Archive pour mars, 2013

Le crapaud qui se marie

 

Il y avait une fois un bonhomme si vieux, si vieux, que la mousse lui poussait sur les jambes. Ce bonhomme était père de trois jeunesses qui s’en allaient tous les jours travailler loin de chez elles, pour subvenir aux besoins de la famille.

Chaque matin, lorsqu’il faisait beau temps, le vieillard, qui pouvait à peine marcher, se faisait conduire par la plus jeune de ses filles, appelée Lida, sur un banc placé sous un pommier, au bas de son courtil.

Le crapaud qui se marie dans POLTERGEISTS et LEGENDES grenouille007Un jour qu’il était assis à sa place habituelle, il entendit un bruissement dans l’herbe et vit apparaître un énorme crapaud qui s’avança gravement jusqu’à lui et lui dit : 

— Aimerais-tu, bonhomme, à redevenir jeune ?

— Ce que tu me proposes-là, répondit le vieillard, n’est pas possible, et cependant ce serait le plus cher de mes désirs.

— Eh bien ! il ne tient qu’à toi de recommencer une nouvelle existence.

— Que faut-il faire ?

— Décider l’une de tes filles à m’épouser.

— J’avais bien raison de dire que ce n’était pas possible. Comment veux-tu que l’une de mes filles épouse un crapaud ?

— C’est à prendre ou à laisser. Je te donne trois jours pour la décider, je reviendrai savoir sa réponse et si tu n’as pas réussi, tu ne me verras plus.

Et le crapaud disparut dans les herbes.

Le soir lorsque Lida vint chercher son père pour le ramener à la maison, elle le trouva triste et pensif.

La jeune fille qui l’aimait beaucoup, lui dit : « Père tu n’es pas gai comme de coutume, il a dû t’arriver quelque chose de particulier. Dis-le moi, je t’en supplie. »

De retour à la maison, le bonhomme raconta, devant ses filles, sa conversation avec le crapaud, la proposition de celui-ci, et la condition qu’il y avait mise.

Les deux aînées se récrièrent aussitôt, disant qu’elles ne consentiraient jamais à se sacrifier de la sorte pour être sans doute les dupes d’un vil imposteur.

La plus jeune ne dit rien.

Deux jours s’écoulèrent, et Lida, voyant que son père ne mangeait plus, ne dormait plus et songeait sans cesse à la proposition du crapaud, lui dit enfin, en le conduisant le troisième jour sous son pommier : « Cher père, annonce au crapaud que je consens à l’épouser et que je me tiens à sa disposition. »

Le bonhomme fut tellement heureux du dévouement de son enfant qu’il en pleura de joie en l’embrassant.

À la même heure que la première fois, la bête hideuse aborda le vieillard, et lui dit : « Eh bien ! quelle nouvelle m’apportes-tu ? »

— Lida, la plus jeune, la plus jolie de mes filles veut bien te prendre pour mari. 

Le crapaud devint fou de joie. Il se mit à exécuter une danse insensée, à marcher sur les pattes de devant, à se rouler par terre, et à faire des cabrioles plus extraordinaires les unes que les autres.

Lorsque la joie du monstre se fut calmée, il dit au vieillard :

— Cher beau-père, amenez-moi demain Lida, au même endroit, à la même heure, et aussitôt je vous ferai redevenir jeune, et j’emmènerai ma fiancée dans mon royaume.

Le lendemain, la pauvre enfant, plus morte que vive, accompagna son père à sa place habituelle.

Cette fois le crapaud fut le premier au rendez-vous, et en voyant la charmante figure de sa promise, il recommença ses danses échevelées.

L’infortunée Lida frémit de tout son corps en songeant qu’elle allait devenir la femme de cette affreuse bête.

Le crapaud s’approcha du bonhomme, lui toucha le pied d’une baguette qu’il portait au côté, et la métamorphose s’accomplit : 

Le vieillard redevint ce qu’il était à quinze ans, un jeune et beau cavalier plein de jeunesse, de vigueur et de santé.

Le crapaud pria ensuite Lida de vouloir bien le suivre.

La jeune fille obéit avec résignation.

De sa baguette, il toucha un morceau de roc énorme qui pivota comme par enchantement et laissa entrevoir l’ouverture d’un souterrain dans lequel ils s’engagèrent tous deux. Le rocher se referma sur eux, et ils se trouvèrent dans l’obscurité la plus complète.

La frayeur qu’éprouva la pauvre enfant, en se voyant ainsi prisonnière, fut tellement grande qu’elle s’évanouit.

Le maître de ce séjour ténébreux appela au secours, et plus de mille petits crapauds, portant chacun sa lumière, arrivèrent de toutes parts et entourèrent la malheureuse Lida. D’autres la soulevèrent de terre et la portèrent doucement sur un lit de mousse.

Son mari, roi de ce peuple immonde, lui chatouilla le nez avec des herbes odo rantes qui lui firent bientôt reprendre ses sens. S’habituant peu à peu à son entourage, elle accepta, il le fallait bien, des mets et des liqueurs préparés exprès pour elle.

Au bout de quelques jours, le gros crapaud ordonna la célébration du mariage. Un dîner splendide fut servi. Puis des jeux et des danses se succédèrent avec rapidité. Des milliers de crapauds se lançaient les uns aux autres de petites couleuvres frétillantes, brillantes comme du feu, qui allaient ensuite s’accrocher par la queue aux interstices du rocher, et éclairant ainsi l’appartement mieux que n’auraient pu le faire toutes les lampes du monde réunies ensemble. Des gymnasiarques célèbres exécutèrent sur des joncs tendus des tours de leur façon. Enfin, des grenouilles coassèrent à qui mieux mieux en s’accompagnant de divers instruments. Ces plaisirs, toujours variés, durèrent plusieurs semaines.

Malgré toutes les distractions que s’efforçait de lui procurer son mari, Lida, privée d’air, de jour, de soleil, dépérissait à vue d’œil.

Le crapau en eut pitié et lui dit un jour :

« Femme, le chagrin te consume, et tu tomberais malade si je ne t’accordais quelques jours de liberté. Eh bien ! Je te permets d’aller passer huit jours dans ta famille, pars, guéris-toi, et reviens ensuite ici gouverner en reine souveraine. »

La triste mariée ne se le fit pas dire deux fois et partit aussitôt.

En la quittant, le batracien lui dit : « Ne fais connaître à personne le lieu de notre retraite, ne raconte, à âme qui vive, ce que tu as vu, et ne chagrine pas ta famille en lui disant que tu n’es pas heureuse. »

Elle promit tout ce qui lui était demandé, et partit.

Trois semaines s’étaient à peine écoulées depuis le mariage de Lida, et cependant bien des changements avaient eu lieu dans la maison de son père.

D’abord, ce dernier, redevenu jeune, avait voulu tenter la fortune et était parti pour le pays des îles. Ses deux filles, sup posant que leur sœur ne devait pas revenir, avaient partagé tout ce qu’il y avait à la maison ; aussi furent-elles fort désappointées en apercevant Lida. Celle-ci les rassura en leur disant qu’elle venait seulement passer huit jours avec elles, et qu’elle leur donnait de grand cœur la part pouvant lui appartenir. Les aînées devinrent alors plus aimables et voulurent questionner leur sœur sur ce qui lui était arrivé.

« Je regrette, répondit Lida, de ne pouvoir satisfaire votre curiosité, mais j’ai promis de ne rien raconter de ce qui s’est passé depuis mon départ et je tiendrai mon serment. »

Les curieuses ne se tinrent pas pour battues, et revinrent plusieurs fois à la charge ; mais tout fut inutile, la jeune mariée resta muette.

Lorsque le délai fatal fut expiré et qu’il lui fallut reprendre le chemin du souterrain, elle se laissa aller à un désespoir affreux.

Tout à coup, le crapaud qui, sans se faire voir, avait suivi sa femme et s’était caché dans un coin d’où il avait vu et entendu tout ce qui s’était passé depuis huit jours, s’avança au milieu de l’appartement et dit à Lida :

« Je vois que, malgré tout ce que j’ai pu faire, je ne suis pas parvenu à captiver ton cœur. Je le regrette sincèrement. Rassure-toi, néanmoins, puisque tu as su garder ton serment, je n’abuserai pas du droit que m’a donné ton père en m’accordant ta main, je te rends la liberté. Ne voulant pas non plus, ajouta-l-il, en se tournant vers les sœurs aînées, que ma femme soit une charge pour vous, je lui fais don de ma baguette de magicien avec laquelle elle obtiendra tout ce qu’elle pourra désirer. »

Cela dit, il disparut.

Lida regretta bien un peu de faire autant de peine à ce pauvre crapaud, mais elle se consola vite et ne songea bientôt plus qu’à utiliser la baguette magique.

Les trois sœurs, pour se distraire, effectuèrent chaque jour de charmantes promenades dans les environs. Une après-dînée qu’elles étaient allées plus loin que de coutume, elles gravirent un coteau du sommet duquel on avait une vue splendide. Le paysage leur plut tellement qu’elles s’écrièrent : « Qu’un château ferait bien ici, et comme on y passerait volontiers sa vie ! »

Lida ayant formé ce vœu en touchant sa baguette, elles se trouvèrent immédiatement à la porte d’un superbe château entouré d’un jardin ravissant, clos de murs de toutes parts. Elles inspectèrent leur nouvelle propriété, et furent ravies des merveilles qu’elles y découvrirent. Tout ce qu’il était possible de rêver de plus charmant se trouvait réuni en ces lieux. Tout à coup, leur attention fut attirée par des cris qui venaient de l’entrée du jardin. Elle dirigèrent leurs pas de ce côté et aperçurent, derrière la grille du château, trois individus de mauvaise mine, qui secouaient la porte avec violence et menaçaient de la briser si on ne leur ouvrait aussitôt.

Lida s’avança résolûment vers ces gens et leur demanda ce qu’ils voulaient.

— Nous voulons l’hospitalité dans cette demeure et un dîner succulent, arrosé de vos meilleurs vins. 

— Ma maison n’est point une auberge, allez ailleurs commander en maîtres. Je défends que cette porte vous soit ouverte, et elle ne le sera pas.

— Vraiment ! Eh bien ! nous la briserons. Et l’un deux, saisissant une hache, se mit à frapper à coups redoublés sur la grille.

Lida, serrant la baguette entre ses mains dit, tout effrayée : « Que celui qui cherche à entrer chez moi de force, se brise un membre ! »

Elle n’eut pas plutôt prononcé ces mots, que le malheureux qui, en ce moment brandissait la hache, se l’abattit sur le poignet gauche, qu’il coupa d’un seul coup.

Il poussa un cri de douleur et se roula par terre de désespoir.

« Le maladroit ! » s’écria l’un de ses compagnons, et, s’emparant de l’arme, voulut, à son tour, entamer la grille ; mais la hache mal dirigée lui sépara le genoux en deux. Il s’en alla rejoindre son camarade sur le sol.

Le troisième se précipita, lui aussi, sur l’instrument encore sanglant, et voulut, par un mouvement de rage, lui faire décrire un cercle autour de sa tête ; la hache, lancée avec trop de vigueur, lui échappa des mains et lui trancha le chef ! …

À l’instant même, le bruit d’une voiture se fit entendre, et l’on vit, conduite par quatre chevaux, une calèche dans laquelle se trouvait un joli garçon qui s’arrêta devant la grille, sauta à terre, et tendit les bras vers Lida, en s’écriant :

« Chère épouse, tu viens, sans t’en douter, de me délivrer de mon plus cruel ennemi. Par son pouvoir, il me tenait depuis des siècles métamorphosé en crapaud, et il a fallu que ce fût toi qui me délivrasses d’un pareil monstre ! »

La jeune femme reconnut son mari, ouvrit précipitamment la porte et s’élança vers le charmant magicien qu’elle combla de caresses, lui faisant oublier la répulsion qu’elle avait eue jadis pour l’affreux crapaud.

À partir de ce jour, leur bonheur fut sans nuages.

(Conté par Jeannette Legaud, bonne d’enfants à Vitré).

Publié dans:POLTERGEISTS et LEGENDES |on 31 mars, 2013 |1 Commentaire »

Cristaux lémuriens

 

Question : comment différencier les cristaux lémuriens ? Ils ont six côtés et des rayures comme des archives. Ils ont une énergie très féminine associée avec le cœur. Ils viennent plus du brésil. Beaucoup d’autres sont cachés et attendent d’être découverts, ils ne veulent plus être vendus chers. En temps voulu, ils seront dans vos mains. Les cristaux lémuriens sont devenus e plus en plus rares car très recherchés. Les prix ont triplé mais ça va changer. Dans quelques années nous mettrons à votre disposition un grand nombre de cristaux lémuriens, à bientôt.

La montée en énergie va-t-elle de pair avec la nourriture ? Jusqu’à un certain point, oui, mais ce n’est pas le plus important. Pour monter le taux vibratoire, il faut laisser tomber les jugements, les émotions négatives, les attitudes négatives que nous entretenons. C’est plus important que la nourriture. La viande, les produits laitiers, les aliments contaminés, nous devons les éviter le plus possible, pour la purification de nos corps physiques. Quand nos corps physiques auront intégré un certain niveau de mutation, il sera plus facile pour nous de vivre plus sainement et les frères lémuriens ont l’intention de réintroduire sur notre planète de nombreuses plantes, fruits, légumes, de nouveaux grains, plus adaptés à notre nouveau taux d‘énergie. Quand nous aurons ces nouveaux aliments, nous n’aurons plus le besoin de manger ce que nous ingérons. Le plus important c’et de rester en harmonie avec tous les royaumes actuellement. Si votre corps requiert que vous mangiez des produits animaux, remerciez l’animal et unifiez vos énergies avec cet animal qui s’est sacrifié pour vous. Cet animal va même en bénéficier.. Dans un avenir rapproché, nous allons tout changer. Soyez à l’écoute de vos corps, c’est le plus important. 

Cristaux lémuriens dans INTRATERRESTRES - MESSAGES 12-300x151

Possession et entités astrales

 

Possession et entités astrales dans POSSESSION a1L’idée d’une interaction permanente entre notre monde et le monde spirituel est de celles qui existent dans l’imaginaire de toutes les cultures de l’humanité. Il s’agit d’un fond commun, d’un archétype qui sommeille dans toutes les consciences et qui conditionne de façon plus ou moins perceptible notre philosophie de vie. Pendant longtemps, les traditions spirituelles nous raccrochaient à l’idée réconfortante d’un ailleurs où nous nous retrouvons après la mort. C’est d’ ailleurs le sens des veillées et des messes qui accompagnent traditionnellement l’âme des défunts.

Pour ce qui est de l’après-vie, certaines cultures admettent que l’esprit de nos devanciers peut rester en contact avec nous, on dit « liés à la terre », afin de nous faire partager l’acquis de leur évolution sur la terre. Il en est aussi pour signaler des cas d’obsessions et de possessions qui reviennent hanter et affaiblir les vivants. Il s’agit d’hommes habités par une présence. Ils se trouvent alors dépouillés de leur volonté propre et de leur sensibilité, et ne sont plus qu’un instrument entre les mains de celui qui les possède. A cet effet, les exorcismes sont des rites religieux qui ont pour but d’écarter l’influence de ces esprits possessifs. Est-il possible qu’un esprit désincarné puisse parasiter voire contrôler notre personnalité ? Globalement, le corps scientifique s’y refuse. Pourtant, il existe des méthodes de guérison et de dépossession qui s’emploient et qui obtiennent de très bons résultats. Alors mythe ou réalité ? Voici quelques éléments d’histoire pour tenter d’y voir plus clair !

Du côté de la science…

Aujourd’hui, le matérialisme aliénant de notre société de consommation a posé une chape de doutes sur la permanence dans l’après-vie. En se détournant de sa quête intérieure, le monde marchand fait de plus en plus l’apologie de l’avoir et s’appuie sur le matérialisme scientifique pour affirmer qu’après la mort il n’y a plus rien, que du néant, le vide. Pourtant ce sont les scientifiques du 20 e siècle qui nous invitent à rester sceptiques, étant entendue notre ignorance des lois universelles.

Confucius disait « quand on ne sait pas ce qu’est la vie, comment peut-on savoir ce qu’est la mort ? ». D’après la physique quantique, le vide c’est l’absence de matière car il n’y a pas de particules réelles, mais ce n’est pas rien car cet état de vie est doué de propriétés particulières. Il s’agit d’un peuplement de particules virtuelles ne pouvant pas se matérialiser spontanément mais pouvant perturber la propagation des particules réelles. En somme, il existe donc une interaction entre la matière telle que nous la connaissons, localisée et définie dans l’espace, et une matière virtuelle, indéfinie et délocalisée, peuplée de particules fantômes. Ne voyons nous pas là l’illustration de la théorie des corps énergétiques chère aux sages hindous ?

Toujours du côté de la science, on peut citer aussi le cas de ces personnes qui ont fait l’expérience de la mort clinique, appelée aussi expérience de mort imminente. 

Les enquêtes menées par des parapsychologues comme Raymond Moody mentionnent le cas de ces personnes qui sont sortie de leur corps et l’ont observé comme une entité séparée. Il y a aussi la « transcommunication », observée pour la première fois par le scientifique suédois Friedrich Jürgenson en 1959. Jürgenson capte sur un magnétophone des sons qui forment une voix semblant émaner de nulle part. Canular ou vérité, on a observé depuis de nombreux phénomènes similaires sur des appareils audio ou vidéo. Le pape Pie XII lui-même s’est intéressé à cette forme de communication dont il disait qu’elle « est un moyen scientifique bien différent du spiritisme car neutre et impossible à influencer par l’esprit humain ».

Pour ne pas conclure, on constate que la recherche métapsychique tend de plus en plus à devenir un sujet d’étude au même titre que les autres disciplines. Sans doute parce que l’ésotérisme d’hier est devenue la science d’aujourd’hui. Dès lors on peut raisonnablement penser que l’évolution de notre expérience puisse nous permettre, un jour prochain, de comprendre des phénomènes qui hantent la psyché humaine depuis le début de l’évolution, et qui, demain, feront sans doute partie de notre champ conscient pour notre bien être à tous.

Publié dans:POSSESSION |on 30 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Comment jouer avec les nombres

L’Ennéagramme

Par Josiane Rossé

L’ENNEAGRAMME existe depuis plusieurs millénaires (-4000 av. JC selon certaines sources). Il a été « redécouvert » récemment et il séduit le monde d’aujourd’hui par sa simplicité.

Comment jouer avec les nombres dans CHIFFRES enneagramme

L’Ennéagramme est un symbole représenté par 9 points reliés entre eux et formant un cercle. Chaque être humain a une place et une seule sur ce cercle. Bien sûr la position de chacun correspond à un certain nombre de caractéristiques psychologiques. Comme tous les symboles l’Ennéagramme est relié à une vérité plus grande. Et cette vérité concerne l’être humain, et son lien avec l’univers. L’Ennéagramme nous apprend comment nous avons construit notre personnalité, à partir de quelle vérité -cachée dans notre inconscient- nous voyons la vie.

3 grandes stratégies pour « exister »….

L’Ennéagramme nous enseigne que l’homme est issu du TOUT, que chacun nomme selon ses croyances Dieu, le Cosmos, l’Univers, le Non manifesté, etc… Lors de la naissance c’est une étincelle de ce TOUT qui s’individualise pour s’incarner dans un être et créer un EGO. Cette étincelle se nomme l’ESSENCE de l’être humain dans la tradition de l’Ennéagramme. Ce processus est magnifique et terrorisant. La PEUR de quitter le TOUT et de ne trouver que le néant se confronte au plaisir de vivre en tant qu’individu. L’ego élabore donc des stratégies / solutions pour faire face à cette peur. On distingue 3 grandes familles de stratégies distinctes.

1.Penser, réfléchir c’est la garantie que je ne suis pas dans le néant et que j’existe.

2.Agir, sentir vivre mon corps, c’est la garantie que je ne suis pas dans le néant et que j’existe.

3.Ressentir des émotions c’est la garantie que je ne suis pas dans le néant et que j’existe.

Ces « stratégies de survie » ont des conséquences sur notre quotidien. Car si je crois que « vivre c’est penser », alors « ne plus penser = mourir » et je redouterai plus que tout de : « Ne plus être capable de penser » et je fuirais donc toute situation qui entravera mes facultés de réflexion. Il en est de même pour chacune des solutions. Et chacun d’entre nous s’appropriant plus particulièrement l’une de ces 3 stratégies, 3 grandes « familles » se forment : Les mentaux, les instinctifs, les émotionnels.

Bien sûr tout cela se passe au niveau inconscient de l’être mais cela gouverne pourtant complètement notre vie. Les « mentaux » privilégient la réflexion, la compréhension. Ils ne peuvent s’empêcher de voir la vie d’un point de vue analytique. Ils ont besoin de comprendre et d’anticiper le futur pour vivre pleinement et ils sont à l’aise avec l’abstrait. Tandis que les « instinctifs » ont besoin de bouger, d’agir. Ils voient la vie à partir du réel et s’appuient sur le concret et le connu pour avancer. Ils font confiance à leur instinct plutôt qu’à leur réflexion pour prendre une décision et s’appuient sur le passé. Enfin les « émotionnels » ont besoin d’un climat affectif harmonieux pour vivre pleinement. Ils voient la vie comme une suite de rencontres affectives aussi bien avec les êtres qu’avec les choses ou les situations. Ils vivent intensément chaque rencontre dans le présent.

Par exemple si j’appartiens à la famille des « instinctifs » et que j’ai un enfant appartenant à la famille des « mentaux » je vais privilégier, les contacts physiques, les partages d’activités concrètes avec lui alors qu’il a essentiellement besoin de comprendre. Au travail c’est la même chose si je suis un émotionnel, j’ai besoin de créer un lien affectif avec mon environnement et j’aurais beaucoup de mal avec un responsable qui négligera le coté humain et voudra d’abord me faire comprendre ce qu’il me demande. etc… Et je n’évoque là que le principe de base général mais il est bien évident que chacun aura son « truc » plus personnel pour penser, ressentir ou agir. Et ainsi commencent à s’esquisser des différences fondamentales dans notre manière de construire notre personnalité et notre ego. Puisque la préoccupation première de chaque être humain : rester en vie ne sera pas vécue ni solutionnée de la même façon par tous. Il existe 9 grandes familles de solutions et une infinité de nuances.

Se libérer des schémas emprisonnant.

Les 9 solutions fondamentales obéissent au symbolisme des nombres et sont reliées à une vérité qui touche au sens de la vie pour chacun d’entre nous. Les 9 nombres sont porteurs d’un symbolisme universel et quel que soit le lieu du monde et sa culture, le nombre 2 par exemple évoque la dualité, la loi des contraires ou la rencontre. Le 2 évoque automatiquement le duo ou le duel. Il en est ainsi de chaque nombre. Pour les ésotéristes, les nombres décrivent l’histoire de la terre et de l’humanité depuis les origines, ils sont un langage universel. L’Ennéagramme à partir de ce langage décrit et décrypte les différents comportements humains.

Découvrir à partir de quelle croyance fondamentale et -bien sûr inconsciente- nous avons bâti notre ego est particulièrement instructif car nous mettons en même temps à jour tous les mécanismes de défenses et tous les automatismes que nous avons fabriqués pour « rester en vie ». Nous découvrons souvent avec stupéfaction que nous avons construit des défenses en béton pour nous protéger d’un danger illusoire et que nous vivons dans une prison sans le savoir. Le paradoxe est que nous passons une grande partie de notre temps et de notre énergie à consolider les murs de notre propre prison. Lorsque nous trouvons notre position sur l’Ennéagramme nous pouvons alors libérer toute cette énergie et l’utiliser en conscience à de nouveaux projets. Nous devenons alors des individus pleinement LIBRES. Nous pouvons à notre convenance utiliser nos compétences propres et laisser tomber nos fausses protections. Nous découvrons également que nos proches, collègues, amis ou parents sont eux aussi dans leurs prisons et si nous ne pouvons pas les libérer nous avons les « clefs » appropriées pour leur rendre visite et être sûrs d’en être entendu et compris.

Découvrir lequel de ces 9 chemins est le sien, c’est aller à la rencontre de soi dans toute sa profondeur. C’est accepter de regarder ses fragilités mais c’est aussi faire la merveilleuse découverte de sa beauté spécifique. L’Ennéagramme nous permet de devenir notre meilleur ami. Puis s’aimant soi même il devient facile d’aimer les autres et à ce titre l’Ennéagramme est un cadeau précieux et un extraordinaire outil de tolérance.  

Josiane Rossé est à l’origine une physicienne qui très vite s’est passionnée pour l’être humain et son fonctionnement psychologique. Les nombres d’abord outils mathématiques puis symboliques sont au cœur de son parcours et lui ont servi de fil conducteur. Formée à la PNL et à l’hypnose ericksonienne, Josiane Rossé est formatrice et thérapeute depuis 15ans et a crée le Centre Pythagore à Nice. Elle est l’auteur de « L’Ennéagramme à la lumière du symbolisme des nombres » Ed. Librairie de Médicis.

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Centre Pythagore – 52 Rue Vernier – 06000 NICE -

L’incarnation

 

Extrait de Caroline Cory 

L'incarnation dans REINCARNATION pecheAvant de nous incarner, nous avons un contrat avec nous-mêmes.  Nous décidons de venir ici pour remplir une tâche et une mission.  Ce n’est pas nécessairement une tâche énorme.  Ça peut tout simplement être de vivre une expérience humaine.  Et vous organisez tout cela avant de vous incarner.  Vous avez déjà une bonne idée du temps que cela prendra pour accomplir ce que vous voulez.  Par exemple pour compléter votre mission, vous aurez besoin de 30, 40, 70 ans ou cent ans.  Alors vous écrivez dans votre histoire ce que vous voulez accomplir et vers quel âge vous partirez ainsi que la possibilité de modifier légèrement le moment de votre départ lorsque celui-ci approchera.  Je dis légèrement car, voyez-vous, à partir d’une perspective beaucoup plus élevée, vous êtes une conscience très large, beaucoup plus grande que celle qui peut entrer dans votre corps physique en ce moment.  Toute décision que vous prenez à propos de votre incarnation va également affecter votre conscience globale.  Et cette conscience plus grande affecte également la Création en général, voyez-vous.

Essayez d’imaginer une immense bulle qui contiendrait tout la Création.  Puis à l’intérieur de cette bulle, visualisez une bulle un peu plus petite qui est celle de votre famille spirituelle, celle à laquelle la totalité de votre conscience appartient et ensuite une bulle plus petite qui est vous.  Ainsi, si vous changez quelque chose dans la plus petite bulle, qui est contenue dans les plus grandes, cela va affecter tout le reste et cela est très important.  D’une certaine façon, cela devrait vous faire sentir bien car alors que la petite bulle, qui est vous, décide de s’incarner, vous apportez à la plus grande bulle de votre conscience quelque chose de nouveau, quelque chose de différent.  Vous n’êtes pas là simplement par vous-mêmes, séparés de la Création.  Vous amenez la Création entière avec vous et vous ajoutez à la Création en général alors que vous complétez votre mission.

C’est pourquoi il est si important de comprendre que le moment de votre transition est crucial vu d’une perspective globale.  Disons par exemple que vous réalisez que vous aurez besoin de 2 ou 3 incarnations pour compléter cette mission.  Dans la première vie, vous vous incarnerez et vivrez peut-être 30 ans et puis vous partirez et vous reviendrez aussitôt.  Dans ce cas, lorsque vous partez vous n’allez pas très loin puisque vous voulez vous réincarner tout de suite  pour terminer la 2e et la 3e partie de cette mission.  Et quand vous aurez complété toutes les parties qui composent cette mission, alors votre conscience retournera complètement à la plus grande bulle qui contient votre conscience entière car vous aurez complété votre mission.

Ceci dit, lorsque nous regardons cet événement de notre perspective humaine, nous ne voyons que le fait que cette personne soit partie jeune et nous disons : ‘Oh mon Dieu, il n’avait que 30 ans!’ ou encore ‘Il a perdu un enfant qui avait 7 ans seulement.’  Nous ne comprenons pas que le moment de notre départ correspond à un but très précis.  Les accidents n’existent pas.  C’est extrêmement rare.  Même les accidents font partie de l’histoire que nous avons écrite avant de nous incarner – ils ont un but.  Disons qu’un enfant est tué dans un accident par une fusillade.  Cet événement va provoquer un grand changement de conscience dans la communauté, dans le pays et peut-être même internationalement.  Si cela avait été une personne plus âgée, l’impact n’aurait pas été le même.  Alors dans l’histoire de cette personne, avant de s’incarner, elle écrit : ‘ Je vais provoquer un phénomène simplement par ma mort si jeune.’  Et c’est la raison pourquoi mon départ à l’âge de 7 ans répond à un but très précis, voyez-vous? Il s’agit de comprendre que le moment de notre départ a un but particulier à tous les niveaux : il sert l’histoire personnelle, l’évolution de la conscience sur Terre et la Création en général parce que cet événement va s’ajouter à la grande bulle de la Création et contribuer ainsi à son expansion.

À suivre…

Source originale : The Physical Transition 2013 02 10 – http://www.youtube.com/watch?v=RqIUTQxbsZo

 

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Traduction Dominique Lacroix – http://www.nouvellerealite.com/

Publié dans:REINCARNATION |on 27 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Le rôle du mental

 

Question : Quel est le vrai rôle du mental ?

Le mental n’est surtout pas à rejeter, c’est une faculté divine qui représente l’esprit divin. Le problème avec le mental est qu’il a été mis au service de l’ego et non au service du cœur ; L’ego altéré, en séparation, a pris la place du cœur ;

Le rôle du mental dans LEMURIENS fenetre3Voici quelque chose d’efficace : Parler à votre mental et le mettre au service du cœur, et percevez votre ego altéré comme un enfant qui a été abandonné, plein de peurs, qui veut tout contrôler parce qu’il est en souffrance. Prenez cet enfant, cette partie de vous et rassurez-le, faites de votre ego un ami et non un ennemi, dites lui que vous ne l’abandonnerez jamais, en réalité c’est une partie intime de vous-même qui doit être aimée et rassurée pour que cette partie de vous se transforme dans la divinité. La partie de vous en séparation dominée par l’ego, l’autre partie dominée par l’amour.. La partie d’ego est toujours partagée à cause des souffrances infligées. C’est important de parler à votre ego et de le préparer, que vous ne l’abandonnerez pas. Il veut être ascensionné lui aussi. Je ne t’abandonne pas, nous ascensionnerons tous ensemble,. Quand l’ego rentre dans ses peurs, vous allez le rassurer comme un petit enfant qui a peur. Et vous verrez que graduellement, votre ego va vous aider. I a été un ou til de votre évolution. Quand l’évolution sera suffisante, que votre ego acceptera de façon plus tangible l’amour, votre soi supérieur va le respirer, l’amener et l’unifier. C’est un processus nécessaire à votre ascension. Votre ego deviendra unifié à votre divinité, vous êtes prêts pour l’ascension.

Dans mes méditations, je suis avec une grande famille, est-ce pour moi ou à partager ? Votre méditation est pour vous, tout le monde l’a. Si vous la percevez, c’est votre famille à vous. Et chacun de vous a sa propre famille, souvent c’est la même. Car nous avons beaucoup de vies parallèles. Vous ne savez jamais qui est assis à côté de vous. Si dans vos méditations vous avez les mêmes familles, il est possible que vous soyez des aspects de l’autre. Aurélia a rencontré d’autres aspects d’elle-même ; Mais ce sont des vies différentes, des expressions différentes du même. Quand vous comprendrez la multiplicité, vous découvrirez qu’il y a des milliers de vous en incarnation ou sur des plans supérieurs. Vous êtes des êtres très vastes, tellement vastes qu’il n’est pas possible que cet être soit contenu dans un seul corps physique. Il est tellement vaste qu’il a besoin d’être incarné dans des milliers de corps physiques.

Il y a quelques années, on ne pouvait pas comprendre, nous avons dit à Aurélia qu ‘elle découvrirait plusieurs aspects d’elle-même, elle n’y croyait pas, et maintenant qu’elle les découvre elle se souvient. Vous allez découvrir ce mystère pour vous-même, votre tour arrive..

SOURCE ; TELOS

Publié dans:LEMURIENS |on 23 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Je Suis aussi la Mort

Sri Nisargadatta Maharaj:  extrait du livre:  « je suis » (dialogue N°50)   

Q: Ce n’est pas contre la mort que je me rebelle, c’est contre la façon de mourir.

Je Suis aussi la Mort dans La MORT 16                    M : La mort est naturelle, la manière est le fait de l’homme. Se sentir séparé cause la peur et l’agressivité, qui causent, à leur tour, la violence. Débarrassez-vous des séparations crées par l’homme et toutes ces horreurs, ces gens qui s’entretuent, disparaîtront. Mais dans la réalité, il n’y a ni tuerie, ni mort. Le réel ne meurt pas, le non-réel n’a jamais vécu. Mettez votre mental d’aplomb et tout se trouvera d’aplomb. Quand vous savez que le monde est un, que l’humanité est une, vous agissez en conséquence. Mais il vous faut d’abord vous occuper de vous, de votre manière de sentir, de penser et de vivre. A moins que l’ordre ne règne en vous, il ne peut pas régner dans le monde.

 En réalité, rien n’arrive. La destinée projette éternellement, sur le mental, ses images, souvenirs d’anciennes projections ; l’illusion, ainsi, se renouvelle constamment. Les images vont et viennent – lumière interceptée par l’ignorance. Voyez la lumière et négligez le film.

 Q : Que d’insensibilité dans cette façon de voir les choses ! Des gens tuent, d’autres sont tués, et vous parlez de cinéma.

 M : Allez-y donc, et soyez tué – si c’est ce que vous pensez de voir faire. Ou même, allez-y pour tuer, si vous croyez que c’est votre devoir. Mais ce n’est pas la manière d’en finir avec le mal. Le mal, c’est la puanteur d’un mental malade. Soignez votre mental et il  cessera de projeter des images distordues et horribles.

 Q : Je comprend ce que vous dites, mais émotionellement, je ne peux pas l’accepter. Cette vision de la vie, purement idéaliste, me rebute profondément. Tout simplement, je ne parviens pas à penser que je suis, en permanence, dans un rêve.

 M : Comment pourriez-vous être en permanence dans un état causé par un corps impermanent ? L’incompréhension vient de votre opinion d’être un corps. Examinez cette idée, voyez les contradictions qu’elle implique. Réalisez que votre existence présente est comme une pluie d’étincelles – chaque étincelle dure une seconde, la pluie une minute. Un chose dont le commencement est la fin ne peut, assurément, pas avoir de milieu : respectez vos propres termes. La réalité ne peut pas être transitoire. Elle est intemporelle, mais intemporalité ne signifie pas durée.

 Q : J’admet que le monde dans lequel je vis n’est pas le monde réel. Mais il existe un monde réel dont je vois une image distordue. La distorsion est peut-être due à une défectuosité du mental ou du corps. Mais quand vous dites qu’il n’y a pas de monde réel mais seulement un monde du rêve dans mon mental, je ne peux pas y adhérer. J’aimerais pouvoir croire que toutes les horreurs e l’existence ne sont que parce que j’ai un corps. Le suicide serait une issue.

 M : Tant que vous attacherez  de l’importance aux idées, les vôtres et celles des autres, vous connaîtrez le trouble. Mais si vous rejetez tous les enseignements, tous les livres, tout ce qui s’exprime en mots, si vous plongez profondément en vous-même et que vous vous y trouviez, rien que cela résoudra tous vos problèmes et vous laissera la pleine maîtrise de toutes les situations parce que vous ne serez plus  dominé par les idées que vous avez de la situation.

 Prenons une exemple, vous êtes en compagnie d’une femme attirante. Des idées prennent corps à ce sujet et cela crée une situation sexuelle. Un problème vient de naître et vous vous plongez dans des livres sur la continence ou l’art d’aimer. Si vous étiez un bébé, vous auriez pu être nus tous les deux ensemble sans que se pose le moindre problème. Cessez de penser que vous êtes un corps et les questions d’amour et de sexe perdront toute signification. Tout sentiment de limitation disparu, la peur, l’angoisse et la recherche du plaisir – tout disparaît. Seul demeure l’éveil.

 Sri Nisargadatta Maharaj

Publié dans:La MORT |on 22 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Adama est un père pour nous

 

Mes chers enfants, ici Adama, c’est mon grand plaisir d’être de nouveau parmi vous de façon très consciente. Je ne peux pas vous répéter assez souvent l’importance de vivre votre vie de plus en plus consciente. Devenez conscients de votre entourage. Commencez à percevoir l’invisible, il n’y a pas de murs entre les dimensions, il y a seulement des voiles que vous avez crées. Les dimensions sont superposées l’une sur l’autre et elles existent en simultanée. Il est possible pour vous dans l’état présent de percevoir les énergies de la 4ème, c’et une question d’élever votre taux vibratoire et pour les pratiquer, d’aiguiser vos perceptions. C’est votre manque de conscience qui cause les voiles que vous avez. Vous ne portez pas assez attention. Suggestion d’exercice : Allez dans la forêt, dans un endroit quelconque et asseyez-vous doucement. Choisissez 1 endroit au bord de l’eau. Ecoutez l’eau, tous les bruits de l’eau, le silence, les variations entre le silence et le bruit, les nuances de vibration de l’eau qui coule et en même temps que vous faites ce travail avec l’eau, écoutez le bruit de la forêt, des arbres, des feuilles.

Adama est un père pour nous dans LEMURIENS petit-6

Qu’entendez vous ? Y a t il des oiseaux, ce serait bien de prendre des notes, Un oiseau, plusieurs ? Les entendez-vous voler ? Près de vous ? Loin de vous ? En même temps que l’eau, les arbres les oiseaux, écoutez la terre, Il y a des bruits au-dessous de vous, des bruits subtils mais les entendez-vous. C’est une façon simple de développer vos perceptions. Peut-être n’entendez-vous rien ? Mais au fur et à mesure que vous vous entraînez, l’eau, la forêt sera plus vivante et de plus en plus enchantée. C’est l’éveil de l’ouverture de vos perceptions, Que vous vous en rendiez compte ou non, il y a un monde que vous croyez invisible qui vit tout autour de vous, magique et d’une grande beauté que vous pouvez découvrir dès maintenant, y croire et investir et le découvrir.

C’est la même chose avec les fleurs, les arbres, les jardins. Vos possibilités sont illimitées de cette façon de commencer à découvrir. Quand vous monterez votre taux vibratoire, vous percevrez le monde magique qui est autour de vous. Pratiquez, vous êtes des maîtres en devenir. Tout est déjà là. Se souvenir, se rappeler comment vous êtes dans l’éternel moment. Je m’ouvre à une interaction avec vous ? Tous les maîtres du ciel sont là pour vous aider à découvrir, c’est vous qui devez le faire pour vous. Investissez pour découvrir ce bel ange d’amour qui est en vous. C’est par cette commuions que vous le découvrirez. Personne ne peut le faire pour vous.

Que faire quand on ressent au niveau du travail qu’on n’est plus à sa place ? Il faut faire des choix. Vous n’êtes jamais obligé de rester à ce travail. Soit se préparer à faire un autre travail et faire confiance à la vie, On n’est pas obligé de faire un travail que l’on n’aime pas. C’est toujours un choix de rester ou de partir. L’être divin en vous n’est pas limité, pour trouver un travail qui va vous donner de grandes satisfactions, il faut se préparer à ce nouveau travail. Si vous ne vous y préparez pas, l’ange divin ne s’ouvre pas. Même si c’est seulement l’intention de faire un travail que vous aimez. Si vous avez un grand nombre d’expériences, vous pouvez communiquer avec votre soi divin dans vos méditations. Je te dis que mon travail n’est plus ma vérité, j’ai l’impression que j’ai appris tout ce que j’avais à apprendre,, je demande à passer à une nouvelle étape qui aidera l’humanité et mon évolution. Créez ce genre de prière. Mettez votre intention que vous désirez changer, créez une énergie d’amour et d’acceptation par rapport à ce projet tant que ça ne s’est pas produit. Si vous avez encore des choses à apprendre dans le cadre de ce travail, le changement ne se fera pas immédiatement, si c’est vraiment terminé, préparez-vous à de belles surprises.

Source : TELOS

Publié dans:LEMURIENS |on 21 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Un livre pour un message

 

Un livre pour un message dans SUMERIENS message-187x300Selon le Livre de la Genèse, Adam et Ève ont été expulsés du paradis parce qu’ils avaient mangé une pomme. Et depuis ce terrible jour, vous et moi sommes voués au malheur : tels des Sysiphes, nous devons pousser ce « péché » tout au long de notre vie sans jamais pouvoir racheter la faute originelle de nos lointains parents, et encore moins ouvrir la porte du paradis.

C’est une condamnation éternelle, une malédiction divine, proférée par Dieu en personne à l’encontre de l’humanité, simplement parce que Ève a été trop curieuse… Nous sommes donc tous coupables, et la femme plutôt dix fois qu’une.

Pourquoi ?

Selon saint Paul, Tertullien et saint Augustin, parce que cette faute est retransmise de génération en génération par l’union sexuelle , elle-même n’étant qu’une pure répétition systématique du péché originel.

Ainsi, avant même de naître, tout être humain est d’office condamné puisqu’il n’est que le fruit d’une répétition constante de la faute !

Et tout cela à cause d’un serpent qui s’était distingué en vendant des Encyclopédies Universalis non pas en porte à porte mais d’arbre en arbre. Des milliers de commentateurs juifs, catholiques, protestants et musulmans ont écrit des kilomètres d’explications aussi savantes que bizarres sur cette « faute originelle », cette « chute de l’homme », cette « perte de la grâce », cette « perversion de la femme », etc., sans jamais convaincre véritablement.

Et pour cause… Ce « péché originel » a permis par exemple à saint Paul, le théologien favori du Vatican ( surtout aujourd’hui ), d’écrire que « la femme est un corps sans tête », et à saint Jérôme de dire que « la volupté avec une femme est un crime à classer juste après l’homicide ». Même au cours du XIXe siècle, pourtant plus éclairé, le prêtre catholique Lamennais a affirmé que « la femme est une statue vivante de la stupidité parce qu’en la faisant d’un reste de limon, Dieu en a oublié l’intelligence ». Seul problème, cette apologie du « péché originel » imposée par la Bible et tous ses prêtres ne repose sur rien !

Depuis presque trois mille ans, des millions d’hommes et de femmes ont été nourris d’un texte qui a été entièrement maquillé, truqué et transformé par un ou plusieurs scribes hébreux entre 1250 et 800 av. JC.

Il n’y a jamais eu de serpent.
Il n’y a jamais eu de péché de la femme.

En revanche, il y a bien eu un mensonge phénoménal grâce à un savant « mélange » de passages ôtés et d’autres réécrits. Le scribe qui a rédigé le Livre de la Genèse a simplement pris un texte sumérien intitulé Enki et Ninhursag, antérieur d’au moins 1500 ans à la naissance de l’écriture hébraïque, et en a modifié toute la structure pour l’adapter à « ses » besoins comme vous allez le découvrir dans ce livre.

Au cours de l’histoire, ce mensonge a été plus meurtrier que le principe de l’esclavage, plus efficace que le principe du droit divin et plus neutralisant que toutes les bombes atomiques réunies.

 

Pierre Jovanovic, Le mensonge universel, Extrait du Chap.1

Publié dans:SUMERIENS |on 21 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Réveillez-vous !

Ouvrez les yeux sur ce que vous êtes et réveillez-vous !

 

Réveillez-vous ! dans CHANNELING petit-10« Les êtres humains fonctionnent essentiellement avec leur ego, leur intellect et leur mental. L’ego est un outil indispensable à l’expérimentation humaine dans la troisième dimension, tout comme le sont le mental et l’intellect qui permettent à l’être humain de comprendre, d’avancer et de travailler en permanence tout ce qu’il doit travailler pour sa propre évolution.

Cependant, à l’époque actuelle, il faut que vous compreniez ce que peut représenter l’ego. L’ego ne veut pas céder sa place à l’être spirituel qui est en train de s’éveiller ; au travers du mental, il trompe les êtres, et cela se comprend ! Vous-mêmes, en tant qu’humains, vous n’êtes pas toujours pas disposés à changer d’attitude, à changer d’habitudes, car vous fonctionnez essentiellement au travers d’habitudes. Comprenez que votre ego n’a pas du tout envie de passer au second plan !

Ce qui est le plus embêtant pour vous, humains, c’est qu’au travers de votre mental vous êtes parfois dans l’illusion de l’avancement.

Si vous n’avez pas la capacité de faire un pas en arrière, de bien réfléchir sur vos comportements, sur vos paroles, sur vos actes et sur vos émotions, comment voulez-vous être réellement prêts à aborder le grand virage ?

Votre mental vous cache la vraie réalité, non seulement de ce que vous devez acquérir, mais de ce que vous êtes au-delà de l’humain.

Imaginez que votre égo soit une entité entière et que, d’une certaine manière, comme il a toujours été le commandant de bord de ce que vous êtes ; il n’a pas envie d’avoir un nouveau commandant et être assujetti à un rôle subalterne. Il fait donc du forcing. Aidé par le mental, il voile la conscience du néophyte qui avance en tâtonnant.

Alors nous vous disons aujourd’hui : Ouvrez les yeux ! Ouvrez les yeux sur ce que vous êtes et réveillez-vous !

Vous allez nous dire : « mais nous sommes conscients de tout ce que nous avons à travailler, de tout ce que nous avons à comprendre ! Nous sommes conscients du but à atteindre et nous nous en donnons les moyens ! »

S’il en est ainsi pour certains ou pour tous, nous dirons simplement : c’est parfait !

Cependant, nous qui pouvons lire dans votre âme, nous constatons à quel point vous vous leurrez vous-mêmes en pensant avancer, alors que vous faites des tout petits sauts de puce ! Nous ne sommes pas là pour vous réprimander, nous sommes là pour ouvrir davantage votre conscience, et si nous vous disons cela, c’est que nous pensons que vous êtes capables d’aller plus vite et d’être réellement prêts pour le grand virage, pour le grand moment.

Afin que que vous soyez réellement prêts pour ce moment extraordinaire, il faut que vous appreniez tous le lâcher prise, l’acceptation, le respect, l’Amour Inconditionnel et l’Amour pour vous-mêmes.

Bien sûr, vous direz : « nous faisons tout cela ! » Votre mental le fait, mais votre cœur reste en arrière ! Vous direz aussi  : « nous aimons ! Votre mental aime, mais votre cœur reste en arrière !

Nous désirons susciter en vous-mêmes une grande réflexionSi vous n’arrivez pas à réfléchir sur vous-mêmes, nous pouvons vous assurer que vous serez en retard, et que les derniers mètres seront très difficiles à franchir.

Certes, nous aiderons, comme nous l’avons toujours fait, tous les êtres qui désirent réellement avancer. Nous sommes là pour vous prendre la main, mais si au lieu de vouloir avancer vous tirez en arrière, nous vous laisserons tirer en arrière et nous lâcherons votre main !

Pourquoi tirez-vous en arrière ? Parce que vous avez l’impression que vous êtes dans le juste et dans le vrai !

Enfants de la Terre, il est important d’agir !

Pourquoi est-il important d’agir ? En fonction de ce qui pourrait arriver sur ce monde avant la fin de votre année terrestre ? Nous vous disons tout de suite : vous êtes encore dans l’illusion du mental, vous êtes encore dans le leurre de votre personnalité, dans le leurre de vos désirs !

Alors que devez-vous faire ? A quoi devez-vous vraiment penser pour votre évolution ?

Ignorez totalement tout ce qui pourrait arriver sur ce monde dans les jours ou dans les mois qui viendront ! Que pouvez-vous en savoir ? Rien ! Rien pour le moment !

Quel est le but réel de votre venue en cette fin de cycle ? Le but réel est non seulement votre évolution, mais c’est également l’évolution de votre âme, tout ce que vous aurez pu imprégner dans votre âme, toutes les expériences tellement merveilleuses !

Toutes ces expériences sont vraiment des trésors ! Lorsque vous quitterez ce plan, peu importe si c’est avec ou sans votre corps de matière, vous serez nus ! Vous serez nus car de toute façon vous n’aurez plus le corps qui est le vôtre actuellement. Si vous quittez le plan de la Terre avec votre corps, il sera transcendé, il sera transmuté. La fréquence vibratoire de votre corps ne sera plus du tout ce qu’elle est actuellement. Même la composition de votre corps sera différente, que ce soit au niveau du sang, de votre matière, des os, des muscles, des organes, etc.) Tout sera différent car totalement imprégnés de la lumière photonique qui inonde votre monde.

Que vous sera-t-il demandé lorsque vos frères de Lumière viendront vous accueillir ou tout simplement vous aider ?

Il vous sera demandé ceci :

« As-tu bien appris ta leçon terrestre si importante ?

Comment as-u aimé ?

As-tu respecté ta vie, as-tu respecté la vie qui t’entoure ?

As-tu su reconnaître ta Partie Divine ?

As-tu su reconnaître la Partie Divine de ceux qui t’entourent ?

As-tu su aller au-delà de ce que te montraient tes yeux humains, au-delà de la personnalité, pour pouvoir réellement percevoir la Lumière briller dans les yeux de tes proches et de tes frères, pour voir leur Partie Divine rayonner sa présence ?

As-tu fermé les yeux à tout cela ? As-tu été ignorant ?

A ce moment-là, vous pourrez ressentir la grande souffrance de votre âme, parce qu’elle vous dira : « nous aurions pu aller plus loin dans notre évolution, toi mon « petit moi » et moi qui suis en toi ! Si nous n’avions pas eu les voiles de l’inconscience et de l’égoïsme, nous aurions pu aimer davantage ! Nous aurions pu avoir beaucoup plus de respect pour la vie si nous n’avions pas été centrés sur nous-mêmes ! Mais maintenant il est trop tard ! »

Nous vous posons cette question :

Que désirez-vous ? Désirez-vous attendre passivement que les évènements, si évènements il y a, viennent vous sortir de votre ornière, viennent vous élever au-delà des efforts que vous auriez à faire ? Attendez-vous ces moments exceptionnels dans l’endormissement ou désirez-vous vous réveiller ?

Enfants de la Terre, maintenant, le choix est en chacun de vous ! Maintenant, nous vous mettons face à vous-mêmes afin que vous puissiez réellement faire votre examen de conscience.

Si nous vous parlons de cette façon, c’est uniquement parce que nous vous aimons et que nous souhaitons vraiment que lors du moment du grand passage vous puissiez être capables de dire simplement ceci :

« J’ai fait tout mon possible avec mon cœur, je me suis investi autant que mes forces me le permettaient, j’ai essayé de bien comprendre mon fonctionnement humain, j’ai essayé d’aimer malgré les contradictions, malgré certaines apparences, malgré certaines attitudes, malgré les différences ».

Vous seuls, pendant le laps de temps qui vous reste pour apprendre, pour comprendre, êtes votre propre maître ! Vous n’avez pas d’autre maître que vous-mêmes, et nous sommes là simplement pour vous ouvrir les yeux.

Nous sommes là simplement pour vous mettre en garde contre vous-mêmes, en garde contre vos propres leurres, contre vos propres illusions !

Cela sera-t-il suffisant ? Nous l’espérons réellement ! Nous l’espérons pour vous tous, car nous vous aimons infiniment. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

Venez nous rejoindre sur le forum http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:CHANNELING, DEVELOPPEMENT, HUMANITE |on 20 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Difficile de parler de la mort

 

La vie a une fin, c’est notre seule certitude, mais c’est aussi la plus difficile à admettre. Même le mot « mort » nous fait peur ! Nous avons rencontré trois personnes qui travaillent avec elle au quotidien et qui en parlent sans tabou.

Fabien Trécourt

Difficile de parler de la mort dans La MORT nabuleuse2L’annonce d’un décès suscite souvent silences gênés, condoléances de circonstance, compassion appuyée. Pas facile de trouver les mots justes… « Il est impossible de réagir par l’indifférence, affirme le sociologue Patrick Baudry, auteur de La Place des morts, enjeux et rites (L’Harmattan, 2006). Aucune société n’a développé une vision de la mort qui permettrait d’en parler comme de la pluie et du beau temps. » Dès l’Antiquité, le philosophe grec Épicure écrit qu’elle est « celui d’entre les maux qui nous donne le plus d’horreur ». Et, des maux aux mots, il n’y a qu’un pas : ainsi, chez les Amérindiens navajos, dire le nom d’un défunt est soupçonné de déclencher des maladies. La psychologue et psychothérapeute Marie de Hennezel, membre de l’Observatoire national de la fin de vie, note que beaucoup d’entre nous ont une peur irrationnelle de prononcer le mot, « comme s’ils allaient attraper la mort de la même manière que l’on attraperait la grippe ». La création cette année d’un Salon de la mort s’est heurtée à de telles résistances : « On me conseillait d’appeler ça le “Salon du départ” », s’étonne encore Jessie Westenholz, coorganisatrice de l’événement.

Une forme de déni

Historiquement, religions et philosophies ont toujours évité le coeur du sujet. « Les questions de la vie après sa fin sont omniprésentes, atteste le maître d’oeuvre du Dictionnaire de la mort, Philippe Di Folco. Mais il existe très peu de choses sur la biologie, le traitement des corps, les personnels funéraires… » Comme si nous ne parlions jamais autant de la mort que lorsqu’il s’agit d’en éluder la possibilité. Dans les religions, par exemple, nous ne disparaissons pas, nous poursuivons notre vie dans l’au-delà ou nous nous réincarnons. « C’est une forme de déni, analyse le philosophe Pierre Le Coz, vice-président du Comité consultatif national d’éthique. Pour mieux l’accepter, nous imaginons que la mort est le commencement de la vraie vie. » Pour certains, elle ne serait pas à craindre car nous ne serons plus là pour en souffrir. « J’aimerais voir ces moralisateurs à leurs derniers instants », ironise Pierre Le Coz. Il est plus facile de parler de la mort en général que d’affronter la sienne. « Le philosophe Heidegger dénonce l’attitude qui consisterait à se défaire de cette peur en feignant de croire qu’elle ne nous concerne pas, souligne la philosophe Raïssa Maillard dans le Dictionnaire de la mort. Souvent, cette peur est refoulée dans un “On meurt” impersonnel qui ne nous menacerait jamais en propre. »

Une absence de rites

Pour Pierre Le Coz, c’est l’instinct qui commande de détourner le regard : « Cela a permis à l’humanité de survivre. Celui qui ne craint pas la mort se met en danger. » Ce rejet se retrouve dans le cercle familial, où le psychiatre Jean Santonja constate une véritable occlusion de la parole : « Quelqu’un qui se sait sur le point de mourir subit une pression involontaire de son entourage. On lui répond que ça va aller, qu’il va s’en sortir… Ce qui est une manière de passer à autre chose. » S’il a toujours été difficile de parler de la mort, il semble que notre siècle y soit encore plus rétif que les précédents. « Lorsque l’on mourait chez soi, entouré de sa famille, de ses voisins et de ses amis, cela faisait partie du quotidien, rappelle Marie de Hennezel. Et elle était plus visible : on voilait de noir la porte d’entrée, on venait, en voisin, passer un moment au chevet du mourant… » Ces rites ont quitté l’espace public. On s’éteint à l’hôpital, le plus souvent seul, et les symboles du deuil ont disparu. Pour Marie-Frédérique Bacqué, psychologue et vice-présidente de la Société de thanatologie, « le rejet des pratiques mortuaires est flagrant depuis la Première Guerre mondiale. Avant, on en plaisantait facilement. Lorsque le pays a été décimé, il n’y a plus eu que dans les salles de garde des médecins que cela s’est fait ». Aujourd’hui, moins d’un Français sur deux estime probable qu’il y ait quelque chose après la mort (Sondage TNS Sofres-Philosophie magazine,novembre 2010). « Nos contemporains sont sceptiques, confirme Pierre Le Coz. Ils ont surtout peur de ne pas avoir vécu. » Une opinion que partage le psychiatre Christophe Fauré, membre du conseil d’administration de l’association Vivre son deuil : « La mort agit comme un puissant rétroviseur. En parler, c’est revenir sur ce que l’on a vécu, accompli, choisi… Et l’exercice n’est pas aisé ! Des regrets peuvent venir nous hanter à ce moment-là, surtout en fin de vie. » D’autant que la mort est avant tout une question intime : « Il faut que la personne qui va mourir et son entourage soient d’accord, ensemble, pour l’aborder, estime Christophe Fauré. C’est un espace de parole difficile, et le désir doit venir des deux côtés, sinon le dialogue ne s’établira pas. » Une photo, un objet, une anecdote… « Autant de manières de mettre en scène le nouveau statut du défunt par rapport à nous », explique Patrick Baudry, qui ajoute aussitôt que la meilleure réponse à apporter à ces adieux est parfois… le silence. Une chose est sûre, ceux qui parlent le mieux de la mort sont ceux qui l’ont apprivoisée. Avec beaucoup d’émotions, nos témoins nous expliquent comment.

Publié dans:La MORT |on 18 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Les étapes du deuil

 

Les étapes du deuil ne sont pas les mêmes chez l’enfant et chez l’adulte. À quelles réactions peut-on s’attendre et quelles sont celles qui doivent nous inquiéter ?

 

Les étapes du deuil dans La MORT mort4-300x183Michaël Larrar répond : Le maître mot, c’est le temps. Les étapes du deuil ne sont en effet pas tout à fait identiques, et surtout, elles sont moins visibles chez l’enfant. L’enfant vit les choses de façon plus saccadées, parce que son inconscient tente de le protéger contre la violence de cet évènement. C’est comme s’il allait découper l’information puis la digérer petit à petit.

En général, il va d’abord donner l’impression de n’avoir aucun ressenti. Certains parents disent : « Je lui ai annoncé, et puis il est retourné jouer, sans rien demander ». En réalité, l’enfant a très bien compris. Mais il a besoin de temps pour intégrer l’information. C’est un mécanisme de défense appelé le clivage. Les enfants s’en servent plus que les adultes, parce qu’ils sont plus fragiles, qu’ils n’ont pas la même force intellectuelle pour se défendre, et surtout, parce qu’ils doivent continuer à évoluer, à grandir, et qu’ils sont obligés de garder de l’énergie pour ça.

Il n’est donc pas nécessaire de répéter, de marteler l’information, ou de vérifier que l’enfant a bien compris. Seul celui qui se sentira de taille sera à même de poser tout de suite des questions. Sinon, il y reviendra plus tard, à son rythme, et quand il se sentira prêt à en entendre les réponses. Certains enfants s’adressent à des tiers, à l’école notamment. Peut-être parce que l’ambiance y est moins lourde, qu’ils ont confiance dans les réponses qu’ils vont y trouver, ou parce qu’ils savent que la maîtresse ne sera pas attristée par ses interrogations. D’autres questionneront leurs parents au moment du coucher, parce que c’est un moment d’angoisse qui leur rappelle les angoisses de mort.

Il n’est pas rare que de petits symptômes surviennent le mois qui suit : des difficultés à dormir, à aller se coucher, à être sage, à bien manger… Mais si cela perdure après un mois, que l’on ressent son enfant triste, y compris à l’école ou lorsqu’il joue avec ses copains, alors, il faut s’interroger. Et solliciter des discussions avec lui. Ce n’est que dans un second temps que l’on pourra penser à consulter. La consultation avec un psy ne doit pas venir démunir les parents de leur rôle, elle ne doit être envisagée que s’ils ne trouvent pas les mots, ou ne comprennent pas son angoisse.

Publié dans:La MORT |on 16 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Parler de la mort aux enfants

 

Co-fondatrice de l’association “Choisir l’espoir”, elle est également animatrice et formatrice au “Centre François-Xavier Bagnoud”. Elle a publié “Apprivoiser l’absence” aux éditions Fayard (1992).

Annick Ernoult

Comment répondre aux questions des enfants portant sur la mort ?

Il n’est jamais facile de répondre à ces questions car dans un sens, elles nous ramènent à notre propre difficulté à évoquer un tel sujet. Or, les enfants attendent des réponses claires, et nous obligent donc à être clairs envers nous-mêmes. Il existe aussi une idée trop répandue qu’il faut protéger les petits de tout ce qui est lourd et triste. C’est vrai pour certains problèmes qui ne les regardent pas, comme les difficultés d’un couple. Mais ce n’est pas vrai en ce qui concerne la mort, car c’est une question existentielle qu’ils se posent et ils ont besoin d’en parler.

Parler de la mort aux enfants dans ENFANTS terre4-300x172Je pense donc qu’il est important de réfléchir à ce que l’on souhaite leur dire, de leur parler de manière simple, et de le faire à partir des questions posées et non pas en développant un grand discours sur la vie et la mort. Et surtout, nous adultes, sommes tout à fait en droit de dire aux enfants que l’on ne sait pas répondre à certaines interrogations et de leur expliquer pourquoi Mais des messages importants doivent être passés : la mort est naturelle, tout naît et tout meurt. On ne sait pas quand elle arrive : ne décèdent pas uniquement les gens âgés mais aussi des personnes jeunes. Enfin, la mort ne touche pas que les méchants.

 

Quand un enfant perd l’un de ses proches, de quelle façon le lui annoncer ?

Dans l’idéal, les gens les plus proches de l’enfant devraient lui faire cette annonce. Mais ce n’est pas toujours possible. Dans ce cas, il faut absolument que ce soit quelqu’un en qui l’enfant a confiance.

L’un des meilleurs moyens d’aider l’enfant est de lui parler avec des mots vrais. Ne lui dites que papa est parti, ou s’est endormi. J’ai vu trop d’enfants qui sont ensuite paniqués à la seule idée d’aller se coucher ou qui attendent vainement le retour du disparu. Etre mort, c’est ne plus bouger, ne plus parler, ne plus respirer, ne plus rire… C’est ce que l’on doit expliquer aux enfants.

Enfin, on dit qu’il est important de voir le corps. C’est tout à fait vrai à partir du moment où cela se fait dans de bonnes conditions. Cela ne doit pas être imposé à l’enfant, et s’il l’accepte, il doit être accompagné par un adulte. Une bonne chose est de le suggérer à l’enfant en lui proposant par exemple d’apporter une lettre, un dessin, une fleur. L’enfant dès lors participe, et cela aura un impact très fort sur l’après, sur le deuil. Il en va de même pour les funérailles. Il est important pour l’enfant d’y assister, mais s’il le souhaite et s’il est bien entouré.

Aider un enfant touché par le deuil est très important, comment s’y prendre ?

Il est essentiel que l’enfant puisse raconter, exprimer tout ce qu’il ressent, poser des questions et avoir une écoute et des réponses à ses questions. Le dessin, le jeu, les contes, les livres sont de bons outils pour l’aider à dire ses émotions. Car l’enfant sait très bien ce qu’il ressent mais il est important que l’on le lui demande.

Un enfant endeuillé est un enfant qu’il faut également rassurer : il a besoin de sentir l’amour que l’on a toujours pour lui, l’aide que l’on va lui apporter. Surtout quand la mort touche une fratrie: ce frère ou cette sœur décédé(e) va prendre toute la place, on ne parle que de lui ou d’elle, ce qui est tout à fait naturel tant le chagrin est immense. Mais l’enfant vivant doit être associé à ce chagrin : mieux vaut être triste tous ensemble que seul chacun dans son coin. 

Enfin, il faut aider l’enfant à dire adieu, en retournant pourquoi pas sur la tombe après les obsèques, en y déposant un dessin ou une lettre. Car c’est aussi sa propre histoire qu’il écrit.

Quelques suggestions d’ouvrages pour vous aider :

A lire avec ses enfants :

• “Tu seras toujours avec nous Calinou” de Micheline Motte et Frédéric Mansot (Ed. Mame, 1993)
• ”Quelqu’un que tu aimais est mort” d’Agnès Auschitzka (Bayard editions, 1996)
• ”Tu me manques” de Paul Verrept (L’ecole des loisirs, 1999)

Pour parler de la mort avec ses enfants :

• “La mort, la vie de famille” de Marie-Hélène Encreve-Lambert (Bayard Editions, 1999)

Infos pratiques :

Unité François-Xavier Bagnoud / Fondation Croix Saint Simon 
125 rue d’Avron, 75020 Paris. Tel : 01 44 64 43 50
( www.fxb.org ) Cette association possède un Centre de documentation richement fourni. Vous pouvez y obtenir par courrier ou par mail (afxbacdi@wanadoo.fr), une bibliographie en fonction d’un thème (suicide, mort d’un bébé…), ou des conseils de lectures en fonction de l’âge.

Publié dans:ENFANTS, La MORT |on 15 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Le second Holon d’Immunité

 Par Tom Kenyon

A cause de la destruction de votre éco-système et autres répercussions du mauvais usage de votre technologie, des bactéries et des virus sont en train de muter à une vitesse record, et de nouvelles formes apparaissent. Ce holon a un effet puissant sur votre système immunitaire. Cela ne signifie pas qu’il est une substitution au fait de prendre soin de vous-même, mais c’est un complément; et si vous tombez malade, ce holon peut-être d’un grand intérêt.

Le second Holon d'Immunité dans HOLONS terre2 C’est essentiellement un cylindre qui tourne autour de vous, depuis juste au- dessus de votre tête jusque juste sous vos pieds. Au sommet du cylindre, la forme se cintre en avant comme une banane, en face du front. Au bas du cylindre, la forme se tord dans la direction opposée au sommet. Ainsi si vous le regardiez de côté, il ressemblerait beaucoup à une banane qui aurait été vrillée. Certains l’appellent le holon du dauphin. Vous ressentez cette forme autour de votre corps, maintenant l’impression qu’il est de couleur argentée, ressemblant beaucoup à un ballon publicitaire fait de “mylar” (sorte de matière plastique, ndt). Cette couleur argent n’a pas besoin d’être vue, mais seulement d’être imaginée. Elle est spécifiquement reliée aux propriétés anti-bactériennes et anti-virales de l’argent colloïdal.

Ressentez ce holon autour de vous, et quand votre esprit s’égare, ramenez-le vers la sensation du holon. Cette géométrie spécifique permet aux énergies subtiles qui sont en vous d’être calmées, et en même temps énergétisées d’une façon particulière, ce qui renforce le système immunitaire. Nous vous suggérons de l’ajouter à votre “kit de première urgence”, comme on dit.

Nous souhaitons vous laisser en ce moment avec ces dernières pensées: Alors que le chaos sur votre terre s’accroît, ne soyez pas angoissé. C’est un processus naturel pour passer d’une dimension à l’autre. La maîtrise spirituelle est l’habileté à traiter de nouvelles situations de façon créative. Rien d’autre que cela n’a d’intérêt. Vous devez trouver de nouvelles manières de vous occuper de votre vie et de ce qui arrive dans votre environnement.

Les choix que vous faites détermineront votre destinée. C’est vraiment aussi simple que cela. Alors que beaucoup autour de vous entrent dans une spirale de désespoir et de confusion, une étrange opportunité s’ouvre. Il est possible de surfer sur les vagues du changement à travers les prochaines et mouvantes périodes de chaos avec humour, grâce et une croissance extraordinaire. Le pouvoir de faire cela ne vient pas de l’extérieur. Il vient de l’intérieur, mais comme un mineur qui cherche de l’or, vous devez aller creuser. Trouver le trésor qui vous rendra riche, en terme de qualités spirituelles et de probabilités croissantes de survivre à ces temps, nécessite une recherche de votre part, non pas à l’extérieur de vous-même mais à l’intérieur, car vous possédez déjà ce dont vous avez besoin. Les suggestions que nous ferons dans les mois à venir sont simplement des allusions utiles pour que vous résolviez l’énigme que vous êtes, et, espérons-le, un jour prochain, si vous n’êtes pas déjà en train de hurler de rire, vous comprendrez la blague cosmique, et avec un cri perçant de plaisir, vous vous éveillerez de votre sommeil, sortirez de ce rêve, et entrerez dans un nouveau, ou mieux encore, vous vous éveillerez complètement.

Sourcehttp://tomkenyon.com/le-holon-de-lequilibre-et-le-holon-de-la-sante

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Publié dans:HOLONS |on 14 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Gardien des enfers : Yanluowang

 

Gardien des enfers : Yanluowang dans La MORT mort_du_fossoyeur-213x300Yanluowang  (le roi Yanluowang) est un dieu chinois d’origine bouddhiste, gardien et juge de l’enfer. Très présent dans l’imaginaire grâce à l’iconographie et aux contes populaires, il ne possède aucun temple en propre, comme toutes les déités d’aspect trop féroce. Tout au plus trouve-t-on quelques rares sanctuaires où il est honoré en même temps que neuf autres collègues (ex : temple des Dix rois des enfers de Yaumatei à Hong Kong). ATaïwan, une place est parfois faite aux Dix rois des enfers dans le temple du Dieu de la muraille et des douves. Yanluowang lui est en effet est associé dans le bouddhisme populaire et la religion traditionnelle, tout comme il l’est au bodhisattva Dizangwang. Ces trois divinités sont liées au monde infernal.

Les enfers que président Yanluowang sont parfois appelés Fengdu  et situés sous le mont du même nom, aussi appelé Mingshan , « mont des Enfers », au nord-est du comté de Fengdu  dans le Sichuan. Selon le professeur Jiang Yuxiang  du Musée de l’université du Sichuan, Fengdu, où un culte est rendu à un immortel depuis la dynastie Han, est l’une des 72 terres d’immortalité du taoïsme. Il fut identifié à partir des Song du sud au mont Luofeng  donné comme siège des enfers par Tao Hongjing dans le Zhengao. On y trouve au XXIe siècle un village-fantôme touristique sur la route des croisières sur le Chang Jiang.

Le roi des enfers dirige un petit personnel de démons souvent représentés avec une face animale, chargés de capturer les âmes que leur méchanceté a désigné à son attention et de tourmenter les damnés. Ce sont eux-mêmes des créatures ayant mal tourné ; leur fonction est ainsi une sorte de punition. À l’issue de leur peine, qui peut parfois être très longue, les âmes sont réinsérées dans le cycle des réincarnations après l’absorption d’une potion d’oubli.

Le bouddhisme a joué un grand rôle dans la diffusion de l’image de l’enfer et des punitions terribles promises aux pécheurs. Néanmoins, cet enfer se superpose à la représentation du monde des morts issue de la religion chinoise, et la croyance en la réincarnation est quelquefois la seule trace d’idéologie bouddhiste qu’on y trouve. Le monde des morts est alors un reflet de celui des vivants, administré de façon similaire. Les démons, par exemple, y sont des gardiens que la famille du défunt peut soudoyer par des offrandes de papier-monnaie, d’où l’importance des cérémonies en faveur des morts sans famille comme celles de la fête des fantômes. Dans le temple de Yaumatei on peut voir la représentation d’un homme portant un carcan qui offre de l’encens aux Dieux des enfers. Il s’agit d’un mort sans sépulture, ramassé comme un vulgaire vagabond par la police démoniaque et amené devant le juge divin, qui déterminera grâce à sa clairvoyance s’il est criminel ou victime, et veillera le cas échéant à ce que justice lui soit rendue.

Dans la version plus bouddhiste de l’enfer, les démons tourmenteurs sont des émanations de l’âme impure des damnés, et le salut tient autant à la valeur spirituelle des prières des vivants qu’à la force magique des cérémonies.

Dans l’univers très syncrétiste et peu dogmatique de la religion chinoise, l’interprétation de Yanluowang peut varier grandement de personne à personne. Si certains reconnaissent en lui une divinité bouddhiste, d’autres le considèrent comme un dieu taoïste en concurrence avec le bodhisattva Dizangwang. Généralement vu comme une divinité effrayante, il peut également présenter l’image plus rassurante d’un juge intègre et juste ou d’un défenseur du dharma.

Publié dans:La MORT |on 14 mars, 2013 |Pas de commentaires »

L’année du Serpent

L’Année du SERPENT

Par NGUYEN Ngoc-Rao

L’année du Serpent est le plus souvent caractérisée par un calme relatif et par une certaine sagesse collective. On commencera à se rendre vaguement compte de la futilité de l’agitation humaine, et on se sentira plus porté vers la philosophie et la méditation. 

L'année du Serpent dans 2013 - PREDICTIONS images-3L’année sera donc avant tout favorable aux études et à la pensée. Inscrivez-vous sans plus tarder à un cours que vous avez toujours eu envie de suivre, que ce soit un cours de musique, de peinture, de poterie, d’histoire ou de langue étrangère. Le Serpent vous aidera à surmonter vos difficultés et à acquérir une nouvelle dimension culturelle. C’est la culture qui affinera et ennoblira votre personnalité ; grâce à elle, vous vous sentirez moins prisonnier de votre origine animale et plus proche des anges – si vraiment les anges existent. 

À moins que vos conditions de vie ne vous l’interdisent, accordez-vous de longues heures de lecture, non pas celle de mauvais livres ou des feuilles de chou, mais d’œuvres de véritable valeur. Vous percevrez mieux, au fil de vos lectures, la nature humaine en général et votre propre nature e particulier ; vous découvrirez probablement la règle d’or de conduite qui distingue le sage du sot. 

Penseurs, philosophes, chercheurs – tous ceux qui contribuent à élever l’homme au-dessus du niveau de l’animal – seront favorisés cette année. On ne les traitera plus d’utopistes, on ne se moquera plus d’eux comme des rêveurs éveillés ; au contraire, on les estimera ou les secondera, se rendra bien compte qu’ils sont utiles à l’humanité. De grandes découvertes pourront ainsi se réaliser. 

L’homme avancera à pas de géant vers une meilleure compréhension de lui-même et du monde, et vers une meilleure utilisation des moyens à sa disposition pour atteindre le bonheur. Ne restez pas à l’écart de cette marche merveilleuse. Informez-vous-en autant que possible ; contribuez-y selon vos possibilités. Suivez ce précieux conseil de Térence : « Je suis homme, et rien de ce qui est humain ne doit, je pense, me laisser indifférent. » 

L’année du Serpent, d’autre part, est considérée comme propice à l’éclosion de nouvelles amours et, peut-être par voie de conséquence, à des aventures adultères. Si vous voulez rester fidèle à votre conjoint (ou amant ou maîtresse), surveillez bien votre cœur , car il connaîtra des tentations très fortes. Si vous voulez garder votre conjoint (ou amant ou maîtresse) pour vous, ne le laissez pas sortir ou partir en vacances tout seul : les occasions de « péché » se trouveront à chaque coin de rue. Mais si vous voulez flirter, vous serez bien servi, même si vous êtes timide, parce que les autres auront aussi envie de faire pareillement. 

Attendez-vous un bébé cette année ? Souhaitons qu’il vienne un jour chaud et beau, car il sera ainsi plus heureux : le Serpent n’aime pas le temps maussade ou froid. 

Source: http://www.asiaflash.com/astrochina/annee-du-serpent-2013.shtml

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Publié dans:2013 - PREDICTIONS |on 12 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Se rallier à l’Amour, la grande cause

 

Par le Collectif Ashtar 
Reçu le 19 février 2011 par Simon Leclerc 

Salutations à vous chers enfants de la Terre,

Nous sommes ravis de partager avec vous d’autres aspects de nos éclairages qui, nous le souhaitons, contribuent à élever votre regard et à alléger votre Être. 

Se rallier à l'Amour, la grande cause dans AMOUR amour-coeur-00020Dans quelque temps d’ici, la période que vous traversez actuellement sera perçue comme étant cruciale, car vous comprendrez alors qu’en ce moment, vous êtes à installer des changements sociaux qui marqueront votre humanité d’un vent de transformation irréversible. À travers ces changements planétaires, plusieurs se questionnent sur la dimension concrète de l’amour, encore trop peu visible lorsque vous observez les voies plus «officielles» qui orientent votre monde. 

Nous vous partageons ici un questionnement qui nous a été adressé et auquel nous souhaiterions répondre de façon plus globale. Même si ce questionnement n’est pas partagé par tous, la réponse sera transmise sous un angle qui, nous le sentons, répondra à des interrogations plus larges et concrètes.
 
Que dois-je faire pour accepter ou modifier ma perception du manque d’amour que je perçois sur Terre chez certains Êtres humains? D’une manière générale, sur la Terre, je ressens que les Êtres humains n’expriment pas assez d’amour et cette perception me gêne. 

D’abord, le premier élément à cette question est associé au regard, aux «lunettes» de celui qui observe. Ce sont elles qui amènent à percevoir cette situation. Bien que celle-ci soit réelle, en parallèle à ce manque d’amour, il y a aussi beaucoup d’Êtres qui choisissent d’aimer. Donc, beaucoup d’Êtres vibrent à l’amour et à l’envie de partage, et beaucoup d’Êtres aussi expérimentent l’absence d’amour et d’envie de partage. Mais il faudra convenir ici que certaines «lunettes» amènent à contempler l’un des aspects de cette réalité et à en être affecté. C’est une portion importante de la vie sur Terre nous direz-vous, mais malgré tout, il ne s’agit pas de LA réalité, mais bien d’UNE réalité.

Le manque d’amour 
Ce qu’il est intéressant de savoir ici n’est donc pas si le manque d’amour existe vraiment, mais bien pourquoi est-ce que cette réalité affecte autant certains Êtres? Voilà la véritable question. D’abord, le regard est attiré vers cette réalité, parce qu’elle représente un défi microscopique qui existe à l’intérieur d’une réalité macroscopique. 

Ce que nous entendons par cela est que le corps céleste de la Terre est représenté, à votre échelle, par votre propre corps physique. Ce qu’il y a à l’extérieur existe aussi à l’intérieur, car autrement, vous ne pourriez le percevoir. Dans ce contexte, l’envie de percevoir plus d’amour à l’extérieur s’associe à l’envie profonde d’un Être de retrouver plus d’amour envers lui-même.

Il y a sur Terre beaucoup plus d’envie d’aimer que d’élan à détester, beaucoup plus d’envie d’union que d’envie de séparation, beaucoup plus d’envie de paix que d’envie de guerre et beaucoup plus d’envie d’abondance que de peur du manque. Maintenant, pourquoi est-ce un défi de contempler la légèreté tout en côtoyant la lourdeur? Voilà une question intéressante.

Les médias 
D’abord, il est intéressant d’observer que vos structures médiatiques, largement contrôlées, conditionnent vos sociétés. Elles se sont donné comme mandat de pointer et d’entretenir les formes de lourdeur. Il n’y a pas de jugement ici, nous ne faisons que constater que vos médias sont au service de la lourdeur et qu’ils la nourrissent. Donc déjà, les Êtres qui portent l’envie d’union davantage que l’envie de séparation sont nourris médiatiquement par la fausse idée qu’ils sont seuls à croire cela, et même qu’ils sont naïfs, parce qu’on leur dit que les humains cherchent naturellement à s’opposer et à entretenir les guerres. C’est la nature humaine entendront-ils.

Voilà donc que chacun, individuellement, camouflera ses élans profonds plus lumineux, pour accueillir une réalité qui lui paraîtra plus conformiste, mais aussi plus sombre. Mais en vérité, ce qui est réaliste est de ressentir la pulsion d’amour, et non les pulsions de haine et de guerre. Ces éléments ont été «ajoutés» en cours d’aventure pour approfondir l’expérience de la dualité, mais ils ne font pas partie de votre nature profonde.

La naïveté 
Il faut comprendre que chaque Être qui est nourri par ces conditionnements sociaux aura un réflexe de se protéger d’une forme de naïveté et de vulnérabilité potentielle, qu’il aura l’impression d’être le seul à porter. Et voilà qu’il se barricade derrière des envies de haine et de guerre considérées naturelles, ce qui le pousse à vouloir se séparer des autres, au lieu de s’abandonner à sa nature profonde. 

Pas à pas, l’Être s’emprisonne alors dans une structure sociale qui le pousse à croire qu’il a besoin de se protéger de sa naïveté en devenant fermé aux autres, qu’il ressent vouloir entretenir les oppositions. Il se dira alors qu’il se protège des autres en se refermant. Ce faisant, il ne se permettra plus de ressentir l’état d’union véritable qui est associé à sa nature profonde. 

Tous les Êtres humains cherchent à s’unir, cela est naturel. C’est la fermeture face aux autres qui ne l’est pas, car elle requiert un véritable effort. Que celui-ci soit conscient ou non, l’effort est lui bien réel et c’est souvent le corps physique qui montrera les premiers signes de cette dénaturalisation.

L’union et la paix 
Et voilà que selon leur regard, les Êtres se diront que les humains sont fermés et qu’il faut se protéger de cette fermeture. Derrière cela, chaque Être a cependant envie d’union et de paix. Mais plusieurs n’osent pas toucher à cette sensation intérieure, car selon leur conception, elle risque de les fragiliser. 

Donc à cette question, nous répondons que derrière la façade, les Êtres ont véritablement envie d’union et de paix. Même ceux qui mènent vos armées à la guerre ont envie de paix, mais ils ne savent pas comment l’exprimer. Ils ne se laissent alors pas toucher par ce qu’ils portent en eux. Ils se croient naïfs et dans l’illusion, mais ils ont eux aussi profondément envie de paix.

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Publié dans:AMOUR |on 12 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Comment devenir l’Ange que vous êtes

 

Par Gerrit Gielen

Comment devenir l'Ange que vous êtes dans ANGES natureBeaucoup de gens sont hypersensibles. Ils ne supportent pas le bruit, l’agressivité et le rythme effréné de la société moderne. Ils souffrent souvent de troubles psychosomatiques et d’insomnies. Ce qui pour les autres semble aller de soi, par exemple : une fête de famille, est pour eux une corvée. Simplement faire ce que les autres considèrent comme normal tourne souvent au désastre pour eux.

Enfants, ils sont souvent incompris et sous-estimés. Parce qu’il leur est difficile de s’affirmer et qu’ils se réfugient dans leurs rêves, leur scolarité est pénible. Très souvent, mener une carrière et réussir selon les critères de la société ne fonctionne pas pour eux. Ils végètent alors plus ou moins en marge de la société. Le simple fait de participer aux activités courantes est vécu comme quelque chose d’épuisant. À cause de tout cela, l’image qu’ils ont d’eux-mêmes n’est pas très positive, ils se sentent souvent en situation d’insécurité et d’infériorité. Leurs pensées sont confuses, et il leur arrive de répéter sans cesse les mêmes choses.

Évidemment, ce tableau est assez caricatural. Cependant, beaucoup de gens s’y reconnaîtront (en partie). Concentrons-nous maintenant sur certains traits positifs communs aux êtres hypersensibles. Ils apprécient la paix et le calme, aspirent à vivre en harmonie avec leurs congénères. Ils sont sensibles à la beauté, surtout à celle de la nature. Ils sont très empathiques et ouverts au spirituel. Ils ont une imagination fertile. Ils attirent à leur insu les gens en difficulté qui leur demandent conseil.

Quel est leur problème ? La réponse est qu’ils ne sont pas (seulement) hypersensibles, ils sont aussi dotés d’une grande sensibilité. En fait, ce sont des anges déguisés.


Qu’est-ce qu’une grande sensibilité ?

Tout être vivant émet une certaine vibration, une aura : les fleurs, le soleil, les humains, les animaux, les plantes, ainsi que la société humaine dans son ensemble. Vous êtes d’une grande sensibilité lorsque votre vibration, votre aura, sont plus raffinées que celles de la société humaine.

Imaginez un instant un bel ange radieux qui descend du Ciel pour naître en un corps humain dans une métropole moderne. L’ange passe un moment très difficile, confronté au bruit, au chaos et à la laideur du monde qui l’entoure. Où sont passées la sérénité et la beauté de la nature ? Où sont les fleurs ? Où est la profonde sagesse intérieure ? Le sentiment d’unité avec le cosmos ? L’ange se sent anéanti, étranger. Le monde alentour ne le nourrit pas, il ne le reconnaît pas. L’ange commence à penser qu’il y a en lui quelque chose qui ne va pas, et il devient triste et déprimé. Comme il ne se sent pas chez lui ici, il vit à l’écart et aspire vaguement à une autre réalité. Les gens autour de lui le considèrent comme un rêveur qui ne veut pas affronter les réalités de la vie. La lumière de l’ange diminue. Alors qu’il était d’abord quelqu’un d’une grande sensibilité, il est maintenant devenu hypersensible.

Peut-être vous demandez-vous pourquoi cet ange s’est incarné sur Terre ?

Beaucoup d’anges s’incarnent sur Terre et chaque ange a sa propre motivation. Il existe toutefois une motivation d’ordre général : celle d’aider la Terre. Grâce à la présence de tous ces anges, la société humaine dans son ensemble gagne en lumière et en sensibilité. La présence angélique élève les vibrations du monde. C’est surtout vrai lorsque les anges se souviennent de qui ils sont et qu’ils ont retrouvé confiance en eux. Quand leur lumière brille vraiment.

Maintenant, imaginez un instant que vous êtes l’un de ces anges. Que pouvez-vous faire pour redevenir radieux, pour transformer votre hypersensibilité en une grande sensibilité ?


Première étape : Réaliser que vous êtes un ange

Réalisez que vous êtes un ange et n’ayez pas peur de le montrer. Croyez en votre lumière, en vos capacités créatrices et surmontez votre peur de vous montrer. Ceci est la première étape.

Comment ferez-vous cela ?

En vous connectant au spirituel. Voir le monde selon une perspective spirituelle, se souvenir de la sphère intemporelle d’amour et de beauté dont vous êtes originaire et à laquelle vous appartenez. Vous avez toujours été en contact avec cette réalité subtile, éthérée. À présent, faites un nouveau pas en avant et croyez vraiment qu’elle est là. À l’instant où vous entrez en connexion avec elle, vous entrez aussi en contact avec votre centre intérieur et vous commencez à réaliser qui vous êtes réellement. Vous vous souvenez que votre conscience est éternelle et que c’est une source prodigieuse de lumière et de créativité.

À partir du moment où vous réalisez que vous faites partie de cette autre sphère, qui est votre véritable foyer, le jugement que la société porte sur vous devient beaucoup moins pesant. Vous réalisez que votre séjour ici n’est que temporaire, et que cette société chaotique et trépidante va disparaître un jour et faire place à une société plus paisible, harmonieuse et heureuse. Ce que cette société pense et attend de vous est secondaire. Le plus important, c’est ce que vous êtes venus faire, comment vous allez manifester votre lumière en ce monde.

En percevant votre origine véritable, vous allumez votre lumière. La lumière est créatrice et transformatrice. Vous remarquerez que votre environnement va commencer à réagir différemment. La vie va devenir plus facile et les gens vont vous prendre plus au sérieux. Vous aurez franchi la première étape fondamentale dans la transition entre l’hypersensibilité et la grande sensibilité.


Seconde étape : Devenir conscient(e) de votre énergie masculine

Vous êtes capable de vraiment offrir votre lumière aux autres à la seule condition que vous soyez également capable de ne pas la donner. Si vous ne savez pas dire Non aux autres, votre Oui n’a pas de sens. Apprendre à poser des limites et à vous affirmer est crucial. Si vous ne le faites pas, votre énergie s’écoule dans un trou sans fond, et vous vous sentirez en permanence faible et fatigué.

Pour empêcher cela, vous avez besoin d’entrer en contact avec votre énergie masculine. Beaucoup de gens qui sont enclins au spirituel ont une image négative de l’énergie masculine. Elle est associée à la violence, l’oppression, l’agressivité et elle est considérée comme n’étant pas spirituelle. En résultat de cette attitude négative envers l’énergie masculine, beaucoup de personnes de tendance spirituelle et hypersensibles se sentent impuissantes et incapables de s’affirmer.

La solution est de comprendre qu’il n’y a rien de mauvais dans l’énergie masculine, en soi. C’est le déséquilibre entre le masculin et le féminin qui est la cause du problème. En considérant comme inférieure l’énergie masculine, beaucoup de personnes affaiblissent leur propre force. C’est ce qui arrive surtout chez les femmes sensibles. Spécialement lorsque l’on traverse un processus de croissance spirituelle, il est de première importance de se connecter avec son énergie masculine.

Dès que vous aurez franchi la première étape et que vous serez plus conscient(e) de ce que vous êtes en réalité, vous allez vous distinguer énergétiquement de votre entourage. Votre lumière sera remarquée. Ce qui va attirer vers vous ce que j’appelle des sangsues énergétiques. Ce sont des personnes ou d’autres entités, par exemple l’organisation pour laquelle vous travaillez, qui se nourrissent de votre énergie. Ils vous privent de votre énergie sans rien vous donner en retour. Si vous n’êtes pas capable de vous protéger dans un tel environnement, vous êtes coincé(e).

À ce point, il est nécessaire d’utiliser votre énergie masculine. Accueillez votre part masculine, votre homme intérieur et faites-lui confiance. Laissez-le prendre la forme d’une épée qui, dans vos mains, tranche les liens entre vous et tout ce qui vous prive de votre énergie.

Un piège fréquent, lorsque vous utilisez l’épée de votre énergie masculine efficacement, est la notion d’égalité. « Nous sommes égaux et je ne devrais pas donc pas faire de distinction entre moi et les autres, et je devrais partager ce que j’ai avec eux. » La notion d’égalité est vraie jusqu’à un certain point. Au niveau de l’âme, nous sommes tous égaux. Au niveau de la manifestation, toutefois, nous ne le sommes pas. Certaines personnes sont plus aptes que d’autres à laisser briller leur lumière. En ne reconnaissant pas cela, nous donnons libre accès aux sangsues énergétiques. Spécialement ceux qui rayonnent beaucoup de lumière et qui ont beaucoup à donner devraient se protéger. Faites attention à qui ou à quoi vous donnez votre énergie. Tout le monde n’est pas prêt à recevoir ce que vous avez à offrir. Ne laissez pas votre don précieux être gaspillé par des personnes ou des organisations qui ne correspondent pas à vos vibrations. Utilisez votre énergie masculine pour discerner.


Troisième étape : Réaliser que mère Terre est votre amie

Beaucoup d’êtres hypersensibles éprouvent de la résistance à vivre sur Terre. Cette résistance est en partie due au fait qu’ils ne se sentent pas chez eux dans notre société occidentale moderne. L’énergie de la société ne correspond pas à la leur et ils se sentent étrangers à cette société. Ils veulent partir. Dans leur subconscient, ils se souviennent de leur héritage spirituel et aspirent à rentrer « à la maison ». Ils veulent retourner à la paix et à l’harmonie de leurs sphères célestes, qui contrastent tant avec le bruit, la peur, l’agressivité et l’anonymat de la société humaine actuelle.

À part cette raison pour laquelle ils ressentent de la résistance envers le fait de vivre sur Terre, les êtres sensibles savent aussi intuitivement ce qu’il leur est arrivé au cours de leurs vies passées sur Terre. Ils ont souvent des mémoires de guerre, de persécution ou d’autres formes d’agression. Ils se souviennent d’avoir essayé d’être bons et de faire le bien sur Terre et d’avoir été violemment rejetés pour cette raison.

Pour surmonter votre résistance à être ici, il est important de faire la distinction entre l’énergie de la société humaine et l’énergie de la Terre en elle-même. Pour ce faire, trouvez-vous un bel endroit dans la nature. Allez-y en semaine, par exemple, quand c’est calme. Ressentez l’énergie présente, la sérénité et la paix. Ouvrez votre cœur à ce lieu naturel et ressentez toutes les énergies qui y sont présentes. À part vous, il y a aussi des esprits de la nature, comme les fées et les lutins, qui travaillent en étroite collaboration avec la Terre. À présent, ressentez la Terre, cette Terre pour laquelle vous êtes venus, la Terre qui vous vient en aide et qui souhaite vous soutenir. Ouvrez votre cœur à son énergie et à son amour.

En entrant en communion avec la Terre, vous êtes capable de prendre vraiment votre place et de laisser briller votre lumière dans ce monde. Vous êtes capable de changer le monde et de le rendre plus beau. Il y a un lieu pour vous sur Terre, où vous vous sentez chez vous. Et cela deviendra un phare qui transformera le monde alentour.

Les êtres hypersensibles se cachent. La lumière de ceux qui sont d’une grande sensibilité rayonne dans le monde.


Quatrième étape : Utiliser votre énergie féminine pour devenir encore plus sensible

Votre énergie féminine peut faire la différence entre avoir peur de quelqu’un et aimer quelqu’un. Elle vous permet de regarder derrière le masque et de voir sa vulnérabilité. Dans notre cœur, nous sommes tous bons. Dieu est dans le cœur de chacun. Vous pouvez utiliser l’énergie féminine qui est en vous pour devenir quelqu’un d’encore plus sensible ; utiliser votre capacité d’empathie pour comprendre réellement comment l’autre se sent dans ses souliers. Comprendre l’autre de l’intérieur peut vous aider à relativiser ses remarques désobligeantes ou son comportement belliqueux. Cela peut vous aider à lâcher prise.

Cela devient possible quand l’énergie masculine en vous est assez forte pour protéger votre côté féminin. Quand nous sommes blessés par ce que quelqu’un nous dit, bien souvent, ce ne sont pas ses paroles qui nous blessent, mais notre interprétation trop susceptible de ces paroles. Bien souvent, les gens ne nous en veulent pas personnellement, ils ne font que nous lancer à la figure ce qui ne nous était pas destiné personnellement. Votre énergie féminine peut vous aider à ressentir ce qui se passe en réalité chez l’autre. En utilisant le don féminin de la sensibilité, nous voyons à présent pleins de lumière dans ce monde obscur qui nous entoure. Devenant encore plus sensibles, nous franchissons une étape vers le cœur de nos congénères, qui est souvent plus chaleureux et lumineux que nous le pensions. En percevant la lumière dans le cœur de l’autre, celle-ci brillera davantage.

Devenir encore plus sensible fonctionne dans deux directions : non seulement vous percevez mieux qui est l’autre, mais aussi les autres vous connaissent mieux. Ils ressentent quelque chose de sensible, de chaleureux et de beau en vous, qu’ils n’avaient pas remarqué auparavant. En reconnaissant l’autre, les autres vous reconnaissent. C’est comme cela que vous commencez à vous sentir chez vous sur Terre.


Être un ange, c’est être équilibré

Tout être humain donne et reçoit. Pour rester en bonne santé physique et spirituelle, nous avons besoin d’être en équilibre avec notre entourage. Les courants du don et de la réception ont besoin d’être équilibrés. À partir du moment où notre lumière rayonne davantage, que nous faisons la transition de l’hypersensibilité à la grande sensibilité, et que nous devenons l’ange que nous sommes, le courant du don s’accroît. Il émane de nous une belle lumière créatrice et nous la partageons avec notre entourage, souvent à notre insu. L’énergie que nous projetons dans le monde veut nous revenir sous forme d’abondance (physique).

C’est une cause de problèmes pour beaucoup de personnes sensibles. Souvent, les hypersensibles ne croient pas que la vie peut être belle, pleine de richesses et d’abondance pour eux. Ils ont l’impression que ce ne serait pas juste, qu’ils ne le méritent pas, et c’est ainsi qu’ils bloquent le courant de réception qui veut venir à eux. Des traditions religieuses qui vous enseignent qu’il vaut mieux donner que recevoir, ou bien que c’est un péché de se réjouir, renforcent cette ligne de pensée. La peur et le doute font obstacle à l’abondance naturelle qui veut venir à vous.

Soyez attentif (ve) à cela. Vérifiez si vous êtes bien ouvert(e) à ce que l’univers aimerait vous donner, à tout l’amour qui est là pour vous. Tant que vous ne dites pas Oui à ce que l’univers veut vous envoyer sur votre chemin, vous ne vous êtes pas vraiment dit Oui. Dites-vous un Oui franc et sonore, plein d’amour, à vous tout entier.

Accepter le courant de réception dans votre vie vous deviendra alors naturel.

Gerrit Gielen :  - Les messages de Jeshua sont disponibles en livre ! -       

Publié dans:ANGES, HUMANITE, JESUS, MEDITATION |on 9 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Epilogue sur 2012

 

résumé de lectures par : Pascuser

A la recherche d’informations plus récentes des « neuf » par madame Schlemmer, j’ai trouvé une interview d’elle, réalisée au congrès Ufologique international de 2010 qui a eu lieu aux Etats Unis. Elle ne fait d’ailleurs pas ses 80 ans passés!

Elle dit en substance, à la question posée sur « Que pensez-vous de 2012? » que: « Quelque chose va se passer, mais pas des désastres comme on le dit. Quelque chose qui va faire bouger les esprits pour les faire aller de l’avant; qui représentera une opportunité pour nous de grandir. »

J’ai reçu le petit fascicule de quelques pages sur 2012 envoyé par Mme Schlemmer comme additif au livre. Je vous mets le très maigre contenu concernant 2012, tellement maigre, que je mets le texte original en anglais et la traduction que je propose ensuite; pas de résumé.

Epilogue sur 2012 dans 2012 - PREDICTIONS dolmen

Texte original recopié du fascicule:  […]

So I asked a sitter to ask « Tom » the spokesperson for The Nine about 2012. 

The question posed was “How does The Nine view what is happening on Planet Earth concerning 2012, the predictions of doomsday and the end of the world. Is this the beginning of The End?” Tom’s reply: “Greetings, we come in love and peace. We have explained many times to the people on Planet Earth theimportance of who they are and the energy they carry within. It is a time of a great struggle for humankind to break through the barriers they have created for themselves.

The spiritual, ancient and native peoples of Planet Earth already have the knowledge. Many what you call the civilized people have lost it. You must return to your true self, remember where you came from, who you are and accept that you contain all that is in the Universe within you. This means that all information is within your living cells, moving forward into 2012 is moving in a direction of releasing this information. At the same time there are those of others that would prefer to keep you in bondage. What is true for you to realize is that in all matters keep your integrity, honesty, ethics and morals. Be kind to your self and others and remember “KINDNESS IS LOVE IN ACTION”. It is time to return to joy, love, peace and blessings for in your actions will the knowledge be brought forth. Again we repeat, you hold this Planet Earth and have the ability to transform it into what it was created for. A planet of beauty, variety, only one of its kind in the Universe and the only Planet of free choice. Moving forward into 2012 it is also important to honor the wisdom of the ancients and native people. Creating rituals also has value for in doing so it creates an energy that anchors groups. We leave you now. We give to you love and we give to you peace, tell our “being” of our love for her.”

La traduction:  […]

Alors j’ai demandé à un des participants aux séances de demander à “Tom”, le porte-parole des Neuf à propos de 2012.

La question posée était : « Comment les Neuf perçoivent ce qui se passe sur la planète Terre à propos de 2012, les prédictions du jour du jugement dernier et la fin du monde ? Est-ce le commencement de la Fin des temps ? » La réponse de Tom : « Salutations, nous venons en paix et avec amour. Nous avons déjà expliqué plusieurs fois aux habitants de la planète Terre l’importance de qui ils sont et de l’énergie qu’ils portent en eux. C’est une époque de grands combats pour l’humanité, afin de parvenir à briser les barrières qu’elle s’est créé elle-même.

Les anciens habitants et les natifs de la planète Terre , axés sur le spirituel, ont déjà ce savoir. Beaucoup de ceux que vous appelez les personnes du monde civilisé ont perdu cette connaissance. Vous devez vous retourner vers votre vrai « moi » ; souvenez-vous d’où vous venez, qui vous êtes et acceptez l’idée que vous conteniez tout ce qui est dans l’univers à l’intérieur de vous-mêmes. Ceci veut dire que toute l’information est contenue dans vos cellules vivantes ; aller de l’avant vers 2012, c’est aller dans le sens du déblocage de cette information. En même temps, il y a ceux des autres qui préfèrent vous garder en esclavage. Ce que vous devez comprendre est qu’il vous faut garder dans tous les cas votre intégrité, votre honnêteté, votre éthique et votre morale. Soyez bons envers vous-mêmes et envers les autres et souvenez-vous que « LA BONTE EST DE L’AMOUR EN ACTION ». Il est temps de revenir à la joie, l’amour, la paix et les bénédictions parce que par vos actions la connaissance sera mise sur le devant. Nous le répétons encore, vous détenez cette Planète Terre et avez la capacité de la transformer en ce pour quoi elle a été créée : une planète de beauté, de variété, la seule de ce genre dans l’Univers et la seule planète de libre arbitre. Pour aller de l’avant vers 2012, il est aussi important d’honorer la sagesse des habitants anciens et des natifs. La création de rituels a de l’importance parce qu’en faisant cela on génère une énergie qui ancre les groupes. Nous vous quittons maintenant. Nous vous donnons notre amour et la paix ; dites à notre « être » (NdT : leur canal humain=Miss Schlemmer) notre amour pour elle. »

Je trouve personnellement qu’ils n’ont pas vraiment répondu à la question. Ils disent bien qu’il n’y a pas quelque chose d’inéluctable qui va nous tomber dessus et détruire les hommes, car nous avons les choses en main; mais en même temps ils sous-entendent clairement qu’il y a quelque chose de prévu puisqu’ils parlent de retrouver des informations endormies dans la mémoire cellulaire et la mémoire des natifs (qui exactement?) concernant la connaissance à retrouver, tout en allant vers 2012. 

Donc il semble bien qu’il se passe quelque chose… mais ils font manifestement exprès d’en dire le moins possible. Juste assez pour dire que ce n’est pas une catastrophe, une fin du monde; mais ils ne disent pas quoi. On reste sur sa

faim, largement. Il y a là probablement quelque chose qui doit faire partie de leur plan et ils n’en parlent pas volontairement à mon avis.

Lire la suite ici…. 

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Publié dans:2012 - PREDICTIONS |on 8 mars, 2013 |Pas de commentaires »

L’histoire de l’ADN et du genre humain

 

L’ADN est l’élément clé de votre identité à la fois physique et spirituelle. Le Soi supérieur y réside. Les annales akashiques, le plan directeur de tout ce que vous n’avez jamais été, s’y trouvent aussi. Vos incarnations, votre croissance spirituelle, vos talents accumulés au fil d’éons sont tous là. L’ADN contient aussi le karma avec lequel vous êtes venu et que bon nombre ont rejeté. Les annales de cette action éclairée s’y trouvent également.

 Vos antécédents spirituels sont dans l’ADN, inscrits dans les aspects quantiques. Quelques-uns conçoivent cela au point de savoir qu’ils ont été lémuriens. Si c’est votre impression, vous mesurez l’envergure de ce qui réside en vous. Voilà pourquoi nous abordons ces points. L’être humain l’admet difficilement, car ce qu’il croyait extérieur à lui-même est présent en lui. Cela correspond pourtant aux enseignements des maîtres et à ceux de Kryeon, puisque vous êtes chacun une parcelle du Créateur et que le processus de l’état de maître sont en vous.

L'histoire de l'ADN et du genre humain dans ADN enseignement_universel-300x117

La science de l’ADN

Au cours des dernières années, la preuve scientifique de ce que nous sommes sur le point d’affirmer vous a été apportée. Nous y avons déjà fait allusion, mais aujourd’hui nous nous contenterons de parler franchement pour qu’aucun doute ne subsiste quant à ce qui déroute vos scientifiques : votre ADN renferme trois milliards de substances chimiques. Chaque molécule d’ADN, en forme de boucle, comporte plus de trois millions de substances chimiques. Ces molécules sont si petites qu’elles ne sont visibles qu’au microscope électronique.

  Comme je l’ai mentionné déjà, le Projet génome humain [PGH], une entreprise scientifique, a élucidé un mystère : seuls 3% de la chimie génétique exercent un effet tangible, soit les portions d’ADN encodées en protéines. À eux seuls, ces 3% produisent des milliers de gènes qui constituent le plan directeur de la vie que vous recherchiez. Toutefois, uniquement 3% produisent les gènes. Plus de 90% de la chimie de l’ADN observé demeurent ainsi un mystère, puisqu’ils semblent n’avoir aucune fonction évidente. Ces 90% de la chimie génétique ne comportent aucun système, aucune symétrie ou fonction biologique observable. Ils ne possèdent pas de codes chimiques, comme les parties encodées sous forme de protéines. Voilà pourquoi on a tendance à n’en tenir aucun compte – ils sont considérés comme superflus.

Lire la suite ici…. http://www.centredeconnaissance.org/html/adn.html

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Publié dans:ADN |on 8 mars, 2013 |Pas de commentaires »
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