Archive pour la catégorie 'EXERCICES DEVELOPPEMENT'

LA CONSCIENCE de Soi à travers l’Autre

 

Malgré nos frustrations quotidiennes, qui peuvent quelquefois être exacerbées lorsqu’elles touchent un point sensible, on ne peut rien insulter ni maltraiter car tout a une forme de conscience beaucoup plus proche de la nôtre que nous ne saurions l’imaginer.

Les consciences de toutes les espèces, indépendamment de leur forme, peuvent être comprises lorsque l’on accède aux plans plus subtils. Ces plans subtils sont en fait la réalité et non pas l’inverse… Ainsi, l’on ne peut faire de mal même à une mouche, littéralement, car la partie de nous dont nous sommes généralement inconscients percevrait la souffrance de cet être et n’en ressortirait pas indemne. Par conséquent, l’on ne peut injurier directement ou indirectement, ou manquer de respect envers aucun être, ni même faire agoniser un insecte par l’usage d’un insecticide. On ne peut tuer ni une plante ni une cochenille qui serait en train de tuer une plante pour se nourrir, car seule la nature souveraine a le droit et la capacité de rétablir l’équilibre de la nature; que ce soit par l’arrivée d’un autre prédateur ou par un redressement d’un des éléments fondamentaux liés à l’air, au feu, à l’eau ou à la terre, comme pour les mouvements de la croûte terrestre. Ainsi, selon la loi naturelle de l’équilibre, nous ne saurions même maudire le vent !

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Chaque être vivant, aussi différent soit-il, a une conscience avec laquelle nous pouvons communiquer énergétiquement sur les plans astral ou spirituel. Le langage de la compassion est universel et il est parlé par toutes les espèces. Chaque chose a un droit et une raison d’être, même si cette raison ne se conforme pas à la nôtre, car c’est une raison collective pour la totalité des formes de vie selon la réalité universelle. Si l’on prend conscience de la réalité énergétique de chaque chose, on peut, petit-à-petit, comprendre la raison pour laquelle les peuples indigènes voient le sacré en toute chose et ne tuent que pour se nourrir, sans chercher à en faire un commerce en tuant pour de l’argent. De plus, lorsqu’ils tuent un autre être, ils se recueillent devant son esprit pour faire la paix. L’énergie de l’émotion de la compassion imprègne ce qui en est le destinataire, même si ce n’est qu’une pierre.

Si l’on parvient à vraiment percevoir que nos consciences sont égales à toutes les formes de vie sur le plan subtil, on parviendra à changer lentement nos habitudes de vie et à ne plus manquer de respect aux représentants de notre espèce. Notre manque de respect, qui verse souvent dans la cruauté sans que l’on s’en aperçoive, est dû à notre soif de posséder, alors que les indigènes ne connaissent pas cette émotion car ils sont en mesure de comprendre que nous ne pouvons nous octroyer le droit de posséder individuellement ce qui existe librement et en harmonie avec tout ce qui existe. Tout existe en abondance pour tous les êtres et tout s’autorégule naturellement, tant que les êtres d’une espèce dominante comme la nôtre ne créent une réalité contraire par la force de leurs craintes ou par une croyance erronée de séparation entre eux-mêmes et ce qui fait partie de leur environnement.

Lorsque nous faisons souffrir une forme de vie, aussi petite soit-elle, nous lui prenons une partie de son âme qui fait désormais partie de nous, de sorte que l’âme morcelée de cet être ne peut devenir entière qu’en reconstituant ses parties manquantes en établissant un lien d’amour universel avec le dépositaire de chacune de ses parties lors des réincarnations suivantes. Ainsi, l’assassin et l’assassiné ne formeront qu’Un, chaque âme contenant une partie de l’autre, de sorte que les ennemis deviendront sans en prendre conscience des âmes jumelles sur le plan spirituel.

Lorsque l’on fait souffrir un autre comme lorsque l’on abuse d’un enfant, ou que l’on tue un autre, ou même lorsque l’on consomme une partie d’un organisme qui est imprégnée de l’énergie de la souffrance comme lorsqu’un être est saigné jusqu’à la mort afin de le vider de son sang; la vibration de cette souffrance modifie le champ énergétique de notre organisme, de sorte que nous nous mettons à vibrer à la fréquence de la souffrance sans prendre conscience de la source de cette douleur diffuse. Tout est un échange d’énergie et tout ce que l’on prend en énergie vitale nous sera pris en retour, c’est une loi universelle. Par contre, il est possible de faire la paix avec l’esprit d’un être et ainsi diminuer la souffrance, consciente ou inconsciente, pour les deux parties. La souffrance mène à un dés-espoir diffus, qui se concrétise par un manque de confiance par rapport à l’autre. Lorsque l’on ressent de la souffrance, par nos actes ou par ceux des autres, une partie de soi meurt et nous ne sommes plus entiers; la joie naturelle liée à cet état nous quitte de sorte que l’on se sent séparé du Tout, ce qui peut mener à la dépression ou à la haine.

L’équilibre ne peut alors être rétabli que lorsque l’on rend son pouvoir émotionnel à l’autre en ressentant spirituellement sa souffrance ou alors par le rééquilibrage effectué naturellement mais dans un temps qui pourrait nécessiter plusieurs incarnations. Lorsque l’on se sent séparé de Tout car l’on est séparé de soi, l’on se sent au-dessus de Tout et l’on ne ressent pas de compassion pour la souffrance des autres. Le sentiment de séparation est lié à la peur et nous devons simplement prendre conscience de notre pouvoir sur nous-mêmes et ne le céder à rien ni personne car le respect de la souveraineté de l’autre est aussi le fait de reconnaître notre propre souveraineté. Notre pouvoir sur nous-mêmes est d’avoir le courage de se remettre entièrement à sa mission de vie, qui est aussi la foi en Dieu ou en la Déesse. C’est une force intérieure et non pas une autorité exercée sur les autres. La conscience de soi est liée à la conscience de l’Autre. Lorsque l’on est unifié, on est alors en mesure de ressentir que l’on est Un.

Ainsi, nous pourrions nous saluer les uns les autres avec révérence selon la coutume hindoue, en nous inclinant avec respect tout en pressant nos mains ensemble devant notre cœur, dans un geste signifiant l’union avec l’autre sur les plans physique et spirituel, ce qui changera le dynamisme de toute relation.

Source: http://valeriecharoux.unblog.fr

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Conclusion de Francesca : J’ai besoin, pour avoir conscience de moi, qu’autrui me reconnaisse comme une personne distincte, besoin qu’il m’apprenne le langage dans lequel je pourrai par la suite me penser, besoin également de son travail pour me reconnaître dans le miroir du monde. C’est pourquoi Heidegger affirmait qu’être au monde, c’est toujours être avec autrui : l’altérité se trouve nécessairement impliquée autant dans le monde que je contemple que dans le langage que je parle. Elle est donc nécessaire, et même doublement, à toute prise de conscience de soi par soi. Ce qui, finalement, nous amène à dire que nous avons besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes, c’est donc bien que l’existence consciente d’elle-même exclut radicalement la possibilité d’une solitude dont tout rapport à l’altérité serait absent. Peut-être l’isolement, en me mettant à l’écart du bruit du monde, engendre-t-il un climat propice à la réflexion. Mais si l’isolement, quand il se prolonge, m’oppresse et me pèse, c’est justement parce qu’une existence consciente d’elle-même a besoin de l’altérité ; c’est parce que je mène une existence consciente d’elle-même que l’isolement peut m’être pénible : si je n’avais pas besoin des autres, si ma conscience était effectivement une substance indépendante de tout et pouvant se suffire à elle-même, être seul ne me pèserait pas.

sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

 

L’INITIATION ET LA VIE

 

Quel est le sens de la vie ?

Croyez-vous encore que ce soit la jouissance, la gloire ou la puissance ? Alors passez votre chemin, la souffrance vous enseignera en son temps… Mais si vous avez entrevu un seul instant qu’il puisse y avoir un but plus secret, alors, cherchez à le comprendre, car il existe.

Sachez bien que ce but ultime est voilé, difficile à saisir, qu’il faut grand labeur, finesse et longue persévérance pour l’atteindre, amis qu’il existe de tout temps, tel qu’il a été reçu et transmis directement par les vrais initiés. Il est simple pour ceux qui ont le cœur pur, mais inabordable pour ceux qui sont trop riches d’eux-mêmes….

Bouddha a dit : « L’homme qui a atteint le but ne possède rien de ce dont on puisse parler ».

C’est pourquoi, si vous pouvez expliquer ce qu’est le rouge à un aveugle de naissance, alors vous pourrez également expliquer aisément ce qu’est l’initiation.

Beaucoup en parlent à tort et à travers, mais très peu savent de quoi ils parlent, car la réalisation de la clef universelle n’est ni intellectuelle, ni physique, ni physique, elle est tout cela plus quelque chose qui ne se décrit pas avec le langage ordinaire. C’est pourquoi, étant donné qu’on ne peut initier que les initiables, l’initiation véritable ne peut que proposer un programme d’acheminement créant les conditions pour que puisse se réaliser la jonction entre une conscience individuelle temporelle t la conscience cosmique atemporelle.

Mais de même que tous les héros de légendes, tous les actes et tous les saints ont dû vaincre mille épreuves avant d’atteindre le but, il faut bien concevoir qu’il ne peut y avoir de résultat effectif que dans la mesure où l’être aspire à cette réalisation de toutes ses forces d’Amour et de Pureté.

Alors enfin, la chenille devient papillon et ainsi s’accomplit le Grand Œuvre.

 

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EXERCICE

C’est en entrant dans les mécanismes intérieurs de notre corps physique et de sa gestion que nous pouvons nous intégrer dans le champ de la conscience universelle accordé à la trame éthérique qui maintient la cohésion de notre véhicule formel.

Le corps physique est relié à des dimensions qui le surveillent et le reconstruisent en permanence ; nous pouvons faire des efforts pour nous rapprocher de ces dimensions et les aider dans cette rééquilibration permanente.

Plus nous seront attentifs à cette gestion, plus nous seront fortifiés dans tous les aspects de notre personnalité. Par contre, si nous sommes trop inconscients, une partie de notre énergie sera dispersée et nous subirons des déséquilibres importants dans notre nature.

Par cet exercice vous allez raccorder votre conscience de veille à la régulation des courants subtils d’énergie qui permettent de faire le point entre le corps physique, l’univers et les autres véhicules qui font partie des mondes de l’invisible.

Vous allez donc commencer à vous intérioriser, debout, dans un endroit calme et aéré. Fermez les yeux et pensez aux esprits qui s’occupent de régénérer votre véhicule physique en permanence.

Pendant quelques instants, émettez des pensées positives dans leur direction pour renforcer le lien qui vous unité à leur pouvoir de transformation. Faites ce travail puis revenez sur ce plan.

Vous allez maintenant rééquilibrer les courants d’énergie de votre corps physique en résonance avec le cosmos.

Toujours en position debout, les pieds joints, imaginez que vous êtres un grand arbre avec, sous vos pieds, des racines s’enfonçant dans la terre pour en extraire les  éléments nutritifs. Votre corps forme le tronc, verticalisé, à l’intérieur duquel circule la sève régénératrice. Elle se canalise en direction de la tête vers les branches subtiles qui s’élèvent vers le ciel pour se mettre en résonance avec les esprits célestes qui surveillent ce corps.

Choisissez le type d’arbre qui vous convient personnellement. Respirez doucement et profondément en pensant très précisément à l’arbre que vous êtes en train de construire.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Etre conscient de l’ego

 

 

La plupart d’entre nous portons des blessures. 
A cause de notre ego, notre être tout entier est une blessure. 
Et nous la portons partout où nous allons. 
Personne ne cherche à nous blesser, personne n’est dans l’attente de nous faire du mal ; tout le monde est occupé à protéger ses propres blessures. 
Qui aurait assez d’énergie ?
Mais cela arrive tout de même parce que nous sommes tellement prêt à être blessé, tellement prêt, dans l’attente des coups.

 chez francesca

L’instruction pour cette méditation est simple :

Soyez conscient de votre blessure.
Ne l’aidez pas à croître, laissez-la se guérir et elle ne sera guérie que lorsque vous irez à sa racine. 
Moins votre mental interviendra, plus vite votre blessure guérira ; sans mental, pas de blessure. 
Vivez une vie sans tête. 
Allez et acceptez les choses comme elles sont.

Pendant vingt-quatre heures seulement, essayez : une acceptation totale, quoi qu’il arrive. 
Quelqu’un vous insulte, acceptez-le, ne réagissez pas et voyez ce qui se passe. 
Soudain vous éprouverez un flot de vitalité que vous n’aviez jamais ressenti auparavant.

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Vidéo d’Eckhart Tolle qui nous parle du Corps de Souffrance

« Tant que vous êtes incapables d’accéder au pouvoir de l’instant présent, chaque souffrance émotionnelle que vous éprouvez laisse derrière elle un résidu. Celui-ci fusionne avec la douleur du passé, qui était déjà là, et se loge dans votre mental et votre corps ».

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TRANSMUTATION DE L’HOMME NOUVEAU

 

EXERCICE et CONSEILS

Retrouvez l’émerveillement. Par une claire nuit étoilée, ne manquez pas d’aller admirer le ciel. Imaginez, à partir de la voie lactée, la forme de notre galaxie et la place de la terre dans l’un de ses bras en spirale.

Sentez que vous êtes à bord d’un grand vaisseau qui se déplace à travers le cosmos. Faites voyager votre conscience de la terre à la lune, au soleil, aux étoiles, aux galaxies, à l’univers. A partir de cette immense beauté qui vous entoure, tentez de retrouver, à l’intérieur de vous-même, le sens de la Bonté et de la Vérité.

Blog francesca

Reveniez à votre corps physique, explorez-le de l’intérieur, sentez, comme il vit ; captez l’oxygène qui est autour de vous, que vous respirez, qui entre dans votre corps et traverse les poumons pour aller jusque dans vos cellules, vos atomes.

Votre corps est une galaxie. A travers le réseau des cellules qui le composent, visualisez les amas stellaires des molécules, puis les systèmes solaires des atomes. Faites le lien entre ces différents espaces et vies de l’univers, de l’infiniment petit à l’infiniment grand. Faites-les communiquer entre eux. Essayez d’imaginer les vibrations des particules. Sentez comme la matière est animée par l’énergie.

Revenez à la conscience globale de votre corps et considérez la place que vous tenez entre cet infiniment petit et l’infiniment grand de la galaxie. Prenez conscience de votre imite : limite de votre peau qui englobe votre être biologique, limite de votre aura, champ vibratoire énergétique entourant votre corps, limite de votre psychisme et de votre mental qui sont vos instruments de connaissance et de relation avec l’univers.

A l’intérieur de ces limites, sentez que vous êtes unifié et fort.

Essayez de sentir qui régit cette vie à l’intérieur de votre corps biologique. Qui est cette conscience fantastique qui a créé cet univers dans lequel vous évoluez… retrouvez la communication avec ce créateur et gestionnaire d’univers. Essayez de percevoir en vous la ligne qui vous relie à la Source-Centre, origine des créatures et de la création.

Le matin au réveil, rappelez-vous que vous êtes sur une planète, un vaisseau minéral en évolution qui se déplace autour du soleil.

Le Plus souvent possible, pensez à l’aspect sucré de chacun des actes de votre vie et sentez-vous ainsi en harmonie avec le cosmos.

Le soir, prenez le temps de regarder le ciel et méditez sur la vie dans l’univers.

Bon voyage de transmutation vers le Nouvel Humain que vous devenez.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

LES SEPT QUALITES POUR SE REALISER

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I – HONNEUR A l’ETRE HUMAIN QUI SE REALISE LUI-MEME, CAR IL COMPREND LES ATTRIBUTS DU PRESENT. 

 C’est de là que la réponse jaillira, et vous vous étonnerez de ce qu’elle survienne apparemment toujours à la toute dernière minute. Mais Dieu ne connaît pas de dernière minute ; tout est là à l’instant présent. Pour chacun d’entre vous assis ici sur ces sièges (ou qui lisez ces lignes), quel que soit le problème qui vous tourmente, il est révolu, terminé et solutionné pour tous. Honneur à l’être humain qui comprend les attributs de l’instant présent. C’était le premier point. 

 II - HONNEUR A CELUI QUI SAIT VRAIMENT UTILISER LES DONS ACCORDES DURANT CE NOUVEL AGE. 

 Nous sommes à l’ère de la responsabilité ; le travail s‘avère nécessaire. Le travail, mes chers amis, est précieux. Conférée avec amour, cette tâche est accomplie par plusieurs ici présents. « Quelle est cette tâche? » Pensez-vous peut-être. Une tâche qui vous permet de vous éloigner de vos amis et de réévaluer tous les rapports sociaux dans votre vie. Vous vous étonnerez du changement chez les autres alors que ce changement se sera opéré en vous. Il faut s’y attendre. Dans plusieurs cas, c’est effectivement ce qui arrivera du fait que votre vibration s’élève. Pour chacune des activités de votre vie, il vous faudra évaluer. « Pourquoi sont-elles là ? Que font-elles pour moi ? » Voilà le type d’épreuve, de tâche, le sacrifice à accomplir. En vérité, une transformation importante vous attend. Et parce que vous accomplissez ce travail, vous êtes aimés profondément. 

 III –  HONNEUR A L’ETRE HUMAIN EN VOIE DE SE REALISER QUI COMPREND VERITABLEMENT L’ASSOCIATION MUTUELLE, OU PARTENARIAT AVEC DIEU. 

 Quelques-uns souhaiteraient n’être que des moutons et se laisser guider par le berger. Nous disons que le berger n’est nul autre que vous. Prenez le pouvoir, et tenez la main de Dieu. C’est une union, une association mutuelle qui appartient au Nouvel âge et infusera la puissance à votre vie. Lors de votre prochaine méditation, tendez la main, faites le geste et dite ; « Oh Dieu, j’accepte de m’associer à toi. Je prends la main, j’accepte l’amour inconditionnel de l’esprit ». Une collaboration pas une renonciation ; voilà le troisième attribut. 

IV – HONNEUR A L’ETRE HUMAIN NOUVEAU QUI COMPREND LA VALEUR DE LA CEREMONIE ET DE LA VERBALISATION. 

 Honneur a celui qui sait le sens de ceci et le met en pratique car c’est là la clef qui permet d’accéder à une vibration supérieur. Honneur spécialement à celles et ceux d’entre vous, ici présents, qui dispensent de l’énergie et permettent la guérison d’autrui ; nous vous transmettons ce secret que peu de gens connaissent. Rituel, verbalisation et affirmation. Et à la fin de votre méditation ou de votre traitement répétez le rituel. Faites-en quelque chose de sacré. Commencez-le avec dignité et en verbalisant, et terminez-le avec dignité et en verbalisant. Donnez un caractère spécial à l’évènement, car il est en effet spécial. 

V - HONNEUR A L’ETRE HUMAIN QUI SAIT COMMENT EQUILIBRER L’EGO. 

 Mettez en pratique les attributs de l’amour. L’amour est serein, il n’a pas d’attente, ne se gonfle pas d’orgueil en disant ; « regardez-moi, je suis important » Il importe peu que les gens sachent ce que vous faites pour eux ; faites-le de toute façon. Voyez en vous-même les effets. Pratiquez l’art du don. L’être humain doué d’une vibration supérieure possède cet ego équilibré. Cette sagesse, l’un des outils mentionnés sous le second attribut, vous apportera la sérénité et vous permettra d’équilibrer votre ego. 

 VI - HONNEUR A L’ETRE HUMAIN QUI COMPREND SONT CONTRAT. 

 Vous devez parfois faire certaines choses et vous pensez ; « Je n’en suis pas digne, j’en suis incapable, je ne saurai pas le faire ». Honorez la requête et allez-y de toute façon. Considérez tout avec attention, n’entretenez pas de préjugés à propos du contrat qui se présente à vous. C’est ainsi que ça fonctionne. Je peux assurer à certains d’entre vous ce soir, avec humour et amour, que vous remplissez déjà votre contrat tout en demandant chaque jour « : « Où est-il ? » Et nous vous aimons pour cela. 

 VII –  HONNEUR A L’HUMAIN DONT LE POTENTIEL S’ACCOMPLIT ET QUI RECONNAIT CELUI QUI SIEGE A LA PLACE D’HONNEUR. 

 Il faut prendre conscience de la noblesse de votre visite sur cette planète en vue d’y prendre votre place. Et celui qui s’approche et demande où se trouve sa joie, elle est là, elle siège dans cette noblesse. Prenez conscience que vous méritez d’être heureux. Vous méritez davantage encore, vous méritez une vie merveilleuse, libre de toute souffrance. Toute guérison est possible dès maintenant. Nous la considérons déjà accomplie. Honneur à l’être humain qui sait qu’il réside en cet espace.

 C’est ainsi que nous partageons avec vous les dons que vous avez demandés. Il n’y a aucune raison pour qu’une personne quitte cet endroit sans les dons qu’elle est venue recevoir. 

Ainsi, nous sont offertes ces 7 qualités – c’est un transfert d’énergie qui nous dévoile ce qui était encore dissimulé à notre conscience. Ressentez l’amour qui vous est offert, l’étreinte de la Famille, de l’Ange se tenant devant nous prêt à nous baigner de Lumière.

 

KRYEON

channeling : Carlsbad, Californie et Vancouver, Canada.

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UN PONT ARC-EN-CIEL POUR SE REALISER PLEINEMENT

 

Il faut comprendre que les lois karmiques ont été mises en place pour nous. C’est comme si, dans un passé lointain, considérant notre vécu dans le physique, nous nous étions réunis (dans nos périodes hors incarnation) et interrogés : par quels moyens pouvons-nous mieux ancrer et vivre la conscience de l’Esprit quand nous prenons une incarnation ? Comment arriver à « spiritualiser » la matière ?

C’est ainsi que nous avons établi les lois karmiques ayant une certaine rigidité dans la relation de cause à effet. Nous savions qu’ainsi nous accéderions à une compréhension de notre responsabilité vis-à-vis de nos actes, émotions et pensée, et vis-à-vis de notre Terre.

 arc en ciel

Depuis quelques années, devant les progrès importants accomplis, il a été permis (lors de conciles hors incarnation) à ceux ayant atteint un certain niveau de compassion et de compréhension des lois karmiques, de pouvoir transmuter le karma résiduel par la simple intention. Ceci alors nous laisse enfin libres de nous consacrer à notre œuvre véritable (en rapport avec la mission de la Terre). C’est ce que Kryeon appelle « faire la demande de l’implant ». Ces mots sont importants. Certains utilisent en anglais le terme « libération », mais il faut bien comprendre que le mot « implant » a été choisi-là en toute connaissance de cause.

Il souhait que notre Intention soit claire et bien réfléchie. L’expression « placer l’intention » est centrale à son enseignement. S’il avait dit par exemple : « Faire la demande d’une bulle de lumière christique » cela aurait court-circuité tout le but du processus, car qui alors aurait considéré adéquatement tout ce que l’implant implique ?

Il faut comprendre aussi que, de tout temps, les êtres au cœur pur ont pu invoquer ce concept de l’implant, désigné sous différents vocables, dont celui de la « grâce divine ». L’individu qui le choisit peu ainsi transcender les paramètres dimensionnels qui servent de leçons à la collectivité.

Aujourd’hui, une partie grandissante de la collectivité adopte justement les valeurs du cœur et de la compassion et, de ce fait, accède à de nouveaux outils de transformation. C’est ce dont nous nous informe Kryeon : « Vous vous êtes donnés cet outil qu’est l’implant ;  utilisez-le maintenant ».

Dans ce texte qui suit, l’auteur M. Greg DelaCatro, historien spirituel, membre de la NCGR etc…, nous apprend qu’historiquement, ce concept de l’implant « transmutateur de karma » a toujours été accessible à l’humain sur la voie spirituelle. Son explication, bien que plutôt technique, apporte des éclaircissements très intéressants sur ce compte de l’implant…..

« L’implant neutre est relié au plus grand ensemble d’implants qui sont en fait des « empreintes » parmi lesquelles on trouve le karma, les prédéterminations astrologiques, les leçons de la vie, les patterns de champs magnétiques, le karma stellaire et bien d’autres choses… Bien que cette empreinte ne puisse jamais être changée, elle peut être influencée ou neutralisée par un instrument spirituel tout aussi puissant (l’implant neutre)…  à contrôles variables sur votre empreinte ; les empreintes magnétiques astrologiques vous accompagnent pour la vie tout comme votre visage. Vous pouvez continuer à vous référer à la science pour des questions de timing et néanmoins suivre ce qu’indiquent les empreintes magnétiques ; Cependant, l’implant vous donne la possibilité d’annuler les attributs qui vous nt ralenti dans le passé.

Il est raisonnable de conclure à partir de cette description que l’implant neutre a quelque chose à voir avec le karma et l’astrologie ; l’astrologie karmique est donc la science des systèmes permettant la découverte, à partir de la position des planètes et des étoiles, du karma individuel ainsi que de ses solutions. Comme telle, elle forme la principale composante de l’astrologie sacrée ou tantrique. Il est intéressant de noter que c’est dans les techniques de l’astrologie sacrée, que ce soit dans la tradition hindoue, bouddhiste, chinoise, judéo-chrétienne et islamique, ou même navajo, que nous rencontrons la présence historique uniforme de l’implant neutre.

Kryeon se sert du terme implant neutre pour décrire la dérivation astrologique du tableau de maîtrise du dharma (ou Couronnement de l’illumination) tiré du tableau Athla (ou tableau des actions). Ce faisant, il trace en réalité un plan d’enseignement ; Dans ce processus, le segment de ligne de la seconde et douzième maison est enlevé et placé dans la première maison, formant ainsi un pont ; Le terme neutre, dans le sens d’équilibre, est également significatif.

Dharma

Au cours du Moyen-Age, l’implant était connu sous le nom de »  Pont des épées   « puisqu’il comptait 75 % de notre karma. Pour les Navajos, c’était le point  e l’arc en ciel offert par le soleil à ses enfants afin qu’ils puissent prendre conscience de leur nature divine. A Casper, dans l’Etat américain du Wyoming, Kryeon l’a comparé au fait de traverser une salle et d’aller jusqu’à l’autre bout sans être captivé par les choses s’y trouvant. Par essence, l’implant neutre est simplement une séquence précise d’événements particuliers qui permet au Moi de s’accorder le pardon. Le truc consiste à vivre, du début  la fin, une séquence précise d’événements (en gros, le 1/12 de votre karma total). Il est ainsi possible d’éliminer de 60 à 92 % de votre karma une fois la séquence terminée. Ce pourcentage augmente peu après jusqu’au point d’unité, lorsque ça se solidifie, pour ainsi dire.

Ceci nous amène au troisième aspect de l’implant neutre. Dans le langage de l’astrologie, cela se traduit ainsi : La Force de Vie du Dieu du ciel guide la forme et le monde de travail au moyen de la Grâce, le don de la Cité de Dieu. Pour échapper en un clin d’œil à la calamité élevez la forme du Bâton de fortune dans le lac de la Force de Vie. Amplifiez l’ouverture, utilisez votre perche. Nous avons ici l’imagerie de la théologie d’avant la période néoclassique, combinée à une terminologie astrologique remontant à l’ancienne Egypte.

La Cité de Dieu, ou la Nouvelle Jérusalem, est le terme usuel pour l’horoscope carré sacré dans la Bible. Dans le Nouveau Testament (de Koine le Grec) c’est également la traduction juste du mot ecclesia, que l’on a traduit à tort par Eglise. Comme les maisons de l’horoscope carré sont triangulaires, elles se prêtent à être décrites en termes de métaphore s’inspirant d la sexualité féminine, tout comme le segment de ligne se prête aux métaphores inspirées de la sexualité masculine. C’est pourquoi les instructions recommandant « d’élever la forme du Bâton de fortune dans le lac de la Force de Vie » refèrent également à l’élévation du segment de ligne de la seconde et douzième maison (le Bâton de fortune) jusqu’à la première maison (le lac de la Force de Vie) en tant que Force de Vie individuelle ou étincelle dans le tableau Athla.

Quoi qu’il en soit, la chose importante à retenir est que nous disposons dorénavant d’un exemple montrant comment l’information reçue grâce à un authentique channeling honore la tri-dimensionnalité de notre continuum en étant conçue à dessein pour être obtenue sous trois formes différentes.

Ce que cela veut dire, c’est que le cycle de polarité de l’ère Athla entre l’attitude psychologique des hommes et de femmes ne s’applique plus. Par exemple, ‘attitude psychologique des hommes et des femmes du même âge est régie par des signes opposés. En terme pratiques, cela a toujours favorisé des relations où il y avait une différence d’âge variant de trois à neuf ans. (Celles-ci permettent des conjonctions naturelles qui sont unificatrices et étroitement liées). Il y a d’autres relations possibles avec des partenaires d’âges différents. Par exemple, une différence de deux ans entre les individus est un sextile naturel, ou un aspect créatif favorable.

Cependant, le point de tout ceci est : Ne serait-il pas agréable de ne pas avoir à passer par des périodes alternées d’engueulades et d’harmonie dans une relation ? L’implant neutre vous invite à entendre la mélodie continue. Comme Kryeon le dit : « Pourquoi ne le voudriez vous pas » ? Nous avons peut-être maintenant une perspective plus vaste de la profonde Grâce de l’Esprit et Kryeon nous l’a offerte !

Propos de Greg DeLaCastro – 10101 Highway 73 – Conifer – CO 80433-4008 – USA

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Lorsque l’Esprit sort de son Corps

 

J’utilise l’expression « sortie astrale » pour désigner le phénomène qui permet à l’Esprit de sortir hors de son corps de chair tout en conservant ses pleines facultés. L’Esprit continue alors à vivre en dehors de ce dernier en conservant sa pleine personnalité mentale, affective et même physique. J’aurais pu également prendre les termes « expérience extracorporelle » ou « sortie hors corps » qui sont souvent employés pour exprimer la même chose. 

Les sorties astrales constituent sans doute la manifestation de l’Esprit qui démontre le mieux la réalité de l’existence spirituelle indépendante du corps matériel. L’Esprit incarné se retrouve complètement à l’extérieur de son véhicule charnel et continue quand même à voir, à entendre et à penser avec toutes ses facultés. En se regardant, il constate qu’il a la même apparence que son corps matériel qu’il peut observer en dehors de lui. Il lui est alors très évident que son corps physique n’est qu’un véhicule complémentaire lui permettant tout simplement de vivre dans le monde de la matière lourde. Il constate comme son moi intime est autonome par rapport à sa carcasse de chair et d’or. En observant la corde d’argent qui le relie à ce dernier, il voit que c’est plutôt le corps physique qui est dépendant de son moi, ne pouvant survivre sans l’apport en fluide animalisé que l’Esprit conserve dans son périsprit pendant toute son incarnation.

blog de francesca

Dès que nous entrons dans le sommeil, notre Esprit sort de notre corps et nous retrouvons pendant quelques heures nos facultés d’Esprit dont l’étendue est directement déterminée par notre degré d’évolution spirituelle. Nous pouvons donc dire que, pour nous, incarnés, le sommeil constitue une véritable sortie astrale prolongée pendant laquelle l’Esprit peut manifester sa nature subtile.

Certaines de ces expériences extracorporelles peuvent être retenues par le conscient. La personne se souvient alors de toutes les séquences impliquées. Souvent, les souvenirs prennent d’abord l’allure d’un rêve dans sa définition conventionnelle, puis le quotidien de l’état de veille apporte rapidement les éléments qui font bien comprendre à son auteur qu’il s’agit d’un phénomène beaucoup plus concret que cela.

D’autres expériences extracorporelles n’atteignent pas le niveau conscient de l’auteur, mais s’inscrivent dans celui des Esprits incarnés qui ont assisté à l’événement. Ces derniers deviennent alors des témoins directs des activités vécues dans l’au-delà.

Toutes ces expériences peuvent prendre plusieurs visages : dans les manifestations du sommeil, certains Esprits vont exprimer leurs soucis de veille. Ils vont alors chercher à continuer d’agir dans le monde matériel en fonction de leurs préoccupations. Plusieurs vont malheureusement négliger de profiter de leur liberté temporaire pour se ressourcer sur le plan de l’Esprit.

Leur action dans le monde matériel peut avoir un caractère très anodin, mais dans certains cas ces Esprits en sortie astrale nocturne peuvent causer directement du tort à d’autres incarnés au même titre que les Esprits malveillants du bas astral. Il s’agit alors d’esprits perturbés qui tentent maladroitement de lancer leurs appels de détresse ou d’exprimer leur mécontentement en s’en prenant à leurs proches qu’ils considèrent comme responsables de leurs malheurs.

D’autres Esprits en période de sommeil vont profiter de leurs possibilités d’Esprit pour livrer à leurs proches des messages que leur lucidité retrouvée va leur inspirer. Il faut bien noter, ici, que ces messages doivent toujours êtres autorisés par Dieu lui-même afin que les plans de vie ne soient pas perturbés. Certains de ces messages peuvent être sans importance réelle.  D’autres par contre, peuvent apporter de pertinentes informations. Il arrive aussi que des Esprits en sommeil vont rejoindre des incarnés qu’ils connaissent en agissant un peu comme le ferrait des Esprits familiers.

Le travail que nous pouvons accomplir en astral pendant notre sommeil pourrait en surprendre plusieurs si on nous dévoilait la nature de nos occupations d’Esprit. Le sommeil permet donc à l’Esprit de retrouver temporairement sa liberté de l’au-delà. Il lui donne accès à un état de vie extracorporelle à la portée de tous les incarnés. Mais très peu de gens nous rapportent ce genre de manifestation de l’Esprit des incarnés…

Cependant, il y en a beaucoup plus qu’il ne le paraît. L’impression de rareté réside dans le fait que la plupart de ceux qui les vivent taisent leur expérience, de crainte de se voir ridiculisés. D’autant plus que nous vivons actuellement dans un monde très matérialiste aux préjugés anti-spirituels bien ancrés. Même les agents du culte de certaines religions rejettent ces témoignages sous prétexte qu’ils ne cadrent pas avec leur doctrine, comme si Dieu pouvait avoir des préférés parmi ceux qui L’acclament.

soeur en soi

Les sorties astrales de l’état de vielle sont beaucoup moins fréquentes que celles que nous venons de voir, mais ce sont elles qui font le plus souvent l’objet d’études particulières. Nous pouvons les regrouper en deux catégories distinctes même si, dans les deux cas, le processus est exactement le même. La première est celle des sorties astrales spontanées et la seconde, celle des sorties astrales volontaires.

Les expériences extracorporelles spontanées sont celles qui n’ont aucunement été provoquées par leur auteur. Elles surviennent sans avertissement particulier. Elles font toujours l’objet d’une autorisation divine. De ce fait, celui ou celle qui la vit bénéficie d’une entière protection de son Esprit guide et des Esprits de Lumière qui l’entourent. Aucun Esprit malveillant ne peut agir contre un incarné se retrouvant en sortie astrale spontanée. C’est l’exécution de la Volonté divine qui suit son cours avec tous les avantages que cela peut comporter.

Comme celles qui sont vécues en état de sommeil, les sorties astrales spontanées peuvent se faire de façon inconsciente. Il peut arriver en effet, bien que le phénomène soit plutôt rare, que la personne concernée ne sache ce qu’elle a fait en dehors de son corps qu’en l’apprenant des témoins de la manifestation.  

Quoi qu’il en soit, ceci ne se fait jamais de façon volontaire. Ces apparitions découlent toujours d’une autorisation divine et poursuivent constamment le but d’appliquer la volonté de Dieu dans le sens du mieux-être des gens concernés ; ce qui donne toutes les conditions nécessaires pour garantir la protection bienveillante des Esprits de Lumière contre qui les forces du mal ne peuvent rien. Mais dans la plupart des cas, le phénomène revêt un caractère tout à fait conscient.

Ainsi, dans le domaine des expériences extracorporelles, celui qui attend sagement que Dieu lui fasse signe s’assure que celles-ci ne seront jamais futiles pour lui-même ni nuisibles pour les autres. Il s’assure aussi qu’elles répondront toujours aux impératifs de la Loi de l’amour qui ne vise que le bien de chacun. Faire le contraire pourrait condamner le sujet à devoir payer cher de possibles égarements si facilement inspirés par l’orgueil et l’égoïsme d’ici-bas.

propos de Serge GIRARD

La bibliothèque de Francesca  QUAND L’AU-DELA SE MANIFESTE

Élevez nos émotions pour optimiser la réalisation

 

 

Lorsque vous aurez pris l’habitude de préparer votre âme par une connexion protectrice, vous pourrez vous ouvrir à un monde que vos cinq sens ne peuvent pas percevoir. Vous aurez créé votre propre système de filtrage et vous pourrez alors diriger vos pensées où bon vous semblera. Puisqu’il s’agit d’élever votre vibration plus haut qu’elle ne l’est actuellement, vous voudrez faire le maximum pour atteindre votre objectif. Visez haut. Combien haut? Souvenez-vous de votre système de guidance. Souvenez-vous que vos émotions sont des mouvements d’énergie. Visez les plus hauts mouvements énergétiques. Visez l’état d’exaltation le plus durable. La durabilité est cruciale. Vous voudrez atteindre le niveau qui vous procurera une grande satisfaction et qui deviendra un aspect de votre être. Recherchez une satisfaction qui vous valorisera à long terme et qui valorisera aussi le monde à vos yeux.

 conscience de soi

Quand vous pensez à ce que vous êtes aujourd’hui, ce sont vos réalisations qui dominent. Ce sont les obstacles que vous avez surmontés et les actions que vous avez entreprises pour améliorer votre vie et celle des autres qui font de vous une âme satisfaite. Chacun de vous est venu en ce monde avec un certain nombre de réalisations accomplies dans des vies antérieures et aussi dans celles qu’il n’a pas encore vécues selon votre vision linéaire du temps. Dans cette vie-ci, vous êtes la somme de certains aspects choisis de votre âme qui s’expriment cette fois-ci d’une façon particulière. Dans cette vie-ci, vous recherchez la satisfaction dans des domaines dont vous n’avez pas encore fait l’expérience. Vous donnez de l’expansion à votre âme. 

Pour élever votre vibration, vous devez élargir votre fréquence. Vous êtes déjà nés avec quelques voiles en moins. Ce n’est pas dans ces domaines que vous devez vous élever et vous révéler. Votre objectif est différent de celui de vos voisins, de vos parents ou de vos frères et sœurs. Et, croyez-nous, ce n’est pas votre nouvelle voiture qui élèvera votre vibration à long terme. Ce pourra toutefois être ce que vous aurez dû faire pour obtenir cette voiture qui l’élèvera, selon ce que visait votre conscience en le faisant. Ce ne sont pas les biens matériels qui peuvent satisfaire votre âme, mais plutôt le processus de transformation volontaire que vous vous serez imposé. 

Il ne fait aucun doute qu’un grand nombre de choses transitoires vous procurent du plaisir, mais la satisfaction que vous en retirez est brève. Elle ne dure que le temps de la jouissance et elle ne vous rend pas meilleurs. Par exemple, si vous aimez le chocolat, vous éprouvez du bonheur à en manger, il vous faut continuer à en manger pour maintenir ce bonheur. D’un autre côté, si vous faites régulièrement de l’exercice physique pour demeurer en forme, vous ressentez une satisfaction plus durable. Vous avez surmonté quelque chose et vous en êtes devenus meilleurs. Vous êtes ici pour briller le plus possible. Vous n’êtes pas ici simplement pour manger du chocolat, même s’il n’y a rien de mal à cela. Si seulement vous le mangiez avec davantage de conscience, ce pourrait être plus enrichissant pour vous. Élever votre vibration, c’est révéler davantage de votre source lumineuse. Cela ne risque pas de se produire si vous passez votre temps à vous faire plaisir sans rien changer en vous. 

La transformation de vos obstacles personnels pour révéler la lumière 

À mesure que vous surmontez les obstacles qui se présentent dans votre existence, vous devenez une âme et une personne plus brillantes. Vous devenez davantage que ce que vous étiez au départ et vous exprimez davantage la lumière de la création. Si vous restez tels que vous étiez, vous ne livrez pas davantage de votre potentiel. Par contre, en grandissant continuellement et en prenant de l’expansion, vous améliorez votre représentation de Tout ce qui Est. Cela ne veut pas dire que vous devez courir le marathon ou devenir président de votre pays. Le sens du mouvement est déterminé individuellement. Pour un individu, ce sera peut être simplement le fait d’ouvrir la porte de chez lui et de surmonter sa peur du monde extérieur qui le fera avancer au point de transformer son âme à jamais. Pour d’autres, ce pourra être de dire ce qu’ils pensent ou encore d’aimer leur partenaire, quelles que soient les fautes commises par ce dernier. Pour certains, la moindre action de ce genre peut susciter davantage de croissance en leur faisant traverser la frontière les séparant de leur essence véritable. C’est donc différent pour chacun, et aucune difficulté n’est plus grande qu’une autre. Sa taille dépend de la signification qu’elle revêt personnellement pour chaque individu. 

Comment savoir ce qu’il vous faut vaincre pour éliminer vos filtres? Regardez les secteurs de votre vie où vous vous sentez le plus blessés ou déçus. Dans quels secteurs rencontrez-vous constamment un blocage? Qu’est-ce qui vous cause de la frustration et de l’inquiétude? C’est différent pour chacun et ce n’est pas nécessairement ce que d’autres peuvent penser. Quelqu’un pourrait observer votre vie et penser que vous avez besoin d’avoir plus d’amis, et pourtant vous n’éprouvez aucune insatisfaction sur ce plan. Les choses ne sont pas toujours ce qu’elles semblent être. Si vous êtes esseulés, peut-être recherchez-vous la présence des autres, mais il se peut bien qu’il vous faille accepter la solitude. La réponse se trouve uniquement dans chaque âme. Vous la trouverez peut-être en faisant le contraire de ce que vous croyez. Si un individu esseulé réussit à être heureux avec lui-même et à obtenir de la satisfaction dans ses tâches, solitaires ou non, il a alors trouvé l’expression de son âme. Si jamais une occasion d’échanger des idées avec des amis le fait avancer, il devrait alors rechercher davantage de telles occasions. 

Les difficultés sont nos amies. Les obstacles nous indiquent comment devenir de meilleurs créateurs. Pour que votre âme atteigne de plus hautes vibrations, elle doit affronter chaque difficulté avec enthousiasme en la considérant comme une occasion d’acquérir davantage de lumière. Certains défis nous forcent à examiner notre attitude et nous fournissent l’occasion de modifier notre perception. C’est finalement ce que nous devons tous faire quand nous rencontrons des obstacles. Si une difficulté paraît négative, comment la transformer en autre chose? Vous pouvez parvenir à transformer les fréquences en acquérant le contrôle de vos perceptions. 

Ces dernières sont souvent enracinées profondément dans vos comportements conditionnés, ceux de cette vie-ci et des autres. Il peut donc s’avérer nécessaire de déterrer ces racines pour modifier votre point de vue. Encore une fois, c’est également là une occasion d’effectuer un véritable changement. Plusieurs d’entre vous seront tentés d’abandonner la lecture de ce livre à ce point-ci. L’idée d’un véritable travail peut être rebutante. Cependant, nous savons que vous pouvez l’accomplir et que ce sera de moins en moins difficile à chaque tentative. Vous avez là l’occasion d’une énorme croissance dont il vous faut profiter. Les récompenses en seront astronomiques. 

Par où faire commencer ce changement? Prenez un événement qui s’est produit aujourd’hui même dans votre vie. Comportait-il un aspect frustrant? Imaginez que vous aurez une attitude différente la prochaine fois que cette situation se présentera. Est-il facile de changer votre attitude? Pouvez-vous voir les choses autrement? Plus votre filtre personnel est profondément enraciné, plus ce sera difficile de modifier votre réaction. Plus il recouvre votre connexion à l’énergie de la lumière, plus ce sera difficile d’en enlever toutes les couches. C’est toutefois possible de le faire petit à petit. 

Les secteurs de votre vie où vous ressentez le plus de frustration sont couverts de couches matérielles plus épaisses. Imaginez le changement intérieur qu’il vous est possible d’effectuer en éliminant toutes ces couches. Vous serez plus légers et plus brillants selon le nombre de couches que vous aurez éliminées. Si l’une de vos frustrations consiste à faire la queue longtemps à la banque et que vous décidez d’apporter un magazine la prochaine fois afin de prendre plaisir à lire un article intéressant, vous ajouterez ainsi de la lumière à votre âme et au monde. Ce n’est pas trop difficile à faire, mais vous passerez de la colère au contentement et cela aura un effet. 

Si, par contre, vous venez de découvrir que votre mari couche avec votre meilleure amie, vous ne pourrez peut-être pas modifier votre réaction de colère, de tristesse et de déprime simplement en lisant un article de magazine. Cependant, l’occasion de grandir à partir de cette expérience n’est pas négligeable. La chose la plus difficile à réaliser dans cette situation, c’est que c’est vous qui avez là une occasion de changer puisque vous ne pouvez pas changer les autres personnes impliquées. La situation comporte toutefois un cadeau pour elles aussi. Chaque personne, à sa façon, pourra devenir meilleure selon ce qu’elle fera de cette possibilité de transformation. Toutes les parties ont contribué également à créer cet événement et elles doivent donc toutes en assumer pleinement la responsabilité. Personne n’a rien fait à personne. Chaque individu a attiré l’événement dans son expérience afin que son âme puisse grandir. Comment découvrir un problème qui requiert de l’attention s’il ne se présente pas avec évidence?

 rita

Si les individus observaient davantage ce qu’ils créent et s’ils maintenaient leur vibration à un haut niveau, ils n’auraient pas besoin d’autant de « coups de marteau sur la tête » pour les réveiller. Cependant, il faut parfois des coups de marteau, qui offrent l’occasion parfaite d’une sérieuse modification. Un événement comme l’infidélité et la trahison peut aller dans plusieurs directions dont chacune est susceptible de changer la vie. Certaines réactions peuvent amener l’individu à se développer considérablement tandis que d’autres peuvent le faire sombrer. Ce genre d’événement comporte un grand potentiel positif si on l’utilise pour altérer sa conscience. Ce n’est pas une tâche facile, mais le résultat en vaut la peine. Les situations radicales et émotionnellement épuisantes comme celle-ci forcent les gens à évaluer ce qu’ils ont créé et à comprendre pourquoi elles sont apparues dans leur existence. Si l’individu assume sa responsabilité, il peut trouver le moyen de continuer à avancer tout en devenant plus fort. Ces situations sont l’occasion d’une importante prise de conscience quant à soi-même et à ses relations. Cependant, si l’individu n’assume pas sa responsabilité, il aggrave son cas et la même situation relationnelle se répétera sans doute plus tard.

 

Jill Mara

Dans Les clés de l’évolution de l’âme – Portail vers la prochaine dimension

Aux éditions Ariane

http://www.simion7d.com/

GRADUATION SPIRITUELLE

 

Un vieil homme sage, très vénéré par ceux qui l’approchaient et par ceux qui l’écoutaient, vivait très simplement dans une maison des plus rudimentaires. Un certain jour, il reçut la visite d’un homme très riche de la ville voisine. Celui-ci fut très étonné de voir le sage logé dans une pièce meublée seulement d’un tapis, d’une table basse et d’une paillasse. L’homme riche s’exclama : « Mais où sont vos meubles ! » L’homme sage répondit : « Mais où sont les vôtres ? » « Voyons, maître… je suis en visite… Je suis simplement de passage ! » rétorqua l’homme très riche. « Moi aussi, voyez-vous ! » répondit le vieil homme en souriant. 

ramadan

Afin d’initier et évaluer les compétences des nouveaux philosophes religieux, les prophètes de demain — « Connaissez Dieu et connaissez-vous vous-mêmes comme fils de Dieu » — voici la graduation spirituelle qui vaut comme une certification LUMOVIVO : 

1. Comprendre le dessein

Un homme fait preuve d’intelligence lorsqu’il comprend le dessein de son âme/personnalité, une étape laborieuse de son évolution qui ne sera atteinte que lors de sa maturité, quand il entend que sa voix crie dans le désert des aspirations des hommes. 

2. Cocréer la vision

Un homme fait preuve d’un mental se spiritualisant lorsqu’il cocrée avec son esprit divin intérieur une vision sociale progressiste, une étape initiatique qui le conduira à profondément douter de lui-même, quand il entend qu’il est une voix infime mais importante parmi tant d’autres. 

3. Accueillir les ressources

Un homme fait preuve d’humilité lorsqu’il accueille la contribution de tous les participants quels qu’ils soient, une étape décisive qui exigera toute sa compréhension, quand il entend que la grâce de Dieu dépend seulement de la foi des mortels. 

4. Révéler le Père

Un homme fait preuve de fidélité lorsqu’il choisit de tout son coeur de consacrer sa volonté et sa vie entière à son Père au Paradis, une étape courageuse qui lui permettra de devenir parfait dans son intention comme Dieu est lui-même parfait, quand il entend que la miséricorde est la mesure de l’amour paternel. 

5. Manifester la fraternité

Un homme fait preuve de sagesse lorsqu’il exhorte ses frères à accueillir la bénédiction divine  » Paix sur la terre et bonne volonté parmi les hommes « , une étape joyeuse qui le conduira à voyager au-delà des frontières humaines, quand il voit et sent la présence du Père puisqu’il a vu le Fils. 

6. Étendre la lumière et la vie

Un homme fait la preuve de son potentiel éternel lorsqu’il prend soin de laisser une oeuvre durable pour les prochaines générations, une étape généreuse qui lui permettra de contribuer à la vérité et au progrès spirituel et à la famille de Dieu, quand il entend que l’homme est le temple de Dieu. 

7. Partager l’espérance

Un homme fait la preuve de sa participation essentielle au Plan de Dieu lorsqu’il fortifie tous les hommes dans l’espérance d’une vie meilleure qui révèle l’Être Suprême, une étape grandiose qui ne cessera jamais, même quand il entend que son esprit divin retourne au sein du Père d’où il est venu. 

Publications LUMOVIVO — Daniel Vallat — DAD Editions — www.lumovivo.org

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Les peurs : agir sur le déclencheur

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Pour une personne qui s’en croît exemptée, chacune des peurs énumérées ci-dessus peut sembler banale, mais pour la personne qui en est affectée, la façon de vivre l’une ou l’autre de ces peurs revêt une importance significative en raison de son impact sur sa qualité de vie.

La peur est une émotion. Tout le monde, sinon la très grande majorité d’entres-nous seront d’accord avec cette affirmation. Et pourtant, si je tiens compte des réactions négatives fréquentes à l’endroit de la peur, il m’apparait pertinent de rappeler que la peur est une émotion et non pas un comportement. Nos peurs sont alimentées par nos croyances, par notre imagination et par nos rêves.  Si par exemple, quelqu’un crève un ballon alors que je ne m’y attends pas, je vais sûrement sursauter. J’éprouve alors, tout à fait involontairement et sans intervention d’autre croyance, une sensation auditive et une émotion de peur. Je considère comme important d’établir cette analogie entre l’émotion et la sensation comme point de départ de notre réflexion pour briser les préjugés négatifs à l’endroit de la peur.

Les sensations sont utiles : elles sont des signaux corporels qui guident la conduite en lien avec la satisfaction de besoins corporels. Lorsque je ressens la faim, je me prépare à manger et je savoure ma nourriture. Après un bon repas, j’éprouve une agréable sensation de satiété. Is ma nourriture avait dégagé une odeur suspecte ou une saveur désagréable, les sensations de mon odorat ou de mon goût m’auraient incité à ne pas la consommer. Il ne fait aucun doute, dans ce contexte, que mes sensations guident ma conduite dans le meilleur intérêt de ma santé.

L’émotion est analogue à la sensation, on ne la choisit pas, on la ressent. L’émotion relève d’une perception – conscientisée ou non – qui atteint la sensibilité psychique et aussi, chez la personne qui perçoit, de l’appréciation instantanée – conscientisée ou non – de son impact par la personne atteinte. En ce sens, non choisie mais sentie, la peur est une réalité involontaire. Il n’y a pas de « bonnes » ou de « mauvaises » émotions. Il y a celles que l’on ressent, il y a celles qui nous habitent plus ou moins consciemment.

En effet, les émotions appartiennent à notre monde intérieur, à notre dimension affective et psychologique. Elles signalent, au plus intime de la personne, son état de bien-être ou, au contraire, ses malaises existentiels et relationnels. Elles informent la personne si elle est en état de manque ou si ses besoins psychiques (sécurité physique et affective – amour – estime de soi – reconnaissance – affirmation …) du moment sont davantage comblés.

Si par exemple, par peur de ne pas être aimé, une personne se nie et ne se respecte pas elle-même, elle en retirera des insatisfactions et des frustrations, parce qu’elle manque d’amour pour elle-même. Si au contraire, une personne se préoccupe quasi exclusivement de ses intérêts individuels, elle sacrifie la satisfaction de son besoin d’amour en négligeant la dimension rationnelle de ce même besoin, elle manque alors d’amour dans ses relations interpersonnelles.

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Dans notre relation à nous-mêmes ou dans nos relations avec les autres, certes tous les besoins fondamentaux ne sont pas insatisfaits chaque fois que nous ressentons une peur. Mais chaque fois que se manifeste une peur, il y a, au minimum, le besoin d’être sécurité face à la crainte spécifique qui la constitue.

-          L’enfant qui a peur des chiens a besoin d’être rassuré face ce chien-là qui lui fait face.

-          L’homme qui criante de parler en public a besoin de se sécuriser en acquérant une confiance accrue en ses ressources et/ou en la réaction bienveillante de l’auditoire.

Chaque fois qu’une personne éprouve une peur, elle a besoin de se rassurer elle-même, ou d’être rassurée par rapport au risque, au danger ou à la menace qui l’avait inquiété.

Il est donc utile et nécessaire d’adopter une attitude d’ouverture et d’accueil envers toutes ses émotions, dont la peur. Reconnaître sa peur, c’est s’ouvrir à la possibilité d’identifier ses besoins alors insatisfaits, pour ensuite arriver à les combler au mieux de ses possibilités. L’accueil de l a peur est d’autant plus justifié que cette émotion n’est jamais éprouvée sans raison. La peur peut très bien n’avoir aucun fondement dans la réalité extérieure, elle a toujours un fondement dans la réalité émotionnelle ; la peur : une émotion – signal d’alarme.

La première étape consiste à identifier spécifiquement le signal d’alarme entendu. La deuxième étape est de répondre adéquatement à ce signal. La sonnerie du micro-onde, combinée à la minuterie ou à un détecteur de chaleur, existe pour éviter que la nourriture ne soit trop cuite ou pour éviter qu’on ne l’oublie dans l’appareil et qu’elle ne perde ses qualités alimentaires ou gustatives. Ignorer la sonnerie du micro-onde entraine généralement des effets de peu de conséquences, ce qui n’est pas nécessairement le cas dans le détecteur de fumée.

En vérité, le fonctionnement satisfaisant ne se situe ni dans le fait de ne jamais éprouver une peur ni dans celui d’être toujours en état de peur. L’idéal serait de développer une sensibilité suffisante pour éprouver une peur salutaire lorsqu’un risque ou un danger réel nous menace. L’idéal serait d’atténuer, par une capacité progressive de réponses sécurisantes, l’intensité initialement excessive de certaines peurs. Malheureusement, c’est que l’on ne choisit ni l’intensité ni le fait de ressentir ou non la peur, lorsqu’elle est déclenchée en soi.

Dans son livre Relation d’aide et amour de soi, Colette Portelance a défini les étapes d’un changement qui respecte le fonctionnement psychique de la personne et qui lui permet de passer d’une émotion désagréable ou souffrante à la satisfaction de ses besoins. Les étapes du processus de changement créateur sont les suivantes :

-          La prise de conscient du vécu

-          L’acception de soi et de son vécu

-          La responsabilité

-          L’expression de son vécu

-          L’observation de soi

-          Le choix de mécanisme de protection

-          Le passage à l’action.

La peur, qu’elle que soit sa nature signale à la personne qui l’éprouve un danger, réel ou imaginaire, qui menace sa sécurité physique, émotionnelle ou relationnelle. Selon le contexte où la peur est ressentie, elle parle aussi d’une menace pour la satisfaction de certains autres besoins ; alors dès à présent, afin que vos peurs ne vous gâchent plus la vie, faites un travail sur Vous en profondeur, utilisez l’introspection s’il le faut, mais TRAVAILLEZ sur VOUS !

Francesca sur le blog : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:EXERCICES DEVELOPPEMENT, PEUR |on 7 juin, 2016 |Pas de commentaires »

La Porte de l’Unité

 

 

L’auteure Kishori Aird nous propose un nouveau modèle d’Unité Essentielle dans lequel nous ne sommes plus dirigés par nos programmes inconscients mais par l’Essence et l’Amour de soi au point zéro.

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De créateurs que nous étions dans la matrice de la séparation, nous sommes en train de devenir : facilitateurs. Nous sommes en train de passer de vouloir à être, de contrôler et diriger à s’ouvrir et rester légers (soft) à l’intérieur de nous-mêmes. La vie lorsqu’elle s’exprime en l’Unité, n’a pas besoin d’être manipulée. Il n’y a rien à faire, rien à forcer qu’à laisser venir. C’est une question de disponibilité et de discipline, surtout à propos de ne pas changer de direction et de demeurer dans l’Unité lorsque nous nous sentons confus ou malheureux.

Pour comprendre l’Unité Essentielle, il faut premièrement comprendre le GRAND TOUT ; notre point de départ. Nous sommes l’Unité individualisé (L’ESSENCE) dans le UN (L’Essence Universelle). Le Un alimente l’Unité et l’Unité nourrit le UN. Dans l’Unité du Grand Tout, il n’y a pas de séparation. Puis vint une pensée qui ne dura qu’une nano seconde : « De quoi ça aurait l’air si Ce n’était pas uni ? » C’est dans cette toute petite possibilité de séparation que nous nous sommes infiltrés. Ce n’était qu’un soupir, une vague dans l’océan, un souffle dans l’Unité. Mais voilà, qu’une première matrice venait d’être créée !

Cette nano seconde de séparation dans l’infinie du Grand Tout n’est qu’une possibilité, qu’un moment, qu’un choix mais surtout, qu’une pensée. Elle n’est pas tout ce qui est disponible. Ce n’est pas une obligation. Nous n’avons pas à continuer d’y participer. Il faut savoir que lorsque la vague a passé ce ne sont pas toutes les Essences présentes qui ont choisi de s’y engager. Nous avons amorcé la matrice de la séparation avec un tout petit point dans le Grand Tout et c’est avec cette toute petite particule d’énergie que nous avons créé la matrice de la séparation, c’est à dire, la réalité dans lequel nous avons vécu jusqu’à présent.

Nous n’accédons pas à tout ce qui existe dans le Grand Tout quand nous créons avec cette énergie de la séparation. Nous puisons toujours à partir du même moment et de la même possibilité et de la même nano seconde. L’énergie de ce moment est épuisée, il est vidé. Nous continuons cependant à créer à partir de ce petit point-là qui n’obéit qu’aux paradigmes de la séparation de son Essence. Nous maintenons la matrice de la séparation en créant des thèmes et des schémas répétitifs de séparation et d’isolement. En comprenant de mieux en mieux le mécanisme codé de la séparation, nous commençons à filtrer ses programmes par défaut en utilisant certains outils comme le point zéro, l’Essence, l’intention et une direction constante.

Pour arriver véritablement à formuler des intentions efficaces et agissantes, nous devons d’abord être en mesure de rester présents à cette partie de nous qui contribue à l’isolement. Cela présuppose aussi de l’accueillir et de demeurer présent dans notre corps plutôt que de l’éviter par des mécanismes de fuite. Nous avons tendance, en période d’inconfort, à nous dissocier de notre corps. Passer du temps avec le ressenti de la séparation, qu’il soit physique, émotionnel, mental ou spirituel, ne signifie pas que nous ne faisions que cela et rien d’autre et que notre quotidien soit imprégné d’une impuissance et d’un sentiment d’isolement. En maintenant la vision de l’Unité et de l’Amour de notre Essence en présence du mal-être signifie que nous sommes en contact avec tous les aspects de nous-mêmes pendant que nous sommes dans le silence vaste et tendre de l’Unité Essentielle.

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NOTRE ESSENCE – point de référence de l’Unité

Livre paru aux éditions de
l’Institut Kishori Inc. isbn 978-2-924102-11-4 

Prenons conscience que notre nature essentielle n’a aucun attribut physique, émotif, mental ou spirituel. Elle est la force de vie individualisée derrière notre personnalité et nos caractéristiques, où nous touchons à l’être, au JE SUIS. L’Essence n’a pas de préférence ; elle est une constante que nous allions bien ou mal. Elle a une saveur, une tonalité, une fréquence unique. Lorsque nous nous y unissons, au lieu de nous identifier seulement à notre caractère, à notre façon de percevoir les choses par nos croyances et principes, elle exprime notre véritable identité, à travers l’histoire de notre vie, de façon harmonieuse Contrairement à l’ego qui pousse et qui veut, l’Essence est fluide et tranquille (soft).

 Bien que le mot «Essence » soit riche de sens, nous serions bien en peine de le définir. Nous savons que l’Essence existe car nous la voyons quitter le corps au moment de la mort. Nous savons qu’une énergie vitale nous maintient en vie, mais nous ne sommes pas en relation avec elle. Nous pourrions penser que l’Essence correspond à notre personnalité ou à notre manière d’être. Mais, en fait, l’Essence est une fréquence vibratoire dotée d’une tonalité, d’un rythme ondulatoire et d’une onde lumineuse qui porte notre signature individuelle. Ce n’est pas uniquement un état, c’est LA fréquence vibratoire qui pulse en Soi dans l’océan Universel.

Imaginez que chaque point d’une matrice universelle soit un point d’individualisation, d’Essence. La matrice est comme une toile dans lequel se reproduit des dessins pareils comme par exemple une nappe à carreaux. Nous sommes tous inter-reliés même si nous avons une perception de notre individualité. Ce point s’appelle : point de singularité – c’est le contenant universel de notre unicité essentielle. C’est comme si chacun des points était un vase sacré qui contenait une liquide d’une couleur bien particulière – la couleur individuelle de chaque Essence. Chacune des manifestations de notre Essence porte cette nuance unique. Tous les vases sacrés coexistent dans l’océan cosmique. Les expériences individuelles des manifestations de cette Essence nourrit l’Océan et l’Océan alimente cette Essence.

Lorsque nous pensons à notre Essence, rappelons-nous un moment où nous avons expérimenté un sentiment profond d’innocence et de silence. Par exemple : en courant dans la forêt lorsque nous avons eu l’impression de faire un avec les arbres, l’air, la nature ; ou encore comme l’autre jour, côte à côte avec mon cheval Moon en regardant, immobiles, la plaine et la montagne au loin. En ces moments, nous ressentions un sentiment de justesse. Voilà un point de référence auquel se raccrocher face à une situation inquiétante et que nous ne sachions plus comment retrouver notre calme. C’est un moment crucial pour choisir de demeurer unis à notre Essence pendant que nous vivons les hauts et les bas de notre vie même si nous ne savons pas comment faire.

L’Unité Essentielle signifie que nous devenons Un avec notre Essence, au lieu de nous identifier à notre histoire et à notre ego. Cette communion avec notre Essence produit un résultat extraordinaire et puissant, confortable et toléré, car cette union est innée et génère l’Amour. Nous avons tous connu un moment de notre vie où nous avons eu le véritable sentiment de révérence ou d’innocence pendant lequel ce n’était que silence en nous-mêmes. Par exemple, pour quelqu’un ce pourrait être dans le désert. À cet endroit, tous ses corps se calment. Ce moment essentiel est une tonalité essentielle, est une qualité essentielle et est un ressenti essentiel. C’est LA fréquence de notre ESSENCE.

Une histoire d’Amour de Soi vient de naître, une nouvelle matrice d’Unité vient de commencer et nous avons la chance d’y participer consciemment ici sur Terre, même sinous existons depuis tellement longtemps dans l’isolement et la séparation. Depuis l’ouverture du portail de L’Unité Essentielle, nous pouvons désormais vivre dans la pratique de l’UNITÉ avec Soi, peu importe le défi. Ce n’est pas une destination, c’est un état constant ; il demeure intact, à portée de main, même lorsque nous nous sentons déroutés. En nous permettant d’accéder au moment, tel quel, non pas pour guérir, réussir ou s’améliorer, mais pour profiter de notre union à l’Essence omniprésente, nous confirmons cette nouvelle direction. Cette communion avec notre nature véritable nous permet d’élargir notre conscience du bien-être et de la gratitude.

Le point zéro et la reconnexion avec notre Essence, jour après jour, couche par couche sont les outils pour le retour vers Soi et la pratique de l’Unité. En y revenant à chaque instant, nous créons une constante et permettons à l’Unité de s’amplifier, de s’ancrer en nous et autour de nous. Le JE essentiel dirigé vers l’Unité (le NOUS) au lieu du TU, déclenche un nouveau mode relationnel de coexistence, reflétant notre connexion intérieure.

Les bénéfices de l’Unité Essentielle sont nombreux : douceur, souplesse, influence passive, autorité noble, connexion avec la nature et les animaux, etc. Nous pouvons demeurer en unité Essentielle, couche par couche, sans avoir à toujours être performants pour être adéquats. Petit à petit et sans empressement, nous filtrons nos pensées de séparation, maintenant que nous savons qu’elles peuvent être incluses telles quelles dans l’intention au point zéro. L’Unité Essentielle est disponible, ici et maintenant sans avoir à éliminer les empreintes de nos blessures, de nos regrets ou de nos deuils.

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Kishori Aird

Les quatre Niveaux de Conscience

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 Niveau 1: biologique

Il concerne le corps, les processus physiques automatiques, mécaniques (digestion, assimilation, respiration) et instinctifs qui entretiennent la vie.  Notre état de santé en est la manifestation la plus tangible. L’astrologie médicale est opérationnelle ici. Elle permet de faire des diagnostics très pointus. Sa complexité et sa finesse demandent une solide formation médicale en anatomie  et pathologie. Tout fonctionnement instinctif, pulsionnel est qualifié de niveau 1 de conscience. Par exemple, la publicité cherche à exciter nos compulsions en occultant notre conscience.                           

                                                                    Le JE inconscient se manifeste. 

Niveau 2 : socio-culturel

Ce niveau dévoile les comportements conditionnés par notre éducation, notre culture et notre environnement social. Ici nous sommes une personne (« il n’y a personne » revient à dire il n’y  à  rien), donc nous sommes « un rien »  de qui on attend des réactions programmées (la politesse, le respect de la morale, la soumission aux lois, l’adhésion sans réserve à une religion…). Nous sommes ces pions avec qui tous les pouvoirs jouent (politique, médias…). Notre mental et nos émotions nous manipulent pour que nous restions  soumis au pouvoir de la société. C’est ici qu’opère le fameux triangle de Karpman: Victime, Bourreau, Sauveur.                                         

                                                                      Le JE subconscient s’éveille

Niveau 3: individuel

Ce niveau parle de l’être, qui après une phase d’individualisme, est devenu un Individu conscient de son unicité et ayant trouvé ses valeurs propres. Il  se définit d’abord par rapport au respect de lui-même en même temps que celui des autres,  il cherche sa place dans l’univers. Cet individu responsable de lui-même, est intéressé par les autres et l’évolution de la société. Il vit l’indépendance, l’autonomie et la conscience intérieure le guide. Plus il utilise son libre arbitre, plus il se centre et ressent sa verticalité. Il vit dans l’instant présent. 

                                                     Le MOI conscient s’affirme

Niveau 4: transpersonnel

Ici l’individu aspire à se  dépasser. Il perçoit les énergies subtiles qui l’entourent, appelées souvent « spiritualité » et s’investit pour suivre son chemin et réaliser sa mission.Il oeuvre à l’élévation de son âme. Il est en contact avec son SOI, avec les plans subtils. Il a la possibilité de devenir un être réalisé en vivant des états divers, de la méditation à l’extase qui l’amènent à  la conscience cosmique. 

                                        Le SOI  supraconscient transcende

 Lorsque nous vivons au niveau, 2 socio-culturel, nous subissons notre vie et notre thème natal avec ses signes, maisons et planètes devient un carcan, une structure qui nous définit selon des schémas souvent négatifs. Nous sentons le poids du « destin » peser sur nous, nous sommes formatés par nos qualités et nos défauts.

Les astrologues niveau 2 qui ont des consultants niveau 2 leur font des prédictions très justes et spectaculaires car ils considèrent mutuellement que la vie est écrite, que l’on ne peut rien y changer, mais que, peut-être, en sachant à l’avance, on pourrait contourner, désamorcer passer à travers ce qui semble inéluctable….. 

Lorsque nous choisissons de vivre au niveau 3, individuel,  nous avons  accepté de nous remettre en question, de  prendre conscience de l’interaction entre nous et le monde. Nous réalisons  que la vie nous propose l’utilisation du  libre arbitre et qu’au lieu de subir ou de vouloir tricher nous pouvons choisir de maîtriser nos énergies individuelles (représentées dans notre thème par le Soleil , la Lune , Mercure , Vénus , Mars , Jupiter  et Saturne  ) et que nous  pouvons marcher main dans la main, accompagner consciemment les énergies transpersonnelles et collectives (Uranus , Neptune  et Pluton)  Nous devenons, alors,  un individu sur le chemin de l’évolution.

A ce niveau l’astrologie nous aide à découvrir les conditionnements qui sont encore actifs et nous donne la possibilité de les dépasser. 

Automatiquement cela amène à voir le niveau 1 de manière différente,  (celui  du corps physique, qui concerne plus largement la Nature et ses processus dits automatiques…). Nous vivons alors différemment notre corps, nous apprenons à respecter ses besoins réels plutôt que nos envies dictées par des frustrations inconscientes ou par  nos pulsions émotionnelles traumatiques. Nous sentons la relation entre notre psychisme et notre corps et nous apprenons à la gérer, à écouter. 

Le niveau 4 nous parle du pouvoir de la pensée et de la conscience. Les limites qui nous entravent sont celles que nous acceptons. L’Homme crée ses propres limites au travers de ses croyances. Elles sont les conditionnements hérités de la lignée familiale comme des expériences qui nous ont amenés à créer des peurs.  Le niveau 4 est atteint par ceux qui savent s’affranchir, par l’Amour Illimité et Inconditionnel, des carcans humains. La divinité sommeille en chacun de nous. Ici, nous la contactons, nous l’éveillons. Nous sommes sur le chemin des Éveillés, tout est possible.   

« Notre peur la plus profonde n’est pas que nous ne soyons pas à la hauteur.

Notre peur la plus profonde est que nous sommes puissants au-delà de toute limite.

C’est notre propre lumière et non pas notre obscurité qui nous effraie le plus.

Nous nous posons la question : qui suis-je, moi, pour être brillant, radieux, talentueux et merveilleux ?

En fait qui êtes-vous pour ne pas l’être ?

Vous êtes un enfant de Dieu.

Vous restreindre, vivre petit ne rend pas service au monde.

L’illumination n’est pas de vous rétrécir pour éviter d’insécuriser les autres.

Nous sommes nés pour rendre manifeste la gloire de Dieu qui est en nous.

Elle ne se trouve pas seulement chez quelques élus : elle est en chacun de nous et au fur et à mesure que nous laissons briller notre propre lumière, nous donnons inconsciemment aux autres la permission de faire de même.

En nous libérant de notre propre peur, notre présence libère automatiquement les autres. »

                                                                                                           Marianne Williamson

 

Niveaux de conscience

 Dans une même journée vivons simultanément ces  niveaux:

Niveau 1 : le corps fonctionne sans cesse.

Niveau 2 : nous laissons notre place dans le bus à une personne âgée, nous apportons des fleurs en acceptant une invitation d’amis…

Niveau 3 : nous avons à prendre une décision qui engage l’avenir et nous constatons que, quelques soient les conseils donnés,  la solution est à l’intérieur de nous par rapport à nos valeurs propres.

Niveau 4 : une lecture, un film, une conversation, la méditation  peuvent nous faire décoller…vers le meilleur de nous mêmes, vers un plan supérieur où nous contactons notre pouvoir. 

Les  expériences négatives sont dues au fait que nous vivons avec peu de conscience au niveau 2. Un évènement douloureux et difficile peut se transformer en un agent décisif de notre évolution si nous cherchons à comprendre pourquoi il nous arrive, avec quoi il est en résonance, quelle leçon nous choisissons d’en tirer et comment nous pouvons nous améliorer. Ce qui est important ce n’est ni le succès ni l’échec mais l’usage que nous faisons de l’expérience.

 

astro couleur

EN CONCLUSION : le thème natal ne nous dit pas ce que nous sommes: nos qualités, nos défauts et ce qui va nous arriver. Il révèle notre programme de vie et les outils à notre disposition.

Le niveau 2 montre qu’avoir des outils ne suffit pas pour savoir à quoi ils servent et comment s’en servir.  

Le niveau 3 explique de quelle manière les utiliser pour nous libérer des conditionnements conscients et subconscients.

Le  niveau 4 nous met en contact avec notre Pouvoir Spirituel.

source : http://www.astro-couleurs.com/#!niveaux-de-conscience/c1e9o

Archives Akashiques et comment y accéder

 

Ernesto ORTIZ est internationalement reconnu comme un intervenant exceptionnel dont les enseignements inspirent notre recherche spirituelle. Il anime depuis 25 ans des séminaires dans le monde entier. Chamane Lakota, sa formation a débuté dès son jeune âge à Mexico auprès des Curanderos et des Chamans et s’est poursuivie pendant de nombreuses années auprès d’enseignants en psychologie transpersonnelle, chamanisme, thérapie musicale, travail corporel…

Ses séminaires comme ses voyages possèdent une intensité qui unifie le spirituel et le quotidien, grâce à la découverte poétique et existentielle de l’âme. Il vient en France en décembre 2011 pour trois séminaires sur les mémoires akashiques pour nous permettre de transformer notre vie !

archives Akashique-

Le terme Akasha vient du Sanskrit et signifie ‘substance primordiale’.

Les premières références aux Archives Akashiques, ou le Livre éternel de la Vie, remontent à l’Antiquité.

Des indications dans l’Ancien Testament évoquent un réservoir collectif de connaissances inscrites sur la toile de la réalité.

Les Archives Akashiques sont comme l’ADN de l’univers. Elles représentent le voyage de l’âme à travers le temps: chaque pensée, chaque mot, chaque action, tout est enregistré dans les Archives Akashiques. Chaque âme possède ses propres Annales, tout comme il existe des mémoires collectives pour l’ensemble des âmes et l’ensemble de leurs voyages. Les informations que nous recevons des Archives Akashiques sont codifiées dans un langage de lumière, véritable géométrie sacrée des mots, codifiée dans le feu. Lors de l’initiation, nous apprenons la lecture de ces informations en utilisant nos sens internes ; nous commençons également à affiner notre relation avec cette nouvelle énergie.

COMMENT ACCEDER AUX MEMOIRES AKASHIQUES ?

Il y a de nombreuses façons d’y accéder, tout comme il y a différentes manières d’aller d’une ville ou d’un pays à l’autre. On peut voyager en bicyclette, en bus, en train, en avion… Le tout est de savoir si nous souhaitons y parvenir rapidement et directement.

Lors de l’initiation, nous utilisons une Prière Sacrée qui nous donne immédiatement accès à ce plan. Cette Prière Sacrée nous a été offerte par l’Esprit et nous harmonise en nous donnant la clef pour franchir le seuil de ce royaume. Dès notre arrivée dans les Archives, l’Esprit dirige nos pas et nous sommes guidés pour retrouver cette information ô combien précieuse pour les autres et pour nous-mêmes.

La première fois que j’ai ouvert mes Archives, j’ai ressenti un immense amour émaner de ce plan et un merveilleux accueil chaleureux, comme des voix qui me disaient « Bienvenue à la maison ! »

Je savais que je venais d’entrer en contact avec quelque chose de très sacré et d’une force énergétique très hautement raffinée.

Je pouvais sentir l’amour des Maîtres et Enseignants lorsque j’étais guidé dans les réponses à mes questions.
J’étais empli d’impressions visuelles et de paroles qui résonnaient à l’intérieur.

Je sentais l’essence de l’Esprit à l’oeuvre et j’en étais le témoin central.

Mon ressenti était que j’étais aligné à une énergie très haute et très sacrée, une énergie ressentie autant dans le physique que dans l’émotionnel. Je sentais que je pouvais ouvrir mon coeur à l’infini, dans une confiance sans limite.

téléchargementErnesto ORTIZ

INITIATION AUX MEMOIRES AKASHIQUES
Avec Ernesto ORTIZ lors de sa venue en France

Renseignements et réservations : OASIS-VOYAGES contact@oasis-voyages.com

L’amour de votre âme lumineuse

 

Pour aimer le monde inconditionnellement et pour partager inconditionnellement avec lui, vous devez d’abord accepter votre être, l’aimer et partager avec lui. L’ouverture à votre lumière combinée à la confiance en elle est le seul moyen de trouver cet amour pur et cette acceptation de soi qui rayonnera vers les autres. Vous n’êtes pas seulement l’être physique que vous voyez dans le miroir. La forme matérielle n’est que l’expression de votre âme. Aimez ce que vous choisissez d’exprimer dans ce monde et appréciez le fait d’avoir beaucoup à partager. L’attachement excessif à une image ou à une personnalité physique vous retient captifs de la toile de votre ombre. Sachez apprécier l’expression unique que vous révélez et ce que vous avez à donner avec votre cœur. Décidez dès maintenant d’accepter où vous êtes en ce moment et qui vous êtes sous cette forme dimensionnelle. Décidez de partager la vérité de votre âme. Reconnaissez que vous n’êtes pas que l’image que vous présentez à vous-mêmes et aux autres et que vous n’êtes pas séparés du monde qui vous entoure. Acceptez que vous êtes intégrés à la toile de la vie et aimez-vous à cause du rôle que vous jouez. Il n’y a aucune raison de vouloir être ce que vous n’êtes pas. Soyez satisfaits, non pas insatisfaits, de votre véritable grâce. Soyez en paix avec votre être et laissez briller sa beauté intérieure.

âge cristal

C’est seulement quand vous accepterez que l’ombre que vous projetez sur la sphère matérielle n’est pas votre être véritable que vous abandonnerez les illusions et que vous serez réellement vous-mêmes. Pardonnez toutes vos matérialisations que vous jugez sévèrement et sachez que ce n’est pas là ce que vous êtes vraiment. La reconnaissance de votre illusion vous libérera pour vous transformer en papillon. Même les actes que vous jugez les pires s’effaceront lorsque vous accepterez que vous êtes plus qu’eux et que vous pouvez transcender leur emprise sur votre psyché. Vous pourrez ensuite cesser de vous plaindre de votre inaptitude, pour être enfin votre lumière intérieure et la donner.

Vous pouvez éliminer tous vos démons, briller en votre centre et faire de chaque manifestation de votre existence un acte de partage véritable à partir de votre âme. Tombez amoureux de votre essence spéciale, inconditionnellement, de sorte que le simple fait d’être vous-mêmes s’ajoutera à l’évolution de l’Âme unique. Une fois que vous serez tombés amoureux de votre âme, vous pourrez tomber amoureux du reste de la création. Tout ce que vous vivrez sera le reflet du partage de cette pure énergie. Et l’univers vous réfléchira votre don.

Si tous les humains réalisaient soudain à quel point ils sont merveilleux et tombaient amoureux de leur âme, l’humanité réglerait alors tous ses problèmes en un instant. Être amoureux de votre véritable expression individuelle, cela ne veut pas dire que vous devez aimer tous les aspects de votre ego ou toutes ses manifestations. Vous n’avez pas à aimer être violents ou être malheureux de faire de l’embonpoint. Ces manifestations extérieures liées à la personnalité ou à l’apparence physique ne sont qu’un reflet de l’absence d’amour de votre soi véritable.

Les maladies physiques et émotionnelles sont les signes d’un déséquilibre des niveaux de votre âme. Une intégration équilibrée de vos corps physique, émotionnel, mental et spirituel manifestera votre nature fondamentale. Si votre connexion spirituelle dirige le jeu et que vous éliminez le pouvoir accordé à votre identité extérieure, vos manifestations indésirables cesseront d’être un fardeau. Quand vous aimerez votre esprit intérieur, les défauts physiques ou liés à la personnalité deviendront insignifiants et finiront par ne refléter que la joie véritable. Si vous aimez votre âme, vous pourrez changer tout ce qui ne représente plus votre vraie nature et vous deviendrez des êtres qui évoluent et qui donnent vraiment.

Autrement dit, nous ne vous disons pas d’aimer ce que vous aimeriez changer. Nous vous disons plutôt d’aimer la connexion à votre étoile centrale et d’accepter votre expression présente en sachant que vos manifestations physiques peuvent être des dons à la création. Aimez votre pouvoir créateur et partagez cet amour avec tout le monde avec qui vous entrerez en contact. Vous n’avez pas à aimer tout ce qu’aime l’humanité, mais plutôt à apprécier le pouvoir que vous possédez comme êtres de lumière, de choisir vos expériences et de transformer votre terrain de jeu de fond en comble.

Aimez le fait de ne pas avoir besoin de quelque chose d’extérieur pour vous sauver. Vous êtes Dieu et vous pouvez vous sauver comme vous le jugez bon en croyant à votre propre divinité. Cela commence par l’expression de l’être divin que vous êtes déjà. L’esprit de tous vos grands maîtres religieux, comme Jésus-Christ, Mahomet et le Bouddha, connaissait le secret de l’amour intérieur qui guérit le monde. Ils incarnaient cet enseignement et ils accomplissaient ce qui semblait des miracles. Vous êtes tous capables de faire de tels miracles. Vous avez tous en vous ce même esprit messianique. Reconnaissez votre beauté de dieux et de déesses de la création, et soustrayez votre individualité à l’esclavage qui lui est imposé par votre ego dont les motivations sont extérieures. Voilà le secret du changement du monde.

Aimer votre source, cela veut aussi dire de faire confiance à votre guidance intérieure. Certains appellent cela écouter leur soi supérieur. Quel que soit le nom que vous lui donnez, l’important c’est que vous développiez un rapport avec ce soi supérieur et que vous soyez guidés par la lumière lorsque vous faites confiance à votre connaissance intérieure. Cette lumière sera toujours dans un état de partage, ce qui se manifestera comme un épanouissement de votre expérience de vie. Les soucis d’une nature terrestre s’évanouiront et des voies s’ouvriront pour que votre âme puisse s’exprimer et partager ses dons. Les besoins de survie seront comblés et bien d’autres encore.

Qu’avez-vous à perdre ? L’inquiétude, la peur et la répugnance n’ont jamais facilité la création de quoi que ce soit, sauf du chaos et du désespoir. Elles ne sont sûrement pas utiles. Même dans une situation où votre vie est menacée, il vaudra mieux pour vous d’être centrés, calmes et vibrants plutôt qu’en proie à l’anxiété. Vous aurez toujours davantage à donner à vous-mêmes et aux autres si vous êtes centrés sur la lumière, sur l’amour, sur la paix et sur l’équilibre.

Extraits de son livre « Les clés de l’évolution de l’âme », JILL MARA Ariane Edition, 2010 sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

La vie et l’évolution de l’autre côté du voile

 

Suite à d’innombrables rencontres vécues consciemment en sortie hors du corps (en abrégé SHC), je peux aujourd’hui assurer que ceux que nous appelons  » morts  » sont bien vivants ! Nous vivons d’une vie pleine, consciente et personnelle, quand notre corps physique a disparu. Le mot  » mort  » ne peut donc s’appliquer qu’au seul corps physique.Tout au long de cet article, j’utiliserai le mot  » décédé « , du latin  » decedere  » s’en aller… Oui, ils s’en sont allés dans d’autres mondes, dans d’autres vies.

de l'autre coté

Rencontres avec les décédés en Sortie Hors Corps consciente

Il est très fréquent lors d’une sortie consciente de trouver un décédé familier debout au pied du lit. Il m’est arrivé très souvent de me heurter à ma mère (ou à bien d’autres de mes familiers décédés) en sortant un peu trop vite ! Je me souviens de l’aventure survenue à un de mes élèves lors de sa première sortie : il se trouve face à face avec sa grand-mère qu’il aimait beaucoup, décédée depuis longtemps. De la voir vivante et bien présente en face de lui le surprend si fortement qu’il rentre instantanément dans son corps physique !

J’ai revu tous les décédés proches de moi : mes parents et tous les membres décédés de ma famille, mes deux maris, de très proches amis, mon fils spirituel, ou même des parents morts avant ma naissance. J’ai revu aussi certains de mes élèves après leur départ de ce monde et j’ai fait connaissance de beaucoup d’inconnus, devenus depuis de amis astraux. Enfin, parmi mes plus émouvantes rencontres, comptent mes retrouvailles avec mes chats décédés. Eux aussi vivent d’une vie magnifique. Ils ronronnent et me font la fête !

Pourtant, la rencontre des décédés n’a jamais été un but pour moi, c’est une expérience qui s’est présentée comme bien d’autres dans l’astral et je ne donne jamais comme objectif à mes élèves de rencontrer un décédé. Le but d’une SHC c’est toujours notre Eveil ou la rencontre de qui peut nous aider à nous éveiller, en l’occurrence la rencontre avec nos guides spirituels ou la connexion avec notre âme.

La vie des décédés dans le monde astral

Le monde astral dont je vais dont je vais aujourd’hui vous parler n’est qu’une étape dans la vie du décédé, l’évolution se poursuivra sur d’autres plans, peut être jusqu’à une future réincarnation.

Que se passe-t-il au moment de la mort ?

Je ne suivrai pas ici le schéma décrit par les NDE (expérience de mort imminente), une expérience bien spécifique puisque le  » mort  » revient à la vie. Je me borne à ce qui peut être observé en SHC. Au moment de la mort, la corde d’argent se casse, rendant impossible tout retour dans le corps physique. Le corps astral (contenant tous les autres corps) rejoint le plan qui vibre à la même fréquence que lui. Le corps astral devient à partir de ce moment là le véhicule principal de l’âme (et de la conscience). Notre personnalité ne change pas, puisque notre émotionnel (corps astral) et notre mental (corps mental) ne subissent aucune modification. Nous seulement un voile ( » l’éthérico-physique « ) en moins devant les yeux. Nous avons enlevé un vêtement.

Dans les instants qui suivent la mort (surtout si elle a été violente ou inattendue), le décédé ne sait pas qu’il est mort, ce qui est normal car la différence entre plan terrestre et plan astral est très mince, tous les  » expérienceurs  » (c’est ainsi que j’appelle ceux qui sortent consciemment hors de leur corps) s’en rendent compte, souvent à leurs dépens.
Les décédés anciens viennent accueillir le nouveau venu et éventuellement lui expliquent ce qui lui arrive.

Où pouvons-nous rencontrer les décédés ?

- Dans l’astral de notre chambre, dans notre maison, ils sont de passage ou en visite, 
– Ou bien figés dans le décor de leur mort (mort accidentelle ou violente, fort attachement au lieu ou à une personne vivant dans ce lieu). Dans ce cas là, ils se trouvent dans l’astral éthérique, contrepartie de la matière physique. 
– Dans des plans de l’astral qui leur sont spécialement réservés. Ces plans vibrent à une fréquence moyenne, un peu au-dessus de notre vibration d’incarnés.

Comment se présente le décédé dans l’astral ?

Rien à voir avec une ombre ou un fantôme ! A l’aise dans un corps astral consistant, le voici en face de moi, parfaitement reconnaissable, même s’il est considérablement rajeuni. Le décédé adopte pour apparence le plus bel aspect de lui, donc généralement il se montre jeune et exempt de toute trace de maladie ou cicatrice d’accidents. Je peux toucher le corps du décédé, donc lui serrer la main, le prendre dans mes bras ou l’embrasser. L’un de mes plus proches amis m’a pris la main et l’a posé sur sa poitrine, j’ai senti son cœur battre ! 

Si j’ai intimement connu le décédé, je peux reconnaître son haleine, son parfum, son contact. Et bien sûr sa voix, son vocabulaire, éventuellement ses manies verbales ou gestuelles. Il peut continuer à porter des lunettes alors qu’il n’en a plus besoin : la vision astrale est toujours parfaite. L’explication ? La force de l’habitude ! Au stade de l’astral, notre décédé n’est pas encore détaché de ses réflexes terrestres. 

Plus le décédé évolue, plus il rajeunit et retrouve une beauté parfaite (celle qui la rapproche de son âme). Il se débarrasse de ses habitudes terrestres et abandonne ses marques distinctives. Généralement le décédé est d’excellente humeur et content de son sort. Cependant, n’imaginez pas que le décédé est plus sage ou plus savant que de son vivant terrestre. Il n’est pas transformé, il est toujours lui-même avec la plupart de ses limitations.  Le décédé est heureux de voir un visiteur, venu du plan physique. Rarement surpris, il est prêt à parler avec vous de sa nouvelle vie et de ses occupations, toujours enchanté de vous faire visiter son nouvel espace de vie.

Le voile

Que font les décédés dans le plan astral ?

Dans le plan astral, le décédé construit lui-même, par la puissance créatrice de sa pensée et selon son désir, son cadre de vie. Par exemple, le décédé peut choisir de se récréer une vie parfaite de solitaire dans un cadre qui correspond à son désir profond (mer, montagne, éternel été etc.).  Tout comme il peut se joindre à une collectivité déjà existante : maison de famille, village, communauté, voire une cité… ou devenir lui-même le créateur d’un regroupement. De tels endroits sont créés par le consensus des pensées de tous et sont stables. En termes  » d’ expérienceur  » : je peux revenir plusieurs fois dans ce lieu et le retrouver quasi inchangé.

Une des grandes lois de l’astral : la loi d’affinités

Ceux qui se ressemblent s’attirent : c’est la loi des affinités. Conséquence directe : pas de conflits, pas de guerres… Les communautés sont toujours très homogènes.

Les décédés peuvent aussi séjourner dans des lieux existants en dehors de leurs créations et formes pensées, lieux stables et permanents, issus de la pensée des professeurs de l’astral ou d’entités supérieures. 

- les centres de régénération (sortes d’hôpital ou de maison de repos) dans lesquels est soigné le corps astral. En effet, celui-ci a pu être détérioré suite à une longue maladie physique et à son traitement, suite à une mort violente entraînant un traumatisme émotionnel donc astral etc. J’ai retrouvé dans un centre de ce genre deux de mes chats morts des suites de longue maladies. Il y étaient parfaitement soignés et dorlotés par  » une femme en blanc  » jusqu’à qu’ils soient capables d’aller gambader dans de merveilleuses collines astrales !

- les centres d’apprentissage, de réflexion, voir d’information et de préparation aux passages dans d’autres plans. On y trouve les décédés conscients de leur état, déjà détachés du monde matériel et désireux de quitter l’astral pour continuer leur évolution.

- des endroits où les décédés peuvent non seulement s’instruire mais aider les autres (par exemple accueillir les nouveaux venus dans l’astral) avec des entités de niveaux supérieurs.

Plus le décédé est  » matérialiste  » et attaché à ses désirs terrestres, plus ce qu’il construit est semblable à ce qu’il souhaitait posséder sur terre et plus aussi il reproduit le mode de vie terrestre maison, famille, confort (j’ai vu des frigos et des poste radios ou télé) et même le travail dans son aspect le plus routinier ! Tout ceci, jusqu’à ce qu’il se rende compte par lui-même de l’inanité de telles réalisations ! A quoi vous sert une maison ou un travail dans l’astral quand vous n’avez besoin ni de vous nourrir ni de dormir ni de vous abriter ? L’argent n’a plus court, tout ce que vous désirez est à votre disposition… Vous pouvez créer autant de billets de banque vous le souhaitez mais vous n’en avez pas l’usage.

Les fêtes sont très fréquentes.  » L’expérienceur  » est très fréquemment invité à des banquets astraux reproduisant fidèlement les repas de famille terrestres. Les mets servis sont des mets astraux, crées par la pensée de vos hôtes.

Le sexe est très présent dans ce niveau de l’astral, des zones entières sont réservées aux insatiables du sexe, (jusqu’à qu’ils en soient lassés). Des attirances fortes et passagères sont monnaie courante entre les décédés. La vie de couple, telle qu’on l’envisage généralement sur terre, parait précaire.

Peu à peu, le décédé cherche à mettre plus de créativité et de beauté dans son monde, il se détache de ses désirs et découvre l’amour vrai. Le décédé s’éloigne des schémas terrestres, il sera bientôt prêt à mourir une seconde fois pour s’élever vers d’autres plans

Où se situe l’astral ?

Je parle de l’astral de notre système terre.
Partout… mais à un autre niveau vibratoire.
L’astral et ses différents niveaux se superposent au monde physique. En fait je ne change jamais d’endroit mais de niveaux vibratoires.

Quelques remarques

Tous les plans décrits sont facilement accessibles en SHC.
Les décédés sont friands d’explication sur le phénomène de la SHC et déplorent de ne pas l’avoir développé quand ils appartenaient au monde terrestre. 
Je suis très fréquemment engager pour donner des cours sur les SHC aux décédés !

Les décédés qui séjournent dans le plan astral sont  » peu branchés  » sur le spirituel. Ils ignorent l’existence des guides ou d’une évolution possible. Une des mes fonctions astrale est d’expliquer tout cela. Je suis souvent écoutée avec succès et les décédés disparaissent vers d’autres plans ; mais d’autres s’amusent bien de mes propos et préfèrent continuer à profiter des plaisirs de l’astral.

Les décédés nous protégent-ils ?

La plupart d’entre vous se sentent protégés par un (ou une) parent décédé… Les multiples rencontres en SHC m’amèneraient plutôt à penser que les décédés, s’ils nous ont aimés, s’intéressent au cours de notre vie (du moins tant qu’ils sont dans l’astral) mais ce ne sont ni des guides ni des protecteurs. Ils nous accompagnent de leur amour, oui, mais ils n’ont pas des vues plus larges que de leur vivant et ne voient pas notre avenir. Donc, ils ne peuvent pas le changer. Ils voient nos potentialités immédiates, déjà en vibration dans l’astral. Ils peuvent nous influencer par leurs conseils et donc nous aider à créer (ou à éviter) certains événements de notre vie mais ils peuvent aussi se tromper et nous induire en erreur avec la meilleure foi du monde et leur plus grand amour.

Dans le cas d’un attachement très fort, il arrive qu’un décédé choisisse de rester dans l’astral au détriment de son évolution personnelle pour rester en contact avec la personne aimée. En effet quand le décédé s’en va sur des plans plus élevés, où il ne nous sera plus accessible et ne n’aura plus de contact avec nous.

Alors qui nous accueillera à notre mort, vous demandez-vous ?
Tous les récits de NDE par exemple nous disent que tous ceux que nous avons aimés sont là pour nous accueillir… C’est souvent possible parce que les décédés séjournent parfois très longtemps dans l’astral et y sont encore à l’heure de notre mort. Sinon, l’âme du décédé peut récréer une forme pensée du décédé et nous l’envoyer si c’est vraiment nécessaire, ou c’est nous qui par la force de notre désir recréons la forme pensée du décédé. Dans tous les cas, il y aura toujours des décédés amicaux pour nous piloter dans notre nouvelle vie… ou nos guides spirituels pour nous accueillir, je ne me fais pas de souci !

les-vies-récit

Récit d’un passage.
Lors du décès subit de ma mère, je n’étais pas présente et ma seule prière fut de la confier aux bons soins de mes guides spirituels A et M.

Une nuit où je sortais hors de mon corps sans but défini à l’avance (je m’aperçus seulement après, que cela faisait un mois jour pour jour que ma mère était décédée), je me suis retrouvée face à ma mère. Elle était assise sur un banc dans une sorte de jardin assez sombre. Personne d’autre qu’elle. Je ne m’attendais pas du tout à la voir, elle semblait par contre m’attendre.

Nous nous embrassons et je lui demande :
– Alors comment çà s’est passé ?
– Bien. J’ai beaucoup été aidée par deux anciens égyptiens. Ils m’ont accueillie et expliqué ce qui se passait pour moi… Ils m’ont dit être tes guides… Quand je me suis sentie bien, ils m’ont laissée… Et puis, ils m’ont dit que tu viendrais souvent me voir ! Je me suis alors rendue compte que tout ce que tu m’avais raconté sur terre était juste ! Je n’y croyais pas du tout !

Les propos de ma mère m’étonnent : ma mère catholique convaincue avait de tout autres croyances, je m’étais une seule fois hasardée à lui parler des guides et des SHC, sans insister.

AKHENA

Pour en savoir plus, visitez www.levoyageastral.com

MÉDITER C’EST REGARDER POUR LA PREMIÈRE FOIS

 

 

Né à Montréal en 1948, Jean Bouchart d’Orval a été pendant de nombreuses années chercheur en physique et en génie nucléaire à l’Université de Montréal. Pendant tout ce temps, il se posait des questions plus fondamentales que celles auxquelles la science et même la pensée peuvent répondre. Cet intense questionnement l’a mené vers une approche méditative de la vie et une désimagination de la réalité. Devenu enseignant spirituel, il ne se réclame d’aucune école en particulier, mais sa pensée est modulée par l’intuition de la non-dualité. Il est possible de le rencontrer en Europe et au Québec.

regarder

Vous avez déjà enseigné la méditation, mais il semble que depuis quelques années vous en parlez différemment. Qu’est-ce que méditer pour vous ? Quel genre de méditation recommandez-vous ?

Si vous pratiquez la méditation pour arriver quelque part, pour engranger des profits, pour devenir quelque chose, pour vous libérer ou pour devenir un être réalisé, alors que faites-vous de vraiment différent de la plupart des êtres humains qui calculent et s’inquiètent sans répit ? Par contre, si vous vous donnez à des instants libres de ce genre d’arrivisme et de petitesse – et de tels moment surgissent chaque jour, il suffit d’être attentif – alors vous sortez de l’habitude. L’acte que n’entrave aucun but est pure puissance. La méditation désencombrée de toute direction volontaire est pur éclat.

Comme vous le dites, à une certaine époque il m’est arrivé de dispenser des « cours de méditation ». Cette formulation malheureuse a peut-être laissé croire qu’il y a des instructions spéciales, quelque chose à faire, à apprendre, à mémoriser et à emporter chez soi pour le ressortir plus tard, quand on éprouve de la difficulté à faire face à sa vie. Non. Il n’y a pas de système, il n’y a pas de truc. Vous posez la question d’un « genre » de méditation. Or, tant que la méditation a un genre, cela demeure une activité mondaine. Il n’est donc pas question de méditation bouddhiste, de méditation zen, de méditation dynamique, de méditation soufie etc. Tout cela c’est de la poudre aux yeux, c’est du spectacle ; ne vous laissez pas impressionner par les images, par le décorum et les réputations que se sont laborieusement forgées les gurus à la mode, les gérants d’ashrams et les directeurs d’écoles de méditation, qu’ils soient occidentaux ou orientaux. Voyez, même les chrétiens tentent désespérément de récupérer ce mot populaire depuis quelques décennies : après deux mille ans de bavardage inutile et la condamnation de la méditation par le pape actuel, il y a maintenant une méditation chrétienne.

La question d’un « genre de méditation » est très liée à celle d’une autorité spirituelle et de toutes les bêtises qui viennent avec cela. J’ai personnellement été témoin du désolant spectacle d’êtres humains captifs d’un système de méditation et d’une idéologie de libération personnelle ; j’ai vu des gens à première vue très brillants être complètement subjugués par la pensée d’un malheureux « être réalisé » affligé du besoin compulsif d’être approuvé et admiré. Je les ai vus adhérer à une doctrine et suivre la ligne du « parti » avec le même aveuglement que les Jésuites ou les gardes rouges chinois du temps de Mao. Il faut avoir vu les romantiques adeptes de tels groupuscules sectaires s’agglutiner pendant des années dans des lieux exotiques pour se concentrer. Il faut avoir vu tous ces gens se retirer dans ces camps de concentration et même souvent se mettre des bouchons dans les oreilles pour « méditer », afin de ne pas entendre la rumeur du monde, qui n’est rien d’autre que la rumeur de Dieu. Je puis témoigner que vingt, trente ans plus tard, ces dormeurs posent toujours les mêmes questions et reçoivent toujours les mêmes réponses formulées de la même manière et avec les même mots. Derrière les barbelés psychologiques dressés par leur guru autour du camp, les croyants se sentent toujours aussi frileux devant la vie et ses grands espaces ouverts.

Je remercie les dieux de m’avoir mis en contact avec cette caricature, où le maître est incapable d’entendre la moindre critique ou suggestion d’une autre approche et où les disciples se sentent immédiatement menacés à la suggestion d’un autre système ou, suprême horreur, de l’absence de système. Ce fut pour moi une grande leçon : j’ai vu comment naissent les sectes – toutes les sectes, dont la plus grosse est l’Église catholique -, les systèmes, les encadrements et les structures. J’étais assis aux premières loges.

Mettre lourdement l’accent sur une quelconque technique et sur une idéologie pour se libérer, c’est une stratégie pour ne plus ressentir sa vie telle qu’elle est. Ce réflexe pathologique face à la peur et à la souffrance (qui n’est rien d’autre qu’avoir des problèmes avec la réalité) est, bien sûr, un ajournement. Cet ajournement peut être nécessaire, quand notre trajectoire passée dans l’espace-temps ne nous laisse pas le choix, mais ça n’en demeure pas moins un ajournement.

De grâce, soyez un peu sérieux ! Si vous avez la capacité d’entendre cela, alors vous n’en serez plus réduit à aller faire la queue pendant des heures pour recevoir l’accolade d’une figure exotique qui flatte les images romantiques populaires. Vous ne ressentirez plus le besoin de ce genre de pitreries. Vous serez libre de cette frilosité qu’est la religion sous quelque forme que ce soit. Les religions, les idéologies, les groupes hiérarchisés, avec leurs leaders, leur autorité, leurs dogmes, leurs promesses, leurs techniques et leurs programmes pour vous éviter de ressentir la misère de ce que vous avez échafaudé dans votre vie, sont des calamités dont vous pouvez très bien vous passer tout de suite, sans autre simagrée. Dans tous les groupes religieux, autour de toutes les autorités spirituelles, on retrouve invariablement les mêmes promesses de mieux-être pour plus tard. Vous devez accepter de penser et de vivre de telle manière, de pratiquer tel rituel ou telle méditation, de marmonner tel mantra, toutes choses qui vous insensibilisent et vous rendent stupide maintenant dans le but de vous libérer plus tard. Croyez-vous vraiment que toutes ces singeries peuvent vous être de quelque utilité pour voir clair et vous comprendre ? Je ne dis pas qu’il ne faut pas se sentir en résonance avec un courant spirituel quand une évidence se présente, mais s’identifier à un groupe, vouloir faire carrière dans le bouddhisme ou le christianisme, c’est un symptôme de peur ou d’ennui. Vous seriez mieux de ressentir votre peur ou l’ennui de votre vie et d’y voir clair, au lieu d’aller vous cacher et grelotter en groupe derrière une doctrine de libération future.

Quand vous pratiquez une technique, vous répétez toujours la même chose, vous essayez de revivre la même situation afin d’exorciser tout ce qui remet en question votre savoir sur le monde et sur vous-même. C’est complètement mécanique. Comment pouvez-vous espérer qu’un monceau de conditionnements vous mène un jour à la liberté ? C’est cela la grande illusion de ce genre de pratiques spirituelles, dont la principale utilité est de faire rouler les affaires de ceux qui veulent vous sauver à tout prix, de ceux qui veulent vous libérer sans que vous ayez à être présent dans votre vie, bref, tous ceux qui se veulent indispensables dans votre vie. On peut comprendre la pratique de techniques en vue d’acquérir une habileté professionnelle, pour apprendre la clarinette ou la boxe, mais pour vivre la liberté.

Qu’y a-t-il donc derrière cette névrose très ancrée qui consiste à s’en remettre à une technique, à un autre être humain, à une façon de penser ou à une nouvelle drogue ? La peur ! La peur de sentir qu’en fin de compte on n’est absolument rien, du moins rien de tout ce qu’on a pu imaginer, y compris les images infantiles qu’on se crée sur « Dieu » ou sur « le Soi ». Ce n’est pas un blâme à l’endroit de ceux qui croient qu’une technique ou un guru va les dispenser de se voir et de se comprendre : l’être humain en est réduit à de telles âneries parce qu’il n’a pas le choix, parce qu’il n’a pas la force et l’humilité d’être simple, direct et honnête avec lui-même. Ainsi, vous ne pouvez demander à un enfant de trois ans de comprendre ce qu’un adulte peut comprendre. Il n’y a rien à imposer à qui que ce soit. Il n’y a aucun jugement ici, simplement une constatation. Par contre, si vous avez l’humilité d’entendre cela sans peur, sans retourner dormir devant un « éveillé », dans un groupe ou derrière une idéologie, alors vous allez peut-être découvrir vous-même que tout est beaucoup plus simple et infiniment plus beau que ce que votre mémoire vous inflige.

La méditation n’a vraiment rien à voir avec une technique. Méditer c’est regarder pour la première fois, alors que pratiquer une technique consiste à répéter pour la nième fois. Se concentrer c’est se couper de la vie, c’est un manque de respect envers ce qui est là. Qu’est-ce donc que vous ne voulez pas voir dans votre vie au juste et pourquoi ? Il n’y a pas à se concentrer ; il n’y a qu’à écouter, regarder.

Méditer ce n’est ni fuir les objets ni aller à la pêche pour en attraper ; ce sont là les deux facettes d’un même manque de maturité. Tout ce qu’on attend, tout ce qu’on espère, tout ce qu’on peut comprendre, ce sont des objets, c’est-à-dire quelque chose qu’un observateur particulier découpe de toutes parts par rapport aux autres « objets » et par rapport à l’arrière-plan silencieux. Si vous allez à la chasse ou à la pêche au fond des bois, vous risquez de tuer un animal ou un poisson qui, comme vous, ne demande qu’à vivre. Ce n’est certes pas là une marque de grande sensibilité, mais quand vous partez chaque jour à la pêche intérieure pour attraper quelque chose de substantiel, vous faites preuve d’une insensibilité encore plus fondamentale : vous n’allez peut-être pas tuer un animal, mais vous allez tuer, ou du moins ensevelir, ce qui en vous est vivant. Au bout de quelques années, vous irez grossir les rangs des vieux croûtons qui errent à la surface de la soupe prétendument spirituelle de cette planète. Chercher à distinguer un objet, chercher à comprendre, chercher un état de conscience, vouloir transcender le monde, devenir un être réalisé, tout cela reflète un manque de clarté et c’est encore un compromis.

Mais alors le mot méditer a-t-il un sens pour vous?

La méditation c’est le respect total de ce qui est là, le respect de la vie telle qu’elle est. C’est le respect de ce que j’appelle ma vie, avec mon corps et mon psychisme tels qu’ils sont. C’est la non-violence parfaite. Cela veut dire que vous ne faites plus dans l’ailleurs ou dans le plus tard. Vous ne pensez plus à votre vie, vous la vivez clairement, directement.

Vous savez ce que veut dire vivre ? Cela veut dire être présent : sentir, ressentir, goûter, regarder, écouter. Ce n’est pas anesthésier cette sensibilité en vivant dans un monde abstrait tissé de notions engluées de mots. Quand vous voyez un arbre, un cerf, un homme, vous vous donnez vraiment à la vision et aussi à ce que vous sentez en vous, vous vous abandonnez au toucher intérieur. Vous n’êtes pas en train d’évaluer l’âge de l’arbre, si c’est un beau cerf ou un homme sympathique. Bien sûr, toutes ces notions peuvent vous venir – vous ne choisissez pas ! – mais vous ne mettez pas l’accent sur elles. Vous êtes beaucoup trop occupé à ressentir, à toucher, à goûter, pour avoir le temps de courir après des concepts ou des opinions. C’est un manque de temps. Généralement, quand on perçoit un objet, un visage ou une énergie, que fait-on immédiatement ? On se détourne de la réalité pour se tourner vers les images proposées par la mémoire. C’est cela vivre de manière abstraite, complexe, virtuelle. La vie est très simple, sauf quand on la regarde à travers le brouillard de la mémoire.

Observez bien ! Notez ce que vous échafaudez par-dessus la perception du moindre objet physique ou mental. Voyez ce que vous construisez encore qui étouffe et ensevelit le regard. Au moment même où vous plongez la main nue dans la neige, il n’y a rien à penser, à juger, à analyser ni à classifier. Au moment même où vous ressentez la tristesse, la colère ou la peur, il n’y a pas davantage à penser ou à « comprendre ». À un moment donné, il vous apparaît étrange de rechercher autre chose que ce qui est là, autre chose que ce qui est offert par la vie. Vraiment, cela paraît très étrange.

Voyez les enfants – tant ceux des êtres humains que ceux des animaux -, voyez comme ils ne sont que regard, écoute, sensibilité, attention. C’est universel, c’est inné ; voilà notre vraie nature. N’y a-t-il pas là un signe très clair ? C’est avec l’accumulation des impressions mentales laissées par les innombrables expériences passées que nous nous mettons à vivre dans l’habitude. Avec le temps nous en venons à accepter l’idée que ce n’est pas la première fois, la seule fois, que nous ouvrons les yeux sur le monde. La notion d’objet va alors de soi et il ne nous vient plus de douter de la réalité de nos images. Notre cerveau, très tôt dans notre vie, a échafaudé une image du « monde » à partir des impressions des cinq sens. Nous sommes dès lors convaincus de la solidité des choses « là-bas » et d’un moi « ici ». Le cerveau a construit les notions même de « là-bas » et « ici ». Mais si vous absorbez des substances hallucinogènes, alors vous voyez différemment et avec la même conviction. Est-il vraiment nécessaire de se livrer aux drogues pour voir l’aspect fallacieux de nos fragiles images du monde ? Il suffit d’être attentif ! Pendant combien de temps allons-nous rêver et remplacer une image par une autre image ?

La vie méditative, c’est la maturité du regard, dans lequel n’y a plus l’habituelle ruée bovine sur des objets. C’est une persistance du regard. C’est par impatience que nous nous jetons sur des objets et sur des situations. L’impatience c’est la peur et cette peur repose uniquement sur une pensée. Méditer c’est persister avec ce qui est là. Cela implique donc le refus des images. Non pas les combattre, non pas chercher à les détruire – qu’y a-t-il à combattre ? Non. Cela consiste à refuser de se contenter du pâle reflet de la réalité qu’est l’image de soi-même. Quand vous demeurez avec « ce qui est là », à un moment donné cette attention devient silence, étonnement, ravissement, tranquillité. La brume des images se dissipe et il reste une lucidité dans laquelle il n’y a plus ni objet ni sujet. Méditer c’est vivre sans se localiser. Il n’y a que pur regard, pure attention.

Vous vivez dans le marasme simplement par manque de conviction d’être pur regard, pure lumière consciente. Conviction veut dire évidence directe, non pas conclusion intellectuelle. Les intellectuels vivent dans la même peur que les autres, à cause de la même déficience de conviction. Sans une telle évidence directe, la vie sur terre n’est qu’une interminable errance pour tenter d’éteindre la soif d’expériences et de compréhension. Tant que vous ne demeurez pas présent à ce qui est là dans votre vie, clairement, simplement, vous ne pouvez éclairer vos constructions mentales et réaliser tout ce qu’elles ont de virtuel. La réalité est sans cesse en train de souffler sur le château de cartes de vos fabrications. Mais tant que vous fuyez de situation en situation, de pensée en pensée, vous êtes comme l’impatient qui pénètre dans une pièce sombre en provenance de l’extérieur en hiver : tout ébloui par l’éclat du soleil sur la neige, ne distinguant rien pendant les premiers instant, il se retire de cette pièce, retourne dehors, puis entre à nouveau dans une autre pièce, puis une autre, sans avoir jamais rien vu. Ainsi affligé, vous avez vite fait le tour de votre maison et vous vous sentez toujours aussi vide. Notre regard a besoin d’une certaine persistance pour distinguer. Alors, ce que j’appelle méditation c’est cette persistance du regard, cette insistance de l’attention, sans but, sans projection de ce qu’on pourrait voir. D’ailleurs, il n’y a rien à voir ! Au cour d’une telle attention, il ne subsiste bientôt plus que la pure lumière consciente, qui est la vie elle-même.

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Vous parlez du regard qui s’exerce. Cela ne ressemble-t-il pas à une pratique ?

Il n’y a pas d’éléments techniques à maîtriser ici. Qui peut vous enseigner le regard ? Il existe beaucoup de « techniques de méditations » sur le marché, mais il s’agit là d’un artifice de marketing. On peut bien créer un espace méditatif, mais ce qu’il y aurait à dire sur une technique méditative tiendrait en très peu de mots. Cela dit, il est vrai que le regard s’exerce et devient plus compétent quand on se donne à des moments de silence sans but. C’est cela qui permet de demeurer présent quand souffle le vent de la vie sur vos plans et sur vos certitudes. Mais ce n’est pas quelque chose à pratiquer dans le but d’être présent plus tard. Ce n’est rien à mémoriser, à thésauriser. Cela vient comme une conséquence naturelle, non comme un objectif à atteindre. Dès que vous êtes tourné vers un autre moment, vous rêvez, vous dormez.

Par exemple, quand vous avez complété les tâches de la journée, vous êtes assis et vous demeurez là. Vous n’allez pas voir ailleurs, vous ne chercher pas ce qui pourrait vous désennuyer à la télé, vous ne cherchez pas dans votre carnet le numéro de téléphone d’un ami qui pourrait être votre clown de service ce soir-là. Vous regardez ce qui est là, vous ressentez votre corps, sans rien essayer. En méditation vous n’êtes tenu à rien, surtout pas de « méditer » ! Demeurez simple. Il n’y a rien à suivre, rien à refuser. Laisser venir, laissez aller. Vous assistez à ce qui est là, y compris à ce que votre mémoire nomme « rien ». « Rien » est un autre concept. Il n’y a jamais « rien » : vous êtes toujours là en tant que pur regard. Mais n’essayez pas de voir ce « pur regard » ! Vous réalisez que vous êtes perdus dans vos pensées ? Et alors ? Vous assistez à cela, sans plus. Depuis toujours vous ne faites qu’assister aux modalités de ce que vous appelez votre vie. Vous allez bientôt voir que tout est vide de substance, qu’il n’y a pas de choses séparées du regard, vraiment.

Et quelle place faites-vous à la prière ?

Prier, dans le sens où on emploie ce mot la plupart du temps, ça n’a pas grand sens. Ce que veulent dire la plupart des gens par prier c’est demander, supplier « Dieu » d’intervenir dans leur petite vie misérable. Mais même ce genre de prière est au moins le signe d’un début d’humilité. Quand leurs stratégies habituelles ne semblent plus rapporter de dividendes, les superbes et les arrogants se mettent à la prière. Quand les Nazis ont envahi l’Union soviétique, à l’été de 1941, et que tout semblait perdu, même Staline a fait rouvrir les églises.

Pour la plupart des gens prier est un réflexe : ils grelottent quand ils ont froid, ils toussent quand leur gorge est chatouillée et ils prient quand ils ont peur et ne comprennent plus rien. Ce réflexe est encore une stratégie qui pointe en direction d’un quelconque soi-même : c’est une activité mondaine et vulgaire. Je veux bien que, sur un mode poétique, on s’adresse à une divinité, ou même que, sur ce même mode, on demande parfois quelque chose pour sa vie personnelle, mais alors cette demande ne devrait pas être formulée à partir de la conviction d’être une entité séparée. Bien sûr, la littérature sacrée est constellée de prières qui ressemblent à des demandes, même à des implorations. Mais c’est toujours sur un mode poétique.

Vous pouvez très bien demander, mais alors de la même manière que vous demandez le sommeil quand vous allez vous mettre au lit. Vous ne pouvez pas le provoquer. Bien sûr, si vous ne vous étendez pas, vous n’allez pas dormir non plus. Alors vous allez interroger le dieu du sommeil. Vous allez vous étendre pour suggérer le sommeil, vous allez voir s’il est là. Le reste n’est pas entre vos mains en tant que personne. Autrement dit, votre corps et votre psychisme sont les dociles instruments du dieu. Vous n’êtes pas là en tant que personne qui exige de dormir. D’ailleurs regardez ce qui arrive quand vous vous étendez avec l’idée que vous devez dormir à tout prix, que vous voulez dormir.

Prier pourrait être cela : être consciemment l’instrument de la vie. Vous pouvez alors interroger pour voir si votre foie ne pourrait pas se désencombrer de certaines énergies, pour voir si votre nerf sciatique ne pourrait pas se décoincer, pour voir si votre ami ne pourrait pas voir sa vie s’éclaircir ; des choses comme cela. Mais vous le faites toujours en souhaitant qu’il arrive ce qui doit arriver. C’est le sens de la prière de Jésus, dans le Jardin des oliviers, qui demande : « Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi. Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux ». En réalité, c’est le Père qui fait tout, qui est tout. Le Père, en tant que Jésus, ne doute pas de cela et peut donc « demander » sans se fourvoyer comme le font les autres êtres humains. De là la puissance de ses « demandes ». C’est bien ainsi que les malades étaient guéris en sa présence.

téléchargementAlors, quand vous priez, vous n’intervenez pas en tant que cette image pour laquelle vous vous êtes pris depuis si longtemps ; vous n’êtes simplement pas là. Quand vous priez ainsi, vous ne manquez plus de respect envers Dieu en estimant qu’il puisse y avoir autre chose que Lui.

Nous pourrions peut-être terminer par la prière de Maître Eckhart : « Et maintenant, que Dieu nous aide à gagner cette lumière éternelle ! »

Ecrit par Jean Bouchart d’Orval pour le magazine Signes et Sens

Comment se produit une sortie du corps

 

Il existe un corps physique, celui que l’on sent, c’est le siège des émotions, des organes, de la chair. Il naît, évolue et meurt. Marqué par nos chagrins et par nos joies, il est en premier lieu guidé par les instincts de base. Lorsque ceux-ci sont comblés, le cerveau prend le relais et souhaite des satisfactions psychologiques.

rêve

Comme tout ce qui est vivant, la chair est fragile, sujette aux maladies et aux blessures, même si l’espèce humaine est dotée d’une grande résistance. Le corps physique est soumis aux cycles, aux influences cosmiques et terrestres. Sa nature sensible le rend souvent accessible à autrui, autorisant échanges et projets. Coups, chatouilles, caresses, amour…. Le corps est un moyen primaire, mais efficace, de communiquer avec les autres.  Cependant, il est lourd et souvent « englué » par un cerveau reptilien et des réactions archaïques ; il doit apprendre presque tout : marcher, parler, nager…

Le corps astral est né avant le corps physique. Emissaire de l’âme, vivant de toute éternité, il fonctionne comme s’il possédait les mêmes fonctions que le corps physique : vue, ouïe et, dans une moindre mesure, toucher. Il éprouve les émotions les plus simples – joie, extase, peur, colère, amour, – mais avec beaucoup moins d’intensité que le corps physique ; Indifférent à la plupart des conflits collectifs, il est paradoxalement plus « individuel » que le corps physique, se souciant surtout de sa propre évolution. Il n’est qu’exceptionnellement animé par le désir de « sauver » les autres. Il peut soutenir, donner le « déclic », mais en définitive, il revient à chaque âme de puiser en elle-même les ressources nécessaires pour évoluer.

La sortie du corps, c’est la possibilité pour le corps astral de quitter le corps physique, de ressentir et voir au loin ou au-delà. Cette expérience résulte d’une séparation de la conscience et du corps physique. Ce moment est atteint lorsque le corps physique se détend, ou lorsqu’il est choqué, et que la conscience devient flottante ; en bref, lorsque l’hémisphère droit du cerveau prend le relais.

Chacun a fait l’expérience de ces « absences ». Le langage populaire en témoigne par des expressions telles que « j’étais ailleurs », « j’étais dans la lune », « je n’étais plus là », « mon esprit vagabondait »… Il est sain et naturel d’entrer dans des états de rêverie et de conscience modifiée.

La sortie du corps est un phénomène similaire, bien plus rapide et intense. Sa durée peut aller quelques secondes à plus d’une heure. Lors d’une extase mystique, il peut même se perpétuer durant une semaine, et c’est sans doute le vrai sens du mot « adoration ».

La matière, composée pour l’essentiel… de vide, est l’intelligence imprégnant et animant ce qui vit. La conscience peut être comparée au brouillard qui s’élève de la terre. Dans certaines circonstances, la conscience a la possibilité de se séparer du corps physique. Cela se produit la plupart du temps spontanément, sans l’avoir cherché ; on a « passé la frontière, simplement. Un état de relaxation ou d’émotion particulier nous a fait « franchir la ligne ».

On peut aussi s’entraîner pour favoriser ce déplacement.

Le corps astral a la capacité de voyager à travers l’espace sans se soucier des distances ;il se joue du temps, qui perd toute signification. Il explore aussi bien le passé que le futur et partage avec l’inconscient la certitude que le temps est un, éternel, inépuisable.

Même si le conscient et l’inconscient fonctionnent en même temps, l’esprit conscient est chargé d’intégrer le temps qui avance, ou tourner, et revient par cycles. L’esprit conscient connaît les limites, les passages, la mort, le renouvellement, l’écoulement ; le cerveau se fait une représentation de la durée, sous l’aspect d’un espace plus ou moins structuré : Le conscient vit avec les saisons, l’ »avant », le « pendant », l’ »après ».

L’esprit inconscient, quant à lui, connaît seulement le temps qui ne commence ni ne finit jamais. Les événements et les vies se déroulent tous au même moment, dans un éternel présent. Nous vivons tous le même jour. Il n’y a pas de différence majeure entre ce qui s’est passé voilà mille ou cent mille ans, et ce qui se passe aujourd’hui. En ce sens, le temps de l’inconscient est le temps divin. Cette puissante mémoire de l’inconscient permet aussi de retrouver ses vies passées et d’atteindre l’inconscient collectif.

En développant la communication entre l’esprit conscient et l’esprit inconscient, le voyage astral deviendra plus accessible. Qu’il se produire d’une manière brusque ou progressive, grâce à notre persévérance ou au détour d’un exercice, considérez dès maintenant que vous êtes prêt.

Notre inconscient nous protège, et nous autorisera à vivre ce que nous sommes apte à intégrer. Cela peut se produire à tout instant.

En bref, en nous, comme dans tout l’univers, cohabitent une matière visible, dépendant des lois de la gravitation, et une matière beaucoup plus légère, le corps astral. 

Le fait que l’homme, ou une partie de son être, puisse quitter le corps physique est-il une preuve absolue de la survie de la conscience après la mort ? Pas nécessairement. On peut, à la limite, concevoir que la conscience puisse se séparer du corps, et qu’elle soit, comme lui, mortelle. Si la conscience ignore les frontières de l’espace et du temps, elle ne perçoit pas de différence entre le moment où elle se trouve dans un corps physique, et celui où elle se trouve en dehors. Seules les perceptions physiques indiquent à l’âme qu’elle est incarnée. Lorsque le corps astral voyage, ses repères sont les sensations physiologiques auquel il est accoutumé depuis la naissance.

Si les êtres humains croient depuis toujours à la survie de l’âme, c’est peut-être parce qu’une parcelle d’eux-mêmes a des connaissances inaccessibles aux modes de perception habituels – une connaissance enfouie dans le cerveau ou dans les cellules, comme une boussole dissimulée. Dans des situations de conscience élargie, nous percevons soudain des évidences jusque-là cachées.

le  blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

La désautomatisation et la régression

 

Cette méditation vipassana solitaire fut l’occasion de réaliser une petite expérience de chimie amusante sur notre propre esprit. Devant moi, j’avais disposé un papier portant un mot neutre, écrit en gros caractères : « CHAISE ». Difficile de trouver plus banal. Bientôt, la séance m’emmena avec fluidité vers une concentration silencieuse et lointaine. Au bout d’un temps indéfini, j’ouvris les yeux ; ils se posèrent sur la feuille blanche ; le mot était toujours là, immobile et sage. Mais il était différent ; quelque chose d’imperceptible et bizarre l’altérait, que ni l’oeil ni la raison ne parvenaient à saisir. Etais-je devenu le jouet d’une illusion d’optique ? Non, puisque l’aspect des lettres était semblable…

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L’éclairage de la pièce était-il différent ? Pas davantage… Comme cette sensation étrange gagnait en densité à chaque moment, ma conscience finit par comprendre ; le sens du mot s’estompait dans mon esprit, comme si ce qu’il avait l’intention de représenter perdait en force. Le dictionnaire d e ma mémoire avait cesse  de lui offrir une définition percutante, et il se transformait en un fade assemblage de lettres, sans plus de mission, qui n’évoquaient plus rien dans mon esprit.

Courageux et téméraire, je laisse l’expérience se poursuive en fixant à présent mon attention sur la lettre E. Au bout de quelques instant, sa réalité m’apparut également. Elle cessait de susciter dans mon esprit l’éclosion automatique de son « eu », dont elle était pourtant la représentante ; Désormais, ma conscience la percevait comme le simple assemblage de trois barres horizontale s, unies à leur gauche par une barre verticale. Elle était devenue aussi peu signifiante que l’idéogramme d’une écriture dont je n’aurais rien connu. A ce moment précis, un sentiment profondément enfoui surgit à mon insu, et me fit sourire ; je ressentais de nouveau la même curiosité fraiche et naïve qu’à l’époque de mon enfance où, ne sachant pas encore lire, les lettres n’étaient encore pour moi que d’intrigants dessins.

Ce phénomène, dit « régressif », est nommé désautomatisation par certains auteurs. Il est aussi stupéfiant à comprendre qu’à vivre ; dans cette expérience de nature authentiquement mystique, l’esprit devenu flexible abandonne une partie de son fonctionnement pour renouer avec d’autres, bien plus anciens, mais qu’il avait désinvestis. Le terme désautomatisation suggère que certains automatismes du cerveau adulte sont momentanément neutralisés, au profit d’une régression qui ravive des fonctionnements propres à l’enfance – voire à la toute petite enfance. La désautomatisation ne se rencontre pas que dans les expériences mystiques, puisqu’elle est aussi décrite dans certains états de conscience modifiés par l’hypnose.

C’est pourquoi en méditation et dans les états hypnotiques cette régression vers certains modes de pensée ou de fonctionnement propres à l’enfance ouvre la conscience à des pans entiers de connaissance, qui étaient masqués par les « logiciels » de notre pensée adulte. Une connaissance que nous avions déjà vue à la fois si étrange et si familière. Etrange, par sa nature purement intuitive et affective, sans réflexion, sans conception intellectuelle.  Et familière également, car cette façon de connaître le monde est proche de celle que les enfants peuvent avoir ; mais aussi les grands sages, tout comme le suggère poétiquement le titre d’un article de psychologie cognitive : « Il y a un mystique dans toute personne ».

Voilà peut-être pourquoi ces véritables « retours en arrière » du cerveau expliqueraient les ressemblances que les expériences mystiques partagent avec les vécus de notre enfance ; la réalité intense de l’expérience ; sa coloration saturée ; le caractère entier et absolu des ressentis ; et ce quelque chose d’ineffable, hors de portée du langage.  D’ailleurs, on peut retrouver des traces de la désautomatisation dans les textes sacrés. Dans la mystique juive, un midrach évoque dans une belle parabole cette connaissance originelle qui imbibe l’enfant avant sa naissance, et qui disparaît ensuite ; le fœtus, dans le ventre de sa mère, possède la totalité de la connaissance du monde, celle de la matière comme celle de l’esprit. Tout l’univers lui est familier, mais d’une façon claire et absolue, sans mot ni pensée pour la limiter. Mais au moment de naître, il oubliera à jamais cette connaissance native. Et dans la vie terrestre il tentera sans relâche de renouer avec elle, à travers le savoir, hélas relatif, que lui prodiguera sa pensée conscient et limitant.

EXTRAIT DU LIVRE : MEDITER C’EST SE SOIGNER sur le  blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

La demande à l’univers

  Je ne me souviens plus combien de fois j’ai entendu dans mon enfance mes parents et mes professeurs me dire : « Ce n’est pas bien de demander » ou encore « Ce n’est pas poli de demander ». Cette règle présentée comme faisant partie du savoir-vivre, a conditionné des générations de personnes. 

 PENS2E

Nous avons appris à ne pas demander, nous contentant de ce qui arrivait en remerciant la vie pour les belles choses qui nous arrivaient et en tendant le dos pour les autres.  

            Cependant, dans toutes les religions du monde, il est dit, comme dans l’évangile de Mathieu : « Demandez et l’on vous donnera ; Cherchez et vous trouverez ; Frappez et on vous ouvrira » (Mathieu 7 :7) et plus loin : « Tout ce que vous demandez avec foi et par la prière, vous le recevrez » (Mathieu 21 :22). Ainsi, il est bien dit dans les textes religieux, qu’il fallait demander si nous voulions obtenir quelque chose.

            La physique quantique a confirmé ce qu’avançaient les religions d’autrefois. Nous savons que par la loi d’attraction, nos pensées attirent vers nous des événements de même nature qu’elles. Or, la plupart du temps, ce sont nos pensées inconscientes qui dominent notre conscient et appellent à nous des situations pas toujours très agréables. Par exemple, si vos parents ou vos éducateurs vous ont répété dans l’enfance que vous étiez nul et que vous ne valiez rien… cette pensée a pu devenir chez vous une évidence ou une croyance si vous préférez. Si bien que vos pensées inconscientes baignent dans ce pessimisme et vous amènent des situations où vous êtes nul et ne valez rien !

            Si par contre, vous demandez quelque chose de particulier à la vie, à l’univers, à Dieu – à qui vous croyez peu importe – vous êtes en train de mettre un « je veux » très significatif dans vos pensées. Et plus cette demande est claire et sans ambiguïté, plus la vie va l’entendre et y répondre. Car  maintenant vous avez dit ce que vous vouliez. Par contre, lorsque vous ne dites rien, l’univers écoute vos pensées (surtout inconscientes) afin de vous envoyer des événements en adéquation avec elles.

La demande consciente est donc importante si vous désirez obtenir quelque chose dans n’importe quel domaine : « Je demande une place de parking » « Je demande à ce que tout se passe bien à mon rendez-vous » « Je demande à ne recevoir que des bonnes nouvelles dans ma boîte aux lettres aujourd’hui » « Je demande à rencontrer l’homme de ma vie » « Je demande à avoir de la réussite dans mon travail ». C’est ainsi que lorsque je sens les prémices d’un coup de froid m’arriver, « Je demande à ne pas tomber malade »… et je vous assure que cela fonctionne.

La demande est donc importante autant pour vous – pour bien fixer vos objectifs – que pour la loi d’attraction que vous mettez en branle. Et si vous voulez donner un maximum de chance à l’obtention de ce vœu, alors visualisez-vous avec ce que vous rêvez, voyez-le venir à vous comme s’il était déjà là !
Mais il peut arriver que – même si la demande est bien réalisée – la vie ne vous apporte pas ce que vous attendez. Pourquoi ? Il y a plusieurs réponses possibles :

  • Vous n’avez pas attendu assez longtemps la réponse de l’univers et vous avez fait une autre demande qui a annulé la première.
  • Vous avez émis des doutes quant à l’obtention sur la réponse de l’univers. Il convient alors que vous réitériez votre demande qui a été annulée par votre incrédulité.
  •  L’univers, la vie, le Bon Dieu… va vous apporter encore quelque chose de mieux… donc patience et confiance ! 

Fais de ta vie un rêve.
Et d’un rêve une réalité. 

Source : pour connaître les dates de mes prochaines conférences, je vous invite à suivre le lien :
http://www.luc-bodin.com/2013/02/04/les-prochaines-conferences-du-dr-luc-bodin-2/

CONTACTER NOTRE INCONSCIENT

 

SOSEn apprenant à mieux explorer l’univers de nos rêves, souvenez-vous que le conscient et l’inconscient ont des modes spécifiques d’acquisition des connaissances. Le conscient est habituellement rationnel, logique et linéaire. Il recherche des modèles et des relations, s’intéresse à tout ce qui est cohérent et prévisible, se structure principalement autour du langage articulé, et peut aisément tester ses connaissances. En revanche, l’inconscient semble obstiné, volontaire et incapable de suivre des règles. Il progresse, à nos dépens, d’une façon qui paraît incohérente et imprévisible ; quelquefois, il donne l’impression de refuser délibérément de coopérer ; nous avons tous constaté comment la raison peut dissimuler une angoisse alors que nos émotions stimulées par l’inconscient continuent de l’entretenir.

Il serait irréaliste d’attendre de l’inconscient qu’il réagisse comme le conscient. Il peut au terme d’une longue période d’efforts, continuer à prétendre ignorer le message que vous tentez de lui faire passer, et vous récompenser quand vous avez perdu tout espoir. Il est important d’être patient et de ne pas vous imaginer que l’inconscient va nécessairement réagir.

L’inconscient ressemble au conscient dans sa façon de répondre aux sollicitations. Vous devez lui faire comprendre que vous lui accordez beaucoup d’importance. Remerciez le pour les rêves dont il vous gratifie et de toute amélioration de votre vie onirique. Interrogez-vous sur la façon de l’aider et attendez en silence les réponses. Otez-vous de l’esprit que ce type d’activités est ridicule. Elles présentent un certain nombre d’avantages psychologiques et enrichissent la perception des songes.

Simplicité et répétition sont les clefs d’une approche efficace de l’inconscient. Donnez-lui des instructions claires et sans ambigüité : « Je vais me souvenir de mes rêves » ou « Je vais voler dans mes rêves« , par exemple. Répétez-les régulièrement.

Ecoutez la musique qui rappelle ou représente l’atmosphère du rêve dont vous souhaitez faire l’expérience. Lisez de la poésie romantique ou mystique. Visualisez ses symboles et pensez aux métaphores qu’elle véhicule. Observez et écoutez la façon dont votre esprit apprend à absorber ces impressions et résistez à la tentation réductrice qui consisterait à les traduire dans un langage articulé, rationnel et linéaire.

Il peut vous être utile de penser que votre inconscient est la source de votre vie psychique, et que le conscient est une espèce de revêtement constitué par l’apprentissage. Plus votre esprit sera rigide et inflexible, plus l’émergence de votre inconscient à la conscience sera difficile.

Nous pouvons également encourager les différents contenus de notre vie psychique à s’interpénétrer en utilisant de simples métaphores visuelles. Imaginez que votre conscient est un portier sérieux, puritain, qui maintient fermée la porte par laquelle votre inconscient tente vainement d’entrer. Visualisez à présent le conscient ouvrant la porte et accueillant l’inconscient comme s’il s’agissait d’une sœur ou d’un frère perdu de vue, et observez comment les deux versants de votre vie psychique conviennent qu’ils ont beaucoup à apprendre l’un de l’autre. Assurez-vous que, dorénavant, ils travailleront de concert et en parfaite harmonie. 

EXTRAIT DU LIVRE :

APPRENEZ A MIEUX REVER ET A TIRER PARTI DE VOS REVES

Publié dans:AME, EXERCICES DEVELOPPEMENT, REVES |on 11 février, 2016 |Pas de commentaires »
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