Archive pour la catégorie 'MALADIE'

LA MALADIE LA PLUS CONTAGIEUSE

Non, ce n’est pas une infection, une dégénérescence, une tumeur ou autre dans la palette des pertes de santé.

On pourrait dire qu’il s’agit d’une perte d’équilibre, mais la vérité est qu’elle n’a pas d’origine facilement détectable, même si plus de la moitié des adultes en souffrent et la transmettent à leurs enfants et à leurs proches.

Il s’agit de LA PEUR !!!

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Elle est d’autant plus difficile à déceler qu’elle revêt beaucoup d’apparences : peur de la mort, de la misère, de la maladie, peur de perdre ceux que l’on aime, ses biens, sa réputation, son travail, etc. Et avec tout cela elle est extrêmement contagieuse. Par exemple :

Un homme respectable et respecté a perdu un enfant qu’il aimait parce qu’il croyait l’enfant empoisonné par ingestion d’un médicament qui ne lui était pas destiné. Il lui fit faire un lavage d’estomac. Ce lavage causa un oedème pulmonaire et l’enfant en est mort en peu de temps, même s’il avait été mis sous une tente d’oxygène, mais hèlas trop tard.

Le plus difficile pour toute la famille a été de se rendre compte que l’enfant n’avait pas ingéré ledit médicament. Et le père ne s’en est jamais totalement remis. Sa peur de le perdre avait causé le décès de son enfant de 2 ans.

Autre exemple : Une femme pleine de qualités, aussi bien physiques qu’intellectuelles, passa les meilleures années de sa vie dans une lutte de tous les instants pour conserver une maison à laquelle elle croyait avoir droit.

Comme elle, bien d’autres personnes, hommes ou femmes, se brouillent avec toute leur famille et amis et en veulent au monde entier pour investir toutes leurs énergies dans quelque chose de périssable. L’important dans ce cas n’est pas de savoir si elles ont raison ou tort, mais plutôt de vérifier qu’en concentrant toutes leurs forces dans un objectif fragile, elles finissent par en faire une prison. Et il est souvent trop tard lorsqu’elles s’aperçoivent de l’inutilité de leur sacrifice, de tout ce qu’elles ont manqué pour ne pas perdre ces murs, quelle que soit leur valeur financière, car tout l’argent du monde ne vaut pas notre liberté.

Les oiseaux nous le diraient s’ils pouvaient parler. Une branche d’arbre au soleil, quelques graines ou petits fruits cueillis sur une plante valent plus qu’une cage, même dorée, n’est-ce pas ?

Mais la pire des peurs est la peur de la mort. Pendant des millénaires on nous a convaincus que la mort était la fin de tout, ou pire encore, que par nos fautes et nos erreurs nous irions brûler en enfer pour l’éternité.

Encore de nos jours, même ceux qui se disent athées ont au fond de leur inconscient cette vision terrible qui les conditionne. A l’heure où ceux qui ont connu une NDE (en français « expérience de mort iminente ») racontent toute la lumière, la beauté et l’amour dont ils ils ont été entourés au cours de cette expérience, pourquoi on ne les écoute pas? Pourquoi on ne croit pas en eux lorsque de grands médecins ont compris que LE CERVEAU NE CREE PAS LA CONSCIENCE MAIS QUE LA CONSCIENCE SE SERT DU CERVEAU pendant nos vies dans le monde physique?

Et quel objectif poursuivent ceux qui essayent, par leurs mots, leurs écrits, leurs interprétations érronées de documents anciens qui ont été mal compris pendant plusieurs siècles et sont aujourd’hui rendus à leur vrai sens, quelle est la raisons de leur insistance? Pourquoi s’efforcent-ils d’instiller leurs doutes et leurs peurs chez leur entourage, proche ou moins proche?

Quand nous aurons récupéré la mémoire de tout ce que nous avons vécu, ici et ailleurs, au long des siècles et des millénaires, alors nous pourrons comprendre que la mort n’existe pas et cette compréhension nous libérera de nos peurs enfantilles. La Lumière Divine chassera nos doutes et nous rendra LIBRES.

Je donnerais cher pour ne pas voir propager ce mensonge qui est la croyance en la fin du monde pour bientôt. D’autant plus que nous sommes des êtres éternels, et de toute façon le seul regret que nous devons avoir par rapport à notre Terre est celui d’avoir contribué, ne fut-ce que par notre silence, à l’état où elle se trouve.

Chassons de nos coeurs (ou plutôt de notre mental pollué) toutes les peurs qui s’y sont logées et vivons de plus en plus LIBRES, tels que Dieu nous a voulus.

Avec tout mon amour

                                            Marlice d’Allance sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:MALADIE, PEUR |on 30 mai, 2016 |1 Commentaire »

La Couleur Lumière de MU

 

Roshani Montmory enseigne la Couleur Lumière thérapie et pratique la méditation et le travail sur soi, elle est à l’origine de la création de l’institut Mu Terre, pour le développement des méthodes alternatives de soin.

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La Couleur Lumière Thérapie (Colorpuncture en anglais) est une méthode de soin et une approche thérapeutique et spirituelle crée par le naturopathe allemand Peter Mandel qui existe je crois maintenant depuis une vingtaine d’année. Des dizaines de milliers de personnes l’ont essayé de par le monde et ma propre expérience est qu’elle est effectivement très utile pour harmoniser le Corps, l’Ame et l’Esprit, elle permet d’amener de la conscience là où notre inconscient est encore actif, pouvez-vous nous expliquer en quelques mots comment fonctionne la Couleur Lumière Thérapie ?

Roshani : Cette méthode de soin fait réellement partie de la médecine quantique, car elle travaille directement avec les fréquences de la lumière. C’est Fritz Albert Popp, biophysicien de réputation mondiale, qui a démontré que chaque cellule vivante émet un rayonnement de lumière très faible : les photons. Toutes les cellules du corps communiquent entre elles grâce à ces photons. Peter Mandel s’est inspiré des travaux de Fritz Popp en 1970, pour créer cette nouvelle méthode holistique appelée effectivement en anglais « colorpuncture ». Les énergies électromagnétiques ou fréquences des couleurs établissent un système de communication entre chaque cellule, régulant ainsi tous les processus biophysiques du corps. En appliquant une lumière colorée sur les points spécifiques d’acuponcture (à l’aide d’un stylo lumineux comportant des tiges de verre de couleurs) un message fréquentiel est transmis directement dans nos cellules, transmettant une information permettant de rétablir un équilibre et dénouant ainsi les blocages physiques et émotionnels.

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Il est possible de travailler en séances individuelles ou en groupe si j’ai bien compris. Commençons par les séances si vous voulez bien…il est possible de prendre une séance seulement mais souvent les séances individuelles sont effectuées en séries : Detox, Série Prénatal, Travail sur les points « Père » et « Mère », Pour perdre du poids , « Relais Transmetteurs ». Pouvez-nous en expliquer chaque série et à quels problèmes physiques ou émotionnels elle correspond ?

En fait il est effectivement possible de recevoir des séances individuelles ou bien de faire une formation en groupe pour apprendre la pratique de cette méthode de soin :

Les séances individuelles permettent tout d’abord d’établir un diagnostic et un bilan énergétique global pour la personne, grâce à une photo kirlian de l’aura des mains et des pieds. Le bilan établi permet alors, comme en médecine chinoise, d’orienter la séance de soin vers le protocole le plus pertinent pour permettre de nettoyer, débloquer et rééquilibrer tout problème dans le corps (problème de stress, manque de sommeil, dépression, déséquilibre hormonal, acidité de l’estomac, problème digestif, blocage lymphatique, tension artérielle, allergie, maladie chronique, etc…). Les séances permettent de donner réponse à toute problématique du moment présent et le changement peut en être immédiatement ressenti.

Bien sur parfois plusieurs séances sont nécessaires et l’on peut effectuer alors des séries de traitements en fonction de la pathologie traitée. Je peux vous citer les plus courants :

Série Prénatal (Traitement en 9 séances) qui travaille sur le nettoyage des empreintes négatives pendant tout le temps de la vie intra utérine jusqu’à la naissance (y compris pré conception et espace du Bardo).
-Traitement de désintoxication : nettoyage de toutes les toxines du corps, physiques et émotionnelles, dépendances (tabac, drogue, alcool), renforcement du système immunitaire.
Série Père/Mère (7 séances) pour nettoyer les empreintes négatives du père ou de la mère (principe masculin ou féminin), blocages émotionnels de l’enfance ou préadolescence, abus sexuel et blocage transgénérationnel.
Problèmes de surpoids (8 séances), travaille sur les émotions ou traumatismes ayant affecté le système endocrinien (rééquilibrage hormonal), les mauvaises habitudes alimentaires, les blocages du système lymphatique.
Série Transmitter (11 séances) travaille sur tous les conditionnements, les blessures émotionnelles, le nettoyage des organes en lien avec leur correspondance émotionnelle, les liens karmiques, et les vies passées.

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Avez-vous des exemples à nous donner pour mieux comprendre cette technique?

Oui, par exemple je me souviens d’une personne venue me voir pour arrêter de fumer. En principe, on prévoit alors 4 à 5 séances espacées de quelques jours. Or dès la première séance, la couleur a fait remonter à la surface une mémoire de l’enfance (blessure jusque là profondément enfouie dans l’inconscient), nous avons travailler sur ce traumatisme ancien, en lui permettant de dire ce qui n’avait pas été exprimé dans le passé, de comprendre et d’ intégrer consciemment la source de cette souffrance ancienne, et de transmettre alors aux cellules du corps une nouvelle information positive. La personne a eu le lendemain des boutons sur tout le corps et l’impression que la nicotine sortait par tous les pores de sa peau. Et suite à cela, elle n’a plus jamais refumé! Nous n’avons même pas eu besoin de terminer les autres séances. Il y a beaucoup d’exemple comme cela, parfois moins spectaculaire mais tout aussi efficace!

Un autre cas : Une personne couverte de boutons urticants sur une bonne partie du corps depuis son enfance. Tout problème de peau étant lié à la fonction Poumon/Gros Intestin (en lien avec la tristesse), nous avons travaillé une problématique Père/Mère. Dès la 2ième séance a émergé un traumatisme de son enfance vécu à l’âge de 4/5 ans, totalement occulté auparavant. Ce nettoyage énergétique a pris plusieurs séances, avec expression de la tristesse non exprimée, de la colère (énergie de vie) bloquée jusqu’alors à certains endroits du corps. A la fin de la série, cette résolution a permis la disparition de tous les problèmes de peau. La personne avait du mal à croire à cette totale guérison mais à pu constater que son problème était définitivement résolue.

Ces deux exemples montrent l’effet bénéfique sur la santé de l’individu, est-ce que la CLT peut aider aussi pour approfondir la relaxation ou son niveau de méditation ?


Je pose cette question car beaucoup de lecteurs de Meditationfrance nous partagent qu’ils se sentent stressés et cherchent des techniques pour la relaxation/méditation, beaucoup nous partagent qu’ils ne savent plus comment faire.

Nous n’avons effectivement évoqué la Couleur Lumière Thérapie que vu à travers l’angle de la guérison, mais la vision de Peter Mandel est beaucoup plus vaste que cela! Il parle d’une médecine éso-gétique qui est l’union entre la sagesse ésotérique et les principes énergétiques du processus de tout ce qui est vivant (s’appuyant sur les découverte de la bioénergie et de la biophysique moderne) . Le terme éso-gétique combine l’héritage d’anciennes philosophies et enseignements de la sagesse humaine, le savoir primaire de l’existence de l’homme, et les lois du cosmos.

Peter Mandel a la vision de la totalité de l’homme et il dit :

« Si dans la vie d’un homme, à la fois l’Esprit et le corps – l’Esprit et la forme – se rencontrent au centre, il en résulte alors joie et contentement. Il est important pour nous d’expérimenter, à travers notre forme extérieure, l’esprit qui est en nous. Cela signifie qu’il est nécessaire de se reconnaître comme esprit et être capable de s’aimer comme nous sommes, dans tous nos aspects de lumière et d’obscurité. Regarder à l’intérieur veut dire oser prendre la première mesure à la recherche de l’esprit qui vit en nous. La reconnaissance que, dans cette dimension, l’esprit (pip), l’âme (la peau) et le corps ( la forme) existent en interdépendance indivisible, est le mûrissement de la connaissance de soi. Rien n’est plus important que de se comprendre et de se réaliser. Ce n’est pas notre environnement qui détermine nos vies, mais c’est nous-mêmes.

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Nos pensées sont responsables de notre environnement et de nos vies. Tous les programmes de tous les êtres humains même s’ils sont différents se rejoignent finalement dans un seul, l’esprit dans lequel tous les égos, personnalités, et individus ont été créés et vont être créés. Ainsi, la réalisation de notre propre centre est possible à la condition d’avoir la capacité de nous aimer entre nous, d’aimer la création, et d’aimer la vie. D’abord nous avons besoin de nous trouver nous-mêmes, et de nous aimer nous-mêmes pour non seulement accepter l’autre dans sa réalité mais au bout du compte de l’aimer. Sur le chemin vers les plus hauts principes – Divin – un objectif valable serait de rester dans l’arrière-plan sans renoncer à soi-même, d’être humble et silencieux de l’extérieur et de l’intérieur, pour aimer le monde tel qu’il est et de comprendre les polarités du bien et du mal, de la santé et de la maladie, de la vie et de la mort.

Dans la trinité esprit-âme-corps, ma vie a une priorité absolue. Réaliser mon « moi » demande que j’embarque sur un chemin intérieur, que j’explore et que je fasse connaissance avec moi-même, que je trouve mon propre centre. Dès qu’avec sincérité je démarre le chemin vers mon centre, puis que j’ébranle les formes de comportement négatif comme la peur, le stress, l’envie, et la haine. A chaque étape, je suis plus en paix avec moi-même et je suis capable de sentir, avec plus de pureté, la chaleur de mon cœur et l’amour pour toutes les formes de vie. La leçon principale pour chaque être humain devrait d’être gouverné par soi-même et non pas par les autres. Alors, toutes les influences venant de l’extérieur peuvent être acceptées avec grâce. Alors, nous nous intégrons dans le flux positif de l’information dont ce monde a besoin d’urgence.

L’étape suivante est alors la méditation, plonger dans les espaces inconnus de notre propre être. Nous découvrirons que nous avons besoin de nettoyer beaucoup de déchets pour arriver plus prêt de notre propre centre, de notre être profond. Ce centre peut aussi être compris comme pure lumière, comme la lumière qui existe dans l’obscurité de la matière. »

Comme vous le voyez la vision de Peter Mandel est infinie! Chaque protocole de couleurs peut nous aider à nettoyer et à progresser vers la lumière, c’est un grand voyage méditatif intérieur…

L’idée de Peter Mandel est que l’homme en tant qu’être de lumière, doit tourner sa conscience vers cette lumière; il ne doit pas rester emprisonné dans l’obscurité de la matière. Si l’homme se tourne vers sa lumière intérieure, il s’élèvera de plus en plus haut.

Des protocoles comme Les lignes de l’âme -qui travaille sur le champ morphogénétique et la réalisation de nos formes pensées dans la matière – la série du Transmitter – qui travaille sur tous nos conditionnements, mémoires et blessures anciennes, conditionnements, vies passées – le protocole d’Expansion de conscience – qui ouvre nos cellules vers une nouvelle compréhension de ce que nous sommes en tant qu’être humain – et bien d’autres…

C’est ce que contient la Médecine Eso-gétique ou Couleur Lumière Thérapie, un nettoyage puissant à la fois de notre monde matériel (corps physique) et de notre monde invisible (corps subtiles). Cela veut dire aussi accueillir toutes les polarités de ce monde et avoir le courage de développer envers nous même l’acceptation de ce que nous sommes. Bon et mauvais, coupable et innocent, tension et relaxation – l’ensemble des polarités dans ce monde doivent exister – mais doivent être surmontées pour atteindre le but final de l’harmonie avec l’univers qui nous entoure, l’union avec le Divin, l’union avec le Tout.

Une petite citation de Peter Mandel que j’aime bien :

« L’Esogétique ouvre de nouvelles possibilités pour tous les hommes. Il n’a pas besoin d’idéologie, parce qu’il ne cultive pas l’inconcevable afin de le tourner en question de croyance. Au contraire, l’Esogétique essaye de rendre l’inconcevable, concevable. Chacun peut examiner tous les chemins offerts et les convertir en expérience personnelle et ainsi amener dans le contexte de la maladie et la douleur individuelle, un peu plus de conscience et de lumière. »

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Vous proposez des stages d’introduction à la Couleur Lumière thérapie ainsi qu’une formation professionnelle certifiante, pouvez-vous nous en dire aussi quelques mots? A qui s’adressent ces stages et cette formation ?

Oui, je propose tout d’abord une formation en CLT que j’ai appelé « Introduction » mais qui en fait est la base même de cette méthode de soin. C’est à la fois la théorie développée par Peter Mandel avec son modèle ésogétique et également l’apprentissage et l’expérimentation de nombreux protocoles de base.

Peter Mandel divise en effet les personnes en 3 catégories (suite lecture photo kirlian) : Endochrinien, Toxic ou Dégénératif. Il existe donc 3 protocoles correspondants, aidant chaque catégorie à retrouver le plus rapidement possible un équilibre (système hormonal, lymphatique, respiratoire ou digestif). Nous étudions également des traitements de désintoxication (rhume, douleur, maux de tête), ainsi que de nombreux traitements de coordination (aidant la latéralité, équilibre gauche et droit du cerveau, sommeil, dépression, vertige,..) avec en plus de nombreuses clefs pour établir un bon diagnostic global (travail sur les rêves, peinture analytique, …)

Et puis pour les personnes souhaitant aller plus loin dans leur apprentissage, je propose une Formation Professionnelle en 3 Modules, pouvant être suivi par la suite de plusieurs Modules avancés complémentaires.

Ces Modules professionnels travaillent sur des séries de traitement (Série Prénatal, Equilibre Père / Mère et Cercle de Fonction des organes) et permettent ainsi non seulement d’apprendre à donner ces protocoles mais également de les recevoir. Ainsi tous les traitements que propose un thérapeute en CLT est un traitement qu’il a lui même reçu au préalable, lui permettant ainsi de comprendre le processus à l’oeuvre dans le corps, et également d’avancer sur son propre chemin d’épuration et de transformation.

En faisant cette Formation, c’est un travail actif auquel la personne participe pleinement. J’ai vu des personnes se transformer au fur et à mesure des séries reçues et échangées comme un étonnant processus personnel, leur permettant en plus à la fin de devenir thérapeute en médecine douce avec un bagage conséquent face aux nombreux disfonctionnement et maladie de l’être humain.

Ces formations s’adressent aussi bien aux profanes qu’aux personnes ayant déjà un bagage en tant qu’infirmier, acuponcteur, médecine chinoise, masseur, psychologue, ostéopathe. Les gens viennent souvent d’horizons très variés. La formation demande une rigueur bien entendu, mais la façon de l’enseigner est très pragmatique, simple et accessible à tous.

Merci Roshani pour cette interview !

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Interview de Roshani Montmory

Stage d’introduction (3 j) Région Avignon

- 1er au 3 Juillet 2016
– 7 au 9 Oct 2016

Coordonnées : Roshani – Société MU TERRE Tel 0615347421
Email : mu.terre@gmail.com

Voir ici le calendrier de MU TERRE: www.meditationfrance.com/muterre/calendrier.htm

Publié dans:ENERGIES, LUMIERE, MALADIE, POUVOIR, TERRE |on 22 mai, 2016 |Pas de commentaires »

L’imposition des mains par le médium

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L’imposition des mains par le médium guérisseur mérite qu’on y consacre quelques lignes supplémentaires : l’imposition des mains consiste en l’application sur le front pour une application généralisée ou sur la partie malade. Le médium guérisseur demande à Dieu le pouvoir d’écarter les fluides nocifs et réclame l’assistance des esprits, à la suite de quoi le médium secoue ses mains, comme s’il voulait se débarrasser de quelque chose d’impur, puis recommence l’imposition. Cette technique était surtout appliquée jadis. Aujourd’hui, le médium impose les mains avec foi et amour remerciant Dieu et les esprits de la guérison. Les fluides célestes apportés et mélangés au fluide terrestre travaillés par l’esprit, se répartissent dans tout le corps et rétablissent l’équilibre vital. Bien sûr pour agir de la sorte il faut une foi inébranlable. L’imposition se fait par-dessus vêtements ou couette sur une personne assise, debout ou couchée, tout cela n’ayant plus aucune importance.

L’imposition a lieu avec la  paume ou le bout des doigts sans raideur ni contraction…laisser faire…laisser faire les esprits envoyés de Dieu…. 

C’est le médium qui sent lorsque le moment de cesser est advenu (une imposition de 10 minutes environ semble salutaire). L’imposition sur la partie malade (bénigne) fait disparaître comme par enchantement le mal, parfois avec extériorisation. Le médium ressentira des sensations aussi diverses que variées, qui peuvent être picotements, chaleur…dans la main et parfois jusque dans l’avant- bras. Le plus souvent, le médium aura recours au contact simple avec la main droite ou peut poser la main droite sur le front et la main gauche sur la nuque (Pour les bactéries très localisées (verrues par exemple ou coupure) et de faible envergure le débutant dirigera le bout des doigts sur la partie à soigner, l’imposition des mains demandant une grande action fluidique. 

Le débutant croira parfois que l’imposition peut se contenter de quelques minutes et passera rapidement à autre chose dans le but d’expédier le mal, ce n’est peut-être qu’une erreur, car il ne doit se soucier de rien d’autre que laisser faire…. Voir peut-être sa main se déplacer imperceptiblement vers une autre partie du corps. S’en remettre à Dieu et aux esprits est la meilleure « méthode » de guérison. 

Par l’imposition des mains, le guérisseur spirituel pourra se guérir « lui-même », dans la mesure où la partie du corps à soigner est accessible sans demander de gymnastique. Ainsi, il pourra demander aux esprits de guérir par la grâce de Dieu et l’intermédiaire de ses mains une douleur à l’estomac, une entorse à la cheville, une brûlure sur la main (imposition d’une seule main dans ce cas, bien sûr)….. 

Si le malade n’est pas présent, le guérisseur pourra, suivant sa sensibilité, opérer à distance.

Imposition des mains sur photo, avec toujours, foi amour, concentration de la pensée sur la guérison et appel à Dieu et aux esprits. Il pourra aussi le faire au moyen d’un objet personnel porté par le malade (linge, papier, bijoux) afin d’établir un courant de communication entre eux. Certaines matières comme la laine, le papier s’imprègnent facilement du fluide vital. Il pourra également y ajouter l’absorption d’eau (par le malade) qu’il aura magnétisée en lui donnant par sa pensée l’intention voulue. Delà engage entre les deux personnes un lien médiumnique et le guérisseur pourra travailler comme si le malade était auprès de lui. 

La durée de l’action magnétique est variable. Selon Durville, elle diminue progressivement pour disparaître complètement. L’eau la conserve fort longtemps (des années, à condition qu’elle ne soit pas bouillie) sans que les propriétés soient diminuées, alors que les corps solides la perdent beaucoup plus rapidement (quelques semaines). Le métal possédant sa polarité propre, reprend dans la nature le mode vibratoire dont il est ordinairement animé en quelques jours. Les objets magnétisés doivent être conservés à l’ombre dans un endroit frais et sec, enveloppés dans du papier ou un tissu et surtout les éloigner de tous agents magnétiques physiologiques (aimants, électricité, métaux, bruits intenses). 

D’autres formes d’actions à distance peuvent être opérées : l’imposition des mains à distance de 10 ou 15 centimètres de la personne (après prise de contact). L’imposition sur photo comme nous l’avons déjà dit et enfin la pensée qui seule peut établir, sans aucun support, un lien suffisant entre le patient et le médium-guérisseur, elle réclame toutefois un grand développement médiumnique et une assistance spirituelle puissante. La prière (sous toutes ses formes comme précédemment indiqué) et l’élévation spirituelle du médium jouent ici un rôle capital, autant dire qu’elle est assez rare. 

Les premières magnétisations glissent souvent sur le malade sans qu’aucun effet ne se produise. Tout d’abord parce que, outre la foi et l’amour, c’est avec « l’entraînement » que les fluides se décuplent, également parce qu’il s’agit de vaincre les réticences du malade. Comme nous l’avons déjà expliqué, le malade réfractaire fera barrage, alors que le malade convaincu, consentant, voire seulement indifférent ou inconscient (les animaux, les bébés…) ne fera aucune barrière. 

Il n’y a pas deux guérisseurs qui produiront la même chose pour un même malade. L’un soignera très bien telle affliction, alors que l’autre n’obtiendra que piètre résultat. Le guérisseur aura une faculté puissante un jour et bien moindre le lendemain cela dépendant de tant de facteurs (conditions fluidiques, assistance des esprits, concentration de la pensée, prière….). 

Il arrive que le guérisseur, comme le magnétiseur, constate après quelques séances une recrudescence des symptômes de la maladie, il faut y voir là un signe de régénérescence de l’organisme qui, toutefois, prévient qu’il s’agit d’être prudent dans le « dosage » de l’émission des fluides (ne pas trop prolonger une émission fluidique, nous en revenons à notre paragraphe précédent où il est indiqué qu’il vaut mieux de petites doses régulières qu’une séance prolongée). L’intuition et l’inspiration jouent ici un rôle important. 

Au cours de l’opération médiumnique, les forces du guérisseur peuvent se mêler à celle du consultant et les passes peuvent entraîner avec elles des particules fluidiques nocives. Le guérisseur devra alors prier Dieu et ses guides protecteurs et avoir foi que les fluides mauvais s’écartent de lui (le lavage symbolique des mains à l’eau claire est ici important pour certains. Les soins médiumniques dérangent l’ambiance spirituelle ordinaire du malade, constituée parfois d’esprits inférieurs qui provoquent l’état de faiblesse du patient ou profitent de l’état de faiblesse pour le faire agir selon leurs caprices. Ecartés malgré eux du malade, ces esprits se retournent parfois contre le médium qui, s’il n’était pas protégé par sa foi, son altruisme, son amour, son humilité parviendraient à l’atteindre. Ceci explique que des médiums trop téméraires ou imprudents s’obsèdent ou abandonnent leur mission. 

Mais comme pour toute médiumnité « celui qui est dans la lumière ne craint rien » et Dieu le protège. Intervention de l’esprit :  » La plupart des médiums guérisseurs ne craignent rien car c’est l’amour qui guide leurs pas et l’amour est leur meilleur bouclier. » 

Comme nous l’avons vu, les esprits qui vivent autour de nous agissent et réagissent sur nous.

Ils ont une volonté plus éclairée que la nôtre et plus forte que la moyenne humaine, mais cette volonté peut-être paralysée par notre inertie et notre manque d’aspiration spirituelle. La loi du « qui se ressemble s’assemble » implique que tout homme qui désire faire le bien est assisté par  un esprit bienveillant. Le guérisseur sincère, humble, d’amour, d’abnégation et de foi agira sous l’influence, parfois occulte de l’esprit guérisseur. Peu à peu il se rend compte que ses interventions sont inspirées, que sa main est conduite pour diriger les soins. Ainsi, le guérisseur spirituel aura tout à gagner au moment des soins à faire abstraction de ses connaissances scientifiques pour laisser place à son intuition, à son inspiration, en fait à l’automatisme spirite. L’esprit saura mieux que lui ce qu’il y a lieu de faire, s’en remettre totalement à l’esprit envoyé de Dieu. 

Le médium guérisseur utilise son fluide personnel et s’adjoint, de par ses qualités spirituelles et morales le fluide céleste apporté par un esprit élevé. 

Le magnétiseur utilise uniquement son propre fluide et celui-ci est moins actif et demande une magnétisation soutenue avec un traitement qui peut être long, le magnétiseur donnant uniquement son propre fluide peut se fatiguer, voire s’épuiser, il doit donc de temps à autre récupérer des forces. Le fluide des esprits est plus puissant parce que pur et produit donc des effets plus rapides et parfois instantanés, la fatigue du guérisseur est alors quasiment nulle. 

Les médiums guérisseurs dans la plus pure acceptation du mot sont rares sur cette terre parce que leur personnalité doit s’effacer complètement devant l’action spirituelle et cette faculté élevée au plus haut degré demande un ensemble de qualités morales que l’on trouve rarement sur notre planète, ceux-là seulement peuvent obtenir par l’imposition des mains des guérisons instantanées (les autres peuvent obtenir par la simple imposition des mains mais devront prodiguer leurs soins dans le temps). 

La faculté de la guérison spirituelle n’est accessible qu’avec l’abnégation, l’humilité, le dévouement, le désintéressement, et bien sur la concentration de la pensée, la foi et l’amour de son prochain…. Tout un programme … !

 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

Publié dans:MAITRISE, MALADIE, MEDIUM |on 1 avril, 2016 |Pas de commentaires »

Comment prévenir les maladies et comment les guérir

 

J’ai décrit en détail dans mon dernier livre  » Le langage de la guérison  » les processus qui déterminent ou provoquent nos maladies physiques, à partir de chocs psychiques intenses ou de grands stress. Dans le cadre de cet article, cela me paraît inutile d’aller plus loin dans les explications, car le raisonnement est le même pour toutes les maladies, quelque soit leur degré d’intensité et de gravité.

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Ce qu’il faut retenir de tout cela, c’est que d’une part, le cerveau ne se trompe jamais et que d’autre part, c’est lui qui déclenche toutes les  » maladies  » pour garantir à l’individu les meilleures chances de survie. L’intérêt d’une telle vision est énorme, vous le devinez. En effet, pour la première fois dans l’histoire de la médecine, rien, dans nos affections et nos déséquilibres n’est dû au hasard. Tout se manifeste en accord avec des lois immuables inscrites dans la biologie des êtres vivants, comme le dit le Docteur Claude Sabbah.

Cela signifie, concrètement, que si vous apprenez les lois de la Médecine Nouvelle de Ryke Geerd Hamer ou de la Biologie Totale de Claude Sabbah, lois aussi immuables que celles de la physique ou de la chimie, vous pouvez non seulement comprendre d’où viennent toutes vos maladies, mais surtout vous pouvez les prévenir et les guérir. Comment ? En apprenant ces compétences relationnelles de base que tout être humain devrait acquérir : exprimer ses besoins et ses émotions, oser les confrontations respectueuses, reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est, poser des actes adaptés à la réalité, boucler les affaires non terminées, pardonner. Reprenons-les une à une, pour examiner en quoi ces compétences pourraient nous éviter d’être malades ou nous permettre de nous guérir…

Exprimer nos besoins : beaucoup de frustrations, beaucoup de stress proviennent du fait que d’une part, rares sont les êtres humains conscients de leurs véritables besoins et d’autre part, encore plus rares sont ceux capables de les exprimer de manière adaptée. Par conséquent, nous accumulons des rancœurs, des ressentiments, nous restons bloqués dans des impasses, sentant bien que quelque chose ne nous convient pas, mais sans savoir comment en sortir. Les choses qui nous arrivent sont souvent inacceptables, mais nous les acceptons quand même, parce que nous ne connaissons même pas les limites de ce que nous sommes prêts à vivre ou pas.

Réapprendre à identifier nos besoins et les limites de ce que nous ne voulons plus, être capable de les formuler à nos interlocuteurs, sans avoir peur des conséquences est une des voies possibles pour prévenir et pour guérir les maladies provoquées par les conflits humains et les frustrations.

Exprimer nos émotions : une émotion, c’est comme un symptôme. C’est l’indicateur de l’état de satisfaction et d’insatisfaction de nos besoins. Un besoin est frustré ? Nous en serons averti par une émotion désagréable (colère, tristesse, peur, etc.). Un besoin est satisfait ? C’est une émotion agréable qui nous avertira (joie, plaisir, etc.). Malheureusement, notre éducation nous a enseigné la même attitude à l’égard de nos émotions que la médecine à l’égard des symptômes : les nier, les rejeter, les supprimer. En agissant de la sorte, nous nous privons des meilleurs indicateurs à notre disposition pour connaître avec certitude ce qui est bon pour nous, et ce qui ne l’est pas. Et c’est cette ignorance qui nous précipite dans la frustration, puisque n’ayant plus de voyants lumineux sur notre tableau de bord, nous ne sommes même plus averti qu’un ou plusieurs de nos besoins sont frustrés. Et c’est là que le cerveau est obligé de prendre le relais, pour inscrire dans la biologie des organes les mêmes renseignements dont nous disposions avec les émotions (souvenez-vous : dans la métaphore de la voiture, si les voyants du tableau de bord ne fonctionnent plus ou ne sont pas pris en compte (les émotions), c’est au niveau des organes du moteur que la rupture se manifestera (les organes)).

Réapprendre à écouter nos émotions, les reconnaître et les accepter, les remercier même pour le travail de vigilance qu’elles opèrent pour nous est une première étape pour sombrer moins souvent dans des conflits et des stress destructeurs. Si, en plus, nous pouvons exprimer nos émotions de manière adaptée, en en prenant toute la responsabilité, sans en rendre les autres responsables, alors, très vite, nous pourrons retrouver notre équilibre (j’en ai fait très souvent l’expérience avec de nombreuses personnes).

Oser les confrontations respectueuses : combien de fois, dans des situations difficiles, tendues, désagréables, nous n’osons pas dire les choses à l’autre, respectueusement, mais fermement ? Combien de fois ne ravalons-nous pas notre salive, de peur de créer un conflit ? Nous craignons souvent que les choses désagréables soient dites, parce que nous pensons qu’il est préférable de conserver la paix entre les êtres. Mais cette paix n’est qu’illusoire, puisqu’à l’intérieur peut sourdre une violence énorme. Remarquez même que le calcul est illusoire : en voulant éviter le conflit, on ne dit pas ce qui devrait être dit. Mais en ne disant rien, on augmente notre frustration et notre rancœur, jusqu’à ce qu’elle devienne insupportable. Alors, soit nous explosons contre l’autre, et c’est le conflit et la rupture qu’on avait justement tenté d’éviter ; soit nous implosons, et c’est le cancer ou la maladie fulgurante qui vient nous inviter à regarder de plus près le déséquilibre que nous avons créé…

Oser les confrontations, c’est apprendre à dire les choses qui nous dérangent, calmement, mais sans faux-fuyants. C’est se dire aussi que la meilleure façon de prendre soin de la relation que nous avons avec les autres est encore d’exprimer honnêtement ce qui se passe pour nous dans l’interaction avec l’autre.

Reconnaître et accepter la réalité telle qu’elle est : je l’ai souvent observé, beaucoup de maladies se déclenchent lorsque nous refusons de voir une situation, lorsque nous y résistons, lorsque nous n’acceptons pas ce qui nous arrive. Ainsi, nous pouvons entrer dans des conflits de résistance, de répugnance, de dévalorisation, de perte d’image ou de territoire. Et plus nous luttons contre la réalité, plus nous renforçons son emprise et sa force contre nous, jusqu’à en être épuisé.

Loin d’être fataliste (il ne s’agit pas d’être une loque humaine qui encaisse tout sans rien dire, au contraire), cette attitude consiste à oser regarder la réalité en face, objectivement, sans la juger. Il s’agit aussi de changer son regard sur les événements, en ne les considérant ni comme bons, ni comme mauvais : je conseille plutôt de considérer tout ce qui nous arrive comme des opportunités offertes pour apprendre quelque chose de nouveau.

Poser des actes adaptés à la réalité : Jung insistait beaucoup sur ce point. Il n’y a, en effet, pas de guérison si nous ne posons pas des actes dans le Principe de Réalité. Souvent, nous restons bloqués dans des conflits ou dans des stress parce que nous n’osons pas poser un acte. Ou pire : parce que nous croyons qu’il suffit d’avoir pris conscience de l’origine de son cancer pour guérir. C’est faux, et tous ceux qui l’ont cru sont morts aujourd’hui. L’acte est la seule manière de donner au cerveau l’information de fin de programme conflictuel. Sinon, nous l’avons vu, l’activation de la maladie ne s’arrêtera jamais.

Boucler les affaires non terminées : cette notion a été mise en lumière la première fois par Elisabeth Kübler-Ross, ce médecin suisse émigrée aux États-Unis, à l’origine de la pratique des soins palliatifs répandus aujourd’hui dans le monde entier. Elle disait que beaucoup de patients, en fin de vie, éprouvaient le besoin absolu de faire la paix avec ceux avec qui ils avaient connu des ruptures qui s’étaient mal passées. Elle a observé des milliers de fois que dès que les affaires non terminées avaient été bouclées, les patients mouraient la nuit même, apaisés et sereins.

Pour agir de la sorte, je pense que nous ne devons pas attendre la fin de notre vie, en phase terminale d’une maladie longue et douloureuse. Je fais l’expérience régulièrement que boucler les affaires non terminées me permet de maintenir mon équilibre et de ne pas créer des sources de stress aussi inutiles que préjudiciables.

Pardonner : enfin, le dernier et non le moindre, pardonner. Non pas, pardonner à l’autre pour le mal qu’il pourrait nous avoir fait, mais nous pardonner à nous-même pour la souffrance que nous avons accepté de vivre si longtemps avant de lâcher prise, avant d’exprimer à l’autre nos besoins ou nos émotions, avant d’avoir oser les confrontations respectueuses, 514P0NxwP3L._SX305_BO1,204,203,200_avant d’avoir enfin reconnu et accepté la réalité, avant d’avoir posé des actes dans la réalité, avant d’avoir bouclé les affaires non terminées.

Aussi surprenant que cela puisse paraître, ce ne sont jamais les autres ni les événements qui sont responsables de nos chocs, de nos conflits, de nos stress. C’est toujours la manière dont nous avons reçu l’événement, dont nous l’avons perçu, interprété, filtré qui engendrera notre souffrance ou notre plaisir. Donc, en fin de compte, avec beaucoup d’amour, d’humour et d’humilité, nous nous remercierons d’avoir été aussi stupide et nous nous pardonnerons tout ce mal que nous nous sommes fait.

Extrait de : Le langage de la guérison de JEAN-JACQUES CREVECOEUR sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 29 janvier, 2016 |1 Commentaire »

La maladie, la solution parfaite du cerveau face à un conflit

 

justeSi j’arrêtais ici ma présentation, je vous laisserais probablement dans le doute, la perplexité, tant les guérisons peuvent apparaître magiques, si on ne comprend pas à quoi sert la maladie, fondamentalement, d’un point de vue biologique. Pour le comprendre, le Docteur Hamer donne un exemple tiré tout d’abord de la biologie animale : celui d’un renard en situation de grand stress lié à sa survie.

Depuis trois jours, imaginons qu’un renard n’ait plus attrapé la moindre proie. Il se trouve dans un grand stress lié à sa survie physique, quand, enfin, il parvient à capturer un petit lapin qui passait par là. Au moment où il s’apprête à le croquer, à le déchiqueter, à le broyer, le renard entend s’approcher un de ses prédateurs les plus terribles : le chasseur. Et voilà notre renard tiraillé entre deux menaces : s’il mange son repas, pour satisfaire son besoin de nourriture, il risque d’être tué le ventre plein ; s’il déguerpit en laissant sa proie, il risque peut-être de mourir de faim, un peu plus tard. Pour sortir de ce dilemme cornélien, il décide d’avaler toute entière une patte du lapin et de s’enfuir bien loin.

À cet instant, un autre danger menace le renard : celui de mourir d’une occlusion intestinale, car cette patte entière ne peut ni remonter de l’estomac, ni poursuivre son parcours dans l’intestin. On se trouve, dit Hamer, dans un conflit intense et brutal lié à la nécessité de digérer quelque chose. Pour résoudre cette situation, le cerveau met en œuvre alors la solution parfaite pour assurer la survie individuelle : il déclenche un programme de production de super-cellules digestives sur la paroi de l’estomac. L’objectif : digérer cinq fois plus vite et cinq fois mieux cette patte de lapin coincée. Tant que l’objectif n’est pas atteint, le cerveau maintient son ordre de produire ces super-cellules digestives aux performances nettement supérieures à la normale.

Mais dès que la patte est complètement digérée, un processus de bio-feed-back informe le cerveau que l’objectif est atteint. Instantanément, le cerveau met fin au programme de production et donne l’ordre d’éliminer ces super-cellules qui seraient dangereuses si elles étaient maintenues dans l’estomac. Quelques jours plus tard, si l’on endort le renard et que l’on examine sa paroi stomacale, on pourra observer des cicatrices, témoins de cette élimination encore récente des super-cellules.

Conclusion : grâce à ce programme inscrit dans la biologie depuis des millions d’années, le cerveau a choisi la meilleure solution parmi toutes pour assurer la survie du renard. La seule chose que je ne vous ai pas encore dite, c’est que ces super-cellules digestives sont ce qu’on appelle couramment, des cellules cancéreuses de l’estomac ! Ainsi, selon Hamer et Sabbah, sur base de vérifications faites en laboratoire, ce que nous appelons une cellule cancéreuse a les mêmes fonctions qu’une cellule normale, mais de façon démultipliée. Une cellule cancéreuse de l’estomac digère beaucoup plus fort et vite qu’une cellule normale. Une cellule cancéreuse du pancréas produit bien plus d’insuline, une cellule cancéreuse du sein produit bien plus de lait, une cellule cancéreuse du poumon a une capacité d’échange oxygène-sang nettement supérieure, une cellule cancéreuse du rein filtre nettement plus, etc.

Notons au passage que le Docteur Claude Sabbah a généralisé les découvertes de Hamer en montrant que toutes les maladies, quelqu’elles soient (de la plus bénigne à la plus grave), résultaient d’un choc ou d’un stress vécu dans l’isolement et étaient déclenchées par le cerveau comme solution parfaite pour assurer la survie.

Par JEAN-JACQUES CREVECOEUR sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ - SOURCE: http://www.erichamel.com/custom18.html

Publié dans:MALADIE, MEDITATION, SOCIETE |on 26 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

La maladie n’est plus ce qu’elle était

 

MaladieEt si la réalité était toute différente ? Et si les apparences étaient trompeuses ? Et si on inversait les postulats, serait-il possible de mieux expliquer les résultats des nombreuses approches  » parallèles  » dont bénéficient des millions de patients, mais sans être reconnues par la Médecine scientifique officielle ?

Je vous invite à explorer avec moi ce retournement de perspective et à l’accepter comme une hypothèse de travail, de réflexion et de recherche, non comme une vérité définitive. Et si certaines de mes intuitions mettent quelque chose en résonance chez vous, je vous inviterai à approfondir votre recherche à la suite de cet article. Amusons-nous, donc, à réécrire les postulats classiques de ma médecine…

Nouveau postulat n° 1 : La maladie n’existe pas, ce n’est pas une fatalité et il ne faut pas nécessairement l’éradiquer.

Selon de nombreuses conceptions traditionnelles, la maladie n’existe pas. Seul le malade existe et doit faire l’objet d’une attention de la part du médecin, du guérisseur ou du thérapeute. De plus, nous le prouverons plus loin, la  » maladie  » est le signe d’un déséquilibre qui résulte, la plupart du temps, de comportements conscients ou inconscients de la part du malade ; ce n’est donc pas une fatalité (sauf si l’on considère que l’inconscience est une fatalité).

Par ailleurs, selon ces conceptions, les symptômes sont les indicateurs visibles d’un déséquilibre physique ou psychique, qui lui, est invisible. Les symptômes ne sont donc pas ce déséquilibre lui-même. Pour comprendre cela, prenons une première métaphore. Comparons notre corps (véhicule physique) avec une voiture (véhicule automobile). Quand il manque de l’eau dans le radiateur ou de l’huile dans le moteur, cela ne se voit pas immédiatement. Pourtant, le déséquilibre est déjà bien là, mais silencieux, invisible. C’est ce que nous appellerons la vraie maladie. Au moment où la surchauffe du moteur devient trop grande, certaines pièces (prévues pour cela), vont casser (soupape, durit, etc.), libérant instantanément beaucoup de vapeur ! C’est à ce moment-là que les choses se manifestent, deviennent visibles. Ça, ce sont les symptômes. Ainsi, cette évacuation de vapeur n’est en aucun cas la maladie de la voiture : il s’agit du processus mis en place (selon les lois de la physique) pour permettre à la sur-pression de disparaître, pour revenir à l’équilibre et à la normalité.

Pour éviter d’en arriver là, les constructeurs automobiles ont inventé un autre dispositif : ce sont les voyants lumineux placés sur le tableau de bord. Dès qu’un besoin fondamental risque de ne plus être assuré, respecté ou satisfait, l’ampoule s’allume invitant le conducteur à s’interroger sur la situation et à y remédier. Quand cela se passe, que diriez-vous d’un garagiste qui vous conseillerait de dévisser — ou de casser — l’ampoule allumée ?

C’est pourtant ce que fait la médecine scientifique, depuis des décennies : par définition, les symptômes sont mauvais et doivent être supprimés. Mais pourquoi faudrait-il donc systématiquement les éradiquer, alors que si l’on parvient à s’interroger sur le sens du message envoyé, si l’on identifie ce qui a causé ce déséquilibre et si on rétablit l’harmonie initiale, l’indicateur devrait s’éteindre de lui-même ?

Ainsi, si vous changez votre regard sur les symptômes, si vous les voyez comme des alliés qui vous apportent des informations précieuses (à décoder), vous ne confondrez plus jamais la maladie (déséquilibre silencieux) et son processus de guérison (les symptômes qui se manifestent parfois bruyamment).

Nouveau postulat n° 2 : Lorsque des symptômes apparaissent (douleurs, rougeurs, fièvre, boutons, éruptions, diarrhées, vomissements, etc.), c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

J’ai retrouvé cette conception aussi bien dans l’homéopathie, dans l’acupuncture, dans l’ostéopathie, mais aussi dans la Médecine Nouvelle du docteur Ryke Geerd Hamer (Allemagne), dans la Biologie Totale des Êtres Vivants du docteur Claude Sabbah (France) et dans d’autres approches encore.

Pour comprendre cela, prenons une deuxième métaphore toute simple. Comparons notre corps (vivant) à une maison (habitée). La vie domestique produit normalement son lot de déchets quotidiens. Imaginons qu’une loi municipale vous interdise de sortir vos poubelles sur le trottoir jusqu’à nouvel ordre. Vous décidez alors de les stocker dans un local. Après quelques semaines, l’interdiction n’étant toujours pas levée, un deuxième, puis un troisième local sont affectés par les détritus, provoquant une odeur de plus en plus insupportable à l’intérieur de la maison. À ce stade, on peut dire que votre maison a perdu son équilibre, son harmonie : elle est infectée et empoisonnée.

N’y tenant plus, imaginons que vous décidiez de sortir vos poubelles, malgré l’interdiction. En faisant cela, vous manifestez votre volonté de rétablir et de retrouver un équilibre domestique à plus ou moins brève échéance. Vous vous rapprochez donc d’une maison à nouveau saine, en santé… Mais vos voisins ou la police municipale ne le verront pas du tout de cet œil : rapidement, des personnes interviendront pour non seulement refouler les poubelles à l’intérieur, mais en plus, pour clouer quelques planches sur les portes et les fenêtres du rez-de-chaussée, pour vous décourager d’une éventuelle récidive.

Ainsi, pour revenir au corps, lorsque le déséquilibre s’installe progressivement à l’intérieur de nous-mêmes (incubation de l’infection, accumulation de toxines, développement d’une tumeur, dégénérescence d’un organe, d’un muscle ou du sang, etc.), la maladie est silencieuse, indolore, asymptomatique. Les chinois parlent de maladie froide…

En revanche, lorsque le corps  » décide  » (nous verrons pourquoi plus loin) de rétablir son équilibre, il va chercher à se débarrasser de l’infection ou des toxines, à désagréger la tumeur ou à réparer l’organe, le muscle ou le sang atteints. Dans ce cas, le corps sort ses poubelles (fièvre, boutons, éruptions, etc.). La maladie se met à parler, les douleurs apparaissent, les symptômes se manifestent. Les chinois parlent de maladie chaude… Ainsi, lorsque les symptômes apparaissent, c’est le signe que le corps commence à rétablir son équilibre.

Ce qui est surprenant et déroutant dans cette vision des choses, c’est que ce que nous appelons  » être malade  » devrait être presque toujours interprété comme le début de la guérison. Or, nous faisons l’inverse.

Nouveau postulat n° 3 : Guérir une maladie consiste à écouter les symptômes morbides comme les indicateurs du chemin à suivre pour guérir.

Aussi bizarre qu’il puisse paraître, vous pouvez comprendre que ce postulat est tout à fait la conséquence logique de la vision développée dans le postulat n° 2. Si les symptômes sont les poubelles que le corps s’efforce d’évacuer régulièrement pour retrouver son équilibre, ils nous indiquent en même temps ce que nous pouvons et devons faire pour aider l’organisme à atteindre jusqu’au bout cet équilibre.

Car, si nous n’avions aucun stress, si nous avions un niveau élevé d’énergie vitale, probablement que le corps aurait suffisamment de ressources pour sortir seul toutes ses poubelles, chaque fois que nécessaire. Mais souvent, celui-ci est fatigué… Il commence donc le travail, sort les premières poubelles, mais ne va pas assez vite pour tout évacuer. Dans ce cas, tout se passe comme si la vitesse à laquelle l’évacuation se fait était trop faible par rapport à la vitesse de remplissage par de nouvelles poubelles. Nous sommes alors dans une maladie chronique, qui n’en finit pas de s’exprimer et de rechercher un équilibre jamais atteint.

Le thérapeute ou le malade qui comprend cela se mettra alors à l’écoute des symptômes, et mettra en œuvre un processus visant à apporter à l’organisme une énergie supplémentaire pour accélérer et augmenter l’expression des symptômes (c’est-à-dire l’évacuation des poubelles). C’est ce que font l’homéopathie uniciste (en prescrivant un remède qui provoque chez l’individu les mêmes symptômes que ceux que l’on cherche à évacuer), l’acupuncture (en débloquant des circuits énergétiques permettant d’accélérer les processus de rééquilibrage), l’ostéopathie (en libérant des blocages fonctionnels ou organiques), le jeûne et le repos (en mettant plus d’énergie à disposition du corps pour se nettoyer), etc.

En cherchant à supprimer au plus vite les symptômes, non seulement la médecine se prive d’informations essentielles pour une guérison naturelle et profonde de l’individu malade, mais en plus s’éloigne de plus en plus d’une sagesse fondée sur l’écoute de la nature pour se tourner vers l’orgueil et l’arrogance d’un savoir rationalisant déconnecté du Réel.

Nouveau postulat n° 4 : La maladie est une réalité multi-dimensionnelle qui touche une réalité complexe et systémique d’éléments en interaction permanente les uns avec les autres.

La médecine est fondée sur un double postulat de séparation. D’une part, elle considère que si un phénomène se manifeste sur le plan physique, c’est qu’il est de nature physique. D’autre part, elle pense également que si un organe particulier est touché, il faut chercher la cause dans le dérèglement de cet organe.

Or, nous en faisons l’expérience quotidiennement. Un mal-être psychologique, un conflit inter-personnel mal vécu, la perte du sens de la vie, un dilemme philosophique, le stress du quotidien, tout cela influence fortement notre santé physique. Inversement, des troubles physiques peuvent nous empêcher de nous sentir bien dans notre tête, peuvent nous faire perdre la foi ou nous précipiter dans une crise profonde. Essayer de soigner en cloisonnant les dimensions physique, psychique, relationnelle et spirituelle me paraît relever d’un aveuglement dommageable et inefficace. Ainsi, le physique influence le psychique comme le psychique influence le physique.

De plus, même si l’on se limite à la sphère strictement physique, la médecine chinoise, l’homéopathie, l’ostéopathie mais aussi d’autres disciplines comme l’orthodontie, l’étiopathie, la médecine holistique nous ont montré que le déséquilibre d’un organe particulier était souvent provoqué par le déséquilibre d’un autre organe. Il n’est pas rare que des sinusites soient soignées en libérant le foie de ses toxines, qu’un mal de dos soit soulagé par un déblocage des intestins, que des maux de tête soient éliminés par une remise en place du coccyx ou que des problèmes de genoux soient réglés par un réajustement de l’occlusion des mâchoires… De nouveau, ce n’est pas en s’acharnant sur l’organe lui-même que l’on trouve la solution au problème. C’est ici qu’il conviendrait de réintroduire dans la médecine une vision globale et systémique pour agir plus efficacement.

Nouveau postulat n° 5 : Les agents pathogènes ne sont pas des ennemis de la santé, mais ses alliés. Les agents cancérigènes ne sont pas responsables du cancer (sauf dans 1 % des cas). Les agents allergènes n’existent pas.

Pour démontrer cela de manière scientifique et détaillée, beaucoup plus d’espace me serait nécessaire. Lorsque j’aborderai les travaux du docteur Hamer et du docteur Sabbah, dans la suite de cet article, vous comprendrez mieux en quoi ce postulat est logique et cohérent, dans cette vision de la santé et de la maladie.

Pour l’instant, prenons juste une troisième métaphore. Lorsque, sur la route, survient un accident grave, on observe souvent la présence de policiers, de gendarmes, voire d’ambulanciers, de pompiers ou de médecins. C’est un fait. Dans ces cas-là, les journalistes sont souvent prévenus, pour couvrir l’événement. En général, à moins qu’ils ne disposent de moyens d’information particuliers, les reporters arrivent après l’accident et après les forces de police et les secouristes. S’ils ne connaissaient pas la réalité telle qu’elle est, à force de répéter toujours les mêmes observations, les journalistes pourraient conclure, en toute bonne foi, que les policiers, les gendarmes, les ambulanciers, les pompiers et les médecins sont à l’origine de tous les accidents de la route ! Et statistiquement, en se basant uniquement sur leurs observations a posteriori, ils auraient pratiquement toujours raison !

Bien entendu, vous me direz que c’est une faute grossière de logique, puisque l’accident a précédé l’arrivée des secours, et non l’inverse. Imaginez un instant que ce soit la même chose pour ce qu’on appelle les maladies. Nous savons déjà que lorsque quelque chose se manifeste, ce que l’on croit être le début d’une maladie est en réalité le début du processus de nettoyage, de rééquilibrage et de guérison (une des raisons pour lesquelles on meurt de la  » maladie  » est que le corps ne dispose pas assez d’énergie pour retrouver complètement son équilibre : il s’épuise alors dans cette quête jamais accomplie).

Ce qui veut dire que lorsqu’on commence à voir quelque chose se manifester (dans la métaphore de la maison, la sortie des poubelles), c’est que beaucoup de choses invisibles se sont déjà passées auparavant (l’accumulation des poubelles à l’intérieur). Quelques chercheurs reconnus pour leur efficacité thérapeutique, ont démontré que les virus, les bactéries et les champignons étaient mobilisés par le corps (sur l’ordre du cerveau) au moment où se déclenchait le rééquilibrage, pour aider le processus à s’accomplir. Soit pour apporter des matériaux pour reconstruire les cellules endommagées, soit pour évacuer les cellules devenues inutiles.

Évidemment, si le déséquilibre initial (phase de la maladie froide, invisible) a été trop profond, trop long et/ou trop intense, le nettoyage sera si brutal et si intense que cela peut rompre l’équilibre vital de l’organisme et provoquer sa mort. Mais, fondamentalement, comme les maladies ne sont pas des maladies, et comme les agents dits infectieux viennent au moment du processus de guérison, toute la vision de Pasteur s’effondre au profit d’une vision beaucoup plus dynamique qui vise le renforcement du terrain et de l’équilibre plutôt que la destruction pure et simple des agents nettoyeurs (virus) ou reconstructeurs (champignons et bactéries).

En ce qui concerne les agents cancérigènes, différentes recherches ont montré que seulement dans 1 % des cas, les cancers étaient provoqués par ces agents. C’est le cas de l’exposition à la radioactivité ou à certaines substances très toxiques à forte dose. En revanche, 99 % des autres cancers sont déclenchés par des facteurs de stress intense (des chocs psychologiques brutaux vécus dans l’isolement, traduits dans la biologie), liés souvent à des conflits humains intenses et dont on ne trouve pas de solution. Le Docteur Hamer a été le premier à mettre cela en évidence de manière scientifique, sur plus de 8,000 cas de cancers. Son mérite est d’avoir pu mettre en évidence que le développement du cancer se faisait selon certaines lois très précises et immuables, nous verrons cela plus loin.

Enfin, les agents allergènes sont une aussi pure fiction que ne l’est la croyance qui veut que ce soient les policiers et les autres qui provoquent des accidents. Toutes les allergies, sans exception, sont en réalité le processus de guérison (puisque c’est le moment où quelque chose se manifeste : boutons, éruptions cutanées, difficultés respiratoires) d’un énorme conflit de séparation. Je l’explique dans mon livre  » Le langage de la guérison « .

Nouveau postulat n° 6 : C’est la génétique qui est le reflet de l’état de santé du corps, et non la santé qui est le reflet du déterminisme génétique.

Ici encore, nous pourrions reprendre notre métaphore des accidents de voiture provoqués par les policiers et leurs complices. En effet, des généticiens dissidents ont découvert que notre carte génétique mutait en permanence, en fonction des stress positifs et négatifs que nous étions amenés à vivre tout au long de notre histoire.

Ainsi, selon le même principe que dans le postulat précédent, c’est le stress qui est premier. Celui-ci provoque un déséquilibre plus ou moins profond et durable dans l’organisme et chez l’individu. À ce moment-là, il va s’opérer une mutation génétique pour refléter dans notre structure d’ADN les nouvelles données de notre état. Un peu comme si notre patrimoine génétique avait reçu comme mission de consigner, de mémoriser toute notre histoire pour en transmettre l’information dans le futur de l’individu et de son espèce.

Croire donc que tel chromosome est responsable de telle maladie, c’est une fois de plus lire la chaîne temporelle des événements à l’envers. Et en déduire donc qu’en injectant un chromosome  » sain  » en lieu et place du chromosome  » pathogène  » revient à dire que c’est en détruisant les photos (la mémoire) d’un accident que l’on parviendra à annuler cet accident, ou à réparer les dégâts. Il est d’ailleurs intéressant de noter qu’avec pareil raisonnement, les généticiens qui nous promettent monts et merveilles (comme d’autres l’ont fait pour le cancer quarante ans plus tôt) s’engagent dans une nouvelle forme de révisionnisme, mais cellulaire cette fois :  » Si j’efface la mémoire d’un événement, j’efface l’événement.  » Voilà sur quoi reposent aujourd’hui les milliards d’investissement consentis dans le génie génétique…

Nouveau postulat n° 7 : Ce n’est pas en supprimant l’organe qu’on permettra au patient de survivre.

Dans ce dernier postulat, vous aurez compris de tout ce qui précède que ce qu’on appelle couramment une maladie n’est que l’expression d’un déséquilibre (processus invisible) qui cherche à revenir vers l’équilibre (processus visible). Dans ce contexte, l’organe ne doit être considéré que comme le lieu de manifestation par lequel le processus de guérison cherche à s’exprimer. En aucun cas, il n’est la cause première ! La cause, nous l’avons vu, c’est le conflit, le stress intense, qui une fois résolu, permet la guérison.

jj CrevecoeurEn supprimant l’organe, on ne fait que supprimer un lieu de manifestation. Et si le conflit reste encore actif, l’organisme se trouvera d’autres lieux, souvent contigus, pour continuer à manifester ce qui est nécessaire. C’est ainsi que certaines femmes ayant subi une ablation totale du sein produisent des ganglions alors que d’autres pas. Là où les premières n’ont pas encore résolu le stress à la base de leur cancer, il faudra qu’une manifestation persiste.

Ces sept nouveaux postulats que je propose à votre réflexion sont issus de ma synthèse personnelle, après 15 ans de fréquentation approfondie des médecines traditionnelles, globales ou holistiques. Elle s’inspire également des découvertes effectuées par des scientifiques qui ont eu le courage de sortir des sentiers battus de la pensée unique dominante et totalitaire répandue dans la communauté scientifique. Je pourrais présenter les travaux de nombreux chercheurs, mais je me limiterai…

LE LANGAGE DE LA GUÉRISON par JEAN-JACQUES CREVECOEUR – SOURCE: http://www.erichamel.com/custom18.html

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 23 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Le gluten peut-il nous poser un problème

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● Les apports nutritionnels du gluten

En ce qui concerne notre santé, le gluten ne nous apporte pas de nutriment indispensable que l’on ne saurait trouver par ailleurs. 

Qu’on se le dise : un régime sans gluten ne provoque pas la moindre carence… Mais une alimentation riche en gluten… Qu’en est-il ? 

● La transformation des céréales

Lorsque l’on dit que le gluten est une colle, il est facile d’imaginer ce qu’il va faire une fois dans notre système digestif : il va coller.

Le problème est d’autant plus aigu que l’industrie agro-alimentaire est passée par là. Ainsi, le blé actuel contient trois fois plus de gluten (et de chromosomes !) que le blé d’origine. Quel a été ce processus ?

« Apparu » il y a 10 000 ans dans le bassin mésopotamien, le blé comptait alors 14 chromosomes. Il y a d’abord eu les sélections naturelles bien sûr, inhérentes à toutes les espèces vivantes.

Ensuite l’homme est intervenu. Il a d’abord choisi, puis domestiqué les variétés les plus avantageuses pour l’agriculture, les plus résistantes. La logique agricole a intensifié cette sélection : seuls les plus beaux grains étaient gardés pour être replantés, d’où les premières mutations génétiques. L’homme a ensuite croisé, combiné les variétés. Si l’ingrain (le seul blé cultivé il y a 4 000 ans environ) portait un seul grain, l’amidonnier des Egyptiens en offrait déjà deux ou trois fois plus. Notre blé commun se targue de six rangs de grains…

Le milieu naturel a eu également son mot à dire : les différents sols et climats ont influencé les sélections de blé lors de leurs « voyages » d’une région, d’un pays, d’un continent à l’autre.

Aujourd’hui, on refuse de parler d’OGM pour le blé. Pourtant, bien des manipulations ont encore été effectuées depuis les années 70. Ainsi, le blé moderne présente 42 chromosomes…

● L’impact de ces transformations sur notre organisme

Deux conséquences majeures apparaissent.

D’une part, notre organisme n’a pas évolué à la même vitesse que le blé ou autres céréales à gluten. Les manipulations génétiques des céréales font que le gluten n’est jamais complètement digéré. Le Dr Seignalet souligne également que la cuisson de ces protéines entraîne des transformations nuisibles pour notre corps.

D’autre part, certaines études ou expériences montrent à quel point l’alimentation peut influer non seulement notre terrain, mais aussi notre ADN. Ainsi, deux études indépendantes menées sur l’épigénétique – par les universités de Duke (Etats-Unis) en 2010, et de Groningen (Pays-Bas) plus récemment – ont non seulement montré que notre alimentation avait un impact sur notre ADN, mais que cet impact se répercutait sur les générations suivantes… Ces études ont par ailleurs été corroborées par des épisodes historiques, comme le développement de certaines intolérances alimentaires chez les jeunes populations (1), suite aux famines subies par les mères (par exemple l’augmentation de l’intolérance au lactose suite à la disette hollandaise de la Seconde Guerre Mondiale), ou l’apparition de certaines maladies suite aux modifications des habitudes alimentaires (phénomène largement rencontré en Asie dans les dernières décennies, et bien illustré dans le film documentaire « La santé dans l’assiette »). Dans son livre « Le syndrome entéro-psychologique », le Dr Natasha Campbell-Mc Bride a d’ailleurs expliqué que les déséquilibres intestinaux (dysbioses, porosités, intolérances alimentaires, etc.) se retrouvent de façon de plus en plus prononcée d’une génération à l’autre. 

Si l’on détecte aujourd’hui plus d’intolérances ou de sensibilités au gluten, c’est donc tout simplement parce que notre organisme n’a pas eu le temps de s’adapter, que ce soit face à la quantité de gluten ingérée ou à la transformation des céréales en elles-mêmes, et que cette inadaptation s’accentue à chaque génération. Il est alors possible de se trouver face à quatre types de situations, que nous allons détailler.

Alors, gluten or not gluten ?

Face à toutes les problématiques engendrées par le gluten moderne, il est bien tentant de conseiller une éviction du gluten de l’alimentation. Toutefois, changer son alimentation sans conseil thérapeutique n’est pas forcément une bonne idée… Effectivement, les symptômes présentés par une sensibilité au gluten peuvent être communs avec d’autres pathologies. Il vaut donc mieux savoir ce qu’il en est plus exactement. Des examens médicaux permettront de faire le point.

• Si l’on pense être sensible au gluten, mieux vaut requérir les conseils d’un naturopathe. Enlever le gluten de son alimentation ne suffit pas à régler totalement un problème de santé ou retourner vers l’équilibre. Il s’agit aussi de réinoculer la flore, réparer la muqueuse (par des moyens naturels bien sûr), et tous les autres dégâts ; une chélation des métaux lourds (en toute sécurité, sans faire de bêtises) peut s’avérer nécessaire. Enfin, enlever le gluten de son alimentation ne signifie pas que l’on mange bien : respecter un bon équilibre alimentaire reste primordial.

•             Ainsi, si l’on se contente de remplacer les produits contenant du gluten par des produits sans gluten, cela peut devenir très vite onéreux : mieux vaut modifier certaines habitudes alimentaires (en limitant sa consommation de pâtes et de gâteaux, par exemple, même s’ils sont sans gluten !) Cela peut même se retourner contre nous. La mode du sans gluten faisant son apparition, nombre de produits présents sur le marché sont très peu qualitatifs, compensant l’absence de gluten par des taux de sucre, conservateurs ou colorants frisant l’indécence…

•             Si bien des problèmes de santé ont été réglés après une éviction du gluten et que l’on souhaite le réintégrer dans son alimentation, il est important de suivre certaines règles, sous peine de retrouver des symptômes de départ intensifiés. Si rien n’a été fait pour préparer le corps à ce retour du gluten, l’organisme va réagir fortement à la réintroduction d’une molécule qui a posé problème à un moment donné.

•             C’est pour cette raison que certaines personnes critiquent les régimes sans gluten. Or les problèmes de santé extérieurs qui se retrouvent lors de cette réintroduction mal menée du gluten ne font qu’illustrer toutes les perturbations internes engendrées par le gluten initialement.

• Par expérience, la question de la sensibilité au gluten est très largement présente chez les personnes que je reçois en cabinet. Je me suis aussi aperçue d’une chose : plus les personnes sont réceptives aux différentes énergies, et plus elles sont sensibles à la qualité des aliments : que ceux-ci soient liquides (qualité de l’eau), ou solides (et dans ce cas la transformation et la mutation des produits comme les céréales pose souvent problème).

Conclusion

L’intolérance au gluten n’est pas un effet de mode : l’industrie agro-alimentaire ainsi que nos modes alimentaires, nos choix de consommations, ainsi que d’autres facteurs aggravants comme le stress ou les métaux lourds font qu’un nombre de plus en plus important de personnes sont sensibles ou intolérantes au gluten.

Ces difficultés face au gluten sont difficiles à comprendre, car les effets ne sont pas forcément immédiats, et, les symptômes peuvent être très variables d’une personne à l’autre.

La sensibilité est aussi décriée parce que difficile à détecter médicalement. Les études et validations scientifiques sont encore en cours (des recherches américaines sont menées depuis février 2015). La méthode la plus fiable est celle des tests de peptidurie, qui sont toutefois peu reconnus en France et payants, car non pris en charge par la Sécurité Sociale.

Ce seront les personnes qui ont souffert de leur intolérance ou sensibilité au gluten, qui l’auront enlevé de leur alimentation et procédé aux différents rééquilibrages qui en parleront le mieux : parce que rien ne vaut l’expérience et la santé retrouvée !

Extrait du site Energie Santé, à lire en son entier sur le site : http://www.energie-sante.net/fr/nt/NT021_gluten-ou-pas.php

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, MALADIE, PLANTES |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le Schizophrène est un esprit évolué

 

schizophrenieEtre schizophrène, c’est être prisonnier d’un réseau de communication avec le monde invisible, qui n’est pas structuré ni organisé de façon cohérente. 

Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est-à-dire les facultés propres à son âme. 

En conséquence, celui qui est pourvu de ce type de réseau s’en trouve très malheureux parce qu’il ne sait pas comment agir pour faire taire certains correspondants ou pour en appeler d’autres. Rester dans cet état peut en effet conduire la personne atteinte de ce dérèglement médiumnique à vivre des situations très désagréables. 

Les esprits de toutes catégories se manifestent à elle parce qu’ils cherchent toujours un canal pour s’exprimer. Cela est surtout vrai pour les esprits des fréquences inférieures. 

Le schizophrène a donc de fortes chances d’entendre plutôt ces esprits, parce qu’ils sont très proches de la terre et s’amusent comme ils le peuvent. Cependant, ils ne sont pas conscients pour certains, du mal qu’ils font en agissant ainsi. Ils échappent tous à la hiérarchie spirituelle, et se livrent aux pires excès qui vont parfois jusqu’à manipuler un être faible en le conduisant jusqu’au suicide. 

Les possibilités de guérison du schizophrène ne passent pas par l’absorption massive de médicaments chimiques écrasant l’esprit et transformant le soi-disant malade en une véritable légume afin d’anéantir ses perceptions, comme on aimerait nous le faire croire. Il faut au contraire lui expliquer ce qui se passe réellement et l’aider à gérer tout le désordre auquel il est confronté. Il faut que la personne soit sensibilisée à ses réelles possibilités de guérison si elle arrive à contrôler ces voix qui l’obsèdent, et qui pour la plupart lui font peur. Il faut que toute personne atteinte par ce problème ne soit plus en situation de faiblesse. 

Bien au contraire, le schizophrène est un être spirituellement très évolué, qui peut et qui doit s’opposer avec une grande autorité à ces esprits invisibles qui le perturbent, en leur imposant le silence et le respect. 

On peut se demander pourquoi certains esprits évolués sont désignés comme étant schizophrènes et d’autres ne le sont pas. C’est une grande interrogation, mais nous pouvons tenter d’y répondre. 

Les êtres qui sont sensibles aux voix et aux manifestations du bas astral sont des esprits prisonniers d’un douloureux passé spiritual, qui les amis dans une situation de vulnérabilité excessive. Ils ont vécu la peur dans une vie antérieure.Ils ont été placés dans les pires situations qu’un être normalement constitué ne pouvait supporter. Presque toujours, ils ont subi des sévices physiques et moraux et sont devenus des esclaves de l’esprit humain. C’est-à-dire qu’ils ont subi la domination outrageante d’êtres ignobles et sans scrupule. Ces esprit sont été affaiblis par ces expériences de vie, mais ils ont également développé de grandes facultés de résistance et de communication avec le seul être susceptible de les comprendre et les aider : je parle de leur guide spirituel ou de leur ange gardien. 

Ces expériences douloureuses les ont suivis, et les suivront jusqu’au terme de leurs multiples vies. Cependant, il faut comprendre qu’un schizophrène est souvent à la fin de sa vie spirituelle, c’est à dire de ses multiples vies  lorsque de telles souffrances se manifestent. Il est toujours fragile et se met sans en être conscient, sous la tutelle de l’autorité la plus négative du monde invisible. 

Il est plus facile d’en sortir lorsque la personne atteinte n’est pas schizophrène. Et pour cause, elle n’en perçoit que la pensée et reste donc moins facile à atteindre. Celui qui perçoit la voix de façon très claire est beaucoup plus vulnérable, parce qu’il croit se retrouver dans la situation de soumission précédemment décrite, dont le souvenir est inscrit dans la mémoire de son âme. 

Le processus de guérison est donc simple et complexe à la fois. Il passera toujours par l’écoute et par la compréhension du possédé, pare qu’il s’agit en l’occurrence d’une véritable possession. Elle n’est surtout pas à prendre à la légère bien sûr, même si les cas sont divers et ne présentent pas tous les mêmes symptômes, mais le fond du problème ou la cause est identique. 

C’est la raison pour laquelle le traitement passe obligatoirement par une compréhension objective, traduite dans les moindres détails à la personne qui souffre. C’est la seule possibilité qui s’offre à elle de se sentir soutenue et renforcée dans son propre combat intérieur qui consiste à éliminer les voix perturbatrices, et à se débarrasser définitivement des intrus qui s’emparent de façon intempestives de son esprit. L’être soumis à de telles agressions ne peut résister très longtemps, surtout si le traitement qui lui est proposé est exclusivement chimique. 

Le traitement psychiatrique doit passer par la compréhension spirituelle des manifestations. Elles ne proviennent pas du cerveau comme le pensent es médecins mais se produisent au contraire par le processus d’écoute télépathique ou clairaudient du corps éthérique. Il faut donc que le traitement soit approprié à celui qui est la cause du désordre, et non  celui qui ne l’est pas. 

Les schizophrènes sont des êtres merveilleux d’amour et lumineux dans toute leur splendeur. Ils doivent lutter eux-mêmes contre les esprits sombres qui le réduisent à l’état d’esclaves et savoir qu’en agissant avec la foi d’être vainqueurs, ils s’en débarrasseront définitivement sans aucun secours thérapeutique médicamenteux.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MALADIE |on 9 mai, 2015 |8 Commentaires »

Expériences de Guérison Nouvelle

 

téléchargementEn plein préparatifs pour mon voyage en Turquie, mais j’avais besoin de partager cela avec vous, car je sentais que c’était tellement excitant. Cela concerne la façon d’être Présent dans la Vie, et de prendre conscience des miracles de l’Ici et Maintenant. 

Alors … mon histoire est celle de mon corps physique, celle d’incroyables énergies et de changements. Au cours du dernier mois, j’ai vécu une extraordinaire guérison. Je ne l’ai pas remarquée au premier   abord car J’étais trop occupée et je ne me sentais encore pas très bien en raison des symptômes liés aux énergies. Puis, j’ai remarqué que certaines choses se produisaient dans mon corps. J’avais eu une douleur constante dans ma jambe gauche ainsi qu’un inconfort et ce, depuis près de 18 mois. J’avais également des douleurs dans la région de la hanche et dans mes mains, peut-être de l’arthrite et une inflammation. 

Ainsi, en début d’année, quelque chose me disait que j’avais besoin de changer ma façon de manger, j’ai donc opté pour un régime végétalien alors que j’avais été végétarienne pendant 30 ans. J’ai aussi consulté un masseur thérapeute thaï, et j’ai augmenté ma pratique du yoga à deux sessions intensives de « Vinyasa Flow Yoga » par semaine Juste avant la « Porte du Lion », j’ai commencé à me sentir mal et même déprimée et mes émotions étaient  intenses.. Ok….je me suis dis : juste symptômes. Comme la Porte s’ouvrait, je me suis sentie vraiment mal et mon corps était soudain très, très électrique. Je m’étais déjà réveillée en ressentant ces courants d’énergie, mais dès que nous avons franchi La Porte, mon corps est devenu comme « fou », comme si j’avais été électrocutée. Et comme si mon cerveau  avait été « frit »..

Puis, comme la Porte se fermait, je remarquais des changements dans mon corps. La douleur avait disparu, je pouvais marcher et même courir avec aisance, comme si j’avais 20 ans. Oh oui …. Quelque chose s’était passé. Mon corps avait activé un puissant mécanisme d’auto-guérison. Je pense que je n’étais pas capable de vivre cela avant, mais maintenant tout avait disparu! 

Je dois dire que lors des deux derniers mois, j’ai travaillé intensivement avec le Nouveau modèle Galactique humain et avec les Energies des Élohim. Les Elohim  sont nos « Créateurs/Designers »et ils travaillent avec une Energie de Feu Bleue. Je pense que c’est ce que j’ai ressenti dans mon corps. Des vagues Bleues intenses ont déferlé lors du franchissement des portes, provenant des Elohim ou bien, quelque chose était déjà dans mon Corps de Lumière et cela a été activé par l’afflux de lumière au moment de la Porte du Lion! 

Je pense aussi que cela n’a été possible que parce que j’avais travaillé à la préparation de cette Activation et que j’étais disposée à accueillir cette puissante énergie de guérison dans mon corps. Je pense également que le Yoga, dont j’avais accès le travail sur ma hanche, a permis à l’énergie de circuler dans les endroits qui nécessitaient une réelle guérison.. Je pense également que le  changement alimentaire a favorisé l’élimination des toxines et des résidus de « boues » dans le corps, permettant aussi aux énergies de circuler et d’être activées dans le corps. 

Notre corps est conçu pour fonctionner ainsi.. Il m’a toujours paru étrange que si nous avons été   conçus par une Intelligence Supérieure, pourquoi cette même Intelligence aurait inclus la maladie et la dégénérescence. En fait, cette Intelligence ne les a pas incluses.. Nous n’avons tout simplement pas utilisé notre corps comme cela était prévu.. Le corps est un mécanisme électrique/énergie qui possède une puissante capacité d’auto-guérison. Il est également vrai qu’une fois que nous franchissons cette étape dans les Nouvelles Energies, nous devenons  responsables de notre propre guérison, personne ne peut le faire à notre place. Je dois dire aussi que ce ne fut pas une expérience «agréable» car je ne comprenais pas ce qui se passait, puis, j’ai commencé à remarquer que je me sentais différente et les gens ont commencé à me dire que j’avais « bonne mine », même si je ne me sentais pas aussi bien que cela. 

Maintenant, je comprends que mon corps avait besoin de cet espace pour guérir. Peut-être que dans les temps anciens, j’aurais pu me rendre dans un temple de guérison pour recevoir simplement les énergies et de les intégrer pacifiquement! Mais … je comprends maintenant ce que représente le Corps Electrique et je suis prête à travailler avec ces petits et beaux miracles qui font partie de l’Homme Galactique Nouveau. » 

Par Célia Fenn sur le magazine « Vivre sa Légende » n° 79

 

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 11 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

La maladie permet de se ressourcer

 

 

téléchargement (3)Les médecins taoïstes positivent plus que nous la maladie. Pour eux, au-delà d’un message du corps en détresse, elle offre la possibilité d’un ressourcement dans le « Vide médian », qui unit le Yin au Yang, le silence à la parole, le féminin au masculin.

Spécialiste de Sumer mondialement reconnue, linguiste maniant une vingtaine de langues anciennes, Marguerite Kardos est naturopathe et pratique l’énergétique chinoise traditionnelle. Elle est aussi, avec Jean-Yves Leloup, Michel Cazenave ou Christian Jambet, l’une des personnalités fortes de l’Institut Transdisciplinaire de Recherches et d’Etudes Comparées (ITREC) et participe depuis le début aux activités de « Terre du Ciel ». Nous lui avons demandé de nous parler des passerelles entre le corps, l’esprit, l’âme, et de nous dire quel sens a cette vision tripartite de la nature, notamment pour les Chinois auprès de qui elle a appris à soigner.

N C : Lorsque nous sommes fatigués, déprimés, est-ce parce que nous manquons d’énergie ou parce que nous la bloquons – les praticiens de l’énergétique chinoise comme vous cherchant à la refaire circuler ?

Marguerite Kardos : L’énergie a constamment besoin de se relancer, de se renouveler, de se raviver. Elle est UNE, mais ses expressions sont multiples et différenciées : il y a de l’énergie originelle, l’énergie ancestrale, l’énergie alimentaire, respiratoire, l’énergie de défense… Les Chinois l’appellent Qi, ce qu’on pourrait traduire par Souffles(au pluriel). Le Qi est l’un des « trois trésors », qui sont: Jing, Qi, Shen.

Le Jing est le principe vital « silencieux, ineffable, insondable » qui constitue le tréfonds de toute matière, la matrice de toute forme, c’est la trame yin très profonde de toute vie. Sa fluidité est comparée à l’eau. Mais le Jing serait inerte sans l’ardeur du Shen qui est pure lumière et liberté créatrice, qui va pénétrer le Jing pour le dynamiser. L’énergie ne se promène donc pas toute seule, sans support, c’est un système ternaire. Nous sommes en constante métamorphose, les « Trois trésors » produisent Hua, la transformation. L’homme est un « nœud » de jonction, d’échange, un lieu d’interaction des souffles du Ciel et de la Terre. La conception chinoise de l’univers est organique et unitaire, tout se relie et tout se tient par le « Souffle primordial ». Son mouvement est ternaire : souffle yin (la douceur réceptive), souffle yang (le dynamisme actif) et le souffle du vide médian (ce qui se passe « entre » et permet au deux de se dépasser). Cet espace de rencontre devient un lieu de transformation, de métamorphose. Le vide médian est une actualisation du Vide originel du « Ciel antérieur ». François Cheng sait en parler à merveille !

Toute vie peut être comprise comme un couplage yin/yang, dont le rapport est assuré par le vide médian. Je ne pourrais pas vivre si je n’étais en permanence ressourcée par ce vide profond qui règne entre deux respirations, dans l’échange entre deux regards, entre deux mots, entre l’origine et le retour, entre le oui et le non. Ce vide médian se forme constamment, il m’informe, me transforme et renouvelle toute relation. A l’origine de mon être, bien avant ma conception et même avant le cosmos, ce vide est une potentialité d’existence – dont l’astrophysique moderne commence à parler quand elle évoque la matière/énergie qui existe en puissance dans le vide primordial, dont elle dit qu’il est « poissonneux »!

Quand on se plaint : « Je manque d’énergie », on pense souvent au yang, à l’énergie que l’on aimerait déployer pour aller travailler, ou faire ses courses, se rendre utile, bref agir.

Mais notre économie interne nous garde bien de dilapider toutes nos potentialités vers l’extérieur, comme nous aurions tendance à faire. L’alternance jour/nuit, ou inspir/expir, ou yin/yang, permet l’échange des polarités en moi : ma part visible doit régulièrement se ressourcer dans ma part invisible. Dit autrement, je tiens debout, en position verticale par mon axe Nord-Sud, que la médecine chinoise appelle l’axe reins-cœur (reins et cœur sont garants de l’immortalité dans l’ancien Egypte, on ne les retirait jamais des momies). Cet axe représente mon intériorité profonde, intime, secrète qui est constamment « testée », vérifiée par le plan horizontal Est-Ouest: mon être au monde. L’état hépato-biliaire, pulmonaire et intestinal dévoilent les difficultés relationnelles que nous vivons avec les autres, dans la vie professionnelle, familiale, psychologique, sociale, amoureuse, artistique, religieuse, métaphysique.

Les énergies se croisent, s’échangent et se conjuguent en Cinq éléments, en cinq mouvements. A chaque élément appartient une « entité viscérale » avec un rôle spécifique , – l’âme chevillée au corps. Si l’organe est en souffrance, certaines difficultés émotionnelles vont apparaître et bien sûr vice-versa, quand l’état émotionnel est secoué, l’énergie de l’organe en pâtit.

Donc, quand je dis : « Je manque d’énergie » pour assumer tout ce que je devrais faire, cette fatigue me questionne autant sur le sens de ma vie psychique et spirituelle que sur une meilleure répartition de mes heures de travail et de repos, sur mes aspirations profondes ou sur mes dépenses et de mes dépendances, sur une nourriture plus équilibrée en yin ou en yang – et cela comprend aussi ma façon de me nourrir d’images, de sons, de paroles ou de pensées.

L’Occident découvre de plus en plus que l’extérieur commence dans la profondeur à l’intérieur, et le visible par l’invisible. Le Qi s’enracine dans le Jing infiniment obscure…

N. C. : Mais aussi, donc, que le shen lumineux l’inspire.

M. K. : Oui, heureusement. Le Shen, c’est l’étincelle d’amour qui chante dans nos cellules, qui rayonne à travers nos yeux, qui maintient le monde en cohésion. C’est l’inspiration, la créativité, le don de partage, d’être éveillé par la beauté, par la musique… ou par une rencontre : si en ce moment, tous les deux, nous communiquons, c’est parce qu’il y a du shen qui nous unit. Communiquer avec un comateux, en lui faisant entendre la voix d’un être cher, c’est l’œuvre du shen. Mais comment le shen se manifesterait s’il n’avait pas de base, s’il n’était pas accueilli par une matrice ? La base, cette matrice est le jing, l’insondable mystère féminin comparé à l’eau, sans laquelle aucune graine ne peut pousser, même si brille le soleil d’un shen magnifique. Quand vous rencontrez quelqu’un, la brillance de son regard et sa façon de vous serrer la main révèlent immédiatement comment le shen mobilise son Qi. Les thérapeutes savent que le plus souvent il faut commencer par recharger le jing.

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N. C. : Si le jing est comme l’eau et le shen comme le soleil, à quoi se compare le Qi, qu’ils mettent en branle et dont nous parlons de plus en plus souvent en Occident ?

M. K. : Le Qi est comparé au vent, les souffles circulent entre les différents plans. Je ne suis pas seulement un être biologique appartenant à une famille, à une société, à une culture dont je suis responsable. Je suis également faite d’énergie incréée, non substantielle. De quelle manière j’en suis responsable ? J’ai, comme nous tous, un « mandat céleste », une tâche individuelle à accomplir sur cette terre, et pour cela, il me faut incontestablement de l’énergie. Il se trouve que, souvent, nous ne savons pas entendre, venant du fond de nous, la voix qui nous inspire notre tâche singulière. Or, la maladie peut précisément nous servir à affiner cette écoute, à faire le point. Quand on me demande quelles maladies je soigne, je réponds que non, je ne soigne aucune maladie, je ne soigne que la santé. Or, dans le mot « santé », ma pratique me montre depuis trente ans, qu’il faut y inclure les phases sombres autant que les phases lumineuses. Seules les difficultés peuvent nous faire mûrir, grandir, évoluer, nous rendre plus humble, nous permettre d’entrer plus profondément dans le questionnement essentiel, à percevoir notre propre « scénario » de vie.

Chez les Sumériens, le thérapeute devait aider son patient à pouvoir répondre à tout instant à la question que lui poserait son ange gardien au moment de sa mort, au nom de l’Absolu : « Qu’as-tu fait de ma gloire ? » Celui qui ne peut pas répondre ne passe pas le seuil ! Autrement dit : avons-nous transformé les ténèbres rencontrées en nous-même et autour de nous en plus de compassion, en plus d’amour, en tendresse, en écoute, en pardon, en tolérance, en joie ? À Sumer, le mot maladie n’existe pas, on dit : enténèbrement. Tomber malade, c’est perdre la « lumière de gloire ». Et guérir (symbolisé par l’idéogramme du serpent), c’est traverser les épreuves, acquérir une nouvelle force grâce à la maladie. Nous ne sommes pas sur terre pour ne pas tomber malade, mais peut-être pour apprendre à franchir des ponts, des épreuves, et à transformer, chacun à sa manière unique, l’obscurité en lumière.

N. C. : La parabole christique des « talents » reprend cette idée…

M. K. : Oui, en demandant : qu’as-tu fait de tes talents  ? Les as-tu utilisés pour ta propre gloire, ton narcissisme, ton confort, ton désir de séduction, ta gourmandise d’acquérir toujours plus ? Les as tu gaspillées ? Ou as-tu su les utiliser pour sonder ce nom secret, cette vibration infiniment profonde qui existe en chaque cœur ? On ne peut pas formuler ce « mandat céleste » qui attend de nous sa réalisation, mais on le sent. C’est justement cela le shen : le feu de l’intuition, de l’inspiration, l’ange qui nous guide. Des tablettes sumériennes nous parlent de « réveiller le secret du cœur ». Telle est la tâche du thérapeute : pas seulement soulager un mal de tête ou une diarrhée, mais relier son patient à son enracinement dans l’invisible, au secret de son être. Dans le cœur éveillé, dans un commencement, un état auroral. Ce n’est pas spectaculaire, on constate une pacification : « Je ne tombe plus dans la victimisation », ou « J’aime mieux mes enfants », ou « J’ai décidé de chercher un nouveau travail », ou « Je réponds à des besoins en moi, auxquels je n’avais jamais accordé d’espace, danser, ou peindre, ou partir en randonnée, avant j’étais trop accaparé par mon travail, ma famille, mes soucis. Soigner, c’est donc beaucoup plus mystérieux et plus fort et plus exigeant que de juste vouloir rétablir une situation confortable. Si l’on reçoit une épreuve, c’est pour évoluer, pour grandir, se transformer, voir plus grand, plus large, plus profond, c’est pour renouveler tout de l’intérieur, avec plus d’amour, plus de patience, plus de force. Aujourd’hui, on cherche peut-être trop une efficacité à courte durée. Alors qu’il peut s’avérer excellent d’entrer en soi grâce à une grippe, à une fracture, ou à un autre trouble. Me sentir petit, me retrouver dans ce « vide médian » entre l’ancienne situation et une situation future, peut m’aider à voir mon devenir à partir de ce secret infini que je porte, innommé et innommable, inaudible, imperceptible, et pourtant extrêmement dense, intense, impérieux en chacun de nous, comme une mise à l’impératif de l’être, une exhortation à se mettre debout !

N. C. : Mais la crise ou la maladie peut aussi nous écraser…

M. K. : C’est bien pourquoi il faudrait soigner le yin, par prévention. Par exemple les reins sont porteurs de la volonté de vivre, de la confiance en soi, de la possibilité d’avoir une assise ! Beaucoup de nos contemporains « flottent », par manque de terre et d’eau : ils n’ont pas les pieds sur terre. En médecine chinoise, on dit qu’ils ont la racine -les reins- faibles. « S’adosser au yin », c’est d’avoir les reins solides, on peut les fortifier par exemple par le chi-gong ou le taï-chi-chuan. Les reins correspondent à l’intériorisation. Quand l’ours se retire dans sa grotte, à l’arrivée de l’hiver – temps de la tortue noire, c’est pour se renforcer les yin. Nous devrions faire de même. Pour nous renforcer la racine, descendre un peu plus « amoureusement » dans notre intériorité, dans le temple du silence, remercier nos ancêtres, leur pardonner leurs inaccomplissements, nous réconcilier avec eux – et nous ressourcer en pratiquant la respiration méditative… . Mais nous vivons désormais comme si les cycles des saisons ou du jour et de la nuit n’existaient pas. Nous voudrions travailler autant en hiver qu’en été, la nuit que le jour ! Moi aussi, bien sûr ! Trop d’affaires en cours et nous oublions de nous replier dans le silence intérieur, écouter notre voix profonde, et refaire nos réserves en hiver. Nous sommes donc menacés d’épuisement, parce que nous avons perdu la perception subtile des rythmes naturels, sur lesquels sont fondées, par exemple, les prières des grands systèmes religieux, qui dépendent de l’angle du soleil à la surface de la terre.

N. C. : Et quand arrive le printemps ?

M. K. : C’est le temps du dragon vert, avec l’éveil du yang. L’énergie renaît, bourgeonne, ressort. Les organes maîtres sont alors le foie et la vésicule biliaire, on les appelle « boucliers ». Egalement : « général de l’armée » et « chef de guerre », pour dire qu’on bouillonne facilement, on est prompt à la colère, à l’irritation, au jugement, à l’intolérance par trop de bile chaude. Au printemps le désir de la Quête se réveille, les projets de voyages – particulièrement si les reins ont été reconstitués en hiver ! La créativité surgit alors avec audace et impétuosité, tant pis pour l’entourage ! On refait le monde.

La phase montante du shen nous emmène dans l’été, en cette saison le cœur est sous la protection du phénix rouge. Les Anciens confirment qu’il y a un cœur émotionnel et un cœur « empereur ». Seul le « cœur vide a puissance sur toute chose ». Il est générosité, miséricorde, bienveillance, joie, – pas seulement durant l’été !

Puis, le yang décline doucement et l’automne arrive, c’est le temps du tigre blanc, une saison pour engranger, faire le bilan, le deuil aussi, à s’occuper des poumons et du gros intestin, à trouver son espace individuel, tout en respectant l’autre, à se libérer des dépendances émotionnelles périmées. Notre tâche, difficile, consiste à transformer la tristesse en compassion et en espérance. Il en faut du shen pour ça !

Au centre de l’entrecroisement des saisons se trouve la Terre. Elle s’occupe, à travers la rate et l’estomac, de la digestion, de la transformation, de la transmutation, de la compréhension, de l’intégration, du renouvellement… Mais si la Terre est trop forte en moi, elle va déborder sur le Feu et l’éteindre, me coupant de la Grâce, du shen ming en chinois, de « la lumière de l’Esprit ».

N. C. : Quand donc la Terre est-elle « trop forte » en moi ? Quand je suis vorace, cupide ?

M. K. : Pardon, je voulais dire qu’elle peut être fort « encrassée » par trop de pensées et de soucis, trop d’aliments sucrés et par l’alcool. Les compensations consolatrices incitent à la stagnation, ne favorisent pas beaucoup le dialogue transformateur… Comment entendre l’appel du shen, le « secret du cœur », si je suis emmurée dans ma vérité monolithique, ma certitude infaillible ? Le blocage de la Terre empêche les autres éléments à circuler : l’Eau est indispensable pour la confiance, le Bois pour l’élan créateur; le Métal pour l’acte juste, le Feu pour la Vive Flamme.

Y a-t-il de pire calamité que de ne jamais se remettre en question ?

Justement, selon la médecine sumérienne, la santé se repère à trois critères : avoir le don de remercier (pour tout ce qui nous arrive)le don de pardonner, et être joyeux.

La cause de la maladie est principalement le non-pardon à soi-même ou à quelqu’un d’autre. Le patient devait examiner ce qui l’empêchait de pardonner. Après quoi, on en venait à décrire son trouble, ses symptômes. Il fallait replacer son histoire personnelle dans une méta-histoire, symbolique, mythique, ce qui a opéré une délivrance. Et le thérapeute lui indiquait comment soigner sa santé, en visant les trois critères dont nous venons de parler. Etre responsable, autant que possible, de sa santé, par respect à son entourage peut être un acte de bienveillance. C’est pourquoi, dans toutes les médecines sacrées, qu’elles soient sumérienne, égyptienne, ayurvédique, chinoise, etc, il est conseillé un suivi, particulièrement aux changements de saison, aux équinoxes et aux solstices, et pour chacun le jour de son anniversaire. Pour célébrer et nourrir le Nouveau qui se prépare. Pour transformer l’épreuve en « berceau de la joie ».

La science occidentale petit à petit a saucissonné l’homme, en de nombreuses spécialités : psychologie, biologie, émotions… avec une impuissance à rassembler les fleurs en un bouquet, on y perd le fil. Même dire que nous sommes un triangle « corps-âme-esprit » apparaîtrait trop schématique et réductif pour des Sumériens ou des Chinois.

N. C. : La tripartition « corps-âme-esprit » n’est-elle pas au centre de la vision chrétienne, à laquelle vous n’êtes pas insensible ?

M. K. : Justement, Jésus a soigné la santé ! Chacun de ses gestes, chacun de ses mots était guérisseur, libérateur, transformateur. Derrière chaque guérison on sent briller des interrelations extrêmement riches. C’est probablement la pensée grecque qui a synthétisé et résumé de cette façon l’expérience des Anciens, sur les neuf corps qui nous constituent. Les neuf enveloppes de Tout-Ankh-Amon témoignent de cette perception à la fois cosmique, transfigurante et ascensionnelle de l’Homme. Le résultat actuel, c’est que, finalement, le pneuma grec, qui faisait penser au chi chinois, s’est retrouvé dans l’Église, mais il a déserté la médecine. On ne peut pas parler, dans nos facs de médecine, de l’Esprit Saint ! Alors que, chez les Chinois, même après cinquante ans de dictature maoïste, allez interroger des jeunes de vingt ans sur les « trois trésors », ils vous répondront impeccablement ! Cela m’a d’ailleurs énormément surprise, la première fois. J’ai demandé : « Mais… comment savez-vous cela ? » Ils m’ont répondu : « Mais enfin, nous l’apprenons à l’école ! » Ils apprennent que nous sommes faits d’invisible et que la matière extérieure est comme une expression figée d’une dynamique profonde, faite d’un entrecroisement de souffles ! Cela correspond bien sûr à ce qu’enseigne l’énergétique chinoise.

Vous et moi, nous sommes liés en quelque sorte, par « Dialogues avec l’ange » qui évoque cette tripartition. Me permettriez-vous d’en rappeler un court passage ?

« Tout est corps. Ce qui est insaisissable pour toi, l’âme, pour moi est un mur épais. L’âme est le vin, elle porte l’ivresse. » (18 L)

« L : Parle-moi de l’interdépendance du corps, de l’âme, de l’esprit. – Si tu dépends du corps, tu n’es que corps. Si tu dépends de l’âme, tu n’es que corps animé. Si tu dépends de l’esprit, tu n’es qu’un homme. Si tu
dépends de LUI, tu es tout. Ne dépends que de LUI, alors corps, âme, esprit et LUI seront unis ! A sa dépendance, tu peux reconnaître chacun. » (33 L) 

« Chaque organe de ton corps est l’image d’une force de l’Univers. C’est d’elle qu’il reçoit sa force. Le battement de cœur de l’Univers est un avec le battement de ton cœur. Chaque organe est sacré. (24 L)

Vous savez qu’un thérapeute qui pratique l’énergétique chinoise traditionnelle, « mesure » ce « battement » de la vitalité de son patient en lui prenant les pouls « chinois », aux poignets, aux carotides, aux pieds… ce qui lui permet de faire un bilan énergétique, puis de « réaccorder » la personne, comme un instrument de musique. Le thérapeute ne peut pas écrire votre « partition » (c’est-à-dire votre « mandat céleste »), mais il peut vous aider à la jouer sur un instrument accordé. Quant à l’intensité de votre façon de jouer, j’ai pu me rendre compte au fil des ans, combien elle dépendait de l’écoute que vous êtes capable d’accorder au sens profond de votre vie.

téléchargement (2)De plus en plus d’Occidentaux, y compris médecins, s’intéressent sincèrement et passionnément à tout cela, avec une exigence grandissante, qui me rend optimiste. De toute façon, les évènements nous obligent à évoluer. Savez-vous que la médecine spatiale russe a été obligée de renoncer aux antibiotiques et aux corticoïdes ? C’est qu’ils ont failli perdre des cosmonautes, en les soignant avec ces procédés très lourds, alors que, dans l’espace, les molécules se modifient de façon incontrôlable – si bien qu’un abcès dentaire a pu dégénérer en septicémie en très peu de temps et qu’il a fallu rapatrier d’urgence un gars qui venait tout juste de décoller – vous imaginez le coût de l’opération ?! Eh bien, devinez comment ils se soignent, maintenant, dans leur station orbitale ? Par acupuncture ! C’est la seule médecine vraiment sûre et efficace dans l’espace !

Cela dit, même l’acupuncture peut servir à des fins égoïstes. Or, finalement, la seule question qui compte est de savoir si je sers la vie, donc l’amour. C’est en assistant, médusée, à l’écrasement de la révolte de Budapest par l’Armée Rouge, en 1956, que je me suis posée des questions métaphysiques et que j’ai eu envie d’aider l’autre à guérir. Chacun de nous tombe, un jour ou l’autre, sur la question : « Sais-tu aimer ? »

Propos recueillis par Patrice van Eersel

Cet article a été diffusé la première fois dans le magazine CLE, en mars 2006.

Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 8 août, 2014 |Pas de commentaires »

Allergies : le bouleau

 

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On assiste à une libération massive de différents pollens dans l’air en raison d’un printemps tardif. Notre carte des risques région par région.

Après un hiver terriblement long, seuls les allergiques aux pollens se plaignent de l’arrivée du printemps. Depuis quelques jours, ils éternuent par salves, se mouchent et pleurent beaucoup, car de nombreuses espèces végétales libèrent simultanément, en ce moment, leurs pollens. Et selon le dernier bulletin « allergo-pollinique » du réseau national de surveillance aérobiologique (RNSA), les passages pluvieux prévus pour le week-end et le début de la semaine prochaine seront une bénédiction pour les allergiques. Ces intempéries vont leur apporter un léger répit pendant la pollinisation, mais attention, celle-ci a toutes les chances (!) de revenir en force une fois les nuages dissipés.

Un record absolu a été établi par le site de Limoges pour la semaine qui vient de s’écouler : il a comptabilisé en une seule journée plus de 1 000 grains/m3 d’air de pollens de bouleau. Cela n’a évidemment pas échappé aux malheureux Limousins qui sont sensibles à ces allergènes particulièrement gênants. Pour les jours à venir, les pollens de peuplier, de charme et de saule seront présents après la pluie avec un risque allergique très faible à faible sur la France. Ceux de frêne pourront atteindre un risque moyen lors des périodes ensoleillées. Ceux de chêne seront très présents sur la côte atlantique de Bordeaux à Bayonne avec un risque allergique élevé et ceux de platane s’imposeront sur tout le sud du territoire. « Ces deux pollens seront de plus en plus présents sur l’ensemble de la France », prévient Charlotte Sindt dans son éditorial hebdomadaire. Enfin, les pollens de graminées seront aussi à surveiller. Le risque est pour l’instant faible, et principalement localisé sur un quart Sud-Ouest, mais il peut devenir plus fort si les conditions météorologiques favorisent la croissance de ces herbes.



Victimes du rhume des foins restez chez vous

« Le printemps est arrivé, sors de ta maison », disait la chanson. Or c’est le contraire que les médecins conseillent aux victimes du rhume des foins. Ils leur recommandent d’éviter de se promener ou de faire du sport aux heures chaudes de la journée, quand les pollens volent allègrement. Si tel n’a pas été le cas, les personnes les plus allergiques ont tout intérêt à bien secouer leurs vêtements avant de regagner leur domicile, ainsi qu’à prendre une douche et se laver les cheveux en arrivant chez elles. Elles doivent aussi suivre correctement leur traitement médical. Mais les « habitués » n’attendent pas les beaux jours pour agir. Bon nombre d’entre eux – les plus sévèrement atteints – ont recours à la désensibilisation préventive pour éviter de passer cette période un mouchoir à la main. Les autres devront y penser pour l’an prochain, car il faut plusieurs mois de traitement (voire plusieurs années consécutives) avant de commencer à en bénéficier.

Pollinisation de bouleau du RNSA 

Publié dans:MALADIE, PLANTES |on 11 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Tremplin d’évolution

La maladie :

tremplin d’évolution individuelle

de Jean GRACIET

Que croyons-nous jusqu’à maintenant, au sujet de la maladie ?

La médecine actuelle sait très bien soigner le corps quand un symptôme apparait mais elle s’arrête à la frontière du monde physique ou du monde de la matière pensant que c’est là un tout.

Pour elle, les manifestations tels, rougeurs, tumeurs, fièvres, etc., de la maladie représentent un état anormal qu’il faut immédiatement soigner ou bien supprimer, éradiquer.

En effet, quand une maladie apparait, elle dérange, elle perturbe, elle devient le centre d’intérêt, elle accapare toute l’attention. Elle est devenue un frein, un obstacle qu’il faut éliminer, combattre. D’ailleurs ne dit-on pas « …se battre contre la maladie? ».

Tremplin d'évolution dans AME image-33-a-300x229

On parle alors de hasard, de fatalité, voire d’injustice.

On voit donc le médecin et on attend de lui qu’il nous sorte de ce mauvais pas. On se confie totalement à lui et on suit docilement ses prescriptions et son traitement. Puis, si ça n’est pas suffisant, alors le chirurgien sera chargé de supprimer l’organe ou partie de l’organe atteint par la maladie afin d’assurer la survie.

Si la maladie est provoquée par un virus, une bactérie, un champignon, ou un agent allergène ou cancérigène, on évitera tout contact avec les agents en question avant de les combattre pour les supprimer.

Fidèle aux théories de Descartes, Pasteur ou Darwin, la médecine traditionnelle n’établit aucun lien entre le monde physique, visible et le monde invisible, de l’esprit, des croyances et des émotions. Il y a séparation entre ces 2 mondes. Elle ne tient pas compte de l’importance et de l’impact des émotions et des croyances sur le corps physique. Pour elle, la maladie n’est que le fait d’un accident de la vie, le fait du hasard. Sa cause est donc extérieure à l’individu. Lui n’y est pour rien. La maladie vient de l’extérieur.

Donc la maladie n’a aucun sens.

Pourtant Hippocrate disait déjà en son temps que « Le hasard quand on vient à l’examiner se trouve n’être rien. Tout ce qui se fait a une cause certaine et cette cause se trouve encore en avoir une autre qui l’a produite. On ne voit point que le hasard puisse exister dans la nature. C’est seulement un nom. »

Ainsi que Platon qui écrivait dans « Les Charmides », à propos des médecins grecs de son temps, « qu’on ne peut guérir la partie sans soigner le tout. On ne doit pas soigner le corps séparé de l’âme, et pour que l’esprit et le corps retrouvent la santé, il faut commencer par soigner l’âme. Car, c’est une erreur fondamentale des médecins d’aujourd’hui : séparer dès l’abord l’âme et le corps »

Malgré cela, la médecine officielle a continué de soigner le corps physique comme s’il était séparé du corps émotionnel et du corps spirituel.

Depuis plusieurs décennies, beaucoup de médecins, physiciens, biologistes ou philosophes, à travers leur recherche, ont démontré que les symptômes physiques ou maladies n’étaient pas dus au hasard mais découlaient plutôt de chocs émotionnel, de croyances limitantes ou négatives et de mémoires ancestrales.

Parmi ceux-ci, on peut citer deux médecins qui ont laissé un héritage important pour l’humanité, Samuel Hanneman et le Docteur Edward Bach.

Le fondateur de l’Homéopathie, Samuel Hanneman , affirmait que « La maladie commence quand nous justifions par l’extérieur, le malaise intérieur. »

Le célèbre Docteur Bach s’était rendu compte que ce que nous nommons maladie, est une manifestation ultime produite par le corps et qu’une personnalité sans conflit serait immunisée contre la maladie . Pour lui, la peur, la lassitude, la résignation,…diminuent les défenses naturelles. Il estimait que pour guérir les maladies, il fallait d’abord reconnaître la cause psychique, l’émotion perturbatrice, l’état d’âme négatif. Et ensuite grâce à des remèdes naturels, le malade serait soignée dans sa globalité.

Et ce qui est remarquable, c’est que pour lui, «  Les véritables maladies de l’homme proviennent de tares telles que l’orgueil, la cruauté, la haine, le narcissisme, l’ignorance, l’instabilité, le déséquilibre, la convoitise, la jalousie et la cupidité. Chacun de ces défauts produit un conflit qui ne peut que se refléter au niveau du corps physique, produisant ainsi des malaises et des maladies. »

Sa philosophie, “Tant que l’Ame, le Corps et l’Esprit sont en harmonie, rien ne peut nous affecter.”

Dès 1978, un médecin allemand, le Docteur Ryke HAMER découvre que tout cancer résulte d’un « choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement ». Ce choc psychique ou émotionnel, il l’a appelé le Dirk Hamer Syndrom ou D.H.S. en mémoire de son fils. Il affirme que la maladie est la solution parfaite du cerveau en réponse à un stress ou à un conflit antérieur.

Pourquoi son fils ? Parce qu’à la suite de sa mort accidentelle, qui pour lui fut un véritable drame, il démarre un cancer des testicules. Ces évènements tragiques sont à l’origine des travaux qu’il entreprend dès lors et des découvertes tout à fait nouvelles qui vont ébranler les fondements de la médecine officielle.

Il établit un lien irréfutable entre la mort de son fils et son cancer et ses recherches vont l’amener à découvrir les causes psychiques ou émotionnelles de chaque cancer et, par extension, de chaque pathologie.

Le Docteur Hamer a donc découvert, qu’avant l’apparition de tous symptômes ou maladies, il y avait eu un choc émotionnel qu’il a appelé le D.H.S.
Nous vivons tous des chocs, des situations difficiles sans que chaque choc, chaque conflit n’entraîne obligatoirement une maladie. En fait, pour qu’il y ait maladie, pour biologiser en nous un choc, le DHS doit répondre à plusieurs critères.

Le choc doit être :

Dramatique (petit drame ou drame plus important). Il peut être très intense, brutal, dans une période très courte ou bien il peut être moins intense mais répété sur une période plus longue.
En fait, c’est un coup de foudre qui saisit tout notre être, le met en stress. Tout notre être vit la situation comme un drame qui prime sur tout le reste. Il n’y a plus rien d’autre d’important, on n’est plus en paix avec soi-même, on est comme « déconnecté ».

Inattendu (souvent), la plupart du temps on est pris par surprise et nos moyens de défense habituels sont dépassés.
Le choc n’est pas quelque chose que l’on voit venir, on est surpris, le choc arrive en un instant.
Exemple  : Le père dit à sa fille : « tu es une putain comme ta mère ». Elle est prise par surprise et le prend comme un coup de tonnerre sur la tête.

Vécu dans l’isolement , à l’intérieur de soi, sans qu’on puisse traduire à d’autres l’intensité du ressenti du choc reçu. Ce ressenti va dépendre de l’environnement, de nos croyances, de nos valeurs (croyances et valeurs qui fonctionnent comme un filtre à travers lequel on voit, on vit l’évènement) et ce ressenti qui est lié au choc est vécu dans l’isolement. Les gens qui nous entourent, familles, amis voient bien le même évènement sans connaître le même ressenti. Le ressenti est unique, il est bien vécu dans l’isolement.

Exemple  :
« Je me fais cambrioler. Tout le monde le sait mais personne ne se doute de la terreur qui m’envahit à chaque fois que je rentre chez moi. »

Si on parle de l’évènement sans entrer dans son ressenti, on ne guérit pas. Il faudra comprendre la nature de ce ressenti.

On ne trouve pas de solution , on ne voit pas la solution. Nous sommes comme prisonniers de notre conflit. Le conflit, le drame, par son intensité, sa nature, nous obsède. On devient prisonnier, sous son emprise. On y pense sans arrêt, on est préoccupé à l’excès. On a le « nez » dans le conflit et on ne voir rien d’autres et on cherche désespérément une solution.

L’homme vit des situations de dévalorisation professionnelle ou familiale, des conflits purement familiaux, des frustrations d’ordre sexuel, des affrontements d’ordre territorial, des humiliations. Dès l’instant où un de ces conflits atteint un niveau tel et que la personne n’est plus en mesure de solutionner, à ce moment là, la maladie apparait. De l’intensité du ressenti et de la durée du conflit vécu par la personne découlera la gravité de la maladie.

Ainsi la maladie apparait comme un programme de survie en réponse à un choc émotionnel devenu ingérable par la psychologie. Cette manifestation dans le corps est donc un langage, un message envoyé par l’inconscient afin qu’on le libère de douleurs passées.

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Publié dans:AME, MALADIE, PEUR, POUVOIR |on 27 février, 2013 |Pas de commentaires »

Mémoire cellulaire

Question à mon ange : Si je comprends bien, les croyances sont uniquement liées à un egrégore, quelles que soient les dimensions. Peux-tu m’expliquer comment se forme une croyance ?

Une croyance est le mariage entre l’émotionnel et l’intellect.

Il est essentiel de bien faire la distinction entre une croyance de dualité (le vrai ou le faux) et une croyance dans le sens d’une construction de la pensée, qui celle-ci est inéluctablement limitée par votre corps physique.

Les mémoires cellulaires sont « encodées » dans le corps physique à travers les différents corps éthériques essentiellement liés au trois chakras de base qui contiennent les vibrations de vos mémoires émotionnelles.

Pour l’instant je précise que je ne parle que de vibrations.

De multiples corps sont manifestés sur d’autres lignes temporelles, à des fréquences vibratoires différentes, par la densification des particules d’énergie passant par les champs toriques des chakras. Ce processus permet d’inverser et de densifier les particules d’énergie lumière en molécules.

L’énergie-conscience étant moléculairement inversée sur le plan astral par rapport à un corps, dès qu’elle réintègre un nouveau corps (naissance ou walk-in) elle se repolarise et adopte les mémoires cellulaires du corps dans lequel elle s’incarne. C’est à ce moment là que l’identification (l’intellect) émotionnelle (le physique) des vibrations des mémoires cellulaires deviennent des « croyances ».

Donc, l’union entre l’état émotionnel et le processus intellectuel génère les croyances.

Le décès (après la cessation des fonctions de la pinéale) annule toutes les vibrations émotionnelles qui ont généré des croyances liées à votre corps physique. *** (Voir témoignage de Joseph en fin de texte)

La Connaissance explique cette disparition des vibrations émotionnelles par le « chaos ».

C’est la raison pour laquelle, en cette 4e dimension de transition, vous ressentiez souvent ce chaos intérieur qui pouvait vous rendre malade jusqu’à vous donner parfois l’impression de mourir.

A suivre…

Transmis par Sand & Jenaël le 11 Février 2013. Source originale.

Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source

 

Publié dans:MALADIE |on 16 février, 2013 |Pas de commentaires »

Les dents nous parlent

  de Geneviève Desloges

 Les dents nous parlent dans GUERISON 9782953828108-207x300

Avec le livre « LES DENTS NOUS PARLENT » découvrez comment deviner la personnalité de votre interlocuteur au premier coup d’œil et prévenir vous-même les maux de dents..

Vingt-cinq années de pratique dentaire et les précieux contacts établis avec mes patients, m’ont conduit à découvrir des corrélations entre la forme des dents et le caractère de leur propriétaire.  Ces corrélations peuvent être maintenant utilisées comme un véritable outil de connaissance de soi fiable et facile à utiliser.                                                               -

Les observations effectuées pendant vingt cinq années révèlent l’existence d’une réelle correspondance entre forme des dents et caractère. Il existe cinq principales formes de dents, correspondant à cinq principaux types de caractère:

Il suffit d’observer attentivement la forme de votre incisive centrale, pour découvrir son type Sportif, Séducteur, Sensuel, Juge ou Artiste.                                                              

Découvrez alors quelle est l’ émotion principale à l’origine de la plupart de vos problèmes dentaires. Vous réaliserez alors que les maladies qui vous gâchent la vie sont en fait le simple reflet de ces émotions. Les maux de dents sont tout simplement les échos de vos mots dedans: vos émotions non exprimées, retenues ou même inconscientes.

-La colère s’exprime par des réactions violentes d’inflammation aigüe et se déverse par flots comme  un abcès aigu.                                                                                                   

 -Le ressentiment s’exprime par les signes lancinants d’inflammation chronique et nous ronge comme un kyste.                                                                                                            

-La dépendance est une  sensation de vide, de manque affectif, qui se manifeste par des cavités de carie douloureuse.                                                                                           

 -L’intolérance est une forme de rigidité mentale qui se fait comprendre par la fracture.                                                                                                                                                  

-Et l’anxiété qui provoque l’envie de fuir,  se trahit par une fuite de gencive : le déchaussement dentaire.

Le sens des maladies dentaires serait donc une invitation à soigner soi-même ses propres émotions négatives révélées par les symptômes physiques apparents. Les maladies n’apparaissent donc plus comme des fatalités que nous devrions subir passivement, mais comme des opportunités d’épanouissement et de mieux-être. Elles fonctionnent comme un véritable signal d’alarme émis par  nos dents, pour nous avertir d’un danger à traiter immédiatement. Les principaux maux dentaires qui nous parlent de nous sont :

L’inflammation aigüe qui nous parle de notre Révolte intérieure pour nous guider vers la Sérénité.                                                                                                           

  -L’inflammation chronique qui nous parle de nos Ressentiments intérieurs pour nous guider vers l’Empathie.                                                                              

-L’hypersensibilité qui nous parle de nos Dépendances intérieures pour nous guider vers la Plénitude                                                                                                                               

- La fracture dentaire, qui nous parle de notre Intolérance intérieure pour nous guider vers la Souplesse.                                                                                                                

Le déchaussement dentaire qui nous parle de notre Anxiété intérieure pour nous guider vers lAssurance.

Bien entendu, tous ces symptômes cliniques s’expliquent par des phénomènes physiologiques connus. Cependant, on constate que la maladie serait le signal d’alarme d’un danger bien plus grave que les symptômes constatés. Les symptômes corporels sont en effet évocateurs du malaise intérieur qui dérange notre esprit. Il suffit de connaitre le mécanisme de transmission de mot-à-maux,  pour comprendre le sens de ces signaux et ainsi  coopérer avec le  médecin pour obtenir une guérison complète. Écouter les maux de nos dents permet de prendre conscience des mots refoulés dedans qui empoisonnent notre mental et nous font adopter des comportements erronés, nuisibles à notre santé et à nos relations sociales. Après cette prise de conscience, nous pouvons alors les transformer en pensées positives, qui vont  nous guider vers le mieux-être et un épanouissement complet.

Me contacter : commander directement, donner votre avis, poser des questions ou échanger :    gen.desloges@laposte.net  

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Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 1 février, 2013 |Pas de commentaires »

Face à la Maladie

 

Être malade est une réalité décrite et expliquée par le corps médical, mais c’est avant tout une expérience personnelle qui comporte des retentissement tant au niveau psychologique que social ou culturel pour celui qui en souffre, c’est aussi le moment peut être de comprendre ce que notre corps cherche à nous dire.


Altération de l’image corporelle

- On ne se reconnaît plus physiquement, on a changé, on est fatigué .
– On s’inquiète de l’image que l’on renvoie dans nos relations affectives ou sociales
– On se sent diminué.
– On doit faire face à un déséquilibre au quotidien, nos activités habituelles et simples nous demandent 
  des efforts et plus de temps.
– On doit faire face à des humiliations et à la vulnérabilité.
– On dépend du regard des autres et on se demande de quoi on est encore maître ?
– On a peur de l’abandon, on craint d’être délaissé, moins aimé, de ne pas guérir , d’avoir des séquelles.

On se retrouve confronté à l’exclusion ou la marginalisation. Le monde des malades est un monde à part dans lequel les critères habituels de la société » comme la beauté, la rentabilité ou l’efficacité deviennent caduques.

Ruptures inhérentes à la maladie

Face à la Maladie dans MALADIE eau-ici-295x300La maladie provoque une rupture de l’espace psychologique, nos centres d’intérêts se retrouvent réduits, On a tendance à se replier sur nous même..

La maladie provoque une rupture dans la continuité de l’image de soi, et dans notre sentiment d’exister. Certaines problématiques jusqu’à lors masquées par l’activité se réveillent à cette occasion. 
On se retrouve face à la rupture dans la continuité des projections dans le futur.

Toute maladie entraîne la nécessité d’un travail psychique

«L a maladie organique implique une atteinte narcissique, mais aussi objectale, le malade cessant d’aimer aussi longtemps qu’il souffre» FREUD

On se retrouve dans «l’obligation» de faire un travail, une élaboration de la perte, un travail de deuil, un renoncement à certains aspects de soi.

On cherche un sens à sa maladie et l’on élabore à partir de son histoire, de son hérédité ou bien des réalités externes comme la pollution, le chômage, les traumatismes humains et personnels une théorie personnelle de notre maladie.

On se protège en élaborant un lien de causalité entre nos théories imaginées et l’apparition de la maladie.

Rechercher un sens à la maladie, nous permet alors de nous prendre en charge, d’être acteur et non pas seulement un objet passif livré à la médecin.

Mais le sens de notre maladie peut être aussi notre corps qui cherche à nous dire quelque chose :

Les tensions psychologiques, les conflits que nous n’avons pas eu le courage de régler, dont parfois nous n’avons pas conscience, s’expriment au niveau physique en utilisant différents mode de communication.

- Le premier mode est celui d’un ressenti de tension , par exemple des douleurs dorsales, des problèmes digestifs, des malaises , un mal être psychologique.

- Le deuxième mode est celui du traumatisme qui ne se produit jamais au hasard dans le corps. Le choc, l’entorse, la coupure vont se produire à un endroit bien précis .

- Le troisième mode est celui de l’apparition de la maladie . Elle nous parle de ce qui se passe à l’intérieur de nous, et clairement nous invite à comprendre grâce à un travail sur soi avec l’aide d’un professionnel ce qu’elle cherche à nous dire.

Un texte d’Isabelle Bayer

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Publié dans:MALADIE |on 6 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Le corps parle aussi

 

Le corps nous envoie de nombreux et précieux signaux 

Le corps parle aussi dans MALADIE youpie… que nous n’écoutons pas toujours, en tout cas pas assez. Il nous interpelle, nous parle, nous envoie des messages, puis réclame son dû lorsque nous le négligeons et qu’il n’est pas entendu – « en temps dû ». 

Combien de maladies développons-nous faute de vigilance et par despotisme envers notre corps. « Le corps est un outil à communiquer qui s’adresse aussi bien à nous qu’aux autres. Le corps parle. Il traduit nos émotions secrètes, nos désirs cachés mais aussi nos rancœurs, nos refus, nos peurs, nos souffrances. » 
(Pr E. Zarifian)

Être à l’écoute des signaux de notre corps nous permet, petit à petit, de découvrir ce qu’il dit, l’information, le message qu’il veut nous transmettre; il nous dit souvent de ralentir le rythme avant de craquer, nous suggère de prendre du repos au moment adéquat, de nous faire plaisir, de nous occuper de nos relations et de notre histoire familiale: de prendre soin de nous.

Repérer les messages du corps

Les symptômes « sans origine organique décelable » (c’est à dire sans lésion organique), sont des moyens permettant de communiquer avec soi même. Le but d’un symptôme est d’exprimer un message du corps ou de l’inconscient. C’est pourquoi il est nécessaire d’entendre nos petites douleurs quotidiennes, avant qu’elles ne s’expriment avec plus de violence et nous fassent « perdre » un temps précieux en soins médicaux et thérapie longues.

Nous n’avons pas voulu voir cette douleur lombaire naissante, qu’à cela ne tienne, le lombago est là pour nous dire que nous en avons plein le dos de telle ou telle situation. Nous ne supportons plus cette personne que, décidément, nous ne pouvons pas sentir, et nous nous retrouvons avec une sinusite. Et que dire de ces crampes dans le ventre au moment où je me décide à demander une augmentation? Pourquoi ai-je mal à la nuque chaque fois que je dois dire « d’accord »?

Quelques exemples typiques de maux psychosomatiques.
Démangeaisons (qu’est-ce que je tente d’enlever), jambes qui sautent (ai- je envie de partir vite d’ici), nuque tendue (torticolis, le tort qui te colle au lit), lumbago (j’en ai plein l’dos), conjonctivites et autres orgelets (ce que je ne veux pas voir), rhumatismes (qui m’empêchent de marcher, d’avancer dans ma vie), crampes d’estomac (ce que je ne digère pas), nausées (ce dont je ne veux pas et que je vomis), migraines (ça me prend la tête) barres dans le thorax, hypertension, ulcères, etc.

Et que dire des maladies de peau? La peau est le plus sensible de nos organes, elle a deux fonctions opposées: protection contre l’extérieur et lieu de contact avec le monde extérieur, c’est pourquoi elle est le siège de tant d’agressions.

Selon certains, les maladies de peau sont à 80 % d’origine psychologique.

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Publié dans:MALADIE |on 3 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Le mal-a-dit

… ou la maladie qui nous parle
par Dominique Jeanneret

 

«Comprendre le sens de la maladie, c’est comprendre ce que le MAL A DIT»  
Philippe Perruchon

Après bien des recherches sur mon propre corps et les maladies que j’ai eues ou que j’ai soignées chez d’autres patients, j’en suis arrivée à une conclusion toute simple.

En fait, j’ai d’abord cherché du côté biochimique et physiologique (je faisais partie d’une famille où tout le monde était «dans le médical» et je voulais moi aussi devenir médecin).

Le mal-a-dit dans MAITRISE amitieLa réponse aux maladies, à ce niveau-là, est chimique : les médicaments. Même les maux de l’âme sont soignés avec des médicaments. Ça aide, le temps de remonter la pente, de mettre la tête hors de l’eau. On se sent mieux, on pense qu’on est «guéri». Quelques mois plus tard, on retombe. Pourquoi ?

Du côté des maladies physiques – du rhume au cancer en passant par les MTS et l’arthrite -, c’est encore les médicaments chimiques qu’on prescrit. Soulagement de la douleur, parfois guérison, mais à quel prix ? Par exemple : les antibiotiques, auxquels le corps humain est de plus en plus auto-résistant, créent des effets secondaires. Est-ce que le médecin vous a déjà dit que, lorsque vous ingurgitez des antibiotiques, il vous faut manger un yoghourt nature par jour pour éviter de détruire votre flore intestinale ?!

Un jour où mon médecin avait épuisé toutes les ressources chimiques pour me guérir d’une infection, j’en ai eu tellement marre des médicaments que j’ai «balancé» la médecine courante pour aller voir une homéopathe. Elle a commencé par me faire changer d’alimentation, le temps de rebalancer mon PH (niveau acido-basique dans notre corps). Le niveau d’acidité dans mon corps était trop élevé, empêchant la guérison de l’infection et mon immunité n’était pas assez forte. Les résultats ont été fulgurants. L’infection est partie d’elle-même, aidée par quelques suppléments vitaminés et homéopathiques. Bon, une première preuve que la médecine naturelle fonctionne !

J’ai lâché mes études de médecines pour entreprendre, au fil des années, celles de naturopathie, de massage, de relation d’aide et de guérison énergétique.

Par la suite, j’ai fait une dépression. J’étais tellement bas que j’ai accepté de prendre des anti-dépresseurs, le temps de remonter la pente. Sauf que j’ai mis une condition au médecin qui me les a prescrits : je voulais une aide psychologique régulière et suivie pour comprendre pourquoi j’étais arrivée dans cet état.

De fil en aiguille, à travers toutes mes recherches, thérapies, études et formations sur mes propres «maladies» et celles du monde, j’ai finalement découvert, et pu confirmer, ce que je pressentais depuis longtemps : ce sont nos émotions refoulées qui créent nos maladies.

«La maladie est un transposé exact, au niveau du corps,
d’un conflit psychologique conscient ou non.»
  
Salomon Sellam

«Oui mais, oui mais…» Je vous entends déjà ! «25 cents à chaque «oui, mais…» !» dirait mon amie!

Cette conclusion est la mienne et celle de bien des thérapeutes en médecines alternatives, dont je fais aujourd’hui partie. Que ce soit les occidentaux, les Indiens, les Chinois ou tout autres peuples encore proches de leurs sources, on trouve la même conclusion. L’humain est un tout, pas juste un corps : il est physique, émotion, énergie… Pour trouver la cause d’une maladie, la «vraie» cause profonde (et pas juste pour soigner le symptôme avec des médicaments !), on doit aller chercher à l’intérieur de nous-mêmes.

Les émotions refoulées débalancent le système énergétique qui, à son tour, débalance le système physique pour, finalement, créer la maladie.

Dans le milieu, on sourit parfois quand quelqu’un attrape la grippe : «Tu as besoin qu’on prenne soin de toi ?!». Quand quelqu’un à le foie engorgé, on demande «quelle est la colère qui te ronge ?!», quand quelqu’un à les poumons serrés «quelle est la tristesse qui t’étouffe ?!». Ce ne sont que des exemples…

«Le corps nous parle» entend-on souvent. C’est vrai et si, on découpe le mot «maladie», on trouve «mal a dit»… Écoutons notre corps, il veut nous dire quelque chose, il veut nous dire que nous avons mal… quelque part dans notre âme. Nous devons donc soigner notre âme pour guérir notre corps et être en santé.

Ceci dit, le travail sur les maladies peut être long quand on s’attaque à comprendre qui ont est vraiment, qu’est-ce qui «travaille» à l’intérieur de nous-mêmes au point de nous rendre «malade». Durant ce travail, les médicaments et suppléments alimentaires sont nécessaires pour pallier à la douleur souvent, pour aider à la guérison et pour fortifier l’immunité tout en gardant une bonne dose d’énergie pour avancer.

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Publié dans:MAITRISE, MALADIE |on 1 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

La peur de la maladie

 

Des êtres parmi vous, bien qu’éclairés, ressassent les mêmes idées : « Vous savez, elle (la maladie) se promène en ville, et elle va m’attraper ! J’ai un ami qu’elle a eu, elle va m’avoir aussi ! »

 Ce n’est pas ainsi que les choses se passent. Peu importent vos prédispositions génétiques à une maladie. Quoi que vous ayez entendu dire à ce sujet selon l’ancienne énergie, on ne vous a pas exposé le plan d’ensemble ! Finissez-en avec les vieilles explications biologiques et accueillez la nouvelle manière d’expliquer le fonctionnement des choses !

La peur de la maladie dans MALADIE eau_vivante-199x300 Par la conscience humaine, vous pouvez vous adresser à votre structure cellulaire, la renouveler, l’améliorer, l’éveiller, la guérir, la purifier. Vous pouvez même parler directement à la maladie. Plus tôt fut étudiée la question suivante : « Sur le plan biologique, de quoi êtes-vous faits ? » D’eau.

De quoi est constituée la maladie ? D’eau.

Puis on vous a montré comment la conscience humaine pouvait profondément modifier l’eau (dans cet article http://devantsoi.forumgratuit.org/t239-transformer-son-eau-du-robinet-en-eau-diamant?highlight=transformer+son+eau ). En avez-vous tiré des conclusions ? La conscience apte à transformer les structures cristallines dans une jarre remplie d’eau peut aussi considérablement transformer l’eau contenue dans un être humain, dans sa structure cellulaire. Peu importe ce que vous avez appris, telle est la vérité.

 Si vous avez envie de vivre dans la peur, vous le pouvez, vous êtes libres. Si vous préférez faire le contraire et célébrer votre situation, votre cheminement et les événements susceptibles de survenir, cela créera de la lumière. Alors, vous vous mettrez à rire de votre peur en réalisant quelle blague c’était.

Béni soi l’être humain qui comprend que l’influence qu’il peut exercer sur sa structure cellulaire est sans limite ! Voilà le nouvel ordre des choses ; chamans et yogis des temps anciens vous l’avaient révélé, et c’est maintenant à vous de jouer ! Voilà pour la huitième peur.

Kryeon : Tome VII – Un nouveau départ, canalisé par Lee Carroll – page 238. Channeling de Newport Beach, Californie, Décembre 2001.

 

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Publié dans:MALADIE, PEUR |on 3 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

La maladie n’est pas là par hasard

 

Rien dans notre vie n’est le fruit du hasard. Tout événement est la conséquence d’un fait, d’une pensée, d’une manière d’agir. Tout dans notre vie est vibration, les pensées et les actes sont vibrations, au niveau de la planète mais aussi au niveau plus individuel des êtres humains. Donc, même de façon inconsciente, nous agissons sur les probabilités de notre futur parce que ce sont nous qui créons ces énergies créatrices. Il est alors important de constater que notre manière de penser va influencer notre futur au niveau vibratoire et cela touchera un domaine en particulier : il s’agit de la santé.

La maladie n'est pas là par hasard dans GUERISON main-francesca-438x275-438x275-200x126Qu’est-ce que la maladie au sens général ? C’est la manifestation au niveau physique d’un disfonctionnement qu’il soit mental, psychique ou autre. Or beaucoup de personnes pensent que la maladie n’est pas la conséquence d’un disfonctionnement psychique, par exemple elles pensent que la grippe est la conséquence de tel virus et c’est tout. Mais ces personnes se contredisent car en même temps elles acceptent que certaines soient psychosomatiques (eczéma, herpes). Pourquoi cette contradiction? Parce que la médecine elle-même le reconnaît, la société le reconnaît, bref c’est rentré dans l’esprit commun que certaines maladies soient la conséquence de causes psychologiques.

Mais pourquoi cela ne serait-il pas le cas de toutes les maladies alors? Il s’agit ici d’être cohérent. Même si la médecine ne le reconnaît pas (par exemple elle ne dira pas que la bronchite est le résultat de tel problème psychologique, émotionnel ou autre), cela ne nous empêche pas à nous d’y réfléchir. Il y a encore 50 ans, la moitié des maladies que nous appelons, nous, de nos jours, psychosomatiques n’avaient pas pour origine l’état d’âme du patient. Alors la médecine n’est pas le garant d’une Vérité totale. Ce qu’elle disait il y a 50 ans sur ce sujet est remis en cause aujourd’hui, la médecine évolue avec les mentalités.

Par ailleurs, toute maladie représente la même chose : un disfonctionnement vibratoire. Alors que ce soit une poussée d’urticaire ou un claquage musculaire tout est question de vibration. Avant qu’une maladie n’apparaisse au niveau physique, elle est matérialisée dans différents niveaux de notre aura. C’est pour cette raison que toute maladie vient de nous-même. Sans le savoir nous avons favorisé un disfonctionnement dans différentes couches auriques et selon notre problème dans notre vie il surviendra telle ou telle maladie située sur telle ou telle partie du corps car chaque partie du corps a une symbolique.

La maladie est donc une sirène d’alarme. Elle est là pour nous permettre de prendre conscience que quelque chose de profond ne va pas dans notre vie (que ce soit au niveau spirituel, émotionnel, mental…). Soigner la maladie sans voir la cause n’aide pas beaucoup notre être : soit la même maladie va revenir, soit elle se transformera en d’autres maux mais finalement il y aura toujours quelque chose, « un pet de travers » comme on dit.

Certaines personnes me disent : » mais quand on se casse une jambe c’est le hasard de même quand j’attrape un virus »

Je leur répond que leur psychisme est tel qu’il favorise des événements de telle sorte qu’une jambe cassée n’est pas le hasard de circonstances. Cela dans votre évolution a un sens qu’il faut savoir apprécier afin de comprendre et voir ce qu’il ne va pas en nous. Toute maladie est la conséquence d’un disfonctionnement au niveau vibratoire de notre être. Soit nous créons cette maladie (par exemple l’urticaire), soit nous amenons à nous des événements (par exemple une jambe cassée).

 source-lumiere.net – 2002-2008 

 

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Publié dans:GUERISON, MALADIE |on 20 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

Amour et Maladie

conversation intuitive avec ERENA

                   Lorsque la maladie prend le dessus, il s’agit d’une remise en question, d’un message de l’Univers qui passe par le corps, d’un message que la Lumière veut faire passer… Observer ce qui ne va pas dans sa vie de tous les jours, les pensées, les comportements, les façons d’exprimer ses ressentis, et comprendre que tout mène vers la Lumière un jour ou l’autre… Il est donc temps de revoir ses positionnements, ses questions existentielles, de renforcer sa foi et sa confiance en son destin…

Amour et Maladie dans AMOUR microscope                   Que la pensée, la parole et l’acte soit en accord, en harmonie, dans la même dynamique du cœur !… L’Amour restera toujours maître de tous les domaines, et vaincra tous les tabous, interdits, intellectualisations, restrictions ; il poussera vers une métamorphose, un changement, un pas en avant… Amour et Estime de soi sont prioritairement indispensables, indissociables de l’énergie utilisée, et sont là pour aider à apprécier son chemin spirituel et temporel…        

     
                   Tout va toujours dans le sens de cette invite à s’élever et élever ses sentiments au profit du cheminement de cœur et d’âme et au profit d’un bien-être mis au service du bien commun, l’entente étant bien évidement une priorité… Entente intérieure… Entente extérieure… C’est le même mouvement !…

                   La maladie vient donc rappeler les Règles de l’Unité, qui seront tôt ou tard à respecter, parce qu’elles sont en soi et que l’Amour les anime pour le meilleur de chaque journée… L’Amour est un état de bien-être… La maladie montre que cet état est en défaillance et qu’il est sage de revoir ce qui se passe en soi, pour réajuster ses sentiments, ses façons de voir la vie et ce que l’on vit, tout étant changeable dans l’instant présent, pas demain, pas plus tard !…, puisque tout est possible…

                   Ne pas s’imposer l’impossible, mais autant que faire se peut, ressentir, respecter, aimer plus et mieux, renforcer sa confiance, agir en conscience, libérer les pensées négatives par des pensées de corrélation entre le cœur et le raisonnement, entre la pensée, la parole et le choix juste, donc l’acte posé dans l’idée que cela rend libre et heureux… 

                   C’est dire agir dans la connaissance de la Loi de cause à effet – ce que l’on sème se récolte –, en conscientisant ses choix, en se respectant totalement, en ne cédant pas devant les pressions, les injonctions extérieures ou du mental, pour établir un affermissement, une confiance, une symbiose entre la personnalité et le moi divin serein, donc entre les parts inférieures et supérieures en soi… 

                   Cela se peut par l’abandon des luttes de pouvoir, par le détachement, le lâcher prise, par le sensation d’innocence, de pardon, d’accueil et d’acceptation, de ce que l’on est, de ce que l’on vit… Puis, vient le moment de la guérison des émotions, du partage et de l’empathie… Enfin, vient le moment de la foi en soi, et de la confiance en son destin… Puis, arrivent les offres et les cadeaux de la Vie… D’où l’idée juste que l’Amour et l’Estime de soi guérissent et apportent de belles récompenses !… 

                   Que cela soit !…    

         
ERENA                    

Reproduction autorisée à condition d’en respecter l’intégralité et de citer le blog ci-après : http://centregalactique.blogspot.ca/p/erena.html
michelerena@orange.fr    
            

Publié dans:AMOUR, MALADIE |on 15 septembre, 2012 |Pas de commentaires »
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