Archive pour le 22 juin, 2013

Les regrets des mourants

Une infirmière australienne, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital, a accompagné les personnes mourantes dans leurs derniers jours. Dans un livre paru fin 2011, elle a révélé quels étaient les regrets les plus courants que nous avions à la fin de notre vie. (Lu sur Yahoo!)

Les regrets des mourants dans ENERGIES 222 

Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. « Inspiration and Chai » a ensuite été posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant ». Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 – J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l’entendaient

« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »

2 – J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur

« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ». Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler. »

3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients. »

4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir. »

5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux

« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement. »

Lire l’article sur Yahoo!

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, La MORT |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

En contact avec l’invisible

  
confidences d’un médium

Henry Vignaud est sans doute l’un des plus grands médiums actuels. Quel est l’ordinaire de cet homme aux capacités extraordinaires, dont le métier est de faire le lien entre les morts et les vivants ? Confidences autour de son parcours et de ses perceptions.


En contact avec l'invisible dans ESPRITS travail1

Vous recevez jusqu’à 25 personnes par semaine, depuis plus de 20 ans. Arrivez-vous encore à trouver votre don surnaturel ?
Voir des esprits et communiquer avec eux fait partie de mon quotidien, mais je ressens toujours une forme d’émerveillement. Face aux preuves de survie, d’abord, mais aussi quand je vois combien, par mon intermédiaire, certains retrouvent la paix et l’espoir. 

Avez-vous parfois la pression ?

Les perceptions ne sont pas automatiques. Il peut y avoir des filtres spirituels, ou des écrans créés par l’énergie des vivants. Je reçois parfois des gens très durs, très exigeants. L’autre jour, une dame me reconnaît sur le quai d’une gare. « Mon fils unique est décédé, j’ai rendez-vous avec vous dans quelques mois, m’apprend-elle. Je ne sais pas si je vais tenir jusque là… Je n’ai jamais consulté de médium. Si je n’obtiens pas de signe, je me suicide. » Quand les gens sont dans une telle détresse, je prie pour obtenir des informations ! Mais à la clé, il peut y avoir des moments très forts.

Êtes-vous parfois surpris par des esprits ?

Je suis toujours curieux de découvrir leur intention. J’aime ces moments où l’âme s’impose à moi pour que je dise des choses. Hier par exemple, pendant une voyance, je vois apparaître la mère de mon client. Puis presque malgré moi, je lance à toute volée, en reprenant son ton tonitruant : « Arrête d’aller en boîte de nuit et de draguer les autres femmes alors que tu es marié ! » Le monsieur le reconnaît : « Mon épouse est dépressive, elle prend des médicaments pour dormir ; alors parfois j’en profite pour sortir… » Pas de quoi plaire à sa mère, une femme très droite et très autoritaire ! J’aime aussi quand des gens découvrent par mon intermédiaire des informations qu’ils ignoraient : comme cette dame, dont j’avais vu l’arrière-grand-père jouer de l’harmonium dans une église ; sur le moment, elle m’avait dit « non, ce détail ne colle pas ». Vérification faite, c’était vrai ! Ces indications invitent les gens à s’intéresser à leurs aïeux ; elles renforcent le lien.

Recevez-vous des gens parasités par des esprits ?

Ce n’est pas très fréquent, mais ça arrive. Je me souviens d’une dame ; à peine était-elle entrée que j’ai perçu la densité d’un esprit, une main se matérialiser et taper fortement sur ma table. Je capte tout de suite qu’il s’agit de son mari, mort six ou sept mois auparavant. « Ça commence bien, il est très en colère ! »préviens-je. Je me concentre, il me montre des scènes de lui, assis sur un canapé, saoul, entouré de canettes de bières, gueulant comme un putois, frappant sa femme et ses enfants. Je vois aussi qu’il est mort au volant, brutalement. J’apprends qu’il s’est tué le jour où il a reçu le papier du divorce. Son irritation et son désir de la posséder venaient du fait qu’il refusait qu’elle soit en vie et pas lui. Je ne suis pas dégageur d’âme, mais j’essaie de parler à l’esprit intérieurement, et je conseille aux gens d’en faire autant, dans un état de recueillement qui favorise la connexion.

Vous avez l’air de ne pas capter uniquement des informations, mais des émotions.
L’âme aussi à des sentiments ! Je ne reçois pas que des données visuelles ; dans l’injonction de l’esprit, il peut y avoir de la souffrance, de la joie, de l’amour… C’est ça qui est passionnant ! Lorsque l’esprit a gardé un humour ou une façon de parler savoureuse, cela peut mener à de grands moments de rigolade. 

Est-ce toujours aussi enthousiasmant ?

Une séance peut être très fatigante. Si certaines énergies tonifient, d’autres plombent. Entrent en jeu l’atmosphère du lieu, l’énergie des vivants, celle des défunts… Accéder au bon degré vibratoire pour canaliser l’esprit demande beaucoup d’énergie. A la fin, je suis parfois en hypoglycémie ! On peut y laisser la santé… Parfois, je me sens vieux de toute cette souffrance, toutes ces expériences, toutes ces histoires partagées, parfois très intimement.

Vous avez aussi des dons de clairvoyance. Sont-ils vraiment un moyen d’obtenir des réponses, ou du moins des orientations ?

Je sais que les choses que je perçois auront lieu, mais pas comment ni quand. Il y a quelques années, une amie me titillait pour savoir si je voyais quelqu’un dans sa vie. Sa question me provoque un cliché : « Je te vois invitée à une cérémonie, dans une grande propriété, lui dis-je. J’ai l’impression qu’une situation cocasse te rapproche d’un homme : vous avez tous les deux l’air différent des autres. » Je ne comprenais pas ce que ça voulait dire ! Les mois passent. Une copine lui propose de l’accompagner à un mariage. L’événement a lieu dans un château, loué pour l’occasion. Mon amie se pointe : on a oublié de la prévenir qu’il s’agissait d’un mariage costumé ! La seule autre personne a ne pas avoir eu l’information, c’était un jeune homme… Ils sont aujourd’hui les parents d’une charmante adolescente.

Vous vivez parfois des situations embarrassantes ?

Un jour, une très belle femme, très chic, arrive pour une voyance. Dès le début, je distingue nettement un matelas et un lit. Un peu gêné, je tente : « Vous envisagez de changer de literie ? » Réponse négative. Je continue la séance ; je la vois beaucoup bouger, parfois avec des hommes d’affaires, à l’étranger. Mais ce plumard ne cesse de revenir… Elle finit par m’avouer qu’elle est call-girl de luxe !

Avez-vous déjà sauvé des vies ?

Il m’est arrivé de détecter un cancer chez une femme venue pour une voyance. Prenant mon indication au sérieux, elle est allée consulter un spécialiste, alors qu’elle ne souffrait de rien. Le médecin a confirmé qu’elle avait un début de tumeur, prise suffisamment à temps pour être soignée. Idem avec une jeune fille, venue avec ses parents à une séance publique. Un défunt s’est présenté pour eux, me montrant très précisément une noirceur au niveau des ovaires, une opération, la prise d’un traitement. Ces gens m’ont envoyé une lettre magnifique pour me dire que ma vision était exacte et me remercier de les avoir alertés. Mais je n’y suis pour rien : je ne suis qu’un passeur !

Sentez-vous un engouement ?

Les gens sont de plus en plus ouverts. De grands universitaires m’invitent à la Sorbonne pour échanger avec eux, des psychothérapeutes m’envoient des patients lorsqu’ils pensent que mon intervention peut aider… Le public s’intéresse au bien-être, aux soins énergétiques, aux approches transpersonnelles. Attention toutefois à ne pas croire n’importe quoi. Ce ne doit devenir ni une addiction, ni un enfermement. Je connais un monsieur qui voit dans chaque problème relationnel le signe de prétendues possessions, alors qu’il ne s’agit que de psychologie humaine ! La connaissance est importante, mais il faut rester dans une dynamique de recherche et d’échange.

Que vous a apporté votre don de plus positif ?

D’abord un profond éveil intérieur. La surprise de vivre ces phénomènes, puis la curiosité qu’ils ont suscité en moi, m’ont fait grandir. Ressentir des forces d’amour, venues de l’au-delà, m’a fortifié. Exercer en tant que médium me permet aussi de me nourrir de rencontres humaines. Parfois je pleure avec mes clients, submergé par leur émotion ! L’autre jour, un peintre de 80 ans vient me voir pour sa femme défunte. De belles preuves m’apparaissent. Alors que je lui parle, les yeux fermés, le monsieur me prend la main et se met à l’embrasser, comme si c’était celle de son épouse. Il était tout en gratitude, c’était super touchant. Pour moi, il n’y a rien de plus beau que de lire la libération sur un visage, le voir s’illuminer, les yeux pétiller, l’être se rouvrir à la vie, ici et maintenant.

En contact avec l’invisible, Henry Vignaud & Entretien avec Samuel Socquet
InterEditions (2013 ; 192 pages) 

Publié dans:ESPRITS, MAITRISE, MEDIUM, PENSEE |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Avoir un guide spirituel

Peut-on se connecter
à un guide spirituel ?

En quoi tient le channeling, cet état de conscience qui nous permet de nous connecter à un guide spirituel? Est-ce une capacité intuitive ou plutôt un état que nous pouvons cultiver ? Dans « S’ouvrir au channeling », Sanaya Roman et Duane Packer nous proposent les instructions de leurs propres guides respectifs, Orin et DaBen.

Avoir un guide spirituel dans CHANNELING images-7

La plupart d’entre vous ont déjà eu de brèves expériences d’un espace relevant du channeling : lorsque, par exemple, vous parlez à une personne dont vous vous sentez proche, qui est dans le besoin, et que vous sentez une sagesse vous imprégner, que vous dites des choses que vous n’aviez pas prévu de dire. Dans les moments où vous ressentez un profond amour pour un proche, quand la beauté d’un coucher de soleil vous touche, lorsque vous appréciez la délicatesse d’une fleur ou que, plongé(e) dans la prière, vous ressentez de la ferveur – toutes ces situations contiennent des éléments de cet état de conscience.

Quand une voix intérieure très claire vous dit des choses qui semblent provenir d’un niveau plus élevé que celui de vos pensées courantes, quand vous enseignez et que vous vous sentez soudain inspiré(e), quand une impulsion vous amène à dire des choses inattendues et sages, ou à toucher quelqu’un de façon inhabituelle et qui lui fait du bien, vous pouvez faire l’expérience de ce à quoi ressemble un état de channeling.

L’état de channeling crée de subtiles modifications dans votre perception de la réalité. La réponse à des questions peut vous venir facilement et sembler simple ou évidente. Il se peut même, au début, que vous ayez l’impression d’imaginer ou de créer de toutes pièces ces mots et ces pensées. Vous pouvez avoir l’impression d’être en train de vous concentrer. Vous ne voulez pas repousser votre esprit ; servez-vous-en activement pour vous aider à vous élever davantage. 
Le channeling provoque en général un changement dans votre respiration et, au début, il peut s’accompagner d’une sensibilité inhabituelle dans la partie supérieure du corps. Vous sentirez peut-être de la chaleur dans les mains ou la température de votre corps augmenter. L’état de channeling est une expérience individuelle. Certains ne ressentent aucune sensation physique. Après avoir pratiqué le channeling pendant quelques temps, vous vous habituez aux sensations physiques qui peuvent l’accompagner, et il est rare que des choses inhabituelles se produisent. Certaines personnes se plaignent de l’absence de ces sensations lorsqu’elles cessent.

Lorsque vous parvenez à de nouveaux niveaux, vous pouvez parfois sentir des picotements dans le cou ou en haut du front. Certaines personnes éprouvent des sensations le long de la colonne vertébrale, ou sentent, au niveau du front, comme une énergie ou un bandeau qui les serre. Quand vous êtes en train de pratiquer, le rythme et le ton de votre voix peuvent être différents de ceux qui vous sont habituels. Elle devient parfois beaucoup plus lente et plus grave. Il est toutefois possible que votre voix ne subisse aucune modification et que vous ne ressentiez aucune sensation physique ; ne soyez donc pas à la recherche de changements ou de symptômes physiques comme indication de la présence de votre guide. (…)

Orin et DaBen : Certaines personnes mettent totalement de côté leur conscience de veille lorsqu’elles pratiquent le channeling. Elles expliquent que, pour elles, le channeling est comme s’endormir, et elles ne se souviennent de rien de ce qu’elles ont dit en tant que channel au cours de leur pratique. Les individus dont la conscience de veille disparaît ainsi au cours de leur pratique sont parfois appelés des « channels inconscients ». 

Ces channels inconscients entrent en général dans des états de relaxation tellement profonds qu’ils n’ont aucun souvenir des messages de leur guide ; ils reçoivent l’énergie de ces transmissions – si ce n’est les paroles elles-mêmes – directement au niveau de l’âme, mais sont incapables de ce rappeler ce que leur guide a dit. Ce dont vous allez vous souvenir va varier en fonction de la nature de votre état lors du channeling.

D’autres channels restent partiellement conscients et, puisqu’ils peuvent se souvenir en partie de ce qu’ils ont transmis, ils sont appelés des « channels conscients ». A des niveaux divers, ces personnes sont conscientes des informations lorsqu’elles sont transmises. Certaines peuvent avoir une vague idée des messages de leur guide, mais peu de souvenirs spécifiques de ce qui s’est passé.

Certains channels comparent cela aux souvenirs qu’ils ont de leurs rêves, étant donné que le souvenir des informations qu’ils ont canalisées s’évanouit très vite. Ils peuvent se rappeler ces informations au moment même où ils sortent d’un état de channeling, mais ils sont incapables de s’en souvenir une heure plus tard. D’autres channels gardent en mémoire ce qui est dit, et se sentent parfaitement éveillés au cours de la pratique elle-même. Pour la plupart des gens, l’expérience se situe quelque part entre un état de channeling de transe profondément inconscient et un état pleinement conscient. (…)

Les personnes qui se souviennent de ce qui transparaît au cours de leur pratique ont en général le sentiment d’une grande richesse, qui dépasse le sens des mots. Elles ont l’impression d’être dans un état élargi de conscience, où chaque mot a une signification plus grande que celle dont elles se rendaient compte auparavant. Ces paroles s’accompagnent parfois de sensations de voyage. Il arrive également que ces personnes ressentent des modifications internes conduisant à un niveau vibratoire plus élevé. Certains disent que le channeling peut être comparé aux rêves : des rêves très intenses, emplis d’actions, d’émotions et souvent de couleurs. Quand la séance s’achève, ce sentiment de richesse commence à se dissiper. D’autres disent percevoir en partie d’autres royaumes. Eux-mêmes se sentent physiquement plus vastes, plus grands que d’habitude. Certains disent recevoir les messages de leurs guides sous la forme d’images qui semblent être un langage plus riche et plus complet, qu’ils traduisent ensuite en mots. D’autres ont l’impression que des « paquets » d’informations sont parachutés dans leur esprit, contenant des ensembles complets d’idées dont ils déroulent le fil à mesure qu’ils délivrent les messages.

http://www.inrees.com/livres/S-ouvrir-au-channeling-Comment-se-relier-a-son-guide/S’ouvrir au channeling, Sanaya Roman, Duane Packer
Mama Editions (Janvier 2013 ; 264 pages) 

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