Plus une âme est polarisée sur un plan subtil, plus son taux vibratoire en incarnation est élevé, et plus ses véhicules eux-mêmes vibrent. À un moment donné, quand la maîtrise de l’âme sur ses véhicules et les plans de la forme atteint un degré suffisant, au-delà d’un certain seuil, et quand, parallèlement, le karma individuel disparaît, le taux vibratoire est tel qu’il est difficile, voire impossible de trouver un véhicule physique d’incarnation capable d’y résister, parmi les embryons humains (dans la matrice maternelle) en attente de sélection par une âme en vue d’une prochaine incarnation).
L’humanité terrestre est en retard sur son évolution initialement prévue par rapport au dessein de Gaïa et par rapport à celle de la planète sœur de la Terre, Vénus. L’humanité de Vénus possède des millions d’années d’avance, évolutivement (et donc sur le plan de la Conscience), socialement, culturellement, politiquement, scientifiquement, spirituellement… Pour tenter de combler une partie du retard et faire entrer l’humanité dans un mode évolutif accélérer, il a était instauré sur Sol 4 un processus initiatique des consciences avec le concours notamment du cinquième règne spirituel, et initialement grâce à des frères venus de Vénus pour créer ce règne sur la Terre (aucune âme terrienne n’étant parvenue à l’époque à se libérer du cycle des réincarnations et de la forme).
Certains Vénusiens et certaines Vénusiennes sont actuellement présents sur la planète pour aider l’humanité dans la phase actuelle. Leur véhicule physique a subit les ajustements nécessaires et ils vivent généralement incognito, bien qu’assez récemment une Vénusienne présente sur Terre depuis 1955 ait dévoilé sa véritable identité. Il va sans penser, mais mieux en le pensant, que peu d’êtres humains informés de la chose l’ont cru. Et la masse des hommes est ignorante du fait, car aucune campagne médiatique n’a été orchestrée dans le but de la faire connaître. Si une campagne avait lieu, ce serait pour la faire passer pour une terrienne folle. Il n’est pas dans l’intérêt des dominants de révéler un tel fait, car ils perdraient rapidement toute crédibilité quant à leurs capacités à gouverner (quand on en voit le résultat). Quand les hommes cesseront de dormir et ouvriront les yeux, ils verront enfin le contrôle et la manipulation qu’ils subissent depuis tant et tant d’années.
Symboliquement, le processus initiatique consiste, pour une âme donnée, à franchir certaines étapes cruciales, certaines portes, qui peuvent être vues comme des sortes d’examens dans certaines classes du parcours scolaire dans l’école de la vie sur Terre. Pour chaque porte, un certain degré de maîtrise, de connaissances et de sagesse doit être démontré pour pouvoir la franchir. Si sur l’ensemble des critères requis, une moyenne suffisante est atteinte, l’initiation peut techniquement avoir lieu, un peu à la manière de réussir un examen universitaire dans certaines universités terrestres, par l’obtention d’une note moyenne suffisante sur l’ensemble des matières étudiées et requises.
La première porte à franchir, correspondant donc à la première initiation, majeure, de l’âme en incarnation, peut être appelée symboliquement la Naissance du principe d’amour inconditionnel. Pour l’atteindre, un certain degré de maîtrise du plan physique doit être démontré, avec une activité correspondante suffisante des trois chakras inférieurs et leurs pétales désormais orientés vers le haut. Correspondant au chakra racine, transmetteur de la vie physique et pourvoyeur de l’instinct de survie individuelle, un degré suffisant de maîtrise sur le véhicule physique lui-même doit être démontré, une maîtrise telle que l’individu pourrait pratiquer de nombreux sports et d’autres activités physiques avec une excellente coordination. À ce niveau, un degré de maîtrise suffisant de l’alimentation doit aussi être démontré. Les pétales du premier chakra (en partant du bas) ne s’orientent vers le haut que lorsque l’âme incarnée, et par conséquent également la personnalité, pratique l’activité physique dans un but d’élévation spirituelle et non simplement de compétition, d’entretien ou de performance. Correspondant au second chakra, le centre sacré, transmetteur de l’énergie créatrice physique et lié à la vie sexuelle et pourvoyeur de l’instinct de survie de la race, un certain degré de maîtrise sexuelle doit être démontré, sans répression de la sexualité. Les pétales de ce chakra ne se tournent vers le haut que lorsque l’acte sexuel est pratiqué dans un but d’élévation ou de partage avec l’autre, et non pour assouvir les plus bas fantasmes, et lorsqu’une partie de l’énergie pro-créatrice est utilisée dans une forme de création artistique ou manuelle. Correspondant au troisième chakra, le centre du plexus solaire, transmetteur de l’énergie émotionnelle et pourvoyeur de l’instinct de possession, un certain degré de maîtrise du monde du désir et du besoin de collectionner ou de posséder (objets ou êtres) doit être démontré. Les pétales ne se tournent vers le haut que lorsque les désirs commencent à se transmuer en aspirations. Enfin, une certaine activité du cœur doit aussi être enregistrée, par le développement du sens du groupe et de l’esprit fraternel.
Une âme travaille plus ou moins simultanément sur tous les plans et sous-plans d’activité humaine, à chaque étape de son parcours terrestre, du moins à partir de moment où les expériences de la vie ont été suffisantes, après un nombre suffisant d’incarnations, pour qu’elle commence à porter un intérêt (depuis son propre plan, hors de la forme) à sa personnalité (ses véhicules) d’incarnation, quand le moment est venu pour elle d’entrer sur le chemin de probation. Sur ce sentier de probation, l’âme se met à l’épreuve, ou plus exactement éprouve son degré potentiel de maîtrise sur les véhicules d’incarnation, éprouve sa capacité éventuelle à entreprendre le processus initiatique. Les âmes sur le sentier de probation ont généralement des vies éprouvantes, difficiles, pour lesquelles la personnalité souffre souvent beaucoup, parce qu’elle ne comprend pas encore son rôle et qu’elle n’est pas encore reliée en conscience à son âme. (D’autres vies difficiles peuvent être liées à la résolution d’un karma particulier ou au passage d’initiations, mais dans chacun de ces cas, le vécu intérieur de la personnalité est différent). Quand une âme a testé avec succès sa capacité à entrer sur le chemin de l’initiation et de l’évolution supérieure, elle prépare la première initiation.
Lorsque l’âme a démontré, en incarnation et pour une durée suffisante, un degré de maîtrise adéquat du plan physique et un début d’expression d’amour inconditionnel (amour qui se donne sans s’occuper d’en recevoir à son tour en retour, et amour qui se donne quoi que l’autre (nous) fasse ou ne (nous) fasse pas), elle trouve la clef de la première porte. La première initiation peut avoir lieu. À l’époque actuelle de l’humanité de Sol 4, cette initiation est collective.
Les âmes arrivent en nombre devant la première porte, et le passage de la porte, d’un point de vue technique, est maintenant collectif. Les âmes prêtes, sont amenées devant l’initiateur, celui qui, dans le cinquième règne de la nature, a la fonction de Christ, et en l’occurrence devant le Christ qui s’était manifesté, il y a deux mille ans, via l’individu nommé alors Jésus, et qui est toujours en charge.
L’initiateur stimule spécialement le chakra cardiaque de l’individu. Celui-ci reçoit et vit une révélation, et même si la cérémonie de l’initiation a lieu sur le plan causal de l’âme, elle est normalement ressentie aussi sur le plan physique.
La première initiation voit aussi l’établissement durable d’une première connexion consciente de la personnalité vers l’âme (sachant que le lien âme vers personnalité existe de tout temps et est condensé sous la forme de la corde d’argent existant entre les véhicules subtils et le corps physique).
Après la première initiation majeure de l’âme, celle-ci travaille plus spécialement à atteindre la maîtrise du plan astral des émotions, avec tout ce que cela comporte, mais continue à parfaire sa maîtrise du plan physique et à travailler sur la substance mentale. Il est à remarquer qu’à partir de la première initiation, l’évolution de l’âme en incarnation est accélérée et présente même une croissance généralement exponentielle, chaque étape suivante étant atteinte en un temps de plus en plus réduit. Ainsi, si l’âme reste plusieurs dizaines ou quelques centaines de vies sur le sentier de probation, il ne lui en faut généralement que quelques dizaines pour parvenir au seuil de la seconde porte, puis seulement une ou deux pour parvenir à la troisième… Il peut même arriver qu’une âme passe les deux et troisièmes portes dans la même vie et si elle ne le fait pas, il arrive encore plus fréquemment, à l’heure actuelle, de passer la troisième et la quatrième initiation dans la même vie.
La seconde porte à franchir, ou seconde initiation majeure de l’âme, peut être appelée symboliquement le Baptême de l’eau et du feu (et dans le passé de l’humanité terrestre, il ne s’agissait que du baptême de l’eau). L’eau et le feu engendrent les brumes des mirages auxquels l’âme en incarnation va être confrontée à ce stade et même jusqu’au franchissement de la troisième porte.
Parvenir à cette porte ne se fait pas sans démontrer un dépassement suffisant de l’illusion du temps et une maîtrise subséquente du plan astral. L’illusion du temps est essentiellement ce qui contribue à plonger l’être humain dans l’angoisse face à l’avenir ou dans le désir de voir dans son avenir se matérialiser tel ou tel rêve, ainsi que dans l’existence de phobies héritées de traumatismes passés et non encore transcendés, ou encore par de la nostalgie concernant des événements passés perçus comme heureux face à un présent moins satisfaisant.
Quand l’illusion du temps est en grande partie dépassée, l’avenir est essentiellement considéré sous l’angle de la curiosité mentale, sans angoisses ni désirs relatifs aux possibles événements à-venir. Et l’individu ne connaît plus non plus de phobies notables ni de nostalgie relatives au passé, celui-ci étant d’ailleurs alors perçu essentiellement comme une partie intégrante de lui-même (lui-même : l’individu, pas le passé). L’essentiel de la peur humaine provient de l’illusion temporelle et de la méconnaissance de la nature de la mort, de la vie et de l’âme. La préparation de la seconde initiation implique notamment un travail sur la Peur, sous toutes ses formes, et de la transmutation des désirs en aspirations spirituelles. L’individu ne désire plus rien pour lui-même, en tant que Soi illusoirement séparé de ses frères, mais aspire pour le groupe. Il ne s’entoure plus matériellement que des objets qui lui sont strictement nécessaires pour sa vie physique et pour son activité de service à l’humanité, sachant que rien de matériel n’est requis pour le travail sur lui-même. Pour celui-ci, ce sont les rencontres et les circonstances de la vie qui procurent les opportunités.
Une partie du travail sur le dépassement des peurs et de l’illusion du temps peut parfaitement s’accomplir durant la nuit. Ce sont même les sorties du corps ayant lieu sur le plan astral qui fournissent la meilleure matière sur laquelle travailler.
C’est plus particulièrement dans les sous-plans inférieurs de l’astral (ou bas astral), là où sévissent une bonne partie des forces reptiliennes et des égrégores créés par l’humanité, que la confrontation aux peurs est la plus intense. Bien entendu, sur le plan physique même, les situations vécues peuvent fournir également un excellent support, d’autant plus qu’elles auront été prédéterminées pour l’essentiel par l’âme lors de son choix des conditions d’incarnation, pour lui fournir les meilleures opportunités de travail, compte tenu de ses objectifs (et pour lui permettre parallèlement de rectifier le karma, ou plus exactement de transmuter le karma en dharma, ce qui constituera en définitive l’essence de l’Être, en accord avec les Lois universelles).
Au passage, dans une vie donnée, l’âme ne retrouve pas d’emblée le degré de conscience et de maîtrise qu’elle avait pu acquérir en incarnation jusque-là. Elle doit d’abord se réapproprier progressivement ses divers véhicules d’incarnation (ou, en d’autres termes, s’y placer en conscience, dans l’objectif de ce travail subséquent de maîtrise sur les plans et substances correspondants aux différents véhicules). En moyenne, la réappropriation du véhicule éthérique ou vital est achevée vers la septième année. Ensuite, jusqu’à approximativement 14 ans, l’âme se réapproprie progressivement le véhicule astral des émotions, sensations et désirs. Puis jusqu’à environ 21 ans, c’est le tour du véhicule mental. Entre 21 et 28 ans, s’établit une communication plus efficace entre ces divers véhicules et un certain degré de synthèse fournissant l’essence de la personnalité est atteint.
Et entre 28 et 35 ans, se déroule l’étape finale, comprenant notamment l’acquittement de l’essentiel du karma des vies précédentes que la vie présente peut régler, pour parvenir vers 35 ans à retrouver le point où l’âme était parvenue dans son existence terrestre précédente. Il est à noter que sur Sol 4 actuellement, les âmes réellement concernées par l’intégralité du processus évoqué de réappropriation sont en nombre encore relativement limité (un individu sur cent tout au plus). Par exemple, la masse des âmes dont la vie incarnée est encore centrée sur le plan astral, passent le restant de leur vie, après la réappropriation astrale, à tenter de s’approprier le véhicule mental. Ainsi, environ deux êtres humains sur trois demeurent émotionnellement centrés et donc immatures, toute leur vie. Un individu n’est réellement capable de maturité qu’à partir du moment où l’âme parvient à se réapproprier le véhicule mental, ce qui concerne environ actuellement un terrien sur quatre.
En raison de la polarisation émotionnelle de la plus grande partie de l’humanité, le travail sur la nature émotionnelle est l’un des plus difficiles actuellement sur Sol 4, pour les âmes engagées sur le sentier de l’initiation. Et en raison même de la nature de la substance astrale confrontée ainsi que des mirages créés alors par interaction des eaux émotionnelles avec le feu du mental, l’âme doit faire face à un grand nombre de mirages typiques de ce sentier….
Après le passage de la seconde porte, l’initié peut maintenant se consacrer plus activement au travail final de libération de l’âme des plans terrestres et se focalise plus particulièrement sur l’obtention d’une maîtrise suffisante du plan mental. L’objectif est ici d’obtenir une très bonne capacité à utiliser la substance mentale pour visualiser sur le plan mental et pour y formuler les concepts issus des plans supérieurs. Également, une compréhension et un contrôle plus poussés du processus de descente des impressions en provenance de l’Esprit divin sont recherchés. En parvenant ainsi à canaliser l’énergie supramentale, source des concepts émergeants dans le mental, ou, en d’autres termes, en parvenant à contrôler quelque peu la source des pensées, l’initié parvient à clarifier son mental, et à en faire un lac paisible, à la surface uniquement parcourue par les ondes des pensées dirigées. À l’occasion, le lac mental peut se trouver parfaitement calme, aucune pensée ne venant alors traverser le mental de l’individu, lui-même devenu alors observateur également sur ce plan.
C’est le travail conscient de l’initié, et essentiellement ce travail, qui permet l’impression supramentale. Si les canaux (ou liens entre les différents plans) ne sont pas préalablement ouverts et clarifiés, aucune impression supramentale ne parviendra à la personnalité via le mental ou, dans le meilleur des cas, si elle y parvient, elle sera faible et dénaturée.
Après le passage de la seconde porte, l’initié est en outre spécialement soumis à l’illusion mentale qu’il devra dépasser. Au voisinage de la troisième initiation, l’initié confronte consciemment le Gardien du Seuil, la Mémoire de l’être, la somme résiduelle de ses personnalités et expériences antérieures et doit apprendre à s’en détacher, à ne plus s’y identifier. L’âme, elle, procure à l’individu sa conscience d’exister, sa conscience d’être lui-même, son sentiment du je suis ou je suis cela (et pas un autre ni autre chose), la conscience de son unicité. Elle est indépendante de toute mémoire et un amnésique total, ayant perdu toute forme de mémoire événementielle et relative à son identité sociale, conserve la conscience, la conscience d’être quelqu’un, même s’il ne connaît plus son identité en incarnation. La conscience est procurée indépendamment de toute mémoire. Elle découle uniquement de l’interaction entre la Vie de l’Esprit de l’homme et la Forme que représente l’ensemble de ses véhicules d’incarnation. L’âme est une émanation de l’esprit alors que la Mémoire qu’est le Gardien du seuil est l’empreinte des personnalités successives dans la forme. Chaque nouvelle personnalité voit cette empreinte se creuser, alors que l’âme, sur son plan demeure. Le travail de l’initié sur ce point est donc de réaliser la séparation consciente du Gardien et de l’âme. Il se détache du gardien et se rapproche de l’âme. Le Gardien du Seuil est l’ultime illusion à dépasser. Ce n’est pas sa mémoire qui constitue l’être. La mémoire n’est tout au plus là que pour lui rappeler les étapes de son parcours pour en arriver où il est maintenant.
Quand la maîtrise mentale est suffisante et démontrée pendant une période conséquente, l’initié se présente devant la troisième porte pour vivre la Transfiguration de sa personnalité. À partir de cette initiation et pour les suivantes jusqu’à la septième, l’initiateur est cette fois la partie Personnalité de Gaïa, partie qui se présente sous des traits humains, mais dont le niveau de conscience est nettement plus élevé que celui du Christ.
Après le passage de la troisième porte, l’initié se prépare à la Grande Renonciation. À ce stade, l’âme doit renoncer à tous les aspects de la vie terrestre, sur tous les plans de la forme. Elle n’est plus attirée en rien par aucune dimension de la vie humaine, ne recherche plus aucune forme de plaisir. Son monde de désirs est entièrement géré depuis les plans supérieurs à tel point qu’on ne parle plus de désirs pour le petit soi Elle est simultanément capable de poursuivre son rôle et d’agir pleinement dans la forme, sans résignation, sans indifférence, sans rejet, dans l’acceptation totale, à la fois comme acteur intensément à son jeu et comme observateur extérieur à la scène. La véritable renonciation ne se fait pas sans détachement doublé d’acceptation.
Mais le plus difficile est de parvenir à renoncer à sa propre âme après un contact direct avec l’Esprit, la source de Vie. L’initié qui passe la quatrième porte voit son âme fusionnée avec l’Esprit. Il n’a plus d’ego et ne se voit plus comme un individu séparé. Il se retrouve présent en chacune des expressions de la vie, du minéral à l’homme, en passant par le végétal et l’animal. Il est tout cela.
L’humanité comme un tout prépare actuellement la première initiation majeure, la naissance du principe christique. Quand l’initiation sera passée, le Christ manifestera de nouveau sa présence sur le plan physique. Avec d’autres membres du cinquième règne de la nature, il aidera l’humanité dans l’établissement d’un nouvel âge qui ne sera pas encore d’or, mais ne sera plus de fer et de sang. Cela aussi est inscrit et aura lieu, tôt ou tard, sur Sol 4 ou ailleurs, selon le choix des hommes. Cela aura lieu, car tel est le dessein divin. C’est inscrit dans le grand livre de Vie. Les aliénigènes avancés, sur Vénus et ailleurs dans l’univers, ont accès à ce livre. L’humanité de la Terre devra encore attendre pour pouvoir le lire. Elle a encore de nombre pages de sa propre histoire à écrire.
L’époque actuelle de l’humanité terrestre est d’autant plus particulière que Gaïa elle-même prépare l’équivalent de la troisième initiation, au niveau planétaire. Cet événement imminent en fera alors une planète sacrée, comme le sont notamment actuellement Vulcain et Vénus. En raison de la montée subséquente de l’énergie de vie planétaire, la planète connaîtra un accroissement de radioactivité dans tous les règnes de la nature. Devenant planète sacrée, elle ne sera plus sous l’influence directe du mal cosmique et les égrégores Reptiliens actuels seront nettoyés. Il ne sera plus nécessaire pour l’humanité de connaître et d’expérimenter une telle friction avec les forces de contrôle et d’asservissement, et la suite de son évolution se fera de manière plus légère, et le niveau de souffrance physique sera assez nettement réduit.
EXTRAIT de « La Terre vue d’ailleurs » par http://www.louisecourteau.com/