Archive pour novembre, 2016

Acceptation des changements biologiques

L’expérience humaine relativement au sens de la vue dans l’ancienne énergie est différente de ce qu’elle deviendra. En réalité, votre biologie est ajustée de façon à ce que vous puissiez à l’avenir voir certains attributs du monde astral. Cela veut dire que certaines transformations touchant vos yeux, les connexions entre vos yeux et votre cerveau, et le cerveau lui-même devront se produire. Voici quels en sont les symptômes. Beaucoup parmi vous ferment maintenant les yeux dans l’obscurité totale et s’aperçoivent alors qu’il y a toujours une rougeur qui demeure, comme s’il y avait une lumière qui était encore allumée dans la pièce. Pour les gens qui ont l’habitude que tout devienne noir lorsqu’ils ferment les yeux (de l’ancienne manière), il faudra qu’il y ait une période d’ajustement pour qu’ils comprennent pourquoi cela se produit. En plus, de cette subtile rougeur, vous verrez peut-être aussi des formes géométriques ! C’est de la science pure et une réaction absolument naturelle au travail que vous permettez pour équilibrer votre biologie. Certains d’entres vous comprendront la nature des attributs géométriques en prenant connaissance des messages contenus dans ce livre. : ALCHIMIE DE L’ESPRIT HUMAIN

méditation

Vous devez donc accepter avec calme l’ensemble de ces changements biologiques. Nous vous encourageons à vous détendre face à tout ce qui se passe et à honorer ces changements. En honorant une chose que vous ne comprenez pas, vous devenez une partie de cette chose. Cette alliance favorise une conclusion plus rapide du travail et vous donne par la même occasion le sentiment d’être aimé. Ceci est bien sûr le thème sur lequel Kryeon revient régulièrement en relation avec le Nouvel âge.

Il y a une autre sensation que vous ressentez peut-être. Il y a en ce moment un manque de cohérence vibratoire entre ce que vous avez appelé votre vibration mentale et le reste de votre biologie. Le message que moi et d’autres entités nous vous apportons est un message spirituel. Même si ce que je fais concerne la planète physique, vous percevez votre croissance d’un point de vue mental et spirituel. Vous devenez peur à peu une personne tolérante et paisible avec une sage perspective sur les autres personnes vous entourant. Ce  sont là des processus presque exclusivement mentaux pour vous, même si en vérité ce sont là des attributs astraux. Vous le « sentez » dans votre tête cependant, et votre attitude est perçue comme étant le produit de votre tournure d’esprit.

Ce qui se produit ensuite semblera familier pour certains d’entres-vous. L’Esprit sait que le reste de votre biologie a besoin de « rattraper » votre nouvelle mentalité (chakra de la couronne). Pour ce faire, il y a beaucoup de travail qui est généré pour vous au niveau biologique ; en réalité, ce processus remonte à la période du 11 :11 lorsque vous avez été informés du code qui était transmis à toute l’humanité (plus de détails sont donnés à ce sujet dans ce livre). Votre biologie a reçu à ce moment-là, la permission de changer avec votre croissance astrale, et les mécanismes ont été donnés dans ce but à la partie magnétique de votre ADN.

Publié dans:AMOUR, GUERISON, MULTIDIMENSIONNALITE |on 29 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Acte magique : langage de la conscience

 

La pensée n’est pas quelque chose d’homo­gène; on peut choisir de distinguer deux ma­nières de penser, coexistantes en chacun (1) — et qui sont aussi importantes l’une que l’autre — : la première, pensée rationnelle, s’exprime sous la forme de sa voix intérieure et elle utilise des mots. La seconde, pensée magique, s’exprime sous la forme de son intuition et elle utilise des images et des symboles.

Du fait qu’elle puisse être formulée par le langage, la pensée rationnelle permet de construire une base sur laquelle s’appuient des choses telles que le raisonnement et la logique; elle est divisible en unités sémantiques (c’est-à-dire de sens : les affirmations et propositions) ou morphologiques (les mots), elle est par nature le langage de la conscience. C’est avec elle que nous sommes le plus familiarisés — dans le monde dans lequel nous sommes, dans lequel vous êtes si vous lisez ces lignes.

chez francesca

Par contraste, la pensée irrationnelle est constituée d’atmosphères, de sentiments, de symboles, tout un ensemble de choses qui par nature ne peuvent pas être saisies dans leur totalité. En cela, elle ne peut jamais être totalement consciente — pour autant elle partage avec la pensée rationnelle des procédés cognitifs tels que le lien de cause à effet — ; en pratique, c’est un procédé très largement inconscient (2).

Or, l’inconscient dort caché, tapi derrière nos garde-fous, eaux profondes enfouies sous la partie consciente de notre personnalité et de nos perceptions. Occulté, sa puissance n’en est pas moindre, bien au contraire; les ressentis intérieurs possèdent cette force immense qui est celle de la capacité de nous court-circuiter.

Le fait de la possibilité d’un tel court-circuit de la conscience — l’on pourrait encore dire qu’il possède les clefs de la place-forte, et ainsi se moque des remparts — révèle quelque chose de fondamental : c’est par ce biais qu’agira de la façon la plus efficiente un moteur, une volonté interne. L’on connaît le triste destin en février des résolutions du Nouvel An; en revanche, inébranlables sont les résolutions que nous prenons tout au fond de nous-mêmes. Or, l’on pourrait croire qu’il n’y a aucun moyen d’agir dessus, parce que nous n’imaginons trop souvent que notre seule possibilité, c’est de se déclamer la résolution et se dire que l’on fera mieux que les autres fois; il n’en est rien. — Il faut agir au plus profond de nous-mêmes, au niveau de la pensée irrationnelle, materia prima qui seule, pourra court-circuiter notre éphémère volonté consciente — laquelle bien souvent porte déjà inconsciemment son propre frein elle-même.

Agir au plus profond de nous-mêmes.

Cela peut se faire au moyen de l’acte magique.

L’homme est un microcosme (3) . Chacune de ses terres peut être symbolisée en particulier par des objets; dès lors, il est possible d’utiliser l’un de ces objets comme une figuration de la chose sur laquelle l’on veut agir. L’objet est investi alors d’une vie magique, dès lors qu’en naît en notre esprit le lien symbolique. Toute action sur cet objet préfigure ainsi les actions sur ce à quoi il est lié — en quelque sorte, c’est agir bien plus directement que ce que l’on pourrait penser a priori sur notre inconscient. Or, seul celui-ci a besoin d’être modelé; l’on pourrait à la limite réaliser cet acte scrupuleusement et croire qu’il n’aura aucun effet sur notre volonté, que pourtant, intérieurement, le bouillonnement aurait déjà commencé, et tel une plaque électrique, chaufferait doucement mais inexorablement — amorçant une résolution bien plus réelle et efficiente que celles qui naissent et meurent en janvier.

C’est pour cela qu’il est si important de consacrer un lieu magique, de ne pas oublier l’ouverture et la fermeture du cercle lors de nombreux rituels, c’est pour cela qu’un envoûtement peut marcher sur quelqu’un qui n’y croit résolument pas et possède un esprit intelligent et rationnel (4) , que le triple retour existe; d’une manière beaucoup plus profane, c’est le même mécanisme qui rend compte de nombreuses situations de placebo et de manipulation d’autrui, ou encore expliquerait pourquoi une induction hypnotique marche (5) .

« Héloïse offre à Fabien une petite gemme d’une couleur signifiante, à une date signifiante, dans un lieu signifiant, dans un état d’esprit signifiant — avec prologue et épilogue — et elle passe doucement d’une main à une autre. Le regardant droit dans les yeux, Héloïse dit : « Je t’aime ». »

À jamais, cette gemme symbolisera leur lien, un véritable homoncule hermaphrodite qu’ils auraient alchimiquement créé, quand bien même ils feraient les plus grands efforts conscients pour se persuader du contraire et de son insignifiance. L’acte magique est plus fort que tout.

Ecce acta magica

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1 Le moment privilégié où il s’exprime à chacun est très certainement le rêve. À ce sujet et au sujet de l’incons­cient, la lecture de S. Freud et de C.G. Jung est particulièrement intéressante; voir par exemple Psychologie de l’inconscient (LDP), Essai d’exploration de l’inconscient (Folio essais).

2 On peut consulter à ce sujet C.G. Jung, dans les introductions de Métamorphoses de l’âme et ses symboles (LDP) ou encore de Psychologie et Alchimie (Buchet Chastel).

3 À propos de la sorcellerie, J. Favret-Saada a proposé une analyse intéressante dans Les mots, la mort, les sorts (Folio essais). Pour ce qui est de montrer l’importance de l’irrationnel sur l’homme — que l’on choisisse de le prouver d’une manière irrationnelle ou rationnelle — la lecture de Et l’homme créa les dieux (Folios essais) de P. Boyer s’avère passionnante.

4 Pour un résumé très intéressant de par sa clarté et sa concision sur ce vaste sujet, on peut lire Le sacré et le profane de M. Eliade (Folio essais).

5 T. Melchior propose l’explication d’une mise au diapason progressive du patient et de l’hypnotiseur, la voix de ce dernier se confondant peu à peu jusqu’à se substituer à la pensée consciente du patient — ce procédé se réalisant lorsque le patient se met à ne plus savoir si l’hypnotiseur opère une description de son état, ou une action : et c’est alors que ce qui n’était que description gagne la propriété d’également agir. À lire à ce sujet : Créer le réel, hypnose et thérapie (Couleurpsy).

Publié dans:CO-CREATION, ESPRITS, PENSEE, POUVOIR |on 25 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Partir à la découverte des Mondes

 

Le monde est une sphère. A la périphérie est la couronne des gardiens ; dans cette sphère se meuvent des planètes, et de même que dans un oeuf qui est plein il peut y avoir des cellules libres qui vont et viennent sans voir les autres, car elles ne sont pas du même appartement, de même dans l’univers il peut y avoir des séries d’êtres qui n’existent pas es uns pour les autres, car ils ne se voient pas. 

blog de francesca

Les gardiens sont dans la lumière et leur ligne est impossible à franchir. J’y suis allé et je les ai vus.

Le monde matériel où nous sommes est limité. Ce cercle constitue le royaume. Une ceinture étroite, mais large encore de millions de lieues, le sépare du monde des ténèbres, où il n’y a plus de dieux. Il n’est accordé à nul, sinon aux élus qui sont très près de Dieu, de pénétrer dans cette zone de séparation, car, s’il était donné à une âme quelconque de contempler l’abîme de l’Au-delà, elle reculerait avec une terreur mortelle. Le royaume est d’ailleurs immense et, avec la vitesse de l’éclair il faudrait des siècles pour en atteindre la limite. Mais elle est. 

Son nombre est un multiple de 72. 

Il y a une infinité de mondes en dehors du nôtre où les créatures se présentent sous les formes animales de notre monde. Mais ces animaux sont bien plus élevés, bien plus intelligents que la majeure partie des hommes actuels. Ils ont une âme identique à la nôtre et sont faits, comme  nous, en âme, esprit et corps, à l’image de Dieu. Ils savent des choses que nous ignorons, et nous, nous savons des choses qu’ils ignorent. Toutefois, si on peut les dire plus élevés que nous dans  l’échelle des êtres, il faut bien remarquer que nous, nous sommes très bien proportionnés, peut-être les mieux proportionnés. Si un homme pouvait converser avec ces êtres, il aurait à apprendre et à enseigner. Notre âme peut passer en eux, et la leur en nous ; mais en général, c’est dans le monde où on a contracté des dettes qu’on vient les payer. 

Seules, les âmes libres peuvent aller à leur gré, dans ce monde comme dans le nôtre, y passer une incarnation, pour y accomplir une mission ou donner un exemple. Nous sommes dans un monde très arriéré ; il y a des mondes où le dernier des habitants est plus avancé que le premier de notre  planète.

Paroles de Maître PHILIPPE De LYON

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Publié dans:ELEMENTS, MULTIDIMENSIONNALITE, SOCIETE, TERRE |on 22 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Nos rêves ont bien changé

 

Avant de comprendre les rêves, il faut pouvoir s’en souvenir. Il faut commencer par retrouver un bon sommeil, puis apprendre à s’endormir à volonté, vaincre ses insomnies et se rendormir rapidement. Il n’y a pas de vie heureuse sans un bon sommeil. Pour retrouver le souvenir de ses rêves, de nombreuses règles peuvent être données. Je dirais qu’il faut « les aimer ». Tout est là. La règle générale est que pour retrouver le souvenir de ses rêves, il faut leur attacher la plus grande importance. S’y intéresser, s’en occuper, les écrire, les dessiner, les raconter, s’en inspirer ! Nous devons être plus préoccupés par nos rêves que par nos soucis de la journée. 

blogfrancesca

Le rêve est une autre vie qui accompagne toute notre vie. Il ne nous quitte pas de la naissance à la mort. Les découvertes scientifiques récentes font donc du rêve un objet d’étude scientifique nettement déterminable dans les laboratoires de rêve de chaque grande université. Et elles nous montrent que le rêve est plus important que le sommeil. Rêver est vital pour l’homme. Les expériences de privation de rêve n’ont jamais pu être prolongées bien longtemps. 

Pour comprendre quelque chose aux rêves, il faut commencer par admettre qu’il en existe plusieurs catégories : les cauchemars, les rêves ordinaires et les songes. Les cauchemars sont les mauvais rêves. Le critère du vrai cauchemar est qu’il nous réveille puis nous angoisse. Les rêves ordinaires, quant à eux, sont ceux que nous avons toutes les nuits et qui ne parlent que de ce que nous faisons tous les jours. Nous ferions volontiers une catégorie intermédiaire entre les rêves ordinaires et les songes avec les rêves psychanalytiques. Lors d’une psychanalyse, ou de certaines psychothérapies analytiques, les rêves vont changer et devenir de plus en plus profonds et révélateurs. Le patient rêve ainsi pour son analyste, grâce au transfert. Peu à peu, les rêves vont apparaître profonds, bien construits et symboliques. Ils vont jalonner la cure, en marquant ainsi ses principales étapes. Et enfin, les bons rêves qui, en français correct, doivent se nommer des songes. Ce n’est pas pour rien qu’en français nous avons deux mots, les rêves et les Songes. 

Nous pouvons ensuite essayer de comprendre nos rêves seul, avec un journal de rêves. Au bout d’une centaine de rêves sur le nocturnal, nous pouvons commencer à faire des analyses de contenus et des pourcentages. C’est une première manière de les comprendre, accessible à tous, sans psychanalyste. Le sens unique du rêve est dans l’inconscient du rêveur. Nous pouvons également avoir besoin d’un psychanalyste, car si le rêveur possède seul le secret du sens de son rêve, il peut parfois ne pas l’admettre. Il va donc le dire, au milieu d’un tas d’autres choses, au psychanalyste qui va doucement et prudemment le souligner en le lui retournant plusieurs fois, jusqu’à ce que des recoupements successifs forcent le rêveur à bien admettre sa vérité. D’ailleurs si les deux n’ont pas trouvé aussitôt le sens de ce rêve, l’inconscient va s’en charger et provoquer par la suite un autre rêve qui sera le sens du précédent. Les amplifications des rêves représentent une autre piste. Nous pouvons interpréter le rêve, mais aussi le jouer et le développer en le considérant comme un point de départ. L’idée selon laquelle chaque élément du rêve représente une partie du rêveur autorise une autre façon de comprendre le rêve en l’amplifiant. Cette méthode a été très efficacement développée par Fridriech Perls dans sa technique de Gestalt-thérapie. Puisque le rêve émane du rêveur, il est tous les personnages et les objets de son rêve et ne doit pas être abusivement réduit au personnage qu’il a choisi d’incarner dans son rêve. 

Les psychanalystes ont assez interprétés les rêves, il est temps maintenant de les changer, pour faire en sorte que nos nuits soient plus belles que nos jours. Il est possible de transformer ses rêves afin d’obtenir des songes ou vision de vérité : songe de beauté, de puissance, sortie hors du corps, rêve prémonitoire, thérapeutique, curatif, créatif… L’intérêt pour les rêves et leur transformation est partagé dans de nombreuses traditions ou cultures, et on en retrouve des traces à chaque époque. La transformation des rêves est essentiellement une question d’état de conscience. Pour avoir des rêves lucides, il faut introduire la conscience dans ses rêves et pour y arriver le secret est d’installer la conscience de rêve dans la vie de tous les jours. Différents exercices gradués peuvent nous aider à y parvenir. 

La découverte de ce genre de rêves lucides va être de la plus grande importance pour la psychologie comme pour la philosophie. Elle va permettre d’autres découvertes et peut-être de grands changements dans la science et dans notre vie. Pour cela il faut commencer à s’interroger sérieusement sur les raisons du rêve : pourquoi rêvons-nous toutes les nuits ? Pour les philosophes, il faut pousser l’interrogation plus profondément et se demander : pourquoi l’homme est-il programmé pour rêver ? Ainsi le rêve lucide, après nous avoir fait échapper à l’illusion des enfers de notre inconscient, peut nous délivrer de l’illusion sensorielle pour nous faire découvrir de nouvelles réalités.

Les rêves constituent la moitié de notre vie, et les comprendre, les diriger voir les expérimenter peut changer toute notre vie.

auteur

Publié dans:PENSEE, REVES |on 20 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Voici les qualités d’une personne arrivée à maturité

Les qualités d’une personne arrivée à maturité sont très étranges.

Tout d’abord, elle n’est pas une personne. Elle n’est plus un moi. Elle a une présence, mais elle n’est pas une personne.

Deuxièmement, elle ressemble davantage à un enfant – simple et innocente.

C’est pourquoi je dis que les qualités d’une personne arrivée à maturité sont très étranges, car le mot  » maturité  » donne l’idée d’avoir de l’expérience, d’être âgé, vieux. 

Physiquement, il se peut que la personne soit vieille, mais spirituellement, c’est un enfant innocent. 

Sa maturité n’est pas qu’une expérience acquise à travers la vie. Dans ce cas, elle ne serait pas un enfant, dans ce cas, elle ne serait pas une présence ; elle serait une personne qui a de l’expérience – qui a des connaissances, mais qui n’est pas arrivée à maturité.

La maturité n’a rien à voir avec les expériences de la vie.

Elle a à voir avec votre voyage intérieur, avec votre expérience de ce qui est intérieur.

Plus on entre profondément en soi, plus on est arrivée à maturité. 
Lorsqu’on a atteint le centre même de son être, on est parfaitement arrivé à maturité. Mais à ce moment-là, la personne disparaît, seule la présence demeure ; le moi disparaît, seul le silence demeure ; le savoir disparaît, seule l’innocence demeure.

Pour moi, la maturité est un autre nom pour la réalisation
Vous êtes arrivé à l’accomplissement de votre potentiel. Il s’est actualisé. La graine a fait un long voyage et s’est épanouie.

La maturité a un parfum. 
Elle donne une immense beauté à l’individu. 
Elle donne de l’intelligence, l’intelligence la plus affinée qui soit. 
La personne arrivée à maturité ne devient rien d’autre qu’amour. 
Son action est amour, son inaction est amour, sa vie est amour, sa mort est amour. Elle est simplement une fleur de l’amour.

 zen attitude

L’Occident a des définitions de la maturité qui sont tout à fait infantiles. En Occident, par maturité on entend que vous n’êtes plus innocent, que vous avez mûri à travers les expériences de la vie, qu’on ne peut plus vous tromper facilement, qu’on ne peut plus vous exploiter ; que vous avez en vous quelque chose comme un roc solide – une protection, une sécurité. Cette définition est très ordinaire, très terre-à-terre. Oui, dans le monde vous trouverez ce type de personnes arrivées à maturité.

Mais ma façon de voir la maturité est totalement différente, diamétralement opposée à cette définition. 
La maturité ne fera pas de vous un roc ; elle vous rendra si vulnérable, si doux, si simple.

osho

par Osho

Pour en savoir plus sur Osho >

Publié dans:ESPRITS, LOI NATURELLE, LUMIERE, MEDIUM |on 20 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Emploi de l’autosuggestion

 

Nous pouvons tous dompter et conduire notre imagination, comme on dompte un torrent ou un cheval sauvage. Il suffit pour cela, d’abord de savoir que cela est possible (ce que presque tout le monde ignore), et ensuite d’en connaître le moyen.

Eh bien! ce moyen est fort simple; c’est celui que, sans le vouloir, sans le savoir, d’une façon absolument inconsciente de notre part, nous employons chaque jour depuis que nous sommes au monde, mais que, malheureusement pour nous, nous employons souvent mal et pour notre plus grand dam. Ce moyen c’est l’autosuggestion.

Autosuggestion

Tandis que, habituellement, on s’autosuggère inconsciemment, il suffit de s’autosuggérer consciemment et le procédé consiste en ceci : d’abord, bien peser avec sa raison les choses qui doivent faire l’objet de l’autosuggestion et, selon que celle-ci répond oui ou non, se répéter plusieurs fois, sans penser à autre chose : « Ceci vient ou ceci se passe; ceci sera ou ne sera pas, etc. », et si l’inconscient accepte cette suggestion, s’il s’autosuggère, on voit la ou les choses se réaliser de point en point. Ainsi entendue, l’autosuggestion n’est autre chose que l’hypnotisme tel que je le comprends et que je définis par ces simples mots : Influence de l’imagination sur l’être moral et l’être physique de l’homme. Or, cette action est indéniable et, sans revenir aux exemples précédents, j’en citerai quelques autres.

Si vous vous persuadez à vous-même que vous pouvez faire une chose quelconque, pourvu qu’elle soit possible, vous la ferez, si difficile qu’elle puisse être. Si, au contraire, vous vous imaginez ne pas pouvoir faire la chose la plus simple du monde, il vous est impossible de la faire et les taupinières deviennent pour vous des montagnes infranchissables. Tel est le cas des neurasthéniques qui, se croyant incapable du moindre effort, se trouvent souvent dans l’impossibilité de faire seulement quelques pas sans ressentir une extrême fatigue. Et ces mêmes neurasthéniques, quand ils font des efforts pour sortir de leur tristesse, s’y enfoncent de plus en plus, semblables au malheureux qui s’enlise et qui s’enfonce d’autant plus vite qu’il fait plus d’efforts pour se sauver.

De même il suffit de penser qu’une douleur s’en va pour sentir en effet cette douleur disparaître peu à peu, et, inversement, il suffit de penser que l’on souffre pour que l’on sente immédiatement venir la souffrance. Je connais certaines personnes qui prédisent à l’avance qu’elles auront la migraine tel jour, dans telles circonstances, et, en effet, au jour dit, dans les circonstances données elles la ressentent. Elles se sont elles-mêmes donné leur mal, de même que d’autres se guérissent le leur par autosuggestion consciente.

Je sais que, généralement, on passe pour fou aux yeux du monde, quand on ose émettre des idées qu’il n’est pas habitué à entendre. Eh bien ! au risque de passer pour fou, je dirai que, si nombre de personnes sont malades moralement et physiquement, c’est qu’elles s’imaginent être malades, soit au moral, soit au physique; si certaines personnes sont paralytiques, sans qu’il y ait aucune lésion chez elles, c’est qu’elles s’imaginent être paralysées, et c’est parmi ces personnes que se produisent les guérisons les plus extraordinaires. Si certains sont heureux ou malheureux, c’est qu’ils s’imaginent être heureux ou malheureux, car deux personnes, placées exactement dans les mêmes conditions, peuvent se trouver, l’une parfaitement heureuse, l’autre absolument malheureuse.

La neurasthénie, le bégaiement, les phobies, la kleptomanie, certaines paralysies, etc., ne sont autre chose que le résultat de l’action de l’inconscient sur l’être physique ou moral. Mais si notre inconscient est la source de beaucoup de nos maux, il peut aussi amener la guérison de nos affections morales et physiques. Il peut, non seulement réparer le mal qu’il a fait, mais encore guérir des maladies réelles, si grande est son action sur notre organisme.

Isolez-vous dans une chambre, asseyez-vous dans un fauteuil, fermez les yeux pour éviter toute distraction, et pensez uniquement pendant quelques instants : « Telle chose est en train de disparaître », « telle chose est en train de venir ». Si vous vous êtes fait réellement de l’autosuggestion, c’est-à-dire si votre inconscient a fait sienne l’idée que vous lui avez offerte, vous êtes tout étonné de voir se produire la chose que vous avez pensée. (Il est à noter que le propre des idées autosuggérées est d’exister en nous à notre insu et que nous ne pouvons savoir qu’elles y existent que par les effets qu’elles produisent.) Mais surtout, et cette recommandation est essentielle, que la volonté n’intervienne pas dans la pratique de l’autosuggestion; car, si elle n’est pas d’accord avec l’imagination, si l’on pense : « Je veux que telle ou telle chose se produise », et que l’imagination dise : « Tu le veux, mais cela ne sera pas », non seulement on n’obtient pas ce que l’on veut, mais encore on obtient exactement le contraire. Cette observation est capitale, et elle explique pourquoi les résultats sont si peu satisfaisants quand, dans le traitement des affections morales, on s’efforce de faire la rééducation de la volonté. C’est à l’éducation de l’imagination qu’il faut s’attacher, et c’est grâce à cette nuance que ma méthode a souvent réussi là où d’autres, et non des moindres, avaient échoué.

Des nombreuses expériences que je fais journellement depuis vingt ans et que j’ai observées avec un soin minutieux, j’ai pu tirer les conclusions qui suivent et que j’ai résumées sous forme de lois:

Quand la volonté et l’imagination sont en lutte, c’est toujours l’imagination qui l’emporte, sans aucune exception ;

Dans le conflit entre la volonté et l’imagination, la force de l’imagination est en raison directe du carré de la volonté ;

Quand la volonté et l’imagination sont d’accord, l’une ne s’ajoute pas à l’autre, mais l’une se multiplie par l’autre ;

L’imagination peut être conduite

D’après ce qui vient d’être dit, il semblerait que personne ne dût jamais être malade. Cela est vrai. Toute maladie, presque sans exception, peut céder à l’autosuggestion, si hardie et si invraisemblable que puisse paraître mon affirmation; je ne dis pas cède toujours, mais peut céder, ce qui est différent. 

Publié dans:ACCORD, DEVELOPPEMENT, ENERGIES, ESPRITS |on 18 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Le monde change quand la perception que j’ai de lui change

 

Vous dîtes que le monde change quand la perception que j’ai de lui change. Comment est-ce possible?

Celui qui a atteint sa pleine maturité, qui se connaît sciemment, ne se pliera pas nécessairement aux conventions sociales. Un tel être agira au bon moment, suivant ce que la situation indique, sans que personne ne soit lésé d’une quelconque façon. Si vos actes sont régis par vos désirs, vous n’avez aucune espèce de liberté. Par contre, si vous faites ce que réclame la situation, vous faites ce qui est juste, et vous et votre entourage êtes libres.

perception

Un sage n’a pas la moindre pensée d’être une personne quand il agit, sent ou pense. L’ego est totalement absent. L’ego n’est rien de plus qu’une pensée et deux pensées ne peuvent cohabiter simultanément. Aussi l’identification à l’ego ne peut avoir lieu qu’une fois disparue la pensée rattachée à l’objet. C’est alors seulement que l’ego déclare sienne cette pensée. Ce sens de la propriété : «j’ai vu ceci », «j’ai fait cela », intervient après le fait et n’a rien à voir avec le fait. Une fois que ce mécanisme est clairement perçu, vous comprenez que l’identification que vous aviez précédemment prise pour une réalité n’est qu’une illusion. Vous n’êtes pas le propriétaire de la situation pas plus que vous n’en êtes l’esclave. Votre vraie nature est au delà. Le silence de la conscience n’est pas un état, c’est le continuum où tout état, toute chose apparaît et disparaît. Les mots que nous utilisons dans l’état de veille pour parler de ce non-état sont une expression de cette conscience. Quand nous vivons dans la conscience, tout est expression de cette conscience.

Le monde que vous percevez n’est rien d’autre que le roman de votre imagination, basé sur la mémoire, la peur, l’angoisse et le désir. Vous vous êtes retranché dans ce monde. Voyez cela sans vous jeter sur des conclusions et vous serez libre. Vous n’avez nul besoin de vous affranchir d’un monde qui n’existe que dans votre imagination.

Ce que vous prenez pour une réalité est simplement un concept surgi de votre mémoire. La mémoire surgit de l’esprit, l’esprit du témoin, le témoin de votre vraie nature. Vous êtes le témoin, le spectateur placé sur la rive et regardant le fleuve couler. Vous ne bougez pas, vous êtes au delà du changement, au delà du temps et de l’espace. Vous ne pouvez percevoir ce qui est permanent parce que vous l’êtes.

N’alimentez pas les concepts dont vous avez fait vos fortifications ou l’image que les gens ont de vous. Ne soyez ni personne ni rien, contentez-vous de rester à l’écart de ce que la société vous demande. Ne jouez pas son jeu. Cela vous établira dans votre autonomie. 

L’exemple, si souvent utilisé dans le Vedanta, du serpent et de la corde, d’un côté se réfère au monde et, de l’autre, à la réalité ultime. Le serpent représente le monde des objets où nous rencontrons les personnalités, les pensées, et l’affectivité. La corde symbolise la réalité ultime, le silence de la conscience. Une fois que nous cessons de prendre la corde pour le serpent, l’idée du serpent disparaît et nous voyons la corde pour ce qu’elle est réellement. Il est parfaitement naturel que l’erreur perde sa substance et se dissipe quand la vérité devient évidente. Étant donné qu’une pensée fait partie intégrante de l’illusion, il lui est impossible de nous révéler la réalité ultime. Le « fait-d’être », la toute présence, qui est la source de toute expérience, est au delà de la dualité expérimentateur/expérimenté. Quand l’accent se trouve sur la conscience et non sur la pensée ou sur la perception, nous entrons progressivement dans une détente profonde, à la fois sur le plan neuro-musculaire et sur le plan mental.

Si nous observons avec détachement l’apparition et la disparition de tous les états que nous expérimentons, nous parvenons bientôt à appréhender que chaque état, chaque perception, chaque pensée sont réabsorbés dans une connaissance informulée, une connaissance qui est l’être. Ce continuum, seule réalité, est là avant que ne commence l’activité. Immergez-vous dans cette tranquillité chaque fois qu’elle se fait sentir.

Vous ne pouvez vous attendre à ce que la réalité surgisse, car elle est toujours là. Les événements apparaissent et disparaissent. N’oubliez jamais le caractère fugitif de toute expérience, c’est tout ce que vous avez à faire et la porte de la grâce s’ouvrira devant vous. Dès que des opinions et des réactions telle que «j’aime, je n’aime pas», interfèrent, vous retombez dans une habitude subjective et vous tissez autour de vous un filet, vous perdez de vue votre vraie nature. Les sentiments de sympathie et d’antipathie vous font tourner le dos à votre vraie nature. Vos concepts de changement, de progrès, en mieux ou en pire, sont fragmentaires et subjectifs. Quand vous regarderez le monde depuis votre totalité, le monde changera en vous. Vous êtes le monde.

 Jean Klein

Ecrit Par Jean Klein

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Publié dans:CO-CREATION, GUERISON, HUMANITE, PENSEE |on 18 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

La sagesse commence dans l’émerveillement

 

 

A propos du Centre Nature Divine. Fondé en décembre 2015 à La Pesse dans le Haut-Jura par Elsa Delacroix, le centre de ressourcement Nature Divine offre un espace de calme et de dépaysement enchanteur qui permet aux personnes seules ou en groupe de faire une pause dans leur quotidien pour aller à la rencontre d’eux même, progresser dans leur démarche de développement personnel ou spirituel à travers un contact profond avec la puissance et la poésie de la Nature.

sagesse francesca

Se reposer, se ressourcer et renouer avec soi-même dans la magie de l’hiver : découvrez les séjours thématiques bien-être et ressourcement hiver 2017, « Lumières d’Hiver » du Centre Nature Divine au cœur du cadre préservé du Parc Naturel Régional du Haut-Jura.

Le Centre Nature Divine situé à La Pesse (39) dans le Haut-Jura à 1200 m d’altitude, propose toutes l’année des séjours bien-être et ressourcement dans un cadre enchanteur, au cœur de la nature bienfaisante. Elsa Delacroix, Astrologue Humaniste et guide intuitif, fondatrice du centre vous accueille, seul, en couple ou en groupe et vous propose de séjourner en yourte ou en gîte rural, situés en pleine nature.

Le programme de séjours « Lumière d’Hiver » au Centre Nature Divine de janvier à mars 2017 :  Séjours développement personnel et spirituel « Lumières d’Hiver ». Cet hiver 2017, le Centre Nature Divine vous propose, en complément des séjours « Respiration » et « Intuition » disponibles tout au long de l’année, un programme de séjours à thème habillés aux couleurs de cette saison et baptisé « Lumières d’hiver ». Les séjours «Lumières d’hiver » vous invitent dans la blancheur et le silence de l’hiver, moment propice de repli sur soi, à faire naître une nouvelle clarté dans votre vie qui vous guidera vers le mieux-être. Ces séjours se déroulent hors vacances scolaires, sur 5 jours (4 nuitées), du lundi au vendredi. Le programme du stage comprend un atelier de marche sensorielle en raquette, un atelier d’initiation à l’astrologie « Découvrez votre ciel intérieur » et deux demi-journées supplémentaires de temps d’introspection sur un thème en résonance avec les énergies planétaires du moment. Le thème astral individuel sert de support au travail réalisé par chacun pendant ces ateliers collectifs, néanmoins aucune connaissance de l’astrologie n’est nécessaire pour en tirer les bénéfices. Le reste du temps est libre pour permettre à chacun de profiter des bienfaits de la nature – source de vitalité, d’inspiration … et de sagesse.

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quand le Soleil traverse le signe du Capricorne…

Nous découvrirons les domaines de notre vie teintés par l’énergie du Capricorne et comment y développer tout notre potentiel. Nous ferons un point sur les effets du transit de Saturne dans nos vies et ses enjeux de développement personnel. Nous aborderons les sujets liés au peurs et blocages, à la culpabilité, la responsabilité et au chemin vers l’authenticité de l’être. 

Dates de stage :
Du lundi 9 janvier au vendredi 13 janvier 2017 Du lundi 16 au vendredi 20 janvier 2017

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quand le Soleil traverse le signe du Verseau...

Nous découvrirons les domaines de notre vie teintés par l’énergie du Verseau et l’importance qu’elle y joue. Nous nous pencherons sur la planète Uranus dans le thème natal mais également en transit pour éclairer ses effets, notamment ce qu’elle peut nous ouvrir comme opportunité en matière de changement, de libération et déconditionnement. Nous découvrirons l’endroit de notre génie personnel – de notre unicité – et de quelle façon nous pouvons participer à des œuvres collectives et sociales qui contribuent à l’éveil des consciences.

Date de stage :
Du lundi 23 janvier au vendredi 27 janvier 2017 Du lundi 30 janvier au vendredi 3 février 2017

quand le Soleil traverse le signe des Poissons…

Nous découvrirons les domaines de notre vie teintés par l’énergie du signe des Poissons et comment y développer tout notre potentiel. Nous nous pencherons sur la planète Neptune et de quelle façon nous manifestons cette énergie dans notre vie. Cette période sera particulièrement consacrée au silence et à la méditation et à l’écoute de son intuition.

Date de stage :
Du lundi 13 mars au vendredi 17 mars 2017

Pour le détail du contenu et déroulement des stages « Lumière d’Hiver », visitez cette page de notre site ou contactez Elsa Delacroix au 03 84 42 72 60.

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Le Centre Nature Divine : « Au cœur de la nature pour retrouver votre nature ».

Simplicité et Authenticité
Située sur la Combe du Cernétrou qui surplombe le village de La Pesse à 1205m d’altitude, Le Centre de Ressourcement Nature Divine est constitué d’une ancienne ferme typique jurassienne rénovée en plusieurs gîtes. Une yourte est également installée sur le domaine et vous accueille dans un cadre insolite. Le Centre bénéficie d’une situation exceptionnelle en pleine nature et vous pouvez partir directement depuis votre gîte, raquettes ou ski aux pieds. Pendant votre séjour, profitez également de notre espace spa, dans le décor insolite et charmant d’un chalet en bois-rond, qui vous offrira les bienfaits du jacuzzi et du sauna après une bonne journée de randonnée raquette ou ski de fond. Détox, détente et relaxation au programme.

Vous trouverez dans nos 3 gîtes ruraux la chaleur d’un décor montagne, simple et authentique, fait de bois et pierre. Vous organisez librement vos repas dans les cuisines toutes équipées ou pouvez également vous restaurer au village de la Pesse à 1,3 km du Centre. Le centre met également à votre disposition des espaces collectifs pour ceux qui souhaitent de la compagnie à midi.

L’hiver l’accès au Centre Nature Divine se fait uniquement à pied, ski ou raquette ce qui vous invite à vous mettre en « marche » vers vous-même, tel un rituel initiatique. Un nouveau voyage peut alors commencer où …la sagesse commence dans l’émerveillement.

A propos d’Elsa Delacroix, votre accompagnatrice et guide. Après avoir réalisé un premier parcours professionnel dans la conduite du changement et la transformation des organisations, Elsa a souhaité mettre ses compétences au service des individus et s’est tournée vers des outils symboliques de connaissance de soi et de guidance qui trouvaient en elle un profond écho à travers leur lien à la Nature et au Cosmos, notamment l’Astrologie Humaniste.

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Astrologue professionnelle, enseignante, poète et guide intuitif, Elsa fonde son approche de la relation d’aide et de l’accompagnement au mieux-être sur une vision holistique du bien-être et de la santé. A travers les activités proposées par le Centre « Nature Divine », Elsa vous propose de voyager en Poésie « au cœur de la nature pour retrouver votre nature ».

Contactez
Pour découvrir le Centre de Ressourcement « Nature Divine », en savoir plus sur le calendrier des ateliers événementiels et les modalités d’inscription, contactez au 03 84 42 72 60 ou rendez-vous sur le site www.nature-divine.fr. Retrouvez également nos instantanés « Magie du Moment » sur notre page Facebook www.facebook.com/naturedivine
Adresse du Centre Nature Divine: Lieu-dit Le Cernétrou, 39370 La Pesse

Vivre sa mort en pleine conscience

 

Effectuer notre passage vers l’inconnu, sans peurs, sans regrets, dans une infinie confiance. Redécouvrir ainsi, l’inestimable cadeau d’être en vie. L’horloge cosmique nous donne alors la mesure précieuse d’un temps qui s’écoule dans l’instant.

La très belle leçon de vie de Christine Gatineau qui nous a quitté le 29 août 2016.

Lui rendre hommage et permettre à tous de réaliser combien ces moments de fin de vie peuvent être vécus différemment. 
La cérémonie d’adieu à la belle Christine aura donc été une très belle célébration de l’amour et de l’amitié, deux de ses valeurs fondamentales.

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Vivre jusque dans sa mort le désir d’expérimenter un espace de pleine conscience. Et partager dans un magistral au revoir à ses amis ce cadeau inestimable.

« It’s raining love Alleluia…» 

Combien l’amour était partout dans tes ultimes instants de vie, pour transformer ainsi les paroles de cette chanson. C’est bien une pluie d’amour qui ruisselait sur nous tous, qui souhaitions être encore en ta présence : tu es là vivante, vibrante. Preuve tangible de ton amour, de ta vie plus forte que l’absence. 

Pour chacun, accueillir le récit de ton départ, de tes moments de courage et de force devant la mort qui vient. Delphine, ton amour et ta compagne raconte. Le récit de tes dernières semaines reste une inspiration, mieux, une invitation : ainsi, elle dit ton incroyable sérénité lorsque la douleur se fait moindre, ta totale confiance comme un profond abandon à ce qui vient.

« Ils m’ont donnés mes ailes » Ces dernières paroles, avant ton ultime souffle, serein et apaisé.

Toute peur disparait, demeure l’instant qui se vit parfois en purs moments de grâce. Alors, pour toi, ces vagues venues de l’invisible que tu perçois, comme un ciel qui se déchire pour offrir ses visions de splendeur.

Même ici avec nous, tu sembles communiquer d’un autre lieu, cet état nouveau, sans corps, sans douleur, juste pure présence, ton parfum d’éternité.

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Aux quatre coins du monde, partout où tu semais ces graines fécondes, fleurira la naissance d’un nouveau féminin sacré… Nous porterons encore et loin la flamme de ta vie. Pour toi, pour nous.

Nous sommes dans le crématorium du Père Lachaise : une foule d’amis émus, venus te dire combien ils t’aiment. Entre rires et larmes. Entre présence et absence. Ce lieu devient sacré, tout est comme suspendu : même la lumière des vitraux nous honore d’une clarté particulière. Sous la voûte étoilée de la coupole, cette énergie qui te ressemble, lumineuse, palpable. Jamais je n’avais senti autour d’une cérémonie une telle lumière, une telle grâce. Oui nous pouvons célébrer la mort aussi, d’ailleurs ici, il ne semble y avoir que de la vie. Tes amis dansent. Le souffle puissant de leur danse cosmique fera vibrer et pour longtemps encore, le lieu de nos derniers « aux revoirs ».

Amour et tristesse mêlés.

Perte ? 
Je voudrais plutôt me réjouir de t’avoir connue.

Et pour nous qui restons présents , plus que jamais : réaliser combien la vie est précieuse et fragile. Ephémère bulle de savon. Merci Christine. Cette peur tenace de la mort nous lâche. Et reste la vie, sensation intense que tu es encore avec nous. Alors, vivons plus que jamais, chacun pour sa vérité, et ceci jusqu’au dernier souffle.

Gratitude.

Les étoiles se réjouissent de ta divine présence …Comment pourrions nous encore nous lamenter :
Il est un ciel plus beau à contempler.

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Patricia Menetrey : Voir sa page web

 

 

Publié dans:La MORT, LUMIERE, MAITRISE |on 15 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

Fantômes et revenants : histoire d’une mystification

 
 
Du temps de la jeunesse de Louis XV, et chaque année vers la Toussaint, se manifestait à Hardivillers, terre de Picardie aux environs de Breteuil (Oise), un esprit que l’on disait être à l’origine d’un bruit effroyable, de hurlements épouvantables, le tout agrémenté de flammes qui faisaient paraître le château en feu. De nombreux témoins affirmaient avoir observé, vaquant à leurs occupations, d’anciens occupants des lieux, tant et si bien que le maître du château résolut de lever le voile sur un mystère préjudiciable aux bénéfices qu’il pouvait tirer de l’affermage.

Personne n’osait demeurer en cet endroit, hormis les fermiers, avec qui cet esprit était apprivoisé. Si quelque malheureux passant y couchait une nuit, il était si bien étrillé qu’il en portait les marques pendant plus de six mois. Les paysans des alentours voyaient mille fantômes qui ajoutaient à l’effroi.

Tantôt quelqu’un avait aperçu en l’air une douzaine d’esprits au-dessus du château ; ils étaient tous de feu et dansaient un branle à la paysanne ; une autre fois on avait trouvé dans une prairie des présidents et des conseillers en robes rouges, assis et jugeant à mort un gentilhomme du pays qui avait eu la tête tranchée il y avait bien cent ans. Un autre avait rencontré la nuit un gentilhomme, parent du maître du château, qui se promenait avec la femme d’un autre gentilhomme des environs ; on nommait la dame ; on ajoutait même qu’elle s’était laissé cajoler, et qu’ensuite elle et son galant avaient disparu.

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Château d’Hardivillers (après sa reconstruction peu avant la Révolution)

Crédit illustration : Le Bonhomme Picard en vidéo

http://www.dailymotion.com/video/xza7nk

 

Ainsi plusieurs personnes avaient vu, ou tout au moins ouï dire des merveilles du château d’Hardivillers. Cette farce dura plus de quatre ou cinq ans, et fit grand tort au maître du château qui était contraint d’affermer sa terre à très vil prix. Aussi résolut-il enfin de faire cesser la lutinerie, persuadé par beaucoup de circonstances qu’il y avait de l’artifice de quelqu’un en tout cela, et se rendit-il sur place vers la Toussaint. Il coucha dans son château, et fit demeurer dans sa chambre deux gentilshommes de ses amis, bien résolus, au premier bruit ou à la première apparition, de tirer dessus avec de bons pistolets.

Les esprits fuirent apparemment ces préparatifs, puisque pas un d’eux ne parut : ils se contentèrent de remuer des chaînes dans une chambre au-dessus de celle du propriétaire des lieux, au bruit desquelles sa femme et ses enfants accoururent, se jetant à genoux pour l’empêcher de monter dans cette pièce. « Ha ! monseigneur, lui criaient-ils, qu’est-ce que la force humaine contre des gens de l’autre monde ? Monsieur de Fécaucourt, avant vous, a voulu tenter la même entreprise, il en est revenu avec un bras tout disloqué ; Monsieur de Warselles pensait aussi faire le brave, il s’est trouvé accablé sous des bottes de foin, et le lendemain il en fut bien malade. »

Enfin ils alléguèrent tant de pareils exemples au président, que ses amis ne voulurent pas qu’il s’exposât à ce que l’esprit pourrait faire pour sa défense, ils en prirent seuls la commission : ils montèrent tous deux à cette grande et vaste chambre où se faisait le bruit, le pistolet dans une main et la chandelle dans l’autre ; ils ne voyaient d’abord qu’une épaisse fumée que quelques flammes redoublaient en s’élevant par intervalles. Ils attendirent un moment, et lorsque la fumée s’éclaircit, l’esprit parut confusément au milieu. C’est un grand diable tout noir qui faisait des gambades, et qu’un autre mélange de flammes et de fumée déroba encore à leur vue. II avait des cornes, une longue queue ; son aspect épouvantable diminua un peu l’audace de l’un des deux champions : « Il y a là quelque chose de surnaturel, dit-il à son compagnon ; retirons-nous. — Non, non, répondit l’autre ; ce n’est que de la fumée de poudre à canon, et l’esprit ne fait son métier qu’à demi de n’avoir pas encore soufflé nos chandelles. »

II avança à ces mots, poursuivit le spectre, le fixa pour lui lâcher un coup de pistolet, ne le manqua pas ; mais il fut tout étonné qu’au lieu de tomber, ce fantôme se retourna et se mit devant lui. C’est alors qu’il commença lui-même à avoir un peu de frayeur, mais se rassura toutefois, persuadé que ce ne pouvait être un esprit. Et, voyant que le spectre ne l’osait atteindre et évitait de se laisser saisir, il résolut de l’attraper pour voir s’il était palpable ou s’il fondrait entre ses mains.

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Ruines du château d’Hardivillers au début du XXe siècle

 

L’esprit étant trop pressé, sortit de la chambre et descendit par un petit escalier qui était dans une tour ; le gentilhomme descendit après lui, ne le perdant point de vue, traversa cours et jardins, et fit autant de tours qu’en fit le spectre, tant qu’enfin ce fantôme étant parvenu à une grange qu’il trouva ouverte, se jeta dedans, et s’y voyant enfermé, aima mieux disparaître que de se laisser prendre, fondant contre le mur même où le gentilhomme pensait l’arrêter.

L’ayant vu ainsi disparaître, il appela du monde et se fit apporter de quoi enfoncer la porte de l’endroit où le spectre s’était évanoui ; il découvrit que c’était une trappe qu’on fermait au verrou après qu’on y était passé. II y descendit, trouva le fantôme sur de bons matelas qui l’empêchaient de se blesser quand il s’y jetait la tête la première. Il l’en fit sortir, et on reconnut sous son masque du diable le fermier du château. Ce qui rendait l’esprit à l’épreuve du pistolet était une peau de buffle ajustée à son corps. Le fourbe avoua toutes ses souplesses, et en fut quitte pour payer à son maître les arrérages de cinq années, sur le pied de ce que la terre était affermée avant les apparitions.

 D’après « Dictionnaire infernal, ou Bibliothèque universelle
sur les êtres, les personnages, les livres, les faits et les choses
qui tiennent aux apparitions, etc. » (Tome 1), édition de 1825 

                                                                                                                                                                     

Les ondes négatives qui nous contrôlent – comment intervenir

 

Durant les derniers siècles, un pourcentage important d’humains ont refermé leur système de réceptivité  pour ne reconnaître que ce que la science pouvait leur démontrer. Vous le croirez difficilement, mais certains humains réfutent l’idée que d’autres formes de vie existent, alors qu’elles se présentent sans cesse dans la matrice terrestre et même dans l’atmosphère terrestre.

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Les visites de nos Frères de Lumières se font plus fréquentes, leurs actions plus concrètes. En outre, elles créent des structures énergétiques ou des formes d’antennes qui émettent des ondes favorisant l’équilibre durant la transition, durant la grande transmutation terrestre et humaine. Vous allez, s’il vous sied, chères Ames, cesser d’envisager vos Frères des Etoiles comme des envahisseurs. Leurs ondes s’harmonisent avec les ondes naturelles des humains, car ils savent le faire. Ils savent émettre des ondes qui non seulement ne dérèglent pas la vie sur Terre, amis contribuent à son équilibre et à son harmonie. Leurs structures permettent la communication, l’observation, une compréhension plus fine des humains, mais aussi et surtout l’équilibre et l’harmonie dans la grande transformation que vit la Terre à l’heure actuelle. En d’autres termes, les ondes qu’ils émettent favorisent la transformation. Ce sont des ondes bénéfiques.

Les forces au pouvoir dans l’humanité – les forces extérieures, matérielles, armées – connaissent bien la présence de ces êtres des mondes subtils. Ces forces ont aussi créé des structures que nous avons appelées « des boucliers », dont le but semble entre autres, de protéger l’humain. Toutefois, le véritable but est de déstructurer l’organisation énergétique des grandes structures énergétiques des êtres comme ces Frères de l’au-delà. Ces boucliers émettent donc des ondes qui, elles, sont néfastes pour la vie sur Terre. Certaines formes de vie très sensibles, parmi les plantes et les animaux ont de la difficulté à survivre, à procréer, à cause de ces ondes. C’est le cas de certaines abeilles, certaines fleurs, certaines céréales. Et les humains en sont également très affectés.

Autrement dit, ces boucliers émettent des ondes qui ont pour but de créer un écran et de dérégler les structures énergétiques mises en place, même si les scientifiques impliqués n’arrivent pas à déterminer la localisation et la fonction première de ces structures. Ces émissions font aussi en sorte que la vie sur Terre soit plus difficile. Ces ondes agissent notamment sur certaines glandes chez l’humain, telle la glande thyroïde, la déréglant, provoquant des déséquilibres, des états de fatigue. Par ailleurs, au-delà de ces boucliers certains humains ayant de pouvoirs que d’autres leur ont confiés transmettent dans l’atmosphère des ondes que nous qualifierons d’abrutissantes. Ce sont des ondes qui provoquent de la fatigue et influencent les hommes à devenir encore plus amorphes.

Cela a fort bien influencé les humains jusqu’à maintenant. Toutefois, une révolution vibratoire est en cours puisque, dans la grande transformation actuelle, l’être humain voit ses glandes ainsi que sa réceptivité et sa faculté d’émission se transformer. Cela signifie que, malgré leurs grands cris, les individus qui résistent sont plus amorphes. Voilà qui vous semble peut-être une opposition, mais observez bien et vous constaterez que les humains qui hurlent, qui contestent et critiquent le plus sont les êtres les plus abrutis au-delà de leurs cris et de leurs plaintes. Ceux qui choisissent vraiment une voie de transformation de ce monde sont moins affectés par les sondes abrutissantes émises pour mieux contrôler les humains.

Il y a quelques décennies, il s’agissait non pas d’ondes abrutissantes, mais de substances intégrées dans certaines potions injectées à tous les humains. Nous parlons ici des « vaccins ». Aujourd’hui, les vaccins semblent moins imposés. Du moins, ils le seront moins. Pourquoi ? Parce que tout test émis par la voie des ondes. Sur Terre, les tentatives de contrôler les humains suivront un chemin très particulier associé aux ondes. Bientôt, on proposera ou imposera à tous d’avoir un petit émetteur-récepteur. De la sorte, tout ce que vous ferez pourra être capté, perçu, enregistré. Ce n’est pas là de la science-fiction, chères Ames. Cela vous sera présenté très bientôt. D’une part, cela permettra un contrôle, mais d’autre part les ondes émises agiront sur vos glandes. Parmi ces glandes, il y a celles qui régissent vos capacités de conceptualisation, soit de penser ou de réfléchir.

Par ailleurs, d’autres appareils émettent aussi des ondes. Toute cette gamme d’instruments électroniques, électriques, d’émetteurs-récepteurs sans fils – radios, téléphones, instruments de télécommunication – possède des antennes de différentes portées. En somme, il y a ces appareils ainsi que les antennes relais qui permettent à ces appareils de communiquer. Ces antennes sont pour l’instant physique s, matérielles. Toutefois, les hommes en ont maintenant créé sous une forme vibratoire. Autrement dit, vous connaissez surtout les antennes physiques, mais bientôt vous découvrirez aussi l’existence d’antennes vibratoires.

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Cela est important, et nous vous le transmettons, car tant et aussi longtemps que les antennes sont visibles, bien que les émetteurs visibles ne rendent pas visible et audible ce qu’ils émettent, vous pouvez tout de même être attentifs, vigilants quant à leur utilisation ou à leur proximité par rapport à vous. Lorsque des émetteurs ou des récepteurs vous entourent, cela des effets sur vous. Toutefois, vous pouvez placer ces appareils plus loin de vous, ou faire en sorte de ne pas vous trouver à proximité d’eux. Puis, vous pourrez aussi, peu à peu, par votre sensitivité, apprendre à distinguer les couloirs par où le sondes circulent entre les appareils et les antennes. Et quand vous voyez les grandes antennes, vous pouvez imaginer leurs réseaux, mais bientôt les antennes ne seront plus visibles. De plus en plus, la Terre sera saturée d’ondes. Ce type d’ondes est néfaste pour le corps physique et le corps de lumière des humains. Jusqu’à quel point ? Voilà ce que nous allons maintenant observer.

De par sa nature, chaque humain est une antenne. Chaque humain reçoit et émet. Si notre monde est saturé d’ondes, ça signifie que nous en recevons abondamment et que nos émissions sont liées à nos intentions. Les ondes extérieures nous touchent tous. Impossible pour nous de ne plus être exposés aux ondes sur notre planète. Vous pouvez bien courir vers les pôles, pénétrer profondément dans la Terre, plonger sus les mers, vous élever dans le ciel, le sondes seront toujours présentes partout où vous irez. Alors, cessez de courir. Certains d’entre vous sont plus sensibles. La sensibilité aux ondes est reliée à plusieurs éléments.

Le premier élément est la fréquence vibratoire de l’être humain. Plus cette fréquence sera élevée, moins l’individu sera affecté par le sondes, et plus sera grande sa faculté de les repousser ou de les équilibrer avant qu’elles ne le pénètrent, tout comme sa faculté de s’harmoniser avec elles. Ainsi, plus la fréquence vibratoire est élevée, plus l’individu semble insensible aux ondes parce qu’il n’a pas à s’équilibrer à partir d’une réflexion ou d’une analyse. L’équilibre se réalise en raison de son rythme et de sa fréquence élevés. Le taux vibratoire s’élève, la fréquence se transforme. L’individu n’a pas à se préoccuper du fait qu’il est dans un environnement envahi par des ondes.

Le deuxième élément est son champ électromagnétique. Plus un champ magnétique est intense, plus un humain est harmonisé dans sa propre vie, et plus sa vie est simple. Dès lors, il est moins affecté par les ondes environnantes.

Puis il y a toute la structure de ses corps subtils. Même si cette structure est similaire d’un individu à l’autre, elle n’est toutefois pas identique. Tout comme, dans votre corps physique, votre système nerveux est similaire à celui des autres, sans être totalement pareil. Chaque terminaison nerveuse est codifiée de façon unique en relation avec l’antenne centrale dans le noyau de la cellule. Ainsi, certaines structures neurologiques sont plus sensibles que d’autres. Cette structure du système nerveux, ces fibres nerveuses qui sont différentes d’un individu à l’autre, font en sorte que l’un est plus sensitif et que l’autre est plus sensible à la douleur, aux courants d’énergie, aux courants sonores. C’est également associé à la nervosité de chacun, à sa capacité de capter l’énergie. Les peaux sont différentes, les tissus de la peau ne sont pas identiques d’une personne à l’autre. Et , selon la constitution du tissu de la peau, certains sont plus sensibles que d’autres. Le sang ainsi que le système immunitaire sont différents. Par conséquent, chacune a une sensibilité qui lui est propre. Certains sont très sensibles aux ondes, et très affectés par celles-ci, mais ils ne le ressentent pas. D’autres, au contraire, sont très affectés et le ressentent, alors que d’autres encore sont beaucoup moins affectés directement. Il est donc important que vous puissiez communiquer sans vous comparer ni adopter de règles, de norme sou de mesures d’intensité en fonction d’une moyenne, car une moyenne est obtenue par un rassemblement d’individus et il y a une différence entre chaque individu. Dans la moyenne, personne ne s’y retrouve.

CROYANCES

Quels sont les symptômes

Dans un premier temps, les réactions semblent allergiques, et souvent cutanées. La personne ressent des picotements, des rougeurs, une sécheresse de la peau, une sensibilité, peut-être même un peu d’inflammation et des irritations. Puis, il pourrait y avoir de l’essoufflement. Des palpitations cardiaques dues à cet essoufflement pourraient s’ajouter. Sans compter un peu de fatigue. En effet, les systèmes pulmonaire et circulatoire étant fort sollicités par cette réactivité ou sur-sensibilité, de la fatigue s’installe. Il pourrait aussi y avoir un peu de sécheresse ou d’irritation oculaire, quelques petits malaises. Voilà à quoi se résume cette première phase.

Dans un deuxième temps, les symptômes déjà indiqués ne font que s’accroître. Ici, la respiration devient plus difficile, ce qui est néanmoins particulier, c’est que le rythme et l’intensité des ondes sont variable s, selon l’endroit où se trouve l’individu ou selon le flux pulsé des ondes et même la quantité d’information transportée par ces ondes. Cela signifie que la réaction n’est pas toujours au même point pendant cette période d’action allergique. Eventuellement, les poumons pourraient être affectés. Il pourrait aussi y avoir des palpitations, de l’arythmie, des fatigues plus chroniques, des dérèglements, de l’hypertension, de l’irritabilité, et une impression de grande nervosité, de tensions, d’oppressions, d’angoisses. On parle alors de « stress ».

Malheureusement, certains auront tendance à mettre ces symptômes sur le compte d’une responsabilité, d’une obligation, d’un travail, ou peut-être de leur partenaire très sollicitant et contrôlant. Se pourrait-il que ces ondes soient plus contrôlantes que votre partenaire et qu’elles affectent davantage votre vie par des dérèglements importants…. Votre vision diminue et, bien sûr, vous vous dites que c’est là un effet du vieillissement. Vous n’avez pas à convaincre qui que ce soit. Il y a dégénérescence. Toutefois, n’avez-vous pas observé que plus d’humains ont une vision affaiblie, même en très bas âge ? Ces dernières années, n’avez-vous pas vu votre vision diminuer à un rythme beaucoup plus rapide que la dégénérescence normale ? vous observerez aussi une augmentation des maux de tête, des migraines et de la fatigue.

Dans un troisième temps, de réelles souffrances apparaissent, vous éprouvez de véritables spasmes musculaires involontaires. De plus en plus d’individus sont curieusement affectés par la fibromyalgie. De plus en plus de gens souffrent de grandes tensions, d’une sensation de décharge électrique, de spasmes soudains au niveau des fibres nerveuses. Voilà donc que les symptômes s’intensifient et que les souffrances deviennent plus constantes. Peu de gens constatent vraiment qu’ils souffrent d’une sensibilité électromagnétique….

La ménopause semble devenir la maladie du siècle chez vous, humains, alors que ce changement hormonal est naturel. Des dérèglements hormonaux peuvent entraîner des difficultés d’assimilation, de création d’enzymes, ou une altération du processus enzymatique qui provoque une augmentation de graisses ou un excédent de poids. Votre poids se modifie rapidement, comme si le pèse-personne devenait fou d’une journée à l’autre. Bien sûr, plusieurs accueilleront ce sujet avec joie, pouvant ainsi justifier quelques abus qui, eux aussi, créent des turbulences au moment de la pesée. Il est important tout de même d’être observateur.

Les tensions sont si importantes ici que certains ont des difficultés de conceptualisation, de mémoire, d’élocution. Mais tout n’est pas continu. Un individu peut même perdre sa voix ou sa capacité de s’exprimer de façon juste. Il y a donc des dérèglements dans le système nerveux périphérique, mais aussi dans l’hypophyse. Il y a des pertes de mémoire, des tremblements, des dysfonctionnements importants.  A cette étape, la vie sur Terre devient beaucoup plus compliquée.  Comprenez bien si quelqu’un est très sensible ou même ultrasensible, alors peu à peu tous ces symptômes qui augmentent prennent l’allure d’une dégénérescence.

Dans un quatrième temps, il y a des dérèglements d’ordre mental très importants. Certains individu s vivent des dérèglements de type psychotique, ont des difficultés à gérer l’information qui arrive. Ils connaissent des épisodes psychotiques, de paranoïa, de bipolarité, de schizophrénie. Certains vivent même de très grandes dépressions. Rappelez-vous que la glande thyroïde est affectée et que dans un tel dérèglement il y a aussi une sensation de dépression. Il y a aussi l’affection des nerfs eux-mêmes, qui apparaîtra de plus en plus comme une nouvelle maladie du système nerveux central et périphérique. Une dégénérescence du système nerveux peut créer beaucoup de douleurs, de dysfonctionnements psychiques et physiques, jusqu’à entraîner l’incapacité de vivre.

Voilà qui est important. La particularité que vous avez pu observer est que tous ces symptômes peuvent aussi être attribués à d’autres dérèglements et à des déséquilibres dans les manières de vivre.

Alors, voilà ce qui convient de faire : c’est de réduire votre présence là où le sondes son plus intenses.

Sanctus Hermanus canalisé par Pierre Lessard

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

LA CONSCIENCE de Soi à travers l’Autre

 

Malgré nos frustrations quotidiennes, qui peuvent quelquefois être exacerbées lorsqu’elles touchent un point sensible, on ne peut rien insulter ni maltraiter car tout a une forme de conscience beaucoup plus proche de la nôtre que nous ne saurions l’imaginer.

Les consciences de toutes les espèces, indépendamment de leur forme, peuvent être comprises lorsque l’on accède aux plans plus subtils. Ces plans subtils sont en fait la réalité et non pas l’inverse… Ainsi, l’on ne peut faire de mal même à une mouche, littéralement, car la partie de nous dont nous sommes généralement inconscients percevrait la souffrance de cet être et n’en ressortirait pas indemne. Par conséquent, l’on ne peut injurier directement ou indirectement, ou manquer de respect envers aucun être, ni même faire agoniser un insecte par l’usage d’un insecticide. On ne peut tuer ni une plante ni une cochenille qui serait en train de tuer une plante pour se nourrir, car seule la nature souveraine a le droit et la capacité de rétablir l’équilibre de la nature; que ce soit par l’arrivée d’un autre prédateur ou par un redressement d’un des éléments fondamentaux liés à l’air, au feu, à l’eau ou à la terre, comme pour les mouvements de la croûte terrestre. Ainsi, selon la loi naturelle de l’équilibre, nous ne saurions même maudire le vent !

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Chaque être vivant, aussi différent soit-il, a une conscience avec laquelle nous pouvons communiquer énergétiquement sur les plans astral ou spirituel. Le langage de la compassion est universel et il est parlé par toutes les espèces. Chaque chose a un droit et une raison d’être, même si cette raison ne se conforme pas à la nôtre, car c’est une raison collective pour la totalité des formes de vie selon la réalité universelle. Si l’on prend conscience de la réalité énergétique de chaque chose, on peut, petit-à-petit, comprendre la raison pour laquelle les peuples indigènes voient le sacré en toute chose et ne tuent que pour se nourrir, sans chercher à en faire un commerce en tuant pour de l’argent. De plus, lorsqu’ils tuent un autre être, ils se recueillent devant son esprit pour faire la paix. L’énergie de l’émotion de la compassion imprègne ce qui en est le destinataire, même si ce n’est qu’une pierre.

Si l’on parvient à vraiment percevoir que nos consciences sont égales à toutes les formes de vie sur le plan subtil, on parviendra à changer lentement nos habitudes de vie et à ne plus manquer de respect aux représentants de notre espèce. Notre manque de respect, qui verse souvent dans la cruauté sans que l’on s’en aperçoive, est dû à notre soif de posséder, alors que les indigènes ne connaissent pas cette émotion car ils sont en mesure de comprendre que nous ne pouvons nous octroyer le droit de posséder individuellement ce qui existe librement et en harmonie avec tout ce qui existe. Tout existe en abondance pour tous les êtres et tout s’autorégule naturellement, tant que les êtres d’une espèce dominante comme la nôtre ne créent une réalité contraire par la force de leurs craintes ou par une croyance erronée de séparation entre eux-mêmes et ce qui fait partie de leur environnement.

Lorsque nous faisons souffrir une forme de vie, aussi petite soit-elle, nous lui prenons une partie de son âme qui fait désormais partie de nous, de sorte que l’âme morcelée de cet être ne peut devenir entière qu’en reconstituant ses parties manquantes en établissant un lien d’amour universel avec le dépositaire de chacune de ses parties lors des réincarnations suivantes. Ainsi, l’assassin et l’assassiné ne formeront qu’Un, chaque âme contenant une partie de l’autre, de sorte que les ennemis deviendront sans en prendre conscience des âmes jumelles sur le plan spirituel.

Lorsque l’on fait souffrir un autre comme lorsque l’on abuse d’un enfant, ou que l’on tue un autre, ou même lorsque l’on consomme une partie d’un organisme qui est imprégnée de l’énergie de la souffrance comme lorsqu’un être est saigné jusqu’à la mort afin de le vider de son sang; la vibration de cette souffrance modifie le champ énergétique de notre organisme, de sorte que nous nous mettons à vibrer à la fréquence de la souffrance sans prendre conscience de la source de cette douleur diffuse. Tout est un échange d’énergie et tout ce que l’on prend en énergie vitale nous sera pris en retour, c’est une loi universelle. Par contre, il est possible de faire la paix avec l’esprit d’un être et ainsi diminuer la souffrance, consciente ou inconsciente, pour les deux parties. La souffrance mène à un dés-espoir diffus, qui se concrétise par un manque de confiance par rapport à l’autre. Lorsque l’on ressent de la souffrance, par nos actes ou par ceux des autres, une partie de soi meurt et nous ne sommes plus entiers; la joie naturelle liée à cet état nous quitte de sorte que l’on se sent séparé du Tout, ce qui peut mener à la dépression ou à la haine.

L’équilibre ne peut alors être rétabli que lorsque l’on rend son pouvoir émotionnel à l’autre en ressentant spirituellement sa souffrance ou alors par le rééquilibrage effectué naturellement mais dans un temps qui pourrait nécessiter plusieurs incarnations. Lorsque l’on se sent séparé de Tout car l’on est séparé de soi, l’on se sent au-dessus de Tout et l’on ne ressent pas de compassion pour la souffrance des autres. Le sentiment de séparation est lié à la peur et nous devons simplement prendre conscience de notre pouvoir sur nous-mêmes et ne le céder à rien ni personne car le respect de la souveraineté de l’autre est aussi le fait de reconnaître notre propre souveraineté. Notre pouvoir sur nous-mêmes est d’avoir le courage de se remettre entièrement à sa mission de vie, qui est aussi la foi en Dieu ou en la Déesse. C’est une force intérieure et non pas une autorité exercée sur les autres. La conscience de soi est liée à la conscience de l’Autre. Lorsque l’on est unifié, on est alors en mesure de ressentir que l’on est Un.

Ainsi, nous pourrions nous saluer les uns les autres avec révérence selon la coutume hindoue, en nous inclinant avec respect tout en pressant nos mains ensemble devant notre cœur, dans un geste signifiant l’union avec l’autre sur les plans physique et spirituel, ce qui changera le dynamisme de toute relation.

Source: http://valeriecharoux.unblog.fr

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Conclusion de Francesca : J’ai besoin, pour avoir conscience de moi, qu’autrui me reconnaisse comme une personne distincte, besoin qu’il m’apprenne le langage dans lequel je pourrai par la suite me penser, besoin également de son travail pour me reconnaître dans le miroir du monde. C’est pourquoi Heidegger affirmait qu’être au monde, c’est toujours être avec autrui : l’altérité se trouve nécessairement impliquée autant dans le monde que je contemple que dans le langage que je parle. Elle est donc nécessaire, et même doublement, à toute prise de conscience de soi par soi. Ce qui, finalement, nous amène à dire que nous avons besoin d’autrui pour avoir conscience de nous-mêmes, c’est donc bien que l’existence consciente d’elle-même exclut radicalement la possibilité d’une solitude dont tout rapport à l’altérité serait absent. Peut-être l’isolement, en me mettant à l’écart du bruit du monde, engendre-t-il un climat propice à la réflexion. Mais si l’isolement, quand il se prolonge, m’oppresse et me pèse, c’est justement parce qu’une existence consciente d’elle-même a besoin de l’altérité ; c’est parce que je mène une existence consciente d’elle-même que l’isolement peut m’être pénible : si je n’avais pas besoin des autres, si ma conscience était effectivement une substance indépendante de tout et pouvant se suffire à elle-même, être seul ne me pèserait pas.

sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

 

Personne ne pourra jamais rien vous prédire

 

De quel droit ose-t-on prédire l’avenir de quoi que ce soit pour qui que ce soit ?

Personne n’est à la place de l’autre, avec son histoire, son vécu, son ressenti.

Comment pourrait-on avoir la pleine conscience des ressources internes d’une personne qui n’est pas « nous-mêmes » ? Déjà les nôtres, nos propres réserves énergétiques, sont souvent sous-estimées, c’est dans l’action, dans le mouvement, dans la mise en marche après la motivation que l’on trouve où que l’on décuple l’énergie nécessaire à la création.

PREDIRE

C’est à chacun de vivre son expérience ! Unique puisque nous sommes tous uniques. Bien entendu, on peut prodiguer des conseils, un avis (et SVP… seulement s’il est demandé... rires …) mais chaque personne est libre de ses choix, nous ne devons rien à personne, sauf le respect de qui elle est, de ce qu’elle choisit de faire, que cela NOUS plaise ou non.

Un point de vue peut être pertinent à écouter, c’est formateur, mais… autant cela peut être bénéfique de l’écouter, autant ça l’est, encore plus même, de l’ignorer ensuite ! Par là, je veux dire, de s’en détacher, pour exclure toute influence extérieure et se fondre dans la profondeur de notre Intuition, seul guide véritable. Sans compter qu’un conseil judicieux peut finalement, – véritable paradoxe – nous désorienter, en ce sens qu’il nous éloigne de notre Profondeur, de notre Essence.

Deuxième question :

De quel droit démoraliser quelqu’un et saboter son élan, contribuant ainsi à le rebuter, ce qui revient aussi à choisir pour l’autre ce que l’on pense être bon pour lui ?

N’est-ce pas véritablement nuisible et dangereux ? Il est illogique de projeter des conséquences, certes possibles, mais pas systématiques, d’une expérimentation choisie par un autre ! C’est même contre la Nature du Divin, car nous sommes là Naturellement pour expérimenter…

C’est toujours une illusion que de penser pour soi ou pour un autre qu’un objectif est irréalisable ! Plutôt que d’imaginer les pires fins à un scénario, ce qui d’une part use et d’autre part gâche de l’énergie pour rien, s’il suffisait « d’y aller », qu’en pensez-vous ?

De toute manière, tout événement dans notre vie est destiné à nous enseigner, à nous mettre ou à nous remettre en vie, quoiqu’il arrive ! Et que l’objectif soit atteint ou non n’a aucune importance, au risque de vous choquer. Ce qui est important, c’est de se respecter, d’agir en fonction de notre désir le plus profond, d’avancer petit à petit pour développer au fur et à mesure le meilleur de soi-même sur le chemin choisi. Cette transformation et cette évolution, se moquent complètement du fait que l’on atteigne ou non le but. Et respecter l’autre, c’est respecter aussi son choix qui peut nous paraître « mauvais » !

Je vous en prie, virez-moi aussi cette notion d’échec/réussite une bonne fois pour toutes, pour être en communion profonde dans l’amour avec soi et avec les autres, et non dans la comparaison. Compas-raison : on tourne en rond à vouloir avoir raison !

Faire avorter une tentative de mouvance vers un but, pour quelqu’un, c’est aussi asseoir un pouvoir sur lui qui peut être destructeur. Vous le tuez … en disant : tu es… incapable. Tous les  »tu es » tuent et posent une étiquette en compas-tir-mentant… Pourquoi ne pas unir ses forces avec celles de l’autre ? Ne serait-ce pas plus épanouissant pour les deux parties et source de joie et de plaisir partagés ?

Bien entendu, il faut aussi avoir défini ce qu’aider l’autre veut dire…

Rires… en voilà une drôle de question, n’est-ce pas ?

Aider l’autre :

Est-ce imposer son point de vue, son choix ?

Est-ce imaginer le pire scénario, la pire issue pour l’autre ?

Est-ce stimuler, vivifier, encourager ?

Est-ce seulement écouter sans rien dire ? Veut-il vraiment nos conseils ? A-t-il envie d’être ramené à une dure réalité alors qu’il focalise toutes ses forces pour réaliser un rêve et, est-ce bénéfique pour lui ? Quelle est ma réelle intention ?

Est-ce que je ne veux pas tout simplement montrer, démontrer que j’ai et que j’aurai raison ?

Est-ce que je veux avoir raison ou vibrer de l’amour ?

Est-ce que j’aide quand je suis pessimiste ? Est-ce que le stress, les angoisses ou les peurs ont déjà prouvé leur efficacité dans une réalisation de soi, ou un bien-être intérieur ou bien encore dans notre marche vers la version de nous-même encore plus lumineuse et en paix ?

Est-ce entretenir son espoir, ses espoirs ? Espérer n’est-ce pas finalement, déprécier le présent, s’empêcher de le savourer tel qu’il est ? L’espoir n’est-il pas qu’un mécanisme de survie, qui nourrit une insatisfaction du présent ?

Aider l’autre, n’est-ce pas plutôt lui demander ce qu’il aimerait qu’on fasse pour lui ?

Aider, est-ce Rabaisser ?

Aider, est-ce une solution ?

Je laisse monter en vous vos réponses…

Quelles qu’elles soient, je vous invite à vous ouvrir au fait, que toute pensée est vibration, tout mot est vibration, tout est vibration, ainsi, tout ce qui est émis par vous susceptible d’alimenter une faiblesse, une dévalorisation de l’autre va les renforcer, à un niveau énergétique, même si vous n’avez pas l’intention de nuire. Prenez-en conscience, vraiment.

Est-ce que la plus belle, la plus élevée de nos attitudes, ne serait pas d’offrir à l’autre, notre énergie à cumuler avec la sienne, pour la réalisation de ses rêves de l’instant ? Ne serait-ce pas se brancher à la fréquence de notre amour pour lui ?

Mes petits conseils – oui je sais vous ne m’avez rien demandé –, ou comment être pris à son propre piège ! Je ris, vous me connaissez, ce ne sont que des idées avec votre liberté de les lire ou non ! On va dire… mes petites pistes persos :

Pour ceux qui reçoivent et acceptent donc de recevoir les flèches empoisonnées d’un découragement certain à s’engager dans un choix :

Apprenez à dire non au découragement !
Arrêtez de cogiter, allez-y, vous verrez bien ! Tout chemin est utile, même s’il ne donne pas les résultats espérés, il n’y a rien à espérer, il y a juste à définir, choisir, foncer ! Notre mental est très doué pour imaginer les catastrophes à venir… Je n’ai pas besoin des autres pour arriver là où je veux aller ! J’y vais et c’est tout, c’est l’énergie que je mets dans ma motivation qui va créer ce qui suit ! Pas celle d’un autre ! Si je me sens touché, blessé, je me pose la question : est-ce qu’une partie de moi croit qu’il a raison quand il me juge incapable de… ? Je ne suis pas cet incapable, je suis capable, je suis autrement capable (là je sais de quoi je parle…) je crois en moi et renvoie ces flèches et ce jugement ! Je n’ai ni tort ni raison, j’ai confiance en moi ! Que le but que je me suis fixé soit difficile à atteindre ou non, peu importe, cela ne définit en rien l’issue.

Pour ceux qui envoient ces flèches empoisonnées :
Apprenez à dire oui au choix de l’autre : au nom de ta liberté, je respecte ton choix, que puis-je faire pour t’aider et déjà, as-tu envie que je t’aide ? Laissez l’autre expérimenter et n’abaissez pas son énergie ! Même si l’autre est responsable de se laisser toucher, de détruire son énergie en acceptant de recevoir les flèches, il y a quand même eu un « émetteur », et la flèche atterrira quelque part…. soit elle sera déviée par un récepteur sûr de lui qui va brandir son bouclier, soit elle sera reçue plein cœur… et en ce cas elle reviendra un jour ou l’autre (oui la flèche ressort et fait le tour de la terre, rires) sur son émetteur… c’est une loi. Non pour vous punir, mais pour vous faire prendre conscience que tout ce qui se dit et se pense émet une vibration boomerang.

CROYANCES

Le monde des croyances

Je voudrais aussi vous convier à sortir du monde des croyances, il est toujours limité. Que ce soit sur nous ou sur les autres. Il existe un autre monde, où tout est possible, où tout est imaginable. Ce monde-là, il est personnel, c’est le vôtre, c’est celui de l’autre, toujours en perpétuelle construction, c’est l’immensité du silence de votre âme, de son âme, qui « elle », sait…. Faites un point de la situation, écoutez si vous voulez les avis ici et là, mais surtout, ensuite, faites taire le mental en vous, fermez vos oreilles et écoutez la voix de votre étincelle divine.

Soyez intimement persuadés d’une chose : les autres ne sont pas, ne seront jamais Nous ! Jamais ils n’auront notre ressenti, notre essence, jamais ils n’entendront le murmure de notre âme !

Un objectif n’est qu’un objectif, un chemin n’est qu’un chemin, c’est la marche vers soi qui est intéressante et bénéfique pour l’acquisition de notre Sagesse. Savoir si on est sur le bon chemin ou si on a pris la bonne décision est inutile. C’est l’union de notre désir et de notre intuition qui nous élèvera, nous portant toujours plus haut. Pour être en paix, en pleine possession de toutes nos forces, soyons prêts à accueillir tous les résultats possibles, toutes les conséquences possibles, car ils seront, elles seront toujours ceux/celles dont nous avons besoin pour notre évolution. Effet bonus, cela renforce la confiance en soi.
Je vais terminer par cette citation que j’adore de St Exupéry :

« L’avenir, tu n’as point à le prévoir mais à le permettre. » Jean-Yves

LIVRE

Livre de Jean-Yves et Eliane Fayolle :
Le journal de bord de Jean-Yves – Autrement capable ÉSA Éditions, 2015

Moi Jean-Yves, je raconte dans ce livre une histoire : mon histoire retranscrite de ma chère maman, fidèle dame de compagnie, qui prend soin de moi depuis ma naissance et a doublé ses intuitions, est restée optimiste et confiante depuis mon accident. Oui, à l’intérieur de mon corps j’ai conservé mes facultés mentales, je peux toujours lire, voir, ressentir les événements. Mon histoire peut également être malheureusement la vôtre si par inadvertance votre ski s’enfonce dans une crevasse, si un bolide vous percute, si vous sombrez dans un état dit végétatif.
Je souhaite qu’il en soit de même pour tous mes amis emmurés dans leur silence, merci.

Pour celles et ceux qui ne le connaissent pas, Jean-Yves est ce que l’on appelle un « grand traumatisé », cloué sur son fauteuil. qui ne peut s’exprimer qu’avec un doigt sur un clavier, à l’aide d’une facilitatrice; ce que l’on appelle la « Communication Profonde Accompagnée ». Cela ne l’empêche nullement de visiter d’autres mondes, sur d’autres plans de conscience, sans quitter « physiquement » son fauteuil et de nous partager les enseignements reçus lors de ses explorations…

Merci à toi Jean-Yves.

A CEUX QUI ONT PEUR DES MONDES MULTIDIMENSIONNELS – N°1

 

L’être humain est multidimensionnel. Plusieurs sont fort atterrés par la seule dimension dans laquelle ils vivent et certains sont même submergés. Alors, la perspective de multiples dimensions peut créer certaines tensions. Toutefois, cela peut aussi créer une euphorie chez l’être qui en ressent une véritable clé de libération de l’illusion de la prison de l’incarnation.

C’est une clé de réalisation. Or, dans sa dimension ou dans les dimensions dans lesquelles il vibre, l’être est une énergie en mouvement qui émet et capte des ondes.

La Terre et son atmosphère, son champ magnétique et toute la matrice dans laquelle elle évolue existent dans un univers infini où il y a de multiples galaxies, systèmes solaires, planètes et une infinité de formes de vie. Tous sont énergie et tous émettent et reçoivent. En ce moment, la Terre est vraiment un lieu de convergence dans la galaxie, voire dans le cosmos. C’est un lieu de convergence majeur en raison du changement de rythme, qui cause les changements de formes et de fréquences de la vie qui y sont associés. C’est un lieu de convergence de vies, de transformation de la vie qui vibre.

Vous êtes au rendez-vous. Vous n’êtes pas que spectateurs, bien que certains veuille l’être. Vous êtes au cœur de ce grand mouvement et toute cette convergence, associée à cette évolution et cette révolution de la vie sur Terre, fait en sorte que les ondes sont de plus en plus présentes, intenses, de différentes fréquences et même de différentes natures. Si vous voyez autour de vous des objets qui bougent, ce que vous ne voyez pas, et même ce que vous n’entendez pas, est beaucoup plus présent et beaucoup plus influent sur vous que ce que vous voyez ou entendez.

BOUDDHAN

Ce que vous pouvez capter ou ressentir du subtil a maintenant plus d’influence et crée plus de turbulence que tous les gestes, les comportements ou toutes les paroles que vous pouvez voir ou entendre. Et dans ce subtil en mouvement, nous incluons même les pensées des humains. Leurs pensées génèrent à ce jour plus d’influence que leurs paroles et leurs gestes. Les paroles et les gestes ne sont que quelques infimes expressions de la pensée.

Actuellement, les pensées se libèrent deviennent des ondes libres en raison d’une transformation des glandes épiphyse, hypophyse et de l’hypothalamus, qui sont les grandes gestionnaires du système neuro-moteur de l’être humain ou de son système nerveux central.

Chères Ames, si les humains émettent, ils reçoivent aussi, et sur Terre il y a maintenant une saturation des ondes.

Souvent, vous entendez ou ressentez des mouvements vibratoires, vous avez l’impression d’être touchés par des ondes qui circulent dans l’atmosphère, et ces impressions sont réelles. Qui plus est, ces ondes ne circulent pas que dans l’atmosphère, mais aussi dans l’eau, dans la terre, dans des réseaux parallèles et dans d’autres dimensions. Par ces termes, nous entendons que l’espace et l’atmosphère autour de vous sont bien chargés d’ondes et de vibrations. Plus encore, il y a les différentes dimensions dans lesquelles les ondes circulent aussi à diverses fréquences. Alors, vous n’êtes pas seuls. Il est essentiel maintenant que vous puissiez mieux concevoir l’influence et les effets de tous ces mouvements, toutes ces vibrations, toutes ces ondes, puisque maintes personnes parmi vous, jour après jour, consciemment ou non, ont à se rééquilibrer parce que les ondes ont affecté un ou plusieurs de leurs systèmes, créant même des souffrances.

Nous vous proposons en cette rencontre d’abord d’approfondir votre regard sur les sources très différentes d’émissions d’ondes pour aussi ressentir que certaines de ces ondes sont vraiment bénéfiques pour l’être humain, alors que d’autres sont néfastes. Tout comme certaines de vos bactéries qui se logent dans vos entrailles et constituent une partie importante de votre système de défense alors que d’autres créent beaucoup de turbulence, d’agitation, de perturbations, voire de malaises. Il en est de même pour les ondes. Certaines vous permettent d’accentuer votre puissance, tandis que d’autres vous vulnérabilisent et provoquent de très grandes destructions.

Voyons d’abord les sources de ces ondes, puis leurs effets sur tous les humains selon la captation et la réaction de ces derniers à ces ondes. Par la suite, nous vous entretiendrons des voies pour œuvrer avec ces ondes et vous protéger de celles qui sont néfastes (cliquez ICI….).

La vie est génératrice d’ondes, de vibrations. Les ondes sont naturelles. L’énergie en émet et les humains, constitués d’énergie, en émettent aussi. Ces ondes sont lumineuses, sonores et sont une offrande aux êtres qui vous entourent. Imaginez pour un moment que vous leur donnez une forme un peu palpable dans votre souffle. Imaginez que votre souffle est vibrant d’ondes. Vous expirez depuis votre arrivée dans ce lieu ; vous émettez continuellement des ondes et vous captez les ondes de tous ces êtres autour de vous. Regardez-les, car de par les ondes qu’ils émettent, vous êtes beaucoup plus intimes que vous ne pourriez le croire puisque les ondes transportent les informations totales d’un humain. Les humains ont découvert par leur science qu’en retirant une cellule, un peu de salive ou un peu de tissu humain, ils peuvent en reconnaître la signature. Ils peuvent reconnaitre une multitude de ses attributs. Bientôt, ils découvriront que dans le souffle ils peuvent aussi découvrir beaucoup de choses sur chaque individu. Il n’y a pas un seul d’entre vous dont les ondes soient identiques, et ces ondes circulent par votre souffle et rayonnent par tout votre être.

Retournez-vous vers votre voisin de droite. Votre regard émet des ondes. Vous émettez des ondes parce que vous vivez. Alors, soufflez dans sa direction. Comme un baiser vibratoire, bous lui transmettez qui vous êtes car vos ondes, que nous associons à votre souffle pour que ce soit plus palpable, transmettent ce que vous êtes. Toute la beauté qui est en vous, toute la magnificence de votre être, est ainsi transmise aux humains. Peut-être aussi vos ombres et quelques poussières. Un être peut vous connaître parc ce que vous vibrez. La Terre est vibrante d’humains qui émettent des ondes et cela est naturel. Cela est aussi bénéfique car, par ces ondes, l’humain contribue au bon fonctionnement de la loi d’attraction. Vous émettez des ondes et la loi d’attraction fait en sorte que, par les ondes émises et reçues, vous ressentez une attraction vers un individu. Est-ce votre voisin de droite ?

C’eût été une synchronicité agréable. Vous êtes attirés par des individus, par ce que vous voyez et par ce que vous ressentez surtout. Réalisez-le, chères Ames, de manière à ne pas crainte les ondes et à développer vos capacités pour mieux les distinguer.

chez francesca

Réalisez que les ondes émises par les humains sont bénéfiques et qu’elles vous permettent d’entrer en relation, en communion, de vous reconnaitre, de vous ressentir et de vous attirer mutuellement. Si les humains émettent des ondes parce qu’ils vivent, ils en émettent aussi par les pensées qu’ils génèrent. Nous insistons sur ce fait puisque nous allons nous entretenir de plusieurs autres sources d’ondes moins naturelles. Il est important que vous conceviez que l’univers est en soi un univers d’énergies et d’ondes et que c’est par les ondes que vous allez vous équilibrer, vous harmoniser, vous rencontrer, vous unir avec vous-mêmes et avec les autres. C’est aussi par les ondes que vous allez vous séparer, vous distancier, vous provoquer, et rompre la relation. Le moment est venu pour vous de choisir de devenir maîtres des ondes – du moins de celles que vous captez et émettez.

Chaque élément et chaque tissu humain a une fréquence particulière. Voilà qui est merveilleux dans l’univers. Lorsque deux fréquences s’associent bien, vous avez une sensation de bien-être. Vous dites alors que vous êtes sur la même longueur d’onde, sur une même fréquence. Parfois, c’est après quelques jours que vous constatez cette même longueur d’onde.

Lorsque les ondes se rencontrent et qu’il y a un bien-être, cela signifie que votre communication est plus libre, que vous pouvez beaucoup mieux communier, et que vous pourrez dès lors croître, évoluer plus en harmonie et en équilibre. Voilà. Vous comprenez qu’avec certains individus vous avez l’impression d ‘évoluer et avec certains autres… d’involuer. C’est une question de longueur d’onde, de fréquence entre vous. Peut-être n’est-ce pas romantique, poétique, mais cela a l’avantage d’être réel.

 

Lire la suite ICI ……  

Ce texte est la retranscription d’une canalisation publique devant auditoire, de Sanctus Hermanus canalisé par Pierre Lessard 

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de retranscription de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité

Publié dans:ENERGIES, MULTIDIMENSIONNALITE, PENSEE, PEUR |on 2 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

A CEUX QUI ONT PEUR DES MONDES MULTIDIMENSIONNELS –N°2

 

Ceci est la suite du N°1 – ICI …  (en 1 clic)

Autour de vous, il y a la nature. Elle est vivante. Les animaux, les plantes, les pierres émettent tous des ondes. Chaque onde est associée à un rythme particulier, à une fréquence donnée. Vous êtes dans un environnement où tout vous parle par les ondes. Ainsi, vous pouvez apprécier le parfum d’une fleur, ressentir la puissance d’une pierre, capter qu’une relation se crée avec un animal. Voilà pourquoi nous vous demandons que les ondes que vous émettez soient votre offrande, qu’elles soient vibrantes d’amour et de lumière, qu’elles influencent les êtres à se reconnaître et à se déployer dans toute leur beauté.

1sur blog Francesca

Les dévas émettent aussi des ondes. Il y a différents types de vie dans la nature : la vie humaine, mais aussi la vie naturelle animale, végétale, minérale. Les dévas permettent que toutes puissent s’harmoniser. Par exemple, ils aideront les humains à mieux ressentir ce que les forêts transmettent, ce que leurs fruits émettent, ce que les pierres représentent. Ce sont les ambassadeurs, les médiateurs, les capteurs. Ils émettent des ondes et vous pouvez les reconnaitre par celles-ci. Si un humain veut absolument voir les êtres invisibles, il cherchera en vain puisqu’ils sont invisibles. Tant et aussi longtemps qu’un humains cherche la preuve physique de la présence des dévas, il est en difficulté, car ceux-ci se présentent sur un plan subtil. Toutefois, à partir de l’instant où un individu est attentif aux sensations tout autant qu’aux vibrations qu’il reçoit, il peut mieux constater que la vie existe autour de lui.

Puis, il y a des sources d’émissions d’ondes moins naturelles. Débutons par certaines des créations des hommes. L’homme émet à partir de son propre champ d’énergie, de son propre champ magnétique. Tout en émettant, il a la capacité de créer des structures énergétiques, des formes énergétiques, des mouvements énergétiques et, par conséquent, des  circulations d’ondes dans des structures données. Il en est de même dans la nature. Par ses émissions, la nature va parfois créer des champs électromagnétiques intenses et des spirales particulières d’énergie. Par sn mouvement, elle va aussi créer une émission d’ondes différente de ce qu’elle est par sa nature même.

Saisissez bien nos paroles. Un humain émet par son corps physique, par ses corps de Lumière et par sa structure énergétique. Ses émissions sont naturelles. Toutefois, par ses intentions et sa volonté, il peut générer des ondes à un rythme, à une fréquence et dans une structure autre que les ondes qu’il émet naturellement. Il en est de même pour les autres formes de vie terrestres. Ainsi, la nature minérale, végétale ou animale qui émet naturellement peut créer des vortex et se rassembler en un lieu pour émettre à une fréquence différente qui influence les humains.

Ainsi, les humains ont la faculté de créer des structures énergétiques rendant possibles des émanations vibratoires différentes de ce qu’ils sont. Ils se rassemblent et, par leur intention commune, ils créent une forme d’antenne complexe. Ces ondes sont différentes de leurs propres ondes, car elles proviennent des champs électromagnétiques de la Terre, de l’au-delà, ou de l’intraterre.

Pourquoi créer des structures énergétiques.

Pour mieux communiquer à divers fréquences, au-delà des peurs, des attentes, dans un espace plus ultime, plus libre avec les autres formes de vie terrestres, intraterrestres et extraterrestres. Ces communications contribuent à l’équilibre de l’humain. De même, ce dernier peut créer des spirales d’énergies ascendantes et descendantes utiles à son équilibre, son rééquilibrage, son ouverture, son expansion, ou à son changement de taux vibratoire et de fréquence pour sa santé physique, psychique, énergétique et spirituelle.

Il créée en vue de favoriser son expansion. De façon générale, toutes les structures qu’un être peut créer ne devraient avoir pour but que son émancipation. Par exemple, pour se libérer des limites de la matrice terrestre. Si l’humain peut ainsi construire des structures énergétiques, d’autres formes de vie qui convergent vers la Terre ont aussi ces facultés. Appelons ces autres formes de vie les Frères de l’Au-Delà, si cela vous convient. 

thymus

Les hommes ont toujours su que ces Frères de l’au-delà étaient présents. Depuis le début de notre humanité, les humains regardent le ciel, les planètes, les étoiles, car cela est merveilleux, enchanteur et aussi parce qu’ils savent que la vie y est présente. Même au-delà de ce qu’ils voient, les humains ressentent la vie. L’homme ne peut être seul dans un univers infini. S’il est parvenu à se rendre jusqu’à la Lune, il parviendra un jour à se rendre jusqu’à une autre étoile de la galaxie. Ce n’est qu’une question de temps, un temps relatif à notre planète et à la troisième dimension. Et si l’homme arrive à se propulser jusqu’ à une étole de cette galaxie, il va de soi que sur certaines autres planètes, ailleurs dans cette galaxie ou dans les autres, des êtres peuvent aussi se propulser jusqu’à la Terre. Non seulement ils le peuvent, mais ils le font, et depuis très longtemps, les humains sont en relation avec eux.

Vous terminez actuellement une période de votre histoire où la science a évolué rapidement. Par son évolution, la science a permis d’ouvrir des perspectives, de repousser les frontières du possible, mais elle a aussi fait en sorte que quelques milliards d’hommes ont concentré leurs croyances sur ce qu’elle pouvait leur prouver. Durant les derniers siècles, un pourcentage important d’humains ont en effet refermé leur système de réceptivité  pour ne reconnaître que ce que la science pouvait leur démontrer. Vous le croirez difficilement, mais certains humains réfutent l’idée que d’autres formes de vie existent, alors qu’elles se présentent sans cesse dans la matrice terrestre et même dans l’atmosphère terrestre. 

Ce texte est la retranscription d’une canalisation publique devant auditoire, de Sanctus Hermanus canalisé par Pierre Lessard 

Vous pouvez partager ce texte à condition d’en respecter l’intégralité et de citer la source de retranscription de Francesca : A l’ère de la Multidimensionnalité

Publié dans:ENERGIES, MULTIDIMENSIONNALITE, PENSEE, PEUR |on 2 novembre, 2016 |Pas de commentaires »

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