Archive pour mars, 2016

La vie et l’évolution de l’autre côté du voile

 

Suite à d’innombrables rencontres vécues consciemment en sortie hors du corps (en abrégé SHC), je peux aujourd’hui assurer que ceux que nous appelons  » morts  » sont bien vivants ! Nous vivons d’une vie pleine, consciente et personnelle, quand notre corps physique a disparu. Le mot  » mort  » ne peut donc s’appliquer qu’au seul corps physique.Tout au long de cet article, j’utiliserai le mot  » décédé « , du latin  » decedere  » s’en aller… Oui, ils s’en sont allés dans d’autres mondes, dans d’autres vies.

de l'autre coté

Rencontres avec les décédés en Sortie Hors Corps consciente

Il est très fréquent lors d’une sortie consciente de trouver un décédé familier debout au pied du lit. Il m’est arrivé très souvent de me heurter à ma mère (ou à bien d’autres de mes familiers décédés) en sortant un peu trop vite ! Je me souviens de l’aventure survenue à un de mes élèves lors de sa première sortie : il se trouve face à face avec sa grand-mère qu’il aimait beaucoup, décédée depuis longtemps. De la voir vivante et bien présente en face de lui le surprend si fortement qu’il rentre instantanément dans son corps physique !

J’ai revu tous les décédés proches de moi : mes parents et tous les membres décédés de ma famille, mes deux maris, de très proches amis, mon fils spirituel, ou même des parents morts avant ma naissance. J’ai revu aussi certains de mes élèves après leur départ de ce monde et j’ai fait connaissance de beaucoup d’inconnus, devenus depuis de amis astraux. Enfin, parmi mes plus émouvantes rencontres, comptent mes retrouvailles avec mes chats décédés. Eux aussi vivent d’une vie magnifique. Ils ronronnent et me font la fête !

Pourtant, la rencontre des décédés n’a jamais été un but pour moi, c’est une expérience qui s’est présentée comme bien d’autres dans l’astral et je ne donne jamais comme objectif à mes élèves de rencontrer un décédé. Le but d’une SHC c’est toujours notre Eveil ou la rencontre de qui peut nous aider à nous éveiller, en l’occurrence la rencontre avec nos guides spirituels ou la connexion avec notre âme.

La vie des décédés dans le monde astral

Le monde astral dont je vais dont je vais aujourd’hui vous parler n’est qu’une étape dans la vie du décédé, l’évolution se poursuivra sur d’autres plans, peut être jusqu’à une future réincarnation.

Que se passe-t-il au moment de la mort ?

Je ne suivrai pas ici le schéma décrit par les NDE (expérience de mort imminente), une expérience bien spécifique puisque le  » mort  » revient à la vie. Je me borne à ce qui peut être observé en SHC. Au moment de la mort, la corde d’argent se casse, rendant impossible tout retour dans le corps physique. Le corps astral (contenant tous les autres corps) rejoint le plan qui vibre à la même fréquence que lui. Le corps astral devient à partir de ce moment là le véhicule principal de l’âme (et de la conscience). Notre personnalité ne change pas, puisque notre émotionnel (corps astral) et notre mental (corps mental) ne subissent aucune modification. Nous seulement un voile ( » l’éthérico-physique « ) en moins devant les yeux. Nous avons enlevé un vêtement.

Dans les instants qui suivent la mort (surtout si elle a été violente ou inattendue), le décédé ne sait pas qu’il est mort, ce qui est normal car la différence entre plan terrestre et plan astral est très mince, tous les  » expérienceurs  » (c’est ainsi que j’appelle ceux qui sortent consciemment hors de leur corps) s’en rendent compte, souvent à leurs dépens.
Les décédés anciens viennent accueillir le nouveau venu et éventuellement lui expliquent ce qui lui arrive.

Où pouvons-nous rencontrer les décédés ?

- Dans l’astral de notre chambre, dans notre maison, ils sont de passage ou en visite, 
– Ou bien figés dans le décor de leur mort (mort accidentelle ou violente, fort attachement au lieu ou à une personne vivant dans ce lieu). Dans ce cas là, ils se trouvent dans l’astral éthérique, contrepartie de la matière physique. 
– Dans des plans de l’astral qui leur sont spécialement réservés. Ces plans vibrent à une fréquence moyenne, un peu au-dessus de notre vibration d’incarnés.

Comment se présente le décédé dans l’astral ?

Rien à voir avec une ombre ou un fantôme ! A l’aise dans un corps astral consistant, le voici en face de moi, parfaitement reconnaissable, même s’il est considérablement rajeuni. Le décédé adopte pour apparence le plus bel aspect de lui, donc généralement il se montre jeune et exempt de toute trace de maladie ou cicatrice d’accidents. Je peux toucher le corps du décédé, donc lui serrer la main, le prendre dans mes bras ou l’embrasser. L’un de mes plus proches amis m’a pris la main et l’a posé sur sa poitrine, j’ai senti son cœur battre ! 

Si j’ai intimement connu le décédé, je peux reconnaître son haleine, son parfum, son contact. Et bien sûr sa voix, son vocabulaire, éventuellement ses manies verbales ou gestuelles. Il peut continuer à porter des lunettes alors qu’il n’en a plus besoin : la vision astrale est toujours parfaite. L’explication ? La force de l’habitude ! Au stade de l’astral, notre décédé n’est pas encore détaché de ses réflexes terrestres. 

Plus le décédé évolue, plus il rajeunit et retrouve une beauté parfaite (celle qui la rapproche de son âme). Il se débarrasse de ses habitudes terrestres et abandonne ses marques distinctives. Généralement le décédé est d’excellente humeur et content de son sort. Cependant, n’imaginez pas que le décédé est plus sage ou plus savant que de son vivant terrestre. Il n’est pas transformé, il est toujours lui-même avec la plupart de ses limitations.  Le décédé est heureux de voir un visiteur, venu du plan physique. Rarement surpris, il est prêt à parler avec vous de sa nouvelle vie et de ses occupations, toujours enchanté de vous faire visiter son nouvel espace de vie.

Le voile

Que font les décédés dans le plan astral ?

Dans le plan astral, le décédé construit lui-même, par la puissance créatrice de sa pensée et selon son désir, son cadre de vie. Par exemple, le décédé peut choisir de se récréer une vie parfaite de solitaire dans un cadre qui correspond à son désir profond (mer, montagne, éternel été etc.).  Tout comme il peut se joindre à une collectivité déjà existante : maison de famille, village, communauté, voire une cité… ou devenir lui-même le créateur d’un regroupement. De tels endroits sont créés par le consensus des pensées de tous et sont stables. En termes  » d’ expérienceur  » : je peux revenir plusieurs fois dans ce lieu et le retrouver quasi inchangé.

Une des grandes lois de l’astral : la loi d’affinités

Ceux qui se ressemblent s’attirent : c’est la loi des affinités. Conséquence directe : pas de conflits, pas de guerres… Les communautés sont toujours très homogènes.

Les décédés peuvent aussi séjourner dans des lieux existants en dehors de leurs créations et formes pensées, lieux stables et permanents, issus de la pensée des professeurs de l’astral ou d’entités supérieures. 

- les centres de régénération (sortes d’hôpital ou de maison de repos) dans lesquels est soigné le corps astral. En effet, celui-ci a pu être détérioré suite à une longue maladie physique et à son traitement, suite à une mort violente entraînant un traumatisme émotionnel donc astral etc. J’ai retrouvé dans un centre de ce genre deux de mes chats morts des suites de longue maladies. Il y étaient parfaitement soignés et dorlotés par  » une femme en blanc  » jusqu’à qu’ils soient capables d’aller gambader dans de merveilleuses collines astrales !

- les centres d’apprentissage, de réflexion, voir d’information et de préparation aux passages dans d’autres plans. On y trouve les décédés conscients de leur état, déjà détachés du monde matériel et désireux de quitter l’astral pour continuer leur évolution.

- des endroits où les décédés peuvent non seulement s’instruire mais aider les autres (par exemple accueillir les nouveaux venus dans l’astral) avec des entités de niveaux supérieurs.

Plus le décédé est  » matérialiste  » et attaché à ses désirs terrestres, plus ce qu’il construit est semblable à ce qu’il souhaitait posséder sur terre et plus aussi il reproduit le mode de vie terrestre maison, famille, confort (j’ai vu des frigos et des poste radios ou télé) et même le travail dans son aspect le plus routinier ! Tout ceci, jusqu’à ce qu’il se rende compte par lui-même de l’inanité de telles réalisations ! A quoi vous sert une maison ou un travail dans l’astral quand vous n’avez besoin ni de vous nourrir ni de dormir ni de vous abriter ? L’argent n’a plus court, tout ce que vous désirez est à votre disposition… Vous pouvez créer autant de billets de banque vous le souhaitez mais vous n’en avez pas l’usage.

Les fêtes sont très fréquentes.  » L’expérienceur  » est très fréquemment invité à des banquets astraux reproduisant fidèlement les repas de famille terrestres. Les mets servis sont des mets astraux, crées par la pensée de vos hôtes.

Le sexe est très présent dans ce niveau de l’astral, des zones entières sont réservées aux insatiables du sexe, (jusqu’à qu’ils en soient lassés). Des attirances fortes et passagères sont monnaie courante entre les décédés. La vie de couple, telle qu’on l’envisage généralement sur terre, parait précaire.

Peu à peu, le décédé cherche à mettre plus de créativité et de beauté dans son monde, il se détache de ses désirs et découvre l’amour vrai. Le décédé s’éloigne des schémas terrestres, il sera bientôt prêt à mourir une seconde fois pour s’élever vers d’autres plans

Où se situe l’astral ?

Je parle de l’astral de notre système terre.
Partout… mais à un autre niveau vibratoire.
L’astral et ses différents niveaux se superposent au monde physique. En fait je ne change jamais d’endroit mais de niveaux vibratoires.

Quelques remarques

Tous les plans décrits sont facilement accessibles en SHC.
Les décédés sont friands d’explication sur le phénomène de la SHC et déplorent de ne pas l’avoir développé quand ils appartenaient au monde terrestre. 
Je suis très fréquemment engager pour donner des cours sur les SHC aux décédés !

Les décédés qui séjournent dans le plan astral sont  » peu branchés  » sur le spirituel. Ils ignorent l’existence des guides ou d’une évolution possible. Une des mes fonctions astrale est d’expliquer tout cela. Je suis souvent écoutée avec succès et les décédés disparaissent vers d’autres plans ; mais d’autres s’amusent bien de mes propos et préfèrent continuer à profiter des plaisirs de l’astral.

Les décédés nous protégent-ils ?

La plupart d’entre vous se sentent protégés par un (ou une) parent décédé… Les multiples rencontres en SHC m’amèneraient plutôt à penser que les décédés, s’ils nous ont aimés, s’intéressent au cours de notre vie (du moins tant qu’ils sont dans l’astral) mais ce ne sont ni des guides ni des protecteurs. Ils nous accompagnent de leur amour, oui, mais ils n’ont pas des vues plus larges que de leur vivant et ne voient pas notre avenir. Donc, ils ne peuvent pas le changer. Ils voient nos potentialités immédiates, déjà en vibration dans l’astral. Ils peuvent nous influencer par leurs conseils et donc nous aider à créer (ou à éviter) certains événements de notre vie mais ils peuvent aussi se tromper et nous induire en erreur avec la meilleure foi du monde et leur plus grand amour.

Dans le cas d’un attachement très fort, il arrive qu’un décédé choisisse de rester dans l’astral au détriment de son évolution personnelle pour rester en contact avec la personne aimée. En effet quand le décédé s’en va sur des plans plus élevés, où il ne nous sera plus accessible et ne n’aura plus de contact avec nous.

Alors qui nous accueillera à notre mort, vous demandez-vous ?
Tous les récits de NDE par exemple nous disent que tous ceux que nous avons aimés sont là pour nous accueillir… C’est souvent possible parce que les décédés séjournent parfois très longtemps dans l’astral et y sont encore à l’heure de notre mort. Sinon, l’âme du décédé peut récréer une forme pensée du décédé et nous l’envoyer si c’est vraiment nécessaire, ou c’est nous qui par la force de notre désir recréons la forme pensée du décédé. Dans tous les cas, il y aura toujours des décédés amicaux pour nous piloter dans notre nouvelle vie… ou nos guides spirituels pour nous accueillir, je ne me fais pas de souci !

les-vies-récit

Récit d’un passage.
Lors du décès subit de ma mère, je n’étais pas présente et ma seule prière fut de la confier aux bons soins de mes guides spirituels A et M.

Une nuit où je sortais hors de mon corps sans but défini à l’avance (je m’aperçus seulement après, que cela faisait un mois jour pour jour que ma mère était décédée), je me suis retrouvée face à ma mère. Elle était assise sur un banc dans une sorte de jardin assez sombre. Personne d’autre qu’elle. Je ne m’attendais pas du tout à la voir, elle semblait par contre m’attendre.

Nous nous embrassons et je lui demande :
– Alors comment çà s’est passé ?
– Bien. J’ai beaucoup été aidée par deux anciens égyptiens. Ils m’ont accueillie et expliqué ce qui se passait pour moi… Ils m’ont dit être tes guides… Quand je me suis sentie bien, ils m’ont laissée… Et puis, ils m’ont dit que tu viendrais souvent me voir ! Je me suis alors rendue compte que tout ce que tu m’avais raconté sur terre était juste ! Je n’y croyais pas du tout !

Les propos de ma mère m’étonnent : ma mère catholique convaincue avait de tout autres croyances, je m’étais une seule fois hasardée à lui parler des guides et des SHC, sans insister.

AKHENA

Pour en savoir plus, visitez www.levoyageastral.com

Conseils au guérisseur débutant

 

 guérisseur

Le guérisseur débutant, enthousiasmé par une foi exaltée par les guérisons merveilleuses, peut se figurer qu’il suffit de faire certains gestes, de répéter certaines paroles et de vouloir avec force pour que les choses s’accomplissent. Il sera déçu s’il n’a pas pris conscience que les connaissances, l’amour, la foi, l’humilité, le désintéressement et l’élévation spirituelle sont nécessaires pour mériter l’assistance indispensable des esprits ! Le guérisseur doit comprendre que c’est à condition d’humilité qu’il conservera sa faculté, qu’il se méfie donc de lui-même et de l’orgueil qui le guette sournoisement… 

La spiritualité n’implique pas que le guérisseur néglige quelques règles de bases. 

La propreté de la personne et le lavage des mains, avant et après la séance, pour aussi, la symbolique de la pureté, sont souvent de mise. Une autre coutume veut que le guérisseur se « décharge » les mains en les secouant loin du malade et de lui-même autant que faire se peut, afin de faire partir les fluides nocifs, qui attirés par les mains de certains guérisseurs peuvent indisposer un organe délicat et transmettre d’autres malades. 

Le régime alimentaire peut aussi avoir une influence sur certains guérisseurs. En tout état de cause, la sobriété et la tempérance (pas d’excès alimentaires) sont primordiales. Il s’abstiendra de tout excitant (alcool, drogue etc..). 

De même les fatigues excessives laisseront le guérisseur sans force. Le médium guérisseur se tiendra dans une disposition d’esprit calme et bienveillant, un colérique ou un bouillonnant ne sera pas un bon guérisseur. 

En cas de fatigue psychique, la marche au grand air, qui en même temps régénère les poumons (l’oxygène est source de vie) lui fera le plus grand bien. Le malade quant à lui, arrive au guérisseur souvent dans un état de total découragement. Il convient alors d’être à son écoute, de lui redonner espoir, de susciter en lui la foi en une puissance souveraine qui dispense la vie : DIEU. Et la foi en lui-même. Lui faire comprendre que son « genre » de vie, son caractère, son mental influent sur son état. L’apaiser, le calmer, le déculpabiliser parfois tout en lui donnant l’intime conviction qu’il existe bel et bien au-dessus de nous des forces d’amour et d’intelligence à qui on peut demander une assistance efficace. 

En même temps le guérisseur doit gagner la confiance de la personne et manifester son dévouement désintéressé qui ne réclame aucun merci, aucune reconnaissance, aucune rétribution. L’abnégation totale, l’amour de l’autre. L’autre, son frère, partie de lui, partie du grand tout comme lui. 

De même que pour le magnétiseur, le guérisseur spirituel aura soin de conseiller au malade de ne pas se soustraire aux soins médicaux traditionnels, de poursuivre ses consultations et son traitement, faisant preuve ainsi de son ouverture d’esprit : Science et foi ne sont pas contraires, elles sont complémentaires. 

Après avoir éclairé le consultant de ce qu’on attend de lui, le guérisseur ne s’imposera pas davantage, il saura attendre que la personne soit demandeur de ses soins, forcer ne ferait que bloquer la personne et l’on sait que le refus psychologique implique l’échec. Comme pour toutes facultés, la guérison spirituelle connaît plusieurs niveaux et si nous parlons essentiellement ici des « grands » guérisseurs dont certains de nos jours sont très connus pour leur action salutaire, il n’en demeure pas moins que, beaucoup d’anonymes tout aussi dévoués pratiquent un peu partout dans le monde depuis la nuit des temps. 

On pourrait résumer très succinctement quelques guérisseurs « types » : 

- Magnétiseur clairvoyance spirite qui permet de voir l’entité dans les cas d’obsession,

- Magnétiseur doué de la clairvoyance médicale (vision des organes malades) ;

- Magnétiseur doué de la clairvoyance aurique (nous parlons de l’aura ci-dessous). 

Un médium guérisseur peut posséder plusieurs facultés qui se développeront avec l’exercice. 

Au fur et à mesure de son avancement, il abandonne de plus en plus le magnétisme humain soumis à sa propre volonté pour s’abandonner à celle de son guide qui dirigera sa main et l’inspirera. Les déclarations du consultant confirmeront ses indications, cette manière de faire lui servira de boussole, l’empêchera de s’égarer et ainsi lui permettra de progresser. 

La clairvoyance de l’aura peut, comme on vient de le dire être un facteur d’aide à la guérison ; En effet, la partie du corps psychique (ou éthérique) contenu dans le corps matériel dépasse quelque peu de ce dernier et se nomme aura. Elle est plus importante chez les méditatifs que chez les personnes à tendance matérielle prononcée. Les premiers détiennent une réserve d’énergie suite à la concentration et l’élévation de leurs pensées, de l’économie vitale réalisée par leur mode de vie et peut-être aussi leur alimentation peu carnée. L’activité organique des seconds réclame la presque totalité de leurs forces psychiques disponibles, d’où une faible influence magnétique. 

L’aura apparaît aux clairvoyants auriques (après entraînement) et aide à la compréhension de la maladie. Elle apparaît comme une buée laiteuse qui se colore d’après la qualité des aspirations de la personne. Pour certains l’aura n’est visible que lorsque la personne est placée dans l’obscurité la plus complète. On peut dire que pour le voyant chaque couleur correspond à un état : 

- blanc : pureté

- or : calme

- vert : intelligence et savoir

- jaune : pouvoir cérébral

- mauve : bienveillance

- bleu : recherche de la vérité

- rouge : passion

- brun : dépression mentale

- gris : désespoir

- noir : idée de suicide, animalité 

Cette « liste » n’est donnée qu’à titre d’exemple indicatif et ne peut être, elle non plus, tenue comme vérité. 

Les pensées elles-mêmes se traduisent par des mouvements rectilignes ou tourbillonnants qui sont, eux, provoqués par une agitation mentale (colère, passion). Un manque de rayonnement dénote un manque de vie, indice d’une maladie dégénérescente (cancer). 

Pour résumer ces exemples, nous dirons, sans l’affirmer, que lorsque le corps est en bonne santé l’aura est légèrement bleutée et striée de rayons rectilignes. Aux alentours des parties malades, les rayons s’estompent, tourbillonnent, s’entrecroisent ou s’affaissent. 

C’est par la pensée que l’homme peut donner au fluide vital les qualités bonnes ou mauvaises selon sa nature, la valeur des pensées qui les provoquent et les dirigent. Ainsi le magnétiseur, avec foi et amour, pourra faire des prodiges. Par son action désintéressée et morale, il s’élèvera peu à peu vers le plan spirituel et obtiendra, même à son insu, l’assistance d’un esprit supérieur. 

La pensée donne au fluide les qualités de calme ou d’excitation désirée. De même, les esprits donnent au fluide médiumnique, la forme, la couleur, la densité, la direction, les propriétés qu’ils désirent lui imprimer, ils « travaillent » le fluide du médium à l’aide de leurs pensées et de leur volonté. Son action terminée, l’esprit se retire et retourne à sa vie spirituelle. 

Pour guérir, l’esprit travaille le fluide du médium auquel il adjoint le fluide spirituel. L’esprit dirige le fluide vital du médium auquel il donne des qualités spéciales en vertu de ses connaissances et de son élévation morale. Le médium guérisseur, n’est en fait qu’un instrument docile de l’esprit, un condensateur de forces et un collaborateur de bonne volonté.

« Le médium guérisseur est le fil conducteur », nous dit l’esprit. 

Le fluide du guérisseur est quelque fois long à rendre sa santé à l’organisme, car aucune amélioration du corps ne peut se faire de façon rapide. Un peu comme dans la médecine traditionnelle où il ne sert à rien de donner en seule fois le sirop antibiotique, le fluide agit de même, et donné chaque jour, il modifie de façon stable la vitalité du consultant. Si la maladie est consécutive à une influence psychique ou spirite, l’action du médium guérisseur peut-être extrêmement rapide et la guérison parfois foudroyante. 

Les fluides sont donc le véhicule de la pensée, comme nous l’avons vu plus haut et sont modifiés par la pureté des sentiments qui les animent. C’est donc avec foi que les fluides agissent et par amour qu’ils révèlent leur puissance. 

Le corps humain, comme l’aimant, est polarisé (expériences établies grâce à des voyants sensitifs, entre autres, Durville). Le côté droit du corps, le front et la ligne médiane de la poitrine et du ventre sont positifs. Le côté gauche, la nuque et la colonne vertébrale sont négatifs. Mis en présence, les pôles de même nom (positifs avec positifs….) provoquent de l’excitation, de l’échauffement, de la force, le sommeil magnétique. Les pôles de noms contraires (positifs avec négatifs) calment, décongestionnent. 

Un exemple d’application : la main droite placée à la nuque ou le long de la colonne vertébrale donne une impression de bien être, diminue les spasmes nerveux des organes qui se trouvent à la même hauteur et commandés par les nerfs de la moelle épinière. Comme pour le magnétiseur, l’action magnétique du guérisseur sera la même, à la différence près que le fluide de l’esprit lui sera adjointe pour les raisons déjà exposées. Ainsi, le guérisseur spirituel établira la mise en rapport, et travaillera comme il le sent (passes, jet fluidique, souffle etc.), souvent inspiré par l’esprit. Son action se réduit à deux actions principales : dispersion des fluides nocifs (dégagement) puis concentration et application de fluides bienfaisants. Il utilisera la ou les méthodes qui lui conviennent le mieux, parfois pour une raison inexpliquée puisque inspiré et assisté.

 logo agence spirite

 

Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MAITRISE, PENSEE |on 30 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Les Etres de Lumière

 

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Tout d’abord, les Etres de Lumières sont des êtres d’autres univers, en grande avance spirituelle comparer à nous autres terriens, et qui par canalisation (communication spirite) avec des humains nous transmettent leur savoir basé sur l’Amour. 

Donc, je reprends ici le texte d’explication sur les crops circles tiré du site de l’héliomonie, texte rapportant le résumé de canalisation avec les Etres de Lumière : 

« Les crops circles sont des outils de paix et de guérison pour l’humanité. Selon plusieurs canalisations avec des EDL, il paraît que ce serait ces derniers qui produisent les crops circles. 

Ses motifs imprégnés dans les champs cultivés agiraient sur la glande pinéale et déverrouilleraient notre ADN, c’est-à-dire qu’il suffit de les regarder pour améliorer le stade de plusieurs maladies de même qu’à les éloigner complètement. En d’autres mots, ce sont des oeuvres d’art d’une grande puissance spirituelle qui apportent la paix dans le monde ainsi que la guérison des êtres. Il est suggéré par les EDL d’imprimer ces agrophyphes et de les afficher dans notre demeure pour favoriser notre élévation spirituelle tout en accélérant notre taux vibratoire qui est la source de l’éloignement des maladies.

La visualisation des crop circles permet de transmettre des énergies positives qui éliminent la souffrance, la tristesse, la colère et favorisent la transformation de notre planète pour le bien des humains.

Les EDL affirment que les crop circles ne sont définitivement pas créés par les humains, mais bien par des êtres hautement évolués qui désirent aider les humains dans la transformation de la Terre. Les crop circles sont également créés pour notre enseignement, car certains agroglyphes transmettent de l’information. Il paraît que les crop circles vont nous annoncer bientôt quand les EDL décideront de prendre contact avec les humains. De plus, il paraît que certains crop circles ne sont pas créés à proximité de la Terre, mais plutôt dans un vaisseau mère basé à proximité de Saturne sur une étoile appelée Arcturus.

Les Acturiens participent régulièrement à la formation de crop circles dans les champs pour contribuer à l’évolution spirituelle des êtres humains. Ils projettent une sorte de laser qui se rend jusqu’à la Terre et qui se matérialise en un pictogramme. C’est pourquoi plusieurs des crop circles dans le monde se retrouvent en Angleterre à proximité de Stonehenge, puisque leur champ de direction se concentre majoritairement à cet endroit.

Cette vérité sur les crop circles démontre qu’ils sont très importants pour l’évolution de la race humaine et pourtant, plusieurs crop circles n’ont jamais été dévoilés à l’humanité. Les crop circles devraient être affichés partout pour leur visualisation afin que la Terre redevienne une belle planète paradisiaque. » 

Là encore, comme avec les autres théories rapportées, je laisse le soin au lecteur de se faire son propre jugement. 

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ANGES, CROP CIRCLES |on 30 mars, 2016 |Pas de commentaires »

L’aspect vibratoire du numéro 7

numero 7

Récemment, au cours d’un channeling portant sur une question personnelle, les êtres de lumière m’ont recommandé de faire un exercice durant sept jours. Dans d’autres circonstances, un autre groupe m’a dit également de faire un exercice durant sept jours ; dès lors, j’ai commencé à me poser diverses questions sur l’aspect vibratoire du nombre 7, au-delà de la numérologie. Voici ce que j’ai découvert.

Ce nombre est l’un des plus importants de notre histoire. Il semble être partout. Nous avons sept chakras, et chacun possède une vibration 7. Chaque cellule de notre cerveau a un niveau vibratoire de 7 d’après la recherche que j’ai effectuée, car nous avons le niveau vibratoire de 7 dans notre incarnation. J’ai souvent entendu dire également qu’une maladie pouvait se trouver dan s notre aura durant sept ans avant de se manifester physiquement.

Le niveau de création de la source primordiale est 7. Toute vie est basée sur le nombre 7, lequel constitue un niveau multidimensionnel. Si nous voulons franchir un portail donnant accès aux étoiles, nous devons avoir un niveau vibratoire de 7. Chaque dimension a une vibration 7.

Mais ce qui m’intéresse le plus, c’est que le 7 semble être aussi un niveau de manifestation. Si nous nous concentrons sur la vibration 7, la manifestation devient sept fois plus grande ou plus rapide. La semble que nous n’aurions besoin de nous concentrer que durant sept minutes à un niveau vibratoire de 7 pour pouvoir manifester n’importe quoi.

Est-ce là une information exacte concernant la vibration du nombre 7 ?

Ta conception du nombre 7 en tant qu’énergie est trop simpliste et linéaire. Pense à l’hologramme, qui doit contenir tous les nombres. Où donc le nombre 7 s’y place-t-il ? La réponse, c’est qu’il fait partie du système numérologique. Aucun nombre n’a en soi une énergie particulière. Les nombres sont liés très fortement entre eux, à ceux qui les précèdent ou les suivent, et aussi à ceux auxquels ils sont combinés. Par exemple, le nombre 7 utilisé avec le nombre 3 crée le nombre 11. Le nombre 4 représente l’énergie de la stabilité et de Gaïa. Par conséquent, on peut voir que la stabilité (4) plus la divinité (7) créent l’illumination(11).

Les nombres doivent toujours être vus en groupes, avec ceux qui sont au-dessus ou au-dessous. C’est la vraie numérologie quantique. Le véritable nombre créateur des énergies fondamentales universelles, y compris toutes les mathématiques quantiques de l’univers, est en fait le nombre 12. Or, 12 n’étant même pas un nombre en numérologie, vous vous demandez sans doute comment cela se peut. En réalité, il « indique » les autres dont il est la combinaison. Voyez-le comme la divinité (7) plus le changement (5), ou comme l’énergie catalytique (3) voisine d’un nouveau commencement (1). Vous voyez ? Il n’est pas tridimensionnel ! C’est un cercle.

Le nombre 7 est comme une modification des énergies fonctionnant avec d’autres nombres et des énergies à améliorer, quoi que vous examiniez. Il y a ici beaucoup d’invisible. Par exemple, vous direz qu’il y a sept chakras. En réalité, il y en a douze, mais vous ne voyez que les 7 qui sont dans la tridimensionnalité. Vous demandez-vous pourquoi il ya douze méridiens dans le corps et seulement sept chakras ? C’est qu’il y en a plus que vous ne le pensez. Il y a douze maisons dans l’ancien système astrologique, douze tonalités dans l’échelle musicale, et le nombre 12 est lié également à de nombreuses autres vérités universelles. Je vous le précise uniquement pour que vous compreniez que le nombre 7 n’est aucunement fondamental. Il représente néanmoins la divinité que vous êtes si nombreux maintenant à découvrir et il est donc une modification important de l’énergie qui l’entoure. Le 7 et le 11 sont les nombres de l’époque. Additionnez-les (7 + 11) et vous obtiendrez le nombre de l’achèvement. Vous voyez comment cela fonctionne ? L’ensemble est toujours plus grand qu’un seul nombre.

 Extrait du blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/

Publié dans:CHIFFRES |on 28 mars, 2016 |1 Commentaire »

L’action du médium-guérisseur sur la souffrance

 

 LE COEUR

Le médium guérisseur guérit les corps et guérit les coeurs, son action peut être efficace aussi sur la souffrance morale, sur le psychisme, et outre les maladies que nous nous déclenchons nous-mêmes par notre propre mental, certains esprits malveillants (parfois inconsciemment d’ailleurs parce qu’ils sont comme dans un brouillard, un rêve et n’ont pas pris conscience qu’ils sont morts) peuvent quelquefois, altérer notre santé, ou la loi de cause à effet, résultant de nos vies antérieures peut se faire jour. 

Un esprit est attiré en raison de sa sympathie pour la nature affective, intellectuelle ou morale d’un autre esprit incarné ou désincarné. Ainsi, notre ambiance spirituelle est le reflet de notre mentalité. Elle sera constituée d’esprits sérieux si en nous, dominent l’amour, la sincérité et le désir sérieux de nous instruire. Au contraire, la frivolité, la sensualité excessive ou l’ignorance par exemple attirerons à nous des esprits inférieurs qui se plairont en notre compagnie, nous entourant de leur fluide grossier, qui, à la longue peut altérer nos fluides personnels et les répercussions peuvent se faire sentir sur notre organisme. 

Parfois, les pensées légères de ces entités légères ou néfastes, s’imposeront aux nôtres et peuvent nous pousser à commettre de regrettables excès, parfois ces entités peuvent nous dominer suffisamment pour nous obséder réellement. Vivant dans notre milieu, elles peuvent nous « vampiriser » en utilisant notre force vitale dans le but d’arriver à leurs fins et peu à peu les forces s’affaiblissent. Notre corps est alors incapable de réagir contre les atteintes extérieures (microbes, désordre physique, influence spirituelle inférieure) de les combattre, la maladie s’installe. Ce qui ne veut pas dire que toute maladie est due à cette influence, car de nombreux facteurs entrent en compte dans le déclenchement d’une maladie (influence de notre mental, pollution etc.). 

Certaines souffrances trouvent leur fondement dans le cours de nos vies antérieures : pour imager, nous pourrions dire que toutes nos pensées, bonnes ou mauvaises se gravent ou se photographient dans notre subconscient donnant au périsprit une apparence qui se modifie constamment au cours de notre évolution. Ces images/pensées sont des vibrations, elles sont donc mobiles en fonction des circonstances qui les différencient. Elles ne peuvent ni se mêler ni se détruire, ni s’effacer parce que l’âme qui les perçoit n’est pas isolée dans l’infini, étincelle de la « grande âme universelle », sa mémoire se prolonge dans la mémoire cosmique ou Divine. Ainsi, plus il y a effort de l’âme pour avoir de bonnes pensées, et donc de bonnes paroles et de bonnes actions, c’est-à-dire pour être dans l’amour, plus ses vibrations deviennent subtiles et plus son milieu s’épure et s’éclaire. 

Nous devons donc tout faire pour nous dégager le plus possible de notre passé d’égoïsme et d’orgueil et donner à nos pensées une élévation qui allègera notre âme et lui permettra un jour de se dégager de la réincarnation dans les mondes inférieurs et donc aux souffrances qu’ils comportent. Les réfractaires, insensible à l’amour, continueront leur route infernale inlassablement jusqu’à ce qu’ils comprennent, errant à la recherche d’un bonheur inaccessible pour eux, puisque seul l’amour procure le vrai bonheur. Ils subissent inlassablement les conséquences de leurs fautes et cette déchéance serait éternelle s’ils n’étaient pas soutenus par les pensées d’amour et de réconfort des âmes plus évoluées incarnées ou désincarnées. Ainsi si la loi d’affinité nous attache, la justice de Dieu nous redresse et l’Amour nous soutient ou nous délivre pour nous porter toujours plus haut. 

Le guérisseur pourra éventuellement donc guérir le coeur (l’esprit, pas l’organe) du malade, par l’imposition des mains, la prière etc. Comme le magnétiseur, il devra avoir la foi et réfléchir à ce qu’il fait, le guérisseur doit savoir aussi que toutes les épreuves qui nous affligent ont un but utile et sont la conséquence souvent de la loi de cause à effet. Aussi, si le guérisseur enlève l’épreuve à l’intéressé avant que celui-ci n’en ait compris les raisons, la vraie personnalité du consultant réapparaît avec toutes ses tendances inférieures et ses défauts (pour un temps). 

Intervention de l’esprit : « Guérir les coeurs, ce n’est pas seulement cela, c’est aussi d’abord savoir écouter la personne afin de déterminer le mieux possible l’affliction qui la met en situation d’échec. » 

 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

Publié dans:GUERISON, LOI NATURELLE |on 27 mars, 2016 |Pas de commentaires »

La Mission d’Âme de Nicolas : témoignage

 

J’ai une mission sur cette Terre,
La découvrir et la réaliser est le but de ma vie.

Du sentiment d’être en décalage, à la vision de ma vie idéale, jusqu’à vivre concrètement mes rêves.

famille-d-ame

Nous sommes de plus en plus nombreux à ressentir le besoin de vivre une vie spirituelle, centrée sur l’essentiel, écartant ce qui aurait tendance à nous disperser, et détachée du monde matériel. En même temps ce monde-là nous attire et nous sentons bien que nous avons quelque chose à y faire. Comment être spirituel dans un monde matériel ? Comment marier le Ciel et la Terre ? Comment mettre en pratique concrètement la loi d’attraction ?

L’être humain ne sait pas qui il est. Retrouver la totalité de qui nous sommes est notre aspiration secrète et cette retrouvaille a lieu dans la matière, dans la confrontation à la réalité. C’est tout le thème à l’oeuvre dans la mission d’âme.

«La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu’elle nous résiste. L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ] – Terre des hommes

Créer consciemment ma réalité est le but de la vie.
Qui suis-je ? Que dois-je réaliser ? En fait, chaque élément de ma vie est un puzzle dont les pièces sont aussi grosses ou aussi petites que je veux, et qui sont toutes, absolument toutes, signifiantes. Dégager consciemment le sens de ma vie en assemblant les pièces du puzzle est précisément l’objectif. Lorsque j’y parviens, je suis alors riche, intérieurement. J’ai retrouvé mon âme et je peux faire l’expérience de la joie.

Ma raison d’être en tant qu’être humain est d’aller à la rencontre du divin en moi pour faire ce que j’ai à faire. Je suis sur Terre pour apprendre à aimer et être en harmonie. L’âme peut alors s’épanouir. Je suis, je reconnais qui je suis, et ainsi je fais ce que j’ai à faire. J’ose prendre ma véritable dimension. En me reliant au divin je deviens ce que je suis destiné à être. Je réalise la volonté divine, et non pas celle de la fausse idée que j’ai de moi-même. Autrement dit, je fais coïncider ma volonté avec la Sienne. C’est cela, la mission d’âme.

Autrement dit, c’est l’aventure au cours de laquelle je vais réaliser les désirs de l’âme. Déterminer ma mission revient à en prendre conscience, car en vérité les informations sur notre mission ne sont pas à créer au cours de notre vie, elles existaient déjà avant. L’ange de la naissance nous a posé son index sur la lèvre supérieure en y laissant sa marque pour nous faire oublier, et nous voilà à devoir retrouver la mémoire.

La vie sur Terre est comme une école. Nous y entrons à un moment donné, y sommes soumis à des épreuves, et en repartons au bout d’un certain temps. La mission d’âme correspond à l’épreuve de vie à laquelle nous désirons le plus nous soumettre. L’âme avant de s’incarner dans un corps physique a choisi le type de vie qui pourrait lui apporter les meilleures difficultés pour lui permettre de grandir. Mais le fait est que le processus d’incarnation à pour effet de nous faire oublier les mondes subtils célestes depuis lesquels l’âme a fait ses choix. Le résultat est que lorsque nous arrivons sur Terre nous avons dans la plupart des cas oublié notre mission, et pouvons avoir beaucoup de mal à aimer la vie Terrestre (consciemment ou non). Nous avançons alors dans la vie comme dans un brouillard et nous nous posons la question du sens de notre vie.

Lorsqu’un individu retrouve les objectifs relatifs à sa mission d’âme il retrouve son coeur, il retrouve ses véritables désirs, ceux de son âme, source de joie. Le coeur étant la boussole qui pointe vers le centre de l’être, la personne qui va dans le sens de sa mission, c’est-à-dire qui va accomplir sur le plan terrestre ce qui lui tient à coeur, va se retrouver elle-même, retrouver ce qu’elle est en essence. Réaliser notre mission amène à réaliser le dieu vivant en nous.

Comment déterminer ma mission d’âme ?

«Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ]

Entre une hyper-rigueur morale de type judéo-chrétienne rigide et droite, et un égoïsme primaire cherchant à ne satisfaire que les petits plaisirs du corps, il y a une autre voie: la voie du coeur, où l’on satisfait les désirs de l’âme… la mission d’âme.
Ma mission correspond donc exactement à ce qui me remplit de joie si je la réalise. Ma mission c’est mon idéal de vie, c’est mon paradis sur Terre. Je peux donc par mes propres moyens déterminer qu’elle est ma mission d’âme, simplement en prenant conscience de mon idéal.

Il est alors essentiel de se laisser rêver. La première des règles est de mettre de côté toute question concernant mes capacités et mes possibilités. La question n’est pas de savoir comment, mais juste de savoir quoi. Qu’est-ce que je veux ?

La difficulté principale réside dans la connaissance de la direction à donner à notre vie. Celui qui sait ce qu’il veut et à confiance dans l’importance de son désir, mettra toutes ses énergies en oeuvre pour aller dans cette direction.

Je m’autorise donc à imaginer ce que je veux, surtout si cela semble totalement impossible. Mais comment savoir si ce que j’imagine est un désir de l’âme ou pas ? C’est simple: à ma réaction. Suis-je ému, est-ce que mon coeur parle ou pas ? Est-ce que l’idée de réaliser le désir me rempli de joie ?

Répondre à ces questions peut être difficile lorsque je suis encore dans un processus de réflexion sur ce que je veux. Le désir de l’âme me tient tellement à coeur que je peux ressentir le besoin de le protéger, par peur de l’échec ou de le perdre. Et le meilleur moyen de le protéger est de le cacher, y compris à moi-même, en attente du bon moment pour le dévoiler. Il est vrai qu’il ne faut pas brûler les étapes, mais je peux passer ainsi ma vie à ne pas réaliser mes rêves par peur de ne pas réussir à les réaliser. Il y a un moment où il est peut-être temps de prendre des risques.

Maintenant voilà ce que je peux faire pour prendre conscience de mes désirs:
je prend un papier et un stylo, et je m’écris une lettre à moi-même depuis mon futur idéal. C’est-à-dire que je fais « comme si » le temps s’est écoulé et que je me retrouve maintenant dans mon futur. Puisque j’ai réussi ma mission (c’est le but, donc je pars du principe qu’il est atteint dans le futur car à quoi bon me fixer un objectif si je ne pense pas le réaliser ?) Alors ce futur correspond à mon idéal. Une vie comme j’ose à peine l’imaginer. Je suis fou de joie et plein de gratitude pour qui j’ai été dans le passé, car c’est grâce à lui que j’ai pu arriver là où je suis aujourd’hui. J’ai alors une grande envie de partager mon enthousiasme avec moi-même et je décris dans la lettre avec passion ma nouvelle vie.

Il est question ici des désirs du coeur. Connaitre ces désirs nécessitent une grande sincérité. Au fond on ne peut pas se mentir à soi-même. Si mon soit-disant désir n’est que ce que je pense devoir désirer pour être conforme à l’opinion de mes amis, de ma famille, de la société, alors je ne suis pas moi-même. Je me trahis.

Je peux évaluer la sincérité de mon désir en ressentant dans mon corps la vibration de mon âme. Une vibration de joie est un signe sûr que j’ai contacté mon véritable désir. Il faut donc être capable de connaître ses émotions, et de ressentir les vibrations correspondantes. Par exemple comment reconnaitre la joie ? Comment celle-ci me transforme et me procure des sensations dans le corps ? Reconnaitre le type d’émotion et de vibration est essentiel, cela me guide pour évaluer si je vais dans la bonne direction.

Le but est d’amener le futur dans le présent, pour changer ce dernier. Si après avoir écrit la lettre je me sens particulièrement bien (ouverture du coeur, etc.) alors j’ai trouvé les désirs qui me tiennent à coeur. Sinon il est probable que je ne m’autorise pas encore assez à imaginer. Je ne dois penser à rien d’autre qu’à me faire plaisir à fantasmer. Les questions sur comment réaliser ces fantasmes ne viendront que plus tard. J’applique ici une méthode scientifique prônée par Descartes: Si un problème est complexe, le décomposer en plusieurs sous-problèmes plus faciles à résoudre. Ainsi, un petit problème après l’autre j’arriverai à résoudre le grand problème. Réaliser ma mission est difficile (l’âme aime la difficulté), mais en décomposant avec méthode chaque étape pour la réaliser je trouverai la force d’accomplir chacune de ses étapes dans le bon ordre jusqu’à l’accomplissement total de ma mission. Se laisser rêver est une première étape.

Une fois que je me suis autorisé à rêver, que j’ai bien ressenti les vibrations de l’âme dans mon corps, que j’ai senti que de parler de mon rêve me ramène à ce que je suis en essence, à mon être essentiel authentique, alors je dois me souvenir de cela lorsque je passerai par des moments de doute voire de désespoir. Un projet c’est comme un nid. On le construit petit à petit, ça prend du temps, et il suffit d’une main pour le balayer. Ce mouvement de la main, c’est le doute. Si facile à faire, mais dont le pouvoir destructeur est si grand.

Mon projet de vie passe par divers stade de développement, et il y a des moments où il est comme un oeuf ou un petit oiseau sans défense. Il va me falloir le protéger des prédateurs, c’est-à-dire de mes propres pensées négatives. Protéger mon projet c’est protéger la vision de ma mission. Il me faut la conserver dans un texte ou un tableau de vision (ou une peinture, ou tout autre moyen d’ancrage), pour me souvenir. Le capitaine du bateau doit toujours se souvenir de la destination pour garder le cap, même en pleine tempête.

Comment réaliser ma mission d’âme ?

Le corps est le lieu où se réalise ma mission. Les manifestations extérieures ne sont que sympthomatiques (loi d’attraction). Si je veux donc avancer dans la concrétisation de ma mission il me faut laisser passer à travers mon corps les énergies de l’âme, du Ciel jusqu’en Terre. Ensuite je regarde autour de moi et je vois avec émerveillement les choses se réaliser d’elle même. C’est l’abondance. Je comprends que tout m’est donné et que je n’ai plus qu’à recevoir.

Conscient de mon corps et des fréquences auxquelles il vibre je peux alors savoir où je résiste encore au passage de l’énergie de mes désirs. J’accepte ces résistances (priorité au centrage) et je place mon intention de les laisser disparaitre spontanément. La lumière occupant alors plus pleinement le corps, l’énergie circulant librement, ma mission se réalise plus amplement.

Lorsqu’on a identifié un désir de l’âme, on est alors certain que c’est la voie à suivre. Désir = Destin. La réalité se crée à partir de l’énergie et de la Conscience. Le désir correspond à une tension énergétique, une différence de potentiel dans la psyché. Là où il y a de l’énergie il y a le moyen de permettre à cette énergie de circuler. La conscience est témoin de l’énergie qui coule naturellement du point où le manque est ressenti (il nous manque quelque chose dans notre vie !) jusqu’au point où le manque a disparu et le désir assouvi (nous avons réalisé concrètement l’objet de notre désir).

mission d'âme


les 4 étapes de descente de la Lumière dans le corps
nécessaires pour réaliser ma mission d’âme, selon la Thérapie d’énergie intégrée IET de Steven J. Thayer (formation suivie auprès de Delphine Morizot)

C’est ce voyage de la conscience grace aux flux d’énergie qui me permet d’être vivant. Il n’y a pas d’autres possibilités pour que quelque chose se produise dans notre réalité. Sans désir, sans motivation, il ne se passe absolument rien. Là où il y a un manque, il y a un désir, là où il y a un désir il y a une voie, là où il y a une voie il y a un aboutissement. Vous êtes donc absolument certain que votre désir est condamné à être satisfait. Vous êtes condamné à la réussite. Sachant cela, il n’y a plus qu’à prendre conscience de vos désirs et à oser vous lancer dans l’aventure !

«Une fois pris dans l’événement, les hommes ne s’en effraient plus. Seul l’inconnu épouvante les hommes.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ] – Terre des hommes

Je comprends bien que je ne peux qu’accepter mon destin. Une attitude erronée serait de croire qu’il me suffit d’utiliser correctement ma volonté pour obtenir ce que je désire et pour éviter les ennuis, ce serait nier l’existence de l’âme qui dépasse l’ego.

«Le héros ne peut fuir son destin, même quand celui-ci est chargé de difficultés.»
[ Carl Gustav Jung ]

Mon destin, la reconnaissance de ce destin, la prise de conscience des désirs de l’âme, impliquent que j’adhère à ma destinée et que je suis guidé sur ce chemin. Je fais des forces du destin mes alliés pour favoriser mon voyage dans la vie, comme je me laisse porter par le courant d’un fleuve pour favoriser ma descente. D’une certaine manière c’est la voie du moindre effort car on va dans le sens de son désir profond. Les difficultés que l’on rencontre ne sont en fait que le reflet de notre résistance intérieure (égotique) au changement. Mon destin correspond donc à la meilleure solution pour m’éveiller à ma véritable nature, au-delà de l’ego.

Réaliser sa mission d’âme correspond à une voie du coeur vers l’éveil.

téléchargement

Nicolas Mauran
Thérapeute énergéticien
Mission d’âme – Soins énergétiques – Rêves

www.nicolas-mauran.com
mauran.nicolas@gmail.com

Publié dans:AME, ESPRITS, KARMA, POUVOIR |on 27 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Faire naître l’âme

 

Un modèle de sagesse invite à rechercher une vie possédant un sens autre que simplement naître, vieillir et mourir. Cela ne concerne que le corps physique. Grandir spirituellement permet l’accès à une vie pleine de conscience, régénère l’âme et fait alors sortir l’esprit et le corps de la souffrance.

Les maître éveillés contemporains semblent être les nouvelles figures qui remplacent désormais les philosophes. Ces derniers ont pour bilan de leurs théories et mises en pratique un échec : leurs propositions pour un modèle nouveau de vie en harmonie se soldent par des luttes entre les égos, qu’ils soient individuels ou collectifs. La planète n’est pas respectée, ni l’individu, ni le peuple.

De même, par l’exclusion du sacré ou de toutes figures divines ou de la reliance à un ordre supérieur, ces nouveaux philosophes se sont eux-mêmes égarés. Cela nous montre que les labyrinthes des théories conduisent rarement à l’éveil.

Actuellement, il ne s’agit pas de combattre les religions, ni de prôner un retour au christianisme ou même d’aller vers un fanatisme religieux. Retrouver en soi le religieux est le but. Renaître, c’est se relier donc faire vivre en soi et relier à soi le Sacré.

Ainsi, faire renaître notre âme, la mener sur d’autres cheminements nous conduit à l’expérience du sacré.

pensée positive

Percevoir en tout l’indicible

Toutes les religions anciennes proposent des dogmes mais qu’en est-il de la transmission de l’expérience ? Chaque génération d’homme a connu une occasion de vivre une expérience. Vie après vie. Et en 2012, quel chemin prendre ?

Ceux qui parlent de l’éveil utilisent des mots. Ces derniers demeurent bien trop faibles pour décrire l’extase, l’épectase, l’expérience ultime comme une invitation à suivre cette voie différente.

Pour emprunter cette voie, dont la seule promesse est de rencontrer le Soi uni au Grand Tout, il aura bien fallu entendre qu’elle existe. Pour la retrouver, comment ces maîtres de sagesse ont-ils transmis une parole permettant de percevoir l’indicible ?

 

La transmission invisible

Petite ballade du côté de l’histoire et de la transmission invisible…

Lorsque Bouddha voulut transmettre l’essence de son enseignement, il interrompit le sermon qu’il prononçait à ses disciples, prit un lotus dans sa main et le fit lentement tourner entre ses doigts, en SILENCE.

La plupart de ses disciples ne comprirent pas, mais Mahakasyapa sourit. A ce moment-là, Bouddha aurait déclaré :
« Je possède l’œil du trésor du vrai Dharma, l’esprit serein du Nirvana, et je le transmet à Mahakasyapa.
Notre véritable nature se manifeste, est présente.
»

Mahakasyapa est encore considéré aujourd’hui comme le premier patriarche indien, le seul disciple de Bouddha à avoir reçu Sa transmission de l’esprit. Il s’agirait là de l’origine de la Transmission spéciale en dehors des écritures du Chan ou Zen
Dictionnaire encyclopédique du Bouddhisme. P.Cornu

Cette transmission s’est effectuée dans un moment où le mental de son disciple demeure silencieux, au delà du sens des mots : Mahakasyapa touche enfin à l’essence de l’être. « Prendre et faire tourner la fleur » est un geste de totale attention à la fleur telle qu’elle est. Dépouillé de ses attachements, de ses « à priori, de ses certitudes » …l’esprit serein peut alors refléter la réalité dans son essence. Il n’y a plus séparation entre l’observateur et ce qui est observé. Dans le bouddhisme, c’est l’essence même de l’éveil.

Non dualité et coucher de soleil

Vivre totalement le moment présent si cher à Eckart Tolle se traduit par Nirvana, Moksa, Illumination, Eveil… Bien des mots qui pourraient nous décourager de devenir ces chercheurs de vérité, tant l’expérience même de cet état semble inaccessible.
Traduire en paroles l’expérience du non mental, de la non dualité, c’est comme décrire le plus magnifique des couchers de soleil à un aveugle.

« La résonance de la Vérité est tout ce dont nous disposons pour reconnaître ce qui est réel »
Barry Long

Autrefois, certains maîtres très explicites transmettaient par leurs enseignements le parfum de ce qu’ils nous invitent à partager, de ce qui nous attend au bout du chemin.

Pour d’autres, la parole n’a jamais réussi à être transmise même au cœur de leur enseignement.
Leur présence seule, telle celle de Ramana Marshi, invitait au silence.
Ceux qui ont eu la chance ou le courage d’en approcher un ont certainement ressenti que de demeurer à leurs côtés était la plus belle des invitations à explorer le voyage intérieur et à s’approcher ainsi d’un espace non dualiste.

zone d'ascension

Permanence de la béatitude

Krishnamurti nous offre une vision radicale dans cette recherche de la pure béatitude. Il s’agit d’un retour absolu à soi, faisant fi des traditions ancestrales.

A une époque où la conscience fait naître le désir de se transformer radicalement, Krishnamurti rejette toute la structure psychologique de la société, les valeurs traditionnelles, les morales établies, le « Connu » puisqu’il est le passé, ce passé qui projette une ombre sur les esprits.

Que nous donne-t-il à méditer ? Pour lui, l’amour et l’intelligence n’ont pas de cause. Ils sont lumière. Lorsque la véritable nature dans le psychisme est clairement observée et comprise, le processus de la pensée cesse d’être prédominant. Une telle compréhension est pure intelligence, libre de toute causalité, c’est la voie d’un changement radical de la condition humaine.

« La Vérité n’a pas de sentier, et c’est cela sa beauté : elle est vivante. Une chose morte peut avoir un sentier menant à elle, car elle est statique. Mais lorsque vous voyez que la Vérité est vivante, mouvante, qu’elle n’a pas de lieu où se reposer, qu’aucun temple, aucune mosquée ou église, qu’aucune religion, qu’aucun maître ou philosophe, bref que rien ne peut vous y conduire. Alors vous verrez aussi que cette chose vivante est ce que vous êtes en toute réalité. « La vérité n’est jamais dans le passé. Les vérités du passé sont les cendres de la mémoire. La mémoire appartient au temps. Dans les cendres mortes d’hier, il n’y a pas de vérité. La vérité est une chose vivante, elle n’est pas dans la sphère du temps. »

Yvan Amar se situe au confluent de trois héritages culturels : le judaïsme, reçu de son père, le christianisme transmis par sa mère, et l’hindouisme, légué par son maître, un sage indien contemporain.
Son livre « L’effort et la grâce » est une profonde réflexion sur la notion d’éveil, sur le concept de réalisation et des processus de croissance. En voici un extrait :

L’éveil extirpe le doute, premier poison du mental. Au fur et à mesure que l’éveil s’intègre au niveau psychologique, le doute disparaît, sans être pour autant remplacé par son contraire – la conviction ou la certitude – car la qualité fondamentale de l’éveil, c’est de ne pas connaître le contraire. Il ne connaît que l’évidence, qui engendre la vision non duelle de sagesse, de non-séparation. Le travail d’un éveillé n’est pas de résoudre les problèmes de ses disciples, mais bien de leur faire prendre conscience de leur nature profonde.
L’Effort et la Grâce

Ramakrisna
Seule, l’âme vêtue de Silence peut lever le voile qui Le sépare – Lui ! – de l’embrassement…

Ramakrishna, Une vie

Arnaud Desjardins
« …Vous trouverez toujours sur toutes les voies sans exception la même insistance sur l’attention et le souvenir, et d’abord me souvenir que je suis engagé sur la voie, me souvenir que j’essaye d’entrer en relation avec la plus grande profondeur possible en moi-même. Ce qu’on recherche en méditation, mais que vous pouvez rechercher dans toutes les circonstances de votre existence, c’est le tréfonds de votre propre réalité, la vie de votre vie. Qu’est-ce qui vous donne l’être, l’existence ?
J’existe : qu’est-ce que je suis vraiment ? Qu’est-ce que cette vie qui m’anime, plus profondément, plus durablement que tous les changements à la surface ?

Est-ce que vous êtes quoi que ce soit de non changeant – qui n’est pas soumis au temps, au vieillissement – et d’autonome – qui ne soit pas produit par autre chose ? À cette question, les enseignements spirituels répondent : oui. Il y a bien une réalité ultime.

L’invitation à l’expérience

Karlfried Dürckheim n’a jamais prétendu être réalisé. Son enseignement relie la tradition orientale et occidentale, il mérite bien sa place parmi les « grands ».

« Il existe deux notions du temps. En parlant du temps, nous pensons à quelque chose où se positionnait un avant et un après. Il y a également la notion de l’instant éternel. Rien ne bouge. Mais c’est faux de dire rien ne bouge, car c’est au-delà de bouger et de ne pas bouger.

Nous disons oui à la forme et par cela nous nous intéressons à ce qui est là et à ce qui va devenir. Alors les deux choses vont ensemble : le oui à la forme, le oui à la personne, le oui au temps et à l’espace. Et de l’autre côté, le oui à l’instant éternel, à la non forme. C’est le vide qui est la plénitude.  Ce n’est pas le rien, c’est l’absence de la multitude qui fait sortir la plénitude de ce temps éternel. Il est important de cultiver le sens de l’instant éternel, du temps au-delà du temps. (…) Mon travail a toujours été de préparer les conditions grâce auxquelles s’approche la chance d’être touché par le Tout Autre.

Kaveen
Disciple du Maitre spirituel Osho, il a suivi la voie de la méditation pendant plus de 20 ans, puis cette recherche comme il l’affirme s’est évaporée d’elle-même. Il partage son expérience dans un vocabulaire où est exclu tout le « jargon oriental. »

Voici la quintessence d’un art de vivre au présent : pas d’éveil, pas d’état à atteindre. Tout simplement la poésie d’une vie vécue en pleine conscience.

Expérimenter le développement de la conscience de soi est le plus somptueux cadeau qu’un être humain puisse recevoir. La promenade ne s’arrête jamais, le mouvement de la vie est éternel, et seul le promeneur décide, un jour, d’y rencontrer sa solitude, d’en tomber amoureux et de faire naître de ce coup de foudre un être naturel conscient et qui grandit ainsi vers plus de liberté. « La promenade » aux éditions Almasta Kaveen@zeecelebration.com

 

Nous sommes lumière

La vision d’Osho : la vie sans limite

« …Il est le suprême iconoclaste Le visionnaire devenant la vision. Certainement, un projet pour l’Existence – le droit de naissance de chacun de se régaler de la même expérience océanique d’une véritable individualité.
…Il n’y a aucun point à la ligne dans la vision d’Osho, mais une main aidante pour nous comprendre nous-mêmes.
»

Tom Robbins auteur

Dieu n’est pas une personne mais un vécu. La vision de l’univers que vous procure la dissolution de l’égo est ce que j’appelle la divinité. Rien ne peut vous révéler le divin en particulier, « Dieu » est l’expérience de l’amour parfait et universel. Cela n’a pas de centre, c’est l’existence sans limite. Le centre est donc partout. Parler de Dieu est une erreur, mais vous pouvez dire qu’accéder à l’amour parfait est « Dieu »
Osho « Méditation, la connaissance de soi » Aux éditions du Voyage intérieur

Méditer et guérir

Si les maîtres réussissent à transmettre l’indicible, qu’en est-il des thérapeutes qui ont inclus dans leurs séances une dimension méditative ? Pour ma part, cette dimension méditante s’inclut dans le travail de mes guérisons.

Dans chaque séance, j’invite la personne à vivre un espace permettant la rencontre avec elle-même. Ainsi s’ouvre une brèche qui n’est plus blessure mais guérison.
Suit un accueil du Verbe, parole reliée au sacré que nous venons d’expérimenter.

Cette quête et surtout de longues années de pratique m’ont permis de goûter à ce silence, devenu une part essentielle de mes soins. Cette dimension établit toute la différence.
Plus de théories, d’analyse du pourquoi et du comment, mais une expérience à partager.
Vécue à deux, cette expérience capte toute la vibration de ceux qui avant nous l’ont vécue. C’est la transmission de l’indicible, à nous de la vivre.

Patricia Menetrey sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/
Voir sa page web

LES BUTS DE L’INCARNATION

but incarnation

L’un des buts de l’incarnation sur cette Terre est de donner le meilleur de soi-même. Et ce n’est pas en une seule vie, vous en conviendrez, que l’on peut arriver à cela.

Donner le meilleur de soi-même c’est, à chaque instant, penser au mieux que l’on puisse faire, dans quelque domaine que ce soit. Ainsi, tel un artisan qui façonne avec amour l’objet de sa création, vous peaufinez votre oeuvre afin de vous approcher de la perfection. Tout comme le Créateur, vous savez vous arrêter à temps afin que la perfection ne soit pas exempte de fantaisie et qu’elle reste perfectible dans son achèvement.

En tous points et en tous domaines visez l’excellence.
Soyez excellents dans vos pensées afin que la manifestation de vos idées soit le plus possible conforme à la vision primordiale que vous en aviez. Et n’oubliez pas que le Verbe est créateur, aussi faites que vos paroles expriment également cette excellence. Soyez vrais, lumineux, joyeux et humbles.

Donnez le meilleur de vous-mêmes dans vos relations.
Ce n’est pas facile, car c’est le domaine où votre volonté d’excellence se heurte parfois aux exigences de vos désirs et à ceux de l’autre. Toutefois, en gardant une attitude probe et intelligente, vous pouvez aisément débusquer les malentendus, les craintes et les résistances de vos interlocuteurs. N’oubliez pas que, à tout moment, votre intention de bien faire peut être détournée de son but initial, lumineux et sincère. A tout moment, dans vos rapports humains, vous pouvez connaître l’échec et l’amertume. Mais que cela ne vous trouble guère, vous êtes aussi sur Terre pour apprendre, et notamment à rectifier, à essayer de nouveau, à peaufiner jusqu’à ce que votre souhait initial soit réalisé.

Donner le meilleur de soi-même, c’est participer à ce vaste échange communautaire où tous les êtres humains sont concernés, en ces temps de Transition. En visant l’excellence dans tout ce que vous faites, vous donnez l’exemple à vos frères et soeurs en incarnation, et vous leur donnez l’occasion de donner, eux aussi, le meilleur d’eux-mêmes.

L’Univers procède par vagues et par expansion « contaminatrice ».
Lorsque votre excellence rencontre un souhait créatif, elle l’aide à se matérialiser. Ainsi, par votre simple présence, un sourire sincère, une parole bienveillante ou un simple encouragement, vous contribuez à ce que ce souhait créatif se réalise. Parfois même beaucoup plus et beaucoup mieux que vous le pensiez. Car c’est l’Amour qui régit tout cela, c’est l’Amour qui vise l’excellence en tout et pour tout.

Alors, soyez des amoureux en permanence.
Donnez le meilleur de vous-mêmes dans vos relations, dans votre famille, dans votre travail, même – et surtout – s’il est humble. Car c’est ainsi que le Divin travaille depuis des lustres, c’est ainsi que tous les univers ont été conçus, et que le vôtre continue sa course dans l’immensité stellaire, magnifique, imperturbable,

Eternel…

Soyez bénis.

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Canalisé par Patrick Giani
http://www.giani.fr/messages_celestes.htm

Publié dans:REINCARNATION, TERRE |on 26 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Déprogrammer la mémoire cellulaire grâce à l’Écoute Imaginaire

Et si la mémoire cellulaire était reliée à un univers psychique dans lequel baigne la mémoire de l’humanité entière ?

L’aura est programmée par nos expériences passées

Il existe un rayonnement qui se manifeste autour du corps physique que l’on appelle aura. Les recherches du physicien Popp ont démontrées que ce rayonnement provient d’une activité cellulaire.

Mes observations en tant que thérapeute intuitif depuis près de 25 années me permettre d’affirmer que la mémoire cellulaire est observable dans l’aura. Elles se manifestent s sous la forme d’empreinte mémorielle associées à des souvenirs d’expériences positives et négatives que la personne a vécue depuis la naissance. Ces événements n’ont pas été vécus de façon harmonieuse d’où la présence d’une empreinte mémorielle dans l’aura. L’ensemble de ces souvenirs constitue une programmation qui vont faire en sorte que l’individu va malgré lui attirer d’autres individus ou situations qui vont favoriser la réactualisation de sa programmation. Ce processus se poursuivra tant que l’individu ne parviendra pas à s’harmoniser aux besoins inassouvis qui animent ces énergies mémorielles.

Par exemple, si vous avez une énergie mémorielle de victime dans votre aura, vous allez attirer à vous des individus qui sont animés par des énergies mémorielles de bourreau. Ce processus a pour but de vous rendre conscient de la programmation que vous avez créée. Toutefois, comme vous n’êtes pas conscient des mémoires qui animent votre aura, vous aurez tendance à les réactualiser sans prendre conscience de leur véritable raison d’être. C’est un peu comme si vous traîniez de très lourds bagages dans votre aura.

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Avant un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

L’aura est étroitement reliée à la mémoire de l’humanité entière

Chaque être humain génère des énergies mémorielles qui s’accumulent dans son aura. L’ensemble des échanges énergétiques entre les êtres humains forme un véritable univers psychique. Un thérapeute intuitif qui développe la perception de cet univers constate que l’humanité entière se trouve inter relié par une trame dans lequel s’accumulent les mémoires de tous les êtres humains ayant vécues sur terre.

Cette trame s’apparente à une autoroute d’information qui circule entre les être humains sans qu’ils en soient conscients. Pour parvenir à se libérer de son histoire personnelle, il est nécessaire de se rendre compte que nos mémoires personnelles résonnent avec une multitude d’expériences mémorielles provenant de l’histoire humaine. ‘Ces expériences mémorielles errent dans cet univers car elles n’ont pas découvert la raison d’être de leur existence. C’est seulement lorsqu’il y a une résonance avec un individu vivant sur terre que l’énergie mémorielle est réactivée. Il s’en suit un échange énergétique grâce auquel la mémoire collective va se nourrir de l’énergie d’une personne. Cette résonance favorise la réactualisation de l’événement à l’origine de la mémoire qui perturbe l’aura de la personne. Ce processus se répètera tant que l’individu n’aura pas résolu la raisons d’être du bagage mémoriel qui l’anime.

Voyons un exemple. Supposons qu’une énergie mémorielle qui se sent abandonnée résonne avec une mémoire collective d’un soldat de la Grèce antique qui a un sentiment similaire. Ce soldat se sent abandonné car il pose souvent des actions téméraires qui ne sont pas valorisés par ses coéquipiers. Il meurt lors d’un combat parce qu’il n’a pas respecté les consignes de retraite ordonnées par son chef. L’individu qui résonne avec cette mémoire se comporte dans sa vie courante de façon similaire à celle-ci.

Cette personne, d’un naturel téméraire, pourrait se retrouver dans des situations où son entourage l’abandonne. Cet abandon pourrait être vécu comme un sentiment de trahison où il a l’impression que son entourage assiste à sa mort sans intervenir. Si l’individu ne développe pas d’habileté pour communiquer avec son énergie mémorielle, il ne pourra pas déprogrammer le schéma de comportement qu’il subit.

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Pendant un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

La déprogrammation de la mémoire cellulaire

Comment cette personne peut-elle se libérer de ce schéma de comportement ? Mon expérience m’a amené à comprendre la dynamique énergétique sous-jacente à la mémoire qui pollue notre aura. À la base de toute énergie mémorielle, il y a toujours une incapacité de l’individu à assumer une partie de lui-même. Pour se protéger d’une souffrance associée à l’énergie qu’il ne peut assumer, l’individu va la rejeter. Cette énergie mémorielle va résonner avec des énergies similaires provenant de l’histoire humaine renforçant le rejet de celle-ci. Cette énergie mémorielle n’a pourtant qu’un seul désir, c’est de revenir à sa source.

J’ai développé l’Écoute Imaginaire dans le but d’aider les gens à se réapproprier l’énergie dont il s’était dissocié afin qu’ils assument pleinement tous leur potentiels. Si on revient à notre exemple, l’Écoute Imaginaire permettrait de communiquer avec l’énergie mémorielle d’abandon. Il est fondamental ici de comprendre que toute énergie mémorielle possède une autonomie propre et qu’il est possible pour un intuitif entraîné d’engager un dialogue avec celle-ci. Et étant donné que l’énergie mémorielle a pour but de se réunifier à sa source, le thérapeute intuitif pourra entrer en communication avec l’énergie mémorielle et dévoiler à la personne qui consulte le chemin vers la réunification.

Poursuivons notre exemple : Le thérapeute en Écoute Imaginaire perçoit dans l’aura de la personne une énergie mémorielle de son enfance. Cet enfant explique au thérapeute qu’il agit de façon impulsive car il est convaincu qu’il n’est pas aimé par son entourage. D’autres scènes de l’enfance surgissent de l’aura montrant l’enfant ridiculisé par ses parents.. L’enfant explique qu’il est révolté de ce manque de support et c’est pourquoi il agit de façon téméraire pour ne pas démontrer ses peurs.

Lorsque le thérapeute comprend la raison d’être de l’énergie mémorielle, il peut alors passer à la déprogrammation de la mémoire. Cette étape consiste à transmettre des informations énergétiques afin de libérer l’énergie mémorielle de ses limitations. Le thérapeute demeure en état d’écoute pour observer les diverses réactions qui se produisent dans l’énergie mémorielle. Typiquement, l’énergie mémorielle figée se transforme laissant apparaître une énergie plus en harmonie avec les besoins actuels de l’individu. Lorsque cette étape est atteinte, le flux énergétique circule plus facilement vers le cerveau et la personne intègre un nouveau comportement a adopté dans sa vie. L’énergie mémorielle ne se trouve plus isolé et elle se réintègre à la personne.

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Après un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

La rééducation de l’inconscient

Pour favoriser le changement en profondeur, il est nécessaire de prévoir une étape d’intégration. La rééducation de l’inconscient a pour but de créer de nouvelles organisations du système nerveux et du cerveau permettant à l’individu de consolider sa nouvelle perception de lui-même.

Ce travail consiste à accompagner la personne aidée dans son propre système de croyance afin qu’elle apprenne à rééduquer les dynamiques pouvant inhiber la libre expression de son potentiel.

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Pour conclure, l’Écoute Imaginaire est une approche intuitive et énergétique permettant de :
• décoder la raison d’être des énergies mémorielles qui animent l’aura ;
• de les déprogrammer afin de favoriser leur réintégration dans le champ d’énergie ;
• de les rééduquer à long terme afin que de nouveaux signaux soient de plus en plus facilement
reconnu par la personne aidée ;
• rétablir les perturbations énergétiques afin de favoriser la santé optimale de la personne aidée.
Parmi les bienfaits ressentis, on dénote une augmentation de l’énergie vitale, un sentiment d’être en harmonie avec soi et de faire les actions justes.


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Sylvain Bélanger est le créateur de l’Écoute Imaginaire. Il est auteur des livres : L’Écoute Imaginaire, Devenez Intuitif, Le Messager et de 17 cd audio d’enseignement. Il propose une formation personnelle (2 we) et une formation personnelle à distance à l’aide de cd-audio s’adressant à tous. Il propose également une formation professionnelle pour devenir
thérapeute. Consultations en personne et téléphoniques disponibles.
 
Site internet : www.ecouteimaginaire.com

Publié dans:DEVELOPPEMENT, GUERISON, POUVOIR |on 24 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Le pouvoir de S’abandonner

 

 bouddha

L’un des plus grands défis sur le chemin de notre évolution est de parvenir à surmonter notre difficulté à lâcher prise, à nous abandonner. S’abandonner, c’est s’en remettre à notre conscience, à l’intelligence de notre cœur, plutôt qu’à notre ego et ses schémas de pensée. La résistance est le frein majeur à la croissance spirituelle mais aussi la cause de souffrances qui rendent plus difficile encore l’immense tâche de libérer notre âme du carcan de notre personnalité. L’abandon est une disposition d’esprit, une attitude d’ouverture, de confiance, et de réceptivité.

La voie de la conscience nous apprend que le but de notre existence est d’apprendre les leçons de toutes les épreuves que nous traversons. Notre attitude détermine notre réussite ou notre échec face au défi que représente la reddition de notre ego devant notre soi. Mais en réalité, notre résistance est illusoire et vaine car elle ne nous permet pas d’éviter les épreuves que nous rencontrerons inévitablement à nouveau jusqu’à ce nous ayons compris les leçons qu’elles ont pour but de nous enseigner. Si nous les acceptons sereinement, nous nous enrichissons de chaque moment de notre vie et découvrons ainsi le pouvoir de l’abandon.

Paradoxalement, plus nous aspirons à la libération et plus nous nous en approchons, plus nous résistons. Nous croyons généralement être prêts à recevoir les enseignements qui nous feront évoluer vers l’éveil de notre conscience. Mais que nous en soyons conscients ou pas, nous faisons absolument tout pour éviter les situations qui nous remettent en cause et les épreuves qui nous permettent d’évoluer. En fait, nous passons notre temps à imaginer les choses telles que nous voudrions qu’elles soient, au lieu de les accepter telles qu’elles sont. Nous invitons le Divin mais quand il frappe à notre porte, nous refusons de lui ouvrir, trompés par l’illusion de son apparence que nous n’attendions pas, que nous ne reconnaissons pas.

L’énergie phénoménale que nous déployons pour tenter de garder le contrôle sur les évènements de notre vie révèle la nature même de l’ego qui est de s’opposer à tout ce qui le met en danger. Sur le chemin de l’évolution, cette résistance au changement devient le mur auquel nous nous heurtons. Selon les êtres, notre réaction face à cet immense défi prend mille et une formes, par des réactions de colère, de peur, de désespoir, le fait d’éviter ou de mettre fin prématurément à une relation… Dans cette lutte intérieure entre notre âme qui aspire à sa libération et notre ego qui cherche à tout prix à l’empêcher, réside le dilemme auquel est confronté tout chercheur spirituel. Et il arrive toujours un moment où ce paradoxe atteint un paroxysme, lorsque nous sommes confrontés à nos limites et nous retrouvons face à nos contradictions.

Ce moment signifie que la Vie nous ouvre un passage, en nous offrant l’opportunité de transmuer l’énergie de notre résistance en une énergie d’amour, de confiance et d’abandon. S’abandonner, c’est briser les chaînes de la peur et de l’illusion. C’est passer de l’autre côté du miroir, où nous réalisons que les expériences que nous avons tant combattues sont celles que notre âme a tant désirées. Que nos résistances et notre cécité spirituelle sont la cause de toutes nos souffrances. Que tous nos efforts pour être heureux et comblés sont éphémères et vains tant que nous n’apprenons pas à lâcher prise, à nous abandonner.

L’expérience du lâcher-prise est un moment intense et extraordinaire, qui nous enseigne que nos peurs disparaissent au moment où nous sommes prêts à les affronter. Nous découvrons alors que cesser de satisfaire les insatiables désirs de notre ego et s’en remettre à la volonté du Divin – qui est notre désir le plus profond, n’est pas un renoncement mais une renaissance et la source d’une joie incommensurable. L’abandon est une véritable libération pour notre âme. Dans cet état sans demande ni attente, l’énergie qui envahit notre être agit comme un baume, guérit notre corps, ouvre notre cœur, libère notre intuition et éveille notre conscience.

C’est en vivant cette expérience que l’on se débarrasse de la croyance que nous perdons notre souveraineté lorsque nous consentons à nous abandonner. Car si l’abandon est synonyme de perte ou de défaite pour l’ego, il est signe de croissance, de richesse pour la conscience. Il est aussi l’expression de notre maturité.

Seul celui qui a vaincu la peur est capable de s’abandonner.

Et notre abandon est indispensable pour parvenir un jour à l’éveil de notre conscience.

Brenda travaille depuis plus de douze ans aux côtés d’Amédée, le créateur de Guérir par la Conscience.

Chez Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ENERGIES, GUERISON, HUMANITE |on 22 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Qu’est-ce que La médiumnité

 

 

La médiumnité est, en dehors de tout dogme ou religion, la possibilité de pouvoir communiquer avec les Esprits. 

NATURE DIVINE

Qu’est-ce qu’un médium ? Il n’est qu’un récepteur de messages venus de l’autre monde. Il est celui qui, en faisant le vide, a pu ouvrir un canal de transmission, il est l’intermédiaire entre l’invisible et le visible. Il existe un grand nombre de médiumnités différentes (à ne pas confondre avec le spiritisme, car on peut pratiquer le spiritisme sans être médium). Le médium est « au milieu », entre les deux mondes, il peut être à effets physique, intuitif, psychographe, artiste, parlant, voyant, auditif, somnambuliques, guérissant, pour n’en citer que quelques-uns uns ou allie plusieurs facultés à la fois. Plus qu’une communication, la médiumnité est une communion avec l’esprit. Communion dans la foi et dans l’amour. Tout se fait par la pensée, aussi, nul besoin de talisman ou objet de culte (encens, bougies…) C’est un acte de religiosité qui demande recueillement et prière sincère. 

C’est aussi la loi du « qui se ressemble s’assemble », aussi afin d’être en mesure de communiquer avec de bons esprits, il est important, en préambule d’effectuer un travail sur soi-même, destiné à mieux se connaître, savoir qui on est, quelle est notre motivation profonde et tendre vers l‘amélioration morale, une sorte d’épuration préalable. A défaut d’avoir réussi tout ou partie de ce travail, les esprits sauront nous le faire faire parfois avec douleur, toutefois, rien ne nous est infligé qu’on ne puisse surmonter, et si le médium attire à lui des esprits qui ne lui conviennent pas : Qu’il se demande pourquoi ? La réponse est au fond de lui et nulle part ailleurs. 

La médiumnité est un acte de foi. Il faut croire, croire que tout est possible par l’action Divine, croire en la puissance bienveillante de Dieu et de l’Amour, croire en sa propre réussite. Croire, n’est pas espérer, croire c’est savoir. C’est l’action de grâce par excellence. Croire c’est n’avoir aucune peur « la peur tue l’esprit » (extrait de « Mémoire Spirite ») car celui qui est dans la peur n’est pas dans la foi. La foi c’est la confiance totale en l’accomplissement d’une chose, être totalement certain d’atteindre le but, sans précipitation, avec sérénité et tranquillité, peu importe le temps, il ne compte pas. C’est l’amie de l’humilité : savoir que sans Dieu rien n’est possible mais que par lui tout soit réalisable, c’est la foi en Dieu, en sa puissance sans limite. 

La foi est celle en l’homme et en Dieu.

La foi ne se commande pas mais elle ne s’impose pas non plus. Elle se présente à celui qui veut la chercher avec sincérité, il suffit souvent d’un rien pour l’atteindre, juste un « hasard »…

Intervention de l’esprit : « la foi c’est savoir que rien n’est impossible, que le coeur peut tout, et que le sentiment d’amour ouvre toutes les portes qui mènent à Dieu ».

C’est aussi un acte d’Amour. L’Amour de Dieu, en Dieu, l’amour envers ses frères, l’amour des esprits l’amour tout court. Aucun autre sentiment ne doit être ressenti, car, comme pour la foi, si on est la peur on ne peut pas être dans l’Amour. L’amour ne peut laisser de place. 

C’est le don de soi, sans rien attendre en retour, ni remerciements, ni gloire, ni argent. L’acte spirite est donné aux hommes pour qu’ils en fassent un usage bienveillant pour eux-mêmes et pour leurs frères. La lumière et la consolation sont pour tous, elle ne doit pas être l’apanage de ceux qui peuvent payer. Le médium donnera gratuitement ce qu’il a reçu gratuitement. « Tu ne feras pas commerce de l’esprit. » Extrait de « Mémoire Spirite ». 

La médiumnité n’est ni un art, ni un talent, elle ne peut donc pas être une profession. Elle ne peut exister que par la volonté de Dieu et des esprits. La médiumnité n’existe qu’à deux : le médium et l’esprit. Sans l’esprit point de médiumnité. La médiumnité est une faculté accordée mobile et variable, aussi le médium qui se sert est appelé à être le jouet d’esprits malveillants et parfois très sournois (voire, perdre totalement cette faculté), aussi en premier lieu, le médium abolira l’orgueil, source de sa déchéance. Les esprits d’amour, de lumière, ne se communiquent qu’au vu de l’humilité, du dévouement, de l’abnégation et du désintéressement moral et matériel le plus absolu du médium. Les esprits bienveillants se retireront de ceux qui les utilisent à des fins personnelles quelles qu’elles soient. « La relation que vous avez avec les esprits, ne dépend que de vous-mêmes et d’aucune autre force extérieure et d’aucun pouvoir de l’esprit. » Extrait de « Eveil ». 

Le médium est un missionnaire. Avec son libre-arbitre, il a accepté cette mission noble, à lui de la réussir ou d’échouer. Pourquoi les uns et pas les autres malgré la bonne volonté, l’amour, la foi et le désir de servir ? Pourquoi certains accèdent à la médiumnité rapidement, d’autres au prix d’une grande patience ou jamais ? Nul ne le sait, peut-être cette faculté est- elle en partie, la résultante de vies antérieures, d’une mission acceptée avant l’incarnation ou pas ? Autant de questions restées sans réponses probantes. La médiumnité est un acte sacré qui demande sincérité, recueillement, altruisme, amour, foi et humilité. Son but ultime est dans le progrès spirituel et l’élévation morale du médium et de ses frères. 

Le médium de par ses communications apprendra et à son tour aidera ses frères dans ce sens.

La médiumnité vient expliquer le sens de la vie qui est l’Amour et aide les hommes à évoluer sur le chemin de la moralité et de la sagesse, elle doit rendre meilleur en mettant à profit les enseignements des esprits. Ne demandons pas à nos frères les esprits des conseils ou des aides pour nos petites affaires terrestres, nous avons pour cela notre libre-arbitre et notre jugement, notre âme et notre conscience, ne leur demandons pas non plus d’explications sur les secrets Divins ou les lois de l’univers, nous l’apprendrons bien plus tard, comme eux. Restons humbles et demandons à nos guides de nous montrer . 

La médiumnité est un chemin parfois long et difficile, nous l’avons dit. Elle implique aussi, souvent une difficulté devant la souffrance de ses frères, c’est une remise en question de  soi-même constante et une recherche de l’élévation morale. 

Message de l’esprit :

« Le médium se remet en question constamment, il découvre chaque jour, alors le doute l’envahit toujours, il ne sait plus qui il est, où il va et s’il est sur le bon chemin, mais Dieu veille sur lui et toujours il retrouve son chemin vers son Dieu. Le médium pleure souvent mais ses larmes sont d’amour car le médium est amour, il aime ses frères et son Dieu par-dessus tout. Le médium est envoyé de Dieu sur terre pour donner aux hommes un peu de lueur, d’espoir dans un monde difficile mais si riche en enseignements. Le médium pleure d’amour devant les beautés universelles, le médium pleure de joie devant l’enfant qui vit, le médium pleure souvent devant l’immensité de l’océan comme l’immensité de l’amour de Dieu envers ses enfants, le médium pleure de tristesse devant l’indifférence, l’intolérance, la bêtise l’hypocrisie et la haine, le médium pleure beaucoup mais ses larmes lavent le monde des impuretés qui le paralysent dans le mensonge, la guerre, la haine et la bêtise humaine, Heureux soit le médium car il est envoyé de Dieu pour ouvrir la route à ses frères vers la lumière Divine. » 

Etre médium c’est vivre pour les autres, c’est servir son Dieu en servant ses frères, comme nous l’explique si bien l’esprit à travers Oune. C’est un grand bonheur, un grand honneur, une mission Divine, une confiance sacrée, mais si fragile qu’elle peut se volatiliser au moindre faux pas. Patience, courage, foi, amour, humilité sont les ingrédients de base nécessaires à la médiumnité qui n’est possible que par le concours des esprits et la grâce de Dieu. 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

Publié dans:ESPRITS, MEDIUM |on 22 mars, 2016 |Pas de commentaires »

La kundalini et son apprentissage

 

A l’heure qu’il est, vous vous demandez probablement ce qu’est, au juste, la kundalini. C’est l’énergie qui se trouve dans le corps de chacun, d’habitude à l’état latent, à la base de la colonne vertébrale. Bien des gens passent leur vie sans la ressentir, sans même savoir qu’elle est là. Dans certaines circonstances, la kundalini s’éveille et monte le long de la colonne pour nettoyer et renforcer les centres énergétiques appelés chakras. Utilisée de manière appropriée, elle a pour but d’accélérer le processus d’évolution de l’individu vers de nouvelles perceptions ou des niveaux de conscience accrus. Ce n’est pas une énergie subtile, pas plus que ses transformations.

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Il ne s’agit pas d’un phénomène superficiel, comme un lissage de la peau, l’achat d’une nouvelle voiture, ou tout autre changement de façade qui sert à combler un vide intérieur. Selon certains, la kundalini est la voie qui mène à la conscience pure ou à l’illumination. Le processus n’est peut-être pas toujours facile ni linéaire. A certains moments, la personne peut régresser à un stade antérieur, mais ce recul peut, plus tard, entraîner un grand bond en avant : en fait, le détour est peut-être un raccourci que nous n’avons pas reconnu la première fois. Nos vieilles habitudes ne reviennent pas pour nous hanter, mais pour nous aider à apprécier notre motivation à avancer dans la vie.

La kundalini est un processus naturel, et sa manifestation peut être intense sur le plan énergétique, psychologique et physique, alors qu’elle nous fait passer à des états de conscience plus élevée. En définitive, la kundalini nous invite à nous défaire de schémas comportementaux et identitaires afin de pouvoir réaliser l’essence de notre existence, notre soi.

Sommes-nous prêts à accueillir l’énergie de la kundalini avec toutes ses implications. Le cas échéant, il s’agit tout simplement de comprendre le processus et d’ouvrir notre Cœur.

Je vous propose de lire : LA TECHNIQUE LOVE ENERGETICS de Yvon Dubé aux éditions Ariane.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Les étonnantes synchronicités de la vie de Marc Vallée

 

L’Expérience Africaine

La vie peut être fertile en surprises, parfois de nature à nous tester davantage, mais à d’autres moments le tout peut être vraiment splendide ! En novembre 1999, je fus invité par un groupe de la Côte d’Ivoire à m’exprimer sur mon travail à titre d’éditeur de livres d’éveil et sur mon engagement au sein d’un organisme à but non lucratif du nom de Convergence. Dans le tome VI de Kryeon, Franchir le seuil du millénaire   , j’avais partagé quelques informations au sujet du lien entre cette Organisation et le projet du Conseil des Sages.

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Durant mon premier séjour à la découverte de l’Afrique et du lien m’y unissant, mes hôtes me parlèrent d’un couple congolais (Clément et Fété) qui venait de quitter la Côte d’Ivoire pour s’établir à Montréal, ajoutant que je devais faire la connaissance de ces gens. Suivant leur conseil, dès mon retour au pays je les ai contactés, et ce fut le début d’une belle amitié.

La synchronicité était plutôt frappante, puisque Fété et Clément avaient entendu parler des enseignements de Kryeon durant leur séjour à Kinshasa. En fait, ils avaient lu plusieurs livres publiés par Ariane Editions, qui leur avaient été envoyés de France par les sœurs de Fété. Clément était professeur à l’université et occupait également le poste de président du conseil d‘administration de l’Hôtel Intercontinental. Quant à Fété, c’état une femme d’affaires qui avait aussi mis sur pied une librairie de livres spirituels et possédait une galerie d’art africain. Tous deux publiaient également un bulletin d’informations, Le Bosquet (élément reconnu par l’initié comme le symbole d’une source de sagesse). Donc non seulement notre connexion se fit-elle par le canal des enseignements publiés par Ariane, mais mes deux amis sont devenus d’importants conseillers dans le cadre du projet de Convergence. Depuis ce temps, nous travaillons en étroite  collaboration.

L’objectif principal de Convergence est d’aider les sociétés occidentales à saisir toute la sagesse des nombreuses valeurs des peuples autochtones (ou des cultures traditionnelles), et à réaliser l’importance de les prendre en compte dans nos choix de société autant que dans notre cheminement individuel. A notre avis, l’Occident montre des lacunes dans la gestion des affaires du monde, et nous croyons qu’il bénéficierait grandement d’une étude des manières d’être de ces peuples ; si nous avons à cœur d’engendrer un avenir viable, il est temps pour nous de réconcilier le présent et le passé. Les « Premières nations » ne se contentent pas de reconnaître et de sentir la présence de la conscience au sien de la nature et sur la Terre mère, elles savent également générer un espace sacré permettant que la vie accomplisse son potentiel. Nous sommes conscients que tout n’est pas parfait dans le monde aborigène, mais il est essentiel que nous collaborions avec lui afin de concevoir un monde meilleur pour nos enfants.

Convergence est en train d‘établir des centres d’études afin de créer des contacts et d’édifier des relations de confiance avec les Anciens de ces communautés autochtones, et ainsi les amener à jouer des rôles de premier plan dans nos choix sociétaux.

Pour diverses raisons, les circonstances ont voulu que nous ouvrions notre premier centre à Abidjan. Les idées de Convergence y ont été bien accueilles ; en fait, elles ont été semées en terrain très fertile. Nous sommes actuellement en train d ‘ébaucher un projet de conférence pour cet automne 2002, et nous visiterons des villages afin d ‘y glaner une expérience de terrain plus profonde. De plus, nous possédons une véritable base pour notre projet, sous la forme d’une maison rénovée ; nous disposons en outre de 2000 livres offerts par des maisons d’édition de France et du Québec, et d’un petit café Internet. Nous sommes prêts pour réaliser l’important travail qui nous attend.

Clément et Fété nous ont guidés tout au long du processus. Nous nous sommes même rendus en Côte d’Ivoire ensemble en mai 2001.

Cette rencontre d’âmes n’aurait pas été possible si Fété et Clément étaient restés à Kinshasa. Les raisons qui les ont poussés à s’établir à Montréal sont exposées dans le récit qui suit. Il s’agit d’une histoire très touchante. Clément, un Tusi, s’est retrouvé au beau milieu d’un conflit ethnique. La confiance et l’espoir leur ont permis à tous deux de surmonter les moments atroces qu’ils ont dû vivre au Congo, et les enseignements de Kryeon jouèrent un rôle important dans cette situation pénible. Cet homme et cette femme font maintenant partie du conseil consultatif de Convergence, et ils apprécient leur vie au Québec. Fété dit même aimer se promener dehors par une de ces belles journées d’hiver où Montréal se recouvre d’un léger manteau de neige. Une de ses phrases favorites est la suivante : « Là où tu es semé, il te faut fleurir ».

Qu’en est-il aujourd’hui : http://editions-ariane.com/2012/08/2012-25_ans_depuis_convergence_harmonique/

Lors de son premier séjour en Afrique en novembre 1999, Marc Vallée a fait la connaissance d’une jolie Ivoirienne, Siame qu’il a épousée un an plus tard. La vision de Convergence est très chère à son cœur.

Par Marc Vallée – Extrait : du chapitre XV du livre UN NOUVEAU DEPART sur le blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/category/7-un-nouveau-depart/

DES TEMOIGNAGES DE Marc ICI : http://kryon.com/k_42.html

Publié dans:AMOUR, CO-CREATION |on 20 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Qu’est-ce que la Médiumnité guérissante

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Le sujet de la médiumnité guérissante, a été traité par une personne, en fonction de ses lectures, de ses ressentis et de sa compréhension, elle n’a donc pour valeur que ce que chacun voudra lui attribuer et ne peut refléter LA vérité, mais seulement UNE vérité. 

Il appartient à chacun de se déterminer par rapport cette lecture et de n’y voir que le fruit d’un travail mais en aucune manière un cours ou le dévoilement de ce qui est. Chacun aura son ressenti personnel et pourra être en accord ou en désaccord avec tout ou partie de cette production. 

Message de l’esprit : « La vérité est le fruit de l’imagination de chacun. Chacun imagine en fonction de ses peurs, de ses croyances, de ses capacités de compréhension, de ses espoirs de ses envies, mais la vérité des hommes n’est pas une, elle est aussi multiple que le nombre d’âmes que Dieu a créé. Seul Dieu détient la vérité, la seule, la vraie l’unique. La vérité de Dieu est UNE, mais seules les âmes averties peuvent en entrevoir une partie, car Dieu ne se dévoile pas, Dieu laisse les hommes venir à lui, le ressentir. Chacun avance à son rythme sur le chemin de sa vérité. Dieu ne laisse personne au bord de la route, et tous verront la vérité un jour, mais pour cela il faudra des efforts et du courage, beaucoup de vies, beaucoup d’expériences, mais au bout du chemin, la lumière. La lumière de la vérité de Dieu, la lumière des âmes enfin réconciliées à jamais, la lumière de l’Amour et de la communion tout en UN. » 

La médiumnité est la faculté de pouvoir entrer en communication avec les esprits, c’est un acte sacré de foi et d’amour. 

La médiumnité guérissante, réside en la faculté de guérir, grâce à la prière, la foi et l’amour.

C’est le moyen qu’utilisent les esprits guérisseurs pour projeter sur les incarnés leur fluide céleste, qui, combiné au fluide terrestre du médium peut ainsi agir sur la matière. 

Mais afin de mieux aborder ce thème, il nous faut tout d’abord avoir une approche de ce qu’est la médiumnité, puis le magnétisme curatif (fluide terrestre), puisque la guérison spirituelle trouve son fondement dans le magnétisme. C’est seulement à l’issue de cette approche que nous pourrons aborder « la médiumnité guérissante », alliant fluides terrestres et fluides célestes. 

LIRE LE DOSSIER en entier http://www.alliancespirite.org/dossiers/la-mediumnite-guerissante-1.html 

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:GUERISON, MEDIUM |on 19 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Les entités « collées » se nourrissent de nos « démons »

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J’ai rédigé ce texte pour tous, en réponse à la question de Marie, reçue aujourd’hui… Aurélie Pech d’Arcadie.

Bonjour Aurélie, Je vous ai découvert sur les vibra conférences (),

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en fouillant toutes les vidéos d’un peu tout le monde je n’ai rien trouvé sur le thème de la protection énergétique et du dégagement d’entités, je cherche donc des infos la dessus, car beaucoup de personnes y sont confrontées. Pour ma part je canalise, je suis medium (en pleine évolution) j’ai dû me nettoyer de façon intensive avec une praticienne car j’avais beaucoup d’entités collées à mon aura, du coup je me pose des questions pour tous les gens qui sont en train de commencer à travailler leur médiumnité, et qui malheureusement faute de protection se ramassent des trucs pas sympas, voire dangereux; Je me tourne vers vous car je ne trouve rien sur ce sujet et je me dis que c’est la base du travail spirituel. Dans l’attente d’une réponse. Cordialement. Marie

Bonjour Marie. Merci infiniment pour cette question très pertinente, que je me suis moi-même posée longtemps lors de mes premiers pas vers l’éveil de la conscience. Et bonjour à tous qui lisez ces lignes, tout d’abord je souhaite préciser que toute personne en cheminement spirituel développe naturellement sa médiumnité… Il est important de considérer cela comme un attribut, un sens comme un autre.

Sur le chemin de l’éveil spirituel nous sommes donc constamment confrontés à ce type de phénomène puisque le « canal » s’ouvre de plus en plus et que nous percevons mieux les autres plans et toute la vie qui s’y trouve…

Gardez en tête ceci, nous attirons à nous tout ce que nous avons besoin de comprendre. La loi d’attraction fait que les rencontres que nous faisons, qu’elles soient physiques où éthériques sont attirées à nous par tout ce qui se trouve dans notre champ énergétique.

Imaginez une personne ayant transcendé sa dualité telle qu’on « imagine » les Maîtres Jeshua ou Bouddha, vous pensez bien qu’ils sont passés par là eux aussi. Les entités ne les ont pas pour autant empêchés d’aller vers leur Soi…

Loin de penser que les entités sont agréables lorsqu’elles sont accrochées à l’aura, je souhaite simplement expliquer qu’elles ne seront plus là si vous identifiez la cause de ce qui les a attirées. Autrement dit la blessure non réglée qui est à l’origine de la fuite d’énergie dont l’entité se nourrit.

Quand vous êtes « collés » pour reprendre le terme, il est donc important de laisser remonter les sensations, émotions désagréables qui découlent de votre blessure et que l’entité en question est en train de réveiller par sa présence.

Les laisser remonter c’est les accepter, en accepter la responsabilité et envoyer à l’univers l’intention de s’en libérer. Quand on sait qu’On est la cause, on sait où trouver le remède en Soi. Le temps amène à nous les synchronicités qui nous guident jusqu’à notre blessure et celle-ci apparaît alors comme une évidence.

On se souvient de choses et d’autres non réglées en nous et qu’il est bon de re-travailler… En général l’enfant intérieur connait ces blessures, laissez le parler et vous saurez ce que vous devez reconsidérer pour pouvoir avancer.

Dans le monde de la médiumnité la dualité est présente tout autant que dans le monde « matérialiste » et cette façon dualiste de penser vous fait croire qu’il y a des bonnes et mauvaises entités.

Si vous prenez de la hauteur vous comprenez qu’il n’y a pas de bien et de mal, juste des expériences à but évolutif. Le bien et le mal ne sont qu’une vision créé par des êtres victimes de leurs propres peurs et de leur incapacité à les surmonter seuls.

Chacun de vous vit exactement ce qu’il a besoin de comprendre et chacun a le remède en lui-même de ses propres souffrances. Regardez en vous ce que le mental et ses fonctionnements de protection vous empêche de voir…

Vous pouvez continuer de vous faire aider pour « décoller » les entités si cela devient trop désagréable. Mais il vous faudra néanmoins travailler sur vous un jour où l’autre pour monter en conscience. Car si vous ne trouvez pas la cause de ce qui a provoqué leur présence, d’autres entités reviendront appuyer sur vos failles. En quelque sorte elles vous rendent service.

Ce n’est pas facile au départ mais la persévérance, la volonté, le courage et la foi vous permettront de dépasser les peurs qui freinent votre avancement vers une telle compréhension.

Je vous conseille la conférence de Beltane sur « L’âme ou l’égo qui parle? »

 

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elle est tout à fait appropriée pour changer la façon de voir les choses et passer d’une vision de victime à celle d’un individu libre.

Je vous recommande également la méditation quotidienne. Sur le chemin de l’éveil spirituel elle représente la clé de la porte qui ouvre sur le véritable Soi. On ne peut pas monter en conscience sans pratiquer la méditation régulière. C’est une hygiène de vie qui s’impose à toute personne éveillée comme la meilleure des protections énergétiques.

Que la Lumière en vous éclaire vos pas…

Aurélie Pech d’Arcadie.

 (merci infiniment de transmettre le texte à condition de ne pas le couper, ne pas modifier le contenu et de mentionner la source: www.lecheminversarcadia.com)

Publié dans:ESPRITS, VIDEOS à voir |on 19 mars, 2016 |Pas de commentaires »

A quand remontent les Crops Circles

 

Dans un historique des plus relatif, des faits remonteraient au 16 ème siècle en Hollande, puis au 17 ème en Angleterre, mais ces deux histoires s’apparentent à des querelles de fermiers qui tournent en histoire de sorcellerie, où c’est le diable qui fauche les blés. Mais jamais aucun « dessin » ni forme n’ont été rapportés dans ces faits divers. Le seul auquel on pourrait accorder quelques crédits, est un fait divers relaté dans un numéro du magasine « nature » en 1880 :

Dans le courrier des lecteurs, un spectroscopiste (littéralement « chercheur de spectre ») décrit des aplatissements circulaires dans un champs de blés au Surrey (Angleterre). Mais là encore, il est difficile de se faire une opinion sérieuse (d’autant plus que cela eu lieu à la suite d’une période de tempêtes qui s’était abattu dans la région). Plus près de nous continuent les explications peu probables concernant la formation de Crops Circles.

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En 1934, un anglais, Kathleen Skin, relate dans le « Sunday Express » son expérience surnaturelle : « J’allais au travers d’un champ de blé attendant d’être récolté lorsque j’entendis un craquement comme celui du feu, et vit un tourbillon au centre du champ, faisant tournoyer les tiges, les graines, et la poussière en l’air sur 100 pieds.

Je trouvais un cercle parfait de blé aplati, les tiges entrelacées et leurs sommets reposant l’un sur l’autre (certains même tressés) sur la périphérie. Le cercle était chaud au toucher. On ne voyait rien dans le ciel, pas de vent, et aucun son. Peut-être que par un jour sans vent le blé forme une force électrique dans l’atmosphère rencontrant une telle pression que le blé est pressé fort sur le sol dans un mouvement circulaire. Une sorte de tornade miniature. » Là encore, nous verrons par la suite que cette démonstration n’est pas liée à la formation « habituelle » des crops circles.

 Sûrement que ce monsieur eut son imagination motivée par quelques boissons alcoolisées pour voir cette tornade sans vent… Les recherches menées dans des archives en Angleterre ont permis de retrouver une douzaine de rapports qui datent des années 40 faisant mention de la découverte dans la campagne de petites zones circulaires aplaties dans les récoltes de céréales. Là encore, brève explication qui ne permet pas de juger la réalité de ces cercles en Crops Circles.

Ce n’est qu’à la fin des années soixante-dix que commencent réellement les choses sérieuses. De petits cercles, d’une circonférence parfaite sont trouvés dans des champs de blé dans le Sud de l’Angleterre.

L’intérêt suscité par ces découvertes occasionnelles est nul, à part pour le fermier qui voit là l’œuvre de quelques plaisantins qui lui pourrissent ses récoltes ! Dans les années 80, tout s’enchaîne : ces simples ronds deviennent plus complexes, comme nous le verrons par la suite. En 1988, une centaine de formations ont déjà été recensée, toujours dans le Sud de l’Angleterre. En 1990, les dessins prennent forme de pictogrammes, et prônent un réel but artistique pour certains ou figuratif pour d’autres. Dans tous les cas, désuets sont désormais ces simples ronds du début.

Aucun document fiable ne montre comment apparaît un crop circle. Les certitudes, c’est qu’ils apparaissent de nuit (très peu de témoignage de personnes qui en vont de jours). Alors il ne reste plus qu’à se pencher sur les théories

Une fois le Crop Circles formé, bon nombre de personnes, dont les journalistes, vont à l’intérieur voire de quoi il en retourne. Ceci est la liste des différents faits troublants que toutes ces personnes ont pu constater. Là encore, certains faits, et vous devinerez aisément lesquels, sont très subjectifs, et propre à la personne. Ils ne peuvent être traduits comme des généralités.

- les animaux semblent effrayés et refusent d’aller à l’intérieur d’un crop circle ;

- les oiseaux semblent éviter de les survoler ;

- les boussoles s’y dérèglent ;

- les radiesthésistes y détectent un fort taux vibratoire ;

- les appareils électriques sophistiqués souffrent de pannes inexplicables ;

- des personnes entendent des musiques ou des sons étranges ;

- des personnes ont des malaises ou à l’inverse deviennent euphoriques.

 

Les Crop Circles n’auraient sûrement pas pris une telle importance aux yeux du monde entier s’ils s’étaient limités à de simples ronds qui parsèment les champs de notre chère mère la Terre. Non, ils sont devenus d’impressionnants dessins, dont je vais vous donner, de manière chronologique, quelques exemples de qualité. Nous verrons par la suite si c’est dessins peuvent avoir ou non une interprétation.

Ce dossier a été diffusé sur le site http://www.alliancespirite.org.

Publié dans:CROP CIRCLES |on 17 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Batailles contre les esprits hostiles

 

Un chamane népalais rencontra un Occidental qui lui fit remarquer combien il était bon de vivre en harmonie avec le cosmos. « Pour l’essentiel, répondit le chaman, mon travail consiste à tuer des sorciers et des sorcières. Avant que rituel important, je suis terrorisé parce que je sais que l’un de nous mourra ».

Pour soigner la victime d’un sorcier il faut se battre contre l’agresseur autant que sauver le patient. En plus des fléchettes et autres objets nuisibles, les sorciers peuvent envoyer leurs esprits familiers à l’attaque de la victime, à moins qu’ils ne leur commandent de dévorer son âme.

CHAMANE

Le danger ne vient pas seulement des ennemis doués de conscience mais aussi du fait que l’âme du chamane doit se déplacer sans la protection d e son corps. Ce danger est symbolisé par les esprits destructeurs rencontrés en chemin et même par la vigueur des lieux, surtout lors des voyages souterrains. Comme le montre le voyage en canoë des Wana, ces dangers n’atteignent pas tous la même intensité, ce qui permet à l’anthropologue de parler de « lent navire pour le ciel ». En Sibérie et en Asie centrale, le sentiment de danger est par contraste très aigu. Selon une tradition nenets, il est dangereux de voler près du soleil et de la lune, car ils vous attirent sans que vous ne puissiez plus leur échapper. Pour se rendre dans le monde inférieur, qu’on associe généralement au pays des morts, il faut souvent s’introduire dans de minuscules anfractuosités. Le chamane de l’Altaï traversait des steppes désolées en direction d’une sombre montagne de fer qui étayait le ciel. Aux abords de la montagne s’entassaient les ossements des chamanes qui avaient échoué et de leurs chevaux. Le ciel ne cessait de battre contre la cime, et ce n’est qu’au bref instant où il se détachait de la montagne que le chamane pouvait s’y glisser d’un bond précis. Alors, le chamane s’enfonçait « entre les mâchoires de la terre » jusqu’à une mer souterraine qu’enjambait un pont fin comme un cheveu. Chancelant sur ce cheveu, le chamane voyait les os de ses malchanceux prédécesseurs luire pâlement au fond de  mornes abîmes. On retrouve ce genre d’obstacles dans d’autres régions du monde. Le chaman xarao du Vénézuela doit dépasser la montagne des ossements blanchis de ses prédécesseurs avant d’entrer dans le trou d’un gros arbre, dont les portes s’ouvrent et se referment à la vitesse de l’éclair.

Le manque d’âme et l’impersonnalité des dangers qui menacent le chamane altaïque donnent le frisson, mais c’est une autre peur qui naît d’un paysage dont l’agressivité résulte d’un trop d’âme. Le novice warao doit traverser, au bout d’une liane, un ravin débordant de « jaguars affamés, d’alligators mordeurs et de requins frénétiques », courir sur un sentier glissant entre des démons armés de lances et frôler un faucon géant dévoreur de chamanes. Diverses traditions parlent de monstres, de cannibales, de démons, de bêtes sauvages, de ravins impossibles et de beaucoup d’autres épreuves dont le chamane doit triompher. Le chamane népalais appartient à l’un des nombreuses traditions où le chamane dont l’âme a perdu une bataille contre un puissant ennemi, n’a plus qu’à trépasser.

Dotés de conscience et d’intelligence à l’image de l’homme, les esprits peuvent forcer le chamane à se battre physiquement ou à jouer au plus fin. Ce concept de bataille vient de la guerre ou de la chasse propres aux vivants, et l’imagerie en sera des plus sanglantes, à moins que l’âme ne soit prise au piège.

Les assistants mâles de la chamane saora chantent lors des funérailles comment ils lèvent une armée pour aller à la rescousse du défunt déplacé dans le cosmos : « Prenons nos haches, empoignons-les. Brandissons nos épées, nos couteaux » S’il s’agit de jouer au pus fin, le chamane devra être à la hauteur de ruses de l’ennemi. Dans un épisode très chamanique de la mythologie grecque, Œdipe cherche à sauver Thèbes de la peste et se retrouve devant le Sphinx, lequel pose des devinettes aux voyageurs et les étrangle lorsqu’ils restent sans réponse. Œdipe répond correctement, le Sphinx se tue lui-même et la peste est levée. Un certain chamane dolgan de Sibérie, ne parvenant pas à localiser l’esprit qui rendait malade son patient, invita un chanteur d’épopée à la séance de guérison. Quand le chanteur en fut au moment de l’histoire où le héros se bat contre un mauvais esprit et commence à l’emporter, l’esprit qui importunait le patient ne pouvait plus le supporter jaillit du corps de sa victime pour porter secours à son collègue. C’est alors que le chamane l’attaqua et le défit.

Le chamane peut encore être soumis à la tentation. Affamé, l’initié warao refusera les rôtis d’ours, de tapir et d’alligator ; il évitera les flatteries sexuelles de séduisantes femmes esprits. En d’autres termes, le chamane doit trouver quelle valeur morale attribuer aux expériences et aux actions. Le cerf du rêve de pouvoir d’Henry, le chamane xasho, se tenait à l’ouest mais regardait vers l’est. Pour les Washo, les âmes mauvaises demeurent à l’est, et Henry comprit qu’il devait éviter de cultiver la magie noire, laquelle fait habituellement partie des activités chamaniques.

A l’instar des esprits auxiliaires, on peut voir dans les esprits hostiles une composante de la psyché du chamane. La forêt, le désert ou le monde inférieur sont des lieux qui dépassent la civilisation humaine et correspondent peut être à l’inconscient des psychanalystes. La distinction entre les bons et les mauvais esprits n’est pas aussi nette que dans les religions dualistes, tel le christianisme. Les esprits peuvent aider ou détruire comme les forces de la nature. Le devoir du chamane consiste à les enrôler en les persuadant, mais s’ils persistent à œuvrer contre lui, à les contrecarrer. Le combat des esprits bénins et hostiles reflète non seulement l’ambivalence du monde mais aussi celle du chamane et de l’homme en général.

Livre à lire : LES CHAMANES de Piers Vitebsky

sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMERINDIENS, ESPRITS |on 17 mars, 2016 |Pas de commentaires »

LE FILTRE ARC EN CIEL

 

Recette de vie pour l’expansion de conscience

D’après mes informations, le 8 mas 2002, un astéroïde de la taille de la ville d’Orlando s’est approché de la Terre un peu plus que les experts ne l’auraient souhaité. Ce jour-là, je me trouvais parmi des personnes qui avaient les nerfs à vif. Le passage de cet astéroïde m’a rappelé à quel point les gens se laissent affecter per des situations inhabituelles sur le plan énergétique. A la fin de cette journée, j’étais assise en compagnie de mon amie Karen Wolfer, qui a vécu cette expérience avec moi. Je lui ai demandé de prendre des notes pendant que je m’apprêtais à recevoir une transmission sur nos nouveaux champs d’énergie expansés et leur interaction avec la réalité ordinaire à quatre dimensions…

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Nous avons admis le fait qu’un humain expansé qui se trouve dans une situation normale ressemble vraiment à l’astéroïde en question, affectant les autres sur son passage.

Au cours de cette journée intéressante du 8 mars, j’ai vu à l’œuvre mes guides et mes anges en train d‘observer mes réactions en réponse à l’énergie des personnes alentour ; Plus tard, on me rappela que nous improvisions au fur et à mesure, ou dans le maintenant, que nous n’avions jamais auparavant véhiculé autant d’énergie spirituelle et que nous étions à présent en train d‘apprendre les moyens d’être le plus à l’aise possible dans cette nouvelle situation. Le seul message transmis par mes guides pendant cette expérience fut : « Restez centrés et calmes avec quiconque et en toutes choses ; Formulez l’intention que la vérité l’emporte ».

Plus tard, au début d’une séance complète de channeling, on m’a précisé que ce que nous avions appris ce jour-là était de « demeurer tranquilles et d’envelopper doucement notre champ aurique en expansion constante d’un filtre couleur arc en ciel iridescent ». Ce filtre permet à ceux qui nous regardent de percevoir notre énergie en étant à l’aise, et non de la façon dont la plupart d’entre nous sont perçus habituellement. Ce « filtre arc en ciel » confère à ceux qui nous entourent la possibilité d’attirer vers eux les couleurs qui amélioreront leur situation ; ils peuvent alors se détendre, puisque nous ne sommes plus menaçants pour eux.

Nous prenons peu à peu conscience du fait que les vibrations émises par nous, en tant que travailleurs de la Lumière entraînent, partout où nous passons, des effets quadridimensionnels ; Nous sommes perçus comme différents et, sans ce filtre, ces différences pourraient fort bien être n’importe quoi. Nous pourrions même parfois être vus comme dangereux, selon l’état d’esprit de l’observateur.

Depuis le 11 septembre, beaucoup de gens occupent des postes de sécurité et d’intendance, à titre de gardiens des lieux et des événements. Cela a engendré une énergie de vigilance supplémentaire, et les antennes sont en éveil, à la recherche des personnes qui pourraient bien se détacher du lot ou se faire remarquer, et qui sont différentes. Devinez qui correspond à ces paramètres. NOUS !

Certains demandent : Est-ce Vrai ? Pouvons-nous réellement influencer les choses physiques autour de nous ? Laissez-moi vous raconter ce dont nous avons fait l’expérience et ce que d’autres vivent en ce moment, car le seul plan de la réalité physique ; beaucoup nous ont révélé que leur nouveau champ énergétique déclenchait des alarmes de voitures, mettait des batteries à plat et, en ce qui nous concerne, nous avons, en une seule année, provoqué trois évacuations d’incendie dans des hôtels pendant les nuitées du groupe de Kryeon. Si des choses physiques peuvent être déréglées ainsi, imaginez comment la conscience peut l’être au sein des corps émotionnel et éthérique de ceux qui nous entourent.

Le filtre arc en ciel ressemble en fait à un filet à mailles très fines ou à un voile. Il vous permet d’irradier toute votre lumière en laissant néanmoins aux autres le soin de percevoir seulement les couleurs ou la quantité de lumière avec lesquelles ils sont à l’aise. Vous voulez savoir comment activer ce filtre ?

Avant de vous présenter dans tout endroit très structuré (aéroport, lieu d’affaires etc…) demandez d’abord s’il est approprier d’activer le filtre. Si vous recevez une réponse affirmative, formulez votre intention et visualisez un beau voile en filet de couleur arc en ciel vous enveloppant. Il ne s’agit pas d’une énergie de protection ni d’un bouclier de défense, amis d’un processus créateur actif qui facilitera l’interaction entre vous et les autres.

Vous souvenez-vous de ce que Kryeon a expliqué au sujet de l’énergie nouvelle ? Sur le plan métaphorique, nous passons actuellement du système immunitaire au système du thymus, du mode combattre et anéantir au mode tolérer et unifier. Par conséquent, le filtre arc en ciel s’intègre très bien à l’énergie nouvelle, vous assurant de vivre à l’aise dans un état d’expansion de conscience ; Au cours de ce nouveau processus, vous aidez également les autres à se sentir plus paisible sen votre présence et certainement plus en paix en général.

Ce processus vous aidera à filtrer votre champ énergétique afin de ne plus perturber les êtres ou les instruments électroniques ; De plus, ne l’oubliez pas, il est possible que vous soyez quelque peu invisibles à certains êtres humains. Formulez donc l’intention d’être visibles lorsque c’est nécessaire. Etre invisibles signifie en fait qu’on vous voit vraiment, mais sans vous remarquer, c’est à dire que vous êtes neutres sur l’écran radar d’une personne. Etre visibles veut dire par contre que vous voulez être remarqués pour ce que vous êtes.

L’urgence ressentie par rapport à ce channeling était semblait à celle éprouvée devant le Fantôme de la mort, à savoir qu’il était très important de publier ces informations et de les partager avec les lecteurs. Depuis la réception de ce message, j’en suis encore à étudier comment les autres emploient le filtre arc en ciel et quels effets ils observent. D’après leurs récits, il semble avoir grandement amélioré leurs interactions avec les autres adultes, les enfants, les animaux, et dans les situations présentant des défis. I semble aussi favoriser une meilleure attitude mentale et une sensation de bien-être.

Nous devons cheminer pas à pas, entourés de cette énergie nouvelle. Tous ensembles, nous apprenons au fur et à mesure les meilleurs moyens de générer les solutions gagnantes profitant à chacun. Le potentiel d’engendrer plus de paix dans notre vie et celle des membres de notre entourage existe actuellement. Puisse la paix régner sur notre magnifique planète.

Namasté.

par Jan TOBER – Extrait : du chapitre XV du livre UN NOUVEAU DEPART sur le blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/category/7-un-nouveau-depart/

LES ESPRITS ET LES AMES

 

luneL’être humain ne cesse d’examiner et de modifier son environnement. Simultanément, l’univers physique agit sur lui, et l’homme se retrouve uni au monde dans un circuit d’activités et de sensations. Ni l’homme ni son environnement n’ont de sens ou d’identité l’un sans l’autre.

Cette image d’interdépendance pourrait définir une position écologique d’avant-garde, mais elle fait partie intégrante de la vision chamaniste du monde où tout – non seulement les animaux, mais les plantes et les rochers, le vent et la pluie – est imprégné d’esprit. La compréhension de la nature de l’esprit est, dans tout système de croyances, une question théologique et psychologique profonde.

Dans la pensée chamanique, l’ »esprit » désigne plutôt l’ »essence » ; c’est ce qui fait qu’un animal est un animal et un objet un objet. L’esprit désigne en outre la conscience ; les êtres animés, de même que les arbres, les rochers et les outils ont une conscience semblable à la nôtre. Existant par eux-mêmes, les esprits peuvent délibérément s’en prendre aux hommes et provoquer certains événements de leur vie. Ils peuvent aussi s’éprendre d’un être et le nourrir avec compassion. Ils ont des besoins et des émotions, comme la faim, la jalousie ou l’orgueil, et ils peuvent nous attaquer, nous dévorer ou nous rendre fous.

Ce type de sensibilité religieuse, qui est l’effet d’une expérience plusieurs fois millénaire, permet d’agir sur le monde. Le chamanisme est une religion pratique et pragmatique qui ne saurait se limiter au mysticisme. L’unité qui s’en dégage ne va pas à l’encontre de l’identité particulière de chaque phénomène. Les catégories ne manquent pas dans l’univers intégré du chaman. Nombre d’esprits ont leur forme, leur nom et leurs qualités. On distingue l’esprit du soleil de celui de la lune ; ils peuvent être frère et sœur, ou encore mari et femme ; on soulignera leur ressemblance avec les êtres humains à l’aide de mythes sur leur genèse et leur influence.

Les esprits ours sont gros et sauvages et les esprits souris, timides, quoique habiles) se glisser dans les passages les plus étroits ; l’esprit du couteau coupe et celui du chaudron contient. De la même manière que chacun est unique tout en partageant quelque chose avec tous, chaque torrent, chaque montagne aura un nom, des particularités, et l’influencera les hommes. Les esprits peuvent épouser des êtres humains ou leur transmettre certaines de leurs capacités. Et ces mêmes capacités sont susceptibles de nous écraser.

Ces alternatives reflètent les qualités ambiguës d’un environnement où les animaux, le paysage et le temps peuvent aussi bien nous nourrir que nous détruire, selon leur humeur.

La conscience des esprits peut occuper la conscience humaine. On croit généralement que l’âme de l’homme vivant se transforme à sa mort en esprit ; les défunts deviennent soit des esprits ancestraux, soit les composants d’un esprit élémentaire plus vaste. L’âme est également une image du corps. Les Saora d’Inde pensent que l’âme se trouve dans le sang et a la forme exacte du corps où le sang circule. Ils disent qu’elle ressemble à une photographie et leurs anciens, comme nombre de gens sur cette terre, croient que l’on s’affaiblit en se laissant photographier.

L’âme peut quitter le corps ; ici commence la logique du chamane. Chacun l’éprouve au moment d e la mort, mais le rêve montre clairement que l’âme peut aller et venir sans que cela ne provoque la mort ; souvent les sociétés chamanistes considèrent le vol de l’âme lors de la transe comme une espèce de rêve contrôlé pendant lequel les chamanes transforment une expérience involontaire universelle en technique pure.

De nombreux peuples croient que les hommes ont plusieurs âmes. Les âmes du chamane peuvent se rendre dans d’autres mondes et les âmes du profane être capturées par des esprits ou des chamanes ennemis sans que mort s’ensuive. L’âme qui s’échappe est la conscience, ou la personnalité, et celle qui reste maintient le métabolisme. Si l’âme partie ne revient pas, l’âme restée en place ne saurait longtemps survivre. Dans certaines régions d’Asie du Sud-Est, on pense qu’il est dangereux de réveiller trop brusquement les gens, au cas où leur âme de rêve n’aurait pas le temps de revenir en toute sécurité.

Dans certaines sociétés, la représentation de la psyché est plus complexe encore. Les peuples esquimaux croient généralement qu’il y a une troisième âme, le nom lui-même, transmis d’un détenteur vivant de ce nom à un autre, mais les Yuchi et les Sioux d’Amérique du Nord possèdent, quant à eux, quatre âmes. Autres variantes possibles ; pour les Jivaros d’Amazonie, l’âme promeneuse se double de l’esprit gardien individuel ; chez les Yagua, peuplade voisine, l’homme a deux âmes tant qu’il est vivant et trois de plus qui ne fonctionnent (et sont dangereuses) qu’après la mort ; l’existence d’esprits auxiliaires indique la culture chamanique se fait une idée de la personnalité bien plus dégagée du corps que dans nos sociétés industrielles.

L’activité chamanique se fonde sur des représentations de l’espace et, bien que le mode quotidien soit saturé d’esprits, il existe d’autres sphères où le chamane doit se rendre. Si l’on admet que les esprits existent et qu’ils existent dans un monde différent du nôtre, d’où ils peuvent affecter notre santé et nos réserves alimentaires, il s’en suivra que lorsque ces réalités sont perturbées, il est nécessaire qu’un voyageur se rende auprès des esprits pour les convaincre d’agir autrement.

On prendra l’ »espace » pour une métaphore de l’altérité du monde des esprits. Si l’n considère les esprits comme l’essence des choses qui nous entourent, leur domaine n’en est pas pour autant effacé. Il occupe plutôt le même espace que nous mais n’est accessible qu’à certains d’entre nous. Pour y parvenir, il faut un grand talent et d’immenses efforts ; l’espace exprime la différence et la séparation, mais le voyage du chamane est la possibilité même de retrouver l’unité.

L’abîme spatial représente en premier lieu une différence d’être les esprits des morts des forces de la nature, n’existent pas, ici mais ailleurs. Cet abîme est encore le reflet de l’infériorité morale des hommes menant une existence dégradée à l’écart du divin. Sous cet éclairage, le voyage chamanique ressemble  la quête qu’on trouve dans d’autres systèmes religieux au moralisme plus explicite, telle la quête du Saint Graal. On pourrait même y voir un désir de retour à un état de grâce primordial. Le chamane est un technicien du passage de cet abîme autrement infranchissable, et seuls les chamanes ont assez de technique et de courage pour ce faire.

Il n’est pas toujours besoin d placer le monde séparé des esprits à d’autres niveaux cosmologiques. Il se trouve parfois sur cette terre. Dans certaines régions tribales de l’Inde, on traverse le pays des morts dans le bus qui va en ville. Mais même sur terre, l’altérité de ce monde est soulignée par son inaccessibilité physique ou par les tabous qui entourent le site, lequel peut être un rocher impressionnant ou une grotte dans la montagne.

La technique de base du vol chamanique est un état de transe contrôlée. On peut donc tenir la géographie chamanique pour une topographie des états mentaux. Il y a aujourd’hui des psychologues et des néo-chamanistes qui tentent de produire des « cartes » des états mentaux dans différents sens, littéraux ou symboliques. Ce faisant, ils paraissent suivre de très près la correspondance que les chamanes traditionnels eux-mêmes établissent entre leur état d’esprit et le lieu où ils se trouvent sur une carte de l’espace cosmique.

 Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME, AMERINDIENS, ESPRITS |on 15 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Pour l’Amour d’un enfant

Les enfants aiment naturellement leurs parents,
c’est aux parents d’apprendre à aimer leurs enfants.

Dans ma vision, l’enfant n’a pas besoin d’apprendre à aimer, il le possède naturellement. L’enfant a nécessairement besoin de l’amour des autres, et surtout que lui soit laissé la liberté d’aimer, de recevoir, ce qui est rarement le cas. Que les parents ne soient pas amour, ce n’est pas un réel problème, l’enfant reçoit les adultes tels qu’ils sont, mais il ne faut pas l’empêcher d’aimer en le conditionnant à ne pas recevoir.

amour d'un enfant

Les 2 grandes blessures chez un enfant se situent à deux niveaux :
– au niveau féminin avec le coeur = l’amour, la réceptivité, l’accueil.
– au niveau masculin avec le sexe = la force, la puissance, , la détermination, oser faire…

Les besoins de l’enfant sont d’être écouté, d’être reconnu pour ce qu’il est et non pour ce que ses parents attendent de lui ou ce qu’ils voudraient qu’il soit.

Aimer c’est recevoir. Si on empêche un enfant de recevoir, il ne peut aimer et il ne peut pas manifester son amour, sa joie, sa liberté.
L’amour des parents c’est de le recevoir. Il a besoin de découvrir la vie, l’existence, l’environnement, etc… avec conscience.

Tout ce qui est nécessaire pour lui, vital, ce sont principalement ses sens : manger, marcher, regarder, le manuel. Tout ce que ses mains peuvent toucher. Jouir de la vie, comprendre le soleil, danser, courir, méditer, écouter le silence, les animaux, les végétaux, les minéraux.

Les enfants blessés

Un enfant violent est un enfant qui souffre. C’est la souffrance qui crée la violence. Il mord pour faire mal parce qu’il a mal.

Un enfant qui mord et un enfant qui se sent reconnu en mordant, « il a la rage ».
Lorsqu’un adulte a mal, souffre, il serre les dents. Les mâchoires sont crispées, fermées. Souvent dans les groupes, je dis « lâcher les mâchoires » pour laisser l’expression agir, tout le corps est alors relaxé.
Il faut faire comprendre à l’enfant ce qu’il fait, que de mordre fait mal, alors la meilleure solution est de le mordre, pas pour le punir mais pour qu’il comprenne son geste, les conséquences de la douleur.

Les parents créent des problèmes à l’enfant parce qu’il est le miroir de la vulnérabilité et de l’amour. Ils ne veulent pas voir leurs problèmes et de ce fait, en créent au miroir (l’enfant) ainsi il n’y a plus de différence les enfants ressemblent à leurs parents.

Ils détruisent leurs enfants en ne les reconnaissant pas, en les rabaissant parce qu’ils ne veulent pas le recevoir tel qu’il est pour ne pas contacter la souffrance de leur enfant intérieur.
Par cette projection, ils ne se remettent pas en question et restent dans l’ignorance, l’inconscience de leur souffrance et de leur mal être.

Tous les êtres humains qui ont soufferts dans l’enfance, transmettent ce conditionnement à leurs enfants, s’ils n’en ont pas pris conscience. S’ils ont appris qu’aimer c’est être fermé, avoir du pouvoir sur l’autre, alors ils utiliseront cela.

Aimer c’est recevoir. L’amour n’est que réceptivité, recevoir l’autre tel qu’il est c’est l’amour inconditionnel.

Méditation de la reconnaissance du nouveau né :

Regardez le bébé dans son berceau, sans le perturber, sans le déranger. Vous le regardez simplement, sans le quitter des yeux, accueillez-le dans votre coeur, tel qu’il est, sans conditions, sans jugements, jusqu’à ce que votre coeur s’ouvre et le reçoive totalement.

Ensuite, et seulement si votre coeur est rempli, vous vous sentirez nourri, envahi par un amour inconditionnel, incommensurable, totalement vulnérable et vos yeux pleureront d’amour.

Reconnaissez alors ce bébé comme votre maître, devant lui et faites un Namasté en disant :
« Je reconnais le divin, l’existence qui est en toi, et je le salue » puis « Je reconnais l’être que tu es et je te salue »

Inclinez devant lui en gardant les yeux ouverts, et toujours dans ce même espace intérieur, levez les yeux au ciel, bras tendus et dites :
« J’accepte tout ce que l’existence m’offre, positif ou négatif, je dis OUI à la vie et j’offre toute ma gratitude pour ce cadeau »

Asseyez-vous devant le berceau, les yeux fermés, prenez conscience de ce que vous ressentez et de ce qui se passe en vous. Retrouvez en vous votre enfant intérieur, qui n’a pas eu la chance d’être reconnu de cette façon, avec le coeur, avec amour. Alors, l’adulte d’aujourd’hui pourra reconnaître le bébé d’hier. La partie adulte du bébé qui vit encore en vous, va se sentir reconnue (enfin) par l’adulte.

Cette méditation peut se faire avec toutes les personnes qui sont en état de vulnérabilité, les bébés, les enfants, les personnes âgées ainsi que les personnes malades ou celles qui sont en fin de vie.

par Dhyan Manish pour le magazine Signes et Sens sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMOUR, ENFANTS |on 13 mars, 2016 |Pas de commentaires »
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