Archive pour mars, 2012

Des personnes peuvent-elles nuire par la pensée ?

Supposons qu’une personne désire créer des conditions de vie qui lui semblent meilleures de son point de vue, mais qui ont des conséquences néfastes pour quelqu’un d’autre. Ce cas de figure est extrêmement fréquent, n’est-ce pas? C’est par exemple le cas de quelqu’un qui se sent écrasé ou ignoré par les autres, et qui cherche à conquérir une place, un territoire ou un pouvoir, au détriment d’une autre personne. C’est aussi le cas de quelqu’un qui s’est senti blessé par les actes de quelqu’un d’autre, qui l’accuse de son malheur, nourrit du ressentiment et désire le punir. Comment l’univers va-t-il répondre à de telles requêtes? Dans quelle mesure une personne peut-elle attirer par ses sentiments et ses Des personnes peuvent-elles nuire par la pensée ? dans PENSEEpensées négatives, des conditions et des événements nuisibles à une autre personne?

Dans ces scénarios, il y a une personne qui veut nuire et une autre qui en est la victime. Celle qui cherche à nuire rêve d’arriver à ses fins par l’intimidation ou la séduction, donc par une sorte de manipulation de l’autre. Pour simplifier, appelons-la le manipulateur. Examinons comment fonctionne la loi d’attraction magnétique du point de vue du manipulateur et du point de vue de la victime.

La victime ne peut être la cible des intentions malveillantes d’un manipulateur que si elle attire elle-même cet événement dans sa vie. C’est le cas si elle entretient au fond d’elle des sentiments qui sont en résonance avec cette situation. Si elle se sent petite et quantité négligeable, elle crée vibratoirement les conditions d’une position où elle sera réellement considérée comme négligeable. La sous-estime de soi, la honte de soi, le sentiment de culpabilité, attirent des situations de soumission et offrent un terrain fertile à la pensée du manipulateur. La peur ou l’idée d’être une victime de la vie attirent le préjudice et la victime en subit réellement les effets dommageables. Sa douleur est la façon dont son être intérieur lui intime de changer de toute urgence ses sentiments négatifs. Ils ont leur origine dans certains vécus antérieurs, le plus souvent dans sa petite enfance.

Lorsque le manipulateur forme le désir d’avoir une emprise sur une autre personne, lorsqu’il exige d’une personne qu’elle réponde à ses demandes, qu’est-ce qui sous-tend son désir? Est-ce la représentation du bonheur que cela va lui procurer? Non, c’est la peur de manquer de ce qu’il désire, d’être dans le manque. C’est la croyance que s’il n’a pas ce qu’il désire, il n’a rien. Et s’il n’a rien, il ne peut montrer son pouvoir, il n’est rien. Le manipulateur lutte pour obtenir sa sécurité matérielle et sa reconnaissance par le pouvoir. Il est animé de sentiments d’adversité. Il n’est pas aimé mais craint ou courtisé. Il attire à lui des manifestations d’égoïsme et des conflits.

En outre, le pouvoir qu’il obtient dépend entièrement de l’obéissance des autres. Il est donc fragile. Le manipulateur est toujours vigilant et tendu comme un guerrier qui défend son territoire. Il vit dans la crainte que le pouvoir lui échappe, que ce pouvoir ne soit pas suffisamment étendu, qu’il ne puisse plus le maintenir (voir Pouvoir et manipulation). Il attire donc des événements de perte. Lorsqu’il perd, il est très contrarié. Certains se sentent finis et se suicident.

De même que la victime, le manipulateur est un être souffrant, habité par la crainte, la sous-estime et l’insécurité, même s’il ne veut pas le reconnaitre. Il ignore son pouvoir intérieur et cherche à l’obtenir des autres. En fait, victimes et manipulateurs présentent le même problème de fond: le manque d’amour et de confiance. C’est la stratégie qu’ils ont élaborée pour survivre au sentiment de séparation qui est différente. Quelquefois, une personne est à la fois victime et manipulatrice. Elle manipule en montrant combien elle est victime.

8224%20zen dans POUVOIRSi le pouvoir associé à la manipulation est malsain, il existe un pouvoir sain basé sur l’écoute, le respect et la bienveillance. Bien des gens de pouvoir sont motivés par des sentiments positifs pour le bien de leur entourage. Si le manipulateur comprend la puissance magnétique des sentiments et décortique les fondements de sa vie, s’il accepte d’observer ses peurs profondes, s’il les transmute en sincérité et en générosité, alors il a la possibilité de transformer sa vie, de vivre dans la puissance paisible et dans l’abondance, sans nuire aux autres. Il y gagne beaucoup: la détente et la légèreté. Quant à la victime, si elle tire les leçons de ses souffrances, démantèle ses scénarios intérieurs négatifs, trouve sa puissance paisible, les déconvenues de sa vie ne seront plus nécessaires et disparaitront.

Publié dans:PENSEE, POUVOIR |on 31 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Qui sont les Humains

Historiquement, dû aux religions égarantes – j’entre dans de plus amples détails sous la rubrique « Religion » – et d’autres fausses croyances personnelles acquises par notre éducation, les humains pensent être le pinacle de toutes les espèces, non seulement sur cette petite planète mais à travers l’univers entier. Ceci est une des nombreuses erreurs de l’humanité, pour ne pas dire la plus grande.

Les humains ne sont qu’une seule parmi les innombrables sortes d’espèces à travers les innombrables galaxies et univers. Nous ne sommes certainement nulle part près du sommet de l’arbre ; en fait, nous sommes bien plus près du bas. Souvenez-vous que nous ne sommes encore que dans la 3ième dimension et qu’il existe des milliers de milliards de trillions de dimensions au-dessus de la nôtre.

Qui sont les Humains dans HUMANITE 2011-4-20_Humanisme_2Les humains pensent que parce qu’ils peuvent réussir à faire plusieurs choses que les autres créatures ne peuvent pas, ils leur sont supérieurs. Les autres créatures ont décidé, il y a de cela des éternités, qu’ils allaient prendre un chemin plus spirituel que celui des humains et c’est ainsi qu’ils n’ont aucun besoin de toutes ces choses que les humains valorisent. Parce que les humains, d’un autre côté, peuvent exécuter plus et de façon très différente, nous avons une obligation envers toutes les autres créatures vivantes. La Terre n’est pas un club exclusif pour bigots prétentieux et vous êtes un complet ignorant si vous pensez autrement.

Toutes les créatures vivantes peuvent percevoir leur entourage et peuvent ressentir la douleur. Des appareils électroniques ont été créés qui permettent d’observer les plantes avec grand soin et il est possible d’entendre une plante réellement crier de douleur quand une coupure lui est faite. Juste parce que sa méthode sensorielle est différente de la nôtre – dont plusieurs ne nous sont pas encore entièrement compréhensibles – ne veut pas dire que la plante en question n’est pas consciente ou qu’elle ne peut percevoir ou qu’elle ne ressent pas la douleur.

Malheureusement, quand il s’agit des humains c’est la vie sans contraintes et que le diable emporte les conséquences ! Clairement, nous avons des gens qui ont des enfants sans avoir la moindre connaissance ou intérêt sur la façon d’élever ces enfants. Les deux parents étant au travail, les enfants sont plus ou moins abandonnés à la rue et laissés à eux-mêmes pour se débrouiller, vivant sous la domination de caractères plus forts qu’eux – trop souvent de véritables délinquants – ce qui arrive quand il n’y a aucune orientation parentale, discipline ou amour ; à quoi s’attendre d’autre ? Les prétendus parents ne retournent du travail que pour se précipiter au bar ou dans les boîtes de nuit, sans se préoccuper le moins du monde de leur responsabilités parentales.

Le plus grave de cette affaire est quand ces enfants ont eux-mêmes des enfants, élevant leurs petits exactement de la même façon dont ils ont été « traînés », en cycle interminable qui doit cesser ! Sans aucune discipline nous avons la délinquance juvénile actuelle, échappant fréquemment à tout contrôle, gangs de dangereux criminels parcourant les rues, engagés dans le vandalisme ou battant les vieillards juste pour le plaisir de la chose.

issu du texte « Les Jardiniers » du Site Lobsang Rampa

http://www.lobsangrampa.org/francais/jardiniers.html

Publié dans:HUMANITE |on 31 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Communication spontanée 4

MAURICE GONTRAN.

(communication spontanée)

Communication spontanée 4 dans CHANNELING communicationC’était un fils unique, mort à dix-huit ans d’une affection de poitrine. Intelligence rare, raison précoce, grand amour de l’étude, caractère doux, aimant et sympathique, il possédait toutes les qualités qui donnent les plus légitimes espérances d’un brillant avenir. Ses études avaient été terminées de bonne heure avec le plus grand succès, et il travaillait pour l’Ecole polytechnique. Sa mort fut pour ses parents la cause d’une de ces douleurs qui laissent des traces profondes, et d’autant plus pénibles qu’ayant toujours été d’une santé délicate, ils attribuaient sa fin prématurée au travail auquel ils l’avaient poussé, et se la reprochaient. «A quoi, disaient-ils, lui sert maintenant tout ce qu’il a appris ? Mieux eût valu qu’il fût resté ignorant, car il n’avait pas besoin de cela pour vivre, et sans doute il serait encore parmi nous ; il aurait fait la consolation de nos vieux jours.» S’ils eussent connu le Spiritisme, ils auraient sans doute raisonné autrement. Plus tard, ils y trouvèrent la véritable consolation. La communication suivante fut donnée par leur fils à un de leurs amis, quelques mois après sa mort :

 D. Mon cher Maurice, le tendre attachement que vous aviez pour vos parents fait que je ne doute pas de votre désir de relever leur courage, si cela est en votre pouvoir. Le chagrin, je dirai le désespoir où votre mort les a plongés, altère visiblement leur santé et leur fait prendre la vie en dégoût. Quelques bonnes paroles de vous pourront sans doute les faire renaître à l’espérance.

 R. Mon vieil ami, j’attendais avec impatience l’occasion que vous m’offrez de me communiquer. La douleur de mes parents m’afflige, mais elle se calmera quand ils auront la certitude que je ne suis pas perdu pour eux ; c’est à les convaincre de cette vérité qu’il faut vous attacher, et vous y arriverez certainement. Il fallait cet événement pour les amener à une croyance qui fera leur bonheur, car elle les empêchera de murmurer contre les décrets de la Providence. Mon père, vous le savez, était très sceptique à l’endroit de la vie future ; Dieu a permis qu’il eût cette affliction pour le tirer de son erreur.

 Nous nous retrouverons ici, dans ce monde où l’on ne connaît plus les chagrins de la vie, et où je les ai précédés ; mais dites-leur bien que la satisfaction de m’y revoir leur serait refusée comme punition de leur manque de confiance en la bonté de Dieu. Il me serait même interdit, d’ici là, de me communiquer à eux pendant qu’ils sont encore sur la terre. Le désespoir est une révolte contre la volonté du Tout-Puissant, et qui est toujours punie par la prolongation de la cause qui a amené ce désespoir, jusqu’à ce qu’on se soit enfin soumis. Le désespoir est un véritable suicide, car il mine les forces du corps, et celui qui abrège ses jours avec la pensée d’échapper plus tôt aux étreintes de la douleur, se prépare les plus cruelles déceptions ; c’est, au contraire, à entretenir les forces du corps qu’il faut travailler pour supporter plus facilement le poids des épreuves.

 Mes bons parents, c’est à vous que je m’adresse. Depuis que j’ai quitté ma dépouille mortelle, je n’ai pas cessé d’être auprès de vous, et j’y suis plus souvent que lorsque je vivais sur la terre. Consolez-vous donc, car je ne suis pas mort ; je suis plus vivant que vous ; mon corps seul est mort, mais mon Esprit vit toujours. Il est libre, heureux, à l’abri désormais des maladies, des infirmités et de la douleur. Au lieu de vous affliger, réjouissez-vous de me savoir dans un milieu exempt de soucis et d’alarmes, où le coeur est enivré d’une joie pure et sans mélange,

communication_agency1 dans ESPRITS Oh ! mes amis, ne plaignez pas ceux qui meurent prématurément ; c’est une grâce que Dieu leur accorde de leur épargner les tribulations de la vie. Mon existence ne devait pas se prolonger plus longtemps cette fois sur la terre ; j’y avais acquis ce que j’y devais acquérir pour me préparer à remplir plus tard une mission plus importante. Si j’y avais vécu de longues années, savez-vous à quels dangers, à quelles séductions j’aurais été exposé ? Savez-vous que, si, n’étant pas encore assez fort pour résister, j’avais succombé, ce pouvait être pour moi un retard de plusieurs siècles ? Pourquoi donc regretter ce qui m’est avantageux ? Une douleur inconsolable, dans ce cas, accuserait un manque de foi et ne pourrait être légitimée que par la croyance au néant. Oh ! oui, ils sont à plaindre, ceux qui ont cette croyance désespérante, car pour eux il n’est point de consolation possible ; les êtres qui leur sont chers sont perdus sans retour ; la tombe a emporté leur dernière espérance !

  D. Votre mort a-t-elle été douloureuse ?

R. Non, mon ami, je n’ai souffert qu’avant de mourir de la maladie qui m’a emporté, mais cette souffrance diminuait à mesure que le dernier moment approchait ; puis, un jour, je me suis endormi sans songer à la mort. J’ai rêvé ; oh ! un rêve délicieux ! Je rêvais que j’étais guéri ; je ne souffrais plus, je respirais à pleins poumons et avec volupté un air embaumé et fortifiant ; j’étais transporté à travers l’espace par une force inconnue ; une lumière éclatante resplendissait autour de moi, mais sans fatiguer ma vue. Je vis mon grand-père ; il n’avait plus la figure décharnée, mais un air de fraîcheur et de jeunesse ; il me tendit les bras et me serra avec effusion sur son coeur. Une foule d’autres personnes, au visage souriant, l’accompagnaient ; toutes m’accueillaient avec bonté et bienveillance ; il me semblait les reconnaître, j’étais heureux de les revoir, et tous ensemble nous échangions des paroles et des témoignages d’amitié. Eh bien ! ce que je croyais être un rêve était la réalité ; je ne devais plus me réveiller sur la terre : je m’étais réveillé dans le monde des Esprits.

 D. Votre maladie n’aurait-elle pas été causée par votre trop grande assiduité à l’étude ?

 R. Oh ! non, soyez-en bien persuadés. Le temps que je devais vivre sur la terre était marqué, et rien ne pouvait m’y retenir plus longtemps. Mon Esprit, dans ses moments de dégagement, le savait bien, et il était heureux en songeant à sa prochaine délivrance. Mais le temps que j’y ai passé n’a pas été sans profit, et je me félicite aujourd’hui de ne l’avoir pas perdu. Les études sérieuses que j’ai faites ont fortifié mon âme et ont augmenté mes connaissances ; c’est autant d’appris, et si je n’ai pu les appliquer dans mon court séjour parmi vous, je les appliquerai plus tard avec plus de fruit.

 Adieu, cher ami, je vais auprès de mes parents, les disposer à recevoir cette communication.

MAURICE.

 Extrait de LE CIEL ET L’ENFER SELON LE SPIRITISME par Allan Kardec

Lire le livre en son entier ici 

 

Publié dans:CHANNELING, ESPRITS, La MORT |on 31 mars, 2012 |Pas de commentaires »

La souffrance de l’Ame


Lorsque l’on dit que l’Âme souffre, ce n’est pas elle qui souffre en réalité, mais la conscience de veille identifiée à ses corps de manifestations physique, émotionnel et mental, soit ceux qui l’exposent à la dualité. La souffrance est une réaction mentale à  Cenchrus biflorus« ce qui est ». Dès que vous exprimez une plainte, un jugement, une souffrance, posez-vous la question : « qui est-ce qui parle ? Qui est-ce qui exprime cela ? » La réponse vous viendra spontanément : « ce sont des facettes de la personnalité, ce sont des mémoires auxquelles je m’identifie, c’est l’ego ». Cela vous permettra de vous dissocier de cette facette de vous-même qui souffre, cessant ainsi de creuser les sillons de vos schémas conditionnés et désactivant de ce fait leur pouvoir créateur. Mais surtout ne commettez pas l’erreur de juger ces aspects de vous-même, car se faisant vous vous identifieriez à un autre rôle égotique. L’Âme ressent la souffrance en tant que vibration alors que le mental y réagit et souhaite s’en distancer, voilà la grande différence ! Autrement dit, l’Âme ressent la souffrance, mais elle n’en est pas affectée. Lorsque la conscience de veille est identifiée à une mémoire émotionnelle négative, alors il y a souffrance. Mais lorsque la conscience de veille change de regard et observe cette mémoire et sa vibration depuis l’angle de vue de la Conscience pure de l’Âme, alors il y a transcendance de la souffrance. La douleur physique, l’émotion négative et la forme-pensée sont contemplées en tant que vibration, de façon totalement équanime, c’est-à-dire sans jugement, dans l’absolue acceptation de ce qu’elles expriment. C’est cet état d’être qui est le lâcher-prise véritable, l’abandon total à la réalité telle qu’elle est.

Publié dans:AME |on 30 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Univers parallèles et lignes du temps

Monique Mathieu

« Nous avons montré à notre canal plusieurs lignes du temps qui s’entrecroisent, et ces lignes du temps concernent aussi des univers parallèles. Que peuvent représenter pour vous des univers parallèles ? Des mots, des concepts, mais pas encore une réalité !

Univers parallèles et lignes du temps dans TEMPS 220px-OldoinyolengaiSi vous aviez conscience de l’immensité de la Création ! Il existe des univers parallèles, et il existe également le double ou le frère jumeau de votre univers, et ces deux univers peuvent s’interpénétrer. Imaginez tout simplement que la Terre a une sœur jumelle dans un autre univers, un univers parallèle, et que vous aussi avez un double de vous dans le même univers parallèle. Les lignes du temps des univers parallèles peuvent se croiser, se chevaucher, et il est possible de sauter d’une ligne à l’autre en permanence.

A l’époque actuelle, vous avez votre propre ligne du temps qui doit vous mener essentiellement à votre transition, à la cinquième dimension. Cependant il y a des univers parallèles qui n’ont pas le même objectif. Ils ont un autre destin évolutif ; ils se ressemblent mais ils n’évoluent pas forcément de la même façon que le vôtre.

Nous aimerions d’ailleurs mieux parler « d’univers miroirs » que d’univers parallèles.

Ils me disent donc :

220px-Libya_4985_Tadrart_Acacus_Luca_Galuzzi_2007 dans TEMPS« En ce moment, vous vivez beaucoup de distorsions dues au changement de dimension, aux immenses énergies que reçoit la planète Terre. Des énergies appartenant à d’autres univers ne voudraient pas que votre petit système solaire puisse s’élever vers la cinquième dimension. Elles voudraient maintenir votre système solaire loin d’elle.

En fait le système solaire n’est rien. C’est tout un ensemble qui est en train de monter encore et encore dans une vibration extraordinaire, et certaines énergies, pour leur puissance et leur domination, voudraient bloquer cette vibration pour avoir encore la mainmise sur cet ensemble.

Que font-elles donc ? Elles essaient de manipuler la ligne du temps en passant par des univers parallèles car c’est plus facile pour elles. Cependant cela ne se passe pas comme elles le souhaitent donc elles essaient de freiner l’évolution et le résultat final de cette évolution.

Elles n’y arriveront pas, parce que tout est prévu dans le plan divin ».

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

qu’il ne soit pas coupé
qu’il n’y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

Publié dans:TEMPS |on 30 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Mystère de la création

 

Image illustrative de l'article Gorges du VerdonC’est dans le parc du Verdon, à proximité du village du Thoronet dans le haut Var, qu’eut lieu il y a quelques années la première rencontre « de troisième type » (contact rapproché) entre l’alchimiste Raymond Spinosi et un groupe d’extraterrestres. Quelques jours auparavant, Soma, une entité issue de la planète Sorina, située à la périphérie des Pléiades, l’avait invité télépathiquement à se rendre jusqu’à la chapelle Saint-Thyrse, située au Casterallas, un ancien village médiéval fortifié au XIVème siècle par des « moines-soldats » appartenant à l’Ordre du Temple de Jérusalem.

Il attendait à proximité de ce lieu, lorsqu’il vit poindre en face de lui une petite lumière qui pulsait légèrement à l’horizon. Brusquement, ce point prit la forme d’un disque argenté qui semblait se rapprocher à vive allure. En quelques fractions de seconde, le disque l’avait rejoint et s’était s’immobilisé au-dessus de sa tête, à environ une centaine de mètres d’altitude. Au même instant, deux vortex bleuâtres apparurent devant lui ; chacun matérialisa un humanoïde revêtu d’une combinaison bleue argentée. Les deux « apparitions » mesuraient environ 1 m 90 et leur tête était recouverte d’un capuchon également argenté. Leur visage était si lumineux qu’il était impossible de distinguer précisément leurs traits.

Voici ce témoignage. 

« La date du vendredi 12 Novembre 2004, jour de la Saint Christian (lié à l’Énergie Christique), restera à jamais inscrite en lettres d’Amour dans mon cœur. En effet, cette journée, ou plutôt cette nuit, m’a offert la quintessence de l’ensemble de mon travail alchimique et spirituel. Elle a concrétisé l’aboutissement de nombreuses années d’efforts qui avaient pour finalité une « Rencontre » avec des Êtres issus d’une autre civilisation galactique. Il est vrai que, quelques années auparavant, j’avais déjà eu des contacts avec des Entités Célestes ; cependant, ces expériences ne m’avaient pas encore permis de « conscientiser » tout l’Amour infini qui existe dans l’univers.

C’est à la suite d’une « information » transmise par Soma, mon « Double Cosmique », que Marc, mon ami et frère spirituel, et moi-même et avions décidé de nous rendre sur le site d’une antique chapelle provençale : Notre-Dame-de-Valvert.

Il était un peu plus de 23 heures, lorsque nous arrivâmes à l’endroit où fut érigée cette magnifique chapelle romane au XIIIème siècle. Le temps était couvert ; seules, quelques timides étoiles essayaient de percer l’opacité des cieux. Il n’y avait pas de vent, le silence enveloppait d’un voile cotonneux les êtres et les choses. Je sentais intérieurement que nous étions plongés dans un « ambiant stellaire » propice à la manifestation d’une « Rencontre ». Mon ami se tenait près de moi, silencieux ; il avait la tête levée vers le ciel qu’il semblait scruter, dans l’attente d’une arrivée imminente.

- Ils sont en approche ! commenta-t-il au bout d’un moment, tout en m’indiquant la direction de ce qui ressemblait à une étoile perdue dans un coin du ciel.

Je ne répondis pas, car j’étais déjà dans un état d’intériorisation totale. Au bout de quelques instants, il me désigna un autre point lumineux dans l’obscurité.

- Les voilà ! ajouta-t-il alors tout simplement.

En effet, le point avait grandi : sa lumière était plus puissante et on arrivait à présent à discerner sa forme ovoïdale. Nous étions tous deux sans voix, plongés dans l’indicible émotion que nous diffusait notre Être intérieur. Lentement, le vaisseau se dirigea vers l’est de la chapelle, avant de s’immobiliser au-dessus de ses trois absides. Et c’est à cet instant précis que des images imprimèrent la toile de mon regard intérieur. Ce que je vis me remplit d’un intense étonnement, car c’était une image de moi-même qui avait investi ma vision : je me voyais en train de pénétrer dans la chapelle ; cela correspondait à une forme de langage, comme une sorte d’invitation… Je pénétrai alors dans la chapelle, d’une démarche lente et empreinte d’une grande solennité, car je commençais à mesurer tout ce que cette expérience aurait comme conséquences dans ma vie. Une fois à l’intérieur, mon ami me rejoignit, tout en gardant le silence. Pour ma part, je ne savais plus ce que je devais faire ; je décidai d’attendre…

Mystère de la création dans O.V.N.I et E.T. 220px-PurportedUFO2À nouveau, des images s’inscrivirent sur ma vision intérieure : je me voyais me dirigeant vers l’abside centrale. Obéissant à cette recommandation, je décidai de m’y rendre. Dès que je parvins au cœur du transept, une nouvelle image se présenta : cette fois, je me tenais devant la pierre d’autel, face à l’est. Je me rendis donc jusqu’à ce point précis. Mon ami, qui était resté à l’entrée de la nef, s’était mis à psalmodier une mystérieuse litanie que les murs me renvoyaient amplifiée. Le temps semblait suspendu entre les battements de mon cœur et le murmure de mon âme. Puis, progressivement, une légère vibration commença à inonder l’intérieur de la chapelle. C’était comme si la consistance énergétique du lieu se modifiait peu à peu ; je me sentis comme pénétré par les vagues d’un flux invisible, je fermai les yeux et me laissai aller à cette réceptivité. Ce phénomène perdura encore quelques instants, jusqu’à ce qu’un vortex de couleur rougeâtre enveloppât la base de ma colonne vertébrale. Puis le vortex commença à remonter le long de mon corps. Chaque fois qu’il atteignait un nouveau chakra (un point énergétique subtil), il se colorait différemment. Lorsqu’il parvint enfin au sommet de mon Être, un cône de couleur violette m’absorba tout entier.

Je ne saurais le dire combien de temps s’était écoulé quand j’ouvris les yeux, tant j’avais désormais conscience d’appartenir à un autre espace-temps. Ce que je vis en premier, ce fut un immense cercle d’environ 200 mètres de diamètre. Sa circonférence était composée de divers symboles multicolores. Ces symboles semblaient en suspension dans l’air ; je compris qu’ils constituaient un concept d’instrumentation de navigation intergalactique. Au centre de cet espace, il y avait une sorte de cylindre à l’intérieur duquel un flux énergétique d’une puissance inimaginable semblait tourbillonner de bas en haut. Il était de couleur bleue tirant sur le violet et il était parcouru par des faisceaux de couleur argentée qui le traversaient tout en s’illuminant par intermittence. J’en déduisis que cela représentait la force de propulsion de ce vaisseau spatial.

À l’extérieur, les cieux brillaient d’une pureté extraordinaire. Les astres scintillaient comme autant de perles de cristal et semblaient vivants. Une image me recommanda alors de m’approcher davantage du cercle coloré. J’obéis donc et avançai, jusqu’à ce que je parvienne à la hauteur des symboles. Instinctivement, j’avançai ma main et aussitôt, mes doigts rencontrèrent une résistance fluidique, la même que mes pas découvraient lorsque je marchais. J’étais émerveillé par la technologie de ce vaisseau-lumière qui était d’une transparence parfaite.

C’est à ce moment-là qu’une voix retentit dans mon esprit : c’était ma propre voix qui me parlait. Ce phénomène, je l’avais déjà rencontré lors de précédentes expériences rapprochées, c’était une façon de pouvoir communiquer. Donc, j’écoutai ce qu’on voulait m’expliquer via ma propre voix.

- Regarde plus en profondeur ! me dit ma voix.

Je concentrai donc toute mon attention sur un point lumineux qui grossissait à vue d’œil. C’était la planète Terre que je voyais au travers du philtre du vaisseau. La vision se fit plus précise, et les reliefs commencèrent à se modifier très rapidement, jusqu’à ce que des montagnes, des mers, des lacs, des rivières, des torrents, des forêts immenses, se présentent sur l’écran transparent qui me faisait face. J’étais absolument émerveillé par tout ce que je découvrais. Des plantes inconnues ainsi que des arbres aux fruits d’une incomparable beauté, décoraient des espaces baignés d’une lumière tellement pure que même les pierres y semblaient vivantes. J’aperçus des animaux si fabuleux que je n’aurais jamais pu en imaginer l’existence dans mes rêves les plus extraordinaires. Toute cette création vivait dans la plus parfaite harmonie, chaque espèce occupant des espaces parfaitement adaptés à ses besoins ; tout témoignait le plus grand respect à l’égard de ce principe fondamental d’harmonie. 

Je compris enfin que l’ensemble de cette faune et de cette flore se nourrissait de l’énergie primordiale qui était en suspension au-dessus de ce véritable Eden. Cette disposition alimentaire évitait toute forme de violence et favorisait le développement de la paix et de l’amour à l’égard du Créateur. Tant et tant de beauté, d’amour et de paix s’exprimaient à travers toutes ces images que l’on m’offrait que j’en essuyai quelques larmes qui commençaient lentement à couler sur mes joues. Alors, comme pour répondre à ma très grande émotion, la voix me dit :

- Voilà, comment était la Terre, avant que l’humanité ne vienne à l’existence. Cependant, il est encore possible de retrouver ces états paradisiaques, si suffisamment d’amour et de paix s’installent dans le cœur des hommes. Alors, le « Grand Être » inclinera son lumineux Cœur vers votre Terre Mère, et Il y déversera tout son Amour afin que puissent à nouveau s’y épanouir les fleurs de bonheur !

Aussitôt que la voix cessa, une nouvelle image intérieure me montra derrière moi deux êtres de forme humanoïde. Je me retournai et j’aperçus effectivement deux formes qui se trouvaient derrière moi ; elles étaient parfaitement immobiles et avaient les bras le long du corps. Leur aspect était de couleur bleuâtre et un fluide argenté illuminait certaines parties de leur corps qui mesurait environ 1 m 50. Ce qui me surprit le plus, c’est le fait que ces êtres étaient privés de bouche ; cependant, deux grands yeux en amandes de couleur rubis flamboyant, éclairaient leur visage. Puis, une autre image me montra deux autres formes humanoïdes à mes côtés. Et aussitôt, je vis que ces deux êtres se trouvaient eux aussi tout près de moi. Celui qui était à ma droite, se tourna dans ma direction, et j’entendis la voix qui me dit :

- Regarde encore dans l’écran de l’univers, et contemple le divin Mystère !

220px-Lenticulariswolke dans O.V.N.I et E.T.C’est alors que tout l’ensemble des cieux sembla se résorber rapidement, jusqu’à atteindre une vitesse supra-lumineuse. Des planètes se condensaient en nuages démesurés. Des soleils se réduisaient à des amas de gaz effrayants. Des galaxies colossales se concentraient indéfiniment, jusqu’à atteindre des proportions infimes. Et, soudain, en un instant, tout disparut ! Le temps cessa alors d’exister : il n’avait plus de raison d’être… Un silence infini régnait, et dans ce silence infini vivait un Grand Esprit Créateur, animé d’un Amour infini, et irradiant une Lumière infinie. Et cet Amour et cette Lumière se manifestaient sous forme de nombres et de schémas équationnels, avec lesquels nulle pensée extérieure n’interférait jamais. Puis, le Grand Esprit Créateur lança un Ordre d’Amour et de Lumière : « Que la Lumière Soit ! » Alors, cet Ordre explosa en une gerbe étincelante de lumières, et l’univers naquit enfin…

J’étais étourdi par tout ce que je venais de voir. Alors, l’Être me regarda et ses yeux avaient une telle profondeur d’Amour, que des larmes de joie inondèrent à nouveau mes joues. Je ne pouvais pas concevoir que tant d’Amour puisse exister. Et de nouveau, des images se formèrent sur l’écran de mon âme : elles étaient si belles et si pures que je cherchais à les toucher. Elles figuraient une multitude de créatures, connues et inconnues, ainsi que des formes de vie infinies. Ces images se mirent à tournoyer autour de moi, de plus en plus vite, cependant que la voix proclamait : « Tout est Amour ! Tout est Amour ! Tout est Amour ! » avec une telle intensité que je finis par vaciller…

Lorsque je retrouvai mon équilibre, je vis que mon ami Marc se trouvait près de moi. J’étais en état de choc, incapable de lui parler. Il le sentit et demeura lui aussi silencieux.

Plus tard, lorsque nous fûmes ressortis de la chapelle, je le pris dans mes bras et l’étreignis affectueusement. Il m’adressa alors un regard si lumineux, que je compris qu’il venait lui aussi de rencontrer la Source de l’Amour infini… »

Raymond Spinosi
Transmis à ÈRE NOUVELLE le 31 décembre 2004

 

Publié dans:O.V.N.I et E.T. |on 29 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Les vies antérieures

Monique Mathieu

« Il n’est pas d’une importance considérable d’avoir accès ou non à vos vies antérieures. Si cela peut réellement aider un être à mieux comprendre ce qu’il est ou ses expériences plutôt difficiles, cela peut être positif pour lui.

Si, lorsque vous vous êtes incarnés, vous avez choisi l’occultation de vos souvenirs, c’est que c’était nécessaire. Par contre, en cette fin de cycle, pour certains êtres, et nous disons bien pour certains êtres, et à condition que ce ne soit pas fait par curiosité, cela a de l’importance.

L’important, c’est de savoir qui vous avez pu être par rapport à ce que vous êtes aujourd’hui, simplement au niveau de l’Amour et de votre ouverture de conscience.

Vous êtes, et vous le savez tous, en fin de cycle, cela veut dire que vous ne vivrez plus d’expériences dans les mondes de densité comme cela a été le cas jusqu’à ce jour. Cela veut également dire que vous arrivez au moment de la grande récolte, que tout ce que vous avez appris et expérimenté se retrouve en vous. Votre multitude de vies, avec tout ce qu’elles comportent, sont imprégnées au plus profond de votre âme mais sont perceptibles au niveau de vos corps subtils et au niveau de votre mémoire cellulaire.

Vous arrivez donc au moment de la grande récolte. Quelle récolte ? La récolte de tout ce que vous avez accompli dans l’Amour et pour l’Amour, ou la récolte des actes qui n’étaient pas toujours dictés par l’Amour ? Tous les actes qui ont été accomplis dans le non Amour lors de vos multiples vies ont, d’une certaine manière, été nettoyés, purgés. La loi de cause à effet s’est appliquée jusqu’à ce jour par rapport à tous les actes que vous avez commis, et ils ont été multiples dans la méconnaissance de l’Energie Amour.

A l’époque actuelle, vous allez réellement vivre votre propre réalisation par rapport à tout ce que vous avez acquis de positif, tout ce qui vous a fait grandir au niveau de l’Amour et de la conscience ».

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

qu’il ne soit pas coupé
qu’il n’y ait aucune modification de contenu
que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 29 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Barques des Morts


Un vaisseau fantôme est un navire maudit qui, selon la légende, est condamné à errer sur les océans, conduit par un équipage de squelettes et de fantômes. Le plus célèbre des vaisseaux fantômes est le Hollandais volant, jadis appelé quelquefois Le voltigeur hollandais, également connu sous les noms anglaisThe Flying Dutchman ou allemand Der Fliegende Hollander, ce dernier étant le titre original du premier des dix opéras majeurs de Richard Wagner.

Barques des Morts dans La MORT 310px-Flying-DutchmanIl en existe d’autres, tels le Vaisseau fantôme de la baie des Chaleurs au Canada ou le Caleuche, vaisseau fantôme appartenant au folklore de l’archipel des îles Chiloé au Chili ou encore le Princess Augusta près de l’île américaine de Block Island, près de New York aux États-Unis.

On connait aussi de nombreuses traditions, notamment celtiques, concernant des barques peuplées de défunts.

La baie des Chaleurs est un bras du golfe du Saint-Laurent au Canada. Au xviiie siècle, lorsqu’un navire voulait entrer dans la baie, pour venir commercer avec un des nombreux villages indiens, il hissait un drapeau pour demander la venue d’un pilote pour le guider. Il s’agissait généralement de pirates, dont un des plus célèbres était le capitaine Craig. Cette assistance était indispensable autant pour entrer que pour ressortir de la baie.

Un jour où le capitaine Craig avait demandé l’assistance d’un pilote pour guider sa sortie, celui-ci, une fois à bord entendit des cris. Sous la menace d’être balancé à la mer par le pilote doté d’une carrure impressionnante, le pirate accepta de jeter l’ancre. Le pilote découvrit alors deux jeunes indiennes qui avaient été enlevées et qu’il s’empressa de libérer et ramener à terre. Une fois hors de danger, elles conjurèrent leur sauveteur de ne pas retourner sur le navire parce qu’elles pressentaient une catastrophe. Peu crédule, le pilote retourna à bord, mais une vague projeta effectivement le bateau sur les rochers. L’équipage fut tué sur le coup, Craig et son premier lieutenant se noyèrent, seul le pilote en réchappa. Le soir même, par un temps calme mais orageux, des témoins virent glisser sur la baie une boule de feu qui prit la forme du navire de Craig. Le même phénomène se fût reproduit à plusieurs reprises, mais toujours par un temps identique

Le Caleuche Caleuche est un vaisseau fantôme appartenant au folklore de l’archipel des îles Chiloé au Chili. Son apparence la plus fréquente est celle d’un grand bateau blanc illuminé d’où proviennent les échos d’une musique de fête et qui peut disparaître rapidement sous les eaux. Selon la légende, il s’agirait de la dernière demeure des personnes noyées en mer. Une de ses caractéristiques est de changer continuellement d’aspect, ce qui lui a valu son nom,Caleuche venant de Kaleuntun en Mapudungun, qui signifie se transformer, changer de peau. Il est parfois considéré comme un repaire pour les sorciers et les démons locaux. Sa rencontre en mer est interprétée comme un très mauvais présage.

Il n’existe aucun accord sur l’origine de cette légende. Il pourrait s’agir d’une adaptation locale des croyances européennes concernant les barques des morts, les vaisseaux fantômes et le célèbre Hollandais volant. Toutefois, il pourrait tout aussi s’agir d’élucubrations à partir de faits réels tels que la disparition du navire hollandais « Calanche », de l’occupation temporaire de l’île par le corsaire hollandais Baltazar de Cordes ou d’une pure invention destinée à masquer des opérations de contrebande.

220px-Mary_Celeste_as_Amazon_in_1861 dans POLTERGEISTS et LEGENDESLe Mary Celeste (1872)

Le Mary Celeste, souvent appelé à tort La Marie-Céleste, est incontestablement le plus célèbre des vaisseaux fantômes réels. C’était un brick de 198 tonneaux construit en 1860 en Nouvelle-Écosse au Canada. Il avait appareillé, chargé d’une cargaison de 1 701 fûts d’alcool dénaturé, avec à son bord le capitaine Benjamin Briggs, sa femme, sa fille Sophia âgée de 2 ans et sept hommes d’équipage. Il fut découvert abandonné, le 5 décembre 1872, entre le Portugal et les Açores par le Dei Gratia, commandé par le capitaine Morehouse. Les dernières indications notées sur le livre de bord du navire remontaient au 24 novembre et une ardoise indiquait qu’il avait atteint l’île de Santa Maria aux Açores le 25. Le navire était intact, voiles partiellement carguées, mais avec une certaine quantité d’eau dans la coque. La barre n’était pas amarrée, il manquait à bord le canot, un hunier, les instruments de navigation, des vivres et une certaine quantité d’eau. Tout laisse à penser que le bateau avait été abandonné dans la panique pour une raison inconnue. L’équipage, embarqué dans le canot, avait ensuite probablement disparu en mer.

En 1884, Arthur Conan Doyle fit de cette découverte un récit romancé, en y ajoutant de nombreux détails imaginaires. Ces derniers furent repris comme des éléments réels dans des relations ultérieures et contribuèrent à alimenter les hypothèses les plus diverses.

Le J. C. Cousins (1883)

La goélette J. C. Cousins était un luxueux yacht de 49 tonnes, long de 20 mètres, construit à San-Francisco en 1863. Après divers emplois, le navire avait été acheté pour être utilisé comme bateau-pilote à Astoria (Oregon), à l’embouchure de la Columbia. Le soir du 6 octobre 1883, la goélette avait appareillé vers l’est d’Astoria pour aller prendre son poste en mer, afin de pouvoir guider les navires devant éviter les bancs de sable à l’embouchure du fleuve. Son équipage de quatre marins fraîchement recrutés, sans fauteur de troubles connu, était sous le commandement du capitaine Joshua Zeiber. Une fois parvenu au milieu de la rivière, le capitaine avait noté dans le livre de bord, outre sa position et l’heure, que « tout allait bien à bord ».

220px-Bluffs-_Block_Island%2C_RILe lendemain matin, 7 octobre 1883, il faisait un temps clair et un vent léger. Très tôt le navire avait été observé virant à trois miles au large, en direction deClatstop Spit, près d’Ilwaco, dans l’État de Washington. Brusquement, vers 13 heures, suite à un changement de vent, le navire a brusquement pivoté sur lui-même et s’est dirigé, toutes voiles dehors, droit sur la côte, pour finalement s’échouer brutalement sur un banc de sable. Les témoins se sont immédiatement précipité à son secours et ont découvert, une fois montés à bord, une situation incompréhensible : le navire avait été manifestement abandonné avec précipitation. Il y restait un repas intact servi sur la table du carré et, dans la cuisine, des pommes de terres cuisaient dans un casserole, sur une cuisinière encore chaude. Dans le poste d’équipage, tous les effets des marins étaient proprement pendus. Il n’y avait pas la moindre trace de lutte ou de désordre. Dans la cabine du capitaine un révolver Colt était rangé avec ses six balles de calibre .45 dans le barillet. Le canot du bord était arrimé à son poste et, sur le pont près du grand mât, une caisse contenant une pile de bouées de sauvetage en liège était intacte. Aucun corps n’a été repêché et, à terre ou en mer, il n’y avait la moindre trace de l’équipage. Une commission d’enquête a exploré en vain toutes les hypothèses possibles mais le mystère n’a jamais été éclairci. Le navire a finalement été remorqué, puis vendu aux enchères…

Les moyens de transport fantômes

Il existe de nombreux récits relatant des phénomènes de hantise, réels ou légendaires, survenus à bord de bateaux, de trains, d’avions et même de sous-marins. Mais il arrive aussi parfois que ce soit les véhicules eux-mêmes qui se comportent comme des fantômes.

Les moyens de transport fantômes dans POLTERGEISTS et LEGENDES 220px-Ghost_Ship_20La découverte de certaines épaves réelles, dans des circonstances particulièrement lugubres, peut avoir marqué durablement les esprits et contribué à la légende de bateaux conduits par des équipages de fantômes et de squelettes. Une telle sinistre rencontre s’est déroulée en 1913. Le Marlborough, un trois-mâts à coque en fer, long de 70 m, avait été lancé à Glasgow en 1876 et était devenu la propriété de la Shaw, Saville & Albion Company. Il était armé par un équipage de 29 hommes commandé jusqu’en 1883 par le capitaine Anderson, puis par le capitaine Herd. Entre 1876 à 1890, le Marborough avait assuré avec succès quatorze traversées d’immigrés entre Londres et la Nouvelle-Zélande. Chargé d’une cargaison de viande congelée et de laine, il partit de Lyttelton en Nouvelle-Zélande le 11 janvier 1890, et a été vu pour la dernière fois le 13 janvier, avant de disparaitre sans laisser de traces. Il a été retrouvé 23 ans plus tard, en 1913, intégralement recouvert de moisissure verte, dans des circonstances particulièrement tragiques :

« Un navire anglais se rendant à Lyttleton a fait, à Punta Arenas (près du cap Horn) une découverte macabre. Il a aperçu un navire qui semblait désemparé. Aucune réponse n’étant fait à ses signaux il s’est approché ; des matelots ont pénétré à bord de ce navire. Ils y ont trouvé vingt squelettes humains. Le bateau portait le nom de Marlborough, du port de Glasgow. Or, en 1890, un voilier de ce nom qui se rendait au Chili fut aperçu, pour la dernière fois auprès du détroit de Magellan, puis on demeura sans aucune nouvelle de lui et il fut classé comme perdu. »

Les épaves dérivantes

220px-Ghost_Ship_133 dans POLTERGEISTS et LEGENDESÀ partir du xviiie siècle, de nombreux navires furent abandonnés en haute mer par leur équipage pour diverses raisons :

« Ou bien le navire coulait bas envahi par l’eau et, après abandon, il a continué à flotter entre deux eaux : ou bien, il a été incendié, son équipage s’est enfui épouvanté, et le feu s’est arrêté lorsque l’eau est arrivée au niveau du pont. Parfois, à n’en pas douter, et le cas est heureusement rare, le choléra, la peste ou toute autre maladie ont fait périr tout le monde à bord : voila donc le navire qui continue sa route, encore gréé, au hasard, dangereux à aborder à tous points de vue. »

Bien que redoutablement réels, se crée une habitude de les qualifier de « vaisseaux fantômes » en référence aux diverses légendes. À la fin du xixe siècle, le bureau hydrographique de Washington, aux États-Unis, a créé un service spécial chargé de recenser ces épaves errantes. Selon cet organisme, il y avait à cette époque une vingtaine d’épaves à flot en permanence sur les grandes routes maritimes de l’Atlantique nord, occasionnant environ 230 rencontres à hauts risques chaque année. La situation empira ensuite à tel point qu’en 1913 l’administration américaine construisit un navire spécifiquement destiné à les couler à l’aide d’explosifs :

« Scientific American nous dit que les États-Unis viennent de mettre en service, pour la protection de leur côte atlantique contre les épaves flottantes, le navire spécial destructeur d’épaves Seneca. Le Seneca a son champ d’opérations limité en latitude par les parallèles de l’île des Sables et des Bermudes. Muni de la télégraphie sans fil, il est immédiatement prévenu soit d’un naufrage en tel ou tel point, soit de la rencontre par un navire d’une de ces dangereuses épaves, navire abandonné par son équipage, mature coupée avec son gréement, ou navire flottant entre deux eaux, qui ont si souvent joué le terrible rôle de « vaisseau-fantôme. »

Baychimo (1931)

220px-BaychimoLe Baychimo, surnommé le bateau-fantôme de l’Arctique entre dans la catégorie des vaisseaux fantômes par la durée exceptionnelle de sa survie, bien que les circonstances de son abandon soient parfaitement connues. C’était un cargo à vapeur en acier, construit en Suède en 1914, long de 70 mètres et pesant 1 300 tonnes. Il appartenait à la Compagnie de la Baie d’Hudson et était affecté au transport des fourrures le long de l’île Victoria et de la côte nord-ouest du Canada, au-delà du cercle Arctique. Le 1er octobre 1931, il fut pris une première fois dans les glaces de la banquise puis, après quelques péripéties, définitivement abandonné le 24 novembre 1931. L’opinion générale était qu’il allait rapidement couler et disparaitre, mais il n’en fut rien. Quelques mois plus tard, il fut aperçu à 300 milles à l’est de sa dernière position connue. Il a ensuite été revu à de nombreuses reprises et, pour la dernière fois, par un groupe d’Inuits en 1969, soit 38 ans après son abandon. Il était alors prisonnier de la banquise de la mer de Beaufort. Il n’existe plus d’informations à son sujet depuis cette date et il est présumé avoir finalement coulé. En 2006, le gouvernement de l’Alaska a lancé un projet pour retrouver le Baychimo, qu’il soit à flot ou au fond des mers.

Les disparitions d’équipages

320px-Saturday_night_at_seaDans la plupart des cas de bateaux abandonnés, tout ou une partie de l’équipage a heureusement réussi à échapper au sinistre ayant provoqué cet abandon. Leurs récits permettent d’en connaître les motifs. Mais, pour quelques navires, les causes et les modalités de cet abandon restent une énigme, laissant la porte ouverte à de multiples hypothèses, y compris les plus excentriques.

Publié dans:POLTERGEISTS et LEGENDES |on 27 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Chakra du coeur

Et le chakra du cœur dans tout ça ? 

(extrait d’une réponse à un courriel)

C’est une question intéressante. Bien entendu, le chakra du cœur est important, mais son ouverture totale (qui se manifeste par un état d’esprit de bienveillance et d’amour inconditionnel pour toutes formes de vies, y compris soi-même dans toutes nos facettes) ne peut avoir lieu que si l’Âme habite pleinement son véhicule de manifestation dans la matière, soit le corps physique. Sans la présence au corps à travers le 2ème chakra (Hara), il n’est pas possible d’équilibrer les autres chakras. Il s’agit en quelques sortes d’un sceau de protection qui empêche l’Âme de développer sa puissante lumière d’amour Chakra du coeur dans CHAKRAS 240px-Anahata_green.svgalchimisante tant qu’elle n’est pas pleinement ancrée dans la matière (sinon pourquoi aurions-nous besoin d’un corps physique ?). Chaque chakra représente un niveau de conscience particulier. En ressentant le Hara dans un état de pleine conscience, vous l’harmonisez et permettez de fait aux autres chakras de s’harmoniser entre-eux. Faites l’expérience de la méditation contemplative de votre Hara, et vous verrez que plus vous ressentirez ce centre vital, plus vous verrez votre état d’esprit changer et votre vitalité croître, justement parce que vos chakras se seront équilibrés d’eux-mêmes. Le Hara est véritablement le centre originel de votre individualité. C’est ce travail conscient sur le Hara qui devrait à notre sens précéder le travail sur tous les autres chakras. Tant de personnes travaillent à l’ouverture du chakra du cœur mais demeurent en périphérie de leur corps la plupart du temps. Comment peuvent-elles rayonner l’Amour christique si elles sont coupées d’elles-mêmes, de leurs émotions et de ce qu’elles ressentent dans l’instant présent, étouffant tous leurs ressentis par le brouhaha mental ? Ainsi, nous conseillons à tous les chercheurs sincères de « descendre » premièrement dans le corps afin d’y ressentir tout ce qui s’y passe en y étant pleinement présent, sans jugement, avec ce regard équanime qui est synonyme d’Amour inconditionnel. En ressentant ce qui se passe en vous et dans votre Hara sans l’interférence du mental, vous vous centrez et vous laissez votre vraie nature émerger, lui permettant de rayonner l’Amour christique de votre cœur. Soyez conscient que le mental ne peut pas rayonner l’Amour christique, si bien intentionné soit-il. Seule la présence à Soi-même le permet, dans un état de conscience ouvert sur le moment présent. Et dans cet état de conscience ouvert à « ce qui est », le chakra du cœur s’ouvre de lui-même…

Publié dans:CHAKRAS |on 25 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Question de l’Ame


Toute personne qui s’intéresse à la spiritualité, à la religion, à la méditation, la philosophie et même à la psychologie a déjà entendu parler de l’Âme. Cette notion est devenue incontournable est quasiment omniprésente, mais sait-on vraiment ce qu’elle renferme ? Les définitions sont nombreuses et souvent peu claires, voire contradictoires. Fruit de nos recherches et réflexions sur cette question, nous relevons le défi de vous en apporter une définition la plus claire possible. Remarque : nous précisons que notre approche est un essai de synthèse entre différents courants traditionnels et modernes et que nous n’avons aucunement la prétention de vous la présenter comme une vérité absolue ou une référence en la matière, mais comme une autre vision parmi tant d’autres vous offrant un autre angle de vue. Comme à notre habitude, nous vous encourageons à ne pas vous limiter à cette approche mais à vous en servir comme d’une base de réflexion pour élaborer votre propre définition personnelle (si tant est que le sujet vous intéresse, bien évidemment).

Question de l'Ame dans AMESelon nous, l’Âme est ce que la science ésotérique nomme le « corps éthérique » (ou corps énergétique). Il est communément admis que ce champ éthérique est la matrice énergétique du corps physique, le corps subtil qui lui est directement supérieur vibratoirement et qui lui apporte l’énergie vitale au travers des canaux d’énergies (les nadis, ou méridiens) et leurs centrales énergétique (les chakras, ou plexus énergétiques). C’est sur ce corps énergétique que les magnétiseurs agissent pour rétablir la santé dans le corps physique. C’est lui qui véhicule la force vitale dans le corps physique. Toutefois, si cette définition est tout-à-fait valable, elle est à notre sens incomplète et limitative. En effet, sur la base de nos recherches et de notre propre expérience pratique, nous sommes parvenus à la conclusion que le corps éthérique ne se limite pas au corps physique, mais qu’il est la membrane matricielle de TOUS les autres corps de l’Être humain (corps émotionnel, mental, causal, bouddhique, âtmique, selon une classification empruntée à la doctrine théosophiste). Il assure la cohésion entre ces différents corps d’expression et de manifestation dont il n’est pas séparé mais au contraire intrinsèquement lié. Il relie toutes les dimensions entre elles, sans y être cantonnées. Ce corps éthérique peut être assimilé à l’Âme en tant que cette matrice énergétique qui enveloppe et qui interpénètre chacun de ces corps physique et subtils. Il se pourrait même que le corps éthérique soit le Corps de Gloire dont parlait Saint-Paul, et la Merkabah des mystiques hébreux. Il est d’ailleurs intéressant de mentionner que le mot hébreu Merkabah vient de « Merkava qui signifie « char » ou « carrosse ». Il s’agirait de l’une des plus anciennes notions de la tradition hébraïque, qui y a consacré une pratique,la Maassé Merkavah (l’Œuvre du Char).

http://www.bodhiyuga.net/index.php?option=com_content&view=article&id=245:lalchimie-de-lame&catid=37:blog&Itemid=54

Publié dans:AME |on 25 mars, 2012 |Pas de commentaires »

La Mort en Hindouisme


L’hindou croit en une vie après la mort — le corps n’étant qu’une enveloppe matérielle temporaire. Lorsque survient le moment de quitter la vie, il est dit que toutes les facultés d’action et de sensations se replient dans le mental (manas), puis le mental se replie dans le souffle (prana) puis le souffle dans l’âme individuelle ou Jivatman et enfin cette dernière retourne au Brahman et atteint la libération ou moksha

La Mort en Hindouisme dans La MORT 220px-Baba_in_KathmanduCependant, si son karma a accumulé le fruit de trop d’actes négatifs (les mauvaises actions), l’âtman s’incarne dans un nouveau corps sur une planète comme la terre (ou inférieure qui compose l’enfer), afin d’y subir le poids de ses mauvaises actions. Si son karma est positif, il ira vivre comme un dieu ou deva, sur l’une des planètes célestes (supérieures à la terre, ou paradis). Une fois épuisé son karma, l’âme retournera sur terre dans un autre corps au sein d’une caste.
Ce cycle est appelé samsâra. Pour briser ce cycle perpétuel, l’hindou doit vivre de manière à ce que son karma ne soit ni négatif, ni positif, selon ce verset de la Bhagavad-Gîtâ (II.11) : « Tu t’apitoies là ou la pitié n’a que faire, et tu prétends parler raison. Mais les sages ne s’apitoient ni sur qui meurt, ni sur qui vit. »  Au moment de la mort l’esprit est séparé du corps. Le non-initié sera alors pris d’une irrésistible envie d’en retrouver un, ce qu’il fera. Par contre, l’initié saura trouver la porte de la libération.

Dans la religion hindoue, mourir c’est se libérer de l’état où nous sommes actuellement pour passer à un état meilleur. Pour cette raison, le sens de la mort est si peu dramatique pour les Hindous, qu’ils souhaitent finir leurs jours au bord du Gange, et veulent après être incinérés, que leurs cendres se mêlent à l’eau du fleuve sacré.

Loin de constituer un tabou, la vie et la mort s’entremêlent étroitement tout au long de l’existence. 

Sans destruction, il ne saurait y avoir de création.

La mort est donc omniprésente dans le quotidien de tous les Hindous. 

La façon dont les hindous voient le monde m’a, depuis longtemps, impressionnée. J’ai appris beaucoup de choses en discutant avec quelques-uns d’entre eux à mon travail. J’ai été touché par leur sincérité, leur simplicité et leur joie de vivre. Ils arrivent à trouver, pour chaque chose, une place dans notre monde, alors que la plupart de ces choses sont discriminées, voire rejetées par la plupart d’entre nous.

400px-A_Hindoo_Widow_Burning_Herself_with_the_Corpse_of_her_Husband dans La MORT
Eux, gardent tout. En effet, que serait la beauté sans la laideur ? Que serait le bonheur sans le malheur ? Le Bien sans le Mal ? Alors que la plupart des autres religions opposent le Mal au Bien en les symbolisant par des entités indépendantes, fixes, aux caractères constants et contradictoires comme, par exemple Satan et Dieu, l’hindouisme, lui, attribue le Mal à l’ignorance humaine et donc à une conséquence possible du libre arbitre que chaque individu détient. 

Ils trouvent aussi une place très importante dans leurs croyances à la nature qui les entoure. Ils en sont donc très respectueux : « La nature, malheureusement trop polluée par notre civilisation, est, en Inde, un immense temple et chaque individu vit dans un état de spiritualité qu’aucun autre pays n’a jamais réussi à atteindre. Un arbre, la mer, les montagnes, la rue ou encore une caverne peut servir de lieu de prière et de méditation. »

Publié dans:La MORT |on 25 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Quête de l’Esprit protecteur


La Quête de l’Esprit protecteur, pratique courante jadis chez la plupart des groupes de tribus du Canada, connaît présentement une certaine résurgence au sein des religions des tribus de la côte du Nord-Ouest, particulièrement chez les Salish de la côte. Les mâles, surtout au moment de la puberté, mais aussi à d’autres moments de leur existence, effectuent des séjours prolongés dans des régions éloignées, jeûnant, priant et se purifiant en se lavant dans des ruisseaux et des étangs. Le but est d’avoir une vision ou même de rencontrer un esprit protecteur (très fréquemment un animal, mais également un Quête de l'Esprit protecteur dans ESPRITSpersonnage mythologique). Le contact avec un esprit protecteur est censé assurer à un individu santé, prospérité et succès, particulièrement à la chasse et à la pêche. L’esprit protecteur peut être évoqué (Salish) ou même représenté directement ou mis en scène (Kwakiutl) au moyen de chants, de masques, de TOTEMS, de décorations sur les habitations et de peintures sur le corps, ou encore à l’aide d’insignes religieux personnels.

Les cérémonies saisonnières et les rituels relatifs aux « crises existentielles » sont très courants. Font partie des rituels saisonniers, les fêtes des « premiers fruits » et de la moisson et les rites reliés à la venue de la nouvelle année et au renouveau de la création (cérémonie du Midewiwin chez les Ojibwés, Danse du Soleil dans les Prairies, les rites du Premier saumon sur la côte du Nord-Ouest). Parmi les rituels concernant les crises existentielles, on note les cérémonies accompagnant la naissance ou la dotation d’un nom, la puberté, le mariage et la mort, qui sont toutes empreintes d’une certaine solennité. Il est possible que la Fête des morts du XVIIesiècle célébrée chez les Hurons ait repris des éléments appartenant à la fois aux rites saisonniers et aux rites attachés aux crises existentielles.

Les contacts avec les divers types de religions européennes entraînent plusieurs genres de réactions chez les autochtones et modifient même d’une façon ou d’une autre la forme de leurs religions. Certaines religions des Premières Nations rejettent le formalisme importé d’Europe et se tournent vers des « mouvements autochtones » soucieux de faire revivre les croyances et les pratiques religieuses de jadis (p. ex. la RELIGION DE HANDSOME LAKE chez les Iroquois). Des « religions syncrétiques » tentent de combiner les formes autochtones traditionnelles avec les pratiques européennes (la religion des SHAKERS de la région des Salish et l’Église autochtone américaine des Prairies). D’autres mouvements religieux s’opposent radicalement à la liturgie européenne (p. ex. la Danse des fantômes des Dakota et autres tribus des Prairies au XIXe siècle)

120px-Chaman_amazonie_5_06 dans ESPRITS

Il faut voir les institutions religieuses des Premières Nations et des inuits dans le contexte des liens de parenté et des interactions sur les plans social et politique.

Auteur DEREK G. SMITH http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/autochtones-religion-des

Publié dans:ESPRITS |on 24 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Chamans


Parmi les divers personnages religieux, les plus connus sont les chamans. Ce sont à la fois des guérisseurs, des prophètes, des devins et des gardiens de la mythologie. Ils agissent souvent comme officiants des cérémonies religieuses. Dans certaines sociétés, toutes ces fonctions sont dévolues à une même personne; ailleurs, les chamans sont des spécialistes. Les guérisseurs peuvent appartenir à différents « ordres », comme le Midewiwin ou la Grande Société de médecine des Ojibwés, ou à des sociétés secrètes ou fermées (Kwakiutl, Pieds-Noirs). Le Midewiwin des Ojibwés est une société fermée comprenant quatre (parfois huit) ordres d’hommes et de femmes que l’on peut consulter en tout temps en cas de maladie ou de malheurs communautaires, et qui officient à la cérémonie annuelle du renouveau universel du Midewiwin à la fin de l’été.

Chamans dans MALADIE 220px-Pygmy_shamanLes chamans sont, dans les Prairies, les coordonnateurs de la Danse du Soleil (Pieds-Noirs, Sarsis), qui est également une cérémonie célébrant le renouveau universel. Des sociétés chamaniques fermées, ou même secrètes, jouent un rôle important dans la Cérémonie de l’hiver des Kwakiutl, des Nootkas et d’autres groupes de la côte du Nord-Ouest. On attribue aux chamans des pouvoirs généralement considérés comme bénéfiques pour la communauté, mais on les soupçonne, dans certains cas, de s’en servir à des fins de sorcellerie. Les chamans agissant comme devins et prophètes s’emploient à prédire le résultat de la chasse, à retrouver les objets perdus et à déterminer les causes profondes de mécontentement et de mauvaise volonté au sein de la communauté. Les Pieds-Noirs, les Cris, les Ojibwés et d’autres groupes ont des devins qui annoncent leurs prophéties (peut-être en état de transe) à l’occasion de la spectaculaire cérémonie de la Tente tremblante. Chez les Cris, les Pieds-Noirs et les Ojibwés, les chamans ont la garde des bourses sacrées contenant des substances et des objets dotés de grands pouvoirs et de mystère.

Les autochtones savent que de nombreuses maladies, surtout celles qui sont physiquement guérissables, sont attribuables à des causes naturelles. Par ailleurs, ils croient que des objets peuvent être déposés dans leur corps par des sorciers. Pour de telles maladies, le traitement appliqué par le chaman-guérisseur est dicté par son esprit tutélaire; celui-ci peut sucer rituellement l’objet causant la maladie hors du corps, le balayer avec une plume d’oiseau ou l’extirper à l’aide de gestes spectaculaires.

La maladie peut aussi être le fait d’une « perte de l’esprit ». Le chaman-guérisseur s’efforce alors de retrouver l’esprit du malade (son âme ou le pouvoir de son esprit protecteur ou encore les deux) et de le réintroduire à l’intérieur du corps. La croyance courante considère les troubles affectant un individu ou une communauté comme le résultat d’un comportement irrespectueux envers les animaux durant la chasse, envers les objets sacrés de la tribu ou envers les phénomènes naturels.

http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/autochtones-religion-des

Publié dans:MALADIE |on 24 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Mythes du Grand Esprit


Mythes du Grand Esprit dans ESPRITS 220px-TotemPoleVictoriaBC-2Dans les sociétés qui ont pratiqué l’agriculture à un moment ou à un autre de leur histoire, plusieurs groupes croient en l’existence d’un Grand Esprit ou d’un Grand Mystère supérieur (le Wakan Tanka des sociétés des Plaines et le Kitchi Manitou des Algonquiens de l’Est). En général, la puissance ou le mystère surnaturel, appeléOrenda par les Iroquois, Wakan par les tribus des Plaines et MANITOU par les sociétés algonquiennes, est potentiellement bénéfique, mais il peut devenir dangereux s’il est traité avec insouciance ou irrévérence. Ce mystère ou cette puissance est une propriété des esprits. C’est également un attribut du Transformateur, du Filou, du Héros culturel ou d’autres personnages surnaturels. Les chamans, les prophètes et les autres officiants attachés aux cérémonies sont investis de sa présence. Les esprits de toutes les créatures vivantes sont puissants et mystérieux, tout comme le sont plusieurs phénomènes naturels et les lieux importants sur le plan rituel. Les objets rituels tels que les crécelles, les tambours, les masques, les bourses sacrées et les sanctuaires réservés au culte sont imprégnés de mystère (voir CALUMETMEDICINE WHEELS).

La plupart des tribus de la côte du Nord-Ouest considèrent que le temps est divisé en une période actuelle et un passé mythologique éloigné, où les choses étaient bien différentes de ce qu’elles sont maintenant. Elles croient que si les choses ont atteint leur état actuel, c’est par l’intermédiaire du Transformateur. Les conceptions de l’avenir concernent principalement la mort de l’individu et sa vie après la mort. Selon leur croyance, le domaine des morts est très éloigné du monde des vivants, souvent au-delà d’un immense fleuve, sur des îles perdues en mer, sur des montagnes lointaines ou dans un monde souterrain. Ce domaine ne peut être atteint par les morts qu’au terme d’un périple très difficile ou très périlleux pour les vivants (p. ex. les chamans, les personnages surnaturels du mythe d’Orphée).

220px-Chaman_toungouse dans HUMANITEToujours selon leurs croyances, le monde a une surface circulaire recouverte d’un monde supérieur qui épouse la forme d’un dôme. Ces différents niveaux sont unis par un « axe cosmique », qui peut être représenté par un « arbre universel », un « pont arc-en-ciel » ou l’ « épine dorsale des mondes » (la Voie lactée). Les mythes religieux concernant l’Époux-étoile (Ojibwés-Témagamis), la Chaîne des flèches (Tlingits) ou l’Arbre qui grandit (Chilcotins) décrivent les contacts noués entre les êtres humains et le monde existant au-delà de cet axe. Lors des cérémonies, des éléments tels que des colonnes de fumée, les piliers centraux d’une habitation ou le pilier central de la hutte de la Danse du Soleil représentent cet axe. Des tourbillons ou des cavernes peuvent représenter des chemins menant aux enfers.

De nombreux groupes parlent d’une mer originelle ou d’un déluge universel. La plupart reconnaissent au moins six points cardinaux (les quatre coins du monde, plus le zénith et le nadir). Des sociétés de la côte du Nord-Ouest telles que les Kwakiutl divisent l’année en deux grandes saisons : l’été ( le temps « profane ») et l’hiver ( le temps « surnaturel »). C’est durant cette dernière que se déroulent la plupart des cérémonies religieuses. Les sociétés agricoles comme les Iroquois observent des calendriers rituels plus complexes, établis en fonction des périodes de cueillette de diverses plantes comestibles, et célèbrent une fête consacrée au renouveau de la vie, habituellement au milieu de l’hiver.

Un concept clé des sociétés des Premières Nations et des Inuits est la notion du Protecteur du gibier, un être surnaturel qu’on considère comme le maître ou l’intendant d’une ou de toutes les espèces animales, particulièrement celles qui sont chassées par l’homme. On en trouve des exemples caractéristiques dans la cérémonie de l’Ours chez les Abénakis et les Montagnais-Naskapis, de l’Esprit du bison dans les sociétés des Prairies et avec Sedna, la déesse de la mer et la Protectrice des phoques, chez les Inuits.

http://www.thecanadianencyclopedia.com/articles/fr/autochtones-religion-des

Publié dans:ESPRITS, HUMANITE |on 23 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Les jardiniers

Ce monde, cette vie, est l’endroit de la mise à l’épreuve où notre esprit est purifié par la souffrance dans l’apprentissage du contrôle du corps grossier

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Qui sont donc les Jardiniers ? Comme le nom le suggère, ce sont des êtres qui soignent un jardin mais ce jardin en est un avec une très grande différence de ce que vous pouvez entendre par un jardin, puisque le jardin en question comprend toute la planète Terre et toutes les créatures qui y vivent. Ce sont eux qui ont mis les premiers signes de vie sur cette planète, remplaçant le stock en plus d’une occasion, tout en nous surveillant au fur et à mesure de notre lent développement.

Les jardiniers dans HUMANITEC’est un groupe d’êtres multidimensionnels, multi-universels, qui sont extrêmement, extrêmement hautement intelligents et la longévité de certains Jardiniers est d’environ cinq milles de nos années terrestres. Ils surveillent cette planète et plusieurs millions d’autres planètes à travers les quantités de galaxies et d’univers depuis des billions d’années. Voyez également « Terre Creuse » pour plus d’informations connexes incluant une admission de l’astronaute Edgar Mitchell de la mission Apollo 14 que des êtres d’autres planètes existent vraiment et que des contacts on été pris!

Il y a plus de planètes, plus de mondes, plus de dimensions, plus d’univers qu’il y a de grains de sable sur la terre, même si vous incluez tout le sable de chacun des déserts et de chaque plage ; vous pouvez ajouter pour faire bonne mesure tout le sable des lits de mers également, parce que le nombre des univers etc. est complètement au-delà de la compréhension humaine tant que nous sommes dans la 3ième dimension. Lisez « Les clés du Nirvana » pour plus d’informations.

La citation suivante est très appropriée en décrivant les humains : « J’aimerais partager une révélation que j’ai eue durant mon temps ici. Elle m’est venue en essayant de classifier votre espèce.J’ai réalisé que vous n’êtes pas vraiment des mammifères. Chaque mammifère sur cette planète développe instinctivement un équilibre naturel avec son environnement mais vous, les humains, ne le faites pas. Vous vous installez à un endroit et vous vous multipliez et multipliez jusqu’à ce que toutes ressources naturelles soient consumées. La seule façon dont vous pouvez survivre est en vous déplaçant dans un autre endroit. Il y a un autre organisme sur cette planète qui suit ce même modèle. Un virus. Les êtres humains sont une maladie, un cancer sur cette planète, vous êtes un fléau. » Les Jardiniers croient fermement que cette petite planète est surpeuplée d’humains très malades. L’humanité semble supprimer tout et n’importe quoi sauf la surpopulation humaine , la seule cause de plusieurs problèmes globaux de la terre.

220px-Lawrence_Oates_photo dans O.V.N.I et E.T.Laissez-moi élaborer : si un chien mord quelqu’un – même si c’est pour sa propre défense – les gens feront tout en leur pouvoir pour faire tuer le pauvre animal et, d’un autre côté, ils autorisent les meurtriers, les pédophiles, les violeurs etc. à rôder un peu partout. Où est la logique dans tout ça ?

Laissez-moi élaborer davantage: si vous étiez, par exemple, dans l’élevage et vouliez augmenter votre bétail, vous n’aimeriez pas accoupler vos bêtes à l’aventure ; vous choisiriez ce qu’il y a de mieux afin d’obtenir des animaux de race et non pas des mauvaises herbes comme celles qui forment nos sociétés actuelles.

Un autre exemple afin d’être encore un peu plus clair. Si vous vouliez créer un jardin idéal, vous n’iriez pas jeter des grains au hasard sur le sol et vous en aller. Plus probablement, vous retireriez la plupart de ce qui pousse, laissant peut-être une ou deux bonnes plantes ou arbres, puis introduiriez un nouveau stock tout en gardant l’oeil ouvert pour les mauvaises herbes. Ces mauvaises herbes seraient rapidement enlevées et jetées au rebus. Eh bien, c’est ainsi que l’humanité devrait traiter de tels humains sur cette planète.

issu du texte « Les Jardiniers » du Site Lobsang Rampa : http://www.lobsangrampa.org/francais/jardiniers.html

Publié dans:HUMANITE, O.V.N.I et E.T. |on 23 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Assistance pléiadienne dans la vie humaine

par Yasmine Rooney – tiré de la Revue UNDERCOVER #11 de Joël Labruyère.

CARBONE ET CRISTALLISATION :
AU CŒUR DE L’ADN

L’énergie bloquée à des fins de cristallisation se manifeste sous la forme de l’atome de carbone. Le carbone est au cœur des molécules de chaque être vivant de notre dimension, et il est à l’origine du processus de la cristallisation de la matière solide. Parmi les éléments que l’on recense dans notre dimension, le carbone est le seul capable de produire la variété de molécules nécessaires à la vie organique. Les atomes de carbone se lient les uns les autres pour former des maillages de chaînes ou de cristaux et existent à cause de notre désir d’appréhender les choses sous une forme solide.

RéplicationdelADN.png

Une pensée, de même qu’une croyance, naît de l’intelligence d’une forme de vie. Les groupes d’atomes s’accumulent à la source universelle, bien qu’ils ne soient pas suffisamment liés pour former une masse solidifiée. Une croyance, lorsqu’elle apparaît, présente une structure fluide et génère une énergie considérable. Les atomes qui en constituent le support ne sont pas encore étroitement liés les uns les autres. Alors qu’elle pénètre notre système de pensées, chacun de nous décide de la rejeter ou de l’accepter. Un chrétien fervent, par exemple, à la lecture d’un enseignement bouddhiste peut en accepter les différents aspects mais les rejeter ensuite parce qu’ils contredisent ses propres convictions. Ces aspects peuvent pénétrer son esprit en raison de la fluidité de leur nature et, rejetés, retournent simplement à leur source.

Insulin2.jpgUne autre personne découvrant le même enseignement pourra décider d’en faire sa nouvelle philosophie. Ses nouvelles croyances demeurent d’une nature fluide pour quelque temps jusqu’à leur intégration complète à son système de pensée. L’énergie puissante qu’elles génèrent élève alors le niveau de vibration atomique des autres croyances déjà cristallisées chez cette personne. Parallèlement à une ouverture d’esprit ou à l’abandon des anciennes croyances, ce niveau de vibration plus élevé se traduit par une transformation passagère : les croyances cristallisées deviennent elles-mêmes d’une nature plus fluide. Ainsi, les nouvelles croyances, de par la fluidité de leur nature, fusionnent avec les anciennes – ou les remplacent, une nouvelle structure étant alors créée. Une fois cette structure consolidée, à savoir lorsque les énergies apportées par les nouvelles croyances ont été absorbées, un nouvel arrangement relie les atomes de carbone les uns aux autres dans une forme solidifiée.

La science physique appelle ces structures fluides de croyances des  » cristaux liquides « . Dans la nature, ces cristaux sont des substances présentant des propriétés à la fois liquides et solides. Leurs molécules se meuvent avec fluidité, bien qu’elles présentent souvent la même orientation.

Le degré de fluidité ou de solidité des cristaux liquides est fonction de la température et de la pression auxquelles ils sont exposés. Lorsque la température est suffisamment élevée ou la pression suffisamment basse, ils se comportent comme des liquides. À l’inverse, lorsque la température est suffisamment basse ou la pression suffisamment élevée, ils se comportent comme des solides.

Publié dans:ADN, PLEIADES |on 22 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Légende des Elfes


La mythologie nordique est constituée des légendes provenant de la religion pratiquée autrefois dans une grande partie de l’Europe du Nord (Allemagne, Scandinavie, Islande, mais aussi Angleterre). Ces légendes restent mal connues, notamment du fait de la fragilité des sources dont on dispose (la plupart étant constituées d’écrits rédigés par des chrétiens à partir du Xe siècle – date à partir de laquelle la religion nordique cède progressivement devant le christianisme).

Légende des Elfes dans POLTERGEISTS et LEGENDES 220px-Poor_little_birdie_teased_by_Richard_Doyle
Dans la mythologie nordique, l’univers était composé de trois étages. Au premier était Asgard, royaume des dieux, les Ases et les Vanes. Vraisemblablement apparus à deux époques différentes et amalgamés au tout début de l’antiquité nordique (avant le IIe siècle av. J.-C.). Les dieux les plus anciens, les Vanes, sont des dieux de la nature, de la fécondité et de la prospérité. Les plus récents sont des dieux plus typiquement indo-européens, et en cela plus proche des dieux gréco-romains, tel Odin, associé à Hermès/Mercure, et Thor, associé à Zeus/Jupiter. Au centre d’Asgard se trouvait le Walhalla, il s’agissait du paradis des guerriers morts au combat mais aussi du palais d’Odin. A ses cotés était Vanaheim, pays des dieux Aves. Enfin, à se plus haut niveau, on pouvait également trouvé Lightalfaheim, la terre des elfes ou Alfes de Lumière. 

Au niveau intermédiaire se trouvait Midgar, royaume des hommes, Jothunheim, celui des géants et Svartalfheim, pays des nains et des elfes noirs.

A l’étage le plus bas se trouvait Niflheim, royaume de la glace et des brumes, mais aussi Muspellsheim, monde de feu, gardé par le géant Surt et enfin Helheim gouverné par Hel, ce lieu recueillait les âmes des morts qui avaient péris de vieillesse, de maladie ou d’accident. 

Asgardr et Midgar étaient reliés par le mythique pont de Bifrost, qui apparaissait aux humains sous la forme d’un arc en ciel.
Le tout était porté par l’arbre géant Yggdrasil, qui était plus vieux que l’univers et qui serait la seule chose survivante de Ragnarök ( : « destin fatal des dieux » en vieux scandinave).

Ce que l’on dit sur les elfes

440px-Elf_markwoman_by_Kitty dans POLTERGEISTS et LEGENDES

 Les elfes ressemblent aux humains, mais sont plus intelligents. Ils portent souvent des vêtements plus voyants que les humains. Ils vivent également comme les humains et travaillent avec les mêmes choses. Ils passent parmi nous à l’époque de Nöel, et dansent et s´amusent dans les maisons des hommes, pendant que ces derniers vont à l´église. Les elfes peuvent être bons ou mauvais, selon la façon dont ils sont traités. Ils demandent souvent l´aide des humains, par exemple lorsqu’une femme elfe a des difficultés à mettre au monde un enfant. Ils remercient généreusement ceux qui les aident en leur offrant un trésor. 

Plusieurs contes populaires racontent l´histoire d´un elfe et d´un humain qui tombent amoureux. Un humain peut bien se marier avec un elfe, mais dans ce cas, l´humain doit rester avec les elfes pour le reste de la vie, étant invisible aux autres humains. Dans la situation inverse, l´elfe peut choisir de quitter son monde, d’aller vivre avec les humains et de faire comme eux.

Publié dans:POLTERGEISTS et LEGENDES |on 22 mars, 2012 |Pas de commentaires »

Invitation FORUM de discussion

 BONJOUR A TOUS ET TOUTES !

Invitation FORUM de discussion dans 2007 - PREDICTIONS 150157_979163764_coeur-rouge_H224046_L

Pour ceux qui apprécient ce blog et les autres, vous pouvez nous rejoindre sur Le forum que je viens de créer, c’est un nouvel espace de discussion supplémentaire et complémentaire….

Voici son adresse : http://devantsoi.forumgratuit.org/        

       Venez nombreux ! Je serai heureuse de vous y accueillir !

Vous pourrez toujours reprendre des éléments contenus sur ce blog afin de pouvoir en discuter ensemble sur le forum !

Je vous dis donc à TRES BIENTOT !

877c29ca dans 2008 - PREDICTIONS

Réincarnation

 La réincarnation, accomplie par toute chose vivante jusqu’à ce que sa vie soit complétée ou bien coupée courte par des circonstances malheureuses, est un cycle très réel. Un très grand malentendu est que de nombreuses personnes pensent qu’elles peuvent être ou seront réincarnées comme animaux; ce n’est PAS vrai. Les humains peuvent se réincarner comme humains SEULEMENT, les chats se réincarnent seulement comme chats, les chiens se réincarnent comme chiens seulement, etc. Le seul choix – à part celui de la couleur – que vous ayez est celui du sexe que vous allez prendre, mâle ou femelle, dépendamment des leçons qu’ils vous faut apprendre.

Statue représentant une lamina aux pieds palmés à Arrasate (province du Guipuscoa, Communauté autonome du Pays basque).La preuve de la réincarnation est détaillée dans « Pour Entretenir la Flamme » mais pour ceux qui sont sceptiques, voici un autre cas de réincarnation. Galilée est mort le 8 janvier 1642 et Stephen Hawkins est né exactement 300 ans plus tard soit le 8 janvier 1942, tous deux profondément intéressés à l’espace et l’astronomie. Ainsi vous pouvez voir clairement que si l’on n’arrive pas à accomplir dans une vie ce qui aurait dû être fait, on revient plus tard pour ce faire. Quelquefois ça peut prendre plusieurs vies pour atteindre son but.

RAMPA site : http://www.lobsangrampa.org/

 

Publié dans:REINCARNATION |on 19 mars, 2012 |Pas de commentaires »
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