Archive pour la catégorie 'VIES ANTERIEURES'

Vestiges de vies passées

 

D’après Stanislav Grof, certains états non ordinaires de conscience se manifesteraient sous forme de crises psychospirituelles. L’expérience de son épouse Christina, que Grof relate dans « Quand l’impossible arrive », témoignerait quant à elle d’une grande souffrance vécue dans une vie antérieure.
Vestiges de vies passées dans VIES ANTERIEURES impossible_arrive
Guy Trédaniel Editeur
(…) (L)a vie dans la Maison ronde avait sur nous un impact psychologique très puissant. Entrer en méditation était extrêmement facile ; souvent, je glissais dans un état de transe où je perdais toute notion géographique ou historique, ayant l’impression que notre petit nid était situé quelque part dans un univers archétypal, au-delà de l’espace et du temps. Christina qui, à l’époque traversait sa crise spirituelle, connut là-bas une intensification extraordinaire de son processus intérieur. Un weekend, ses expériences furent aussi fortes que celles induites par une séance psychédélique. Après un moment de grande anxiété et de sensations physiques désagréables, elle revécut avec force ce qui lui sembla être le souvenir d’une vie antérieure. Elle se retrouva à Salem, une ville située en Nouvelle-Angleterre, dans la peau d’une adolescente sujette à des épisodes d’états non ordinaires de conscience. Ses voisins, des chrétiens fondamentalistes, pensèrent qu’elle était possédée par le diable. Accusée de sorcellerie et jugée par deux magistrats, revêtus de robes cérémonielles, elle fut condamnée à mourir noyée. 

Ce souvenir de vie antérieure culmina avec l’exécution de la sentence. Christina se sentit portée jusqu’à un étang, attachée à une planche, puis plongée dans l’eau, la tête la première. Elle put remarquer que l’étang était bordé de bouleaux. Revivant sa noyade, elle se mit à hurler, à étouffer et à cracher beaucoup de mucus, à la fois par la bouche et par le nez. La quantité de sécrétions nasales produites était impressionnante. Lorsque s’acheva l’expérience de Christina, tout le devant de ma chemise de flanelle était imprégné de mucus séché. 

Quand nous vivions à Hawaï, Christina souffrait de sinusite et d’allergies aiguës. Elle avait passé de nombreux examens et tests médicaux, et pris divers traitements, dont une série de piqûres de désensibilisation. Ses médecins, frustrés par l’échec de toutes leurs tentatives de guérison, lui avaient finalement suggéré une opération chirurgicale consistant à gratter et à nettoyer la cavité des sinus. Christina avait refusé une alternative aussi radicale et avait fini par accepter sa pénible condition. A la suite de l’épisode où elle avait revécu son jugement et sa mort à Salem, elle découvrit à sa grande surprise que ses problèmes de sinus avaient disparu. (…)

Cet épisode connut une suite très intéressante, de nombreuses années plus tard, quand Christina et moi nous rendîmes à Boston pour y animer un atelier de respiration holotropique. Celui-ci s’achevait le soir et notre avion pour San Francisco ne décollait que le lendemain, en fin d’après-midi. Il nous restait donc une bonne partie de la journée pour faire du tourisme. Nous décidâmes d’appeler Marilyn Hershenson, une amie psychologue, qui avait fait partie du cercle de Swami Muktananda. Nous étions devenus très proches au début des années 1980, lorsqu’elle nous avait aidé à coordonner une grande conférence internationale du transpersonnel, à Bombay. Marilyn, ravie de notre coup de fil, se proposa de passer la journée avec nous et de nous servir de chauffeur. (…)

Comme nous n’étions qu’à quelques kilomètres de Salem, nous profitâmes de l’occasion pour aller visiter la ville, après le déjeuner, avant notre départ pour la Californie. Sur le chemin, Christina demanda à Marilyn, qui avait passé toute son enfance dans ce lieu, s’il y avait un étang dans les environs. Marilyn l’assura que non. Elle prit ensuite une mauvais direction, fait surprenant, puisqu’elle connaissait très bien la ville, et ce détour imprévu nous conduisit à un étang, au bord de l’océan. On aurait dit qu’à l’origine, c’était une baie, qui avait été séparée de l’océan par une vieille digue en pierre. 

Christina sortit de la voiture, hagarde. Elle regardait dans toutes les directions, déçue. « Je ne vois pas de bouleaux », dit-elle, en avançant vers l’étang. « Où vas-tu ? » nous lui demandâmes. « Il doit bien y en avoir, par ici », répondit-elle en continuant de marcher. Nous garâmes la voiture pour la suivre. Finalement, de l’autre côté de l’étang, Christina découvrit un bouleau, le tronc brisé et les branches immergées dans l’eau. « Vous voyez, ils se trouvaient là, s’exclama-t-elle, celui-ci est sans doute le dernier. »

De retour à la voiture, nous décidâmes de visiter le tribunal où avaient eu lieu les procès. En route, Christina raconta à Marilyn qu’elle avait identifié les deux juges de sa vie passée comme étant son ex-mari et son père dans son existence actuelle. « Mais il n’y avait qu’un seul juge, au procès ! » objecta Marilyn. « Il y avaitdeux juges ! » insista vivement Christina. Le tribunal était fermé. A la porte d’entrée se trouvait une grande plaque, décrivant les procès, qui confirma à Christina que deux juges participaient bien aux procès de Salem.

Avant de revenir à la voiture, j’achetai dans un magasin de souvenirs une petite brochure sur Salem où étaient racontés les procès de sorcellerie. (…) L’information la plus intéressante découverte dans cette brochure touristique était que l’ancienne Salem, où s’étaient déroulés de nombreux évènements historiques, s’appelle aujourd’hui Danvers. Ce fut pour nous un choc, car Danvers était la ville où nous avions tenu, en 1978, une grande conférence de l’International Transpersonal Association. C’est là que nous avions présenté, pour la première fois, le concept d’ « émergence spirituelle », signifiant que de nombreuses manifestations d’états non ordinaires de conscience – que les psychiatres classiques qualifient de psychose et traitent souvent avec des méthodes radicales, telles que le coma à l’insuline et les électrochocs – sont en réalité des crises psychospirituelles. (…) Cette synchronicité incroyable nous stupéfia. Parmi tous les emplacements possibles pour cette conférence, c’était sur le site même de son ancienne incarnation et à son insu, que Christina avait présenté, avec moi, notre plaidoyer contemporain en faveur d’un changement radical d’attitude à l’égard des états non ordinaires de conscience. Et sa souffrance et sa mort, dans cet épisode karmique, étaient dues à une incompréhension et à une mauvaise interprétation de ces états. (…)

L’existence de souvenirs de vies antérieures, aux caractéristiques remarquables, est un fait indiscutable que peut vérifier tout chercheur sérieux, à l’esprit suffisamment ouvert, disposé à étudier ces éléments. De même, il est clair qu’aucune explication plausible à ces phénomènes n’existe dans les limites du cadre conceptuel de la psychiatrie et de la psychologie officielles. Si elles ne constituent pas nécessairement une « preuve » irréfutable que nous survivons à la mort et que nous nous réincarnons en tant que même unité de conscience distincte, ou même âme individuelle, toutes ces données impressionnantes posent néanmoins un défi conceptuel formidable à la science traditionnelle et ont le potentiel d’en faire éclater le paradigme actuel. Pour avoir observé des centaines d’expériences de vies antérieures et en avoir connu de nombreuses moi-même, je ne peux qu’être d’accord avec Chris Bache quand il dit que « les données concernant ce sujet sont si riches et si extraordinaires que les scientifiques qui ne considèrent pas que le problème de la réincarnation mérite une étude sérieuse sont soit non informés, soit bornés. » (Bache, 1988)

couv_88 dans VIES ANTERIEURESQuand l’impossible arrive, Dr. Stanislav Grof
Editions Trédaniel (Février 2007 ; 390 pages)
Collection : ARTICLES SANS C

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 6 avril, 2014 |Pas de commentaires »

LES VIES ANTÉRIEURES et mémoires négatives

 

images (5)Nous pouvons rapporter des mémoires négatives de nos vies antérieures qui peuvent avoir des incidences dans de nombreux domaines de notre vie. 

Ces mémoires peuvent affecter notre façon de voir la vie, notre comportement et ce, de manière négative, puisque nous parlons ici de mémoires négatives (bien sûr, de même, des mémoires positives affecteront notre façon de voir la vie et notre comportement de manière positive). 

Ces mémoires négatives peuvent provoquer des phobies, des TOC, des problèmes de comportement, des failles énergétiques dans notre être, qui se porteront sur ou dans le plan causal, mais qui seront la plupart du temps d’ordre émotionnel, des problèmes de santé divers. 

C’est souvent du moment de sa mort que la personne rapporte les mémoires négatives les plus fortes. La façon dont la personne meurt et le ressenti qu’elle en a sont déterminants. De la cause de la mort naissent beaucoup de phobies ou de peurs inexpliquées dans la vie suivante. 

Par exemple, une personne qui meurt brûlée vive (incendie, bûcher…) reviendra dans sa vie suivante avec une peur du feu qui peut aller jusqu’à la phobie. De même une personne qui meurt noyée aura peur de l’eau, une peur plus ou moins grande qu’elle pourra ou non surmonter mais qui pourra devenir une phobie. 

Une personne empoisonnée par un aliment ou une substance (des champignons par exemple) aura une répulsion pour cet aliment ou cette substance dans sa vie suivante. 

Des problèmes de comportement sont également liés à ces mémoires négatives et plus la vie antérieure est proche, plus les mémoires sont actives. 

Par exemple, une personne qui a été tuée pour avoir affiché ses opinions ou ses croyances, ou pour avoir défendu une cause, sera dans sa vie suivante très peu bavarde, très discrète, elle peut même être introvertie, inhibée au niveau de la parole et même de tout son comportement. 

Un autre exemple de comportement perturbé, causé par des mémoires négatives rapportées d’une vie précédente, est celui des personnes qui sont mortes de faim (pauvreté, misère, famine…). Ces personnes auront tendance dans leur vie suivante soit à accumuler la nourriture, c’est le cas d’enfants qui cachent la nourriture sous leur lit et qui font ainsi des réserves par peur de manquer, soit à manger en excès et à faire des réserves dans leur corps lui-même par cette même peur de manquer. Ces personnes prennent du poids de façon excessive mais ne peuvent contrôler cette réaction de leur être : « Il faut se remplir sinon on est en danger ». 

Il est important dans ces cas-là de se libérer de ces mémoires négatives avant de suivre un régime amaigrissant ou de suivre la fiche « du poids » indiquée dans ce livre, sinon le fonctionnement inconscient reprendra le dessus. 

Ces réactions ont une similitude avec celles suscitées par les empreintes négatives ou programmations inconscientes, dont nous avons parlé, mais il ne s’agit là « que » de mémoires négatives. On ne peut pas rapporter d’empreintes négatives de ses vies antérieures mais seulement des mémoires. La différence est que ces mémoires sont moins marquantes que des empreintes négatives, elles affectent moins profondément le comportement de la personne. 

La cause de certains TOC est à rechercher dans les mémoires négatives rapportées d’une vie passée, par exemple le TOC qui consiste à se laver de façon excessive et névrotique peut être associé à une mémoire négative où l’être est mort dans des conditions de saleté extrême, dévoré par la vermine. Le fait de libérer l’être de ces mémoires en les faisant remonter au conscient par le procédé de la régression peut éventuellement régler certains problèmes de TOC. 

Des problèmes de santé peuvent également naître de ces mémoires négatives : lorsqu’une personne est morte étranglée, pendue ou guillotinée, elle ressentira dans sa vie suivante des problèmes au niveau de son cou : problèmes de thyroïde, gênes, sensations d’étouffement. Ce sont des personnes qui, par exemple, ne supportent pas d’avoir le cou serré dans quelque chose, que ce soit une cravate, une écharpe ou un col roulé… 

Une personne qui a été tuée par une arme blanche (couteau, poignard, épée, sabre…) ressentira souvent dans sa vie suivante une douleur à l’endroit du coup mortel porté. De nombreuses douleurs dans le dos sont ainsi causées par ces mémoires qui se réactivent dans la vie suivante. 

D’autre mémoires négatives associées à la façon dont on meurt s’expriment par des sentiments : une personne qui meurt en colère renaîtra en colère ; une personne qui meurt avec un profond sentiment d’injustice renaîtra avec ce sentiment d’injustice imprimé en elle. 

Ce sont des exemples. Ces mémoires peuvent affecter l’être depuis sa naissance mais elles peuvent aussi se réactiver à l’occasion d’un événement particulier : la rencontre avec une personne que l’on avait rencontrée dans cette vie passée, la venue dans un lieu où s’est déroulé un événement de cette vie passée. Mais ces mémoires peuvent également se réactiver à l’occasion d’une date particulière, qui sera la même que celle où s’est déroulé l’événement qui a été cause de ces mémoires négatives, ou à un âge précis qui correspond à l’âge où s’est passé l’événement dans sa vie passée, que ce soit la mort ou un autre événement important. D’autres mémoires négatives peuvent se manifester par des taches de naissance ou des signes de naissance. Ces taches de naissance (angiomes), ainsi que les signes de naissance, indiquent l’endroit où a été porté le coup mortel. Ce phénomène est intéressant à identifier car on peut noter qu’il y a toujours une résonance vibratoire particulière de cette vie passée à la vie présente, même si cette vie passée est très ancienne. 

A retrouver dans le livre : Chiffres et Formules Magiques pour Vivre Heureux au Quotidien par MIDAHO aux Editions L’Arbre Fleuri

 

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 27 mars, 2014 |1 Commentaire »

La Réincarnation et Vos Vies Antérieures Retrouvées

 

 Image de prévisualisation YouTube

http://youtu.be/aGMb8pw7hjE

 

Ce que je vous invite à faire, c’est de regarder cette vidéo et son texte en plein, voir 2 fois, tout en plongeant progressivement dans un état méditatif et de refaire ce processus intérieurs les yeux fermés à la rencontre de vos vies antérieures.

La Visualisation en Méditation Guidée

Peut être ne percevrez vous que des fragments au départ de vos incarnations, voir rien si vous commencez votre chemin vers l’éveil. Mais persévérez, car dans tous les cas, se plonger dans des états méditatifs entraine le bien être. La difficulté quelque fois est de visualiser le parcours comme décrit. La visualisation est la clé d’une bonne méditation guidée.

C’est à force de faire et refaire que l’on progresse dans notre aptitude à visualiser.

C’est je pense ( je ne peux le confirmer, mais c’est ce que je vie ) que plus vous vous perfectionnerez en visualisation, plus vos réceptions médiumniques, ici pour visualiser vos vies antérieurs, seront claires. L’un va avec l’autre.

La Vierge peut s’appuyer sur l’Humilité

 

La Vierge peut s’appuyer sur l’Humilité pour travailler la Tolérance

vierge

Chacun choisit la date, l’heure et le lieu de sa naissance, en fonction de ce qu’il souhaite expérimenter durant cette vie. Mais nous avons tous déjà vécu plusieurs vies au cours desquelles nous avons travaillé pour manifester une valeur, qui deviendra un acquis nous ouvrant à de multiples possibilités. En revenant sur Terre, nous pouvons nous appuyer sur cette valeur intégrée, mais le signe solaire nous en propose une autre qu’il nous faudra manifester en fonction de ce que nous allons vivre. C’est ce que le signe de la Vierge nous montre ici.

Gilberte Françon

Deuxième signe de Terre, LA VIERGE, est très marquée par le service. Celui-ci est ancré profondément en elle. Travailleur infatigable, le porteur de ce signe qui marque les moissons, dernier signe de l’été, est perfectionniste et passe son temps à analyser ce qui se présente à lui.

Sa planète exotérique est Mercure, mais ce n’est pas le Mercure des Gémeaux, mobile et nerveux, mais un Mercure qui raisonne, qui analyse perpétuellement ce qui l’entoure et ce qu’il voit. Peu sûre d’elle, la Vierge se remet continuellement en question et passe tout au crible d’un jugement parfois féroce.

Elle est très exigeante, pour elle-même et pour les autres, passant son temps à trier, ranger, organiser, pour que tout soit aussi parfait que possible. Emotive, intuitive, elle a besoin de pureté en tous les domaines et en ce sens est souvent intransigeante.

La planète ésotérique de la Vierge est la Lune, ce qui lui apporte une très grande intuition qui lui permet de ressentir les événements en profondeur. Mercure lui apporte des qualités importantes telles que l’ordre, l’analyse et la recherche de la perfection. La Vierge aime la précision et ne se met jamais en retard. Elle est de celles qui n’attendent jamais le lendemain, pour accomplir ce qu’elles peuvent faire le jour même. Avec ce désir de perfection et se mettant toujours au service des autres, elle est d’une grande Humilité, valeur importante sur laquelle elle s’appuie totalement. Par contre, son désir de perfection, souvent si prononcé, la rend parfois intolérante. Elle regarde tout ce qui l’entoure par le petit bout de la lorgnette, à la recherche du moindre défaut, aussi bien pour elle-même, puisqu’elle est en recherche de perfection et se remet continuellement en question, que pour l’autre. Elle ne supporte pas la plus petite erreur ! Là, son intolérance est si marquée qu’elle doit vraiment travailler la valeur TOLERANCE.

Par son Humilité, elle pense toujours être incapable de faire quoi que ce soit de convenable et se réfugie derrière quelqu’un, se protégeant sans cesse. Elle aime la régularité, la discipline, recherche la sécurité et la défend. Sur  le plan professionnel, elle manifeste ainsi de grandes qualités ; intelligence jointe à une belle intuition, ordre, méthode, analyse. Ces qualités lui permettent de mettre au point, de façon concrète et quasi parfaite, ce qui lui est demandé. Mais cela peut lui prendre du temps car elle a besoin de scruter, de chercher aussi où cela la conduit. Elle aime savoir qu’elles seront les conséquences de ce qu’elle préconise. Voyant loin et ressentant fortement les choses, elle peut guider quelqu’un, dans sa profession, comme dan son foyer, qu’il soit parental ou conjugal, dans les jeux etc.. La Vierge possède aussi une aptitude toute particulière pour tout ce qui concerne la santé. Elle peut être un excellent médecin ou infirmier et a notamment des dons pour la diététique.

La mémoire du futur

Constamment en recherche de pureté, de perfection, elle donne tout d’elle-même et le plus possible à son entourage qu’il soit proche ou éloigné. Mais cette recherche de pureté et de perfection la place souvent dans une rigueur telle qu’elle est souvent intolérante envers elle-même comme envers les siens et la vie avec un compagnon ou une compagne de ce signe peut-être très difficile professionnellement et envers ses acquis car elle aime thésauriser souvent par peur de manquer….

Pour un être avide de pureté, de service, de savoir – la Vierge a besoin d’apprendre – tout cela est assez difficile à concilier. Il lui est particulièrement difficile de manifester la Tolérance au quotidien. En effet, il n’est facile pour personne d’apprendre à voir avec le cœur et non pas par le petit bout de la lorgnette mais pour la Vierge, ça l’est encore moins. Travailler cette valeur au quotidien lui est extrêmement pénible car il doit se reprendre constamment. Tant de formes de Tolérance doivent s’appliquer que c’est un travail de longue haleine, peut-être le plus long et le plus difficile de tous. Seule la certitude d’une Conscience Cosmique peut aider un être de ce signe car il garde en lui la mémoire de cette Conscience qui lui permet d’avancer silencieusement mais sûrement vers la Moisson Divine qu’il est sûr de retrouver un jour.

Que nous propose l’allégorie de Martin Schumann ?

« A toi, Vierge, je te demande de juger de ce que l’homme a fait de Ma Création. Tu dois examiner son comportement avec attention et lui rappeler ses erreurs de façon à ce qu’à travers toi, Ma Création soit accomplie. Pour cela je te donne la Pureté de l’Esprit ».

Dieu accorde à la Vierge la Pureté de l’Esprit mais elle est tellement avide de cette Création Divine, qu’elle doit rechercher en l’autre, qu’elle continue à travailler la Pureté. Elle reste donc dans l’Humilité, ne faisant pas état justement de cette Pureté donnée.

Il lui est demandé de juger ce que les autres hommes ont fait de la Création en leur rappelant leurs erreurs, mais pas de n’importe quelle façon. La Vierge doit donc apprendre la Tolérance afin d’exprimer ses remontrances à l’autre qui pourra les accepter sans être ni vexé, ni humilié, voire honteux ! L’allégorie montre bien l’accord avec ces valeurs, telles qu’elles sont décrites plus haut.

La Vierge et les Poissons, opposés mais pourtant complémentaires

La Vierge, signe de Terre, nous venons de la voir, est humble mais elle doit travailler la Tolérance. Les Poissons, signe d’Eau, Eaux Universelles, sont emplis de Compassion, mais doivent travailler le Courage.

Il est tout à fait compréhensible que le signe des Poissons très intuitif et empli de cette Compassion ressente l’Humilité de la Vierge. Il appréciera cette Humilité. Par contre, lui qui a tendance à tout remettre au lendemain, par manque de volonté et de courage, va mal supporter le manque de Tolérance de la Vierge qui va s’acharner à le pousser à travailler, à accomplir ce qui lui est demandé. La Compassion du signe des Poissons est telle qu’il va faire des efforts, se mettant au travail, s’efforçant de mettre de l’ordre en lui et autour de lui, ressentant en l’autre une union, la même source entre cette Vierge humble, mais véritable fourni au travail, et lui, Poisson, compatissant envers tous, mais un peu noyé dan ses rêves qui lui plaisent tant !

Des valeurs qui rassemblent

La Vierge est stricte, rationnelle, les Poissons sont irrationnels, imprécis. Mais chacun possède en lui une force : pour la Vierge, c’est la force de l’Humilité qui lui permet de revenir sur ses décisions, ses façons d’agir parfois brutales, pour les Poissons qui se donnent entièrement à l’autre, mais en prenant tout leur temps, jamais pressés d’agir, n’ayant aucune méchanceté, c’est la force de la Compassion. Alors, avec Humilité, la Vierge comprendra mieux les rêveries des Poissons et qu’elle-même doit posséder une vision plus large de ce qu’elle vit et des autres. Et les Poissons vont, avec compassion, accepter les remontrances de la Vierge. Revenant sur Terre, ils regarderont leur vie d’un autre œil, d’une vision plus acérée, plus étroite, vis-à-vis d’eux-mêmes comme de ceux qui les entourent.

Ainsi, grâce à l’Humilité, les Poissons vont manifester un courage nouveau et grâce à la compassion, la Vierge va être amenée à pratiquer la Tolérance. D’opposés, les deux signes deviendront alors complémentaires.

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Gilberte Françon. « Le messager de l’ère nouvelle Jupiter »
Les Éditions des 3 Monts. décembre 2013 – revue de l’ULV MEDI@ME N° 6 ( www.universite-libre-des-valeurs.com

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Réincarnation, la croyance qui (re)monte

 

Des chercheurs s’interrogent sur les cas d’enfants “réincarnés”. Les thérapies visant à explorer nos vies antérieures se multiplient… Superstition, ou parade contre l’angoisse de la fin du moi ?

Erik Pigani

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Il n’est pas plus surprenant d’être né deux fois qu’une, disait déjà Voltaire… Un sondage réalisé il y a près de dix ans révélait que un quart des Français croyaient en la réincarnation (“Les Valeurs des Français”, PUF, 1994). Un chiffre qui n’a fait qu’augmenter depuis. Pourquoi, dans un monde « moderne », cet intérêt pour l’une des plus vieilles croyances de notre planète ? La mode du bouddhisme avec son cortège de philosophies orientales ? L’expression d’un désarroi dans une société de plus en plus morcelée ? Face à un avenir moins brillant qu’on nous l’a promis, une façon de se rassurer sur le long terme ?

Les enfants s’en souviennent

La réincarnation est un concept si éloigné de la civilisation occidentale que, pour la science, il ne s’agit que d’une « pure superstition ». Pourtant, des événements laisseraient penser que, au-delà des convictions personnelles ou culturelles, il y a peut-être une part de vérité, qui sort de la bouche des enfants ! Le plus célèbre d’entre eux est sans doute l’actuel dalaï-lama. En 1936, à la mort du treizième du nom, les moines se sont rendus dans une province perdue sur les indications fournies par les augures. Ils ont rencontré un garçon qui les a immédiatement reconnus et s’est mis à parler leur langue alors que, dans son village, personne ne l’utilisait. L’enfant portait les huit distinctions physiques des grands chefs religieux et a su reconnaître les objets qui lui auraient appartenu dans sa vie précédente…

En Inde, c’est presque une tradition : entre 2 et 4 ans, un enfant commence à parler à ses parents d’une vie qu’il a menée en un autre lieu. Il est très attiré par les événements de ce passé et insiste pour retourner dans la famille où il prétend avoir vécu. Ian Stevenson, professeur de psychiatrie à l’université de Virginie et spécialiste mondial des « enfants réincarnés », a recensé quelque 14 000 cas curieux et publié des rapports d’enquête sur des centaines d’entre eux. « Un petit garçon de 4 ans habitait dans un village près de Beyrouth, raconte-t-il. Il avait réussi à donner, entre autres, le nom de sa famille précédente, une liste de soixante-dix détails exacts la concernant et… les derniers mots du défunt ! » Preuve de la réincarnation ? « Pas forcément, répond Ian Stevenson. Pour moi, même un cas aussi fort n’est pas parfait. Je préfère dire que mon travail suggère l’existence des vies antérieures plutôt qu’il ne la prouve. »

Le psychiatre a publié le résultat de trente ans de recherches sur les « marques de naissance » — la version grand public vient d’être publiée en français sous le titreRéincarnation et biologie (Dervy, 2002). Il y décrit, par exemple, le cas d’un jeune Indien né avec une malformation de la main, racontant spontanément que, au cours de sa vie précédente, une machine agricole lui avait coupé les doigts, donnant le lieu, l’époque. Une enquête a retrouvé trace de l’événement.

Des cas uniquement asiatiques ? Non. Sur Internet, Wendi, une jeune Américaine qui ne croyait pas à la réincarnation, a raconté que son fils de 3 ans avait peur des vagues. En vacances à Hawaii, il refusait de se baigner mais adorait jouer sur le sable. « Un jour, nous sommes allés sur la plage des surfeurs, a-t-elle expliqué. Il m’a dit : “Quand j’étais grand, j’ai fait du surf ici, je suis tombé dans l’eau, je me suis transformé en oiseau de Dieu et me suis envolé. Après, je suis revenu.” A partir de ce moment, il n’a plus eu peur des vagues et s’est baigné. »

Une croyance devenue outil thérapeutique

Retrouver des bribes de vies passées aurait-il un pouvoir guérisseur ? C’est ce qu’affirment les thérapeutes qui utilisent la sophrologie ou la relaxation active pour explorer les épisodes traumatisants de nos vies antérieures. Aux Etats-Unis, la « karma thérapie » est passée au troisième rang des thérapies alternatives, après les traitements antitabac et les cures d’amaigrissement…

La pratique n’est pas nouvelle, mais elle a souvent été tournée en dérision par les médias, qui se sont gaussés du « retour à la vie » de centaines de Napoléon ou Marie-Antoinette… « Dans les milliers de cas que j’ai traités, je n’ai jamais eu Napoléon, Marie-Antoinette, ni même Cléopâtre ! explique Gilles Guattari, psychothérapeute. Ce sont des gens simples qui reviennent à la mémoire : un marchand, un soldat, un enfant, un prêtre…»

Le thérapeute a totalisé plus de huit mille séances et formé quelques dizaines de praticiens à sa propre technique « d’expansion de conscience ». 

« Lorsqu’il y a guérison, les symptômes ne réapparaissent pas ailleurs et le rééquilibrage est durable, assure-t-il. Affirmer qu’ils se reproduisent ici ou là est une idée sans fondement. Mais la capacité de guérison de cette technique a de quoi déranger. » Et de raconter le cas d’Alain, journaliste. A la suite d’un grave accident de voiture, il était sous l’emprise d’une angoisse aiguë et souffrait d’une polyarthrite qui empêchait tout mouvement de ses bras. Au cours d’une séance, il se retrouve dans la peau d’un paysan du Moyen Age. Le prévôt vient lui réclamer son impôt. Pris de colère, il se révolte, le fait tomber et le tue. Condamné, il subit le supplice de la roue. « Nous avons travaillé sur cette séquence, explique Gilles Guattari. Lorsque cet homme a réussi à comprendre les liens entre le passé et le présent, l’angoisse a disparu. Et la polyarthrite aussi… »

Peut-on vraiment parler de vies passées ? « Impossible à dire, répond le psychothérapeute. Tous les psys savent qu’il peut exister une vision intérieure plus vraie que nature sans qu’il y ait jamais eu la moindre réalité physique. Ce dont on est sûr, c’est que, outre les résultats, ce processus ouvre la conscience sur une vision globale de la vie, une vision d’unification. C’est ce que l’on appelle la cohérence. Et c’est probablement l’une des qualités dont nous avons le plus besoin aujourd’hui. »

La montée de l’individualisme

L’histoire de la réincarnation correspond à un changement majeur : la montée de l’individualisme, de la personne comme unité psychologiquement autonome, contenue dans des limites étanches et stables. Auparavant, l’individu était essentiellement perçu comme un point de convergence dans un réseau d’énergies psychiques relié verticalement aux ancêtres et horizontalement à la communauté. Il n’était qu’une manifestation d’un psychisme collectif. Avec le temps, il a acquis sa propre autonomie, sa propre identité. Processus qui s’est accéléré ces vingt dernières années. Cette poussée de l’individualisation s’accompagne d’une angoisse existentielle face à la mort, à la disparition du moi…

La résolution de cette énigme semble nous échapper. Menons-nous une ou plusieurs vies ? Tout dépend sans doute si l’on se situe dans le temps ou hors de lui. Notre plus grande part se trouve emportée par l’irrésistible fleuve chronologique. La sagesse nous suggère de ne pas trop nous en émouvoir et de contempler le spectacle, avec compassion et… humour.

Histoire

De l’humanité
Si le terme « réincarnation » a été créé en 1857 par Allan Kardec, le fondateur du spiritisme, cette hypothèse remonte à l’aube de l’humanité. Elle traverse les religions animistes, chamaniques ou primitives sous la forme de « transmigration des âmes » : il faut mener une vie pure pour ne pas renaître dans un corps d’animal. Elle se retrouve dans diverses cultures – la « métempsycose » (animation en succession) pour les Grecs. Elle apparaît dans la plupart des religions orientales, avec des différences. Pour les bouddhistes, nous n’avons pas d’âme personnelle : le moi est une pure illusion.

Officiellement, l’islam rejette cette idée. Selon certains chefs religieux, il serait plus juste de dire qu’elle laisse le libre arbitre aux lecteurs des textes sacrés. Dans le judaïsme, les textes de la kabbale parlent du « gilgul » (transmigration) et de « teshouva » (retour), une nouvelle chance donnée par Dieu. Pour les chrétiens, la métempsycose a été condamnée en 553, au concile œcuménique de Constantinople, pour défendre l’originalité de la résurrection.

L’avis du spécialiste

Marc de Smedt : « Croire en la réincarnation aide à lutter contre l’angoisse de la mort du moi »
Marc de Smedt, directeur du magazine Nouvelles Clés et directeur de la collection Essais cléschez Albin Michel, a publié Enquête sur la réincarnation”(Albin Michel, 2001), un ouvrage collectif.

Que vous a appris cette enquête ?
J’ai été étonné de découvrir que l’idée de réincarnation est répandue dans autant de traditions. Même pour le rabbin Adin Steinsaltz, kabbaliste de renommée mondiale, il y a possibilité de retour des âmes. Et je concède que certains cas – notamment les « enfants réincarnés » – sont troublants. Il y a là des phénomènes étranges même si l’on tente d’expliquer les « souvenirs de vies antérieures » par la génétique, ou une perception très fine. Cela dit, il faut garder les pieds sur terre.

Comment expliquer cet intérêt pour la réincarnation ?
Par la peur de se perdre dans l’inconnu, pour lutter contre la peur de la mort, notamment celle du moi. Le poids des dogmes de l’Eglise catholique a presque disparu, et le brassage des cultures donne accès aux croyances qui font partie du patrimoine de l’humanité. C’est une histoire d’ego : croire que notre moi peut se perpétuer d’une vie à l’autre est un piège pour l’ego.

 source : http://www.inrees.com/articles

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 3 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Êtes-vous bien incarnés ?


par Arouna Lipschitz

Êtes-vous bien incarnés ? dans REINCARNATION arouna_1-92x100Afin d’évaluer notre rapport à l’élément terre, tentons de voir combien nous sommes heureux d’être incarnés ou combien nous sommes prisonniers de la nostalgie d’un paradis perdu.  »On ne peut se libérer de sa tristesse que si on aime cette terre d’une passion inébranlable », a dit Don Juan à Castaneda.

Une fondamentale tristesse est ancrée dans le traumatisme de la séparation. Séparation du corps de la mère pour les psy., du corps de Dieu ou des étoiles pour les spiritualistes. La nostalgie qui en découle nourrit, dans tous les cas, un idéal de fusion, d’élévation visant à transcender « la vallée des larmes » que représente, pour de nombreuses traditions, notre passage sur terre. Comme si évoluer ne consistait qu’à fuir le monde et la dualité intrinsèque à la condition humaine. Et s’il fallait aujourd’hui involuer en même temps qu’évoluer ? C’est ce défi que lança un maître de sagesse occidental au swami en robe orange – femme prêtre dans la tradition hindoue – que j’étais devenue. Je n’aspirais alors qu’à transcender la souffrance, la déception, la frustration et autres effets incontournables de l’incarnation, en marchant vers les sommets nirvaniques et leur mystique sérénité (voir encadré). Comment tendre vers le ciel sans mépriser la terre, s’ouvrir au divin sans renoncer à son humanité ? En honorant la terre. C’est ce que nous rappelle la tradition chamanique, véritable gardienne d’une spiritualité, qui n’oublie pas que les racines célestes de l’Arbre de Vie que nous sommes ne peuvent se manifester, se concrétiser, sans une solide prise de terre.

Notre pouvoir de transformation

Comme elle transforme les graines, les déchets et le fumier, la terre nous modifie en permanence, via notre alimentation, notre respiration, nos échanges avec l’environnement. Personne n’échappe à cette grande école d’alchimie organique. Ainsi, volontairement ou à notre corps défendant, nous sommes tous soumis à la pression concrète de l’énergie matière et de son complice, le temps. On peut la subir avec tristesse et mélancolie, la fuir dans les joies transcendantales ou l’accompagner en développant en nous, par l’éveil et l’élargissement de conscience, son intrinsèque pouvoir de transformation.

Se sentir bien avec la terre, être bien dans sa peau, car le corps est notre terre personnelle, et, en ce sens, il est le plus fidèle miroir de notre acceptation de l’incarnation. Apprendre à gérer les contraintes de l’existence avec un grain de bonne humeur, sans se laisser emporter dans la spirale négative du mécontentement, aide à cela. Commençons par observer nos réactions face aux petits tracas ordinaires, aux contretemps qui s’enchaînent, aux harcèlements du répétitif, aux objets qui nous résistent et semblent nous narguer : de l’ordinateur qui crashe à la voiture qui ne démarre pas, des clés qu’on ne trouve plus, au plombier qui n’arrive pas, etc. Nos réactions sont le miroir de notre compétence à opposer une intention de régénération à chaque sensation d’impuissance, à transformer le négatif, à amplifier le positif. C’est cela incarner la paix, la joie, la lumière ici-bas, sur terre, dans le monde et avec le monde. Comment réagissons-nous à ce qui nous résiste ? Où en sommes-nous entre la passivité face à l’existence et aux autres, qui signale le côté « victime » de celui qui tend à subir et l’agressivité de celui qui préfère forcer, manipuler les événements et autrui ? Sommes-nous plutôt souples ou fermes face aux événements ? Du côté souplesse, sommes-nous dans l’énergie positive ou négative de l’élément terre ? Ne confondons-nous pas souplesse avec mollesse, détachement avec laxisme, docilité avec dépendance, être imperturbables avec être indifférents et froids ? Et lorsque nous équilibrons la qualité réceptive, la force imperturbable de la terre, en manifestant son aspect solide, ne confondons-nous pas solidité avec dureté, efficacité avec intransigeance, être affirmé avec être intraitables ?

En cas de dérapage

En cas de dérapage, enfoncer les doigts dans la terre pour lui demander de transformer, dans ses laboratoires alchimiques, le négatif, vos difficultés physiques, vos découragements, vos lourdeurs d’âme. A défaut d’un jardin, vous pouvez toujours consacrer une plante verte à cet usage et vous servir symboliquement de l’index comme conducteur. Si vous croyez aux anges, vous pouvez appeler l’ange de la terre pour qu’il vous assiste dans les transformations en cours. Il suffit de lui demander de nettoyer votre corps éthérique, ce double subtil du corps physique, de son poids de chagrins et de désespérances. Il ne vous laissera pas tomber dans ces chaos qui annoncent toujours un renouveau. Vous pouvez aussi répéter comme un mantra la fameuse formule de Marc Aurèle : « Mon Dieu, donnez-moi la sérénité d’accepter les choses que je ne puis changer, le courage de changer celles que je peux et la sagesse d’en connaître la différence. » Tout cela vous aidera à trouver une place tranquille sur la terre sans devenir austère, planant ou trop terre-à-terre. C’est tout l’art de vivre la tête dans le ciel et les pieds bien sur terre avec le goût de vivre, manifesté par la vitalité et l’enthousiasme pour alliés. C’est alors qu’on peut dire avec Guitta Mallaz que « porter le poids de la terre n’est pas un fardeau mais une grâce car c’est seulement ainsi que la lumière peut trouver sa bien-aimée, la matière en nous. »

images-16 dans VIES ANTERIEURES

 Vivre le ciel sur terre

« Tout le monde veut être illuminé… c’est bien. Mais Dieu n’a pas créé cette terre pour voir ses enfants flotter dans un état de nirvana et, dans cette félicité, se détacher du reste du monde et de leurs frères humains… Vous devez comprendre qu’aujourd’hui, il faut une évolution spirituelle involutive, une descente… Il faut réussir à faire descendre l’esprit dans la matière. C’est cela la véritable réalisation de l’Esprit : amener la lumière dans nos pensées, nos sentiments, nos actions, et dans chaque cellule de notre organisme. Nous devons vivre le ciel sur la terre, la lumière dans la matière et dans notre vie. C’est comme cela que nous pourrons contribuer à la création d’une nouvelle Terre. »

Extrait de Dis-moi si je m’approche

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 11 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Les occupations dans l’Au-delà

Les occupations dans l’Au-delà dans AME 1b

Les anciens dans l’Au-delà aident les nouveaux défunts en fonction de leur histoire : un ancien suicidé aidera un nouveau suicidé, un ancien alcoolique aidera un nouvel arrivant alcoolique etc.

L’objectif est d’atténuer le choc de la mort, surtout pour les matérialistes qui pensaient disparaître avec leur corps physique, atténuer leurs angoisses

Ils aident les terriens dans leurs actions de tous les jours, encore faut il y prêter attention:

Coïncidences, messages  qui semblent bizarres, ils inspirent également les artistes, ils communiquent avec la terre pour faire connaître la survivance aux matérialistes et nous instruire sur le passage dans l’au-delà

Attention, ce n’est pas parce que vous passez de l’autre coté que vous devenez un saint; vous arrivez tels que vous êtes partis de la terre.( Messages christiques)

Il faut donc suivre de la formation, des cours pour progresser entre les sous niveaux de chaque niveau d’évolution

Et bien entendu, il reste du temps pour les loisirs. Compte tenu des capacités illimitées du corps spirituel, c’est un délire de voyages, de concerts, d’approfondissements des connaissances terrestres qui nous intéressaient ici bas.

 Les âmes errantes

Tout ce que nous vous avons dit précédemment est plutôt positif, de nature à nous rassurer sur notre vie actuelle et notre vie future après la mort. Tout n’est pas rose dans les contacts avec l’au-delà ; Je voudrais aborder un point plus délicat : les âmes errantes

 Il y a des lieux hantés, dans la première conférence je vous ai parlé des sœurs Fox et des coups frappés dans leur maison.

Il y a des entités sympathiques qui hantent certains lieux. Un médium de Colmar a acheté une maison ancienne dans laquelle « vit » encore l’ancienne propriétaire. Elle apprécie l’odeur des confitures du médium, cela se passe bien, la cohabitation est paisible.

Dans une autre demeure ancienne, la propriétaire ne veut pas laisser la place : « c’est ma maison »…la maison ne se vend pas, ou l’acheteur a développé un cancer de la gorge ! ! !!

D’autres lieux chargés d’histoires avec un grand H ou un petit. Dans la maison des ancêtres de Laurence, à coté d’Arbois, construite sur un ancien château féodal, subsistent de vielles caves voûtées. Le propriétaire actuel nous a conté ses mésaventures et nous avons fait partir les soldats qui torturaient et les victimes qui souffraient sans fin depuis cette époque !

Dans un château où ma grand-mère a été exilée en 1915 dans la Nièvre, la châtelaine était toujours là, qui attendait.

Les champs de bataille de la guerre de 14/18 sont encore hantés. Une connaissance, qui collectionne les objets fabriqués dans les tranchées se promenait souvent avec son chien sur les champs de bataille en Meuse. Son chien refusait d’aller dans un endroit précis. Une fois qu’il se promenait sans le chien, il est allé dans la zone en question et s’est senti attiré par un trou : il y découvre un crâne et faute de mieux, ce jour là, il le ramène à la maison. C’est le début des ennuis sans fin : des chutes, des accidents, la vie devient impossible.

Il pense alors au crâne et le sachant allemand, va le donner à l’ossuaire du cimetière de la zone allemande. Les ennuis s’arrêtent : l’allemand voulait une sépulture correcte pour ses restes : c’est un peu l’aventure des sœurs FOX

 Je vous ai dit également tout à l’heure que la pensée était active de l’autre coté, il faut donc que je vous parle de l’influence de ce que l’on nous a inculqué dans les religions de notre jeunesse : les dogmes. Ceux qui sont persuadés qu’ils vont dormir pour attendre le jugement dernier, vont le faire réellement. Il faudra les réveiller, pour leur dire qu’ils ont autre chose à vivre, car le jugement dernier n’existe pas.

Certaines entités égarées ou négatives vont essayer de se trouver un nouveau corps, soit pour assouvir un besoin qu’elles ne peuvent plus assouvir sans corps : drogue, alcool par exemple. Soit parce qu’elles ont peur du « jugement », qu’elles ne veulent pas affronter, elles se sous-estiment ou leurs dogme leur a dit que suicide était puni ; elles se cachent dans un autre corps.

Il est indispensable maintenant parler du plus important : la disponibilité de l’esprit appelé. Un exemple d’une femme qui veut contacter sa mère décédée à l’âge de 28 ans, alors que ses filles (dont elle-même) n’avaient que 5 ans et 8 ans : impossible ! Un autre exemple d’un père voulant contacter son fils qui s’était suicidé : pas de réponse. !

 Le p-a-s-s-e-u-r d’âmes

1. Cette mère a du dire en mourant : je ne dois pas abandonner mes enfants à cet âge, je dois rester pour m’en occuper.  Elle est donc restée coincée dans un monde intermédiaire, un monde parallèle, un monde virtuel où elle a passé 60 ans sans rien voir.

2. Ce jeune qui s’est suicidé a du dire, « je vous tire ma révérence, je ne veux plus rien voir, ne plus rien entendre de vous ».  Il va donc passer la suite de sa vie dans un espace temps parallèle ou il ne verra rien et donc pas les personnes venues le chercher pour l’emmener.

On emploi l’expression : ils ne sont pas détachés (de la terre), ils ne sont pas dans la lumière.

 L’au-delà est un lieu où la pensée est active, créatrice

Krishna enseigne dans la Bhagavad-Gitâ que les pensées, les souvenirs de l’être à l’instant de quitter le corps déterminent sa future condition…de l’autre côté

Cet espace temps est le domaine d’action du p-a-s-s-e-u-r d’âmes. Il devra faire comprendre à cette dame que ses enfants sont grands, qu’ils sont grands-parents maintenant et qu’ils n’ont plus besoin de leur mère et qu’elle peut donc partir vers la lumière avec les gens qui sont là pour l’emmener ! Cela a pris près de 2 heures !

Il va également discuter avec ce jeune, pénétrer dans cet espace intermédiaire pour lui faire comprendre qu’il est mort et qu’il doit regarder autour de lui les personnes (décédées) qu’il connait et qui viennent le chercher. En faisant un effort, il va les voir et il quittera cet espace où il était bloqué.

Dans d’autres cas, la personne était trop attachée aux biens terrestres pour les quitter facilement. Il faudra expliquer !

La pensée que vous avez en mourant crée les conditions de votre vision de l’au-delà : C’est très important d’y prendre garde. Il est donc important de leur donner la « permission » de mourir. La permission de se détacher du matériel, de se détacher de la vie terrestre. Si l’on parle souvent d’acharnement thérapeutique, il faut aussi parler d’acharnement affectif. La personne mourante n’aspire qu’à être libérée, celle qui là à coté d’elle veut la retenir à toute force : n’est ce pas aussi de l’égoïsme ? Pour sa vie future, vous avez compris qu’il FAUT l’autoriser à partir. C’est une notion très importante pour l’accompagnement en fin de vie. Accepter de laisser partir, c’est d’autant plus facile si l’on est convaincu de sa survivance future.

 . Propos issus du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AME, ESPRITS, VIES ANTERIEURES |on 13 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

L’ incarnation

L’ incarnation  dans AME images-5

Chacun de nous est véritablement programmé pour ce qu’il aura à faire ou à subir dans sa vie terrestre. Le guide recherche les futurs parents, lorsque nous avons atteint un niveau suffisant, il nous fait participer au choix. Il y a parfois contact avec la future famille, le cas le plus connu est celui de Marie, mère de Jésus, avertie par un ange.

Il existe des cas plus récents. Dans une réunion spirite, une entité contacté en juin 1909 dit qu’elle a l’intention de se réincarner. En Octobre 1909 elle donne l’endroit où elle va se réincarner, dans quel village, dans quelle famille et précise qu’elle aura une cicatrice à la naissance de 2 cm sur le coté droit de la tête. Le 15 novembre, elle annonce qu’elle cessera de venir parler en séance. L’enfant est né en Janvier 1910 dans la bonne famille avec la cicatrice à l’endroit annoncé. Il existe bien d’autres exemples

  
En 1978, aux USA le Docteur Hélène Wambach a étudié ce passage de l’incarnation. Elle a fait régresser sous hypnose 750 volontaires qui ont raconté leur incarnation, avant pendant et après leur naissance. Elle a publié ses recherches : La vie avant la vie chez RAMSAY en 1979.

En résumé : 89 % des personnes disent que leur âme n’était pas liée au fœtus avant 6 mois de gestation, ils pouvaient quitter ou entrer dans le fœtus à leur guise. De plus 5% ne se sont sentis attachés au fœtus qu’après la naissance ; ils pouvaient le quitter pendant l’accouchement ou même après la naissance. Cette question étant assez contreversée, il est intéressant d’avoir des éléments statistiques

L’esprit s’incarne donc à proximité de la naissance. Un exemple personnel, une amie a entendu en rêve, son futur bébé lui dire, que ce n’était pas l’heure, qu’il reviendrait et elle a fait une fausse couche la semaine suivante! Une autre personne, future grand-mère dans un mois a rêvé que le bébé était déjà là, il est né un jour plus tard, en avance de un mois.

Le cycle des vies successives

En synthèse de ce qui vient d’être dit, voici quelques schémas explicatifs sur l’intégration de l’âme dans le corps physique et la création du corps spirituel ou périsprit et de leur séparation lors de la mort:   diaporama

 . Issu du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AME, REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 8 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

L’ incarnation avant – après

L’ incarnation avant - après dans VIES ANTERIEURES images-9

Chacun de nous est véritablement programmé pour ce qu’il aura à faire ou à subir dans sa vie terrestre. Le guide recherche les futurs parents, lorsque nous avons atteint un niveau suffisant, il nous fait participer au choix. Il y a parfois contact avec la future famille, le cas le plus connu est celui de Marie, mère de Jésus, avertie par un ange.

Il existe des cas plus récents. Dans une réunion spirite, une entité contacté en juin 1909 dit qu’elle a l’intention de se réincarner. En Octobre 1909 elle donne l’endroit où elle va se réincarner, dans quel village, dans quelle famille et précise qu’elle aura une cicatrice à la naissance de 2 cm sur le coté droit de la tête. Le 15 novembre, elle annonce qu’elle cessera de venir parler en séance. L’enfant est né en Janvier 1910 dans la bonne famille avec la cicatrice à l’endroit annoncé. Il existe bien d’autres exemples

  
En 1978, aux USA le Docteur Hélène Wambach a étudié ce passage de l’incarnation. Elle a fait régresser sous hypnose 750 volontaires qui ont raconté leur incarnation, avant pendant et après leur naissance. Elle a publié ses recherches : La vie avant la vie chez RAMSAY en 1979.

En résumé : 89 % des personnes disent que leur âme n’était pas liée au fœtus avant 6 mois de gestation, ils pouvaient quitter ou entrer dans le fœtus à leur guise. De plus 5% ne se sont sentis attachés au fœtus qu’après la naissance ; ils pouvaient le quitter pendant l’accouchement ou même après la naissance. Cette question étant assez contreversée, il est intéressant d’avoir des éléments statistiques

L’esprit s’incarne donc à proximité de la naissance. Un exemple personnel, une amie a entendu en rêve, son futur bébé lui dire, que ce n’était pas l’heure, qu’il reviendrait et elle a fait une fausse couche la semaine suivante! Une autre personne, future grand-mère dans un mois a rêvé que le bébé était déjà là, il est né un jour plus tard, en avance de un mois.

Propos recueillis sur le site AU DELA DU MIROIR http://www.audeladumiroir.fr/organisaudela.html

Publié dans:VIES ANTERIEURES |on 10 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Nos passages sur Terre

Nos passages sur Terre dans ASCENSION telechargement

Au fur et à mesure de nos passages sur terre, nous passons par un certain nombre de niveau d’évolution.

G. Morrannier et Serge Girard nous disent qu’il y en a 7, d’autres 5 ! L’important c’est qu’il y ait évolution. Une évolution normale peut durer de 1000 à 2000 ans après 7 à 10 vies terrestres successives. Des vies en ancienne Egypte sont connues, cela ferait plutôt 4000 ans et donc plus que 10 vies, sans pour autant atteindre un nombre infini ! Il faut revenir sur terre pour progresser entre chaque niveau.

Le premier niveau, le plus détestable, certains diront que c’est l’enfer, puis ensuite une l’évolution normale avec le retour sur la terre non obligatoire à partir du 6° niveau.

Dans chaque niveau, il existe des sous niveaux qui peuvent être franchis par le travail dans l’Au-delà, sans retour sur terre. Il faudra donc continuer à travailler dans l’Au-delà, nous sommes loin de la contemplation béate de notre nombril. Les habitants des niveaux élevés peuvent aller aider ceux des niveaux plus bas.

Dans ce premier niveau, sont rassemblés là, tous ceux qui ont fait souffrir leurs semblables et donc les assassins. Ces gens-là paient leurs erreurs de conduite par des cauchemars sans fin. Tous vivent dans l’angoisse permanente, se croyant traqués par leurs victimes. Leurs visions sont horribles, leurs pensées si perturbées qu’ils ne voient pas la lumière que Dieu leur dispense pour les aider à se racheter

Ils cherchent encore à nuire, puisque le corps physique ne les limite plus, ils opèrent par l’action de leur pensée sur la vôtre. La pensée des êtres spirituels évolués vous aide, celle de ces criminels vous pousse au mal. Parfois ils essaient même d’agresser leur guide. Beaucoup de ces criminels cherchent à revenir sur la terre pour échapper à leurs souffrances. C’est dans ce but qu’ils essaient de s’incorporer à des vivants. Ce sont les cas très classiques d’obsession. Il s’ensuit des troubles graves pour le malheureux «obsédé» qui prend alors la personnalité de celui qui l’a incorporé et qui peut devenir dangereux, voir criminel. Ils ne le font pas tous. Beaucoup d’entre eux ont vite compris et voudraient bien que le règne du mal cesse.

Je vous donne un message relevé par Allan Kardec. Un meurtrier, Jacques Latour, condamné et guillotiné en 1864 s’écrie: «Je croyais être mort et je vis… C’est horrible Plus horrible que tous les supplices de la terre. Oh si tous les hommes pouvaient savoir ce qu’il a au-delà de la vie, ils sauraient ce qu’il en coûte de faire le mal. Il n’y aurait plus d’assassins, plus de criminels, plus de malfaiteurs». C’est sans doute aussi le cas de Rudolf Hoess

Ce sont les guides qui ont la mission redoutable d’aller les aider à se reprendre. Pour sortir de ce cauchemar, il y a une première issue, il faut faire taire son ego, son orgueil et son égoïsme

- accepter l’idée que l’on s’est trompé en faisant le mal,

- comprendre la nature et la gravité de ses actes

- et surtout accepter l’idée que Dieu peut vous aider, qu’il vous aime malgré tout ! Alors votre guide pourra vous aider

- Il faudra passer par le repentir

- il faudra encore avoir le désir de réparer les conséquences de ses actes.

 La seconde issue est une fin définitive. Si Dieu pardonnait aux âmes les plus irréductibles, elles recommenceraient leurs méfaits aussitôt. C’est un trop grand risque à courir. Lorsque l’entité est jugée irrécupérable, elle est désintégrée, c’est ce qu’ils appellent la 2° mort. Celle-ci est définitive !

 Le sixième niveau est celui des guides qui nous suivent chacun de nous. Ils ont terminés leurs cycles de réincarnations. Ils s’occupent de 2 à 3 entités de passage sur terre et veillent à l’accomplissement du Destin. Le guide va chercher une famille en fonction de notre évolution spirituelle et de ce qui nous attend sur la terre, du moins de ce qui est tracé à l’avance.

Les ames nouvellement crées arrivent au deuxième niveau. Au fur et à mesure de leurs vies successives elle progressent de niveau en niveau. Nous pouvons stagner sur un même niveau si le bilan de notre vie terrestre n’a pas été bon. Comme de mauvais éléves, nous redoublons notre classe. En cas de crime, nous allons au premier niveau !

Les guides s’arrangent pour nous faire rencontrer la personne que nous devons épouser. Aucune union légitime ne semble se faire au hasard. Lorsque les parents sont peu satisfaits du mariage de leurs enfants appellent : c’est une épreuve nécessaire pour le jeune couple ou encore une dette à payer. C’est ce que vous avez imposé à votre partenaire dans une vie précédente qui vous est imposé dans celle-ci

Tous les mariages ne sont pas heureux. Si c’est une épreuve qui vous est envoyée, vous avez parfaitement le droit de vous en dégager, par le divorce, dans la mesure où vous l’aurez subie courageusement et avec patience.

Si Dieu a prévu plusieurs mariages dans une existence terrestre, c’est que le divorce est possible.

Le guide doit organiser notre retour dans l’Au-delà. La date de ce retour est fixée dès notre naissance. C’est notre guide qui doit, selon les circonstances qui se présentent, choisir entre l’accident ou la maladie, pour nous rappeler dans l’Invisible

copyright 44825 . Propos recueillis sur le site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:ASCENSION, VIES ANTERIEURES |on 24 août, 2013 |Pas de commentaires »

Histoire d’une réincarnation

L’Inde est l’un des pays où l’idée de réincarnation est la plus acceptée, raison peut-être pour laquelle la population semble ouverte à la possibilité que leurs enfants puissent être des incarnations d’autres personnalités. Voici l’histoire de Jasbir, relatée par Ian Stevenson dans son livre enquête « 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation ».

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L’idée de réincarnation constitue un principe important de la religion hindouiste, pratiquée par la grande majorité des habitants de l’Inde. L’hindouisme est la plus vieille religion du monde toujours vivante, et l’on peut faire remonter ses origines jusqu’au IVe millénaire avant J-C. Ses doctrines et ses pratiques ne sont pas très différentes aujourd’hui de ce qu’elles étaient il y a des milliers d’années. Les efforts de persuasion des conquérants et des missionnaires musulmans et chrétiens ont eu peu d’impact, pour ce qui est des idées fondamentales de l’hindouisme, sur la foi de la plupart des Indiens. J’ai évoqué, dans l’introduction de cette monographie, les rapports complexes qui unissent la croyance en la réincarnation dans certaines cultures à l’apparition de cas qui semblent prouver et justifier celle-ci. (…) 

Le cas de Jasbir

Dans la plupart des cas dits de réincarnation, la personnalité antérieure meurt plusieurs années avant la naissance de la personnalité actuelle. L’écart de temps varie mais, dans les cas survenus en Inde, il est en moyenne d’environ cinq ans. Le cas qui nous occupe présente une caractéristique inhabituelle : la personnalité antérieure à laquelle le sujet s’identifia ne mourut qu’environ trois ans et demi après la naissance du « corps physique de la personnalité actuelle ». (…)

Au printemps de 1954, Jasbir, le fils de Sri Girdhari Lal Jat, vivant à Rasulpur dans le district de Muzaffarnagar (U. P.), était considéré comme mort de la variole ; il avait trois ans et demi. Le père de Jasbir alla voir son frère ainsi que les autres habitants du village afin qu’ils l’aident à enterrer son fils « mort ». Comme la nuit était assez avancée, ils lui conseillèrent de reporter l’enterrement au matin. Quelques heures après, Sri Girdhari Lal Jat remarqua par hasard des soubresauts dans le corps de son fils qui, progressivement, revint complètement à la vie. Il fallut plusieurs jours avant que l’enfant prononçât quelques mots et plusieurs semaines avant qu’il pût s’exprimer clairement. Quand il retrouva l’usage de la parole, son comportement changea de manière frappante. Il affirma alors qu’il était le fils de Shankar, du village de Vehedi, et qu’il désirait s’y rendre. Il ne voulait pas manger dans la maison des Jat puisque, étant brahmane, il appartenait à une caste supérieure. Ce refus catégorique de manger aurait certainement provoqué à nouveau sa mort si une brahmane, voisine de Sri Girdhari Lal Jat, ne s’était très gentiment chargée de préparer sa nourriture, selon la tradition brahmane. (…)

Jasbir se mit à donner de plus amples détails sur « sa » vie et sur « sa » mort dans le village de Vehedi. Il décrivit notamment comment, lors d’une procession de mariage qui allait d’un village à un autre, il avait mangé des bonbons empoisonnés. Il prétendait qu’un homme à qui il avait prêté de l’argent lui avait donné ces bonbons. Il avait alors été pris de vertiges, était tombé de la carriole qu’il conduisait, s’était blessé grièvement à la tête et en était mort. (…)

Trois ans plus tard environ, cela attira l’attention de Srimati Shyamo, une brahmane originaire de Rasulpur qui s’était mariée avec un homme de Vehedi, Sri Ravi Dutt Sukla. Cet homme ne retournait que très rarement à Rasulpur (à peu près tous les sept ans). Au cours d’un de ces voyages, en 1957, Jasbir la reconnut comme étant sa « tante » ; Elle rapporta cet incident à la famille de son mari et aux Tyagi à Vehedi. Or, les circonstances de « sa » mort et d’autres faits racontés par Jasbir correspondaient exactement aux évènements de la vie et de la mort d’un jeune homme de vingt-deux ans, Sobha Ram, fils de Sri Shankar Lal Tyagi qui habitait Vehedi. Sobha Ram était mort au mois de mai 1954, dans un accident de carriole, conformément au dire de Jasbir. La famille Tyagi ignorait cependant tout d’un prétendu empoisonnement ou d’une quelconque créance de Sobha Ram avant d’avoir entendu les déclarations de Jasbir. Ce n’est que par la suite qu’ils en vinrent à soupçonner l’empoisonnement. 

Quelque temps après, le mari de Srimati Shyamo, Sri Ravi Dutt Sukla, en visite à Rasulpur, entendit parler des propos de Jasbir et il le rencontra. Le père de Sobha Ram ainsi que d’autres membres de sa famille vinrent ensuite voir Jasbir ; celui-ci les reconnut et établit parfaitement leurs liens de parenté avec Sobha Ram. Quelques semaines plus tard, un habitant de Vehedi nommé Sri Jaganath Prasad Sukla fit venir Jasbir dans son village, sur les conseils du directeur d’une sucrerie près de Vehedi. Il le déposa près de la gare de chemin de fer et lui demanda de lui montrer le chemin jusqu’au quadrilatère des Tyagi. Ce que fit Jasbir, sans difficulté aucune. Puis on emmena Jasbir chez Sri Ravi Dutt Sukla et, de là, il montra le chemin (différent du premier) jusque chez les Tyagi. Il resta quelques jours dans le village et, en présence des Tyagi et d’autres villageois, il fit preuve de connaissances précises sur la famille Tyagi et sur ses affaires. Il passa un très bon moment à Vehedi et rentra à contrecœur à Rasulpur.

20 cas suggérant le phénomène de réincarnation, Ian Stevenson
Éditions J’ai Lu (Mars 2007 ; 665 pages) 

 

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 28 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Des âmes errantes que deviennent-elles ?

Les âmes errantes des morts

Des âmes errantes que deviennent-elles ? dans AME 1-300x300

A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.

Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 
Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 

Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

Article paru sur http://www.inrees.com/

Perdre son centre

Perdre son centre  dans ESPRITS 34J’ai remarqué dans ma vie que chaque fois que je ressentais une entité plus lourde dans mes énergies, cela survenait toujours après une expérience vécue où j’avais perdu mon centre, souvent en lien avec un jugement que j’entretenais envers moi-même.

Je me souviens d’une fois où j’avais rencontré un homme qui expérimentait un handicap physique qui m’incommodait. Je vivais un malaise à la vue de cette personne, sans vraiment savoir pourquoi. Au lieu d’accueillir ma sensation, je me suis plutôt détourné de cet être, cherchant à l’éviter. Quelque temps après, j’ai commencé à ressentir des entités dans mes énergies. Je ne comprenais pas ce qui s’était produit, jusqu’à ce que je revois le fil des événements. J’ai réalisé à ce moment que la vue de cet homme éveillait en moi le souvenir d’une vie passée où j’étais moi-même handicapé et où j’avais rejeté cette expérience, comme si elle n’avait jamais existé.

Au niveau magnétique, mon Âme avait attiré cet être pour réveiller en moi un souvenir que j’avais jugé et qui cherchait ma lumière. Il s’agit ici d’une expérience passée, mais je pouvais aisément retrouver des traces de ce malaise ailleurs dans cette vie-ci. Il n’était donc pas nécessaire de retracer ma vie passée pour entreprendre la guérison, j’avais des correspondances dans cette vie. Je le mentionne ici pour éviter d’interpréter qu’il faut percevoir ses vies passées pour se guérir. Ce n’est pas nécessaire, car chaque incarnation est aussi un tout en soi.

Les vies passées 
Dans ma pratique de consultation, j’utilise surtout les vies passées pour sortir les gens (ou moi-même) d’un état de victime. Lorsqu’un être se sent impuissant ou victime d’un autre et qu’il se déresponsabilise de sa situation, il devient intéressant de lui présenter une autre vie où l’expérience était totalement inversée. Cela remet les choses en perspective et offre une compréhension nouvelle à l’expérience créée par l’Âme.

L’évolution n’est possible que si nous assumons l’entière responsabilité de notre vie, de tout ce que nos créons, consciemment ou inconsciemment. Ce que nous nommons « les autres » fait partie de nous et nous faisons partie d’eux. Croire que nous sommes séparés est une illusion. Les autres sont là pour nous aider à nous découvrir. Si nous attirons certaines facettes moins intéressantes « des autres », c’est parce que ces facettes recherchent notre lumière.

Revenons maintenant à mon expérience. Suite à la rencontre de l’homme handicapé, je me suis retrouvé rapidement « inondé » d’entités qui créaient beaucoup de malaises et de fatigue en moi. Je ne comprenais pas ce qui venait de se produire, mais je savais que quelque chose avait changé.

Quand j’ai croisé le regard de cette personne, un malaise inconscient s’est éveillé en moi. Le problème n’était cependant pas associé à la sensation ressentie, mais plutôt au fait que j’ai voulu l’occulter et me débarrasser de ce qui me dérangeait. C’est ce déni qui a ouvert la porte aux entités qui étaient présentes chez cet être et qui ont simplement « traversé » vers moi. Dès que j’ai conscientisé ma fuite et ma propre expérience passée reflétée par l’homme que j’avais croisé, j’ai repris mon pouvoir dans la situation. J’y ai ramené l’amour et j’ai ensuite pu proclamer ma souveraineté dans mes énergies. Les entités se sont alors éloignées.

Je ne fais aucun lien ici entre le fait que l’homme vivait avec un handicap et qu’il « transportait » des entités. Ces dernières s’associent aux êtres qui ont un état d’esprit plus lourd, peu importe la situation concrète qu’ils vivent.

Les cohabitations 
Nous nous exposons tous à cohabiter de temps à autre avec des entités – ou de façon plus prolongée pour certains – car elles résonnent avec les thèmes qui ne sont pas pacifiés en nous. Dès que ces derniers remontent à la surface et s’inscrivent dans notre champ aurique, il est naturel que des entités s’y intéressent, car pour elles, ce sont des énergies familières. Et dès que nous conscientisons et éclairons la lourdeur qui se présente, l’entité s’éloigne naturellement de nous, car elle n’est plus autorisée à « demeurer » dans nos énergies. Notre souveraineté retrouvée la repousse.

Il ne faut pas non plus juger ces êtres « sans domicile fixe ». Ils vivent dans un monde parallèle à la Terre et tout ce qu’ils connaissent de la vie est associé à l’humain qu’ils étaient. Ils veulent donc poursuivre l’aventure terrestre et ils continuent d’interagir avec le seul plan qu’ils connaissent, soit celui de la Terre. Ils s’accrochent ainsi à ce qu’ils peuvent, ce à quoi ils ont encore de l’emprise. Mais ils n’ont aucun pouvoir réel, sauf celui que nous leur octroyons, consciemment ou inconsciemment.

Les plans subtils 
Revenons maintenant au sujet principal de ce propos, soit le passage vers les plans plus subtils. Je disais donc qu’au départ, la plupart des gens qui décèdent continuent de vivre la vie qu’ils avaient sur Terre. Ils continuent de s’identifier à leur personnalité et à ce qu’ils aimaient, ainsi qu’à réagir à ce qu’ils n’aimaient pas.

À moins d’être ostracisés dans sa vie humaine et de craindre profondément les jugements de son entourage, tous les êtres assistent à leurs funérailles. C’est une invitation incontournable pour tout être qui souhaite compléter la boucle de son incarnation. Mais l’être n’est pas observateur comme s’il était « une étoile dans le ciel ». Il est vraiment là, présent aux côtés de ses proches. Il se promène concrètement dans la pièce avec son corps astral.

Quand mon père est décédé, je me souviens que j’étais dans un état second presque de transe. Il m’était alors possible de le percevoir et de l’entendre. Au salon funéraire, je l’entendais s’étonner des gens qui venaient le visiter. Il s’exclamait de joie en voyant les visiteurs arriver et il allait les accueillir à la porte. À un moment, je l’ai invité à « aller vers la lumière », tel que je l’avais appris dans les livres. C’était en 1996, alors que je débutais mon cheminement spirituel. Il m’a alors dit « je sais que la lumière est là et j’irai, mais pour le moment, laisse-moi vivre mon expérience ». Je n’avais pas compris qu’il était important de faire une transition, même dans l’astral. C’est pourtant quelque chose de si naturel sur Terre, pourquoi en serait-il autrement « de l’autre côté ».

J’ai compris depuis qu’il n’y a aucune urgence à « aller vers la lumière ». Il est même plutôt rare que des gens « traversent » avant une période d’au moins deux mois. Les êtres qui décèdent ont besoin d’un temps pour saluer leur proche une dernière fois (et parfois chercher à pacifier certains liens), visiter des lieux qui leur étaient chers, ou s’assurer que leurs dernières volontés soient adéquatement exhaussées. Ils ne peuvent plus rien y changer, mais beaucoup accompagnent tout de même leur exécuteur testamentaire dans ses fonctions. C’est une façon pour eux de passer le flambeau de leur vie à leurs proches et à leurs descendants.

extrait d’un texte de Simon Leclerc – LIRE L’intégralité de ce texte en cliquant ici.

Publié dans:ESPRITS, HUMANITE, VIES ANTERIEURES |on 15 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Mythologie et Réincarnation

 

par Isabel de la Cruz

Toutes les civilisations ont créé des mythes décrivant la création du monde et retraçant l’origine de leur existence. Dans ces récits, la plupart du temps, “l’humain” se confronte à une situation insoluble ou à une épreuve surhumaine qui lui demande de faire appel à quelque chose de plus élevé en lui, à une identité supérieure qui lui permettra de trouver une réponse au-delà des limites de ce monde. Les mythes reflètent des moments essentiels de notre évolution personnelle et décrivent les moments clés de l’évolution d’une civilisation. Ils nous invitent à une vision plus large de l’histoire de l’humanité.

Mythologie et Réincarnation dans REINCARNATION 1a-220x300La mythologie est considérée de nos jours comme un ensemble de récits fabuleux et de contes, ou tout au mieux comme des textes renfermant une symbolique universelle. Plus la distance est grande – dans l’espace et le temps – avec une civilisation, plus l’ensemble des récits mythiques qui lui sont propres parait perdre le lien avec une quelconque réalité. Ce phénomène est surtout une caractéristique du monde occidental. Pourtant, l’Occident, ou plus précisément le système de croyances dans lequel l’homme occidental baigne, est en lien direct avec certaines mythologies, dont les plus importantes sont : la mythologie égyptienne (puis son héritière, la gréco-romaine), la mythologie celtique, et la plus récente, la mythologie hébraïque.

Et si tous ces récits mythiques étaient la chronique de véritables évènements historiques ?

Chaque culture et chaque peuple de la Terre possède sa propre mythologie. Nous pouvons ainsi dire qu’une mythologie définit une civilisation au même titre que son organisation sociale, son activité artistique, le savoir scientifique et technologique qu’elle développe. Seulement, en parcourant les différentes mythologies de la planète, il est possible de remarquer certaines similitudes entre les récits issus de toutes les grandes civilisations, même éloignées géographiquement et surtout dans le temps. Il est en effet très intéressant d’observer une récurrence infaillible dans toutes les traditions, aussi bien anciennes et élaborées que plus récentes. Toutes coïncident à retracer l’origine d’une culture et son évolution première grâce à l’aide “d’êtres venus du ciel”, apportant un savoir essentiel à son développement : l’agriculture, la construction, le tissage, la musique, l’écriture. Chaque civilisation naissante cherche ainsi, à travers sa mythologie, à perpétuer une vision du monde, de ses origines, de son vécu. En fait, elle apporte une réponse aux grandes questions existentielles.

D’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ? Vers où allons-nous ?

La culture occidentale a toujours porté un intérêt, qui devient de plus en plus important actuellement, aux recherches archéologiques, et pour cause : le lien avec sa tradition mythique et son vrai sens a été perdu. Par ce geste de découvrir, de dévoiler le passé, l’homme occidental cherche à retrouver ses origines. Tout comme un orphelin chercherait à découvrir qui sont ses vrais parents. D’autre part, lorsqu’à un niveau individuel nous nous sentons appelés à chercher des réponses à ces mêmes questions essentielles sur nos origines, nous arrivons assez vite à l’idée de la réincarnation. En introduisant cette nouvelle variable, celle de la possibilité pour l’âme d’évoluer grâce à de multiples expériences, il est alors possible de commencer à percevoir la vie et le monde de manière non linéaire, mais plutôt multidimensionnelle, de la même manière que la physique actuelle (théorie des cordes, théorie quantique) commence à décrire l’Univers : un système de synchronicités parfaitement orchestrées à différents niveaux et en interaction constante.

Dieux, anges, et êtres venus du ciel.

C’est ainsi que toute une civilisation, vue comme une famille d’âmes, naît dans ce monde, grandit, mûrit et quitte ce plan terrestre en laissant le fruit de son expérience pour les civilisations héritières à venir. Si ce point de vue est exact, alors ces “dieux”, “êtres venus du ciel”, “anges” dont parlent les mythes sont probablement différents noms donnés aux mêmes personnes. Des êtres que nous pourrions appeler aujourd’hui frères de l’espace, êtres de lumière, ou encore maîtres ascensionnés. Tous des noms différents pour appeler ceux qui, faisant partie d’une civilisation ancienne, sont partis de cette réalité pour vivre sur d’autres espaces des multiples dimensions planétaires, afin de continuer leur évolution. Les mêmes qui non seulement ont laissé leur savoir inscrit avant de partir (Guizeh, Chichen-Itza, …), mais aussi maintiennent un lien de fraternité et d’aide envers leurs cadets (sauf quelques-uns qui ont commis des erreurs d’évolution par superbe : mythe d’Hercules/Héraclès ou autres), et qui parfois reviennent achever des expériences propres à notre dimension (acquisition d’une conscience de la réalité sensible), comme les “anges déchus”. Petit à petit, nous observons que les différents mythes, au-delà de leur symbolique certaine et de l’idée religieuse qu’ils véhiculent, correspondent avant tout à une chronique d’évènements historiques clés, riches en enseignements initiatiques. Ils contiennent la mémoire de l’évolution de l’humanité, à travers des civilisations qui se succèdent et se chevauchent, parfois violement (génocides, cataclysmes, …), pour donner toujours une nouvelle opportunité d’apprendre aux nouvelles et aux anciennes âmes. Par exemple, celui qui a participé à l’extermination de groupes indiens pourrait bien aujourd’hui être l’un d’eux, et vivre dans sa propre chair une situation qu’il a lui-même aidé à mettre en place.

Les mythes, témoignages de l’invisible et du monde spirituel.

Pensons par exemple à l’échelle de Jacob : ce mythe sur la création et le fonctionnement du monde dans l’Ancien Testament, qui parle des anges, explique que celui qui est plus proche du Ciel aide celui qui est immédiatement en dessous à monter, à s’élever, à ascensionner sur le chemin vers le Ciel. Cette description pourrait bien nous donner de bonnes raisons de concevoir l’existence d’une aide apportée par des êtres plus évolués technologiquement et spirituellement, et qui seraient en réalité des “anciens”, des “grands frères” qui nous montreraient l’exemple de la tolérance et de la solidarité comme moyen de vivre. Cette vision de la diversité et de la multiplicité de la réalité, intégrée à notre vie quotidienne, en commençant par nous-mêmes, est un des cadeaux que nous apportent les mythes.

Isabel de la Cruz organise et anime des stages et des formations basés sur une approche quantique de la santé et une vision multidimensionnelle de l’Être humain.

www.etoileduberger.com

incarnation et âmes

 

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incarnation et âmes dans AME 14

il semblerait que seules environ 2.140.000 âme soient de « Parcelles Divines » et seraient incarnées, les autres se trouvant entre deux incarnations.

La présence de ces Âmes d’origine Divine expliquerait ainsi très bien l’apparition de tous les prophètes, de certains enfants surdoués, des génies, et de tous les grands hommes de tous les temps… 

 Mais d’où viennent donc, et que sont toutes les autres Âmes ???? 

C’est une question qui m’a toujours perturbé. Il totalement illogique de voir l’humanité se développer ainsi de manière exponentielle, si l’on admet uniquement le principe de la réincarnation et si l’humanité a commencé par un couple (Adam et Eve), ou même par 4 millions d’Âmes selon la Kabbale… surtout si l’on pense que toutes les âmes ne se sont pas obligatoirement réincarnées, ce qui nous amène à des chiffres ahurissants… Voir également « refexions » 

Mes propres recherches, les réponses que j’ai reçues à ces questions, les chiffres transmis, les calculs, la logique et même la science semblent aller dans le sens d’une même réponse : 

Sauf exception, à chaque création d’une nouvelle vie, il y a création d’une nouvelle Âme, Âme qui ne pourra (peut-être) parvenir au « droit à la réincarnation » que si un très grand travail de développement et de « spiritualisation » est accompli (ce qui ne veut absolument pas dire « religiosité ») 

 Le point de vue de la science : 

Les toutes dernières recherches et calculs en bio-électronique permettent de démontrer que le spermatozoïde d’un homme jeune et en pleine santé provoque sur l’ovule (ayant un potentiel électrique de seulement 0,10 volts) une décharge électrique négative possédant un potentiel énorme de 480.000 volts environ (calculs vérifiés et revérifiés un grand nombre de fois). 

C’est ce potentiel énorme qui explique la neutralisation immédiate de l’ovule vis-à-vis de tous les autres spermatozoïdes (et pourtant ils sont des millions à se présenter en même temps !) 

D’après le déchiffrage d’un papyrus de la IIIème dynastie égyptienne, se référant au livre de THOT, dieu de la médecine des anté-dynastiques, Schwaller de Lubicz, égyptologues, nous indiquent la conception de la plus antique tradition sur le phénomène de la fécondation.
Selon cette tradition égyptienne, le premier spermatozoïde apporte le « Feu Céleste » chargé d’assurer la coagulation immédiate de l’ovule, devenant aussitôt impénétrable, de telle sorte que tout autre spermatozoïde se trouve subitement devant « un mur » infranchissable. 

C’est à cet instant précis que se fait la conception du nouvel organisme, du nouvel être, mais c’est aussi à cet instant précis qu’a lieu une véritable « cristallisation » de l’Énergie Universelle, créant une nouvelle « âme »… 

Le langage populaire parle bien de « l’étincelle de vie »… 

Cette « étincelle » aurait été constatée il y a plus de 10 ans en laboratoire par des généticiens russes (mais je n’ai pas la référence). 

Signalons qu’en France, les couples stériles voisinent actuellement les 20%. 

La plupart sont victimes de l’oligo-spermie, (trouble qui correspond à un rH2 trop élevé). De ce fait le potentiel électrique du spermatozoïde se trouve réduit à quelques volts (soit 10.000 fois plus bas), et « l’étincelle de vie » ne peut se produire, mais surtout l’ovule ne peut être engagé dans le phénomène de la génération d’une nouvelle vie, faute d’une décharge suffisamment puissante en volts pour être active (voir expériences de Miller). 

Ces révélations de la science coïncident parfaitement avec mes propres recherches et expériences personnelles, le travail que j’effectue depuis maintenant plus de deux ans de manière intensive, et les « réponses » que j’ai pu obtenir. 

Mais cette « explication » ne résout aucun problème et ne fait que créer de nouvelles interrogations. 

Une hypothèse : La pluralité dans l’unicité ? 
De même que les « âmes originelles » sont les parcelles « éparpillées » de la 3ème intelligence, chaque âme « nouvelle » créée par « l’étincelle de vie » lors de la conception d’un nouvel être, n’est qu’une parcelle des « Troupes » de l’Archange Gabriel, parcelle qui aura la lourde tâche de crééer sa propre énergie, et qui après son « aventure » terrestre, ira rejoindre une même et unique « âme globale ». 

Pour regagner sa place dans le « plérôme », l’Archange Gabriel doit multiplier ses forces… 

Cette hypothèse pourrait également apporter une explication « rationnelle » (si l’on peut dire !) au regroupement des âmes auquel on assiste en ce moment.

Source : http://www.ateliersante.ch/entites4_theories.htm

Publié dans:AME, VIES ANTERIEURES |on 18 mai, 2013 |Pas de commentaires »

Signification de la réincarnation

 Signification de la réincarnation dans REINCARNATION 14-petit

La doctrine de la réincarnation, très populaire de nos jours, est un point de vue déformé sur le processus d’interaction entre le monde des esprits et le monde terrestre. Pour comprendre la part de vérité que contient cette doctrine, il faut revenir à ses sources orientales. L’hindouisme et le bouddhisme partent du principe que l’individualité ne survit pas à la mort. La célèbre exploratrice Alexandra David-Néel soulignait qu’on ne peut parler de réincarnation sans poser la question : << Qu’est que cela qui se réincarne ? >> car, selon la doctrine orientale, le « moi » n’a aucune permanence.

La tradition monothéiste judéo-chrétienne affirme au contraire que l’esprit de chaque être humain reste éternellement individualisé. Nous ne pouvons donc transposer la doctrine de la réincarnation d’un contexte dans l’autre, sans préciser de quoi nous parlons.

En définitive, il faut comprendre que ce n’est pas l’individualité qui se réincarne, mais le karma lui-même. En quittant son corps de chair, une personne laisse derrière elle un karma qui va se « réincarner » dans d’autres vies terrestres. En même temps, elle reste liée à cekarma et donc également aux personnes terrestres qui en héritent, jusqu’à sa résolution finale.

Quant aux prétendus « souvenirs de vies antérieures », obtenus soit spontanément, soit sous hypnose, ils s’expliquent en réalité par les relations très fusionnelles qui peuvent exister entre un esprit et une personne incarnée. En fait, ce qui est interprété comme une « vie antérieure » n’est, souvent, que les souvenirs terrestres réels d’un esprit désincarné.

Ce qui est interprété comme une « vie antérieure » n’est, souvent, que les souvenirs terrestres réels d’un esprit désincarné.

L’hypnose, souvent utilisée pour faire « régresser » une personne dans ses « vies antérieures », favorise en réalité la perméabilité psychique et rend une personne incapable de distinguer ce qui lui appartient en propre de ce qui s’est infiltré dans son esprit par une source extérieure. Il est reconnu depuis longtemps que l’utilisation de l’hypnose ou d’autres techniques psychothérapiques dites « régressives » génère fréquemment de « faux souvenirs ».

Un lien fusionnel avec un esprit, pouvant donner l’impression de la réincarnation, peut aussi être obtenu de façon accidentelle. A titre d’exemple, étudions brièvement les célèbres 20 cas suggérant le phénomène de réincarnation de Ian Stevenson.9 Le scénario général de tous ces cas est le suivant : après une maladie ou une perte de connaissance, un enfant a des troubles d’identité. Il ne reconnaît plus ses parents et se prétend une autre personne qui s’avère avoir vécu à quelques kilomètres et être décédée quelques années auparavant de mort violente ou prématurée. La majorité de ces cas se passe en Inde.

Plusieurs éléments militent ici fortement pour l’hypothèse de la possession plutôt que celle de la réincarnation : la distance et le temps très courts qui séparent le décès du moment où l’enfant changera d’identité ; le fait que ce changement survienne chez un enfant, et à l’occasion d’une maladie, condition doublement favorable à la perméabilité psychique ; le fait que ces troubles de l’identité s’accompagnent chez l’enfant de graves symptômes névrotiques et retardent sa croissance psychologique ; enfin, le fait que les décès en question sont tous des morts violentes ou prématurées, ce qui, comme on sait également, peut entraîner chez certains un refus violent d’accepter leur mort et un désir puissant de revenir sur Terre.

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 9 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Le masque des envahisseurs


Par le Collectif Ashtar 
channeling Reçu le 21 mars 2009 par Simon Leclerc 

Salutations à vous, chers enfants de la Terre, 

Nous sommes à vos côtés afin de servir vos Êtres, dans une envie continuelle de partager avec vous des connaissances qui éveillent votre sagesse intérieure. Ces connaissances proviennent toujours de vous, mais elles sont parfois inspirées de sources en apparence extérieures. Celles-ci accèdent à la sagesse enfouie à l’intérieur de vos Êtres, pour en quelque sorte vous la représenter dans des formes plus malléables et palpables. Ceci facilite la connexion avec cet aspect de vous pour lequel tant d’humains sont encore voilés, séparés.

Voilà que maintenant, les voiles interdimensionnels se sont amincis, réduits. Ceci permet aux Êtres d’accéder à des aspects d’eux beaucoup plus vastes, qui vivent à l’intérieur de leurs cellules. Auparavant, ils n’y avaient accès que par les songes et quelques états de conscience altérés. Maintenant, il est possible pour un humain d’intégrer sa conscience christique Je Suis d’une façon très accélérée, au point de fusionner avec elle. Par extension, le collectif Terre bénéficie aussi de cette augmentation énergétique individuelle, et l’ensemble de cette humanité est alors stimulé à faire ce saut de conscience tant attendu vers l’avant.

Le masque des envahisseurs dans HUMANITE petit-7Le retour de l’ancien monde 
Tout cela nous amène maintenant à la période actuelle qui est, selon toute vraisemblance, ce que vous pourriez humainement nommer « le calme avant la tempête ». Au niveau divin, nous allons la nommer « la préparation avant la grande bascule du Nouveau Monde » ou, si vous préférez, « la bascule du retour de l’ancien monde ».

Ce monde où vous habitez a été conçu à la base pour être un véritable paradis terrestre. Mais en cours de route, il a basculé dans un espace où la dualité s’est séparée de son centre. N’entendez pas ici que vous en êtes les victimes, cela faisait partie d’un choix d’apprentissage de l’Âme collective humaine. Mais alternativement, cette dualité en opposition a fait en sorte que vous avez successivement partagé les rênes du pouvoir avec les deux polarités : parfois avec la lumière et parfois avec l’ombre. Votre passé connu, et surtout celui inconnu – beaucoup plus important – présente ces états de fait. Voilà donc que ces deux mouvements ont tour à tour proposé leur domination au monde, se présentant comme étant le plus fort des deux et jugeant évidemment l’autre aspect.

La vie incarnée impure 
Aujourd’hui, la dualité se présente de nouveau, mais sous un regard différent. Voici revenue l’opportunité de créer ce paradis sur Terre, celui qui intègre à la fois l’Être humain humain, et l’Être humain divin. Ces deux aspects n’ont plus besoin de s’opposer l’un et l’autre, comme il a été le cas pendant tant d’années et de siècles.

L’intention était noble à la base. Les Êtres ont jugé l’humain parce qu’ils voulaient honorer le divin. Ils ont considéré la vie incarnée comme étant impure, croyant ainsi se rapprocher de Dieu. Ce faisant, ils ont plongé cette humanité dans l’ombre d’elle-même, se traînant eux aussi dans cette « descente ». Ils ont alors laissé derrière eux tout un aspect de la création qui s’est vu privé de la lumière du divin, puisqu’il a été considéré comme étant souillé.

De nouvelles aventures 
Et maintenant, ce mouvement est à s’équilibrer au niveau du cœur, parce que l’expérience de la dualité a été comprise. Au niveau de l’Âme, les Êtres ont aussi fait le choix d’appeler à eux de nouvelles aventures qui les conduiront aux confins des Univers. Celles-ci ne seront plus basées sur un rejet ou un jugement de l’incarnation, mais plutôt sur une inclusion de tous les aspects incarnés.

Le collectif des Êtres humains se joindra à l’Univers pour collaborer à la reconstruction du vaisseau Terre. Cette expérience passera d’abord par la reconstruction de chaque vaisseau individuel, et par extension, c’est tout le vaisseau Terre qui deviendra le paradis terrestre prédit par vos plus grands prophètes.

La renonciation et le sacrifice 
Cette reconstruction de votre monde est au cœur d’un grand mouvement vers l’avant. Les humains, collectivement, sont appelés à retourner vers la voie du milieu, celle qui inclut tout, sans opposition et sans jugement. Cette voie les ramène dans un espace très vaste où tout peut exister, puisque rien n’est sacrifié dans la création. L’évolution peut alors suivre son cours et aller vraiment vers l’avant.

Cette notion de renonciation et de sacrifice est au cœur de nombreux heurts chez les humains. Ceux-ci ont cru à tort que pour devenir purs, parfaits et lumineux, ils devaient se séparer de leurs impuretés, de leurs imperfections et de leurs ombres. Cette vision dualiste est encore très mal comprise chez une majorité d’humains, mais jusqu’à récemment [le temps est très relatif dans l’Univers], elle l’était presque autant dans l’Univers.

Une expérience relativement nouvelle 
Il faut comprendre que la dualité est une expérience relativement nouvelle dans la création. Par amour et en service pour la Source, les Êtres voulaient la vivre afin de stimuler l’évolution. Mais aucun manuel d’instructions n’avait été conçu à la base pour accompagner cette exploration. Lorsque les humains sont venus vivre l’incarnation sur Terre, ils n’avaient pas à l’intérieur d’eux les outils pour comprendre la dualité. Il leur fallait l’explorer pour la saisir et l’intégrer.

Vous comprenez aujourd’hui que l’ombre et la lumière sont deux aspects d’un tout qui se complètent dans la matière, pour mieux se refléter mutuellement. Une fleur colorée poussant sur un terreau sombre se démarque ainsi de son fond plus terne. Son environnement ne la ternit pas au contraire, il lui permet de reluire davantage. La dualité a pour ultime objectif de ramener les Êtres en leur centre, là où la connaissance et l’expérience permettent la véritable évolution. Mais elle a été si souvent impliquée au cœur des conflits humains, que les Êtres en sont venus à croire que sa forme actuelle était normale et essentielle à la vie sur Terre.

L’opposition et les obstacles 
La dualité, certes, accompagne la vie terrestre. Mais sa non-compréhension, ou la difficulté de comprendre son sens sacré, est à l’origine des oppositions chez les humains. Lorsqu’ils ont rencontré les obstacles dans l’incarnation, au lieu de réaliser qu’il s’agissait d’aspects d’un tout qui cherchaient à s’exprimer, ils ont plutôt maintenu les voies d’opposition, de concurrence et les compétitions. Ceci a stimulé la séparation, au lieu de suggérer ultimement la proposition d’union.

Rappelez-vous que cette dualité n’avait jamais été expérimentée auparavant dans cette forme. Réagissant à elle, les Êtres se sont alors séparés d’eux-mêmes en voulant s’en éloigner. Ainsi affaiblis et tentant de retrouver leur lumière, ils se rendaient bien compte qu’ils n’en avaient plus la capacité. Ce n’est pas parce qu’ils n’étaient pas habilités à retourner vers la lumière. Mais ils le faisaient dans l’intention de ne présenter que leur pureté, séparée de leurs impuretés. C’est là tout le drame – s’il y a un drame – de l’expérience humaine.

Le « nettoyage »
Parce qu’ils se sont inconsciemment séparés d’aspects d’eux-mêmes, les humains dans l’ensemble ne ressentent plus qu’ils font partie de l’Univers et qu’ils sont reliés à la Source. Voulant y retourner, consciemment ou inconsciemment, ils s’acharnent encore plus intensément à « nettoyer » leurs impuretés, ce qui les atrophie encore plus, au lieu de les rapprocher du but.

L’intention consciente ou inconsciente de tous les Êtres est de « réintégrer » ultimement la Source. Mais en réalité, ils s’en éloignent davantage s’ils se séparent d’eux-mêmes pour mieux se présenter à la porte. Ils constatent rapidement que les impuretés qu’ils mettent de côté reviennent les hanter dans des formes d’envahisseurs extérieurs. Cette situation les amène à nourrir encore plus intensément l’interprétation que ces envahisseurs appartiennent au plan terrestre sombre, alors que dans le paradis céleste lumineux, ils n’existent pas.

Les envahisseurs 
Vous connaissez tous des Êtres qui sont perpétuellement victimes de leur vie, expérimentant des situations qui semblent continuellement se répéter pour eux. Peut-être vous reconnaîtrez-vous ici ?

Toutes les formes d’envahisseurs extérieurs, quels qu’ils soient, sont magnétisées par l’Être qui les subit. Et s’il se positionne en victime de ses ombres, celles-ci sont alors nourries avec plus de force par son inconscient, qui va alors chercher à le ramener dans un état d’équilibre. Pour ce faire, l’inconscient intensifiera les ombres jusqu’à ce qu’elles soient démasquées. La voie naturelle de la guérison et de la résolution de tous les conflits, tant avec soi qu’avec l’extérieur, se trouve dans le changement de regard face à ceux-ci. Est-ce que ce regard sera amoureux, ou s’il sera réprobateur, conflictuel et craintif ?

Le paradis terrestre
Chers amis incarnés, comprenez que la Terre a comme ultime destin d’être ce paradis terrestre tant désiré. Vous n’avez pas à quitter la Terre pour y accéder, vous y êtes. En rectifiant votre vision de la dualité, vous reviendrez à une voie d’équilibre qui inclut tout ce qui est, même l’inacceptable et l’incompréhensible. Et enfin, cela deviendra acceptable et compréhensible, parce que vous comprendrez alors ces événements. Ceux-ci sont divinement mis en scène par vos Âmes pour vous amener au fond de vous-mêmes, à l’extrême de la dualité, pour comprendre que derrière ces masques apparemment horribles, se cachent aussi Dieu, la Source de toute vie, et l’amour.

L’intégration de la souffrance 
Naîtra sous peu sur votre Terre une qualité d’amour jamais observée auparavant. Un amour-déité qui associe la connaissance à la pureté d’Âme, ramenant les Êtres vers un plus grand équilibre intérieur. Ce faisant, ils intégreront davantage d’amour et de compréhension envers eux-mêmes et envers leurs frères et sœurs incarnés.

Les Êtres auront capté la futilité de la souffrance humaine et comprendront alors son ultime message. Elle n’est plus un élément à juger et à combattre avec force. C’est un aspect de Dieu qui n’a pas encore été intégré dans la création et qui cherche maintenant à y revenir, pour s’équilibrer.

La souffrance n’est pas non plus à considérer avec détachement et nonchalance, puisqu’elle implique bel et bien des Êtres dans des défis de vie. Mais en même temps, si ces derniers ne s’ouvrent pas à capter la Lumière de vie derrière cette souffrance, ils se privent de son pouvoir guérisseur. Ils oublient que dans la dualité, deux polarités cohabitent et se complètent, mais n’ont pas pour objectif de s’opposer.

Revenir au centre 
En revenant au centre d’eux-mêmes, les Êtres comprennent l’inutilité du combat et ouvrent alors la porte à la Lumière de vie, celle qui viendra transformer totalement l’incarnation.

Aucun Être n’est destiné à vivre éternellement dans l’ombre, ni dans la lumière séparée de l’ombre. Toute particule de vie dans la dualité, dans la matérialité, va ultimement chercher à retourner vers la Source. La porte d’entrée, c’est la voie du milieu, celle située au centre de la vie, ni dans l’ombre, ni dans la lumière. C’est la Lumière de vie qui balaie tout sur son passage. Celle-ci soutient la vie et permet son déploiement, sans jugement, sans limites et sans interprétation. C’est une lumière qui est conscience, amour et harmonie en mouvement. 

Une période intense 
La période à venir en est une d’une extrême intensité. Jamais auparavant les humains n’auront été confrontés avec autant d’insistance à leurs ombres, et à leurs lumières. Et certes, les Êtres en général n’ont pas de difficulté à accueillir leurs aspects lumineux, mais nous pourrions dire qu’il en sera fort autrement pour leurs aspects ombrageux. Ceux-ci seront magnétisés plus intensément à l’extérieur, lorsque les Êtres ne voudront pas les accueillir. Et jamais les envahisseurs extérieurs n’auront été aussi présents que durant cette période.

Vous observerez des Êtres entrer dans des réactions parfois extrêmes, où leur équilibre de vie sera perturbé par de nombreux irritants extérieurs et intérieurs. Durant cette période, les Êtres ne seront pas pourchassés par le diable, ou l’ombre (certains le croiront). Mais leur lumière sera si intense qu’elle ne leur permettra plus d’être dans l’ombre d’eux-mêmes.

La Lumière de vie
En apparence, l’ombre sera présente planétairement. Mais au-delà des apparences, vous comprendrez que c’est la Lumière de vie qui est à l’œuvre, et que cette lumière recherche l’équilibre et tend à ramener tous les Êtres au centre d’eux-mêmes. Pour un temps, elle va stimuler les résolutions de l’ombre, puisque c’est l’aspect de la polarité qui est le plus mal en point et le plus mal compris en ce moment chez les Êtres.

Ceux qui marchent actuellement sur la voie de l’inconscience seront invités à s’ouvrir aux clés leur permettant de démasquer leurs envahisseurs. Mais s’ils ne les acceptent pas, ils subiront les situations. Ce faisant, ils s’exposeront à une augmentation des envahisseurs, et ce, jusqu’à ce qu’ils acceptent de lâcher prise et d’accueillir l’ultime vérité. Et celle-ci se fera très insistante, nous pouvons vous le confirmer.

Vos Âmes préparent ce rendez-vous depuis tant de siècles, elles ne relâcheront pas l’intensité rendue si près du but. Alors vous qui savez, nous vous invitons à vous préparer à accueillir et accompagner vos frères et sœurs incarnés. Car pour plusieurs d’entre eux, ce sera le choc de leur vie. Un choc lumineux, nous entendons, mais ce sera tout de même un choc.

Nous vous saluons et vous remercions d’avoir passé ce temps en notre compagnie. Nous allons maintenant compléter ce message et quitter cette forme de communication, mais si vous le souhaitez, nous demeurerons à vos côtés encore quelque temps.

Nous apprécions la compagnie de nos frères et sœurs humains. Ils nous rappellent jusqu’où peut aller un Être, par amour pour la Source. Et cela est magnifique.

Salutations à vous

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle

————————————– 

 par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d’en conserver l’intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci !

Publié dans:HUMANITE, SOCIETE, VIES ANTERIEURES |on 5 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Et si nous avions déjà tout visité

Paris, Alexandrie, Londres, le Nevada, l’Afrique, la Russie…  

En France, parler de Réincarnation est tabou ; peu de livres destinés au grand public ont réussi à sortir de l’ombre. L’Éternité devant Soi, roman sorti en septembre 2009, propose un voyage dans les méandres de cette notion qui fait tant frémir en Orient : le Karma. En Occident, peu de gens peuvent apporter une définition correcte de ce mot. Chance ? Destin ? Fatalité ? Loi de Dieu ? Culpabilité ? Ce roman initiatique apporte des réponses.

Et si nous avions déjà tout visité dans KARMA arcenciel-chevaux-300x138
On réclame sans cesse des preuves à propos de l’éventuelle réalité de vies passées. Les réminiscences visuelles, les sensations de déjà-vu, les intuitions fulgurantes, les retrouvailles troublantes avec des gens qu’on se convainc d’avoir déjà croisés, ne suffisent évidemment pas aux esprits sceptiques. L’expérience de la Vie restant plus forte que n’importe quelle démonstration scientifique, l’auteur fait partie de ces âmes pour qui les réponses ne peuvent venir que de notre propre intérieur. 

Dans la littérature, le Dr Stevenson a dénombré quelques cas troublants ; Platon parle de transmigration des âmes ; Edgar Cayce a aidé de nombreux patients via des voyages dans les vies passées ; les travaux de Rochas il y a un siècle ont rouvert la voie dans un monde où pareilles croyances risquaient de finir aux oubliettes, terrassées par la sacro sainte Science et le tout pouvoir des religions monothéistes. 

Pourtant : 
« À moins de renaître, nul ne peut voir le Royaume des Cieux. » (Évangile de Jean). La Bible, du péché d’Adam à la résurrection du Christ, résume le chemin : débuter la vie sur Terre, mourir, renaître, remourir… s’éloigner de la source (c’est ce qu’on appelle le Karma)… puis remonter, arrêter ce cycle infernal et se libérer. 
Tant pis si le Christ en parle, lorsque l’Église débuta son rôle politique il fut de bon ton d’oublier ces vieux dossiers : comment dire aux fidèles qu’ils disposent d’une éternité – ou presque – de vies devant eux ? N’est-il pas plus commode de promettre un Enfer en cas de mauvais comportement, ou un Paradis s’ils restent tranquilles ? _ Les Empereurs Romains forcèrent la main et une fois les Évangiles épurés, les propos de Jésus déformés ou mal traduits, les initiés n’eurent que le bouche à oreille pour transmettre ces secrets : notre âme expérimente plusieurs vies ; notre partie matérielle n’en voit qu’une. 

L’auteur, scientifique de formation, apporte sa pierre à l’édifice en mettant en scène un jeune homme à peine sorti de l’adolescence, en prise avec une société paradoxale et incohérente. Le Karma fait irruption dans sa vie, alors que comme 99% de la population française, il ignore complètement ce dont il s’agit. 

Mathieu Rougeron peint des tableaux de vie montrant à ce personnage, aussi sincère que déconcerté, à quel point tout dans son existence – travail, famille, amour, santé, croyances, pulsions intérieures – répond dans la quasi-totalité aux impulsions de vies passées. 

Au-delà d’un simple tourisme à travers le Temps, l’initié ayant le courage de regarder dans sa mémoire et son passé, découvrira la façon de dénouer les fils qui le rendent malheureux et l’empêchent de s’élever. 

Entre aventure et enseignement, L’Éternité devant Soi illustre ces lois mystiques dans un contexte léger, moderne, mais tout aussi conscient. Inspiré de sa propre expérience, l’auteur invite le lecteur dans une réflexion profonde sur sa propre existence. À travers le miroir de ce personnage, peut-être reconnaîtrez-vous les nœuds qui vous rattachent à des mémoires non apaisées. 

  Mathieu Rougeron. L’Éternité devant Soi. Editions Alphée

Publié dans:KARMA, SOCIETE, VIES ANTERIEURES |on 8 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

Mythologie et Réincarnation

 

par Isabel de la Cruz

Toutes les civilisations ont créé des mythes décrivant la création du monde et retraçant l’origine de leur existence. Dans ces récits, la plupart du temps, “l’humain” se confronte à une situation insoluble ou à une épreuve surhumaine qui lui demande de faire appel à quelque chose de plus élevé en lui, à une identité supérieure qui lui permettra de trouver une réponse au-delà des limites de ce monde. Les mythes reflètent des moments essentiels de notre évolution personnelle et décrivent les moments clés de l’évolution d’une civilisation. Ils nous invitent à une vision plus large de l’histoire de l’humanité.

La mythologie est considérée de nos jours comme un ensemble de récits fabuleux et de contes, ou tout au mieux comme des textes renfermant une symbolique universelle. Plus la distance est grande – dans l’espace et le temps – avec une civilisation, plus l’ensemble des récits mythiques qui lui sont propres parait perdre le lien avec une quelconque réalité. Ce phénomène est surtout une caractéristique du monde occidental. Pourtant, l’Occident, ou plus précisément le système de croyances dans lequel l’homme occidental baigne, est en lien direct avec certaines mythologies, dont les plus importantes sont : la mythologie égyptienne (puis son héritière, la gréco-romaine), la mythologie celtique, et la plus récente, la mythologie hébraïque.

Mythologie et Réincarnation dans REINCARNATION egypte-ancienne

Et si tous ces récits mythiques étaient la chronique de véritables évènements historiques ?

Chaque culture et chaque peuple de la Terre possède sa propre mythologie. Nous pouvons ainsi dire qu’une mythologie définit une civilisation au même titre que son organisation sociale, son activité artistique, le savoir scientifique et technologique qu’elle développe. Seulement, en parcourant les différentes mythologies de la planète, il est possible de remarquer certaines similitudes entre les récits issus de toutes les grandes civilisations, même éloignées géographiquement et surtout dans le temps. Il est en effet très intéressant d’observer une récurrence infaillible dans toutes les traditions, aussi bien anciennes et élaborées que plus récentes. Toutes coïncident à retracer l’origine d’une culture et son évolution première grâce à l’aide “d’êtres venus du ciel”, apportant un savoir essentiel à son développement : l’agriculture, la construction, le tissage, la musique, l’écriture. Chaque civilisation naissante cherche ainsi, à travers sa mythologie, à perpétuer une vision du monde, de ses origines, de son vécu. En fait, elle apporte une réponse aux grandes questions existentielles.

D’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ? Vers où allons-nous ?

La culture occidentale a toujours porté un intérêt, qui devient de plus en plus important actuellement, aux recherches archéologiques, et pour cause : le lien avec sa tradition mythique et son vrai sens a été perdu. Par ce geste de découvrir, de dévoiler le passé, l’homme occidental cherche à retrouver ses origines. Tout comme un orphelin chercherait à découvrir qui sont ses vrais parents. D’autre part, lorsqu’à un niveau individuel nous nous sentons appelés à chercher des réponses à ces mêmes questions essentielles sur nos origines, nous arrivons assez vite à l’idée de la réincarnation. En introduisant cette nouvelle variable, celle de la possibilité pour l’âme d’évoluer grâce à de multiples expériences, il est alors possible de commencer à percevoir la vie et le monde de manière non linéaire, mais plutôt multidimensionnelle, de la même manière que la physique actuelle (théorie des cordes, théorie quantique) commence à décrire l’Univers : un système de synchronicités parfaitement orchestrées à différents niveaux et en interaction constante.

Dieux, anges, et êtres venus du ciel.

C’est ainsi que toute une civilisation, vue comme une famille d’âmes, naît dans ce monde, grandit, mûrit et quitte ce plan terrestre en laissant le fruit de son expérience pour les civilisations héritières à venir. Si ce point de vue est exact, alors ces “dieux”, “êtres venus du ciel”, “anges” dont parlent les mythes sont probablement différents noms donnés aux mêmes personnes. Des êtres que nous pourrions appeler aujourd’hui frères de l’espace, êtres de lumière, ou encore maîtres ascensionnés. Tous des noms différents pour appeler ceux qui, faisant partie d’une civilisation ancienne, sont partis de cette réalité pour vivre sur d’autres espaces des multiples dimensions planétaires, afin de continuer leur évolution. Les mêmes qui non seulement ont laissé leur savoir inscrit avant de partir (Guizeh, Chichen-Itza, …), mais aussi maintiennent un lien de fraternité et d’aide envers leurs cadets (sauf quelques-uns qui ont commis des erreurs d’évolution par superbe : mythe d’Hercules/Héraclès ou autres), et qui parfois reviennent achever des expériences propres à notre dimension (acquisition d’une conscience de la réalité sensible), comme les “anges déchus”. Petit à petit, nous observons que les différents mythes, au-delà de leur symbolique certaine et de l’idée religieuse qu’ils véhiculent, correspondent avant tout à une chronique d’évènements historiques clés, riches en enseignements initiatiques. Ils contiennent la mémoire de l’évolution de l’humanité, à travers des civilisations qui se succèdent et se chevauchent, parfois violemment (génocides, cataclysmes, …), pour donner toujours une nouvelle opportunité d’apprendre aux nouvelles et aux anciennes âmes. Par exemple, celui qui a participé à l’extermination de groupes indiens pourrait bien aujourd’hui être l’un d’eux, et vivre dans sa propre chair une situation qu’il a lui-même aidé à mettre en place.

Les mythes, témoignages de l’invisible et du monde spirituel.

Pensons par exemple à l’échelle de Jacob : ce mythe sur la création et le fonctionnement du monde dans l’Ancien Testament, qui parle des anges, explique que celui qui est plus proche du Ciel aide celui qui est immédiatement en dessous à monter, à s’élever, à ascensionner sur le chemin vers le Ciel. Cette description pourrait bien nous donner de bonnes raisons de concevoir l’existence d’une aide apportée par des êtres plus évolués technologiquement et spirituellement, et qui seraient en réalité des “anciens”, des “grands frères” qui nous montreraient l’exemple de la tolérance et de la solidarité comme moyen de vivre. Cette vision de la diversité et de la multiplicité de la réalité, intégrée à notre vie quotidienne, en commençant par nous-mêmes, est un des cadeaux que nous apportent les mythes. <

Isabel de la Cruz organise et anime des stages et des formations basés sur une approche quantique de la santé et une vision multidimensionnelle de l’Être humain.

le lien vient de : www.etoileduberger.com

Venez rejoindre le forum de Francesca : http://devantsoi.forumgratuit.org/  

Publié dans:REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 2 décembre, 2012 |1 Commentaire »

Une aventure hors du commun

 

par Samira Piana

« Le tourment des Hommes ne vient pas des choses, mais des idées qu’ils ont des choses. » Epictète

Dans un autre temps, une autre dimension, des Êtres de lumière continuent d’évoluer, d’apprendre. Ils vivent d’un amour inconditionnel pour leur prochain. Les familles s’unissent, se rencontrent, se croisent. L’infini éternité du bonheur prend forme sans notion de temps, sans questionnement puisque les réponses sont en Soi.

L’évolution de la conscience se fait sur le plan terrestre et se poursuit sur le plan astral. Un jour, le besoin de la densité se fait sentir. Un jour l’expérience de la matière existe. Nos guides nous accompagnent. Ils sont là avec nous pour valider notre mission de vie.

L’éternel recommencement pour affiner notre Être multidimensionnel, pour aller à la rencontre de notre Moi. La tâche semble ardue pour nous tous qui sommes ces humains qui viennent expérimenter. Mais si nous contactions plus souvent notre Être spirituel, nous prendrions la vie avec beaucoup plus de philosophie.

Une aventure hors du commun dans ASCENSION lutin-3Certains auront passé au premier plan, leur vie matérielle avec l’abus de pouvoir, la compétitivité, une communication humaine malade, un rapport à l’autre en perdition sans jamais évaluer les valeurs de la vie mais simplement leur place dans la société.

Pour d’autres, la tête dans les nuages, aura eu raison d’eux du fait qu’ils aient occulté l’alliance de la matière et de l’éveil spirituel.

Chercher l’équilibre pour donner le meilleur en commençant par Soi. Oser rencontrer l’autre en augmentant le niveau relationnel. Nous ne sommes pas rien. Nous sommes des Êtres en possession d’une partie Divine. Combien de fois par jour, écoutons-nous l’autre avec cette intime conviction que c’est une communication d’âme à âme et non pas d’être dans l’attente de quelque chose qui pourrait nous désarçonner ? Est-il arrivé hier de regarder son semblable avec un cœur ouvert et une écoute active ?

Mon Dieu, la Vie est un cadeau. Ce cadeau d’une rare richesse. Nous sommes des Êtres évolués, reconnaissons notre pouvoir Divin pour en faire l’usage qui advienne. Soyons humble et aimant.

La conscience collective évolue vers de nouvelles colorations positives malgré ce que l’on en dise. Mais il y a encore trop de révoltes intérieures, trop d’insatisfactions, trop de désarrois, trop de déséquilibre…
Lorsqu’une personne exprime une colère où le besoin ardent de trouver le bonheur, son conflit n’est pas avec nous mais bien avec elle-même.

Le plus souvent, constater les besoins de vivre en harmonie avec Soi, régler les conflits que l’on a enfoui lorsque l’on s’est construit, constitue le début d’un nouveau chemin.

Alors face à cela, tout peut apparaître immense, ingérable tellement tout remonte à la surface de manière brutale.

Le flou étant présent, le sentiment d’être perdu prenant de plus en plus place car « la machine à mentaliser » prend corps, il devient nécessaire de ne prendre aucune décision ou de prendre position.

Ne jugeons pas les événements du passé, ils sont là pour nous servir, pour nous faire grandir. Et tout en les-considérant, accueillons-nous avec bienveillance. Pour pouvoir donner de nous-mêmes,  sans attendre en retour, il  est essentiel d’avoir lâché toutes les positions de victimes, persécuteurs, sauveurs que nous jouons tour à tour. Mais pour agir dans ce sens, il faut être conscient de ce que nous jouons comme scénario, celui qui mène le plus souvent au coup de théâtre indubitablement.

Prenons conscience que lorsque notre énergie baisse, nous devenons englués dans les « formes pensées » négatives et que ce chemin-là ne permet pas le discernement. Faire fausse route nous éloigne de notre Pouvoir Divin, et de la direction que nous avions programmée. Mais si ce lâcher prise ne vient pas, ce n’est pas grave, nous nous éloignerons un temps pour arriver quand même un jour à destination.

Écoutons notre voix intérieure et admettons aussi que la voix des anges passe par les humains et qu’à ce moment-là c’est la quintessence qui en ressort.

Décrochons des abîmes et prenons un peu de hauteur au sujet des situations douloureuses, pour notre bien-être et pour celui de ceux que nous aimons.

L’optimisme est de rigueur, il permet d’avancer justement. Présentement respirons.
Notre souffle est la Vie. Il nettoie les résidus nocifs et nous connecte à notre Moi. Nous avons le choix de choisir notre vie. Il nous appartient de remonter la pente, et de relativiser quoi qu’il nous arrive. 

Chaque incarnation représente une aventure. C’est une exploration de tous les instants de notre vie avec des découvertes spectaculaires, drôles, tristes, émouvantes… Nos émotions ne peuvent que bien s’exprimer. La mission qui nous est donnée est taillée sur mesure pour que la satisfaction et la joie qui en résultent soient teintées de magie. Ces bonheurs qui chaque fois nous montrent que la Vie est un fabuleux trésor.

lutin-31 dans HUMANITETrouver son équilibre, s’aligner sont les priorités individuelles pour bien vivre ensemble.
Passer à l’action, oser se découvrir sont les aspects d’une évolution de sa conscience.
Vivre l’instant présent, positiver et demander de l’aide, c’est  s’accorder les pleins pouvoirs pour aller son chemin. Le reste n’en sera qu’immensité, joie et bonheur.

Que la Foi soit en nous pour aujourd’hui et pour toujours.

Pour mieux connaître ou communiquer avec Samira cliquer sur L’ETRE EN CHEMIN
Source: LaPresseGalactique.com

Publié dans:ASCENSION, HUMANITE, VIES ANTERIEURES |on 28 octobre, 2012 |Pas de commentaires »
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