Archive pour la catégorie 'VIES ANTERIEURES'

Ressentir la Joie dans l’Ascension

 

Cette année, de 1995, fut la première année depuis la Convergence Harmonique où l’énergie se trouve disponible pour effectuer le passage dans la conscience de cinquième dimension tout en restant dans le corps physique. Il existe beaucoup d’êtres qui sont incarnés parce qu’ils se sont portés volontaires pour tester l’expérience du Corps de Lumière. Ce sont les premiers à effectuer leur Ascension. Pour le reste d’entre vous, le programme du Corps de Lumière va se poursuivre jusqu’à ce que vous soyez prêts et alors, vous basculerez. L’ascension est une chose très simple. C’est un changement qui se produit en un instant, mais vous êtes toujours là. Le soleil va toujours briller et les étoiles scintilleront toujours. La différence, c’est la Joie, votre aptitude à vivre joyeusement et à ressentir la joie.

particule

La façon la plus simple de vérifier si l’ascension s’est produite, c’est d’observer la qualité de la joie dans la vie d’une personne. Au début de l’ascension, la personne commence à vivre sa vie en créant sa réalité à partir de ses fantaisies.

Moi-même, Metatron, définis la JOIE comme le samadi, l’extase ou le ravissement. C’est un état d’unité avec Dieu. On peut aussi le définir comme votre centre ou comme être dans votre centre. Vous pouvez atteindre cet état de clarté en méditation, lorsque l’énergie coule librement et que vous sentez cette unité absolue avec le tout. Tout ce qui vous apporte des sentiments de légèreté, tout ce que vous définissez comme joyeux est une voie menant vers cet état.

Si vous travaillez au sein d’un groupe spirituel, vous ferez l’expérience d’une série de transformations accélérées dans votre processus. Lorsqu’un membre de votre groupe pourra voir l’incarnation du Merkabah, vous l’aurez tous reçue, et vous en deviendrez vous aussi rapidement conscients. Au début, les membres individuels pourront ne pas l’avoir remarqué, mais au moins un des membres du groupe était prêt, alors l’ensemble du groupe en tirera le bénéfice. Un groupe travaillant sur l’ascension possède un énorme avantage, parce que la conscience de la cinquième dimension est une conscience « d’unité » ou, en d’autres termes, le groupe est un. Le travail en groupe génère une énorme synergie d’énergie, où chacun d’entre vous est beaucoup plus puissant que si vous étiez tout seul. Cela donne aussi à chaque membre une chance d’apprendre à se mettre en relation à la fois en tant qu’individus et en tant qu’unité au sein du groupe. Il s’agit là d’un passage typique à la cinquième dimension, que chacun doit vivre.

Lorsque des individus et des groupes travaillent sur l’ascension, ils devraient concentrer leurs efforts pour commencer faire de leurs vies des chefs-d’oeuvre de joie. En le faisant, ils commenceront à vivre de la joie et plus tard, ils deviendront cette joie. Tandis que chacun d’entre vous fait cela, vous allez commencer à transformer tous ceux avec lesquels vous rentrez en contact dans votre vie quotidienne, leur diffusant l’énergie de la joie et les éveillant à cette fréquence. L’ascension de masse se produira lorsque la majorité des êtres humains en ascension sur la planète vivront dans cet état de joie, et pas avant. La raison en est simple : cette expérience planétaire est basée sur le libre arbitre. Dans cet univers dimensionnel, le libre arbitre est une loi divine.

Lorsque la majorité d’entre vous vivra dans la joie, l’expérience planétaire sera passée dans un monde d’amour et d’unité. Lorsque la majorité d’entre-vous aura abandonné le jeu de la polarité parce que vous aurez appris tout ce que vous pouviez, et que par votre propre choix, vous serez passés dans la joie et dans l’unité, l’ascension de masse se produira. D’ici à ce que ce temps arrive – et il arrivera – la progression du Corps de Lumière continuera. L’ascension prendra le temps qu’il faudra, et en fin de compte, l’humanité en tant que groupe collectif décidera du timing de ce grand événement. On ne peut pas altérer le libre arbitre, même pour les valeurs les plus hautes, même pour créer l’ascension.

Ce que je souhaite souligner avec ces informations, c’est que pour chacun d’entre vous, la meilleure manière de servir Dieu, de servir l’humanité de servir la planète et de vous servir vous-même est de faire de vos vies des chefs-d’œuvre de joie. Soyez impitoyables dans l’évaluation de votre vie, et débarrassez-vous de tout ce qui ne vous apporte pas de joie. Abandonnez les vieilles émotions et les vieux problèmes : ils consument de l’énergie que vous pourriez utiliser pour ressentir de la joie. Si vous vous concentrez là-dessus durant tout le processus, si vous vous concentrez sur l’apprentissage de la vie dans la joie et en faites votre voie d’initiation, vous deviendrez l’adepte ou le maître spirituel que vous souhaitez devenir. Vous assisterez tous ceux que vous rencontrerez, par votre simple présence, et vous ancrerez aussi les énergies de la joie pour la planète, l’assistant dans sa naissance à un nouveau niveau de manifestation qui affectera chacun. Cet état extatique d’union avec Dieu fait partie du potentiel disponible pour chacun. Cette voie de la joie rend l’ascension tellement simple, car tout ce qui est requis, c’est que chaque individu s’intéresse à sa vie et en prenne la pleine responsabilité. Vivez votre vie comme un chef-d’oeuvre de JOIE.

Chez francesca
Métatron Canalisé par Laurie Gilmore

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

La vie et l’évolution de l’autre côté du voile

 

Suite à d’innombrables rencontres vécues consciemment en sortie hors du corps (en abrégé SHC), je peux aujourd’hui assurer que ceux que nous appelons  » morts  » sont bien vivants ! Nous vivons d’une vie pleine, consciente et personnelle, quand notre corps physique a disparu. Le mot  » mort  » ne peut donc s’appliquer qu’au seul corps physique.Tout au long de cet article, j’utiliserai le mot  » décédé « , du latin  » decedere  » s’en aller… Oui, ils s’en sont allés dans d’autres mondes, dans d’autres vies.

de l'autre coté

Rencontres avec les décédés en Sortie Hors Corps consciente

Il est très fréquent lors d’une sortie consciente de trouver un décédé familier debout au pied du lit. Il m’est arrivé très souvent de me heurter à ma mère (ou à bien d’autres de mes familiers décédés) en sortant un peu trop vite ! Je me souviens de l’aventure survenue à un de mes élèves lors de sa première sortie : il se trouve face à face avec sa grand-mère qu’il aimait beaucoup, décédée depuis longtemps. De la voir vivante et bien présente en face de lui le surprend si fortement qu’il rentre instantanément dans son corps physique !

J’ai revu tous les décédés proches de moi : mes parents et tous les membres décédés de ma famille, mes deux maris, de très proches amis, mon fils spirituel, ou même des parents morts avant ma naissance. J’ai revu aussi certains de mes élèves après leur départ de ce monde et j’ai fait connaissance de beaucoup d’inconnus, devenus depuis de amis astraux. Enfin, parmi mes plus émouvantes rencontres, comptent mes retrouvailles avec mes chats décédés. Eux aussi vivent d’une vie magnifique. Ils ronronnent et me font la fête !

Pourtant, la rencontre des décédés n’a jamais été un but pour moi, c’est une expérience qui s’est présentée comme bien d’autres dans l’astral et je ne donne jamais comme objectif à mes élèves de rencontrer un décédé. Le but d’une SHC c’est toujours notre Eveil ou la rencontre de qui peut nous aider à nous éveiller, en l’occurrence la rencontre avec nos guides spirituels ou la connexion avec notre âme.

La vie des décédés dans le monde astral

Le monde astral dont je vais dont je vais aujourd’hui vous parler n’est qu’une étape dans la vie du décédé, l’évolution se poursuivra sur d’autres plans, peut être jusqu’à une future réincarnation.

Que se passe-t-il au moment de la mort ?

Je ne suivrai pas ici le schéma décrit par les NDE (expérience de mort imminente), une expérience bien spécifique puisque le  » mort  » revient à la vie. Je me borne à ce qui peut être observé en SHC. Au moment de la mort, la corde d’argent se casse, rendant impossible tout retour dans le corps physique. Le corps astral (contenant tous les autres corps) rejoint le plan qui vibre à la même fréquence que lui. Le corps astral devient à partir de ce moment là le véhicule principal de l’âme (et de la conscience). Notre personnalité ne change pas, puisque notre émotionnel (corps astral) et notre mental (corps mental) ne subissent aucune modification. Nous seulement un voile ( » l’éthérico-physique « ) en moins devant les yeux. Nous avons enlevé un vêtement.

Dans les instants qui suivent la mort (surtout si elle a été violente ou inattendue), le décédé ne sait pas qu’il est mort, ce qui est normal car la différence entre plan terrestre et plan astral est très mince, tous les  » expérienceurs  » (c’est ainsi que j’appelle ceux qui sortent consciemment hors de leur corps) s’en rendent compte, souvent à leurs dépens.
Les décédés anciens viennent accueillir le nouveau venu et éventuellement lui expliquent ce qui lui arrive.

Où pouvons-nous rencontrer les décédés ?

- Dans l’astral de notre chambre, dans notre maison, ils sont de passage ou en visite, 
– Ou bien figés dans le décor de leur mort (mort accidentelle ou violente, fort attachement au lieu ou à une personne vivant dans ce lieu). Dans ce cas là, ils se trouvent dans l’astral éthérique, contrepartie de la matière physique. 
– Dans des plans de l’astral qui leur sont spécialement réservés. Ces plans vibrent à une fréquence moyenne, un peu au-dessus de notre vibration d’incarnés.

Comment se présente le décédé dans l’astral ?

Rien à voir avec une ombre ou un fantôme ! A l’aise dans un corps astral consistant, le voici en face de moi, parfaitement reconnaissable, même s’il est considérablement rajeuni. Le décédé adopte pour apparence le plus bel aspect de lui, donc généralement il se montre jeune et exempt de toute trace de maladie ou cicatrice d’accidents. Je peux toucher le corps du décédé, donc lui serrer la main, le prendre dans mes bras ou l’embrasser. L’un de mes plus proches amis m’a pris la main et l’a posé sur sa poitrine, j’ai senti son cœur battre ! 

Si j’ai intimement connu le décédé, je peux reconnaître son haleine, son parfum, son contact. Et bien sûr sa voix, son vocabulaire, éventuellement ses manies verbales ou gestuelles. Il peut continuer à porter des lunettes alors qu’il n’en a plus besoin : la vision astrale est toujours parfaite. L’explication ? La force de l’habitude ! Au stade de l’astral, notre décédé n’est pas encore détaché de ses réflexes terrestres. 

Plus le décédé évolue, plus il rajeunit et retrouve une beauté parfaite (celle qui la rapproche de son âme). Il se débarrasse de ses habitudes terrestres et abandonne ses marques distinctives. Généralement le décédé est d’excellente humeur et content de son sort. Cependant, n’imaginez pas que le décédé est plus sage ou plus savant que de son vivant terrestre. Il n’est pas transformé, il est toujours lui-même avec la plupart de ses limitations.  Le décédé est heureux de voir un visiteur, venu du plan physique. Rarement surpris, il est prêt à parler avec vous de sa nouvelle vie et de ses occupations, toujours enchanté de vous faire visiter son nouvel espace de vie.

Le voile

Que font les décédés dans le plan astral ?

Dans le plan astral, le décédé construit lui-même, par la puissance créatrice de sa pensée et selon son désir, son cadre de vie. Par exemple, le décédé peut choisir de se récréer une vie parfaite de solitaire dans un cadre qui correspond à son désir profond (mer, montagne, éternel été etc.).  Tout comme il peut se joindre à une collectivité déjà existante : maison de famille, village, communauté, voire une cité… ou devenir lui-même le créateur d’un regroupement. De tels endroits sont créés par le consensus des pensées de tous et sont stables. En termes  » d’ expérienceur  » : je peux revenir plusieurs fois dans ce lieu et le retrouver quasi inchangé.

Une des grandes lois de l’astral : la loi d’affinités

Ceux qui se ressemblent s’attirent : c’est la loi des affinités. Conséquence directe : pas de conflits, pas de guerres… Les communautés sont toujours très homogènes.

Les décédés peuvent aussi séjourner dans des lieux existants en dehors de leurs créations et formes pensées, lieux stables et permanents, issus de la pensée des professeurs de l’astral ou d’entités supérieures. 

- les centres de régénération (sortes d’hôpital ou de maison de repos) dans lesquels est soigné le corps astral. En effet, celui-ci a pu être détérioré suite à une longue maladie physique et à son traitement, suite à une mort violente entraînant un traumatisme émotionnel donc astral etc. J’ai retrouvé dans un centre de ce genre deux de mes chats morts des suites de longue maladies. Il y étaient parfaitement soignés et dorlotés par  » une femme en blanc  » jusqu’à qu’ils soient capables d’aller gambader dans de merveilleuses collines astrales !

- les centres d’apprentissage, de réflexion, voir d’information et de préparation aux passages dans d’autres plans. On y trouve les décédés conscients de leur état, déjà détachés du monde matériel et désireux de quitter l’astral pour continuer leur évolution.

- des endroits où les décédés peuvent non seulement s’instruire mais aider les autres (par exemple accueillir les nouveaux venus dans l’astral) avec des entités de niveaux supérieurs.

Plus le décédé est  » matérialiste  » et attaché à ses désirs terrestres, plus ce qu’il construit est semblable à ce qu’il souhaitait posséder sur terre et plus aussi il reproduit le mode de vie terrestre maison, famille, confort (j’ai vu des frigos et des poste radios ou télé) et même le travail dans son aspect le plus routinier ! Tout ceci, jusqu’à ce qu’il se rende compte par lui-même de l’inanité de telles réalisations ! A quoi vous sert une maison ou un travail dans l’astral quand vous n’avez besoin ni de vous nourrir ni de dormir ni de vous abriter ? L’argent n’a plus court, tout ce que vous désirez est à votre disposition… Vous pouvez créer autant de billets de banque vous le souhaitez mais vous n’en avez pas l’usage.

Les fêtes sont très fréquentes.  » L’expérienceur  » est très fréquemment invité à des banquets astraux reproduisant fidèlement les repas de famille terrestres. Les mets servis sont des mets astraux, crées par la pensée de vos hôtes.

Le sexe est très présent dans ce niveau de l’astral, des zones entières sont réservées aux insatiables du sexe, (jusqu’à qu’ils en soient lassés). Des attirances fortes et passagères sont monnaie courante entre les décédés. La vie de couple, telle qu’on l’envisage généralement sur terre, parait précaire.

Peu à peu, le décédé cherche à mettre plus de créativité et de beauté dans son monde, il se détache de ses désirs et découvre l’amour vrai. Le décédé s’éloigne des schémas terrestres, il sera bientôt prêt à mourir une seconde fois pour s’élever vers d’autres plans

Où se situe l’astral ?

Je parle de l’astral de notre système terre.
Partout… mais à un autre niveau vibratoire.
L’astral et ses différents niveaux se superposent au monde physique. En fait je ne change jamais d’endroit mais de niveaux vibratoires.

Quelques remarques

Tous les plans décrits sont facilement accessibles en SHC.
Les décédés sont friands d’explication sur le phénomène de la SHC et déplorent de ne pas l’avoir développé quand ils appartenaient au monde terrestre. 
Je suis très fréquemment engager pour donner des cours sur les SHC aux décédés !

Les décédés qui séjournent dans le plan astral sont  » peu branchés  » sur le spirituel. Ils ignorent l’existence des guides ou d’une évolution possible. Une des mes fonctions astrale est d’expliquer tout cela. Je suis souvent écoutée avec succès et les décédés disparaissent vers d’autres plans ; mais d’autres s’amusent bien de mes propos et préfèrent continuer à profiter des plaisirs de l’astral.

Les décédés nous protégent-ils ?

La plupart d’entre vous se sentent protégés par un (ou une) parent décédé… Les multiples rencontres en SHC m’amèneraient plutôt à penser que les décédés, s’ils nous ont aimés, s’intéressent au cours de notre vie (du moins tant qu’ils sont dans l’astral) mais ce ne sont ni des guides ni des protecteurs. Ils nous accompagnent de leur amour, oui, mais ils n’ont pas des vues plus larges que de leur vivant et ne voient pas notre avenir. Donc, ils ne peuvent pas le changer. Ils voient nos potentialités immédiates, déjà en vibration dans l’astral. Ils peuvent nous influencer par leurs conseils et donc nous aider à créer (ou à éviter) certains événements de notre vie mais ils peuvent aussi se tromper et nous induire en erreur avec la meilleure foi du monde et leur plus grand amour.

Dans le cas d’un attachement très fort, il arrive qu’un décédé choisisse de rester dans l’astral au détriment de son évolution personnelle pour rester en contact avec la personne aimée. En effet quand le décédé s’en va sur des plans plus élevés, où il ne nous sera plus accessible et ne n’aura plus de contact avec nous.

Alors qui nous accueillera à notre mort, vous demandez-vous ?
Tous les récits de NDE par exemple nous disent que tous ceux que nous avons aimés sont là pour nous accueillir… C’est souvent possible parce que les décédés séjournent parfois très longtemps dans l’astral et y sont encore à l’heure de notre mort. Sinon, l’âme du décédé peut récréer une forme pensée du décédé et nous l’envoyer si c’est vraiment nécessaire, ou c’est nous qui par la force de notre désir recréons la forme pensée du décédé. Dans tous les cas, il y aura toujours des décédés amicaux pour nous piloter dans notre nouvelle vie… ou nos guides spirituels pour nous accueillir, je ne me fais pas de souci !

les-vies-récit

Récit d’un passage.
Lors du décès subit de ma mère, je n’étais pas présente et ma seule prière fut de la confier aux bons soins de mes guides spirituels A et M.

Une nuit où je sortais hors de mon corps sans but défini à l’avance (je m’aperçus seulement après, que cela faisait un mois jour pour jour que ma mère était décédée), je me suis retrouvée face à ma mère. Elle était assise sur un banc dans une sorte de jardin assez sombre. Personne d’autre qu’elle. Je ne m’attendais pas du tout à la voir, elle semblait par contre m’attendre.

Nous nous embrassons et je lui demande :
– Alors comment çà s’est passé ?
– Bien. J’ai beaucoup été aidée par deux anciens égyptiens. Ils m’ont accueillie et expliqué ce qui se passait pour moi… Ils m’ont dit être tes guides… Quand je me suis sentie bien, ils m’ont laissée… Et puis, ils m’ont dit que tu viendrais souvent me voir ! Je me suis alors rendue compte que tout ce que tu m’avais raconté sur terre était juste ! Je n’y croyais pas du tout !

Les propos de ma mère m’étonnent : ma mère catholique convaincue avait de tout autres croyances, je m’étais une seule fois hasardée à lui parler des guides et des SHC, sans insister.

AKHENA

Pour en savoir plus, visitez www.levoyageastral.com

La résurrection: un changement de dimension

 

1 SoleilUne relation subtile mais profonde existe entre les fonctions énergétiques du complexe humain et les systèmes matriciels de la Terre. Même si cette relation n’est pas complètement reconnue par la science de la Terre, elle est pressentie par ceux qui se permettent de dépasser les frontières de leur discipline d’élection. On doit envisager la relation à partir d’un point de vue qui dépasse les contraintes d’une perspective se limitant à percevoir l’homme comme chair, fluides et membranes, et à ne voir la Terre que comme minéraux, roches et océans. Encore une fois, on doit adopter le point de vue de l’énergie, ce lien fondamental entre les systèmes de l’homme, de la Terre et de toute la création.

Concernant le rapport entre l’homme et la Terre, chaque cellule du corps physique de chaque être humain vivant actuellement sur Terre essaie de s’aligner sur une gamme supérieure d’informations, sur une bande de fréquences supérieures à celles perçues durant les dernières 2000 années d’histoire humaine. Cette zone d’informations à haute fréquence représente une conscience évoluée que tente d’atteindre chaque individu. C’est cet état qu’a atteint le Christ universel durant ses 33 années de vie terrestre. Par l’exemple vivant de son usage des choix faits durant sa vie et de son usage du libre arbitre pour mener à terme ces choix, Jésus de Nazarath a pu entrer en résonance avec une conscience supérieure et plus évoluée qu’il appelait « le Père « .

En fait, deux transitions se produisent simultanément: l’une magnétique, l’autre sur le plan de la fréquence. Chacune peut se produire isolément. Comme l’indiquent les données géologiques, les inversions magnétiques ont été fréquentes et, à notre connaissance, sans changement de dimension. C’est l’augmentation de la fréquence fondamentale qui met en branle le changement de dimension. La coïncidence de l’inversion magnétique avec la translation dimensionnelle est un cadeau qui nous permet d’avoir accès à nous-mêmes directement afin de nous équilibrer (guérir) et de réaliser le changement de dimension avec succès.

L’idée que chaque cellule du complexe mental/esprit/corps se mette à vibrer selon une forme d’expression supérieure n’est pas nouvelle. Le processus lui-même a eu lieu plusieurs fois et est documenté avec divers degrés de précision au cours de l’histoire. L’initiation de trois jours dans la Grande Pyramide est un très bon exemple, de même que le processus de trois jours exploré pas le Christ à l’occasion de sa crucifixion, de sa sépulture et de sa résurrection subséquente.

Il s’agit là d’exemples de migrations conscientes vers d’autres états-espaces, vers une autre expression de l’être. L’expression biblique désignant ce processus est la résurrection.

La résurrection est le résultat de la vibration consciente de tous les aspects du complexe mental/ corps/ esprit selon un mode d’expression supérieur du même corps, un nouveau mode d’expression de la vie.

La résurrection est la vie! La résurrection est une voie pour en arriver à une expression vibratoire supérieure, par le corps, car chaque cellule de l’être atteint une parfaite résonance harmonique avec un schéma supérieur d’informations. La résurrection ne consiste pas dans le départ de l’âme (essence de la vie) du corps: cela, c’est la mort. Voilà pourquoi le corps a toujours été et est actuellement très important; Le corps est le temple.

C’est par le corps que l’âme peut exprimer la sagesse atteinte par les expériences de la vie. La résurrection est l’accès conscient à une zone relativement supérieure à la zone actuelle. À partir de l’expérience de la troisième dimension, la résurrection peut commencer comme une résonance à la quatrième dimension, à l’information de la quatrième dimension. En vibrant à une fréquence aussi élevée, la matière en trois dimensions ne porte plus le même sens, n’a plus la même fonction, ne se réfère plus au même point qu’avant la résurrection. Le corps est débarrassé des schémas d’énergie non harmoniques qui résultent en la maladie, en la vieillesse et en la dégradation. D’apprendre grâce à la maladie du corps relève du choix!

Tous les schémas d’énergie du corps physique sont au repos: ils sont équilibrés par l’harmonisation consciente de chaque aspect avec le nouveau point de référence. L’énergie de référence est celle de l’amour, la fréquence d’expression la plus pure qui puisse être générée et maintenue dans chaque cellule du corps. Les fréquences de l’amour ne sont pas liées à la dimension ou au temps. La résurrection est une nouvelle expression de l’énergie d’amour. Le cadeau de Jésus-Christ fut la démonstration vivante de cet instrument, l’expérience de vie, Comme un pont entre l’expérience à trois dimensions, comportant une fréquence basse et un magnétisme élevé, et l’expérience supérieure, d’une fréquence élevée et d’un magnétisme faible.

C’est la résurrection et l’ascension subséquente qui constituent le but de la vie. C’est ce qui attire dans la vie d’un individu l’expérience qui lui procure la sagesse de pouvoir s’harmoniser avec la transition de la Terre. Une fois ressuscité, l’individu est en résonance (relié) avec l’énergie (sagesse) des réseaux de la quatrième dimension, bien que s’exprimant encore dans le contexte d’un monde en trois dimensions. Cet être est très « élevé » et pourrait ne pas pouvoir être touché physiquement par ceux qui n’ont pas connu d’expérience similaire…

En ce qui concerne plusieurs rapports récents sur les extraterrestres, ceux qui viennent en contact avec des êtres aux vibrations aussi élevées sont soumis à des schémas d’énergie auxquels leurs circuits internes ne sont pas prêts. Ces visiteurs sont les immortels auxquels la Bible et les anciens Égyptiens font référence: ce sont ceux dont l’évolution spirituelle est telle qu’ils ont été capables de se transformer dans la pure énergie de l’espace-état supérieur. La Terre passe par le même genre de processus que celui qu’ont exploré des êtres très évolués appartenant à l’histoire: la résurrection, ou vibration de chaque aspect du soi selon un mode supérieur d’expression ou d’expérience. II n’est plus nécessaire d’aller dans les chambres secrètes d’édifices anciens afin de bénéficier de l’environnement approprié à ce changement: vous vivez le changement au travail, à l’école, au salon, dans votre quotidien.

Par vos expériences de vie, vous vous préparez déjà au processus de résurrection! Chacune de vos activités, chaque relation qui tisse votre vie, peu importe si elle semble insignifiante sur le coup, vous fournit un outil pour assimiler, générer et soutenir des fréquences supérieures d’énergie/information/lumière. Chaque expérience amène une pensée ou un senti. On peut considérer ceux-ci comme un faisceau d’information/énergie cherchant l’équilibre dans le contexte du connu: le complexe matriciel mental/ corps/ esprit. Des pensées et des sensations sont rattachées à chaque expérience. Elles font partie de vous et ne peuvent être « oubliées » ni effacées. Par votre interprétation de ces expériences, en accord avec la vision que vous permet votre acquis, vous déterminez la manière dont sera emmagasinée chaque expérience. Dans la mesure où vous choisissez de placer l’énergie de chaque expérience à l’endroit qui représente l’équilibre, vous devenez un être équilibré.

L’éveil est alors une expression qui décrit la série de processus pouvant s’étirer sur des centaines de milliers d’années et qui affectent toute vie sur Terre. L’éveil est le début de la Transition: l’initiation collective à l’ère d’une nouvelle sagesse, celle du cœur sensible.

GREGG BRADEN Extraits de son livre
L’ÉVEIL AU POINT ZÉRO : L’INITIATION COLLECTIVE sur le blog de Francesca 
http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:TEMPS, VIES ANTERIEURES |on 20 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

La pêche aux vies antérieures

 

ETOILE VIEL’exploration du subconscient pour en faire émerger les personnages que nous avons vécus jadis est devenue à la mode. En France, le colo­nel de Rochas avait été un pionnier de la régression hypnotique. Depuis, Morey Bernstein aux États-Unis a eu son heure de gloire en exhumant l’énigmatique Irlandaise Bridey Murphy du passé d’une jeune femme qui avait servi de cobaye à cet hypnotiseur amateur .

Grâce à l’évolution des techniques, on en vient à pratiquer ces retours en arrière, ces « anamnèses », par des moyens plus doux que l’hypnose profonde, apparentés à la sophrologie . La science aidant, certains parlent maintenant de faire passer le cerveau en ondes Thêta (celles du sommeil profond) tout en restant éveillé… Bref, les vies passées sont là, à portée de la main. Il suffit de se baisser, et de fouiller un peu. Une autre technique, signalée à l’attention du public par Denise Desjardins  porte le nom de lying, car on la pratique en étant allongé — ce qui est d’ailleurs le cas des autres méthodes. Cependant, elle inter­vient dans le cadre d’une vie dirigée vers une réelle ascèse spirituelle, inspirée de l’Orient.

Malgré l’extraordinaire succès de ces régressions, où l’on arrive à redé­couvrir tout ce qu’on veut, il faut bien s’avouer que toutes ces techniques sont entachées d’un gros défaut qui rend leurs résultats très suspects. Pour résumer les choses : on s’imagine que les souvenirs des vies passées sont là, sous-jacents dans la psyché, et qu’il suffit de l’interroger pour qu’elle réponde. Bien sûr, on choisit des conditions que l’on croit favorables; si ce n’est pas l’hypnose, c’est une bonne relaxation ouvrant à un état subliminal de conscience où la volonté n’agit plus, le mental cesse de ratiociner. On fait monter les impressions des profondeurs, on laisse revivre les émotions. Privée de ses attributs proprement humains — volonté et réflexion — la machine psychique est un animal bien vivant, extrêmement dynamique et sensible. L’opérateur — le dompteur ? — le sollicite pour qu’il s’exprime. Et lui sait qu’il s’agit de vies antérieures à découvrir.

La psyché, invitée à parler, en a des choses à dire…

Ian Stevenson, qui a renoncé à l’hypnose pour poursuivre ses enquêtes , exprime son scepticisme : « les personnalités habituellement évoquées au cours de régressions sous hypnose vers une vie antérieure sont… un amalgame de la personnalité courante du sujet, de ce que celui-ci croit qu’on attend de lui, de la vision qu’il se fait de ce qu’aurait dû être sa vie antérieure, et peut-être aussi d’éléments obtenus par voie paranormale ». Cette analyse s’applique bien semble-t-il au cas « Bridey Murphy ». On a retrouvé dans cette histoire échafaudée sous hypnose divers éléments puisés… dans la mémoire oubliée du sujet (qui avait joué une pièce irlandaise dans son enfance, en acquérant l’accent convenable), avec vraisemblablement des ingrédients collectés ici et là, par clairvoyance. Mais pas de Bridey Murphy en Irlande.

C’est un trait remarquable de toutes ces techniques (de l’hypnose au lying) qu’elles stimulent chez le sujet des pouvoirs parapsychologiques (surtout clairvoyance) parfois remarquables qui restent latents habi­tuellement. Pour cette raison même, les récits de vies passées sont aussi peu dignes de foi que les « lectures de vie » faites par un sensitif.

En outre, l’intervention de l’opérateur qui sollicite le sujet pour qu’il parle, en pêchant des réponses, crée un certain climat de contrainte qui engage l’animal psychique à progresser dans la voie des révéla­tions. Dans l’hypnose légère, ou le lying, où l’on cherche à réveiller des impressions profondes, la nature émotionnelle est fortement mise à contribution. L’angoisse est plus souvent l’invitée de ces séances que la béatitude. Les énergies et souvenirs refoulés (de la vie actuelle, bien entendu) s’en donnent à cœur joie. Avec des yeux objectifs, on lit sou­vent à livre ouvert les problèmes dont souffrent les patients depuis leur enfance, ou leur adolescence. Le plus curieux est que ces tragédies, ces histoires structurées au fil des jours par la psyché soumise à la question, sont attribuées à des vies antérieures par les sujets aussi bien que par les spécialistes de ces méthodes. Et même quand on connaît assez bien le passé psychologique d’un individu , avec ses traumatismes, ses échecs, ses problèmes avec les parents, etc., on finit toujours, comme par miracle, par en retrouver la racine… dans des drames remontant à une existence passée. Il y a des âmes que la fatalité poursuit.

Mais les sujets qui émergent pantelants de ces descentes en enfer sont finalement délivrés de leurs angoisses. On a envie de parler de catharsis psychanalytique

 

(Extrait de La Réincarnation, Des preuves aux certitudes Éditions Retz 1982) sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 10 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’Accès aux autres mondes

 

les autres mondesSavoir demander à la nature sa force quand elle peut vous la donner, pendant sa période faste, de l’éveil à la floraison, de la fin mars à la mi-août, et même durant la rémission glorieuse de septembre, jusqu’à ce que la mort nécessaire reprenne ses droits en ce deuxième jour de novembre où la terre à son tour semble s’endeuiller et entre à nouveau en sommeil.

Ne pas craindre le contact : mettre sa peau contre l’écorce du chêne ou du frêne, selon l’affinité ressentie. Percevoir leur vibration profonde, s’abandonner à l’apaisement qui alors envahit, se soumettre à l’alchimie de la sève qui vous accorde aux rythmes de l’univers et vous relie à ses différents règnes. Mariez-vous à votre arbre favori. Marchez pieds nus. Que les forces bienfaisantes du sol pénètrent en vous par les chakras plantaires. Laissez-vous enterrer avec, à hauteur du visage, une simple grille de branchages pour vous permettre de respirer. Qu’en ces noces, où vie et mort semblent s’unir, en ce lieu d’obscur échange, la terre vous charge de ses énergies mères, d’où mystérieusement sourd le végétal, que ce rite soit signe d’amitié, d’alliance, recon­naissance de ce que le corps en reçoit chaque jour.

Mettez-vous à l’écoute du vent, des sources, de la pluie qui nous vient du ciel, rafale, crépitement, ou murmure, douceur où respire l’âme, quand elle court sur des lits de gravier ou de sable, et de ces présences insoupçonnées qu’il faut apprendre à percevoir.

Nous touchons là au point central de l’enseignement de Mario, affiner ses perceptions pour acquérir la vue éthérique et voir dans l’astral.

Si le bas-astral, l’égout de l’univers, est le lieu des pires rencontres avec les entités inférieures, les morts, les larves, en quête d’un corps à parasiter, et qui se logent dans le bas-ventre, le foie et le système cérébro-spinal, dès que l’on se trouve assez protégé, assez purifié, bref assez fort pour franchir ce seuil, les élémentaux se montrent, puis les es­prits de la forêt.

La nuit, à la pleine lune ou parfois par temps obscur, quand les yeux se sont habitués à la pénombre, on les per­çoit, brouillards légers, substances transparentes, subtiles, déployées en écharpes qui se déroulent et prennent forme, éclairant les ténèbres du sous-bois.

« Il faut apprendre à les distinguer, je n’invente rien », explique Mario en me tendant une photo de gnome vu de dos, petite taille, bonnet pointu, s’appuyant d’un bras à un tronc d’arbre. « Celle-ci est très nette, mais en voici une autre, banale à première vue. Pourtant dans la grisaille des taillis, s’inscrit la forme immense d’un chaman sibérien. Regardez le ciel avec attention. Vous y verrez des visages, des profils se détacher sur ce fond neutre. Nous ne som­mes jamais seuls. »

Mario a sorti ses richesses, les parfums astrologiques de la Lune, du Soleil, de Vénus, pour attirer les gnomes, une cage à esprits, sa canne de chaman, et un bandeau dont il se ceint la tête quand il travaille en forêt, exécuté d’après un modèle qui lui fut révélé en rêve.

Parfois, à quelques élus, apparaissent, resplendissantes, nimbées de lumière, les fées. Mario a de telles rencontres. Elles le laissent pour de longs jours ébloui, comblé, elles l’inspirent. Heureux, il tente de les reproduire sur ses toiles. Curieusement, sa peinture s’apparente à celle de la commu­nauté de Saint-Soleil en Haïti que le réalisateur de télévision Jean-Marie Drot a récemment révélée au grand public dans ses Carnets de voyage de Malraux. Les mêmes regards brû­lent ces visages étranges, surgis de quel inconnu, captés à quelle source ? Nulle naïveté, quoi qu’on en puisse dire, et Malraux fut le premier à le reconnaître, mais une présence indéfinissable, qui fascine, trouble et inquiète, et relève sans doute du même ordre de réalité.

D’autres que Mario accèdent à cet autre monde, telle cette jeune femme, Maja. « Elle est complètement occulte, me dit Mario. Elle sent les ambiances, les lieux, voit les auras. Elle a toujours été comme ça. »

Extrait de : Être sorcier, c’est une façon de regarder le monde.de

Mario Mercier

RÉGRESSIONS DANS LES VIES ANTÉRIEURES

 

MEDECINE MYSTIQUE le livreNous ne nous souvenons généralement pas de nos vies antérieures par protection de la partie spirituelle de notre esprit. Tant de souvenirs de nos morts et de nos souffrances antérieures seraient trop difficiles à supporter et risqueraient de nous empêcher de vivre. La recherche des vies antérieures peut être douloureuse.

Pour cette raison, il n’est pas recommandé de s’y livrer seul, mais accompagné d’une personne entraînée qui peut vous aider à ne pas vous laisser happer inutilement par des souvenirs trop durs.

Il existe aujourd’hui de nombreux hypnotiseurs, magnétiseurs ou radiesthésistes qui pratiquent ce type de régression dans une optique thérapeutique visant à débusquer et neutraliser des traumatismes ayant pris racine dans un passé karmique lointain. Dans ce registre, il sera évident d’être à l’écoute de son ressenti et de son intuition quant au choix du praticien afin que celui-ci puisse vous apporter les informations recherchées avec toute l’éthique car la conscience professionnelle voulues. Il existe plusieurs méthodes, dont celle du docteur TAL ScHALLER. Le canevas utilisé par ce médecin pour accompagner les patients dans les vies antérieures permet d’entrer dans un état de conscience modifiée et de résoudre des problèmes restés en suspens.

EXEMPLES DE RÉGRESSION

Une femme avait la hantise du feu sans savoir exactement pourquoi. Ainsi, elle avait peur d’allumer le feu dans sa cheminée. Curieusement plusieurs objets de sa maison ayant rapport au feu étaient chargés en énergies négatives. Il lui fut demandé de se relaxer et de retourner dans la vie antérieure qui avait créé cette peur. La scène se dessina dans un décor du Moyen Âge. Elle se vit brûlée sur le bûcher de I’INQUISITION comme sorcière : il y avait des Ames partout et des cris. Il lui fut proposé de modifier le scénario et d’imaginer qu’elle était délivrée par un homme à cheval. Elle opéra cette régression à plusieurs reprises. La peur du feu disparut. Les objets chargés négativement basculèrent vers des énergies positives. Nous verrons par la suite que les phobies prennent souvent racine dans des traumas de vies passées.

SOURCE : Dossier entités Répercussions médicales et spirituelles de Serge Fitz aux éditions SERVRANX 

Publié dans:LOI NATURELLE, VIES ANTERIEURES |on 12 août, 2015 |Pas de commentaires »

DES ENFANTS EN BAS AGE qui reviennent de l’au-delà

 

1 CRISTALLes enfants témoignent, généralement entre deux et quarre ans, des souvenirs de leur vie antérieure. Ces récits se renouvellent parfois jusqu’à huit ans, puis commencent à s’estomper. Malheureusement, ces souvenirs karmiques se heurtent à l’incompréhension des adultes qui demandent gentiment à ces ex-adultes d’arrêter de fabuler. Or l’écoute attentive de ces récits permet de comprendre les raisons de la réincarnation de l’enfant. Elle met en évidence les efforts d’adaptation qu’il doit opérer dans sa nouvelle situation. U… y avait cette adorable petite fille prénommée ADELINE qui commençait souvent ses phrases, à la grande surprise de ses parents, par « Lorsque j’étais vieille . .. »

Dans certains cas, l’enfant rejette ses nouveaux parents parce que les souvenirs de sa vie précédente sont encore trop forts et l’empêchent de s’adapter à sa nouvelle famille. En thérapie, toutes ces connaissances sont bien entendu extrêmement précieuses pour ressentir la réalité de la situation, notamment dans les cas de maladies ou de problèmes psychologiques.

lAN STEVENSON raconte dans son livreLa réincarnation et la biologie- La croisée de chemins -le témoignage d’un l’enfant birman, U TINN SEIN, qui se disait avoir été un soldat japonais. Cet enfant possédait une marque de naissance sur le thorax, zone plate er ronde plus pigmentée que le reste du corps. U TINN SEIN décrivait comment, dans la vie précédente, lui, un soldat japonais, se trouvait près d’un lac à l’extérieur de la ville à l’endroit où il était né au nord de la Birmanie. Un avion avait survolé les maisons et, mitraillant la zone, l’avait touché à la poitrine. Après sa mort, disait-il, il était demeuré une personnalité désincarnée dans la région du lac. Pour se divertir, il effrayait parfois les passants en leur lançant des pierres. Après le désastre de la guerre, le bois à brûler était rare en ville et le futur père de U TtNN SEIN se rendit vers la région du lac avec un chariot pour en ramasser.

Le soldat japonais désincarné le suivit jusque chez lui et opéra une renaissance dans le ventre de sa femme. L’enfant présentait une multitude de ce que l’on peut appeler des traits de caractère japonais. L’un des plus marquants a été son zèle remarquable. Il était infatigable au travail er méprisait ceux qui ne l’éraient pas. Les Birmans ne sont pas un peuple paresseux, mais leur société a fourni le prototype de l’idée que peu est bien et ils désirent rarement produire plus que ce qui est nécessaire. I’intérêt de l’enquête du professeur en psychiatrie lAN STEvENSON (université de Virginie) est au niveau du recoupement des témoignages avec les personnes de la région et celles des traces de naissance sur le corps des enfants qui corroboraient leurs ré­cits.

STEVENSON étudia de la sorte près de 2600 cas similaires. Les enfants parlent souvent des circonstances de leur mort antérieure, surtout si elle a été violente. Dans leurs jeux, ils miment les circonstances de leur décès. Ils endossent également le rôle de la personne adulte qu’ils se rappellent avoir été. Ainsi, une petite fille se souvenait d’une vie précédente en tant qu’institutrice, faisait jouer à ses can1arades le rôle d’élèves tandis qu’elle leur faisait le cours sur un tableau imaginaire. Un enfant, qui se souvenait d’une vie en tant que mécanicien dans un garage, passait des heures dans le sous-sol familial à réparer une voiture imaginaire symbolisée par ledit meuble. Lorsque la réincarnation conduit à un changement de sexe, les enfants montrent presque invariablement des traits de caractère du sexe de la vie précédente. Ils se travestissent, jouent à des jeux de sexe opposé er peuvent aussi avoir des comportements caractéristiques de l’autre sexe. Une petite fille en pareille situation est généralement appelée garçon manqué et un garçon poule mouillée. Ces comportements peuvent avoir une explication dans une incarnation passée. 

SOURCE : Dossier entités Répercussions médicales et spirituelles de Serge Fitz aux éditions SERVRANX 

Vidéo-Conférence : NDE de TECKAEL

Que se passe t-il après la mort Teckaël ?

 

Image de prévisualisation YouTube

Vidéo du JEUDI 09 JUILLET 2015 à 20 H 30. Mis en ligne Enzo Venturatéléchargement (1)

Si vous avez des questions, rejoignez le Forum de Teckaël ici : http://spiritualite.forum2discussion.com/

ou La Vie Devant Soi ici : http://devantsoi.forumgratuit.org/

La trace matérielle ou immatérielle de nos mémoires

 

vies_anterieuresLorsqu’un bébé paraît dans une famille, il ne naît pas vierge de tout souvenir. Il porte en lui non seulement une mémoire biologique, mais également la mémoire de ses vies antérieures. Toutes ces mémoires plus ou moins enfouies fournissent l’héritage dont il dispose pour son parcours terrestre.

La trace matérielle ou immatérielle de ces mémoires très différentes va plus ou moins se révéler au fur et  à mesure du parcours de vie de ce nouvel être humain, lui réservant de bonnes ou de moins bonnes surprises.

La vie présente est la résultante de choix faits par nos parents, grands-parents, et de tous ceux qui nous ont précédés. Ce choix sont pour certains ceux que nous avons retenus dans une vie précédente. Comme beaucoup d’entre nous ne sont pas arrivés au terme de leur parcours spirituel, il leur faudra revenir sur cette terre afin de rejouer les scènes de vie mal apprises dans les vies précédente, et donc subi les conséquences de mauvais choix qu’ils ont faits, ou qu’ils ont laissé faire.

Nous avons tous une mémoire. Toutefois, avec l’âge elle a souvent la fâcheuse tendance à s’éroder. Oui, il est vrai que cette mémoire est périssable. Il est exact qu’elle peut s’éteindre définitivement. Il est possible qu’elle disparaisse totalement, ne laissant plus aucun souvenir à l’être en sursis. Cette mémoire dont nous parlons est physiologique. Elle est liée à notre organe physique qui s’appelle le cerveau. Elle est bien sûr éphémère et s’endort progressivement au même rythme que toutes nos cellules en déclin.

Prenez l’exemple d’un vieillard. Essayez de sonder sa mémoire. soyez observateur de son comportement et sachez discerner les pertes de mémoire de cette personne.. Si elle est âgée, mais en bonne santé, la mémoire se transformera pas à pas ; C’est-à-dire que sa dégradation neuronale sera progressivement remplacée par la restauration des cellules spirituelles qui composent le corps éthérique. Soyons plus clairs pour faciliter la compréhension ; la mémoire physiologique sera peu à peu submergée par la mémoire spirituelle, parce que le corps physique dont la matière touche presque à sa fin, sera remplacé par ce corps éthérique dont nous parlons souvent. Ce qui veut dire que l’on chasse l’autre. Très souvent les vieillards retrouvent une excellente mémoire pour les années les plus reculées de leur vie, e tune toute petite, voire inexistante mémoire pour les années les plus récentes. Cela n’est pas une règle, mais c’est toutefois un constat assez général.

Cela est lié à cette mémoire physique ou physiologique qui se retire pour laisser la place à la mémoire spirituelle. La matière se retire peu à peu de la vie en emportant avec elle tous ses attributs, et cette mémoire en fait partie. Les cellules qui subsistent restent entièrement imprégnées de tous les souvenirs, récent sou très anciens. Ce qui veut dire que l’âme qui est présente dans le corps, devint plus sensible et perceptible  à l’esprit.

Notre mémoire s’ouvre au fur et à mesure que s’opère le passage d’un monde à l’autre et d’un corps à un autre. Ce qui signifie qu’elle ne disparaît pas, mais que tout au contraire elle s’amplifie considérablement. Elle se transforme pour devenir la mémoire supérieure et inaltérable que seul un corps immortel peut contenir. Elle sera totalement reconstituée au jour de notre mort. Nos obsèques, contrairement à l’idée bien ancrée dans nos esprits imaginant la mort comme le néant, resteront comme le plus mémorable et formidable moment de notre vie. Les festivités qui nous attendent après le passage au travers de ce voile opaque et mystérieux, demeureront l’événement le plus marquant de notre vie et de notre arrivée de l’autre côté.

Donc, tout peut être résumé ainsi ; la mémoire qui est très vivante dans notre vie physique laissera la place à une autre, beaucoup plus vivace et persistant au-delà de l’extinction de la matière. Ce qui vaut pour la mémoire vaut également pour les autres organes liés aux sens physiques et physiologiques. Le goût sera le seul sens qui disparaîtra totalement après la mort parce qu’il n’aura plus aucune raison d’exister, et pour cause. Notre alimentation sera très différente, elle ne sera plus matérielle. Les autres sens, quant à eux, seront considérablement amplifiés au même titre que notre mémoire. Ils seront également complétés par de nouveaux sens, en latence actuellement en nous, mais très peu utilisés parce que la matière qui compose notre corps l’interdit, ou le limite considérablement.

La matière sera anéantie mais l’esprit survivra avec le cœur ou le poumon qui l’aliment, c’est à dire l’âme divine. Les mémoires sont multiples. Elles sont liées, d’une part, au physiologique et à toutes les cellules qui le composent et, d’autre part, à la structure spirituelle qui les domine. Le spirituel se superpose toujours à la matière. Il est en interaction permanente avec elle et les mémoires solidement attachées à la dimension physiologique et biologique de l’être, qui transitent inévitablement vers des mémoires spirituelles ou éthériques. Le réseau est très complexe mais très simple à la fois.

La mémoire, la vraie, l’inaltérable est la gardienne inviolable de tous les souvenirs antérieurs de notre vie actuelle. Il existe, des milliers, voire des millions de connexions entre nos mémoires individuelles et la mémoire collective qui est reconstituée dans les archives universelles. C’est-à-dire que la mémoire la plus ancienne existant dans l’univers nous sera accessible après notre départ terrestre. Rien n’est plus merveilleux que de découvrir cette mémoire encyclopédique, réelle, incroyablement détaillée et vivante. C’est ainsi que nous revivrons, si vous le souhaitons, tous les événements heureux ou malheureux de la totalité de nos vies. Tout deviendra limpide et transparent.

Nous serons par exemple surpris de constater la persévérance au fil des siècles, de certaines dates ou situations récurrentes qui constituent un héritage accompagnant la descendance familiale. Il s’agit tout simplement de pactes ou de serments cosignés moralement à une période de notre vie spirituelle, dont la mémoire physique ne se souvient pas. Il existe parfois des éléments troublants qui suivent certaines familles où le destin, comme nous disons, semble s’acharner sur elles pour le meilleur, mais plus souvent pour le pire. Il peut s’agir de dates anniversaires, de décès en série, de maladies communes et souvent identique, d’hérédités familiales liées pour nous à la dimension biologique ancestrale. L’incompréhension nous habite alors, et nous recherchons la cause de ces lois qui nous semblent implacables, mais qui pourtant ne sont liées qu’à des accords passés par des familiales que nous appellerons bio-spirituelles ou bipolaires, pour faciliter la compréhension du plus grand nombre.

Même si ce que nous vivons nous paraît inconfortable, difficile, terrible ou même pire que cela, n’en prenons pas grief contre qui que ce soit, parce que c ‘est nous qui en sommes dans la plupart des cas à l’origine. 

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 10 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Une conception de la réincarnation incomprise

 

2146450049La conception orientale de la réincarnation a des aspects philosophiques, et a prouvé sa capacité à pourvoir des millions de personnes d’une vue cohérente de la vie et de l’univers. Elle rivalise certainement avec la perspective chrétienne du paradis et de l’enfer. Soyons explicite toutefois.

Premièrement, la doctrine de la réincarnation tire une grande partie de ses pouvoirs d’une perspective plus vaste de la vie dans laquelle elle est enfouie (décidément non chrétienne au sens habituel du terme) et de ses supports culturels.

Deuxièmement, dans son contexte traditionnel, la réincarnation n’a pas été soumise à un examen critique. Aucune tentative n’a été entreprise pour prouver ou vérifier la survie de type réincarnation. Nul n’a essayé de déterminer si la réincarnation était la meilleure explication en fonction des observations disponibles. La réincarnation est tout simplement acceptée comme un exemple de foi.

Et Troisièmement, la doctrine de la réincarnation implique une relation intime et spirituelle entre chaque âme individuelle et ce qui pourrait être appelé soit Dieu, soit l’Ame suprême. Les religieux et leurs établissements n’ont que peu à voir avec la destinée spirituelle de l’homme.

Quelques Occidentaux ont toujours été intrigués par le concept de la réincarnation. Aujourd’hui, cependant, il y a presque une industrie qui soustrait des aspects choisis de la pensée orientale pour les « servir » aux chrétiens frappés par le doute. C’est ainsi qu’on nous en offre des versions « adaptées » au détour des rues et des allées. La fraude est implicite. Si nous sommes prêts à devenir, un adepte du sikhisme, du jaïnisme, du bouddhisme ou de l’indouisme, la croyance en la réincarnation fera partie du même « colis ». En toute âme et conscience, nous rejetons de nombreuses conceptions chères au christianisme pour les remplacer par de nouveaux articles de foi s’accordant à notre conversion.

Les objectifs et les rythmes de notre vie, notre manière de nous appréhender et notre comportement vis-à-vis de l’univers s’orienteront dans la direction indiquée par notre nouveau système de croyance. Bien sûr, cette acceptation ne prouverait rien à une personne imperméable à cette doctrine. Un chrétien traditionnel affirmerait par exemple que sa foi est plus sincère que la vôtre. Un scientifique soulignerait que vous n’avez ni obtenu ni évalué les preuves de la réincarnation, et qu’il s’agit donc d’une proposition vide, et en fait du contraire d’une proposition.

Ce que les agents perspicaces tentent d’accomplir toutefois est de permettre aux Occidentaux de conserver leurs styles de vie et leurs systèmes de valeurs familiers tout en embrassant une partie choisie de la perspective orientale du monde. Cela ne marche pas. Nous ne pouvons pas jouer sur les deux tableaux. Seuls les esprits les plus paresseux et les plus indisciplinés peuvent digérer sans inconfort le mélange invraisemblable de la réincarnation orientale, de la chrétienté occidentale et du matérialisme. Une exception doit être faite pour les esprits les plus forts et les plus disciplinés, aussi rares soient-ils qui se consacrent à une plus haute intégration possible des deux perspectives.

Voici posés quelques problèmes relatifs à la réincarnation. D’autres surgissent ayant trait au domaine de la logique et des faits. Voici un bref échantillon des préoccupations que nous devrions avoir quant à la réincarnation :

1 – Où va l’âme quand elle se trouve entre deux corps ?

2 – Quel type de preuve y a –t-il, ou pourrait-on imaginer, quant à l’existence d’un « plan d’être » où pourraient résider les âmes des désincarnés en attendant leur prochaine incarnation ?

3 – Comment la population mondiale continue-t-elle à augmenter si le nombre d’âmes individuelles demeure constant ? (Et si nous supposons que certaines âmes ont transcendé la « grande roue du temps », la population devrait avoir décliné au lieu d’augmenter de manière si alarmante durant les derniers siècles).

4 – L’évidence de vies antérieures est considérée comme spectaculaire. Mais de quelle manière certaines personnes se réincarneraient-elles plusieurs fois alors que d’autres pas ?

5 – Des souvenirs célèbres d’incarnations précédentes ont été mentionnés sous hypnose. Pourquoi ne pas appliquer l’interprétation plus « parcimonieuse » voulant que :

a) l’hypnotiseur autorise l’expression d’un état mental dissocié, qui :

b) lui donnera l’occasion d’entendre le type de récit qu’il souhaite.

6 – Des histoires rapportées par de jeunes enfants ont été considérées comme des preuves de réincarnation, quelles vies étonnantes ils ont menées. Mais les enfants sont connus pour leur tendance à s’inventer « des compagnons imaginaires » et à les doter de détails et d’émotions convaincants. N’est-ce pas une explication plus intelligente ?

La réincarnation est l’ornement radieux de certaines religions, en particulier d’origine orientale. Elle n’a pas été prouvée en Orient, mais elle a été transmise sous une forme altérée aux Occidentaux dont la foi en leur religion vacillait. Un cul de sac supplémentaire. Un échec supplémentaire à démontrer la survie et à plus forte raison l’immortalité voici ce que nous entendons.

L’âge de l’illumination a été annoncé plusieurs fois au cours de l’histoire humaine. Il y a eu des acquis solides quoique jamais suffisants pour  atteindre la promesse qu’un jour l’humanité embrasserait les principes les plus élevés de rationalité. Maints d’entre nous sont encore plongés dans l’obscurité quand les pensées concernent des problèmes décisifs. On se languit encore du confort et de la loi éternels. Le faux avènement de l’éternité conduisit les valeureux janissaires de Soliman le Magnifique à dévaluer le mont Sciberass et à renforcer la résolution des chevaliers de Malte qui attendaient l’assaut dans leur forteresse dévastée. Des hommes braves engagés dans un combat mortel par des visions puissantes, mais totalement divergentes de l’après-vie.

Que de misères et de fautes ont été commises au nom d’un leurre. Pour toute personne malade qui trouve le réconfort dans l’espoir d’une terre promise, une autre a été manipulée, opprimée et exposée au danger.

Les gens sages n’ont jamais réclamé de motivations si extraordinaires – la garantie d’une joie et d’un confort éternel. La vie elle-même a fourni une motivation suffisante, le désir de voir ceux que nous aimons, heureux, le défi de donner le meilleur de nous-mêmes, le désir d’apporter une contribution quelconque à la compréhension et un bien-être humain. Quelle petite race perverse nous sommes, si c’est seulement le faux avènement de l’éternité qui retient nos pulsions destructrices et libère les positives.

Demandons-nous ce qui est possible pour nous-mêmes et pour l’univers. Nous avons un long chemin à parcourir en tant qu’individu et en tant que race. Les demandes infantiles de vie éternelle sont creuses ; encore faudrait-il utiliser à bon escient le temps qui nous est imparti sur terre. Des exaltations pieuses pour devenir surhumains, des êtres spirituels résonnent d’un son strident à nos oreilles, nous qui ne sommes pas encore totalement humains.

La nouvelle aube est destinée à ceux qui sont prêts à – et capables d’ – accepter la vie qui commence chaque jour dans la fraîcheur matinale. Le déclin du soleil viendra à son heure.

Curieux n’est-ce pas ?… Combien certains hésitent devant la perspective de l’après-vie… Combien certains hésitent et choisissent les armes … et curieuse aussi la façon dont ces armes sont employées pour infliger des blessures à son propre moi effrayé. Nous avons trop souvent rencontré ce pattern étrange et mélancolique. Derrière son « objectivité » et ses épanouissements technologiques, l’homme moderne est timide. Il se sent dépourvu d’importance et abandonné quand il s’aventure au-delà d’une spécialisation choisie et étroite. Le sens de la communauté, ce sentiment d’être impliqué de manière intime à la plus vaste entreprise humaine, est inexistant. Ce sentiment d’isolement (glorifié comme étant l’individualisme) est intensifié par la perte de ce qu’on nommera un « dieu utilisable ».

Des scientifiques et des intellectuels prônent un principe divin hautement abstrait. C’est le refuge de ceux qui doivent reconnaître les preuves abondantes de la légitimité et de l’organisation dans l’univers, mais qui craignent de s’abandonner à une croyance déterminée. En vérité, de telles abstractions n’ont guère de rapports avec Dieu. D’autres se privent eux-mêmes de Dieu et des dieux sous chaque forme reconnaissable.

La survie éblouit et épouvante de telles personnes. S’identifiant elles-mêmes plus aux systèmes dus à l’homme qu’à Dieu ou à la communauté… elles considèrent la mort comme l’échec de l’appareil physique. Nul n’a vraiment conscience d’un objectif transcendant dans la vie ni d’un sentiment de mérite lié au fait de vivre….

« Je ne suis qu’une machine (quoique une machine intelligente) et je dois en définitive échouer et être mise au rebut ». Avec une estime de soi aussi piètre, notre contemporain éprouve des difficultés à imaginer que l’univers s’intéresse à lui. Et d’ailleurs, en dépit de velléités occasionnelles, il ne s’en soucie pas.

Il convient de se souvenir que seule une bonne observation suffit. Nous n’avons pas besoin de milliers de cas ni d’aucune autre quantité arbitraire. Ce point étant des plus évidents, il fait partie de ceux qui ont été tout à fait négligés. N’importe quelle personne dotée d’intelligence est en mesure de le comprendre mais les scientifiques doivent s’affranchir de la suprématie des nombres.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/  

Toute une aventure pour une Ame

 

Conférence-atelier sur l’internet

de Sylvie Ouellet

mercredi 13 mai 2015 à 14h30 (h. du Québec) et à 20h30 (h. de Paris)

51qtSa9hDzL._SY344_BO1,204,203,200_Naître, c’est tout une aventure pour une âme ! Que savons-nous sur ce passage ? Qu’avons-nous vécu durant notre propre incarnation ? Se pourrait-il que tout notre quotidien en soit teinté ? Comprendre le passage de la naissance nous permet de dénouer des blocages que nous vivons de manière récurrente et nous aide à découvrir ce que notre âme est venue expérimenter sur Terre. Dans ce passage, elle y a laissé des indices importants qui sont des clés de compréhensions au quotidien tant pour nous-mêmes que pour les âmes qui nous entourent.

Comprendre le voyage de l’âme

• Quels sont les objectifs de ce voyage ?

• Qu’est-ce que le « Projet Conscience ».

• Quels sont les outils dont l’âme dispose et les embûches qu’elles rencontrent sur sa route ?

La préparation à l’incarnation

• Quelle est la cause qui motive une incarnation ? Que vient-elle expérimenter ? Quelles parties de ses mondes intérieurs souhaite-elle observer ?

• Dans quel milieu (familial, social, politique, économique, religieux, etc.) désire-t-elle exécuter ces observations ?

• Comment parvient-elle à effectuer un choix définitif ?

• Est-ce que ce qui se déroule durant l’incarnation découle de la destinée ou du libre-arbitre ?

La descente sur Terre

• Quelles sont les étapes qui surviennent entre le moment où l’être décide de s’incarner et le moment de la naissance ?

• Quelle est la structure. énergétique de l’être en cours de descente vers la Terre ?

• De quelle assistance bénéficie l’être durant tout ce processus d’incarnation ?

• Existe-t-il une communication entre l’être qui s’incarne et la Terre ?

• Que vit cet être durant toute la descente vers la Terre ?

La naissance

• À quel moment survient la naissance ?

• Que vit l’être durant la traversée du col de la mère ?

• Quel est l’important de comprendre les implications des émotions et des pensées vécues durant la naissance ?

L’accompagnement subséquent

• La naissance étant un processus de transformation qui se poursuit tout au long de l’incarnation, quels sont les cycles qui s’y déroulent ?

• Quelle est l’influence des blessures fondamentales sur le quotidien ?

• Quelles sont les pistes que la naissance laisse pour découvrir sa mission de vie et pour trouver un sens aux événements du quotidien ?

Article complémentaire :

La compréhension de la naissance… un allié de taille durant l’incarnation

téléchargement

Sylvie Ouellet

Détentrice d’un baccalauréat en droit, d’un diplôme en droit notarial et d’un certificat en enseignement, elle a pratiqué la profession de notaire durant cinq ans. Elle a été enseignante et formatrice au Collège de Limoilou et à l’ENAP (École Nationale d’Administration publique). Intéressée par la psychologie, la parapsychologie et la spiritualité, elle a suivi de nombreuses formations et elle mène une quête personnelle depuis plusieurs années.

Son cheminement intérieur l’a amenée à écrire six livres, à donner des conférences, des ateliers et des consultations sur l’accompagnement de l’âme au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Europe. Elle a été éditrice adjointe aux éditions Le Dauphin Blanc durant 6 ans. Elle rédige une chronique pour le magazine VIVRE depuis plus de 14 ans. Son travail sur la compréhension des passages de la naissance suscite de l’intérêt chez plusieurs scientifiques car il repose sur des bases concrètes, fouillées et accessibles.

Elle se spécialise dans la compréhension des divers passages de la vie du point de vue de l’âme (naissance, incarnation et mort) pour offrir des outils concrets et holistiques d’accompagnement pour les êtres en transition et trouver un mieux-être durant l’incarnation. Elle a développé ses capacités médiumniques il y a une quinzaine d’années. Ses écrits sont grandement influencés par les communications avec les défunts et avec sa guidance, mais ils proviennent aussi du fruit des recherches effectuées au fil de ces années tant du point de vue scientifique, ésotérique que spirituel.

Bienvenue sur Terre ! publié aux Éditions Le Dauphin Blanc (23 janvier 2009).

Naître c’est tout une aventure ! Le passage de la naissance est plus exigeant que le passage de la mort. En fait, la naissance est également une mort. Pour naître à la Terre, il faut accepter de mourir aux mondes énergétiques plus subtils d’où nous sommes issus. Il faut choisir les bagages de connaissances que nous y apporterons et renoncer au reste. Il faut délaisser un temps, les êtres chers que nous aimons. Ainsi, la mort et la naissance représentent les deux côtés d’une même médaille. Naître à la terre, c’est mourir au ciel, et naître au Ciel, c’est mourir à la Terre…

Elle est également l’auteur des ouvrages :
• Ils nous parlent… entendons-nous ? publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
 J’aimerais tant te parler… publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
• Après la mort, qu’est-ce qui m’attend ? publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
• Mourir l’âme en paix, publié chez Béliveau éditeur

Sylvie Ouellet

Auteure, conférencière, formatrice Courriel : sylvie@sylvieouellet.cawww.sylvieouellet.ca

Conférence accessible en deux clics

Le mercredi 13 mai 2015
à 14h30 (heure du Québec) et 20h30 (heure de Paris) – durée : env. 1h30

Projet Conscience pour donner un sens

e28ee67a57dc73_XLÀ quoi bon tout ce cirque, me direz-vous ? Si le divin sommeille déjà en nous, quelle est l’utilité de venir sur Terre ? Pourquoi séjourner dans un monde matériel si nous n’avons rien à y acquérir et que tout est déjà en nous ? L’idée semble un peu tordue en effet. Pourtant, elle est loin de l’être. Avant d’entreprendre le voyage de l’incarnation, l’être est tel la goutte d’eau dans l’océan ; cette dernière en fait partie intégrante sans distinction, sans individualisation. Pour se connaître en tant qu’individu et pour reconnaître son unicité, elle doit s’extraire de l’océan et devenir une goutte. Ainsi seulement, elle peut être observée de manière individuelle par rapport à cet ensemble dont elle est issue. Il en est de même avec l’être humain. Les voyages sur Terre lui permettre de se détacher du monde de l’unité afin de s’observer et de prendre conscience de sa nature et de son potentiel.

Le cycle des incarnations sert l’ouverture de conscience de l’être ; ce que je nomme autrement « Projet Conscience ». Chaque être vient sur Terre pour recouvrer qui il est dans son essence profonde et quel rôle il joue dans ce tout dont il fait partie. Il a besoin de la matière – ce milieu d’expérimentation qui lui permet d’examiner ses pensées et ses émotions – pour prendre conscience de ce monde intérieur qui l’habite. Quand il se trouve dans le monde de la pensée abstraite (plan causal), dans le monde de la pensée concrète (plan mental) ou dans le monde des émotions (plan astral), il ne peut réellement en mesurer la portée. Le monde matériel le projette en dehors de ces mondes intérieurs et ainsi il peut saisir l’impact de ses pensées et de ses émotions parce qu’il les ressent dans le corps physique.

La Terre est donc un endroit privilégié d’observation à travers l’expérimentation. Le problème, c’est que durant l’incarnation, nous oublions complètement que nous venons ici-bas pour cela. Nous vivons l’incarnation comme si nous étions complètement déconnectés de ces mondes intérieurs et nous avons peine à comprendre la projection se déroule sous nos yeux. Cela est d’autant plus probant dans le monde matérialiste où tout nous ramène en dehors de nous. Plus nous accordons d’importance à l’extérieur, moins l’incarnation a de sens.

Nous ne venons pas ici-bas pour apprendre quoi que ce soit, car nous savons déjà. Nous sommes cette connaissance innée. Nous sommes l’amour, la joie et la paix. Mais ce qu’on nomme le voile de l’incarnation, c’est-à-dire cette sensation d’éloignement de notre essence créé par la présence des corps énergétiques et du corps physique, crée l’illusion d’être séparé de cette essence dont nous sommes issus. Le cycle des incarnations vise à retrouver cette sensation d’unité avec le tout – et donc ce savoir inné – tout en étant incarné. Pour cela, il est nécessaire de revenir au centre de soi. Toutes les expériences terrestres visent donc à ré-apprendre à être Soi unifié dans un monde de dualité. 

En quête de la mission de vie

Cela semble si simple, pourtant très peu de gens ici-bas savent ce qu’ils sont réellement venus accomplir. Plusieurs cherchent leur mission de vie sans jamais avoir la satisfaction de la trouver, parce qu’ils sont en quête de quelque chose à faire. Pour eux mission de vie est équivalent à profession, travail ou occupation. Or, c’est là où le bât blesse, car celle-ci ne se trouve par dans le FAIRE, mais dans l’ÊTRE. Nous ne venons pas sur Terre pour accomplir quelque chose, mais bien pour s’accomplir ; pour déployer l’amour ; pour vivre le bonheur ; pour rayonner la paix ; pour illuminer tout ce que nous côtoyons. La mission de chacun de nous est d’être pleinement conscient de cette essence lumineuse dans chaque geste, chaque ressenti, chaque pensée.

Le monde matériel permet d’expérimenter l’amour, la joie et la paix sous toutes leurs facettes. Chaque expérience incite à choisir consciemment ou inconsciemment ces états d’être. Il nous donne la possibilité d’observer ce que nous créons dans nos pensées abstraites et concrètes, dans nos émotions, nos croyances et nos perceptions, et d’en ressentir les effets dans le corps physique. Il permet de constater ce qui agit ou ré-agit face aux situations extérieures. L’action est issue du moment présent et est donc alignée sur une connexion à soi. La réaction provient d’un schème de pensée ou d’une émotion passée, et nous indique une zone de ce monde intérieur à explorer. Voilà toute l’utilité et la pertinence des séjours sur Terre. D’incarnation en incarnations, la conscience de qui nous sommes s’accroît grâce à l’expérimentation et au ressenti qui en découle. Ce que nous matérialisons en nous et à l’extérieur de nous devient de plus en plus empreint d’amour, de paix ou de joie.

Ultimement, ce ne seront plus les circonstances extérieures qui dicteront nos états d’être mais bien un choix conscient. À ce moment, nous maîtriserons notre monde intérieur et le cycle des incarnations sera achevé. Mais une question ici s’impose. Comment pouvons-nous utiliser au mieux chacune des incarnations pour clore ce cycle le plus rapidement possible ?

 téléchargement (1)

À la recherche des indices laissés sur la route…

La première étape est sans aucun doute de reprendre contact avec soi. Puisque tout part du monde intérieur, il est dès lors requis de prendre le temps d’observer les pensées et les émotions qui s’y trouvent. Cela peut sembler fastidieux si nous n’avons pas de mode d’emploi. Par contre, l’exercice devient fort passionnant, mais une des pistes intéressantes pour mieux s’y retrouver est de retracer la leçon fondamentale. Elle pourrait aussi se nommer « ligne directrice de l’incarnation ». Avant de venir sur Terre, l’être se fixe des buts et objectifs d’ouverture de conscience à atteindre. Les événements du quotidien seront donc tous orientés vers cette fameuse ligne directrice. C’est elle qui tisse la trame de fond de l’incarnation. Il y a cinq grandes lignes directrices : l’amour de soi, la plénitude, la valorisation, la loyauté et la tolérance.

Mais de quoi parlent ces lignes directrices ou ces leçons fondamentales ? Si l’on peut les résumer à leur plus simple expression, on pourrait dire que chacune d’elles est une facette de l’amour inconditionnel. D’abord et avant tout, elles nous plongent au cœur de l’expérience de l’amour de soi pour ensuite nous apprendre à estimer à sa juste valeur cet être et lui accorder l’attention qu’il mérite. Ainsi, les relations aux autres et au monde extérieur nous reflètent l’état de l’amour que nous dédions à notre être. C’est souvent pour cela que nous avons de la peine à saisir le sens des événements, car nous cherchons au dehors une explication à tous les manquements d’amour que nous expérimentions dans ces relations.

Il est donc beaucoup plus facile d’observer le monde intérieur quand cette ligne directrice est connue, car c’est elle qui permet de donner un sens à ce qui arrive au quotidien. Comment la trouver alors ? En observant les indices émotionnelles rattachés aux cinq blessures fondamentales (rejet, abandon, humiliation, trahison et injustice). On trouve d’autres indices dans ce qui a été vécu lors de la naissance : siège, cordon autour du cou, césarienne, utilisation de forceps, arrivée en avance ou en retard, etc. Certains indices s’observent dans le comportement relationnel, dans la répétition cyclique des crises émotionnelles ou des grands passages à vide de l’incarnation. Enfin, d’autres se révèlent en fonction du cycle énergétique dans lequel on se trouve.

Toutes ces informations sont telles les pièces manquantes d’un grand puzzle. Une fois emboîtées les unes aux autres, elles viennent lier les événements de l’incarnation entre eux et donnent une image claire de cette ligne directrice. C’est là que se révèle le sens profond à toute notre histoire. 

Sortir du cocon

La ligne directrice est une clé majeure pour dénouer bien des impasses de l’incarnation. Elle permet aussi d’éviter des écueils émotionnels dans lesquels il est facile de s’empêtrer en l’absence de cette information cruciale. Bref, c’est là tout l’intérêt de connaître le fonctionnement du processus de la naissance et d’y découvrir quels sont les enjeux de transformation que l’être s’est fixé au tout début de son incarnation.

Pour devenir créateur de sa vie, il faut comprendre les règles qui la sous-tendent. C’est cela qui nous permet de sortir du cocon et d’accélérer l’ouverture de conscience. Il ne s’agit pas ici de vouloir court-circuiter un processus essentiel. Bien au contraire ! Cette connaissance permet d’en suivre le mouvement en toute conscience et d’en décupler les effets.

Qui plus est, ces nombreuses expérimentations de transformation vécues en cours d’incarnation nous prédisposent à vivre le passage de la mort avec une plus grande sérénité. Le contact avec les mondes intérieurs durant l’incarnation permet de mettre en lumière les peurs, les doutes, les croyances, les formes-pensées qui nuisent à l’état de paix profonde et de s’en libérer. Le travail de trépas en est donc fortement allégé et écourté.

Chaque jour présente des situations pour naître et mourir à soi. Savons-nous les reconnaître et surtout saisir les occasions de transformations qu’elles nous proposent ? Chacune d’elle est en fait une invitation à se libérer de tout ce qui nous éloigne du bonheur et donc de nous-mêmes. Chaque instant est un appel à soi ; un rappel à l’amour.

Accepter cette invitation, c’est oser naître à soi ; c’est dire consciemment « oui à la Vie ! » Je vous souhaite de nombreuses naissances, toutes les plus merveilleuses qui soient !

 source Sylvie OuelletAuteure, conférencière, formatrice - site : www.sylvieouellet.ca

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 25 avril, 2015 |Pas de commentaires »

Comprendre les Métamorphoses de l’âme

AMES

 

L’Ego spirituel – le foyer de conscience et d’identité spirituelle – de l’homme se meut dans l’éternité comme un pendule qui oscille entre les heures de la naissance et la mort. Mais si ces heures qui marquent les périodes de vie terrestre et de vie spirituelle sont limitées dans leur durée, et si la série de ces étapes à travers l’éternité, entre le sommeil et la veille, entre l’illusion et la réalité, a un commencement et une fin, le pèlerin spirituel n’en est pas moins éternel. 

La réalité de ce pèlerinage se trouve surtout dans les heures de la vie post mortem où, désincarné, l’être humain se retrouve face à face avec des vérités essentielles, et non plus avec les mirages de ses existences terrestres passagères. Malgré leurs limites, ces intervalles n’empêchent cependant pas l’Ego de suivre sans dévier – bien que graduellement et lentement – le chemin qui l’amènera jusqu’au point de sa dernière transformation où, ayant atteint son but, il devient lui-même un être divin. Ces intervalles et ces étapes aident à atteindre le résultat final au lieu d’en entraver la réalisation. Et, sans de tels intervalles limités, l’Ego divin ne pourrait jamais atteindre son but ultime.

De même que l’abeille recueille son miel de chaque fleur qu’elle visite et laisse le reste en pâture aux vers de la terre, de même notre individualité spirituelle ne recueille de chaque personnalité terrestre, dans laquelle karma la force à s’incarner, que le nectar des qualités spirituelles et de la soi-conscience ; elle réunit l’ensemble de ses récoltes en un tout unique et sort finalement de sa chrysalide comme un être un glorifié.

Lorsque la mort arrive, cette âme se dégage du corps, mais, après, que se passe-il ? Quelles sont les nécessaires métamorphoses pour cette âme ? Pour beaucoup de croyants, celle-ci est dirigée soit sur le purgatoire, soit sur l’enfer, soit sur le paradis. En fait, le 19e siècle, fut une époque où l’idée de l’âme s’est confortée considérablement grâce au spiritisme. Il devenait crédible non seulement que l’âme était immortelle mais qu’elle restait assez près de la terre pour pouvoir communiquer parfois par la voie des médiums. Cependant, dans le même temps, les choses se gâtaient avec le développement de la  science. Au tournant du 20e siècle, cette science triomphante nous fit douter qu’il existât quoi que ce soit qui ressemble à une âme immortelle distincte du corps physique.

La conscience était-elle autre chose qu’un épiphénomène ? une manifestation du fonctionnement du cerveau ? Si tel était le cas, parler des « nécessaires métamorphoses de l’âme » après la mort perdait tout sens logique. Si, après la mort, il n’y a plus rien, il n’y a plus d’âme, ne cherchez pas !

Cependant, ce 19e siècle a été remarquable par l’irruption de l’Orient dans la pensée occidentale. Il n’y avait plus, en présence, que la tradition dogmatique religieuse et la science : il y avait aussi l’apport des penseurs de l’Orient. Grâce à l’Orient, on pouvait maintenant apprécier les choses d’une façon différente. Il n’y avait notamment pas création d’une âme à chaque naissance de corps puisqu’il fallait tenir compte de la réincarnation. Et cette âme personnelle que l’on imaginait comme passant par des alternances de vie et de mort était  profondément enracinée quelque part dans ce que l’on devait appeler le Soi cosmique ou le Soi universel.

La psychologie est la science de l’âme ou de l’esprit, mais on a élaboré une psychologie humaine sans âme, sans croyance à une âme immortelle, distincte du corps, simplement, sur l’analyse des faits psychologiques, des pensées, des désirs, des pulsions intérieures et de l’analyse des rêves. Cette psychologie est une science psychologique « matérialiste », qui n’imagine pas qu’il puisse y avoir une dimension bien plus vaste à l’âme humaine que celle dont on peut découvrir les manifestations. Mais, avec le temps les choses ont évolué : on a vu ainsi se développer une psychologie transpersonnelle, où l’influence de sages orientaux est indéniable.

Dans ce climat de changement, une nouvelle révolution s’est produite dans la pensée de l’Occident, avec l’irruption de ce que l’on appelle les « N.D.E. », (les expériences de mort imminente). Avec toutes les enquêtes qui ont été faites, on s’est rendu compte que, lorsqu’une personne approchait de très près la mort, finalement, ce n’était pas le « trou noir », l’extinction que l’on aurait dû attendre lorsque le cerveau apparemment cesse de fonctionner. Au contraire, ce sont des instants de surconscience tout à fait extraordinaires. Tout nous oblige à une profonde révision de la notion de l’âme, qui n’est plus simplement ce qui anime le corps, sent et pense en lui.

Ainsi donc, beaucoup des conceptions sur l’âme que l’on pouvait avoir au 19e siècle, encore tout imprégné des idées de la chrétienté, ont dû être revues considérablement. La Théosophie de Madame Blavatsky est arrivée (vers 1880) avec beaucoup d’avance sur tout ce qui devait faire les nouveautés du 20e siècle : vulgarisation des conceptions orientales (philosophie, psychologie, karma et réincarnation), psychologie transpersonnelle, approche lucide de la mort et N.D.E.

On va donc commencer par examiner ce qui se passe au moment où une personne est en train de mourir.

Madame Blavatsky l’avait dit dans Isis Dévoilée (1877), la mort n’est jamais immédiate, c’est un processus progressif naturel, au cours duquel les choses, pourrait-on dire, se mettent en place. Dans leur conscience, les témoins de N.D.E. se sont trouvés encore « très vivants » ; certains d’entre eux ont raconté que, pendant que les médecins essayaient de ranimer le corps, ils sont sortis de ce corps pour l’apercevoir, là, sur une civière ou bien sur la table d’opération, en suivant très clairement toutes les opérations de réanimation. Première constatation importante : ces personnes « découvraient » qu’elles n’étaient pas leur corps, qu’elles restaient tout à fait conscientes en dehors de lui. Puis, après le passage dans une sorte de trou noir, d’un étroit tunnel, où elles s’engouffraient, il y avait comme un reflux de la conscience, loin du champ de ces expériences en rapport avec le monde physique, pour accéder finalement à une atmosphère extraordinaire de joie, de bonheur, de paix, d’amour, de lumière. Et là, dans cette transcendance, s’imposait la sensation d’une Présence, d’un être invisible mais très présent, qui semblait tout connaître du personnage en train de mourir. Expérience tout à fait extraordinaire, n’ayant rien de commun avec un rêve ou une hallucination.

Nous avons ici l’impression de toucher une dimension de l’être qui est bien plus grande, bien plus profonde que celle qu’explorent habituellement les psychologues ou les psychanalystes. À ce moment, le mourant pénètre dans la sphère de ce que le docteur Moody a appelé l’ « Être de lumière ». Avec les explications fournies par Mme Blavatsky, on peut comprendre qu’il s’agit, en fait, d’une partie essentielle de nous-mêmes : c’est notre vraie racine spirituelle, alors que la conscience que nous avons en ce moment, ici, dans le corps vivant, la personnalité qui s’est construite depuis l’enfance et tout au long de la vie, cette personnalité n’est qu’un personnage sur la scène terrestre, qui joue un rôle, le temps d’une vie, entre la naissance et la mort ; mais derrière ce personnage, soutenant ce personnage, il y a, en permanence, une conscience profonde, puissante, une conscience  pour ainsi dire, trans-personnelle, qui apparaît comme un foyer de lumière, de connaissance, de volonté et d’amour, et qui demeure très étroitement lié à ce personnage que l’on serait tenté d’appeler l’ âme personnelle, impliquée dans l’histoire de notre existence.

Ainsi donc, si on tient à appeler âme la totalité de notre être intérieur, on voit qu’il y a en elle une dimension beaucoup plus grande que ce qu’évoque la psychologie courante, une dimension spirituelle très forte, dont notre « moi » n’est que le poste avancé, ici, dans le corps impliqué dans ce monde.

La suite des récits des rescapés de la mort est également passionnante, et s’éclaire avec la Théosophie. Il est question d’expériences cognitives extrêmement importantes dont la première est la revue intégrale de toute la vie qui vient de s’écouler, une revue panoramique complète dans laquelle le témoin est, semble-t-il, à la fois acteur et observateur (un genre d’expérience que l’on n’a pas du tout l’habitude de faire). Autrement dit, on revoit tous les détails de l’enfance, de l’adolescence et de l’âge adulte, à la fois comme l’acteur – on se rappellera par exemple une ancienne chute à vélo – mais on éprouvera aussi les choses de l’extérieur, comme un observateur qui saisit les rapports entretenus avec les autres, qui comprend le sens de ces rapports et l’influence qu’ils ont eue sur les autres. C’est vraiment quelque chose de tout à fait extraordinaire. On peut même revoir une scène de violence contre un tiers, mais ressentir en même temps ce que le tiers a vécu à cet instant.

Comme Mme Blavatsky l’a signalé en 1889, dans certains cas, il y a même une revue d’une ou plusieurs incarnations précédentes – ce qu’ont confirmé certains témoins de N.D.E.. Ajoutons que dans cette atmosphère tout à fait extraordinaire, il n’y a aucun jugement, aucune condamnation. Mais, à ce moment-là, la justice et la justesse des événements apparaissent très clairement à la personne : il s’est passé telle chose, les événements se sont enchaînés de telle façon.

Notez bien que, cette vision, qui est pratiquement instantanée, sera rapportée plus tard par la personne ranimée, qui, quant à elle, est habituée à vivre dans le temps, dans l’espace, dans l’écoulement des moments. D’où la difficulté qu’elle aura, au retour, à décrire son expérience vécue, pour ainsi dire, hors du temps et de l’espace. Embrassant un passé, parfois lointain, le témoin d’une NDE peut aussi, dans certains cas, apercevoir le déroulement d’événements qui vont se produire lorsque la personne sera revenue dans son corps.

Les gens qui ont fait une NDE ne sont pas morts, évidemment, puisqu’ils sont revenus. Ce qui a été souvent vécu par le témoin est comme un instant de choix : dans le discours qui s’échange entre la personnalité et sa racine profonde, les mots semblent être : «  Est-ce que tu veux rester ou bien revenir ?  » Là, le choix éthique s’impose. La personne sent qu’elle ne peut pas « s’en aller » : il y a un mari, des enfants qui ont besoin d’elle, ou bien telle mission, tel ou tel devoir à accomplir. Elle choisit donc de revenir et aussitôt elle réintègre son corps. Il faut remarquer la tonalité éthique qui marque cet ultime échange avec le Soi profond.

Si le mourant avait obtenu de mourir, que serait-il arrivé ? Comme il lui a semblé, il y avait comme une porte, une limite, une barrière à franchir pour « partir », mais pour aller où ?

Pour la Théosophie, la mort n’est pas une extinction – loin de là. Pour mieux comprendre ce qu’elle réserve, il faut analyser un peu ce que représentent ces deux instances réunies dans les N.D.E. : la conscience active (la psyché terrestre) et ce que peut être cette Présence extraordinaire, qui a l’air de savoir tout de cette psyché et se manifeste comme un foyer de lumière, un foyer d’amour, de compassion. Pour la Théosophie, nous découvrons l’opposition très claire entre un moi personnel et un Soi impersonnel, individuel, mais, qui, en somme, agit comme un parent pour ce moi, qu’il soutient pendant toute la vie du personnage que nous sommes ici-bas. À juste titre, on peut utiliser le mot Soi pour exprimer que c’est, en quelque sorte, la quintessence du moi, ou la racine essentielle de ce moi. C’est, en fait, le principe de notre identité ; si j’ai le sentiment d’un « je » c’est parce qu’il y a ce principe d’identité au fond de mon être. Cependant, d’après la Théosophie, ce Soi individuel n’est qu’une manifestation, ou une réflexion, du Grand Principe d’Identité qui pénètre tout notre univers et qui le soutient de tout son pouvoir divin. À cette échelle cosmique, on peut lui donner des noms différents : Logos, Atman ou Brahman, selon les traditions du passé. L’essentiel pour nous tenant à cette constatation : notre personnalité actuelle, par le canal de ce Soi individuel, est suspendue, un peu comme un fœtus, à la grande matrice de l’univers ou à la vie, même de cet univers. Et il en est de même de tous les êtres humains qui nous entourent.

S’il est vrai que le personnage que je suis en ce moment tire tous ses principes vivants - l’intelligence, la capacité d’aimer, et d’agir efficacement, la capacité de créer, et même le génie potentiel qui attend de se manifester – s’il est vrai que nous portons tous quelque chose du génie sans limite de l’humanité – si tout cela est dû à cette Présence qui apparaît à l’heure du décès, et nous relie à l’univers c’est qu’il y a, dans tout ce mystère, une signification à découvrir.

Tous ces pouvoirs dont nous disposons ne peuvent être des cadeaux gratuits de la Nature : elle doit avoir un projet avec nous. Quand arrive la fin d’une expérience terrestre, tout ce qui aura été vécu n’a pas dû l’être en vain ; si la Nature est conséquente, de même qu’un arbre qui vit contribue à l’équilibre de la biosphère et n’est pas là en vain, de même avec nous toutes les expériences que nous avons pu faire ne sont pas gratuites : elles ont pu contribuer à l’équilibre et au progrès de notre monde. Bien sûr, dans le bilan final, certaines sont complètement caduques et stériles, d’autres vont entraîner des conséquences mauvaises (c’est la loi de karma) mais d’autres encore vont produire des effets constructifs (c’est aussi la loi de karma), dont nous allons récolter les effets. Finalement, il doit y avoir une richesse à préserver dans toute existence vécue.

Les systèmes qui expliquent qu’après la mort on revient de suite sur terre (réincarnation immédiate) ne donnent pas à la nature le temps d’engranger la richesse produite par une personnalité terrestre. Même si le bilan de richesse est faible, il est rarement tout à fait nul. Bien sûr, pour les personnes qui pensent qu’après la mort il n’y a plus rien, le vivant est un peu comme un figurant qui passe sur la scène : après la fin de l’acte, il disparaît pour toujours.

Mais si on pense que l’être humain tel qu’il est en ce moment est lancé dans un pèlerinage, il est très clair que chaque existence vécue devrait marquer, en progrès, une étape dans ce pèlerinage. Nous sommes tous issus d’une même source, d’un même point de départ qui est la divinité que nous portons intrinsèquement en nous, mais dont nous n’avons pas conscience. Dès lors, le projet de la nature est de nous ramener périodiquement sur la scène terrestre, pour y faire des expériences, enrichir notre être en profondeur, jusqu’à ce que, finalement, notre conscience s’éveille pleinement à sa nature divine, à sa nature spirituelle.

Examinons donc ce qui peut se passer après la mort.

Normalement, l’économie de la nature s’arrange pour que l’étape du pèlerinage qui vient d’être franchie soit fructueuse. Par conséquent, tous les phénomènes qui vont se dérouler, devraient nécessairement confirmer ce que laissaient présager les rêves de mort : beaucoup de choses secondaires seraient perdues mais l’essentiel serait conservé. Ces idées ont été déjà esquissées par un philosophe platonicien du 1er siècle, du nom de Plutarque. Il a expliqué que l’homme n’est pas seulement corps et âme, soma et psyché, mais qu’il possède aussi une dimension spirituelle, le noûs, qui est un peu comme le soleil, par rapport à notre corps et qui est lié à la terre, l’âme intermédiaire ou psyché, étant à rapprocher de la lune, qui sert de pont entre les deux. Pour cette partie solaire, Plutarque emploie le mot Soi, autos en grec : c’est ce qui permet aux êtres de penser et de comprendre. Ainsi donc, pour Plutarque, ce qui se passe après la mort doit se passer suivant un processus logique ; après la première mort (qui concerne le corps), il doit y avoir une deuxième mort, séparant cette fois le noûs de la psyché : elle se passe dans le champ de la lune – le monde psychique par excellence.

Pendant la vie, le personnage que nous sommes, qui utilise tous les pouvoirs que nous connaissons, avec un cerveau, une machinerie à penser et à sentir, ce personnage représente, un peu le poste avancé du Soi profond ; mais, si on fait l’inventaire, il y a des tas de choses qui sont complètement sans valeur dans cette machinerie, dans cette personnalité – tous les souvenirs de la routine de notre vie, d’une façon générale qui ne méritent guère d’être conservés dans tous les détails. Par ailleurs, le Soi profond, que la première mort libère du corps physique, devrait-il conserver la machinerie astrale, liée au cerveau physique pendant toute la vie, pour aller vivre loin de la terre et se retirer sur son propre plan ? Non, certainement pas. De même que l’acteur qui sort de scène s’en va dans sa loge et se défait de son grimage, de son costume, de toutes ces choses qui lui étaient nécessaires pour jouer son rôle, de même, lorsqu’il vient à quitter la scène de la vie, la Loi de la Nature doit permettre au Soi-Ego de se défaire d’instruments astraux ou psychiques désormais inutiles.

Pour Plutarque, la deuxième mort abandonne, dans la sphère de la Lune, ce qu’il faut appeler un « cadavre psychique », privé de vie et de conscience, et destiné à se désintégrer dans l’espace lunaire. Ensuite, la partie spirituelle de l’être – son noûs, qui survit à cette mort – s’élève pour aller du côté de la Lune qui est tourné vers le soleil, par l’amour que ce noûs porte en profondeur à la lumière du soleil. Tout cela est très symbolique, bien sûr, mais éclaire singulièrement l’itinéraire posthume qui nous attend tous.

Avec la Théosophie, les choses se précisent, grâce aux indications fournies par les Maîtres de Mme Blavatsky. Essentiellement, on doit distinguer , après la mort, deux grandes étapes : une phase de rejet par le Soi-Ego, où il se décharge des bagages inutiles (trop liés à la terre) et une phase de retrait dans une béatitude où il peut assimiler le butin spirituel de l’existence passée.

Dans la première phase, se déroulent non seulement l’abandon progressif des machineries astrales qui ont servi, en rapport avec le cerveau et le corps physique, à fonctionner comme une personne incarnée sur la terre, mais aussi, un tri minutieux dans toutes les pensées, les images, les énergies et tout ce qui a fait le tissu de la vie de la personne incarnée, de telle sorte que n’est conservé que ce qui est homogène à la nature du Soi spirituel, ce qui a été inspiré par l’idée de justice, de beauté, de vérité, par l’amour, par tous les idéaux les plus nobles ou les plus riches que nous ayons pu avoir. À de rares exceptions près, tous les êtres humains ont nourri, secrètement ou ouvertement, des aspirations de ce genre, de vivre un idéal – même chimérique -, et toutes ces énergies psychiques de qualité spirituelle demeurent dans l’intimité de l’être comme autant de ressorts tendus qui demanderont à se détendre. Une fois accomplis ce tri et ce rejet, le moment vient pour le Soi profond, ainsi « allégé », d’entrer dans une période de félicité extraordinaire, qui ressemble au paradis de toutes les religions mais qui n’est pas un paradis où l’on contemple Dieu et où l’on marche dans les rues de la Jérusalem céleste pavées d’émeraudes et de rubis : c’est un paradis subjectif, complètement intérieur.

Le Soi-Ego, avec toute sa puissance – enfermé dans sa propre sphère, pourrait-on dire – va reprendre et redonner vie à toutes les images, toutes les idées, toutes les énergies, tout ce qui a été produit de positif par le personnage qu’a été l’être humain, avec son cerveau, son cœur, ses mains, etc. Toute cette richesse-là, va être exploitée à fond, par une espèce de méditation dans laquelle l’être va redonner vie à l’or de chacun de ces instants de soi-conscience humaine, et cela en dehors de toute contingence liée à la terre, aux problèmes et aux chagrins d’ici-bas.

Au moment de la mort, l’homme qui découvre, dans sa vision ultime, la présence d’un être rayonnant ne comprend pas ce qu’il représente pour lui – comme l’a dit très bien un psychologue, Kenneth Ring ; il ne comprend pas qu’il est lié directement à cet être-là, comme le moi incarné à son Soi transcendant. Mais, dans l’expérience qui est vécue maintenant, la face lumineuse de ce « moi » reprend vie, grâce au pouvoir spirituel de ce Soi : elle est, en quelque sorte, « immortalisée », assimilée comme une grande image dynamique dans la mémoire de l’être spirituel.

Cette expérience béatifique se prolonge considérablement, aussi longtemps qu’il y a une moisson à engranger, pourrait-on dire. Cela peut durer des centaines d’années. La Théosophie a avancé le chiffre de dix ou quinze siècles. Platon et les Égyptiens ont parlé de deux mille, trois mille ans. Peu importe d’ailleurs : il ne peut s’agir de quelques semaines, pour le Soi-Ego retiré dans sa sphère où rien ne l’oblige à revenir sur la terre – tant qu’il y a pour lui des énergies et des images à assimiler.

Dans les religions, il y a, après la mort, récompense et bonheur pour les bons,  punition et souffrance pour les mauvais. Avec la Théosophie, il n’y a rien de pareil. Le « devachan » n’est pas une récompense « pour les bons », mais une phase de repos et d’assimilation bienheureuse du bilan positif de la vie d’un être, qui a par ailleurs pu avoir des côtés « mauvais ».

Avec la loi de karma, on peut être sûr que les conséquences karmiques des actions et attitudes positives se manifesteront dans l’incarnation suivante ou les incarnations ultérieures, et, de même, que les conséquences mauvaises des attitudes négatives ne manqueront pas d’être récoltées dans les incarnations à venir sur la terre, où les causes positives ou négatives ont été semées.

Maintenant, qu’est ce qui va faire que sonne l’heure de revenir à l’incarnation ?

C’est précisément qu’il n’y aura plus d’énergies pour soutenir l’être dans son expérience lumineuse. Dès lors va se faire sentir précisément l’influence de tout le karma qui a été produit à travers les causes semées dans la vie précédente. Bientôt viendra le moment où le flux qui a emporté la conscience jusqu’au plus haut niveau possible s’inversera pour l’entraîner irrésistiblement à s’incarner dans un nouveau corps de chair. Le nouvel enfant qui naîtra sera ignorant de tout ce qui s’est passé jadis, mais il entrera dans la vie avec une richesse cachée puisque cette richesse constitue le bilan positif de l’incarnation dont il hérite à présent. Si cette richesse-là est bien mise à la disposition de cet enfant, il est clair que son existence ne  s’engagera pas dans les mêmes conditions que la vie précédente. Dans la mesure où cette richesse est notable, la distance qui séparera la nouvelle personnalité humaine de son Soi-Ego profond se trouvera diminuée.

En règle générale, si un homme s’engage vraiment dans la voie de l’éthique supérieure – l’éthique universelle – un lien de plus en plus solide se construit avec ce Soi, ce qui constitue, pour l’âme qui se réincarne, une progression authentique. Lors d’une nouvelle naissance, marquée d’événements qui sont les conséquences karmiques du passé, tout cela va permettre au personnage terrestre d’y voir plus clair et, peut-être, de disposer d’une façon plus efficace des pouvoirs qui viennent de l’être de lumière – volonté, intelligence, amour, créativité, ou même génie particulier, dans un domaine ou un autre – tout cela étant notre héritage, en quelque sorte, notre héritage spirituel, à nous les hommes de la terre.

L’optique théosophique ne relève pas de l’invention humaine. Elle révèle toute la dimension bénéfique de la mort, qui apparaît comme l’alliée invisible de la vie. La mort, cette « ultime extase » de l’existence (comme l’a rappelé Mme Blavatsky) doit cesser de nous effrayer, comme si elle nous plongeait dans le néant. Et la Nature se révèle ici extrêmement clémente en nous permettant, pendant l’expérience posthume, d’assimiler en profondeur, et d’une façon efficace, tout ce que nous avons pu semer de généreux, tout ce qui ressemble à de l’idéal, de l’amour, de la conduite éthique.

Conférence sur « La Mort et les nécessaires métamorphoses de l’Âme »
Condensé d’un document du site  http://www.theosophie.asso.fr/

ETAPES de la réincarnation

Vie-antérieure-image


Qu’est-ce que la réincarnation ? Il faut d’abord la différencier de la métempsychose qui sous-entend la réincarnation passant d’un règne à un autre, par exemple du règne animal au règne humain ou l’inverse. La réincarnation bien comprise sous-entend en revanche la «renaissance » d’une âme dans le même règne à travers un véhicule adéquat. C’est-à-dire qu’une âme humaine ne se réincarnera que dans des corps humains adaptés à son évolution propre et pas dans un corps animal

Un animal par contre peut passer d’une espèce animale inférieure à une espèce supérieure. Par exemple un loup – ou plutôt l’âme d’un loup – arrivée à son stade évolutif ultime pour son espèce peut très bien poursuivre son évolution en s’associant à un corps de chien car ces deux espèces sont liées par l’évolution et présentent des caractères physiques communs ou similaires. En outre, les animaux domestiques supérieurs, au contact de l’homme, ont développé des facultés que ne possèdent pas les animaux sauvages. Ce qui représente (en principe ) un avantage pour la poursuite de l’évolution d’une âme animale.

Selon la philosophie ésotérique traditionnelle – ésotérique car non exotérique – la différence entre l’être humain et l’animal est nette. L’homme possèderait en effet un « corps causal » développé que ne possède pas l’animal. L’origine de l’âme humaine se trouverait dans ce qu’on appelle des monades ou étincelles divines. La monade humaine serait dit-on triple dans sa nature. Elle contiendrait l’ Esprit, l’âme spirituelle et l’âme humaine. Ces trois aspects se retrouvant également dans la philosophie indienne sous les noms d’origine sanscrites de Atmâ ( âme), Bouddhi (intelligence intuitive) et Manas (intelligence rationnelle).

Les animaux en majorité possèderaient une âme groupe

Plus l’animal serait évolué, moins les spécimens de ce groupe d’âmes seraient nombreux. Si on prend des mouches par exemple qui appartiennent au même groupe, des milliards de ces mouches ne possèderaient qu’une âme commune. Selon cet enseignement philosophique ces mouches ne se réincarnent donc pas d’une façon individuelle car elles ne possèdent pas le corps causal leur permettant de poursuivre une évolution individuelle. Un animal évolué par contre : singe, chien, chat, cheval, éléphant, dauphin… appartient d’habitude soit à une âme groupe restreinte, soit a acquit au cours de son évolution une âme individuelle. La seule différence pour l’animal est qu’il ne possède pas la possibilité de développer fortement son intelligence car Manas en lui n’existe pas ou uniquement à l’état embryonnaire. Son intelligence créatrice est donc des plus limitées par rapport à l’être humain. Ce qui paraît évident pour tous je suppose.

Reprenons la destinée de l’âme humaine. Chaque être humain possèderait donc une âme individuelle survivant à la mort du corps physique. Il existe probablement suffisamment d’univers parallèles vibratoires pour pouvoir accueillir un nombre élevé d’âmes humaines désincarnées. Là n’est pas le problème. Mais il faut souligner ici un point d’une extrême importance. L’âme d’une personne n’est pas sa personnalité transitoire ! Lorsque Monsieur Jean Dupont meurt, sa vie de Jean Dupont se poursuit bien un certain temps dans l’au-delà (temps extrêmement variable qui peut aller de quelques heures à plusieurs millénaires) mais finit par se dissoudre dans le réceptacle ou le dossier de son âme où elle apporte la synthèse de ses expériences passées dans sa vie de Jean Dupont.

Si l’évolution de l’âme de Jean Dupont nécessite une incarnation supplémentaire, son âme réintègrera un corps physique qui lui permettra de poursuivre cette évolution. Mais sa vie alors ne sera plus celle de Jean Dupont mais bien celle de Jacques Durand – par exemple. Et Jacques Durand ne saura même pas qu’il a été Jean Dupont précédemment, car les « compteurs » sont remis à zéro à chaque incarnation et chacun renaît avec un cerveau vierge de souvenirs de vies antérieures. On ignore donc le plus souvent que plusieurs personnalités différentes contribuent à l’avancée d’une seule âme. Par analogie, les personnalités et incarnations diverses pourraient être associées à des fichiers informatiques et l’âme individuelle au dossier principal.
Il y a cependant des exceptions par rapport au souvenir d’anciennes incarnations et certaines personnes parviennent parfois à retrouver le fil de leurs anciennes vies, c’est-à-dire à remonter jusqu’à leur dossier de Vie individuelle et en recueillir quelques fragments.

Si l’évolution de l’âme de Jean Dupont nécessite une incarnation supplémentaire, son âme réintègrera un corps physique qui lui permettra de poursuivre cette évolution. Mais sa vie alors ne sera plus celle de Jean Dupont mais bien celle de Jacques Durand – par exemple. Et Jacques Durand ne saura même pas qu’il a été Jean Dupont précédemment, car les « compteurs » sont remis à zéro à chaque incarnation et chacun renaît avec un cerveau vierge de souvenirs de vies antérieures. On ignore donc le plus souvent que plusieurs personnalités différentes contribuent à l’avancée d’une seule âme. Par analogie, les personnalités et incarnations diverses pourraient être associées à des fichiers informatiques et l’âme individuelle au dossier principal.

Il y a cependant des exceptions par rapport au souvenir d’anciennes incarnations et certaines personnes parviennent parfois à retrouver le fil de leurs anciennes vies, c’est-à-dire à remonter jusqu’à leur dossier de Vie individuelle et en recueillir quelques fragments.

Lorsque Jacques Durand mourra, le processus de réincarnation se répétera, et cela jusqu’à ce qu’il atteigne un palier évolutif supérieur que l’on appelle d’habitude la Réalisation. A partir de là l’âme peut ou non choisir de se réincarner, choisir une vie de « boddhisattva » ( aide spirituel) ou poursuivre ailleurs, dans d’autres mondes ou d’autres univers son évolution. Voilà résumée en une ébauche très sommaire en quoi consiste la réincarnation selon la philosophie ésotérique.

Kham – Exclusivité FRANCE LECTURE 

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 28 mars, 2015 |2 Commentaires »

Cannes choisit… l’extraordinaire

images (1)Depuis deux ans, le Festival de Cannes, qui est devenu l’un des événement les plus médiatisés au monde, ne cesse de surprendre par ses choix. Qu’en sera-t-il cette année ? Retour sur les deux dernières Palme d’Or qui soufflent encore un vent d’extraordinaire sur la croisette.

Comment comprendre la nature, la grâce et toutes les choses mystérieuses qui nous entourent et qui font de la vie une énigme ? Les deux dernières Palmes d’Or, parfois incomprises, ont malgré tout marqué le public et le monde du cinéma par leurs profondeurs existentielles. 

Vies antérieures

En 2010, le jury décernait la récompense suprême au film Oncle Boonmee. Marqué par des apparitions magiques, des fantômes et des souvenirs de vies antérieures, le long-métrage d’Apichatpong Weerasethakul imposait une nouvelle thématique sur la croisette : la réincarnation. « L’idée de réincarnation était déjà présente dans mes films précédents. Cette fois, c’est, de manière évidente, inspiré d’un homme qui peut convoquer ses différentes existences… » confiait le réalisateur. 

Oncle Boonmee est l’adaptation d’un ouvrage titré A Man who can recall his past lives qui raconte l’histoire vraie de cet homme, venu trouver un moine dans un temple du nord-est de la Thaïlande, et lui avait raconté que lorsqu’il entrait en méditation, il pouvait faire revenir ses existences passées.  

Image de prévisualisation YouTube

Hymne à la vie

En 2011, le jury poursuivait sur sa lignée en attribuant la Palme d’Or au film de Terrence Malick The Tree of Life (L’Arbre de la vie). Une épopée cosmique, construite comme un hymne à la vie, un regard croisé sur la genèse de l’humanité et la jeunesse difficile d’un garçon des années 1950. Une idée qui avait trotté dans la tête du réalisateur depuis plus de 40 ans et qui soulève de nombreuses questions existentielles. 
 

Image de prévisualisation YouTubeDepuis l’existence du Festival, jamais deux films autant consacrés à l’extraordinaire n’avaient été récompensés deux années de suite. Le monde est-il en train de changer ? L’extraordinaire s’invitera-t-il une nouvelle fois cette année au programme du Festival de Cannes ? Réponse dans une quinzaine de jours.
Publié dans:VIDEOS à voir, VIES ANTERIEURES |on 23 août, 2014 |Pas de commentaires »

Sous influence de nos vies antérieures

 

  téléchargement (5)  Beaucoup de ceux que nous croisons au quotidien sont des âmes que nous côtoyons en fait depuis plusieurs vies. 

    Des régressions rapportent que des liens avec des proches peuvent remonter à plusieurs centaines d’années. Aussi, bien de ceux avec qui nous nous sentons le plus proche, avec lesquelles le contact s’établit facilement au premier abord (comme si en fait nous les connaissions déjà !), celles pour qui nous nourrissons un attachement affectif inné… mais aussi toutes les inimitiés, surtout celles pour lesquelles il ne semble pas y avoir de raison particulière à première vue, sont sans aucun doute des retrouvailles karmiques. 

Il découvre qu’il était déjà marié à sa femme, 400 ans plus tôt ! 

    C’est l’expérience qu’a pu faire Robert1. Marié dans les années 70, père d’une petite fille, Robert va découvrir au cours d’une séance de régression qu’il a déjà été le mari de sa femme et le père de sa fille… quatre cents ans environ plus tôt.

Châtelains, ils subirent une violente colère paysanne dont l’issue fut fatale à l’épouse. Pour Robert, il s’ensuivit un veuvage au rapport tendu avec sa fille qui le rendait responsable de la perte de sa mère. Retrouvés dans cette vie-ci, ils ont là l’occasion d’explorer et de vivre pleinement les relations d’une vie familiale épanouie et de renouer des liens brisés par le passé. 

Un amour inconditionnel depuis l’aube des temps 

    Cet autre exemple montre à quel point des liens tissés entre deux êtres, malgré des obstacles insurmontables, sont si puissants qu’ils survivent au-delà du temps, parfois d’époques si lointaines qu’elles nous semblent faire partie de l’histoire de l’Humanité.  Ces amants karmiques, mus par un amour très fort, peuvent se retrouver au cours de plusieurs vies. 

    C’est ce qu’a découvert Pierre2 lors de régressions, quelques années après avoir croisé le chemin d’une jeune femme qu’il ne parviendra pas à chasser de sa mémoire. 

    Dès la première séance, Pierre se remémora une vie antérieure commune pendant la guerre d’Espagne. Officier de l’armée napoléonienne, c’est à l’occasion d’une soirée qu’il fit la rencontre d’une jeune noble espagnole, Maria. Issus de milieux totalement différents – qui plus est, lui est un Occupant – rien n’est possible entre eux. Pourtant, Pierre s’évertuera à passer outre les obstacles. Il le paiera hélas de sa vie, assassiné par la main du frère de Maria. 

    Lors d’une autre séance, Pierre retrouva le souvenir d’une vie de soldat en Grèce, sous les couleurs d’Alexandre le Grand. Il se remémora une liaison avec une vestale en qui il reconnaît celle qu’il a retrouvé précédemment en Maria. Très vite, la passion les emporte. Seulement, une vestale ne peut renier ses vœux sans se perdre. Ils fuiront pour construire une nouvelle vie, en vain. Ils seront retrouvés puis condamnés… 

    Bien que tragiques, ces expériences démontrent combien nous emportons avec nous un capital affectif qui peut influer nos rapports avec les autres et qui, à travers le temps et l’espace, reste suffisamment vivace pour se faire ressentir plusieurs vies durant. 

 Souvenirs et régressions : ce qu’il faut savoir

Se souvenir de ses vies antérieures, c’est possible  

    Chacun porte en soi la mémoire de ses incarnations. A l’état latent, ces souvenirs sont toutefois dissimulés sous un voile d’abstraction. Vivre au quotidien avec des références d’un passé, remontant parfois à plusieurs siècles, serait déroutant. Tout comme il serait complexe de nous repérer à travers les multiples personnalités de ceux que nous avons été. Ou bien encore si nous devions indéfiniment porter sur nous le poids d’actes culpabilisants. 

    Si l’accès permanent à ce capital mémoriel serait ingérable, il est cependant bien regrettable de se priver de son histoire, de sa véritable histoire ; celle du parcours de son âme. 

    Riche en expériences et événements de toutes sortes, il est bien évident que nous en apprendrions beaucoup sur nos vies antérieures mais aussi sur ceux que nous avons été. Ce vaste univers de souvenirs demeure pourtant à notre portée. 

Les régressions : un moyen sûr de se remémorer ses vies antérieures  

    Diverses techniques régressives rendent possible ce « voyage intérieur ». Une régression (séance qui s’apparente à une relaxation profonde au cours de laquelle notre état de conscience se modifie et ouvre ainsi l’accès aux souvenirs de nos vies antérieures) peut en effet nous permettre de remonter de vie en vie et de nous attarder sur un événement en particulier. Elle s’effectue généralement sous la conduite d’un praticien. 

    Ce dernier utilisera une technique telle que l’autosuggestion ou l’hypnose, pour ne citer que celles-ci et veillera au bon déroulement de la séance. Sans danger aucun, il est cependant important de préciser qu’il est préférable de s’assurer du sérieux du praticien. Une régression ne laisse pas indifférent. Il est souhaitable qu’il soit suffisamment expérimenté pour que le participant ne ressorte pas perturbé par des souvenirs désagréables. Etre confronté à des scènes de son propre passé éveille des émotions qui leurs sont liées. Il est bien évident qu’au cours de nos vies nous n’avons pas toujours traversé des moments plaisants.    

images (16)Des thérapies s’appuient déjà sur des régressions 

    Des thérapeutes, soucieux d’apporter des réponses adaptées à leurs consultants, se sont penchés sur le phénomène des vies antérieures et de leurs conséquences. Ils les ont ainsi intégrées à leurs séances. Leurs travaux ont permis de démontrer la tangibilité de la réincarnation. Nous leurs devons de nombreuses publications, constituées parfois au terme de plusieurs années de recherches.     

    Au fil de leurs régressions, beaucoup de leurs participants sont remontés à des temps très anciens établissant ainsi que chacun conservait en mémoire la trace de vies pouvant s’être déroulées plusieurs siècles auparavant. 

    La somme de leur travail a par ailleurs mis en évidence que bien des troubles (émotionnels, relationnels ou comportementaux mais aussi certaines phobies) trouvaient une explication dans des expériences karmiques souvent pénibles, si ce n’est traumatisantes. Les revivre aiderait à mettre le doigt sur une causalité qui, une fois identifiée, permettait bien souvent de s’en libérer. 

    Beaucoup de régressions ont été rendues publiques. Elles conservent toutefois, pour des raisons compréhensibles, l’anonymat de ceux qui y ont eu recourt. Ces expériences apportent des éléments qui éclairent le phénomène de la réincarnation. Très précis, certains témoignages permettent de mieux saisir l’influence que peuvent avoir nos vies antérieures sur notre quotidien et notre santé… mais aussi à prendre conscience que nous avons tous en nous un « bagage karmique » souvent insoupçonné.  

Références :

1. Patrick Drouot, Des Vies Antérieures aux Vies Futures, p. 108-109, Monaco, Editions du Rocher

2. Patrick Drouot, Des Vies Antérieures aux Vies Futures, p. 111-125, Monaco, Editions du Rocher

https://sites.google.com/site/memoiredesviesanterieures

 

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 7 août, 2014 |Pas de commentaires »

Héritages d’une précédente vie

 

    3AA l’instar de certaines pathologies, une marque corporelle peut s’avérer être la « cicatrice mémorielle » d’une blessure subie dans une vie passée ; au cours d’un acte particulièrement violent généralement. Profondément ébranlée par cette expérience, ou plus exactement par la souffrance physique et émotionnelle ressentie avant de quitter son corps, l’âme emporte avec elle ces sensations qui font alors, en quelque sorte, partie intégrante de son essence. 

    Tout comme les défauts et qualités qu’elle transmet à sa nouvelle personnalité, elle peut alors transférer à cet autre corps des marques aux endroits mêmes où sa précédente enveloppe de chair a été blessée. Elle en exprime ainsi le souvenir sous forme de taches de naissance ; un peu comme si l’épiderme portait des stigmates dont l’origine serait d’ordre psychosomatique. 

    Dans un de ses ouvrages, Patrick Drouotrelate le cas étonnant d’un homme qui, dans une autre vie, avait péri sous la torture. Réincarné sans avoir évacué ni surmonté le traumatisme subi, il conserve au fond de son âme le souvenir résiduel de sa souffrance qui se manifeste, entre autres, par des taches de naissance là où son ancienne incarnation se révélera avoir été meurtrie au fer rouge. 

    Outre le fait que la publication de ce phénomène attire ainsi l’attention sur la possibilité qu’une simple tache de naissance, en apparence si anodine, puisse être en fait la conséquence d’une blessure antérieure, elle dénote également combien la souffrance corporelle peut imprégner l’âme et la suivre dans ses vies futures. Le degré de douleur présagé par la présence de telles marques devrait par ailleurs inciter leurs « porteurs » à faire une régression. Ceci afin d’en retrouver l’événement karmique et à en surmonter ainsi le traumatisme ancré au fond d’eux, même si, en apparence, ils ne semblent pas en conserver le souvenir. 

    Bien plus que de simples témoignages sur l’évidence des vies antérieures, de tels cas tendraient également à mettre en évidence qu’une âme ne se détache pas de ses tourments par le simple fait de se désincarner. Il semble au contraire qu’il lui faille surmonter ses blessures, voire se reconstruire, et ce au fil de ses expériences karmiques, d’où l’avantage certain de l’aider à s’en libérer par un travail de régression ; un peu comme le ferait une psychothérapie pour des troubles plus actuels. 

    Il est bien évident que plus tôt l’âme se sera affranchie du poids qui l’oppresse, moins elle pâtira des conséquences de ces épreuves qui freinent, à l’évidence, son évolution ; son besoin d’extérioriser ainsi ces anciennes blessures montrant combien elle en est encore perturbée… 

Références :

1. Patrick Drouot. Nous sommes tous immortels, p. 98, Editions Age du Verseau

 https://sites.google.com/site/memoiredesviesanterieures

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 6 août, 2014 |Pas de commentaires »

Exercice pour découvrir nos vies passées

 

 

Il ne fait pas de doute que nos innombrables vies passées puissent nous fournir des informations précieuses nous permettant de mieux comprendre la vie que nous vivons présentement ; il ne fait également pas de doute que nous puissions les explorer activement avec l’aide d’un hypnotiseur ou d’un médium spécialisé dans les régressions. 

Ou encore, avec de la patience, de la persévérance et une certaine ouverture d’esprit, nous pouvons nous-même visiter les endroits où nous avons déjà vécu. N’oublions pas, tous les souvenirs de nos vies passées sont emmagasinés dans la mémoire de notre esprit qui vit dans notre subconscient. Pour révéler ce savoir à notre esprit conscient, nous devrions suivre les indications qui mènent à cette « salle d’entreposage », puis doucement, méthodiquement procéder au déverrouillage de sa lourde porte.

 autohypnose-header

 

Quelques suggestions avant de commencer :

Je vous encourage fortement à enregistrer les écrits qui suivent ou de demander à un ami dont la voix vous semble apaisante de les enregistrer pour vous. Si vous le désirez, vous pouvez faire jouer de la musique instrumentale en arrière-fond, pourvu qu’elle soit calme et que vous la fassiez jouer à bas volume, pendant l’enregistrement. Cela vous aidera à vous concentrer sur l’enregistrement lorsque vous l’écouterez et contribuera à créer une atmosphère de détente propice au voyage que vous allez entreprendre. Vous pouvez aussi vous répéter les instructions au fur et à mesure, mais je crois que vous trouverez cette expérience beaucoup plus enrichissante et vous vous concentrez uniquement sur votre voyage et laissez une voix extérieure se charger de vous donner les instructions. 

Si jamais au cours de ce voyage, vous avez l’impression d’être coincé ou confronté à un obstacle inattendu que vous n’arrivez pas à franchir, détendez-vous. Vous franchirez l’obstacle sans difficulté lors de votre prochaine tentative ou de la suivante. Comme toute nouvelle expérience, plus vous vous exercerez, moins vous serez timide et plus vous vous sentirez libre et confiant. Alors s’il vous plaît, soyez patient avec vous-même. 

A certains moments durant votre voyage dans le temps, il se peut que vous n’ayez pas seulement l’impression de vous souvenir d’un événement passé, mais également de le revivre de manière si réaliste que cela vous effraie ou vous fasse souffrir à nouveau. Si jamais cela se produit, faites un pas en arrière, détendez-vous, puis trouvez un endroit d’où vous pourrez observer la scène de loin. Pendant cette expérience, rappelez-vous que les événements dont vous vous souvenez sont passés, tout comme les douleurs et les peurs qu’ils ont provoqué. Si cela ne vous gêne pas outre mesure, n’hésitez pas à demander à un ami de prendre des notes pendant votre voyage. Il est normal à votre « réveil » que vous ayez oublié certaines choses que vous avez dites, vues ou ressenties, et c’est pourquoi je ne veux pas qu’une partie de votre esprit se préoccupe de se rappeler tout ce qu’il perçoit en cours de route.  Cette expérience requiert de la spontanéité. Votre devise durant tout ce voyage devra être : « Ne pensez pas ! Ne vous censurez pas : Dites-le ! » 

Et finalement, je vous promets que vous ne courez aucun danger en entreprenant ce voyage. Si vous craignez de ne pas être en mesure de revenir à l’instant de votre choix, rassurez-vous, cela ne peut pas arriver. 

Voici donc ci-après… l’exercice !

 exercice


EXERCICE – Voyage dans vos vies passées….

Assoyez-vous confortablement dans un endroit calme où vous vous sentez en sécurité et où vous ne risquez pas d’être dérangé. Placez vos pieds à plat sur le sol, et laissez vos mains, les paumes tournées vers le ciel, reposer sur vos cuisses, prêtes à recevoir la grâce et l’énergie divines de Dieu. 

Demandez à Dieu de vous entourer dans la blanche lumière de l’Esprit Saint. Sentez son adorable chaleur vous envelopper, et absorber vos soucis et vos ennuis dans l’éclat purificateur de son pouvoir. 

La lumière caresse vos pieds. Chaque muscle se détend à son contact : la plante… le coup-de pied… les orteils se libèrent une à une de leur douleur et de leur tension… se détendent … s’apaisent … sans se presser… chaque cellule se souvenant du moment où elle était en parfait santé, rayonnante de vitalité, retrouvant ce moment tandis que la lumière s’élève lentement… Vos chevilles, vos mollets, vos genoux se détendent, se libèrent, rajeunissent… plus de raideur… plus de stress… votre sang circule librement et sainement, vous apportant de l’oxygène, vous apportant la vie. Votre respiration ralentit, devient plus profonde, plus régulière, et vous adoptez la calme respiration du sommeil tandis que la lumière continue à s’élever… 

Elle s’élève à travers vos cuisses, vos fesses, votre abdomen… vous purifiant… vous soulageant… vous libérant de toutes vos douleurs, nourrissant chacun de vos organes, chacun de vos muscles, chacune de vos veines, chacune de vos cellules… Vous respirez profondément, sans peine, de manière régulière, chaque respiration apportant une soulagement divin… 

La blanche lumière de l’Esprit Saint masse votre estomac, votre poitrine, vos épaules, la relaxation produisant sa propre énergie, une énergie qui monte à travers vos organes, vos muscles, les os de votre colonne vertébrale, ce lien vital de votre corps, centimètre par centimètre, vous purgeant lentement avec amour et dévotion de toute négativité, de tous soucis… Elle s’écoule le long de vos bras de vos poignets, de vos mains, de vos doigts… vous libérant, vous détendant… et tout en respirant calmement, sans difficulté…. Vous vous sentez fluide, vivant, libéré de tout stress…muscle par muscle, tendon par tendon, doigt par doigt… sans vous presser… sans vous soucier de rien… vous ne sentez plus aucune raideur… vous ressentez une grande joie… 

La lumière monte le long de votre cou, absorbant toutes vos tensions, détendant et soulageant chacun de vos muscles, chacun de vos nerfs… Elle enveloppe votre tête. Vos tempes… Votre respiration est régulière… vos yeux sont fermés… La blanche lumière vous apaisant de sa main invisible, s’attardant sur chacun de vos traits… sur votre bouche… sur votre front… sur votre nez… vos traits se détendent… votre mâchoire se desserre… votre peau s’assouplit… votre sang irrigue votre visage, le purifie… 

Votre respiration devient encore plus profonde. En gardant les yeux fermés, regardez l’arrête de votre nez pendant vingt secondes… pas plus, pour ne pas vous endormir complètement. 

A présent… les yeux toujours fermés, respirant lentement et régulièrement, retournez dans le passé, à l’époque où vous aviez vint ans… Choisissez un événement ou une journée mémorable… votre anniversaire, Noël, votre mariage, votre premier jour en classe… Si aucune journée ne se démarque ou si les détails de cette journée ne vous reviennent pas immédiatement, demandez-vous doucement, sans vous mettre la pression : « Je sais que j’avais vingt ans, que se passait-il dans ma vie à cette époque «  ? Si rien ne vous revient cette fois-ci cela viendra la prochaine fois… L’endroit où vous viviez, ce que vous faisiez, les gens qui vous entouraient, la voiture que vous conduisiez, un détail, important ou banal, s’ouvrira tôt ou tard comme fleur pour vous donner accès à une scène, aussi claire que dans un film, aussi nette que si elle se produisait devant vous à l’instant… Regardez autour de vous, remarquez chaque couleur, chaque odeur, ce que vous portez, ce que vous ressentez… S’il s’agit d’un souvenir heureux, revivez-le… S’il s’agit d’un souvenir qui vous trouble de quelque façon, contentez-vous d’observer ce qui se passe… Rien ne presse… Demeurez sur place aussi longtemps que nécessaire et redécouvrez les sensations qui vous viennent. Que ce soit de la négativité, consciente ou inconsciente, dites-vous  intérieurement :  » Que toute négativité que je porte en moi depuis l’âge de vingt ans soit dissoute dans la blanche lumière de l’Esprit Saint, et ce, pour le restant de ma vie spirituelle qui sera, je le sais, heureuse, saine, productive et innovatrice ». 

A présent, remontez encore plus loin dans votre passé, jusqu’à l’âge de dix ans, au moins où votre identité a commencé à prendre forme… Rappelez-vous une autre fête de Noël, un autre anniversaire, une autre première journée à l’école, la rencontre avec un nouvel ami, une journée particulière au camp de vacances, n’importe quelle journée qui vous revient en mémoire, et si rien ne se passe, recommencez le même procédé… en quelle année êtes-vous, quel est le nom de votre école, qui est votre professeur, qui est assis à côté de vous en classe, où vivez-vous… ? Soyez patient… Laissez venir les souvenirs à leur propre rythme, et une autre scène, un autre film se mettra en branle de lui-même… Explorez la scène, portez attention aux détails… Revivez les événements heureux, observez les événements tristes… Ceci est votre voyage, vous êtes en sécurité et aux commandes, aucune douleur, aucune tristesse ne peut s’interposer… Répétez encore une fois ; « Que toute négativité, consciente ou inconsciente, que je porte en moi depuis l’âge de dix ans soit dissoute dans la blanche lumière de l’Esprit Saint, et ce, pour le restant de ma vie spirituelle qui sera, je le sais, heureuse, saine, productive et innovatrice ».

 Puis doucement, sans vous presser, retournez jusqu’au moment où vous avez été conçu. Rassurez-vous, vous pouvez y arriver. Vous n’avez qu’à faire appel à des perceptions sensorielles que vous n’avez pas l’habitude d’utiliser. Ne réfléchissez pas. Acceptez ce qui vous vient immédiatement à l’esprit, formez des images grâce au processus de verbalisation subconscient qui attend en vous d’être déverrouillé. Il se peut qu’au départ vous ne rencontriez que du noir. Ce n’est pas grave. Laissez l’obscurité et les images se présenter au rythme dicté par votre esprit. Lentement, tranquillement, remontez dans le temps jusqu’au moment de votre conception … 

Ceci est votre voyage, vous êtes en sécurité et aux commandes, aucune douleur, et en vous rappelant que : « La négativité, la douleur et la peur que je risque de rencontrer durant ma naissance, faites-en sorte que je ne les revive pas, mais que j’observe simplement mon entrée dans ce monde ». 

A présent, vous vous avancez dans un magnifique tunnel lumineux et apaisant, un tunnel qui vous fait voyager dans le temps ; vous voyez des pages de calendrier flotter autour de vous, portées par une douce brise, et tandis que vous remontez toujours plus loin dans le passé, les dates sur les pages deviennent de plus en plus anciennes… Vous vous dirigez de bon cœur, joyeux et enthousiaste, vers la pure lumière blanche devant vous… vous vous approchez… vous pénétrez dans la lumière, sachant que vous êtes en parfaites sécurité… vous baignez instantanément dans une magnifique lumière pourpre, la couleur de la spiritualité. Vous vous délectez de cette lumière, car vous savez que cette lumière pourpre qui vous entoure élargit et aiguise votre conscience… 

Une splendide carte du monde aux couleurs éclatantes apparaît devant vous sur un écran. Vous vous en approchez en disant : « Où que j’aie vécu auparavant, en puisant dans la mémoire de mon âme, que ma main soit guidée et indique cet endroit sur la carte ». Sans réfléchir, sans regarder, sans interférer de quelque façon, laissez votre main se déplacer sur la carte, guidée instantanément et instinctivement par votre esprit. Vous regardez où votre main s’est arrêtée sur la carte, et vous avez suffisamment foi et confiance en vous pour ne pas remettre en question ce choix, quel qu’il soit. Après avoir donné votre consentement, vous dites : « Mon esprit s’est souvenu. Mon esprit m’emporte là-bas, à cet endroit, à cette époque… ». 

Et soudain, vous êtes là-bas, à cet endroit et à cette époque, dans un monde qui vous est aussi familier que le monde que vous venez de quitter. Fasciné, stimulé, vous commencez à vous intéresser aux détails… que portez-vous ?  

Si vous êtes incapable de voir ce que vous portez, cherchez autour de vous un endroit où vous pourrez voir votre reflet… un miroir… la vitrine d’un magasin… un étang ou un ruisseau… Approchez-vous et décrivez ce que vous voyez… Donc, que portez-vous ? 

Etes-vous petit, êtes-vous grand, êtes-vous de taille moyenne ?

Etes-vous mince, rond, obèse ?

Estes-vous un homme ou une femme ?

De quelle couleur sont vos cheveux ? Sont-ils longs ou courts. Etes-vous chauve ?

Portez-vous un chapeau ou une écharpe ou êtes-vous tête nue ?

A quoi ressemblent vos chaussures ?

Ne réfléchissez pas ! Acceptez la première réponse qui vous vient à l’esprit. Plus vous laisserez les réponses se manifester librement, plus vous aurez de facilité à décrire ce qui vous entoure… 

En quelle année êtes-vous ?

Quel âge avez-vous ?

Qui sont les membres de votre famille ?

Où vivez-vous ?

Avez-vous des frères et sœurs ? Qui sont-ils ?

Qui sont vos parents ? Sont-ils encore vivants ?

Acceptez toujours la première réponse… 

Y a-t-il quelqu’un dans votre entourage – mère, père, frère ou sœur, ami – qui est également présent dans votre vie actuelle ? Regardez au-delà de leur sexe et de leur apparence physique pour vous concentrer sur leur esprit, sur ce qu’ils sont réellement…

Qui sont-ils dans votre vie actuelle ?

Et maintenant cinq années se sont écoulées…

Où êtes-vous à présent ?

Etes-vous marié ?

Si vous avez un conjoint, à quoi ressemble-t-il ?

Décrivez vos enfants un par un si vous en avez … 

Avez-vous un emploi ? Que faites-vous ? A quoi passez-vous votre temps ?

Décrivez votre maison et ce que vous voyez lorsque vous regardez par la plus grande fenêtre…

Estes-vous heureux ? Triste ? Anxieux ? Satisfait ?

Votre conjoint et vos enfants font-ils encore partie de votre vie actuelle ?

Qui sont-ils dans votre vie actuelle ?

Entretenez-vous encore les mêmes relations que par le passé ?

Votre première idée est toujours la bonne… Répondez sans réfléchir… Il n’y a pas de mauvaise réponse… 

A présent…

Transportez-vous au moment où s’est terminée votre vie, au moment de votre mort…

Vous ne faites qu’observer votre mort, vous ne la revivez pas… vous n’avez pas peur, vous vous regardez en train de partir vers La Maison…

De qui êtes-vous mort ?

Qui était près de vous ?

Etait-ce douloureux ?

Qui est venu à votre rencontre de l’AU-DELA ?

Connaissez-vous cette personne ?

 Quelle maladie, quelle tache de naissance ou quel vestige de cette mort avez-vous rapportés dans cette vie ?

 Lorsque vous repensez à cette vie, quel en était le dessein ?

Quel en était le thème principal ? Quel en était le thème secondaire ? quels aspects de votre vie deviez-vous améliorer et qu’avez-vous appris ? 

Acceptez toujours la première réponse – laquelle de vos vies passées venez-vous tout juste de voir ? Et combien avez-vous eu de vies passées ?

A présent, lentement, tranquillement, baigné dans la blanche et aimante lumière de l’Esprit Saint et dans la riche lumière verte de la guérison, conscient d’un sentiment de bien-être extraordinaire qui se répand dans tout votre corps et votre esprit, vous revenez doucement à cette vie présente, heureux et revigoré, et vous remerciez Dieu pour ce voyage sans incident et pour avoir été en contact avec votre propre éternité… 

HS1

Et maintenant, ouvrez les yeux.

 PS : Si personne n’était avec vous pour mettre vos réponses par écrit, notez immédiatement dans votre journal intime ou enregistrez sur une cassette, tout ce dont vous vous souvenez de l’expérience que vous venez de faire, en n’omettant aucun détail. 

Répétez cet exercice aussi souvent que vous le désirez, et vous aurez peut-être la surprise de découvrir une nouvelle époque, de nouveaux endroits, une nouvelle vie au cours de chacun de vos voyages. Lorsque vous aurez appris à maîtriser ce processus, vous pourrez l’améliorer et l’utiliser à des fins spécifiques. Aimeriez-vous connaître d’où vient une tache de naissance, une maladie ou une peur inexplicable ? Vous êtes-vous déjà demandé si vous avez connu un ami, l’amour de votre vie ou votre enfant au cours d’une vie précédente ? Connaissez-vous quelqu’un avec qui vous ne parvenez pas à vous entendre en dépit de tous vos efforts ? Aimeriez-vous découvrir s’il s’agit d’un ancien conflit que vous essayez finalement de résoudre ? Avez-vous une aversion chronique dans un lieu, une culture ou une matière, aversion que vous ne comprenez pas et que vous souhaiteriez surmonter ? 

Si vous avez des questions à poser ou si vous voulez simplement satisfaire votre curiosité, cet exercice vous permettra de le faire. Toutefois, n’oubliez pas avant de commencer de vous dire, à vous-même et à Dieu, ce que vous voulez savoir, puis de demander au tunnel temporel de vous guider vers la vie où se trouve la réponse, toujours en vous entourant de la blanche lumière de l’Esprit Saint afin qu’elle vous protège où que vous alliez. 

Bonne chance pour votre voyage Vie après Vie, après Vie…

 des expériences à lire ici : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

 

 

 

 

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 10 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

Incarnation après Incarnations

 

images (25)IL EST DONC ÉVIDENT QUE LES PENSÉES HABITANT PUISSAMMENT NOTRE ESPRIT À L’INSTANT MÊME DE NOTRE MORT, SONT D’UNE IMPORTANCE CAPITALE.

Seule une âme étant parvenue à faire évoluer sa personnalité vers l’idéal spirituel, pourra mettre fin à ces éternels recommencements de vies successives appelés  » samsara  » et espérer pouvoir ENFIN, fusionner avec Dieu.

Mais, tant et aussi longtemps que nous n’y serons pas parvenu, nous emprunterons différentes existences, sous différents aspects physiques. La personnalité continue alors d’évoluer et l’âme inlassablement poursuit son rôle de guide.

EST-CE QUE CES DIFFÉRENTS ASPECTS PHYSIQUES, EMPRUNTÉS D’INCARNATIONS EN INCARNATIONS, SONT TOUJOURS DE FORMES HUMAINES ?

Les réponses à ce sujet sont souvent divergentes, bien qu’il ne semblerait exister aucun interdit, qu’il s’agisse à un humain de se choisir une forme animale moins évoluée ou encore, choisir de poursuivre sa progression sous la forme humaine.

L’animal, aurait cependant la possibilité de s’incarner en humain, s’il bénéficie de la chance d’être aimé par son maître. Ce principe, expliquerait sans doute pourquoi, l’opportunité de s’incarner en humain, serait somme toute un privilège assez rare, toujours selon les écritures Hindouistes.

D’autres écoles ou approches dont le BHAGAVAD-GITA, affirmeraient que, la qualité de l’évolution karmique réalisée déterminerait l’étendue des choix accessibles ou leurs restrictions.

En mots clairs, plus on aurait réalisé une bonne vie, plus nous posséderions le choix de poursuivre sous forme humaine et moins nous aurions cherché à progresser spirituellement dans l’amour, moins ce privilège nous serait accordé dans l’incarnation suivante.

DEVONS-NOUS PASSER PAR DE NOMBREUSES RÉINCARNATIONS, AVANT D’ACCÉDER AU PRIVILÈGE DE REVÊTIR UNE FORME HUMAINE ?

Toujours selon les Écritures Hindouistes, ceux-ci affirment que nous devrions connaître huit millions quatre cent mille formes de vie avant d’être humain. Personnellement, cela me paraît tout de même bien excessif, mais mon rôle se limite à vous transmettre la sagesse de ces Écrits.

POURQUOI LES HINDOUS VÉNÈRENT-ILS DES VACHES SACRÉES ?

Parce que selon leur croyance, un être très déchu, n’ayant réussi aucune possibilité d’évolution spirituelle, pourrait être contraint de passer par tous les niveaux d’évolution soit de végétal, puis transiger par toutes sortes de formes animales, tel que insecte, reptile etc. jusqu’à la forme animale la plus évoluée juste AVANT celle d’être l’humain, soit celle de la vache donnant son lait de survie à des hommes de ce peuple.  

EST-IL VRAI QUE LES PERSONNES QUI ÉVOLUENT À NOS COTÉS DANS LA VIE ACTUELLE AVAIENT DÉJÀ ÉTÉ DES PROCHES DANS D’AUTRES INCARNATIONS PRÉCÉDENTES ?

Oui absolument, cette affirmation est même l’une des bases des principes de la réincarnation. Les membres de notre famille actuelle, père, mère, frères et sœurs ont déjà évolués à nos côtés antérieurement à cette vie et s’y retrouvent de nouveau, bien souvent en raison d’une entente mutuelle, visant à s’aider réciproquement, à travailler nos imperfections ici-bas.

Parfois, il y a des personnes pour lesquelles sans raison apparente nous ressentons une répulsion incompréhensible. Celle-ci vient sûrement d’une profonde mésentente dans une vie antérieure. Le hasard des coincidences nous place peut être sur son parcours afin de faire mieux cette fois-ci, si nous en avons évidemment le courage.

EST-IL VRAI QU’IL EXISTE UN ANGE DE LA MORT ?

L’ange de la mort peut être la figure mythique d’un esprit armé d’une fourche que certains êtres décrivaient dans leur agonie, à l’approche de leur mort éminente. Mais, il s’agissait plus d’individus apeurés des courroux de la justice Divine, face au bilan négatif qu’ils ne manquaient pas de comptabiliser à une heure aussi dramatique de leur existence vide de sens spirituel.

Par contre, l’esprit apparaissant aux autres individus de nature croyante et ayant vécu dans la perspective d’un Dieu bienveillant, prenait davantage l’image d’un ange éblouissant de lumière, remplie d’amour, plutôt que celui d’un squelette machiavélique prêt à les foudroyer.

LE PASSAGE DE LA VIE À LA MORT EST-IL DOULOUREUX ?

Si nous entendons par douloureux, une souffrance physique, alors NON pas nécessairement, grâce à certaines endorphines du cerveau qui tel une drogue anesthésiante permettent d’adoucir ce passage le rendant même apparemment euphorique.

Par contre, si l’on entend par douleur une souffrance mentale, alors, celle-ci n’est pas nécessairement exclue. Ce risque, est directement proportionnel à deux sources particulières :

la première est en fonction de notre résistance à renoncer aux biens matériels de ce monde ou à renoncer aux êtres chers qui nous retiennent par leur désarroi.

la deuxième source est directement proportionnelle à l’évolution spirituelle que nous sommes parvenus à réaliser dans l’existence qui s’achève. Dépendant, si nous avons ou non, PRIS CONSCIENCE DE NOTRE IDENTITÉ SPIRITUELLE.

Si peu d’évolution fut réalisée, le SENTIMENT DE CULPABILITÉ ÉPROUVÉ nous éloignerait du Divin dont nous ne nous sentirions plus digne. Cette forme d’autodestruction serait à un niveau tel, que lors de notre décès, une sorte de folie autopunitive deviendrait LA SEULE RESPONSABLE de notre douleur, du seul fait d’avroi CHOISI d’ignorer ou même de nier l’existence de Dieu.

Pourtant, il faut CHOISIR de se pardonner, en réalisant que Dieu non seulement existe vraiment, mais de surcroît que sa bonté est illimitée. Il est, et sera toujours, disposé à nous absoudre de toutes nos impuretés sans restriction. Il ressent pour nous, un AMOUR et une compassion aussi inconditionnels qu’indéfectibles. Seuls nos doutes en lui, seraient capables de nous éloigner de la certitude de cette absolution.

COMPRENEZ BIEN, CE N’EST PAS DIEU QUI CHERCHERAIT À NOUS PUNIR, MAIS BIEN NOTRE PROPRE SENTIMENT DE CULPABILITÉ.

Si au contraire, nous sommes parvenus à L’ÉVEIL, en reconnaissant notre identité spirituelle, alors, dans un tel cas, le passage non seulement ne sera pas douloureux mais bien au contraire, sera source de joie, de béatitude, rempli de sérénité, sachant combien le meilleur est à venir.

COMMENT POURRIONS-NOUS AUGMENTER NOTRE CONSCIENCE SPIRITUELLE ET CONTRIBUER AINSI À L’ACHÈVEMENT DE NOS INCARNATIONS SUCCESSIVES ?

En comprenant que notre âme est pure à l’image Divine et que nous devons être à l’écoute de notre BONNE VOLONTÉ. C’est l’observation en cette vie terrestre de la loi de  » cause à effet « . Si tu fais le bien, le bien te sera fait, mais si tu fais le mal, le mal te sera rendu en cette vie.

téléchargement (12)Parfois, nous avons l’impression que cette justice tarde à s’accomplir face au bien que nous accomplissons, mais il existe une certitude, c’est que la récolte s’accomplira tôt ou tard. Il nous faut donc agir selon notre âme spirituelle et non selon nos désirs matériels illusoires.

Le livre de 304 pages « Comment Reconnaître et Créer Vos Coïncidences Magiques » épanouira votre vie à son maximum plusieurs centaines de témoignages le prouvent Mme Céline Jacques      http://www.edition-celinejacques.com/

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 6 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

Nos Mémoires successives

images (6)Nous avons tous une mémoire. Toutefois, avec l’âge, elle a souvent la fâcheuse tendance de s’éroder. Oui, il est vrai que cette mémoire est périssable. Oui, il est exact qu’elle peut s’éteindre définitivement. Oui, il est possible qu’elle disparaisse totalement, ne laissant plus aucun souvenir à l’être en sursis. Cette mémoire dont nous parlons est physiologique ; Elle est liée à notre organe physique qui s’appelle le cerveau. Elle est bien sûr éphémère et s’endort progressivement au même rythme que toutes nos cellules en déclin. 

Prenons en exemple un vieillard. Essayons de sonder sa mémoire. Soyons observateur de son comportement et sachons discerner les pertes de mémoire de cette personne. Si elle est âgée, mais en bonne santé, la mémoire se transformera pas à pas. C’est à dire que sa dégradation neuronale sera progressivement remplacée par la restauration des cellules spirituelles qui composent le corps éthérique ; Soyons plus clairs pour faciliter notre compréhension : la mémoire physiologique sera peu à peu submergée par la mémoire spirituelle, parce que le corps physique dont la matière touche presque à sa fin, sera remplacé par ce corps éthérique. Ce qui veut dire que l’un chasse l’autre. 

Nous avons tous remarqué que très souvent les vieillards retrouvent une excellente mémoire pour les années les plus reculées de leur vie, e tune toute petite, voire inexistante mémoire, pour les années les plus récentes. Cela n’est pas une règle, mais c’est toutefois un constat assez général. Cela est lié, à cette mémoire physique ou physiologique qui se retire pour laisser la place à la mémoire spirituelle ; La matière se retire peu à peu de la vie en emportant avec elle tous ses attributs, et cette mémoire en fait partie ; Les cellules qui subsistent restent entièrement imprégnées de tous les souvenirs, récents ou très anciens ; Ce qui veut dire que l’âme qui est présente dans le corps, devient plus sensible et perceptible à l’esprit. 

Notre mémoire s’ouvre au fur et à mesure que s’opère le passage d’un monde à l’autre et d’un corps à un autre. Ce qui signifie qu’elle ne disparaît pas, mais que tout au contraire elle s’amplifie considérablement. Elle se transforme pour devenir la mémoire supérieure et inaltérable que seul un corps immortel peut contenir.  Elle sera totalement reconstituée au jour de notre mort. Nos obsèques, contrairement à l’idée bien ancrée dans nos esprits imaginant la mort comme le néant, resteront comme le lus mémorable et formidable moment de notre vie. Les festivités qui nous attendent après le passage au travers de ce voile opaque et mystérieux, demeureront l’événement le plus marquant de notre vie et de notre arrivée de l’autre côté. 

En résumé, la mémoire qui est très vivante dans notre vie physique laissera la place à une autre, beaucoup plus vivace et persistant au-delà de l’extinction de la matière. Ce qui vaut pour la mémoire vaut également pour les autres organes liés aux sens physiques et physiologiques. Le goût sera le seul sens qui disparaître totalement après la mort parce qu’il n’aura plus aucune raison d’exister, et pour cause. Notre alimentation sera très différente, elle ne sera plus matérielle. Les autres sens, quant à eux, seront considérablement amplifiés au même titre que notre mémoire. Ils seront également complétés par de nouveaux sens, en latence actuellement en nous, mais très peut utilisés parce que la matière qui compose notre corps l’interdit, ou le limite considérablement. 

La matière sera anéantie, mais l’esprit survivra avec le cœur ou le poumon qui l’aliment, c’est-à-dire l’âme divine ; les mémoires sont multiples. Elles sont liées, d’une part, au physiologique et à toutes les cellules qui le composent et, d’autre part, à la structure spirituelle qui les domine. Le spirituel se superpose toujours à la matière. Il est en interaction permanente avec elle et les mémoires solidement attachées à la dimension physiologique et biologique de l’être, qui transitent inévitablement vers les mémoires spirituelle sou éthériques. Le réseau est très complexe, mais très simple à la fois. 

La mémoire, la vraie, l’inaltérable mémoire, est la gardienne inviolable de tous les souvenirs antérieurs de notre vie actuelle. Il existe, nous pouvons l’imaginer, des milliers, voire des millions de connexions entre nos mémoires individuelles et la mémoire collective qui est reconstituée dans les arches universelles. C’est-à-dire que la mémoire la plus ancienne existant dans l’univers nous sera accessible après notre départ terrestre. 

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 26 juin, 2014 |Pas de commentaires »
1234

Homosexualité dans la société |
madioucisse |
Les anniversaires des stars |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sénégal Junior Intelligence
| Anglais pour non-spécialist...
| bobs3