Archive pour septembre, 2015

Reste-t-il un domaine de la vie qui ne soit pas bouleversé par Internet

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Reste-t-il un domaine de la vie qui ne soit pas bouleversé par Internet dans CO-CREATION 220px-Personal_computer%2C_exploded_4.svgDes relations amoureuses jusqu’au Trading de la haute finance en passant par le commerce ou les divertissements… globalement, même si toute cette « nouveauté » induit parfois quelques errances, tout le monde semble d’accord pour dire qu’Internet représente un (grand) progrès pour l’humanité. Qui souhaiterait revenir en arrière ? Internet a même été proposé comme lauréat du prix Nobel de la Paix par certaines personnes.

Pourtant, si l’on n’y prend garde, il se pourrait qu’un jour prochain cela change et que l’on en vienne à regretter cette époque insouciante. D’outil de liberté, Internet pourrait alors se transformer en un outil de répression, de propagande, de contrôle des opinions et des pensées d’autant plus pernicieux qu’il s’est infiltré dans tous les domaines de notre vie et qu’il serait quasi impossible de lui échapper.

Les frasques des pirates informatiques qui défraient maintenant régulièrement la chronique et qui auraient pu être considérées autrefois comme de la science-fiction tant elles sont spectaculaires et parfois rocambolesques ne sont que la face visible de l’iceberg. En coulisses, Internet est devenu un enjeu majeur pour les politiciens, les multinationales, les militaires (et pour les trafiquants de drogue ou les révolutionnaires) et même s’il tend parfois à l’oublier, pour le citoyen ordinaire qui peut parfois être pris en otage.

Internet ne sert pas qu’à jouer, faire ses courses et partager de la musique, loin de là.

Il se réinvente tous les jours….

Quand quelqu’un choisit d’utiliser Facebook pour échanger avec ses amis parce que ce service de réseautage en ligne est gratuit et à la mode contrairement à un autre logiciel, c’est tout, sauf un choix anodin. Cachées derrière la légèreté, voire la frivolité des échanges, des luttes titanesques se jouent pourtant à cause des volumes de données en jeu qui pourraient à terme avoir des conséquences beaucoup plus pénibles qu’il n’y paraît au premier abord ; Pourquoi ?

Parce que Facebook est un outil centralisé, et donc facile à contrôler, facile à censurer. C’est pareil avec Twitter, qui vient d’ailleurs récemment de se doter officiellement d’outils de censure à l’attention des gouvernements, très demandeurs ; et cette centralisation n’a rien d’une obligation technique. C’est un choix, commercial en l’occurrence, qui permet de garder ses « clients » captifs.

Si l’outil en question est centralisé, la tentation de contrôler de manière arbitraire deviendra forcément effective un jour ou l’autre. Et c’est cet arbitraire qu’il faut combattre qu’il a toujours fallu combattre. Les  textes de loi ont été inventés pour combattre l’arbitraire de la décision d’un roi ou d’un seigneur. La démocratie a aussi été inventée pour combattre l’arbitraire grâce aux élections et à la séparation des pouvoirs. Car qui dit arbitraire dit lutte de pouvoir, injustice et violence.

Internat a été construit à l’inverse, grâce à la collaboration, au partage et au dialogue. Son architecture technique le reflète. La gratuité, qui est pour certains le symbole du partage et de la coopération, est pour d’autres un simple appât. Et on sait ce qu’il advient du poisson une fois qu’il a été ferré.

Quels sont les enjeux cachés ?

Qui sont les acteurs et quels sont leurs intérêts ?

Comment tout cela a-t-il commencé et pourquoi en sommes-nous arrivés là ?

Que pouvons-nous faire ?

Pour répondre à ces questions, il faut connaître un peu son Histoire….

ordinateur web

La machine d’Anticythère

C’est en 1946 que provient le terme « bug » aujourd’hui francisé sous l’appellation bogue, qui désigne un problème informatique. Un insecte (de l’anglais bug) s’était donc introduit dans un tube à vide par inadvertance et avait causé le premier dysfonctionnement informatique célèbre. Aujourd’hui, les insectes ne peuvent plus s’introduire dans un microprocesseur, mais le terme est resté.

A peine vingt ans après sa naissance en 1991, le Web est devenu indispensable tant pour les entreprises que pour les particuliers. Sa croissance est exponentielle en termes d’usagers, d’usages et d’appareils connectés. De plus en plus de personnes sont connectées, mais pour des questions d’inégalités économique son peut estimer que d’ici peu de temps le nombre de ces personnes ne croîtra plus aussi vite. Internet s’est diffusé rapidement parmi les classes moyennes, mais ne se répandra sans doute pas aussi vitre chez les individus plus pauvres.

Toutefois, les usages se multiplient, notamment dans les services commerciaux. Les marchands ont vite compris le potentiel d’Internet et se le sont quasiment entièrement accaparé. D’autant que les services de livraison sont très efficaces de nos jours. Au départ, Internet était gratuit et coopératif, non pas concurrentiel et commercial. Mais l’arrivée massive des utilisateurs et des marchands a permis un développement de plus en plus rapide du réseau. Sans eux, Internet serait probablement encore réservé à une élite. C’est donc ce côté commercial, que l’on peut déplorer d’une part, qui a permis la démocratisation du Net d’autre part, et donc aussi la multiplication des échanges gratuits.

Aujourd’hui, nous en sommes au débat sur la fracture numérique, car ceux qui ne sont pas connectés sont de plus en plus pénalisés socialement et professionnellement. Les prochains acteurs sur le net ne seront sans doute même pas humains.

On parle déjà d’un Internet des objets. Les enjeux liés à Internet sont de plus en plus importants et les batailles, virulentes, au point de parler d’un changement d’époque que l’on pourrait dater l’âge du virus Stixnet, qui sera peut-être retenu par les historiens tant elle est lourde de conséquences….

Internet risque d’être dénaturé par les batailles dont il est l’enjeu, ce qui serait potentiellement catastrophique si les politiciens parvenaient à leur fin et s’en emparaient.

L’ENSEIGNEMENT ENLIGNE se développe aussi énormément : c’est une vraie révolution en soi : imaginez un Africain ou un Indien diplômé du MIT alors qu’il n’aurait même pas les moyens de se payer un billet d’avion pour aller une seule fois aux Etats-Unis. Ce qui augure d’une véritable révolution de l’enseignement et peut-être même de la disparition à terme des campus. Après tout, Internet offre des possibilités bien plus riches et moins coûteuses qu’un tableau noir et de la craie en matière de transmission du savoir.

De manière plus ou moins visible, plus ou moins subtile, Internet prend de plus en plus de place dans nos vies !

Ecrit par John Oreil dans son livre : La Face cachée du Web

Publié dans:CO-CREATION, ELEMENTS, ENERGIES, HOLONS, HUMANITE |on 29 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’ancienne lumière solaire est sur le point de s’éteindre

 

tache-solaireLorsque suffisamment de personnes modifient leur façon de voir les choses, les solutions deviennent alors évidentes et se manifestent fréquemment selon des voies que l’on n’aurait même pas imaginées avant de changer de perception. Nous avons détruit une bonne partie de notre  monde à cause de notre culture ; nous pouvons en préserver l’essentiel en transformant notre culture. Néanmoins, c’est par la compréhension des choses et de leur fonctionnement que nous découvrons les outils mis à notre disposition dans notre environnement essentiellement dans notre façon de vivre et de concevoir le monde -, outils positifs et indispensables pour effectuer les transformations nécessaires. Ainsi, dans ce contexte, même les « mauvaises nouvelles » sont, en réalité, de bonnes nouvelles. 

Au sens littéral du terme, nous sommes tous véritablement constitués de lumière solaire. La chaleur radiante du soleil, la lumière visible et les rayons ultraviolets représentent l’origine de  quasiment toute forme de vie sur terre. Tout ce qui vit autour de nous n’existe que pour une seule raison quelque part, un jour, une plante fut capable de capter la lumière du soleil et de la stocker.

Tous les animaux vivent de ces plantes, soit directement (les herbivores), soit indirectement (les carnivores qui dévorent les herbivores). Ce phénomène s’applique aux mammifères, aux insectes, aux oiseaux, aux amphibiens, aux reptiles, aux bactéries… à toute créature vivante. Chaque forme de vie, à la surface de notre planète, existe grâce à une plante qui fut, un jour, capable de capter la lumière du soleil et de l’emmagasiner. Puis, une entité ingéra cette plante et son énergie solaire, transmettant ainsi cette puissance à son propre organisme’.

De cette façon, l’abondance ou la pénurie de nos réserves alimentaires fut, jusqu’à ces derniers siècles, largement déterminée par la quantité de lumière solaire qui baigna notre sol. Et il en est exactement de même en ce qui concerne les formes de vie non humaines de notre planète. En effet, vous pouvez constater que de nombreuses zones autour de l’équateur, abondamment baignées par la lumière du soleil, bénéficient d’une profusion de vie végétale et animale, alors que, dans les régions polaires relativement privées de soleil, les créatures vivantes sont beaucoup moins nombreuses et leur diversité, bien moindre.

Nous utilisions les peaux d’animaux et les arbres (qui avaient consommé la lumière solaire au cours des années précédentes de leur existence) pour fabriquer notre habillement et construire nos abris. Tous ces éléments étaient le fruit de la lumière solaire du moment.

Nos ancêtres, désormais en mesure d’utiliser la lumière solaire stockée par les végétaux il y a des millions d’années, se mirent, pour la première fois, à consommer plus de nourriture et de chaleur que ne pouvait en fournir la lumière solaire « actuelle » qui inondait alors quotidiennement la planète. Et la population humaine dépassa le seuil que la Terre aurait pu supporter, si les humains s’étaient contentés de recourir à la lumière solaire « actuelle » comme unique source d’énergie et de nourriture.

En d’autres termes, si les ressources en charbon de nos ancêtres s’étaient épuisées, ces individus se seraient trouvés confrontés à un choix terrible : abandonner les zones cultivables (avec les risques de famine que cette option comportait) pour reconstituer les zones forestières afin de pouvoir se chauffer, ou disposer de suffisamment de nourriture mais endurer les froidures hivernales. (Bien entendu, ils auraient pu, également, abandonner les régions froides et s’entasser plus près de l’équateur. Mais les migrations historiques s’en éloignèrent toujours, tendance encouragée par la constante disponibilité de combustible pour le chauffage.)

Nous constatons le même phénomène aujourd’hui : la disponibilité d’un combustible conduit les populations à dépendre entièrement de lui et à en souffrir s’il vient à faire défaut. En mettant à profit cette ancienne lumière solaire emprisonnée dans le carbone pour répondre à leurs besoins en chauffage et en énergie, ce qui permettait ainsi le remplacement des animaux de trait par des tracteurs, nos ancêtres augmentèrent considérablement leur production de nourriture. En effet, les animaux de trait, tels les chevaux et les boeufs, se nourrissaient de lumière solaire « actuelle » : l’herbe qu’ils ingéraient chaque jour et qui poussait grâce à la lumière solaire quotidienne. Et c’est la raison pour laquelle leur productivité était limitée – ne pouvant convertir en énergie plus que ce qu’ils assimilaient en une journée – comparativement à un tracteur fonctionnant au pétrole et pouvant transformer en un jour autant de lumière solaire qu’en consommeraient des centaines de chevaux.

Extrait du Livre : Les dernière heures du Soleil ancestral de Thom Hartman – aux Editions Ariane

Publié dans:ASTROLOGIE, LUMIERE, NATURE |on 29 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Même les animaux ont leur interprète

 

images (1)Ne croyez pas que cet outil soit réservé à une élite. Il n’en est rien ! Il est à la portée de tous.

Souvenez-vous cette fois où, sans décrocher le téléphone, vous saviez qui vous appelait. Et cette fois encore, où un « pressentiment » vous a poussé à rentrer chez vous … pour y trouver votre chien malade. Là, vous avez suivi votre intuition « instinctivement » et vous déteniez l’information juste.

La communication animale vous permet d’interroger vos animaux consciemment et volontairement. Toutes les questions sont les bienvenues tant pour votre tranquillité d’esprit que pour le confort et la santé de votre compagnon. Vous pouvez lui poser des questions très pratiques sur sa santé et son bien-être mental et physique, le travail que vous lui proposez, son lieu de vie, ses compagnons, ses envies, etc. En leur donnant la parole, bien des situations se résolvent sans aide extérieure. Par exemple, votre animal déprime. Demandez-lui pourquoi au lieu de le gaver de médicaments !

Voici quelques suggestions de questions :

 - Comment puis-je améliorer ta vie ?

 - Qu’est-ce qui te rend triste/heureux ?

 - Que penses-tu de telle personne/chose/situation ?

 - Que ressens-tu quand ….

 - Souffres-tu ? Quel genre de douleurs ressens-tu ? Comment se manifestent-t-elle ?

 - Si vous envisagez une euthanasie : Es-tu prêt à mourir ? Qu’as-tu à me dire ?

Vous pouvez aussi lui délivrer des messages, notamment, lors de grands changements de vie afin de lui éviter un maximum de stress : – Je dois être hospitalisé, tu iras chez ….

- J’ai l’intention de te castrer parce que …..

 - Nous allons déménager …

 Et surtout : – Je t’aime, merci de vivre avec moi.

Tous ces échanges permettent de polir le diamant de la relation. La domination disparaît, une nouvelle compréhension d’égal à égal s’installe, basée sur la connaissance précise des besoins et des attentes de l’animal. Ainsi s’établit une relation de cœur à cœur, solide et harmonieuse qui améliore sa vie et la vôtre.

Partez à la découverte du bonheur de votre animal, … c’est vous qui le serez plus encore !

Car les animaux sont nos meilleurs ambassadeurs pour « créer des liens », nous rapprocher les uns des autres et souvent de nous-mêmes.

… Communiquer avec les animaux, … ça change toute la vie !!!

Consultez le blog : https://communiqueraveclesanimaux.wordpress.com/stages/

Publié dans:ANIMAUX |on 27 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Paroles de paix dans un monde dévasté

thay_duncan_berryDans le séisme provoqué par les attaques terroristes à Paris début janvier 2015, comment pouvons-nous envisager la paix ? Pensées de sagesse du grand maître activiste de paix Thich Nhat Hanh.

 « La noirceur ne peut chasser la noirceur. La lumière peut le faire. La haine ne peut chasser la haine. L’amour peut le faire », avait proclamé Martin Luther King. Mercredi 7 Janvier 2015, douze innocents sont tués à la kalachnikov en plein Paris. Parmi eux, des dessinateurs connus qui n’avaient que leur crayon à papier pour arme, et qui ont illustré notre quotidien avec intelligence et irrévérence. D’autres, moins connus, seront assassinés tout aussi sauvagement le surlendemain. Au moment où la Terre entière subit ce séisme provoqué par le geste désespéré de quelques désaxés qui se prétendent être des fidèles de Dieu, nous souhaiterions partager avec vous des réflexions échangées en mai 2014 avec Thich Nhat Hanh. Ce moine bouddhiste vietnamien, activiste de paix, avait été très proche en son temps de Martin Luther King qui l’avait proposé comme Prix Nobel de la Paix avant son assassinat à Memphis le 4 avril 1968. Aujourd’hui, en guise de paix, laissons la place à des paroles de paix. 

Une synchronicité ou coïncidence a-t-elle marqué votre vie ? 
T. N. H. :
 Quand j’ai rencontré Martin Luther King en 1966, nous avons longuement discuté de l’énergie de la communauté. J’utilisais le terme de « sangha » et lui de « beloved community » – chère communauté – ; il avait conscience que sans celle-ci il n’aurait pu réaliser son rêve de paix. Malheureusement, il fut assassiné trois mois après notre dernière rencontre. J’étais à New York ; j’en ai été malade, très en colère. Comment avait-il pu être tué sur son propre sol ? Il n’était plus là, et je devais donc aussi œuvrer pour lui, avec l’appui de gens de paix. Car si vous avez un rêve, il convient de le rendre réel en communauté : une personne seule, aussi talentueuse qu’elle soit, s’épuise tôt ou tard. C’était il y a plus de 40 ans, et de nos jours nous avons des milliers de sanghas de par le monde…

Vous insistez que parler de paix aux puissants ne suffit pas ? 
T. N. H. :
 Les négociations pour la paix devraient être conduites autrement, en utilisant moins le mental, dans une atmosphère de paix, et en invitant des personnes qui ont la capacité de comprendre, d’avoir une vision profonde. De la même façon, dans nos familles la paix doit être un but et un moyen. S‘il y a de la joie, de la paix et de la compréhension, un changement peut se produire, et le moyen – la paix – devient le but. Pratiquer pour que ce moyen devienne le but est quelque chose que nous travaillons tous les étés avec des milliers de familles (ndlr : qui sont accueillies pendant 2 mois tous les étés pour recevoir l’enseignement du maître et participer à la vie de la communauté du village des Pruniers en Dordogne) , car la pleine conscience se joue au delà du mental ; par la pratique, elle imprègne nos cellules. D’ailleurs, dans chaque famille il devrait y avoir une pièce de méditation, un endroit où l’on pourrait inviter la cloche à sonner et respirer. 

Vous organisez des retraites, mais pour beaucoup l’idée de se retirer, ne serait-ce qu’une semaine, n’est pas évidente. 
T. N. H. :
 La pratique nécessite à la fois un retour sur soi, et un soutien. Etre entouré de frères et de sœurs, mais aussi d’un enseignant, permet la concentration. Au village, nous pouvons exercer la vision profonde, la pleine conscience, mais aussi nourrir notre joie, entourés de gens qui suivent cette même intention. On peut bien sûr acheter des livres sur la méditation, mais cela n’a rien à voir avec les partages au sein d’une communauté de pratique. Durant les retraites, la pratique se fonde sur les 5 entraînements à la pleine conscience qui portent autant sur la consommation (nourriture, télévision, livres, eau…) que sur des moyens d’existence justes ou sur la pratique de la parole aimante et de l’écoute profonde. Quand 700 personnes pratiquent en pleine conscience ces entraînements, la transformation est profonde. Elle agit beaucoup plus vite que si on reste seul à méditer chez soi. La qualité de l’énergie est primordiale. On est comme une goutte d’eau qui se permettrait d’être transportée par la rivière toute entière. 

Certaines personnes ont la croyance que seule leur propre pratique religieuse ou spirituelle est valable ; qu’en pensez vous ? 
T. N. H. :
 Nous avons tous une idée du bonheur ou de la spiritualité. Nous avons tous aussi une idée du Bouddha, du bouddhisme, ou du royaume de Dieu. Ce sont des obstacles ! C’est en se libérant de ces notions que nous acquérons la liberté d’expérimenter. Or, la liberté est la condition de base du bonheur. Ici, nous vivons entre frères et sœurs, en fraternité. Chacun est différent. Mais comme pour les doigts de la main où le petit doigt n’est pas moins important que le reste des doigts, nous apprenons à vivre ensemble avec l’intention commune de pratiquer la pleine conscience, la joie et la paix. Les personnes extérieures qui viennent pratiquer au centre peuvent bénéficier de cette énergie commune. C’est ainsi que toutes les intentions de changement devraient se matérialiser : en communauté de pratique, ou « sangha », car elle permet une vision profonde de l’action ainsi que les moyens de la nourrir. Moi-même je ne prends pas de décision, c’est sur l’énergie de la sangha que je m’appuie. 

Quand la guerre du Vietnam à débuté, vous ne pouviez pas vous contenter de réciter des sûtras ; vous avez créé des associations, des écoles, et contribué à la naissance d’un bouddhisme engagé. Face à la mondialisation de la violence, comment intégrer la méditation dans l’action ? 
T. N. H. :
 Le problème est que nos conceptions du bonheur vont souvent à l’encontre de la préservation de la planète : déjà, le réchauffement planétaire, auquel nous contribuons, est une violence. De plus en plus de gens pensent qu’ils ont le droit de consommer. De la Chine à l’Inde, les gens souhaitent consommer de plus en plus de viande et d’alcool ; or on sait bien que l’industrie de l’alcool et de la viande a contribué à diminuer de façon drastique les terres autrefois cultivées pour nourrir les humains. Des études scientifiques démontrent que si nous réduisions de 50 % notre consommation d’alcool et de viande, nous pourrions sauver des milliers de vie. Qu’attendons nous ? Il n’est pas suffisant de parler de l’environnement ; des mesures concrètes doivent être prises jour après jour. Chacune de nos actions peut faire des dégâts inestimables, mais tout acte réalisé en pleine conscience, qu’il vise la paix dans nos foyers ou l’équilibre planétaire, est une graine en germe qui possède des répercussions inestimables. Nous transmettons nos pensées, nos paroles, nos actions – c’est à dire notre karma – à nos enfants et au monde entier. C’est là que réside notre avenir. 

Selon une étude effectuée par l’International Peace Project in the Middle East (« Projet international de paix au Moyen-Orient ») en 1988, des personnes formées à la méditation furent priées d’établir l’énergie de leur pleine conscience pour réduire les opérations militaires entre le Liban et Israël. Les résultats furent très encourageants : les attentats diminuèrent considérablement, et les scientifiques purent démontrer qu’un seul méditant peut influencer dix mille habitants. 


T. N. H. :
 La prise de conscience seule ne suffit pas, car elle peut disparaître d’un moment à l’autre. Mais si nous pratiquons régulièrement la méditation en communauté de pratique, la vision profonde devient vivante et notre manière de penser, téléchargement (1)d’agir, de ressentir, se transforme. Un éveil collectif est possible ! Votre exemple le montre.

L’Art de communiquer en pleine conscience, Thich Nhat Hanh
Le Courrier du Livre (Novembre 2014 ; 151 pages) 

Prendre soin de l’enfant intérieur, Thich Nhat Hanh
Belfond (Février 2014 ; 200 pages) 

 

 téléchargement (2)

Publié dans:HUMANITE, TOLERANCE |on 27 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le processus de transition vers la Lumière est progressif

guidance

La Terre subit depuis quelques années une modification qualitative et quantitative de son champ magnétique. Son taux vibratoire augmente et, parce qu’elle est un système vivant d’énergie en mouvement, tous ceux qui vivent à l’intérieur de son champ magnétique expérimentent cette augmentation fréquentielle, avec plus ou moins de conscience.

Le processus de transition vers la Lumière est progressif. Nous ne sommes pas matière un jour et pure Lumière le lendemain. Nos champs énergétiques sont baignés de Lumière et réalignés progressivement. La création du Corps de Lumière (Merkabah) est due au processus naturel de transition de la Terre et n’est pas une expérience ou un processus facultatif. Le Corps de Lumière se crée graduellement par la transmutation de notre corps physique qui se transforme et absorbe davantage de Lumière. Ceci est directement lié au réalignement de nos champs énergétiques sur les fréquences et octaves les plus élevés de la Lumière. Chacun évolue et absorbe la Lumière à son rythme. Certains travaillent consciemment avec ces changements et accélèrent leur transformation tandis que d’autres, qui n’ont pas conscience qu’ils absorbent cette lumière, présentent des changements en liaison avec celui de la planète.

PROCESSUS D’ASCENSION

 Au début, d’importants changements se produisent dans le cerveau ainsi que dans les échanges chimiques et électromagnétiques des corps subtils. Le corps mental commence à s’aligner sur l’Esprit, les rêves s’éclaircissent de plus en plus. Les processus de pensée ne sont plus linéaires, l’Etre oscille entre la Connaissance et le doute. A la suite de cela, nous attirons des Etres de même essence que nous afin de nous soutenir mutuellement et de stimuler notre croissance. Nous nous posons de vraies questions. Notre processus mental et notre manière de nous identifier aux autres et à nous-même changent rapidement. Cette ré-évaluation peut être inconfortable mais nous sentons qu’elle doit être opérée. Nous observons nos relations, travail, environnement, style de vie et constatons que des changements s’imposent. C’est le moment de lâcher prise et d’aller de l’avant. Nous changeons bien souvent d’amis. Tout semble en état de changement continuel mais nous nous sentons plus légers, plus vastes et plus libres, d’une certaine façon. Nous découvrons nos sens intérieurs. La clairvoyance, la clair-audience, le clair-senti nous semblent peu à peu naturels.

Ensuite, le chakra du cœur s’ouvre davantage. Nous nous libérons de nos blocages, de nos vieux schémas et d nos bagages émotionnels. Nous nous sentons plus alignés avec chaque moment, plus présents. L’Etre s’exprime en profondeur et honore ses sentiments. Il n’y a plus de place pour le reniement, pour la négation de nous-mêmes, à aucun niveau. Nous commençons à perdre notre attachement émotionnel aux autres.

A ce moment-là, la peur disparaît car les champs énergétiques de tous les corps sont réalignés à partir du cœur. Lorsque la glande pinéale est totalement ouverte, nous connaissons une expérience multidimensionnelle et, pourtant, la dualité semble augmenter à mesure que nous la quittons. Certains jours, nous nous sentons connectés et joyeux ; d’autres, nous sommes comme terrassés par la peur et empêtrés dans des problèmes de survie. Les énergies en provenance de la Source – neutres par nature – amplifient en effet toutes nos parts en même temps, lumière sombre comme lumière divine. Nos ombres ont alors à être pleinement accueillies et transmutées.

Puis nous voyons le Maitre en nous et souhaitons, d’une manière pure, nous placer au service. Nous abandonnons notre fonctionnement en « mode de sauvetage » en faveur du désir de servir la Volonté Divine. Les glandes pinéales et pituitaire changent de forme. Nous commençons à être branchés sur le secteur des langages de Lumière. Les glandes pituitaires et pinéales s’ouvrent complètement et travaillent ensemble à créer « l’Arc de l’Alliance », un arc en ciel lumineux qui se courbe depuis le sommet de la tête jusqu’au troisième oeil et qui sert de décodeur au langage des dimensions supérieures.

De nouveau, nous devenons plus conscients de l’immensité et de l’aspect multidimensionnel de notre nature, du fait que nous pouvons être tout ce que nous voulons. Nous arrêtons d’agir par obligation. Nous prononçons des paroles qui viennent de notre cœur, de notre âme. Nous agissons depuis un niveau de sérénité profond avec une sensibilité élevée et une conscience qui s’est déjà établie et transformée.

Notre corps physique change de forme car les champs énergétiques bougent. Nous nous sentons intimement reliés partout à tous les êtres et moins connectés avec les opinions des autres. nous relâchons le désir et l’énergie de soutenir le jeu de la séparation et de la limitation et nous nous sentons véritablement libres. On observe alors une descente massive du Corps de Lumière dans le corps physique. Nous commençons à nous en remettre à l’Esprit et à devenir véritablement instruments du Divin.

C’est la dissolution de l’ego. Faire ce dernier bond peut être effrayant, même si nous avons cheminé des siècles et des siècles pour atteindre ce point. On peut avancer et reculer, en se cramponnant à nos anciennes zones de confort avant de lâcher complètement. Aucune marche arrière n’est cependant possible et tout doit être libéré. Nous réalisons que tout en étant réel, le libre-arbitre est aussi une illusion dont le seul but est en définitive de nous permettre de ne faire qu’Un avec l’Esprit. Les peurs liées à la survie disparaissent, dissoutes dans l’Ici et Maintenant.

A partir de maintenant, la Lumière intérieure irradie considérablement. Nous nous sentons intensément enracinés, connectés, centrés utiles et désirant uniquement servir. Ainsi continuellement reliés nous agissons guidés par notre Présence divine. Notre intention – somme de notre volonté, de notre conscience et de notre intensité – vis toujours ce qu’il y a de plus élevé.

Nous ne faisons qu’un avec la Source de la Conscience et nous savons que tout est possible. Notre ADN ne se compose plus seulement de 2 brins mais de 12. Notre Merkabah est construit et nous permet de traverser l’espace, le temps et les dimensions, dans notre entièreté. Il a sa propre conscience et nous la dirigeons.

Tous les niveaux du Corps de Lumière ont été construits, activés et sont reliés à notre corps physique par des « points rotatifs ». Ces matrices lumineuses s’alignent le long des méridiens physiques d’acupuncture et forment des lignes de lumière s’entrecroisant dans des figures géométriques. C’est un nouveau système de circulation de lumière dans la 5ème dimension. La régénération cellulaire est accomplie. Notre temps n’est plus linéaire mais simultané. Passé, présent et futur coexistent e parallèle.

C’est la continuation de la Création et de l’implantation du Système du Nouveau Monde, en association avec d’autres initiés donnant vie à de nouveaux gouvernements, un nouveau système financier, un nouveau système d’éducation, une meilleure répartition de la nourriture et des ressources, etc…

Lors de l’étape finale, le paramètrage de la planète est redéfini afin que tout existe dans la joie, l’égalité et l’harmonie. La Terre entre dans la Lumière, sort de cette dimension et est élevée dans un système à plusieurs soleils où chaque Etre possède un Corps de Lumière et suit l’Esprit en totale maîtrise. Toutes les réalités parallèle sont redessinées et réabsorbées par l’Esprit. Chacun a aligné sa volonté sur le Divin. L’Ascension est accomplie.

Par  Grégory Mutombo -  

Site à consulter : http://www.lasymphoniedesames.com/gregory_mutombo.html

NDE : Réflexions avec Patrice van Eersel

 

Après avoir rencontré tous les pionniers de la recherche sur les NDE depuis une trentaine d’années, Patrice van Eersel a proposé quelques pistes de réflexion autour des expériences de mort imminente lors de la grande conférence INREES du 27 Novembre 2008.

NDE

Si la thématique de la mort est présente dans toutes les cultures depuis des siècles, comme dans le livre tibétain de la mort, ou dans les différents récits religieux, elle reste encore un sujet complexe et tabou pour notre société. Malgré cela, l’expérience de mort imminente est aujourd’hui en train de devenir un phénomène de masse reconnu à travers le monde notamment grâce aux progrès médicaux et en réanimation, un endroit clé des rencontres aux frontières de la mort. c’est sous cet angle que Patrice van Eersel a engagé la conférence : « Ce qui est complètement nouveau, c’est que les NDE se démocratisent parce que les techniques médicales se sont perfectionnés. Un simple accident peut nous amener dans une unité de soin intensif, et c’est dans ce temple des sociétés modernes que ressuscitent des milliers de personnes dont certaines ont vécu ces expériences »

Le film documentaire Aux frontières de la mort projeté avant la conférence nous apprenait ainsi à travers le témoignage d’Evelyn Elsaesser-Valarino, spécialiste du phénomène et membre d’honneur de l’INREES, qu’environ 20% des personnes proches de la mort traversaient une NDE selon une étude publiée aux Etats-Unis. Une statistique confirmée par les recherches de Pim van Lommel, qui après avoir mobiliser une dizaine d’hôpitaux sur une période donnée et comptabilisée toutes les personnes qui y avaient eu un arrêt cardiaque – soit 344 Personnes – a constaté que près de 18% avaient vécu une expérience de mort imminente. Une étude que n’a pas manqué de relayer Patrice van Eersel durant la conférence. « c’est très intéressant, et c’est d’un point de vue scientifique une des études les plus forte qui existe »

Le journaliste et écrivain nous rapportait également quelques anecdotes intéressantes sur le brusque changement de vie des expérienceurs après leurs NDE. « Ils reviennent souvent avec un besoin artistique, comme Oliver Sacks. c’est très frappant. Ce neurochirurgien a été pris d’une folie musicale alors qu’il ne savait pas une note de musique auparavant. » Une évolution qui peut également se traduire sous forme de cheminement spirituel, comme le décrivait l’un des expérienceurs interviewés dans le documentaire : « Actuellement j’ai trouvé un équilibre dans une vie de célibataire car le fait d’avoir eu cet expérience a eu beaucoup d’influence sur ma vie de couple, mais également sur ma vie professionnelle. j’ai une formation technique de monteur en tableau électrique. c’est un métier qui est très cartésien, et j’ai eu beaucoup de mal à intégrer cette expérience qui nous amène vers une nouvelle vision sociale, humaine et spirituelle. » 

Après avoir repris les différentes étapes d’une expérience de mort imminente – le sentiment de calme et de paix, la dé-corporation, le tunnel, le contact avec d’autres entités, le panorama de la vie, la frontière et le retour – Patrice van Eersel revenait sur une autre caractéristique frappante présentes dans les différents témoignages : cette difficulté à décrire ces expériences. « Il n’y a pas de mot. c’est ce que disent beaucoup d’expérienceurs. Ces personnes disent que la lumière était beaucoup plus fort que le Soleil, mais que ça n’éblouissait pas. qu’à côté, même le plus bel orgasme de votre vie n’est rien, ou bien que tout allait très vite, mais que c’était complètement en même temps immobile… » Voilà quelques-unes des observations qui révèlent la complexité métaphysique de cette expérience et qui montrent l’obligation d’humilité dont doit faire preuve un professionnel de santé dans l’écoute de ces témoignages. 

Et c’est justement sur ce thème qu’a continué Patrice van Eersel, revenant sur le rôle des infirmières, qui ont aidé au fil de l’histoire les personnes en fin de vie et qui ont été les premières à relever certains témoignages. Raymond Moody, précurseur de l’étude des NDE, avait d’ailleurs découvert de la bouche même d’Elisabeth Kübler-Ross que ces expériences n’étaient inconnu des soignants travaillant avec des personnes en fin de vie. « c’est à ce moment là une grande actrice de l’Acte I qui passe le relais à un jeune acteur de l’Acte II » souligne avec sourire Patrice van Eersel, profitant également de cette soirée pour saluer les travaux de l’INREES évoquant notamment le Manuel de description clinique. Le texte fondateur de l’INREES qui sera un ouvrage collectif regroupant et présentant par catégorie la totalité des expériences extraordinaires répertoriées à ce jour, ainsi que les suggestions d’approches thérapeutiques et d’écoute à paraître en 2009.

La Source noire, Patrice van EerselVan assel
LGF – Livre de Poche (Juin 1987 ; 445 pages)
 

Aux frontières de la mort 
Réalisé par Patrice van Eers
 & Denise Gilliand
AV3 DISTRI (Novembre 2007)
 

Multidimensionalité et autisme

 

multidimensionNous avons déjà dit plusieurs fois qu’en évoluant du fait des événements en cours, l’une des choses les plus importantes qui vous arrivera sera une nouvelle compréhension de la multidimensionalité. Vous devenez des êtres multidimensionnels, et certains des désordres que les humains ont catalogués seront mieux compris. L’un d’eux, en particulier, est l’autisme. Nous définissons l’autisme comme le problème d’une personne multidimensionnelle qui vit avec les pieds dans deux mondes différents. La plupart du temps, l’enfant autiste ne peut pas retrouver le chemin du monde dans lequel vous savez qu’il est autiste. En fait, il se peut qu’il existe davantage dans l’autre monde que dans celui que vous appelez votre vie quotidienne. Cela peut être une expérience très frustrante pour son âme. Elle peut pourtant en tirer de grands bienfaits. Ainsi, quoi que l’autisme ne soit pas une maladie ou quelque chose d’anormal, vous pouvez en apprendre beaucoup de sa beauté, et le fait d’apprendre la multidimensionalité est un immense cadeau.

Le plus grand défi auquel doit faire face une personne faisant l’expérience de l’autisme est la frustration et finalement la colère qu’elle ressent. Les autistes reçoivent tellement d’informations qu’ils ne peuvent pas les interpréter en totalité. Ceux qui ne sont pas autistes possèdent des filtres qui leur permettent de ne voir et de ne vivre que les informations et les vibrations de leur réalité. Ces filtres ont été enlevés aux autistes, qui ont de la difficulté à assimiler toutes les informations qui leur parviennent et à les trier afin de pouvoir voir les choses de la même manière que vous. Nous vous disons aussi que tout cela commence à changer. Du fait de votre mutation dimensionnelle et de votre ouverture à la multidimensionalité, grâce au processus de recâblage en cours, vous commencerez à découvrir des outils de transformation, que nous appelons des outils de traduction, ou de transfert, qui vous aideront à transmettre des communications aux êtres vivant dans d’autres dimensions. Finalement, cela va beaucoup éclaircir le mystère de l’autisme. Observez-le. Encore une fois, les outils seront nommés autrement que comme nous les décrivons simplement, puisqu’ils proviendront de la science non « farfelue », mais de nouveaux outils pour la compréhension de l’autisme se profilent effectivement à l’horizon.

Certains de ces outils existent même depuis longtemps, bien qu’ils n’aient pas été considérés comme tels jusqu’à maintenant… comme la personne qui travaille avec des enfants autistes en portant quotidiennement un cristal, parce qu’elle sait que l’enfant ne peut pas lui parler, mais peut parler avec le cristal. L’enfant autiste peut parler à travers le cristal parce que le cristal est l’un de ces outils de traduction, étant donné qu’il existe lui-même dans de multiples dimensions et qu’il peut, par conséquent, accéder complètement à leur dimension ainsi que dans la vôtre.

Sachez cependant que tous les cristaux ne peuvent pas être utilisés pour atteindre les enfants autistes, mais que certains de la bonne vibration ont été utilisés dans ce but. Cela fait penser au fait que les enfants autistes peuvent communiquer avec certains animaux et en particulier avec ceux que nous savons être multidimensionnels, tels les dauphins. Il n’est pas possible d’avoir un petit dauphin chez soi pour communiquer avec un enfant autiste, mais comprenez que des outils de transfert existent déjà depuis un certain temps. Et bientôt arriveront d’autres outils. Certains seront des objets et certains des êtres vivants, des formes multidimensionnelles de vie. Certains seront constitués d’une nouvelle biologie et, nous vous le disons, des enfants très doués arriveront bientôt, qui aideront à comprendre le don de l’autisme et à communiquer avec les autistes

Lorsque ces enfants commenceront à évoluer, ne les craignez pas. Sachez comment ils sont et sachez que les cadeaux qu’ils représentent devront s’étendre à tous les humains au fur et à mesure de l’évolution. Voyez les pour les possibilités qu’ils représentent. Vous êtes les disciples de la Lumière. Vous êtes les détenteurs du flambeau, très chers, et lorsque les gens cèdent à la peur au vu des changements qui les attendent, vous pouvez changer les choses. Voilà en quoi réside la réalisation de votre contrat sacré. L’humanité tout entière passe par un processus de recâblage en ce moment, sur Terre. L’animal humain accède à des vibrations supérieures. Il n’est pas un secret de dire que c’est cela même qui va causer de la peur sur votre planète. Très simplement dit, les humains ont peur du changement.

C’est pourquoi vous êtes ici, très chers. C’est cette peur qui vous fera passer à l’action, car vous êtes les disciples de la Lumière. Vous comprenez. Vous vous êtes dédiés à tenir le flambeau au bénéfice du but suprême, sans essayer d’indiquer la voie précise à suivre ou dire à qui que ce soit ce qu’il doit faire et où bifurquer ; simplement, rayonnez cette lumière afin que quiconque puisse « voir ». C’est là le plus formidable contrat sacré de beaucoup d’entre vous, et il se présente aujourd’hui même.

message du Groupe Barbara Rother sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ENFANTS, MULTIDIMENSIONNALITE |on 25 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

ETRE UN PARENT PRESENT

parent

Lorsque Susan Stiffelman a présenté son programme télévisé de quatre heures, intitulé L’art d’être un parent présent, plus de six mille parents, disséminées aux quatre coins du globe et provenant des horizons les plus divers, ont participé avec enthousiasme ; ils ont formulé des commentaires dithyrambiques sur ces enseignements qui leur avaient permis de résoudre des dilemmes pratiques sans jamais remettre en cause leurs idéaux supérieurs.

L’art d’être un parent présent offrira le type de soutien que recherchent tous les parents désireux d’assumer leur rôle plus consciemment.

Que les enfants que nous élevons

Et ceux qui vivent dans nos cœurs,

Puissent découvrir qu’il est bon

De jouer, de danser, et de briller.

Pour pouvoir conduire une automobile, vous devez passer des examens pratiques et théoriques de façon à ne pas constituer un danger pour vous-même et pour autrui. Pour la plupart des emplois, à l’exception des plus rudimentaires, certaines qualifications sont requises alors que les postes les plus complexes nécessitent des années de formation. Cependant, aucune formation ou qualification particulière n’est requise pour exercer une des occupations les plus éprouvantes et essentielles – l’art d’être parent.

En fait, en règle générale les parents aiment profondément leurs enfants et veulent leur offrir ce qu’il y a de mieux pour eux. Pourtant, ils sont totalement démunis lorsqu’il s’agit de relever les défis que ceux-ci leur posent sur une base quasi quotidienne, et ils ne savent pas non plus comment répondre de façon appropriée aux besoins croissants de leurs enfants sur les plans émotionnel, psychologique et spirituel.

Alors que par le passé l’éducation parentale était excessivement autoritaire, dans nos sociétés contemporaines de nombreux parents ne parviennent pas à fixer l’orientation claire que l’enfant attend et dont il a désespérément besoin. Dans l’environnement familial actuel, il y a souvent un manque absolu de structure qui évoque l’image d’un bateau sans gouvernail, abandonné par son capitaine et dérivant sur l’océan. Les parents ne se rendent pas compte que leurs enfants s’attendent à ce qu’ils assument pleinement leur rôle de « capitaine du bateau », comme Susan Stiffelman l’a si bien exprimé, un terme qui ne signifie nullement un retour au mode d’éducation autoritaire des temps passés. Il s’agit plutôt de trouver un juste équilibre, une voie médiane entre l’excès de structure et l’absence de toute structure.

Ultimement, la cause majeure d’un tel dysfonctionnement familial ne réside pas dans le manque de connaissance ou de formation des parents, mais dans leur manque de conscience. Sans un parent conscient, il ne peut y avoir d’éducation parental consciente. Un parent conscient est capable de maintenir un certain niveau de conscience dans la vie quotidienne, et ce, bien que certains écarts se produisent de temps à autre pour la plupart des gens. Lorsqu’il n’y  a pas de conscience (vous pouvez aussi employer les termes pleine conscience ou présence), les liens que vous établissez avec votre enfant, ainsi qu’avec ceux qui partagent votre environnement, sont le produit du conditionnement de votre esprit. Vous êtes alors sous l’emprise de schémas mentaux et émotionnels réactifs, de croyances et d’hypothèses inconscientes qui vous ont été léguées par vos parents et qui résultent aussi de la culture ambiante au sein de laquelle vous avez grandi.

La plupart de ces schémas remontent aux innombrables générations qui vous ont précédé dans le passé. Cependant, lorsqu’il y a conscience – ou présence, comme je préfère la nommer – vous pouvez prendre conscience de vos propres schémas mentaux, émotionnels et comportementaux. Si tel est le cas, vous pouvez alors commencer à vous interroger sur la meilleure façon de répondre à vos enfants, plutôt que de réagir aveuglément en répétant d’anciens schémas. Plus important encore, en agissant ainsi vous éviterez de transmettre ces schémas à vos enfants.

Sans présence, vous ne pourrez établir de liens avec votre enfant qu’à travers l’esprit et les émotions, et non pas en recourant au niveau plus profond de l’Etre. Même si vous faites tout ce que vous devez faire, il manquera un élément important dans la relation que vous entretiendrez avec votre enfant : la dimension de l’Etre, qui recouvre le domaine spirituel. Cela signifiera que le lien le plus profond est tout simplement inexistant.

Intuitivement, l’enfant ressentira qu’une dimension vitale manque dans sa relation avec vous, que vous n’êtes jamais totalement présent, jamais vraiment là et que vous êtes toujours absorbé par votre esprit. Inconsciemment, l’enfant supposera ou plutôt ressentira que vous occultez ou lui cache quelque chose d’important. Fréquemment, une telle attitude suscitera chez l’enfant une colère inconsciente ou un ressentiment qui se manifesteront de diverses manières ou demeureront latents jusqu’à l’adolescence.

Bien que cette aliénation entre le parent et l’enfant soit encore la norme, il semblerait que cette situation soit en train d’évoluer. En effet, un nombre croissant de parents sont de plus en plus conscients de ces enjeux et peuvent ainsi transcender leurs schémas mentaux conditionnés pour établir des liens véritables avec leurs enfants, et ce, sur le plan plus profond de l’Etre.

Alors que de nombreux ouvrages fournissent une foule de conseils pratiques aux parents qui les lisent, à ce jour peu de livres soulèvent la problématique du manque de conscience des parents et offrent une orientation circonstanciée leur permettant d’utiliser les défis quotidiens de l’éducation parentale comme moyen privilégié de croître sur le plan de la conscience.

Susan Stiffelman, L’auteur de « L’Art d’être un parent présent » a écrit : « qui parmi nous est assez mûr pour accueillir des enfants avant que ces enfants eux-mêmes n’arrivent ? La valeur du mariage ne réside pas dans la proposition que les adultes engendrent des enfants, mais dans le fait que les enfants engendrent des adultes ».

Peu importe que nous soyons mariés ou que nous élevions seuls nos enfants, ces derniers nous aideront certainement à devenir des humains plus mûrs et plus accomplis. Certes, les enfants engendrent des adultes mais, plus important encore l’auteur comme Susan Stiffelman nous révèle comment des enfants peuvent engendrer des adultes conscients.

Quand la relation avec nos enfants est imprégnée d’une présence et d’un engagement résolus, ces derniers sont plus enclins à faire appel à nous, plutôt qu’à leurs amis, pour des conseils et du soutien. De plus, les enfants qui se sentent aimés, reconnus et chéris – tels qu’ils sont – sont naturellement plus motivés à accepter ce que leurs parents leur demandent car une des caractéristiques de la nature humaine est de coopérer avec ceux auxquels nous nous sentons étroitement reliés.

Que vous soyez un fervent praticien de spiritualité ou que vous cherchiez tout simplement à être un parent plus conscient, élever des enfants en étant totalement présent vous apportera l’amour, l’apprentissage et la joie véritable que peut conférer l’aventure de l’éducation parentale.

Pour ceux et celles qui souhaiteraient pratiquer quelques exercices, veuillez visiter le site www.SusanStiffelman.com/PWPextras – soyez conscient de ce à quoi vous souhaiteriez que ressemble idéalement votre vie familiale, en imaginant, pour ce faire, des rapports plus sains et plus aimants avec votre enfant, ainsi qu’avec vous-même. En vous fixant une intention claire ou un résultat escompté, vous pourriez vous rendre compte que vous obtiendrez plus en travaillant à partir de la documentation et des données contenues dans l’ouvrage, particulièrement si vous voulez prendre quelques notes auxquelles vous pourrez vous référer de temps à autre.

Extrait des Propos d’Eckhart Tolle – dans l’Art d’être un parent présent, aux Editions Ariane. Synthétisé par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ENFANTS, HUMANITE |on 25 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’AMOUR INCONDITIONNEL

 

NamastéTu es unique, différent de toutes les autres, incomparable.

Sans réserve ni hésitation, je t’accueille comme tu es, sans une pensée ou une parole de jugement. Je ne vois aucune erreur ni faute dans tout ce que tu dis, accomplis, ressens ou crois, car j’ai conscience que tu fais ce que tu crois être bon pour toi.

Je ne peux observer la vie à travers tes yeux ni la comprendre à travers ton cœur. Alors, même si j’ai déjà foulé un chemin qui ressemble à celui que tu empruntes aujourd’hui, je reconnais toute la valeur de ton point de vue unique.

Je te vois comme une parcelle de la Conscience Infinie, du Tout, cherchant à trouver sa propre façon de s’unir à elle-même et au monde.

Sans réserve ni hésitation, je te laisse libre de chaque choix afin que tu puisses apprendre de la façon qui te paraît appropriée. Je ne peux savoir ce qui est mieux pour toi, ce qui est juste ou ce dont tu as besoin sauf si, à ta demande et en accord avec ton âme, je recherche dans tes archives subtiles ce que tu as chois d’apprendre, comment tu as choisi de l’apprendre, avec qui et pendant quelle période de temps. Sache que, seul, si tu fais silence et écoutes ta voix intérieure, tu pourras obtenir les mêmes réponses.

Sans réserve ni hésitation, j’accueille les choix que tu fais à chaque instant. Je n’émets aucune opinion à e sujet car je sais qu’avent de songer à retrouver l’unité, il te faut expérimenter toutes les facettes de la dualité. Avec humilité, je m’incline devant le constat que le chemin que je pense être le meilleur pour moi n’est pas forcément le meilleur pour toi. Je sais que ma vérité n’est pas ta vérité ni la vérité. Je sais que tu es guidé comme je le suis, que mes guides n’ont pas la voix qui porte plus que les tiens, amis simplement que j’ai appris à davantage tendre l’oreille vers eux.

Je te remercie de dévoiler auprès de moi tes blessures, tes souffrances et tes peurs qui, parce qu’elles font parfois encore écho en moi, me permettent aussi d’identifier et guérir les miennes.

L’amour que je te porte est sans attente, sans objectif et sans esprit de retour. Je connais ce lieu en toi où tout l’univers réside. Je connais ce lien en toi qui est Amour, Paix et Vérité. Et je connais ce lieu où, si tu es dans ce lieu en toi et moi dans ce lieu en moi, alors toi et moi ne sommes plus qu’UN.

SOURCE http://www.lasymphoniedesames.com

Publié dans:AMOUR, ENERGIES, LOI NATURELLE, LUMIERE, POUVOIR |on 23 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Nous, les Porteurs de la Lumière

 

PORTER la lumièreOn voit des quantités de lumières brillantes sur la planète Terre, des gens qui rapportent la lumière de la Source et la rayonnent à travers leur enveloppe physique, pour vous aider à vous voir et à voir la lumière de la Source plus facilement. Vous savez depuis toujours que certains êtres viennent avec une lumière presque trop brillante pour la supporter. C’est comme si l’éclat presque trop brillant de leurs yeux attirait l’attention, et ils sont si créatifs que tout ce qu’ils touchent devient magique.  Mais parfois, leur vibration est si haute qu’il leur est difficile de se sentir bien sur Terre, cette planète à la vibration si basse.  Beaucoup ont vu de ces brillantes lumières que nous appelons des « Anges terrestres ».  Ils naissent avec de nombreux dons,  s’offrant gracieusement et sans hésitation.  Ils le font parfois à leurs propres dépens et le prix à payer est parfois lourd. 

Et pourtant, ils laissent derrière eux des dons  incroyables qui permettent à toute l’humanité de progresser.  Vous les avez vus chez de nombreux artistes célèbres, tels des musiciens qui sont morts trop jeunes mais ont laissé une empreinte indélébile sur Terre. Certains Anges Terrestres ont vécu une vie extrêmement difficile en tentant d’être des humains sur la planète. Nous vous disons ceci maintenant, parce qu’un nombre limité de tels êtres est venu avec une lumière tellement brillante qu’ils ne pouvaient pas se cacher. Eh bien, très chers, nous vous disons que vous êtes sur le point d’acquérir cette lumière. Et nous vous demandons : y a-t-il, maintenant même, assez de place dans votre vie pour le cas où cela vous arriverait aujourd’hui ?

Ce que vous allez découvrir, c’est que même s’il semble merveilleux d’avoir autant de lumière et de vivre une connexion aussi forte avec la Source, nombreux sont ceux d’entre vous qui n’ont pas encore assez de place dans leur vie pour cela. Vous avez édifié votre vie autour de votre existence quotidienne, vos désirs, vos joies et vos passions, mais qu’arriverait-il si vous rayonniez tout à coup cette incroyable lumière comme le font les Anges terrestres ? Le moment est venu d’y réfléchir. Evaluez votre vie – où que vous soyez. Vous êtes nombreux à évaluer vos relations, votre métier ou même ce que vous devez faire de votre temps, chaque jour. Il devient extrêmement important de le faire, parce que vous êtes ici-bas pour une bonne raison. Vous êtes ici pour rapporter une nuance de lumière de la Source que vous êtes seuls à pouvoir apporter sur Terre.

Votre âme a passé par d’innombrables incarnations justes pour que vous puissiez porter cette lumière, en être l’expression. Et vous voici arrivés à ce point. Nous vous le disons, beaucoup d’entre vous craindront leur propre lumière, car c’est bien plus effrayant que de la voir reflétée chez quelqu’un d’autre. Cependant, il se trouve que vous êtes en train d’atteindre un niveau de confiance de l’âme qui fait qu’il vous devient possible de porter cette énergie de la Source. Ce qui est important, c’est que jusqu’à maintenant, au cours de l’histoire, lorsque cela arrivait, cela n’arrivait qu’à une personne par ci, par là sur la planète; les porteurs de lumière étaient très disséminés, Mais maintenant, vous portez tous cette même lumière.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:LUMIERE |on 23 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Plainte pour hantise

 

Un couple de locataires du New Jersey vient de porter plainte contre son propriétaire pour un motif surprenant: la maison serait hantée ! Si les plaignants obtiennent gain de cause, la décision de justice pourrait faire jurisprudence, aux Etats-Unis. Comment reconnaît-on une maison « habitée » par des entités ? Et que faire pour s’en débarrasser ? Explications avec Florence Hubert, médium spirite.

hantise

Des bruits inexpliqués, des craquements, une sensation de froid dans le dos, des maux de tête récurrents, des coups de pompe répétitifs ou encore des insomnies. L’impression de se sentir épié en permanence, des portes qui claquent, des lumières qui clignotent, des appareils qui s’allument tout seuls, des chaises qui se déplacent… Voici, selon Florence Hubert, quelques-uns des symptômes et autres phénomènes que l’on serait susceptible de ressentir ou de constater quand une maison est « habitée par une ou plusieurs entités ». « Parfois, ajoute-t-elle, les disputes se multiplient au sein du foyer, il y a des tensions qui ne parviennent à s’apaiser. L’ambiance est pesante. Les animaux le ressentent plus que nous. D’ailleurs, bien souvent, ils ne veulent plus entrer dans la maison. »

 Qui seraient ces entités ? Que chercheraient-elles en se manifestant ? Et pourquoi stagneraient-elles dans nos maisons ? « Nous sommes en permanence entourés d’entités », affirme la médium spirite qui, dans son métier, peut être appelée à « nettoyer » des maisons, c’est-à-dire débarrasser un lieu de ces entités. « Partout, nous sommes en présence d’âmes errantes, restées bloquées dans le monde des vivants. A cela, plusieurs raisons : soit parce qu’elles ne savent pas qu’elles sont décédées, ce qui est souvent le cas des morts violentes ou brutales. Soit parce qu’elles ont un niveau de conscience peu élevé, elles ne croient pas en un au-delà, et ne savent ni où elles sont, ni comment sortir de cet entre-deux. Soit parce qu’elles sont trop attachées à la matière : certaines se raccrochent à un proche qui vit encore dans la maison – comme une mère décédée qui ne peut se résoudre à quitter son fils, par exemple -, d’autres ne peuvent se résoudre à quitter un lieu dans lequel elles ont vécu de leur vivant. Parfois, c’est aussi parce qu’elles ont un problème qu’elles n’ont pas réglé dans notre monde ou qu’elles ont un message à faire passer. » 

De célèbres films d’horreur comme L’ExorcisteAmityville ou encore Paranormal Activityont alimenté notre peur féroce de tout ce qui peut s’apparenter aux « esprits » mais Florence Hubert se veut rassurante : « J’ai certes déjà été confrontée à de mauvais esprits. Une fois, je me suis pris une claque. Il y a eu le bruit, et la marque d’une main laissée sur ma joue. Une autre fois, on m’a poussée pour me faire tomber. Mais les trois-quarts du temps, ce sont des âmes angoissées, perdues qui ont simplement besoin d’être guidées, et qui ne nous veulent aucun mal. Certaines ne font que passer et ne dérangent personne, d’autres se manifestent et squattent un lieu dans lequel beaucoup de personnes se sentent tout de suite mal à l’aise dès qu’elles y pénètrent sans comprendre pourquoi.

C’est ainsi que certaines maisons deviennent invendables. » Pour faire monter ces âmes vers des sphères plus propices pour elles, et débarrasser un lieu de ses esprits, Florence Hubert déboule avec ses bougies, de l’encens et des bons sentiments. Son « kit de nettoyage », dit-elle en plaisantant. « Mieux vaut s’armer d’amour plutôt que de débarquer avec son sabre,précise-t-elle. Je n’ai pas de rituel spécifique. Je leur parle simplement, leur demande comment ils sont morts, pourquoi ils sont là… En fonction de ce qu’ils veulent et de combien ils sont, cela me peut me prendre entre une heure et une journée pour nettoyer un lieu. ».

Toutefois, la médium tient à préciser que : « Dans 95% des cas, tous ces phénomènes qu’on dit surnaturels mais aussi les symptômes physiques qu’on peut ressentir, tels que les maux de tête récurrents ou les insomnies, sont dûs à des problèmes électromagnétiques ou d’eau stagnante qui influent sur les énergies d’un lieu et de ses habitants… C’est environ dans 5% des cas seulement qu’ils sont provoqués par des entités. Avant de faire appel à un médium spirite, je pense qu’il est judicieux de contacter un radiesthésiste ou un géobiologue qui va vérifier l’origine du problème et rétablir l’équilibre dans la maison. Dès que j’arrive quelque part, je me mets en résonance avec le lieu, je déploie mes « antennes », et je sens très vite si il est « habité » ou non. Je le sens physiquement : j’ai d’abord des bourdonnements dans les oreilles, des espèces de faisceaux devant les yeux. Ensuite, je vois que ça bouge, et j’entends des choses parfois aussi. Quand ce sont des problèmes électromagnétiques, j’ai l’honnêteté de le dire aux gens mais il faut se méfier car il y a beaucoup de charlatans dans ce domaine ! » 

Autre précision, parfois, un lieu peut dégager des énergies négatives allant jusqu’à entraîner des problèmes de santé chez certaines personnes sensibles, sans pour autant être pollué par des ondes électromagnétiques ou des entités, juste la « mémoire des murs ». « Les lieux sont comme des éponges, ils conservent des traces de passage de ceux qui les ont habités : cela peut être une femme qui souffrait de dépression, un couple qui se disputait beaucoup ou encore un papy qui y est décédé après une longue maladie. Son âme n’est plus forcément présente mais les murs sont imprégnés de mal-être, de souffrance. C’est pourquoi, il est important de se renseigner sur les anciens propriétaires d’un lieu avant d’acheter. Je conseille également à tous ceux qui viennent d’emménager de nettoyer leur appartement ou leur maison. Ils peuvent le faire eux-mêmes avec des bougies et de l’encens. Ça n’est pas cher, ça ne prend pas beaucoup de temps, mais cela peut permettre de se sentir bien chez soi, et en harmonie avec ceux qui partagent votre vie ! »

source INREES

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, MAITRISE |on 21 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Forces mystiques et conduite de la vie

sedir-et-son-chien-1c77636Quand l’homme envisage avec la gravité convenable  les vastes complications de la vie, il aperçoit aussitôt la nécessité d’une aide.  Il la trouve dans le milieu invisible où son esprit a élu résidence; et, selon son caractère, il utilise ces forces auxiliatrices, il les sollicite ou il essaie de les commander. 

   Si le moi habite l’appartement de la matière, il s’adressera aux forces matérielles; s’il habite l’appartement des fluides, il s’adressera aux divers magnétismes; s’il habite l’appartement de  l’intelligence, il aura recours aux forces mentales, et ainsi de suite.  Si ce moi connaît la Lumière surnaturelle, ce sont les forces mystiques qu’il sollicitera.

il nous suffit de savoir qu’elles existent à portée de la main, qu’elles nous  entourent, qu’elles nous baignent, et qu’il dépend de notre seul bon vouloir de nous les incorporer. 

   L’ambiance tout entière est pleine d’esprits.  Non seulement des anges et des démons, mais des créatures de tout degré, en qui la bonté et la méchanceté se mêlent selon des proportions  infiniment diverses.  Si l’enseignement religieux commun ne parle que d’êtres bons ou mauvais à toujours, c’est sans doute afin d’éviter à la masse ces curiosités dangereuses qui essaient de se satisfaire par la pratique de la magie. 

   La littérature patristique mentionne bien l’existence des esprits de la Nature, mais sans s’y arrêter.  A vrai dire, il n’y a pas d’êtres fixés éternellement dans les Ténèbres, et il y en a très peu – on pourrait les compter- fixés à jamais dans la Lumière.  Nous fûmes des anges; nous sommes en alternative de devenir des démons ou de remonter plus haut que les anges.  Mais ce qui nous intéresse pour le moment, c’est de savoir que nous avons des auditeurs et des spectateurs invisibles en grand nombre.  Vous avez amené, chacun, avec vous, toute une cohorte d’esprits : esprits de vos ancêtres, esprits de vos descendants, esprits de vos parents actuels, esprits auxiliaires, adversaires, illuminateurs, corrupteurs.  Vous n’avez pas une haine, une amitié, un désir, un élan, un souci, une joie, une larme, qui n’existent individualisés dans les espaces intérieurs de votre personnalité avant de devenir un fait matériel sur cette terre.

Percevoir ces entités, les classer, accepter les unes, rejeter les autres, cela, il ne faut pas le faire; ce n’est pas de notre ressort.  Nous n’avons, vous et moi, qu’à nous préoccuper d’une seule  chose, « l’unique nécessaire ».  Que toutes ces présences, toutes ces énergies, bonnes, mauvaises, hésitantes, s’en retournent, tout à l’heure, dans leurs séjours respectifs avec une joie, un  confort, un rafraîchissement. 

   Comment faire ?  Nous réconcilier, nous mettre en paix avec tous les êtres. 

   Ceci n’est pas une maxime banale; c’est une formule de dynamique spirituelle simple, efficace, précise dans son emploi, générale dans ses effets; c’est une loi rigoureuse, un accumulateur  d’énergies incommensurables. 

   Ne pas attaquer de créature, ni par la pensée, ni par la parole, ni par l’acte, c’est une discipline ardue.  Essayez de la suivre une journée; aux efforts qu’elle vous coûtera jugez de l’importance des résultats. 

   Demeurer en paix avec les hommes, les animaux, les plantes, les pierres, les objets, les idées, les événements, le temps, les passions, les anges, les démons et les morts, c’est ne rien leur  prendre de plus que ce que la Loi leur commande de nous donner; c’est les recevoir tous avec un sourire; c’est leur offrir ce qui leur fait envie de nous-mêmes.  C’est une charité immense, inlassable, très secrète; c’est l’empire sur soi-même le plus constant, le plus immuable, le plus serein; c’est le retour au bercail d’un nombreux troupeau dispersé.  C’est un épisode de la bataille cosmique dans le tumulte de laquelle jaillit çà et là, comme l’éclair, la présence ineffable de l’Etre incompréhensible, du grand Ange de la Paix, venu toutefois pour apporter la guerre et allumer dans ce monde un certain feu : Notre Jésus. 

  téléchargement Si nous ne lésons personne, toutes ces créatures viendront à nous, en nous, parce qu’elles ont soif de Lumière et que ce n’est qu’à travers le coeur de l’homme qu’elles peuvent apercevoir la  gloire de Dieu.  Cette gloire, c’est l’harmonie, c’est la paix; nous ne pouvons nous l’assimiler que si nous habitons son royaume.  Pacifions, Messieurs; pacifions nos corps, nos sens, nos  esprits et les milieux où nous peinons avec une pleine conscience.  Ne vous inquiétez pas de l’invisible, des arcanes, des choses secrètes; rien n’est secret devant Dieu; or vous vous êtes assemblés ici pour apprendre de nouveau à vivre en Dieu.  

Extrait du livre « Les Forces mystiques » de Paul Sédir – par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ENERGIES, MEDIUM, PENSEE |on 21 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

LES MICROTUNNELS DE COMMUNICATION – comment ça se passe

ARCTURIENS

Je parlerai cette fois des microtunnels de communication à l’usage des humains. Quand un humain est prêt et disposé à établir un contact, c’est par l’un de ces microtunnels que ce contact a lieu dans la plupart des cas. Ces microtunnels relient les corps hautement dimensionnels, particulièrement le corps quinquadimensionnel de l’humain, à celui de l’Arcturien ou au vaisseau arcturien par lequel le contact est établi.

Je désire aborder ici deux aspects concernant ces microtunnels :

-      la zone corporelle et le champ énergétique où ces microtunnels permettent le contact.

-      le niveau d’activité corps/esprit requis pour un contact conscient.

D’abord le premier aspect. Le contact entre un humain et un Arcturien se limite habituellement à un changement de perception chez l’humain. Il serait très inhabituel et improbable qu’un être humain rencontre un Arcturien dans la troisième dimension car il nous faut employer une énorme quantité d’énergie pour changer de dimension. Il est donc plus opportun et plus efficace d’adapter le complexe corps / esprit de l’humain afin d ‘établir un microtunnel de communication. Les Arcturiens sont des êtres pratiques qui n’aiment pas gaspiller l’énergie ni les ressources.

Quand un microtunnel de communication est établi, il modifie l’état cérébral et l’activité physiologique de l’humain. Dans votre langage scientifique, on parlerait d’une augmentation de l’activité alpha, mais celle-ci n’est que l’un des nombreux états qui se produisent durant ces communications. Le cerveau humain est très complexe et de multiples fréquences y ont lieu simultanément. Il serait simpliste et inexact d’affirmer que les états de conscience supérieurs sont liés à de plus hautes fréquences cérébrales. Cela démontrerait une grossière méconnaissance de la physiologie et du potentiel humain.

Quand un microtunnel est établi entre un humain et un Arcturien ou un vaisseau arcturien, la perception de l’humain change spontanément. Elle devient fluide. L’individu est alors conscient d’au moins deux réalités à la fois, soit la réalité humaine et la réalité hautement dimensionnelle où a lieu l’interaction avec l’Arcturien. En de très rares cas, l’individu perd contact avec sa réalité dimensionnelle. Le monde semble disparaître et la réalité arcturienne devient son seul point de focalisation.

C’est dans de tels moments que l’humain peut conclure qu’il a été amené dans un vaisseau arcturien, mais ce n’est pas le cas. C’est simplement que son cerveau a été dépassé par la multidimensionnalité de la rencontre et qu’il a cessé de percevoir la réalité tridimensionnelle.

Pour l’individu, cela signifie que son cerveau et son esprit ne reçoivent plus l’apport de ses cinq sens. Il reçoit uniquement l’apport de ce qui se passe dans la dimension où la rencontre a lieu. Dans certains cas, un Arcturien établir un microtunnel afin de communiquer avec un humain en particulier, et parfois c’est l’inverse. Ces microtunnels sont des voies à double sens. Il est possible de prendre contact avec un Arcturien ou avec un aspect de la réalité arcturienne par un changement conscient du cerveau et de l’esprit.

Ces microtunnels traversent l’hyperespace et se connectent à votre champ énergétique, que vos anciennes traditions appellent l’aura, mais plus spécifiquement à l’un ou à plusieurs de vos chakras. La plupart des humains qui prennent contact avec des Arcturiens le font par leur troisième œil ou par le chakra couronne. Le microtunnel entre dans l’un ou plusieurs des chakras et affecte l’énergie subtile générée par vos vortex (vos chakras).

Quand se produit ce changement dans le corps énergétique subtil, il s’ensuit un même changement dans le cerveau et l’esprit, qui sont contraints de s’adapter. Ce changement dans le corps énergétique subtil crée une augmentation de l’activité alpha, un état de conscience où le corps est détendu.

Lorsque s’accroît l’influence du microtunnel dans la zone de chakras, il y a des pointes de haute fréquence cérébrale non seulement gamma, mais au-delà, jusqu’au plus haut seuil d’activité cérébrale (plus de 120 hertz).

Quand un individu s’imagine qu’il a été emmené à bord d’un vaisseau arcturien, c’est que le microtunnel s’est connecté interdimensionnellement au chakra du nombril de l’individu, ce qui fait entrer en résonance tout le corps énergétique subtil avec la réalité vibratoire du vaisseau. Lorsque cela survient, l’humain vit deux expériences parallèles ; il est à la fois dans son corps et dans le vaisseau. A un certain point de la communication, il peut avoir l’impression de se trouver uniquement dans le vaisseau, la conscience ayant quitté l’apport du corps physique pour celui du corps hautement dimensionnel, lequel est dans le vaisseau. Dans cet état, l’individu peut recevoir beaucoup d’informations et acquérir d’énormes connaissances en très peu de temps puisque le principal moyen de communication est la télépathie holographique et non les mots.

Ainsi, un individu peut se sentir dans un vaisseau pendant quelques instants seulement selon le temps de la réalité tridimensionnelle, mais d’immenses quantités d’informations peuvent se télécharge dans la réalité hautement dimensionnelle du vaisseau arcturien.

Extrait du message de EKTARA – Arcturiens  retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

 

  Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

Publié dans:MEDITATION, MULTIDIMENSIONNALITE, SOCIETE |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le gluten peut-il nous poser un problème

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● Les apports nutritionnels du gluten

En ce qui concerne notre santé, le gluten ne nous apporte pas de nutriment indispensable que l’on ne saurait trouver par ailleurs. 

Qu’on se le dise : un régime sans gluten ne provoque pas la moindre carence… Mais une alimentation riche en gluten… Qu’en est-il ? 

● La transformation des céréales

Lorsque l’on dit que le gluten est une colle, il est facile d’imaginer ce qu’il va faire une fois dans notre système digestif : il va coller.

Le problème est d’autant plus aigu que l’industrie agro-alimentaire est passée par là. Ainsi, le blé actuel contient trois fois plus de gluten (et de chromosomes !) que le blé d’origine. Quel a été ce processus ?

« Apparu » il y a 10 000 ans dans le bassin mésopotamien, le blé comptait alors 14 chromosomes. Il y a d’abord eu les sélections naturelles bien sûr, inhérentes à toutes les espèces vivantes.

Ensuite l’homme est intervenu. Il a d’abord choisi, puis domestiqué les variétés les plus avantageuses pour l’agriculture, les plus résistantes. La logique agricole a intensifié cette sélection : seuls les plus beaux grains étaient gardés pour être replantés, d’où les premières mutations génétiques. L’homme a ensuite croisé, combiné les variétés. Si l’ingrain (le seul blé cultivé il y a 4 000 ans environ) portait un seul grain, l’amidonnier des Egyptiens en offrait déjà deux ou trois fois plus. Notre blé commun se targue de six rangs de grains…

Le milieu naturel a eu également son mot à dire : les différents sols et climats ont influencé les sélections de blé lors de leurs « voyages » d’une région, d’un pays, d’un continent à l’autre.

Aujourd’hui, on refuse de parler d’OGM pour le blé. Pourtant, bien des manipulations ont encore été effectuées depuis les années 70. Ainsi, le blé moderne présente 42 chromosomes…

● L’impact de ces transformations sur notre organisme

Deux conséquences majeures apparaissent.

D’une part, notre organisme n’a pas évolué à la même vitesse que le blé ou autres céréales à gluten. Les manipulations génétiques des céréales font que le gluten n’est jamais complètement digéré. Le Dr Seignalet souligne également que la cuisson de ces protéines entraîne des transformations nuisibles pour notre corps.

D’autre part, certaines études ou expériences montrent à quel point l’alimentation peut influer non seulement notre terrain, mais aussi notre ADN. Ainsi, deux études indépendantes menées sur l’épigénétique – par les universités de Duke (Etats-Unis) en 2010, et de Groningen (Pays-Bas) plus récemment – ont non seulement montré que notre alimentation avait un impact sur notre ADN, mais que cet impact se répercutait sur les générations suivantes… Ces études ont par ailleurs été corroborées par des épisodes historiques, comme le développement de certaines intolérances alimentaires chez les jeunes populations (1), suite aux famines subies par les mères (par exemple l’augmentation de l’intolérance au lactose suite à la disette hollandaise de la Seconde Guerre Mondiale), ou l’apparition de certaines maladies suite aux modifications des habitudes alimentaires (phénomène largement rencontré en Asie dans les dernières décennies, et bien illustré dans le film documentaire « La santé dans l’assiette »). Dans son livre « Le syndrome entéro-psychologique », le Dr Natasha Campbell-Mc Bride a d’ailleurs expliqué que les déséquilibres intestinaux (dysbioses, porosités, intolérances alimentaires, etc.) se retrouvent de façon de plus en plus prononcée d’une génération à l’autre. 

Si l’on détecte aujourd’hui plus d’intolérances ou de sensibilités au gluten, c’est donc tout simplement parce que notre organisme n’a pas eu le temps de s’adapter, que ce soit face à la quantité de gluten ingérée ou à la transformation des céréales en elles-mêmes, et que cette inadaptation s’accentue à chaque génération. Il est alors possible de se trouver face à quatre types de situations, que nous allons détailler.

Alors, gluten or not gluten ?

Face à toutes les problématiques engendrées par le gluten moderne, il est bien tentant de conseiller une éviction du gluten de l’alimentation. Toutefois, changer son alimentation sans conseil thérapeutique n’est pas forcément une bonne idée… Effectivement, les symptômes présentés par une sensibilité au gluten peuvent être communs avec d’autres pathologies. Il vaut donc mieux savoir ce qu’il en est plus exactement. Des examens médicaux permettront de faire le point.

• Si l’on pense être sensible au gluten, mieux vaut requérir les conseils d’un naturopathe. Enlever le gluten de son alimentation ne suffit pas à régler totalement un problème de santé ou retourner vers l’équilibre. Il s’agit aussi de réinoculer la flore, réparer la muqueuse (par des moyens naturels bien sûr), et tous les autres dégâts ; une chélation des métaux lourds (en toute sécurité, sans faire de bêtises) peut s’avérer nécessaire. Enfin, enlever le gluten de son alimentation ne signifie pas que l’on mange bien : respecter un bon équilibre alimentaire reste primordial.

•             Ainsi, si l’on se contente de remplacer les produits contenant du gluten par des produits sans gluten, cela peut devenir très vite onéreux : mieux vaut modifier certaines habitudes alimentaires (en limitant sa consommation de pâtes et de gâteaux, par exemple, même s’ils sont sans gluten !) Cela peut même se retourner contre nous. La mode du sans gluten faisant son apparition, nombre de produits présents sur le marché sont très peu qualitatifs, compensant l’absence de gluten par des taux de sucre, conservateurs ou colorants frisant l’indécence…

•             Si bien des problèmes de santé ont été réglés après une éviction du gluten et que l’on souhaite le réintégrer dans son alimentation, il est important de suivre certaines règles, sous peine de retrouver des symptômes de départ intensifiés. Si rien n’a été fait pour préparer le corps à ce retour du gluten, l’organisme va réagir fortement à la réintroduction d’une molécule qui a posé problème à un moment donné.

•             C’est pour cette raison que certaines personnes critiquent les régimes sans gluten. Or les problèmes de santé extérieurs qui se retrouvent lors de cette réintroduction mal menée du gluten ne font qu’illustrer toutes les perturbations internes engendrées par le gluten initialement.

• Par expérience, la question de la sensibilité au gluten est très largement présente chez les personnes que je reçois en cabinet. Je me suis aussi aperçue d’une chose : plus les personnes sont réceptives aux différentes énergies, et plus elles sont sensibles à la qualité des aliments : que ceux-ci soient liquides (qualité de l’eau), ou solides (et dans ce cas la transformation et la mutation des produits comme les céréales pose souvent problème).

Conclusion

L’intolérance au gluten n’est pas un effet de mode : l’industrie agro-alimentaire ainsi que nos modes alimentaires, nos choix de consommations, ainsi que d’autres facteurs aggravants comme le stress ou les métaux lourds font qu’un nombre de plus en plus important de personnes sont sensibles ou intolérantes au gluten.

Ces difficultés face au gluten sont difficiles à comprendre, car les effets ne sont pas forcément immédiats, et, les symptômes peuvent être très variables d’une personne à l’autre.

La sensibilité est aussi décriée parce que difficile à détecter médicalement. Les études et validations scientifiques sont encore en cours (des recherches américaines sont menées depuis février 2015). La méthode la plus fiable est celle des tests de peptidurie, qui sont toutefois peu reconnus en France et payants, car non pris en charge par la Sécurité Sociale.

Ce seront les personnes qui ont souffert de leur intolérance ou sensibilité au gluten, qui l’auront enlevé de leur alimentation et procédé aux différents rééquilibrages qui en parleront le mieux : parce que rien ne vaut l’expérience et la santé retrouvée !

Extrait du site Energie Santé, à lire en son entier sur le site : http://www.energie-sante.net/fr/nt/NT021_gluten-ou-pas.php

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, MALADIE, PLANTES |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Les critères de l’homéopathie authentique

 

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Rappelons ici quelques principes de base de l’homéopathique authentique :

1.  Parmi les moyens de mémorisation et d’amplification d’un signal vibratoire, il y a le frottement moléculaire (secousses), la rotation (moulins à prière des Tibétains), la génération de Vortex (Schauberger), sans parler des transferts optiques et électromagnétiques modernes.

2.  L’eau est le support matériel idéal en outre utilisé par tous les règnes du vivant qui fabriquent journellement, au sein de leur organisme, de l’homéopathie Korsakov pour éliminer leurs poisons et toxines.

3. La mémoire de l’eau est devenue un fait incontestable scientifiquement démontrée par les travaux de Benveniste et de Masaru Emoto, et brillamment confirmé par les récents travaux du Professeur Luc Montagnier.

4.Le signal homéopathique est en fait un signal radio complexe qui comprend comme tous les signaux vibratoires une fréquence et une amplitude.

5.  La gamme de fréquences du signal homéopathique est définie par le nombre de dilutions, chaque nouvelle dilution faisant grimper la gamme fréquentielle d’un octave ou harmonique. Plus la dilution est élevée (donc la fréquence), plus le produit s’adresse à un corps subtil profond.

6. L’amplitude du signal est proportionnelle à la surface d’émanation du produit. Ce signal homéopathique se comporte comme une odeur ou un parfum, plus on l’étale plus l’odeur est puissante. La surface des granules est minime par rapport à celle présentée par une cuillère dose de trituration ou 20 à 30 gouttes du produit liquide. Il est clair que la formule granules est donc la plus médiocre.

7. Le signal homéopathique contrairement à la chimie allopathique est rayonnant. Il peut donc être absorbé par simple proximité de contact, par exemple, (un flacon pendu par une cordelette de soie au cou). Il existe des sites physiologiques d’absorption privilégiés : sous la langue, en gouttes, ou dans les narines et dans les conduits auditifs en pulvérisation.

8.La formule aqueuse présente l’avantage de pouvoir être re-secouée à tout moment, ceci visant à augmenter le rayonnement du produit (ce qui se vérifie facilement à l’analyse Kirlian).

9. La dilution 9K en manuel est suffisante pour couvrir pratiquement tous les cas de figure en atteignant toutes les couches de corps subtils.

10.  Une caractéristique intéressante du procédé Korsakov est que l’on garde la mémoire de toutes les dilutions précédentes puisque l’on ne change pas de flacon. Ce n’est pas le cas par le procédé Hahnemann. Donc la dilution 9K couvre tous les cas de figure sans risque de se tromper de dilution.

NOTA : Les dilutions Korsakov mécaniques couramment vendues sont très différentes dans leur principe d’élaboration par rapport à la méthode manuelle. Au 19ème siècle où vivait Korsakov, on ne disposait pas de l’électricité. 

Les dilutions astronomiques de 5 000, 10 000, 50 000 voire 100 000 K, demanderaient des années de travail pour réaliser cela à la main.

Par ailleurs, la très petite quantité de produit haute dilution récoltée après des jours ou des semaines de fonctionnement continu des machines automatiques, porte son prix à des valeurs inabordables dans sa forme liquide. L’imprégnation granulaire est donc un choix obligé si l’on veut rendre le prix de vente plus sympathique… à moins de reprendre le substrat final à la main dans un plus grand flacon, mais je ne suis pas dans le secret des grands labos…

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La fabrication artisanale : voici toute la recette

Le choix de l’eau

Il est évident que l’eau osmosée qui est de l’eau déprogrammée et très pure est ce qu’il y a de mieux. Encore faut-il avoir un osmoseur.

L’eau distillée est ce qu’on utilise classiquement mais qui à l’échelle artisanale présente un coût prohibitif dans la mesure où la plus grosse partie va être jetée. Normalement cette eau s’achète en pharmacie.

Mais on peut aussi faire du travail correct avec une eau de source la moins minéralisée possible, type Mont Roucous.

Le choix et la préparation des flacons

Les bouteilles de 500 ml ou même 250 ml vendues en pharmacie sont parfaites.

S’ils ont déjà servi, il faut rendre ces flacons vibratoirement vierges. Les laver ne sert pas à grand-chose si ce n’est à réaliser une dilution supplémentaire. Pour effacer la vibration résiduelle, on peut :

•   Amener le flacon dans de l’eau à la température minimum de 70°,

•   Passer le flacon au four à micro-onde (j’espère que vous n’en avez pas),

•   Rincer le flacon avec un peu d’alcool à 90° pur (méthode rapide).

Les souches-mères

Les souches peuvent être de nature extrêmement diverses (minérales, végétales, chimiques, organiques animales ou humaines, ou encore industrielles toxiques). Il est nécessaire qu’elles soient conditionnées sous une forme liquide hydro-alcoolique.

Lorsqu’il s’agit de produits solides, il est donc utile de les faire tremper dans de l’eau pure (distillée ou osmosée), ou de l’alcool à 70° selon la nature du produit, même s’il ne présente pas de solubilité. Il y a alors enregistrement de l’information, c’est-à-dire la signature vibratoire de la souche. Le temps de trempage peut varier de quelques heures à 48 heures selon les cas. Vous obtenez là ce que l’on nomme la base ou solution mère. Nous voilà donc prêt pour entamer la procédure homéopathique Korsakov proprement dite.

Des auto-isothérapies à la carte

Notez que vous pourrez résoudre facilement des tas de pathologies difficiles résistant à la médication classique pour un prix dérisoire, en prélevant simplement des exsudats qui peuvent être : crachats pulmonaires, salive, morve, larmes, urine, pus, desquamations cutanées, sueur, ménorrhées, placenta de l’accouchement… mais pas de sang.

NOTA : Big pharma a très peur de cette méthode artisanale. C’est pour cela que peu avant la 2ème guerre mondiale, on a détruit toute la documentation et les annales cliniques concernant l’auto-isothérapie.

Quelques détails importants

Rappelons d’abord que pour faire de la véritable homéopathie, il faut 3 choses :

DILUTION – SECOUSSES – CONSCIENCE

Remarquez qu’une machine ne peut pas satisfaire à la troisième proposition. Ce volet n’est pas plus surprenant dans le cas de la fabrication des remèdes homéopathiques que dans le domaine de la cuisine, qui doit être faite, dit-on « avec amour ». D’ailleurs on trouve dans les écrits de Nostradamus : « Ne consommez point la nourriture d’un cuisinier en colère ».

Dernier détail : où se mettre pour effectuer la procédure ?

Mon expérience personnelle m’a montré que la meilleure qualité est obtenue et que les flux d’énergie sont mieux ressentis quand on se place dehors dans la nature, une pelouse pouvant suffire, et vous allez voir pourquoi ensuite.

Mode opératoire

Amenez le matériel nécessaire (flacons, eau pure) sur le lieu choisi.

1. Marquer au feutre sur votre bouteille, un trait au 1/3 environ de la hauteur.

2. Introduire une petite quantité de base juste suffisante pour mouiller tout l’intérieur du flacon. Secouez 4 ou 5 fois et jetez l’excédent sur le sol (dans l’herbe) sans égoutter.

3. Remplir jusqu’au trait 1/3 le flacon avec de l’eau pure. Notez « dilution 1 ». Bouchez et secouez alors une centaine de fois.

4. Les sensitifs peuvent sentir à un moment donné une énergie monter entre leurs mains. Les secousses doivent être verticales et sans violence, à un rythme juste que vous trouverez en le faisant varier plus vite, moins vite, jusqu’à ce que vous ressentiez un réel plaisir, dans votre corps : pensez pendant ce temps que vous effectuez un mariage entre les forces du ciel et de la terre dans votre flacon. Si vous n’arrivez pas à ressentir tout cela, tant pis, vous obtiendrez quand même de l’homéopathie mais elle sera « standard ».

5. Videz le flacon sur le sol et dites : « je te rends à la terre afin que tu renaisses plus grand » (formule alchimique) . C’est un principe d’affinage universel utilisé quotidiennement par la nature. Si vous jetez simplement l’eau sans rien dire ou penser, vous obtiendrez quand même de l’homéopathie, mais … « standard ».

6. Remplir à nouveau au trait votre flacon avec de l’eau pure. Notez « dilution 2 » et recommencez l’opération comme dans le paragraphe 3.

7. Videz le flacon en procédant comme dans le paragraphe 5.

8. Remplir au trait et notez « dilution 3 », continuez ainsi de suite jusqu’à dilution 8.

9. Attention : à la dilution 9 remplissez le flacon entre les 2/3 ou 3/4.

10. Secouez et ne jetez plus. Vous avez le produit définitif.

11. Fixez le produit homéopathique avec 10 % d’un alcool fin (ex : cognac) afin d’éviter l’invasion d’algues ou micro-organismes divers. Néanmoins, si le produit ne doit pas être gardé longtemps, il est possible de le laisser tel quel, en particulier pour des bébés ou des personnes allergiques à l’alcool.

12. Enfin, il est prudent et sage d’envelopper le flacon intégralement dans du papier aluminium de cuisine et avec du papier blanc par dessus pour le protéger de toutes les pollutions vibratoires ambiantes (télé, radio, antennes GSM, radars….). On sera aussi attentif à ne pas stocker les flacons obtenus, à proximité de produits chimiques peu nobles (ménagers ou pharmaceutiques).

13. Voilà, vous savez tout, et vous n’avez plus besoin de personne pour réaliser de la bonne homéopathique courante, même en urgence.

FLACON(1)Il est évident que l’obtention de certaines souches reste problématique et que ces souches coûteuses sont jalousement stockées par les laboratoires. Mais, il vous reste beaucoup de possibilités directes aussi simples qu’efficaces.

NOTA :La méthode s’applique parfaitement pour les animaux (chiens, chats, chevaux, et tous animaux de la ferme) – Les animaux sont généralement plus faciles à soigner que les humains parce qu’ils ne sont pas embrouillés par un mental toxique.

Si des personnes vous observent en train d’opérer dehors, n’ayez crainte elles croiront que vous êtes en train de laver des bouteilles !

À vous de jouer.

article de Michel Dogna – Naturothérapeute, auteur, enseignant sur www.micheldogna.fr

Publié dans:GUERISON, PLANTES |on 17 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Les canalisations de Paul Selig

 

canalisationDans l’histoire de la littérature canalisée, d’Edgar Cayce à Helen Schucman (Un cours en miracles) en passant par Jeanne Roberts (Le matériau de Seth), on peut déceler un lien étroit et solide entre le canalisateur ou la canalisatrice spirituelle et l’entité ou l’intelligence qui s’exprime par lui ou elle. Provenant d’un collectif de « guides » invisibles, les messages transmis par Paul Selig sont d’une profonde intégrité et d’une grande perspicacité quant aux faiblesses de la nature humaine, ainsi que d’une franchise sans faille quant aux possibilités et aux embûches qui nous échoient à l’époque actuelle. Pourvu intellectuellement de ces mêmes qualités, Paul Selig constitue l’instrument idéal – un genre de Stradivarius de l’âme – sur lequel ces guides peuvent jouer leurs notes.

L’interaction entre Edgar Cayce et sa « Source » était fondée sur une relation identique, bien que d’une tonalité différente. La personnalité de Cayce teintait évidemment la teneur des messages qu’il transmettait. Mystique chrétien d’origine sudiste et rurale, il était aussi un lecteur fervent de la Bible du roi Jacques, et ces caractéristiques marquaient l’énergie canalisée s’exprimant à travers lui. Par contraste, Paul Selig est un éternel citadin, un professeur d’université et un dramaturge à succès, ainsi qu’un homme de son époque, habitué à vivre dans un monde où abondent les options spirituelles et où s’impose la terminologie psychologique. Ces caractéristiques influencent à leur tour le ton des enseignements modernes prodigués par Paul Selig. Néanmoins, au-delà de ces différences superficielles,  son travail, tout comme celui de Cayce, est imprégné d’une éthique religieuse universelle, d’un profond respect de l’individu et de l’identité individuelle, ainsi que d’une profondeur psychologique permettant à chaque lecteur et à chaque lectrice de voir dans cette matière ses propres questions, ses propres crises et ses propres espoirs. Le travail de Paul Selig et de ses guides constitue une littérature spirituelle substantielle et durable.

Le Congrès ayant eu lieu au printemps 2009, comportait la première reconnaissance publique du travail de Paul comme médium et canalisateur spirituel. Les éloges unanimes reçus des participants l’ont encourage à poursuivre ses canalisations publiques. A l’été 2010 paraissait son premier livre canalisé, I Am the Word (Je suis le Verbe), chez Tarcher/Penguin. Un deuxième ouvrage, The Book of Love and Creation (Le Livre de l’Amour et de la Création), a suivi en 2012. Ces deux livres ont été traduits en d’autres langues et ont trouvé des lecteurs partout dans le monde.

La popularité croissante du travail de Paul Selig est remarquable sous plusieurs aspects. Le point de vue de ses guides étant en harmonie avec les principes de la pensée nouvelle et les idéaux du mouvement du potentiel humain, ses guides ne livrent pas un message étroit de réalisation personnelle ou d’auto-enrichissement. Ils n’évitent pas ces objectifs, mais leur enseignement requiert une grand en connaissance de soi et une observation personnelle de la part de l’individu ; il exige le développement de l’empathie et de la recherche intérieure ; et, souvent, il propose des exercices rigoureux pour y parvenir. Cet enseignement ne s’adresse pas aux gens qui se laissent distraire facilement ou qui recherchent égoïstement leur propre intérêt. Il demande un engagement total.

Les guides affirment sans cesse qu’ils aideront invisiblement le lecteur à se développer s’il utilise leurs affirmations, comme celle qui constitue la note dominante des livres de Paul Selig : « Je sais qui je suis, je sais ce que je suis, je sais comment je sers ». La capacité de l’individu à profiter de cette aide dépend de l’intensité de sa soif de changement, comme c’est d’ailleurs le cas de tous les programmes spirituels authentiques. Si cette soif est sincère, il percevra immédiatement l’énergie de secours des guides.

téléchargementCet enseignement est remarquablement prometteur car son influence grandissante reflète une nouvelle maturité de la philosophie spirituelle thérapeutique, souvent dite « du nouvel âge ». Cette sagesse canalisée indique à la fois un tournant culturel et possiblement un tournant individuel pour chaque lecteur et chaque lectrice de ses livres. Nous voici au seuil d’une manifestation spirituelle rigoureuse marquée par une excellente méthodologie de transformation personnelle.

Par Francesca du blog : http://channelconscience.unblog.fr/   

Vous pouvez visionner des vidéos de Paul Selig ici : https://www.youtube.com/user/paulseligvideos

Ainsi qu’un site : http://paulselig.com/

Bonne visite à vous !

Publié dans:CHANNELING |on 17 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

MÉDECINES CHAMANIQUES

médecine chamanique

Souffle de l’esprit, alliance avec la nature, globalité de l’univers, voici que reviennent à la mode des pensées que le XXème siècle avait oubliées. Véritable pirouette des Temps Modernes, cette autre façon de percevoir le monde resurgit presque par surprise des entrailles mêmes de l’humanité. A vrai dire, elle fut pendant des millénaires la voie spirituelle et instinctive de l’humanité, avant d’être étudiée, non sans une certaine condescendance par l’Homme Blanc, sous le terme générique de chamanisme. A la fois ancêtre des « grandes » religions et technique archaïque de guérison, on se précipitait à son chevet pour en recueillir ses ultimes soupirs. Contre toute attente, le chamanisme est resté bien vivant… il s’est adapté aux nouvelles contraintes en prenant de multiples formes dites néochamaniques, il se propose même aujourd’hui de pénétrer la modernité jusqu’à la réformer. 

Définir le chamanisme est certainement une entreprise des plus délicates tant la diversité de ses formes d’expression est immense. Le terme même de chamanisme faisant référence à une doctrine ou un culte établi est d’ailleurs fort mal adapté pour tenter de le cerner. Il serait plus opportun de parler de chamanismes au pluriel afin d’insister sur ses multiples facettes et interprétations du monde, voire de chamanité pour mieux traduire cet état d’esprit si particulier qui forge toutes les cultures dites primitives et qui probablement a pris naissance dés l’apparition des premiers hommes sur Terre.

Des chamanes de Sibérie (saman en langue Toungouse) aux hommes-médecine des Amériques en passant par les sorciers-guérisseur d’Australie ou d’Afrique sans oublier nos druides, chaque continent a vu surgir une infinité de versions du sacré, chacune d’entre elles s’illustrant par une pratique spécifique fondue dans une culture, une géographie, un climat, un mode de vie. Aussi différentes que puissent être ces visions du sacré, une idée centrale forge leur unité : hors de portée de nos cinq sens, la nature possède en son sein des « forces » actives sur la vie ordinaire. Appelées esprits ou flèches magiques, elles peuvent être perçues de tous, mais seul le chaman grâce à un apprentissage particulier parvient à les atteindre et les manipuler. En d’autres termes, le point de rencontre des mille versions du chamanisme réside dans une certaine forme de sacralisation de la nature, ce qui précisément le rend attrayant en ces temps d’écologisme.

Perception culturelle du monde et chamanisme

Le chamanisme ne peut cependant pas se réduire à une simple vénération des forces cachées de la nature car il se veut avant tout une manière d’envisager le monde et d’interagir avec lui. Plus qu’une voie spirituelle quelque peu abstraite, il est un modèle de vie cherchant à mettre en pratique au quotidien l’alliance avec l’univers, une sorte de fusion totale qui conduit à des notions de temps et d’espace bien différentes de celles aujourd’hui couramment admises.

La pensée sauvage refuse notamment l’idée d’un monde extérieur, indépendant et hostile à la survie de l’individu. Elle se fonde au contraire sur un principe simple, traduit ici en termes occidentaux : l’univers contient l’homme et l’homme renferme l’univers. Abolissant toute idée de lutte, l’être humain n’est pas seulement dans la nature, il est la Nature. On a trop souvent voulu réduire cette position à une sorte de soumission de l’être humain aux forces de la nature. Or, il n’en est rien. Car à l’instar de la notion de « Terre-Mère » chère à tous les Amérindiens, c’est bien de complicité ou de connivence dont il faut parler. Ainsi à titre d’exemple, la foudre qui s’abat tout près du village n’est pas perçue comme un déferlement des puissances hostiles, mais sera interprété sous la forme d’un message adressé aux hommes, lesquels en sont peut-être la cause par leurs actes récents. De même, l’ours, le loup, l’anaconda ou le jaguar, animaux capables d’attaquer l’homme dans certaines circonstances, sont systématiquement considérés comme nos proches ancêtres avec la volonté évidente de forger une alliance avec eux plutôt que de verser dans une peur irrationnelle. Ici, les légendes ne racontent pas le monde, elles sont littéralement investies du pouvoir de créer la réalité, une réalité mouvante de par le mode de transmission oral, mais une réalité à la mesure des hommes et que les anthropologues ont appelée cosmovision.

Chamane

Sans cesse à l’écoute des forces qui meuvent la nature, le sauvage entretient ce lien magique qui le relie à l’univers entier. Cette vision le transcende, il n’est plus seul mais en communion avec le « Grand Tout », une sorte de confident mystique de l’univers. Humble particule d’une fresque grandiose, il a su cultiver une certaine conception de la solidarité aujourd’hui inconnue en Occident : les hommes étant reliés entre eux et avec leur environnement, toute modification d’attitude de l’un d’eux ou événement naturel influencera leur propre vie. En terre sauvage, il y a comme de la prudence ou de la précaution à ne pas gêner l’équilibre du Grand Tout et un souci constant de se fondre avec celui-ci comme pour mieux profiter de son étonnante dynamique.

La pensée sauvage refuse aussi l’idée d’un temps linéaire déroulant son intraitable empreinte sur l’espace. Aux antipodes de cette conception, les peuples de la nature affectionnent dilater l’instant présent au point d’en oublier leur passé et de ne rien attendre du futur. Par exemple, pour beaucoup d’entre eux, le premier homme est né tout au plus deux ou trois générations avant les derniers aïeux qu’ils ont connus. Etouffer la marche du temps, c’est en quelque sorte rendre à l’espace son entière puissance. On parvient alors à saisir toutes les forces de l’univers concentrées en un seul instant dilaté et omnipotent. Celles-ci dansent une sarabande éternelle et l’homme pris dans son tourbillon se doit d’interagir avec elles pour maintenir le miracle de sa vie. Sauver sa vie n’est pourtant pas le sentiment qui s’en dégage. On pourrait presque dire qu’il faut savoir donner sa vie pour qu’elle existe vraiment. Aussi, il n’est pas étonnant de constater que pour tous ces peuples, le prestige et les valeurs morales ont plus d’importance que les aspects matériels. Conséquence incontournable de cette disposition d’esprit, la vie et la mort se côtoient en permanence. L’une et l’autre sont à l’oeuvre en même temps et rien ne servirait à repousser l’une au profit de l’autre, telle la surprenante attitude des peuples premiers pour qui la notion de survie est en elle-même inconcevable.

Le chamanisme est à n’en point douter l’héritier légitime de cette façon ancestrale de penser le monde. Il se propose de plonger au delà de nos sens à la recherche de cette autre partie du monde qui nous échappe. Voyages hallucinatoires, transes extatiques, envoûtements, c’est dans une sorte de « réalité profonde » que se meuvent les chamans. Mais leurs efforts seraient vains, si tout un peuple derrière eux ne se sentait pas concerné. En terre sauvage, il est du ressort de chaque homme, de chaque femme d’aller à la rencontre des signes annonciateurs du monde total. Plus qu’un devoir, cela est devenu le sens de leur vie comme de leur mort. Car cette réalité-là est perçue comme le cadre élargi de la vie, la véritable dimension dans laquelle il faut agir pour orienter le modeste destin de chacun.

lire la suite sur http://arutam.free.fr/

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE, PLANTES |on 16 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Esprit Animal de notre Cœur

 

L’Association Wakama Nagi

Ferme de Saint-Ygnan – 09200 Montjoie-en-Couserans

Esprit Animal De notre Cœur est né un Rêve… à offrir et à partager

 http://wakama-nagi.org/

plan

L’association Wakama Nagi est posée dans un magnifique lieu entre les montagnes, avec ses arbres, ses prés, son ruisseau qui parcourt tout l’ensemble et offre son courant aux animaux du site. Cet endroit est dédié avant tout à la Communication entre les Vivants, toutes espèces, et bien sûr avec les Animaux, ainsi qu’aux soins aux Humains, Animaux et lieux. Il s’agit d’offrir un accueil du Cœur, du Corps et de l’Esprit afin que chacun, quel qu’il soit, puisse reconnecter sa source et sa saveur et ainsi avoir joie à partager cela avec les vivants. Prenez cela comme un hymne à l’Amour et à l’Harmonie, l’Homme étant à nouveau un élément issu de la Nature et participant en cœur à la vie qui l’entoure, avec respect, découverte de l’Autre, et envie de partage dans un bien-être simple retrouvé.

Un lieu et un espace où il est proposé à l’Homme de réentendre les Animaux et la Nature, sa Nature. Retrouver l’Écoute.

Nous accueillons ici des Animaux en détresse, nécessitant soins et écoute. Certains sont restés parmi nous et offrent ainsi leur regard lumineux et plein de compréhension sur nos propres difficultés, qu’elles soient physiques, relationnelles, émotionnelles, ou plus. Non seulement, ce sont nos amis, mais en plus les animaux du site sont d’immenses acteurs en faveur de la guérison des hommes et autres animaux qu’ils rencontrent. Tous les Animaux du site, qu’ils soient recueillis ou amis de plus longue date, vous aident dans votre recherche de l’Écoute intuitive et sensitive, et dans tous les processus de soins.

La communication entre les humains est parfois si difficile que le parcours de la vie ne nous permet pas de nous sentir en sécurité dans notre milieu, même quotidien. La relation à l’animal et l’écoute qu’il nous propose nous permettent alors de sortir progressivement de l’écueil de la solitude, ou du moins de l’illusion de la solitude, du jugement, des peurs et de nous tourner enfin vers le simple plaisir de vivre. Ainsi, fort de l’entente entre les vivants, forts des sensations de rencontre avec l’Autre, avec soi, il est plus aisé d’apaiser nos inquiétudes, de développer de façon saine et équilibrée tous les pôles de notre vie, du matériel au spirituel, et de tisser des relations de joie dans tous les domaines de notre existence, sans renier notre histoire.

C’est un voyage dans le Cœur, le vôtre, celui des Humains, des Animaux, de la Terre et de la Vie elle-même que je vous propose. En ce sens, l’Association présente différentes activités, menées par plusieurs intervenants, tous mus par un souhait profond d’harmonie, de partage, et d’œuvre pour une confiance en la vie.

Du soin naturel, aux sons guérisseurs, à l’écoute et la communication en intuition avec les Animaux, le visible et l’invisible, en passant par des ateliers de découverte et d’ancrage de nos sensibilités, pour les grands, les petits, Tous avons ici la possibilité d’élargir nos horizons et d’entrer dans une aire de partage où l’homme ne serait plus un ultra-prédateur phobique de sa propre vie, mais un reconnaissant du sacré et du conscient de chaque individu, qu’il soit animal, humain, végétal, minéral ou bien encore autre ! Le tout…pour juste être heureux, cohérent et vivant !

Au sein de l’Association sont donc proposés des stages en groupes ou si besoin individuels, des ateliers de partage et découvertes sur différents thèmes, des rencontres autour de repas ou ballades à thèmes. Des soins individuels par différents thérapeutes-accompagnants sont possibles, ainsi que des activités de médiation animale toutes espèces (y compris équithérapie) pour des groupes ou en individuel.

Vous avez aussi la possibilité de venir séjourner à la ferme pour un moment de ressourcement, sur un ou plusieurs jours, avec ou sans soins spécifiques ou stages, pour venir passer du temps avec nos amis animaux du site et découvrir la beauté et la diversité de la vie et des échanges avec les vivants. Laissez nos amis animaux vous aider à retrouver votre joie et curiosité parfois enfouie par un rythme ardu et un stress obstruant votre lumière. Ils vous raviveront les sens et le cœur, et vos maux, y compris physiques pourront trouver réconfort.

Un conflit avec votre ami cheval ? Nous pouvons vous accueillir ensemble pour proposer une médiation et un soin commun par la communication en intuition. Toute votre famille peut bien évidemment venir vous accompagner dans ce périple et déguster des moments de vie simples et riches en sensations bienveillantes.
Nous accueillons aussi des bénévoles (membres actifs) qui souhaiteraient nous apporter soutien à l’entretien du lieu, au bien-être des Animaux, à la création de nouvelles installations (les projets sont en abondance !) et ouvrir un beau vent frais et chaleureux sur notre lieu.

Le cadre permet de sortir en pleine nature et de profiter en même temps des infrastructures à disposition (salle de stage, grande cuisine équipée avec table, terrasse couverte pour se reposer, se rassembler ou manger, douche, wc, aménagements sanitaires et de parcours pour personnes en fauteuil, etc.). De ce fait, chaque participant peut emmener de quoi préparer à manger et manger sur place en partageant, pourquoi pas avec les autres personnes présentes en passage sur le site.
Concernant l’hébergement, des mobile-homes (isolés en bois et avec toit végétal, chauffage) vous sont proposés. Quand le temps le permet, il est possible de poser sa tente sur le site et de bénéficier des douches et toilettes à disposition.

Vous naviguerez ainsi au milieu des Animaux du site qui portent tous consciemment leur Nom. Il y a les chevaux et poneys, les ânes, les chiens, les chats, les furets, les vaches jersiaises, la zébu naine, le renne, les lamas, les dromadaires, les chèvres et moutons de différentes races dont certaines rares, les lapins nains, les cochons d’inde, les tourterelles, les gerbilles, les canards, les poules, et bientôt les tortues et perroquets en sauvetage. Tous avec leur générosité et leurs sensibilités particulières, sauront ouvrir et dégager la voie de votre cœur !

wakama-nagi

Intervenants et créateurs de l’Association Wakama Nagi

Patrick Chêne : ostéopathe humain et vétérinaire, il est avant tout un guérisseur des corps et des esprits et chanteur pratiquant pour soigner certains sons harmoniques ou autres chants intuitifs libérateurs. En toute simplicité et efficacité, il déploie une force de cœur dans les soins qui sait toucher les tréfonds des douleurs physiques pour un retour à la guérison et à la paix. L’harmonie est une quête. Il offre la possibilité d’apprendre à tous, la pratique du chant diphonique, pour soi, pour les soins. Également il enseigne la pratique de l’ostéopathie animale et humaine à des professionnels de santé.

Contact au 06 12 28 05 42 ou contact@patrick-chene.fr

Florence Emmeline Lombardini : medium et claire-sentante depuis petite, elle a développé une communication aisée avec les Animaux, ses bénéfacteurs, qui lui sont extrêmement proches depuis son enfance. Elle leur dédie des soins et stages et partages pour permettre à tous de réamplifier et poser nos sens et ainsi gagner en guérison et sérénité. Réunifier l’Être et les Êtres par-delà les apparences et les souffrances. Il s’agit de la communication animale et humaine intuitive, des soins, des contacts élargis avec les êtres visibles et invisibles de la Création. Elle est également ostéopathe de formation vétérinaire et soignante intuitive. Elle propose un accompagnement tant physique sensitif que multidimensionnel en cœur et en esprit. Le retour à la simplicité naturelle enfantine est au centre de sa pratique pour nous offrir d’accueillir les qualités de Joie et de Santé propres aux Vivants.

Contact au 07 70 88 41 32 ou contact@terres-d-emeraude.eu

Stages de formation

proposés par Florence Emmeline Lombardini

Florence Emmeline propose stages et partages pour permettre à l’Homme de réhabiliter ses perceptions sensorielles et poser ses intuitions ce qui lui offre la possibilité d’entrer plus consciemment en relation avec la Nature et avec lui-même.

Développer sa sensibilité tout en intégrant sa présence, pour communiquer avec les Animaux, la Nature et ses Energies, et avec tout Vivant, visible et invisible, tout autant qu’avec…l’Humain ! Cette mise en relation est au cœur des stages qui visent à réapprendre la communication en intuition et toutes ses vertus : Réunifier l’Être et les Êtres par-delà les apparences, y compris les différences d’espèces, et se laisser enseigner la vie par la vie elle-même, et (se) porter soin.

Florence Emmeline vous propose un accompagnement pour une ouverture relationnelle subtile avec le Monde et ses vivants, dont les Animaux, et donc aussi avec Soi. Sous forme de stages, elle vous accompagne dans le retour à une communication plus consciente et intuitive, sensitive en cœur et en esprit, avec la Nature et ses habitants, tant visibles qu’invisibles. Sentiment d’appartenance à une même Création, pour sentir à nouveau la joie couler dans vos corps et explorer les liens merveilleux qui nous unissent tous et qui sont alors libres de s’exprimer plus clairement. Lien d’amour, de partage, d’apprentissage réciproque, pour aider au bonheur de chacun.

 

Publié dans:ANIMAUX |on 16 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Les nombres karmiques

nombre-karmique

Les lettres qui composent notre prénom nous modèlent, nous structurent. Elles représentent en quelque sorte notre «bagage-départ», les atouts et les handicaps qui nous permettront de progresser au long de notre chemin de vie. Posséder ou non des lettres d’une valeur donnée dans notre prénom nous permet de vivre ou au contraire de ne pas vivre l’influence des nombres qui leur sont liés. Certains ont ainsi des expériences de vie que d’autres ne font pas. Les nombres absents dans le prénom se nomment, en numérologie, « nombres manquants » ou «karmiques». Ils sont significatifs de comportements, d’aspects psychologiques, de handicaps à dépasser.

Ces derniers ne sont en aucun cas définitifs, et l’on peut les améliorer, à partir du moment où l’on en est conscient, afin de progresser et de devenir des êtres équilibrés, humains et sociables. Dans tous les cas, le nom de famille atténuera bien entendu les lacunes de notre prénom.

Chacun d’entre nous possède des points forts et des points faibles qui représentent notre intérêt individuel. Ne pensez surtout pas qu’un prénom et un nom de famille comportant des lettres de chacune des neuf valeurs soit synonyme d’équilibre parfait et de vie facile. Le sujet aura dans ce cas à vivre chacune des leçons liées à tous les nombres, aucune avec une intensité particulière, mais toutes devront être vécues. Sachez que ce qui fait l’intérêt de chacun d’entre nous, ce sont aussi nos défauts, nos manques et nos faiblesses, contre lesquels nous luttons au quotidien dans le but de progresser et d’améliorer nos rapports avec les autres et le monde.

En numérologie comme en astrologie, un thème trop équilibré, signe parfois d’une trop grande facilité, peut être aussi synonyme de manque de personnalité ou de caractère, de linéarité et d’une existence monotone, morne et sans piquant. Les leçons liées à nos nombres manquants ne sont pas inéluctables, soyez-en bien persuadé : il est possible de les combler dès que nous en prenons conscience. Il est bon de les connaître chez un enfant afin de les lui faire travailler le plus tôt possible, idéalement dès l’âge de raison. Les parents en feront ainsi un être plus équilibré, sociable, et en mesure d’avancer la tête haute dans l’existence.

 

SOURCE / http://www.signification-prenom.com/

Publié dans:CHIFFRES, KARMA |on 13 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Correspondance lettres et nombres

 

numeration

Parallèlement aux neuf premiers nombres, notre alphabet comporte vingt-six lettres. Chacune d’entre elles est en définitive rattachée à un nombre premier par le principe de l‘addition THÉOSOPHIQUE, et ainsi la simplicité de la méthode pythagoricienne apparaît.

Tout nombre, quel qu’il soit, se réduit, par ce principe de l’addition théosophique, à un nombre premier compris entre 1 et 9.

 Par exemple : 

10 fait 1 + 0 = 1
16 fait 1 + 6 = 7
29 fait 2 + 9 = 11 qui fait 1 + 1 = 2
93 fait 9 + 3 = 12 qui fait 1 + 2 = 3
1990 fait 1 + 9 + 9 + 0 = 19 qui fait 1 + 9 = 10 et 10 = 1 + 0 = 1

Ainsi :

A, première lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 1

B,  deuxième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 2

C,  troisième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 3

D, quatrième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 4 

E,  cinquième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 5

F,  sixième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 6

G,  septième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 7

H, huitième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 8

I, neuvième lettre de l’alphabet, a une valeur de pur 9

J, dixième lettre de l’alphabet, commence déjà la deuxième octave des nombres et possède les valeurs du 1 pur (car 10 fait 1+0=1), mais amplifiées, avec une vibration supérieure

K, onzième lettre de l’alphabet, poursuit cette deuxième octave, comporte les significations du nombre 2 (car 11 fait 1 + 1=2), mais particulièrement teintées de la symbolique du nombre 1, puisque répété deux fois. Par ailleurs, le 11 est, en numérologie, un maître nombre qui possède des vibrations élevées, qui seront attachées à la signification de la lettre K

L, douzième lettre, comporte les significations du nombre 3 (car 12 fait 1+2 = 3), teintées des nombres 1 et 2

M, treizième lettre, comporte les significations du nombre 4 (car 13 fait 1+3 = 4), teintées des influences du 1 et du 3
N, quatorzième lettre, comporte les significations du nombre 5 (car 14 fait 1+4 = 5), teintées des influences des nombres 1 et 4

O, quinzième lettre, comporte les significations du nombre 6 (car 15 fait 1+5 = 6), teintées des influences des nombres 1 et 5

P, seizième lettre, comporte les significations du nombre 7 (car 16 fait 1+6 = 7), teintées des influences des nombres 1 et 6

Q, dix-septième lettre, comporte les significations du nombre 8 (car 17 fait 1+7 = 8), teintées des influences des nombres 1 et 7

R, dix-huitième lettre, comporte les significations du nombre 9 (car 18 fait 1+8 = 9), teintées des nombres 1 et 8

S, dix-neuvième lettre, comporte les significations du nombre 1 (car 19 fait 1 + 9 = 10 = 1), teintées des nombres 1 et 9, et termine cette deuxième octave

T, vingtième lettre, comporte les significations du nombre 2 (car 20 fait 2 + 0 = 2), mais amplifiées, une octave au-dessus

U, vingt et unième lettre, comporte les significations du nombre 3 (car 21 fait 2+1=3), teintées des nombres 2 et 1

V, vingt-deuxième lettre, comporte les significations du nombre 4 (car 22 fait 2 + 2 = 4), mais, notons que, deuxième maître nombre de la gamme, 22 possède des vibrations intenses et élevées

W, vingt-troisième lettre, comporte les significations du nombre 5 (car 23 fait 2 + 3 = 5), teintées des nombres 2 et 3

X, vingt-quatrième lettre, comporte les significations du nombre 6 (car 24 fait 2 + 4 = 6), teintées des nombres 2 et 4

Y, vingt-cinquième lettre, comporte les significations du nombre 7 (car 25 fait 2 + 5 = 7), teintées des nombres 2 et 5
Z, vingt-sixième lettre, comporte les significations du nombre 8 (car 26 fait 2 + 6 = 8), teintées des nombres 2 et 6.


PYTHAGORE

 

Publié dans:CHIFFRES |on 13 septembre, 2015 |Pas de commentaires »
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