Archive pour la catégorie 'AMOUR'

Acceptation des changements biologiques

L’expérience humaine relativement au sens de la vue dans l’ancienne énergie est différente de ce qu’elle deviendra. En réalité, votre biologie est ajustée de façon à ce que vous puissiez à l’avenir voir certains attributs du monde astral. Cela veut dire que certaines transformations touchant vos yeux, les connexions entre vos yeux et votre cerveau, et le cerveau lui-même devront se produire. Voici quels en sont les symptômes. Beaucoup parmi vous ferment maintenant les yeux dans l’obscurité totale et s’aperçoivent alors qu’il y a toujours une rougeur qui demeure, comme s’il y avait une lumière qui était encore allumée dans la pièce. Pour les gens qui ont l’habitude que tout devienne noir lorsqu’ils ferment les yeux (de l’ancienne manière), il faudra qu’il y ait une période d’ajustement pour qu’ils comprennent pourquoi cela se produit. En plus, de cette subtile rougeur, vous verrez peut-être aussi des formes géométriques ! C’est de la science pure et une réaction absolument naturelle au travail que vous permettez pour équilibrer votre biologie. Certains d’entres vous comprendront la nature des attributs géométriques en prenant connaissance des messages contenus dans ce livre. : ALCHIMIE DE L’ESPRIT HUMAIN

méditation

Vous devez donc accepter avec calme l’ensemble de ces changements biologiques. Nous vous encourageons à vous détendre face à tout ce qui se passe et à honorer ces changements. En honorant une chose que vous ne comprenez pas, vous devenez une partie de cette chose. Cette alliance favorise une conclusion plus rapide du travail et vous donne par la même occasion le sentiment d’être aimé. Ceci est bien sûr le thème sur lequel Kryeon revient régulièrement en relation avec le Nouvel âge.

Il y a une autre sensation que vous ressentez peut-être. Il y a en ce moment un manque de cohérence vibratoire entre ce que vous avez appelé votre vibration mentale et le reste de votre biologie. Le message que moi et d’autres entités nous vous apportons est un message spirituel. Même si ce que je fais concerne la planète physique, vous percevez votre croissance d’un point de vue mental et spirituel. Vous devenez peur à peu une personne tolérante et paisible avec une sage perspective sur les autres personnes vous entourant. Ce  sont là des processus presque exclusivement mentaux pour vous, même si en vérité ce sont là des attributs astraux. Vous le « sentez » dans votre tête cependant, et votre attitude est perçue comme étant le produit de votre tournure d’esprit.

Ce qui se produit ensuite semblera familier pour certains d’entres-vous. L’Esprit sait que le reste de votre biologie a besoin de « rattraper » votre nouvelle mentalité (chakra de la couronne). Pour ce faire, il y a beaucoup de travail qui est généré pour vous au niveau biologique ; en réalité, ce processus remonte à la période du 11 :11 lorsque vous avez été informés du code qui était transmis à toute l’humanité (plus de détails sont donnés à ce sujet dans ce livre). Votre biologie a reçu à ce moment-là, la permission de changer avec votre croissance astrale, et les mécanismes ont été donnés dans ce but à la partie magnétique de votre ADN.

Publié dans:AMOUR, GUERISON, MULTIDIMENSIONNALITE |on 29 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

LA CONSCIENCE de Soi à travers l’Autre

 

Malgré nos frustrations quotidiennes, qui peuvent quelquefois être exacerbées lorsqu’elles touchent un point sensible, on ne peut rien insulter ni maltraiter car tout a une forme de conscience beaucoup plus proche de la nôtre que nous ne saurions l’imaginer.

Les consciences de toutes les espèces, indépendamment de leur forme, peuvent être comprises lorsque l’on accède aux plans plus subtils. Ces plans subtils sont en fait la réalité et non pas l’inverse… Ainsi, l’on ne peut faire de mal même à une mouche, littéralement, car la partie de nous dont nous sommes généralement inconscients percevrait la souffrance de cet être et n’en ressortirait pas indemne. Par conséquent, l’on ne peut injurier directement ou indirectement, ou manquer de respect envers aucun être, ni même faire agoniser un insecte par l’usage d’un insecticide. On ne peut tuer ni une plante ni une cochenille qui serait en train de tuer une plante pour se nourrir, car seule la nature souveraine a le droit et la capacité de rétablir l’équilibre de la nature; que ce soit par l’arrivée d’un autre prédateur ou par un redressement d’un des éléments fondamentaux liés à l’air, au feu, à l’eau ou à la terre, comme pour les mouvements de la croûte terrestre. Ainsi, selon la loi naturelle de l’équilibre, nous ne saurions même maudire le vent !

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Chaque être vivant, aussi différent soit-il, a une conscience avec laquelle nous pouvons communiquer énergétiquement sur les plans astral ou spirituel. Le langage de la compassion est universel et il est parlé par toutes les espèces. Chaque chose a un droit et une raison d’être, même si cette raison ne se conforme pas à la nôtre, car c’est une raison collective pour la totalité des formes de vie selon la réalité universelle. Si l’on prend conscience de la réalité énergétique de chaque chose, on peut, petit-à-petit, comprendre la raison pour laquelle les peuples indigènes voient le sacré en toute chose et ne tuent que pour se nourrir, sans chercher à en faire un commerce en tuant pour de l’argent. De plus, lorsqu’ils tuent un autre être, ils se recueillent devant son esprit pour faire la paix. L’énergie de l’émotion de la compassion imprègne ce qui en est le destinataire, même si ce n’est qu’une pierre.

Si l’on parvient à vraiment percevoir que nos consciences sont égales à toutes les formes de vie sur le plan subtil, on parviendra à changer lentement nos habitudes de vie et à ne plus manquer de respect aux représentants de notre espèce. Notre manque de respect, qui verse souvent dans la cruauté sans que l’on s’en aperçoive, est dû à notre soif de posséder, alors que les indigènes ne connaissent pas cette émotion car ils sont en mesure de comprendre que nous ne pouvons nous octroyer le droit de posséder individuellement ce qui existe librement et en harmonie avec tout ce qui existe. Tout existe en abondance pour tous les êtres et tout s’autorégule naturellement, tant que les êtres d’une espèce dominante comme la nôtre ne créent une réalité contraire par la force de leurs craintes ou par une croyance erronée de séparation entre eux-mêmes et ce qui fait partie de leur environnement.

Lorsque nous faisons souffrir une forme de vie, aussi petite soit-elle, nous lui prenons une partie de son âme qui fait désormais partie de nous, de sorte que l’âme morcelée de cet être ne peut devenir entière qu’en reconstituant ses parties manquantes en établissant un lien d’amour universel avec le dépositaire de chacune de ses parties lors des réincarnations suivantes. Ainsi, l’assassin et l’assassiné ne formeront qu’Un, chaque âme contenant une partie de l’autre, de sorte que les ennemis deviendront sans en prendre conscience des âmes jumelles sur le plan spirituel.

Lorsque l’on fait souffrir un autre comme lorsque l’on abuse d’un enfant, ou que l’on tue un autre, ou même lorsque l’on consomme une partie d’un organisme qui est imprégnée de l’énergie de la souffrance comme lorsqu’un être est saigné jusqu’à la mort afin de le vider de son sang; la vibration de cette souffrance modifie le champ énergétique de notre organisme, de sorte que nous nous mettons à vibrer à la fréquence de la souffrance sans prendre conscience de la source de cette douleur diffuse. Tout est un échange d’énergie et tout ce que l’on prend en énergie vitale nous sera pris en retour, c’est une loi universelle. Par contre, il est possible de faire la paix avec l’esprit d’un être et ainsi diminuer la souffrance, consciente ou inconsciente, pour les deux parties. La souffrance mène à un dés-espoir diffus, qui se concrétise par un manque de confiance par rapport à l’autre. Lorsque l’on ressent de la souffrance, par nos actes ou par ceux des autres, une partie de soi meurt et nous ne sommes plus entiers; la joie naturelle liée à cet état nous quitte de sorte que l’on se sent séparé du Tout, ce qui peut mener à la dépression ou à la haine.

L’équilibre ne peut alors être rétabli que lorsque l’on rend son pouvoir émotionnel à l’autre en ressentant spirituellement sa souffrance ou alors par le rééquilibrage effectué naturellement mais dans un temps qui pourrait nécessiter plusieurs incarnations. Lorsque l’on se sent séparé de Tout car l’on est séparé de soi, l’on se sent au-dessus de Tout et l’on ne ressent pas de compassion pour la souffrance des autres. Le sentiment de séparation est lié à la peur et nous devons simplement prendre conscience de notre pouvoir sur nous-mêmes et ne le céder à rien ni personne car le respect de la souveraineté de l’autre est aussi le fait de reconnaître notre propre souveraineté. Notre pouvoir sur nous-mêmes est d’avoir le courage de se remettre entièrement à sa mission de vie, qui est aussi la foi en Dieu ou en la Déesse. C’est une force intérieure et non pas une autorité exercée sur les autres. La conscience de soi est liée à la conscience de l’Autre. Lorsque l’on est unifié, on est alors en mesure de ressentir que l’on est Un.

Ainsi, nous pourrions nous saluer les uns les autres avec révérence selon la coutume hindoue, en nous inclinant avec respect tout en pressant nos mains ensemble devant notre cœur, dans un geste signifiant l’union avec l’autre sur les plans physique et spirituel, ce qui changera le dynamisme de toute relation.

Source: http://valeriecharoux.unblog.fr

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Conclusion de Francesca : J’ai besoin, pour avoir conscience de moi, qu’autrui me reconnaisse comme une personne distincte, besoin qu’il m’apprenne le langage dans lequel je pourrai par la suite me penser, besoin également de son travail pour me reconnaître dans le miroir du monde. C’est pourquoi Heidegger affirmait qu’être au monde, c’est toujours être avec autrui : l’altérité se trouve nécessairement impliquée autant dans le monde que je contemple que dans le langage que je parle. Elle est donc nécessaire, et même doublement, à toute prise de conscience de soi par soi. Ce qui, finalement, nous amène à dire que nous avons besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes, c’est donc bien que l’existence consciente d’elle-même exclut radicalement la possibilité d’une solitude dont tout rapport à l’altérité serait absent. Peut-être l’isolement, en me mettant à l’écart du bruit du monde, engendre-t-il un climat propice à la réflexion. Mais si l’isolement, quand il se prolonge, m’oppresse et me pèse, c’est justement parce qu’une existence consciente d’elle-même a besoin de l’altérité ; c’est parce que je mène une existence consciente d’elle-même que l’isolement peut m’être pénible : si je n’avais pas besoin des autres, si ma conscience était effectivement une substance indépendante de tout et pouvant se suffire à elle-même, être seul ne me pèserait pas.

sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

 

PENSER PAR LE COEUR

 

L’Intelligence suprême de l’Univers… Dieu… laquelle créa l’être humain et tout ce qui l’entoure, avait prévu de laisser à l’homme une possibilité de redécouvrir ses capacités perdues et d’utiliser la sagesse qui foisonne dans le monde immatériel.

Cette faculté a été donnée à l’être humain dès son origine mais il l’a perdue autant que son aptitude à la comprendre… En rupture avec l’intelligence suprême de l’Univers, dépossédé des facultés à l’aide desquelles il contribuait au perfectionnement de la planète terre et qui lui permettaient de la gérer en maître, l’homme s’échoua, tel un vaisseau parti à la dérive et son lien avec l’intellect universel s’émoussa …

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Ainsi s’amorça le mouvement de l’humanité, devenue invalide, vers des moyens artificiels de transformation de l’information, des aménagements techniques, des organisations sociales… En bref, de lourds mécanismes destinés, eux aussi, au naufrage.

Parce qu’il est temps d’éliminer les structures, de dépasser les limites et de briser les systèmes de conditionnement qui retiennent la conscience dans des courants confinés, préétablis. Parce que ces confinements et l’imposition de modèles de pensées anciens ont pour conséquences une conscience limitée destinée à maintenir l’humanité dans une situation d’asservissement et de contrôle, il est temps aujourd’hui d’accéder à la Vérité vraie, de comprendre et d’admettre qui vous êtes vraiment.

Ainsi, accepteriez-vous de redevenir qui vous étiez, qui vous êtes depuis l’origine ? De briser les tabous, le contrôle auquel vous êtes en permanence soumis par vos gouvernements, votre système monétaire, vos banques, vos marchands d’armes, dictateurs etc… ?

Accepteriez-vous, non de croire aveuglément ce qui va suivre mais d’envisager honnêtement qu’une autre réalité existe et de tenter l’aventure avant que de condamner en vous conformant de la sorte au but de ceux qui nous gouvernent en nous maintenant dans la peur et l’ignorance ?

Si tel est le cas, ce qui suit est pour vous. Attention toutefois, ces exercices ne sont pas de simples méditations, de simples techniques de visualisation. Ils sont destinés à permettre à l’homme de retrouver ses facultés perdues et de restaurer, parallèlement, l’harmonie sur terre ..

Extrait de : Exercices d’expansion de conscience conçus et réalisés par Grégory G

à lire sur http://bouger-la-vie.com/blog/wp-content/uploads/downloads/2011/10-12/Grabavoi-exercices.pdf

Publié dans:AMOUR, PENSEE, POUVOIR |on 17 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

Seules les vibrations d’amour guérissent

 

Seules les vibrations d’amour guérissent, quels que soient les maux, car elles se situent à un niveau vibratoire bien au-delà de ce que vous appelez « matière » et de ce fait, peuvent interférer dans les dysfonctionnements pouvant exister, survenir, dans ce bas niveau vibratoire qu’est la matière. Pour illustrer cela, votre chair, vos os sont constitués de ce que vous appelez « matière » ; en fait, d’énergie de bas niveau vibratoire. Le niveau des vibrations qui constituent votre corps physique est intangible, variant très peu. Par contre le niveau vibratoire de vos pensées, peut varier lui, dans d’importantes proportions. Sans entrer aujourd’hui dans le processus de la maladie, je dirai simplement que le niveau de vibrations de vos pensées influe énormément sur vos corps subtils et physique, ainsi que sur ceux des Autres.

Oui, le niveau de vos pensées influe énormément sur votre état d’être et sur ce que vous appelez « santé », mais également sur les Autres, ceux qui vous entourent comme ceux qui vivent à l’autre extrémité de la planète. En élevant votre niveau vibratoire, non seulement vous permettez au véhicule de votre âme : votre corps, de fonctionner harmonieusement, en un mot : « être en santé », mais également vous participez à l’élévation des vibrations de la planète. Ce faisant, vous aidez les Autres, tous les Autres, sans distinction, sans jugement, dans la neutralité.

chez francesca

Élever ses vibrations

Comment pouvez-vous élever vos vibrations ?

Et bien, comme je vous l’ai déjà dit : par l’amour en vous-même et la neutralité, face à ce qui vous entoure. Beaucoup de méthodes existent pour vous aider si cela vous est difficile seul. Mais sachez qu’il n’existe aucune méthode, formation, technique, dont vous pouvez acheter les résultats.

Pourquoi ?

Est-ce que les formateurs que vous pouvez rencontrer ne sont pas compétents ? Non, pas du tout, mais simplement que lorsque de l’argent est en jeu, le niveau vibratoire de la contrepartie qui vous est offerte s’n trouve affecté et, inéluctablement son niveau vibratoire ne peut vous aider à élever les vôtres. Tout simplement, observez, écoutez la nature. Tout ce qui vous entoure est d’une richesse inégalée si vous l’observez avec les yeux du coeur.

En observant ce qui vous entoure avec les yeux du coeur, le niveau de vos vibrations s’élèvera tellement que vous n’en verrez que les bons aspects et par réaction, vos vibrations s’élèveront encore et encore. Écoutez le chant des oiseaux, la mélodie du vent sur les feuilles des arbres, l’eau qui coule… La nature vous offre tout cela et encore plus. Laissez-vous simplement porter par l’harmonie de votre environnement. Peut-être vivez-vous dans le brouhaha de la ville, de l’effervescence du travail, de la notion de gagner… de l’argent…

Et bien évadez-vous au travers de lectures, de musique enregistrée, que vous aurez soigneusement choisies. Certains d’entre vous ont la faculté de transcrire sur différents supports matériels (livres, disques, films…) leurs émotions, leurs ressentis… leurs vibrations, et ce faisant, les mettent à la disposition des Autres qui ne peuvent pas, pour diverses raisons, bénéficier directement des bienfaits de la nature.

Mais lorsque vous optez pour l’utilisation de tels moyens de substitution, vis-à-vis de la nature, de votre mère la terre, choisissez-le bien, choisissez les avec votre coeur, lorsque vous les visionnez, lisez, écoutez. Ne faites pas intervenir la raison dans votre choix, mais seulement votre coeur, qui vous permettra d’obtenir l’élévation de vos vibrations.

Message de Hilarion Reçu le 17 février 2011 par Jean-Paul Thouny

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Publié dans:AMOUR, GUERISON |on 13 septembre, 2016 |1 Commentaire »

OUVRIR LA PORTE DE L’AMOUR INCONDITIONNEL

 

L’Être de Lumière qui est en vous n’attend qu’une chose : que vous vous décidiez à briser ces chaînes qui le rattachent à son passé, à Votre passé. Osez briser les chaînes qui vous retiennent prisonniers de votre passé. Rejetez les limites que l’on vous a imposées et osez Aimer. Votre venue dans ce monde, dans cette vie n’est pas le fruit du hasard, mais un choix délibéré que vous avez fait avant de vous incarner à nouveau. Ce choix que maintenant, vous devez assumer…

N’ayez crainte, la contrainte qu’implique ce choix n’est pas insurmontable, il s’agit seulement d’Aimer. Vous aimer en tant qu’Être Divin et aimer les Autres en les reconnaissant comme des Êtres Divins eux aussi. Et c’est ensemble, que vous franchirez la porte de l’Amour qui s’ouvre aujourd’hui. Tous ceux qui sont prêts se reconnaîtront et il ne leur reste plus qu’à accepter d’être eux-mêmes et d’honorer le Divin en eux. Dès lors, ils franchiront la porte et un monde merveilleux s’offrira à eux.

1 ouverture du coeur

Réalisez ce pourquoi vous êtes venus

Qu’attendez-vous, enfants de la Terre pour réaliser ce pourquoi vous êtes venus ?

Pour cela, inutile de rechercher des formules, des substituts, des adjuvants, proposés par ceux qui n’ont qu’un seul objectif : renforcer vos chaînes. La solution est en vous : retrouver l’Être de Lumière qui ne demande qu’à briser ses chaînes et, qui est emprisonné à l’intérieur de vous-même. Cet être qui attend depuis si longtemps et qui SAIT que c’est le moment, que c’est maintenant qu’il doit vous aider à pénétrer dans ce monde nouveau, dans ce monde d’Amour, qui vous attend, si vous le voulez bien. Car la décision vous appartient, à vous seuls.

Personne ne peut vous empêcher de franchir cette porte qui s’ouvre aujourd’hui à vous. Si vous le voulez vraiment. N’ayez pas peur et prenez votre destinée en main. Il y a si longtemps que l’Être de Lumière, en vous, attend cela : briser définitivement les chaînes qui le relient à la matière et à toutes ses lourdeurs et charges émotionnelles destructrices. Destructrices de quoi me direz-vous ? Et bien tout simplement d’espoir… Espoir d’une autre VIE.

Espoir d’être à part entière Amour et Lumière. Espoir d’être SOI. Espoir d’ÊTRE. Mes chers enfants de la Terre, ne vous refusez pas ce bonheur, Bonheur d’accéder à une vie nouvelle, une vie de Joie et d’Amour, dans la Lumière. Pour y accéder, pour franchir cette porte, il n’existe qu’une seule clé : celle qui est dans votre Futur. Vous avez la possibilité, Vous-même, de choisir Aujourd’hui est un grand jour car Vous, vous avez la possibilité vous-même, sans intermédiaire d’aucune sorte, de décider que OUI vous méritez un monde meilleur, un monde où l’Amour et la Lumière ne seront qu’un, baignant l’un dans l’autre. Mes chers enfants de la Terre, il vous suffit de tellement peu pour franchir cette porte… Il suffit que vous le décidiez.

Que vous décidiez une fois pour toutes de reconnaître le Divin en vous et d’aimer inconditionnellement l’Être de Lumière qui vous habite. Fi de tous les freins que l’on tente de vous imposer, au travers des « obligations » de règles de vie, de comportement, de mode de vie… Tout ce que les autres vous imposent pour prétendument vous aider à une vie meilleure est à rejeter inconditionnellement. Je dis bien TOUT, car seulement vous et vous seuls pouvez et devez décider de votre avenir. Cette porte qui s’ouvre aujourd’hui, vous y avez tous accès, quelles que soient vos origines, vos convictions et votre culture terrestre. Tous, vous pouvez la franchir, si vous le voulez vraiment, sans exception, et c’est à cela que nous nous encourageons et sommes là pour vous y aider, si vous le voulez Bien.

Cette porte qui s’ouvre aujourd’hui restera ouverte et, ceux qui ne la franchiront pas aujourd’hui pourront le faire plus tard. Par contre, nous vous encourageons à le faire sans attendre, car plus vous attendrez, plus ce sera difficile pour vous. Ceux qui auront fait le choix de ne pas la franchir, pour l’instant, vivront des vicissitudes pénibles qui les enchaîneront encore plus à la matière et, devront revenir plus tard, peut-être beaucoup plus tard, pour accéder à cette nouvelle dimension qui s’ouvre à vous.

Bien sûr certains préféreront suivre aveuglément le diktat d’autres qui ont pour objectif de retarder ce moment où ils briseront leurs chaînes et sortiront de leur esclavage… mais c’est leur responsabilité et, nous devons la respecter. Car même si nous estimons que l’Autre est foncièrement dans l’erreur, nous devons respecter son choix ; c’est aussi cela l’Amour inconditionnel. Dans ce monde nouveau qui s’ouvre à vous : rien de mauvais ou de bon : TOUT EST.

Pas de jugement à porter à quiconque car chacun est responsable de sa propre expérience et ne peut en imputer le résultat à quiconque. Brisez vos chaînes avec le passé Mes chers enfants de la Terre, le moment est venu, brisez vos chaînes avec le passé en reconnaissant l’Être de Lumière qui est en vous.

Cette reconnaissance dans l’Amour et la Lumière est la clé pour franchir cette porte qui vient de s’ouvrir. Je vous attends dans ce monde nouveau qui vous attend.

Message de Hilarion Reçu le 21décembre 2009 par Jean-Paul Thouny

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Publié dans:AMOUR |on 10 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

L’ALCHIMIE A BESOIN DE NOTRE CONSCIENCE

 

L’organisation de nos vies intérieures est une activité simple pour notre biologie.

Elle s ‘appuie sur le fonctionnement naturel et non-conscient de nos « mises en vie » non seulement physiologiques, mais aussi émotionnelles, mentales, psychiques comme spirituelles. Chacun de ces quatre plans à ses tonalités. Tous ces éléments communiquent entre eux pour « notre mise en vie » et composent donc, notre organisation alchimique.

Avant de vous définir ce que Didier Thiellet appelle le laisser-faire intérieur, je me dois d’abord, de vous décrire certaines facettes de cette organisation complexe pour notre logique intellectuelle et d’une richesse inouïe qui embrasse la perfection.

Croyez-vous que notre alchimie ait besoin de notre conscience, 
notre volonté, notre désir pour exister ?

Pour mieux vous aider à saisir le phénomène, j’ose vous proposer une suite de questions/réponses pour lesquelles j’espère, vous me pardonnerez de jouer sur les deux tableaux. N’hésitez surtout pas à vous arrêter devant les questions et/ou les réponses, j’espère encore pour ne pas bâiller « la » corneille, mais bien pour amener votre cheminement méditatif aux questions que je m’en vais « nous » poser. Si mes mots venaient à votre réflexion susciter quelques prises de conscience, merci de m’envoyer cinq euros cinquante sur mon compte. Je vous promets d’en faire bon usage.

Mais passons au sujet.

ALCHIMIE

 

Qui créé et dirige nos vies.

 

Sauriez-vous dire avec précision qui ou qu’est-ce qui a construit votre personnalité ?

Il y aurait bien une flopée de réponses ! N’est-ce pas ?
Prenons la première qui pourrait arriver à nos têtes : « mes parents ». 
Auquel cas je répondrais : « est-ce qu’ici, maintenant, votre vie se crée sur les dires, actions ou soins de vos parents ? »

Il me semble que vous allez me répondre non ? Non ?

Ensuite, il est possible que certains d’entre vous pensent que leur vie se soit créée en partie par l’impact parental ou l’impact de leur histoire. Mais si cet impact est de l’ordre du passé, qui est la mémoire qui le porte ? Qui entretient et actionne cette mémoire ?

« Moi » dirions-nous sûrement ?
Qui est ce moi et quel pouvoir effectif a-t-il réellement ?
Est-ce ce « moi » qui va acheminer l’information d’un neurone à un autre?
Est-ce ce « moi » l’organisateur de ce cheminement ?
Est-ce aussi ce « moi » le commandeur des fonctions cognitives qui animent notre vie ?
Est-ce ce « moi » qui nous fait lever notre bras dans tel degré, latitude ou vitesse ?
Dois-je continuer ? 

Qui choisit ?

Est-ce, ce « moi » qui a les possibilités ou capacités de faire une carrière comme ingénieur, électricien ou garçon d’étage ?
Est-ce, ce « moi » qui construit chaque trait de l’histoire qu’il traverse ?
Est-ce ce « moi » qui amène à lui les possibilités entre A ou B pour pouvoir choisir ?
Est-ce ce « moi » qui crée telle ou telle envie ou est-ce que ce moi a telle ou telle envie qui lui arrive ?
Bien sûr la compréhension, la vision du monde et de soi vont nous soutenir dans notre choix.
Mais qui a forgé cette compréhension ?
Qui a adopté cette vision du monde ?
Qui est le créateur réel de cette vision du monde ou de soi-même ?
Qui est le créateur des pensées, émotions, sensations et croyances qui nous traversent ?
Encore « moi » me direz-vous ?
Sommes-nous reparti pour faire une boucle ?

Eh, oui ! Je crois entendre déjà chez quelques uns l’inquiétant « mais si ce n’est pas moi, qui c’est ? », et j’imagine que certaines, c’est certain, pourraient me demander cinq euros soixante cinq de dommage et intérêt. Eh oui, le paradoxe de la dualité dans l’unité est touffue sur nos têtes et va jusqu’à blanchir notre chevelure qui perd de sa force naturelle. Dans cette unité, ce vide, ce silence immanent, nous devons bien faire exister ce toi et ce moi, non ? Comment pourrions-nous nous reconnaître, nous aimer ou nous détester sinon, mes chéris, chéries ?

Ah, mais ! Je ne dois pas confondre cette recherche d’amour avec l’amour qui va bien plus loin. Cet amour qui gonfle nos artères, glisse dans nos nerfs, se faufile dans nos contradictions ou s’accommode dans nos croyances limitantes de la vie et du « moi » et qui n’a pas besoin de l’amour d’autrui pour s’alimenter et orchestrer mais qui se fait une fête de la rencontre.

Derrière papa et maman, la vie.

Si certes mon corps biologique a l’empreinte naturelle de ma généalogie et porte en référence l’histoire de ma mère et/ou de mon père. Si certes, mon corps n’avait jamais pu se condenser sans l’union du spermatozoïde de mon père et l’ovule de ma mère. Tous ces éléments : mon corps, le spermatozoïde de mon père et lui-même l’ovule de ma mère et elle-même, leurs ancêtres, leurs corps et tout ce qui va avec – tous ces éléments réunis ne sont qu’une seule et même chose : des éléments de la vie. Donc, je suis, tu es, il est, nous sommes tous des enfants de la vie pour ne pas dire la vie elle-même.
Dois-je espérer les cinq euros quarante cinq virgule sept sur mon compte?
Mais la vie ne s’achète pas !

Et derrière la vie « quoi qu’il y a ? »

L’amour.

C’est l’amour qui fait battre nos cœurs, active nos pensées, sensations, émotions, souvenirs. C’est l’amour qui se plie à nos croyances, nos désidératas et nos compréhensions et c’est encore l’amour qui nous met devant nos contradictions et nos illusions. C’est l’amour qui nous attache à une histoire et nous fait passer dans le trauma de la pseudo séparation ou qui nous laisse dans la solitude du moi et c’est encore l’amour qui nous laisse le libre choix de nous abandonner et nous reconnaître en lui. Et c’est toujours l’amour qui se réjouit en soi quand nous réalisons que nous ne sommes rien d’autre que lui.
Pourtant, nous traversons la félicité de la dualité, le jour et la nuit.

Les idées sur nous-mêmes et sur la vie se construisent sur une résistance 
à celle-ci, un non-laisser-faire intérieur.

Dans ma carrière d’homme des cavernes où l’obligation de montrer au clan comme j’étais beau, efficace, adéquat et performant afin d’être reconnu, récompensé et si possible aimé, la réflexion m’a poursuivi, pourchassé, traqué et acculé.

Cette réflexion a amené Didier Thiellet à réaliser que dans cette forme de bataille, il jouait sur les tableaux : de la rébellion pour forcer la reconnaissance et de la soumission pour recevoir de l’amour ou calmer la peur. Et il nous dit……….. :

Dans cette bataille entre moi et l’autre, il y avait par exemple l’action d’appeler la reconnaissance d’autrui pour sentir « mon moi » exister ou de m’efforcer à être quelqu’un, pour dissiper la peur du « rien » et du vide. De plus, pour pouvoir exiger et revendiquer l’amour, la reconnaissance ou le respect, la fabuleuse organisation de vie qui œuvre en vous comme en moi, avait fait en sorte de me faire rencontrer les personnes et situations au travers desquelles je pouvais revendiquer l’objet espéré. Elle avait aussi, pour plus de congruence, créé dans la terre fertile de mon inconscient, des croyances comme « je suis indigne d’amour », « je suis nul » ou « la vie est dure » pour donner du relief et des raisons à mes revendications. Elle utilisait des traumas passés pour nourrir ces croyances et créait des arguments par un éventail de conclusions, justifications, comparaisons, réactions, visions afin de donner un sens à l’illusion d’être. Je réalisais aussi que toute cette organisation était le résultat de la subtile communication des diverses éléments inconscients composants l’animation de mon existence et que ce ballet s’articulait à partir de mon acceptation ou non acceptation de ces dits éléments inconscients. Il m’est alors apparu évident que la vie n’avait aucunement besoin de ma volonté pour animer mon voyage terrestre. Elle avait répondu à ma façon de m’ouvrir ou de me fermer à elle. Je réalisais aussi que l’amour que j’avais tant de fois pris comme valeur fausse et traîtresse était en fait le créateur effectif de toute existence, la mienne comme la votre.

Rencontrer la fabuleuse organisation de la vie en soi.

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Pour apprécier le jeu du « Je » et la diversité subtile des détails de la vie, je comprenais par contre que j’avais besoin de prendre la responsabilité de mes perceptions et du comment je prenais, accueillais, vivais les éléments de cette vie intérieure. Je réalisais que l’idée de moi et de la vie était construite sur la retenue de perceptions collectées et incorporées lors de situations dans lesquelles mon état d’esprit les avait refusées et enregistrées comme traumatisantes. Fait cocasse puisqu’en refusant de laisser se passer en moi des perceptions qui se passaient, je forçais mon cerveau à me définir sur elles et qu’en refusant le vivant qui m’animait dans l’instant j’ordonnais à celui-ci à rêver une autre vie.

Croyez-vous que nos « moi » diffèrent dans leur fonctionnement ?
Je vous laisse la réponse.

Qu’est-ce que le moi pour moi ?

Dans ce moi, l’égo prend une place prépondérante. Il est pour moi la structure qui se crée sur la résistance des perceptions passées tirées des situations vécues, vous en avez un aperçu dans ma description ci-dessus. Comme l’égo ne peut exister sans ces perceptions incorporées, le moi vit dans l’ambiance émotionnelle et mentale de ces perceptions. L’égo est tout à la fois, une vision illusoire de ce que nous sommes et un pont qui permet d’entrevoir ce que nous pourrions appeler la conscience de l’essence ou l’amour que j’ai évoqué plus haut. Sur ce pont s’exerce une conscience, que nous prenons comme individuelle que je qualifie plus de « biologique » et que je reconnais comme le « moi », qui permet à chaque instant de nos vies de discerner sous quelles références nous demandons à celle-ci de s’orienter :

- dans la conscience de l’égo avec tout ce qui a été conditionné 
– ou dans la conscience de l’essence à travers laquelle le tout à partir du rien, est possible.

Et comme dit Lavoisier : « rien ne se perd, rien ne se crée, tout se transforme.

Au-delà du mot et des maux ou l’état sans état.

J’ai commencé à apprendre par la psychologie quantique de Stephen Wolinsky, élève de Swami Nissargadatta, comment et combien nous élaborions les états d’âmes sur lesquels nous bâtissions le sens de nos vies et du « nous-même » sur la lecture de nos expériences passées. Bien que notre biologie va enregistrer comme information de survie les perceptions vécues à travers notre matériel corporel, notre conscience intellectualisée ne va en garder qu’une partie pour formater sa raison et ses sens de vie. Comme l’avance Stephen, ce formatage se base sur des fausses conclusions. Pour aller au-delà de cette intellectualisation, nous utilisons en psychologie plusieurs méditations guidées.

 

La démystification du moi et de l’égo.

Nous ne sommes pas nos pensées, émotions, sensations, idées, croyances, souvenirs et mémoires, nous avons des pensées, émotions, sensations, idées, croyances, souvenirs et mémoires.

Nous nous sommes malgré tout identifiés à ces éléments et de par cette identification, nous avons confondu l’état d’être à l’avoir. L’avoir passe, l’être reste au-delà de la vie et de la mort, au-delà du temps et de l’espace.
Donc, du fait que :

- le moi construit ses raisons d’existence en refoulant dans son intériorité des perceptions passées qui stagnent et peuvent se changer en toxines émotionnelles, 

- nous dessinons l’image de nous-mêmes au travers de l’ambiance émotionnelle, mentale et mémorielle de ces perceptions arrêtées, 

- « ces arrêts » sur expériences provoquent des états d’âmes où découle de la souffrance,

- la vie se manifeste en « souffrance » quand nous ne sommes plus dans son courant, il suffit alors, pour rencontrer l’état sans état de laisser vivre et passer en soi-même cet avoir de perceptions retenues avec tout état d’âme.

Nous n’avons rien à faire d’autre pour exister que d’épouser la vie dans notre espace de conscience de l’instant et nous laisser diriger par l’amour.

Pour ce faire il suffit de contacter le vivant corporel, d’accepter de le vivre dans sa chair, de suivre les flux de ce vivant dans les paysages intérieurs qu’il emprunte, d’accepter de traverser les nœuds psycho-énergétiques amassés, fruits de nos mensonges et de réaliser que ce que nous sommes va au-delà de l’idée que nous avons sur nous-même. En lâchant la recherche à l’existence et en laissant passer les perceptions retenues qui l’impulse apparaît alors en soi, à un moment donné la conscience de l’essence. Plus nous discernons à chaque moment qu’il se doit l’identification formatée, plus nous rééduquons notre cerveau à lâcher le combat du rêveur et plus nous plaçons notre espace de conscience dans la conscience de l’essence.

J’ai appelé cet pratique le laisser-faire intérieur.

La page blanche.

Dans l’action de laisser se passer en soi ce qui se passe à chaque instant, nous revenons à « la page blanche » où toutes les formes de vie peuvent effectuer leur danse et leur voyage. Nous avons cru être l’écriture alors que nous sommes la page blanche où le tout par le rien est possible. Les mots sont insuffisants pour percevoir ce que nous sommes.  Pour citer Nissargadatta :

 « pour savoir qui tu es, sache qui tu n’es pas » ou « installe-toi dans le je suis et laisse tomber tout le reste ».

La formation en ligne : « Surfez votre vie. » par Didier Thiellet

LE SITE : http://linstantdeletre.net/bienvenue/

 

ALCHIMIE3

Si l’action du laisser-faire et la rencontre de la diversité de votre vivant intérieur vous attire, je vous accueille avec plaisir dans un voyage passionnant au travers de la formation : « Surfez votre vie »Dans cette formation, vous apprendrez à contacter le vivant au sein de votre corps, à vivre l’instant dans la présence de ce vivant, à déjouer les cristallisations identitaires, les vérités égotiques et leurs croyances limitantes. Vous apprendrez à vivre dans la simplicité de votre alchimie jusqu’à peut-être vous laisser porter par elle. La simplicité n’est pas facile puisqu’elle demande de lâcher tous les efforts sur lesquels nous avons misé pour devenir quelque chose ou quelqu’un. Cette action/non action demande au départ l’effort de ne plus faire d’efforts. Comme j’ai entendu Josette Calmes l’exprimer, praticienne en Dynamique Emotionnelle Exprimée méthode Etienne Jalenques, « c’est un gros effort ». 

Au moment où nous quittons « celui qui rêve sa vie » nous nous laissons embarquer par la vie qui œuvre pour nous comme une grande. Arrive alors, comme le dit Jean Bouchart d’Orval : « les vacances. ».

Publié dans:ACCORD, AMOUR, ASCENSION, DEVELOPPEMENT, GUERISON |on 4 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

LE SIMPLE FAIT D’ETRE VIVANT ALIMENTE L’ATMOSPHERE

 

Lorsque vous mangez une pomme, vous vous nourrissez de son prana, surtout si vous avez cueilli cette pomme directement dans un pommier et capté d’abord consciemment du regard son prana. Pour en capter davantage encore, prenez une croquée de cette pomme et gardez un moment le morceau dans votre bouche, sans le mâcher. Vous serez étonné de la sensation que cela peut procurer.

 pomme

Le prana est l’essence vitale de toute nourriture. Vous avez peut-être parfois remarqué qu’il vous fallait manger beaucoup d’aliments avant de vous sentir rassasié. C’est peut être dû au fait qu’il ya peu de particules praniques dans les aliments choisis, ou encore qu’ils n’ont pas été suffisamment bien absorbées durant la digestion. Si vous êtes certain que vos aliments sont vivants, et qu’ils contiennent donc du prana, gardez-les quelque instants dans la bouche avant de les avaler afin de mieux capter la partie éthérique de l’aliment.

Ainsi, par votre Intention et votre Attention, vous absorberez son énergie éthérique. Puis, mastiquez-le longuement avant de l’avaler, afin que tous les micro-capteurs de votre bouche puissent aussi l’absorber. Lorsque vos aliments ne sont pas aussi vivants que souhaité, et possèdent donc peu d’énergie vitale, rechargez-les de prana en focalisant sur vos aliments, à partir de votre troisième œil, les faisceaux de lumière portant votre Intention de les revivifier.

Comme vous êtes vivant, vous irradiez la vie. Cela signifie que vous contribuez à charger la vie autour de vous, tout comme l’atmosphère, de cet élément vital qu’est le prana. Tout ce qui est vivant, partout dans l’univers, génère du prana, l’énergie de la vie présente en toutes choses.

Si un individu ne reconnaît pas être lui-même de source universelle, par ignorance ou par inconscience, il ne génère alors que fort peu de prana. C’est lorsqu’un humain s’exprime, s’épanouit et se manifeste en harmonie avec sa conscience d’être de lumière incarné, que le prana qu’il émet contribue à la vie environnante de manière vraiment importante.

Tout autour de vous, le prana est présent comme il est présent en vous et en toute forme de vie. Et si vous êtes conscient que vous en créez naturellement, vous vous en nourrirez aussi plus consciemment.

Le prana que vous générez est naturellement présent dans vote champ magnétique, lequel a la propriété de faire circuler et de projeter le prana qui émane de vous. En fait, plus vous générez de prana, plus votre champ magnétique est vibrant. Et plus votre champ magnétique est vibrant, plus vous captez les vibrations des autres, et de même, plus les autres peuvent capter la vibration authentique de votre Ame. Votre champ magnétique vous permet d’utiliser la loi d’attraction et d’attirer à vous ce qui correspond le mieux à votre essence et au but de votre incarnation. Votre champ magnétique vous permet aussi de projeter vos intentions avec plus de puissance dans l’univers et d’attirer à vous les situations, les circonstances et les êtres pouvant catalyser votre épanouissement spirituel jusqu’à un état de grâce divine. Qui plus est, votre champ magnétique es tune sorte de filtre naturel qui dissout et élimine tout ce qui ne vous appartient pas. Il constitue donc un élément essentiel à votre bien-être, que le prana rend plus vivant, plus vibrant. 

C’est grâce à votre champ magnétique que vous pouvez accueillir, ressentir et respirer votre présence d’Ame et ses émanations. Qui plus est, votre champ magnétique agit comme un filtre éliminant ce qui ne vous appartient pas. La nourriture pranique est associée au centre de la gorge, et à l’aptitude à exprimer clairement ses idées. Sachez aussi que le champ magnétique que vous alimentez de votre prana est directement en lien avec votre aura, exprimant votre signature énergétique. Votre champ magnétique vibrant d’ondes de lumière colorées est donc l’expression subtile de qui vous êtes vraiment. Les individus sensitifs ayant développé leur faculté de double vision (superposant la perception de l’aura à ce que leurs yeux voient) peuvent voir et ressentir votre aura, et ainsi vous découvrir sous votre vrai jour. Plus votre champ magnétique est puissant, plus il est facile de le sentir. Lorsque le champ d’énergie d’un être est puissant et étendu, tous sur son passage ressentent sa force et se sentent attirés vers lui, sans pouvoir nécessairement comprendre ou expliquer ces impressions.

Le prana circule librement dans l’atmosphère de la planète. Il est constamment généré par les écosystèmes terrestres et par le règne minéral, végétal et animal. En fait, tout ce qui est constitué de cellules vivantes génère du prana. Même les minéraux sont porteurs de vie. Ils émettent donc eux aussi des ondes et du prana et contribuent ainsi depuis toujours à l’évolution de la vie sur Terre. 

Votre champ magnétique, s’il est bien chargé de prana, vous permettra d’être moins affecté par les sombres égrégores qui à l’heure actuelle en maints endroits, dégénèrent en égrégores de terreur. Ces forces ténébreuses sont créées par des humais projetant autour d’eu la peur, la colère, la critique et la terreur qui les habitent. C’est donc un cercle vicieux. Et lorsqu’un individu émet de la colère, non seulement il alimente l’égrégore de colère déjà existant, mais en plus il attire à lui de semblables énergies de colère qui l’envahissent et il a alors l’impression d’être possédé par quelque chose de morbide qui lui fait perdre ses moyens et dénature son être véritable. Il n’est plus lui-même, mais c’est uniquement parce qu’il est sous l’emprise d’un tel égrégore. Un champ magnétique sain et vibrant crée un bouclier partiellement ou totalement impénétrable par les ondes émanant de ce genre de soucis.

Par conséquent, si vous alimentez régulièrement votre champ magnétique en prana, vous faites le choix le plus sage qui soit.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Déclaration des droits de l’homme 2016

 

Nous nous sommes amusés à créer notre propre vision des droits de l’homme, à la lumière de la spiritualité contemporaine. Cela donnerait ceci :

DROITS DE L'HOMME

 

Le premier principe est celui de la vie.

L’être humain a droit à la dignité, à la santé et doit pouvoir réaliser son potentiel de vie. Il né avec un potentiel, mais la société ne lui donne pas les possibilités de se réaliser, de fleurir. Pour cela, l’homme a besoin d’un environnement plein d’Amour, de Joie et de Sagesse. Jusqu’à présent, la société lui a donné un environnement plein de colère, de destruction, de violence et de guerre.

Le droit à la vie signifie qu’il ne devrait plus y avoir de guerre. Ceci signifie aussi que personne ne devrait être forcé à faire l’armée ou à faire la guerre. L’être humain devrait avoir le droit de refuser tout cela mais ce n’est malheureusement pas le cas ! Dans la plupart des pays (y compris dans les démocraties), on vous met en prison si vous ne faîtes pas l’armée. Si ceci pouvoir changer, cela éviterai déjà pas mal de soucis !

Ensuite, dans la même ligne d’idées, l’Ecole, devrait enseigner l’amour, la révérence à la vie et la tolérance et non la haine et le fanatisme. C’est seulement à cette condition que nous pourrons créer un environnement de paix sur cette terre.

Or jusqu’à présent, on enseigne dans les écoles et dans les universités,la religion le nationalisme la compétition économique , des valeurs qui sont profondément contre la paix dans le monde. Un monde basé sur les divisions est forcément un monde de violence.

L’être humain n’est pas une « chose » ou un « produit » qui peut-être détruit ou sacrifié en une seconde pour une cause politique et ce quelque qu’elle soit. Jusqu’à présent des millions d’êtres humains ont été tués au nom de Dieu ou au nom de la Politique. L’être humain est ce qui est de plus précieux sur notre Terre, il a la capacité deConscience et d’Amour et il doit être soutenu, respecté et non détruit !

Le droit à la vie, c’est aussi le droit à la vie pour tous les êtres vivants . L’homme doit comprendre qu’il n’est qu’une partie de la nature et il doit apprendre à respecter et à aimer cette nature. Or jusqu’à présent, la majorité des humains sont carnivores et cela montre qu’ils n’ont pas encore une révérence pour la vie. L’homme nouveau se doit d’être végétarien et en tout cas de ne pas cautionner l’élevage intensif des animaux comme elle est faite de nos jours.

Par contre, soyons, clair, le droit à la vie ne signifie pas qu’il ne faut pas utiliser la pilule ou pratiquer l’avortement. Les religions (notamment les chrétiens) utilisent l’argument du droit à la vie pour défendre leurs positions contre le contrôle des naissances. Là encore, le bon sens, l’intelligence montre clairement que des millions d’êtres humains dans les pays les moins développés souffrent de mal nutrition, de la pauvreté en partie à cause de ce dogme religieux.

L’enfant doit être reconnu comme être humain à partir de sa naissance. Avant, il n’est pas encore formé.

La sur-population mondiale est une des réalités les plus grave à laquelle nous faisons actuellement face. Elle crée de graves difficultés économiques dans les pays pauvres et elle pose la question des migrations internationales. La population mondiale doit être réduite si on veut retrouver notre dignité, notre honneur, notre droit à la vie. La vie ne doit pas être un poids, un problème, elle doit être une danse, une joie ! Le droit à la vie : c’est le droit à une belle vie !

Le second droit est le droit à l’Amour.

L’Amour est un droit fondamental de l’être humain et toutes les sociétés l’ont détruit en créant le concept de mariage . Le mariage n’est pas l’Amour, c’est un mauvais substitut.

Premier cas :
Quand l’enfant est marié, sans son consentement, à une personne qu’il n’aime pas comme c’est le cas dans les mariages organisés (et c’est le cas encore dans de nombreux pays), on empêche l’Amour de naître  !

Deuxième cas :
Lorsque l’homme et la femme se marient « librement ». En les mariant, on les empêche ensuite de suivre leurs énergies et leurs cours. L’homme et la femme devraient avoir le droit de changer de partenaires quand ils le souhaitent . Ce n’est ni au gouvernement, ni à la société et ni à la famille de choisir. C’est un choix qui incombeseulement aux deux individus. Si deux personnes veulent vivre ensemble, elles n’ont pas besoin de la permission de prêtres ou de représentants de l’Etat. Elles ont simplement besoin d’écouter leurs cours , c’est tout. Et pareil, le jour, où elles veulent se séparer, elles n’ont pas besoin de la permission de quiconque. Elles peuvent se séparer avec tendresse et garder les meilleurs moments dans leurs cours.

L’Amour devrait être la seule condition pour que l’homme et la femme puisse vivre ensemble !

La question des enfants a été longtemps le problème essentiel : que se passe-t-il pour les enfants lorsque les parents se séparent ?

Il y a des alternatives meilleurs que le mariage de deux parents qui ne s’aiment plus. D’abord, les parents peuvent continuer à s’en occuper même si ils ne vivent plus ensemble. Ensuite, l’enfant devrait être moins considéré comme la propriété des parents que comme les enfants de l’humanité toute entière. En fait, la possession des enfants pas les parents est un véritable problème. Il faudrait réorganiser les villages, les villes, les sociétés avec une vision plus communautaire. Nous sommes trop isolés des uns des autres. L’individualisme tue les relations humaines. Les personnes âgés et les enfants font partie de notre société et ils devraient être plus pris en charge que ce que nous faisons actuellement.

Le troisième droit fondamental 
est le droit de mourir.

Lorsqu’une personne a atteint un certain age, lorsqu’elle a le sentiment qu’elle a vécu suffisamment, elle devrait avoir le droit de laisser aller du corps. C’est sa vie, chaque personne devrait pouvoir choisir ! Et, les hôpitaux devraient créer des espaces spécialement s pour ceux qui souhaitent mourir. Ils pourraient ainsi rentrer 1 mois avant de mourir et bénéficier d’un environnement relaxant, aimant et créatifs. Jusqu’à présent, la mort est un tabou, elle est souvent mal vécue, elle est subie ! Nous pouvons accepter la mort, nous y préparer et même la célébrer !

La mort n’est que l’ultime étape de la vie, toute être vit et meurt. Il n’y a rien de tragique !

 4ème droit

Le quatrième droit est le droit à la vérité.

Nous ne devrions pas être conditionné par les religions, les philosophies, les idéologies politiques. Au contraire, l’être humain devrait pouvoir trouver par lui même la spiritualité qui lui convient. Chaque personne est unique, libre et chaque personne doit avoir sa propre spiritualité, son propre style de vie. Il ne sert à rien de croire, il faut trouver par soi même la vérité.

Le droit à la méditation

L’homme passe aujourd’hui presque un tiers de sa vie à l’école et dans les universités et lorsqu’il en sort, il ne sait toujours pas ce qu’est le silence intérieur, la relaxation, la connaissance de soi ou la liberté intérieure.

Le système éducatif devrait inclure l’enseignement de la méditation. La méditation n’appartient à aucune culture et à aucune religion. La méditation est une science de l’intériorité, elle n’a rien à voir avec des croyances religieuses ou des superstitions. La méditation, c’est être capable d’observer son mental, de le comprendre, de savoir s’en détaché quand il le faut.

L’humanité est une grande famille !

L’homme appartient à l’humanité toute entière et ce qu’il soit né aux USA, en Irak ou en Inde. Les divisions entre nations et religions sont nos propres créations, elles n’existent pas dans la Nature, dans l’Existence. Nous sommes tous reliés les uns aux autres et il nous faut retrouver cette unité. Pour cela, il semble que le monde est besoin d’un gouvernement mondial authentique et fonctionnel et non de Nations-Unies sans pouvoir ou « dominé » par tel ou tel membre.

Un gouvernement mondial représenterait un changement considérable :

Il signifierait un retour du keynésianisme à l’échelle mondiale, or seule une politique économique interventionniste mondiale est capable de gérer intelligemment les forces du marché et la mondialisation.

Seulement cette politique n’a de sens qu’à l’échelle mondiale. Le monde (économique ) est déjà globalisé, internationalisé, il est donc absolument nécessaire que les autorités politiques le soient aussi.

Deuxième avantage d’un gouvernement mondial : il signera la fin des conflits entre nations. A l’heure actuelle, chaque pays investit dans l’armement de peur d’être attaqué ou contrôlé par un pays voisin. Progressivement, on peut penser qu’en unissant le monde, en le gérant globalement, les conflits disparaîtront.

Méritocratie

La démocratie actuelle (comme elle est pratiquée) a montré ces limites. Elle n’a pas résolu les problèmes du monde, elle a au contraire peut-être même augmenté le nombre de problèmes !

Aujourd’hui, un président est élu par les médias, par l’argent, par les fausses promesses et les manipulations de masse. Pour vous donner une idée du problème, c’est un peu comme si on devait voter pour choisir notre dentiste. Il y aurait le dentiste qui sait bien se présenter, qui parle bien, qui a le soutien du milieu des affaires… etc. mais qui ne sait peut-être pas bien faire son travail. Eh bien, en démocratie, c’est celui là qu’on a élu… et non, celui qui pourrait peut-être faire un travail efficace.

La difficulté est que l’homme ordinaire ne connaît rien à la dentisterie ou à la politique économique et il est donc insensé de lui demander ce qui est bon pour lui.

Au contraire, la démocratie crée un monde corrompu (imaginez, tous les dentistes qui seraient élus et qui ensuite ne voudraient pas perdre le pouvoir).c’est un peu ce qui se passe en politique. Et l’idée que nous (le peuple) gouvernons en démocratie et une grande illusion.que gouvernons-nous ? Rien !

En fait, certains lobbies, certains mouvements idéologiques contrôlent plus ou moins le pouvoir dans chaque pays. Nous sommes très facilement manipulables.

L’argument souvent avancé pour défendre la démocratie est que ce système est meilleur qu’une dictature (et ceci est vrai !!!) et qu’il n’existe aucune autre alternative valable.

Or ceci n’est pas si sûr. Certains penseurs humanistes ont ouverts la voie sur une autre approche de la politique. Ils parlent de la méritocratie . Cela signifie que seuls les personnes spécialistes, expertes dans un domaine peuvent voter dans ce même domaine. Par exemple : seuls ceux qui travaillent dans le milieu de l’éducation ou qui ont fait des études liées à l’éducation pourraient voter pour le ministre de l’éducation. Pour l’économie, pareil seuls des économistes pourraient voter pour le ministre de l’économie.

Cela signifie aussi que les ministres eux-mêmes devraient être spécialistes dans leur domaine, ils auraient les postes «  qu’ils méritent » (méritocratie) . Or ce n’est pas le cas, aujourd’hui, un même homme politique peut-être ministre de l’éducation, puis ministre de l’intérieur, puis ministre de l’armée.etc. Dans la méritocratie, les ministres seraient donc des spécialistes, des hommes talentueux dans leur domaine et non des politiciens arrivistes ou superficiels.

Avant de passer à un gouvernement mondial, chaque nation pourrait ainsi passer à un tel système de méritocratie , car des spécialistes, des intellectuels, une intelligentsia pourront comprendre par eux-mêmes la nécessité de passer ensuite à un gouvernement mondial. Ils ne feront pas de la politique pour eux-mêmes mais pour aider l’humanité à se développer. Aujourd’hui, l’homme politique traditionnel ne souhaite pas trop s’ouvrir au monde, car un gouvernement mondial signifie aussi la fin des gouvernements nationaux « indépendants », la fin des ego collectifs !

Conclusion

Une évidence s’impose : depuis quelques années, le monde ne va pas bien, il souffre, car pour la première fois dans l’histoire de la conscience humaine, l’homme a perdu la trace de l’existence. Dans le passé, les gens ont été pauvres, très pauvres; les gens ont été affamés, mais ils n’ont jamais été aussi pauvres spirituellement.

Les gens n’ont jamais été aussi affamés spirituellement qu’aujourd’hui. Il est urgent de redonner une nouvelle vision des droits de l’homme à l’humanité qui puisse inclure les qualités spirituelles fondamentales. L’homme n’a pas d’avenir s’il ne s’enracine à nouveau dans l’existence et pour cela il doit dépasser un état de peur et élever son niveau de conscience.

Dossier réalisé par l’équipe de meditationfrance.com

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Publié dans:2016 - PREDICTIONS, ACCORD, AMOUR, TERRE |on 11 juillet, 2016 |Pas de commentaires »

LA PURETÉ FONDAMENTALE DE L’ESPRIT : une leçon d’Amour


 

La nature de l’esprit est claire lumière.
Les souillures sont superficielles.

Dharmakirti.

Peut-on se débarrasser complètement des émotions conflictuelles? Est-il possible de les éliminer? Selon les principes fondamentaux du bouddhisme, l’esprit est par nature lumière et connaissance. Les émotions n’appartiennent pas à l’essence de l’esprit. Ces manifestations aux effets négatifs sont temporaires et superficielles, elles peuvent être éliminées.

Si les émotions perturbatrices comme la colère étaient gravées dans notre esprit depuis l’origine, nous serions perpétuellement en colère. Heureusement, ce n’est pas le cas. Notre colère surgit lors de circonstances particulières, si rien ne la stimule, elle ne s’exprime pas.

Quelles sont les situations qui génèrent la colère ou la haine? Quand nous sommes en colère, l’objet de notre colère apparaît plus terrible qu’il ne l’est en réalité. Je me mets en colère quand une personne nuit à mes amis ou à moi-même. Mais que veut dire ce « je »qui se met en colère?

Dans le feu de l’emportement, nous ressentons que le sujet « je »et l’objet, l’ennemi, sont substantiels et indépendants. Nous générons de la colère parce que nous acceptons que ces apparences soient par nature fondées. Cependant, si vous raisonnez en vous demandant dès que la colère éclate : Qui suis-je? Qui est celui qui est blessé? Quel est cet ennemi? L’ennemi est-il le corps? L’ennemi est-il l’esprit?, cet ennemi d’apparence solide, qui auparavant semblait avoir été créé pour provoquer votre colère, et ce « je », conçu pour être blessé, semblent tous deux disparaître. Et la colère se dissipe.

PATIENCE

Pensez à cela. Nous sommes furieux lorsque nos désirs sont contrariés. La colère est suscitée par l’idée erronée que l’objet et vous-même êtes définis comme ennemi et victime. La haine n’appartient pas au fondement de l’esprit. C’est une attitude qui n’a aucune assise. En revanche, l’amour est enraciné dans la vérité. Et, sur une longue période, l’attitude qui possède l’assise la plus raisonnable vaincra l’autre.

Les qualités de l’esprit peuvent s’améliorer à l’infini. En augmentant vos capacités à vous opposer aux émotions angoissantes, leurs contreparties négatives diminuent pour disparaître en même temps. L’esprit est lumière et connaissance. Nous avons toutes les ressources nécessaires pour atteindre l’illumination.

IDENTIFIER L’ESPRIT

Je me trouvais en Inde, au Ladakh, pour conduire une succession d’exercices de méditation, il y a une vingtaine d’années. Une statue du bouddha Sakyamuni était placée devant moi selon mon habitude. Une feuille d’or décollée à l’emplacement du cœur de la statue laissait apparaître une tache brune. Cette partie qui ne brillait pas attira mon regard. Je me concentrai. Le cours de mes pensées s’interrompit, et je ressentis la nature lumineuse de la clarté de l’esprit pendant une brève période. J’ai renouvelé plusieurs fois ce processus avec succès.

Il est nécessaire dans la pratique quotidienne d’identifier et de se concentrer sur la nature de l’esprit. Néanmoins, contrôler l’esprit est délicat. Il est enfoui sous la multitude de nos pensées. Pour trouver la nature fondamentale de l’esprit, arrêtez de vous remémorer le passé, puis ne pensez plus à l’avenir. L’esprit doit flotter indépendamment de toute pensée. Il retrouve alors son état naturel. Observez-le pendant un instant.

Par exemple, considérons un bruit : entre le moment où vous l’entendez et celui où vous en devinez la source, votre esprit est vide de toute pensée sans que vous soyez assoupi. L’objet apparaît alors comme un reflet de votre clairvoyance. À ce stade, la nature fondamentale de l’ esprit est saisissable. Vous aurez quelques difficultés quand vous réaliserez cet exercice, elles disparaîtront avec le temps et votre esprit deviendra limpide comme de l’eau. Essayez de maintenir cet état mental à l’écart de toute pensée conceptuelle. Il s’y habituera.

Cette méditation s’effectue très tôt le matin. Votre esprit est éveillé et lucide, alors que tous vos sens ne sont pas encore sollicités. Il faut avoir dîné légèrement la veille sans avoir trop dormi. Votre sommeil devra être léger pour que l’esprit soit plus souple et plus vif le lendemain matin. Si l’alimentation est trop riche, votre sommeil sera lourd et profond, presque comparable à la mort. Chaque jour, je prends un petit déjeuner et un déjeuner conséquents. Le soir, un en-cas composé de quelques biscuits salés me suffit. Je me couche tôt. Et à trois heures et demie le matin, je me lève pour méditer.

Si vous méditez sur l’essence de l’esprit tôt dans la matinée, votre esprit est plus alerte toute la journée. Vos pensées sont apaisées. Votre mémoire s’améliore si vous renoncez à l’agitation psychique pour pratiquer une courte méditation chaque jour. L’esprit conceptuel réagit en permanence aux bonnes et mauvaises influences. Il doit se reposer. L’arrêt de toute élaboration conceptuelle lui procure ce relâchement indispensable.

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Exercice de méditation

  1. Ne songez plus ni à ce qui s’est passé ni à ce qu’il adviendra dans l’avenir.
  2. Laissez votre esprit flotter libre de toute pensée.
  3. Observez la limpidité et la luminosité de votre esprit.
  4. Restez dans cette absorption un instant.

Cet exercice peut être exécuté au réveil dans votre lit. Votre esprit est éveillé sans que tous vos sens soient déjà opérationnels.

NEUTRALISER LES PROBLÈMES

Analysons maintenant les émotions conflictuelles comme la convoitise, la haine et la jalousie. Ces comportements découlent de la vision erronée que les objets existent comme des entités indépendantes, alors qu’en réalité, il n’en est rien. La force d’une telle ignorance génère toutes ces émotions désagréables. Le maître yogi indien Dharmakirti répond à l’analyse que nous venons d’effectuer pour savoir si l’ignorance et les problèmes qui l’accompagnent sont intrinsèques à la nature même de l’esprit en disant : « La nature de l’esprit est une claire lumière. Les souillures sont superficielles. » La nature de la conscience la plus profonde et la plus subtile est pure. La colère, l’attachement sont accessoires et ne subsistent pas dans l’essence de l’ esprit. Nous l’appelons l’esprit inné et primordial de la claire lumière. Il est aussi surnommé la nature du Bouddha, car il rend possible l’illumination. Il se trouve à la racine de toute conscience. Nous exprimons tous de la compassion à des degrés de développement et d’ampleur différents. L’intelligence nous guide pour distinguer le bien du mal. Voilà les conditions indispensables pour atteindre l’illumination.

Après avoir admis que les souillures ne sont pas gravées dans l’esprit, s’y opposer et les éliminer est possible en créant des antidotes, des attitudes qui vont agir comme des médicaments pour les combattre. Si les souillures étaient indissociables de l’esprit, les pensées négatives – la colère, la haine, etc. – devraient persister dans l’esprit aussi longtemps qu’il existe. Mais ce n’est pas le cas. Vous n’êtes probablement pas en colère tandis que vous lisez ces lignes et que vous réfléchissez. L’esprit peut s’affranchir des penchants comme la colère et l’attachement.

Parfois, dans notre vie, nous ressentons de la colère et de l’attachement. À d’autres moments, du détachement, de la satisfaction, de l’amour et de la compassion. Le désir et la haine envers une personne ou une chose ne s’expriment jamais au même moment. Ces deux attitudes s’opposent. Quand l’une prend de l’envergure, l’autre s’affaiblit.

La connaissance de la nature ultime des choses consolide l’amour et la compassion. L’ignorance conçoit les objets de manière erronée en leur attribuant une existence intrinsèque. Quelle que soit la force de la haine ou de la fierté, ces attitudes négatives naissent de l’ignorance. La méprise sur la nature des êtres et des choses est à l’origine de la haine et du désir. Heureusement, les sentiments qui s’opposent à la haine et au désir s’expriment, qu’il y ait ou non une conception erronée d’une existence indépendante des choses.

Lorsque l’ignorant et le sage observent un phénomène, leurs perceptions s’opposent. La sagesse s’appuie sur la vérité et l’ignorant sur de mauvais principes qui provoquent une vision déformée de la réalité. Renforcer la sagesse affaiblit l’ignorance. La sagesse amoindrit la méprise sur la nature des choses et des êtres jusqu’à la disparition totale de l’ignorance.

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LE TOURMENT EST INTÉRIEUR

Les événements extérieurs ne sont pas à l’origine de notre souffrance. L’esprit non maîtrisé est la cause de toute souffrance. L’apparition d’émotions conflictuelles dans notre esprit pousse à des actes négatifs. Les émotions et les visions erronées recouvrent l’essence pure de l’esprit. Leur force nous pousse alors à commettre des fautes qui engendrent inévitablement la souffrance. Nous devons éliminer, consciemment et avec soin, de telles attitudes dommageables. Agir comme si nous devions disperser les nuages, pour qu’un ciel bleu éclate. Les actes nuisibles cessent avec la disparition des attitudes, émotions et conceptions dommageables. Le grand yogi tibétain Milarépa (XIe-XIIe siècle) disait: « Naître, naître de l’univers; se dissoudre, se dissoudre dans l’univers. « Il faut être à l’écoute de sa conscience pour savoir détruire les idées mal fondées et donner une impulsion pour revenir à une réalité plus profonde. Le ciel existait là avant que les nuages ne l’envahissent et il sera encore là lorsqu’ils se seront dissipés. Même si les nuages recouvrent chaque centimètre carré jusqu’à l’horizon, il est toujours là.

L’eau, aussi sale qu’elle puisse être, est par nature propre et non polluée. De la même façon, l’essence d’un esprit, fût-il troublé, n’est pas souillée. Les émotions conflictuelles comme la haine ne peuvent pas affecter l’esprit de claire lumière. La prochaine fois que la haine surgira, sortez de cette exaltation mentale et observez la haine en pleine action. Dans « Je hais … », la « haine » et le « moi » sont liés l’un à l’autre. Et pourtant, en vous plaçant en tant qu’observateur, vous avez écarté légèrement la haine. Toutes les anomalies qui ont provoqué cet état d’emportement se révèlent alors.

Pour réaliser cet exercice, il faudra d’abord développer vos aptitudes à surveiller vos pensées. Tant que votre conscience conceptualise, il est difficile pour la pensée d’observer la pensée. En devenant capable d’observer les pensées dès qu’elles naissent, le potentiel de la conscience à se concentrer sur elle-même augmente progressivement. Et, dès que surgit une expression de haine, l’esprit ne verse plus dans la colère. En étant proche de la conscience, à la fois comme expert et objet expertisé, vous pouvez dorénavant reconnaître ce que l’on appelle la « conscience ordinaire », non affectée par le fait d’aimer ou de ne pas aimer, de désirer ou de ne pas désirer. Quand l’esprit n’est pas sollicité par ses multiples fonctions, sa clairvoyance se manifeste. Et si vous persistez, cette capacité de clairvoyance se développera. La haine se mélange lentement à l’essence de la conscience, car la nature profonde de la haine est aussi lumière et connaissance.

Le flux de vos idées et de vos pensées ne doit pas être interrompu intentionnellement. Ne vous laissez pas emporter par elles et ne laissez pas votre esprit se fondre en elles. Alors l’esprit reprendra sa forme originelle pour que la clairvoyance se révèle. Et sa pureté fondamentale s’exprimera.

Lorsque vous comprenez que la claire lumière est l’essence de votre esprit, des qualités de plus en plus grandes telles que l’amour se déploient. La transformation spirituelle n’est pas motivée par l’environnement extérieur. Il ne sert à rien d’accumuler encore et encore plus d’objets matériels: vous resterez insatisfait.

La libération est atteinte par la connaissance de l’essence ultime de l’esprit lui-même. Personne et rien d’autre ne peut nous l’accorder. Le bonheur s’acquiert avec la maîtrise de l’esprit. Sans elle, le bonheur est inaccessible. Nous ne serons pas affligés ou nous ne causerons pas de souffrance si nous avons confiance dans la luminosité fondamentale de la nature de l’esprit, la claire lumière.

L’ESPRIT DIAMANT

Cette claire lumière, fondamentale et lumineuse, est l’origine de tout esprit, à jamais indestructible, inaltérable comme un diamant. Pour le bouddhisme, cet aspect de l’esprit est permanent dans le sens où il est perpétuel, sans aucune interruption. Il a toujours existé et existera à jamais. Il n’est pas un phénomène qui naît de la causalité.

Notre esprit d’origine est pur, naturellement libre de tout problème. Les phénomènes purs et impurs apparaissent à l’intérieur de cet esprit comme les manifestations de sa spontanéité. Le rayonnement sans entrave de l’esprit est appelé la compassion. Les actions compatissantes émergent de sa nature spontanée et de sa pureté.

Pur depuis le commencement et spontané, l’esprit diamant est la base de tout développement spirituel. L’esprit diamant est libre de toute souillure, comme un ciel couvert de nuages, même s’il émet des sentiments bons ou mauvais comme le désir, la haine ou la confusion. L’eau peut être très sale: sa nature profonde reste claire. De la même manière, toute émotion conflictuelle, quelle que soit sa puissance, générée par l’esprit diamant est un artifice. L’esprit fondamental est perpétuel et demeure non affecté par les souillures.

L’esprit diamant originel possède toutes les qualités spirituelles extraordinaires comme l’amour ou la compassion illimités. Elles se manifestent seulement lors de circonstances particulières. Dans un sens, aux prémices du commencement, nous étions « illuminés », dotés d’un esprit à l’origine profondément bon.

PRIERE

ÉVALUER NOTRE SITUATION PRÉSENTE

Cette renaissance humaine se fait dans un corps qui sera l’instrument nécessaire pour atteindre plus facilement tous les buts, qu’ils soient provisoires ou définitifs. Il ne faut pas gâcher cette vie. Cette renaissance parmi la myriade de formes de vie possibles dans ce monde est tellement unique et avantageuse! Votre potentiel intérieur ne sera pas pleinement réalisé si vous ne vous employez qu’à atteindre une meilleure existence pour vos prochaines renaissances, ou si vous cherchez seulement à vous libérer individuellement des liens qui vous attachent à la souffrance. Sous cette forme humaine, vous devez faire tout ce qu’il est possible pour achever un développement spirituel total et parfait.

Méditation

  1. Méditez sur votre potentiel actuel pour effectuer un développement spirituel: vous avez un corps humain, l’enseignement spirituel est à votre portée. Vous avez la capacité d’intérioriser les enseignements spirituels. Vous possédez un esprit diamant.
  2. Appréciez les opportunités présentes pour exercer une pratique spirituelle.
  3. Établissez comme motivation le souhait d’aider, en dehors de vous-même, tous les êtres vivants.
  4. Ayez pour but d’aider les autres.

Sa Sainteté le Dalaï Lama

Extraits de son livre LEÇONS D’AMOUR, p. 27 à 38
Plon 2006

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Une vie exceptionnelle

 

Ce qui est exceptionnel aux yeux des hommes n’est pas considéré comme tel aux yeux du Père.

Lorsque vous parlez d’une vie exceptionnelle, assurez-vous que vous ne parlez pas de prestige entre les gens, de richesses matérielles et de renommée. Une vie exceptionnelle pour le Père Créateur est une vie dédiée à Sa Volonté, permettant à la créature d’atteindre les expressions les plus hautes de son être et de se rapprocher de la perfection. Cela est vraiment exceptionnel.

5 - Adama et les Icebergs

Quand vous parlez d’une vie normale, assurez-vous que vous ne parlez pas d’une vie médiocre ‒ une vie où vous décidez de ne faire aucun effort pour vous améliorer, car ce n’est clairement pas ce que votre Créateur attend de vous.

Vous devriez vous concentrer pour connaître la volonté de votre Créateur, et vous efforcer d’être comme Lui. Laissez la vérité, la beauté et la bonté vous guider. Lorsque vous ressentez le désir de faire quelque chose, examinez vos motivations et ce que vous espérez accomplir. Les choses du monde sont bien différentes des choses de l’esprit. Souhaitez-vous faire une nouvelle tentative pour vous rapprocher du Créateur, vous améliorer et aider vos frères et soeurs, ou ne chassez-vous que des récompenses matérielles ?

Sachez que la réussite matérielle n’est pas un indicateur de la validité de votre effort. Vous pouvez effectuer des milliers de choses qui vous nuisent ou nuisent à vos frères et soeurs, et obtenir quand même de grandes récompenses matérielles. Nombreux sont ceux qui atteignent ces choses quotidiennement avec beaucoup de succès matériel. Vous pouvez également commencer munis des meilleures intentions mais obtenir de mauvais résultats, ce qui indique un manque d’harmonie avec la volonté du Père.

De votre point de vue, c’est en effet compliqué de savoir si un nouvel effort est juste. Cela fait partie de l’apprentissage, de l’expérience de la vie. Vous êtes des êtres devant vivre par la foi, devant croire sans voir, mais ne pas voir du tout peut parfois être la cause d’erreurs. Le Père considérera vos intentions et la pureté de votre coeur, non pas vos résultats. Gardez un coeur pur et efforcez-vous d’aligner votre volonté avec Sa Volonté, et votre succès sera garanti ; si ce n’est pas ici-bas, peut-être alors à la prochaine étape de votre existence éternelle.

Une vie consacrée à la Volonté du Père n’est pas une vie dépourvue de risques, de souffrance ou d’erreurs. C’est simplement une vie dédiée à apprendre à mieux connaître Celui en qui nous avons tous notre origine et notre destin.

Cet esprit d’exploration et d’aventure, combiné avec une foi vivante et une confiance suprême dans le Père, est ce qui procure la paix pour affronter les supercheries de la vie et la gratitude pour les victoires de l’esprit.

Extrait du livre : Appel de la Voix Mission d’Ange de Daniel Vallat aux Editions

DAD

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Publié dans:AMOUR, ANGES, ARTISTES PEINTRES |on 19 juin, 2016 |Pas de commentaires »

RITUEL DE PASSAGE par la vision du coeur

 

 

Les origines de la quête de vision

« Apprendre à aimer l’univers, de l’insecte minuscule jusqu’aux étoiles du ciel, avec une véritable émotion humaine, comme s’il s’agissait de personne qui te sont proches. Alors tu éprouveras l’intensité de l’amour libéré de ses contraintes et l’éternité descendra sur toi et te couvrira de ses ailes d’or ».

Jean-Paul Bourre, Préceptes de vie issues de la sagesse amérindienne

Dans la plupart des cultures indigènes du monde il existe une ancienne pratique que l’on appelle la « Quête de vision ». C’est un puissant rite d’initiation en nature sauvage qui, comme tous les rites initiatiques, est basé sur le fait de mourir et de renaître symboliquement. 

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Traditionnellement pratiquée par les hommes elle souligne le passage de la puberté à l’adolescence. C’est un moment très particulier dans la vie d’un jeune : il part en pleine nature, seul, durant quatre jours et quatre nuits, munis seulement d’une couverture, pour être en intime relation à l’univers. Il s’abstient de nourriture et parfois même d’eau, les distractions sont réduites au minimum afin d’être pleinement ouvert au monde vivant autour de lui autant qu’aux profondeurs de son âme . Il médite, prie, danse, chante, écoute, observe pour entrer en contact avec son destin, avec sa puissance intérieure, avec sa sagesse, avec le monde spirituel. Il demande un rêve ou une vision qui leur indiquera quels sont ses talents, ses pouvoirs ou ses « médecines personnelles » en termes traditionnels, quelle est sa place au sein de la tribu… 

Ces messages prennent parfois la forme de grands rêves ou de grandes visions, mais le plus souvent ils se manifestent de façon plus subtil : un oiseau se pose sur une branche et, de ses cris poussent le quêteur à chercher plus profondément en lui ; une chenille arpenteuse tombe d’un arbre et s’emmêle dans ses fils ; l’oeil est attiré par un petit plant de chêne ; une souche qui pourrit peut parler de mort et de renaissance, une biche aperçue au loin éveille une pensée ou une idée qui fait sens pour le quêteur. Dans le calme, le silence, la solitude et la sobriété de la nature, ces événements naturels et presque ordinaires deviennent un miroir dans lesquels le quêteur peut recevoir des éléments de réponses à ses questions et voir plus clairement qui il est vraiment.

La quête de vision : soutient et facilitateur de transition de vie

Avez-vous la patience d’attendre que la boue se dépose au fond de l’eau et que l’eau de l’étang devienne claire à nouveau ?
Avez-vous le courage de rester immobile jusqu’à ce que l’action juste émerge d’elle-même ?
Lao Tseu

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La Quête de Vision est un rituel de passage qui marque dans la vie d’un individu, la fin d’une période importante et le début d’une autre. C’est une cérémonie pour faciliter et soutenir les transitions d’une étape de la vie à l’autre. De nos jours, les cérémonies de passage ne rythment plus guère nos vies, rares sont les transitions réellement célébrées (hormis les anniversaires, la nouvelle année). Cependant, ces pratiques reviennent de plus en plus, sous leurs formes traditionnelles ou sous des aspects plus contemporains. En effet, aujourd’hui un nombre croissant de personnes sont appelées par ce genre de travail pour se reconnecter avec leur moi véritable, trouver une nouvelle inspiration, prendre une nouvelle direction, célébrer l’entrée dans une nouvelle période de la vie personnelle ou professionnelle…

Qu’entent-on par « Vision » ?

« La plus grande vision concerne d’abord la connaissance de soi. 
La plus puissante vision vient toutes en nuances, rarement dans une grande dimension. 
La quête de vision n’est pas un élément déclencheur mais un processus continu. 
[...] vous devez vous rappeler que ce n’est qu’un début et non une fin » 
Tom Brown, The Vision

La Vision dont parle les traditions ne s’apparente pas à une fantaisie de l’imagination ou à une rêverie, ni un délire, une vue de l’esprit déjantée ou une hallucination.

La Vision peut être une illumination ou une révélation soudaine, cependant le plus souvent elle ne l’est pas. Elle peut prendre toutes sortes de formes : une intuition, une imagine mentale, un chant spontané, une sensation corporelle, la mélodie d’un d’oiseau, une forme dans le ciel …Pour les indiens d’Amérique le Grand Esprit est partout. Les attentes conditionnent nos esprits et nos cerveaux et ferment les portes aux expériences extra ordinaires alors mieux vaut ne pas s’attendre à une expérience mystique, il parait que Dieu voyage incognito et dans les choses ordinaires…

La plus part du temps il n’y a pas d’éclaire mystérieux ou « divin » comme pourrait s’y attendre notre égo frugal d’expériences exotiques ou énigmatiques. La vision est le plus fréquemment discrète, sobre, subtile mais tout aussi bouleversante, renversante et puissante . Sans tambour ni trompette elle vient informer tous les pans de la vie, soulever les vieux tapis de son histoire, éclairer les coins oubliés ou négligés de son être.

La Vision peut prendre toutes sortes de formes : une intuition, une imagine mental, une sensation corporelle, la mélodie d’un d’oiseau, une forme dans le ciel …
Elle donne l’occasion de porter un certain regard sur son chemin. Avec ces nouvelles perspectives c’est comme si  vous saviez mieux comment danser avec la vie et ses événements …

La Vision peux donner l’occasion de porter un certain regard sur son chemin et sa trame de vie ; elle peut apporter une connaissance, une compréhension, un enseignement que nous pourrons alors mettre en œuvre. C’est comme si après une quête de vision ou tout autre travail d’archéologie personnelle profonde, authentique et sincère, vous regardiez votre existence avec une longue vue, vous aviez une vision plus globale du tableau de votre vie et de la Vie. Avec ces nouvelles perspectives c’est comme si vous saviez mieux comment danser avec telle difficulté, tel événement, tel challenge ou tel choix. Les appuis sont différents, de nouvelles ressources émergent, le terreau de votre Terre intérieure a été est nourris d’un engrais fertile …

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Des rites traditionnels aux démarches intérieures contemporaines tout aussi audacieuses et engageantes

« Qui es-tu ? » demanda la chenille
« Je …. je ne sais pas vraiment à présent, Monsieur », répondit Alice timidement. 
« Je sais qui j’étais ce matin quand je me suis levée, 
mais je crois que j’ai dû changer plusieurs fois de peau depuis » 
Lewis Carrol

Aujourd’hui, les hommes et les femmes qui entreprennent ce type de démarche proviennent de toutes les couches de la société, peu importe leur statut ou leur âge. Ce sont des personnes qui cherchent un sens nouveau à leur vie, qui ont besoin de plus de clarté concernant la direction de leur chemin, qui ont besoin de trouver des réponses à des interrogations profondes, importantes, voir vitales. Certains entreprennent ce cheminement à une croisée de routes, dans un moment de remise en question, de crise, de deuil, de séparation, à la suite d’une perte d’emploi, à l’entrée en retraite, lors d’un changement de carrière, de lieu de vie….

Beaucoup s’engagent dans cette aventure en réponse à un élan puissant intérieur qui pousse sans cesse à sonder, consulter et mettre en corps avec authenticité et simplicité leur identité profonde. Des individus qui osent être déformés, re-formés, transformés par ce qu’appelle la vie au fond d’eux. Des êtres qui sont dans le besoin impératif de grandir, de soulager des blessures, de se déployer, de se libérer. Des personnes, de plus en plus nombreuses, qui questionnent la justesse de leur choix, de leur chemin, de leur décision, de leur mode relationnel au Monde. Qui répondent à l’appel indiscutable de la croissance, de la guérison et de l’incarnation de leur Etre dans toutes ses dimensions.

Un démarche en réponse à appel indiscutable de croissance, de transformation et d’incarnation de son Etre profond dans toutes ses dimensions.

C’est un voyage intérieur qui demande du courage, de l’audace, de la confiance, de l’engagement, de la curiosité. La capacité à s’ouvrir à une autre réalité, à un autre mode de perception, à un autre rapport au temps et à l’espace est convoquée et développée. Se retrouver seul-e face à soi-même, face aux éléments, aux animaux, au silence, à la nuit, parfois au froid, au vent, à la pluie, au soleil, sans autres compagnon que soi-même et l’univers font appel à l’humilité, la confiance en soi et la foi en plus grand que soi.

Rando Danse, Immersion en grande Nature, Autoportrait, nuit dansée : des Quêtes de Vision traditionnelles aux quêtes contemporaines de Vision….

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La quête de vision ou tout autre travail nourrit des mêmes intentions est en fait une quête d’éveil. Eveil à la vie et à son caractère impénétrable. Des expériences variées sont proposées et peuvent prendre des formes bien différentes des quêtes de visions traditionnelles. Ces propositions hors de l’ordinaire du quotidien répondent à une intention délibérée de se relier au mystère du vivant, à sa puissance, à sa magie, motivé par un appel intérieur fort.

Que se soit une immersion en nature l’espace d’une nuit, une nuit dansée, un temps d’exploration en mouvement conscient, un processus de création d’un autoportrait, une méditation-création avec des éléments naturels, une rando danse dans un environnement radicalement différent, il s’agit de faire une pause, de s’arrêter et de se retirer du monde. Pour quelques heures ou journées, vivre et être avec un esprit et les sens grands ouverts, lucides, éveillés et non pas endormis ou engourdis comme ça peut être parfois le cas dans la vie quotidienne.

Immersion dans la nature ou rencontre avec soi-même par  les arts expressifs, une même intention : faire une pause, se retirer du monde, se relier au mystère du vivant, à sa puissance, à sa magie…

Regard sur le processus de l’Autoportrait : une quête de vision avec des outils et une méthode contemporaine

Le processus de création d’un Autoportrait peut être considéré comme une quête de vision dans le sens où il invite à questionner son Identité profonde et élargie, à explorer et mettre en perspective la relation à soi, à son histoire, aux autres, au Monde. Il conduit à trouver des chemins nouveaux afin de révéler la meilleure version de soi-même. Il aide dans l’ expression de son plein potentiel et épaule dans l’incarnation d’un Je Suis singulier, audacieux et talentueux

Pour cette quête le Life Art Process donne la parole au corps et s’appuie sur l’intermodalité artistique. La méthode consiste à faire des allers/retours entre le mouvement, le dessin, l’écriture et la voix. Elle s’ancre dans les trois niveaux de conscience : le physique, l’émotionnel et le mental/imaginaire, permettant de s’appréhender dans la globalité et d’être au plus proche de soi instant après instant. Les nombreuses explorations en lien étroit avec la nature viennent informer et nourrir le cheminement de chacun. Comme dans un quête de vision traditionnelle la nature est à la fois une partenaire, un miroir et un guide précieux. Elle est une alliée dans la restauration et l’intégration d’un Je Suis puissant, aligné, équilibré. Enfin, la pratique intimement reliée au « ici et Maintenant » est orientée ressources et s’appuie sur le potentiel de chaque individu. Les vas et viens entre travail seul-e, par deux ou trois et en groupe permettent de respecter son espace intime, d’alimenter sa recherche personnelle et de se sentir soutenu par des courants plus forts que les siens propres. La semaine se clôture par la création de ce que l’on nomme en Life Art Process un « Autoportrait » : un dessin sur un grand format réalisé aux pastels gras et secs et par un « Rituel dansé ».

En bref, un stage sur l’Autoportrait c’est :
- Une quête contemporaine de vision qui donne la parole au corps

– Un processus qui s’appuie sur le corps physique, émotionnel, et mental/imaginaire
– Du mouvement, du dessin, de l’écriture, de la voix
– En lien étroit avec la Nature
– Dans « l ‘ici et maintenant »
– Orienté ressource et basé sur le potentiel de chacun
–  Accessible à tous

Comme une quête de vision en nature, ce voyage artistique à la rencontre de soi conduit à se voir avec un regard inédit et à se penser avec une fraîcheur nouvelle. L’ensemble du cheminement donne lieu à l’émergence de nouvelles possibilités et convoque des façons d’être différentes en s’appuyant sur des ressources nouvelles et inhabituelles. A la suite de cette expérience une stagiaire exprime que « l’expérience a vraiment été déterminante dans [sa] réorientation professionnelle… ». Une autre femme « sens que cette expérience [la] suit encore aujourd’hui dans [sa] vie et l’entraîne à envisager [ses] expériences de vie sous différents aspects. Elle poursuit en écrivant « Je sens que ce sont des graines qui sont en train de germer… »

Le processus de l’autoportrait est, en quelque sorte, un rendez-vous avec soi-même et avec la fertilité, la puissance et l’intelligence de la vie qui vous traverse. C’est un voyage vers la restauration du dialogue entre votre nature sauvage et votre condition de Femmes et d’Hommes contemporains. C’est un itinéraire que chacun invente à son rythme. C’est un moyen pour remettre à jour la carte qui vous sert de guide dans la vie de tous les jours. C’est un espace privilégié pour explorer votre matière organique, sensorielle, émotionnelle, imaginaire et spirituelle.

Dans ce genre d’expérience le rapport à l’espace et à la matière n’a plus la même consistance, le temps subit presque une distorsion. Les organes sensoriels et les filtres de la conscience ordinaire sont distendus. La relation entre le monde dit intérieur et le monde dit extérieur est différent. Souvent, nous sommes projetez hors de nos habitudes, de nos rythmes journaliers, de nos disques rayés, de nos limitations, de nos schémas de pensées ordinaires. Notre Etre peut être en lien avec une autre forme de réalité, un monde invisible pour les yeux du corps, une réalité où la dualité n’existe pas, où la conscience égotique peut se dissoudre (au moins en partie). De cet espace-temps particulier peut jaillir des ressources insoupçonnées. Certains disent que nous faisons un « saut dans la beauté de la vie » ….Une participante à un stage témoigne d’avoir  » été profondément touchée lors des rituels par autant de beauté et de vérité. » Elle poursuit :  » Je suis admirative de ce potentiel qui est en nous, cette richesse, ces joyaux qu’il faut parfois aller déterrer avec douceur, bienveillance et courage. »

« Depuis le stage je sens en moi le DEBOUT, la verticalité et la clarté dans les trois niveaux. Je goute chaque fois la vie entière, c’est délicieuse. J’en suis reconnaissante à tout : le groupe, Béatrice, le Life Art Process, à la nature, cette rivière, l’eau qui a rincé et faire sortir en moi un coté que j’avais mis de côté. L’énergie du groupe qui m’a porté, qui m’a encouragé et permis d’oser aller au plus profond de mon être. Plusieurs proches m’ont dit qu’ils voient la transformation sur moi, sur mon visage, à mes actes. depuis le mois d’août je sens, je vois et je pense que j’ai abouti un truc. Maintenant je suis émue de la liberté que je ressens. ça me dépasse, ça me fait si du bien, j’en déguste pleinement. »  N., éducatrice, stage autoportrait août 2015

Après ce type d’immersion il y a cet étrange phénomène que « tout change mais rien ne change », que « plus rien ne sera jamais pareil, mais pourtant, en apparence, tout est semble pareil ». Il y a bien un « avant » et un « après » mais les phénomènes visibles et tangibles sont presque imperceptibles mais pourtant bien réels et bien significatives. Il y a cette certitude intérieure que « quelque chose d’indescriptible » a puissamment, indéniablement et durablement changé. Comme si le corps organique, émotionnel et psychique intime de l’être avait été malaxé par des mains invisibles et que la vie se réorganisait à partir de ces nouvelles informations. 

Peut être la Vision, celle d’une quête de quatre jours et quatre nuits seul-e en nature ou celle d’un autoportrait, est-elle à propos d’un dialogue et d’une reliance entre différentes parties de Soi et le Grand tout qui l’enveloppe. Une inter-relation qui se situe à un niveau large et profond, très spacieux. Tellement vaste que notre imaginaire ne peut en appréhender l’étendue. La conscience humaine se trouve alors en peine pour expliciter, rationnaliser, nommer ces échanges insondables et inexplicables par le verbe. Ou peut être est-ce tout simplement l’ouverture sur un champ de possibles. Comme le dit Jade dans Jade et les mystères de la vie « Un champ de possibles, c’est pas un champ de poireaux, de tomates ou de pommes de terre !… Ton champ de possibles, ça veut dire : le domaine de tes libertés, l’espace où tu peux faire de tes désirs des réalités, bref l’endroit où les choses te sont accessibles, où des possibilités te sont offertes… »

Béatrice MAINE, mars 2016
www.terrededance.com
Email : terrededance@gmail.com

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LES PROCHAINS STAGES :

DANSE, LIFE ART PROCESS & NEUROSCIENCES 
Investigation entre pratique artistique et apports théoriques
18 – 22 JUILLET à BRENAZ – Jura (01) 

Pourquoi est-ce parfois si difficile de changer en profondeur ? Comment transformer des habitudes qui se révèlent être des freins et élargir l’éventail des possibles? De quelle manière le détour par l’intermodalité artistique peut-il vous accompagner du désir au plaisir de changer? Le Life Art Process® et les récentes découvertes en neurosciences proposent des ressources d’actions et des pistes de compréhension pour installer des changements durables dans sa vie et être autonome dans son processus d’évolution.

FEMME & HOMME SAUVAGE : AUTOPORTRAIT D’UN ÊTRE CONTEMPORAIN
19 – 24 JUIN BRUAILLES (71) Terre du ciel
1er – 6 AOUT à MARSAZ Drôme (26) 

Comment prendre du recul par rapport à des parties de soi qui limites votre expressivité et votre créativité, votre bien être, votre épanouissement, votre confiance en vous? Quels ressorts pour entrer en contact avec les univers multiples de son Identité, incarner des facettes soutenantes de son moi profond? Le processus de l’autoportrait est une invitation à explorer son identité profonde et élargie. Une pratique et des outils originaux entre danse, dessin, écriture pour vous permettre de vous voir avec un regard inédit et de vous penser avec une fraîcheur nouvelle.

DEBRANCHE TOUT! Danse, Création, Vision
13 – 19 AOUT à LA CHAPELLE en VERCORS – DROME (26)

Un processus de 5 jours et 5 nuits dont 1 nuit et une journée seul-e en nature pour débrancher et se re-brancher sur sa guidance interne personnelle. A travers la danse, le dessin, l’écriture, le corps, les sensations, les perceptions et la nature chacun sera encouragé à se laisser conduire sur la route menant à sa vérité personnelle. Pré requis : voir le site.

ADN Libre & Créatif – Art Danse Nature & Autohypnose 
24 – 29 juillet à REIMS – Terre du Ciel

Nous sommes tous potentiellement créateurs et talentueux. Mais, avec les expériences passées, les peurs, les blessures, les auto jugements, les croyances comment restaurer et consolider sa confiance et son estime? comment incarner et affirmer sa puissance? sa liberté? son être profond? 
Et si danser, dessiner, créer, écrire, explorer avec la nature pouvait modifier notre cerveau, changer notre biochimie, transformer des habitudes mentales et émotionnels, libérer le corps, restaurer le lien avec son âme?

MARCHER, DANSER ET CREER DANS LES GRANDS ESPACES
24 AOUT – 3 SEPTEMBRE 2016 – en MONGOLIE 

Voyage dans les steppes de Mongolie. Sept jours entre randonnées, nuits en yourte, explorations sensorielles, Life Art Process et danse. Se déposer dans l’immensité des paysages, se laisser toucher par la présence puissante des steppes, sonner à notre regard la possibilité de courir à perte de vue, se relier à l’infiniment grand autour de soi et l’infiniment petit au creux de soi.

Se connecter au vivant et retrouver sa liberté

 

Lorsque notre Mère Nature nous offre le don de vie, et qu’elle nous comble de ses bienfaits, nous lui montrons de la reconnaissance. Lors des rituels, elle est toujours remerciée, et chaque sabbat célèbre une facette de la déesse. 

Plus que n’importe qui, nous, païens, avons conscience de la valeur de ce don, de son importance, et de ce que sa préservation ou non implique pour toute la chaîne du vivant. Lorsque nous nous connectons au monde du vivant en écoutant les arbres, le miaulement d’un chat, nous savons ce que cela signifie. Chacun à sa manière, certes, mais nous savons. Notre être intérieur interpelle notre conscience et la guide pour «voir» et «entendre» au-delà de ce que perçoivent les sens. 

Ce qui est enfoui en nous, notre inconscient, fait surface et alors, un arbre devient un organisme vivant, à plusieurs bras, tous tendus vers le ciel, cherchant le soleil et sa lumière. Ses racines deviennent des doigts longs et forts cherchant dans la terre la nourriture qui lui convient. Et son intérieur, un réseau veiné où la sève monte et descend au fil des saisons. 

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Il nous semble alors beaucoup moins étranger. Se connecter au vivant nous rappelle d’où nous venons, et ce à quoi nous retournerons. Car la vie est cet extraordinaire mécanisme cyclique de naissances et de morts. La vie doit se perpétuer. Il est là son sens, dans l’absolu. En revanche, c’est au niveau individuel que le sens de la vie devient source de pathologies. C’est dans notre inconscient que se trouvent les questions et les réponses, les maladies et leurs remèdes, les émotions et leur mode d’emploi. Et cet inconscient est la face invisible de l’iceberg, qui nous maintient sur l’océan de la vie, qui nous stabilise, et empêche les trop grandes dérives. Il est la source dans laquelle nous pouvons puiser les outils qui nous connectent au vivant. 

Il est à la fois facile et difficile de se connecter au vivant. Car cela suppose d’une part de se connaître soi-même et de connaître son inconscient, du moins, d’y avoir fait le ménage, et d’autre part de connaître la nature, dans ses manifestations du vivant et dans ses interactivités. 

La première étape pour se connecter au vivant est de suivre une thérapie, pour dénouer tout ce qui dans notre vie nous empêche de nous réaliser. Et cela peut prendre du temps. C’est le premier pas nécessaire pour y arriver. La thérapie peut être faite à la guise de chacun, en lisant des livres, en allant voir un spécialiste, en discutant avec des amis, ou tout à la fois. 

Parfois, cela nous amène à rompre avec nos éducations, et nos cultures. C’est quelque chose qu’il faut être prêt à accepter. Parallèlement, il est bon de suivre des méditations de pleine conscience. Les  méditations permettent d’apprendre à respirer et à moduler la respiration en fonction de l’état recherché, sans pour autant être dépossédé de soi-même. Et dès qu’on le peut, s’isoler et faire des activités qui nous épanouissent. Et les faire si possible seul. Car cela permet d’apprendre qu’avec soi-même, il est possible d’exister et d’être en bonne compagnie. 

Lorsque ces exercices sont faits régulièrement, se développent alors les sens de ce que les Anglo-Saxons appellent « l’Inner eye », ou le troisième oeil, ou le sixième sens. Quelque chose de  difficilement définissable mais qui chuchote tout un tas de choses à nos oreilles cosmiques. Et cela peut se vérifier, quand auprès d’un cours d’eau, le son de l’eau qui s’écoule nous paraît légèrement différent. Au fur et à mesure que les sens se développent, les chants des oiseaux deviennent des conversations, et non plus un vacarme de « cui-cui ». 

Les gens des villes qui aiment la pollution et les odeurs des égouts ont en fait des sens atrophiés. Ils ne peuvent plus « voir » et « écouter ». 

La deuxième étape est de comprendre que nous sommes un maillon de la chaîne du vivant. Que nos actes ont une incidence. Parfois, c’est une incidence légère, comme lorsqu’on fait attention à ne pas gaspiller ; parfois, l’incidence est plus lourde. Les déchets jetés ici et là dans les forêts le montrent bien. Enfin, il faut travailler sa spiritualité. Penser à la Grande Mère, croire en son existence, la sentir au fond de nous, comme partie intégrante de nous et de tout ce qui est vivant. Et cela, chacun à sa  manière. 

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En nous coupant du vivant, en gardant la porte de notre inconscient fermée, en pensant être «  extérieurs », « supérieurs », «punis suite à une désobéissance », nous devenons des fantômes. Nous nous coupons de nos racines. Un grand vide nous envahit, un trou noir, un abîme sans fin. Nous cherchons alors la nourriture dans les paradis artificiels, qu’on fume, qu’on boit, qu’on mange, qu’on prie. Et c’est peut-être là l’intérêt de tout type d’idéologie. 

Se substituer à notre propre savoir inné pour dispenser un savoir superficiel, afin de contrôler les masses. Quel pouvoir peut avoir une idéologie politique, religieuse, sociale sur des individus « libres » ? Des individus qui « savent », chacun à leur manière, mais ils « savent ». Leur instinct leur parle et les guide, comme la poupée de Vassilissa, dans le conte Russe « Baba Yaga ». Et parce qu’elle écoute sa poupée, son instinct, elle s’en sort et triomphe de la vieille sorcière malfaisante. N’importe quoi peut être symbolisé par cette sorcière : un état, une secte, une famille, des amis toxiques, etc. Ce que les idéologies disent par « je sais mieux que toi » traduit un « j’ai peur qu’on découvre mon imposture ». 

C’est pour cela que l’humanité est tombée petit à petit malade et que la violence a gagné du terrain et que ça recommence de nouveau. Jamais aucune idéologie n’a encore compris que la seule façon de rendre les gens heureux est de leur permettre de s’écouter, se comprendre et s’aimer. Et jamais aucune idéologie n’a intérêt à le faire, car alors, elle n’aurait aucune raison d’exister. Les révolutions, les conquêtes de territoires, les porteurs de la vérité vraie, ont tous, et de toute époque du sang sur les mains. Et l’histoire ne retient que les héros qu’elle a bien voulu fabriquer pour servir les idéologies triomphantes. 

En nous enlevant notre savoir inné, les cultures, les sociétés, les idéologies nous dépossèdent de nos richesses intérieures, et ne nous permettent pas d’avoir confiance en nous et en nos capacités d’êtres vivants intégrés à leurs environnements. Alors qu’il est primordial de retrouver la confiance en soi, en tant qu’être vivant intégré à son environnement. En se reconnectant au vivant, en comprenant simplement que le « tout » est « un » et que le « un » est « tout », nous reprenons racine dans la vie.  Nous retrouvons la nourriture qui nous convient. Et nous nous sentons complets, riches, nourris et apaisés, au moins en grande partie. Nous retrouvons alors notre liberté. Celle qui nous garantit une vie sereine et indépendante. 

Se connecter au vivant nous apprend à le respecter, à le traiter comme son égal. C’est la première  notion. Nous savons que nous sommes une partie de la chaîne, et que chaque élément de la chaîne a  son importance. 

La connexion au vivant du païen se fait avec une charge spirituelle intentionnelle. Les émotions utilisées pour faire passer cette charge sont choisies en fonction de la connexion souhaitée. Il est possible  d’utiliser des émotions de joie et de contentement pour remercier les dieux ou Mère Nature d’un bienfait. Il est possible d’utiliser des émotions de tristesse  et de colère pour se connecter au côté sombre et y  laisser ce qui nous nuit. C’est comme mettre des  piles chargées dans un appareil pour le faire fonctionner. Nous savons que c’est ce qu’il faut pour que ça marche. 

Nous savons que lorsque des éléments, des maillons de cette chaîne tombent malades, c’est toute la chaîne qui est affectée. Nous sommes interdépendants. C’est la deuxième notion importante : l’interdépendance. Il est alors très important d’apprendre à mettre les bonnes charges au bon moment, car l’équilibre de notre monde en dépend. Gandhi disait « une grande civilisation se voit à la manière avec laquelle elle traite ses animaux », il serait sage de rajouter que la grandeur d’une civilisation se voit à la manière avec laquelle elle comprend et traite son environnement. L’image qui vient en tête est celle du battement d’ailes d’un papillon qui provoque un ouragan à l’autre bout de la Terre. 

La troisième notion étant celle de la préservation, préservons ce qui doit être préservé. Puisque nous sommes l’espèce animale qui a pu atteindre la lune et se rendre compte de la force et de la fragilité de la vie, alors il est de notre devoir de la préserver. C’est peut-être pour cela que la Grande Mère nous a  fait l’honneur de notre existence. Peut-être sommes nous les gardiens de la chaîne ? 

Intuitions

Mais comment honorer cette fonction si nous considérons la nature comme un ensemble d’éléments à notre service et que nous pouvons modifier à notre guise ?

Comment penser sa liberté individuelle et collective lorsque nous n’arrivons pas à faire face à nos responsabilités ? 

Et méritons-nous encore d’être les gardiens de la vie sacrée ? A maltraiter nos corps, nos coeurs, nos semblables à 2 et à 4 pattes, méritons-nous encore d’être les gardiens de cette chaîne ?

Il est difficile de répondre à ces questions. Pas impossible, mais difficile. Peut-être qu’en continuant à se connecter au vivant, comme nous, païens, le faisons, à chaque sabbat, à chaque promenade dans les bois, à chaque méditation, simplement en apportant sa part, comme le colibri, peut être que nous pourrons « sauver ce monde ».

par Lilith du magazine Lune Bleue sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Les transformations du lien amoureux

 

L’autre n’est pas toujours choisi pour les raisons que l’on croit.
Dans l’alchimie de la rencontre amoureuse se jouent et se re-jouent nos histoires d’enfance, nos identifications, nos interdits et nos pulsions. L’autre n’est pas toujours choisi pour les raisons que l’on croit. Le Conscient a toujours ses petites histoires à raconter : la séduction, la complicité artistique ou intellectuelle, les mêmes loisirs, une passion commune, un sentiment de sécurité… mais le véritable moteur se trouve ailleurs, au niveau de l’Inconscient : par exemple, au premier regard elle a reconnu son père, elle a retrouvé la même démarche, le même timbre de voix, ou le même caractère. Ou bien, il a recherché inconsciemment une femme qui le trompe, comme sa mère avait trompé son père…

Première phase de la relation: complémentarité positive superficielle

Nos inconscients sont comme des radars, on peut d’ailleurs s’en émerveiller, en voyant comment, passée la lune de miel, passée la première phase de complémentarité positive superficielle et quand les masques tombent, l’autre apparaît dans sa vérité toute crue.

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Deuxième phase de la relation: complémentarité négative sous-jacente

C’est la deuxième phase de la relation où apparaît la complémentarité négative sous-jacente. Le beau prince s’avère être un véritable goujat, la belle princesse une femme tyrannique et castratrice. Et notre radar personnel le savait, puisque justement il avait sélectionné cette personne là pour cette raison. Alors au lieu de se plaindre, de se lamenter sur ce mauvais choix (un de plus…) ne vaut-il pas mieux rechercher dans les mobiles de son Inconscient ?

En accompagnant en thérapie de couple de nombreuses personnes, on observe le mécanisme suivant : pour que survive une part du rêve initial (lune de miel), une part de soi est mise de côté. Pour continuer à plaire, pour garder l’autre et sauvegarder par tous les moyens les apparences, il est possible de se renier soi-même, de se conformer et se soumettre, selon le même modèle que l’enfant qui finit par renoncer à son désir initial devant la pression des adultes. Nombreux sont ceux qui surnagent dans le compromis, les intérêts matériels ou financiers comme ciment d’un couple qui n’en est plus vraiment un. Le désir de rompre peut frapper à la porte, mais il y a souvent la peur comme repoussoir pour envisager de reprendre sa liberté.

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Troisième phase de la relation: le dépassement de la complémentarité négative

D’autres couples comprennent le sens profond de la crise qu’ils traversent et sont réellement motivés pour faire évoluer leur relation, en approfondissant le lien amoureux. C’est la troisième phase de la relation : le dépassement de la complémentarité négative qui, rendue peu à peu consciente, finit par s’épurer et être complètement transcendée. Pour y arriver, le chemin peut être long et semé d’embûches : retrouver son axe, sa pleine autonomie et continuer à être vraiment soi-même, tout en partageant sa vie avec l’être cher. Ecouter vraiment, mais sans se perdre. Parler de soi au lieu de parler sur l’autre, et envoyer des messages JE… «  Je me sens en colère, je suis fatigué et j’aimerais rester seul(e) pendant une heure  » «  J’ai besoin d’ouvrir moi-même le courrier qui m’est destiné…  » etc. Vérifier son ressenti : «  je sens que tu m’en veux, est-ce que c’est vrai ?  ».

S’affirmer en respectant l’autre, poser des limites afin de clarifier ce qui pour soi n’est pas supportable. L’écoute s’apprend et se travaille ; il faut parfois l’aide d’un professionnel pour se prémunir des pièges de la communication.

Ainsi, ce qui met le couple en péril peut s’avérer être un cadeau, un « tremplin » pour approfondir l’amour. Cette exploration dans la relation amoureuse entre deux êtres permet de donner à l’amour une dimension authentique, tout en l’enracinant dans une sexualité épanouie.

Il s’agit de trouver en soi les ressources pour conjuguer durée et créativité, amour et liberté. En approfondissant la relation, le couple avance vers la maturité, en sortant de la lutte de territoire, de pouvoir. Chacun a renoncé à changer l’autre…
Ce ne sont plus deux personnalités qui s’affrontent, mais deux êtres qui se ren-contrent.

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Par Philippe Fréquelin

Psycho-Praticien sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMOUR, DEVELOPPEMENT |on 24 mai, 2016 |Pas de commentaires »

L’amour de votre âme lumineuse

 

Pour aimer le monde inconditionnellement et pour partager inconditionnellement avec lui, vous devez d’abord accepter votre être, l’aimer et partager avec lui. L’ouverture à votre lumière combinée à la confiance en elle est le seul moyen de trouver cet amour pur et cette acceptation de soi qui rayonnera vers les autres. Vous n’êtes pas seulement l’être physique que vous voyez dans le miroir. La forme matérielle n’est que l’expression de votre âme. Aimez ce que vous choisissez d’exprimer dans ce monde et appréciez le fait d’avoir beaucoup à partager. L’attachement excessif à une image ou à une personnalité physique vous retient captifs de la toile de votre ombre. Sachez apprécier l’expression unique que vous révélez et ce que vous avez à donner avec votre cœur. Décidez dès maintenant d’accepter où vous êtes en ce moment et qui vous êtes sous cette forme dimensionnelle. Décidez de partager la vérité de votre âme. Reconnaissez que vous n’êtes pas que l’image que vous présentez à vous-mêmes et aux autres et que vous n’êtes pas séparés du monde qui vous entoure. Acceptez que vous êtes intégrés à la toile de la vie et aimez-vous à cause du rôle que vous jouez. Il n’y a aucune raison de vouloir être ce que vous n’êtes pas. Soyez satisfaits, non pas insatisfaits, de votre véritable grâce. Soyez en paix avec votre être et laissez briller sa beauté intérieure.

âge cristal

C’est seulement quand vous accepterez que l’ombre que vous projetez sur la sphère matérielle n’est pas votre être véritable que vous abandonnerez les illusions et que vous serez réellement vous-mêmes. Pardonnez toutes vos matérialisations que vous jugez sévèrement et sachez que ce n’est pas là ce que vous êtes vraiment. La reconnaissance de votre illusion vous libérera pour vous transformer en papillon. Même les actes que vous jugez les pires s’effaceront lorsque vous accepterez que vous êtes plus qu’eux et que vous pouvez transcender leur emprise sur votre psyché. Vous pourrez ensuite cesser de vous plaindre de votre inaptitude, pour être enfin votre lumière intérieure et la donner.

Vous pouvez éliminer tous vos démons, briller en votre centre et faire de chaque manifestation de votre existence un acte de partage véritable à partir de votre âme. Tombez amoureux de votre essence spéciale, inconditionnellement, de sorte que le simple fait d’être vous-mêmes s’ajoutera à l’évolution de l’Âme unique. Une fois que vous serez tombés amoureux de votre âme, vous pourrez tomber amoureux du reste de la création. Tout ce que vous vivrez sera le reflet du partage de cette pure énergie. Et l’univers vous réfléchira votre don.

Si tous les humains réalisaient soudain à quel point ils sont merveilleux et tombaient amoureux de leur âme, l’humanité réglerait alors tous ses problèmes en un instant. Être amoureux de votre véritable expression individuelle, cela ne veut pas dire que vous devez aimer tous les aspects de votre ego ou toutes ses manifestations. Vous n’avez pas à aimer être violents ou être malheureux de faire de l’embonpoint. Ces manifestations extérieures liées à la personnalité ou à l’apparence physique ne sont qu’un reflet de l’absence d’amour de votre soi véritable.

Les maladies physiques et émotionnelles sont les signes d’un déséquilibre des niveaux de votre âme. Une intégration équilibrée de vos corps physique, émotionnel, mental et spirituel manifestera votre nature fondamentale. Si votre connexion spirituelle dirige le jeu et que vous éliminez le pouvoir accordé à votre identité extérieure, vos manifestations indésirables cesseront d’être un fardeau. Quand vous aimerez votre esprit intérieur, les défauts physiques ou liés à la personnalité deviendront insignifiants et finiront par ne refléter que la joie véritable. Si vous aimez votre âme, vous pourrez changer tout ce qui ne représente plus votre vraie nature et vous deviendrez des êtres qui évoluent et qui donnent vraiment.

Autrement dit, nous ne vous disons pas d’aimer ce que vous aimeriez changer. Nous vous disons plutôt d’aimer la connexion à votre étoile centrale et d’accepter votre expression présente en sachant que vos manifestations physiques peuvent être des dons à la création. Aimez votre pouvoir créateur et partagez cet amour avec tout le monde avec qui vous entrerez en contact. Vous n’avez pas à aimer tout ce qu’aime l’humanité, mais plutôt à apprécier le pouvoir que vous possédez comme êtres de lumière, de choisir vos expériences et de transformer votre terrain de jeu de fond en comble.

Aimez le fait de ne pas avoir besoin de quelque chose d’extérieur pour vous sauver. Vous êtes Dieu et vous pouvez vous sauver comme vous le jugez bon en croyant à votre propre divinité. Cela commence par l’expression de l’être divin que vous êtes déjà. L’esprit de tous vos grands maîtres religieux, comme Jésus-Christ, Mahomet et le Bouddha, connaissait le secret de l’amour intérieur qui guérit le monde. Ils incarnaient cet enseignement et ils accomplissaient ce qui semblait des miracles. Vous êtes tous capables de faire de tels miracles. Vous avez tous en vous ce même esprit messianique. Reconnaissez votre beauté de dieux et de déesses de la création, et soustrayez votre individualité à l’esclavage qui lui est imposé par votre ego dont les motivations sont extérieures. Voilà le secret du changement du monde.

Aimer votre source, cela veut aussi dire de faire confiance à votre guidance intérieure. Certains appellent cela écouter leur soi supérieur. Quel que soit le nom que vous lui donnez, l’important c’est que vous développiez un rapport avec ce soi supérieur et que vous soyez guidés par la lumière lorsque vous faites confiance à votre connaissance intérieure. Cette lumière sera toujours dans un état de partage, ce qui se manifestera comme un épanouissement de votre expérience de vie. Les soucis d’une nature terrestre s’évanouiront et des voies s’ouvriront pour que votre âme puisse s’exprimer et partager ses dons. Les besoins de survie seront comblés et bien d’autres encore.

Qu’avez-vous à perdre ? L’inquiétude, la peur et la répugnance n’ont jamais facilité la création de quoi que ce soit, sauf du chaos et du désespoir. Elles ne sont sûrement pas utiles. Même dans une situation où votre vie est menacée, il vaudra mieux pour vous d’être centrés, calmes et vibrants plutôt qu’en proie à l’anxiété. Vous aurez toujours davantage à donner à vous-mêmes et aux autres si vous êtes centrés sur la lumière, sur l’amour, sur la paix et sur l’équilibre.

Extraits de son livre « Les clés de l’évolution de l’âme », JILL MARA Ariane Edition, 2010 sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Le mystère de l’amour

 

Qu’y a-t-il entre nous et l’amour? L’inconnu, le mystère. Ce qu’il y a de merveilleux, c’est que nous ne pouvons pas étudier ni même comprendre l’amour. Nous pouvons disséquer les formes d’amour contracté, mais nous ne pouvons pas faire l’autopsie d’un amour créateur, pas plus que nous ne pouvons comprendre la mort ou la vie. Nous pouvons cependant être témoins de la mort, de la vie, du processus d’individuation, nous pouvons être témoins de l’amour, et nous pouvons être acteurs.

L'HOMME (2)

Reconnaître que l’autre est un mystère demande d’accepter le détachement et nous délivre de la dépendance. Comment, en effet, être dépendants d’un mystère? Par contre, nous pouvons fusionner avec ce mystère afin d’expérimenter la part de mystère qui existe aussi en nous. Je dis souvent aux thérapeutes qui se sont initiés à mon approche que la clé de la guérison se trouve dans celui qui souffre, non dans le thérapeute assis en face de la maladie de l’autre. La personne souffrante a en main la clé de sa libération. Il en est de même dans le couple ou dans la relation à deux ou à trois: l’autre est habité par le mystère de l’amour. À partir de là, tout est possible.

L’amour nous porte si nous nous laissons porter par lui. Cela exige de notre personnalité, qui aime contrôler, qu’elle lâche prise. Si nous laissons l’amour nous porter, nous acceptons de perdre l’illusion de connaître l’autre et de connaître l’amour. S’il y a quelque chose de réducteur, c’est de penser que l’autre ou l’amour puisse être ramené à une connaissance. Entretenir cette idée revient à couper ses ailes à l’amour. Lorsque nous nous laissons porter par l’amour, nous avons le sentiment que « l’amour donne des ailes » et nous le disons. Nous avons ici la preuve directe que l’amour nous élève et qu’aimer nous ouvre au mystère de l’amour. Il est vrai que l’amour nous porte au sens où il nous sort des prisons dorées de la dépendance et de la souffrance. Et cela, même si nous avons quelquefois l’impression qu’il nous oublie. En fait, il continue de nous porter à travers le regard aigu auquel nous oblige la réalité quotidienne, le regard aigu que nous donne la souffrance ou la perte.

L’amour consiste-t-il à aimer l’autre? Non, car dans l’amour, l’autre n’est plus, il devient une part de nous. L’amour consiste-t-il à s’aimer soi-même? Non, car dans l’amour, nous ne sommes plus, nous sommes devenus une part de l’autre. M’aimer est l’aimer, l’aimer est m’aimer.

Marie Lise Labonté

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMOUR, ENERGIES |on 3 avril, 2016 |Pas de commentaires »

Les étonnantes synchronicités de la vie de Marc Vallée

 

L’Expérience Africaine

La vie peut être fertile en surprises, parfois de nature à nous tester davantage, mais à d’autres moments le tout peut être vraiment splendide ! En novembre 1999, je fus invité par un groupe de la Côte d’Ivoire à m’exprimer sur mon travail à titre d’éditeur de livres d’éveil et sur mon engagement au sein d’un organisme à but non lucratif du nom de Convergence. Dans le tome VI de Kryeon, Franchir le seuil du millénaire   , j’avais partagé quelques informations au sujet du lien entre cette Organisation et le projet du Conseil des Sages.

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Durant mon premier séjour à la découverte de l’Afrique et du lien m’y unissant, mes hôtes me parlèrent d’un couple congolais (Clément et Fété) qui venait de quitter la Côte d’Ivoire pour s’établir à Montréal, ajoutant que je devais faire la connaissance de ces gens. Suivant leur conseil, dès mon retour au pays je les ai contactés, et ce fut le début d’une belle amitié.

La synchronicité était plutôt frappante, puisque Fété et Clément avaient entendu parler des enseignements de Kryeon durant leur séjour à Kinshasa. En fait, ils avaient lu plusieurs livres publiés par Ariane Editions, qui leur avaient été envoyés de France par les sœurs de Fété. Clément était professeur à l’université et occupait également le poste de président du conseil d‘administration de l’Hôtel Intercontinental. Quant à Fété, c’état une femme d’affaires qui avait aussi mis sur pied une librairie de livres spirituels et possédait une galerie d’art africain. Tous deux publiaient également un bulletin d’informations, Le Bosquet (élément reconnu par l’initié comme le symbole d’une source de sagesse). Donc non seulement notre connexion se fit-elle par le canal des enseignements publiés par Ariane, mais mes deux amis sont devenus d’importants conseillers dans le cadre du projet de Convergence. Depuis ce temps, nous travaillons en étroite  collaboration.

L’objectif principal de Convergence est d’aider les sociétés occidentales à saisir toute la sagesse des nombreuses valeurs des peuples autochtones (ou des cultures traditionnelles), et à réaliser l’importance de les prendre en compte dans nos choix de société autant que dans notre cheminement individuel. A notre avis, l’Occident montre des lacunes dans la gestion des affaires du monde, et nous croyons qu’il bénéficierait grandement d’une étude des manières d’être de ces peuples ; si nous avons à cœur d’engendrer un avenir viable, il est temps pour nous de réconcilier le présent et le passé. Les « Premières nations » ne se contentent pas de reconnaître et de sentir la présence de la conscience au sien de la nature et sur la Terre mère, elles savent également générer un espace sacré permettant que la vie accomplisse son potentiel. Nous sommes conscients que tout n’est pas parfait dans le monde aborigène, mais il est essentiel que nous collaborions avec lui afin de concevoir un monde meilleur pour nos enfants.

Convergence est en train d‘établir des centres d’études afin de créer des contacts et d’édifier des relations de confiance avec les Anciens de ces communautés autochtones, et ainsi les amener à jouer des rôles de premier plan dans nos choix sociétaux.

Pour diverses raisons, les circonstances ont voulu que nous ouvrions notre premier centre à Abidjan. Les idées de Convergence y ont été bien accueilles ; en fait, elles ont été semées en terrain très fertile. Nous sommes actuellement en train d ‘ébaucher un projet de conférence pour cet automne 2002, et nous visiterons des villages afin d ‘y glaner une expérience de terrain plus profonde. De plus, nous possédons une véritable base pour notre projet, sous la forme d’une maison rénovée ; nous disposons en outre de 2000 livres offerts par des maisons d’édition de France et du Québec, et d’un petit café Internet. Nous sommes prêts pour réaliser l’important travail qui nous attend.

Clément et Fété nous ont guidés tout au long du processus. Nous nous sommes même rendus en Côte d’Ivoire ensemble en mai 2001.

Cette rencontre d’âmes n’aurait pas été possible si Fété et Clément étaient restés à Kinshasa. Les raisons qui les ont poussés à s’établir à Montréal sont exposées dans le récit qui suit. Il s’agit d’une histoire très touchante. Clément, un Tusi, s’est retrouvé au beau milieu d’un conflit ethnique. La confiance et l’espoir leur ont permis à tous deux de surmonter les moments atroces qu’ils ont dû vivre au Congo, et les enseignements de Kryeon jouèrent un rôle important dans cette situation pénible. Cet homme et cette femme font maintenant partie du conseil consultatif de Convergence, et ils apprécient leur vie au Québec. Fété dit même aimer se promener dehors par une de ces belles journées d’hiver où Montréal se recouvre d’un léger manteau de neige. Une de ses phrases favorites est la suivante : « Là où tu es semé, il te faut fleurir ».

Qu’en est-il aujourd’hui : http://editions-ariane.com/2012/08/2012-25_ans_depuis_convergence_harmonique/

Lors de son premier séjour en Afrique en novembre 1999, Marc Vallée a fait la connaissance d’une jolie Ivoirienne, Siame qu’il a épousée un an plus tard. La vision de Convergence est très chère à son cœur.

Par Marc Vallée – Extrait : du chapitre XV du livre UN NOUVEAU DEPART sur le blog de Francesca http://francesca1.unblog.fr/category/7-un-nouveau-depart/

DES TEMOIGNAGES DE Marc ICI : http://kryon.com/k_42.html

Publié dans:AMOUR, CO-CREATION |on 20 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Pour l’Amour d’un enfant

Les enfants aiment naturellement leurs parents,
c’est aux parents d’apprendre à aimer leurs enfants.

Dans ma vision, l’enfant n’a pas besoin d’apprendre à aimer, il le possède naturellement. L’enfant a nécessairement besoin de l’amour des autres, et surtout que lui soit laissé la liberté d’aimer, de recevoir, ce qui est rarement le cas. Que les parents ne soient pas amour, ce n’est pas un réel problème, l’enfant reçoit les adultes tels qu’ils sont, mais il ne faut pas l’empêcher d’aimer en le conditionnant à ne pas recevoir.

amour d'un enfant

Les 2 grandes blessures chez un enfant se situent à deux niveaux :
– au niveau féminin avec le coeur = l’amour, la réceptivité, l’accueil.
– au niveau masculin avec le sexe = la force, la puissance, , la détermination, oser faire…

Les besoins de l’enfant sont d’être écouté, d’être reconnu pour ce qu’il est et non pour ce que ses parents attendent de lui ou ce qu’ils voudraient qu’il soit.

Aimer c’est recevoir. Si on empêche un enfant de recevoir, il ne peut aimer et il ne peut pas manifester son amour, sa joie, sa liberté.
L’amour des parents c’est de le recevoir. Il a besoin de découvrir la vie, l’existence, l’environnement, etc… avec conscience.

Tout ce qui est nécessaire pour lui, vital, ce sont principalement ses sens : manger, marcher, regarder, le manuel. Tout ce que ses mains peuvent toucher. Jouir de la vie, comprendre le soleil, danser, courir, méditer, écouter le silence, les animaux, les végétaux, les minéraux.

Les enfants blessés

Un enfant violent est un enfant qui souffre. C’est la souffrance qui crée la violence. Il mord pour faire mal parce qu’il a mal.

Un enfant qui mord et un enfant qui se sent reconnu en mordant, « il a la rage ».
Lorsqu’un adulte a mal, souffre, il serre les dents. Les mâchoires sont crispées, fermées. Souvent dans les groupes, je dis « lâcher les mâchoires » pour laisser l’expression agir, tout le corps est alors relaxé.
Il faut faire comprendre à l’enfant ce qu’il fait, que de mordre fait mal, alors la meilleure solution est de le mordre, pas pour le punir mais pour qu’il comprenne son geste, les conséquences de la douleur.

Les parents créent des problèmes à l’enfant parce qu’il est le miroir de la vulnérabilité et de l’amour. Ils ne veulent pas voir leurs problèmes et de ce fait, en créent au miroir (l’enfant) ainsi il n’y a plus de différence les enfants ressemblent à leurs parents.

Ils détruisent leurs enfants en ne les reconnaissant pas, en les rabaissant parce qu’ils ne veulent pas le recevoir tel qu’il est pour ne pas contacter la souffrance de leur enfant intérieur.
Par cette projection, ils ne se remettent pas en question et restent dans l’ignorance, l’inconscience de leur souffrance et de leur mal être.

Tous les êtres humains qui ont soufferts dans l’enfance, transmettent ce conditionnement à leurs enfants, s’ils n’en ont pas pris conscience. S’ils ont appris qu’aimer c’est être fermé, avoir du pouvoir sur l’autre, alors ils utiliseront cela.

Aimer c’est recevoir. L’amour n’est que réceptivité, recevoir l’autre tel qu’il est c’est l’amour inconditionnel.

Méditation de la reconnaissance du nouveau né :

Regardez le bébé dans son berceau, sans le perturber, sans le déranger. Vous le regardez simplement, sans le quitter des yeux, accueillez-le dans votre coeur, tel qu’il est, sans conditions, sans jugements, jusqu’à ce que votre coeur s’ouvre et le reçoive totalement.

Ensuite, et seulement si votre coeur est rempli, vous vous sentirez nourri, envahi par un amour inconditionnel, incommensurable, totalement vulnérable et vos yeux pleureront d’amour.

Reconnaissez alors ce bébé comme votre maître, devant lui et faites un Namasté en disant :
« Je reconnais le divin, l’existence qui est en toi, et je le salue » puis « Je reconnais l’être que tu es et je te salue »

Inclinez devant lui en gardant les yeux ouverts, et toujours dans ce même espace intérieur, levez les yeux au ciel, bras tendus et dites :
« J’accepte tout ce que l’existence m’offre, positif ou négatif, je dis OUI à la vie et j’offre toute ma gratitude pour ce cadeau »

Asseyez-vous devant le berceau, les yeux fermés, prenez conscience de ce que vous ressentez et de ce qui se passe en vous. Retrouvez en vous votre enfant intérieur, qui n’a pas eu la chance d’être reconnu de cette façon, avec le coeur, avec amour. Alors, l’adulte d’aujourd’hui pourra reconnaître le bébé d’hier. La partie adulte du bébé qui vit encore en vous, va se sentir reconnue (enfin) par l’adulte.

Cette méditation peut se faire avec toutes les personnes qui sont en état de vulnérabilité, les bébés, les enfants, les personnes âgées ainsi que les personnes malades ou celles qui sont en fin de vie.

par Dhyan Manish pour le magazine Signes et Sens sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMOUR, ENFANTS |on 13 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Les différentes consciences

 

« Nous allons essayer de vous parler de la conscience de l’esprit et de la matière. Tout cela est encore un peu confus en vous car vous n’arrivez pas à bien cerner comment vous situer par rapport aux notions d’esprit, de conscience, de conscience de la matière, de conscience de l’âme et de conscience de l’esprit.

Votre corps de matière est également un corps d’énergie. Ce corps de matière, comme vous le savez, a une conscience. Ensuite vous avez la conscience de l’âme, qui est également une conscience d’énergie, mais totalement différente de la conscience du Divin.

envol

Parlez à votre corps, ayez réellement conscience de ce qu’il est, aimez-le, remerciez toutes les parties de votre corps qui vous permettent de vivre et d’être heureux, de découvrir les merveilles, d’être créatif, remerciez vos mains qui peuvent créer des choses merveilleuses, car elles le font grâce à la conscience de la matière et en accord avec la conscience spirituelle, donc la conscience de l’âme.

Puisque vous pouvez créer des choses absolument merveilleuses, que ce soit dans la musique, la sculpture, le dessin, avec la fusion momentanée de la conscience spirituelle de la conscience de l’âme et de la conscience de la matière, (celle du corps), il pourrait en être totalement de même lorsque vous voulez réharmoniser une partie de votre corps. Le seul problème, c’est que les êtres humains sont trop impatients, qu’ils ont l’impression de solliciter la partie Divine, l’âme bien évidemment, puisque tout passe par l’âme avant d’aller jusqu’au corps, et ils ont l’impression que s’ils sollicitent leur partie divine une fois ou deux, le résultat sera atteint. Souvent, il faut la solliciter plusieurs fois avant que le contact ait lieu entre la demande sincère faite avec une confiance absolue et le résultat de cette demande.

La conscience de l’âme est très profondément liée à la conscience de la matière, à la conscience de votre corps humain. S’il n’en était pas ainsi, votre corps n’aurait pas l’énergie qu’il a et ne pourrait pas faire tout ce qu’il fait. Vous êtes vous posé la question : qui me donne la chaleur ? Qui régule toutes les fonctions vitales de mon corps ? Bien sûr, c’est la conscience du corps, mais en liaison permanente avec la conscience de l’âme !

Vous allez le comprendre très vite : lorsque l’âme quitte le corps, celui-ci ne peut plus continuer à vivre ; alors, puisque la conscience de l’âme a une telle importance sur votre corps, essayez de l’utiliser lorsque votre corps est en demande. Souvent, lorsque vous ressentez des douleurs dans un endroit ou dans un autre, c’est toujours en raison d’un blocage d’énergies, c’est-à-dire que des énergies en dualité, des énergies créées par une souffrance qui n’est pas forcément souffrance physique, une souffrance créée par votre mental, par un refus, par une lassitude, par un manque d’amour ou des frustrations.

Toutes les pensées créées par le mental, qui est totalement au service de la conscience humaine et qui gère aussi la conscience humaine, ont une réalité dans votre corps, et elles créent une réalité (souvent des dysharmonies) dans celui-ci. Lorsque nous disons « créent une réalité », nous voulons dire qu’elles créent des désagréments, car il y a somatisation. Tout ce que vous pensez, toute la souffrance que vous créez et va parfois s’imprégner dans votre âme. »

Ils me montrent une image : la conscience humaine est représentée par une boule d’énergie qui prend mille et une couleurs, parfois des couleurs merveilleuses, parfois des couleurs beaucoup plus sombres. Il y a comme un tunnel qui la relie à une autre boule d’énergie, souvent d’une merveilleuse couleur, et avec une immense puissance, mais qui n’est pas utilisée. Ce tunnel réunit ces deux boules d’énergies qui sont les deux premières consciences. Il y a une troisième boule d’énergie, celle de notre conscience divine, encore beaucoup plus lumineuse et beaucoup plus puissante, qui est elle aussi relié aux deux autres par ce tunnel.

 « Si nous vous expliquons les différentes consciences de cette façon, c’est pour que ce soit plus compréhensible et que vous puissiez comprendre ce que peuvent représenter la conscience Divine, la conscience spirituelle et la conscience du corps, la conscience humaine.

Donc lorsque la conscience de l’être humain, alimentée par le mental, par les pensées créatrices plus ou moins inférieures ou positives, le passage entre la conscience de l’humain et la conscience de l’âme se fait dans les deux sens. D’une certaine façon vous pouvez donc imprégner votre âme de tout ce que vous vivez au travers de votre corps, de toutes vos souffrances, de toutes vos pensées inférieures.

A partir du moment où vous commencez à comprendre le fonctionnement entre vos différents niveaux, il est nécessaire que vous soyez beaucoup plus vigilants. En visualisant ces deux sphères et le tunnel qui les relie, vous pouvez demander à votre âme la force de réharmoniser les parties de votre corps qui vous occasionnent des difficultés, qui vous font souffrir.

Essayez d’imaginer l’énergie venant du Divin qui alimente votre âme, et demandez à votre âme, à votre conscience spirituelle, de vous donner tout ce qui est nécessaire pour le bon fonctionnement de votre corps et pour annihiler et transcender toutes les parties d’énergie en dualité dans ce corps. Elle vous aidera, mais il faut savoir formuler les demandes. Si vous n’avez pas de résultat, c’est que la demande n’est pas correctement formulée. Dans la formulation des demandes faites par la pensée, il peut toujours subsister un petit doute. Même si vous ne formulez pas ce doute au travers de la parole, il peut s’insinuer dans votre pensée.

Si à la première demande vous n’avez pas de résultat, recommencez une première fois, une deuxième fois, une troisième fois et jusqu’à ce que l’ouverture se fasse entre les sas, que l’énergie venant de l’âme pénètre à flots au travers de ce tunnel et inonde votre conscience humaine et votre corps humain.

Votre conscience humaine pourrait davantage tenir compte de ce qu’est réellement votre corps de matière. Vous avez trop tendance à dire : j’ai mal ici, j’ai mal là, et vous n’avez pas le réflexe de demander à votre âme : peux-tu me donner un petit coup de main pour que je n’aie plus mal, pour que tout soit réharmonisé ?

Il est plus facile pour vous d’avoir des pensées involutives que d’imprimer en vous des pensées de force, des pensées d’harmonie, des pensées de santé parfaite.

Vous n’en êtes pas réellement coupable car vous subissez tout ce qui vous a été inculqué depuis votre naissance et tout ce qu’on a inculqué à vos parents, à vos grands parents depuis leur naissance respective. Vous subissez une certaine éducation, et lorsque nous vous disons, nous vos Frères de Lumière, qu’il faut essayer d’apprendre à désapprendre tout ce que vous avez appris, cela veut dire qu’il faut que vous arriviez à comprendre la façon dont vous fonctionnez et non la façon dont la médecine ou l’étude de votre corps vous l’expliquent.

Vous n’avez qu’une toute petite expérience de votre corps ; vous, humains, vous voyez la matière, vous essayez de réparer la matière (plus ou moins bien d’ailleurs) et vous oubliez les paramètres essentiels.

Nous allons vous donner un exemple très simple : lorsque vous vous cognez, lorsque vous chutez, vous créez automatiquement un blocage d’énergie, parce que l’énergie de souffrance empêche l’énergie normale de circuler librement. Lorsque vous vous cognez, lorsque vous tombez ou que vous avez un hématome quelconque, lorsque vous vous brisez un os, vous devriez faire sur vous-même un travail d’énergie : visualisez l’énergie de la couleur de la lumière qui circule librement ; faites-le plusieurs fois et vous sentirez que la douleur s’en va petit à petit. Il y a la douleur de l’hématome physique et il y a aussi la douleur de l’énergie.

A partir du moment où vous comprendrez le pouvoir de la pensée et celui de votre âme sur votre corps, vous arriverez à annihiler totalement un hématome, à régénérer complètement la partie de votre corps en souffrance, et même consolider totalement vos os ; lorsque vous serez habitués à faire ce travail, vous n’aurez pas besoin d’opération, vous visualiserez l’endroit avec une grande netteté et vous ferez le travail pour ressouder vos os.

L’énergie de reconstruction vient de la conscience spirituelle, du pouvoir de régénération de votre âme. Pensez aux trois sphères, c’est simple mais cela vous aidera peut-être à mieux comprendre, et, de ce fait, à mieux travailler sur votre corps et à mieux le comprendre.

N’oubliez pas, lorsqu’une partie de votre corps vous fait souffrir, de solliciter l’énergie de votre âme, d’ouvrir le passage, le sas qui vous conduit au travers du tunnel vers votre âme. Quand vous sollicitez l’énergie de votre âme, le sas entre l’âme, le petit tunnel et la partie Divine s’ouvre automatiquement pour alimenter votre âme parce que la partie Divine ne laissera jamais l’âme sans l’énergie qui lui est nécessaire. »

Ils me montrent (et c’est très beau), des symboles, des images très représentatives et très importantes. Je vois la première sphère extrêmement lumineuse, extraordinairement belle et d’une grande puissance. Ce sas et ce petit tunnel la relient à l’autre sphère qu’elle nourrit en permanence, elle aussi très brillante, et la troisième sphère qui est la sphère de votre corps, de votre conscience humaine.

« En définitive, c’est cette dernière qui a le plus besoin de cette énergie parce qu’elle s’épuise. Votre âme peut ressentir la souffrance de votre corps et celle que vous génèrerez au travers de vos pensées, au travers de vos refus d’expérimenter.

Alors, dans n’importe quelle circonstance, essayez de solliciter l’énergie qui vous est nécessaire, non seulement pour restaurer votre corps mais aussi pour le réparer si cela est nécessaire.

Pourquoi parlons-nous de cela? Parce que nous savons que vous êtes capable de comprendre, et nous savons également que dans un temps relativement très court vous aurez besoin de vous régénérer, de vous réharmoniser vous-même.

Lorsque vous serez suffisamment fort dans ce domaine, vous pourrez considérablement aider les autres. Comment pouvoir aider les autres ? Tout simplement, lorsque vous serez prêt, en parlant à la conscience humaine de l’autre et en lui demandant de bien vouloir ouvrir le passage, le sas, le tunnel qui la mène à son âme, à sa conscience spirituelle, afin que cette âme, cette conscience spirituelle puisse accomplir des miracles sur son corps. Ce sera comme si vous parliez télépathiquement à la personne que vous désirerez aider.

En plus, ce que vous pourrez faire (parce que tout le monde peut le faire et tout le monde devra le faire), c’est projeter beaucoup d’Amour Lumière. Cela permettra à la personne d’avoir beaucoup plus de facilité à prendre instinctivement conscience de son âme.

C’est un sujet que nous n’avions pas abordé de cette façon mais pensez-y. Nous avons essayé d’employer des images très simples afin que pour vous ce soit plus facile à comprendre et à mettre en application. »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à  notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu 
Publié dans:AMOUR, ENERGIES, HUMANITE |on 14 février, 2016 |1 Commentaire »

Pour aimer, il nous faut ressentir

 

TR045_lumiere-paysageDécrit dans de nombreuses traditions anciennes, le pouvoir de la sagesse, de la beauté et de la prière a été redécouvert par des expériences modernes. Comme nous l’avons vu dans l’introduction, par exemple, le thème sous-jacent du savoir des Navajos est basé sur la reconnaissance de la relation entre la douleur, dans leur monde extérieur, et la sagesse et l’amour dans leur cœur. Bien qu’il s’agisse d’expériences indiscutablement différentes, la souffrance, la sagesse, et l’amour semblent être intimement liés dans une relation surprenante et sans doute inattendue.

Par notre souffrance, nous reconnaissons notre capacité de ressentir – plus la souffrance est grande, plus les sentiments sont puissants. Dans nos plus profonds sentiments de douleur, nous découvrons l’intensité de notre capacité d’aimer. Le pardon semble aussi être directement lié à notre souffrance. Plus la souffrance est grande, explique Tim Laurence, plus il est avantageux de pardonner. De ce point de vue, on peut considérer que notre douleur est un baromètre de notre habileté à aimer, plutôt qu’une punition pour les choix que nous effectuons. C’est cette subtile relation qui démontre la force que de nombreuses traditions décrivent comme la « colle » qui tient notre monde ensemble – le pouvoir de notre amour. Nous trouvons notre plus grande guérison dans notre pouvoir d’aimer.

On dirait presque que nous venons dans ce monde et que nous sommes mis à l’épreuve, de façons impensables pour des gens rationnels et aimants. Par nos relations, nos emplois, nos pertes, et nos échecs, nous poussons nos habiletés jusqu’au bout. Tout ce temps, nous nous posons la même question: « Pouvons-nous aimer à travers ces expériences? » Pouvons-nous aimer en présence des inimaginables atrocités justifiées par la couleur de notre peau ou par notre façon de comprendre Dieu? Sommes-nous capables d’aimer dans un monde où d’autres ont essayé de tuer ce qu’ils ne comprenaient pas, et d’effacer des peuples entiers de la surface de la terre?

Chacun de nous a personnellement souffert les pertes d’êtres aimés, qui étaient là un jour et qui sont soudainement disparus de notre vie. Nous en avons vu d’autres qui ont souffert de maladie, comme aucun être humain ne devrait jamais avoir à souffrir. Quand ils sont partis pour toujours, nous nous demandons: « Pouvons-nous aimer quand nous souffrons de leur absence? » Notre amour est souvent mis à l’épreuve d’une manière que nous ne choisirions jamais consciemment, ou que nous n’aurions jamais pu imaginer. Chaque fois que la vie demande si nous pouvons encore aimer, la réponse est la même. C’est un très grand « Oui! » résonnant – puisque que nous sommes toujours ici.

Que nous l’appelions de ce nom, ou que nous visions simplement ce qu’il signifie dans notre vie, cela ne fait pas de différence – notre amour est ce qui nous soutient. Il nous porte à travers les moments difficiles, tout comme à travers les moments extraordinaires, et nous promet que nous guérirons toujours des douleurs les plus atroces que la vie peut nous offrir. La clef fournie par les temps anciens pour permettre à notre amour de nous guérir, c’est de le laisser entrer dans notre vie. Pour y arriver, nous devons trouver un moyen de transformer nos plus grandes douleurs en notre plus profonde sagesse.

Transformer la souffrance en sagesse

Faisant partie d’un cycle naturel, les expériences de « douleur » et de « sagesse » semblent être intimement liées. Alors que la souffrance provient de notre interprétation d’une expérience, si nous modifions notre perception de l’événement, nous déplacerons notre centre d’intérêt dans le cycle. Quand une expérience est si douloureuse qu’il nous est plus facile de la nier, de nous distraire d’elle, ou, d’une certaine façon, d’éviter de nous en occuper, plutôt que de l’aborder de front, nous pouvons facilement nous retrouver coincés dans nos sentiments. Mais en chacun de nous existe le pouvoir de transmuer notre souffrance, en sa forme guérie, qui est la sagesse, peu importe d’où elle provient. Alors que l’expérience qui a originellement causé la blessure demeure inchangée, notre façon de nous sentir à propos de notre souffrance constitue le lieu même où nous trouvons notre pouvoir.

À première vue, cette compréhension semble nous demander de simplement laisser la souffrance faire son temps, falsifiant un nouveau sentiment au sujet des événements de nos vies. Mais un examen plus approfondi révèle que les Anciens comprenaient et appliquaient un principe subtil séculaire, que la science occidentale n’a reconnu que tout récemment. Ce principe suggère que le monde qui nous entoure est un miroir vivant – le tissu quantique qui reflète les émotions qui vivent en nous. Plus spécifiquement, les modèles de santé dans notre corps, le soutien de nos familles, des communautés, et la paix de notre monde, tendent à refléter nos plus profondes croyances. Cette relation entre la croyance et l’expérience est maintenant fermement soutenue dans les théories les plus nouvelles de la physique du 21e siècle.

Il semble que ce principe est véridique autant pour les croyances que nous considérons « négatives », que pour les « positives ». Des émotions positives comme la gratitude, la compassion et l’amour sont maintenant considérées comme étant des déclencheurs de conditions qui favorisent la vie – comme une tension artérielle plus basse, la libération de « bonnes » hormones, et une réaction immunitaire améliorée. De la même façon, des émotions qui rejettent la vie, comme la colère, la haine, la jalousie et la rage sont susceptibles d’encourager des conditions qui menacent la vie, comme un rythme cardiaque irrégulier, une réaction immunitaire affaiblie, et une augmentation des niveaux d’hormones du stress.

Il n’est peut-être pas surprenant, alors, de découvrir que, dans la subtilité de ce principe, nous trouvons aussi la clef de ce que plusieurs croient être la force la plus puissante de la création! Dans l’histoire de sa quête de la vérité de la vie, Gurdjieff s’est retrouvé dans un monastère éloigné et caché dans un pays anonyme, où il a été invité à demeurer jusqu’à ce qu’il ait éveillé un grand pouvoir en lui-même. « Demeurez ici », lui a dit le maître, « jusqu’à ce que vous acquériez une force intérieure que rien ne peut détruire ». Je crois que cette force était l’amour, la sagesse et la compassion qui proviennent de la guérison de la souffrance. La clef qui attribue une nouvelle signification aux choses qui nous blessent est la même clef qui nous permet de dépasser nos jugements sur la vie. C’est le pouvoir ancien de la bénédiction…

Gregg Braden  sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ 

Extraits de son livre Secrets de l’art perdu de la prièreÉditions AdA, 2007 - p. 52 à 85

Publié dans:AMOUR, ENERGIES |on 30 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

Une histoire d’amour universelle

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Ceci est une histoire d’amour de portée universelle qui nous concerne tous, ainsi que tous les organismes vivants.

Le premier acte débuta il y a des milliards d’années lorsqu’une onde lumineuse jaillie du soleil entra en collision avec une particule de matière. Cette étincelle d’amour entre le Père Soleil et la Mère Terre donna naissance à un enfant sur cette sphère bleue et verte. Cet enfant précoce, appelé la vie, a depuis lors fait de la Terre son terrain de jeu, engendrant une infinité de formes de vie toutes plus extraordinaires les unes que les autres. Certaines d’entre elles existent toujours aujourd’hui, mais la plupart ont disparu et demeureront à jamais inconnues.

C’est il y a près de 700 millions d’années que le rideau s’est levé sur le deuxième acte de cette fabuleuse histoire d’amour, alors que certains organismes unicellulaires décidèrent qu’ils en avaient assez de la vie en solitaire. Réalisant qu’ils ne pouvaient plus vivre seuls, ils se sont tournés les uns vers les autres et se sont dit (dans le langage primal utilisé par les cellules pour communiquer entre elles) : « Bébé, j’ai besoin de ton amour. » Et c’est ainsi que le premier organisme multicellulaire est apparu.

Quant au troisième acte, il débuta il y a environ un million d’années lorsqu’arrivèrent sur la scène les descendants des premiers organismes multicellulaires qui, à force d’évoluer, étaient devenus les premiers humains doués de conscience. Grâce à la conscience, la vie était désormais capable de s’observer elle-même, de réfléchir et de créer son propre avenir. Elle pouvait enfin éprouver de l’amour et de la joie, et apprécier cette expérience. La vie pouvait même rire d’elle-même et elle en vint un jour à écrire des livres comme celui que vous êtes en train de lire.

Pour ce qui est du quatrième acte, il a commencé par l’apparition des clans humains qui formèrent bientôt des alliances, se partagèrent le globe et créèrent les États-nations. Aujourd’hui, nous approchons de la fin de cet acte en nous demandant si la pièce de théâtre se terminera avec celui-ci, à l’instar des tragédies grecques qui se terminent toujours mal. Au vu de notre monde chaotique placé sous le signe du dysfonctionnement humain et des crises environnementales, il est facile de croire que nous fonçons tête baissée vers un désastre majeur. Heureusement pour nous, les Grecs avaient également des pièces en cinq actes, à savoir des comédies remplies de rire, de joie, de bonheur et d’amour.

Ce livre décrit comment nous pouvons naviguer en toute sécurité du quatrième au cinquième acte. La bonne nouvelle, c’est que la biologie et l’évolution sont de notre côté.

Tous les organismes vivants sont animés d’une volonté innée de survivre, ce que la science appelle un impératif biologique. Contrairement à ce qu’ont traditionnellement affirmé la science et la religion, l’évolution n’est ni le fruit du hasard ni quelque chose de prédéterminé. C’est plutôt le résultat d’une danse intelligente entre chaque forme de vie et son environnement. Lorsque les conditions sont réunies en raison d’une crise ou parce qu’une occasion se présente, l’imprévisible survient pour amener la biosphère à un nouvel équilibre ajusté à un degré supérieur de cohérence.

Bien que nous percevions habituellement les exemples de rémission spontanée comme étant le fait de guérisons miraculeuses dues à la grâce de Dieu, un examen plus approfondi permet de constater qu’autre chose est à l’œuvre. Bien souvent, ces individus privilégiés ont participé activement à leur propre guérison en réalisant, consciemment ou inconsciemment, un changement majeur dans leurs croyances et dans leurs comportements.

Voici donc le choix qui s’offre à nous. L’avenir de la vie humaine sur terre n’a pas encore été déterminé. Pour qu’il y ait un cinquième acte, il faut que les humains acceptent de changer leurs croyances et leurs comportements individuels et collectifs, et, surtout, qu’ils soient capables de réaliser ces changements à temps.

Durant des millénaires, les grands maîtres spirituels nous ont encouragés à suivre la voie de l’amour. Aujourd’hui, la science a pu nous confirmer la validité de cette sagesse ancienne. Chacun de nous est telle une cellule dans le corps d’un superorganisme en constante évolution appelé humanité. Comme nous jouissons du libre arbitre, nous pouvons choisir de nous élever jusqu’à ce nouveau seuil évolutif ou, à l’instar des dinosaures, de disparaître à tout jamais.

Les religions qui ont vu le jour dans le berceau de la civilisation moderne, soit dans le Croissant fertile, cette région du Moyen-Orient qui comprend notamment l’Irak – qui, ironiquement, est en voie de devenir également le tombeau de cette même civilisation -, véhiculaient toutes la notion de rédemption par l’entremise d’un sauveur. En ce sens, la venue du Messie dans le cinquième acte transformera le théâtre de la vie en une comédie humaine.

Comme toute bonne comédie doit avoir un élément comique pour être drôle, voici quelle en est la chute : Nous sommes la réponse à nos propres prières.

Résumé préparé par Jean Hudon, traducteur de Évolution spontanée paru aux Éditions Ariane en 2011 sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

 

Publié dans:AMOUR |on 25 décembre, 2015 |Pas de commentaires »
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