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Acte magique : langage de la conscience

 

La pensée n’est pas quelque chose d’homo­gène; on peut choisir de distinguer deux ma­nières de penser, coexistantes en chacun (1) — et qui sont aussi importantes l’une que l’autre — : la première, pensée rationnelle, s’exprime sous la forme de sa voix intérieure et elle utilise des mots. La seconde, pensée magique, s’exprime sous la forme de son intuition et elle utilise des images et des symboles.

Du fait qu’elle puisse être formulée par le langage, la pensée rationnelle permet de construire une base sur laquelle s’appuient des choses telles que le raisonnement et la logique; elle est divisible en unités sémantiques (c’est-à-dire de sens : les affirmations et propositions) ou morphologiques (les mots), elle est par nature le langage de la conscience. C’est avec elle que nous sommes le plus familiarisés — dans le monde dans lequel nous sommes, dans lequel vous êtes si vous lisez ces lignes.

chez francesca

Par contraste, la pensée irrationnelle est constituée d’atmosphères, de sentiments, de symboles, tout un ensemble de choses qui par nature ne peuvent pas être saisies dans leur totalité. En cela, elle ne peut jamais être totalement consciente — pour autant elle partage avec la pensée rationnelle des procédés cognitifs tels que le lien de cause à effet — ; en pratique, c’est un procédé très largement inconscient (2).

Or, l’inconscient dort caché, tapi derrière nos garde-fous, eaux profondes enfouies sous la partie consciente de notre personnalité et de nos perceptions. Occulté, sa puissance n’en est pas moindre, bien au contraire; les ressentis intérieurs possèdent cette force immense qui est celle de la capacité de nous court-circuiter.

Le fait de la possibilité d’un tel court-circuit de la conscience — l’on pourrait encore dire qu’il possède les clefs de la place-forte, et ainsi se moque des remparts — révèle quelque chose de fondamental : c’est par ce biais qu’agira de la façon la plus efficiente un moteur, une volonté interne. L’on connaît le triste destin en février des résolutions du Nouvel An; en revanche, inébranlables sont les résolutions que nous prenons tout au fond de nous-mêmes. Or, l’on pourrait croire qu’il n’y a aucun moyen d’agir dessus, parce que nous n’imaginons trop souvent que notre seule possibilité, c’est de se déclamer la résolution et se dire que l’on fera mieux que les autres fois; il n’en est rien. — Il faut agir au plus profond de nous-mêmes, au niveau de la pensée irrationnelle, materia prima qui seule, pourra court-circuiter notre éphémère volonté consciente — laquelle bien souvent porte déjà inconsciemment son propre frein elle-même.

Agir au plus profond de nous-mêmes.

Cela peut se faire au moyen de l’acte magique.

L’homme est un microcosme (3) . Chacune de ses terres peut être symbolisée en particulier par des objets; dès lors, il est possible d’utiliser l’un de ces objets comme une figuration de la chose sur laquelle l’on veut agir. L’objet est investi alors d’une vie magique, dès lors qu’en naît en notre esprit le lien symbolique. Toute action sur cet objet préfigure ainsi les actions sur ce à quoi il est lié — en quelque sorte, c’est agir bien plus directement que ce que l’on pourrait penser a priori sur notre inconscient. Or, seul celui-ci a besoin d’être modelé; l’on pourrait à la limite réaliser cet acte scrupuleusement et croire qu’il n’aura aucun effet sur notre volonté, que pourtant, intérieurement, le bouillonnement aurait déjà commencé, et tel une plaque électrique, chaufferait doucement mais inexorablement — amorçant une résolution bien plus réelle et efficiente que celles qui naissent et meurent en janvier.

C’est pour cela qu’il est si important de consacrer un lieu magique, de ne pas oublier l’ouverture et la fermeture du cercle lors de nombreux rituels, c’est pour cela qu’un envoûtement peut marcher sur quelqu’un qui n’y croit résolument pas et possède un esprit intelligent et rationnel (4) , que le triple retour existe; d’une manière beaucoup plus profane, c’est le même mécanisme qui rend compte de nombreuses situations de placebo et de manipulation d’autrui, ou encore expliquerait pourquoi une induction hypnotique marche (5) .

« Héloïse offre à Fabien une petite gemme d’une couleur signifiante, à une date signifiante, dans un lieu signifiant, dans un état d’esprit signifiant — avec prologue et épilogue — et elle passe doucement d’une main à une autre. Le regardant droit dans les yeux, Héloïse dit : « Je t’aime ». »

À jamais, cette gemme symbolisera leur lien, un véritable homoncule hermaphrodite qu’ils auraient alchimiquement créé, quand bien même ils feraient les plus grands efforts conscients pour se persuader du contraire et de son insignifiance. L’acte magique est plus fort que tout.

Ecce acta magica

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1 Le moment privilégié où il s’exprime à chacun est très certainement le rêve. À ce sujet et au sujet de l’incons­cient, la lecture de S. Freud et de C.G. Jung est particulièrement intéressante; voir par exemple Psychologie de l’inconscient (LDP), Essai d’exploration de l’inconscient (Folio essais).

2 On peut consulter à ce sujet C.G. Jung, dans les introductions de Métamorphoses de l’âme et ses symboles (LDP) ou encore de Psychologie et Alchimie (Buchet Chastel).

3 À propos de la sorcellerie, J. Favret-Saada a proposé une analyse intéressante dans Les mots, la mort, les sorts (Folio essais). Pour ce qui est de montrer l’importance de l’irrationnel sur l’homme — que l’on choisisse de le prouver d’une manière irrationnelle ou rationnelle — la lecture de Et l’homme créa les dieux (Folios essais) de P. Boyer s’avère passionnante.

4 Pour un résumé très intéressant de par sa clarté et sa concision sur ce vaste sujet, on peut lire Le sacré et le profane de M. Eliade (Folio essais).

5 T. Melchior propose l’explication d’une mise au diapason progressive du patient et de l’hypnotiseur, la voix de ce dernier se confondant peu à peu jusqu’à se substituer à la pensée consciente du patient — ce procédé se réalisant lorsque le patient se met à ne plus savoir si l’hypnotiseur opère une description de son état, ou une action : et c’est alors que ce qui n’était que description gagne la propriété d’également agir. À lire à ce sujet : Créer le réel, hypnose et thérapie (Couleurpsy).

Publié dans:CO-CREATION, ESPRITS, PENSEE, POUVOIR |on 25 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Personne ne pourra jamais rien vous prédire

 

De quel droit ose-t-on prédire l’avenir de quoi que ce soit pour qui que ce soit ?

Personne n’est à la place de l’autre, avec son histoire, son vécu, son ressenti.

Comment pourrait-on avoir la pleine conscience des ressources internes d’une personne qui n’est pas « nous-mêmes » ? Déjà les nôtres, nos propres réserves énergétiques, sont souvent sous-estimées, c’est dans l’action, dans le mouvement, dans la mise en marche après la motivation que l’on trouve où que l’on décuple l’énergie nécessaire à la création.

PREDIRE

C’est à chacun de vivre son expérience ! Unique puisque nous sommes tous uniques. Bien entendu, on peut prodiguer des conseils, un avis (et SVP… seulement s’il est demandé... rires …) mais chaque personne est libre de ses choix, nous ne devons rien à personne, sauf le respect de qui elle est, de ce qu’elle choisit de faire, que cela NOUS plaise ou non.

Un point de vue peut être pertinent à écouter, c’est formateur, mais… autant cela peut être bénéfique de l’écouter, autant ça l’est, encore plus même, de l’ignorer ensuite ! Par là, je veux dire, de s’en détacher, pour exclure toute influence extérieure et se fondre dans la profondeur de notre Intuition, seul guide véritable. Sans compter qu’un conseil judicieux peut finalement, – véritable paradoxe – nous désorienter, en ce sens qu’il nous éloigne de notre Profondeur, de notre Essence.

Deuxième question :

De quel droit démoraliser quelqu’un et saboter son élan, contribuant ainsi à le rebuter, ce qui revient aussi à choisir pour l’autre ce que l’on pense être bon pour lui ?

N’est-ce pas véritablement nuisible et dangereux ? Il est illogique de projeter des conséquences, certes possibles, mais pas systématiques, d’une expérimentation choisie par un autre ! C’est même contre la Nature du Divin, car nous sommes là Naturellement pour expérimenter…

C’est toujours une illusion que de penser pour soi ou pour un autre qu’un objectif est irréalisable ! Plutôt que d’imaginer les pires fins à un scénario, ce qui d’une part use et d’autre part gâche de l’énergie pour rien, s’il suffisait « d’y aller », qu’en pensez-vous ?

De toute manière, tout événement dans notre vie est destiné à nous enseigner, à nous mettre ou à nous remettre en vie, quoiqu’il arrive ! Et que l’objectif soit atteint ou non n’a aucune importance, au risque de vous choquer. Ce qui est important, c’est de se respecter, d’agir en fonction de notre désir le plus profond, d’avancer petit à petit pour développer au fur et à mesure le meilleur de soi-même sur le chemin choisi. Cette transformation et cette évolution, se moquent complètement du fait que l’on atteigne ou non le but. Et respecter l’autre, c’est respecter aussi son choix qui peut nous paraître « mauvais » !

Je vous en prie, virez-moi aussi cette notion d’échec/réussite une bonne fois pour toutes, pour être en communion profonde dans l’amour avec soi et avec les autres, et non dans la comparaison. Compas-raison : on tourne en rond à vouloir avoir raison !

Faire avorter une tentative de mouvance vers un but, pour quelqu’un, c’est aussi asseoir un pouvoir sur lui qui peut être destructeur. Vous le tuez … en disant : tu es… incapable. Tous les  »tu es » tuent et posent une étiquette en compas-tir-mentant… Pourquoi ne pas unir ses forces avec celles de l’autre ? Ne serait-ce pas plus épanouissant pour les deux parties et source de joie et de plaisir partagés ?

Bien entendu, il faut aussi avoir défini ce qu’aider l’autre veut dire…

Rires… en voilà une drôle de question, n’est-ce pas ?

Aider l’autre :

Est-ce imposer son point de vue, son choix ?

Est-ce imaginer le pire scénario, la pire issue pour l’autre ?

Est-ce stimuler, vivifier, encourager ?

Est-ce seulement écouter sans rien dire ? Veut-il vraiment nos conseils ? A-t-il envie d’être ramené à une dure réalité alors qu’il focalise toutes ses forces pour réaliser un rêve et, est-ce bénéfique pour lui ? Quelle est ma réelle intention ?

Est-ce que je ne veux pas tout simplement montrer, démontrer que j’ai et que j’aurai raison ?

Est-ce que je veux avoir raison ou vibrer de l’amour ?

Est-ce que j’aide quand je suis pessimiste ? Est-ce que le stress, les angoisses ou les peurs ont déjà prouvé leur efficacité dans une réalisation de soi, ou un bien-être intérieur ou bien encore dans notre marche vers la version de nous-même encore plus lumineuse et en paix ?

Est-ce entretenir son espoir, ses espoirs ? Espérer n’est-ce pas finalement, déprécier le présent, s’empêcher de le savourer tel qu’il est ? L’espoir n’est-il pas qu’un mécanisme de survie, qui nourrit une insatisfaction du présent ?

Aider l’autre, n’est-ce pas plutôt lui demander ce qu’il aimerait qu’on fasse pour lui ?

Aider, est-ce Rabaisser ?

Aider, est-ce une solution ?

Je laisse monter en vous vos réponses…

Quelles qu’elles soient, je vous invite à vous ouvrir au fait, que toute pensée est vibration, tout mot est vibration, tout est vibration, ainsi, tout ce qui est émis par vous susceptible d’alimenter une faiblesse, une dévalorisation de l’autre va les renforcer, à un niveau énergétique, même si vous n’avez pas l’intention de nuire. Prenez-en conscience, vraiment.

Est-ce que la plus belle, la plus élevée de nos attitudes, ne serait pas d’offrir à l’autre, notre énergie à cumuler avec la sienne, pour la réalisation de ses rêves de l’instant ? Ne serait-ce pas se brancher à la fréquence de notre amour pour lui ?

Mes petits conseils – oui je sais vous ne m’avez rien demandé –, ou comment être pris à son propre piège ! Je ris, vous me connaissez, ce ne sont que des idées avec votre liberté de les lire ou non ! On va dire… mes petites pistes persos :

Pour ceux qui reçoivent et acceptent donc de recevoir les flèches empoisonnées d’un découragement certain à s’engager dans un choix :

Apprenez à dire non au découragement !
Arrêtez de cogiter, allez-y, vous verrez bien ! Tout chemin est utile, même s’il ne donne pas les résultats espérés, il n’y a rien à espérer, il y a juste à définir, choisir, foncer ! Notre mental est très doué pour imaginer les catastrophes à venir… Je n’ai pas besoin des autres pour arriver là où je veux aller ! J’y vais et c’est tout, c’est l’énergie que je mets dans ma motivation qui va créer ce qui suit ! Pas celle d’un autre ! Si je me sens touché, blessé, je me pose la question : est-ce qu’une partie de moi croit qu’il a raison quand il me juge incapable de… ? Je ne suis pas cet incapable, je suis capable, je suis autrement capable (là je sais de quoi je parle…) je crois en moi et renvoie ces flèches et ce jugement ! Je n’ai ni tort ni raison, j’ai confiance en moi ! Que le but que je me suis fixé soit difficile à atteindre ou non, peu importe, cela ne définit en rien l’issue.

Pour ceux qui envoient ces flèches empoisonnées :
Apprenez à dire oui au choix de l’autre : au nom de ta liberté, je respecte ton choix, que puis-je faire pour t’aider et déjà, as-tu envie que je t’aide ? Laissez l’autre expérimenter et n’abaissez pas son énergie ! Même si l’autre est responsable de se laisser toucher, de détruire son énergie en acceptant de recevoir les flèches, il y a quand même eu un « émetteur », et la flèche atterrira quelque part…. soit elle sera déviée par un récepteur sûr de lui qui va brandir son bouclier, soit elle sera reçue plein cœur… et en ce cas elle reviendra un jour ou l’autre (oui la flèche ressort et fait le tour de la terre, rires) sur son émetteur… c’est une loi. Non pour vous punir, mais pour vous faire prendre conscience que tout ce qui se dit et se pense émet une vibration boomerang.

CROYANCES

Le monde des croyances

Je voudrais aussi vous convier à sortir du monde des croyances, il est toujours limité. Que ce soit sur nous ou sur les autres. Il existe un autre monde, où tout est possible, où tout est imaginable. Ce monde-là, il est personnel, c’est le vôtre, c’est celui de l’autre, toujours en perpétuelle construction, c’est l’immensité du silence de votre âme, de son âme, qui « elle », sait…. Faites un point de la situation, écoutez si vous voulez les avis ici et là, mais surtout, ensuite, faites taire le mental en vous, fermez vos oreilles et écoutez la voix de votre étincelle divine.

Soyez intimement persuadés d’une chose : les autres ne sont pas, ne seront jamais Nous ! Jamais ils n’auront notre ressenti, notre essence, jamais ils n’entendront le murmure de notre âme !

Un objectif n’est qu’un objectif, un chemin n’est qu’un chemin, c’est la marche vers soi qui est intéressante et bénéfique pour l’acquisition de notre Sagesse. Savoir si on est sur le bon chemin ou si on a pris la bonne décision est inutile. C’est l’union de notre désir et de notre intuition qui nous élèvera, nous portant toujours plus haut. Pour être en paix, en pleine possession de toutes nos forces, soyons prêts à accueillir tous les résultats possibles, toutes les conséquences possibles, car ils seront, elles seront toujours ceux/celles dont nous avons besoin pour notre évolution. Effet bonus, cela renforce la confiance en soi.
Je vais terminer par cette citation que j’adore de St Exupéry :

« L’avenir, tu n’as point à le prévoir mais à le permettre. » Jean-Yves

LIVRE

Livre de Jean-Yves et Eliane Fayolle :
Le journal de bord de Jean-Yves – Autrement capable ÉSA Éditions, 2015

Moi Jean-Yves, je raconte dans ce livre une histoire : mon histoire retranscrite de ma chère maman, fidèle dame de compagnie, qui prend soin de moi depuis ma naissance et a doublé ses intuitions, est restée optimiste et confiante depuis mon accident. Oui, à l’intérieur de mon corps j’ai conservé mes facultés mentales, je peux toujours lire, voir, ressentir les événements. Mon histoire peut également être malheureusement la vôtre si par inadvertance votre ski s’enfonce dans une crevasse, si un bolide vous percute, si vous sombrez dans un état dit végétatif.
Je souhaite qu’il en soit de même pour tous mes amis emmurés dans leur silence, merci.

Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, Jean-Yves est ce que l’on appelle un « grand traumatisé », cloué sur son fauteuil. qui ne peut s’exprimer qu’avec un doigt sur un clavier, à l’aide d’une facilitatrice; ce que l’on appelle la « Communication Profonde Accompagnée ». Cela ne l’empêche nullement de visiter d’autres mondes, sur d’autres plans de conscience, sans quitter « physiquement » son fauteuil et de nous partager les enseignements reçus lors de ses explorations…

Merci à toi Jean-Yves.

Le rôle protecteur des minéraux

 

 

La tradition amérindienne voit en chaque pierre un esprit protecteur. Cette sacralisation du règne minéral n’est pas dénuée de sens. Pour témoin, une discipline qui fait de plus en plus d’adeptes : la lithothérapie.

Il n’existe pas moins de 4000 minéraux répertoriés à ce jour. Il est étonnant de constater que le corps humain comporte en quantité variable nombre de ces éléments. De l’équilibre minéral dépend le bon fonctionnement de l’organisme tout entier. Le principal est le carbone autour duquel la vie a pu émerger. Il est contenu dans les glucides, les lipides et les protéines. Le calcium et le phosphore sont indispensables au squelette, l’iode à la glande thyroïde, le fer aux globules rouges du sang, etc. Pour la lithothérapie, l’impact énergétique des pierres sur l’organisme humain et son psychisme résulte d’une analogie structurelle et vibratoire.

Qu’est-ce que la lithothérapie ?

Cette forme de médecine douce peut être associée à toute pratique énergétique. La vibration subtile de certaines pierres entre en résonance avec le corps humain, libérant ainsi ses tensions physiques et émotionnelles. La prise en compte des 7 chakras, centres psychocorporels situés le long de la colonne vertébrale, permet de cibler les effets thérapeutiques. L’impact vibratoire des minéraux employés repose à la fois sur leur composition chimique, leur structure atomique, leur couleur – en lien avec la chromothérapie –, mais également leur symbolisme agissant sur le psychisme via l’inconscient collectif. La lithothérapie préconise également de porter sur soi un bijou orné de pierres adaptées à ses besoins de manière à profiter de leurs effets bienfaisants tout au long de la journée.

 

protection

Les pierres et leurs bienfaits

Parmi ces pierres, les plus représentatives, accompagnées de leurs pouvoirs protecteurs, livrent des secrets étonnants :

- L’hématite : connue depuis l’antiquité égyptienne pour ses vertus en matière de circulation sanguine, elle se caractérise par son apparence de métal brillant. Le chaman amérindien l’utilise pour favoriser son efficacité. Elle symbolise la terre nourricière. Elle peut être portée par des personnes ayant des problèmes de varices. Psychologiquement, elle stimule la confiance en soi et se révèle donc très intéressante pour les sujets souffrant de timidité.

- L’œil de tigre : considérée comme l’une des principales pierres de protection, certaines traditions s’en servent de talisman pour se prémunir des serpents et des envoûtements. Au niveau énergétique, l’œil de tigre a un effet miroir, réfléchissant les ondes négatives et les renvoyant vers son émetteur. Du point de vue physique, il favorise le fonctionnement du système digestif.

- Le quartz rose : cette « pierre du cœur » est en lien avec le quatrième chakra (région cardiaque) et il possède des vertus apaisantes. En cas d’insomnie ou d’agitation, les lithothérapeutes conseillent de placer un quartz rose sur la table de nuit.

- L’améthyste : le mot « améthyste » tire son origine du terme grec amathustein, signifiant ne pas être ivre. De couleur violette, cette pierre favorise l’élévation spirituelle et convient tout à fait à la méditation. Elle est aussi très efficace en cas de migraine lorsqu’on la place entre les deux sourcils pendant quelques secondes.

- La pierre de Lune : pierre féminine par excellence, les femmes s’en servent pour favoriser la lactation. Au niveau psychique, elle favorise l’intuition et protège des angoisses.

- La tourmaline noire : ce minéral est particulièrement efficace pour se protéger des ondes magnétiques générées par les écrans d’ordinateur, de téléviseur, les téléphones portables et les appareils électriques. 

Jacques Tiébault de Signes et Sens

sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ELEMENTS, ENERGIES, GUERISON, NATURE, POUVOIR |on 24 octobre, 2016 |Pas de commentaires »

CHAKRA DU PLEXUS SOLAIRE et de la CLAIRSENSITIVITE

 

Les particules adamantines favorisent l’ouverture du cœur et intensifient votre sensitivité. Les individus plus sensibles seront plus présents et plus attentifs à leur environnement naturel. Ils sauront mieux en bénéficier sans en abuser ni le détruire. Ils sentiront davantage tous les effets directs et indirects de leur façon d’être et de vivre sur les animaux et les plantes.

Tout comme les particules adamantines accélèrent et facilitent la transformation de l’humain, elles influencent aussi grandement le rythme des mutations au sein de la nature. Toutes les formes de vie terrestres, visible sou invisibles, voient leurs attributs se transformer et leur niveau de conscience s’élever.

chakra du coeur et clairsensitivité

Les règnes végétal et animal verront l’émergence d’une multitude de nouvelles espèces tout à fait remarquables. Les dévas de la nature seront eux de plus en plus expressifs. D’une part, les individus plus sensitifs capteront davantage leur présence et cesseront donc de mettre en doute leur existence. D’autre part, l’ouverture du cœur parmi les humains facilitera leur travail, soit l’harmonisation des espèces et des formes de vie terrestres, notamment de l’homme avec son environnement. Cette ouverture des cœurs permet aux dévas de jouer davantage leur rôle puisqu’ils sont des ambassadeurs de la cohésion, de la cohérence et de la cohabitation terrestre.

Pour vous nourrir des particules adamantines vous n’avez qu’à respirer le parfum de l’amour. Cela semble simple, mais cela signifie que vous avez à vous élever au-delà des pensées et des peurs collectives qui forment un autre parfum, beaucoup plus lourd celui-là. Il ne s’agit pas de renier l’humanité. Il ne s’agit pas de faire fi des peurs et des mécontentements. Il s’agit de s’élever au-delà pour pouvoir véritablement agir, construire et créer. En accueillant consciemment ces particules, votre perception de ce qu’est l’amour se transformera totalement. Vous nourrirez alors la Terre de votre Lumière et de votre Amour, ainsi que la multitude de formes de vie qui y évolue.

Explications : Francesca sur  http://francescaduforum.blogspot.fr/

Publié dans:CHAKRAS, ENERGIES, MEDIUM, POUVOIR |on 24 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

PENSER PAR LE COEUR

 

L’Intelligence suprême de l’Univers… Dieu… laquelle créa l’être humain et tout ce qui l’entoure, avait prévu de laisser à l’homme une possibilité de redécouvrir ses capacités perdues et d’utiliser la sagesse qui foisonne dans le monde immatériel.

Cette faculté a été donnée à l’être humain dès son origine mais il l’a perdue autant que son aptitude à la comprendre… En rupture avec l’intelligence suprême de l’Univers, dépossédé des facultés à l’aide desquelles il contribuait au perfectionnement de la planète terre et qui lui permettaient de la gérer en maître, l’homme s’échoua, tel un vaisseau parti à la dérive et son lien avec l’intellect universel s’émoussa …

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Ainsi s’amorça le mouvement de l’humanité, devenue invalide, vers des moyens artificiels de transformation de l’information, des aménagements techniques, des organisations sociales… En bref, de lourds mécanismes destinés, eux aussi, au naufrage.

Parce qu’il est temps d’éliminer les structures, de dépasser les limites et de briser les systèmes de conditionnement qui retiennent la conscience dans des courants confinés, préétablis. Parce que ces confinements et l’imposition de modèles de pensées anciens ont pour conséquences une conscience limitée destinée à maintenir l’humanité dans une situation d’asservissement et de contrôle, il est temps aujourd’hui d’accéder à la Vérité vraie, de comprendre et d’admettre qui vous êtes vraiment.

Ainsi, accepteriez-vous de redevenir qui vous étiez, qui vous êtes depuis l’origine ? De briser les tabous, le contrôle auquel vous êtes en permanence soumis par vos gouvernements, votre système monétaire, vos banques, vos marchands d’armes, dictateurs etc… ?

Accepteriez-vous, non de croire aveuglément ce qui va suivre mais d’envisager honnêtement qu’une autre réalité existe et de tenter l’aventure avant que de condamner en vous conformant de la sorte au but de ceux qui nous gouvernent en nous maintenant dans la peur et l’ignorance ?

Si tel est le cas, ce qui suit est pour vous. Attention toutefois, ces exercices ne sont pas de simples méditations, de simples techniques de visualisation. Ils sont destinés à permettre à l’homme de retrouver ses facultés perdues et de restaurer, parallèlement, l’harmonie sur terre ..

Extrait de : Exercices d’expansion de conscience conçus et réalisés par Grégory G

à lire sur http://bouger-la-vie.com/blog/wp-content/uploads/downloads/2011/10-12/Grabavoi-exercices.pdf

Publié dans:AMOUR, PENSEE, POUVOIR |on 17 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

Les 14 entraînements à la Pleine Conscience

 

Les 14 Entraînements à la Pleine Conscience représentent l’essence de la Communauté de l’Inter-Etre. Ils sont la torche qui éclaire notre chemin, le bateau qui nous porte, le maître qui nous guide. Ils nous permettent de toucher la nature de l’inter-être dans tout ce qui est, et de voir que notre bonheur est étroitement lié à celui des autres. L’inter-être n’est pas une théorie ; c’est une réalité que chacun d’entre nous peut expérimenter directement, à tout moment. Les 14 Entraînements à la Pleine Conscience nous aident à cultiver la concentration et la vision profonde qui nous libèrent de la peur et de l’illusion d’un soi séparé.

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Premier entraînement : Ouverture d’esprit

Conscients de la souffrance provoquée par le fanatisme et l’intolérance, nous sommes déterminés à ne pas faire preuve d’idolâtrie et à ne pas nous attacher à une doctrine, une théorie ou une idéologie, même bouddhiste. Nous nous engageons à voir les enseignements bouddhistes comme des moyens pour nous guider et nous aider à pratiquer le regard profond et développer ainsi notre compréhension et notre compassion. Ce ne sont pas des doctrines pour lesquelles nous nous battrons, nous tuerons ou nous mourrons. Nous comprenons que le fanatisme, quelle que soit sa forme, est la conséquence d’une vision dualiste et discriminante. Nous nous entraînerons à regarder toute chose avec ouverture d’esprit et avec la vision de l’inter-être pour transformer le dogmatisme et la violence en nous et dans le monde.

Deuxième entraînement : Non-attachement aux vues

Conscients de la souffrance provoquée par l’attachement aux vues et aux perceptions erronées, nous sommes déterminés à éviter de faire preuve d’étroitesse d’esprit et de nous attacher aux vues actuelles. Nous nous engageons à apprendre à pratiquer le non-attachement aux vues en gardant l’esprit ouvert aux expériences et aux visions profondes des autres afin de bénéficier de la sagesse collective. La vision profonde se révèle par la pratique de l’écoute compatissante, du regard profond et du lâcher-prise des notions plutôt que par l’accumulation des connaissances intellectuelles. Nous sommes conscients que notre savoir actuel n’est pas une vérité absolue et immuable. La vérité est à trouver dans la vie, nous observerons à chaque instant la vie en nous, autour de nous pour apprendre tout au long de notre vie.

Troisième entraînement : Liberté de pensée

Conscients de la souffrance provoquée quand nous imposons nos vues à autrui, nous sommes déterminés à ne forcer personne, pas même nos enfants, à adopter nos vues, que ce soit en ayant recours à l’autorité, à la menace, à l’argent, à la propagande ou à l’endoctrinement. Nous nous engageons à respecter le droit d’autrui d’être différent, d’exercer sa liberté de conscience et de prendre ses propres décisions. Néanmoins, nous apprendrons à aider les autres à se libérer aussi de l’attachement aux vues, par la parole aimante et un dialogue compatissant.

Quatrième entraînement : Conscience de la souffrance

Conscients que le regard profond sur la nature de notre souffrance peut nous aider à développer notre compréhension et notre compassion, nous sommes déterminés à revenir en nous-mêmes pour la reconnaître, l’accepter, l’embrasser et l’écouter avec l’énergie de la pleine conscience. Au lieu de la fuir et de la masquer par le recours à la consommation, nous ferons de notre mieux pour pratiquer la respiration consciente et la marche méditative afin de regarder profondément ses racines. Nous sommes conscients que c’est seulement en les appréhendant que nous trouverons le chemin de la cessation de la souffrance. Une fois notre propre souffrance pénétrée, nous serons capables de comprendre celle des autres. Nous nous engageons à trouver tous les moyens : contact personnel, téléphoniques, électroniques, audiovisuels ou autres… pour être avec ceux qui souffrent afin de pouvoir les aider à transformer leur souffrance en compassion, en paix et en joie.

Cinquième entraînement : Vie saine et compatissante

Conscients que le vrai bonheur est enraciné dans la paix, la solidité, la liberté et la compassion, nous sommes déterminés à ne pas amasser d’argent ni de biens alors que des millions de gens meurent de faim, à ne pas vivre dans le seul but d’acquérir la célébrité, les profits, les richesses ou les plaisirs sensuels qui peuvent provoquer beaucoup de souffrance et de désespoir. Nous regarderons profondément comment nous nourrissons notre corps et notre esprit par la nourriture comestible, les impressions sensorielles, la volition et la conscience. Nous nous engageons à nous abstenir de jeux de hasard, d’alcool, de drogues et de tout autre produit tel que certains sites internet, jeux électroniques, émissions de télévision, films, magazines, livres et conversations, qui peuvent intoxiquer notre corps, notre conscience ainsi que le corps et la conscience collectifs. Nous consommerons de manière à préserver la compassion, la paix, la joie, le bien-être dans notre corps, notre conscience et dans le corps et la conscience collectifs de notre famille, de notre société et de la terre.

Sixième entraînement : prendre soin de la colère

Conscients que la colère bloque la communication et crée de la souffrance, nous nous engageons à prendre soin de l’énergie de la colère quand elle surgit, à reconnaître et à transformer ses semences qui sont profondément enfouies dans notre conscience. Quand la colère se manifeste, nous sommes déterminés à ne rien dire, à ne rien faire mais à pratiquer la respiration consciente ou la marche méditative pour la reconnaître, l’embrasser et la regarder profondément. Nous sommes conscients que les racines de la colère ne sont pas extérieures à nous-mêmes mais se trouvent dans nos perceptions erronées et dans le manque de compréhension de notre propre souffrance et de celle de l’autre personne. En contemplant l’impermanence, nous pourrons nous regarder ainsi que la personne qui, selon nous, est à l’origine de notre colère, avec les yeux de la compassion et alors reconnaître combien nos relations sont précieuses. Nous pratiquerons la Diligence Juste pour cultiver notre capacité de compréhension, d’amour, de joie et d’inclusivité. Ainsi, nous transformerons progressivement la colère, la violence, la peur en nous et nous aiderons les autres à faire de même.

Septième entraînement : S’établir heureux dans le moment présent

Conscients que la vie n’est accessible que dans le moment présent, nous nous engageons à nous entraîner à vivre pleinement chaque instant de notre vie quotidienne. Nous essaierons de ne pas nous perdre dans la dispersion, de ne pas nous laisser emporter par les regrets du passé, les soucis du futur ou l’avidité, la colère et la jalousie du présent. Nous pratiquerons la respiration consciente pour être attentifs à ce qui se passe dans l’ici et le maintenant. Nous sommes déterminés à apprendre l’art de vivre en pleine conscience en touchant les éléments merveilleux, rafraîchissants et porteurs de guérison qui sont en nous et autour de nous, quelle que soit la situation. Ainsi, nous pourrons cultiver les semences de joie, de paix, d’amour et de compréhension en nous-mêmes, afin de faciliter le travail de transformation et de guérison dans notre conscience profonde. Nous sommes conscients que le bonheur dépend principalement de notre attitude mentale et non des conditions extérieures. Nous pouvons vivre heureux dans le moment présent simplement en reconnaissant que nos conditions de bonheur sont déjà plus que suffisantes.

Huitième entraînement : communauté véritable et communication

Conscients que le manque de communication mène toujours à la division et à la souffrance, nous nous engageons à nous entraîner à la pratique de l’écoute compatissante et de la parole aimante. Sachant qu’une communauté véritable est fondée sur l’inclusivité et la pratique concrète de l’harmonie des vues, de la pensée et de la parole, nous pratiquerons à partager notre compréhension et nos expériences avec les membres de la communauté afin de parvenir à une vision profonde collective. Nous sommes déterminés à apprendre à écouter attentivement sans juger ni réagir et à ne rien dire qui puisse entraîner discorde ou rupture au sein de la communauté. A chaque difficulté, nous resterons avec notre sangha et pratiquerons le regard profond sur nous-mêmes et les autres pour en reconnaître toutes les causes et les conditions, y compris nos propres énergies d’habitudes. Nous assumerons la part de responsabilité que nous avons probablement eue dans le conflit et garderons la communication ouverte. Nous ne nous comporterons pas en victime mais ferons tout notre mieux pour trouver les moyens de nous réconcilier et de résoudre tous les conflits, aussi petits soient-ils.

Neuvième entraînement : Parole sincère et aimante

Conscients que les paroles peuvent être source de souffrance et de bonheur, nous nous engageons à apprendre à dire la vérité de manière aimante et constructive. Nous utiliserons seulement des paroles qui inspirent la joie, la confiance et l’espoir autant la réconciliation et la paix avec nous-mêmes et avec les autres. Nous parlerons et écouterons de façon à nous aider nous-mêmes et à aider les autres, à transformer la souffrance et à trouver les moyens de surmonter les difficultés. Nous sommes déterminés à ne pas dire de mensonges dans notre intérêt personnel ou pour impressionner les gens, à ne rien dire qui puisse susciter division ou haine. Nous protègerons la joie et l’harmonie de notre sangha en évitant de parler des fautes d’une autre personne en son absence et en interrogeant sans cesse la justesse de nos perceptions. Nous ne parlerons que dans l’intention de comprendre et d’aider à transformer les situations. Nous ne répandrons aucune rumeur et nous nous abstiendrons de critiquer ou de condamner ce dont nous ne sommes pas certains. Nous ferons tout notre possible pour parler ouvertement des situations injustes, même si cela peut nous créer des difficultés ou menacer notre sécurité.

Dixième entraînement : Protéger et nourrir la sangha

Conscients que l’essence et le but d’une sangha sont la pratique de la compréhension et de la compassion, nous sommes déterminés à ne pas utiliser la communauté bouddhiste pour notre pouvoir ou notre profit personnel et à ne pas transformer notre communauté en un instrument politique. Cependant, en tant que membres d’une communauté spirituelle, nous devrions prendre une position claire par rapport à l’oppression et à l’injustice. Nous ferons tout notre possible pour changer ces situations, sans prendre parti dans les conflits. Nous nous engageons à regarder avec les yeux de l’inter-être pour nous voir et voir les autres comme les cellules d’un corps de sangha. Etant une vraie cellule du corps de sangha qui génère la pleine conscience, la concentration et la vision profonde pour nous nourrir et nourrir toute la communauté, chacun de nous est en même temps une cellule du corps de bouddha. Nous cultiverons activement la fraternité, coulerons comme une rivière et pratiquerons à développer les 3 pouvoirs véritables : aimer, comprendre et trancher net les afflictions afin de réaliser l’éveil collectif.

Onzième entraînement : Moyens d’existence justes

Conscients que notre environnement et notre société sont détériorés par la violence et les nombreuses injustices, nous nous engageons à ne pas utiliser de moyens d’existence nuisibles aux êtres vivants et à la nature. Nous ferons tout notre possible pour choisir des moyens d’existence qui contribuent au bien-être de toutes les espèces sur terre et nous permettent de réaliser notre idéal de compréhension et de compassion. Conscients de la réalité mondiale de l’économie, de la politique et de la société, ainsi que de notre interrelation avec l’écosystème, nous sommes déterminés à nous comporter avec responsabilité en tant que consommateurs et citoyens. Nous n’investirons pas et ne commercerons pas avec les sociétés qui contribuent au tarissement des ressources naturelles, qui nuisent à la terre et privent les autres de leur chance de vie.

Douzième entraînement : Respect de la vie

Conscients de la grande souffrance provoquée par la guerre et les conflits, nous sommes déterminés à cultiver la non-violence, la compassion et la vision profonde de l’inter-être dans notre vie quotidienne, à promouvoir l’éducation à la paix, la médiation en pleine conscience et la réconciliation dans les familles, les communautés, les groupes ethniques et religieux, les nations et le monde. Nous nous engageons à ne pas tuer et à ne pas laisser les autres tuer. Nous ne soutiendrons aucun acte meurtrier dans le monde, dans nos pensées ou dans notre façon de vivre. Nous pratiquerons continuellement le regard profond avec notre sangha pour découvrir les meilleurs moyens de protéger la vie, d’empêcher la guerre et de bâtir la paix.

Treizième entraînement : Générosité

Conscients de la souffrance provoquée par l’exploitation, l’injustice sociale, le vol et l’oppression, nous nous engageons à cultiver la générosité dans notre manière de penser, de parler et d’agir. Nous apprendrons à œuvrer pour le bien-être d’autrui, des animaux, des plantes et des minéraux. Nous pratiquerons la générosité en partageant notre temps, notre énergie et nos ressources matérielles avec ceux qui en ont besoin. Nous sommes déterminés à ne pas voler et à ne pas prendre possession de ce qui ne nous appartient pas. Nous respecterons les biens d’autrui et essaierons d’empêcher les autres de profiter de la souffrance des humains et de tous les êtres.

Quatorzième entraînement : Comportement juste

Pour les membres laïcs :
Conscients que le désir sexuel n’est pas l’amour et que les relations sexuelles motivées par l’avidité ne peuvent pas dissiper les sentiments de solitude mais qu’elles engendrent plus de souffrances, de frustration et de solitude, nous sommes déterminés à ne pas avoir de rapports sexuels sans compréhension et amour mutuels, sans engagement profond, durable et connu de nos proches. Sachant que le corps et l’esprit sont un, nous nous engageons à apprendre les moyens appropriés pour prendre soin de notre énergie sexuelle et à cultiver la bonté aimante, la compassion, la joie et la non-discrimination pour notre propre bonheur et pour celui des autres. Nous devons être conscients de la souffrance qui pourrait être provoquée dans le futur par des relations sexuelles. Nous savons que pour préserver notre bonheur et celui des autres, nous devons respecter nos droits et engagements ainsi que ceux d’autrui. Nous ferons tout notre possible pour protéger les enfants des abus sexuels et pour empêcher les couples et les familles de se briser à cause de comportements sexuels irresponsables. Nous traiterons notre corps avec compassion et respect. Nous sommes déterminés à regarder profondément les Quatre Sortes de Nourriture (comestibles, sensorielles, volition et conscience) et à apprendre les moyens de préserver et de canaliser nos énergies vitales (sexe, respiration et esprit) pour réaliser notre idéal de bodhisattva. Avant de contribuer à l’apparition de nouvelles vies, nous serons pleinement conscients de notre responsabilité et nous méditerons sur leur futur environnement.

chez francesca

Pour les membres monastiques :

Conscients que l’aspiration profonde d’un moine ou d’une moniale peut seulement se réaliser lorsqu’il ou elle abandonne complètement les liens charnels, nous nous engageons à pratiquer la chasteté et à aider les autres à adopter un comportement sexuel responsable. Nous savons que les sentiments de solitude et de souffrance ne peuvent se dissiper par un rapport sexuel mais plutôt par la pratique de la bonté aimante, de la compassion, de la joie et de la non-discrimination. Nous sommes conscients qu’un rapport sexuel peut détruire notre vie monastique, nous empêcher de réaliser notre idéal de service des êtres vivants et nuire à la vie d’autrui. Nous apprendrons les moyens appropriés de prendre soin de notre énergie sexuelle. Nous sommes déterminés à ne pas opprimer notre corps, à ne pas le maltraiter ou le considérer comme un instrument, mais à nous occuper de lui avec compassion et respect. Nous sommes déterminés à regarder profondément les Quatre Aliments pour préserver et canaliser nos énergies vitales (sexe, respiration, esprit) afin de réaliser notre idéal de bodhisattva.

SOURCE 14 Quatorze Entraînements à la Pleine Conscience Révisés Juin 2012 Colonnes .pdf

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES, ESPRITS, MEDIUM, PENSEE, POUVOIR |on 15 septembre, 2016 |Pas de commentaires »

Lorsque l’Esprit sort de son Corps

 

J’utilise l’expression « sortie astrale » pour désigner le phénomène qui permet à l’Esprit de sortir hors de son corps de chair tout en conservant ses pleines facultés. L’Esprit continue alors à vivre en dehors de ce dernier en conservant sa pleine personnalité mentale, affective et même physique. J’aurais pu également prendre les termes « expérience extracorporelle » ou « sortie hors corps » qui sont souvent employés pour exprimer la même chose. 

Les sorties astrales constituent sans doute la manifestation de l’Esprit qui démontre le mieux la réalité de l’existence spirituelle indépendante du corps matériel. L’Esprit incarné se retrouve complètement à l’extérieur de son véhicule charnel et continue quand même à voir, à entendre et à penser avec toutes ses facultés. En se regardant, il constate qu’il a la même apparence que son corps matériel qu’il peut observer en dehors de lui. Il lui est alors très évident que son corps physique n’est qu’un véhicule complémentaire lui permettant tout simplement de vivre dans le monde de la matière lourde. Il constate comme son moi intime est autonome par rapport à sa carcasse de chair et d’or. En observant la corde d’argent qui le relie à ce dernier, il voit que c’est plutôt le corps physique qui est dépendant de son moi, ne pouvant survivre sans l’apport en fluide animalisé que l’Esprit conserve dans son périsprit pendant toute son incarnation.

blog de francesca

Dès que nous entrons dans le sommeil, notre Esprit sort de notre corps et nous retrouvons pendant quelques heures nos facultés d’Esprit dont l’étendue est directement déterminée par notre degré d’évolution spirituelle. Nous pouvons donc dire que, pour nous, incarnés, le sommeil constitue une véritable sortie astrale prolongée pendant laquelle l’Esprit peut manifester sa nature subtile.

Certaines de ces expériences extracorporelles peuvent être retenues par le conscient. La personne se souvient alors de toutes les séquences impliquées. Souvent, les souvenirs prennent d’abord l’allure d’un rêve dans sa définition conventionnelle, puis le quotidien de l’état de veille apporte rapidement les éléments qui font bien comprendre à son auteur qu’il s’agit d’un phénomène beaucoup plus concret que cela.

D’autres expériences extracorporelles n’atteignent pas le niveau conscient de l’auteur, mais s’inscrivent dans celui des Esprits incarnés qui ont assisté à l’événement. Ces derniers deviennent alors des témoins directs des activités vécues dans l’au-delà.

Toutes ces expériences peuvent prendre plusieurs visages : dans les manifestations du sommeil, certains Esprits vont exprimer leurs soucis de veille. Ils vont alors chercher à continuer d’agir dans le monde matériel en fonction de leurs préoccupations. Plusieurs vont malheureusement négliger de profiter de leur liberté temporaire pour se ressourcer sur le plan de l’Esprit.

Leur action dans le monde matériel peut avoir un caractère très anodin, mais dans certains cas ces Esprits en sortie astrale nocturne peuvent causer directement du tort à d’autres incarnés au même titre que les Esprits malveillants du bas astral. Il s’agit alors d’esprits perturbés qui tentent maladroitement de lancer leurs appels de détresse ou d’exprimer leur mécontentement en s’en prenant à leurs proches qu’ils considèrent comme responsables de leurs malheurs.

D’autres Esprits en période de sommeil vont profiter de leurs possibilités d’Esprit pour livrer à leurs proches des messages que leur lucidité retrouvée va leur inspirer. Il faut bien noter, ici, que ces messages doivent toujours êtres autorisés par Dieu lui-même afin que les plans de vie ne soient pas perturbés. Certains de ces messages peuvent être sans importance réelle.  D’autres par contre, peuvent apporter de pertinentes informations. Il arrive aussi que des Esprits en sommeil vont rejoindre des incarnés qu’ils connaissent en agissant un peu comme le ferrait des Esprits familiers.

Le travail que nous pouvons accomplir en astral pendant notre sommeil pourrait en surprendre plusieurs si on nous dévoilait la nature de nos occupations d’Esprit. Le sommeil permet donc à l’Esprit de retrouver temporairement sa liberté de l’au-delà. Il lui donne accès à un état de vie extracorporelle à la portée de tous les incarnés. Mais très peu de gens nous rapportent ce genre de manifestation de l’Esprit des incarnés…

Cependant, il y en a beaucoup plus qu’il ne le paraît. L’impression de rareté réside dans le fait que la plupart de ceux qui les vivent taisent leur expérience, de crainte de se voir ridiculisés. D’autant plus que nous vivons actuellement dans un monde très matérialiste aux préjugés anti-spirituels bien ancrés. Même les agents du culte de certaines religions rejettent ces témoignages sous prétexte qu’ils ne cadrent pas avec leur doctrine, comme si Dieu pouvait avoir des préférés parmi ceux qui L’acclament.

soeur en soi

Les sorties astrales de l’état de vielle sont beaucoup moins fréquentes que celles que nous venons de voir, mais ce sont elles qui font le plus souvent l’objet d’études particulières. Nous pouvons les regrouper en deux catégories distinctes même si, dans les deux cas, le processus est exactement le même. La première est celle des sorties astrales spontanées et la seconde, celle des sorties astrales volontaires.

Les expériences extracorporelles spontanées sont celles qui n’ont aucunement été provoquées par leur auteur. Elles surviennent sans avertissement particulier. Elles font toujours l’objet d’une autorisation divine. De ce fait, celui ou celle qui la vit bénéficie d’une entière protection de son Esprit guide et des Esprits de Lumière qui l’entourent. Aucun Esprit malveillant ne peut agir contre un incarné se retrouvant en sortie astrale spontanée. C’est l’exécution de la Volonté divine qui suit son cours avec tous les avantages que cela peut comporter.

Comme celles qui sont vécues en état de sommeil, les sorties astrales spontanées peuvent se faire de façon inconsciente. Il peut arriver en effet, bien que le phénomène soit plutôt rare, que la personne concernée ne sache ce qu’elle a fait en dehors de son corps qu’en l’apprenant des témoins de la manifestation.  

Quoi qu’il en soit, ceci ne se fait jamais de façon volontaire. Ces apparitions découlent toujours d’une autorisation divine et poursuivent constamment le but d’appliquer la volonté de Dieu dans le sens du mieux-être des gens concernés ; ce qui donne toutes les conditions nécessaires pour garantir la protection bienveillante des Esprits de Lumière contre qui les forces du mal ne peuvent rien. Mais dans la plupart des cas, le phénomène revêt un caractère tout à fait conscient.

Ainsi, dans le domaine des expériences extracorporelles, celui qui attend sagement que Dieu lui fasse signe s’assure que celles-ci ne seront jamais futiles pour lui-même ni nuisibles pour les autres. Il s’assure aussi qu’elles répondront toujours aux impératifs de la Loi de l’amour qui ne vise que le bien de chacun. Faire le contraire pourrait condamner le sujet à devoir payer cher de possibles égarements si facilement inspirés par l’orgueil et l’égoïsme d’ici-bas.

propos de Serge GIRARD

La bibliothèque de Francesca  QUAND L’AU-DELA SE MANIFESTE

La Rencontre avec des Esprits familiers

 

Chacun d’entre est entouré d’un nombre plus ou mois restreint d’entités possédant les mêmes caractéristiques personnelles que nous. Le même niveau d’évolution, les mêmes faiblesses, les mêmes qualités et le même bagage karmique en font des Etres très réceptifs à ce que nous somme set à ce que nous vivons. Elles se sentent bien en notre compagnie du fait qu’elles retrouvent en nous les traits  qui correspondent à ce qu’elles sont.

L’au-delà les appelle les Esprits. Le plus souvent, ils nous accompagnent dans notre quotidien d’incarnés pour en tirer des leçons dont ils pourront profiter quand leur tour viendra de reprendre chair.

Sur Terre, il est fréquent de voir les mêmes Esprits familiers accompagner un incarné pendant tout son pèlerinage terrestre. C’est qu’ici, la progression est encore lente. Les Familiers peuvent donc retrouver longtemps chez leur compagnon les traits dans lesquels ils se reconnaissent.

coucher soleil

Chez ceux qui se prennent réellement en main dans leur progression spirituelle d’incarnation, on observe un changement dans la composition de leurs Familiers. Ces derniers se retrouvant plus d’ambiance sympathique, ils ne sentent plus à leur place et quittent les lieux. Des entités plus avancées viennent alors les remplacer dans leur accompagnement invisible. C’est lorsque l’incarné a atteint un niveau plus avancé dans son développement que ses Esprits Familiers peuvent être classés parmi les Esprits de l’au-delà qui l’assistent. Car au stade de l’amour et du respect des Lois Divines, nos Esprits Familiers ne désirent que le bien dans toutes ses définitions possibles.

L’incarné retrouve alors en eux de véritables amis dont le dévouement est constant et sincère. Evidemment, il ne peut en être ainsi pour l’incarné retardataire qui peut retrouver chez ses Esprits Familiers les mêmes poussées de haine, d’envie, de jalousie, et les mêmes pulsions dévastatrices qui le dévorent.

Ces derniers sont alors le plus souvent des entités qui sont demeurées attachées aux appels de la matière. C’est chez ces derniers qu’on retrouve les Familiers de maison qui refusent de quitter leur ancien environnement d’incarnation. Certains vont même jusqu’à s’installer dans des demeures dont ils ont longtemps rêvé pendant leur vie terrestre. Tant qu’ils ne sont pas dérangés, leur présence demeure généralement inaperçue par ceux qu’ils accompagnent à leur insu, mais, dans certaines circonstances, ils peuvent se transformer en de véritables fauteurs de troubles.

Après leur décès, certains d’entre nous auront sûrement l’idée de se manifester à des parents ou à des amis à qui ils voudraient confirmer la réalité de leur survie. Peut-être même que toi qui lis ces lignes, tu l’as déjà fait à plusieurs reprises dans tes nombreux décès antérieurs.

Une abondante documentation verbale et écrite nous en a régulièrement rapporté des témoignages forts pertinents depuis les débuts de l’histoire de l’humanité terrestre. Elle nous démontre avec évidence que, de tout temps, plusieurs Esprits de l’au-delà y sont très bien parvenus. Mais bien que le phénomène soit beaucoup plus répandu que le premier abord pourrait nous le laisser croire, nous sommes quand même forcés d’admettre que cette performance ne semble pas à la portée de tous ceux qui trépassent.

Pour bien en comprendre la raison, voyons les conditions qui en régissent la possibilité. Tout d’abord, il faut que l’Esprit de l’au-delà soit en mesure de se manifester. Certains facteurs comme l’insuffisant degré d’éveil du défunt ou l’absence de médium pour puiser l’énergie animalisée indispensable à toute manifestation matérielle dans le monde physique peuvent, malgré les plus fébriles attentes, rendre l’opération impossible.

Ensuite, il faut que le défunt veuille bien se manifester. Il ne faut pas oublier que nous conservons nos souvenir set notre personnalité après notre décès. Les initiés, les gênes, les rancunes et les indifférences peuvent facilement inciter l’entité décédée à couper tout contact avec ceux qu’il a laissés. De plus, certains peuvent considérer dans leur nouveau point de vue, qu’il vaut mieux demeurer silencieux auprès des leurs, malgré l’amour sincère qui peut les unir au-delà de la mort. Ils se contentent alors d’échanger avec eux dans leurs périodes de sommeil que le voile d’incarnation fait oublier.

Enfin, et c’est le point le plus important, il faut que Dieu donne Son autorisation. Sans cette dernière, une manifestation ne peut se réaliser. Il est donc possible et même fréquent que des défunts veuillent contacter leurs proches mais qu’ils en soient empêchés par L’interdiction divine. Dans ces cas, l’Esprit éveillé comprend qu’il en est mieux ainsi. La sagesse divine voyant bien au-delà des appels immédiats.

Il y a donc au point de départ trois conditions minimales qui doivent être remplies pour que le phénomène puisse se produire. Mais à ces conditions, nous pouvons rajouter certaines attitudes de notre part qui peuvent inciter un défunt à demeurer dans l’anonymat de son invisibilité. A titre d’exemple, citons tous les sentiments secrets que nous pouvons nourrir dans notre cœur à l’égard du défunt et qui seraient de nature à créer un malaise chez ce dernier. Il y a également nos peurs qui peuvent bloquer tout contact avec l’au-delà, car l’Esprit bienveillant ne veut pas effrayer celui ou celle qu’il aime avec sincérité. Chez certains incarnés, la fragilité du système nerveux peut donner lieu à d’imprévisibles réactions face à leur peur et le Esprits désincarnés doivent se montrer prudents sur ce point.

Nous pourrions enfin citer le refus de voir et d’entendre leurs messages. Il peut donc arriver que, par crainte, par ignorance ou simplement par pur entêtement volontaire, nous ne soyons pas en mesure de reconnaître les signes qui nous sont envoyés.

propos de Serge GIRARD

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Publié dans:ELEMENTS, ESPRITS, MEDIUM, POUVOIR |on 13 août, 2016 |Pas de commentaires »

Rythme vibratoire, fréquence fondamentale et champ magnétique

 

 

Le rythme vibratoire

L’humain peut utiliser ses pouvoirs subtils à chaque instant de sa vie. Cependant, c’est son rythme vibratoire, c’est-à-dire le mouvement de son énergie et la fréquence de ses émanations, qui en détermine l’intensité et la puissance. Si son rythme vibratoire n’est pas suffisamment élevé et que son champ magnétique n’est pas assez ample, il aura de la difficulté à reconnaître ses pouvoirs, à s’en servir et, bien sûr, à obtenir des résultats.

Un rythme vibratoire élevé assure d’être plus perceptif et sensible aux connaissances subtiles. Toutes les facultés sensorielles et extrasensorielles de l’humain seront alors stimulées et favoriseront une plus grande intensité. À un rythme vibratoire élevé, l’énergie circule plus librement et plus naturellement, et l’individu en ressent un grand bien-être, une harmonie et une puissance.

champs-magnétiques

L’élévation du rythme vibratoire favorisera donc l’utilisation des pouvoirs et une création concrète. Ce rythme s’élève lorsque l’être:

  • se désidentifie, un moment, de son personnage, de ses désirs et de ses soucis pour s’identifier à sa dimension lumineuse;
  • intensifie l’énergie à chacun des trois constituants de la trilogie énergétique, soit la volonté, la conscience et l’amour;
  • favorise la pratique méditative et contemplative, qui facilite la centration et l’expansion;
  • met en place une pratique de vie équilibrée et consciente à chaque instant.

Par sa constitution, l’homme est une âme et un esprit. Il est lumière vibrant à un rythme très élevé. Leur union dans le corps crée une contraction qui est accentuée par l’identification de l’être à son incarnation. Le rythme vibratoire diminue en proportion de cette identification et, de ce fait, l’humain perd les sensations de sa dimension subtile.

Toutefois, même si l’homme a souvent oublié ou nié sa dimension lumineuse, se plaçant ainsi dans un aspect contracté de lui-même, il a néanmoins vécu certains moments de joie et de satisfaction et, de ce fait, il exprime des résistances à élever son rythme par peur de perdre les sensations associées au corps, aux émotions, etc. C’est en devenant conscient qu’il peut tout autant se réjouir des sensations agréables de la vie terrestre sans que cela soit une entrave à son évolution ou à son rythme vibratoire, qu’il abandonnera alors ses résistances et son attachement à certaines choses.

Les sensations qui créent les plaisirs de l’incarnation peuvent non seulement continuer à exister, mais qui plus est, comme elles guideront l’humain vers la sensation de lui-même et du subtil, ce dernier n’aura plus à en abuser et à supporter l’effet de l’abus!

Ne croyez pas que pour élever son rythme vibratoire dans la voie du Maître il faille nier l’incarnation. Ce serait vraiment une mauvaise interprétation. Nier l’incarnation signifierait se diviser, rompre, et c’est justement cette division qui crée la souffrance. Il ne s’agit pas de rejeter l’incarnation pour s’élever à un état d’Esprit, mais plutôt unir l’être incarné à l’Esprit.

L’élévation du rythme vibratoire est simple et procure un bien-être physique et subtil, alors que la contraction provoquée par une diminution du rythme crée des inconforts et des douleurs. Ainsi, l’élévation vers un état plus élevé, sans nier le corps, est beaucoup plus satisfaisante qu’une contraction dans la matière qui alourdit physiquement et psychiquement.

Plus l’être élève son rythme vibratoire, plus il pourra se dissoudre dans l’espace méditatif et moins il sera envahi par les sollicitations de la pensée ou du corps. Plus il s’élève par la pratique de la contemplation, plus il réussira à s’unir à la nature et à bénéficier des connaissances subtiles que celle-ci fera rejaillir en lui.

_guidePlus un être s’élève en vibration, plus sa création est pure et représente ce qu’il est vraiment. Il est alors de moins en moins assujetti aux conditions de l’incarnation qu’il a fait siennes, mais qui sont illusoires. Il pourra vivre des éveils importants et accéder à une vision de l’espace multidimensionnel. Cela lui permettra de vivre dans une réalité beaucoup plus vaste.

Imaginons une personne à la fois mue dans son quotidien par une envie de vivre quelque chose de plus grand et sollicitée par ses peurs, ses contractions et ses désirs. Disons, à titre d’exemple, qu’elle vibre à un rythme de 3 sur une échelle hypothétique de 20. Maintenant, imaginons que cette personne choisit consciemment, pour un moment, de laisser se dissoudre tous les aspects plus ombrageux de son être et de vivre dans un espace plus libéré, et que cela élève son rythme à 10. Durant les périodes de méditation et de contemplation, le rythme pourrait même s’élever progressivement de 10 à 12 et jusqu’à 14. Par la suite, en reprenant ses activités quotidiennes, son rythme, au lieu de redescendre à 3, va se maintenir autour de 3,5 – éventuellement à 4 et plus.

Voilà comment sa disponibilité à une pratique quotidienne visant à élever son rythme vibratoire permettra non seulement à la bande supérieure de son rythme, mais aussi au rythme vibratoire de sa vie quotidienne, de progresser.

Si l’individu choisit d’inscrire dans sa vie une pratique régulière de méditation, de contemplation et d’activités expansives, son rythme vibratoire moyen et supérieur s’élèvera et il sera alors de plus en plus éveillé et conscient de ses possibilités dans la vie de tous les jours.

En atteignant la fréquence de 20, il vibrera alors à la hauteur de sa fréquence fondamentale, c’est-à-dire dans l’expression totale de lui-même et dans toute sa puissance.

Dès maintenant, il est possible à chacun d’élever son rythme vibratoire et de constater les résultats de ses pouvoirs. Cependant, si son rythme est trop bas, l’individu risque d’être déçu. C’est pourquoi nous insistons sur la pratique. Ainsi, l’être en constatera non seulement les résultats, mais aussi et surtout une sensation de joie. Car, au-delà des résultats, c’est la joie et le bonheur associés au nouvel état d’être qui prédomineront. L’être sera de plus en plus stimulé par ses dons et le fait que les personnes autour de lui se réjouiront de ses émanations.

Et, un jour, lorsqu’il deviendra un Maître, il savourera entièrement ce qu’il est en tant qu’être incarné et être de lumière. Il se réjouira de tout ce qu’il est et de tout ce qu’il accomplit pour son entourage humain et sur d’autres plans de vie.

La fréquence fondamentale

Ainsi, c’est par la pratique de l’élévation du rythme vibratoire, favorisée par la contemplation et la méditation, que l’homme atteindra sa fréquence fondamentale individuelle.

Cette fréquence est celle de son essence. Nous vous avons déjà transmis que chaque être, même s’il est de nature universelle, a une essence individuelle. En d’autres mots, chacun est distinct par l’ensemble de ses qualités, de ses dons et de ses talents. Son essence exprime la teinte, la couleur et le parfum de sa pulsion de vie, de même qu’une force énergétique s’exprimant tant physiquement que subtilement.

En s’incarnant, le duo âme-esprit manifeste à la fois l’universalité et l’individualité de l’être. Il se présente donc avec une fréquence qui lui est propre. C’est grâce à celle-ci qu’il peut entrer en relation avec les autres et même avec d’autres formes de vie. Ainsi, par l’intermédiaire de cette fréquence, il peut accéder à des portails de communication sur différents plans de conscience, différentes dimensions, avec différentes formes de vie.

Vous allez constater que la fréquence fondamentale d’un individu lui permet non seulement de s’exprimer, de manifester ce qu’il est véritablement, et d’émettre sa vibration pure, mais aussi de mieux percevoir les vibrations des formes de vie universelles autour de lui.

Pour plus de précision, ajoutons ceci: lorsqu’un être vibre à sa fréquence fondamentale – au moment où la lumière du duo âme-esprit rencontre la matière dans le fœtus -, il peut entrer alors en relation avec diverses formes de vie, que ce soit celles que l’on retrouve dans la nature (animale, végétale ou minérale), de ce monde et d’autres mondes, extraterrestres comme intraterrestres.

Par contre, les inscriptions mémorielles présentes génétiquement et l’ampleur des influences de la société feront en sorte qu’inconsciemment souvent, mais très concrètement, l’être cherchera à s’identifier à son milieu et à vibrer sur la fréquence de masse. Dès lors, il diminuera son rythme vibratoire et sa capacité de réception et de communication avec le subtil.

QUANTIQUEChaque humain est en soi une expression de l’univers tout entier. Ce dernier se manifeste à chaque instant par de multiples formes de vie. Chaque manifestation universelle est en soi une expression holographique. Ainsi, vous portez en vous l’univers tout entier, tout comme chacune de vos cellules porte la connaissance et la vibration de tout votre être incarné. Chaque cellule est une représentation de votre être, lequel est une représentation de l’univers.

L’univers se manifeste donc par l’union de toutes ces cellules. Nous pourrions ensemble imaginer que chaque cellule a une fréquence qui lui est propre, une expression de la fréquence globale de l’univers. Chaque particule unie aux autres particules constitue l’univers dans sa fréquence universelle. Par conséquent, chaque humain s’exprime naturellement à une fréquence particulière qui lui permet de s’harmoniser avec chacune des autres fréquences pour constituer le Tout.

Un exemple de fréquence est celle du rythme cardiaque. C’est là une analogie intéressante, car le cœur physique, par son battement, permet à l’individu de se sentir uni. Observez comment les humains retrouvent un calme, une paix dans un mouvement répétitif associé aux battements du cœur.

En se présentant sur terre, l’individu vit d’abord l’union avec un autre être, car il est dans le corps physique d’une femme. Et dans ce corps physique, il ressentira la fréquence de cet être et, bien sûr, le battement de son cœur. Puisque, en s’incarnant, l’être peut avoir l’impression de se séparer du Tout, il cherchera un nouvel univers dans le corps de sa mère.

Entendez ceci de nos paroles: l’être, avant de s’incarner, existe dans l’univers entier. Il n’a pas cette sensation d’individu séparé. Il est dans une expression d’union totale. Dans l’incarnation, parce qu’il se manifeste dans un corps physique, il peut avoir, à cause de sa densité, la sensation d’être désuni et séparé. La période de gestation lui permet de retrouver la sensation d’union. Le battement de cœur de la mère, qui représente sa fréquence, sera ce à quoi il pourra s’associer pour retrouver la paix.

Le battement du cœur est l’une des façons d’émettre sa vibration. Une façon fondamentale par laquelle l’humain manifeste son existence et communique avec les autres. Le cœur physique qui bat est lui-même en association avec le thymus et les autres glandes supérieures du corps.

Les humains sont tous à la fois identiques et différents, à l’instar des flocons de neige que vous pouvez si bien observer. Identiques de par leur nature et leur manifestation concrète, et différents par une forme légèrement nuancée l’une de l’autre. Cette nuance est leur individualité. Elle est aussi associée à une fréquence unique.

Nous vous l’avons souvent transmis: l’humain est une antenne qui accueille et reçoit les vibrations de toutes les formes de vie qui l’entourent. Chaque forme de vie est en soi une énergie en mouvement. Comme cette énergie est en mouvement, elle crée et émet des vibrations. L’être est donc une antenne qui reçoit des vibrations et en émet. Ces vibrations sont reçues et émises à une fréquence précise, propre à chacun, mais suffisamment similaire pour favoriser la communication, la communion. Toutefois, la distinction dans la fréquence permet à chacun d’être une expression unique tout en étant une expression du Tout – différent et UN en même temps.

Le fait de vouloir s’unir à un Tout et d’être UN, en cherchant aussi à être unique, est peut-être un paradoxe existentiel ou l’expression d’une multitude de particules qui forment d’abord un Tout. En cela, l’envie et la pulsion d’être unique ne doivent pas être condamnées dans un parcours qui se veut spirituel. Elles doivent être comprises de telle sorte qu’elles puissent s’exprimer sans pour autant créer de l’opposition, de la division et de la concurrence.

Voyez comment l’évolution de votre humanité a toujours été associée à une forme de concurrence et de comparaison entraînant de l’opposition. Si les hommes sont l’expression d’un Tout parfait, donc eux-mêmes parfaits, pourquoi entrent-ils dans un mouvement d’opposition, de division et de concurrence? Simplement parce qu’ils saisissent mal cette pulsion d’unicité, laquelle fait en sorte qu’ils cherchent à se manifester de façon unique. Il est fort intéressant de noter que cette pulsion à exprimer et à déployer son caractère unique servira de catalyseur pour retrouver l’union. Et cela se fera par la découverte de la fréquence fondamentale. Ainsi, il est tout aussi important d’honorer la pulsion d’être unique que la volonté d’être UN et uni au Tout.

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Pour l’individu très identifié à l’incarnation, la pulsion de l’unité ressentie peut entraîner une angoisse de se perdre ou de se dissoudre dans le Tout. C’est souvent ce qui explique la peur de la mort, par exemple. Car, au-delà de la peur de souffrir avant la mort ou de la peur de l’inconnu d’un voyage cosmique possible, il y a aussi une peur d’exister dans un tout indifférencié. De même, la difficulté de s’abandonner ,dans l’espace méditatif et de permettre l’augmentation du rythme vibratoire y trouve sa source.

Dans chaque cellule, on retrouve cette pulsion de l’unicité susceptible de provoquer la peur du tout et la crainte d’être trop identifié à l’incarnation. Ces peurs peuvent alors engendrer des conflits intérieurs. Éventuellement, tout cela tend vers un équilibre.

Ainsi, chaque être vibre sur une fréquence propre à partir de laquelle il peut capter et émettre. Or, ce qui est à la fois magnifique ici, mais insécurisant pour certains, c’est qu’étant donné la nature universelle de l’être, celui-ci a la possibilité de vibrer sur plusieurs fréquences, donc de transformer sa fréquence. Cela signifie aussi qu’il peut oublier sa fréquence dans cette capacité de la changer.

Alors, quelle est la raison première de retrouver sa fréquence fondamentale? Quel en est le bénéfice? Cela se résume dans la relation continue que celle-ci procure avec le Soi, dans l’accès ininterrompu à son inspiration. Être à l’écoute sans être dans l’effort de l’écoute.

Une autre analogie vous permettra de saisir une nuance importante ici. Lorsqu’une radio émet dans votre langue maternelle, vous comprenez le contenu même si vous êtes occupé. Si, toutefois, la radio diffuse dans une langue que vous connaissez, sans la maîtriser, il y a de fortes probabilités que vous passiez à côté du message principal, à moins d’être particulièrement attentif. Il en est de même avec votre fréquence. Même sans concentration dirigée, vous pouvez capter une inspiration dans la mesure où vous êtes dans votre mouvement créateur naturel.

Or, si vous captez ainsi l’inspiration, c’est que vous êtes aussi en relation continue avec chacune de vos cellules (en plus de l’âme). Que signifie recevoir et émettre à partir des cellules? Comprenez que ces dernières ont été créées par une première cellule, une cellule fondamentale ou maîtresse qui porte en elle la vibration de votre esprit, de votre âme, et le plan pour tout le corps. Et de cette cellule maîtresse, toutes les autres sont nées. Or, vos cellules savent ce qui est juste pour votre corps. Par exemple, les cellules d’un tissu de votre épaule savent qu’un mouvement de votre bras et de votre épaule est juste et qu’il assure la circulation. Toutefois, elles savent aussi qu’un autre mouvement n’est plus juste, qu’il crée une tension et que cela peut provoquer là une contraction, sinon une déchirure. Non seulement vos cellules le savent, mais elles vous le communiquent.

Les cellules de votre corps vous indiquent ce qui est juste pour ce dernier, et ce, de manière tout à fait naturelle. Chez tous les humains qui sont à l’écoute et qui ont retrouvé leur fréquence fondamentale, cette écoute n’exige pas une attention particulière, car cette attention est acquise. Il n’y a pas là nécessité d’une interrogation profonde ni d’une intériorisation pour s’unifier aux cellules et demander ce qui est juste. Tout cela est immédiat, instantané, naturel, parce que vous êtes alors à votre fréquence fondamentale, donc à la fréquence la plus naturelle de chacune de vos cellules.

Ainsi, chacun peut s’assurer d’un équilibre et d’une harmonie par une relation de communication avec les cellules de son corps. Dans ce nouveau monde qu’ils sont à créer, les humains vont de plus en plus apprendre à se guérir par un tel rapport naturel et constant avec le corps. Par la suite, ils vont apprendre à ne plus le détériorer comme par le passé.

La guérison est en soi associée à un mouvement naturel de régénérescence cellulaire. Or, ce mouvement est facilité lorsque l’être tend vers sa fréquence fondamentale, dans un parcours conscient d’élévation de son rythme vibratoire.

Déjà, en étant plus sensible à sa fréquence naturelle, l’individu a une communication avec ses cellules beaucoup plus spontanée et naturelle. Bien sûr, la fréquence fondamentale fait en sorte que l’être est beaucoup plus conscient de chacune d’elles et va ainsi augmenter, intensifier sa capacité d’autoguérison. Dans le retour à la fréquence fondamentale, l’être va vers une guérison beaucoup plus accélérée puisque sa communication avec ses cellules est beaucoup plus naturelle. D’une part, il peut communiquer avec ses cellules, mais d’autre part, il les entend lui transmettre ce qui est juste ou ne l’est pas. Elles sont comme des voix intérieures qui le guident spontanément et naturellement dans un rapport constant avec lui.

2De manière générale, les humains ont créé une fréquence à partir de laquelle ils communiquent à un premier niveau, dans un langage, des physionomies, des mouvements, par une codification. Nous dirons qu’il y a ici un accord inconscient, tacite, d’utiliser une fréquence, comme si vous étiez tous des postes émetteurs ayant désormais à syntoniser la même fréquence pour s’assurer d’être entendus. Cela semble extraordinaire, n’est-il point? Pour vous assurer d’être chacun entendu au premier niveau, vous allez quitter la fréquence qui vous permet d’émettre les subtilités, les nuances et les raffinements de votre être afin de communiquer à ce premier niveau. Vous vous êtes standardisé ou identifié à une norme, et tous ici ont l’impression de pouvoir communiquer.

Toutefois, cela occasionne pour les individus la perte des échanges subtils et des nuances de qui ils sont. Ils ont alors l’impression d’être sans pouvoirs ou de les avoir perdus. Actuellement, ils émettent tous sur une même fréquence, avec les mêmes codes, mais curieusement ils ne se comprennent pas. Vous voyez comme tout cela est paradoxal! C’est simplement que la vibration de chacun n’est pas comprise.

Retrouver sa fréquence fondamentale est d’abord un choix.

La fréquence fondamentale permettra à l’intention d’être réellement créatrice. Elle est associée au battement du cœur physique, donc aussi au thymus, et à trois glandes: l’épiphyse (pinéale), l’hypophyse (pituitaire) et la glande thyroïde. Ces glandes sont associées à la couronne, au troisième œil et au centre d’expression. Elles sont en soi en harmonie avec le cœur, lequel manifestera votre choix réel et votre conviction de qui vous êtes. C’est à partir d’un choix du cœur que vous serez en mesure d’émettre à votre fréquence véritable.

Ce choix suppose un respect et un amour profond de qui vous êtes. Non par rapport à vos caprices, à vos désirs et à vos besoins, mais dans votre nature véritable universelle et votre individualité. il vous faudra apprendre à ne pas confondre votre unicité avec vos traits de caractère. Par individualité, nous entendons ce qui vous distingue dans votre puissante expression de vie.

À partir de là, nous vous suggérons de vous octroyer des moments pour élever volontairement votre rythme vibratoire (la partie II de ce livre est conçue dans ce but). Au début, prenez le temps de méditer afin de favoriser des états d’expansion. En élevant ainsi votre rythme vibratoire chaque jour, vous pourrez éventuellement créer un véritable moment de bascule. En d’autres mots, vous pourrez vivre une expérience de transcendance dans votre fréquence. Nous dirions que c’est là une première phase vers l’illumination. Cette pratique régulière facilitera, bien sûr, de plus en plus la chose. Plus vous créerez ces moments, plus vous en maîtriserez la dynamique.

Viendra un moment où vous vivrez une bascule de fréquence, c’est-à-dire un choix intérieur, vibratoire qui fera en sorte que vos glandes – l’épiphyse, l’hypophyse et la thyroïde – s’harmoniseront avec l’espace de la poitrine, du cœur, et manifesteront leur pleine fréquence. Dès lors, dans un lieu physique ou un espace subtil, guidé par votre Maître intérieur ou un Maître de lumière, vous ferez en sorte d’exprimer réellement votre choix de vibrer sur votre fréquence fondamentale.

images (4)Ce ne sera pas une question de technique, mais de vibration. Vous sentirez une ouverture du cœur, une sensation d’amour pur pour vous. La retrouvaille de la fréquence fondamentale est en soi ressentie comme une bascule amoureuse. Il y a vraiment, physiquement, une sensation de transformation, d’explosion dans la poitrine.

Ainsi, plus vous êtes présent à vous-même et dans une expression consciente, plus vous vibrez à une fréquence qui vous est naturelle. Vos pouvoirs de guérison et de manifestation seront alors en croissance jusqu’à ce que vous retrouviez votre fréquence individuelle fondamentale. À ce moment, vos pouvoirs de communication et de projection seront tous éveillés.

 Le champ magnétique

Lorsque les vibrations de l’âme-esprit conscientisent le fœtus, un éclat de lumière d’une intensité associée à l’extase crée autour de l’être un champ magnétique. Celui-ci consiste donc en un champ énergétique issu de la lumière émanant de l’être.

Le champ magnétique pourrait être compris comme la somme de toutes les vibrations exprimant la puissance de l’être. C’est un halo d’énergie qui diffère des corps subtils. Les couleurs de l’aura caractérisent le champ magnétique.

Vous avez sans doute déjà constaté, lorsque vous étiez fort présent à vous-même, donc disponible à votre environnement, que toute la vie s’exprime par des vibrations, par des ondes. L’énergie en mouvement crée ces vibrations. Ainsi, toute vie émet un champ magnétique pouvant être ressenti, qu’il s’agisse de l’humain à vos côtés ou de l’animal qui approche. Vous êtes en mesure de ressentir la vie, pas simplement de la voir ou de l’entendre, mais de capter ses vibrations. Il en va de même pour les végétaux et les minéraux, quoique la conscience et les rythmes diffèrent dans ce cas. Les pierres, par exemple, émettent des ondes différentes selon leur provenance et leur parcours, même si elles sont de composition semblable.

Ainsi, les sensations éprouvées pour une personne sont dues aux ondes émises par son champ magnétique, lequel permet de capter les vibrations de l’environnement.

Imaginez-vous en train d’entrer dans une salle dépourvue d’éclairage où il n’y a aucun mouvement, aucune sonorité ni aucun parfum. Un humain y est présent, mais immobile. Si vous n’êtes pas distrait ni préoccupé, mais bien présent à vous-même, vous serez en mesure de ressentir la présence de vie dans cette salle. En vous approchant, vous sentirez même les vibrations circulant dans les corps subtils de cet humain, en lien avec son champ magnétique.

Le champ magnétique varie en intensité selon l’état, le rythme vibratoire et la fréquence fondamentale de l’être. Il explique l’attraction, vers lui, d’ondes, de personnes, de formes de vie et de situations, mais aussi de son attirance vers elles. Non seulement ce champ attirera des connaissances subtiles, mais il permettra aussi de les emmagasiner. L’être pourra par la suite, selon son éveil de conscience et ses facultés, utiliser ces connaissances ou les projeter vers un autre espace. Le champ magnétique agit aussi comme un accélérateur de vibrations ou de particules lumineuses. Il en intensifie la projection.

Ainsi, plus le champ magnétique est ample et intense, plus les intentions seront propulsées avec cohérence et puissance dans les matrices subtiles terrestres et multidimensionnelles. C’est aussi par l’intensité de son champ magnétique que l’être pourra attirer une réponse à ses intentions, à ses pensées, à ses demandes. La réponse à une intention se présente potentiellement sous de multiples formes, en fonction de la synchronicité avec d’autres émanations ou intentions émises par d’autres individus. De cette manière, pour maximiser le potentiel d’une intention, l’être, en amplifiant son champ magnétique, assure une projection adéquate.

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Amplifier son champ magnétique

En général, l’amplification du champ magnétique se produit en intensifiant la lumière en soi par:

  • l’identification à cette lumière, la reconnaissance du Maître de lumière en soi, et par le choix de s’unifier à toutes les sources lumineuses;
  • la fusion des trois corps qui constitue le renouvellement de l’expérience intense de la fusion de la lumière à la chair vécue au moment de la conscientisation ;
  • la projection de faisceaux d’énergie du cœur et du troisième œil créant un triangle de force en mouvement ;
  • une méditation et une contemplation qui permettent l’unification avec sa propre lumière et la lumière d’autres formes de vie terrestres et universelles.

Par cette pratique énergétique et spirituelle, la fréquence de l’être sera de plus en plus en phase avec sa fréquence fondamentale et le champ magnétique sera alors libre d’agir selon l’usage désiré. L’intensité et l’ampleur du champ magnétique définissent les réels pouvoirs de transmutation de l’être.


par  PIERRE LESSARD ET MAÎTRE SAINT-GERMAIN

Extraits du livre Manifester ses pouvoirs spirituels, p. 31 à 43
Ariane Éditions, 2009  

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

L’ESPACE ENTRE … LA FIN ET LE COMMENCEMENT

« La Science ne peut pas résoudre le mystère suprême de la nature, parce que nous faisons partie du mystère que nous essayons de résoudre. » Max Planck, père de la théorie quantique.

Il y a un pouvoir qui vit dans l’espace « entre« , cet instant subtil où quelque chose finit et où ce qui suit ensuite n’a pas encore commencé.

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De la naissance à la mort de galaxies, du commencement à la fin de carrières et de relations, et même dans la simplicité d’inspirs et d’expirs, la création est une histoire de commencements et de fins : des cycles qui commencent et se terminent, s’étendent et se contractent, vivent et meurent.

Indépendamment de l’échelle, entre « le commencement » et « la fin », il y a un moment dans le temps où ni l’un ni l’autre n’est entièrement arrivé. C’est de là que viennent la magie et les miracles! Dans l’instant «  entre  », toutes les possibilités existent et aucune n’a été choisie. De cet endroit, on nous donne le pouvoir de guérir nos corps, de changer nos vies et d’apporter la paix au monde. Tous les événements originent de ce moment puissant et magique.

Le mystère et les possibilités de l’espace qui relie deux événements ont longtemps été honorés par la sagesse des traditions anciennes. Les traditions autochtones de l’Amérique du Nord, par exemple, précisent que deux fois par jour la terre entre précisément dans de tels royaumes mystiques. L’un de ces royaumes se situe immédiatement après que le soleil soit disparu au-dessous de l’horizon, et juste avant que l’obscurité de la nuit n’arrive. Le deuxième royaume se situe juste avant que le soleil réapparaisse à l’orée du ciel, après la période la plus sombre de la nuit.

Tous les deux se présentent au moment des crépuscules, ni complètement le jour, ni complètement la nuit. Les traditions suggèrent que c’est pendant cette période que se présente une ouverture par laquelle les vérités fondamentales peuvent être comprises, les guérisons profondes peuvent s’effectuer et les prières peuvent avoir leur plus grand pouvoir. Dans son livre A Separate Reality, l’anthropologue Carlos Casteneda a appelé cette ouverture « une fissure entre les mondes, » qu’il décrit comme un accès aux royaumes invisibles des esprits, des démons et du pouvoir.

Les scientifiques modernes reconnaissent le pouvoir de ce lieu. Pour eux, cependant, il est moins question de jour, de nuit et de temps, mais plutôt de matière dont notre monde est fait. Du point de vue d’un scientifique, ce que nous voyons comme un monde solide autour de nous n’est surtout pas solide!

Quand un film projette une image qui se déplace sur l’écran devant nous, nous savons que l’histoire que nous voyons est une illusion. L’idylle et la tragédie qui stimulent nos sentiments sont en réalité le résultat de plusieurs photographies projetées très rapidement, l’une après l’autre, pour créer une histoire continue. Tandis que nos yeux voient les images une à une, notre cerveau les fusionne ensemble dans ce que nous perçevons comme un film ininterrompu.

Les physiciens quantiques suggèrent que notre monde fonctionne presque de la même façon. Par exemple, ce que nous voyons à la télévision comme le ‘toucher’ au football ou le triple-axel d’un patineur de fantaisie, en termes quantiques, c’est une série d’événements individuels qui arrivent très vite et à proximité les uns des aures. De la même façon que plusieurs images alignées ensemble rendent un film si réel, ainsi la vie se présente comme de courts et minuscules éclats de lumière appelés quanta. Les quanta de vie arrivent si rapidement que, à moins que notre cerveau ne soit formé pour fonctionner différemment (comme il le peut dans certaines formes de méditation), ils font simplement la moyenne des impulsions pour créer l’action continue que nous voyons à la télévision.

A travers cette explication simplifiée de la vie, nous trouvons aussi la clef de notre guérison. Pour qu’un éclat de lumière disparaisse avant que le suivant n’apparaisse, il doit, par définition, y avoir un moment entre les deux. Dans cet espace, pendant un bref instant, il existe un équilibre parfait où rien n’arrive – les événements qui ont mené à l’éclat sont complets et les nouveaux événements n’ont pas commencé. En cette endroit « d’aucune chose, » tous les scénarios de vie / mort / souffrance / guérison / guerre / paix existent comme des possibilités et comme potentiel. C’est l’endroit où les sentiments et les prières deviennent des projets de vie.

Quelle est la clef ? Notre état émotionnel, pendant la prière, détermine la sorte de projet que nous créons. Sachant que le champ d’énergie est le reflet de nos croyances intérieures, nous devons trouver une façon de purifier notre blessure et notre colère avant de prier. En y réfléchissant, ceci fait du sens. Après tout, comment pourrions-nous espérer que l’Esprit de Dieu reflète la guérison et la paix si nous ressentons la peur et la blessure?

Parlant de quantum
Le Pouvoir de la Beauté, de la Bénédiction, de la Sagesse et de la blessure

Par GREGG BRADEN – Extraits de Secrets of the Lost Mode of Prayer, Hay House Publishing, 2006 sur http://www.greggbraden.com/newsletter200603.html  

Publié dans:ESPRITS, La MORT, PENSEE, POUVOIR, PRIERE |on 1 juin, 2016 |Pas de commentaires »

La Couleur Lumière de MU

 

Roshani Montmory enseigne la Couleur Lumière thérapie et pratique la méditation et le travail sur soi, elle est à l’origine de la création de l’institut Mu Terre, pour le développement des méthodes alternatives de soin.

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La Couleur Lumière Thérapie (Colorpuncture en anglais) est une méthode de soin et une approche thérapeutique et spirituelle crée par le naturopathe allemand Peter Mandel qui existe je crois maintenant depuis une vingtaine d’année. Des dizaines de milliers de personnes l’ont essayé de par le monde et ma propre expérience est qu’elle est effectivement très utile pour harmoniser le Corps, l’Ame et l’Esprit, elle permet d’amener de la conscience là où notre inconscient est encore actif, pouvez-vous nous expliquer en quelques mots comment fonctionne la Couleur Lumière Thérapie ?

Roshani : Cette méthode de soin fait réellement partie de la médecine quantique, car elle travaille directement avec les fréquences de la lumière. C’est Fritz Albert Popp, biophysicien de réputation mondiale, qui a démontré que chaque cellule vivante émet un rayonnement de lumière très faible : les photons. Toutes les cellules du corps communiquent entre elles grâce à ces photons. Peter Mandel s’est inspiré des travaux de Fritz Popp en 1970, pour créer cette nouvelle méthode holistique appelée effectivement en anglais « colorpuncture ». Les énergies électromagnétiques ou fréquences des couleurs établissent un système de communication entre chaque cellule, régulant ainsi tous les processus biophysiques du corps. En appliquant une lumière colorée sur les points spécifiques d’acuponcture (à l’aide d’un stylo lumineux comportant des tiges de verre de couleurs) un message fréquentiel est transmis directement dans nos cellules, transmettant une information permettant de rétablir un équilibre et dénouant ainsi les blocages physiques et émotionnels.

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Il est possible de travailler en séances individuelles ou en groupe si j’ai bien compris. Commençons par les séances si vous voulez bien…il est possible de prendre une séance seulement mais souvent les séances individuelles sont effectuées en séries : Detox, Série Prénatal, Travail sur les points « Père » et « Mère », Pour perdre du poids , « Relais Transmetteurs ». Pouvez-nous en expliquer chaque série et à quels problèmes physiques ou émotionnels elle correspond ?

En fait il est effectivement possible de recevoir des séances individuelles ou bien de faire une formation en groupe pour apprendre la pratique de cette méthode de soin :

Les séances individuelles permettent tout d’abord d’établir un diagnostic et un bilan énergétique global pour la personne, grâce à une photo kirlian de l’aura des mains et des pieds. Le bilan établi permet alors, comme en médecine chinoise, d’orienter la séance de soin vers le protocole le plus pertinent pour permettre de nettoyer, débloquer et rééquilibrer tout problème dans le corps (problème de stress, manque de sommeil, dépression, déséquilibre hormonal, acidité de l’estomac, problème digestif, blocage lymphatique, tension artérielle, allergie, maladie chronique, etc…). Les séances permettent de donner réponse à toute problématique du moment présent et le changement peut en être immédiatement ressenti.

Bien sur parfois plusieurs séances sont nécessaires et l’on peut effectuer alors des séries de traitements en fonction de la pathologie traitée. Je peux vous citer les plus courants :

Série Prénatal (Traitement en 9 séances) qui travaille sur le nettoyage des empreintes négatives pendant tout le temps de la vie intra utérine jusqu’à la naissance (y compris pré conception et espace du Bardo).
-Traitement de désintoxication : nettoyage de toutes les toxines du corps, physiques et émotionnelles, dépendances (tabac, drogue, alcool), renforcement du système immunitaire.
Série Père/Mère (7 séances) pour nettoyer les empreintes négatives du père ou de la mère (principe masculin ou féminin), blocages émotionnels de l’enfance ou préadolescence, abus sexuel et blocage transgénérationnel.
Problèmes de surpoids (8 séances), travaille sur les émotions ou traumatismes ayant affecté le système endocrinien (rééquilibrage hormonal), les mauvaises habitudes alimentaires, les blocages du système lymphatique.
Série Transmitter (11 séances) travaille sur tous les conditionnements, les blessures émotionnelles, le nettoyage des organes en lien avec leur correspondance émotionnelle, les liens karmiques, et les vies passées.

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Avez-vous des exemples à nous donner pour mieux comprendre cette technique?

Oui, par exemple je me souviens d’une personne venue me voir pour arrêter de fumer. En principe, on prévoit alors 4 à 5 séances espacées de quelques jours. Or dès la première séance, la couleur a fait remonter à la surface une mémoire de l’enfance (blessure jusque là profondément enfouie dans l’inconscient), nous avons travailler sur ce traumatisme ancien, en lui permettant de dire ce qui n’avait pas été exprimé dans le passé, de comprendre et d’ intégrer consciemment la source de cette souffrance ancienne, et de transmettre alors aux cellules du corps une nouvelle information positive. La personne a eu le lendemain des boutons sur tout le corps et l’impression que la nicotine sortait par tous les pores de sa peau. Et suite à cela, elle n’a plus jamais refumé! Nous n’avons même pas eu besoin de terminer les autres séances. Il y a beaucoup d’exemple comme cela, parfois moins spectaculaire mais tout aussi efficace!

Un autre cas : Une personne couverte de boutons urticants sur une bonne partie du corps depuis son enfance. Tout problème de peau étant lié à la fonction Poumon/Gros Intestin (en lien avec la tristesse), nous avons travaillé une problématique Père/Mère. Dès la 2ième séance a émergé un traumatisme de son enfance vécu à l’âge de 4/5 ans, totalement occulté auparavant. Ce nettoyage énergétique a pris plusieurs séances, avec expression de la tristesse non exprimée, de la colère (énergie de vie) bloquée jusqu’alors à certains endroits du corps. A la fin de la série, cette résolution a permis la disparition de tous les problèmes de peau. La personne avait du mal à croire à cette totale guérison mais à pu constater que son problème était définitivement résolue.

Ces deux exemples montrent l’effet bénéfique sur la santé de l’individu, est-ce que la CLT peut aider aussi pour approfondir la relaxation ou son niveau de méditation ?


Je pose cette question car beaucoup de lecteurs de Meditationfrance nous partagent qu’ils se sentent stressés et cherchent des techniques pour la relaxation/méditation, beaucoup nous partagent qu’ils ne savent plus comment faire.

Nous n’avons effectivement évoqué la Couleur Lumière Thérapie que vu à travers l’angle de la guérison, mais la vision de Peter Mandel est beaucoup plus vaste que cela! Il parle d’une médecine éso-gétique qui est l’union entre la sagesse ésotérique et les principes énergétiques du processus de tout ce qui est vivant (s’appuyant sur les découverte de la bioénergie et de la biophysique moderne) . Le terme éso-gétique combine l’héritage d’anciennes philosophies et enseignements de la sagesse humaine, le savoir primaire de l’existence de l’homme, et les lois du cosmos.

Peter Mandel a la vision de la totalité de l’homme et il dit :

« Si dans la vie d’un homme, à la fois l’Esprit et le corps – l’Esprit et la forme – se rencontrent au centre, il en résulte alors joie et contentement. Il est important pour nous d’expérimenter, à travers notre forme extérieure, l’esprit qui est en nous. Cela signifie qu’il est nécessaire de se reconnaître comme esprit et être capable de s’aimer comme nous sommes, dans tous nos aspects de lumière et d’obscurité. Regarder à l’intérieur veut dire oser prendre la première mesure à la recherche de l’esprit qui vit en nous. La reconnaissance que, dans cette dimension, l’esprit (pip), l’âme (la peau) et le corps ( la forme) existent en interdépendance indivisible, est le mûrissement de la connaissance de soi. Rien n’est plus important que de se comprendre et de se réaliser. Ce n’est pas notre environnement qui détermine nos vies, mais c’est nous-mêmes.

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Nos pensées sont responsables de notre environnement et de nos vies. Tous les programmes de tous les êtres humains même s’ils sont différents se rejoignent finalement dans un seul, l’esprit dans lequel tous les égos, personnalités, et individus ont été créés et vont être créés. Ainsi, la réalisation de notre propre centre est possible à la condition d’avoir la capacité de nous aimer entre nous, d’aimer la création, et d’aimer la vie. D’abord nous avons besoin de nous trouver nous-mêmes, et de nous aimer nous-mêmes pour non seulement accepter l’autre dans sa réalité mais au bout du compte de l’aimer. Sur le chemin vers les plus hauts principes – Divin – un objectif valable serait de rester dans l’arrière-plan sans renoncer à soi-même, d’être humble et silencieux de l’extérieur et de l’intérieur, pour aimer le monde tel qu’il est et de comprendre les polarités du bien et du mal, de la santé et de la maladie, de la vie et de la mort.

Dans la trinité esprit-âme-corps, ma vie a une priorité absolue. Réaliser mon « moi » demande que j’embarque sur un chemin intérieur, que j’explore et que je fasse connaissance avec moi-même, que je trouve mon propre centre. Dès qu’avec sincérité je démarre le chemin vers mon centre, puis que j’ébranle les formes de comportement négatif comme la peur, le stress, l’envie, et la haine. A chaque étape, je suis plus en paix avec moi-même et je suis capable de sentir, avec plus de pureté, la chaleur de mon cœur et l’amour pour toutes les formes de vie. La leçon principale pour chaque être humain devrait d’être gouverné par soi-même et non pas par les autres. Alors, toutes les influences venant de l’extérieur peuvent être acceptées avec grâce. Alors, nous nous intégrons dans le flux positif de l’information dont ce monde a besoin d’urgence.

L’étape suivante est alors la méditation, plonger dans les espaces inconnus de notre propre être. Nous découvrirons que nous avons besoin de nettoyer beaucoup de déchets pour arriver plus prêt de notre propre centre, de notre être profond. Ce centre peut aussi être compris comme pure lumière, comme la lumière qui existe dans l’obscurité de la matière. »

Comme vous le voyez la vision de Peter Mandel est infinie! Chaque protocole de couleurs peut nous aider à nettoyer et à progresser vers la lumière, c’est un grand voyage méditatif intérieur…

L’idée de Peter Mandel est que l’homme en tant qu’être de lumière, doit tourner sa conscience vers cette lumière; il ne doit pas rester emprisonné dans l’obscurité de la matière. Si l’homme se tourne vers sa lumière intérieure, il s’élèvera de plus en plus haut.

Des protocoles comme Les lignes de l’âme -qui travaille sur le champ morphogénétique et la réalisation de nos formes pensées dans la matière – la série du Transmitter – qui travaille sur tous nos conditionnements, mémoires et blessures anciennes, conditionnements, vies passées – le protocole d’Expansion de conscience – qui ouvre nos cellules vers une nouvelle compréhension de ce que nous sommes en tant qu’être humain – et bien d’autres…

C’est ce que contient la Médecine Eso-gétique ou Couleur Lumière Thérapie, un nettoyage puissant à la fois de notre monde matériel (corps physique) et de notre monde invisible (corps subtiles). Cela veut dire aussi accueillir toutes les polarités de ce monde et avoir le courage de développer envers nous même l’acceptation de ce que nous sommes. Bon et mauvais, coupable et innocent, tension et relaxation – l’ensemble des polarités dans ce monde doivent exister – mais doivent être surmontées pour atteindre le but final de l’harmonie avec l’univers qui nous entoure, l’union avec le Divin, l’union avec le Tout.

Une petite citation de Peter Mandel que j’aime bien :

« L’Esogétique ouvre de nouvelles possibilités pour tous les hommes. Il n’a pas besoin d’idéologie, parce qu’il ne cultive pas l’inconcevable afin de le tourner en question de croyance. Au contraire, l’Esogétique essaye de rendre l’inconcevable, concevable. Chacun peut examiner tous les chemins offerts et les convertir en expérience personnelle et ainsi amener dans le contexte de la maladie et la douleur individuelle, un peu plus de conscience et de lumière. »

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Vous proposez des stages d’introduction à la Couleur Lumière thérapie ainsi qu’une formation professionnelle certifiante, pouvez-vous nous en dire aussi quelques mots? A qui s’adressent ces stages et cette formation ?

Oui, je propose tout d’abord une formation en CLT que j’ai appelé « Introduction » mais qui en fait est la base même de cette méthode de soin. C’est à la fois la théorie développée par Peter Mandel avec son modèle ésogétique et également l’apprentissage et l’expérimentation de nombreux protocoles de base.

Peter Mandel divise en effet les personnes en 3 catégories (suite lecture photo kirlian) : Endochrinien, Toxic ou Dégénératif. Il existe donc 3 protocoles correspondants, aidant chaque catégorie à retrouver le plus rapidement possible un équilibre (système hormonal, lymphatique, respiratoire ou digestif). Nous étudions également des traitements de désintoxication (rhume, douleur, maux de tête), ainsi que de nombreux traitements de coordination (aidant la latéralité, équilibre gauche et droit du cerveau, sommeil, dépression, vertige,..) avec en plus de nombreuses clefs pour établir un bon diagnostic global (travail sur les rêves, peinture analytique, …)

Et puis pour les personnes souhaitant aller plus loin dans leur apprentissage, je propose une Formation Professionnelle en 3 Modules, pouvant être suivi par la suite de plusieurs Modules avancés complémentaires.

Ces Modules professionnels travaillent sur des séries de traitement (Série Prénatal, Equilibre Père / Mère et Cercle de Fonction des organes) et permettent ainsi non seulement d’apprendre à donner ces protocoles mais également de les recevoir. Ainsi tous les traitements que propose un thérapeute en CLT est un traitement qu’il a lui même reçu au préalable, lui permettant ainsi de comprendre le processus à l’oeuvre dans le corps, et également d’avancer sur son propre chemin d’épuration et de transformation.

En faisant cette Formation, c’est un travail actif auquel la personne participe pleinement. J’ai vu des personnes se transformer au fur et à mesure des séries reçues et échangées comme un étonnant processus personnel, leur permettant en plus à la fin de devenir thérapeute en médecine douce avec un bagage conséquent face aux nombreux disfonctionnement et maladie de l’être humain.

Ces formations s’adressent aussi bien aux profanes qu’aux personnes ayant déjà un bagage en tant qu’infirmier, acuponcteur, médecine chinoise, masseur, psychologue, ostéopathe. Les gens viennent souvent d’horizons très variés. La formation demande une rigueur bien entendu, mais la façon de l’enseigner est très pragmatique, simple et accessible à tous.

Merci Roshani pour cette interview !

 U

Interview de Roshani Montmory

Stage d’introduction (3 j) Région Avignon

- 1er au 3 Juillet 2016
– 7 au 9 Oct 2016

Coordonnées : Roshani – Société MU TERRE Tel 0615347421
Email : mu.terre@gmail.com

Voir ici le calendrier de MU TERRE: www.meditationfrance.com/muterre/calendrier.htm

Publié dans:ENERGIES, LUMIERE, MALADIE, POUVOIR, TERRE |on 22 mai, 2016 |Pas de commentaires »

Sorties hors du corps – Et si nous étions libres.

Vous affirmez que sortir hors de son corps (SHC) est possible, que ce n’est pas chose dangereuse et même que cela permet une véritable évolution intérieure.

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En quoi sortir hors de son corps permet d’expérimenter la pleine conscience ? 

De nombreuses croyances bien ancrées dans l’inconscient individuel ou collectif nous bloquent l’accès de la sortie du corps et nous privent ainsi d’une dimension essentielle de nous-mêmes.

Quand nous sortons de notre corps, nous commençons par découvrir que notre réalité physique n’est qu’une réalité parmi bien d’autres.  Nous visitons d’innombrables mondes, appelés aussi dimensions, univers, plans, sphères… Certains d’entre eux sont des lieux d’apprentissage et de régénération, d’autres des séjours où les décédés continuent leur évolution, sans compter de multiples mondes consensuels régis par d’autres lois que notre monde terrestre mais tout aussi réels. Puis, si nous persévérons, nous aurons accès aux mondes de Lumière où nos guides et nos âmes se révèlent.

Mais ce n’est pas encore la pleine conscience, c’est de la conscience élargie.

La pleine conscience exige un travail de longue haleine. Il nous faudra de toute façon passer par l’astral, c’est le premier monde où nous allons.  Très proche du monde physique, c’est une dimension où l’illusion règne en souveraine… Mais l’astral est aussi une école extraordinaire. Nous sommes confrontés aux fruits de notre imagination et de nos croyances.  Nos pensées, nos désirs, conscients et inconscients, se concrétisent immédiatement devant nous, c’est ce que j’appelle « projections ». En les identifiant puis en prenant conscience que c’est nous qui les avons créées, elles se dissipent et nous récupérons l’énergie qu’elles avaient absorbée.

Peu à peu, nous parvenons à nous détacher de nos illusions et nous finissons par accéder à des dimensions où les projections, les nôtres et celles des autres, n’ont plus cours. Il n’y a plus ni temps ni forme, ni mots ni pensée. C’est là qu’on peut parler de pleine conscience. C’est l’Etre.

Ainsi, au cours de notre quête, les voiles s’effacent les uns après les autres et toujours du fait de notre propre expérience.
Certes, lorsque nous réintégrons notre corps physique, nous reprenons notre vie habituelle, nous n’avons acquis aucun pouvoir particulier mais nous avons intégré certaines valeurs qui font que nous ne voyons plus notre réalité terrestre avec le même regard, nous savons d’expérience maintenant qu’il n’y a pas de barrières entre nous et la Vie, que les formes ne sont que transitoires et ne doivent en aucun cas nous séparer de l’autre, de l’Univers, de tous les êtres vivants. C’est sans doute un des apports les plus marquants de la sortie hors du corps que de nous faire prendre conscience de notre unité avec Le Vivant. Nous sommes partie intégrante d’un univers en perpétuelle mutation, nous sommes énergie et conscience, quoi qu’il arrive, quoi que nous fassions, où que nous soyons, quelle que soit notre forme actuelle.

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Vous avez maintenant plus de 40 années d’expériences avec la SHC, est-ce que ce travail est à la portée de chacun de nous ? 

La sortie du corps ne demande aucun don particulier, en principe chacun d’entre nous est donc à même de réaliser cette expérience. D’ailleurs, à ce propos, je rappelle que tous les êtres vivants, les animaux comme les humains, sortent de leur forme physique quand ils dorment, mais sans la conscience. Le véritable travail demandé en SHC, est de mettre de la conscience dans un phénomène qui est d’ordinaire totalement inconscient. Chacun d’entre nous est à même de réaliser des sorties du corps sans forcer un processus, somme toute, naturel. Cependant certaines conditions sont requises :

- Nourrir l’intime conviction d’être plus qu’un corps physique. C’est la seule approche « spirituelle «  requise.

- Etre bien dans son corps physique, les pieds sur terre. Une solide structure psychique est indispensable.

- Etre fortement motivé pour expérimenter par soi-même le phénomène de la sortie. Être habité par l’énergie de l’explorateur en terre inconnue. Être capable de soutenir la motivation pendant plusieurs mois, ou même plus, car il ne faut pas croire que l’on réalise une sortie hors du corps en un quart de tour, cela arrive, mais généralement un travail soutenu pendant un certain temps, comme pour tout apprentissage, est nécessaire.

Le travail proposé est simple. Ce sont des exercices précis que l’on peut pratiquer quotidiennement (une trentaine de minutes par jour) pendant quelques semaines à quelques mois. Une philosophie de vie, sinon une vie paisible, une certaine façon d’être favorisent l’heureuse issue de l’apprentissage. Prendre le temps de se tourner vers l’intérieur de soi, ne pas se laisser happer par les perpétuelles sollicitations du monde extérieur sont  indispensables et c’est bien le challenge !

Par quoi commencer ? Par la lecture de vos ouvrages sur Les sorties hors de son corps ? Directement par un atelier de que proposez (Bouches du Rhône et Paris) ? 

On peut commencer par la lecture de mes ouvrages :

Le premier « Sortir de son corps, 40 années d’expériences aujourd’hui partagées » s’adresse à ceux qui sont  intéressés en priorité par les récits de sorties, les miennes en l’occurrence. Le lecteur va pouvoir découvrir tous les possibles de l’expérience et les horizons quasi illimités qu’elle offre.  Ce premier livre n’est pas essentiellement consacré à la technique mais décrit la méthode générale et propose un exercice de base qui permet déjà d’expérimenter.

Le second « Sorties hors du corps, manuel pratique » est entièrement consacré à l’apprentissage.  Le lecteur y trouve la méthode et les exercices à pratiquer pour réaliser lui-même la sortie. Cet ouvrage s’appuie sur mes expériences mais aussi sur les expériences des nombreux élèves qui au départ n’étaient jamais sortis et qui y sont parvenus en appliquant la méthode que j’enseigne. Ensuite, le lecteur peut compléter ce travail avec profit par un stage. 

Le stage permet au professeur et à l’élève un échange constructif. L’énergie de groupe stimule et propulse chaque participant. On peut sortir uniquement avec le manuel, et, éventuellement, les téléchargements d’exercices audio proposés en complément du manuel. Mais l’apprenti se sent bien seul dans son coin car le plus souvent il ne peut pas parler de son travail avec son entourage. Il a besoin d’échanger avec ceux qui suivent le même chemin que lui. Le stage est le lieu d’échanges privilégiés. C’est d’ailleurs dans ce but que j’ai créé sur mon site www.levoyageastral.com un forum où les aspirants et les expérienceurs échangent entre eux. Constatation indéniable, ils progressent plus rapidement.
Certains préfèrent venir directement au stage et choisissent de lire les ouvrages après, c’est très bien aussi. En fait, je n’ai pas de règle à proposer, chacun fait comme il le ressent.

Une de vos passions c’est aussi l’écriture…vous venez d’écrire sous le nom de Annick Cherville Akhena  un très beau roman dont le titre est  Et si nous étions libres www.etsinousetionslibres.com, c’est l’histoire de Catherine qui a 15 ans en 1968 et nous découvrons peu à peu sa vie, ses amours et ses aventures jusqu’en 2011… c’est un livre que j’ai trouvé bien écrit, très attachant, avec un style qui se lit facilement. Est-ce un roman un peu autobiographique ? 

J’aurais envie de dire que c’est une fiction autobiographique. Le personnage central, la narratrice, en l’occurrence Catherine, n’est pas moi et sa vie n’est pas la mienne, cependant peut-être avons-nous en commun des vécus intérieurs, des approches du monde. Mais tous les personnages que rencontre Catherine sont fictifs et sont sortis de mon imagination. Je ne me suis jamais inspirée de modèles réels. En revanche, j’ai connu certaines situations que vivent Catherine ou d’autres personnages mais dans des contextes décalés ou imaginés. Je connais bien certains lieux où se déroulent l’action mais d’autres me sont inconnus. Je les décris en les imaginant. Je m’autorise aussi à modifier des lieux bien connus de moi en les remodelant par l’imagination, enfin j’aime aussi créer et décrire des lieux qui n’existent pas. Les contrées, les villes, les demeures, les paysages mais aussi la mer, le soleil, les sables du désert, le ciel ont une importance capitale et sont tout aussi vivants que les êtres humains… et que les chats, fictifs ou réels, qui traversent ce roman !

 

Quoiqu’il en soit, lorsque j’ai fait la relecture finale de ce roman pour lequel je n’avais d’ailleurs aucun plan préconçu et que j’ai écrit, comme ça, au fil des mots, j’ai été étonnée, émerveillée du travail absolument incroyable de l’inconscient qui a réussi ce mixage fantastique et particulièrement riche entre ce qui est ma réalité et ce qui est mon imagination, Pour donner un exemple précis, les faits « paranormaux » qui émaillent la vie de Catherine et de ses amis, rêves, sorties du corps, apparitions de décédés, sont des faits que j’ai vécus mais dans des circonstances tout autres que celles décrites et les héros de mon roman en sont les témoins ou les acteurs selon le cas.

En fin de compte, mon roman est plus mon rêve intérieur qu’une fiction autobiographique.

A travers Catherine, il me semble que le roman nous interroge sur la vie et sur la mort et sur notre propre liberté et existence… Sommes-nous vraiment libres en suivant nos désirs et nos passions ? Y- a-t-il une autre forme de vie après la mort ? 

La liberté : en écrivant, je ne m’étais pas rendu compte à quel point c’était le thème central de mon roman ! La liberté, c’est d’abord être soi-même sans aucune entrave. C’est d’ailleurs pour cette raison que les personnages sont aisés (quand ils ne sont pas immensément riches) et refusent les liens familiaux. S’ils avaient besoin de gagner leur vie, de lutter sans cesse, d’entretenir une famille et d’assumer un travail, ce serait un tout autre roman.  Cette situation posée (laquelle, je le reconnais n’est pas réaliste) fait qu’ils pourront donc vivre absolument à leur convenance. Ils vont donc se consacrer entièrement à leurs passions, à leurs envies, voire à leur vocation. Ils peuvent s’abandonner sans contrainte à toutes les sollicitations que la vie leur propose…

S’abandonner à ce qu’ils sont en dehors de toutes les limitations de la morale conventionnelle et des normes sociales.
Il faut remarquer qu’ils ne sont pas forcément légers ou égoïstes. Certains sont des artistes ou des écrivains, Anna, Emmanuel, et bien sûr la narratrice vont se consacrer à la littérature. Emmanuel est un écrivain socialement engagé et le personnage central, Sourayan, immensément riche, travaille sur le terrain à soulager la misère humaine. Il donne autant de sa personne que de sa fortune.

Les grands thèmes évoqués sont aussi l’écoulement du temps, l’inéluctable et terrible vieillissement et puis la fin obligatoire : la mort. Tous les personnages(ou presque) de ce roman font le choix de leur mort. Choisir sa mort, c’est la liberté suprême. D’où l’omniprésence du suicide comme éventualité possible. Et question corollaire et combien importante : y a-t-il une autre vie après la mort ou bien devons-nous accepter le néant ? Question que se posent la narratrice, Catherine et quasiment tous les personnages. Chacun fait sa quête à sa manière et trouve sa réponse. L’un, Sourayan va jusqu’à se suicider pour tenter de trouver ce qu’il y a après. La communication est-elle possible entre ceux qui sont partis et ceux qui restent, c’est aussi une des questions posées. Si Katia en est convaincue, Catherine, la narratrice, reste peut-être encore dans le doute même si au fond de son cœur, elle y croit.

Ce roman est avant toute une histoire, c’est un roman tout à fait traditionnel, d’écriture classique, une histoire avec des personnages, des aventures, des voyages, des amours et des drames. Le titre « Et si nous étions libres » ne vient pas de moi mais de mes éditeurs avec mon accord évidemment. Le titre que j’avais choisi était L’Horizon du Soleil, synonyme pour moi de liberté et d’éternité.

Elle est retrouvée.
Quoi ?—L’Eternité.
C’est la mer
Allée avec le soleil.

Arthur Rimbaud.

Des chansons et des musiques accompagnent chacun des chapitres. J’aurais souhaité que le lecteur puisse poser le livre et entendre la chanson qui va avec chacun des chapitres ! Que ce soient Jim Morrison, Brassens, Noir Désir, Valérie Lagrange, Émilie Loizeau, Françoise Hardy, les Rolling Stones, Lou Reed et bien d’autres encore… Ou les poèmes d’Arthur Rimbaud… C’est un roman qui s’écoute autant qu’il se lit.

Merci d’avoir répondu à nos questions.

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Pour en savoir plus, visitez ses deux sites web :
www.levoyageastral.com
www.etsinousetionslibres.com
 

Institut du Rêve et de la conscience I.R.C

Interview de Thierry Pierre Liot, fondateur de l’IRC, Auteur du livre
Voyage initiatique avec Carlos Castaneda
Le pouvoir du Rêve

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Thierry Pierre Liot a fait des choix de vie forts et déterminants pour rencontrer Carlos Castaneda aux États-Unis et suivre ses enseignements. Il nous parle de sa rencontre avec le chantre emblématique du chamanisme sud-amérindien, mais surtout de sa vision de l’enseignement à travers des outils chamaniques très puissants, qui n’ont pas besoin d’être parés de folklore ethnique pour venir toucher les zones profondes de notre personne en quête de mieux-être et de changement profond. Le processus du rêve lucide, l’Art de Rêver, est utilisé comme une porte d’entrée permettant de contacter directement notre potentiel cérébral et d’ouvrir les portes vers notre identité profonde, qui est connectée à la Source.

Quelle a été votre relation avec Carlos Castaneda ?

J’ai été doublement chanceux dans ma relation avec Carlos Castaneda; la première chance m’a permis de rencontrer Castaneda et de devenir l’un de ses disciples. Peu de personnes ont eu cette chance de le suivre sur plusieurs années, bons nombre d’entre eux étaient écartés dès qu’ils ne remplissaient pas les critères d’engagement dans les exercices et techniques qu’il enseignait. Je suis d’ailleurs en train de rédiger mon prochain livre à paraître en 2014 sur mon histoire avec Carlos. A son contact pendant plusieurs années, j’ai pu recevoir des enseignements profonds et particulièrement puissants, qui ont orienté ma vie de façon déterminante et m’ont permis d’accéder à des niveaux de conscience très particuliers, qu’on appelle « états de conscience non ordinaires ».

La deuxième chance tient au fait que je n’étais pas assez intime pour être plus proche de lui, ce qui m’a permis de ne pas me faire happer par son charisme et son magnétisme personnel. Tout en recevant ses enseignements, je m’efforçais de garder l’état d’observateur et j’essayais de rester le plus possible objectif dans nos interactions. Cette position d’observateur m’a sans aucun doute permis de conserver mon autonomie d’action et mon indépendance de croissance personnelle.

Après plusieurs années de récapitulation (processus, enseigné par Castaneda, consistant à récupérer son énergie propre et à restituer celle qu’on a donné à l’autre tout au long de notre vie), j’ai réussi à séparer le bon grain de l’ivraie pour ne garder que le matériel qui me semblait nécessaire et utile pour le travail de la découverte de soi: le processus du rêve lucide et des exercices énergétiques appropriés, permettant de mobiliser son énergie en vue du travail de transformation.

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Comment en êtes-vous arrivé à vouloir fonder votre propre école, l’école du rêve de l’éveil intérieur (IRC) ?

Beaucoup de personnes cherchent mais ne savent pas quoi. En fait, elles se cherchent elles-mêmes, mais malheureusement le conditionnement de la société veut que l’on recherche toujours à l’extérieur. Le penseur cherche dans la mauvaise direction; pourtant la réponse est là, à l’intérieur de chaque individu.

L’école du rêve propose d’orienter les personnes désireuses de sortir de leur endormissement dans cette direction. J’ai découvert qu’avec des techniques spécifiques comme le rêve lucide, le rêve éveillé, le travail sur l’énergie, et des techniques chamaniques, nous pouvions travailler en profondeur pour nous connecter à nos ressources intérieures et commencer à changer durablement nos schémas névrotiques, source de souffrance et de chaos.

Le monde dort, les gens dorment et le monde va de plus en plus mal. Il est temps que certains individus commencent à se réveiller et reprennent leur destinée en main. Telle est mon intention fondamentale à travers le développement de l’IFRC: favoriser l’éveil intérieur avec des outils de transformation très efficaces que j’ai reçu de mes maîtres et que j’ai adapté pour les rendre accessibles à tout un chacun.

En quoi le rêve est-il un levier de croissance?

Rappelons tout d’abord que rêver est un élément vital de l’équilibre de l’homme comme boire, manger, ou respirer. Le cerveau ne s’arrête jamais et est continuellement au travail. Si on ne se rappelle pas de ses rêves, cela ne veut pas dire que l’on n’en a pas fait. Parfois on arrête de se rappeler de ses rêves suite à un traumatisme psychologique, ou simplement parce que l’on n’y prête pas suffisamment d’attention, en raison du stress ou de notre rythme de vie au quotidien. Avec quelques exercices pratiques et une volonté de développer cette attention, chacun pourra de nouveau avoir le plaisir de découvrir ce monde incroyable qui est au-delà de l’imagination et pourtant réel, celui du Rêve.

Le penseur que nous sommes mobilise une énergie phénoménale en créant un dialogue intérieur que j’ai appelé le mental du ping-pong, l’activité déployée dans la dimension de la dualité. Ce mental fonctionne comme un programme qui tourne en toile de fond et qui reste bridé dans des schémas névrotiques. L’accès à notre créativité, à notre potentiel cérébral est ainsi limité, et nous manquons d’énergie pour entrer en contact avec notre Source. Le travail de Rêver consiste à faire cesser le dialogue intérieur et à percer la couche de l’inconscient pour accéder à ce que Carlos Castaneda désignait sous le terme de Nagual. Par le rêve lucide, la conscience du rêveur entre dans une zone de pure conscience et peut recevoir des enseignements en provenance de son potentiel de conscience, laquelle est en contact avec la Source, l’âme, ou peu importe comment on l’appelle.

Le rêveur lucide va voyager dans un monde qui lui est propre à travers les symboles de sa propre histoire et découvrir des chemins que son mental limité ne pouvaient même pas imaginer ou même entrevoir. Petit à petit, il va trouver des guides qui vont le guérir, le renforcer, lui indiquer des chemins nouveaux et le doter de pouvoirs ou de potentiels nouveaux qui vont transformer sa vie.

Parlant de chamanisme, certaines personnes s’attendent peut-être à ce que vous entouriez votre enseignement de mystère, de rituels ou de formule magique. Qu’en est-il ?

L’école du rêve de l’éveil intérieur porte bien son nom : c’est un travail sur soi pour un éveil intérieur. Les rituels, quels qu’ils soient et sous n’importe quelle forme (kinesthésique, auditive, visuelle, ou olfactif) n’ont qu’un seul but en soi : conditionner les gens pour les amener à une forme de transe et cela est très efficace; le contrecoup de cela est que, sans s’en apercevoir, les individus remettre leur pouvoir à un symbole ou une croyance extérieure sans être conscient qu’ils ont été manipulés par une forme d’hypnose que l’on appelle aussi « cérémonie ». Au lieu d’éveiller les gens, ce genre de pratique crée un environnement psychotique et une dépendance à la croyance qu’elle a développée. Ceci est exactement à l’antipode de l’école du rêve de l’éveil intérieur. Dans mes classes, pas besoin de s’entourer de folklore, de grigri, de rituel religieux. Les symboles issus de notre propre processus de Rêver sont les véritables instruments de transformation.

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Vous êtes un tenant que ce qu’on appelle le « nouveau chamanisme ». Quelle est donc votre définition du chamanisme ?

Le chamanisme existe sous deux formes distinctes. La première, la plus ancienne, est le chamanisme traditionnel plus proche du folklore et des traditions païennes. Il existe depuis des milliers d’années. Ce chamanisme implique l’utilisation de drogue, d’hallucinogène, de rituels, et un mental très religieux qui est, à mon avis, plus proche de la schizophrénie que de celui d’une personne de connaissances.

La deuxième forme du chamanisme, que j’appelle le Nouveau Chamanisme, est beaucoup plus récente. Ce Nouveau Chamanisme est par définition ésotérique. On retrouve ce mouvement et ses enseignements chez les Esséniens, les Grecs, les Égyptiens et bien d’autres cultures. Il y a toujours un point commun entre toutes ces écoles : l’étude du mythe et du symbolisme, et un travail sur le rêve.

Bien sûr, ce mouvement du Nouveau Chamanisme a été dévoilé et mis à jour par Carlos Castaneda en suivant la tradition toltèque. Don Juan lui-même expliquait qu’il y avait eu un changement dans son lignage entre les anciens et les nouveaux voyants. Apparemment, ce changement eut lieu vers le XVe siècle. Alors que le chamanisme traditionnel utilise des drogues et des rituels pour accéder à l’inconscient, le Nouveau Chamanisme, lui, utilise la discipline, la psychologie énergétique, et l’art de rêver. Le Nouveau Chamanisme est une initiation qui demande du temps, de la volonté et de la discipline. Cela amène un changement durable et permanent, une transmutation intérieure pour devenir homme et femme de connaissances.

Le nouveau chamanisme ouvre une voie qui est accessible à tout moment par le pratiquant. Ce qui permet un contrôle sur le voyage et l’étude des nouvelles perceptions de la découverte intérieure de ce centre de conscience, que l’on appelle aussi l’âme.

Quelles différences y a-t-il entre le rêve, la relaxation et l’hypnose ?

Je dis toujours que l’hypnose est à la rivière ce que le rêve est à l’océan. Si la transe hypnotique se rapproche d’un état naturel, elle est toujours induite par une personne extérieure et une manipulation de l’attention. L’hypnose est un outil remarquable dans un but thérapeutique et travaille exclusivement avec une partie de l’inconscient psychique. Je travaille d’ailleurs en consultation privée avec l’hypnose ericksonnienne. Mais l’hypnose à ses limites: elle permet d’explorer seulement des états de conscience attachée directement ou indirectement à l’alter ego de la personne, mais pas de découvrir d’autres niveaux de réalité. La personnalité de l’individu se déplace sous l’influence de l’hypnose. Par exemple, un mythomane sera toujours un menteur même sous transe hypnotique. (C’est pour cela que l’hypnose n’est pas utilisée comme témoignage à charge dans les enquêtes policières car ce type de témoignage n’est pas fiable sur le plan de la vérité juridique.)

À l’inverse les rêves eux ne mentent pas, le monde du rêve va au-delà de la conscience refoulée de la personne, le rêve permet d’accéder directement à la source de l’individu, qu’on peut appeler également âme, subconscient, observateur, ou créateur, cela n’a pas vraiment d’importance. L’important, c’est que les rêves fonctionnent comme une clé d’accès « naturelle » à notre moi profond, car les phases paradoxales sont un état naturel de notre vie. Les rêves ont toujours guidé et aidé l’humanité dans son évolution à travers des messages, des inventions et découvertes, ce qui serait impossible d’accomplir en état hypnotique. On pourrait résumer en disant que l’hypnose peut amener à des solutions alors que les rêves amènent à la création.

A la question « quelle différence y a-t-il entre le rêve et l’hypnose », il faut savoir que l’hypnose n’est pas du rêve, et certains hypnothérapeutes mélangent les deux car ils ne connaissent pas la différence. D’autres font leur propre mélange pour satisfaire une certaine demande ou simplement étendre leurs prestations. Entrer en contact avec sa source intérieure est un travail totalement différent d’une session d’hypnose dont la capacité est limitée à s’adresser à l’inconscient de l’individu, mais pas à l’entièreté de l’être.

La relaxation n’est pas une transe hypnotique, comme l’hypnose n’est pas rêver. Le rêve est libre et passe au delà de l’interprétation et de l’attente de la personne, ce qui n’est pas possible en état de transe hypnotique.

Les classes de rêve ont pour objectif d’apprendre à entrer en rêve éveillé, et à y retourner à volonté. La rencontre avec son animal de pouvoir n’est qu’une étape parmi d’autres. Le chemin pour se rendre dans la zone profonde de son être n’est pas la même, de même que l’intention de départ. Les participants apprennent à se mouvoir dans le rêve, à le faire évoluer, à rencontrer des entités symboliques qui nous livrent des enseignements personnels. Cet apprentissage, comme celui des mouvements de vie permettant d’accroître l’énergie nécessaire pour rêver, sont indispensable pour utiliser ces outils avec succès et discernement dans les classes avancées.

Le rêve de l’éveil intérieur a-t-il un effet thérapeutique ?

A partir du moment où il y a une démarche pour arriver à mieux se connaître et se découvrir, cela entraîne forcément un effet thérapeutique. Mais surtout le fait d’entraîner son attention à voyager dans les endroits que l’on croyait les plus reculés ou inaccessibles de l’individu, entraîne forcément des prises de conscience de l’être et de la vie. Aussi chaque voyage en rêve amène une ouverture et un nettoyage au niveau des filtres de l’inconscient ce qui permet de se découvrir vraiment et de pouvoir vivre et exprimer en toute liberté le potentiel de qui l’on est vraiment, directement connecté avec sa source intérieure. Le rêve de l’éveil intérieur amène un changement à long terme pour vivre mieux dans la joie et parcourir son chemin : celui du Cœur.

Mais les classes de rêve ne sont pas des séances de thérapie au sens strict, se sont plutôt des espaces de transformation intérieure: chacun arrive avec ce qu’il est, et repart avec ce qu’il a découvert. Je ne fais pas d’interprétation des rêves de participant, je ne donne aucun jugement sur ce que chacun expérimente et partage au groupe, personne n’est là pour exposer sa souffrance particulière pour la traiter en groupe. La transformation se fait au niveau profond du rêve lucide et se manifeste par des changements profonds de comportement dans la vie de chaque participant.

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Carlos Castaneda a fait sans s’en cacher l’usage de psychotropes lors qu’il était disciple de Don Juan Matus. Que pensez-vous de l’usage de psychotropes dans la perspective d’ouvrir des nouveaux chemins de conscience ?

Si l’absorption de drogues et d’hallucinogènes crée un rapide déplacement de la conscience, cela entraîne aussi, malheureusement, une confusion psychologique en raison du bouleversement incontrôlable de la conscience induit par le produit. Cela provoque une dépendance aux rituels, et aux croyances qui vont avec ce genre de pratiques. En enfermant les participants dans leur propre monde et en les séparant de plus en plus de la réalité du monde extérieur, il est très facile de croire et de voir tout ce que l’on veut, tout ce qu’on peut imaginer, sous l’influence d’un psychotrope.

Enfin, un déplacement de la conscience par des drogues amène un mouvement très grand et chaotique de la psyché, qui n’entraîne aucune prise de conscience durable, car la personne, une fois revenue à son état normal, n’aura qu’un vague souvenir de ce qu’elle croit avoir appris, et en plus n’aura pas la possibilité de retourner sur cette expérience.

Que ce soit bien clair dans l’esprit du public, l’IRC est une école du Nouveau Chamanisme et n’utilise aucun psychotrope.

Pour plus d’information, rendez-vous le site de l’IRC http://www.institutdureve.fr
Des stages dirigés par Thierry Pierre Liot se tiennent régulièrement en France, mais également en Suisse et en Belgique.

Publié dans:AMERINDIENS, ENERGIES, POUVOIR, REVES |on 15 mai, 2016 |Pas de commentaires »

La voie du chamanisme Toltèque

 

 

Notre univers est par nature bipolaire, soit masculin/féminin, grand/petit, sombre/lumineux, etc…

Chaque aspect ne pourrait exister sans l’autre. Notre réalité se compose du tonal et du nagual.

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Le tonal est ce qui se voit, ce qui se pèse, la matière, le sang, la chair, les os, etc… Il est tout se qui s’explique. Le tonal ancre la logique et il donne un sens à tout ce que nous vivons. Nous pouvons aussi dire que notre état « éveillé » appartient au tonal. On l’appelle également en psychologie le conscient, la partie émergée de l’iceberg.

Le nagual est l’invisible. Il est l’espace entre la matière, le vide, l’intuition, le ressenti. Le nagual n’a pas de logique et ne peut donc s’expliquer. Il est le mystère et la magie de la vie. Lorsque nous dormons, nous pouvons dire que nous plongeons dans le nagual puisque nos rêves n’ont pas de cohérence. En psychologie, il est l’inconscient.

Il y a 3000 ans, dans les tribus Toltèques, étaient appelés « Naguals » les chamans, les guérisseurs. On leur attribuait de grands pouvoirs car ils étaient en relation avec le monde de l’esprit.

D’après cette sagesse ancienne, notre corps est constitué d’un aspect physique, mais il est aussi entouré d’un corps d’énergie (certains l’appellent l’aura dans d’autres cultures). Notre position de perception sur notre réalité se fixe en ce que l’on appelle « le point d’assemblage ».

Lorsque nous sommes enfants et que notre système de croyance est neutre, le point d’assemblage est amovible, il se déplace régulièrement, puis, à force d’éducation et d’expériences, il va se ralentir pour enfin se fixer dans une zone de notre corps énergétique et enfin se mobiliser et s’endurcir avec une grande rigidité.

Voilà pourquoi il est de plus en plus difficile avec l’âge de changer de comportement ou de croyance, car la fixité du point d’assemblage s’est enracinée au fur et à mesure du temps, à l’aulne du renforcement par notre attention.

Et la science moderne dans tout ça?

Il est déplorable d’observer une telle fermeture de la science face aux questions d’ordre spirituelles, et concernant le monde du chamanisme.

La science part du postulat de base de « l’évolution » de Darwin. Ce n’est qu’un postulat qui est donc une croyance. Puis, nos scientifiques soumettent des expériences qui vont apporter la validité de la recherche. Nous sommes donc totalement dans ce cercle vicieux, puisque tout ce qui sera démontré d’une autre manière n’aura aucune validité puisque il existe une croyance de base dans laquelle la science ne peut envisager de considérer les choses autrement.

Tant que la science sera dans son postulat et sa croyance de départ, les découvertes stagneront sur ce que nous connaissons déjà, et il faudrait complètement remettre en question tout un système de fonctionnement, ce qui dans notre orgueil semble bien difficile.

J’espère qu’un jour, les scientifiques et les maîtres de sagesse sauront se donner la main, car l’exploration et la découverte n’est il pas réellement ce qui compte pour avancer?

Dans la pratique du chamanisme, il n’y a pas de dogme ; la seule validité d’une croyance va être dans une recherche de vérité et les chamans ont pour cela un mode de vie tendant à vivre avec la plus grande souplesse de leur point d’assemblage, afin de ne pas être les marionnettes de leurs croyances.

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Quelle différence entre chamanisme et religion ?

Les peuples assujettis à de multiples commandements n’ont pour la plupart pas eu la chance d’avoir un rapport, avec le divin, étroit et personnel. Les religions ont souvent instauré une image de Dieu correspondant à leurs propres croyances et conditionnement.

Ainsi, nous retrouvons souvent sous le terme de « Dieu » une notion de jugement et de culpabilité. Ont nous apprend que Dieu est un Dieu jaloux et qu’il ne nous sauvera de l’enfer que si nous ne pêchons pas. S’ensuit le jugement et la culpabilité et c’est alors la peur qui domine la relation avec ce concept du divin.

A travers les religions, l’homme ne parvient plus à être libre de réfléchir par lui même, il est l’esclave d’un système de lois et de croyances. Il croit simplement des écrits d’autres hommes qui étaient là bien avant lui, et cela se propage de génération en génération. Dans la plupart du temps, Dieu est masculin ainsi que tous les concepts machistes tournant autour de ce concept. Or, la spiritualité du chamanisme est bien différente.

La spiritualité permet de se connecter avec le divin et d’entretenir une relation personnelle avec la source de l’univers. La foi est basée sur l’expérience, et la spiritualité invite à ressentir, à écouter, à être réceptif à cette force créatrice.

Le chamanisme ne rejette pas pour autant les paroles de sagesse qui ont alimenté les religions. Il invite à réfléchir par soi même à ces paraboles et à trouver son propre chemin, dans sa propre liberté. Je pense qu’un temps viendra où la dualité manichéenne sera révolue.

J’aimerai à travers cet article ouvrir le concept de Dieu afin de vous réconcilier avec lui.

Imaginons une énergie qui est tout ce qui est, et tout ce qui sera. Il n’y a que cette énergie et il n’existe rien d’autre. Alors cette énergie s’ennuie. Elle a besoin de faire l’expérience de sa splendeur. Alors elle se divise en des milliards de petites lumières. Elle crée l’obscurité, car elle sait qu’à travers cette obscurité, elle pourra faire l’expérience d’elle même.

Alors moi, vous et chaque chose qui nous entoure est Dieu. Nous faisons tous partis de ce grand tout. En réalité il n’y a rien d’autre. Nous avons tous choisi l’amnésie afin, non pas d’évoluer pour devenir meilleur, nous sommes déjà parfaits, mais de nous rappeler qui nous sommes vraiment. Et ce chemin est magnifique. Dans la bible il est écrit que Dieu à fait l’homme à son image. Je pense que ce verset parle de notre pouvoir de création. Nous sommes les créateurs de notre réalité. Par notre perception, par nos valeurs, nos croyances, nous créons le monde constamment autour de nous, nous sommes des artistes.

Je pense aussi qu’au niveau de l’intention, nous sommes les créateurs de nos vies. Voilà pourquoi il est si important de vivre avec conscience.La plupart des gens subissent la vie comme si tout dépendait du plus grand des hasards. Il y a ceux qui se plaignent de leurs échecs, et d’autres à qui tout semble réussir. Alors quel Dieu d’amour laisserait faire pareille injustice ?

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Notre pouvoir de création est bien plus illimité que ce que nous pouvons imaginer. Il est très fréquent que nos échecs soient les plus beaux reflets de nos intentions mal alignées avec notre être profond. Et combien de fois a t’on pu admettre que c’était les épreuves qui nous avaient forgé, qu’elles nous avaient fait évoluer ?

Je pense que la vie est merveilleuse. Un intégriste religieux passerait sa vie entière à méditer dans un monastère, pensant qu’il a évolué, et voilà qu’à peine ressorti, il se met à ressentir encore la colère, la tristesse, car confronté au monde, il se rend compte qu’il n’a pas bougé d’un millimètre !

La vie, nos épreuves, nos succès, nos expériences, nous évoluons et chaque jour nos opinions changent. Nous faisons connaissance avec nous même et pour finir, nous nous rendons compte que nous ne nous connaissons pas vraiment. Nous sommes surpris de mal connaître notre entourage alors qu’il en est de même pour nos propres réactions. Nous nous donnons des challenges, des objectifs à atteindre, nous parcourons cette vie comme une grande aventure. Nous sommes des explorateurs. Je crois sincèrement que nous sommes Dieu faisant l’expérience de lui-même !

Je pense aussi que nos concepts fixés dans leurs positions du point d’assemblage nous font croire à l’injustice. Sachez reconnaître en vous le divin. Sachez rechercher toutes ces choses que vous croyez ne pas avoir, en vous ! Elles y sont et y ont toujours été.

Si votre vie est merveilleuse, que tout se passe comme vous l’avez prévu, profitez-en. Voici le temps du répit. Reposez vous. Et quand vient l’épreuve, la difficulté, la solitude, la souffrance et le sang, voici venu le temps pour vous d’explorer ce que vous êtes. Explorez encore plus profond. J’ai vécu comme chacun des moments très difficiles dans ma vie, et dans les épreuves, j’ai pu trouver ma propre lumière. J’ai pu rencontrer Dieu qui me disait qu’il ne m’avait pas abandonné et que c’était à moi de parcourir mon chemin.

J’ai remis beaucoup de croyances erronées à la poubelle, car c’étaient les croyances liées aux contextes que je vivais qui me faisaient souffrir. Je ne pense pas en notion de bien ou de mal. Je pense en efficacité. Qu’est ce qui va me servir dans cette situation ? Quelle croyance va être plus aidante ? Pendant longtemps je me suis dit que le fait de changer ses croyances sur plus de positif pouvait être dangereux car je risquais d’être comme les autruches et ne plus voir la réalité telle qu’elle était. Là je me trompais. Je n’avais tout simplement pas conscience que de toute façon, je ne la voyais pas avec objectivité dans mon présent.

Ne croyez en rien. Ni en ce qu’on vous dit, ni en ce que vous vous dites vous même !!!

Parce que tout ce que vous vous direz sera le fruit de vos conceptions, de vos opinions et de vos théories (ou de celles des autres). Si elles sont plus utiles, alors sachez les adopter. Pourquoi seraient-elles plus fausses que les autres ? De toute façon, tout ce que nous nous racontons est une histoire. Nous sommes de fantastiques écrivains, des scénaristes chevronnés, et je crois que beaucoup parmi nous adorent les drames !!!

Par Beltane 

Publié dans:AMERINDIENS, ENERGIES, POUVOIR |on 9 mai, 2016 |Pas de commentaires »

La clairvoyance chez nos ancêtres médiums

  

 

Les documents des premiers siècles chrétiens abondent en faits de clairvoyance et de clairaudition. Lorsque Polycarpe mourut à Smyrne comme martyr, Irénée qui se trouvait alors à Rome entendit une voix résonner comme une trompette qui annonçait : « Polycarpe est mort martyr ! ». Quand à l’écriture médiumnique, beaucoup de dirigeants chrétiens d’alors avouaient avoir été inspirés par les esprits en écrivant. 

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La clairvoyance, la clairaudition, accompagnées de sensations tactiles, olfactives et gustatives étaient des phénomènes fréquents parmi les chrétiens des premiers siècles. Dans le livre d’Hermas, la clairvoyance et la clairaudition occupent une place importante. Hermas perçoit et apprend la plupart des choses par lucidité visuelle ou auditive. Une forme féminine qu’il voit et entend lui explique les vérités de l’au-delà. Elle lui sert de guide comme Béatrice servait de guide à Dante. Dante, en effet, avait vu par clairvoyance l’essentiel de sa vision épique décrite dans sa « Divine Comédie ». 

Le martyr Polycarpe vit à l’avance sa mort par clairvoyance. Il s’était réfugié dans une retraite suburbaine. Il y séjournait avec quelques amis et passait ses jours et ses nuits à prier pour toutes les communautés du monde entier. En oraison, il eut une vision trois jours avant sa capture, il vit son oreiller qui brûlait. Il s’adressa à ceux qui étaient présents et leur dit : « Dieu a décidé que je meure brûlé vif. » 

Le plus souvent, les croyants qui sont également des voyants perçoivent des visions de lieux et de formes de l’au-delà. Ils voient tout cela comme un monde semblable au monde d’ici-bas, mais spirituel et non matériel. Les voyants païens avaient évidemment des visions identiques. La  clairvoyance est un don de l’esprit humain dû à une nature particulière du fluide de son périsprit, ce qui fait qu’il voit de la même manière qu’un esprit non incarné. Ce que le voyant aperçoit est une image toute aussi réelle que les images du monde matériel qui sont captées par l’oeil. Les esprits peuvent faire apparaître ces images à volonté devant les yeux du voyant. 

La présence de l’esprit, bon ou mauvais, qui produit la vision des choses de l’au-delà dépend exclusivement de la disposition intérieure du clairvoyant. Par contre, en ce qui concerne le destin des choses d’ici-bas, il est inscrit dans le rayonnement du périsprit des créatures terrestres et peut donc être vu par tous les voyants quelque soit leur disposition intérieure. Voilà pourquoi les voyants païens pouvaient prévoir les destins d’ici-bas, aussi bien que les voyants chrétiens, même si les chrétiens leur reprochaient de côtoyer les démons. 

La formation des médiums de ce temps

La formation des médiums de l’époque consécutive à celle des apôtres était identique à celle des médiums des premières communautés chrétiennes. Elle se déroulait à l’occasion des assemblées du culte. 

Selon Hermas, l’état de « pneuma » d’un prophète survenait lorsque la communauté prie à l’unisson. La congrégation priait tandis que tous les assistants se tenaient symboliquement par la main. Le courant fluidique ainsi généré par tous les périsprits fournissait au monde des esprits l’énergie requise, soit pour former de nouveaux médiums, soit pour la transmission de message à travers des médiums déjà formés. 

Quiconque a assisté à la formation de médiums aujourd’hui comprend très bien les phénomènes médiumniques du passé. Ils sont identiques autrefois comme maintenant. Lorsque  Eusèbe rapporte que l’Eglise interdisait de se laisser former comme prophète ou de se faire prophète soi-même, ces phénomènes sont clairs pour celui qui les connaît. De même qu’un homme pouvait être formé comme médium lors des assemblées du culte, il se passait parfois la même chose lorsqu’une personne douée de facultés médiumniques se réunissait avec d’autres pour célébrer un culte privé ou se recueillait toute seule, en privé. Il n’existait qu’une seule différence. La formation d’un médium dans un grand groupe harmonieux était plus rapide qu’en comité restreint ou qu’en privé. En effet, la concentration de l’énergie fluidique d’une assemblée plus nombreuse facilite le travail des esprits sur les médiums, beaucoup plus que l’énergie fluidique produite par les périsprits des membres d’une assemblée limitée ou par celui d’une personne seule. Peu à peu, l’énergie fluidique se renforce chez les participants qui savent se recueillir. Elle devient si intense que ces personnes peuvent également être formées comme médiums, mais au bout d’un temps plus long.

Source : SOURCE : Encyclopédie Spirite – Mars 2006

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 17 avril, 2016 |Pas de commentaires »

La Mission d’Âme de Nicolas : témoignage

 

J’ai une mission sur cette Terre,
La découvrir et la réaliser est le but de ma vie.

Du sentiment d’être en décalage, à la vision de ma vie idéale, jusqu’à vivre concrètement mes rêves.

famille-d-ame

Nous sommes de plus en plus nombreux à ressentir le besoin de vivre une vie spirituelle, centrée sur l’essentiel, écartant ce qui aurait tendance à nous disperser, et détachée du monde matériel. En même temps ce monde-là nous attire et nous sentons bien que nous avons quelque chose à y faire. Comment être spirituel dans un monde matériel ? Comment marier le Ciel et la Terre ? Comment mettre en pratique concrètement la loi d’attraction ?

L’être humain ne sait pas qui il est. Retrouver la totalité de qui nous sommes est notre aspiration secrète et cette retrouvaille a lieu dans la matière, dans la confrontation à la réalité. C’est tout le thème à l’oeuvre dans la mission d’âme.

«La terre nous en apprend plus long sur nous que tous les livres. Parce qu’elle nous résiste. L’homme se découvre quand il se mesure avec l’obstacle.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ] – Terre des hommes

Créer consciemment ma réalité est le but de la vie.
Qui suis-je ? Que dois-je réaliser ? En fait, chaque élément de ma vie est un puzzle dont les pièces sont aussi grosses ou aussi petites que je veux, et qui sont toutes, absolument toutes, signifiantes. Dégager consciemment le sens de ma vie en assemblant les pièces du puzzle est précisément l’objectif. Lorsque j’y parviens, je suis alors riche, intérieurement. J’ai retrouvé mon âme et je peux faire l’expérience de la joie.

Ma raison d’être en tant qu’être humain est d’aller à la rencontre du divin en moi pour faire ce que j’ai à faire. Je suis sur Terre pour apprendre à aimer et être en harmonie. L’âme peut alors s’épanouir. Je suis, je reconnais qui je suis, et ainsi je fais ce que j’ai à faire. J’ose prendre ma véritable dimension. En me reliant au divin je deviens ce que je suis destiné à être. Je réalise la volonté divine, et non pas celle de la fausse idée que j’ai de moi-même. Autrement dit, je fais coïncider ma volonté avec la Sienne. C’est cela, la mission d’âme.

Autrement dit, c’est l’aventure au cours de laquelle je vais réaliser les désirs de l’âme. Déterminer ma mission revient à en prendre conscience, car en vérité les informations sur notre mission ne sont pas à créer au cours de notre vie, elles existaient déjà avant. L’ange de la naissance nous a posé son index sur la lèvre supérieure en y laissant sa marque pour nous faire oublier, et nous voilà à devoir retrouver la mémoire.

La vie sur Terre est comme une école. Nous y entrons à un moment donné, y sommes soumis à des épreuves, et en repartons au bout d’un certain temps. La mission d’âme correspond à l’épreuve de vie à laquelle nous désirons le plus nous soumettre. L’âme avant de s’incarner dans un corps physique a choisi le type de vie qui pourrait lui apporter les meilleures difficultés pour lui permettre de grandir. Mais le fait est que le processus d’incarnation à pour effet de nous faire oublier les mondes subtils célestes depuis lesquels l’âme a fait ses choix. Le résultat est que lorsque nous arrivons sur Terre nous avons dans la plupart des cas oublié notre mission, et pouvons avoir beaucoup de mal à aimer la vie Terrestre (consciemment ou non). Nous avançons alors dans la vie comme dans un brouillard et nous nous posons la question du sens de notre vie.

Lorsqu’un individu retrouve les objectifs relatifs à sa mission d’âme il retrouve son coeur, il retrouve ses véritables désirs, ceux de son âme, source de joie. Le coeur étant la boussole qui pointe vers le centre de l’être, la personne qui va dans le sens de sa mission, c’est-à-dire qui va accomplir sur le plan terrestre ce qui lui tient à coeur, va se retrouver elle-même, retrouver ce qu’elle est en essence. Réaliser notre mission amène à réaliser le dieu vivant en nous.

Comment déterminer ma mission d’âme ?

«Fais de ta vie un rêve, et d’un rêve, une réalité.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ]

Entre une hyper-rigueur morale de type judéo-chrétienne rigide et droite, et un égoïsme primaire cherchant à ne satisfaire que les petits plaisirs du corps, il y a une autre voie: la voie du coeur, où l’on satisfait les désirs de l’âme… la mission d’âme.
Ma mission correspond donc exactement à ce qui me remplit de joie si je la réalise. Ma mission c’est mon idéal de vie, c’est mon paradis sur Terre. Je peux donc par mes propres moyens déterminer qu’elle est ma mission d’âme, simplement en prenant conscience de mon idéal.

Il est alors essentiel de se laisser rêver. La première des règles est de mettre de côté toute question concernant mes capacités et mes possibilités. La question n’est pas de savoir comment, mais juste de savoir quoi. Qu’est-ce que je veux ?

La difficulté principale réside dans la connaissance de la direction à donner à notre vie. Celui qui sait ce qu’il veut et à confiance dans l’importance de son désir, mettra toutes ses énergies en oeuvre pour aller dans cette direction.

Je m’autorise donc à imaginer ce que je veux, surtout si cela semble totalement impossible. Mais comment savoir si ce que j’imagine est un désir de l’âme ou pas ? C’est simple: à ma réaction. Suis-je ému, est-ce que mon coeur parle ou pas ? Est-ce que l’idée de réaliser le désir me rempli de joie ?

Répondre à ces questions peut être difficile lorsque je suis encore dans un processus de réflexion sur ce que je veux. Le désir de l’âme me tient tellement à coeur que je peux ressentir le besoin de le protéger, par peur de l’échec ou de le perdre. Et le meilleur moyen de le protéger est de le cacher, y compris à moi-même, en attente du bon moment pour le dévoiler. Il est vrai qu’il ne faut pas brûler les étapes, mais je peux passer ainsi ma vie à ne pas réaliser mes rêves par peur de ne pas réussir à les réaliser. Il y a un moment où il est peut-être temps de prendre des risques.

Maintenant voilà ce que je peux faire pour prendre conscience de mes désirs:
je prend un papier et un stylo, et je m’écris une lettre à moi-même depuis mon futur idéal. C’est-à-dire que je fais « comme si » le temps s’est écoulé et que je me retrouve maintenant dans mon futur. Puisque j’ai réussi ma mission (c’est le but, donc je pars du principe qu’il est atteint dans le futur car à quoi bon me fixer un objectif si je ne pense pas le réaliser ?) Alors ce futur correspond à mon idéal. Une vie comme j’ose à peine l’imaginer. Je suis fou de joie et plein de gratitude pour qui j’ai été dans le passé, car c’est grâce à lui que j’ai pu arriver là où je suis aujourd’hui. J’ai alors une grande envie de partager mon enthousiasme avec moi-même et je décris dans la lettre avec passion ma nouvelle vie.

Il est question ici des désirs du coeur. Connaitre ces désirs nécessitent une grande sincérité. Au fond on ne peut pas se mentir à soi-même. Si mon soit-disant désir n’est que ce que je pense devoir désirer pour être conforme à l’opinion de mes amis, de ma famille, de la société, alors je ne suis pas moi-même. Je me trahis.

Je peux évaluer la sincérité de mon désir en ressentant dans mon corps la vibration de mon âme. Une vibration de joie est un signe sûr que j’ai contacté mon véritable désir. Il faut donc être capable de connaître ses émotions, et de ressentir les vibrations correspondantes. Par exemple comment reconnaitre la joie ? Comment celle-ci me transforme et me procure des sensations dans le corps ? Reconnaitre le type d’émotion et de vibration est essentiel, cela me guide pour évaluer si je vais dans la bonne direction.

Le but est d’amener le futur dans le présent, pour changer ce dernier. Si après avoir écrit la lettre je me sens particulièrement bien (ouverture du coeur, etc.) alors j’ai trouvé les désirs qui me tiennent à coeur. Sinon il est probable que je ne m’autorise pas encore assez à imaginer. Je ne dois penser à rien d’autre qu’à me faire plaisir à fantasmer. Les questions sur comment réaliser ces fantasmes ne viendront que plus tard. J’applique ici une méthode scientifique prônée par Descartes: Si un problème est complexe, le décomposer en plusieurs sous-problèmes plus faciles à résoudre. Ainsi, un petit problème après l’autre j’arriverai à résoudre le grand problème. Réaliser ma mission est difficile (l’âme aime la difficulté), mais en décomposant avec méthode chaque étape pour la réaliser je trouverai la force d’accomplir chacune de ses étapes dans le bon ordre jusqu’à l’accomplissement total de ma mission. Se laisser rêver est une première étape.

Une fois que je me suis autorisé à rêver, que j’ai bien ressenti les vibrations de l’âme dans mon corps, que j’ai senti que de parler de mon rêve me ramène à ce que je suis en essence, à mon être essentiel authentique, alors je dois me souvenir de cela lorsque je passerai par des moments de doute voire de désespoir. Un projet c’est comme un nid. On le construit petit à petit, ça prend du temps, et il suffit d’une main pour le balayer. Ce mouvement de la main, c’est le doute. Si facile à faire, mais dont le pouvoir destructeur est si grand.

Mon projet de vie passe par divers stade de développement, et il y a des moments où il est comme un oeuf ou un petit oiseau sans défense. Il va me falloir le protéger des prédateurs, c’est-à-dire de mes propres pensées négatives. Protéger mon projet c’est protéger la vision de ma mission. Il me faut la conserver dans un texte ou un tableau de vision (ou une peinture, ou tout autre moyen d’ancrage), pour me souvenir. Le capitaine du bateau doit toujours se souvenir de la destination pour garder le cap, même en pleine tempête.

Comment réaliser ma mission d’âme ?

Le corps est le lieu où se réalise ma mission. Les manifestations extérieures ne sont que sympthomatiques (loi d’attraction). Si je veux donc avancer dans la concrétisation de ma mission il me faut laisser passer à travers mon corps les énergies de l’âme, du Ciel jusqu’en Terre. Ensuite je regarde autour de moi et je vois avec émerveillement les choses se réaliser d’elle même. C’est l’abondance. Je comprends que tout m’est donné et que je n’ai plus qu’à recevoir.

Conscient de mon corps et des fréquences auxquelles il vibre je peux alors savoir où je résiste encore au passage de l’énergie de mes désirs. J’accepte ces résistances (priorité au centrage) et je place mon intention de les laisser disparaitre spontanément. La lumière occupant alors plus pleinement le corps, l’énergie circulant librement, ma mission se réalise plus amplement.

Lorsqu’on a identifié un désir de l’âme, on est alors certain que c’est la voie à suivre. Désir = Destin. La réalité se crée à partir de l’énergie et de la Conscience. Le désir correspond à une tension énergétique, une différence de potentiel dans la psyché. Là où il y a de l’énergie il y a le moyen de permettre à cette énergie de circuler. La conscience est témoin de l’énergie qui coule naturellement du point où le manque est ressenti (il nous manque quelque chose dans notre vie !) jusqu’au point où le manque a disparu et le désir assouvi (nous avons réalisé concrètement l’objet de notre désir).

mission d'âme


les 4 étapes de descente de la Lumière dans le corps
nécessaires pour réaliser ma mission d’âme, selon la Thérapie d’énergie intégrée IET de Steven J. Thayer (formation suivie auprès de Delphine Morizot)

C’est ce voyage de la conscience grace aux flux d’énergie qui me permet d’être vivant. Il n’y a pas d’autres possibilités pour que quelque chose se produise dans notre réalité. Sans désir, sans motivation, il ne se passe absolument rien. Là où il y a un manque, il y a un désir, là où il y a un désir il y a une voie, là où il y a une voie il y a un aboutissement. Vous êtes donc absolument certain que votre désir est condamné à être satisfait. Vous êtes condamné à la réussite. Sachant cela, il n’y a plus qu’à prendre conscience de vos désirs et à oser vous lancer dans l’aventure !

«Une fois pris dans l’événement, les hommes ne s’en effraient plus. Seul l’inconnu épouvante les hommes.»
[ Antoine de Saint-Exupéry ] – Terre des hommes

Je comprends bien que je ne peux qu’accepter mon destin. Une attitude erronée serait de croire qu’il me suffit d’utiliser correctement ma volonté pour obtenir ce que je désire et pour éviter les ennuis, ce serait nier l’existence de l’âme qui dépasse l’ego.

«Le héros ne peut fuir son destin, même quand celui-ci est chargé de difficultés.»
[ Carl Gustav Jung ]

Mon destin, la reconnaissance de ce destin, la prise de conscience des désirs de l’âme, impliquent que j’adhère à ma destinée et que je suis guidé sur ce chemin. Je fais des forces du destin mes alliés pour favoriser mon voyage dans la vie, comme je me laisse porter par le courant d’un fleuve pour favoriser ma descente. D’une certaine manière c’est la voie du moindre effort car on va dans le sens de son désir profond. Les difficultés que l’on rencontre ne sont en fait que le reflet de notre résistance intérieure (égotique) au changement. Mon destin correspond donc à la meilleure solution pour m’éveiller à ma véritable nature, au-delà de l’ego.

Réaliser sa mission d’âme correspond à une voie du coeur vers l’éveil.

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Nicolas Mauran
Thérapeute énergéticien
Mission d’âme – Soins énergétiques – Rêves

www.nicolas-mauran.com
mauran.nicolas@gmail.com

Publié dans:AME, ESPRITS, KARMA, POUVOIR |on 27 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Déprogrammer la mémoire cellulaire grâce à l’Écoute Imaginaire

Et si la mémoire cellulaire était reliée à un univers psychique dans lequel baigne la mémoire de l’humanité entière ?

L’aura est programmée par nos expériences passées

Il existe un rayonnement qui se manifeste autour du corps physique que l’on appelle aura. Les recherches du physicien Popp ont démontrées que ce rayonnement provient d’une activité cellulaire.

Mes observations en tant que thérapeute intuitif depuis près de 25 années me permettre d’affirmer que la mémoire cellulaire est observable dans l’aura. Elles se manifestent s sous la forme d’empreinte mémorielle associées à des souvenirs d’expériences positives et négatives que la personne a vécue depuis la naissance. Ces événements n’ont pas été vécus de façon harmonieuse d’où la présence d’une empreinte mémorielle dans l’aura. L’ensemble de ces souvenirs constitue une programmation qui vont faire en sorte que l’individu va malgré lui attirer d’autres individus ou situations qui vont favoriser la réactualisation de sa programmation. Ce processus se poursuivra tant que l’individu ne parviendra pas à s’harmoniser aux besoins inassouvis qui animent ces énergies mémorielles.

Par exemple, si vous avez une énergie mémorielle de victime dans votre aura, vous allez attirer à vous des individus qui sont animés par des énergies mémorielles de bourreau. Ce processus a pour but de vous rendre conscient de la programmation que vous avez créée. Toutefois, comme vous n’êtes pas conscient des mémoires qui animent votre aura, vous aurez tendance à les réactualiser sans prendre conscience de leur véritable raison d’être. C’est un peu comme si vous traîniez de très lourds bagages dans votre aura.

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Avant un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

L’aura est étroitement reliée à la mémoire de l’humanité entière

Chaque être humain génère des énergies mémorielles qui s’accumulent dans son aura. L’ensemble des échanges énergétiques entre les êtres humains forme un véritable univers psychique. Un thérapeute intuitif qui développe la perception de cet univers constate que l’humanité entière se trouve inter relié par une trame dans lequel s’accumulent les mémoires de tous les êtres humains ayant vécues sur terre.

Cette trame s’apparente à une autoroute d’information qui circule entre les être humains sans qu’ils en soient conscients. Pour parvenir à se libérer de son histoire personnelle, il est nécessaire de se rendre compte que nos mémoires personnelles résonnent avec une multitude d’expériences mémorielles provenant de l’histoire humaine. ‘Ces expériences mémorielles errent dans cet univers car elles n’ont pas découvert la raison d’être de leur existence. C’est seulement lorsqu’il y a une résonance avec un individu vivant sur terre que l’énergie mémorielle est réactivée. Il s’en suit un échange énergétique grâce auquel la mémoire collective va se nourrir de l’énergie d’une personne. Cette résonance favorise la réactualisation de l’événement à l’origine de la mémoire qui perturbe l’aura de la personne. Ce processus se répètera tant que l’individu n’aura pas résolu la raisons d’être du bagage mémoriel qui l’anime.

Voyons un exemple. Supposons qu’une énergie mémorielle qui se sent abandonnée résonne avec une mémoire collective d’un soldat de la Grèce antique qui a un sentiment similaire. Ce soldat se sent abandonné car il pose souvent des actions téméraires qui ne sont pas valorisés par ses coéquipiers. Il meurt lors d’un combat parce qu’il n’a pas respecté les consignes de retraite ordonnées par son chef. L’individu qui résonne avec cette mémoire se comporte dans sa vie courante de façon similaire à celle-ci.

Cette personne, d’un naturel téméraire, pourrait se retrouver dans des situations où son entourage l’abandonne. Cet abandon pourrait être vécu comme un sentiment de trahison où il a l’impression que son entourage assiste à sa mort sans intervenir. Si l’individu ne développe pas d’habileté pour communiquer avec son énergie mémorielle, il ne pourra pas déprogrammer le schéma de comportement qu’il subit.

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Pendant un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

La déprogrammation de la mémoire cellulaire

Comment cette personne peut-elle se libérer de ce schéma de comportement ? Mon expérience m’a amené à comprendre la dynamique énergétique sous-jacente à la mémoire qui pollue notre aura. À la base de toute énergie mémorielle, il y a toujours une incapacité de l’individu à assumer une partie de lui-même. Pour se protéger d’une souffrance associée à l’énergie qu’il ne peut assumer, l’individu va la rejeter. Cette énergie mémorielle va résonner avec des énergies similaires provenant de l’histoire humaine renforçant le rejet de celle-ci. Cette énergie mémorielle n’a pourtant qu’un seul désir, c’est de revenir à sa source.

J’ai développé l’Écoute Imaginaire dans le but d’aider les gens à se réapproprier l’énergie dont il s’était dissocié afin qu’ils assument pleinement tous leur potentiels. Si on revient à notre exemple, l’Écoute Imaginaire permettrait de communiquer avec l’énergie mémorielle d’abandon. Il est fondamental ici de comprendre que toute énergie mémorielle possède une autonomie propre et qu’il est possible pour un intuitif entraîné d’engager un dialogue avec celle-ci. Et étant donné que l’énergie mémorielle a pour but de se réunifier à sa source, le thérapeute intuitif pourra entrer en communication avec l’énergie mémorielle et dévoiler à la personne qui consulte le chemin vers la réunification.

Poursuivons notre exemple : Le thérapeute en Écoute Imaginaire perçoit dans l’aura de la personne une énergie mémorielle de son enfance. Cet enfant explique au thérapeute qu’il agit de façon impulsive car il est convaincu qu’il n’est pas aimé par son entourage. D’autres scènes de l’enfance surgissent de l’aura montrant l’enfant ridiculisé par ses parents.. L’enfant explique qu’il est révolté de ce manque de support et c’est pourquoi il agit de façon téméraire pour ne pas démontrer ses peurs.

Lorsque le thérapeute comprend la raison d’être de l’énergie mémorielle, il peut alors passer à la déprogrammation de la mémoire. Cette étape consiste à transmettre des informations énergétiques afin de libérer l’énergie mémorielle de ses limitations. Le thérapeute demeure en état d’écoute pour observer les diverses réactions qui se produisent dans l’énergie mémorielle. Typiquement, l’énergie mémorielle figée se transforme laissant apparaître une énergie plus en harmonie avec les besoins actuels de l’individu. Lorsque cette étape est atteinte, le flux énergétique circule plus facilement vers le cerveau et la personne intègre un nouveau comportement a adopté dans sa vie. L’énergie mémorielle ne se trouve plus isolé et elle se réintègre à la personne.

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Après un soin de déprogrammation et soin psychoénergétique

La rééducation de l’inconscient

Pour favoriser le changement en profondeur, il est nécessaire de prévoir une étape d’intégration. La rééducation de l’inconscient a pour but de créer de nouvelles organisations du système nerveux et du cerveau permettant à l’individu de consolider sa nouvelle perception de lui-même.

Ce travail consiste à accompagner la personne aidée dans son propre système de croyance afin qu’elle apprenne à rééduquer les dynamiques pouvant inhiber la libre expression de son potentiel.

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Pour conclure, l’Écoute Imaginaire est une approche intuitive et énergétique permettant de :
• décoder la raison d’être des énergies mémorielles qui animent l’aura ;
• de les déprogrammer afin de favoriser leur réintégration dans le champ d’énergie ;
• de les rééduquer à long terme afin que de nouveaux signaux soient de plus en plus facilement
reconnu par la personne aidée ;
• rétablir les perturbations énergétiques afin de favoriser la santé optimale de la personne aidée.
Parmi les bienfaits ressentis, on dénote une augmentation de l’énergie vitale, un sentiment d’être en harmonie avec soi et de faire les actions justes.


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Sylvain Bélanger est le créateur de l’Écoute Imaginaire. Il est auteur des livres : L’Écoute Imaginaire, Devenez Intuitif, Le Messager et de 17 cd audio d’enseignement. Il propose une formation personnelle (2 we) et une formation personnelle à distance à l’aide de cd-audio s’adressant à tous. Il propose également une formation professionnelle pour devenir
thérapeute. Consultations en personne et téléphoniques disponibles.
 
Site internet : www.ecouteimaginaire.com

Publié dans:DEVELOPPEMENT, GUERISON, POUVOIR |on 24 mars, 2016 |Pas de commentaires »

LA PUISSANCE DU DON POUR NOTRE EVOLUTION

Vous deviendrez tout ce que vous désirez devenir et vous connaîtrez tout ce que vous désirez connaître lorsque vous saurez partager votre être sans la crainte ni l’attente d’un résultat particulier. Quand vous vous exprimez purement à partir du centre de votre être sans subir aucune influence extérieure et sans rechercher aucune gratification, vous devenez un être accompli dans son flux créateur. Dans cet état, vous donnez naturellement à la création et toutes vos actions sont des dons. Les actes de partage que vous accomplissez sont alors acceptés comme des dons de lumière et ils s’ajoutent au processus évolutionnaire qui a lieu partout autour de vous. Vous donner ainsi, c’est l’ultime liberté que vous recherchez tous.

croix

Vous désirez tous vous affranchir de ce que vous pensez devoir faire pour survivre. L’abandon de cet état d’esprit libérera votre âme. La seule façon de vous libérer de cette prison qu’est la mentalité de survie, c’est d’exprimer votre essence véritable à chaque instant, dans chaque pensée et dans chaque action. C’est possible en effectuant ce choix intentionnellement et en faisant confiance à la validité de la source de votre existence.

Vous n’êtes pas venus en cette vie pour simplement y survivre. Vous êtes venus exprimer votre source créatrice et en partager l’énergie pour l’évolution de l’Un. La conscience désire s’accroître afin que toute la réalité s’accroisse. C’est pourquoi le partage pour un motif extérieur n’ajoute rien à la création. Seul le partage pour un motivé par le cœur est un vrai partage. Quelqu’un qui paraît toujours faire le bien ne le fait peut-être pas davantage que quelqu’un qui ne fait rien. Ce qui importe, c’est d’exprimer le don unique que l’on possède et d’être fidèle à soi-même sans céder à aucune influence extérieure. La personne qui résiste au mendiant et qui l’aide ainsi à affronter ses peurs fait peut-être davantage pour cet individu que celle qui lui donne un dollar. Mais peut-être pas non plus. C’est peut-être la personne qui danse dans la rue qui donne le plus au mendiant sans même s’en rendre compte. Pourquoi? Parce que ce danseur exprime sans doute son âme et qu’il partage ainsi en toute liberté l’énergie de la création avec toutes les personnes qu’il croise.

Comment savoir si vous êtes fidèles à votre âme? Cette question est de la plus haute importance et vous devriez vous la poser souvent. Efforcez-vous d’en trouver la réponse dans toutes vos actions. Pourquoi faites-vous ce que vous faites en ce moment même? Pourquoi lisez-vous ces lignes? Pourquoi avez-vous fait ce que vous avez fait aujourd’hui? Avez-vous agi par peur ou par manque de quelque chose? Peut-être aussi que vous n’avez rien fait, par peur de quelque chose ou par incrédulité? Pourquoi êtes-vous la personne que vous êtes aujourd’hui? Pensez-vous que vous êtes ce que vous êtes censés être dans cette vie-ci? Avez-vous l’impression que vous êtes censés être quelque chose en particulier ou agir d’une façon spécifique? Pour trouver la réponse à ces questions, vous devez transcender toute fausse idée de vous-mêmes et toute perception erronée du monde.

Tous les outils que nous vous procurons ainsi que les idées que nous soumettons à votre réflexion ont pour but d’ébranler vos fausses convictions et d’élargir votre perception afin que vous découvriez que vous êtes beaucoup plus que ce que vous laissent croire vos cinq sens. Votre esprit, qui est connecté à tout, est déjà une forme d’énergie libre. Il est toutefois piégé dans des limites imposées par lui-même et conçues pour vous permettre de sortir du cocon afin d’être les papillons que vous êtes réellement.

Si vous pouviez oublier pendant un instant ce que vous pensez être et si vous arrêtiez de vous comparer à ce que vous pensez que sont les autres, vous donneriez à votre âme une chance de se libérer de la prison de votre ego analytique. Vous avez tous déjà entrevu la lumière lorsque vous êtes sortis de votre ego et que vous avez permis à votre âme de briller. En de tels moments, vous perdez complètement de vue votre fausse image et vous pouvez relâcher votre emprise sur le temps et sur l’espace pour vous lier à votre âme créatrice. Abandonner l’égotisme et exprimer votre lumière, voilà le véritable partage.

Vous avez tous des dons que vous cachez parce qu’ils vous semblent insignifiants ou qu’ils ne peuvent pas vous rapporter d’argent. Souvent, ces dons, quelle que soit leur ampleur ou leur petitesse, sont les ailes angéliques qui peuvent vous faire survoler vos peurs et envelopper l’univers. Plusieurs parmi vous n’exercent pas leurs talents parce qu’ils les croient inférieurs à ceux des autres. Ces comparaisons vous empêchent de les partager. Si vous osez exprimer votre essence sans crainte, vous pouvez affronter les secteurs de votre existence qui vous empêchent de donner le meilleur de vous-mêmes. Quand vous cessez d’essayer, vous ne vous procurez jamais l’occasion de traverser les voiles de l’ego. Plusieurs craignent d’être ce que leur cœur et leur âme désirent vraiment, et, par conséquent, ils empêchent leur lumière de briller. C’est une bien triste situation pour le monde.

Si vous avez travaillé à l’élimination des voiles de votre ego, vous entrevoyez déjà votre diamant intérieur. Faites un effort quotidien pour vous rappeler que vous n’avez plus besoin de votre ego et pour faire briller votre lumière. Il vous faut exercer une focalisation consciente pour être l’esprit radieux que vous êtes réellement et pour le partager audacieusement avec le monde, quoi que pensent les autres de votre mode d’expression particulier. Votre diamant intérieur est le seul de son genre. Si vous ne le laissez pas briller, il passera inaperçu et une partie de la création restera dans l’obscurité. Vous avez pour mission de découvrir votre joyau intérieur. Plusieurs parmi vous connaissent l’existence de leur joyau, mais ils ont tellement été programmés pour ne pas le regarder qu’ils en ignorent constamment l’existence et qu’ils pataugent plutôt dans de vieux schèmes de dissimulation qui les desservent.

Le simple fait d’imaginer au sein de votre être la présence d’une étoile éternellement lumineuse éveillera votre âme à sa vraie nature. Imaginez quotidiennement en vous cette étoile de lumière centrale autant de fois que vous le pourrez et voyez-là devenir de plus en plus brillante. Voyez cette lumière illuminer votre corps physique et votre aura, et rayonner sur toute la planète et dans l’univers. Imaginez votre lumière connectée à toute conscience. Voyez-la partager son essence. Soyez en paix avec cette étoile centrale et avec tout ce qu’elle atteint.

Comprenez que cette lumière est l’être qui fait l’expérience de l’existence physique afin de s’exprimer. Laissez-la guider votre cœur et votre esprit à travers vos manifestations. Soyez l’expression poétique de cette étoile centrale. Si vous laissiez votre âme lumineuse s’exprimer pleinement, que vous dirait-elle? Qu’est-ce que cette étoile centrale voudrait que vous soyez et donc que vous partagiez? Quelles frontières franchirait alors son rayonnement? Faites confiance à la voix de votre esprit et ne la laissez pas étouffer par les jugements de votre ego. Elle désire vivement se libérer de vos contraintes matérielles.

L’acceptation de la fantastique brillance de votre âme lui ouvre des portails lui permettant d’exprimer son essence et de la partager d’une façon correspondant à votre objectif et stimulant votre évolution personnelle et collective. La focalisation sur le cœur de votre être ainsi que l’écoute et la vision intérieures de sa voie vous guideront dans votre spiritualité. Si vous entraînez votre conscience à faire confiance à cette brillance intérieure, votre être se transformera et il éclairera l’univers. Chaque âme qui s’éveille ainsi devient une ampoule lumineuse supplémentaire qui dissout l’obscurité et élève la vibration de votre Terre. Voilà le don véritable. La décision d’allumer votre lumière doit être prise quotidiennement.

Chaque jour vécu dans votre sphère est un don que reçoit votre âme pour éclairer le monde. Êtes-vous fidèles aujourd’hui à cette étincelle intérieure? Avez-vous pris un instant pour écouter votre âme? Ou bien êtes-vous toujours en mode robot? Plus vous vous exercerez à percevoir votre luminosité centrale, plus vous reconnaîtrez qu’elle n’a pas de programme spécifique et qu’elle est complètement libre de toute obligation. Elle veut briller et laisser briller les autres! Elle ne porte aucun jugement sur elle-même ni sur son entourage. Votre âme sait uniquement exprimer le don pur et inconditionnel.

DONNER POUR ÉVOLUER  par Extraits de son livre « Les clés de l’évolution de l’âme », JILL MARA p. 300 Ariane Edition, 2010 sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME, LOI NATURELLE, POUVOIR |on 13 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Connexion avec les praticiens de l’invisible

 

Je souhaite vous parler de mes expériences de guérison et évoquer mes contacts établis avec ces praticiens de l’invisible que j’appelle dans mon livre la guérison harmonique : les thérapeutes supramentaux.

Sur un plan subtil, ils sont en relation avec le quatrième plan de conscience, celui où certaines entités œuvrent pour le soulagement de la souffrance. Je me souviens notamment du témoignage de Maguy Lebrun sur les médecins du ciel et de ses groupes de prière qui poursuivent, encore aujourd’hui, leur action positive aux quatre coins du monde.

OEIL

Pour ma part, en tant que « musicien de l’âme », ces connexions sont tellement évidentes quand les voix s’élèvent d’un groupe pour nous relier au cosmos, que je ne ressens pas le besoin de m’initier à telle ou telle instruction particulière pour contacter ces plans liés aux hiérarchies invisibles. La pratique personnelle du chant thérapeutique, les expériences toujours plus profondes réalisées sur la conscientisation des sons, me mettent en relation avec eux, sans que j’en sois toujours conscient, et révèlent naturellement mes énergies de guérison. Bien sûr, on peut aussi supposer que mon chemin actuel – comme celui d’autres chercheurs-musiciens – se place dans la continuité des connaissances accumulées dans mes vies passées, celles qui caractérisent, selon certaines sources traditionnelles, les « vieilles âmes » ! Je ne me considère pas pour autant comme un être d’exception, mais plutôt comme quelqu’un qui a vécu intensément sa part d’ombre et de lumière, et qui a pris, en son temps, des engagements pour aider les autres.

Accueillir et transmettre les énergies

J’ai toujours prôné l’autoguérison, et je continue de le faire, car il n’y a rien de tel que d’être son propre thérapeute et de rester le plus possible autonome face à la maladie, à la dysharmonie. En l’écrivant, je réalise que je touche le nœud du problème : cette capacité inhérente de se guérir ne fait-elle pas un peu peur, ne nous transforme-t-elle pas en apprenti sorcier ? Ne se crée-t-on pas des thérapeutes sur-mesure, des praticiens virtuels issus de notre imagination débridée, avec sous-tendue la représentation allégorique de sauveurs qui nous tireront des affres de l’adversité et du mal-être ? Après tout, si la créativité sans limite de notre imagerie mentale contribue à nous guérir, il n’y a rien à redire, il faut continuer. Ou alors cette capacité que nous avons de recevoir et de transmettre des énergies s’inscrit dans un plan hors norme, qui nous dépasse totalement, pour que nous ne cédions à la tentation de lui donner visages humains. Face à ces interrogations sans fin, lâchons prise tout simplement, laissons-nous porter, laissons-nous guérir. Accueillons les réajustements salutaires du corps et de l’esprit.

Un autre point essentiel est de redistribuer aux autres cette énergie bénéfique que nous avons reçue. En fait, qui que nous soyons, tout est à notre portée, à condition que ce soit le chant de l’humilité qui prévaut sur celui de l’ego, que le don de guérison soit utilisé pour servir les autres en respectant une éthique personnelle stricte.

Saturer l’être de positif

Toujours est-il que ce n’est que par l’expérience réitérée de contacts avec les plans supérieurs que l’incrédulité s’efface, que le pas est franchi. Dans les sphères de l’invisible – puisque nous y sommes – tous les impossibles sont permis ! Quitte à me rapprocher des pensées de pascal, pourquoi ne pas y croire, car quand bien même ça n’existerait pas, on n’aurait rien perdu pour autant ! Ce doute, il est préférable qu’il soit exploité comme accélérateur de guérison et non comme freinateur. N’oubliez jamais qu’il faut saturer l’être de positif pour guérir et je vous assure, pour l’avoir expérimenté personnellement, de l’existence de ces entités, en mesurant bien toute l’énergie de guérison que j’ai reçue d’elles – ou en tout état de cause que j’ai sincèrement supposé venir d’elles – et du travail qu’elles ont accompli sur tous les plans. Est-ce pour autant la suppression de la souffrance physique ou mentale ? – non, pas toujours, mais son acceptation certainement.

Croire ou ne pas croire

Rien ne se fera sans votre adhésion totale au processus de guérison métaphysique mis en place. Dans ce domaine encore plus que dans d’autres, il faut souligner qu’il ne s’agit en aucune façon d’une intoxication mentale, d’une prise de pouvoir psychique ne respectant pas l’intégrité de la personne. Vous restez un agissant et décidez par vous-même de vous connecter, de constater les effets positifs de ce contact et de suivre ou non les conseils qui vous sont suggérés. Petit rappel : si vous, ou une personne à traiter, n’adhère pas au principe même de l’existence de thérapeutes œuvrant sur d’autres plans de conscience, vous pouvez très bien ressentir la présence d’un guérisseur intérieur qui répond toujours à votre demande d’aide, ou encore considérer que vous pratiquez de la visualisation créatrice. D’ailleurs, le lien est étroit entre les phases de visualisation et celles qui aboutissent à la connexion : le passage progressif dans les différents états de conscience modifiés – alpha, thêta, delta – conduit à l’immersion totale et acceptée dans les chants profonds de l’être, à son ouverture, à son déverrouillage. Aborder confiant et serein les soins thérapeutiques, ne plus se protéger, ne plus craindre, ne plus avoir peur, supprimer les verrous inutiles face à l’implacable permanence des forces régénératrices mises à votre disposition, telle est la voie de la guérison.

Etablir une connexion par les huit rayons

Parmi les techniques que je pratique au quotidien et que je transmets dans mes séances individuelles, la connexion par les huit rayons apporte beaucoup de bienfaits. Il s’agit des rayonnements de vos centres énergétiques : les sept chakras majeurs et le hara. Je l’ai vécu sous la forme de huit faisceaux irradiant une lumière blanche de forte intensité. Celle-ci se teinte subtilement d’un violet un peu froid et inhabituel quand ces rayons se connectent aux plans supérieurs. La force qu’ils dégagent peut induire des affects très opposés où se mêlent de la crainte, une perte de repères spatio-temporels compensés par un sentiment intense de gratitude et d’amour universel.
Lors des premiers contacts, peu de souvenirs subsistent de ces rayonnements verticaux et parfaitement alignés qui sont bien vite effacés par le sommeil. Mais après plusieurs connexions, à la première phase de manifestation des huit faisceaux s’ajoute une remarquable transmutation des énergies. 

Effets positifs des connexions

Bien que ces thérapeutes interviennent principalement durant le sommeil profond, j’ai gardé le souvenir, au fil des expériences, de certaines phases de leurs interventions : au niveau énergétique et prânique, ils me faisaient ce que j’ai supposé être des « transfusions », me préconisaient un régime alimentaire à suivre, m’indiquaient le nom d’un médicament… mais leur travail de guérison holistique consistait essentiellement en une « chirurgie » sur les énergies très difficile à décrire, des actes précis réalisés par des mains invisibles. Aucun souvenir d’un contact ou d’un dialogue avec eux, encore moins de leurs visages ou de la couleur de leurs yeux, rien que des formes translucides penchées au-dessus de moi et nimbées d’un halo doré.

Au réveil et les jours qui suivirent, l’amélioration de l’état de santé était perceptible : les douleurs s’atténuaient ou disparaissaient, la pesanteur souvent ressentie dans une zone en souffrance s’était gommée ou allégée, enfin une force vitale inhabituelle m’habitait en permanence.

Toutefois, ces aides ne vous dispensent pas pour autant d’arrêter vos traitements médicaux ou de vous dire : « miracle, je suis guéri ! ». Non, il faut continuer à se soigner en étant assuré d’un soutien métaphysique puissant qui peut être réactivé à tout moment quand le besoin s’en fait sentir.

Affronter ses zones de turbulences

Sans titreIl arrive que pendant une connexion, le sommeil soit particulièrement agité par des images effrayantes, des sons vécus comme désagréables, des êtres qui s’interposent, qui prennent la parole avec des mots durs, chargés de reproches, de mise en garde. S’il est parfois nécessaire de pousser le potentiomètre un peu plus à fond pour vous faire comprendre qu’il y a urgence à réagir, il n’est pas dans le rôle de ces « chirurgiens » des énergies de vous traumatiser mais plutôt de vous apporter une aide efficace en corrigeant les défaillances de vos corps subtils. Mais en opérant sur vos enveloppes sensibles, ils dégagent de grandes quantités d’agrégats psychiques : des nœuds résiduels qui raniment des sentiments enfouis, des blessures de l’âme en étroite relation avec votre vécu. C’est donc une foultitude de « personnes » qui prennent la parole : en son temps, vous les avez bâillonnées, frustrées, effacées ; elles se rappellent aujourd’hui à vous, non dans l’espace spatio-temporel de leur vie présente mais dans celui qui était le leur au moment où vous les avez connues. Vous les aviez « gelées » dans les tréfonds de votre inconscient, l’exérèse de l’agrégat psychique leur permet aujourd’hui de s’exprimer.

Bien sûr, il n’est pas exclu que ce processus de régression puisse atteindre des zones karmiques en relation avec vos vies passées, ou encore que des entités s’interposent pour que ne vous franchissiez pas certains portails pour lesquels vous n’êtes pas suffisamment préparé. Imaginez votre vie si vous étiez conscient de tous les actes de vos existences antérieures. Seriez-vous plus heureux pour autant ? – je ne le pense pas. Chacun a sa place définie dans l’univers et dans les différents mondes sans qu’il soit toujours nécessaire de lever tous les coins du voile. Le chant thérapeutique, associé aux techniques de connexion, est là pour ça : vous apporter de la lumière, vous replonger dans vos résonances, juste ce qu’il faut, pour ne plus subir la vie, mais la chanter dans toutes ses tonalités intérieures.

Par Philippe Barraqué
thérapeute de la voix, musicologue

© 2007 – tous droits réservés pour tous pays

La guérison harmonique – Philippe Barraqué (Editions jouvence)

Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MAITRISE, POUVOIR |on 9 mars, 2016 |Pas de commentaires »

CULTIVER LA LUMIERE TRANSFORMANTE

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Lorsqu’ils considèrent la situation mondiale, les gens se résignent souvent à l’idée selon laquelle ils ne peuvent rien y faire, mais la vérité est que le pouvoir de l’aura purifiée est incommensurable. Se transformer soi-même, c’est transformer le monde – nous ne pouvons commencer cette transformation qu’à partir de ce que nous sommes.

Comme don Juan le dit à Castaneda, le guerrier ne se plaint pas, il accepte la vie et s’harmonise avec elle, adoptant une posture de vigilance. Il existe une fonction dans le monde des ordinateurs qui pourrait fort bien être appliquée à l’aura humaine ; il s’agit de « Entrée-Sortie ». Si vous remplissez votre aura de déchets, vous en nourrirez aussi l’aura de la planète en retour. Au contraire, si vous cultivez la lumière transformante au sein de votre aura, celle-ci formera une barrière naturelle contre les déchets de l’environnement à tous les niveaux de la psyché, et vous nourrirez votre monde de cette lumière, dont la puissance soutiendra les autres, surtout ceux qui sont en contact quotidien avec vous.

Jésus disait : « Car, où deux ou trois se trouvent réunis en mon nom, je suis là au milieu d’eux ». Curieusement, lorsque deux ou trois personnes prient ou méditent ensemble, leur puissance accumulée n’est pas simplement double, mais multiple, tant est grand le pouvoir de la prière collective. Dans une perspective scientifique, on sait que deux ou trois oscillateurs qui ont leurs impulsions presque au même instant tendent à s’enclencher et à se synchroniser, battant exactement en même temps.

Il a été observé que des gens en situation de groupe synchronisent inconsciemment leurs respirations. Deux femmes qui partagent le même appartement verront leurs cycles menstruels s’harmoniser. Dans certaines situations, els rythmes cardiaques d’un patient et d’un médecin peuvent également s’accorder, tant est puissante l’influence du champ aurique.

La Bible rapporte que lorsque Pierre marchait, son ombre (aura) guérissait les malades. Lorsque la femme malade d’hémorragies toucha sa robe (aura), Jésus le sut immédiatement, et sa vertu (énergie) sortit de lui et la guérit. Lorsque l’aura possède un tel pouvoir transformateur, aucune action physique n’est nécessaire, elle guérit tout ce qu’elle touche, pourvu que l’aura qu’elle atteint ait la capacité de réagir. Lorsque Jésus disait que d’autres pourraient faire  la même chose que lui, et même de plus grandes choses encore, il ne s’agissait pas, naturellement, d’une parole en l’air. Il savait que lorsque les gens reconnaîtraient leur propre rayonnement intérieur et l’appliqueraient à leur vie quotidienne, le royaume apparaîtrait sur Terre, la vie prendrait un sens nouveau, expérience de joie pure et non plus de souffrances.

L’aura, comme est un sujet d’une importance pratique et vitale, particulièrement dans le monde d’aujourd’hui et la crise de transition contemporaine.

Devenir conscient de notre aura et de ses qualités, c’est devenir conscient de soi. Apprendre et appliquer les techniques de purification appropriées de notre aura, c’est apporter de la lumière  à notre environnement. Le thème de la lumière et de la transfiguration parcourt tous les enseignements spirituels.

L’aura est partout définie comme une énergie cosmique universellement présente, imprégnant tout l’espace et pénétrant chaque forme. Elle apporte la vie, la force et la cohérence. Elle est intimement liée au soleil en tant que donneur de Vie. Yogis, prêtres, sages ou chamanes, les adeptes apprennent à contrôler la force de vie par la méditation et les exercices spirituels. Même l’homme moderne, en dépit de l’atrophie de sa sensibilité, sait par expérience que certains lieux lui sont plus favorables que d’autres. La plage, par exemple, est un lieu chargé d’énergie : le sable, semble-t-il peut stocker de grandes quantités de prâna et l’océan lui-même véhicule de hauts niveaux d’énergie. Lorsque nous sommes à cran ou complètement stressés, est-il meilleur remède pour retrouver son équilibre qu’une bonne journée de repos sur une plage ensoleillée et isolée ? Les forêts sont aussi des réservoirs de force vitale, et les pins comme les eucalyptus ont la réputation d’accroître la vitalité de ceux qui restent à leur proximité.

Les hautes montagnes véhiculent également d’importantes quantités de prâna, lequel donne cette qualité claire et étincelante à l’atmosphère. Pour cette raison, les sanatoriums sont souvent situés près des forêts, sur les pentes des montagnes, car les patients recouvrent plus rapidement la santé dans ces conditions.

Nous avons tout à notre portée pour cultiver cette lumière transformante qui nous habite.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES, LUMIERE, POUVOIR |on 24 février, 2016 |Pas de commentaires »
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