérisseur, l’énergie se propage dans tout le corps et, après un temps indéterminé, les blocages, les traumas, les peurs, les angoisses, les émotions réprimées dans le corps depuis très longtemps commencent à ressurgir.

L’expression émotionnelle peut varier considérablement et provoquer des réactions différentes dans le corps (rire, douleur, pleurs, bien-être, plaisir, cris, colère …), en fonction notamment du contrôle ou du lâcher mental du client.

Le guérisseur accompagne le client dans l’expression de ses émotions mais il ne le dirige pas. Il l’accompagne afin que celui-ci, ne contrôle pas ses émotions, ne les réprime pas, et ne s’identifie pas non plus à celles-ci. Les émotions doivent s’exprimer totalement et librement. Plus les émotions sont exprimées, plus la respiration devient ample et le client commence à sentir une libération. Il va progressivement se désidentifier de celles-ci et va sentir de plus en plus un état d’harmonie intérieure et d’unité avec son propre être dans une paix profonde, un espace dans lequel les problèmes peuvent se transformer.

La session se conclue par un échange verbal, toujours dans une réelle présence. Cet échange permet de faire un retour (feed-back), un résumé de ce que le client a vécu et de ce que le guérisseur a ressenti. Avant de se quitter, le hug est indispensable.

Vous pouvez nous dire quelques mots sur la formation de « Guérisseur Authentique », Energetic Breathing ?

ego10La formation de « Guérisseur Authentic » est ouverte à toutes et à tous. Chaque année, j’organise des cycles de formation en France, en Italie et en Allemagne.

Il s’agit d’une formation axée sur l’expérimentation consciente où chaque participant est à la fois invité à vivre un véritable chemin de transformation et de guérison, tout en ayant accès à l’ensemble du programme Energetic Breathing. Au cours de la formation, les participants découvrent et expérimentent aussi un ensemble de clés et de pratiques du Training la Voie du Cœur et de la Transformation, sans oublier les techniques de méditation actives qui sont pratiquées quotidiennement et qui font partie intégrante de l’enseignement. Nous abordons, en effet, de nombreux thèmes tels que : l’attachement, la manipulation, les conditionnements, les manques, les relations, la relation de couple, le mental et l’égo, l’Amour, la sexualité….

Au cours de ces cycles de formation, nous accueillons également les personnes intéressées qui veulent recevoir des sessions individuelles de guérison, expérimenter cette technique et cette approche de la guérison ou qui souhaitent découvrir le programme en vue de suivre cette formation.

Aujourd’hui, il y a plusieurs praticiens confirmés, en France et à l’étranger. Ceux qui souhaitent avoir des informations complémentaires sur le programme Energetic Breathing, sur les sessions individuelles, ou sur le réseau de praticiens peuvent nous contacter directement à l’Espace Healing. Charam se fera un plaisir de leur répondre.

Manish, j’aimerais que vous nous parliez de votre parcours personnel de guérisseur ?

J’ai expérimenté le monde de l’ésotérisme pendant plusieurs années et en 1981 à la suite d’une expérience initiatique très forte, je me suis retrouvé en communion avec le Divin, plus tard, j’ai appris que cela s’appelait Satori. A la suite de cette expérience, la vision de l’aura m’a été offerte. Après plusieurs mois de pratique, j’ai pu maîtriser ma vision de l’aura, la comprendre, la connaître et l’utiliser. C’est une connaissance totalement personnelle, en connexion directe avec mon être intérieur. 

Aujourd’hui, ma capacité de voir l’aura est plus précise, plus affinée et je l’utilise dans mon travail de guérison et de thérapie. 
Ma rencontre avec Osho en 1988 a été un grand changement dans ma vie. Il m’a reconnu comme guérisseur authentique et m’a proposé le département de la guérison dans son ashram à Puna. J’ai décliné cette invitation pour créer un centre de guérison en France, « le centre de méditation Osho – la chêneraie » à Orange, puis l’« Espace Healing » à Comps en Provence.

La parole que m’a offerte personnellement Osho : « Guérisseur, guéris-toi toi-même » est devenue le fondement de mon enseignement et est au cœur de mon chemin spirituel et professionnel. La guérison de soi-même est la plus importante pour devenir un guérisseur et transformer les techniques thérapeutiques auxquelles ont se forme. Une petite technique peut être valorisée par un bon technicien, une grande technique peut être détruite par un mauvais technicien.

Je propose depuis 34 ans des sessions individuelles, des stages de développement personnel et de guérison, des satsangs et, surtout, un cursus de formation de guérisseur authentique, « Authentic Healer® », en France, en Allemagne et en Italie. Cette technique permet principalement de se guérir et de guérir les autres. Depuis de nombreuses années, j’anime des conférences et des soirées à thème en France et à l’étranger.

Aujourd’hui, je poursuis bien entendu mon propre chemin de développement personnel et spirituel pour que le monde soit plus conscient et plus beau, quand je quitterai mon corps, que lorsque je suis venu sur cette terre en 1948.
Osho m’a guidé et me guide toujours sur mon chemin spirituel et dans mon travail avec l’être humain.

Charam anime les week-ends de méditation au centre Espace Healing, il y en a presque un par mois (voir le programme sur le site web), c’est l’occasion de pratiquer les fameuses méditations actives d’Osho ? 

Oui, cela fait partie des activités que propose Charam au sein de l’Espace Healing. L’accès à l’espace de méditation est aujourd’hui devenu indispensable pour faire face au stress qui ne cesse d’augmenter dans notre monde moderne. Mais, c’est aussi la voie pour permettre à chacun d’accéder à son centre intérieur, à sa vérité libre de tous conditionnements, à l’expression naturel de son Etre. C’est là, dans cet espace de méditation, que nous pouvons nous relier à nos ressources essentielles et à notre créativité pour accomplir la Promesse qui nous habite. C’est la vision que partage Charam. Il anime des groupes de méditation depuis plusieurs années. Les méditations d’Osho et les pratiques associées représentent, aujourd’hui, pour lui, la clé qui permet d’entrer dans cet espace et d’arriver ainsi à l’Etat de méditation.

Pour accéder à notre centre intérieur, pour nous reconnecter au Soi profond, nous avons besoin de lâcher nos tensions et de nous libérer de l’agitation du mental. Dans notre monde moderne, le cerveau est très fortement sollicité. Il est stimulé par une surabondance d’informations et de sollicitations en tout genre, provenant du monde extérieur. Il est prédominant au point d’être devenu le centre de la personnalité humaine, générant ainsi de nouvelles tensions. L’Homme est ainsi de plus en plus éloigné de son Centre Intérieur, enchaîné au pouvoir du mental, et les pratiques traditionnelles de méditation ne sont plus adaptées.

Les Méditations actives d’Osho ont été conçues scientifiquement afin de nous aider à lâcher d’une manière consciente les répressions accumulées au fond de notre Etre, de nous libérer de nos conditionnements et ainsi de pouvoir ensuite goûter à l’état relaxé de la méditation.
Ces méditations sont utilisées dans le monde entier. Elles nous conduisent à explorer et aller toujours plus profondément à l’intérieur de nous-mêmes, afin de nous rapprocher de plus en plus de notre Etre authentique; cette approche élimine la dépendance à une autorité extérieure et la filiation à une quelconque idéologie. Elles nous permettent simplement, dans un esprit ludique, de revenir en conscience au bonheur de Vivre.

Vous être un des fondateurs du très beau centre Espace Healing dans la Drôme Provençale (à 30 Kms à l’est de Montélimar près de Dieulefit), c’est je crois le seul centre de méditation Osho en France mais c’est aussi un lieu ouvert à toutes les personnes de toutes tendances spirituelles qui désirent se transformer pour créer une meilleure humanité. J’ai appris que toute l’équipe de l’Espace Healing et quelques amis, ont constitué un groupe de projet afin d’écrire une nouvelle page de l’histoire du Centre, pouvez-nous en dire quelques mots ?

Merci de me poser cette question. En effet, parfois les informations qui circulent, peuvent-être erronées. Tout d’abord, il n’y a rien de plus permanent que le changement, et il est donc bien naturel que l’Espace Healing se transforme, évolue tant dans son organisation que dans les activités proposées. La vocation de l’Espace Healing tant qu’à elle ne change pas : offrir à tous ceux qui le souhaite un lieu d’accueil, de ressourcement, de méditation et de guérison d’une part, et un ensemble d’activités, de programmes de formation et d’accompagnement pour permettre à chacun et à chacune d’accéder à l’expression de leur Etre dans son authenticité. Cette vocation est toujours dans la mouvance d’Osho.

Pour en venir plus précisément au projet de l’Espace Healing, celui-ci comporte deux volets. L’un concerne le site, l’autre les activités du Centre. Sur ce dernier point, compte tenu de la vocation de l’Espace Healing, il est bien naturel de toujours essayer d’évoluer et d’apporter des énergies et des idées nouvelles. Une équipe s’est constituée pour élaborer et mettre en place de nouvelles activités et en améliorer certaines qui existent déjà. Ce projet a aussi pour objectif de repenser l’organisation générale de l’Espace Healing, en y associant de nouvelles personnes et de nouvelles compétences. Ce dernier point est d’ailleurs la priorité des priorités dans le sens où pour ma part, je souhaite me consacrer totalement au cœur de mon métier.

Des sannyasins, des personnes qui ont fréquentés et fréquentent ce lieu, des amis, souhaitent participer à ce projet, selon une même motivation et des valeurs communes, 
L’idée générale est de redonner un nouvel élan à l’Espace Healing, pour participer d’une manière encore plus active à ce qui nous tient à cœur au sein de l’équipe.

Ensuite, par rapport au site, un des associés de la SCI, souhaite revendre toutes ou partie de ses parts. Il nous faut donc trouver des acquéreurs pour celles-ci et l’idée est de pouvoir en profiter pour associer là aussi de nouvelles personnes à ce projet collectif. Il s’agit donc d’un placement financier qui est proposé dans le cadre de l’achat de parts au sein de la SCI. La différence, avec certains placements c’est qu’il offre en même temps l’intérêt de participer à un beau projet de développement de la conscience pour un monde meilleur.

Comme chaque année, il y aura encore cette année le festival de méditation d’été (du 10 au 14 juillet) avec le talentueux groupe Prem Joshua et ses mélodies envoutantes inspirées des mantras indiens.
C’est une grande chance d’avoir ce musicien et ce groupe en France, vous connaissez ce groupe personnellement, pouvez-nous en dire quelques mots ?

téléchargementDepuis plusieurs années, Prem Joshua et ses musiciens viennent nous offrir un festival de méditation qui permet grâce à la musique d’aller plus profondément à l’intérieur et de retrouver ainsi notre véritable silence. Prem Joshua est un musicien célèbre dans le monde et principalement en Inde. Il a été reconnu par Ravi Shankar pour sa maîtrise de la Cithare. C’est une chance extraordinaire pendant ces 5 jours du festival, de côtoyer intiment ce grand artiste. Le festival d’été est un espace de rencontre, de partage, de célébration, où chacun peut d découvrir de nouvelles pratiques dans un esprit convivial, d’ouverture et de méditation.

L’Espace Healing propose à tous ceux qui le souhaitent différentes formules de séjours. Grâce à un accueil convivial, authentique, et une écoute attentive, chacun peut se ressourcer, vivre une expérience enrichissante, être accompagner dans son questionnement, découvrir et pratiquer la méditation, recevoir des soins de guérison, échanger à partir de l’expérience de chacun.

POUR EN SAVOIR PLUS
www.dhyanmanish.com 
www.espacehealing.com
Votre contact Charam Satgyan Email : espacehealing@orange.fr

Publié dans:GUERISON, POUVOIR |on 28 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Les Télépathes qui s’ignorent

Qu’elle est la différence entre la télépathie mentale et la télépathie basée sur une activité du plexus solaire ?

télépatheComme je l’ai déjà dit, la télépathie, comme tous les autres aspects psychiques de l’homme, est une et une seule, et la seule différence qui existe est dans sa qualité. C’est un peu comme avec votre poste de radio. Vous avez les ondes et sur ces ondes, vous avez différents postes accessibles, différents programmes.

Admettons que sur le poste le plus bas, vous ayez les programmes les plus bas, c’est-à-dire les moins intéressants qui font plus de bruit qu’autre chose. Et puis vous montez la gamme des ondes et vous obtenez, chaque fois que vous montez, un programme plus agréable, plus sympathique et plus instructif. Il en est de même avec tous les pouvoirs qui sont en l’homme, que ce soit la télépathie ou autre chose.

Plus vous montez dans les vibrations, et ceci est dû à vos efforts personnels, à votre évolution et à vos niveaux initiatiques, plus vos pouvoirs psychiques vont s’exercer avec qualité, pour recevoir quelque chose de qualité, ou donner quelque chose de qualité. Ce qui fait, qu’un pouvoir exercé par un homme sur le premier plan, ne va pas du tout ressembler à un pouvoir exercé sur un plan plus haut par un autre homme, et pourtant c’est le même pouvoir. Tout dépend donc de l’individu lui-même. 

Pour tous les pouvoirs, cela dépendra toujours de l’homme, de ce qu’il est initialement dans sa vibration et son niveau initiatique. Lorsque vous analysez la télépathie chez quelqu’un qui est trop centré dans l’astral, le plexus solaire, il va sembler avoir beaucoup d’intuition, parce qu’il va pouvoir supposer qu’il va pleuvoir demain, ou il va sentir que son fils ou sa fille est en danger à l’autre bout de la terre, etc.

Tout ce qui est donc du phénoménal et de l’événement, va être pour lui une connaissance dévoilée. Et puis plus vous montez dans la gamme spirituelle, dans les niveaux initiatiques, plus la télépathie va se déterminer comme quelque chose de différent. Forcément l’individu ne va plus pouvoir se rendre compte des choses du bas, mais il se rendra compte des choses du haut.Mais de toute manière, la loi veut que, tout ce qui est en haut, est comme ce qui est bas, en ayant connaissance du haut, il aura aussi connaissance du bas, dans une certaine mesure.

Tous les pouvoirs dépendent de vous-même quoi que vous exerciez, que vous soyez magnétiseur, guérisseur, astrologue, télépathe, médium, ou quoi que ce soit d’autre. Comprenez bien que pour changer, pour évoluer, vous devez avant tout faire des bilans avec vous-même et pas avec le pouvoir que vous exercez. Il ne faut pas vous dire, je veux devenir ceci, cela, parce que j’obtiendrai tel niveau de conscience, ou telle initiation.

Certaines personnes s’imaginent qu’en faisant les démarches pour devenir guérisseurs, ils vont devenir des initiés, c’est faux. En essayant de devenir télépathes, ils vont devenir des initiés, c’est faux. Vous devez faire le bilan avec vous-même, et ainsi en ayant cette authenticité, vous saurez sur quoi travailler pour développer votre pouvoir, qui à ce moment-là ne vous intéressera plus d’ailleurs comme un pouvoir, mais juste comme un service pour l’humanité.

Source : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, POUVOIR |on 27 mai, 2015 |Pas de commentaires »

VIVRE sa véritable nature

 

naturelPour certains écologistes, la terre est une entité vivante à laquelle participent tous les êtres vivants. Alors, l’harmonie consisterait, comme pour les Stoïciens, à se fondre dans la nature jusqu’à la disparition de l’individualité. « Je suis celui qui a été cheval, et puis arbre, et qui est homme maintenant », dit Marc Aurèle. On est une miette du Tout, mais une miette éternelle. Un humain, une conscience, certes. Mais un instant, seulement.

Pour autant, vivre selon la nature ne suppose pas de s’abstraire de soi. Car cela revaudrait à s’abstraire de la nature. Celle-ci désigne ce qui nous héberge et ce que nous hébergeons. Il s’agit plutôt d’harmoniser notre nature avec la nature. Pas d’abnégation mais au contraire c’est par une affirmation de sa présence que l’être humain s’offre à la nature. Dans le monde de l’immanence, l’homme est sujet. Il pense, il agit à partir de ce qui est, dans ce qui est, vers ce qui est. C’est à lui-même qu’il rend des comptes. Ses actes ne visent aucune récompense divines – sont-ils néanmoins désintéressés ? Ses idées ne craignent pas le jugement de Dieu – elles n’en sont pas moins morales.

Là où tous les philosophes conviés par Schlanger s’accordent c’est pour dire que nous vivons selon la nature (du reste, pourrait-il en être autrement ?) Par contre, ils divergent quant à la manière. Ce qui diffère entre les doctrines cynique, cyrénaïque, stoïcienne, épicurienne concerne la manière dont nous sommes tenus de nous engager dans cette vie. L’opposition concerne le rapport de ce que l’on croit être et ce qui devrait être. Les philosophies découlent de visions, d’expériences diverses. L’esprit a sa source dans le corps, donc. Puis il l’habille. La conception de la bonne vie ne préexiste pas à la vie vécue. Il n’est pas demandé à l’homme de se conformer à un programme, mais il peut choisir une manière de vivre et y réfléchir constamment. Le livre de Jacques schlanger nous entraîne à cette sorte de gymnastique qu’est la philosophie. C’est-à-dire un exercice de nos facultés. Il a pour dessein de nous faire fructifier notre nature.

Alors, la lecture des philosophes qui vise la pratique rejoint celle de la poésie qui, selon Isidore Ducasse alias Lautréamont a « pour but la vérité pratique ». Elle nous guide individuellement, secrètement. La lecture directe, ainsi la nomme Jacques Schlanger, impose un rapport intime à ce qu’on lit, une appropriation aux effets autant concrets que métaphysiques. Jacques Schlanger prend pour exemple l’athlète. Peu importe qu’il me montre ses haltères, ce sont ses épaules qui sont considérables. C’est-à-dire ce qu’il fait de ses outils. Cette attitude est aussi celle d’Épictète. Celui-ci s’appuie sur la sagesse du charpentier qui possède son métier, construit une maison, sans vous entretenir de sa technique. Il convient pour tout homme d’en faire autant : « mange, bois, pare-toi, marie-toi, aie des enfants, occupe-toi de la cité en homme ; supporte les injures, supporte un frère ingrat, un père, un fils, un voisin, un compagnon de route. Montre-moi tout cela pour que nous voyions que tu as réellement appris quelque chose chez les philosophes. » Les Entretiens d’Épictète ponctuent l’ouvrage philosophique de Schlanger, avec d’autres textes des auteurs précédemment cités. Comme nous l’avons dit, les Anciens sont des interlocuteurs. Ils dialoguent ici à égalité avec l’auteur de Vivre selon la nature autour d’un problème essentiel : comment bien vivre.

 

Mais vivre tout court, n’est-ce pas déjà bien vivre ? Si vivre consiste à conserver son être, il faut pour cela, à l’instar des plantes et des animaux, repousser les choses qui me nuisent et aspirer à celles qui me sont propres. Pour l’homme, vivre est plus compliqué. En effet, il n’a pas, lui, de savoir inné de ce qui lui convient. Il tâtonne, il lui faut réfléchir pour pallier au manque d’instinct qui lui permettrait la conservation de son être. Paradoxalement, son insuffisance et sa supériorité se tiennent. Il déraisonne parce qu’il est doué de raison, l’être humain. Lui seul, parmi les êtres vivants, peut vouloir ne pas tendre à persévérer dans l’être. Qu’est-ce qu’un homme ? se demande Hamlet. Probablement ce qui se demande s’il lui faut être ou ne pas être. Si la destruction et le mal ne sont pas des sujets abordés par Jacques Schlanger dans ce livre, la question du suicide y est examinée. Dans la perspective qui est la sienne, celle de la bonne vie, le suicide participe d’une obstination à être. Celui qui se tue affirme son existence jusqu’à la mort. Vouloir vivre une bonne vie suppose d’accepter de ne plus vivre afin de ne pas avoir à vivre de manière inadéquate. L’éthique, dans son sens premier, voudrait qu’il soit laissé à chacun cette possibilité d’interrompre le fil de sa vie. La lecture de Schlanger pourrait nourrir le débat qui accompagne actuellement en France le projet de loi autorisant l’euthanasie. Mais qui décide s’il est encore bon de vivre, la société ou soi-même ? Est-on pour soi-même le meilleur juge ? Autre question posée par Jacques Schlanger dont le livre est d’une portée subtilement politique.

EXTRAIT DU LIVRE de Jacques Schlanger 
Vivre selon la nature - Éditions Hermann , novembre 2013 - 188 pages.  

Publié dans:NATURE |on 27 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Commandant de vaisseau Arcturien

 

Salutations à mes frères et sœur terriens. Vous me connaissez sur le nom de Sanat Kumara.

7532Si je suis le premier à vous parler au nom de mes congénères Arcturiens, ce n’est pas parce que je suis doté d’une conscience supérieure, mais simplement parce que je suis très, très vieux et je j’ai donc une vision complète de l’histoire intergalactique. De plus, je porte en moi depuis très longtemps la passion et l’engagement ainsi que la bienveillance commune à tous les Arcturiens.

Je réside dans plusieurs dimensions de la conscience simultanément. En ce moment, afin de communiquer avec vous par des mots, j’active mon aspect de la cinquième dimension, mais je préfère rester dans la neuvième, où je jouis d’une perspective plus expansée. J’y conserve ma forme physique lumineuse, à la limite de la lumière informe. Cette juxtaposition de la forme et de l’informe est paradoxale et crée une dichotomie intéressante. Notre civilisation est d’ailleurs fascinée par les paradoxes et les dichotomies.

En tant qu’êtres intergalactiques, nous résidons principalement entre la cinquième dimension et la neuvième. Quand nous ascensionnons au-delà de la neuvième, notre identité change et nous devenons davantage des formes lumineuses. Cependant, la plupart d’entre nous préfèrent conserver intacte leur identité. Pourquoi ? Parce que nous aimons le bonheur d e l’autonomie individuelle face aux forces qui oeuvrent continuellement à la dégradation ou à l’élimination de l’identité personnelle. C’est une forme d’art qui nous plaît énormément. Le plaisir de notre existence est l’un des fleurons de la conscience arcturienne.

Un autre de nos fleurons est le besoin d ‘avoir une mission à accomplir. Nous ne sommes guère belliqueux, mais nous sommes toutefois intrépides. Quand nous devons affronter des forces qui semblent dépasser la nôtre, nous trouvons toujours un moyen de composer avec elles ou de les contourner. Notre expérience en tant que civilisation intergalactique s’étend sur des millions d’années humaines et nous savons que cet univers regorge d’énergies et d’êtres extraordinaires. Certaines de ces entités possèdent une forme, mais ne vous y trompez pas ; tous les êtres intergalactiques ne sont pas aimables. Certains sont bienveillants, mais d’autres sont malveillants.

C’est en raison de notre nature, des circonstances et de nos technologie de pointe qu’on nous a confié le rôle de gardien/protecteurs de la Terre et de cette galaxie qui constitue votre foyer et que vous appelez la Voie Lactée. D’ailleurs, ce nom nous amuse (Le lait semblait très important pour les concepteurs du cosmos). Comme se sont les Hathors qui nous ont présentés dans le cadre de ces écrits, j’aimerais vous raconter le lointain souvenir de notre rencontre avec eux.

Il ya des milliards d’années de temps terrestre, quand cet univers est né sous l’effet d’une grande explosion, sa nature même fut dictée par des forces opposées. Lorsque notre civilisation intergalactique a entrepris son cheminement, il y a environ cent millions d’années, nous avons été fascinés par l’opposition des forces car notre technologie est axée sur l’exploitation des énergies latentes entre ces forces. Il y a quelque quatre vingt dix millions d’années, je suis devenu selon vos termes terrestres, un commandant de vaisseau. Comme je suis parvenu à ce poste et je suis ensuite devenu responsable de la Voie Lactée ne présente aucun intérêt ; c’est plutôt la mission qui importe. Je suis donc chargé de la protection de la vie, de l’intelligence et de la liberté dans toute la Voie Lactée, et je suis engagé au plus haut point dans mon devoir, dans mes responsabilités et dans ma mission.

Dès mon entrée en fonction, j’ai été fasciné par plusieurs monde sou planètes de votre galaxie, ce qui m’a conduit à lancer une invitation à un univers parallèle. Votre univers n’en est qu’un parmi d’autres qu’il est possible de connaître en entrant dans l’hyperespace. Dans un état de conscience profond que vous appelleriez la méditation, j’ai réfléchi aux ressources nécessaires pour contrer les déséquilibres inhérents à cet univers, c’est à dire la guerre entre des forces opposées.

J’ai exploré plusieurs univers contigus afin de voir qu’il y existait une ressource pouvant équilibrer la Voie Lactée. C’est lors d’une telle incursion que j’ai rencontré les Hathors, dont j’ai immédiatement reconnu les qualités et aptitudes uniques. Ils sont très différents de nous. Leur énergie est androgyne.

Chez eux, les polarités sont intrinsèquement en harmonie, leurs aspects féminin et masculin étant presque parfaitement équilibrés. Le plus intéressant, c’est qu’ils ont ascensionné collectivement, alors que les Arcturiens ascensionnent individuellement. Durant l’une de mes incursions cosmiques dans leur univers, j’ai invité quelques Hathors de la huitième ou neuvième dimension à se joindre à nous dans notre vaisseau. A l’poque celui-ci se trouvait dans la cinquième dimension et ce fut donc très amusant pour mon équipage et moi de les voir se « comprimer » pour entrer dans la cinquième dimension.

Sous leur forme anthropomorphe, c’est-à-dire humanoïde, les Hathors sont généralement plus grands que nous ; ils mesurent de trois mètres et demi à quatre mètres. Dépendamment où vous êtes situés dans notre vaisseau, les couloirs ont environ trois mètres de hauteur. Les Hathors devaient donc se pencher quand ils abaissaient leur vibration jusqu’à la cinquième dimension. C’est pourquoi ils préfèrent rester dans la huitième et la neuvième.

C’est après avoir fait une tournée du secteur ensemble, après avoir parcouru la galaxie de long en large, comme moi, les Hathors ont été fascinés par une petite planète bleue et primitive. C’était la Terre à ses tous premiers stades de développement. Je sens qu’en ce moment plusieurs Arcturiens m’écoutent en retenant leur souffle, comme vous dites. Si je devais tout recommencer, ferais-je la même chose ? Je n’en suis pas sûr. Mes devoirs de commandant étaient – et sont toujours – la motivation première de mes actions, mais j’ai éprouvé une grande tristesse quand ma mission a éclipsé mes sentiments. Je pense que l’appel et le besoin du cœur doivent tempérer notre nature arctureinne qui nous porte à remplir notre mission en priorité

Extrait du message de Sanat Kumara – Arcturiens  retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/ 

  Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

 

Publié dans:O.V.N.I et E.T. |on 25 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Se satisfaire de n’être que ce que nous sommes

 

coloursLorsqu’un esprit supérieur veut réaliser une œuvre, il contemple ses puissances et dirige vers elles les éléments qui lui permettront de réinsérer ses configurations dans un plan de réinsertion plus élevé. Les corps qui veillent sur les choses ont des moyens d’intervenir dessus. La corde de vie est un élément qui permet d’animer ces corps.

En conséquence, les corps sont formés lorsque l’esprit supérieur a distingué dans l’ensemble des puissances qui sont à traiter une configuration qui ne peut être signée ni par l’esprit ni par l’énergie. La forme alors est fabriquée pour créer une intervention sur ce plan. La mutation de cette configuration ne peut être faite que par la formalisation.

Les corps de puissance qui s’initient dans ce type de gestion demandent alors que soient réglés des actes matériels. La mutation ne se réalise que si le maître qui surveille cette figure puise dans cette existence les moyens de se formaliser sur le plan de surface.  La numération n’intervient que lorsque les actes consommés ont produit sur ce plan les moyens d’intervention qui se feront sur la forme matérielle.

Il est marqué dans les textes anciens que, ayant désobéis au Seigneur, le couple Adam et Eve fut condamné. A partir de ce moment-là, la femme a été condamnée à accoucher dans la douleur et l’homme à gagner son pain à la sueur de son front. Qu’est-ce que cela signifie ? Ce la signifie qu’on les fait sortir du plan des civilisations avancées, c’est-à-dire que lorsqu’il n’y a plus de technologie particulière ni de science particulière pour empêcher la femme de souffrir lors de l’accouchement, celle-ci accouche dans la douleur.

Dans une civilisation plus avancée, s’il y a fabrication de véhicules physiques par des bébés-éprouvettes, le problème de l’accouchement dans la douleur disparaît. Par contre, s’il y a des êtres condamnés et qui sont déposés sur une planète, ils n’ont plus que des fonctions ordinaires plus ou moins animales pour se reproduire et ils subissent l’accouchement dans la douleur. Puisque le fait de gagner son pain à la sueur de son front fait partie de la condamnation, il faut bien remarque que le travail en usine est la perpétuation de cette condamnation et l’installation dans la chute, sans essai d’arriver à une situation d‘évolution de civilisation et de technologie plus avancées où le rapport à la matière serait tenu par des robots et des androïdes, mis pas par la dimension humaine. Tomber dans le travail et gagner son pain à la sueur de son front est une chute qui vient du fait que l’évolution technologique et la civilisation ne sont pas assez avancées pour libérer l’être humain de cette condensation.

Ces éléments, une fois qu’ils sont compris, nous permettent de mieux saisir la raison pour laquelle, dans la civilisation Sumériennne, il était question de trois catégories d’êtres ; les hommes, les femmes qui accouchent d’enfants et les femmes qui n’accouchent pas d’enfants. Si dans la situation de chute l’homme gagne son pain à la sueur de son front et la femme accouche dans la douleur, alors dans une situation rédempté et au sien d’une civilisation avancée, nous pouvons considérer que d’une part, l’ensemble de l’organisme peut être situé sur une planète moins condensée que la Terre, où il y a des courants d’énergie plus faciles, une circulation d’énergie plus aisée et peut-être aussi des accouchements moins douloureux, s’il y a accouchement ; d’autre part il y a des transferts de configurations qui sont plus simples, ainsi que des informations et une connaissance des lois de fonctionnement qui permettent d’avoir un style d’existence moins descendu et moins condamné. En ce qui concerne l’élévation sur un plan complètement subtil, les circulations d’énergie se font très aisément on n’est plus soumis à cette résistance qui vient de la condensation matérielle. En plus, il peut exister une fonction télépathique, qui n’existe plus quand le mental est piégé dans la condensation.

En conséquence, il faut examiner tout ceci avec une conscience totalement nouvelle. Si on parle de femme cosmique, c’est bien pour insister sur le problème. Si l’homme accepte cette situation déchue, s’y installe et organise toute sa société dans cette situation déchue, c’est à dire s’accroche avec acharnement au fait de gagner son pain à la sueur de son front au lieu de se faire remplacer intelligemment par les machines et de faire un partage du travail intelligent, de sorte qui’ n’ait plus qu’à surveiller les machines, cet homme est un abruti et il va rester dans l’état de chute et de condensation.

Si la femme ne réfléchit pas non plus à sa condition, si à toute force elle s’accroche à l’accouchement dans la douleur, si elle ne se rend pas compte que cette situation de matrone en état de chute est quelque chose qu’il faut faire cesser un jour et que ce n’est pas dans ce plan et dans ce niveau vibratoire qu’il faut accoucher mais dans un niveau plus élevé qui est celui d’une situation connectée et de civilisations cosmiques et avancées, elle perpétue l’erreur de la chute. Alors, elle ne s’inscrit pas dans la troisième catégorie d’êtres mentionnés dans les textes sumériens, c’est à dire la femme qui n’accepte pas d’accoucher sur ce plan physique parce qu’elle se souvient qu’elle doit redevenir une femme cosmique avant de multipliez. Il est dit : « Croissez et multipliez ». Il faut qu’elle puisse croître vers sa dimension cosmique avant de pouvoir multiplier.

De son côté, l’homme doit s’organiser pour maîtriser au mieux tous les intermédiaires qui peuvent exister entre lui et la matière s’il ne veut pas gagner son pain à la sueur de son front. Il doit s’organiser pour gérer tout ce qu’il peut mettre en place afin de ne pas être en contact direct avec la matière. Pour cela, il ne faut pas rêver, il y a des étapes. On commence d’abord à le faire avec son corps physique un certain temps pour bien connaître la technique, ensuite on enseigne à d’autres êtres et on apprend d’autres techniques, plus on se regroupe avec d’autres pour le faire plus vite, on fabrique des machines pour en faire une partie, et enfin on perfectionne les machines pour qu’elles le fassent complètement. Pour tout cela, il faut être à la fois un homme au départ et plusieurs : lui, les dieux, Elohim.

En ce qui concerne la femme, il est bien entendu qu’il faut qu’elle complète éventuellement son instruction à nouveau afin qu’elle conceptualise ce qu’est le profil d’une femme cosmique, qu’elle s’achemine pour pouvoir s’intégrer dans un système structural organisé par elle et par des hommes et ainsi exister dans une sorte de vaisseau bien délimité, bien musclé, bien redimensionné, bien verticalisé, bien évolué. Elle pourra ainsi poser son véhicule forme-âme sur un support qui la soutienne, qui la sépare de l’excès de gravitation, et lui donne la possibilité de sortir d’un système matriciel de matrone qui pèse sur elle en tant que forme-âme quotidiennement par le fait que la majorité des femmes de cette planète sont déchues dans une situation d’accouchement dans le douleur qui est bien mentionnée comme étant un état de chute et de condamnation. 

Vous pouvez reproduire ce texte à la condition d’en indiquer sa source : http://channelconscience.unblog.fr/

 

Publié dans:HUMANITE, SOCIETE, SUMERIENS |on 25 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Que sont les Lois cosmiques

education-cosmique-montessori-7Les Lois Cosmiques sont celles qui respectent les Lois de la nature et les Lois Divines sont celles qui respectent les Lois de Dieu. Le Cosmos est une oeuvre de Dieu, mais elle est autonome, elle a sa vie propre et ses Lois qui la régissent tandis que les Lois Divines sont celles qui s’adressent à l’âme seulement. Les Lois Divines sont aussi des Lois Cosmiques, mais à un degré supérieur. Un homme peut bien respecter toutes les Lois Cosmiques dans la nourriture, dans l’air qu’il respire, dans la société et enfreindre bien des Lois Divines. Un autre peut respecter toutes ou presque, les Lois Divines et violer à coeur de jour les Lois Cosmiques. 

L’idéal de l’homme pour une évolution équilibrée est le respect des 2 Lois, donc c’est la mise en marche de toutes les énergies. Plus il y a d’atouts dans une entreprise, plus il y a de chances que l’entreprise réussisse. Plus les atouts sont supérieurs, plus la réussite aura de valeur. 

Les Lois Divines s’adressent surtout à l’aspect moral et les Lois Cosmiques à l’aspect physique. Cependant les Lois Cosmiques ne sont toutes respectées que lorsque les Lois Divines les accompagnent. Les unes seules sont déficientes si les autres ne les suivent pas. L’homme ne vit pas seulement d’une vie spirituelle, mais il ne vit pas non plus uniquement d’une vie physique. 

La véritable condition d’évoluer sur tous les plans est le respect de toutes les Lois Spirituelles et Cosmiques.

LIRE des 12 lois cosmiques reçues par Madame Adéla Tremblay Sergerie

http://bibliothequecder.unblog.fr/2014/09/06/les-douze-lois-cosmiques/

Publié dans:ACCORD, LOI NATURELLE |on 24 mai, 2015 |Pas de commentaires »

RELAIS D’ACCES A LA CONSCIENCE DIVINE

 

AscensionCe qui importe dans l’existence, c’est d’avoir une configuration du cadre de sa vie qui permette que se réalisent les opérations nous rattachant  à notre dimension d’immortalité. Le plus difficile dans cette existence est d en e pas être seulement une substance et une matière condensées, mais d’être également le signal de son circuit vital, éthérique, animique, astral et de son circuit mental unitaire. Car tous ces éléments qui ont une dimension un peu impalpable pour les systèmes de condensation, sont néanmoins absolument essentiels dans le rapport avec la divinité et l’essence unitaire de toute chose.

Gérer tous les éléments n’est pas une opération très facile, car il faut qu’il y ait une gestion de tous ces étages intermédiaires. Ce qui est très délicat, parce que la législation du 55, le mental, n’est pas la même que celle du 56, l’astral, qui n’est pas la même que celle du 57, l’éthérique, et qui n’est pas non plus la même que celle du 58, le substantiel. Ces circuits d’énergie sont tous différents les uns des autres et la législation de ces appareillages nous permet effectivement de contacter le système formel inférieur, mais à condition que tous ces éléments soient en complète configuration d’insertion.

L’exactitude n’est pas une notion abstraite, c’est quelque chose de profondément vécu, d’éminemment et immédiatement harmonieux parce qu’en la vivant on sent tout de suite ce que l’on cherche et ce que l’on veut depuis toujours. Il n’y a pas de sensation comparable à l’exactitude. C’est quelque chose qui vous traverse de part en part. C’est la perfection. On peut avoir une exactitude au niveau mental, au niveau animique, au niveau vital, au niveau substantiel et même au niveau matériel parce que, fondamentalement, ce qui tient tout, c’est l’exactitude.

Il y a des variations autour mais elles sont mortelles. Ce qui est immortel est immortellement exact. Si vous exagérez dans les variations et perpétrez trop d’inexactitudes, si vous n’êtes plus assez exact pour faire partie de l’exactitude, vous mourrez, vous disparaîtrez ; vous serez supprimé. La chance extraordinaire que vous avez est que, à certains moments, vous pouvez vivre et sentir, comprendre et intégrer l’exactitude.

L’exactitude n’est pas du tout une notion abstraite, c’es tune sensation absolue et totale. C’est quelque chose qui est d’une force extraordinaire, incommensurable, magnifique et énergétiquement intégrable dans toutes les parties de notre nature.

Quel est le seul but que l’on puisse vouloir atteindre, si ne n’est cette parfaite adéquation avec la perfection énergétique interne et spirituelle de toute la création ? C’est cela l’exactitude.

Quiconque envisagera de faire partie d’un circuit énergétique plus important que celui de son seul véhicule – comme un groupe familial, social ou de recherche – devra essayer d’atteindre une fonctionnalité telle qu’il puisse s’accorder le plus parfaitement possible à l’exactitude.

Il faut bien comprendre que Dieu est immense, qu’il a un corps complètement et démesurément immense et que sa conscience est incommensurable. Si l’on veut davantage prendre part à cette grande conscience, il faut pouvoir participer à un corps un peu plu grand que le sien pour avoir un relais d’accès au corps et à la conscience incommensurable du Divin.

Il faut que chaque être puisse se référer à la moyenne qui se joue à l’intérieur de lui et qui représente sa fonctionnalité interne pouvant se mettre en rapport avec l’exactitude. Il doit mesurer la distance par rapport à cette exactitude. Il faut qu’il se change, qu’il se mette en adéquation parce que c’est seulement à cette condition qu’il va y voir une totale transformation de sa nature et sa sortie des mondes de trop grande condensation.

Si une partie de vous-même est encore plongée dans des mondes de condensation, qui fait que votre attention et vote souci sont attirés ailleurs, cela demande votre part beaucoup de concentration pour être solutionné. Vous devrez y aller vous-même ou rencontrer des êtres ayant encore des programmes à résoudre dans ces plans et prendre accord avec eux pour bénéficier de leur action. 

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Publié dans:ASCENSION, ELEMENTS |on 24 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Notre Elévation vers la transcendance

 

D’où vient cette alimentation du feu de l’âme ?

vibratoiresSi vous avez la chance de résonner avec un niveau d’amour, d’allumer votre feu intérieur et d’élever cette flamme qui devient une lumière communiant avec le mental puis la conscience supérieure, si vous avez la chance de pouvoir participer un moment à la qualité de l’univers, ce n’est pas la peine d’aller chercher le carburant dans des plans très profonds. Le courant d’énergie qui se crée est un courant éthérico-astral et le carburant est le réseau éthérique.

La flamme, c’est l’étoile : l’astralité stellaire, c’est votre dimension psycho-animique illuminée. Dès que vous avez en vous cet éveil magnifique de la lumière, il suffit que vous vous promeniez dans la nature, que vous soyez au milieu d’un champ où résident des choses très belles, des objets merveilleux, et vous avez des lignes de force qui se créent. Vous avez de l’admiration, de l’enthousiasme (du grec enteos, le dieu intérieur) qui se déploient en vous et sont alimentés, galvanisés de plus en plus fort par cette illumination que vous projetez et par cette lumière qui vous revient.

Si vous avez quelque chose de très beau devant vous, et qu’il n’y a pas de lumière pour l’illuminer, vous ne le voyez pas. La vie est atroce lorsque que vous n’avez aucune lumière pour illuminer ce qui vous entoure. mais si vous avez une lumière en vous, ce qu’on appelle l’esprit de bénédiction, si vous apprenez à bénir tout ce qui est autour de vous – bénir, cela veut dire vouloir du bien – si vous apprenez à émettre cette bonne disposition d’esprit sur tout ce qui vous entoure (les êtres, les objets, les formes de toutes figures, apparents ou invisibles), alors vous avez une lumière pour tout illuminer. Ce qui est beau devient encore plus beau et ce qui est dangereux vous apparaît aussi en pleine lumière, et vous pouvez vous déplacer hors de ces zones dangereuses parce que vous êtes illuminés.

A partir du moment où vous avez réussi cette illumination en vous, vous faites un voyage de la Terre au Soleil. Et si vos pieds sont à la lune avec des deux pointes du croissant, votre sexe à la Terre, et votre cœur au Soleil, votre œil peut communiquer avec le centre galactique, et le sommet de votre crâne avec la centrale intergalactique. Et c’est pourquoi cette illumination, cette flamme qui s’élève nous sort de notre engloutissement, de notre stress terrien et d’animal préhistorique. Nous entrons dans un monde de rayonnement et de communion et nous voyageons parmi les étoiles. Que fait le soleil au juste. Il ne brille pas pour lui tout seul, il illumine la Terre, et la lune tout pareil, et nous vivons de son énergie. Ce qui veut dire que si votre soleil s’illumine, vous pouvez envoyer des rayons vers le mental et vers l’esprit, dans tout votre corps, sur la vie, sur la forme.

Vous pouvez féconder tout ce qui est autour de vous. C’est cela la résonance, c’est cela l’augmentation de vos possibilités. Cet acte de bénir son environnement est peut-être l’acte le plus important que vous puissiez faire.

Il faut bien méditer sur tout cela et nous poser des questions sur la manière dont nous sommes orientés : « Est-ce qu’il y a en moi un élan ? Si oui, où se dirige-t-il ? Est-ce qu’il va vers l’extérieur, l’inférieur, l’intérieur, ou le supérieur ? Qu’est-ce qu’il détermine en moi ? « 

Si jamais un élément de notre environnement nous déclenche un élan, alors il faut le soigner, parce que c’est l’étincelle de déclenchement que nous pourrions galvaniser jusqu’à ce qu’elle gagne la totalité de notre nature, illumine notre environnement et devienne cette chaleur permanente qui s’élève vers la transcendance. Cette étincelle ne doit pas rester enfermée sur place, recroquevillée, elle doit gagner sur toute notre nature.

Si vous trouvez un objet ou un être qui peut déclencher chez vous cet élan, cette émotion, il faut essayer de l’engober aussi dans le cadre de la qualité de l’univers. Il faut donc que vous vous intégriez, vous, dans cette qualité. Il faut que vous intégriez l’être qui est votre déclencheur dans cette qualité de l’univers et ensuite que vous communiiez avec celle-ci.

D’où vient cette qualité ?

Dans tout univers, il y a des êtres qui aiment noblement, d’une manière élevée, et qui sont sensibles à cet élan. Ils sont d’un niveau inimaginable par rapport à la situation dans laquelle nous sommes, ils sont dans un état de vibration pure et absolue. Des êtres formels, des êtres subtils qui s’aiment mutuellement ou qui sont en adoration de la qualité de l’Univers et de la présence divine, il y en a dans tout l’univers.

Cette qualité vient de la communion avec ces courants d’énergie formidables, extraordinaires, qui existent. Vous sentez venir à vous à certains moments, cette qualité et vous communiez avec elle. Vous la sentez comme si elle venait d’ailleurs, parce que vous menez souvent une existence qui vous en déconnecte, il faut certains moments bénis pour que vous puissiez vous reconnecter à cette qualité.

Alors faites-le dès maintenant….

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Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, LUMIERE |on 22 mai, 2015 |Pas de commentaires »

LES VAISSEAUX DE L’ESPACE

 

images (4)Voici une information qui va en surprendre plus d’un : actuellement, il y a plus de 5 millions de vaisseaux proches de la Terre. Leurs missions sont variées. Ils surveillent, informent et évaluent l’état vibratoire-énergétique. Certains protègent les portes d’accès interdimensionnelles. D’autres assurent un soutien logistique. D’autres encore surveillent de près nos politiciens et la situation de notre armement nucléaire. Puis, il y a ceux qui nettoient les résidus toxiques du champ causal de la Terre, et les ingénieurs qui réajustent et modifient les champs unifiés. Enfin, d’autres observent et harmonisent les aspects géophysiques et climatiques de la planète.

Contrairement aux apparences, tout est sous contrôle. Notre niveau de conscience et notre collaboration ont aussi une influence, et nos frères de l’espace agissent en fonction de nos mouvements et de notre processus d’évolution pour tout corriger tout en s’interdisant d’interférer, sauf dans des cas exceptionnels. Car nous disposons du libre-arbitre.

Leur présence sert avant tout la vie et l’évolution dans l’univers ; c’est leur principale tâche. Cependant, il y a en coulisses en permanence une activité extraterrestre dont nous ne pouvons même pas imaginer l’ampleur. Parfois cependant, il nous est possible de voir et même de visiter leurs nefs interstellaires, car ils souhaitent que certains d’entre nous soient témoins de leur présence. 

Il est en leur pouvoir d’encercler complètement notre planète en moins d’une heure et de poster leurs vaisseaux au-dessus de l’ensemble de nos villes en moins de 20 minutes. Même si leurs manifestations physiques semblent se faire attendre au regard de ce que certains d’entre nous espéraient et avaient pronostiqué, nos frères et sœurs du Cosmos sont déjà à nos côtés ; ils recourent à toutes sortes de stratégies dans le but d’attirer notre attention et de nous sensibiliser. Si nous voulons vraiment accéder à une forme de vie plus évoluée, il nous faut changer notre conscience de survie en une conscience active du point de vue évolutif, ou inclusive du point de vue cosmique. 

Notre véritable Moi spirituel ne peut émerger dans sa plénitude que si nous faisons preuve d’une discipline personnelle et d’une ouverture vers les autres. Nous ne pouvons plus continuer d’agir comme si nous étions préoccupés uniquement de notre survie en sacrifiant sans état d’âme l’exploitation de l’environnement et des faibles à notre bien-être personnel. Par analogie, nos frères et sœurs du cosmos souhaiteraient nous aider, mais nous devons au préalable élever notre niveau vibratoire et atteindre un certain palier en-dessous duquel toute intervention et manifestation d’envergure de leur part serait non seulement inutile mais même dangereuse. 

Le pouvoir de la transformation est en nous, mais nous sommes comme des diamants recouverts de couches d’ego discordantes voilant l’éclat de notre Moi spirituel et cosmique. Nous ne sommes pas si différents de nos frères et sœurs de l’espace, mais notre nature humaine reste très primitive : nous nous laissons manipuler par notre égoïsme et nous manquons d’amour les uns envers les autres. Nous en subissons et en subirons désormais de plus en plus les conséquences.

Extrait du message du site http://www.erenouvelle.fr/archives/2015/05/21/27608145.html#utm_medium=email&utm_source=notification&utm_campaign=erenouvelle2

 

Publié dans:O.V.N.I et E.T. |on 22 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Elévation de la flamme de l’Ame vers l’Esprit

 

ReincarnationS’il y a une petite étincelle d’Amour en vous, comment cette petite flamme va-t-elle pouvoir s’augmenter ? En soufflant dessus.

Du carburant il y en a, mais vous savez bien comment on allume le feu : il faut souffler dessus, mais intelligemment, pas trop fort sinon on l’éteint. Il faut arriver à intensifier votre flamme, à l’augmenter, à la faire résonner, le fait de souffler sur l’âme est un acte mental, un acte élaboré. On est intelligent et on apporte de l’oxygène au feu, on augmente les oxydations par un acte de décision.

On apporte quelque chose de nouveau qui fait que l’âme augmente le feu de la rencontre. Petit à petit, les matières de base se réchauffent et la flamme monte, c’est naturel. Vous soufflez à l’horizontal et la flamme monte. Elle monte vers l’esprit, c’est automatique. Et quand le feu est très allumé, vous voyez que spontanément il monte. Il y a un courant qui monte. C’est à ce moment-là qu’il faut continuer à être intelligent. Si la flamme monte, c’est qu’elle s’élève vers l’esprit, vers la chaleur et la qualité de l’Univers interne. Puisqu’il y a quelque chose qui monte, c’est évidemment le moment de ramener le reste du combustible, votre corps.

Une erreur que font beaucoup de gens quand la flamme est allumée, c’est de décoller complètement et de s’envoler avec la flamme. Avez-vous vu des petites flammes comme cela au-dessus d’un briquer ? Elles s’envolent et n’ont plus de contact avec le gaz et finalement elles disparaissent. Il en est de même pour votre amour qui est devenu si léger, si inconséquent, qu’il n’a plus de carburant et la flamme meurt.

Vous voyez que la flamme peut mourir des deux côté. Soit on l’engloutit trop en dessous, soit on la fait décoller. Après avoir soufflé sur la flamme, c’est à dire après avoir fait résonner votre âme pour amplifier le feu, il faut continuer à l’alimenter en amenant du carburant. Quand le feu est allumé, il peut vraiment brûler et nettoyer beaucoup de choses. Il peut tout brûler. Tous les carburants sont bons à condition qu’ils ne sentent pas trop mauvais et ne dégagent pas des vapeurs nauséabondes ou nocives.

C’est à ce moment-là seulement que votre action mentale va permettre d’illuminer et d’allumer d’autres systèmes d’énergie, d’autres systèmes de carburant. Si vous voulez continuer à alimenter votre feu, il y aura des centaines et des centaines de figures à transférer qui vont se muter, qui vont se purifier en lumière, à condition que vous ayez un mental qui organise sans cesse l’alimentation de ce feu.

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Publié dans:AME, ESPRITS |on 20 mai, 2015 |Pas de commentaires »

ATTEINDRE L’AURA IMMORTELLE

10-41Tous ceux qui accèdent à ‘amour comme à une porte de salut à leur engloutissement retourneront à leur engloutissement, et iront de déception en déception.

Il y a  la matière, le feu vital, la lumière de l’amour et le verbe de la conscience. Si la vibration de la conscience n’est pas suffisamment forte pour recentraliser la lumière de l’amour, la lumière de l’amour se dirige vers le feu vital et le feu vital s’éteint dans la matière. Il est évident qu’à partir de la matière ont peut faire un feu et à partir d’un feu on peut faire de la lumière, mais ce n’st pas pour cela qu’on atteindre le verbe de la conscience.

Ceux qui font des sauts de puce de la matière au feu vital et à la lumière de l’amour resteront dans le cadre de la mortalité. Ils ne stabiliseront jamais cette dimension d ‘amour, parce que c’est un amour qui vient du bas et qui retournera vers le bas. Ce n’est pas du tout cette démarche qu’il faut suivre pour l’élever.

Il faut pendant un temps, renoncer à cet amour facile parce qu’il est poussé par les forces du-dessous du bas instinct et dans ce sens, c’est une tentation, une sorte d’escroquerie quelque part. Il faut un moment renoncer à cette sensibilité particulière, la traverser, atteindre l’esprit. Il est dit : « Croissez et multipliez », ce qui signifie : croissez d’abord, élevez-vous à la verticale et ensuite multipliez en transmettant à l’horizontale. On peut se permettre de multiplier son rayonnement quand on a une croissance telle qu’on est complètement e très précisément axé entre la conscience et la puissance.

Si on est vraiment maître de tous ses circuits mentaux, psychiques, vitaux et substantiels, alors on peut se permettre d’avoir n rayonnement contrôlé dans une aura précise et délimitée. A ce moment-là, ce n’est pas une lumière qui vient de la matière et du feu, c’est une lumière qui vient du verbe. C’est un amour qui vient de l’intérieur, qui est maîtrisé à l’intérieur, qui a une qualité que seul peut avoir un être libéré.

Alors que les autres formes d’amour accrochent et sont des pièges. Il faut pouvoir traverser cet amour, y renoncer pendant un temps pour s’acheminer jusqu’à l’intérieur avec beaucoup de ténacité et de force afin de retrouver cette lumière de l’amour. On retour ce cet amour dans le contexte immortel, mais pas dans un contexte mortel.

Il arrive parfois que cet élan d’amour vécu un bref moment dans le contexte mortel se paye très cher le restant de sa vie. Il faut arriver à une centralisation énergétique de conscience telle que l’on puisse vivre et amour immortellement. Cette lumière d’amour sera l’aura immortelle autour de la ligne de conscience-énergie. Ce sera le juste complément de la conscience, l’énergie pure entourant la conscience absolue. C’est cela la conversion. Ceux qui ne se retournent pas dans cette conversion n’ont en fait aucun amour. Leur amour n’est qu’une dévoration de basse énergie.

Cette conversion est quasiment impossible à faire dans un contexte de personnes qui ne maîtrisent pas leur extériorisation et qui ont des conceptions complètement éclatées de leur existence. Pour concevoir cet amour immortel, cette lumière stabilisée immortellement, il faut entrer dans une situation injaculatoire, si l’on peut dire, complètement intérieure. Et c’est au bout d’un certain temps, quand vous êtes dans cette situation intérieure, très bien stabilisé, que vous pouvez effectivement faire ce qui a toujours été décrit dans les manifestations d’expansion d’extraterrestres qui, de leurs vaisseaux, envoient des faisceaux tronqués. Il y a des faisceaux de lumière qui partent, et tout d’un coup, à un endroit s’arrêtent. 

C’est typique de cette situation où le Verbe, la Conscience, maîtrise complètement l’extériorisation de la lumière. Il y a un endroit où l’extériorisation de la lumière s’arrête, parce qu’au-delà de cette limite, ce n’est plus le paradis, c’est la mort. 

Voilà comment interpréter symboliquement les faisceaux tronqués bien que, scientifiquement l’origine d’une telle manifestation puisse être attribuée à une charge électrostatique tout à fait particulière qui s’effectue sur ces appareils et qui détermine des aigrettes d’arc électrique avec l’environnement cause ce phénomène d’ionisation orientée jusqu’à une certaine distance. 

Au-delà de cette limite, c’est l’aspiration par le vortex. C’est tout un processus de vie. 

La vie réussie repose sur l’accès à cette maîtrise. C’est un programme de vie et cela demande à l’être une très grande discipline, un très grand retournement, une très grande prise de conscience. Il doit résister, à tout instant, à toutes ces figures d’extériorisation qui se présentent à lui comme circuits de tentation vers la matérialisation qui envolute la conscience et l’énergie dans la prison de condensation, jusqu’au jour où la force de  l’esprit et l’énergie associée ont reprit la force de décider à nouveau son envol vers l’immortel. 

Francesca du Forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:ENERGIES |on 20 mai, 2015 |1 Commentaire »

Accumuler des richesses dans le monde subtil

Gy6Sn1FwPour pouvoir vous accrocher à votre étole et basculer du côté du ciel, il est nécessaire d’avoir beaucoup travaillé à construire au-dessus de votre corps une réserve d’énergie-conscience, une sorte de réserve antigravitationnelle, immatérielle. Mais comment faire pour accumuler des richesses dans les mondes subtils et non dans les mondes de la forme ?

Le corps est un organe extrêmement important dans l’économie universelle. Seulement la conscience n’a pas toujours la correspondance avec cette importance, ce qui fait que notre vie se déroule sans que nous utilisions la totalité des possibilités de notre corps. C’est la raison pour laquelle il faut des années et années pour constituer une figure qui puisse nous permettre de ressourcer notre signature sur un plan de retour.

Le corps de forme a une caractéristique : il est capable de se transformer au cours de toutes les opérations  de la vie. Si nous l’utilisons pour faire cette transformation, alors notre corps de numération interne se transfère. Vous avez un corps de lumière qui se crée. Le corps de lumière est le résultat d’une transformation de l’énergie inférieure en système subtil qui permet à l’être de se réintégrer dans les sphères intérieures. La sœur lumière du corps est un système énergétique qui a un programme et, lorsque vous alimentez ce système d’énergie, ce programme peut commencer à fonctionner. Des prêtres de numération travaillent pendant de nombreuses années ou voir alimenter ce champ d’énergie et refaire la jonction avec leur programme. Théoriquement, le corps de numération interne ne pourrait se constituer que s’il y avait une méditation jour et nuit pendant 66 ans. Ce qui est évidement impossible sur cette planète car ceci équivaut à 24 090 jours, c’est à dire 578 160 heures. Il est inutile de vous die que le corps formel a des possibilités qui sont inhérentes à la manière dont on l’utilise.

Lorsque vous traitez un système de numération interne vous avez la possibilité d’enregistrer des configurations sans avoir besoin d e vous déplacer. Vous pouvez intégrer des figures en restant au même endroit. Il suffit pour cela que vous ayez un système de numération interne qui soit suffisamment fort pour traiter toutes les configurations qui viennent à vous. Seulement, si vous n’y prenez pas garde et si vous ne traitez pas les configurations comme vous le devez, le cops de puissance vous détruit. Parce qu’à chaque fois qu’un homme se déplace sur un système extérieur, il perd 600 jours de méditation. C’est-à-dire qu’à chaque fois qu’un homme éjacule, il perde  600 jours de médiation. A chaque fois qu’il y a une signature de mutation qui s’effectue d’une signature à l’autre en contrat-lumière interne, c’st à dire surveillée par un réel système de l’unité interne, vous gagnez 200 jours de méditation. Donc, le corps de puissance se déplace en fonction des opérations que le corps intermédiaire réalise. Il est évident que si un corps de lumière se met à fonctionner sur un corps formel, c’est que ce corps formel a mené un certain nombre d’opérations qui lui permettent d’avoir ce type de configuration.

Si vous voulez traiter votre circuit de 578 160 heures en une vie, il faut que vous ayez totalisé un minimum de 120 mutations unitairement accordées, ce qui fait 120 X 120 jours pour qu’une numération interne puisse se créer. Les corps de sumérienne essence ne signent des contrats qu’avec ceux qui ont numéroté leur signature sur une antenne de transfert synthétique. Si, en plus de votre système de numération sumérienne  – c’est à dire le circuit que vous avez pu réaliser au cours de vos présences passées dans d’autre dimensions ou le système de numération que vous avez traité durant votre propre incarnation par mutations successives coordonnés et unitairement accordées – vous engagez un programme de transfert sur d’autres systèmes de forces, votre corps de numération interne se renforce d’heure en heure et votre programme de synthèse se numère sur une autre dimension.

Il faut comprendre que les corps ne sont pas des systèmes matériels. Ce sont aussi des systèmes énergétiques et spirituels. Les corps de puissance qui jouent avec ces véhicules ont des processus qui sont à la fois matériels et substantiels. En conséquence, si votre conscience n’est pas signée sur un plan énergétique à l’intérieur de votre corps substantiel, alors votre système substantiel appartient aux systèmes de puissance, et vous devenez leur objet.

Il est indispensable que votre conscience puisse intervenir à tout moment pour gérer votre corps de forme, parce que si vous n’êtes pas le gestionnaire très correct de ce système de forme, votre puissance va vous détruire. Vous savez que si la conscience supérieure gérant tout votre corps n’intervenait pas tous les mois pour stopper le saignement des règles d’une femme, cette femme se viderait entièrement de son sang. Le contrat de lumière intervient pour arrêter cette hémorragie. Si vous ne numérotez pas suffisamment le circuit, votre système ne peut plus s’arrêter, et vous avez des hémorragies qui continuent. Le système d’impérieuse figure prend emprise sur le corps et l’absorbe par en-dessous. Vous avez des puissances qui vous détruisent, mais elles le font par des moyens intermédiaires.

Elles utilisent par exemple des virus ou des systèmes de numération impérieuse qui s’infiltrent dans votre véhicule et le tuent parce que ce corps est un système supérieur par rapport au système de puissance inférieur, et quand ils le font descendre dans les soubassements impérieux, il y a un système qui peut s’élever un petit peu de ces mondes impérieux.

Certaines incarnations sont strictement réservées à type de chute. Il y a des gens qui naissent juste pour être absorbés par les systèmes de numération impérieuse. Et ensuite, ils reviennent pour continuer ce processus jusqu’à ce qu’ils puissent vivre un certain temps en surface. Ainsi donc, pour contrer de telles situations, vous voyez que tout instant surveillé par l’unité interne est un instant béni, un instant exceptionnel, un instant qui n’a aucune mesure de comparaison avec les autres instants.

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Publié dans:SANG, SEXUALITE, SUMERIENS |on 19 mai, 2015 |Pas de commentaires »

L’AMOUR est le chemin vers la qualité de l’Univers

 

ammaComme vous avez pu certainement l’expérimenter de nombreuses fois, l’esprit peut effectivement réaliser sur le plan de l’énergie une gestion telle que l’état intérieur d’une créature substantielle humaine ou autre peut être extrêmement transformé.

Ce qui empêche un être d’arriver à une harmonie intérieure, ce sont tous ses accrochages dans le plan de la condensation, toutes ses dispositions d’énergie dans des zones qui ne rejoignent pas l’unité spirituelle. Il faut alors se poser une question : « Comment suis-je susceptible de rejoindre cette énergie harmonisée » ?

Le raccordement à ce niveau n’est pas facile parce que les éléments à raccorder sont très disparates. Il faut avoir la voyance simultanée de tous les systèmes en présence, mener en même temps une action très rapide et très douce pour raccorder les figures en direction de l’unité et choisir la manière d’opérer avec justesse et justice pour que ces éléments trouvent les lignes d’harmonie les conduisant à la qualité de l’Univers. Ceux qui atteignent une dimension de communion avec cette qualité ne sont ni trop concentrés, ni trop éclatés. Ils sont dans la juste mesure.

Il existe des ensembles d’êtres qui sont constitués de figures différentes ; les uns sont très concentrés et les autres très éclatés. Ils vivent dans un continuum mais ne sont pas harmonisés les uns aux autres. Ils vivent leur état trop condensé, descendu, éclatés et s’en plaignent parce que c’est excessif dans leur situation personnelle.

Pourquoi sont-ils dans cette situation déséquilibrée ? Parce qu’ils ne participent pas à la qualité de l’univers. Ils s’individualisent dans leur spécialité et se séparent des autres. Le fait d’apporter leur spécialité pour l’harmonie de tous pourrait être un bien pour eux et pour l’ensemble, mais devient une plaie pour eux et aussi pour l’ensemble puisque qu’ils sont obligés de se désolidariser, vu le développement hypertrophique de leur spécialité. Il y a un apprentissage à faire pour sortir d’une telle situation, et cet apprentissage, c’est celui de l’Amour.

L’amour est le chemin vers la qualité de l’univers, mais représente une situation très partielle et transitoire s’il n’y a que cet appel spontané vers cette qualité. On atteint tout d’un coup, un bref moment, la communion avec ce niveau merveilleux et on est très heureux. Immédiatement, se présentent toutes les autres figures qui veulent, elles aussi, communier avec cette qualité. Il y en a de tous les étages, ce qui fait que cette qualité de l’amour est très vitre accrochée à toutes sortes de signatures qui l’éclatent ou la font descendre. S’il n’y a pas au-dessus de l’amour une dimension de conscience qui gère cet état exceptionnel, très vite il va retourner à la masse, dans l’éclatement. La qualité de l’univers ne peut pas être seulement l’amour, elle doit être aussi la conscience, qui gérant l’amour, va pouvoir contrebalancer les forces qui se présentent à l’extérieur vers l’intérieur et qui vont vouloir atteindre des dimensions plus intérieures et supérieures.

A partir du moment où l’on constate ceci, on peut en tirer la conclusion suivante : dans la mesure où l’amour est la porte vers la qualité de l’univers, il est certain qu’on doit le rechercher. Seulement, l’amour est difficile à atteindre parce que, dès qu’on y parvient, on se trouve raccroché à des choses qui se rajoutent à l’amour et qui le font descendre dans la passion ou le désir plus ou moins satisfait. Il est très difficile d’atteindre l’amour qualitatif, qui doit pouvoir rejoindre l’esprit. Il faut donc arriver à trouver une situation où son amour est déclenché par un être, un objet ou un élément relié à l’esprit de l’Univers.

C’est par ce cheminement et par cette compréhension qu’on peut commencer à gérer sa nature d’une manière plus intelligente. Par ailleurs si l’on souffre, c’est qu’on n’aime pas assez pour pouvoir aller au-delà de l’amour jusqu’à l’esprit. On commence toujours à aimer, puis on a peur parce qu’on sait qu’on va soulever des forces qui vont nous faire rétrograder. Alors, on vit un petit amour avec des sauts, des réticences et des rétrogradations. En fait, on vit en dessous de l’amour, en contact le plus souvent avec les forces extérieures ou inférieures qui existent sous l’amour.

En réalité, si on a la chance d’avoir une toute petite étincelle d’amour dans une direction, cette étincelle peut tout allumer. Ce qui mène au plus grand développement de l’âme, c’est de faire résonner en elle toute émotion ressentie, de la faire résonner encore, au maximum et sans arrêt. C’est cela qui développe le plus l’âme ; mais dans quel sens ? Extension vers le bas, extension vers l’extérieur ou atteinte et épanouissement vers le haut jusqu’à rejoindre l’esprit ?

On peut rejoindre cet état merveilleux où, ayant contacté l’étincelle de l’amour et ayant senti cette vibration délicieuse, on réussit à amplifier cette révélation qui se déclenche à l’intérieur de soi. On peut l’augmenter consciemment au lieu de la refréner, on peut la débloquer, l’épanouir, l’intensifier au oint que non seulement elle va se diriger vers l’être aimé – qui n’est qu’un relais et un prétextez – mais elle va aussi gagner sur tout le pourtour de notre nature et à l’intérieur même de notre corps. Tout d’un coup l’esprit souffle en nous, et dirige notre regard vers une porte d’amour.

Mais qu’est-ce qui va vous faire rétrograder ? C’est le poids du corps accroché par l’extérieur et l’inférieur. C’est le fait que vous n’avez pas mis en relation la partie subtile de vous-même, qui peut s’envoler vers la porte de la qualité de l’univers, avec la mutation de votre chair. Votre corps alors vous rappelle à l’ordre, vous fait redescendre, et comme il vous fait redescendre, vous vivez un amour petit. Vous n’avez pas un élan total qui soit capable de l’embraser. Au lieu de vous concentrer sur la galvanisation de cet amour, sur cette augmentation colossale qui vous permettrait de traverser la frontière jusqu’à l’esprit, vous redescendez dans la concrétisation du corps, dans ses accrochages matériels et gravitationnels. Vous vous engloutissez dans sa limitation et vous éteignez cet amour qui meurt et souffre à l’intérieur de cette situation, parce que votre acte mental, au lieu de penser à le galvaniser au oint qu’il illumine la totalité de votre corps, coiffe cet amour et le fait redescendre dans la condensation et la gravitation. Vous menez un acte qui est le contraire de ce que vous devez faire en réalité et vous en souffrez. En redescendant cet amour, vous envoyez bien quelque chose dans votre corps, mais c’est comme si vous faisiez une cuisson sur place.

Mais avec quoi faites-vous une cuisson ? Avec le peu d’étincelle de lumière que vous avez pu déclencher dans votre Amour. Vous avez pris le peu d’illumination qui s’est fait dans votre cœur, vous l’avez tout de suite mis à cuire dans votre orgueil et votre égoïsme condensé : aucun envol, juste un petit contact immédiatement réaspiré dans la condensation. Là, vous souffrez à l’intérieur de cette condensation, vous vous sentez affaibli. La toute petite étincelle est complètement démunie devant le poids écrasant de cette condensation qui vous entoure. C’est comme si vous aviez un tout petit feu de rien du tout sur lesquels vous mettiez une énorme marmite, cela paraît démesuré de la chauffer. Vous êtes complètement épuisé, isolé, seul. Orienté de cette manière, l’amour est une voie de douleur. C’est pourquoi il faut revoir la situation.

Vous pouvez recopier ce texte à la condition d’en indiquer la source  : http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:AMOUR |on 19 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Pour atteindre l’Amour spirituel

 

Amour spirituelL’accès au plan de la sensibilité, qui mérite respect, est souvent paré d’une dimension paradisiaque et relativement illusoire. Il peut être abordé soit de l’inférieur-extérieur, soit de l’intérieur-supérieur. 

Evidemment, la gestion en sera totalement différente. Ce qui est erroné dans la démarche de la plupart des gens et dans ce qui est présenté communément dans la société, c’est qu’en réalité les gens partent d’un monde complètement éclaté et matérialiste et se dirigent vers une dimension plus subtile. Ils ont parfois la chance d’atteindre un moment d’âme et d’émotion intense, qui leur donne effectivement une ouverture vers autre chose, une dimension plus sensible, plus subtile, un élan d’amour. 

On tombe amoureux, on vit des moments extatiques frémissants, à la limite de la plus étonnante vibration qui soit dans l’être, et on pense qu’on est arrivé au summum du summum. On poursuit l’atteinte de ce summum de la relation humaine comme étant le pinacle de ce qu’on peut rencontrer de plus intéressant dans la vie. C’est tout à fait exact, mais c’est traité d’une manière complètement erronée. Malheureusement, les gens poursuivent l’atteinte de ce circuit et l’atteignent brièvement. 

En réalité, il y a l’extériorité et il y a la possibilité de rapatriement de cette extériorité vers un foyer de recentralisation qui est l’objet de son amour. Quand vous trouvez un être qui a un magnétisme particulier, suffisamment attractif pour recentraliser votre extériorité, et qui a un type de présentation formelle ou énergétique qui résonne avec des archétypes de structure que vous portez en vous ou des résonances interdimensionnelles, il est certain que vous voyagez de l’extériorité vers une zone intermédiaire, entre l’extériorité et l’intériorité, donc, entre le formel matériel et l’antimatériel. C’est cette zone intermédiaire qui est effectivement le plan d e l’âme. 

Ce qui est triste, le plus souvent, c’est que les êtres vivent ce moment fantastique qui les rapproche de l’âme, s’y arrêtent et ne vont pas plus loin. Ils vivent leur état d’amour. Ils ont eu leur petite émotion, ils s’attirent mutuellement, ils se rapprochent, ils s’accouplent parfois, ils éjaculent ensemble et ils s’extériorisent à nouveau en fabriquant un enfant du côté de la matière. Ils  s’arrêtent à cet élan, qui les fait se rapatrier dans la zone intermédiaire et qui devait être une étape pour les faire avancer en direction de l’essence intérieure, l’axe de numération unitaire, pour rejoindre l’esprit supérieur. 

Disons qu’ils sont un petit peu sortis de la matière, ils ont fait un petit voyage spatial jusque dans la zone intermédiaire, ils ont eu leur petite émotion romantique. On en a fait de grandes symphonies, on en a fait des pièces de théâtre, on en a fait des ouvrages sans nombre ; on fait un petit tour, on ressort vers l’extérieur et à nouveau on replonge dans la matière. Ce genre d’échange romantique peut être considéré comme assez litigieux parce que c’est une espérance du ciel, alors que c’est en fait un peu une escroquerie. On y va, et puis on se fait avoir encore plus profond, en finale, par une matérialisation. 

La démarche qu’il faudrait plutôt envisager serait de se diriger vers cette zone intermédiaire, de rechercher cette possibilité d’élan et de rencontre avec le plan de l’âme, puis de continuer sur cet élan jusqu’à l’essence interne, jusqu’à l’axe de l’esprit, et là, trouver la centralisation interne qui permet de rejoindre l’esprit, la conscience supérieure et un amour spirituel pour la conscience supérieure.

Amour spirituel, c’est-à-dire amour intérieur à la conscience, alors que l’amour de sensibilité, de sensiblerie intermédiaire, est un amour extérieur à la conscience. Quand vous avez rejoint la conscience de contrôle entre la matière et l’antimatière, qui est un état très particulier, vous avez effectivement une vision instantanée du rapport entre la matière et l’antimatière. Vous savez que, physiquement, quand on réunit un proton et un antiproton, il se dégage une très importante énergie. Le rapport de matière et d’antimatière dégage beaucoup d’énergie. 

L’amour intérieur est un rapprochement maîtrisé par la conscience entre un proton et un antiproton. A ce moment-là, il se dégage une énergie interne à l’opération qui est entièrement contrôlée par le système de conscience. Si on réussit cette opération, alors et alors seulement on peut envisager, si on a beaucoup de cette énergie de centralisation, de créer une aura autour de cette centralisation de conscience parfaitement maîtresse de la situation. 

On peu créer une aura autour, qui va être une sensibilité, un amour romantique, un amour très délicieux, un respect très fin de l’autre, une délicatesse d’âme, mais complètement vécus à partir de l’intérieur. Si vous avez une force de centralisation intérieure, vous pouvez vous permettre d’être gentil. Il y a des gens qui disent ; « Ah non, non, il ne faut pas être gentil parce que, de toute façon on se fait marcher sur les pieds » etc. Ce sont des faibles. 

Ceux qui sont vraiment forts, qui ont une très grande force de recentralisation, peuvent se permettre d’être gentils. Il faut être très fort pour pouvoir être gentil, parce que c’est une aura autour de la force. Il faut avoir une très forte centralisation à l’intérieur pour se permettre d’avoir une aura de gentillesse autour de soi. Il faut avoir une très forte liaison à la vérité, à  la maîtrise, pour pouvoir se permettre d’aimer avec sensibilité, avec élan et spontanéité. 

Il faut être très fort à l’intérieur. 

Francesca du Forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:AMOUR |on 16 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Si nous sommes limités, à qui la faute

 

PoissonCertains enfants ont toujours refusé de manger de la viande et leurs parents les laissaient parfois trois heures devant leur plat pour qu’ils le mangent, et aujourd’hui ils sont végétariens. Qu’est-ce qui s’est passé ?

Ils sont végétariens sans que  personne ne le leur ait demandé. Ils sont devenus libres de leur choix. A présent, retrouvez-vous petit enfant placé dans ce climat, avec votre sensibilité, votre mode de perception, votre type de réaction, les changements intervenus depuis et réfléchissez à la partie de vous qui est restée en souffrance.

Quelle est cette coiffe qui a pu s’apposer pendant des années sur des êtres qui d’eux-mêmes auraient choisi une autre voie que celle imposée par leur environnement ? Il faut bien mesurer la lutte de ce jeune, seul à représenter une vérité face à sa famille qui n’y comprenait rien et lui imposait sa volonté. Il devait donc employer toutes ses énergies pour résister à la pression de la société et de l’environnement familial. Son énergie, étant consommée pour affirmer sa différence, ne pouvait donc être consacrée à autre chose, par exemple son développement psychique et spirituel. Et qu’est-ce qui préside à cette résistance de l’enfant ? Ce n’est pas son intelligence, encore insuffisamment développée. Il faut comprendre que ces réactions viennent d’une autre dimension et lui sont inspirées par son esprit supérieur.

Examinez comment la pression de l’environnement a conditionné votre jeunesse et mesurez ce que la famille et la société ont pu limiter en vous, car les conditionnements qu’on reçoit soit énormes et les êtres qui arrivent à les traverser peuvent être considérés comme des génies.

En fait, rares sont les systèmes familiaux qui offrent aux enfants des moyens de se développer en toute liberté pour favoriser leur épanouissement. Beaucoup de choses sont inacceptables dans le système social ; ne pas vouloir les subir consomme de l’intelligence, du temps, et occasionne des luttes terribles.

Il faut une décision ferme pour ne pas se faire inférioriser. Il y a ce qu’on peut accepter et ce qu’on doit repousser.  Si des gens castrés et neutralisés acceptent ce qu’ils auraient dû refuser, ils n’ont plus la possibilité de passer, ils se sont fait avoir et son malheureux. Ce qui est grave, c’est qu’ils ont été eux-mêmes conditionnés par les générations précédentes qui, ayant raté leur émergence, font le poids de la masse agissant sur ceux qui voudraient réémerger. C’est cette masse quantitative qui crée le courant moyen de ce qui est bien (le conformisme). Et plus cela va et plus cela s’augmente. Les jeunes se rebellent toujours contre le système établi parce qu’ils sentent qu’il est déconnecté. Et petit à petit, on les met au pas, il y a toutes sortes de moyens pour cela, et enfin ils s’installent dans la société ou, quand cela pressurise trop, ils peuvent tomber dan la délinquance, mais là, c’est la dernière étape de l’oppression qui conduit les êtes à se trouver en complète rébellion contre le système social.

Francesca du Forum « La Vie Devant Soi » : http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:ENFANTS, SOCIETE |on 16 mai, 2015 |Pas de commentaires »

L’effet des mauvaises pensées

 

     mauvaises penséesLes suggestions ou les mauvaises pensées d’un méchant compagnon sont semblables à la piqûre d’un insecte dans une feuille de chêne. Cette piqûre provoque la naissance d’une noix de galle lorsque la feuille est arrivée à maturité. Un serpent ne se fait pas de mal à lui-même en s’inoculant son propre poison, mais d’autres créatures inoffensives en sont affectées. Ainsi, un homme porté au mal a déjà le poison du péché en lui, de sorte que l’influence empoisonnée du méchant lui fait moins de mal qu’à un homme bien disposé.

     L’upas de l’arbre antjar ou anchar de Java ou le lierre empoisonné d’Amérique produisent une sorte d’huile ou de suc nocifs qui, emportés par le vent, propagent des maladies dangereuses et des épidémies dévastatrices dans les pays situés dans le rayon d’action de ces poisons. Ainsi, sans qu’on s’en rende compte, l’effet mauvais et empoisonné de la vie d’hommes méchants se répand autour d’eux, provoquant chez beaucoup des maladies spirituelles et la mort.

     On a observé que les insectes qui percent les troncs les plus épais et les vers marins qui perforent les pierres, sont extrêmement mous et délicats ; pourtant avec le temps, ils détruisent entièrement le bois le plus dur ainsi que les pierres. De même, si nous ne veillons pas et si, avec le secours de Dieu, nous ne chassons pas les mauvaises pensées et les mauvaises habitudes qui souvent nous semblent peu importantes, elles rongent notre vie spirituelle au point de n’en laisser que l’apparence. Les reptiles et les insectes nuisibles comme les serpents venimeux et les scorpions, attaquent et blessent, injectant dans les blessures qu’ils ont faites le poison sécrété par leurs glandes, causant ainsi la souffrance et la mort. Les mouches et la vermine ne sont pas tenues pour aussi dangereuses. alors qu’en réalité, elles provoquent la mort en transmettant les germes de maladies qu’elles répandent partout. De même, nous ne rangeons pas au nombre des criminels dangereux des hommes qui, pourtant, sans qu’on le remarque, sont tout aussi redoutables, car ils propagent autour d’eux, avec leur langue qui n’a pas été bridée, le poison de doctrines morbides.

     Certains insectes réussissent à se percer un chemin dans un fruit encore vert où ils déposent leurs oeufs. A mesure que le fruit se développe, le trou se referme à l’extérieur. Les oeufs éclosent et les petites chenilles se mettent à manger le fruit. A l’extérieur il n’en paraît rien, le fruit semble mûr, il est tentant, mais à l’intérieur il est vide et n’a aucune valeur. De même, les idées et les habitudes coupables que nous contractons dans notre enfance et dans notre jeunesse se développent progressivement et produisent au plus profond de notre âme la corruption de notre nature morale. 1l est donc absolument nécessaire que dès notre plus tendre enfance nous soyons sur nos gardes à l’égard du péché qui déprave notre nature.

     Au Mexique, il existe une sorte de fève nommée le grain dansant. Dès que les rayons du soleil la touchent, elle commence à se tordre et à tourner jusqu’à ce qu’elle trouve l’ombre d’une pierre ou d’un buisson. Cet étrange phénomène s’explique par la présence d’un insecte qui s’est introduit dans la fève, s’en est nourri et n’en a laissé que la cosse. Lorsque la chaleur du soleil l’atteint, l’insecte s’efforce de sortir de la fève et tourne continuellement dans la cosse jusqu’à ce qu’ayant atteint l’ombre, la fraîcheur met un terme à son agitation. De la même manière, lorsque des pensées et des désirs mauvais entrent dans le cœur de l’homme et que le soleil de justice répand sa lumière sur la vie impure d’un pécheur, celui-ci est troublé et cherche à se réfugier dans les ténèbres où les rayons divins ne luisent pas , ainsi il vit dans les ténèbres du dehors et ne jouit plus de la lumière et de la chaleur divines.

     Dieu ayant fait l’homme à sa propre image, il n’y a rien qui puisse gêner celui-ci s’il remplit cette seule condition que, dans l’usage de sa libre volonté, il ne tombe dans le péché. Nous ne faisons aucun tort à Dieu en péchant, mais nous nous en faisons à nous-mêmes et à ceux qui nous sont apparentés. Le Dieu d’amour désire que nous soyons sauvés du péché sous toutes ses formes afin que nous puissions jouir de sa communion. Le péché nous exclut de cette sainte union avec Dieu. Entre individus, les relations sont si étroites que le mal dont nous souffrons fait souffrir les autres et le mal des autres nous fait souffrir. Il n’a jamais été et il ne sera jamais possible de commettre le mal sans que d’autres en souffrent. A un degré quelconque les hommes sont affectés par le bien ou le mal que nous faisons, c’est pourquoi le résultat de la repentance doit être de nous amener à nous abstenir d’actes nuisibles à nous et aux autres par le secours et la grâce de Dieu, de faire comme Zachée, qui répara le mal qu’il pouvait avoir commis (Luc XIX, 8 à 10)

Extrait de Méditations sur différents aspects de la vie spirituelle par le SADHOU SUNDAR SINGH

Publié dans:PENSEE |on 14 mai, 2015 |Pas de commentaires »

La signification de l’art

 

CathedralCertes, une oeuvre d’art est avant tout une oeuvre d’imagination ; mais l’imagination chez l’artiste offre ce trait distinctif d’être créatrice de symboles et c’est précisément ce symbolisme qui donne à l’oeuvre d’art son sens profond et sa valeur propre. Sans doute, la création imaginative et sociale ; et l’on peut suivre son développement depuis les époques primitives où se sont formés les mythes populaires jusqu’aux temps modernes où triomphe la mécanique industrielle. Mais, si l’on doit admettre avec la psychologie contemporaine  que la fonction essentielle de l’imagination créatrice est de transformer toutes les perceptions en évocations sur la base d’analogies dont le choix est réglé par des facteurs d’ordre émotionnel, il faut reconnaître que cette faculté d’évocation ne trouve nulle part un terrain aussi propice à ses inventions que chez l’artiste.

     Ce n’est pas seulement parce que dans l’âme de l’artiste le rôle joué par le sentiment est prépondérant et dominateur ; c’est surtout parce que chez lui le sentiment est affranchi du besoin, du désir, de tout but égoïste et intéressé : il déborde le cadre de l’étroite individualité humaine pour se mettre en harmonie avec la Nature tout entière. L’âme de l’artiste vibre à l’unisson de tout ce qui vit, pense et souffre dans l’Univers et, ainsi, elle entre en relation immédiate avec l’essence intime et profonde des choses. Aussi les images concrètes qui constituent, les matériaux de l’imagination reproductive se transforment-elles dans le génie créateur de l’artiste, par une sorte de chimie mentale mystérieusement subtile, en des images symboliques, où s’expriment, non plus des sensations affaiblies et des souvenirs, mais des formes nouvelles et originales, représentatives ,de l’Idée et dont la signification acquiert de ce fait une portée universelle. Dans la création esthétique l’Idée se revêt d’images pour devenir symbole.

     Ce symbolisme des images, qui atteint dans l’art sa plus haute puissance, est déjà manifeste dans les mythes des civilisations primitives. Le mythe est le premier essai d’une forme de l’activité spirituelle qui, avec le développement de l’imagination créatrice, engendra les polythéismes et les philosophies. S’il nous apparaît à l’origine, confine un produit spécifiquement indigène, où l’âme populaire expose sans contrôle l’état de ses connaissances et la diversité de ses aspirations, il ne tarde pas à s’enrichir des résultats acquis par le progrès de la culture, et, grâce à une appropriation d’ordre esthétique qui est l’oeuvre de l’imagination créatrice, son réalisme spontané et naïf fait bientôt place à des représentations nouvelles et plus complexes qui tendent à substituer au simple mythe le pur symbole.

     Ce symbolisme, en se rationalisant, donnera naissance aux philosophies où il se revêtira, non plus d’images, mais de concepts, pour s’effacer finalement devant les exigences de l’intelligence abstraite ; mais il gardera dans les religions sa pleine valeur, confine s’il était l’équivalent de la réalité absolue. Aussi les religions restent-elles plus attachées que les philosophies aux formes de l’imagination créatrice. Alors que les philosophies réussiront, avec l’aide du mouvement scientifique, à se dégager de tout symbolisme pour ne plus parler que le langage de la raison pure, les religions continueront à y puiser la sève de leur vitalité. C’est dans ce symbolisme même que réside le principe de leur fécondité spirituelle ; et elles ont décliné, toutes les fois qu’elles ont essayé de s’en passer. Mais n’est-ce pas en même temps reconnaître qu’il y a dans l’essence de la religion un élément esthétique qui a sa source dans une création imaginative ? Et, s’il en est ainsi, ne sommes-nous pas, d’un autre côté, autorisés à chercher dans une inspiration religieuse la, condition première de toutes les grandes productions artistiques ?

     Tolstoï a pu dire sans exagération que la véritable destination de l’art est « de transporter une conception religieuse du domaine de la raison dans le domaine du sentiment, de conduire ainsi les hommes vers le bonheur, vers la vie, vers cette union et cette perfection que leur recommande leur conscience religieuse » . Guillaume Dubufe déclare pareillement que « jusqu’à présent et jusqu’à nouvel ordre pas une grandeur artistique n’a pu être isolée d’une idée divine » . William James estime à son tour que « la poésie et la musique n’ont d’intérêt et de valeur que si elles nous ouvrent les vagues perspectives d’une vie qui prolonge la nôtre, nous attire et se dérobe sans cesse ». « Cette sensibilité mystique, ajoute-t-il, est la condition nécessaire pour jouir de l’éternelle révélation de l’art ».  On peut poser en fait que l’art véritable, s’il ne se met pas lui-même au service d’un idéal religieux déjà établi, renferme dans son essence les éléments d’une religion nouvelle. C’est au mouvement de rénovation catholique inauguré par St François d’Assise qu’il faut rattacher la magnifique floraison de l’art italien à l’époque de la Renaissance. Par contre, le drame Wagnérien, du Vaisseau fantôme à Parsifal, enseigne une théorie de la théorie de la rédemption qui n’est pas moins bouddhiste que chrétienne et, enfin de compte, se suffit à elle-même en dehors de tout dogme et de toute confession religieuse. L’art nous apparaît ainsi dans son principe comme une représentation symbolique, issue d’une inspiration religieuse.

     Déjà Schopenhauer avait noté les multiples affinités qui rapprochent ces deux modes de l’activité humaine ; Richard WAGNER, à son tour, a traité le problème avec l’autorité que confère à son témoignage son labeur d’artiste. Selon lui, la religion ne fut pas autre chose, à l’origine, qu’une collection de Mythes par lesquels l’imagination populaire après avoir divinisé les forces redoutables et encore inexpliquées de la Nature, revêtit ces dieux nouveaux de formes humaines et leur inventa une histoire et des destinées. La genèse de la religion est due ainsi, en partie, à une faculté de création artistique que l’on retrouve à l’aurore de toutes les civilisations, alors que la pensée de l’homme ne conçoit rien que par images. Lorsque, dans la suite, le mythe, détaché de sa racine populaire et vivante, eût dégénéré en allégorie abstraite, vide de tout contenu psychologique et inaccessible au pur sentiment, le prêtre s’en empara pour l’imposer comme fondement de la croyance et l’ériger en dogme absolu : le mythe perdait à la fois, de ce fait, sa raison d’être et son sens profond.

     C’est à l’art qu’il devait être réservé, par la logique même des choses, de lui rendre son orientation primitive ; mais en transposant dans l’idéal l’expression originelle du mythe religieux, l’art convertit celui-ci en un symbole dont l’éternelle vérité vaut désormais pour tous les siècles et pour tous les hommes ; et, en même temps, cette idéalisation, alimentée au foyer même de l’imagination populaire, constitue pour l’art un élément nouveau d’invention puissante et féconde. Sous l’inspiration du symbolisme religieux, l’art acquiert une haute signification qui l’élève au-dessus des étroites limites du phénomène et lui ouvre l’accès à un monde supérieur, plus noble et plus pur, où la beauté esthétique reçoit finalement sa suprême consécration. Aussi WAGNER ne craint-il pas d’affirmer que la « faculté de créer l’idéal , qui caractérise l’essence de tout art véritable, a décliné chaque fois que l’artiste s’est éloigné de tout contact avec la religion ; et il conclut qu’un art qui n’est pas directement issu de ce symbolisme ne peut subsister qu’à la condition de valoir par lui-même comme un « acte religieux » et d’exprimer dans une forme immédiatement perceptible à l’intuition l’ardente aspiration de l’humanité à la rédemption libératrice : telle est précisément la musique, qui, dans un langage nouveau et profond, nous apporte plus parfaitement que tout autre oeuvre d’art, une révélation directe de l’essence intime de l’être. 

Extrait des ŒUVRES DE GABRIEL HUAN

Publié dans:ARTISTES PEINTRES |on 14 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Informer et activer son ADN

dieu fSans doute peut-il sembler étrange d’évoquer l’ADN dans un sujet consacré aux pensées, aux émotions et à la danse. Nous allons voir qu’il n’en est rien.

A une époque où tous ses collègues s’occupaient principalement du développement du projet de séquençage du génome humain et essayaient de savoir comment les gènes contrôlent les cellules, le docteur en biologie Bruce Lipton a, lui, choisi une autre voie et, en travaillant dès 1976 sur la culture des cellules-souches, il a étudié l’influence de l’environnement sur l’expression de la cellule. Il lui est apparu que le destin des cellules est contrôlé d’abord et avant tout par l’environnement dans lequel elles se trouvent.

De son propre aveu, ce fut une révolution et même un viol de ce qu’il appelle le dogme central, pilier de la biomédecine d’aujourd’hui, selon lequel le flux de l’information en biologie va de l’ADN à l’ARN jusqu’à la protéine. Et comme, toujours selon ce dogme, notre corps est formé de protéines, qui sont elles-mêmes codées par l’ADN, il en résulte que notre sort dans la vie est déterminé par les gènes que nous recevons dès notre conception. Vu sous cet angle, nous ne pouvons qu’être victimes de notre hérédité puisque nous ne choisissons pas nos gènes et que nous ne pouvons pas les changer. Le message de la science conventionnelle est donc que nous ne contrôlons pas notre vie et que nous pouvons toujours être victimes d’un mauvais gène.

Bruce Lipton pense que ce concept est totalement faux car il repose sur la physique newtonnienne s’exprimant dans la médecine.

Pour la physique quantique au contraire, qui s’intéresse aux particules, le fondement de l’univers n’est pas l’univers physique et mécanique mais une énergie invisible appelée champ. Elle affirme que c’est le champ qui contrôle la biologie. Einstein dit même que « le champ est l’âme qui gouverne l’action des particules ». Autrement dit, ce sont des forces invisibles qui donnent forme à la matière. En ce qui nous concerne, nous sommes certes des corps physiques mais nous baignons dans des champs magnétiques. Aussi, pour savoir pourquoi le corps est en bonne ou mauvaise santé, ce n’est pas seulement le corps qu’il faut comprendre mais aussi les forces invisibles qui le traversent, ce champ invisible que Max Planck a appelé la matrice. Étonnant, non ? C’est comme si, en définitive, la science n’avait rien fait d’autre, depuis quelques décennies, que d’introduire, réintroduire, enfin ! … un concept spirituel, celui des forces invisibles, dans le monde physique.

Non moins étonnant est le rapport que l’on peut établir entre la danse et la physique quantique. Participant, encore débutante, à mes premiers stages avec Malkovsky, je ne comprenais pas pourquoi il répétait sans cesse que ce que nous faisions avec lui (nos gestes, nos mouvements, nos pensées, nos émotions) influençait positivement les milliards de cellules de notre corps. Je ne comprenais pas à cette époque la relation qu’il pouvait y avoir entre le fait de faire rebondir une balle ou de la lancer en l’air, de tourner sur soi en dessinant des spirales, de tracer des courbes et des ellipses dans l’espace et les milliards de cellules qui constituent mon corps. Malkovsky avait, lui, saisi le rôle de la pensée, des émotions et de l’environnement sur l’être humain. Même si les probabilités qu’il ait connu la physique quantique à cette époque sont faibles, il devait savoir intuitivement que tous ces jeux servant de base au vocabulaire d’une danse, qu’il voulait libérée des codes de la danse classique permettent justement de se connecter à toutes les forces invisibles qui circulent dans la matrice, créent et animent les formes du vivant afin qu’elles puissent à nouveau influencer positivement nos cellules.

Par ailleurs, ce n’est sans doute pas un hasard si les cellules du corps ont une forme circulaire et l’ADN une forme de double hélice. Ainsi, lorsqu’en dansant on dessine ces figures, elles génèrent ce que l’on appelle des ondes de forme et il se produit un phénomène de résonance entre les formes identiques présentes dans le corps (microcosme) et celles de l’univers (macrocosme). Une telle résonance met alors les deux univers en cohérence et harmonise toutes les composantes du microcosme qu’est le corps avec le macrocosme. C’est en effet en se reliant de cette façon aux forces qui structurent et animent le vivant que l’être humain se met sous les influences les plus positives, donc bénéfiques pour lui. Agissant comme un baume apaisant, elles contrebalancent en lui les influences négatives que le subconscient et l’environnement familial ou sociétal sont susceptibles d’exercer. On peut noter que plus il y a de danseurs qui dansent ensemble, plus le ressenti est fort pour chacun car toutes les énergies micro-vibratoires créent une synergie, en l’occurrence ici un champ positif.

Le biologiste français Etienne Guillé rappelle lui aussi qu’il existe une catégorie d’ADN qui n’est ni l’ADN structurel servant à créer les cellules des différents éléments du corps ni celui qui sert à les faire fonctionner. Pour la plupart des scientifiques, cet ADN est une énigme et ils ne savent pas à quoi il sert mais Etienne Guillé pense qu’il donne une ouverture prodigieuse vers les différentes facettes du champ des forces cosmiques, source inépuisable de forces vives. Il affirme que, lorsque le contact s’établit avec le champ, on observe un véritable retournement du mode de fonctionnement de l’être humain. Il décrit les séquences de cet ADN comme participant alors à un ballet (oui !…).

L’être humain a donc le choix : soit vivre dans l’inconscience, c’est-à-dire (subir) sous la double influence de son subconscient et de son environnement immédiat (lesquels, rappelons-le, souvent responsables de malaises et de stress) et risquer de se maintenir sous des influences perturbantes et nocives susceptibles d’endommager les autres ADN et d’engendrer des maladies, soit entrer en contact avec la matrice, ce champ constitué par les forces invisibles qui modèlent l’univers, et laisser constamment la vie entrer en lui.

La danse Malkovsvsky mérite d’être essayée car elle donne l’opportunité à la fois de reprogrammer son subconscient en agissant sur l’interface qu’est le corps et de se connecter au champ des forces cosmiques, inépuisable source de vie.

Anne-Marie Bruyant
Professeur de Danse Libre, Mezy-sur-Seine, France
www.danse-libre.com

Anne-Marie Bruyant est l’auteure du livre «  La danse libre, sur les traces d’Isadora Duncan et François Malkovsky« , éd. Ch. Rolland

Publié dans:ADN |on 12 mai, 2015 |Pas de commentaires »
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