Archive pour le 10 mai, 2015

La trace matérielle ou immatérielle de nos mémoires

 

vies_anterieuresLorsqu’un bébé paraît dans une famille, il ne naît pas vierge de tout souvenir. Il porte en lui non seulement une mémoire biologique, mais également la mémoire de ses vies antérieures. Toutes ces mémoires plus ou moins enfouies fournissent l’héritage dont il dispose pour son parcours terrestre.

La trace matérielle ou immatérielle de ces mémoires très différentes va plus ou moins se révéler au fur et  à mesure du parcours de vie de ce nouvel être humain, lui réservant de bonnes ou de moins bonnes surprises.

La vie présente est la résultante de choix faits par nos parents, grands-parents, et de tous ceux qui nous ont précédés. Ce choix sont pour certains ceux que nous avons retenus dans une vie précédente. Comme beaucoup d’entre nous ne sont pas arrivés au terme de leur parcours spirituel, il leur faudra revenir sur cette terre afin de rejouer les scènes de vie mal apprises dans les vies précédente, et donc subi les conséquences de mauvais choix qu’ils ont faits, ou qu’ils ont laissé faire.

Nous avons tous une mémoire. Toutefois, avec l’âge elle a souvent la fâcheuse tendance à s’éroder. Oui, il est vrai que cette mémoire est périssable. Il est exact qu’elle peut s’éteindre définitivement. Il est possible qu’elle disparaisse totalement, ne laissant plus aucun souvenir à l’être en sursis. Cette mémoire dont nous parlons est physiologique. Elle est liée à notre organe physique qui s’appelle le cerveau. Elle est bien sûr éphémère et s’endort progressivement au même rythme que toutes nos cellules en déclin.

Prenez l’exemple d’un vieillard. Essayez de sonder sa mémoire. soyez observateur de son comportement et sachez discerner les pertes de mémoire de cette personne.. Si elle est âgée, mais en bonne santé, la mémoire se transformera pas à pas ; C’est-à-dire que sa dégradation neuronale sera progressivement remplacée par la restauration des cellules spirituelles qui composent le corps éthérique. Soyons plus clairs pour faciliter la compréhension ; la mémoire physiologique sera peu à peu submergée par la mémoire spirituelle, parce que le corps physique dont la matière touche presque à sa fin, sera remplacé par ce corps éthérique dont nous parlons souvent. Ce qui veut dire que l’on chasse l’autre. Très souvent les vieillards retrouvent une excellente mémoire pour les années les plus reculées de leur vie, e tune toute petite, voire inexistante mémoire pour les années les plus récentes. Cela n’est pas une règle, mais c’est toutefois un constat assez général.

Cela est lié à cette mémoire physique ou physiologique qui se retire pour laisser la place à la mémoire spirituelle. La matière se retire peu à peu de la vie en emportant avec elle tous ses attributs, et cette mémoire en fait partie. Les cellules qui subsistent restent entièrement imprégnées de tous les souvenirs, récent sou très anciens. Ce qui veut dire que l’âme qui est présente dans le corps, devint plus sensible et perceptible  à l’esprit.

Notre mémoire s’ouvre au fur et à mesure que s’opère le passage d’un monde à l’autre et d’un corps à un autre. Ce qui signifie qu’elle ne disparaît pas, mais que tout au contraire elle s’amplifie considérablement. Elle se transforme pour devenir la mémoire supérieure et inaltérable que seul un corps immortel peut contenir. Elle sera totalement reconstituée au jour de notre mort. Nos obsèques, contrairement à l’idée bien ancrée dans nos esprits imaginant la mort comme le néant, resteront comme le plus mémorable et formidable moment de notre vie. Les festivités qui nous attendent après le passage au travers de ce voile opaque et mystérieux, demeureront l’événement le plus marquant de notre vie et de notre arrivée de l’autre côté.

Donc, tout peut être résumé ainsi ; la mémoire qui est très vivante dans notre vie physique laissera la place à une autre, beaucoup plus vivace et persistant au-delà de l’extinction de la matière. Ce qui vaut pour la mémoire vaut également pour les autres organes liés aux sens physiques et physiologiques. Le goût sera le seul sens qui disparaîtra totalement après la mort parce qu’il n’aura plus aucune raison d’exister, et pour cause. Notre alimentation sera très différente, elle ne sera plus matérielle. Les autres sens, quant à eux, seront considérablement amplifiés au même titre que notre mémoire. Ils seront également complétés par de nouveaux sens, en latence actuellement en nous, mais très peu utilisés parce que la matière qui compose notre corps l’interdit, ou le limite considérablement.

La matière sera anéantie mais l’esprit survivra avec le cœur ou le poumon qui l’aliment, c’est à dire l’âme divine. Les mémoires sont multiples. Elles sont liées, d’une part, au physiologique et à toutes les cellules qui le composent et, d’autre part, à la structure spirituelle qui les domine. Le spirituel se superpose toujours à la matière. Il est en interaction permanente avec elle et les mémoires solidement attachées à la dimension physiologique et biologique de l’être, qui transitent inévitablement vers des mémoires spirituelles ou éthériques. Le réseau est très complexe mais très simple à la fois.

La mémoire, la vraie, l’inaltérable est la gardienne inviolable de tous les souvenirs antérieurs de notre vie actuelle. Il existe, des milliers, voire des millions de connexions entre nos mémoires individuelles et la mémoire collective qui est reconstituée dans les archives universelles. C’est-à-dire que la mémoire la plus ancienne existant dans l’univers nous sera accessible après notre départ terrestre. Rien n’est plus merveilleux que de découvrir cette mémoire encyclopédique, réelle, incroyablement détaillée et vivante. C’est ainsi que nous revivrons, si vous le souhaitons, tous les événements heureux ou malheureux de la totalité de nos vies. Tout deviendra limpide et transparent.

Nous serons par exemple surpris de constater la persévérance au fil des siècles, de certaines dates ou situations récurrentes qui constituent un héritage accompagnant la descendance familiale. Il s’agit tout simplement de pactes ou de serments cosignés moralement à une période de notre vie spirituelle, dont la mémoire physique ne se souvient pas. Il existe parfois des éléments troublants qui suivent certaines familles où le destin, comme nous disons, semble s’acharner sur elles pour le meilleur, mais plus souvent pour le pire. Il peut s’agir de dates anniversaires, de décès en série, de maladies communes et souvent identique, d’hérédités familiales liées pour nous à la dimension biologique ancestrale. L’incompréhension nous habite alors, et nous recherchons la cause de ces lois qui nous semblent implacables, mais qui pourtant ne sont liées qu’à des accords passés par des familiales que nous appellerons bio-spirituelles ou bipolaires, pour faciliter la compréhension du plus grand nombre.

Même si ce que nous vivons nous paraît inconfortable, difficile, terrible ou même pire que cela, n’en prenons pas grief contre qui que ce soit, parce que c ‘est nous qui en sommes dans la plupart des cas à l’origine. 

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 10 mai, 2015 |Pas de commentaires »

TOUT ANIMAL SUR TERRE EST SACRE

 

forestLa grande honte d’une ère civilisée et le déshonneur absolu d’une humanité totalement irresponsable et en situation de grand désarroi est la maltraitance animale et la désespérant qui l’accompagne.

Pourquoi faire payer nos erreurs ou nos difficultés à des êtres innocents sans défense ?

Les animaux ne comprennent que la tendresse et l’amour, contrairement à de nombreux humains pour qui ces sentiments ne concernent que leur compte en banque et leurs intérêts financiers ou bassement matériels. Produisez ! produisez ! … veaux, vaches, cochons, couvées… même si la maltraitance ne se limite pas à cette catégorie d’animaux.

S’il est vrai que parfois, le bien peut être confondu avec mal, il n’existe pas de confusion possible lorsqu’il s’agit de maltraiter un animal. Lorsqu’un humain agit en conscience pour une œuvre quelconque au profit de ses concitoyens ou d’autres personnes en difficulté momentanée, il pense à juste tire œuvre pour le bien d’autrui, et il est vrai que c’est la réalité. Cependant n’oublions pas que nous sommes venus sur terre pour vivre des épreuves que nous-mêmes nous sommes assignées. En conséquence, celui qui enlèverait l’obstacle placé devant lui agirait pour lui comme pour nous dans le sens du bien, mais il n’est malheureusement qu’apparent. Cependant, il n’est pas inutile d’aider puisque c’est le sens de la mission qui est la nôtre, mais aider dans le sens spirituel de la démarche.

Les animaux n’ont rien demandé d’autre en venant sur terre qu’être heureux et bien traités. Même s’ils savent qu’ils servent l’homme, l’esprit de l’animal sait ce qui l’attend. Il n’est pas un objet ni une machine à produire ou à reproduire ; c’est ce que beaucoup d’hommes croient. Mais ces gens ne sont que de simples esprits en tout début d’évolution.

Les animaux ont une âme, bien sûr. Comment pourrions-nous imaginer un seul instant que l’animal qui donne tant d’Amour à son prochain puisse en être dépourvu. Laur âme es pourtant bien différente de celle de l’humain. Elle ne comporte pas en sont sein de progrès personnel à réaliser, ou d’accomplissement quelconque que l’animal porterait consciemment. Le jugement ne l’habite pas davantage, l’âme en est dépourvue, et pour cause : aucun animal n’est jugé dans notre monde. Les animaux se prosternent tous devant Dieu dès qu’ils ont franchi la porte de leur Paradis. Le paradis animal ressemble au Paradis humain, il est harmonieux en tous points et seul l’Amour règne en ce lieu.

La condition animale est très différente de la condition humaine, même si parfois elle s’en approche de façon étonnante. Mais cela n’est qu’apparence parce que l’animal est un être dépourvu de conscience au sens humain du terme, même s’il sait parfois que son action n’est pas toujours en harmonie avec l’attente de son maître. Toutefois, c’est plus la crainte de la correction plutôt que sa raison qui le conduit à adopter un comportement opposé à son instinct. L’humain est pour eux un être reconnu, mais rarement pris en considération, sauf si celui-ci est débordant d’Amour.

Le degré d’amour distribué sans compter de leur part est différent selon les races. L’instinct animal vient souvent contrarier ce sentiment exprimé par lui. Ce qui veut dire que l’animal peut être très affectueux et docile avec certaines personnes, mais également indifférent, très agressif ou méchant avec d’autres. Cela vaut également pour les animaux entre eux. L’hypocrisie ne fait pas partie de sa panoplie sentimentale, contrairement à l’humain qui ne sait que tromper ou trahir en se voilant la face ! 

Certains se reconnaissent et d’autres ne se reconnaissent pas. C’est un peu le même mécanisme qui est en jeu chez l’humain, à partir de l’instant où il a dépassé toute notion matérialiste de la vie, et qu’il s’est installé dans le registre le plus sincère des lois régissant les rapports entre les hommes. Il s’agit pour l’humain d’un système de valeurs, d’une échelle qu’il gravit progressivement au fur et  mesure de ses incarnations successives.

Nos animaux domestiques sont ceux qui donnent le plus d’Amour. Il suffit de les aimer pour qu’ils nous le rendent au centuple. Parfois et même très souvent ils aiment aussi ceux qui les maltraitent. Ils ont pour eux de façon instinctive, une forme de pitié parce qu’ils savent, même s’ils sont dépourvus d’intelligence au sens humain du terme que l’individu qui les frappe, les martyrise, les tue sans égard, ou qui les fait volontairement souffrir pour sacrifier à des rites ignobles, est un esprit faible et primaire. Nul esprit évolué ne peut faire de mal à l’animal, quel qu’il soit. Parce qu’il sait qu’en se rapprochant de Dieu il se rapproche aussi de toutes les créatures de l’univers qui sont bien sûr telles que François d’Assise le proclamait haut et fort : « ses frères, ses sœurs ou ses parents… »

Ils reconnaissent le fort, mais ils reconnaissent également le faible. Ils sont respectueux de l’un et de l’autre quoi qu’ils leur fassent, quoi qu’il leur en coûte, même si la vie leur est enlevée. Les animaux savent pourquoi  ils sont venus sur terre, et chacun joue son rôle. Ils n’ont besoin de personne pour dicte leur conduite. Ils ont tout simplement besoin eux aussi d’exemple : cet exemple dont leurs parents ne sont pas dépourvus et qu’ils leur enseignent selon leur propre condition animale.

Tout doit être fait pour éviter de faire souffrir les animaux. Ce mal n’est pas un mal nécessaire, mais bien un mal inutile. Il ne fera grandir ni le bourreau, ni sa victime, et pour cause : l’animal n’est pas sur terre pour progresser spirituellement. En conséquence, tous les individus qui se livrent à des actes barbares sur les animaux, quels qu’ils soient, auront un lourd tribut à payer. Il serait bien qu’ils s’en rendent compte dès maintenant et   qu’ils   cessent   leurs brutalité.  Mais l’argent…. toujours lui, les rend sourds et aveugles.

Ils ne voient plus ce qu’est un animal, ils n’imaginent plus que c’est un être sensible qu’il faut aimer et surtout protéger pour la sauvegarde des espèces. Ces êtres sont ignobles, qu’ils puissent une seule fois dans leur vie se mettre à la place de ceux qu’ils font gratuitement souffrir.

Une loi spirituelle inflexible et incontournable doit être marquée au plus profond de notre âme et de notre conscience : tout acte de violence perpétré gratuitement sur quiconque est en particulier sur les êtres innocents sans défense, sera retourné à son envoyeur qui en supportera à son tour toute la douleur morale. Mais il nous faut savoir qu’elle sera amplifiée considérablement et multipliées par 10…. 100 fois.  Personne ne peut éviter le retour de bâton.

Rares encore sont les humains qui se préoccupent du triste sort de ces bêtes encagées, qui subissent quotidiennement la douleur physique et morale. Les hommes qui pratiquent de telles monstruosités en seront un jour redevables. Ils seraient bien inspirés de s’en rendre compte dès maintenant.

Les animaux n’ont pas à subir la domination des hommes assoiffés de pouvoir et d’orgueil. Les animaux sont des êtes sensibles, ils doivent à ce titre mériter le plus grand respect. Laissons-les vivre en paix. Donnons-leur les meilleures conditions de vie, surtout à ceux qui nous nourrissent. Elevons-les naturellement, sans les heurter et en les aimant. Ils nous le rendront des milliers de fois au cours de leur ive et ne seront jamais épuisés par l’Amour. Ils ne réfléchissent pas sur ce qui est bien ou mal : ils aiment. Prenons exemple !

La chose bonne action dans le fait de donner la mort à un animal est dans le but de le libérer d’une maladie incurable s’il n’est plus possible de le soigner, parce que contrairement à l’humain, il ne progressera pas spirituellement par la souffrance. Dans ce cas, il nous est permis de le faire.

Lorsque tous les animaux auront disparu de la surface du globe, les hommes gémiront, se plaindront, et reconnaîtront enfin qu’ils se sont mal conduits vis-à-vis de ces créatures sensibles. Alors, ils pleureront sur leur sort et admettront leurs erreurs. Mais il sera trop tard, leurs crimes seront définitivement achevés.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ANIMAUX |on 10 mai, 2015 |Pas de commentaires »

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