Archive pour juin, 2013

Exorcisme

 

 Venez me rejoindre sur le FORUM : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Pour ceux qui croient, aucune explication n’est nécessaire.
Pour ceux qui ne croient pas, aucune explication n’est possible.

Après avoir étudié la démonologie pendant de nombreuses années, avec toutes ses ruses et ses méfaits.

Nous, les Prêtres de Dieu, mettons tout en oeuvre pour déjouer ses pièges.

La plupart de la magie noire vient d’Afrique Noire, d’Haïti, et du Maghreb. 
Cet « art noir » est l’art de nuire à d’autres humains par des puissances démoniaques.

Les théologiens moraux enseignent que la magie (l’âme-agit) peut-être neutralisée par la prière, l’exorcisme, ou la destruction de l’article ou du signe qui la relie avec les forces du mal.
Mais, pour 99% des cas, les patients sont victimes d’envoûtement de nuisances (lourd à supporter).

Mais la possession se manifeste pendant le rituel de prière, car l’entité essaie de se cacher.
En cas de manifestations violentes, l’Exorciste devra placer sa confiance en Dieu. 
La possession peut demeurer bien cachée, en particulier si elle commence tôt dans l’enfance.
Dans ces cas-ci, quelqu’un choisi par le Seigneur, peut identifier l’état apparent tout à fait par accident. C’est ce qui est arrivé dans la vie de Saint PARTHENIUS, un Évêque du quatrième siècle.
Le malin, pour ne pas le citer, a réussi à faire croire qu’il n’existe plus et quand nous en parlons, les gens rigolent. Alors, il peut polluer à son gré.

 

 

 

Apprivoiser le pardon

  LE CERCLE DES FEES DU MONDE 
Ces Femmes Éclairées Engagées Solidaires émergent d’une Conscience collective et d’une Urgence féminine en résonance avec la souffrance d’une planète agonisante. Unies par le cœur et la conscience de leur responsabilité face à ce Monde en crise, ces Femmes éclairées s’engagent à s’unir pour Servir la Vie. Leur projet commun est le Changement intérieur individuel et collectif. 
L’objectif du Cercle des FEES du Monde est de mettre au Service des femmes, mais aussi des hommes, l’énergie issue de leur transformation individuelle afin de servir collectivement la paix, la vie et l’amour . Cela demande puissance, détermination, amour et humilité.

Apprivoiser le pardon dans ACCORD legendes

Le Cercle des FEES n’est pas un cercle d’exclusion masculine mais un cercle de retrouvaille entre sœurs, afin d’aider aussi les hommes en chemin à établir le lien coeur – puissance. 
Coopérer est une grande aventure humaine engendrée par le plaisir d’être et de faire ensemble, mais pas forcément une chose en particulier. Cette coopération authentique naît de la joie de partager dans un sentiment d’unité et de sororité. 

Le Cercle des FEES du MONDE requiert de ne jamais se positionner en personne qui Sait pour l’autre. C’est un cercle vivant, bouillonnant et vigilant. 

Il est sous tendu par une Charte acceptée et signée par Toutes. Cette charte évolue en consensus. 

  La Charte s’inspire entre autre des quatre accords toltèques de RIUAZ et des trois lois spirituelles que sont la loi de résonance, la loi d’attraction et la loi d’attention : 

Si tu veux la paix sur terre, fais la paix en toi 
Si tu veux l’Abondance et l’Amour crée-les en toi et autour de toi 
Si tu juges l’autre, regarde ce que tu refuses d’accepter en toi 
Si tu te sens seul, observe là où tu t’es coupé des autres 
Si tu es pauvre, trouve en toi la résistance à l’abondance 
Si tu constates que l’autre a un super égo, accueille le tien avec tendresse 
Si tu ne peux pardonner, observe l’espace où tu refuses de prendre ta responsabilité……… 
IL n’y a rien qui se manifeste à l’extérieur qui ne soit un miroir de soi-même. 
Soyons au Service de la Vie et de la Lumière
Si nous voulons changer l’autre : changeons nous-mêmes 
Si nous voulons changer le Monde, changeons nous-mêmes 
Exprimons-nous avec cœur, conscience, authenticité et bienveillance 
Cultivons l’écoute véritable 
Quoi qu’il se passe, n’en faisons pas une affaire personnelle 
Evitons de faire des suppositions 
Accomplissons nos engagements en faisant de notre mieux 
Quoique nous fassions, faisons le totalement et avec passion 
Libérons-nous du triangle dramatique : bourreau victime sauveur 
Développons Gratitude et Compassion pour tout ce qui Est 
Pratiquons quotidiennement la vision intérieure et la méditation 
Les fréquences vibratoires, positives ou négatives, que nous émettons, font résonner les mêmes fréquences chez autrui et gagnent en intensité réciproquement (loi de résonance) 
Nous sommes totalement responsables de notre vie 
Nous attirons chaque événement, personne, circonstance …..qui vibrent sur notre fréquence vibratoire (loi d’attraction) 
Nous attirons et créons ce sur quoi nous portons notre attention (loi d’attention) 

  

Créons une Alliance de Cœur et de Conscience avec les Femmes Eclairées Engagées de la Planète dans une Utopie féminine de solidarité et de mise au Service de la Paix, de la Lumière et de la Vie C’est une aventure passionnante, bouleversante, enrichissante Soyons des Femmes Unies pour la vie SOYONS LA PAIX ET L’AMOUR QUE NOUS VOULONS VOIR DANS LE MONDE

  Meena COMPAGNON-GOLL Porte parole des FEES DU MONDE Enseignante en transformation intérieure Auteure des livres « Apprivoiser le pardon » (édition Amrita) Et l’Urgence Féminine (en cours)  

Publié dans:ACCORD |on 30 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Guérisseurs des Lieux

 

par Daniel Souque et Véronique Martin

  •  Guérisseurs des Lieux dans ENERGIES chantellle

Un jour nous avons décidé d’entrer dans l’univers étrange des phénomènes qui ne se voient pas, ne s’expliquent pas et par déduction logique : n’existent pas ! Et pourtant… cette plongée au coeur de l’impossible nous a permis de redonner vie et lumière à des habitations qui avaient perdu leur âme…

Nous nous sommes investis, tout d’abord, dans les soins et équilibres énergétiques des personnes et les circonstances nous ont amené à prendre en considération l’énergie de l’habitat comme faisant partie intégrante de la Bio Energie humaine. Ce sont les occupants d’habitations perturbées, qui nous ont incités à aller plus loin dans cette recherche. 

  Ondes inter-dimensionnelles 
Aujourd’hui, on connait mieux, grâce à la géobiologie, l’impact que peuvent avoir les perturbations souterraines sur la santé de ses occupants (eau souterraine, failles, réseaux magnétiques…). Il s’agit d’incidences liées aux courants telluriques dénommés également : ondes telluriques. 

Certaines d’entre elles sont repérables par les variations du champ magnétique terrestre. Mais il arrive que l’équilibre de certaines habitations soit bouleversé sans qu’il y ait, apparemment, de perturbation en relation avec le sous sol. Ces ondes extrêmement nocives n’appartiennent pas à la dimension physique. Elles sont, la plupart du temps, rattachées à une autre forme de lumière qui nait de la conscience et seraient du ressort de la physique quantique. 
Contrairement aux radiations électromagnétiques et d’hyper fréquences (téléphonie, micro ondes, radio) parfaitement maitrisées par la technologie moderne, aucun appareil (caméra IR, détecteurs de champ magnétiques ou d’ondes électromagnétiques) ne peut les repérer. Seul l’être humain, avec sa conscience et sa sensibilité, peut y avoir accès. 

  La terre souffre des agissements inconscients de l’humain 
Enclos, terrains, maisons et immeubles d’habitation, de travail sont directement affectés. A partir du moment où l’on accepte cette réalité, il est possible d’accéder aux différents phénomènes qui créent une rupture de l’équilibre cosmo tellurique d’un lieu, puis de les repérer afin de les traiter. Le lien entre maison et habitant est, à l’échelle individuelle, ce qu’est la Planète pour l’humanité. Les guerres, la haine, les destructions, la pollution sont le fait de l’homme et de son libre arbitre. Les lieux de vie s’imprègnent au fil du temps des actes de chacun qui s’inscrivent et parfois peuvent se perpétuer. Ce sont les mémoires des murs et des lieux. Chaque maison est unique, chaque histoire est différente. A travers nos méthodes et nos mesures nous avons établi une liste graduelle permettant de reconnaître l’énergie qui perturbe les lieux. 

  Cinq gradations apparaissent 
  Les mémoires des murs et des lieux. 
  Les présences (personnes décédées toujours rattachées à notre plan physique) perturbants mais sans malveillance. 
  Les entités négatives circulant par l’intermédiaire de vortex du monde astral au monde physique et se nourrissant du mental-émotionnel des individus. 
  Les maisons envoutées causées par des personnes pratiquant magie noire et sorcellerie dans le but d’infliger souffrance et destruction. 
  Les maisons ténébreuses où de multiples faits paranormaux se produisent séparément ou simultanément. 

  Réveiller la lumière de la Terre 
L’habitat est un lieu essentiel de vie et de régénération. Ces maisons « obscures » sont nocives, voire dangereuses pour la santé. Eliminer ces énergies polluantes, recrée des conditions de vie saines, et permet aux occupants de retrouver leur sérénité. Tout soin apporté à la Terre, lui restitue un peu de sa lumière. 

Contact : Daniel SOUQUE Bio énergéticien 

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, GUERISON, POUVOIR |on 30 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Marie l’Egyptienne

Extraits du livre Marie l’Egyptienne

Nicole Montineri

Marie l'Egyptienne dans MARIE-MADELEINE marie« Sens-tu, Zossima, la totalité du désert lorsqu’aucune pensée ne vient troubler l’esprit ?  Cette sensation amène la joie d’appartenir à l’univers, de participer à sa perpétuelle création. Je sais désormais que je respire dans la lumière toujours présente, mais occultée afin de nous laisser vivre. Ce voile est preuve d’amour, car sans lui, l’énergie nous consumerait immédiatement… Vois-tu l’évidence de ce qui est ? Il n’y a plus Marie et le désert, Zossima et le désert. Le désert est toi, il est moi. Seul l’esprit silencieux peut voir ceci clairement. J’ai fini par le comprendre. Il m’a fallu du temps, le temps du désert, immobile, muet. Au début, je cherchais à entendre le moindre bruit dans ce vide minéral qui m’angoissait. Puis j’ai remarqué que le silence du désert n’était pas différent de mon propre silence dès que je me trouvais dans un état d’écoute intériorisé. Le silence du désert me fit prendre conscience du  silence de mon âme. J’ai compris qu’il émanait de la profondeur de cet abîme qui s’était ouvert à l’intérieur de moi. Le silence est comme un couloir qui vient du centre de l’âme et qui y conduit. Alors, je n’ai plus écouté que l’espace vibrant qui englobe et pénètre tout. J’ai réalisé que le silence était la substance éternelle qui imprègne l’univers, sa matrice et son origine. Il était là aux commencements et ne connaîtrait pas de fin. Chaque chose prit dès lors un sens nouveau. Comment te l’exprimer ? Seule, isolée, je me sentais désormais en contact avec tout ce qui est. Je coulais avec ce flux qui donne la vie, je me fondais dans son océan d’énergie, je ressentais les ondes qui parcourent la surface de la terre. Je ne faisais plus qu’un avec la pierre, le grain de sable, le buisson d’épines, l’insecte, l’étoile. Tous ces niveaux de réalité étaient en moi et leur vibration absorbée me donnait une sensation inouïe de liberté. Je plongeais au plus profond de la terre et  m’étirais au plus haut vers le ciel. J’avais l’impression d’être partout à la fois dans l’espace, voyant de l’intérieur, du cœur où tout converge, à la fois nos existences éphémères et la vie éternelle. De ces visions sortirent une joie et une paix remplies de gratitude… »

Marie tourna les yeux vers Zossima. Son regard transparent contrastait avec son visage noir et parcheminé. 
« Au désert, ma pensée affolée de ne plus avoir d’objet vers quoi se fixer est retournée vers le lieu d’où elle venait, s’y est reposée jusqu’à s’oublier. La femme qui au début cherchait à capter le moindre son s’est dissoute dans le silence. Elle est devenue le silence. Il n’y a plus de Marie. »

     Elle plongea son regard lumineux dans celui du moine : « Zossima, c’est une illusion de croire que chacun d’entre nous est l’auteur de ses actes. On peut l’être temporairement, mais à la fin, c’est toujours l’Intelligence divine qui décide. Il n’y a qu’une seule réalité : la vie éternelle, qui se déroule avec ou sans nous. »

     L’homme, qui s’était toujours considéré comme un personnage religieux d’importance, entendit le message.
     « Dès que je ne me suis plus prise pour la femme qui multipliait autrefois les expériences sexuelles, mais aussi celle qui avait été touchée par la grâce devant la Croix, je n’ai plus ressenti mon isolement comme une menace. La vie et la mort prenaient un tout autre sens. Seul celui qui peut mourir de son vivant se tient confiant dans la nudité, le cœur brûlant d’amour.   Il me semblait que j’étais là depuis toujours et que j’y serais encore à la fin des temps. Je n’avais pas de désir, pas de but, pas de devenir. Ma pensée s’était arrêtée, et avec elle, toute perception de durée. Je vivais dans le présent, dans l’éternité de l’instant, comme dans une prière continue et muette. Vivre ainsi est d’une grande beauté… Toutefois, ce repos de l’esprit n’est pas synonyme d’inertie, l’absorption dans le tréfonds du cœur n’est pas une rêverie, un endormissement. Ce qui s’y révèle est une énergie puissante, en expansion constante, faite d’élans libres, d’intuitions soudaines.

 
     − Au bout de combien d’années es-tu parvenue à demeurer recueillie dans cette perception du silence ? l’interrompit Zossima.
     − Je ne sais pas exactement. J’ai perdu la notion du temps humain. Dès que je suis entrée au désert, j’ai eu l’impression que je pénétrais dans une dimension temporelle nouvelle. Maintenant, le temps ne s’écoule plus ; en m’oubliant, il s’est effacé… 
     − Parce que c’est Dieu qui agit en toi.
     − En cette profondeur, l’expression du cœur qui se repose dans le mystère vivant est le silence même. Ce n’est pas une cessation de toute activité, mais un accord subtil au mouvement intérieur. En écoutant la voix qui me commandait de traverser le Jourdain, j’avais, pour la première fois de mon existence, obéi à une volonté autre que la mienne. C’était mon premier geste d’amour véritable, qui fonda mon retour à la maison, en un cœur réunifié qui ne sépare plus l’acte du repos. Lorsque je suis partie, ce fut sans intention précise, sans aucune idée de ce qui allait se passer. Étrangement, j’agissais comme si ma propre personne n’était pas vraiment concernée par ce départ irréversible. La seule chose qui était claire à mon esprit, c’est que je ne partais pas en quête d’une expérience supplémentaire. Cet appel n’était pas une expérience. 

Je ne cherchais rien de particulier, et en effet, au début, il ne se passa rien ! Je restais des heures, des journées entières, immobile. J’étais juste assise là, ou parfois allongée, le regard offert au ciel. Ce n’était pas de la passivité, plutôt une patience que j’apprenais peu à peu et qui me délivrait lentement du temps. Je réalise maintenant combien j’étais extraordinairement confiante, confiante en cet amour qui transmutait le fond de mon être… Mais alors, quel tumulte dans mon cerveau ! Je ne savais pas laisser le calme s’installer en lui. Je ne cessais de sauter d’une pensée à l’autre, d’une émotion à l’autre. Tout se succédait à un rythme rapide dans ma tête. Pourquoi, alors qu’aucune nécessité ne se présentait ? Je compris que j’avais vécu jusque là dans l’agitation et qu’effacer la longue habitude de me disperser au dehors serait difficile.

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 29 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Déraciner la souffrance

Extraits du livre 

Nicole Montinéri

Déraciner la souffrance dans ENERGIES souffranceC’est par la conscience que nous pénétrons au cœur de la vie. C’est elle qui perçoit avec clarté et force, sans juger, sans exiger, sans figer ou tendre vers un but. Il nous faut découvrir cet observateur silencieux de nos pensées, de nos sentiments, de nos tensions, de nos souffrances, et comprendre que c’est l’esprit seul qui bloque ce flux naturel en s’y identifiant au point qu’il ne laisse plus aucun espace. Nous devons permettre à la conscience d’apparaître à chaque mouvement de notre intériorité et d’entrer au cœur de chaque évènement qui se présente. C’est elle qui nous dévoile la réalité et nous fait accéder à ce que la vie a de plus profond. Lorsque nous vivons en pleine conscience le silence du jour qui se lève, souligné par le trille mélodieux d’un merle, nous sommes au cœur de l’absolu. Lorsque nous regardons la beauté simple et reflétons son harmonie, lorsque nous ressentons le lien qui nous unit au cosmos, nous exprimons la vie. Tout ce qui vient à nous est une manifestation de l’énergie pure : nos joies, nos chagrins, nos rencontres, les choses les plus banales, les gestes quotidiens les plus anodins. Tous les phénomènes qui s’offrent à notre regard, à notre écoute, à notre contact, sont l’absolu qui se révèle. Voir ainsi, juste avec la conscience, sans l’interférence des pensées qui parasitent la perception pure, rend la vie plus vivante, moins terne. Tout devient radieux autour de nous, plus expressif, les couleurs des fleurs, les chants des oiseaux…

« Voir ainsi est amour. Tout autre regard reste en surface… », nous dit Krishnamurti. L’amour, c’est l’espace de la vie, silencieux, libre, sans cause et sans but. C’est l’énergie de l’univers, intemporelle, impersonnelle, qui se meut en elle-même, sans direction. Nous l’incarnons lorsque nous épousons le mouvement de la vie, lorsque nous nous abandonnons à sa totalité et offrons à tous ceux que nous côtoyons notre espace de paix. L’amour n’est pas un sentiment envers quelqu’un, encore moins un attachement. Il n’est pas l’expression de l’ego, ne résulte pas d’un processus mental. Nous le rencontrons à chaque seconde de notre existence si nous savons regarder. Il est au creux d’un regard saisi, d’une conversation anodine. Il s’exprime dans chaque petite chose ordinaire, dans la tendresse de nos gestes, dans la patience de notre écoute, dans la douceur de nos paroles, dans la simplicité de notre esprit. Il est dans le respect du chemin de chacun, dans l’attention sensible à la souffrance des autres, dans le soin à un corps affaibli, dans l’acceptation de l’impermanence au cœur des êtres et des choses. 

Il n’y a rien de personnel à vouloir. La vie est son propre but. Elle s’expérimente elle-même lorsqu’elle suscite des occasions, propose des situations, place des évènements sur notre parcours terrestre. Elle se révèle à elle-même là où nous nous trouvons. C’est l’intelligence contenue dans cette énergie universelle qui réalise en nous selon son intention, qui nous porte selon son dessein, sans que nous n’ayons rien de particulier à faire, si ce n’est calmer notre vacarme mental. Nous sommes si ignorants que nous croyons que nous avons le pouvoir de programmer notre existence ! Nous ne nous posons jamais la question : qu’est-ce que la vie attend de moi pour pouvoir se réaliser ? Non, nous nous disons : je veux faire ceci de ma vie.

Mais tout peut arriver… et arrive !

Publié dans:ENERGIES, GUERISON |on 29 juin, 2013 |Pas de commentaires »

N’ayons pas peur de mourir

(Editions Accarias L’Originel)

N'ayons pas peur de mourir  dans La MORT mourir
 » Ce livre est le témoignage de ma rencontre avec ce que l’on nomme la mort.
Je vous parle ici d’un vécu conscient, bien réel pour celle qui l’a expérimenté. J’ai la certitude d’être entrée
en contact avec une réalité qui s’ouvre à notre conscience dès l’abandon du corps physique. J’ai pu
voir ce qu’enseignent tous les maîtres spirituels : derrière les apparences de l’univers, se trouve la réalité
d’une Conscience unique et éternelle. « 

Extraits du livre N’ayons pas peur de mourir

Nicole Montinéri

Je n’ai pas « vu » Dieu, cet Absolu qui n’a pas de nom. Cela aurait été une image de plus, une simple production de l’esprit. C’est le mental qui attribue à ce mot de Dieu une entité qu’il personnalise.  Cependant, je savais être en présence d’une Intelligence qui se conçoit Elle-même, se manifestant en une énergie qui pénètre tout et en laquelle est tout pouvoir.
           Au sein de cette énergie lumineuse qui se meut éternellement en elle-même, je perçus clairement la Transcendance qui répondit à Moïse : Je Suis Cela qui Est. Immédiatement, sans ambiguïté, une communication s’installa. Ce qui est depuis toujours apparut dans l’espace libre de ma conscience. Celle-ci recevait des informations dont elle percevait instantanément la signification. Tout était clair. Chaque information était parfaitement adaptée à ma conscience. Elle était investie de perceptions qui la dotaient d’une compréhension profonde et subtile de la vie. Tout était accessible, comme si ma conscience ouverte et la Conscience cosmique se reflétaient parfaitement, dans cet accomplissement d’une existence voulue par Elle.
           Les informations semblaient toutes arriver simultanément, dans cette dimension atemporelle. Elles ne constituaient pas un savoir, ne passaient pas par la formulation de mots, l’élaboration de pensées ou d’images. La conscience, parce qu’impersonnelle et transparente, était devenue connaissance. La compréhension était directe et sans effort. Elle ne produisait aucune réaction, aucune émotion, car j’étais vide de toute mémoire. Elle dépassait de loin les capacités mentales. C’était comme si je percevais avec l’Intelligence, comme si je voyais avec Son regard. J’étais le fragile réceptacle de vérités intransmissibles, car intraduisibles par des mots. Ce que j’ai perçu se situe au-delà de l’expression de notre langage. Les mots ne peuvent traduire que des images ou des concepts liés à la dimension terrestre espace-temps au sein de laquelle nous évoluons. Ils ne pourront jamais exprimer les perceptions connues dans cette autre réalité. Bien que mon cerveau fût inactif durant toute cette expérience, je me souviens cependant avec précision de la connaissance essentielle de l’origine de l’univers et du sens de la vie à laquelle j’ai eu accès. Je compris la signification de l’univers, perçu comme un ensemble cohérent, comme un tout harmonieux qui me donna la certitude d’appartenir à une unité cosmique. Je saisis la raison d’être de tout ce qui existe. Rien ne se crée en vain. Chaque chose a sa juste place. L’Intelligence sait parfaitement ce dont la création a besoin, ce qui lui convient pour son développement. Je perçus la cohérence des évènements de tous les temps, leur enchaînement sans commencement ni fin. Un processus cosmique, ayant un sens, se déroule. Il s’agit, pour ses créatures, de se laisser guider, de s’abandonner sans réserve à l’énergie de l’Intelligence qui façonne sans cesse la marche du cosmos. Tout, absolument tout, est contenu en elle : nos existences, bien sûr, mais aussi la moindre de nos pensées.

           J’avais le sentiment que mon identité était parfaitement connue de cette Intelligence. Ce qui suggère un lien permanent indéfectible et montre l’extrême importance de notre vie sur la terre, de nos actions,  de nos relations avec les autres, placées dans ce contexte du sens de la création et du rôle de nos existences en son sein. L’Intelligence ne m’est pas apparue comme une pure abstraction. Toutes les formes manifestées de l’univers sont inséparables de Sa conscience. Tout provient d’Elle et y retourne. Tout ce qui existe dans l’univers a sa source en Elle, sa substance en Elle, son sens en Elle.

           La vie se présenta à moi éclairée depuis sa source. C’est dans la lumière de la Conscience suprême que se crée l’univers, que les formes naissent et se dissolvent. Cette lumière est aussi la substance de la part de notre conscience qui demeure reliée à la vibrante réalité. Cette conscience pure, conscience sans objet, est la claire connaissance. Elle est immuable, éternelle, absolue. C’est pourquoi elle est réelle. Elle est même la seule réalité. Elle est notre véritable nature. L’univers entier se trouve en son sein. Il n’y a rien qui soit à l’extérieur, parce que le monde et ses manifestations ne peuvent être appréhendés que par la conscience. Sans son miroir, on n’aurait aucune image, aucune représentation.            

           Lorsqu’on comprend que chaque chose fait partie de nous, on connaît tout de l’action de l’énergie cosmique sur l’univers, sur notre monde changeant et multiple, sur nos existences fragiles. C’est une compréhension sans la moindre réflexion, car aucun de nos raisonnements, aucune de nos facultés intellectuelles ne peuvent cerner la réalité ultime. La connaissance suprême ne prend pas sa source dans le mental, mais dans la conscience impersonnelle. Tout est perçu intensément dans la lumière qui la baigne, qui la fond dans la Conscience cosmique. Au sein de cette Conscience, notre propre conscience est légère, car vide. Seulement conscience-de-soi, et non conscience d’un objet. Débarrassée du poids de l’ego, dépourvue de toute identification. Ce vide, potentiel infini, est plénitude. Les anciens textes sacrés indiens expliquent que la vacuité est la plus haute forme d’énergie et que d’elle émerge la multitude des manifestations de l’univers. C’est cette plénitude que ressent la conscience lorsqu’elle s’immerge totalement dans l’énergie vide d’objet. Une plénitude vibrante d’amour et de connaissance, l’un toujours uni à l’autre. Un espace sans direction, immobile, non créé et qui permet à toutes choses d’exister. Notre conscience est alors Je Suis. Pleine de la Présence divine. Ce fut la plus haute connaissance qui me fut révélée.

Publié dans:La MORT, PEUR |on 28 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Le médium qui sommeille en nous

La voyance est-elle un don ou serions-nous tous capables d’obtenir intuitivement des informations que nous ignorons ? Pour Alexis Tournier, médium depuis 15 ans, devenu le premier Remote Viewer français, il y a 5 ans, nous aurions tous en nous cette faculté. Comment la réveiller ? La clé se trouverait dans le Remote Viewing.

Le médium qui sommeille en nous dans MEDIUM oracle_oui_non

Le Remote Viewing (en français, vision à distance) est une pratique intuitive permettant de développer l’intuition et les perceptions, principalement pour obtenir des informations spécifiques, relatives à une problématique définie, physiquement inaccessibles par des moyens conventionnels. Cette méthode englobe un ensemble de protocoles et de techniques qui ont été développés dans les années 70 aux États-Unis, sur la base des travaux scientifiques menés principalement dans les laboratoires du PEAR, du SRI et de la Mobius Society. Certaines de ces recherches initiales ont été menées dans le domaine civil (par exemple les travaux de la Mobius Society dirigée par Stephan A. Schwartz), surtout dans les cadres de l’archéologie, de la finance et d’enquêtes. D’autres ont été financées par des organismes militaires (comme la CIA, la DIA…) qui ont par la suite créé une unité de renseignement pour « espions psychiques » : c’est le fameux programme Star Gate. Le plus célèbre remote viewer : Joe Mc Moneagle, espion extrasensoriel engagé par la CIA, la NASA et le FBI pour des missions très spéciales comme la récupération d’otages. Les résultats qu’il a obtenu lui ont valu d’être plusieurs fois récompensé. Entretien avec Alexis Tournier, médium depuis 15 ans, devenu le premier Remote Viewer français.

Comment vous êtes-vous intéressé au remote viewing ? 
J’ai accepté de participer, il y a quelques années, à une série d’expériences menées par des chercheurs et des étudiants en parapsychologie de l’Institut Métapsychique International (IMI). Ayant moi-même un parcours scientifique, j’avais très envie de voir s’il était possible de comprendre le fonctionnement psychique et intuitif de la capacité de voyance, une activité qui, à la base, n’a aucun fondement rationnel. Je devais, comme les autres voyants qui participaient à ces protocoles de tests, décrire le contenu d’une enveloppe fermée. C’est dans ce cadre-là que j’ai appris qu’il existait des techniques élaborées de vision à distance, que tout le monde est capable d’utiliser. J’ai alors voulu me former au Controlled Remote Viewing avec d’anciens viewers militaires américains. Cette méthodologie est née des différentes recherches sur les phénomènes PSI – télépathie, états modifiés de conscience, clairvoyance… – menées par deux physiciens américains, le Dr Hal Puthoff et le Dr Russell Targ. Ensemble, ils ont proposé une approche scientifique des perceptions intuitives. Ce qui est intéressant, c’est que le Remote Viewing remet en questions le « don » – comme on l’appelle à tort – de voyance car les différentes recherches effectuées tendent à prouver que ces capacités intuitives sont finalement à la portée de tous. 

Cela ne nécessite-t-il pas certaines prédispositions ? 
A moins d’avoir des problèmes d’ordre psychologique ou un dérèglement psychoémotionnel important, je ne connais personne qui ne soit jamais parvenu à trouver des éléments tangibles du contenu d’une enveloppe. 

Suffit-il de se former au Remote Viewing pour être voyant ? 
Disons que plus on s’entraîne, plus on développe son intuition. De nombreux stagiaires que j’ai eus en formation chez IRIS Intuition Consulting pensaient ne pas avoir une once d’intuition dans la vie. Pourtant, certains se sont avérés très brillants, parfois même bien meilleurs que moi. Leurs résultats étaient parfois stupéfiants, et dignes d’un scénario de science-fiction. Certains pourraient en effet faire de très bons voyants ! 

Des exemples marquants dont vous vous souvenez ?
Un stagiaire avait pour cible l’animatrice de talk show américaine Oprah Winfrey. Il a senti que c’était une femme, contemporaine, il a également décrit l’environnement show biz dans lequel elle évolue, sans toutefois mettre un nom dessus. Puis, il a senti qu’elle avait toujours un objet dans la main comme un totem ou un emblème de sa fonction. « Elle ne peut s’exprimer sans avoir ce truc-là », a-t-il ajouté. Il a alors pris de la pâte à modeler et sculpté quelque chose qui avait bel et bien une forme de micro. Un autre stagiaire devait trouver un événement récent : le saut en parachute depuis l’espace réalisé par l’autrichien Felix Baumgartner. Il a dessiné une capsule avec un gars qui saute dans le vide, et décrit très clairement les conditions sécurisées, la personnalité aventurière du parachutiste… Dernier exemple, celui d’une autre stagiaire qui avait pour cible la sonde Curiosity envoyée sur la planète Mars. Je me souviens que c’était très drôle car sans bien comprendre de quoi il s’agissait, il soulignait une dichotomie entre le côté totalement désert du lieu et la présence de la technologie. 

Quelles différences entre la technique du Remote Viewing et la voyance ?
Pour le Remote Viewing comme pour la voyance, je fais appel aux mêmes facultés, et j’utilise les mêmes canaux. La différence c’est qu’en Remote Viewing, on ne connaît pas la nature de sa cible, on travaille en aveugle, et on doit décrire de la manière la plus précise possible ce qui est contenu dans l’enveloppe, en suivant un protocole précis, sans jamais tomber dans l’interprétation. Si par exemple, je sens que l’objet que je dois trouver a quatre pieds et qu’on peut s’asseoir dessus, je ne dois pas déduire qu’il s’agit d’une chaise. Je dois d’abord me concentrer sur mes sensations premières. En revanche, lors d’une séance de voyance, le consultant, assis face à moi, interagit, me pose des questions. Je vais donc sentir son angoisse, ce qu’il a envie de savoir, ce qu’il désire entendre. J’engrange aussi inconsciemment tout un tas d’informations non verbales – son apparence, la manière dont il s’exprime, sa gestuelle… Des éléments perturbateurs qui biaisent mon ressenti, et donnent lieu à des interprétations. Pour rester dans l’information brute, il faudrait que je ne voie pas la personne, et que je ne l’entende pas. C’est pourquoi, je commence toujours la consultation avant que la personne n’arrive au cabinet. Ce qui me permet d’obtenir de l’information pure.

Comment pensez-vous que les viewers comme les voyants captent leurs informations ? 
Je pense qu’on se connecte à une espèce de matrice de l’information, à un champ de conscience universel, à une immense base de données invisible. Par un processus inconscient, ces informations sont décryptées par le corps, à travers les cinq sens. C’est comme si on nous téléchargeait des kilooctets de bits informatiques et qu’on se branchait sur le bon logiciel de décodage.

source : http://www.inrees.com/

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 28 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Histoire d’une réincarnation

L’Inde est l’un des pays où l’idée de réincarnation est la plus acceptée, raison peut-être pour laquelle la population semble ouverte à la possibilité que leurs enfants puissent être des incarnations d’autres personnalités. Voici l’histoire de Jasbir, relatée par Ian Stevenson dans son livre enquête « 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation ».

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L’idée de réincarnation constitue un principe important de la religion hindouiste, pratiquée par la grande majorité des habitants de l’Inde. L’hindouisme est la plus vieille religion du monde toujours vivante, et l’on peut faire remonter ses origines jusqu’au IVe millénaire avant J-C. Ses doctrines et ses pratiques ne sont pas très différentes aujourd’hui de ce qu’elles étaient il y a des milliers d’années. Les efforts de persuasion des conquérants et des missionnaires musulmans et chrétiens ont eu peu d’impact, pour ce qui est des idées fondamentales de l’hindouisme, sur la foi de la plupart des Indiens. J’ai évoqué, dans l’introduction de cette monographie, les rapports complexes qui unissent la croyance en la réincarnation dans certaines cultures à l’apparition de cas qui semblent prouver et justifier celle-ci. (…) 

Le cas de Jasbir

Dans la plupart des cas dits de réincarnation, la personnalité antérieure meurt plusieurs années avant la naissance de la personnalité actuelle. L’écart de temps varie mais, dans les cas survenus en Inde, il est en moyenne d’environ cinq ans. Le cas qui nous occupe présente une caractéristique inhabituelle : la personnalité antérieure à laquelle le sujet s’identifia ne mourut qu’environ trois ans et demi après la naissance du « corps physique de la personnalité actuelle ». (…)

Au printemps de 1954, Jasbir, le fils de Sri Girdhari Lal Jat, vivant à Rasulpur dans le district de Muzaffarnagar (U. P.), était considéré comme mort de la variole ; il avait trois ans et demi. Le père de Jasbir alla voir son frère ainsi que les autres habitants du village afin qu’ils l’aident à enterrer son fils « mort ». Comme la nuit était assez avancée, ils lui conseillèrent de reporter l’enterrement au matin. Quelques heures après, Sri Girdhari Lal Jat remarqua par hasard des soubresauts dans le corps de son fils qui, progressivement, revint complètement à la vie. Il fallut plusieurs jours avant que l’enfant prononçât quelques mots et plusieurs semaines avant qu’il pût s’exprimer clairement. Quand il retrouva l’usage de la parole, son comportement changea de manière frappante. Il affirma alors qu’il était le fils de Shankar, du village de Vehedi, et qu’il désirait s’y rendre. Il ne voulait pas manger dans la maison des Jat puisque, étant brahmane, il appartenait à une caste supérieure. Ce refus catégorique de manger aurait certainement provoqué à nouveau sa mort si une brahmane, voisine de Sri Girdhari Lal Jat, ne s’était très gentiment chargée de préparer sa nourriture, selon la tradition brahmane. (…)

Jasbir se mit à donner de plus amples détails sur « sa » vie et sur « sa » mort dans le village de Vehedi. Il décrivit notamment comment, lors d’une procession de mariage qui allait d’un village à un autre, il avait mangé des bonbons empoisonnés. Il prétendait qu’un homme à qui il avait prêté de l’argent lui avait donné ces bonbons. Il avait alors été pris de vertiges, était tombé de la carriole qu’il conduisait, s’était blessé grièvement à la tête et en était mort. (…)

Trois ans plus tard environ, cela attira l’attention de Srimati Shyamo, une brahmane originaire de Rasulpur qui s’était mariée avec un homme de Vehedi, Sri Ravi Dutt Sukla. Cet homme ne retournait que très rarement à Rasulpur (à peu près tous les sept ans). Au cours d’un de ces voyages, en 1957, Jasbir la reconnut comme étant sa « tante » ; Elle rapporta cet incident à la famille de son mari et aux Tyagi à Vehedi. Or, les circonstances de « sa » mort et d’autres faits racontés par Jasbir correspondaient exactement aux évènements de la vie et de la mort d’un jeune homme de vingt-deux ans, Sobha Ram, fils de Sri Shankar Lal Tyagi qui habitait Vehedi. Sobha Ram était mort au mois de mai 1954, dans un accident de carriole, conformément au dire de Jasbir. La famille Tyagi ignorait cependant tout d’un prétendu empoisonnement ou d’une quelconque créance de Sobha Ram avant d’avoir entendu les déclarations de Jasbir. Ce n’est que par la suite qu’ils en vinrent à soupçonner l’empoisonnement. 

Quelque temps après, le mari de Srimati Shyamo, Sri Ravi Dutt Sukla, en visite à Rasulpur, entendit parler des propos de Jasbir et il le rencontra. Le père de Sobha Ram ainsi que d’autres membres de sa famille vinrent ensuite voir Jasbir ; celui-ci les reconnut et établit parfaitement leurs liens de parenté avec Sobha Ram. Quelques semaines plus tard, un habitant de Vehedi nommé Sri Jaganath Prasad Sukla fit venir Jasbir dans son village, sur les conseils du directeur d’une sucrerie près de Vehedi. Il le déposa près de la gare de chemin de fer et lui demanda de lui montrer le chemin jusqu’au quadrilatère des Tyagi. Ce que fit Jasbir, sans difficulté aucune. Puis on emmena Jasbir chez Sri Ravi Dutt Sukla et, de là, il montra le chemin (différent du premier) jusque chez les Tyagi. Il resta quelques jours dans le village et, en présence des Tyagi et d’autres villageois, il fit preuve de connaissances précises sur la famille Tyagi et sur ses affaires. Il passa un très bon moment à Vehedi et rentra à contrecœur à Rasulpur.

20 cas suggérant le phénomène de réincarnation, Ian Stevenson
Éditions J’ai Lu (Mars 2007 ; 665 pages) 

 

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 28 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Dialogue entre Science et Spiritualité ?

Qu’est-ce que la spiritualité ?
 
Raisons spirituelles de la crise ?

Rencontre avec Frédéric Lenoir, philosophe, sociologue et historien des religions. Chercheur associé à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales (EHESS).

Directeur de la rédaction du magazine Le Monde des Religions (bimestriel appartenant au groupe Le Monde). Producteur sur France culture de l’émission Les Racines du ciel, auteur d’une trentaine d’ouvrages (essais, encyclopédies, romans), il est également scénariste de bande dessinées et auteur d’une pièce de théâtre.

 


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A propos de Lilou Macé

Lilou Macé est franco-américaine, auteur du livre à succès ‘I Lost My Job and I Liked It: 30-Day Law-of-Attraction Diary of a Dream Job Seeker’ (qui va bientôt paraître en français) et journaliste web spécialisée dans le bien-être et la spiritualité contemporaine et co-fondatrice du défi des 100 jours qui teste les lois universelles (communauté comptant plus de 5,000 membres dans 125 pays www.CoCreatingOurReality.com).

Sa webTV www.LilouMace.com est devenue une référence sur le web et un phénomène sur Youtube (+7,300 abonnés) avec plus de 3 millions de vidéos vues, dont 250,000 vidéos vues par mois et elle est devenue une pionnière dans la réalisation d’interview par webcam.

Le Grand Esprit ou Supra-mental

 Le Grand Esprit ou Supra-mental dans AMERINDIENS u

Au-delà du mental, il y a ce que Hegel appelle le supra-mental et que les Indiens nomment le Grand Esprit. Il peut agir lorsque le mental est calmé. Le chaman est un allié du Grand Esprit. Il est en état constant de relation amoureuse. Le chaman ne regarde pas un arbre en attendant que l’Esprit y descende. Il le regarde pour informer l’Esprit que c’est dans le bois qu’il va descendre. Ca se passe instantanément car son mental inférieur, qui sait que c’est du bois, il l’utilise comme associé. Lorsqu’il descend, est-ce le Grand Esprit qui descend dans la Matière, ou le Grand Esprit caché, tapi dans le mystère de la conscience humaine qui se révèle ? C’est là la grande joie, le mystère de l’arbre, aussi !.

Le mental inférieur est un excellent ouvrier, un excellent outil pour explorer le monde. Son lieu de vie est le temporel, il n’est pas dans l’éternel, dans l’infinitude. Il ne peut pas pénétrer dans le domaine de l’intuition pure, de la raison objective, de la captation. S’il est livré à lui-même, il n’est qu’un serviteur qui se prend pour le maître. S’il est relié, s’il est au service du Seigneur, il est noble. Il peut servir d’intermédiaire, de messager. Si le mental inférieur est dans le croire, l’intuition sensitive est dans le savoir. Attention, il ne s’agit pas d’un savoir possessif, il s’agit d’un savoir ancré dans l’absolu. Le mental inférieur a besoin de preuves, l’intuition sensitive ne se soucie d’aucune justification ni d’aucun raisonnement.

Pour passer du mental inférieur au supra-mental, il faut une préparation. Si vous branchez un appareil de 100 volts sur du 220, il claque. Tout réveil prématuré par la drogue, ou par des expériences chamaniques inopinées en pleine Amazonie, est extrêmement dangereux, parce que ceux qui s’y livrent, poussés par l’avidité, entrent en contact avec des choses qui sont d’une autre fréquence, très haute.

Le sentir est une dilation de l’organisme et le mental est la réduction de tout à des concepts.

Le corps est un immense radar des tons vibratoires dans lequel le ton vibratoire de la pensée occupe une certaine place mais pas toute la place.

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La pensée du monde ordinaire, mécanique, contient trois niveaux : la pensée comparative, la pensée cumulative, la pensée possessive. La créature qui vit sous leur emprise sécrète des angoisses qui s’ankylosent jusqu’à former des kystes où s’enracinent le mal-être et la maladie. S’informer, apprendre, avoir des diplômes, être reconnu… Nous nous privons de la grâce pour avoir le mérite. C’est d’eux-mêmes que les gens ont peur. Le premier travail est de vaincre sa peur. Peur de se libérer de ses opinions. Peur de changer le niveau où s’opère sa conscience et d’être privé de repères. Peur de perdre ses droits qu’il pense avoir sur autrui, ou des prérogatives purement fantasmatiques, car elles n’existent qu’à l’ombre de cette sorte de réduit qu’il croit être le monde. Il faut savoir que nous pouvons, si nous le voulons, pénétrer dans un royaume magique à l’intérieur de nous-mêmes, animés par la force de l’amour qui nous aime.

 banniere-coloree dans DEVELOPPEMENT

Le chaman est un individu simple, naturel, qui, pour avoir développé sa dimension féminine par le sentir, est entré de plain-pied dans l’alchimie profonde de l’être. Qui s’intègre à la mémoire de toute chose et non pas au concept ou à l’opinion qu’il peut avoir des choses. 

Maître Eckhart a dit : « L’œil par lequel je vois et l’œil de Dieu sont un seul et même œil ».

Saint-Augustin a dit : « L’amour est spirituel parce que charnel et charnel parce que spirituel ». Il n’énonçait pas des concepts, il parlait d’expérience. Il est entré dans la vibration de la cellule, sentant les échos de ce qu’il appelait la fréquence de l’esprit dans l’incarnation de sa propre matière. Il annonçait déjà la grande découverte du XXème s.: il n’y a pas d’énergie sans matière.

Le dénominateur commun entre la voie soufie et le chamanisme est, dans les deux cas, un travail à l’intérieur de l’expérience du sentir amoureux, dans le présent, au moyen d’actions sans récompense ni châtiment futur, opérant sans culte visible, libre de tout dogme et qui, en général, se voilent avec art dans les aspects les plus ordinaires de la vie. 

Si les Seigneurs le désirent, Ils viendront et se révèleront pour donner à chacun ce dont il a besoin pour continuer sa route. Chacun reçoit selon ses nécessités et son destin. On ne mange pas tous dans le même plat, et pas forcément non plus la même nourriture. 

« Reste dans le sentir de ton Cœur. Ne pense plus ta vie, retourne dans le temple de ta substance chaque fois que tu respires et l’Amour viendra… Il te cherche ! Sors de ta souffrance. Brise la cage où gît la peur de tes ancêtres. Libère ton esprit et rejoins le mon des hommes qui se sont engagés sur le sentier de la joie dans l’éphémère. Joue sans peur ave l’Aigle. Ecoute-le lorsqu’il te parle, il le fait avec Amour en te chuchotant à voix basse ses secrets, ceux qui sont gardés dans la mémoire des pierres. Retourne au minéral, au végétal, à l’animal et avance. Avance jusqu’à toi et, de là, vole avec l’Aigle. Ne cherche pas à piller ses Secrets, ils te seront donnés au fil de ta vie, au fur et à mesure que ton être grandira en habileté, en expérience, en ruse. C’est cela, la voie royale que tu cherches, la voie du guerrier. Au banquet des initiés, veille à devenir, par l’amour, digne de participer au premier secret, CELUI DU PARTAGE.

Sort de la mort, cesse de rêver, frappe aux cinq portes de tes sens et opère avec le vent. Appelle le Seigneur caché dans le secret de ta substance. Ton propre corps est ton tabernacle. Je suis toi-même. Sors de ton histoire. Ecoute les légendes et le parfum des dieux. Elles ont pénétré le monde afin d’aider les hommes. Colle-toi au feu d’amour et deviens le fils de sa lumière ».

L’homme vient au monde formé à la fois d’une créature charnelle et d’un être spirituel. Dépendant des lois de l’ampleur qui règnent sur la planète, il est inexorablement poussé par l’instinct à croître et à se multiplier. Parallèlement, des réminiscences de l’Etre en lui l’attirent vers des sentiments nobles et altruistes et des états de conscience élevés. La racine de la souffrance humaine est là, dans le voisinage de ces deux natures qui , enfermées dans le même corps, se disputent le droit à la vie plénière. Dans ce triangle infernal de l’Affirmation et de la Négation, l’homme doit apporter, souverainement, la Réconciliation ».

Des âmes errantes que deviennent-elles ?

Les âmes errantes des morts

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A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.

Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 
Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 

Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

Article paru sur http://www.inrees.com/

Résidence hantée

Une résidence officielle hantée
au Japon ?Résidence hantée dans POLTERGEISTS et LEGENDES japon

Depuis son élection en décembre dernier, le Premier ministre japonais n’a pas emménagé dans la résidence officielle située à proximité de son bureau et du Parlement. Une décision motivée par la superstition selon la rumeur… M. Shinzo Abe aurait-il peur des fantômes ?

Des monstres et des esprits dans les mangas, des vampires et des zombies dans les séries télé et les jeux vidéos, des histoires d’entités immatérielles dans les livres… Au Japon, la question du surnaturel et du fantastique est très ancrée dans la culture. 

Aussi, lorsque que le Premier ministre refuse de s’installer dans sa résidence officielle, les interrogations fusent et stimulent l’imaginaire. Un député de l’opposition a demandé si le choix de M. Shinzo Abe s’expliquerait par les rumeurs laissant entendre que la résidence officielle serait hantée. Le cabinet de M. Shinzo Abe a officiellement démenti la raison invoquée par l’opposition, et a déclaré « ne pas être au courant » de la présence du moindre spectre dans la résidence. 

Pourtant, en examinant l’histoire de cette résidence, le Premier ministre pourrait avoir quelques raisons de craindre la présence d’âmes. Les rumeurs concernant cette résidence officielle, qui fut le théâtre d’épisodes sanglants dans les années 1930, ne datent pas d’aujourd’hui. Plusieurs chefs de gouvernement ont, dans le passé, avoué y avoir fait l’expérience de phénomènes étranges, et les épouses de certains d’entre eux ont même refusé d’y vivre.

Si nul ne sait aujourd’hui si la résidence officielle du Premier ministre japonais est réellement hantée, Shinzo Abe par sa décision de ne pas s’y installer laisse planer le doute et fait vivre ces fantômes, au moins dans l’imaginaire collectif.

Lire l’article sur Yahoo.com

Publié dans:POLTERGEISTS et LEGENDES |on 23 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Les regrets des mourants

Une infirmière australienne, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital, a accompagné les personnes mourantes dans leurs derniers jours. Dans un livre paru fin 2011, elle a révélé quels étaient les regrets les plus courants que nous avions à la fin de notre vie. (Lu sur Yahoo!)

Les regrets des mourants dans ENERGIES 222 

Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. « Inspiration and Chai » a ensuite été posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant ». Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 – J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l’entendaient

« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »

2 – J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur

« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ». Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler. »

3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients. »

4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir. »

5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux

« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement. »

Lire l’article sur Yahoo!

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, La MORT |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

En contact avec l’invisible

  
confidences d’un médium

Henry Vignaud est sans doute l’un des plus grands médiums actuels. Quel est l’ordinaire de cet homme aux capacités extraordinaires, dont le métier est de faire le lien entre les morts et les vivants ? Confidences autour de son parcours et de ses perceptions.


En contact avec l'invisible dans ESPRITS travail1

Vous recevez jusqu’à 25 personnes par semaine, depuis plus de 20 ans. Arrivez-vous encore à trouver votre don surnaturel ?
Voir des esprits et communiquer avec eux fait partie de mon quotidien, mais je ressens toujours une forme d’émerveillement. Face aux preuves de survie, d’abord, mais aussi quand je vois combien, par mon intermédiaire, certains retrouvent la paix et l’espoir. 

Avez-vous parfois la pression ?

Les perceptions ne sont pas automatiques. Il peut y avoir des filtres spirituels, ou des écrans créés par l’énergie des vivants. Je reçois parfois des gens très durs, très exigeants. L’autre jour, une dame me reconnaît sur le quai d’une gare. « Mon fils unique est décédé, j’ai rendez-vous avec vous dans quelques mois, m’apprend-elle. Je ne sais pas si je vais tenir jusque là… Je n’ai jamais consulté de médium. Si je n’obtiens pas de signe, je me suicide. » Quand les gens sont dans une telle détresse, je prie pour obtenir des informations ! Mais à la clé, il peut y avoir des moments très forts.

Êtes-vous parfois surpris par des esprits ?

Je suis toujours curieux de découvrir leur intention. J’aime ces moments où l’âme s’impose à moi pour que je dise des choses. Hier par exemple, pendant une voyance, je vois apparaître la mère de mon client. Puis presque malgré moi, je lance à toute volée, en reprenant son ton tonitruant : « Arrête d’aller en boîte de nuit et de draguer les autres femmes alors que tu es marié ! » Le monsieur le reconnaît : « Mon épouse est dépressive, elle prend des médicaments pour dormir ; alors parfois j’en profite pour sortir… » Pas de quoi plaire à sa mère, une femme très droite et très autoritaire ! J’aime aussi quand des gens découvrent par mon intermédiaire des informations qu’ils ignoraient : comme cette dame, dont j’avais vu l’arrière-grand-père jouer de l’harmonium dans une église ; sur le moment, elle m’avait dit « non, ce détail ne colle pas ». Vérification faite, c’était vrai ! Ces indications invitent les gens à s’intéresser à leurs aïeux ; elles renforcent le lien.

Recevez-vous des gens parasités par des esprits ?

Ce n’est pas très fréquent, mais ça arrive. Je me souviens d’une dame ; à peine était-elle entrée que j’ai perçu la densité d’un esprit, une main se matérialiser et taper fortement sur ma table. Je capte tout de suite qu’il s’agit de son mari, mort six ou sept mois auparavant. « Ça commence bien, il est très en colère ! »préviens-je. Je me concentre, il me montre des scènes de lui, assis sur un canapé, saoul, entouré de canettes de bières, gueulant comme un putois, frappant sa femme et ses enfants. Je vois aussi qu’il est mort au volant, brutalement. J’apprends qu’il s’est tué le jour où il a reçu le papier du divorce. Son irritation et son désir de la posséder venaient du fait qu’il refusait qu’elle soit en vie et pas lui. Je ne suis pas dégageur d’âme, mais j’essaie de parler à l’esprit intérieurement, et je conseille aux gens d’en faire autant, dans un état de recueillement qui favorise la connexion.

Vous avez l’air de ne pas capter uniquement des informations, mais des émotions.
L’âme aussi à des sentiments ! Je ne reçois pas que des données visuelles ; dans l’injonction de l’esprit, il peut y avoir de la souffrance, de la joie, de l’amour… C’est ça qui est passionnant ! Lorsque l’esprit a gardé un humour ou une façon de parler savoureuse, cela peut mener à de grands moments de rigolade. 

Est-ce toujours aussi enthousiasmant ?

Une séance peut être très fatigante. Si certaines énergies tonifient, d’autres plombent. Entrent en jeu l’atmosphère du lieu, l’énergie des vivants, celle des défunts… Accéder au bon degré vibratoire pour canaliser l’esprit demande beaucoup d’énergie. A la fin, je suis parfois en hypoglycémie ! On peut y laisser la santé… Parfois, je me sens vieux de toute cette souffrance, toutes ces expériences, toutes ces histoires partagées, parfois très intimement.

Vous avez aussi des dons de clairvoyance. Sont-ils vraiment un moyen d’obtenir des réponses, ou du moins des orientations ?

Je sais que les choses que je perçois auront lieu, mais pas comment ni quand. Il y a quelques années, une amie me titillait pour savoir si je voyais quelqu’un dans sa vie. Sa question me provoque un cliché : « Je te vois invitée à une cérémonie, dans une grande propriété, lui dis-je. J’ai l’impression qu’une situation cocasse te rapproche d’un homme : vous avez tous les deux l’air différent des autres. » Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire ! Les mois passent. Une copine lui propose de l’accompagner à un mariage. L’événement a lieu dans un château, loué pour l’occasion. Mon amie se pointe : on a oublié de la prévenir qu’il s’agissait d’un mariage costumé ! La seule autre personne a ne pas avoir eu l’information, c’était un jeune homme… Ils sont aujourd’hui les parents d’une charmante adolescente.

Vous vivez parfois des situations embarrassantes ?

Un jour, une très belle femme, très chic, arrive pour une voyance. Dès le début, je distingue nettement un matelas et un lit. Un peu gêné, je tente : « Vous envisagez de changer de literie ? » Réponse négative. Je continue la séance ; je la vois beaucoup bouger, parfois avec des hommes d’affaires, à l’étranger. Mais ce plumard ne cesse de revenir… Elle finit par m’avouer qu’elle est call-girl de luxe !

Avez-vous déjà sauvé des vies ?

Il m’est arrivé de détecter un cancer chez une femme venue pour une voyance. Prenant mon indication au sérieux, elle est allée consulter un spécialiste, alors qu’elle ne souffrait de rien. Le médecin a confirmé qu’elle avait un début de tumeur, prise suffisamment à temps pour être soignée. Idem avec une jeune fille, venue avec ses parents à une séance publique. Un défunt s’est présenté pour eux, me montrant très précisément une noirceur au niveau des ovaires, une opération, la prise d’un traitement. Ces gens m’ont envoyé une lettre magnifique pour me dire que ma vision était exacte et me remercier de les avoir alertés. Mais je n’y suis pour rien : je ne suis qu’un passeur !

Sentez-vous un engouement ?

Les gens sont de plus en plus ouverts. De grands universitaires m’invitent à la Sorbonne pour échanger avec eux, des psychothérapeutes m’envoient des patients lorsqu’ils pensent que mon intervention peut aider… Le public s’intéresse au bien-être, aux soins énergétiques, aux approches transpersonnelles. Attention toutefois à ne pas croire n’importe quoi. Ce ne doit devenir ni une addiction, ni un enfermement. Je connais un monsieur qui voit dans chaque problème relationnel le signe de prétendues possessions, alors qu’il ne s’agit que de psychologie humaine ! La connaissance est importante, mais il faut rester dans une dynamique de recherche et d’échange.

Que vous a apporté votre don de plus positif ?

D’abord un profond éveil intérieur. La surprise de vivre ces phénomènes, puis la curiosité qu’ils ont suscité en moi, m’ont fait grandir. Ressentir des forces d’amour, venues de l’au-delà, m’a fortifié. Exercer en tant que médium me permet aussi de me nourrir de rencontres humaines. Parfois je pleure avec mes clients, submergé par leur émotion ! L’autre jour, un peintre de 80 ans vient me voir pour sa femme défunte. De belles preuves m’apparaissent. Alors que je lui parle, les yeux fermés, le monsieur me prend la main et se met à l’embrasser, comme si c’était celle de son épouse. Il était tout en gratitude, c’était super touchant. Pour moi, il n’y a rien de plus beau que de lire la libération sur un visage, le voir s’illuminer, les yeux pétiller, l’être se rouvrir à la vie, ici et maintenant.

En contact avec l’invisible, Henry Vignaud & Entretien avec Samuel Socquet
InterEditions (2013 ; 192 pages) 

Publié dans:ESPRITS, MAITRISE, MEDIUM, PENSEE |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Avoir un guide spirituel

Peut-on se connecter
à un guide spirituel ?

En quoi tient le channeling, cet état de conscience qui nous permet de nous connecter à un guide spirituel? Est-ce une capacité intuitive ou plutôt un état que nous pouvons cultiver ? Dans « S’ouvrir au channeling », Sanaya Roman et Duane Packer nous proposent les instructions de leurs propres guides respectifs, Orin et DaBen.

Avoir un guide spirituel dans CHANNELING images-7

La plupart d’entre vous ont déjà eu de brèves expériences d’un espace relevant du channeling : lorsque, par exemple, vous parlez à une personne dont vous vous sentez proche, qui est dans le besoin, et que vous sentez une sagesse vous imprégner, que vous dites des choses que vous n’aviez pas prévu de dire. Dans les moments où vous ressentez un profond amour pour un proche, quand la beauté d’un coucher de soleil vous touche, lorsque vous appréciez la délicatesse d’une fleur ou que, plongé(e) dans la prière, vous ressentez de la ferveur – toutes ces situations contiennent des éléments de cet état de conscience.

Quand une voix intérieure très claire vous dit des choses qui semblent provenir d’un niveau plus élevé que celui de vos pensées courantes, quand vous enseignez et que vous vous sentez soudain inspiré(e), quand une impulsion vous amène à dire des choses inattendues et sages, ou à toucher quelqu’un de façon inhabituelle et qui lui fait du bien, vous pouvez faire l’expérience de ce à quoi ressemble un état de channeling.

L’état de channeling crée de subtiles modifications dans votre perception de la réalité. La réponse à des questions peut vous venir facilement et sembler simple ou évidente. Il se peut même, au début, que vous ayez l’impression d’imaginer ou de créer de toutes pièces ces mots et ces pensées. Vous pouvez avoir l’impression d’être en train de vous concentrer. Vous ne voulez pas repousser votre esprit ; servez-vous-en activement pour vous aider à vous élever davantage. 
Le channeling provoque en général un changement dans votre respiration et, au début, il peut s’accompagner d’une sensibilité inhabituelle dans la partie supérieure du corps. Vous sentirez peut-être de la chaleur dans les mains ou la température de votre corps augmenter. L’état de channeling est une expérience individuelle. Certains ne ressentent aucune sensation physique. Après avoir pratiqué le channeling pendant quelques temps, vous vous habituez aux sensations physiques qui peuvent l’accompagner, et il est rare que des choses inhabituelles se produisent. Certaines personnes se plaignent de l’absence de ces sensations lorsqu’elles cessent.

Lorsque vous parvenez à de nouveaux niveaux, vous pouvez parfois sentir des picotements dans le cou ou en haut du front. Certaines personnes éprouvent des sensations le long de la colonne vertébrale, ou sentent, au niveau du front, comme une énergie ou un bandeau qui les serre. Quand vous êtes en train de pratiquer, le rythme et le ton de votre voix peuvent être différents de ceux qui vous sont habituels. Elle devient parfois beaucoup plus lente et plus grave. Il est toutefois possible que votre voix ne subisse aucune modification et que vous ne ressentiez aucune sensation physique ; ne soyez donc pas à la recherche de changements ou de symptômes physiques comme indication de la présence de votre guide. (…)

Orin et DaBen : Certaines personnes mettent totalement de côté leur conscience de veille lorsqu’elles pratiquent le channeling. Elles expliquent que, pour elles, le channeling est comme s’endormir, et elles ne se souviennent de rien de ce qu’elles ont dit en tant que channel au cours de leur pratique. Les individus dont la conscience de veille disparaît ainsi au cours de leur pratique sont parfois appelés des « channels inconscients ». 

Ces channels inconscients entrent en général dans des états de relaxation tellement profonds qu’ils n’ont aucun souvenir des messages de leur guide ; ils reçoivent l’énergie de ces transmissions – si ce n’est les paroles elles-mêmes – directement au niveau de l’âme, mais sont incapables de ce rappeler ce que leur guide a dit. Ce dont vous allez vous souvenir va varier en fonction de la nature de votre état lors du channeling.

D’autres channels restent partiellement conscients et, puisqu’ils peuvent se souvenir en partie de ce qu’ils ont transmis, ils sont appelés des « channels conscients ». A des niveaux divers, ces personnes sont conscientes des informations lorsqu’elles sont transmises. Certaines peuvent avoir une vague idée des messages de leur guide, mais peu de souvenirs spécifiques de ce qui s’est passé.

Certains channels comparent cela aux souvenirs qu’ils ont de leurs rêves, étant donné que le souvenir des informations qu’ils ont canalisées s’évanouit très vite. Ils peuvent se rappeler ces informations au moment même où ils sortent d’un état de channeling, mais ils sont incapables de s’en souvenir une heure plus tard. D’autres channels gardent en mémoire ce qui est dit, et se sentent parfaitement éveillés au cours de la pratique elle-même. Pour la plupart des gens, l’expérience se situe quelque part entre un état de channeling de transe profondément inconscient et un état pleinement conscient. (…)

Les personnes qui se souviennent de ce qui transparaît au cours de leur pratique ont en général le sentiment d’une grande richesse, qui dépasse le sens des mots. Elles ont l’impression d’être dans un état élargi de conscience, où chaque mot a une signification plus grande que celle dont elles se rendaient compte auparavant. Ces paroles s’accompagnent parfois de sensations de voyage. Il arrive également que ces personnes ressentent des modifications internes conduisant à un niveau vibratoire plus élevé. Certains disent que le channeling peut être comparé aux rêves : des rêves très intenses, emplis d’actions, d’émotions et souvent de couleurs. Quand la séance s’achève, ce sentiment de richesse commence à se dissiper. D’autres disent percevoir en partie d’autres royaumes. Eux-mêmes se sentent physiquement plus vastes, plus grands que d’habitude. Certains disent recevoir les messages de leurs guides sous la forme d’images qui semblent être un langage plus riche et plus complet, qu’ils traduisent ensuite en mots. D’autres ont l’impression que des « paquets » d’informations sont parachutés dans leur esprit, contenant des ensembles complets d’idées dont ils déroulent le fil à mesure qu’ils délivrent les messages.

http://www.inrees.com/livres/S-ouvrir-au-channeling-Comment-se-relier-a-son-guide/S’ouvrir au channeling, Sanaya Roman, Duane Packer
Mama Editions (Janvier 2013 ; 264 pages) 

Sagesse Amérindienne

Source : Livre de Henri Gougaud (Les sept plumes de l’aigle)

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La première chose qu’on apprend à l’enfant dans la tradition amérindienne, c’est qu’il est un fils de la Terre, qu’il doit respecter la Pacha Mama. Le premier centre de l’homme, c’est la Terre Sacrée. Non pas le Terre Promise, la Terre Sacrée, celle que l’on a sous les pieds. La terre est là, ce n’est pas une promesse, c’est une évidence !. De la matière palpable créée par le Créateur. Car Il est là, lui aussi ! Dans  le mystère de la matière, dans les secrets organiques du corps. Mon corps est la Maison de Dieu. La cause principales des problèmes psychiques et émotionnels de l’Occidental réside dans le fait qu’il vit dans une négation presque totale de sa matérialité et donc du vivant dans son propre corps. Il ne faut pas chercher Dieu dans le Ciel, mais sur la Terre.

Il faut devenir l’ami de son corps, écouter ses besoins, ses désirs. Pas avec sa tête, mais avec ses sens. Il est symptomatique en effet que c’est par ce que l’Eglise a appelé « les parties honteuses », c’est-à-dire le sexe, que passe la Création Divine !.

Rûmi, grand Maître Soufi a dit : « Dans une goutte de sperme, il y a l’Univers ».Dans le soufisme, on dit que le secret se protège de lui-même. Il faut donner, il faut partager, oui, mais avec qui ? Avec celui qui est capable de porter ce que vous allez donner. Il ne faut pas donner au collectif ce qu’il est incapable de comprendre.

L’affect veut que l’autre soit pareil tandis que respecter l’autre, c’est dire : nous sommes différents. Le détachement et l’humilité permettent de ne pas être « affect », donc sans discernement.

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ne grande partie des peurs et des angoisses de l’humanité vient de l’affirmation de la prédominance de l’intellect sur les cinq sens. Alors que les cinq sens sont un moyen d’appréhension d’une réalité cachée, d’une mémoire cosmique, galactique, universelle. 

L’état dans lequel l’humanité passe le plus clair de son temps se situe à un niveau vibratoire très bas que l’on appelle conscience ordinaire ou sommeil éveillé. Nos réactions partent d’un centre situé dans la partie émotive de notre personnalité. L’égo. La conscience ordinaire subit passivement les impacts extérieurs. Elle a d’abord été formée par les informations que nous transmettent les sens. Ensuite, elle a été façonnée, dans sa partie émotionnelle, par des croyances, sous forme de préceptes, de dogmes, de promesses et de menaces. Elle est soumise au  mental inférieur, qui est réducteur…Il est difficile à la conscience ordinaire de se détacher de cet état de dépendance. Il arrive cependant que l’on ait  des contacts avec un état de conscience « éveillé ».

Publié dans:AMERINDIENS, VIDEOS à voir |on 18 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Les Chakras pour l’évolution spirituelle

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Les Chakras pour l'évolution spirituelle dans CHAKRAS hh

 Les chakras ont une importance capitale pour l’évolution spirituelle et la relativité de la perception. Supposons que 7 personnes font un pique-nique par une journée chaude dans un jardin public bondé. Chacun des participants aura une expérience différente du monde, selon l’activité de ses chakras.

 L’exemple est hypothétique, puisque les chakras sont rarement activés séquentiellement. A plupart d’entre nous présentent un mélange où certains chakras sont ouverts, tandis que d’autres sont fermés. Mais pour le propos de notre exemple, ces 7 personnes fictives nous permettront de mieux comprendre comment le système des chakras module la perception.

 Disons que la première personne  vit surtout par l’intermédiaire du 1er chakra, situé près de la base de la colonne vertébrale. Ses préoccupations premières auront surtout trait à la sécurité et à la survie. Malgré le beau temps, cette personne sera anxieuse.  Tous ces gens qui se baladent sont, à ses yeux, une menace potentielle ; cette personne sera très circonspecte avec les inconnus.

 Notre deuxième personne vit surtout au travers du second chakra, situé à environ 4 centimètres au-dessus de la base de la colonne vertébrale. Il sera constamment en quête d’expériences sexuelles nouvelles. S’il ne cherche pas activement quelqu’un avec qui coucher, il sera la proie constante de fantasmes érotiques. Cette personne engagera difficilement la conversation avec un autre membre du groupe, puisqu’elle ne peut s’empêcher de draguer à la ronde.

 Le troisième individu dans notre groupe est bloqué au plexus solaire, situé à l’arrière du creux dans l’estomac. Ses uniques préoccupations sont le statut social et le pouvoir. Si cet individu  entame une conversation, ce sera dans le seul but d’obtenir quelque chose de son interlocuteur (pensez à ces défenseurs d’affaires et ces cocktails).

 Tournons-nous vers la quatrième personne, qui vit dans le chakra du cœur, situé derrière le sternum, au centre de la poitrine. Pour elle, le monde est rempli d’amour ; cet amour n’est pas de nature romantique mais s’approche davantage de ce que les Grecs de l’Antiquité nommaient Agape, l’amour divin.

 Pour cette personne donc, le monde n’est qu’amour. Ce sentiment peut aller d’une vague impression d’interconnexion à une intense compassion universelle. Dans certains cas, ces gens s’absorberont spontanément dans un Sanadhi en raison de l’intensité de leur Bhakti, ou amour divin. L’être qui vit avec le cœur ouvert croit généralement que les autres perçoivent le monde de la même manière que lui. Il sera passablement déconcerté de découvrir qu’il n’en est pas ainsi.

 Le cinquième membre de notre petit groupe se centre pour sa part sur le chakra de la gorge, situé près des cordes vocales. Il sera très craintif et, selon la force de sa volonté, ses créations sont susceptibles de prendre forme assez rapidement. Plusieurs traditions alchimiques affirment que lorsqu’un individu atteint des stades d’évolution très avancés, ses paroles ont le pouvoir de prendre forme instantanément.

 Notre sixième personne est extralucide : elle est douée de pouvoirs intérieurs parce que son 3ème œil est ouvert. Le 3ème œil a cette particularité que le point énergétique pour ce chakra se situe au front, juste au-dessus des yeux. Néanmoins, certains systèmes yogiques placent ce chakra entre les yeux, à 2 centimètres derrières l’arrête du nez. Il est intéressant de noter que dans cette région du cerveau résident la glande pituitaire, régulatrice du système endocrinien, et l’hypothalamus. En tant que centre de traitement des informations du cerveau, l’hypothalamus lui permet de communiquer avec le reste du corps, par l’entremise des voies hypothalamiques. La juxtaposition fortuite de ce centre d’énergie subtile et d’un plexus nerveux si important dans le cerveau est fort intéressante.

 La personne dont le 3ème œil est ouvert perçoit le monde par le filtre de la vision extralucide. Elle verra aisément les auras, les champs énergétiques et ceux qui les entourent. Elle pressentira leurs désirs ou entendra leurs pensées. Dans certains cas, elle sera visionnaire, car elle pressentira les futurs probables de ses proches. Il existe des possibilités, des points d’option, et le clairvoyant peut les pressentir. Mais personne ne peut prédire l’avenir avec certitude, car nous sommes tous doués de libre-arbitre. Et chaque choix influe sur notre destinée.

Pour finir, le septième membre du groupe se centre au chakra du coronal, situé au sommet de la tête. Cet individu voit le monde comme le jeu de maya, le jeu de l’illusion. Même s’il vit dans le monde, il en est détaché. Il est difficile de concevoir son expérience du monde car dans son cas, la conscience se perçoit elle-même.

 Le miroir de la conscience s’oriente vers l’intérieur et le yogi ou la yogini (élève) voit le soi, le grand être qui vit et s’exprime sous une myriade de formes. Cette personne éprouvera de la compassion pour les souffrances d’autrui sans toutefois en être captivée. Elle perçoit le monde comme un jeu d’ombres. Les drames de la vie ne le touchent plus, car elle a pris conscience du marionnettiste et de l’éclairage qui projette les ombres. Ce qui était conçu comme réalité n’est désormais plus perçu ainsi. Ce yogi ou cette yogini a atteint l’éveil.

 En réalité, la situation est beaucoup plus complexe, parce que les chakras sont rarement équilibrés en séquence. De ce fait, il est possible qu’un ou plusieurs chakras soient fortement activés chez une personne, mais que ses motivations psychologiques résident dans un autre chakra.

 Ce phénomène a causé bien des désillusions chez nombre de disciples naïfs d’un maître spirituel. Ils sont attirés par la puissance spirituelle évidente, et peut-être les aptitudes extrasensorielles d’un maître, puis ils découvrent qu’il est assoiffé de pouvoir et manipulateur… Ou alors, il couche avec n’importe qui et ne respecte pas les interdits sexuels. Le conflit du disciple qui doit affronter les avances malvenues d’un maître spirituel peut être dévastateur sur le plan psychologique.

 Le problème, c’est que l’achèvement de pouvoirs spirituels n’est pas forcément lié à une maturité psychologique. Le fait qu’un yogi ou une yogini ait atteint des états avancés de Samadhi (éveil) et de félicité ne signifie pas que ses problèmes psychologiques sont résolus. De ce fait, quelqu’un qui n’a pas résolu les problèmes associés aux trois chakras inférieurs est susceptible de faire mauvais usage de ses pouvoirs spirituels.

 Un « grand maître » peut, par exemple, ne pas avoir résolu son hostilité innée, puisse dieu venir en aide au disciple d’un tel maître, ou une personne peut  être douée de facultés extrasensorielles hautement développées, mais elle aura un besoin non résolu de manipuler les autres. Même si elle présente les indices d’une spiritualité évoluée, elle pourrait subrepticement, ou de manière très flagrante, se servir de ses facultés psychiques pour vous placer sous sa coupe.

 Dans plusieurs de ces cas, la personne n’a pas conscience de ces motifs. D’ailleurs, nos motivations inconscientes causent souvent davantage de tort que celles qui sont conscientes. Voilà pourquoi j’estime que ceux qui s’engagent sur la voie de l’alchimie doivent prendre connaissance de leurs antécédents psychologiques et de leurs motivations.

 

Extrait du Manuscrit de Marie-Madeleine de Tom Kenyon et Judi Sion – p.110 à 114 – éd. Ariane.

Publié dans:CHAKRAS |on 18 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Changer par la magie des contes

 

Jean-Pascal Debailleul

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 Changer par la magie des contes dans GUERISON 2

 

 « De tous temps, les mythes ont fécondé le politique, les contes ont transmis de façon simple et populaire l’art de traverser les épreuves et de se ressourcer aux origines de l’humain. Clefs de sagesse et portes d’inspiration, ils ouvrent des passages qui permettent de comprendre et d’agir dans une réalité de plus en plus complexe », dit Jean-Pascal Debailleul.

A 60 ans, cet inlassable quêteur de vérité a suivi des chemins variés : publicitaire, éditeur, thérapeute, consultant, formateur, il a ensuite mis au point une méthode de connaissance et de réalisation de soi par les contes merveilleux (1). 

Les contes mettent en scène un monde non linéaire, un monde en volume où tous les règnes s’interpénètrent. Les animaux parlent, les objets sont vivants, et tout agit en interdépendance et en réciprocité. 

Il était une fois deux hommes qui voyageaient ensemble, comme ils s’étaient arrêtés en chemin pour laisser tomber la chaleur, l’un d’eux s’étendit à l’ombre. Tandis que l’homme dormait, l’autre crut voir une mouche sortir de la bouche de son compagnon et entrer dans le squelette d’une tête de cheval qui se trouvait par là, et cette mouche tourna dans la tête de cheval dont elle visita tous les recoins puis elle revint « dans » la bouche du dormeur. Celui-ci dit à son réveil : « Si tu savais le beau rêve que je viens de faire, j’ai rêvé que j’étais dans un château où il y avait une infinité de chambres toutes plus belles les unes que les autres et sous ce château, jamais tu ne voudrais le croire, était enterré un grand trésor ». L’autre lui dit alors : « Tu veux que je te dise ce qui s’est passé : regarde, tu es allé dans cette tête de cheval, oui… Oui j’ai vu ton âme sortir de ta bouche sous la forme d’une mouche et se promener dans tous les recoins de ces ossements puis elle est rentrée dans ta bouche ». Alors, les deux hommes soulevèrent cette tête et creusèrent dessous et ils découvrirent un grand trésor. 

Le vœu oublié 
Les contes réveillent en nous un vœu oublié, le rêve d’une réalité qui se conforme à nos aspirations profondes, et qui s’ajuste à notre désir d’être qui tarde tant à s’accomplir : voler, marcher sur l’eau, donner, guérir, aimer, être…Ces grands vœux nous effleurent, et le conte, puisant dans les sagesses les plus anciennes, nous indique comment les réaliser. « Les contes invitent à une créativité d’intuition, de vision, d’inspiration. C’est de là que je suis parti pour élaborer ma méthode de transformation de soi par les contes, il y a 20 ans et extraire des contes des outils de connaissance de soi qui permettent cet accomplissement intime. Mais aujourd’hui, dans le foisonnement novateur de notre époque en pleine mutation, c’est en créateurs que nous devons imiter le héros des contes. Et j’ai créé pour cela la démarche d’Eurêka qui synthétise la puissance créatrice du héros. » 

L’Eurêka ! au niveau psychologique 
Le cerveau contrôle notre conscience et tient tout fermé, comme la chambre noire de l’appareil photo. Soudain, l’obturateur se déclenche et l’intuition surgit, c’est le moment d’ouverture de l’appareil : la lumière se grave sur la pellicule, le contact avec la réalité est direct. C’est un lâcher prise. Eurêka ! est un instant de vérité. « Eurêka ! » c’est découvrir les solutions latentes, évidentes et lumineuses, des problèmes majeurs que nous rencontrons.

La démarche d’Eurêka ! est un entraînement au mode intuitif de résonance et de lâcher prise qui donne à faire vivre personnellement l’expérience d’Eurêka ! à volonté dans tous les domaines pour ensuite induire cette expérience, la stimuler, la déclencher ou la provoquer chez les autres. Le savoir-être de l’archétype du Héros des mythes et contes millénaires, ainsi que la méthodologie Horaklès de la Voie des Contes, forte de son expérience de ces 25 dernières années, en apportent les clés pratiques. 

Les praticiens Eurêka se forment à la création en un double programme : un séminaire sur la synchronicité pour acquérir la posture d’ensemble à la croisée des tendances et un cursus de pratique de l’Eurêka individuel et collectif, dans tous les domaines (développement personnel, coaching, thérapie, conseil).

  (1)Cette méthode est enseignée dans les séminaires et ateliers de La Voix des Contes 25 rue Titon 75011 Paris. Réunions de présentation en septembre. Site internet : www.lavoiedescontes.com 
  Jean-Pascal Debailleul a publié plusieurs ouvrages : Changer par la magie des contes (éditions Albin Michel, 1998) ; Se réaliser par la magie des coïncidences (Jouvence, 2000) ; La synchronicité par les contes et Le Jeu de la voie des contes (Le Souffle d’or, 2003 et 2007). Horaklès, le jeu du héros (Guy Trédaniel, 2009)

Publié dans:GUERISON, LUMIERE, POUVOIR, SOCIETE |on 16 juin, 2013 |Pas de commentaires »

les créations du mental


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Par la pensée, nous donnons forme aux idées que crée le mental. La pensée nous permet d’échafauder des théories, des systèmes, de créer, de faire des projets, de tirer des plans sur la comète. Outre le fait que ces élucubrations mentales ni même l’éventuelle réalisation de ces désirs et projets n’apportent jamais de joie durable, dans le monde de la dualité le désir est nécessairement accompagné de son double : la peur de ne pas pouvoir assouvir ce désir ou, plus insidieusement souvent, de ne pas pouvoir assouvir les désirs des autres, que nous voulons satisfaire pour gagner leur amour, parce que nous n’avons pas encore trouvé en nous la Source de tout Amour. 

les créations du mental dans PENSEE 49

Alors on a peur ; de « ne pas y arriver », de ne pas donner satisfaction (à nos supérieurs hiérarchiques, à nos patrons, à nos parents, nos médecins, nos professeurs, nos curés, nos guides spirituels …) ; on a peur de manquer, on a peur de la maladie, de perdre ceux que l’on aime (de perdre ceux qui NOUS aiment ?…) ; on a peur de la critique (susceptible de nous faire mettre le doigt sur nos imperfections, sur notre inadéquation…) ; on a peur de vieillir (et donc de ne plus ressembler à celui/celle que l’on voit dans le miroir), de souffrir, et bien sûr, on a peur de mourir. On a peur de la mort parce qu’on pense que l’image dans le miroir disparaîtra pour toujours et cette pensée nous est insupportable. Toujours la pensée… 

Nos peurs sont le facteur le plus inhibant dans notre vie ; elles nous empêchent de nous épanouir, de « réussir », ou simplement d’être heureux. En fait, elles inhibent la manifestation et l’expression de notre divinité essentielle. 
Car la pensée est créatrice. Nous sommes ce que nous pensons, nous créons ce que nous pensons. 
Nos peurs nous rendent malades, psychiquement, physiquement, elles nous rongent et nous détruisent. 

C’est grâce à la peur de la souffrance que les médecins exercent depuis toujours une fascination excessive, proprement pathologique, sur le citoyen moyen. Et c’est par peur de la répression – plus ou moins violente – que des régimes dictatoriaux font régner la terreur sur des peuples pendant des dizaines d’années. 

Alors nous obéissons, parce que nous avons peur. Nous obéissons aux religieux, aux médecins, aux dictateurs. L’obéissance est devenue un réflexe spontané inscrit au plus profond de notre subconscient. Milgram a magnifiquement montré dans son expérience éponyme que l’obéissance est un ressort assez puissant pour annuler autant les codes personnels de morale et de conduite que le potentiel de sympathie et de compassion. 

Mais sur le long chemin de l’évolution, un jour vient où les péripéties de ses multiples incarnations amènent inéluctablement l’individu à un point où il se demande « qui suis-je ? ». 
A partir de ce moment, cette interrogation ne le quitte plus. C’est elle qui pousse les peuples du monde à se libérer des oppressions en tout genre ; à ne plus obéir docilement à des dirigeants corrompus ; à se détacher des religions pour se réapproprier leur spiritualité (Dieu a-t-il vraiment besoin d’intermédiaires ou de « représentants » ?) ; à quitter la médecine officielle et ses imprécateurs arrogants pour se réapproprier la gestion autonome de leur santé. 

En évoluant spirituellement, notre vision nous-mêmes change. 
Nous cessons de nous identifier à cette accumulation d’expériences que nous appelons le « moi », limité dans le temps et l’espace, pour stabiliser progressivement une relation avec le Soi, notre Etre immortel. 

En d’autres termes, notre conscience passe des véhicules du Soi que sont les corps physique, astral (ses émotions) et mental (ses idées), au Soi lui-même. La paix et l’amour s’installent peu à peu dans le cœur de l’homme, la lumière du Soi illumine son mental et révèle l’unité de la Création. A ce stade, l’individu n’est plus le jouet de ses pensées. Il les contrôle pleinement et les met au service des objectifs les plus élevés : servir et contribuer au mieux à la réalisation du Plan. La pensée manifeste alors naturellement puissance, amour, et intelligence créatrice. Elle est devenue un instrument évolutif parfait. Dans cet état de plénitude intérieure, toute peur a disparu. 

  Bernard Clavière 
  www.docteurnature.org le portail des moyens naturels de santé.

Publié dans:PENSEE, PEUR |on 16 juin, 2013 |Pas de commentaires »

La ronde des civilisations


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Par Bernard Clavière

La ronde des civilisations dans 2013 - PREDICTIONS images-6

La longue histoire humaine n’est qu’une succession de civilisations qui, sur tous les continents, sont passées par différents stades de développement, jusqu’à connaître leur apogée, le sommet de leur rayonnement et de leur influence, puis se sont effondrées de façon plus ou moins brutale.

Rien n’est éternel en ce bas monde. 
Il n’y a donc aucune raison de penser que notre glorieuse, notre arrogante, notre orgueilleuse « civilisation occidentale », pourrait être, elle, incontournable et immortelle ! 

L’actualité est en train de nous rappeler que l’histoire ne s’arrête jamais. Cette civilisation de l’égoïsme à outrance, de l’injustice, de la corruption et de l’avidité ne tient plus que par un fil ténu. Elle va tomber comme un fruit mûr, victime de ses propres failles, de ses anomalies intrinsèques. 

Dès le mois d’avril 1989, le FMI et la Banque mondiale annonçaient que la crise économique globale était en train de se convertir en « calamité humaine ». Les deux institutions déclaraient à leurs 185 membres que cette crise globale, « la pire depuis des générations », avait déjà précipité plus de 50 millions de personnes dans l’extrême pauvreté. 

Deux ans plus tard, la tendance s’est poursuivie et amplifiée, et une nouvelle famine gravissime se déclare en Afrique. 

Des économistes de renom comme Philippe Dessertine, Paul Jorion ou Serge Latouche sonnent le tocsin et la fin de la récré. La plupart s’en réjouiront car dans cette récré-là, seuls quelques veinards jouaient aux billes et s’amusaient dans la cour ; les autres : punis en permanence. 

Ces spécialistes visionnaires annoncent « la fin d’un monde », un « séisme financier planétaire », un « capitalisme à l’agonie », et la naissance d’ « une société d’abondance frugale ». 

L’hebdomadaire Marianne vient de titrer en couverture « L’effondrement d’un système »
Ne nous voilons plus la face : nous y sommes. 
Faut-il être surpris ? 
Faut-il avoir peur ? 
Certainement pas ! 
Lorsqu’une femme accouche, elle peut souffrir beaucoup, mais quelle joie dans son cœur ! Personne autour d’elle n’est désolé ; personne ne la plaint ; tout le monde se réjouit. 

La grandeur d’une civilisation ne se mesure pas à son PIB, à sa technologie, à son niveau de développement, ses gouvernements ou son système économique. 

La seule mesure de sa grandeur est la façon dont elle traite les faibles, les pauvres, les analphabètes, les enfants, les femmes, les animaux, les minorités ethniques, les minorités d’orientation sexuelle, les malades mentaux, les criminels, les suspects de crime, les handicapés de toutes sortes, les combattants ennemis, les populations ennemies non-combattantes, les personnes âgées, et la terre nourricière. A l’aune de ces critères, qui pourrait dire que nous sommes une civilisation brillante ? 

Les modèles du passé sont obsolètes. 
Ils ont amplement démontré leur incapacité à résoudre les problèmes cruciaux qui affectent la planète. Il faut nous réjouir du changement qui vient et l’accompagner de tout notre cœur, chacun avec ses compétences, ses possibilités et ses talents. 

On observe déjà que le nouvel âge naît sous les meilleurs auspices : les super-riches demandent à partager un peu mieux leur richesse ! Belle trouvaille ! On se demande vraiment pourquoi il aura fallu tant de temps pour que cette solution soit proposée, alors qu’on se contentait jusqu’ici de demander aux pauvres de se faire la charité entre eux. 

Oui, des signes forts sont d’ores et déjà là d’une nouvelle civilisation qui, si elle veut durer plus longtemps que la malheureuse civilisation du capitalisme, devra nécessairement exprimer l’amour inconditionnel pour tous les êtres vivants et assurer un partage équitable des ressources globales. 

  Bernard Claviere 
  www.DocteurNature.org 

Publié dans:2013 - PREDICTIONS |on 16 juin, 2013 |Pas de commentaires »
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