Archive pour janvier, 2016

Nous sommes enfants des Etoiles

 

Voici un élément qui s’inscrit dans le cadre de votre fidélité envers Dieu. Ecoutez attentivement… toute entité contactée par channeling qui apparaître dans votre vie, honorera autant votre Moi Divin qu’elle honore le sien propre. Le Moi Divin qui vous accompagne partout est un fragment de Dieu. C’est aussi un fragment de Dieu qui est votre partenaire lors d’une séance de channeling.

Ceux qui parmi vous pensent contacter des entités, alors vérifier ceci : voyez si elles honorent votre Moi Divin. Essayer de voir si elles affirment être plus importantes que votre ange intérieur et, si c’est le cas, éloignez-vous en courant. Car rien n’est plus élevé sur cette planète que ce que vous portez en vous-même.

ascension

Le channeling, ce sont des informations que votre Moi divin et votre nature humaine transforment en nourriture spirituelle. Lorsque l’information vous est communiquée, prenez-la, faites-en ce que vous voulez, puis rangez-la. Ne considérez jamais le canalisateur comme un gourou. N’abandonnez jamais votre libre arbitre. Au contraire, communiquez l’information reçue du channel à votre Moi Divin, et celui-ci vous guidera dans votre vie, car vous êtes un fragment sacré de Dieu. C’est cette partie sacrée en vous qui dirige, pas le channel. Considérer le channel comme un gourou est une infidélité envers Dieu, c’est-à-dire envers votre Moi Divin.

L’une des caractéristiques de la nature humaine qui apparaît comme la plus étonnante pour l’Esprit, c’est lorsque certains, de façon délibérée, décident de rebrousser chemin sur la voie de l’illumination et de provoquer un  drame personnel. Tout le monde connaît des êtres qui agissent ainsi. Au moment même où tout va bien, ils se disent : « Il me semble que tout est trop tranquille. Je pense que je vais revenir en arrière et créer quelques problèmes. Je me sentirai mieux ». Et nous sommes nombreux à agir ainsi.

Nous avons grandi d’une certaine façon. Nous nous sommes habitués à certains sentiments, accoutumés à certaines choses autour de nous et nous essayons de recréer ce milieu a priori plus confortable lorsqu’il semble vouloir disparaître, simplement parce que nous y sommes accoutumés.

Cependant, accepter la disparition des drames personnels exige des efforts. Nous n’avons nul besoin de drames personnels pour nous sentir à l’aise. Malheureusement, nous pouvons nous parler pendant très longtemps et ne jamais parvenir à nous comprendre. Les raisons à cela sont multiples, mais une explication réside dans le fait que nous ne parvenons jamais au même niveau de communication. L’un parle d’un sujet mais l’autre entend autre chose.

Comme s’assurer que la communication sera bonne. Il existe une ligne toute prête, à votre disposition, pour vous permettre de parler avec l’Esprit aussi facilement que je vous parle. Cette ligne de communication est prête à fonctionner aussi facilement que l’amour qui s ‘écoule de vous à moi, jusqu’au cœur des humains. Nous n’avons pas besoin de l’installer. Tout ce que nous avons à faire, c’est de savoir où la trouver.

En voici la clé : Lorsque vous vous asseyez pour méditer, la première chose que vous devriez visualiser, c’est l’ange doré assis au plus profond de vous-même, comme un fragment de Dieu, et digne d’être assis dans ce fauteuil doré. Cela dégage la ligne de communication, croyez-moi. Il s’agit, du problème de l’estime de soi. Prenez bien conscience du « fragment divin » que vous représentez réellement. Ouvrez la porte et commencez la conversation. Ne soyez pas servile. N’ayez pas l’attitude d’un enfant envers ses parents, ni celle d’un mouton face à son berger. Il est temps de parler à votre partenaire, celui que vous aimez tendrement et de vous asseoir dans votre fauteuil avec lui, tel un ange. Ressentez ses ailes déployées et commencez la conversation d ‘égal à égal.

Si vous n’êtes pas convaincus de le mériter, alors il n’y aura aucune conversation possible. Vous pourrez parler autant que vous le voudrez, en espérant que Dieu vous entendra. Les mots que vous prononcerez tomberont directement aux oubliettes.

L’Esprit souhaite simplement parler comme avec un partenaire.

Quand devons-nous communiquer ?

Deux règles sont à retenir. La première : Ne jamais communiquer lorsque vous êtes fatigués car vous risquez de vous endormir avant de terminer votre communication. La seconde : N’attendez pas d’avoir des problèmes. Entraînez-vous régulièrement à communiquer chaque jour. N’attendez pas d’être confrontés à un problème insurmontable. Il est tellement plus difficile pour notre partenaire de travailler avec nous lorsque nous sommes effrayés. La peur est un mot que nous n’avons pas encore entendu au cours de ce passage, car le partenariat avec le divin bannit la crainte. C’est un concept de la vieille énergie … Elle n’a plus sa place lorsque nous avançons en vibrant sur une fréquence plus élevée.

Avec un partenaire comme l’Esprit, vous serez au bon endroit, au bon moment. Et vous ne devrez jamais ni vous inquiéter, ni craindre tous ces changements terrestres actuels. Il est vrai que certaines épreuves nous seront peut-être réservées et que certains perdront des biens, mais les leçons seront claires et nous seront toujours communiquées avec amour. Claires et édifiantes pour notre développement.

Il n’y a pas d’amour plus profond que celui d’une entité qui accepte de descendre s’incarner en humain sur la planète. Nous avons des couleurs éblouissantes qui traversent le voile de l’au-delà car c’est ainsi que nous sommes réellement. Le moment vient où vous pourrez utiliser ces informations car il n’existe aucun amour plus profond que celui-ci.

Francesca du blog : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:CHANNELING, PLANETES, REINCARNATION |on 31 janvier, 2016 |1 Commentaire »

Le girofle qui enfonce le clou

 

Antiseptique, anti-inflammatoire, anesthésiant local, antioxydant le clou de girofle devrait avoir une place d’honneur dans nos cuisines. Tonique général il est également très utile pour combattre les virus de l’hiver tels que la grippe ou la gastro entérite. Utilisé entier ou sous forme d’huile essentielle le clou de girofle saura également apaiser les rages de dents et soigner la parodontite.


clou-de-girofle

Largement utilisé pour ses contributions culinaires, le girofle est aussi un bienfaiteur pour la santé. Cette épice, dont l’usage remonte à plus de deux millénaires avant J.-C., est anti-inflammatoire, anesthésiant local, antiseptique et apaise les douleurs musculaires, entre autres. Vous n’en avez pas dans votre cuisine ? Réparez d’urgence cette omission, car vous allez voir qu’il a sa place au pinacle des épices.

Objet de convoitise dès l’Antiquité

Le giroflier serait originaire de l’archipel indonésien des Moluques du Nord (Maluku Utaraen indonésien). Son expansion est difficile à saisir précisément : il en est fait mention dans un manuel de médecine ayurvédique vieux de 1500 ans, et des fouilles archéologiques ont exhumé un clou de girofle dans les restes calcinés d’une cuisine du site mésopotamien de Terqa, dans l’actuelle Syrie, vieux de 1700 ans avant J.-C.

En Europe, on doit la première expansion du clou de girofle aux Arabes, qui en ont fait un commerce relativement intensif à partir du IVe siècle, au point qu’il devient un phénomène de mode pendant tout le Moyen Âge auprès des populations les plus aisées. Dante (1265 -1321) le cite dans sa « Divine Comédie » comme étant d’un usage réservé aux riches Siennois.

Avant eux, les Grecs et les Romains avaient déjà connaissance de ses vertus tant culinaires que médicinales, et ce dès le Ier siècle, tandis que les Chinois les utilisaient au moins depuis la dynastie Han (206 av. J.-C. – 220 ap. J.-C.). La légende prétend qu’il était impérieux de se rafraîchir l’haleine en mâchant un clou de girofle avant de se présenter devant l’empereur…

Mais ce sont les Portugais qui font véritablement rayonner cette épice rare à travers le monde. Au XVIe siècle, à l’occasion de leur arrivée dans les îles Moluques, ils développent un commerce agressif, avec une farouche volonté d’exclusivité. A tel point qu’ils finissent par se mettre définitivement à dos les populations autochtones. Ils finiront par être refoulés, laissant la place et le monopole du giroflier local aux Hollandais.

Aujourd’hui, le principal pays producteur reste encore l’Indonésie, qui produit des clous de girofle de qualité supérieure, ce qui est également le cas de la Tanzanie. La production en provenance de Madagascar, de la Réunion et de l’Île Maurice serait en revanche de qualité inférieure car moins riche en huiles essentielles. Le giroflier est également cultivé à moindre échelle aux Antilles, en Inde, au Sri Lanka, en Malaisie, au Gabon…

Une odeur de dentiste

Depuis notre première visite chez un dentiste dans notre tendre enfance, nous sommes tous capables d’identifier l’odeur caractéristique qui règne dans ces lieux au premier coup de narine.Cette atmosphère si particulière est la signature olfactive de l’eugénol, composant principal (70 à 85%) de l’huile de girofle. Mais n’allez pas imaginer que les dentistes s’évertuent à parfumer leurs cabinets avec un brûle-parfum et de l’huile essentielle de giroflier. L’eugénol est juste un composé aromatique qu’on retrouve dans quelques spécialités de base dont ils se servent au quotidien pour les soins qu’ils dispensent, à des fins antiseptiques, anesthésiques et cicatrisantes notamment.

Ces vertus en dentisterie ne datent pas d’hier et ne sont pas l’apanage des cabinets dentaires. Vous pouvez recourir aux bienfaits du clou de girofle chez vous, ce que vous faites probablement de toute façon – sans en être forcément conscient – ne serait-ce qu’en utilisant un bain de bouche du commerce. En cas de dent ou de gencive douloureuse, écrasez légèrement un clou de girofle et placez-le à l’endroit où ça fait mal. Vous calmerez la douleur en attendant de pouvoir consulter.

Vous pouvez également fabriquer votre propre bain de bouche à base de girofle : portez l’équivalent d’une tasse d’eau à frémissement et retirez immédiatement du feu. Ajoutez 5 à 6 clous de girofle et laissez infuser pendant que le mélange refroidit. Retirez les clous de girofle, c’est prêt. En plus d’assainir la cavité buccale, cette préparation rafraîchit l’haleine. Si vous avez besoin d’une action renforcée, mâchez carrément un clou pendant quelques minutes, et vous n’aurez plus peur d’ouvrir le bec en société ! Pour plus de détails sur l’hygiène bucco-dentaire, voyez l’article d’Alexia Blondel consacré à ce sujet dans notre numéro de janvier de Plantes & Santé (disponible en numérique ou en kiosque). Elle vous y propose notamment une synergie d’huiles essentielles pensée pour les infections, la douleur ou les inflammations de la sphère buccale et dentaire (infections, parodontite…). 

Un soutien pour la digestion

Qui ne connaît pas quelqu’un qui se plaint de digestion difficile, de ballonnements, de gaz intestinaux ? Ce genre de désagréments est très répandu et généralement lié à des phénomènes de putréfactions intestinales, d’infections à divers germes peu recommandables (streptocoque, staphylocoque, colibacille, candida, helicobacter…). Ils s’accompagnent souvent de spasmes, quelques fois de diarrhées, et il n’est pas rare que l’ensemble conduise à une inflammation chronique de l’intestin.

Bref, mieux vaut passer à l’action avant les complications ! Pour cela, vous pouvez recourir à l’huile essentielle de giroflier (jamais pure, elle est dermocaustique !) mais aussi au clou de girofle entier dans une tisane, ou en poudre pour l’incorporer à petites doses mais de façon régulière dans votre alimentation. Pour la tisane, rien de plus facile : faites infuser 4 à 5 clous de girofle légèrement écrasés pendant une dizaine de minutes dans une tasse d’eau bouillante. Comme le goût est assez fort, adoucissez avec un peu de jus de citron et une cuillère à café de miel.

Sous forme d’huile essentielle, il est impératif de la diluer dans une huile végétale, comme l’huile d’olive, de sésame ou d’amande douce, à 10% en usage externe. Ceci fait, on peut l’utiliser pour des massages de l’abdomen deux à trois fois par jour. Renforcez par voie interne, en diluant 1 à 2 gouttes d’HE de girofle  plus 1 goutte d’HE de citron dans une cuillère à café d’huile végétale, d’une à trois fois par jour avant les repas. Vous pouvez faire ce mélange vous-même ou, si vous préférez, utiliser des capsules toute prêtes de synergie d’huiles essentielles, dont le clou de girofle

Fatigue, faiblesse immunitaire : au clou !

Le clou de girofle est aussi un tonique général, avec des affinités particulières pour les sphères immunitaire, endocrinienne, digestive, urinaire et utérine. Il est parfait pour l’hiver, au moment où la faible luminosité et le froid entament notre vitalité et notre optimisme, et dès qu’apparaissent les premières épidémies virales, grippe en tête. 

Pour stimuler l’immunité, le massage est de mise, comme pour l’abdomen, mais on l’appliquera cette fois sur le dos ‒ en insistant le long de la colonne vertébrale ‒ et sur la plante des pieds. Pour renforcer l’efficacité du clou de girofle, vous pouvez ajouter de l’HE de ravintsara, à raison de 2 gouttes en plus d’une goutte d’HE de clou de girofle, à nouveau dans une cuillère à café d’une huile végétale.

En cuisine, il joint l’utile à l’agréable

Le clou de girofle ayant un parfum très prononcé, il convient de le doser avec parcimonie pour qu’il n’écrase pas les autres saveurs. Même si c’était justement le but recherché au Moyen Âge lorsqu’il s’agissait de masquer la saveur indésirable d’aliments altérés par des méthodes de conservation peu efficaces…

Souvent associé à la cannelle ou à la muscade, le clou de girofle entre dans la composition de mélanges d’épices orientaux tels que curry ou ras el hanout. Il parfume parfois le café et certaines infusions. En Europe, il sert pour relever les bouillons, marinades de viandes ou plats en sauce (piqué dans un oignon) et on le retrouve dans les plats à base de chou et les conserves au vinaigre.

Parmi les préparations les plus connues intégrant le girofle, vous trouverez les spécialités de Noël que sont le pain d’épices et le vin chaud, ainsi que le célèbre panpepato de Sienne (pain au poivre ou pain du pape), la tarte Linzer… Côté salé, le girofle s’accommode à l’infini, magnifie les terrines et les marinades… Il est aussi un ingrédient indispensable du plat hivernal typique dans l’Est qu’est le baeckeoffe.

Cloves

Quelques précautions

L’HE de clou de girofle est puissante, comme le démontre son caractère hépatotoxique lorsqu’elle est surdosée, ainsi que sa dermocausticité, appliquée pure sur la peau. Il convient donc de s’en servir avec retenue et en respectant les dilutions ainsi que certaines précautions d’emploi :

 

  • Toujours précéder l’utilisation cutanée d’un test dans le pli du coude.
  • L’huile essentielle de clou de girofle est contre-indiquée chez les femmes enceintes et allaitantes et chez les enfants de moins de 12 ans.
  • Ne pas utiliser l’huile essentielle de clou de girofle dans le bain et en inhalation.
  • Lorsqu’elle est utilisée en diffusion, il convient de l’associer à des huiles essentielles plus douces (lavande, orange douce…) et de l’intégrer en très faible proportion.
  • Les personnes sujettes à l’hypertension et/ou souffrant de problèmes hépatiques doivent impérativement éviter son utilisation ou consulter un spécialiste.
  • L’huile essentielle de clou de girofle peut être intégrée dans une préparation culinaire en respectant le dosage (1 goutte à l’issue de la cuisson du plat ou de la sauce). Ne pas la cuire.

Le champion de l’ORAC

Qu’y aurait-il donc à reconnaître au girofle ? Rien de moins que sa première place dans le classement mondial de la puissance antioxydante des aliments. Nous l’avons déjà évoqué ici, mais il est bon de rappeler que le clou de girofle présente l’indice ORAC (Oxygen Radical Absorbance Capacity) le plus élevé qui se puisse trouver.

Cet indice a été mis au point par le Centre de recherche en nutrition humaine du département américain de l’agriculture (Nutrient Data Laboratory, Agriculture Research Service, United States Department of Agriculture) pour mesurer la capacité des aliments à neutraliser les radicaux libres. La valeur ORAC du clou de girofle est d’environ 300 000 unités. À titre de comparaison, le curcuma n’est crédité  « que » de 160 000 unités, le vin rouge de 4500 et le thé vert d’environ 1500. Voilà ce qui s’appelle enfoncer le clou !

 SOURCE de l’article http://www.plantes-et-sante.fr/

Publié dans:PLANTES |on 31 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Nous choisissons notre souffrance

chooisir sa souffrance

La souffrance et le malheur sont les ingrédients de base de la vie cyclique mondaine. Les humains doivent faire face aux quatre grandes souffrances : la naissance, la maladie, la vieillesse et la mort. Il faut encore ajouter les souffrances périodiques ; ne pas obtenir les choses que l’on veut, avoir à faire face à des expériences indésirables, devoir constamment se battre pour obtenir les nécessités de base de la vie, etc… Celles-ci nous tombent dessus comme des vagues déferlantes depuis l’océan. La venue à maturité de ces événements est la souffrance de la souffrance.

Un deuxième type de souffrance est celui du bonheur changeant, ou du bonheur instable. Nous voulons quelque chose et travaillons dire pour l’obtenir, mais en fin de compte, une fois que nous l‘avons, nous en tirons plus de souffrance que de plaisir. Le courant des renaissances est tel que l’on est constamment dans la situation où l’on souffre ou bien d‘avoir ou bien de ne pas avoir. C’est la nature de l’esprit insatisfait.

Il y a un dicton tibétain qui dit : « Si vos possessions ont la taille d’un pou, vos souffrances auront la taille d’un pou. Si vos possessions ont la taille d’une chèvre, vos souffrances auront la taille d’une chèvre ».  Quand on a, on souffre d’avoir ; quand on n’a pas, on souffre de ne pas avoir. Telle est la nature frustrante du bonheur changeant. Nous pensons que si nous achetons ou possédons quelque chose, que si nous nous installons dans un autre pays, notre esprit sera satisfait, mais il n’y a pas de possibilité de satisfaction dans cette approche. A moins de développer la sagesse qui libère du karma et des émotions, tout bonheur est voué à se dissoudre in jour et à être remplacé par de la souffrance.

Les substances mêmes à partir desquelles notre corps est formé sont impures. C’est ce que l’on nous a appris depuis tout petit…. Qu’est-ce que notre corps sinon la quintessence d’un millier de générations d’évolution du sperme et de l’ovule ? Ceux-ci se réunissent dans les parties inférieures du corps, entre des intestins pleins d’excréments et une vessie pleine d’urine.

On doit alors expérimenter l’obscurité de la matrice, dans laquelle notre corps se développe pendant neuf mois, tout lié et enserré. Nous y gisons comme si nous étions ligotés dans un étroit sac de cuir, éprouvant une intense chaleur quand notre mère mange ou boit des aliments chauds, et un intense froid quand elle mange ou boit quelque chose de froid, ayant l’impression d ‘être frappé avec un bâton si elle bouge soudainement, et ainsi de suite. La mère elle-même connaît beaucoup de souffrances durant cette période, et vers la fin de sa grossesse elle se sent presque prête à éclater. Au moment de l’accouchement, sa souffrance est si grande qu’elle doit crier et gémir de douleur.

Nous autres, êtres humains, n’avons pas pris naissance d’une façon grandiose, mais au milieu du sang, de l’urine et de beaucoup de douleurs. Notre entrée dans la vie ne présage en fait rien de bon. Si nous n’utilisons pas notre corps comme un support de développement spirituel, il n’est effectivement qu’un sac inutile empli de sang, de pus, d’excréments et d’os. A moins que notre direction ne soit spirituelle, la seule utilité de manger plus de nourriture est de produire plus d’excrétions.

Parce qu’un corps est un produit du karma et des émotions, c’est une source permanente d’anxiété   et de douleur. Nous finissons en général par passer la plupart de nos vies à le servir, le nourrir, l’habiller, l’abriter, le laver, le soigner quand il tombe malade, et ainsi de suite. Mais à moins que nous ne l’utilisions pour développer notre esprit, nous n’en tirerons en fin de compte aucun bénéfice. Nous mourrons, et le précieux corps que nous chérissons tant, que notre mère regardait avec tant de fierté, refroidira et deviendra nourriture pour les vers. Telle est la réalité que nous devons vivre dans toutes nos existences.

Si nous acquerrons le contrôle des énergies subtiles du corps et des niveaux subtils de conscience nous aurons contrôle sur les éléments internes et externes et pourront par conséquent transformer sa forme ordinaire en un joyeux corps d’arc en ciel. Mais jusqu’à ce que nous puissions faire cela, nous devons accepter le fait que notre base physique est un aimant pour toutes sortes d’inconforts et de souffrances.

Du point de vue de la circulation des énergies, le corps humain ordinaire est la source de nombreuses émotions négatives. Avec l’évolution de nos chakras, Nadis   , gouttes primordiales blanches et rouges, énergies vitales, etc… la nature du flux d’énergies vitales qui agit comme véhicule de l’esprit, parce qu’elle est impure, donne lieur à des états d’esprit impurs, tels l’attachement à la colère. Dans la vue de la circulation des énergies, l’esprit et les énergies du corps qui le soutiennent ont une relation inder-dépendante.

Le corps énergétique nous garde occupé toutes nos vies. Nous devons courir pour satisfaire ses besoins sans fin, pour le garder hors de portée des choses qui pourraient lui nuit et pour le protéger de tout ce qui est désagréable Nous devons lui donner plaisir et confort. Nous devenons moines et cela commence par nous apporter beaucoup de satisfaction : mais rapidement notre corps nous rend les choses si difficiles que nous pensons que notre pratique serait moins perturbée si nous menions une vie de laïque. Nous abandonnons donc la vie monastique et retournons à la vie ordinaire, mais voici alors que nous nous retrouvons avec une grande famille à faire vivre, qui ne nous laisse ni temps ni énergie pour méditer. Nous avons les lourds charges de nourrir nos enfants, de les habiller, de les abriter, de nous occuper de leur éducation et ainsi de suite. Nos vies s’écoulent, partagées entre le travail et les soucis, avec occasionnellement de courtes périodes de plaisir, puis nous devons mourir. Mais, même cela nous ne pouvons le faire en paix car lorsque nous allongeons pour mourir, nos dernières pensées sont pleine de soucis pour la famille que nous laissons après nous. Telle est la nature de l’existence mondaine.

La période la plus heureuse de nos vies, en général, se situe entre les âges de cinq et quinze ans, et la plus créative entre trente et quarante ans. A ce moment, nous sommes dans la pleine fleur de l’âge et pouvons accomplir n’importe quoi, matériellement ou spirituellement.

Les gens les plus beaux deviennent laids quand la vieillesse les atteints. Leurs cheveux tombent ou bien blanchissent, et leur teint ternit. Certains deviennent maigres comme des cadavres, d’autres si gras qu’ils ne peuvent se lever sans être aidés, et d’autres se retrouvent cloués au lit et impotents. Prendre soin de nos personnes âgées – ces personnes qui nous ont donné notre corps, notre vie et notre culture – est un devoir sacré de l’humanité. Mais la plupart des gens agissent davantage comme des animaux que comme des êtres humains, et l’on voit souvent des personnes âgées abandonnées par leur famille. La cellule familiale était très forte auparavant, et les personnes âgées étaient habituellement prises en charge directement par leur famille. Le système occidental d’assistance nationale pour les personnes âgées est un système très bon et très sain, bien que la base spirituelle et psychologique lui fasse peut-être quelque peu défaut.

Nous pouvons donc voir que ce corps est réellement la cause de beaucoup de malheurs dans cette vie et que, c’est triste à dire, en cherchant à satisfaire ses nombreux besoins, la plupart des gens ne font qu’amasser un courant sans fin d ‘instincts karmiques négatifs qui les mèneront dans le future à une renaissance inférieure. Telles sont les souffrances du monde humain.

Cependant, si nous n’avons pas de conviction de l’existence des royaumes célestes, il est suffisant de méditer sur les souffrances humaines. Celles-ci apparaissent avec évidence dès que l’on commence à les chercher. Le point important est de devenir conscient du troisième type de souffrance, la souffrance subtile qui imprègne toute l’existence imparfaite, l’omniprésente misère concomitante avec la possession d’une base périssable…. Un dieu dans les paradis les plus hauts, un humain, un animal, els êtres des enfers et les esprits avides sont tous pris dans les mailles de la souffrance, parce que la nature de leur corps et de leur esprit est liée au processus cycliques compulsifs. Jusqu’à ce que nous développions la sagesse qui puisse libérer l’esprit de ces forces contraignantes, c’est une certitude que nous devrons expérimenter la souffrance tout au long de nos existences et que nous continuerons d’errer sans fin dans la roue de la naissance, de la vie, de la mort et de la renaissance, où la présence de la misère peut être en permanence ressentie, si nous ne faisons rien.

Nous pouvons éliminer les sources les plus profondes de toute notre souffrance en cultivant certaines qualités dans notre courant de conscience. Si nous ne possédons pas de hautes qualités spirituelles, il est certain que les événements dans lesquels la vie nous projettera donneront naissance à la confusion, au désordre émotionnel et à toutes sortes d’états de conscience déformée.  Si notre esprit peut demeurer dans la sagesse qui connaît le mode ultime de l’existence, nous serons en mesure de détruire les racines les plus profondes de la distorsion mentale, du karma négatif et de la souffrance.

Avec une base de discipline éthique, on peut alors entrer dans l’entraînement supérieur de la concentration méditative. C’est pourquoi nous devons méditer sur les souffrances inhérentes aux royaumes même les plus élevés et cultiver une conscience attentive qui considérera spontanément les plus hauts plaisirs tels que la renommée, la fortune, le prestige, etc… du monde humain,  avec aussi peu d’appétit qu’un tigre pour les herbes. L’esprit de liberté, qui est le non-attachement et la non-saisie propres au renoncement intérieur, nous inspirera ainsi à consacre la totalité d entre énergie à transcender toute  imperfection.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

 

Publié dans:HUMANITE, MEDITATION, TOLERANCE |on 30 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

LA MORT ET L’AU-DELÀ


Il existe beaucoup de peurs concernant la mort. La peur de l’annihilation, la peur de l’oubli, la peur d’être engloutis par ce grand trou noir que l’on associe à la mort. Comme c’est si souvent le cas dans la dimension terrestre, vous avez tendance à inverser les choses et à les présenter exactement à l’opposé de ce qu’elles sont en réalité. En fait, la mort est une libération, un retour à la maison, un rappel de ce que vous êtes réellement.

coeur

Lorsque la mort vient, vous retournez sans effort à votre état d’être naturel. Votre conscience fusionne avec la flamme de lumière qui est votre identité réelle. Les fardeaux terrestres sont ôtés de vos épaules. Résider dans un corps physique vous impose des limitations. Il est vrai que vous avez choisi de plonger dans cet état de limitation à cause de la possibilité d’expérience qu’il avait à offrir. Néanmoins, c’est une sensation de félicité que d’être rétablis dans votre état angélique naturel. L’ange à l’intérieur de vous aime voler et être libre, explorer librement les myriades de mondes qui constituent l’univers. Il y a tant à explorer et à expérimenter. Une fois que vous êtes nés dans un corps terrestre, vous perdez plus ou moins contact avec cette liberté angélique et ce sentiment d’être sans limites.

Si vous le voulez bien, joignez-vous à moi, alors que nous revenons au moment qui précède le plongeon dans votre incarnation actuelle. À un niveau intérieur, vous vous êtes donné la permission de commencer cette vie terrestre. Ce fut un choix conscient. Peut-être l’avez-vous oublié, et à l’occasion, vous avez des doutes sur votre réel désir d’être ici. Pourtant, il fut un temps où vous avez dit « oui ». Ce fut un choix courageux. C’est un acte de grande bravoure que celui de troquer temporairement votre liberté angélique et votre sentiment de non-limitation pour l’aventure qui consiste à devenir humain, à devenir mortel. Cette aventure recèle une promesse qui la rend précieuse. Ressentez ce « oui! » qui un jour s’est élevé de votre âme. Souvenez-vous aussi de votre attirance pour la Terre. Ressentez comment vous vous êtes connectés à la réalité terrestre, et ressentez le moment où vous êtes descendus dans l’embryon à l’intérieur de l’utérus de votre mère. Il se peut que vous remarquiez qu’il y a de la lourdeur entourant la planète Terre, une certaine grisaille, une certaine densité.

Il y a beaucoup de souffrances sur la Terre. Douleur, perte, peur, pensées négatives, font partie de l’atmosphère collective. Et c’est ce que vous avez traversé, en tant qu’âme en voie d’incarnation. Votre lumière s’est frayé un chemin à travers cette obscurité et ce faisant, un voile inévitable d’ignorance est tombé sur votre conscience angélique originelle. Ressentez la tristesse de cet événement, et derrière lui, votre courage et votre bravoure. Vous étiez déterminés: « Je vais le faire. Une fois de plus, je vais m’enraciner dans la réalité de la Terre, afin de trouver ma lumière, afin de la reconnaître, de la redécouvrir et de la transmettre à ce monde qui en a tant besoin. »

Oui, ce fut un bond dans l’ignorance. Oublier temporairement qui vous êtes, ne pas vous souvenir de votre état d’être illimité, font partie de l’être humain. Vous oubliez que vous êtes en sécurité et libres, peu importe où vous êtes. Étant humain, vous faites en sorte de clamer à nouveau ce sentiment de liberté et de sécurité. Dans votre quête, il est possible que vous tombiez dans le piège d’énergies qui paraissent vous offrir ce que vous recherchez, mais qui en fait, vous rendent dépendants de choses qui vous sont extérieures. Il se peut que vous vous reposiez sur des jugements extérieurs qui vous disent comment vous comporter afin d’être aimé. Ces fausses images du Foyer, ces substituts, ont tendance à vous attrister et vous déprimer. En fait, le voyage de descente du ciel à la terre a été rude. La mort, toutefois, vous ramène au plan de l’amour et de la sécurité éternels. C’est en mourant que vous vous abandonnez à ce que vous avez toujours été. Si vous mourez consciemment, s’il vous est possible d’accepter la mort et de vous y abandonner, mourir devient un événement joyeux.

Que se passe-t-il lorsque vous mourez? Avant de mourir, vous passez par un processus de séparation et de lâcher-prise. C’est une phase où vous dites adieu à la vie terrestre, à ceux que vous aimez. Ce peut être difficile, mais en même temps, cela vous offre la possibilité de réfléchir en profondeur sur ce que vous êtes, ce que vous avez appris et accompli sur terre pendant votre vie. Dans le chagrin que vous ressentez à quitter ceux que vous aimez, ce qui vous connecte à eux devient encore plus clair. C’est un lien d’amour qui est immortel. Ce lien est si puissant qu’il passe sans effort par delà la frontière qu’est la mort. L’amour est une source inépuisable, donnant pour toujours naissance à une vie nouvelle. N’ayez pas peur de perdre ceux que vous aimez, car c’est au moment de dire adieu que les liens d’amour inconditionnel sont renforcés et reçoivent une vie nouvelle. Car il est certain: lorsque vous vous quittez dans l’amour, vous allez à nouveau vous rencontrer. Vous allez vous retrouver sans effort, car le plus court chemin reste toujours celui du coeur.

Si vous avez aimé ceux qui sont partis, vous pouvez être sûrs qu’ils sont proches de vous au niveau du coeur. Ressentez leur présence, car ils sont ici parmi nous, ils vous saluent. Ils se sentent privilégiés et libres. Ils sont délivrés des doutes qui assaillent tant de vous sur terre et ils aspirent à partager avec vous l’amour et la tendresse qui vous sont accessibles à tout moment.

Ceux qui restent associent souvent la phase qui précède le départ de ceux qu’ils aiment avec des sentiments de tristesse et de perte. Il est naturel de ressentir du chagrin au départ de ceux que l’on aime; il est naturel de ressentir un manque et d’avoir envie de leur présence physique. Toutefois, nous vous encourageons à essayer de ressentir qu’avec leur départ, c’est une porte vers une dimension nouvelle qui s’ouvre, une dimension où la communication est de nature si pure, si claire et si directe qu’elle s’élève au-dessus des méthodes de communication couramment utilisées sur terre. Il vous est possible d’entrer en communication directe avec ceux que vous aimez après leur mort, de coeur à coeur. De cette façon, les malentendus qui survenaient habituellement entre vous sont facilement éclaircis, dès que vous communiquez de façon honnête et ouverte avec eux. Votre message sera toujours reçu.

Lorsque vous mourez, vous verrez ceux qui vivent sur terre selon une perspective différente. Vous serez plus tolérants, plus doux, et vous aurez un sentiment de plus grande sagesse. Vous ne serez pas soudain complètement équilibrés, car il y a des émotions et des sentiments que vous emportez et qui nécessitent d’être gérés. Vous ne serez ni parfaits ni omniscients, sitôt que vous lâcherez prise de la vie physique. Et ce n’est pas si mal, après tout, car il y a encore tant à découvrir de ce côté-ci! Cependant, il y a chez la majorité d’entre vous une perspective nouvelle. La dimension d’éternité est tangible et elle teinte de respect votre vision de ce qui vous préoccupait, vous et vos proches, durant votre séjour terrestre.

Ce channelling a été présenté en direct le 5 février 2006 à Oisterwijk, aux Pays-Bas.
Le langage parlé a été légèrement révisé pour améliorer la lisibilité.

PAMELA KRIBBE « La mort et l’au-delà »  http://www.jeshua.net/fr/

Publié dans:CHANNELING, La MORT, LUMIERE |on 29 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Comment prévenir les maladies et comment les guérir

 

J’ai décrit en détail dans mon dernier livre  » Le langage de la guérison  » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.

ronde

Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les  » maladies  » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.

Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…

Exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.

Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.

Exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).

Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).

Oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…

Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.

Reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.

Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.

Poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.

Boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.

Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.

Pardonner : enfin, le dernier et non le moindre, pardonner. Non pas, pardonner à l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, 514P0NxwP3L._SX305_BO1,204,203,200_avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.

Extrait de : Le langage de la guérison de JEAN-JACQUES CREVECOEUR sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 29 janvier, 2016 |1 Commentaire »

Elargir notre champ magnétique

LES ANGES

Lorsque les vibrations de l’âme-esprit conscientisent le fœtus, un éclat de lumière d’une intensité associée à l’extase crée autour de l’être un champ magnétique. Celui-ci consiste donc en un champ énergétique issu de la lumière émanant de l’être.

Le champ magnétique pourrait être compris comme la somme de toutes les vibrations exprimant la puissance de l’être. C’est un halo d’énergie qui diffère des corps subtils. Les couleurs de l’aura caractérisent le champ magnétique.

Vous avez sans doute déjà constaté, lorsque vous étiez fort présent à vous-même, donc disponible à votre environnement, que toute la vie s’exprime par des vibrations, par des ondes. L’énergie en mouvement crée ces vibrations. Ainsi, toute vie émet un champ magnétique pouvant être ressenti, qu’il s’agisse de l’humain à vos côtés ou de l’animal qui approche. Vous êtes en mesure de ressentir la vie, pas simplement de la voir ou de l’entendre, mais de capter ses vibrations. Il en va de même pour les végétaux et les minéraux, quoique la conscience et les rythmes diffèrent dans ce cas. Les pierres, par exemple, émettent des ondes différentes selon leur provenance et leur parcours, même si elles sont de composition semblable.

Ainsi, les sensations éprouvées pour une personne sont dues aux ondes émises par son champ magnétique, lequel permet de capter les vibrations de l’environnement.

Imaginez-vous en train d’entrer dans une salle dépourvue d’éclairage où il n’y a aucun mouvement, aucune sonorité ni aucun parfum. Un humain y est présent, mais immobile. Si vous n’êtes pas distrait ni préoccupé, mais bien présent à vous-même, vous serez en mesure de ressentir la présence de vie dans cette salle. En vous approchant, vous sentirez même les vibrations circulant dans les corps subtils de cet humain, en lien avec son champ magnétique.

Le champ magnétique varie en intensité selon l’état, le rythme vibratoire et la fréquence fondamentale de l’être. Il explique l’attraction, vers lui, d’ondes, de personnes, de formes de vie et de situations, mais aussi de son attirance vers elles. Non seulement ce champ attirera des connaissances subtiles, mais il permettra aussi de les emmagasiner. L’être pourra par la suite, selon son éveil de conscience et ses facultés, utiliser ces connaissances ou les projeter vers un autre espace. Le champ magnétique agit aussi comme un accélérateur de vibrations ou de particules lumineuses. Il en intensifie la projection.

Ainsi, plus le champ magnétique est ample et intense, plus les intentions seront propulsées avec cohérence et puissance dans les matrices subtiles terrestres et multidimensionnelles. C’est aussi par l’intensité de son champ magnétique que l’être pourra attirer une réponse à ses intentions, à ses pensées, à ses demandes. La réponse à une intention se présente potentiellement sous de multiples formes, en fonction de la synchronicité avec d’autres émanations ou intentions émises par d’autres individus. De cette manière, pour maximiser le potentiel d’une intention, l’être, en amplifiant son champ magnétique, assure une projection adéquate.

Amplifier son champ magnétique

En général, l’amplification du champ magnétique se produit en intensifiant la lumière en soi par:

  • l’identification à cette lumière, la reconnaissance du Maître de lumière en soi, et par le choix de s’unifier à toutes les sources lumineuses;
  • la fusion des trois corps qui constitue le renouvellement de l’expérience intense de la fusion de la lumière à la chair vécue au moment de la conscientisation ;
  • la projection de faisceaux d’énergie du cœur et du troisième œil créant un triangle de force en mouvement ;
  • une méditation et une contemplation qui permettent l’unification avec sa propre lumière et la lumière d’autres formes de vie terrestres et universelles.

Par cette pratique énergétique et spirituelle, la fréquence de l’être sera de plus en plus en phase avec sa fréquence fondamentale et le champ magnétique sera alors libre d’agir selon l’usage désiré. L’intensité et l’ampleur du champ magnétique définissent les réels pouvoirs de transmutation de l’être.

 Extraits du livre Manifester ses pouvoirs spirituels, p. 31 à 43 retranscrit par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

LES ASSISES DE NOS POUVOIRS SPIRITUELS – 2 Rythme vibratoire, fréquence fondamentale et champ magnétique
par PIERRE LESSARD ET MAÎTRE SAINT-GERMAIN - 
Ariane Éditions, 2009  

Publié dans:ENERGIES, HUMANITE |on 26 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit

 

justeSi j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.

Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.

À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale.

Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules.

Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.

Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.

Par JEAN-JACQUES CREVECOEUR sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ - SOURCE: http://www.erichamel.com/custom18.html

Publié dans:MALADIE, MEDITATION, SOCIETE |on 26 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

La portée du 4

 

 
La Création est issue de l’Un. 

Lors de l’émanation des premières consciences de Vie, les Soi ou Éons ressentirent un profond sentiment de Gratitude envers leur Père/Mère. Ils se mirent à chanter devant la Grandeur et la Profondeur de l’Amour. La Gratitude fut/est le premier élément sur lequel s’appuya la Volonté des Soi de répondre au souhait de l’Un : explorer chaque parcelle de Lui/Elle afin d’exprimer leur Amour. 

porte 4


La portée de la trinité, du 3, sur laquelle nous sommes nous apprend à revenir au Centre. Elle nous enseigne que tout est Juste et que nous sommes dépositaires d’un merveilleux cadeau : la reliance à notre Essence divine, à l’Un.

La portée du 4 fait appel à nos compétences d’Aventuriers, à tourner notre regard vers nos origines : la Gratitude. 

Dans la fréquence de la trinité, nous appréhendons ce sentiment en cheminant vers la Paix et la Joie. Nous projetons à l’extérieur afin d’expérimenter des émotions et des sentiments. Par ce  jeu de miroir,  nous prenons conscience que tout est leçon d’évolution, que tout se trouve en notre intérieur. Alors nous intégrons le Pardon, et nous accueillons la Gratitude, clé des portes de la Grâce.

La Grâce nous illumine dans notre aspect divin, dans notre Unité. Et c’est en toute conscience que nous reprenons notre souveraineté, avec les Choix divins et la reconnaissance de l’Amour en Tout et Tous. Nous nous positionnons en notre Centre, là où la Paix est Sagesse, là d’où nous observons ce que nous offre la Vie en ce qu’elle a de meilleur.

La portée du 3 fait résonner sa note harmonieuse en nous. Le Je Suis est la base du triangle qui pointe vers Un.

La portée du 4 nous fait plonger dans les multiples fréquences de la Gratitude. Car, jusque-là, nous n’avons fait que l’effleurer dans notre connexion à l’Unité dans la Multiplicité. Car la Gratitude est le moteur de la Vie.

Le rappel de Qui Nous Sommes nous offre le Service, celui qui nous remplit de satiété et d’émerveillement, d’Ouverture et d’Infini. Nous exprimons notre Amour à l’Un en lui apportant un regard en perspective sur sa Création, afin que son Mouvement s’imprime dans la Beauté et l’Harmonie. Incarner notre aspect christique, l’être solaire, est une étape qui s’inscrit dans notre évolution vers le 4. Non pas dans une optique territoriale, découvrir de nos nouveaux univers ou mondes parallèles, mais pour plonger au sein de la vibration primordiale : la Gratitude. 

La Gratitude est le symphonie première qui rapproche tout ce qui a été émané de l’Un. C’est par elle que les portées, les dimensions et les fréquences se sont multipliées. Elle est la vibration qui détient toutes les clés, les codes de la Géométrie sacrée et du Son divin. 

La Gratitude relie, nourrit et transporte. Elle ouvre ce qui est fermé, et révèle ce qui est caché. Elle est fidélité et Amour.

bannieremiriadan
SOURCE : http://groupemiriadan.blogspot.fr/
Publié dans:CHIFFRES |on 24 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Signification du nombre 77

 

 - Devenir les Vents Solaires / Le nombre 77 nous offre la pleine puissance de notre Volonté, de notre Direction. L’appel à la transformation (« signification du nombre 56« ) a été entendu et nous avons ouvert chacune de nos cellules à notre évolution. Nous nous sommes positionnés dans notre Centre avec passion, tout en écoutant la clé de la tempérance. Nous avons accepté avec gratitude notre chemin et manifestons enfin notre reconnaissance de la divinité en chaque élément, en chaque chose. Nous vibrons sur notre corde intime, nous sommes dans notre Demeure.

Vents solaires

Nous avons intégré les Lois de l’Un et rayonnons la Conscience galactique. Et afin de procéder à l’étape suivante, il nous est demandé de nous placer dans notre Direction, de participer à l’émission des Vents Solaires cosmiques. Les Vents Solaires sont la perception physique de la Volonté du Grand Soleil Central. Celui-ci est le maître d’œuvre au Service de l’Un. Il est le garant que chacun reçoive en Justesse la prodigalité de l’Un. En tant que tel, il est le contrôleur de la Direction vers l’ascension de l’univers. Car nous nous trouvons dans un vaisseau cosmique. Nous lui fournissons l’énergie et nourrissons son intuition sur la route à prendre afin d’atteindre le point culminant : la porte d’entrée dans la portée du 4 (voir le lien).Ce vaisseau navigue sur les Vents Solaires qu’il engendre lui-même. En tant qu’Unité de tout ce qui le constitue, cet être grandiose nous transporte vers notre summum dans l’océan de la Trinité. Incarner les Vents Solaires nous demandent d’accéder à un état de créativité qui dessine l’Inconnu, qui transcende les schémas connus pour nous ouvrir de nouvelles voies. Nous devenons les générateurs du vaisseau cosmique ainsi que sa boussole. Nous pointons vers le But de cette Aventure.

Manifester la puissance des Vents Solaires se réalise ici, sur notre planète. Il n’y a nul autre endroit où nous pourrons nous accomplir avec autant de Joie et de Gratitude. Il nous appartient d’accéder à cet état de conscience selon notre programmation, à notre rythme. Nous étendons notre conscience planétaire, galactique à un point de vue cosmique et incarnons au sein de notre corps densifié la danse universelle. Nous nous éveillons aux couples cosmiques (voir le lien).

Être un couple cosmique n’est que résonner sur les accords universels, ses mémoires et ses blocages. Le couple nettoie le karma général afin de libérer chaque planète, système solaire, galaxie de ses limitations. Et lorsque l’harmonie se déploie, le couple fusionne dans la pleine conscience de la naissance d’une nouvelle trame de Jeu. Il récupère des clés de connexion à des Vérités plus amples qui élargit sa vision et le but de son avènement.

bannieremiriadan
SOURCE : http://groupemiriadan.blogspot.fr/
Publié dans:CHIFFRES |on 24 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

La maladie n’est plus ce qu’elle était

 

MaladieEt si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches  » parallèles  » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?

Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions mettent quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…

Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.

Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la  » maladie  » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).

Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.

Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?

C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?

Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).

Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.

Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.

N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.

Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…

En revanche, lorsque le corps  » décide  » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons  » être malade  » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.

Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.

Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.

Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.

Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.

En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.

Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.

La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.

Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.

De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.

Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.

Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.

Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !

Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la  » maladie  » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).

Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.

Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).

En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. En revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8,000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.

Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre  » Le langage de la guérison « .

Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.

Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.

Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.

Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome  » sain  » en lieu et place du chromosome  » pathogène  » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois :  » Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement.  » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…

Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.

Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.

jj CrevecoeurEn supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.

Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai…

LE LANGAGE DE LA GUÉRISON par JEAN-JACQUES CREVECOEUR – SOURCE: http://www.erichamel.com/custom18.html

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 23 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Mourir n’a pas besoin d’être un processus douloureux

 mourir sereinement

En vérité, ce qui prend place est de nature noble et majestueuse. Mourir est un événement sacré lorsque l’âme se connecte à elle-même de manière plus intime. Durant le stade final, la personne qui meurt perçoit la dimension terrestre de manière détachée: le corps, les odeurs, les couleurs, et d’autres sensations physiques. Une autre dimension entre dans sa conscience, d’un éclat si prometteur et si accueillant qu’il n’est plus si difficile de s’y abandonner et de laisser toutes les choses terrestres derrière soi. Même la présence de vos proches ne vous empêchera plus de partir, à présent. L’énergie du Foyer, Dieu, le ciel, quel que soit le nom que vous lui donniez, est de nature si enveloppante, chaleureuse et rassurante qu’il devient aisé de lâcher prise et de rendre votre corps usé et fatigué à la terre.

Dès que vous lâchez prise en paix, votre âme s’élève de votre corps, en douceur, de façon fluide. Vous allez vous sentir soutenus par des forces universelles de sagesse et d’amour. Si vous mourez sans résister, votre entourage immédiat va se trouver empli d’une énergie tendre et aimante. Vous allez faire l’expérience d’un sentiment indicible de soulagement. Vous êtes libres et tout devient clair. Vous vous souvenez de l’omniprésence de l’amour, non comme d’une idée abstraite, mais comme d’une réalité palpable. Sur terre, vous appeliez cette sorte d’amour « Dieu », et vous gardiez une image humaine déformée de ce que ce Dieu « voulait de vous ». Vous étiez convaincus que Dieu exigeait de vous certaines choses, et généralement vous n’y satisfaisiez pas. Mais ici, dans cette dimension, vous vous souvenez de ce qui est vraiment la volonté de Dieu: vous donner une âme, vous inspirer, faire l’expérience de la création à travers vous et se reconnaître enfin dans votre apparence. Dieu voulait devenir humain à travers vous. Le but de l’évolution de l’univers, c’est Vous: Dieu devenu humain!

Dieu est la source de la création, et vous êtes son accomplissement. Vous, qui avez donné à la lumière de Dieu une forme humaine, n’êtes jamais jugés pour le fait d’être humain. Au contraire, vous êtes honorés. L’idée d’un Dieu vengeur est encore une autre déformation, un retournement de la vérité suscité par la peur. Dieu se reconnaît en vous, quoi que vous fassiez ou ne fassiez pas. Lorsque vous êtes de retour de ce côté-ci, vous redevenez conscients de cela, et une cargaison d’auto-jugements et de sentiments d’infériorité tomberont de vos épaules. Vous ressentirez la joie originelle d’être vivants à nouveau, en sécurité dans les mains de Dieu.

Peu après votre arrivée ici, vous allez percevoir des êtres de lumière autour de vous. Des guides vous assisteront, ainsi que des gens que vous avez connus et qui sont décédés avant vous. Parfois, vous serez surpris de rencontrer des gens que vous avez cotoyés brièvement, mais qui ont touché votre coeur en profondeur, des amis de longue date et des connaissances. Tous ceux avec qui vous avez eu une connection fondée sur l’amour viendront vous accueillir. Là encore, il devient si clair pour vous que les adieux sont une illusion, que la connection du coeur est éternelle. Vous allez faire l’expérience d’un sentiment de gratitude et de respect, en entrant dans cette sphère d’amour inconditionnel et de sagesse.

Après votre arrivée de ce côté-ci, il y a une phase de réajustement, où vous vous habituez à votre nouvel environnement et relâchez peu à peu votre attachement à la vie terrestre. Vous aurez besoin de vous acclimater. Des guides spécialisés vous y aideront. Vous aurez encore un corps mais vous aurez l’impression qu’il est plus fluide que le corps physique auquel vous étiez habitués. Il prendra vraisemblablement l’apparence de votre corps physique le plus récent. Bien qu’il y ait la liberté de revêtir l’apparence que l’on désire, la plupart apprécient une certaine continuité pour quelque temps. Vous êtes aussi libres de créer vos conditions de vie, par exemple une magnifique maison entourée d’un beau jardin, dans un environnement naturel que vous aimiez sur terre. Il est tout à fait admis que vous puissiez réaliser vos désirs terrestres sur ce plan, auquel je fais référence comme le plan astral. C’est une dimension ou sphère d’existence qui permet beaucoup de liberté créatrice, bien qu’il ressemble encore et soit étroitement connecté à la dimension de la terre physique.

Pour ceux qui ont eu de la difficulté à accepter la mort sur terre, la transition vers l’autre côté a peut-être été moins paisible. Ils ont souvent besoin de plus de temps pour s’adapter à leurs nouvelles circonstances de vie. Parfois, il s’écoule un certain temps avant qu’ils ne réalisent vraiment qu’ils sont décédés. Certains ont souffert d’une longue maladie et ont de la difficulté à renoncer à l’idée d’être malade. Ils n’arrivent pas à croire qu’ils sont à nouveau en bonne santé, et l’aide patiente et douce d’un guide spirituel leur est souvent nécessaire pour se libérer de leur ancien corps. L’ancien corps peut coller à l’âme, juste sous forme de concept, de forme-pensée. Même chose pour les habitudes émotionnelles et les schémas de comportement. Ils peuvent se répéter sur le plan astral jusqu’à ce que l’âme découvre sa liberté, son aptitude à lâcher prise et à s’ouvrir à quelque chose de neuf.

Extrait du channelling présenté en direct le 5 février 2006 à Oisterwijk, aux Pays-Bas.
Le langage parlé a été légèrement révisé pour améliorer la lisibilité.

PAMELA KRIBBE « La mort et l’au-delà » http://www.jeshua.net/fr/

Publié dans:CHANNELING |on 23 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

DES VERITES SUR LES CHATS

Chats de Francesca

Chats de Francesca

 

J’aimerais dire, comment, dans un Autre monde, dans un autre système, très éloigné du système solaire, une haute civilisation de chats a existé. 

En ce temps-là les chats pouvaient employer leur «pouce », comme les humains d’aujourd’hui. Ces chats tombèrent en disgrâce et ils eurent le choix, ou de recommencer un Circuit, ou d’aller dans un autre système afin d’y aider une race non encore née. 

Les chats sont des créatures gentilles et compré­hensives, et c’est ainsi que la race des chats décidèrent de venir sur la planète que nous appelons Terre. Ils y vinrent pour veiller sur les humains et rendre compte aux autres sphères du comportement des humains: quelque chose comme une caméra de télévision veillant sans arrêt. Mais les chats veillent et rendent compte, non pour nuire aux humains, mais pour les aider. 

Dans des régions plus bienveillantes, les gens signalent ce qui se passe, non pour causer du tort à autrui, mais pour que l’on puisse remédier à ce qui est défectueux. 

Les chats devinrent indépendants afin de ne pas être dominés par l’affection. Ils arrivèrent sous la forme de petites créatures afin que les humains puissent les traiter avec bienveillance ou avec dureté, selon leur caractère. 

Les chats sont bienfaisants; ils exercent sur Terre une influence faste. Les chats sont une exten­sion directe du Grand Sur-moi de ce monde, une source d’information là où l’information est en grande partie déformée par la situation du monde. 

Soyez bienveillants pour les chats, traitez-les avec sympathie, ayez confiance en eux: aucun chat n’a jamais fait volontairement de mal à l’homme, mais très nombreux sont ceux qui ont trouvé la mort en aidant les humains 

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ANIMAUX |on 21 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Le Vieil Homme se mit à penser au plaisir de mourir

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La seule difficulté, c’est que lorsque quelqu’un est mourant, c’est habituelle­ment par suite de son délabrement physique – une partie de son organisme a été envahie par une maladie terrible, ou quelque chose a été intoxiqué en lui. Naturellement, cela cause des douleurs. Mais mourir n’est pas douloureux. On n’a rien à craindre en mourant. Quand quelqu’un est sur le point de mourir, une paix intérieure se fait en lui, il a un sentiment de satisfaction en sachant qu’enfin la longue journée est terminée, le labeur se termine. 

Autour de notre lit de mort, de braves gens sont là qui vont nous aider à renaître dans le monde astral. Quand nous sommes venus au monde que nous appelons Terre, nous avons eu l’assistance d’un médecin, d’une accoucheuse, ou éventuelle­ment d’un chauffeur de taxi. Peu importe; quelqu’un était là pour nous venir en aide. Mais pour nous transférer de l’Autre Côté, des gens sont attentifs, des gens expérimentés et parfaitement formés, des gens pleins de compréhension et de sympathie. 

Sur Terre, nous avons eu la vie dure, une vie abo­minable. La Terre, c’est l’enfer. Nous devons aller en «enfer» pour toutes sortes de cho­ses. Nombre d’enfants pensent que l’école c’est aussi l’enfer. La Terre est l’école des humains chancelants. Notre condition terrestre est incer­taine et la plupart des gens craignent la mort, la souffrance, et le mystère, ils ont peur parce qu’ils ignorent ce qui va arriver. Ils redoutent d’avoir à affronter quelque Dieu courroucé qui, plantant une fourche dans certaine partie de leur anatomie, va les lancer tout droit au vieux Satan qui aura préparé pour eux ses fers brûlants. 

Mais tout cela c’est de la blague. Il n’existe pas de Dieu courroucé. Si nous devons aimer Dieu, il faut que ce soit un Dieu aimable et compréhensif. Parler de craindre Dieu, c’est de la bêtise, c’est cri­minel. Pourquoi craindre quelqu’un qui nous aime ? Craignez-vous un père qui est vraiment aimable et compréhensif ? Craignez-vous une mère aimable et compréhensive ? Pas du tout, si vous êtes sain d’esprit. Alors pourquoi craindre Dieu ? Il y a un Dieu, très précisément il y a un Dieu aima­ble. Mais revenons à notre lit de mort. 

Mourir, c’est comme lorsqu’on enlève un vêtement froid et humide, et qu’on expose son corps à l’air chaud et au grand soleil. Il y a donc ce spasme convulsif, et le corps astral prend son essor. La sensation est indescriptible. Imaginez ce que ce serait de nager dans le champagne, avec toutes ces petites bulles pétillantes contre vous. 

Le Vieil Homme songeait à ces choses, fouillait dans ses souvenirs et savait ce qui était et ce qui allait être. Cette Terre n’est qu’un grain de poussière exis­tant le temps d’un clin d’œil dans ce qui est le temps réel. 

Sans la nuit, il n’y aurait pas de soleil. L’in­téressé savait-il qu’il formulait-là une grande vérité ? 

Il faut qu’il y ait des extrêmes pour qu’il y ait quelque chose. Si le mal n’existe pas, le bien n’existe pas non plus; sans Satan, il ne peut y avoir Dieu; sans le froid, il ne peut y avoir de chaleur. Sans les extrêmes, com­ment quoi que ce soit pourrait-il exister ? S’il n’y avait pas d’extrêmes, il n’y aurait qu’une seule con­dition statique. Songez que quand vous respirez, vous expulsez de l’air. Cela est un extrême, car vous n’avez plus de souffle en vous et vous courez pratiquement le risque d’étouffer. Alors, vous reprenez votre souffle et vous inhalez beaucoup d’air; et si vous aspirez trop rapidement une trop grande quantité d’air, vous êtes en danger à cause de l’hyperventilation. Mais si vous n’expirez ni n’inspirez, vous n’avez rien dans les poumons et vous ne pouvez pas vivre. 

Il faut qu’il y ait du négatif, sans quoi il ne peut y avoir du positif. Il faut qu’il y ait des contraires ; sinon, il n’y a pas de mouvement. Tout ce qui existe est doté de mouvement. La nuit fait place au jour, le jour cède la place à la nuit; l’été cède la place à l’hiver, l’hiver à l’été, et ainsi de suite. Il faut qu’il y ait mouvement, il faut qu’il y ait des extrêmes. Il n’est pas mauvais qu’existent des extrêmes. Cela veut simplement dire que deux points sont séparés l’un de l’autre d’aussi loin qu’il est possible de l’être. Ainsi, en ce qui concerne le bon vieux Satan, laissez-le faire pour un temps, car sans Satan il ne pourrait y avoir Dieu, sans Dieu il ne pourrait y avoir Satan, et il n’y aurait pas d’humains non plus. Le pire »« Satan », c’est l’horrible radoteur qui essaie de rebattre au sujet de la religion les oreilles à quelqu’un qui appartient à une autre religion. 

Le vieil homme était prêt à laisser maintenant ses vieux vêtements pour rejoindre l’au-delà… 

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/ - EXTRAIT des livres de Rampa

Publié dans:La MORT |on 21 janvier, 2016 |1 Commentaire »

Qui sont les âmes expérimentées

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Les âmes expérimentées vont entrer plus rapidement dans cette nouvelle énergie. Vous êtes peut-être l’une de ces âmes ayant mérité et acquis de la sagesse sur cette planète, et vous commencez à changer. Les Êtres Humains qui font partie de votre environnement vont le voir dans vos actions et attitudes. Il y aura peut-être un changement dans votre nature humaine. Ils diront :  » Tu as quelque chose que j’aimerais avoir !  » Que leur répondrez-vous ?

Vous n’aurez jamais besoin de leur donner un livre de Kryeon ! Vous n’aurez jamais à dire un mot au sujet de votre système de croyance, car ils regarderont vos actions et paroles avec les Êtres Humains. Ils verront votre amour inconditionnel envers des personnes qui sont apparemment peu aimables. Ils verront que vous vous souciez des personnes auxquelles vous n’aviez pas porté attention auparavant.

La nature humaine est de plus en plus bienveillante. Vous commencez peut-être à le constater, dans des secteurs où vous n’auriez jamais pensé voir une telle attitude. Les attitudes des politiciens vont commencer à changer. La façon dont vous faites des affaires commence à changer. Les relations personnelles deviennent plus paisibles et moins acerbes. Oh, chers Êtres Humains, il y en aura toujours qui sont déséquilibrés ! Il y aura toujours des choses que vous ne pouvez pas contrôler. Il y aura toujours le libre choix humain, et les prisons. Il y aura ceux qui s’incarnent sur la planète pour la première fois, et qui n’ont pas la moindre idée du fonctionnement des choses de la vie, sur Terre, et qui « semblent » toujours agir d’une manière inappropriée. Vous l’avez fait, lors de vos premières incarnations. Je parle d’un changement global de conscience qui se fera lentement. Cependant, les âmes expérimentées seront les premières à le constater, et ce sont elles qui vont finalement réaliser ce grand changement.

Il y a un lignage dans la salle. Il ne s’agit pas seulement de l’une de vos nombreuses vies mais plutôt de la sagesse qui vous amène à être ici ou en train de lire ces lignes. Les questions que vous posez au sujet de la conscience sociale et de la Terre sont empreintes de sagesse. Vous dites :  » Quand allons-nous tirer les leçons ?  » Eh bien, c’est commencé, mais vous devez voir les problèmes, avant de poser cette question, non ? Il y a une énorme masse de sagesse, assise ici – dans cette salle. La ressentez-vous ?

Donc, chers Êtres Humains, vous avez la possibilité de commencer à revenir à une énergie que vous pensiez avoir perdue. Une énergie où les êtres humains peuvent s’autoriser à vivre plus longtemps, sans détruire l’environnement. En outre, vous ne souffrirez pas de surpopulation, car vous serez en mesure de la gérer intelligemment et avec sagesse, au lieu d’adopter des lois désuètes et irrationnelles.

Un beau jour, vous rencontrerez des semences d’étoiles… Vos soeurs et frères de la famille des Pléiades. En fait, cette famille est ici – en ce moment – puisqu’elle est dans le domaine quantique. Vous avez des ancêtres Pléiadiens qui vivent très longtemps – dans une planète – car ils ont franchi l’étape qui est actuellement devant vous. Ils ont développé le facteur quantique. Ils ont également développé la bienveillance et l’énergie quantique. Voilà pourquoi ils peuvent venir ici instantanément, sans jamais déranger ou faire de l’ingérence dans votre libre choix. C’est aussi la raison pour laquelle ils n’atterrissent pas sur votre planète, afin de vous dire :  » Allô !  » Au lieu de cela, ils s’assoient en coulisse et célèbrent ce que vous avez accompli. Ils attendent, avec vous, pour célébrer le solstice de décembre 2012… Le point situé à mi chemin de ce changement de 36 ans dans lequel vous êtes engagés.

Avant de terminer, chers Êtres Humains, nous allons à nouveau vous dire que c’est un processus lent. Nous l’avons vu auparavant. Il arrive à travers les générations, à travers les enfants des enfants des enfants. Ce n’est pas quelque chose que vous allez voir aussi rapidement que la lumière d’une ampoule de flash. Il peut y avoir certaines choses qui vont faire marche arrière pendant un moment, avant de repartir vers l’avant. Toutefois, si vous regardez ensemble, ce sera comme la basse vitesse d’un navire dont le gouvernail est tenu par la sagesse. Ce navire se dirige lentement, mais sûrement, vers un temps où la haine sera une chose peu habituelle. Elle ne pourra plus se draper dans la culture ou la religion. C’est parce que l’énergie quantique est bienveillante, et les humains commencent à le voir.

Et voilà ! C’est la vérité de ce jour. C’est l’énergie de cette journée. Ce sont les potentiels que je vois, en ce moment, et c’est pourquoi nous vous apportons ce message. En partant d’ici ou en terminant cette lecture, vous aurez changé un peu. Vous en connaîtrez un peu plus, au sujet de qui vous êtes, de ce que vous avez accompli, et de ce qui est devant vous.

Je suis Kryeon, un amant de l’humanité. Et c’est ainsi.

KRYEON – Extraits du channeling « Le facteur quantique – sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ La physique avec une attitude », 10 avril 2011

Publié dans:AME, CHANNELING, ENERGIES, MEDITATION |on 19 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Une pensée bien ordonnée

 

 tête

    Parmi tant d’autres aspects de la vie, vous êtes-vous demandé pourquoi nous sommes pour la plupart plutôt brouillons – dans notre mise, dans nos manières, dans nos pensées, dans notre façon d’agir? Pourquoi manquons-nous de ponctualité, et donc d’égards envers les autres? Mais qu’est-ce donc qui apporte l’ordre en toute chose -dans notre mise, dans nos pensées, dans notre discours, dans notre allure, dans la manière dont nous traitons ceux qui sont moins privilégiés que nous? Qu’est-ce qui fait éclore cet ordre singulier qui advient sans contrainte, sans préméditation, sans volonté délibérée? Vous êtes-vous jamais posé la question? Mais savez-vous ce que j’entends par l’« ordre »? L’ordre, c’est rester assis tranquille, mais sans effort, c’est manger avec élégance mais sans hâte, c’est être posé tout en étant précis, c’est être clair dans ses pensées tout en étant expansif. Qu’est-ce qui fait surgir cet ordre dans l’existence? C’est une question vraiment très importante et je crois que, si l’éducation permettait de découvrir le facteur capable de susciter cet ordre, cela aurait une portée immense. 

   De toute évidence, l’ordre ne naît qu’à travers la vertu, car si vous n’êtes pas vertueux non seulement dans les petites choses, mais en toute chose, votre vie devient chaotique, n’est-il pas vrai? La vertu en soi est sans grande importance, mais parce que vous êtes vertueux, la précision règne dans votre pensée, l’ordre règne dans tout votre être: telle est la fonction de la vertu. 

   Mais que se passe-t-il quand un homme s’efforce de devenir vertueux, qu’il se contraint à être bon, efficace, prévenant, attentionné, qu’il essaie de ne blesser personne, qu’il met toute son énergie à tenter d’établir l’ordre, qu’il se démène pour être bon? Ses efforts ne mènent à rien d’autre qu’à la respectabilité, ce qui entraîne une médiocrité de l’esprit: cet homme-là n’est donc pas vertueux. 

   Avez-vous déjà regardé une fleur de très près? Tout en elle – à commencer par les pétales – est d’une précision remarquable, et il s’en dégage pourtant une tendresse, un parfum, une beauté extraordinaire! Ainsi, dès lors qu’un individu essaie d’être ordonné, sa vie peut être réglée avec précision, mais il a perdu cette qualité de douceur, qui ne naît, comme pour la fleur, qu’en l’absence d’effort. Le problème est donc pour nous d’être à la fois précis, lucide et expansif sans effort. 

    En effet, l’effort que l’on fait pour être ordonné ou méthodique a une influence tellement réductrice. Si j’essaie délibérément d’être ordonné pour ranger ma chambre, si je fais attention à tout remettre en place, si je n’arrête pas de me surveiller, de Regarder où je mets les pieds, etc., que se passe-t-il? Je deviens insupportablement assommant pour moi-même et pour les autres. Celui qui veut toujours être autre chose qu’il n’est, dont les pensées sont soigneusement organisées, qui choisit une pensée de préférence à une autre est quelqu’un de très fatigant. Un tel individu peut être très organisé, très lucide, savoir utiliser les mots de manière précise, être très attentif et plein d’égards, mais il a perdu la joie de vivre créatrice. 

L’ordre, la propreté, la clarté de pensée ne sont pas très importants en eux-mêmes, mais ils le deviennent pour celui qui est sensible, qui a des sentiments profonds, qui est en état de perpétuelle révolution intérieure. Si vous êtes profondément émus par le sort des pauvres, ou du mendiant qui reçoit la poussière en plein visage au passage de la voiture du riche, si vous êtes extrêmement réceptifs, sensibles à tout, alors cette sensibilité même suscite l’ordre et la vertu. Je crois qu’il est très important que le professeur et l’élève le comprennent tous deux. 

    Malheureusement, dans ce pays comme partout ailleurs dans le monde, nous sommes si indifférents ; rien ne nous émeut en profondeur. Nous sommes pour la plupart des intellectuels – au sens superficiel du terme, c’est-à-dire des gens très habiles, imbus de mots et de théories sur ce qui est juste et sur ce qui est faux, sur la façon dont il convient de penser ou d’agir. Mentalement, nous sommes hautement développés, mais intérieurement, nous manquons de substance et de sens ; et c’est cette substance intérieure qui suscite l’action vraie, qui n’est pas une action dictée par une idée. 

    Voilà pourquoi il faut que vous ayez des sentiments très forts – des sentiments de passion, de colère -, il faut les observer, jouer avec eux, en découvrir la vérité ; car si vous ne faites que les étouffer, si vous dites: « Je ne dois pas me mettre en colère, je ne dois pas me passionner, parce que c’est mal », vous vous apercevrez que peu à peu votre esprit s’enferme dans une idée et devient donc très superficiel. Vous pouvez être immensément intelligent, avoir des connaissances encyclopédiques, s’il n’y a pas en vous la vitalité de sentiments forts et profonds, votre compréhension est comme une fleur sans parfum. 

    Il est capital que vous compreniez tout cela tant que vous êtes jeunes, car en grandissant vous serez de vrais révolutionnaires – pas des révolutionnaires acquis à une ideologie à une théorie ou à un livre, mais des révolutionnaires au sens global du terme, des êtres totalement, intégralement humains, de sorte qu’il ne reste pas en vous le moindre recoin qui soit contaminé pas les choses du passé. Alors vous avez l’esprit frais et innocent et donc capable d’une extraordinaire créativité. Mais si vous passez à côté du sens de tout cela, votre vie deviendra très morne, car vous serez happés par la société, par votre famille, votre femme ou votre mari, par des théories, par des organisations religieuses ou politiques. Voilà pourquoi il est si urgent pour vous de recevoir une vraie éducation, ce qui signifie que vous devez avoir des professeurs capables de vous aider à briser le carcan de la prétendue civilisation et à être non pas des machines répétitives, mais des individus qui aient vraiment en eux quelque chose qui chante, et qui soient donc des êtres humains heureux et créatifs.

 

Extrait … du livre LE SENS DU BONHEUR -  KRISHNAMURTI  sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

à retrouver ICI : http://bibliothequecder.unblog.fr/2014/12/04/le-sens-du-bonheur-de-krishnamurti/

Publié dans:PENSEE |on 19 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Une seule énergie durable, stable et quantique, sur la planète

 

Regardons une expérience qui date de plus de 10 ans, en Écosse. Il y avait un physicien et un médecin. Le médecin est le Dr Todd Ovokaitys, un collègue de mon partenaire. N’est-ce pas une coïncidence étrange ou un drôle de hasard, de voir que ces deux hommes se soient rencontrés au cours de leurs incarnations actuelles (sourire de Kryeon) ? Le physicien et le médecin ont été les premiers à co-développer un événement quantique, durable, cohérent, contrôlable et reproductible. Ils ont créé une énergie quantique durable [ sorte de "mouvement perpétuel"], qui peut être reproduite et utilisée à volonté. Ils l’ont fait en opposant des énergies laser et déphasées, à travers ce que nous appellerions « un arrangement quantique de lentilles holographiques ». Il s’est produit un changement du temps réel. Cette « soupe cohérente et quantique », bien que très petite, est contrôlable. Elle peut être recréée, manipulée et livrée à volonté.

LEE 2015

Ils ne sont pas les premiers Êtres Humains qui ont réussi à créer de l’énergie quantique sur votre planète. Cependant, ils sont les premiers qui ont réussi à le faire avec une formule précise, ce qui fait que cette expérience peut être répétée autant de fois que vous le souhaitez. Le premier Être Humain qui a réussi à le faire était Nikola Tesla. Hélas, il ne pouvait pas déterminer la formule précise pour ce faire, car il n’avait pas le support informatique que vous avez actuellement. Pourtant, avec toutes ses multiples expériences sur le magnétisme, il avait parfois vu la preuve de cette énergie quantique, mais il faisait tellement de « soupes différentes » qu’il ne se souvenait plus des sortes et de la quantité des ingrédients qu’il avait placés dans cette soupe.

Suite à cette expérience d’il y a 10 ans, ce médecin et ce physicien ont mis le facteur quantique en évidence, car ils ont appliqué leur découverte [ou recette de soupe quantique] à la biologie. Chaque fois qu’ils ont imprégné cette énergie dans un test ou une expérience biologique, ils ont obtenu une guérison ! Pensez-y. Selon vous, est-il possible – sur cette planète – que vous en arriviez à développer une sorte d’énergie qui, lorsque vous la dirigez vers quelqu’un, il guérisse ? Quelles sont les chances que cela se réalise ? C’est comme lancer mille fois les dés et toujours avoir des 6. Commencez-vous à percevoir l’image globale, le plan d’ensemble ?

Lorsque cette énergie quantique pourra être reproduite dans d’autres laboratoires, il y en aura qui vont chercher à en faire une arme (il en est toujours ainsi). Je peux vous affirmer que ce sera la première énergie spécifique dont il ne sera pas possible d’en faire une arme. Peut-on dénaturer une énergie et en faire une arme ? Cependant, dans le cas de l’énergie quantique, c’est impossible, puisqu’elle a une attitude de bienveillance, sans compter le fait que votre science physique et vos astronomes commencent à penser qu’elle est « peut-être » intelligente. Alors, que dites-vous de tout ceci ? Cela devrait vous faire voir qu’il y a quelque chose qui se passe dans les « hautes sphères de la physique ». Quelque chose qui va bien au-delà des règles, lois et attributs de la matière.

Avec le temps, le facteur quantique sera éventuellement découvert, sur cette planète. Lorsque ce sera chose faite, il sera très controversé, puisqu’il ira à l’encontre de la logique 3-D et de la façon dont les choses fonctionnent, selon la méthode scientifique. La réalisation de cette oeuvre a été difficile. Les âmes expérimentées qui sont en face de moi, ou en train de lire ces lignes, se sont dévouées, pour que l’humanité puisse enfin constater la présence de cette énergie incroyable. Elles ont pataugé pendant de multiples réincarnations, afin de réaliser cette bénédiction bien méritée. Si, en tant que scientifique, vos recherches et expériences vous donnaient l’impression qu’il y a une sorte de chose, une force ou une énergie qui semble « penser par elle-même », que feriez-vous ? Si, le magnétisme, la gravité et la lumière, pouvaient être harmonisés d’une manière quelconque, afin que cet agencement puisse créer des guérisons, sans jamais devenir une énergie destructive, que feriez-vous ? Ce phénomène va provoquer la redéfinition d’une partie des forces fondamentales de l’Univers. La planification intelligente est seulement le premier phénomène de cette force ou de cette énergie intelligente. Pourtant, même aujourd’hui, les astronomes et physiciens pensent encore qu’il s’agit d’une anomalie.

Cette dite « anomalie » sera la prochaine grande découverte sur votre planète. Elle vous était inaccessible parce qu’il fallait que le niveau de conscience soit plus élevé, afin que la compréhension 3-D puisse réaliser sa présence. Lorsqu’une planète atteint le niveau de conscience où elle peut découvrir l’énergie quantique, elle est en mesure de l’utiliser. Si vous alliez sur l’une de ces planètes, vous sauriez que vous pouvez rencontrer des entités qui ont un haut niveau de conscience. Pourquoi nous aurions-vous parlé de tout ceci, avant que des entités incarnées – sur votre planète – aient atteint ce niveau de conscience ? Ç’aurait été une perte de temps, en plus de, peut-être, créer des frustrations. Sachez que le facteur quantique contient le secret des voyages interplanétaires, car ceux-ci ont de multiples enchevêtrements, des états qui semblent inextricables. Il y a de nouvelles manières d’agir, qui sont fonctionnelles, mais vous n’y aviez jamais pensé auparavant, car votre niveau de conscience n’était pas assez élevé. Vous pouvez désormais jeter vos « navettes spatiales ». Vous êtes sur le point de franchir un grand pas – dans ce domaine.

L’ADN est une force quantique

Passons maintenant à l’infiniment petit. Il y a plus de 10 ans, Vladimir Poponin, un scientifique russe, a utilisé la lumière, lors d’une expérience sur une molécule d’ADN. Grâce à cette expérience ou test de laboratoire, il a découvert un champ multidimensionnel, autour de la molécule d’ADN. La lumière s’est modelée par elle-même, dans une équation mathématique (onde sinusoïdale), en présence de l’ADN. Il a découvert que l’ADN avait un champ quantique. En outre, ce champ quantique était en quelque sorte, rempli d’informations. Si l’ADN n’avait pas été présent, comment le modèle du champ lumineux aurait-il pu se transformer en une onde sinusoïdale ? N’oubliez pas que ces informations proviennent d’un biologiste quantique, non pas de Kryeon. Pourtant, nombreux sont ceux qui doutent que cette expérience se soit déjà réalisée, car elle montre quelque chose qu’aucun Être Humain n’avait pensé ou espéré. Il y en a d’autres qui ne veulent tout simplement rien savoir du fait que ce vrai biologiste quantique ait réalisé une telle expérience ! Ils ont choisi de reléguer toutes ces informations aux oubliettes du Nouvel-Âge, au lieu de la science. Il est toujours intéressant de constater ce que les Êtres Humains font avec la science, n’est-ce pas ? Si ça ne cadre pas avec le modèle 3-D de leur réalité, alors ils nient son existence.

Lorsque le génome humain a été complètement transcrit, chaque particule chimique a été vue ou identifiée. Les chiffres sont mirobolants, car, dans une molécule, trop petite pour être vue sans un microscope électronique, il y a plus de 3 milliards de particules chimiques ! La double hélice est plus complexe que vous ne le pensez. Cette molécule est assez petite pour être qualifiée comme faisant partie de l’état quantique, et Vladimir Poponin a montré qu’il avait fait un champ autour d’elle, même s’il y avait une seule petite molécule d’ADN.

Ceux qui ont créé le Projet Génome Humain ont voulu savoir comment les 3 milliards de particules chimiques de l’ADN créent plus de 26 000 gènes dans le corps humain. Sachez qu’il y a plus de gènes que cela, mais j’utilise les chiffres des scientifiques au lieu des miens. C’est ce qui les intéressait. Ils n’ont pas vu l’état quantique de l’ADN, même si, dans la science relative à l’ADN, la logique crie de toutes parts qu’elle se doit d’être quantique. Ce n’est pas ce qu’ils cherchaient. Au lieu de cela, ils ont compté les particules chimiques et cherché des codes. Ils les ont trouvés, dans un arrangement très bizarre.

Ils ont découvert que dans les 3 milliards de particules chimiques de la double hélice d’ADN, tous les gènes étaient créés dans les parties des protéines codées de l’ADN. Trois et demi pour cent de l’ADN créait tous les gènes. Plus de 90 % de la composition chimique de l’ADN semblait être aléatoire. Il semblait complètement inutile, selon ce qu’ils pouvaient voir ou comprendre. Même à ce jour, la science ne voit pas ce qui est évident ; c’est-à-dire que le 90 % est quantique et le 3,5 % est linéaire.

Aujourd’hui, vos physiciens quantiques ont souvent affaire à dix dimensions, plus le temps (11 dimensions), dans le genre le plus populaire de la physique multidimensionnelle ; la théorie des cordes [string theory]. Si vous leur demandez à quoi ça ressemble, les réponses contiendront des mots tels que : chaos, arrangement aléatoire, etc. C’est ainsi que fonctionnent les champs quantiques. Ils sont pleins de potentiels, au lieu d’être « pleins de lois et règles absolues ». En outre, ils varient selon une foule de facteurs… Incluant celui de la conscience des Êtres Humains. Un jour viendra où l’on réalisera qu’il y a une forte possibilité que l’ADN soit dans un état quantique, même si c’est une molécule biologique. Ceci va aller à l’encontre de la loi de « volume ou taille », dans l’état quantique. L’ADN est majoritairement quantique, et il a également un effet sur le spin [rotation] des atomes qui entrent dans son champ. Ensuite, la prochaine question sera :  » Quelles sont les informations contenues dans le 90 % d’ADN qui est quantique? »

Nous arrivons maintenant à la vérité de base, n’est-ce pas ? Alors, je vais vous la dire. La partie quantique du 90 % de l’ADN est deux choses à la fois. Elle est pleine d’informations ésotériques et intemporelles. C’est le modèle original et quantique de tout ce que vous avez été et de tout ce que vous êtes, depuis votre première incarnation sur cette planète. Votre ADN individuel contient des séries d’instructions utiles à votre incarnation actuelle, puisque chaque incarnation individuelle a été enregistrée dans votre propre cristal des Archives akashiques. L’on pourrait dire que c’est la semence de l’empreinte créatrice et bienveillante de toute la Création elle-même. Tous vos talents sont là : expériences de vie, connaissances, sagesse, etc., même si ces choses ne sont pas visibles ou actives dans votre incarnation actuelle. Toutes les prédispositions à X, Y ou Z sont enregistrées là. Bref, les instructions de chaque cellule-souche sont là.

Vous êtes-vous déjà demandé à quel endroit les cellules souche obtenaient l’information nécessaire à la « fabrication d’un corps humain » ? Cette information provient du 90 % de l’ADN qui est quantique. Pourquoi est-ce qu’un ADN quantique individuel crée-t-il un corps physique plus faible ou plus fort que les autres ? Pourquoi est-ce qu’il y a des prédispositions pour certaines maladies, dès la naissance ou un peu plus tard ? Je vais maintenant vous donner des informations à ce sujet. Ainsi, vous serez en mesure de comprendre ce qui suivra. Ce sera peut-être l’attribut le plus important de l’information biologique que nous ayons jamais présentée.

KRYEON – sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ Extraits du channeling « Le facteur quantique – La physique avec une attitude », 10 avril 2011 - 

Publié dans:ADN, CHANNELING, ENERGIES, MAITRISE |on 17 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

ACCUEILLIR LES ÉNERGIES COSMIQUES pour mieux vivre

Dans la galaxie, les occasions multidimensionnelles d’envergure permettant d’éliminer et de guérir des énergies entachées sont rares. Lorsque ces occasions uniques surviennent, une formidable diversité d’énergies est attirée vers le site de maintes connexions. Des infusions de radiations cosmiques sont dirigées à cet endroit afin d’y accélérer les énergies prépondérantes; ainsi, les époques d’énergie accélérée suscitent essentiellement une réévaluation absolue, suivie de l’instauration de priorités nouvelles visant à développer ce qui prévaut sur tous les plans.

1ans titre

Les êtres touchés sont motivés par un fort désir de faire évoluer leur conscience vers un état de perception différent. Lors des périodes de guérison, il s’agit invariablement de reconnecter des parties fragmentées avec le tout plus vaste; on ranime l’esprit en endossant la responsabilité d’être co-créateur de l’existence. Une formidable énergie susceptible de guérir de la souffrance et de la séparation est diffusée par le centre galactique vers la Terre; elle vous entoure et imprègne votre corps physique, se fondant en vous. Cette énergie est transmise à travers l’espace et diffusée dans votre monde par votre Soleil. Les éruptions solaires intègrent les transmissions du centre galactique afin de les projeter dans votre zone spatiotemporelle.

Pour arriver à vivre et à vous épanouir en cette ère accélérée, vous devez assimiler cette énergie; elle doit vous convenir parfaitement, comme un logiciel s’insère dans un ordinateur ou une main dans un gant. Tout ce qui empêche ces énergies de vous pénétrer, vous et votre environnement, deviendra apparent et doit être considéré comme un obstacle qu’il faudra dégager de la voie pour qu’il n’entrave pas votre transformation personnelle.

Les vagues d’énergie pulsative sont le sang du cosmos et, même si vous semblez pourvu d’une forme solide, vous êtes fabriqué d’énergies vibrantes qui ondoient à l’intérieur et à l’extérieur de votre corps telles des vagues lumineuses dansantes. Votre corps est une machine beaucoup plus prodigieuse que vous ne le croyez. Des voies d’entrée, que l’on nomme chakras, servent d’ouvertures immatérielles dans votre champ d’identité, par lesquelles les forces subtiles – énergie éthérique, qi ou radiations cosmiques – entrent et sortent des formes physique et immatérielle du corps. Il existe sept centres majeurs associés au corps physique et cinq autres au-delà, élargissant votre identité et votre connexion à la toile de l’existence jusqu’aux confins du cosmos. Les sept chakras du corps physique correspondent aux glandes du système endocrinien, qui régissent une substantielle pharmacopée interne d’enzymes, d’hormones, ainsi qu’une intelligence chimique complexe qui, avec le système nerveux, gouverne les nombreuses fonctions de l’organisme. Chaque chakra sert de centre d’intelligence permettant de traiter l’énergie cosmique dans l’univers matériel; chacun est semblable à un kaléidoscope coloré de lumières, de symboles et de sons.

Les relations humaines recèlent des leçons vitales sur un thème spécifique et une zone de développement liée à chaque centre énergétique. L’atmosphère vibre des énergies vitales et, si vos chakras sont ouverts, elles afflueront dans votre corps et en dehors, favorisant la clarté mentale, l’équilibre émotionnel, la santé physique et le progrès spirituel. Vos croyances, vos attitudes et vos interprétations de la vie déterminent le degré de fermeture ou d’ouverture de ces portails. La peur contracte ces centres, tandis que le souffle, la beauté, l’amour et le rire les épanouissent. Pour ouvrir vos chakras, il faut procéder à un sérieux ménage du printemps dans votre maison intérieure. Faire circuler l’énergie dans tout le corps fera apparaître les difficultés souterraines qui régissent votre vie, et, même s’il peut être éprouvant de les confronter, déblayer ce qui vous retient vous libérera. Et le meilleur moment pour vous livrer à cette tâche, c’est vraiment maintenant. Affronter directement la vérité de cette époque, ouvrir vos chakras et permettre aux énergies cosmiques, regorgeant d’informations et de connaissances, de circuler dans votre corps comme un ruisseau cristallin, bouillonnant de vitalité, rafraichira votre esprit et infusera du pouvoir à votre destinée.

Barbara Marciniak Extraits de son livre sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.frSAGESSE DES PLÉIADES, p. 61-64
Ariane Éditions, 2006

Publié dans:CHANNELING, ENERGIES |on 17 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

RECIT d’UNE EXPERIENCE DE SORTIE HORS DU CORPS

 

 

expérience HORS CORPSCela s’est passé quand j’avais 13 ans. J’étais une petite fille très ordinaire … Et puis une nuit, toute ma vie s’est trouvée changée.

J’étais allongée sur mon lit, parfaitement réveillée, quand je suis sortie hors de mon corps en toute conscience. Bien sûr, à cette époque, je ne savais absolument pas que de telles choses étaient possibles. Je n’avais pas peur. J’ai voyagé à une vitesse vertigineuse dans les espaces sidéraux, froids et bleu sombre d’après mes perceptions. J’allais à la vitesse de la pensée, je me percevais en tant que pur esprit, détaché de toute enveloppe corporelle. Je voyageais dans l’infini des mondes, percevant les circuits de gravitation des corps célestes, et ne m’en approchant pas.

Je suis arrivée à une sorte de « carrefour » de l’espace-temps, attendant une sorte de permission pour passer. Puis j’ai quitté et l’espace et le temps pour me retrouver à l’intérieur même de toutes choses, dans l’unité. Mon esprit n’était plus différencié du « tout ». Il y avait, durant tout ce voyage, une incroyable intensité de conscience et d’énergie pure, à côté de laquelle la vie sur Terre ressemble à un sommeil épais et interminable.

Donc, après différentes étapes impossibles à décrire avec des mots, je suis revenue dans l’atmosphère terrestre, au-dessus de la maison dans es bois d’acacias où était resté mont corps de petite fille. Je me percevais alors comme un très grand volume de présence invisible car transparente. Là, « on », c’est à dire d’après ce que je ressentais, une sorte de conscience absolue, m’a appris beaucoup de choses sur différents sujets, et «on»  m’a prévenue que j’allais devoir presque tout oublier en rentrant dans mon corps, car cette perte de conscience est inhérente au fait de vivre dans un corps condensé comme ceux que nous avons sur Terre. Je me demandais comment faire pour rentrer dans un corps si petit.

Finalement, j’ai réussi à rentrer dans mon corps physique, en comprimant une partie de mon grand volume transparent ; J’ai vérifié si j’étais bien partout, dans les jambes et les bras, et j’ai pensé que sans doute j’avais dû être morte quand je n’étais plus dans mon corps.

Dans les nuits qui ont suivi, j’avais encore la mémoire interne de ce qui s’était passé, et je savais que j’avais la possibilité de me décrocher de mon corps si je le voulais. Je ne l’ai pas fait car n’ayant pas décidé par moi-même de sortir de mon corps la première fois, j’ai pensé que si je n’étais plus guidée par la sorte de perfection qui avait décidé de mon voyage, je risquais de n’être pas à la hauteur de la situation.

J’ai vécu, au début, cette expérience très innocemment, mais j’ai vitre perçu qu’il valait mieux n’en parler à personne, de peur que l’on me dise que j’avais rêvé, dans le meilleur des cas, ou que l’on me prenne pour une folle dans le pire. Donc j’ai passé 10 ans de ma vie sans parler de cette expérience et sans entendre parler de quelqu’un ayant vécu ce type de voyage, 10 ans avec la nostalgie infinie de cette intensité de présence que j’avais ressentie en étant hors de mon corps.

A 23 ans, « par hasard », j’ai assisté à une conférence d’une personne plus courageuse qui affirmait être sortie de son corps, elle aussi. Quel soulagement ! Ainsi donc je n’étai spas seule et, de plus, cette expérience devenait objective, car qu’est-ce que l’objectivité sinon la réunion de plusieurs subjectivités ? Puis je me suis mise à lire des livres, je me suis rendue compte que depuis toujours certains humais  sortaient de leur corps, cela fait partie des capacités les plus ancestrales et originales qu’on ne nous a prend nulle part, ni à l’école, ni à l’église, ni dans la famille. Tout le monde a oublié. Mais quand même, cela continue de se passer, souvent par surprise, chez des êtres pas u tout préparés, dans des conditions extrêmes entre la vie et la mort, lors d’accidents, d’accouchement sou de maladies. Les enfants aussi volent, avant qu’on ne leur apprenne qu’ils ne savent pas voler, même s’ils voient leur corps d’en haut, étendu sur le lit, et s’ils peuvent décrire tout ce que font les gens dans la maison lorsqu’ils volent…

Si tous ensemble nous apportions notre témoignage, peut-être que la vie deviendrait plus immense aussi pour ceux qui n’ont jamais fait le voyage.

Extrait de L’Ethérien sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ -  un journal mensuel d’informations composé d’un éditorial,
d’actualités internationales, de conférences d’IJP. Appel Guéry, d’articles écrits par les membres de l’Institut, de commentaires, de témoignages, d’informations et d’annonces

Science et conscience

Sans titre3

Le XXe siècle a été celui de l’exploration de l’infiniment petit et de l’infiniment grand qui, l’un et l’autre, ont modifié notre regard et nous ont incités à découvrir la dimension secrète de cet autre infini qu’est l’univers intérieur. La preuve : de nombreux astronautes sont revenus de leurs voyages profondément transformés. Devant l’harmonie cosmique dont ils ont été les témoins privilégiés, certains ont ressenti la nécessité de poursuivre leur voyage par l’exploration de l’espace intérieur. C’est ainsi qu’Edgar Mitchell, membre de la mission Apollo 14, a créé l’Institut des sciences noétiques dont le but est de développer l’étude de la conscience humaine. 

En étudiant les coulisses particulaires de la matière, les physiciens ont été obligés de réviser leurs modèles et leurs modes de pensée. Leur vision actuelle de l’univers ressemble à s’y méprendre à celle qu’enseignent les traditions du monde entier : celle d’un tout indivisible et unifié dont les lois de manifestation sont liées à une trame invisible. Selon Geoffrey Chew, directeur du département de physique à l’université de Berkeley :  » Les physiciens ont prouvé rationnellement que nos idées rationnelles sur le monde dans lequel nous vivons sont profondément déficientes. Notre lutte habituelle en physique avancée peut ainsi n’être qu’un avant-goût d’une forme complètement neuve de l’intellect humain, effort qui non seulement sera extérieur à la physique mais ne pourra même pas être qualifié de scientifique. « 

Cet avis est partagé par de nombreux savants qui soutiennent que la science de demain, c’est-à-dire celle des pionniers d’aujourd’hui, intégrera explicitement la conscience humaine dans sa démarche et ressemblera aussi peu à la science d’aujourd’hui que la physique moderne ressemble à celle du XVIIIe siècle. La science du futur ne se limite pas à des données quantifiables et mesurables. Elle enrichit l’attitude empirique, fondée sur l’observation des phénomènes, et l’attitude analytique, basée sur la compréhension des lois, par une connaissance intérieure, celle des principes. 

À la démarche rationnelle de la science actuelle, elle ajoute la démarche opérationnelle de la conscience en utilisant les instruments de perception et de mesure que sont les facultés supérieures de l’esprit humain. La fiabilité de ces outils, utilisés individuellement, peut être suspectée à juste titre tant leur précision dépend de l’évolution et de la maîtrise du chercheur. Sans un cadre d’échange, de réflexion et de synthèse, l’expérience intérieure peut tomber dans certaines formes de « délires mystiques ». Vérifiée par une équipe de chercheurs dont les observations se rejoignent, et ce pendant plus de vingt années d’expérimentation continue, cette démarche devient un mode d’exploration fiable, s’appuyant plus sur la résonance que sur le raisonnement. 

L’étude des corrélations entre l’esprit, l’énergie et la forme marque une étape décisive dans l’affirmation d’une possibilité de synthèse entre science et conscience vers laquelle s’orientent de nombreux chercheurs. Les attitudes scientifiques et spirituelles peuvent se réconcilier à travers la pensée transdimensionnelle qui emprunte à l’une la précision et la rigueur du savant et à l’autre l’intériorité et la connaissance de l’initié. Selon Edgar Morin, nous vivons encore dans  » la préhistoire de l’esprit humain  » et il nous faut développer  » une pensée apte à saisir la multidimensionnalité des réalités « . Cette pensée du troisième type qui s’extrait de la densité planétaire sera celle du contact avec les civilisations avancées de l’univers.

Extrait de  ÊTRE ANGES TEMOINS sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ - aux Editions de Mortagne – écrit par APPEL GUERY

Publié dans:CO-CREATION, DEVELOPPEMENT |on 16 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

HARMONISER CORPS AME ESPRIT

 

Le corps est issu de l’évolution terrestre minérale, végétale et animale qui le relie au monde matériel dont il subit les lois. Ces lois peuvent se résumer en une « courbe de vie » qui commence à la naissance physique, se poursuit avec la croissance de l’individu, atteint son sommet avec l’ « âge mûr », ensuite entame une descente avec la dégénérescence et la vieillesse, et enfin se termine avec la mort. La partie spirituelle de l’être humain (esprit) est issu d’un niveau de réalité non matérielle. Cette réalité supérieure est assimilée dans les traditions aux mondes divins et angéliques. Un être humain est donc un esprit incarné dans un corps.

AME ESPRIT

De façon schématique nous dirons que l’esprit, pour des raisons que nous pourrions qualifier d’ « évolutives », a choisi de vivre dans la réalité matérielle afin de connaître certaines « choses ». Entre le corps et l’esprit, nous avons un troisième élément qui est une sorte d’intermédiaire ou d’interface entre les deux. Cet élément c’est l’âme qui est de nature psychique, c’est-à-dire qu’elle n’est ni matérielle, ni spirituelle, dans son essence. L’âme psychique est une réalité intermédiaire complexe dans laquelle tente de s’établir une relation harmonieuse entre le corps et l’esprit. L’âme est le lieu de tous les « combats » internes, de toutes les contradictions de l’être humain. L’âme et changeante et sujette à toutes sortes d’influences. Lieu de rencontre entre le corps et l’esprit, l’âme doit faire face à des réalités contradictoires qui engendrent des tensions et des conflits qui peuvent être d’une grande violence. Ces conflits psychiques proviennent de ce que l’âme est fortement imprégnée d’animalité dans ces parties inférieures et de spiritualité dans ses parties supérieures

Le ternaire Corps, Ame, Esprit, correspond bien à une réalité, mais il est aussi une représentation simplifiée de l’être humain. Les choses sont en fait plus complexes que cette représentation ternaire pourrait le laisser supposer. Certains enseignements traditionnels distinguent en effet jusqu’à sept, voir même jusqu’à neufs « corps » différents dans l’être humain. Les Egyptiens, par exemple, enseignaient l’existence de neuf « corps ».

Le corps, l’âme et l’esprit : une représentation verticale. Ci-dessus, nous avons représenté les relations entre le corps, l’âme et l’esprit, à l’intérieur d’une seule figure, le carré, symbole du corps. Cette représentation suggère que le carré est la forme la plus extérieure, et que le cercle est au contraire la forme la plus intérieure. C’est l’« écorce » (corps) et le « noyau » (esprit).

Cette figuration est tout à fait légitime et adaptée à une forme d’enseignement. Une autre figuration est cependant possible : la représentation verticale. Dans cette figuration, le carré est la base physique ancrée dans la réalité terrestre. C’est le « socle » humain. Au-dessus du corps, l’âme s’appuie ou repose sur le corps, mais elle est supérieure à lui. L’âme comprend une partie inférieure liée au corps, celle qui forme sa base en contact avec l’une des faces du carré, ainsi qu’une partie supérieure en contact avec l’esprit.

Plus l’âme s’approche de l’esprit, et plus elle devient « fine » en quelque sorte. Au sommet, la fine pointe de l’âme touche l’esprit. Au-dessus de l’âme trône l’esprit, le cercle parfait. L’esprit est la partie la plus élevée (la plus noble) de l’être humain. L’esprit est le sommet de l’évolution humaine.

La mort : séparation des trois « corps ». Lorsqu’un être humain meurt, le corps physique, l’âme et l’esprit se séparent. La première séparation se fait entre le corps physique d’une part et l’âme associée à l’esprit d’autre part. Dans cette première phase, l’âme et l’esprit sont toujours unis. Une fois cette première séparation effectuée, séparation aussi appelée « première mort », le corps commence son processus de décomposition. Le corps disparaît définitivement en peu de temps. Tous les éléments dont il était formé retournent à la « terre » (au sens large du terme).

Reste l’âme et l’esprit qui se séparent peu après. C’est la « seconde mort ». Au moment de cette seconde mort ou séparation, l’âme psychique reste dans les mondes intermédiaires où elle se désagrège peu à peu. Séparé de l’âme, l’esprit poursuit seul son ascension vers les mondes spirituels. Séparée du corps et de l’esprit, l’âme psychique peut conserver un semblant de vie dans les mondes intermédiaires. Isolée, l’âme est une sorte de « coque » psychique (aussi appelée « larve » psychique) qui est parfois visible sur terre. Elle se manifeste alors sous la forme d’apparitions de fantômes ou à travers des phénomènes de hantise.

Certains cas de possession peuvent s’interpréter comme la contamination d’un psychisme humain par une « coque » ou une « larve » issue des mondes intermédiaires. L’esprit, dégagé du corps et de l’âme, retrouve sa forme lumineuse première. Il retourne vers la Grande Lumière spirituelle qui est sa vraie patrie et son origine. La réunion d’un corps, d’une âme et d’un esprit, caractérise les conditions de l’incarnation humaine terrestre. Il faut bien comprendre que c’est l’esprit qui s’incarne, c’est-à-dire qu’il partage pendant un certain temps la vie d’un corps physique sur notre planète. L’esprit peut s’incarner plusieurs fois dans des corps physiques différents et à des époques différentes, c’est ce que l’on appelle habituellement la « réincarnation ».

C’est l’esprit qui choisit de s’incarner dans une forme physique particulière pour venir accomplir sur terre une « mission » spéciale en rapport avec don propre degré d’évolution. Cette question de l’existence et des rapports entre le corps, l’âme et l’esprit est essentielle. C’est en effet de la réponse que nous donnerons à cette question que dépendra notre conception du devenir de l’homme sur la terre et de sa destinée post mortem. Bien souvent les hommes perdent leur temps dans des activités futiles et ne se préoccupent pas des questions essentielles touchant leur condition d’être humain. Comprendre que l’être humain est une entité formée d’un corps, d’une âme et d’un esprit, c’est prendre conscience des fondements de la vie spirituelle. Cette prise de conscience donne ainsi la possibilité de commencer un travail spirituel qui aura pour but de faire évoluer l’être humain. De ce point de vue cette compréhension est une sorte de « clé » qui sera très utile au chercheur spirituel qui veut suivre ce chemin évolutif.

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/  -  Lien : essai de représentation du devenir du corps, de l’âme, et de l’esprit incarnés : Dossier spiritualité n°10 (bis) : http://www.lesconfins.com/2cae6.pdf

Publié dans:AME, ESPRITS, La MORT |on 15 janvier, 2016 |Pas de commentaires »
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