Archive pour la catégorie 'SOCIETE'

Des pensées de Allan Kardec

 

images (5)Celui qui ne connaîtrait en fait de magnétisme terrestre que le jeu des petits canards aimantés qu’on fait manoeuvrer sur l’eau d’une cuvette, pourrait difficilement comprendre que ce joujou renferme le secret du mécanisme de l’univers et du mouvement des mondes. Il en est de même de celui qui ne connaît du spiritisme que le mouvement des tables ; il n’y voit qu’un amusement, un passe-temps de société, et ne comprend pas que ce phénomène si simple et si vulgaire, connu de l’antiquité et même des peuples à demi sauvages, puisse se rattacher aux questions les plus graves de l’ordre social. Pour l’observateur superficiel, en effet, quel rapport une table qui tourne peut-elle avoir avec la morale et l’avenir de l’humanité ? Mais quiconque réfléchit, se rappelle que de la simple marmite qui, elle aussi, a bouilli de toute antiquité, est sorti le puissant moteur avec lequel l’homme franchit l’espace et supprime les distances. Eh bien ! vous, qui ne croyez à rien en dehors du monde matériel, sachez donc que de cette table qui tourne et provoque vos sourires dédaigneux, est sortie toute une science ainsi que la solution des problèmes qu’aucune philosophie n’avait encore pu résoudre. J’en appelle à tous les adversaires de bonne foi, et je les adjure de dire s’ils se sont donné la peine d’étudier ce qu’ils critiquent ; car, en bonne logique, la critique n’a de valeur qu’autant que celui qui la fait connaît ce dont il parle. Se railler d’une chose qu’on ne connaît pas, qu’on n’a pas sondée avec le scalpel de l’observateur consciencieux, ce n’est pas critiquer, c’est faire preuve de légèreté et donner une pauvre idée de son propre jugement. Assurément, si nous eussions présenté cette philosophie comme étant l’oeuvre d’un cerveau humain, elle eût rencontré moins de dédains, et aurait eu les honneurs de l’examen de ceux qui prétendent diriger l’opinion ; mais elle vient des Esprits ; quelle absurdité ! C’est à peine si elle mérite un de leurs regards ; on la juge sur le titre, comme le singe de la fable jugeait la noix sur l’écorce. Faites, si vous le voulez, abstraction de l’origine ; supposez que ce livre soit l’oeuvre d’un homme, et dites en votre âme et conscience si, après l’avoir lu sérieusement, vous y trouvez matière à raillerie.

Le spiritisme est l’antagoniste le plus redoutable du matérialisme ; il n’est donc pas étonnant qu’il ait les matérialistes pour adversaires ; mais comme le matérialisme est une doctrine que l’on ose à peine avouer (preuve que ceux qui la professent ne se croient pas bien forts, et qu’ils sont dominés par leur conscience), ils se couvrent du manteau de la raison et de la science ; et, chose bizarre, les plus sceptiques parlent même au nom de la religion qu’ils ne connaissent et ne comprennent pas mieux que le spiritisme. Leur point de mire est surtout le merveilleux et le surnaturel qu’ils n’admettent pas ; or, selon eux, le spiritisme étant fondé sur le merveilleux, ne peut être qu’une supposition ridicule. Ils ne réfléchissent pas qu’en faisant, sans restriction, le procès du merveilleux et du surnaturel, ils font celui de la religion ; en effet, la religion est fondée sur la révélation et les miracles ; or, qu’est-ce que la révélation, sinon des communications extra-humaines ? Tous les auteurs sacrés, depuis Moïse, ont parlé de ces sortes de communications. Qu’est-ce que les miracles sinon des faits merveilleux et surnaturels par excellence, puisque ce sont, dans le sens liturgique, des dérogations aux lois de la nature ? Donc, en rejetant le merveilleux et le surnaturel, ils rejettent les bases mêmes de la religion. Mais ce n’est pas à ce point de vue que nous devons envisager la chose. Le spiritisme n’a pas à examiner s’il y a ou non des miracles, c’est-à-dire si Dieu a pu, dans certains cas, déroger aux lois éternelles qui régissent l’univers ; il laisse, à cet égard, toute liberté de croyance ; il dit et il prouve que les phénomènes sur lesquels il s’appuie n’ont de surnaturel que l’apparence ; ces phénomènes ne sont tels aux yeux de certaines gens que parce qu’ils sont insolites et en dehors des faits connus ; mais ils ne sont pas plus surnaturels que tous les phénomènes dont la science donne aujourd’hui la solution, et qui paraissaient merveilleux à une autre époque. Tous les phénomènes spirites, sans exception, sont la conséquence de lois générales ; ils nous révèlent une des puissances de la nature, puissance inconnue, ou pour mieux dire incomprise jusqu’ici, mais que l’observation démontre être dans l’ordre des choses. Le spiritisme repose donc moins sur le merveilleux et le surnaturel que la religion elle-même ; ceux qui l’attaquent sous ce rapport, c’est donc qu’ils ne le connaissent pas, et fussent-ils les hommes les plus savants, nous leur dirons : si votre science, qui vous a appris tant de choses, ne vous a pas appris que le domaine de la nature est infini, vous n’êtes savants qu’à demi.

Vous voulez, dites-vous, guérir votre siècle d’une manie qui menace d’envahir le monde. Aimeriez-vous mieux que le monde fût envahi par l’incrédulité que vous cherchez à propager ? N’est-ce pas à l’absence de toute croyance qu’il faut attribuer le relâchement des liens de famille et la plupart des désordres qui minent la société ? En démontrant l’existence et l’immortalité de l’âme, le spiritisme ranime la foi en l’avenir, relève les courages abattus, fait supporter avec résignation les vicissitudes de la vie ; oseriez-vous appeler cela un mal ? Deux doctrines sont en présence : l’une qui nie l’avenir, l’autre qui le proclame et le prouve ; l’une qui n’explique rien, l’autre qui explique tout et par cela même s’adresse à la raison ; l’une est la sanction de l’égoïsme, l’autre donne une base à la justice, à la charité et à l’amour de ses semblables ; la première ne montre que le présent et anéantit toute espérance, la seconde console et montre le vaste champ de l’avenir ; quelle est la plus pernicieuse ?
Certaines gens, et parmi les plus sceptiques, se font les apôtres de la fraternité et du progrès ; mais la fraternité suppose le désintéressement, l’abnégation de la personnalité ; avec la véritable fraternité, l’orgueil est une anomalie. De quel droit imposez-vous un sacrifice à celui à qui vous dites que quand il est mort tout est fini pour lui ; que demain peut-être il ne sera pas plus qu’une vieille machine disloquée et jetée à la borne ? Quelle raison a-t-il de s’imposer une privation quelconque ? N’est-il pas plus naturel que pendant les courts instants que vous lui accordez, il cherche à vivre le mieux possible ? De là le désir de posséder beaucoup pour mieux jouir ; de ce désir naît la jalousie contre ceux qui possèdent plus que lui ; et de cette jalousie à l’envie de prendre ce qu’ils ont, il n’y a qu’un pas. Qu’est-ce qui le retient ? Est-ce la loi ? Mais la loi n’atteint pas tous les cas. Direz-vous que c’est la conscience, le sentiment du devoir ? Mais sur quoi basez-vous le sentiment du devoir ? Ce sentiment a-t-il une raison d’être avec la croyance que tout finit avec la vie ? Avec cette croyance une seule maxime est rationnelle : chacun pour soi ; les idées de fraternité, de conscience, de devoir, d’humanité, de progrès même, ne sont que de vains mots. Oh ! vous qui proclamez de semblables doctrines, vous ne savez pas tout le mal que vous faites à la société, ni de combien de crimes vous assumez la responsabilité ! Mais que parlé-je de responsabilité ? Pour le sceptique, il n’y en a point ; il ne rend hommage qu’à la matière.

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES, ESPRITS, SOCIETE |on 25 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’homme n’est point fatalement conduit au mal

 

images (31)La question du libre arbitre peut se résumer ainsi : L’homme n’est point fatalement conduit au mal ; les actes qu’il accomplit ne sont point écrits d’avance ; les crimes qu’il commet ne sont point le fait d’un arrêt du destin. Il peut, comme épreuve et comme expiation, choisir une existence où il aura les entraînements du crime, soit par le milieu où il se trouve placé, soit par des circonstances qui surviennent, mais il est toujours libre d’agir ou de ne pas agir. Ainsi le libre arbitre existe à l’état d’Esprit dans le choix de l’existence et des épreuves, et à l’état corporel dans la faculté de céder ou de résister aux entraînements auxquels nous nous sommes volontairement soumis. C’est à l’éducation à combattre ces mauvaises tendances ; elle le fera utilement quand elle sera basée sur l’étude approfondie de la nature morale de l’homme. Par la connaissance des lois qui régissent cette nature morale, on parviendra à la modifier, comme on modifie l’intelligence par l’instruction et le tempérament par l’hygiène.

L’Esprit dégagé de la matière, et à l’état errant, fait choix de ses existences corporelles futures selon le degré de perfection auquel il est arrivé, et c’est en cela, comme nous l’avons dit, que consiste surtout son libre arbitre. Cette liberté n’est point annulée par l’incarnation ; s’il cède à l’influence de la matière, c’est qu’il succombe sous les épreuves mêmes qu’il a choisies, et c’est pour l’aider à les surmonter qu’il peut invoquer l’assistance de Dieu et des bons Esprits. 

Sans le libre arbitre l’homme n’a ni tort dans le mal, ni mérite dans le bien ; et cela est tellement reconnu que, dans le monde, on proportionne toujours le blâme ou l’éloge à l’intention, c’est-à-dire à la volonté ; or, qui dit volonté dit liberté. L’homme ne saurait donc chercher une excuse de ses méfaits dans son organisation, sans abdiquer sa raison et sa condition d’être humain, pour s’assimiler à la brute. S’il en était ainsi pour le mal, il en serait de même pour le bien ; mais quand l’homme fait le bien, il a grand soin de s’en faire un mérite, et n’a garde d’en gratifier ses organes, ce qui prouve qu’instinctivement il ne renonce pas, malgré l’opinion de quelques systématiques, au plus beau privilège de son espèce : la liberté de penser.

La fatalité, telle qu’on l’entend vulgairement, suppose la décision préalable et irrévocable de tous les événements de la vie, quelle qu’en soit l’importance. Si tel était l’ordre des choses, l’homme serait une machine sans volonté. A quoi lui servirait son intelligence, puisqu’il serait invariablement dominé dans tous ses actes par la puissance du destin ? Une telle doctrine, si elle était vraie, serait la destruction de toute liberté morale ; il n’y aurait plus pour l’homme de responsabilité, et par conséquent ni bien, ni mal, ni crimes, ni vertus. Dieu, souverainement juste, ne pourrait châtier sa créature pour des fautes qu’il n’aurait pas dépendu d’elle de ne pas commettre, ni la récompenser pour des vertus dont elle n’aurait pas le mérite. Une pareille loi serait en outre la négation de la loi du progrès, car l’homme qui attendrait tout du sort ne tenterait rien pour améliorer sa position, puisqu’il n’en serait ni plus ni moins.

La fatalité n’est pourtant pas un vain mot ; elle existe dans la position que l’homme occupe sur la terre et dans les fonctions qu’il y remplit, par suite du genre d’existence dont son Esprit a fait choix, comme épreuveexpiation ou mission ; il subit fatalement toutes les vicissitudes de cette existence, et toutes les tendances bonnes ou mauvaises qui y sont inhérentes ; mais là s’arrête la fatalité, car il dépend de sa volonté de céder ou non à ces tendances. Le détail des événements est subordonné aux circonstances qu’il provoque lui-même par ses actes, et sur lesquelles peuvent influer les Esprits par les pensées qu’ils lui suggèrent. 

La fatalité est donc dans les événements qui se présentent, puisqu’ils sont la conséquence du choix de l’existence fait par l’Esprit ; elle peut ne pas être dans le résultat de ces événements, puisqu’il peut dépendre de l’homme d’en modifier le cours par sa prudence ; elle n’est jamais dans les actes de la vie morale.

C’est dans la mort que l’homme est soumis d’une manière absolue à l’inexorable loi de la fatalité ; car il ne peut échapper à l’arrêt qui fixe le terme de son existence, ni au genre de mort qui doit en interrompre le cours.

Selon la doctrine vulgaire, l’homme puiserait tous ses instincts en lui-même ; ils proviendraient, soit de son organisation physique dont il ne saurait être responsable, soit de sa propre nature dans laquelle il peut chercher une excuse à ses propres yeux, en disant que ce n’est pas sa faute s’il est ainsi fait. La doctrine spirite est évidemment plus morale : elle admet chez l’homme le libre arbitre dans toute sa plénitude ; et en lui disant que s’il fait mal, il cède à une mauvaise suggestion étrangère, elle lui en laisse toute la responsabilité, puisqu’elle lui reconnaît le pouvoir de résister, chose évidemment plus facile que s’il avait à lutter contre sa propre nature. Ainsi, selon la doctrine spirite, il n’y a pas d’entraînement irrésistible : l’homme peut toujours fermer l’oreille à la voix occulte qui le sollicite au mal dans son for intérieur, comme il peut la fermer à la voix matérielle de celui qui lui parle ; il le peut par sa volonté, en demandant à Dieu la force nécessaire, et en réclamant à cet effet l’assistance des bons Esprits. C’est ce que Jésus nous apprend dans la sublime prière de l’Oraison dominicale, quand il nous fait dire :  » Ne nous laissez pas succomber à la tentation, mais délivrez-nous du mal. « 

Cette théorie de la cause excitante de nos actes ressort évidemment de tout l’enseignement donné par les Esprits ; non seulement elle est sublime de moralité, mais nous ajouterons qu’elle relève l’homme à ses propres yeux ; elle le montre libre de secouer un joug obsesseur, comme il est libre de fermer sa maison aux importuns ; ce n’est plus une machine agissant par une impulsion indépendante de sa volonté, c’est un être de raison, qui écoute, qui juge et qui choisit librement entre deux conseils. Ajoutons que, malgré cela, l’homme n’est point privé de son initiative ; il n’en agit pas moins de son propre mouvement, puisqu’en définitive il n’est qu’un Esprit incarné qui conserve, sous l’enveloppe corporelle, les qualités et les défauts qu’il avait comme Esprit. Les fautes que nous commettons ont donc leur source première dans l’imperfection de notre propre Esprit, qui n’a pas encore atteint la supériorité morale qu’il aura un jour, mais qui n’en a pas moins son libre arbitre ; la vie corporelle lui est donnée pour se purger de ses imperfections par les épreuves qu’il y subit, et ce sont précisément ces imperfections qui le rendent plus faible et plus accessible aux suggestions des autres Esprits imparfaits, qui en profitent pour tâcher de le faire succomber dans la lutte qu’il a entreprise. S’il sort vainqueur de cette lutte, il s’élève ; s’il échoue, il reste ce qu’il était, ni plus mauvais, ni meilleur : c’est une épreuve à recommencer, et cela peut durer longtemps ainsi. Plus il s’épure, plus ses côtés faibles diminuent, et moins il donne de prise à ceux qui le sollicitent au mal ; sa force morale croît en raison de son élévation, et les mauvais Esprits s’éloignent de lui.

Tous les Esprits, plus ou moins bons, alors qu’ils sont incarnés, constituent l’espèce humaine ; et, comme notre terre est un des mondes les moins avancés, il s’y trouve plus de mauvais Esprits que de bons, voilà pourquoi nous y voyons tant de perversité. Faisons donc tous nos efforts pour n’y pas revenir après cette station, et pour mériter d’aller nous reposer dans un monde meilleur, dans un de ces mondes privilégiés où le bien règne sans partage, et où nous ne nous souviendrons de notre passage ici-bas que comme d’un temps d’exil. 

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ESPRITS, POSSESSION, SOCIETE |on 17 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Les cages de l’âme

 

Sting par Catherine Nivez

Les cages de l'âme dans AME images-9Comment une star mondiale de la musique, acteur à ses heures et père de famille nombreuse (cinq enfants) est-il arrivé à une réflexion originale sur la vie et la mort, sur le système médiatique et ses travers ? Depuis de nombreuses années, Sting nous chante son idée de l’homme et de l’âme (par exemple dans “The Soul Cages”, Les prisons de l’âme, l’album dédié à son père, mort en 1987).Un jour, au cours d’une tournée mondiale, il avait livré à Nouvelles Clés sa réflexion sur le monde et sur l’homme, sa partition interne, ses satisfactions, ses craintes… Un entretien londonien et familial dans la maison qui fut celle de Yehudi Menuhin pendant vingt cinq ans, avant de devenir celle de Sting. Du maître a l’élève… sans maître.

Nouvelles Clés : Comment vivez-vous la célébrité ?

Sting : C’est un immense amplificateur. Elle amplifie les émotions des gens, positivement ou négativement ; les gens peuvent aimer ou complètement détester ce que tu fais et les deux sentiments sont toujours exagérés. Quand on est connu, on attire toujours beaucoup l’attention sur soi et sur son travail… Si je suis en colère contre quelqu’un dans ma vie privée par exemple, ça prend tout de suite des tournures d’affaire d’État : “Oh ! Sting est en colère contre moi, c’est atroce !” Si je suis gentil avec quelqu’un, c’est aussi très important ; tout est donc plus grand que la vie. Ce qui est primordial dans ces conditions, c’est de garder un regard objectif sur soi, de rester petit à l’intérieur et de comprendre que les gens projettent sans arrêt sur vous des sentiments démesurés. Personnellement, je m’épargne cette distorsion par une connaissance réelle des mécanismes en jeu. J’ai eu de la chance, je suis devenu célèbre sur le tard. J’avais déjà vingt-six ans, un travail, une famille, un crédit à la banque, j’étais un citoyen responsable. D’autres deviennent célèbres alors qu’ils sont encore des enfants et ils n’ont pas forcément la possibilité de se développer, de grandir. En fait, le star-system encourage non pas à grandir mais à rester un enfant toute sa vie. Cela peut être très préjudiciable du point de vue psychologique. Je détesterais être complètement pris en charge et prétendre que je suis plus jeune que mon âge pour faire mon travail.

N. C. : Vous avez souvent dit que vous n’étiez ni religieux ni mystique. Pourtant, à la lecture des paroles de vos chansons, on pourrait le penser.

Sting : Vous savez, j’ai toujours été très intéressé et passionné par la symbolique des choses, j’ai toujours été très intrigué par la puissance des symboles. Mon éducation est catholique et la symbolique de l’Église catholique est très forte, très très puissante : la mort, le sang, la culpabilité, la torture, l’enfer… C’est une excellente base, une source pour la création artistique. Certains des grands artistes mondiaux viennent de ce genre d’imagerie et l’utilisent, comme
Michel Ange ! Qui plus est, les catholiques romains sont minoritaires en Angleterre…

Additionnez tous ces symboles et vous avez quelque chose de très “culte” en Angleterre. Cela me fascine et ça se sent peut-être dans ma musique. C’est aussi la raison pour laquelle je m’intéresse tant à CarI Gustav Jung. Il m’a permis de mieux comprendre la force du symbolisme. Ce que j’ai, par exemple, essayé de faire dans le disque dédié à mon père, fut de mythifier sa mort de telle sorte que je puisse l’accepter. J’ai été très choqué, affectivement et professionnellement, par sa disparition. Notre société moderne n’a, je pense, pas beaucoup de mythes, nous ne nous occupons pas de questions importantes comme la mort. Les mythes des sociétés primitives ont par contre toujours aidé à comprendre la mort en la plaçant sur un piédestal ; j’ai essayé d’avoir la même démarche : placer la mort de mon père sur un grand écran, la rendre symbolique, héroïque et de cette façon, tenter de mieux la comprendre, de la percevoir objectivement. Partant de là, je ne sais pas si je suis religieux ou pas. Certains ont dit que je faisais de l’anti-christianisme, ce qui est un non-sens absolu. Certaines de mes chansons sont pro-chrétiennes, d’autres s’inscrivent plutôt dans la recherche de vieux symboles comme la mer, la rivière, dans leur continuité et leur pérennité. Ces symboles que les anciennes religions entretenaient n’existent plus dans les religions plus récentes comme le christianisme qui a décidé que Dieu n’était pas dans la nature. C’est un nouveau concept et je ne suis pas sûr qu’il soit très sain. Si Dieu existe en-dehors de toute existence naturelle, alors où est-il ? On pourrait alors détruire la terre et ne pas commettre de péché ? Je pense qu’on est là dans l’erreur profonde et que les anciennes religions étaient plus près de la vérité.

N. C. : Êtes-vous bouddhiste ?

Sting : Je ne sais pas ce que je suis au fond de moi. Je suis un musicien, un musicien dévoué… (rire).

N. C. : Vous êtes un musicien qui s’intéresse beaucoup à l’homme et à l’inconscient. Vous avez été en analyse pendant quelques temps. L’êtes-vous toujours, et qu ‘est-ce que cette expérience vous a apporté ?

Sting : J’ai effectivement fait une psychanalyse au début des années 80, mais depuis, j’ai décidé que je serai mon propre psychanalyste. D’abord parce qu’on économise beaucoup d’argent (rire), particulièrement à New York, où les analystes sont plus riches que les avocats… et en­ suite parce que je suis un sujet intéressant pour moi-même. Je crois que pour essayer de rendre le monde meilleur, il faut d’abord se changer soi, se rendre meilleur… C’est toujours mon projet : essayer de me rendre sain dans un monde qui ne l’est pas.

N. C. : À une époque, vous avez joué, à Broadway, dans “L’Opéra de Quat’Sous” de Bertolt Brecht. N’avez-vous jamais eu envie de vraiment jouer la comédie ? Une nouvelle expérience…

Sting : J’ai plus appris avec la pièce dont vous parlez qu’en faisant douze films ! Pour l’écran, vous jouez une scène de quinze secondes que vous refaites dix fois, puis un autre scène de dix secondes etc. Ensuite, le montage donne un sens à tout ça. Sur la scène d’un théâtre, vous pouvez jouer pendant vint minutes non-stop, le public vous regarde, vous devez être drôle ou non, vous faire comprendre du premier coup ; c’est une discipline plus grande, plus exigeante. Le cinéma peut être très ennuyeux, il faut toujours attendre, le théâtre n’a rien à voir avec ça : à 20h le rideau se lève et on joue, c’est beaucoup plus proche de mon travail musical sur scène… Vous savez, quand on se sent triste ou fatigué et que des milliers de personnes vous accueillent chaleureusement pour un concert, on se sent toujours beaucoup mieux et il n’est pas nécessaire de faire semblant. Personnellement, je pense qu’il est très difficile de mentir à quelqu’un avec qui tu parles ou pour qui tu joues. C’est totalement contradictoire de se montrer en public et de se cacher du public… C’est même impossible. Mais cela n’empêche qu’il faille, dans ce métier, savoir se protéger et mettre quelquefois un masque devant les caméras. S’exposer totalement aux médias peut te détruire complètement. C’est plus sain d’avoir un masque, ce qui veut dire aussi : distance, méfiance, froid ; mais au moins, cela te permet d’évoluer et de grandir sans top de problèmes, comme n’importe quel être humain. J’ai cinq enfants, un chien, un jolie maison, une femme merveilleuse et… j’ai beaucoup de chance. Pour être très honnête, je n’ai aucune raison de me cacher ou d’être malheureux et la façon dont je me présente sur scène est cet homme-là. Je suis beaucoup plus heureux avec moi-même que je ne l’ai jamais été. Je pense que je suis plus mature, j’ai compris et réalisé qui je suis, ce que je suis et je suis plutôt heureux comme ça.

Je dois dire que ma musique a toujours été une thérapie, depuis les toutes premières compositions. Elle me fait me sentir moins seul, me met en contact avec quelque chose. Oui, c’est une bonne thérapie. Si je médite, si je me concentre profondément, je peux ensuite écrire un chanson sur telle ou telle chose. C’est ma forme de méditation. Encore une fois, je ne suis pas religieux, ni mystique ; ou plutôt, la musique est ma forme de mysticisme, ma méditation.

N. C. : Dans les années 90, vous avez séjourné en Normandie, dans la chambre d’un hôtel où Marcel Proust avait vécu… Pour I’inspiration ?

Sting : En fait, j’ai écrit une chanson dans cette chambre : “AlI this Time”, une chanson sur une rivière. Au moment de mon passage en Normandie, quelqu’un m’a dit que Marcel Proust avait longtemps vécu dans cet hôtel. Ça m’a intéressé, j’y suis allé, j’ai regardé la chambre, la mer et j’ai eu envie d’écrire cette chanson, mais je n’invitais pas Proust à venir m’inspirer. Non… ou peut être que si, finalement, je ne sais pas, mais en tout cas, ce n’était pas conscient.

N. C. : Est-ce que vous aimeriez écrire des romans ?

Sting : J’ai commencé un peu, j’ai écrit quelques nouvelles (rire). Mais ce que je semble être capable de faire jusqu’à présent est l’opposé du roman : condenser les idées dans de petites chansons alors que l’écrivain développe une idées sur la longueur. J’aimerais vraiment écrire un jour, mais je le ferai sous un autre nom; je ne ferai pas un roman de Sting, ça me tuerait.

N. C. : Avant d’être le musicien que l’on connaît, vous étiez instituteur dans le nord de l’Angleterre. L’enseignement ne vous a jamais manqué ?

Sting : Je pense que dans un sens, j’enseigne toujours. Mais dans une classe d’école, enseigner n’existe pas, c’est apprendre qui est possible. Le professeur est seulement là pour encourager l’apprentissage. Les gens apprennent à travers le jeu, à travers la joie ; je suis toujours quelque part le même enseignant que j’étais, je cite toujours mes sources, qu’elles soient littéraires ou autres, je cite toujours les références qui ont pu m’inspirer pour que les gens puissent y aller à travers ma musique, pour que mon travail les renvoie sur autre chose et leur fasse peut-être découvrir autre chose. Cela dit, je ne tiens pas à l’étiquette d’enseignant.

N. C. : Quelle est la meilleure chose que votre père vous ait humainement enseigné ?

Sting : Mon père ? Eh bien il me donnait parfois des conseils très étranges comme : “Ne te marie jamais” ou “Va à la mer”.

Il me disait ça tout le temps, “Va à la mer !”

Mon histoire a voulu que le lendemain de mon premier mariage je rejoigne la marine ; je travaillais sur un bateau comme musicien. Mais en fait, je n’ai jamais suivi les conseils de mon père, jamais…

N. C. : Vous êtes aujourd’hui le père de cinq enfants… Pensez-vous qu’il soit difficile pour un enfant d’avoir des parents connus ?

Sting : Oui, certainement. En fait, ils gèrent deux sentiments. D’un côté ils sont très fiers de moi et de l’autre, il aimeraient quelquefois que je travaille dans une banque ou n’importe ou comme n’importe quel père. Ils souffrent un peu de la distorsion du succès. Si je vais les chercher à l’école et que leurs copains de classe me demandent des autographes, ils ne comprennent pas parce que, là, je suis simplement un papa qui vient chercher ses enfants. Mais en même temps, ils sont très fiers de moi. C’est donc un peu compliqué d’avoir des parents connus. Mon père aussi était très connu : il était le vendeur de lait à Newcastle, tout le monde le connaissait, mais pour moi c’est pire : mes gosses me voient à la télévision, c’est une tare héréditaire qui s’amplifie (rire) !

Cela dit, mes enfants sont conscients de leurs privilèges ; ils voyagent beaucoup, ont déjà vu une grande partie du monde, ont un sens géopolitique très développé, sont très éduqués. Mais posez-leur la question dans vingt ans.

N. C. : Vous parlez beaucoup de votre vie de famille, de vous, de vos enfants. Comment vous imaginez-vous l’avenir ?

Sting : L’un des grands avantages de la musique est qu’il y a toujours quelque chose à apprendre. Que tu t’appelles Paul Mc Cartney ou Ravel, tu n’en sais jamais assez. J’ai rencontré l’arrangeur Gil Evans dans les dernières années de sa vie, j’ai eu une relation très privilégiée avec lui, c’était comme si j’avais trouvé un nouveau père. Il avait soixante-seize ans et a toujours gardé son esprit grand ouvert. Voilà ce que j’aimerais être : un étudiant de la musique pour toujours. Je pense que ce serait un très grand privilège.

N. C. : Vous êtes également connu pour votre engagement dans les grandes causes humanitaires, comme les droits de l’homme avec Amnesty International, l’écologie et fa protection de l’Amazonie, ou encore votre soutien aux Kurdes. La musique peut-elle être politique ?

Sting : Attention ! Je ne suis pas un politicien, je n’ai pas de solution.

images-10 dans ESPRITSCe que je peux seulement faire, c’est rassembler un peu d’argent en faisant un concert pour payer de la nourriture ou du matériel aux personnes sinistrées. Mais le problème n’est pas là, le problème n’est pas de notre ressort, il est politique. Le danger avec la musique et les problèmes politiques, c’est que les gens ont l’impression que la musique peut régler et guérir ces problèmes. Un remède pop ! “Oh, Sting donne un concert ! Super !” On pense alors qu’il n’y a plus de problème ou qu’il ne se pose plus dans les mêmes termes. Vous vous souvenez de « Live aid” ? Une manifestation merveilleuse, très médiatisée, mais qui n’a aidé qu’un tout petit peu ; les gens ont toujours faim. Ce qui manque, c’est le changement de politique des gouvernements. Pour ma part, Je n’ai qu’un très petit pouvoir et je ne suis pas un expert. Si quelqu’un prend conscience d’un problème à travers une chanson, tant mieux ! Avec un peu de chance, cette prise de conscience pourra l’amener à lire les journaux, à se renseigner sur la politique. Mais ce genre de réaction n’est pas immédiate, c’est de la prise de conscience à long terme. Il serait totalement naïf de penser que le succès peut changer le monde, mais disons qu’en s’en servant on peut éventuellement faire évoluer les choses.

Site officiel :   www.sting.com

Publié dans:AME, ESPRITS, SOCIETE |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Quelques clés pratiques pour le développement spirituel


Par Alain Boudet du site http://www.spirit-science.fr/doc_spirit/spiritualite.html

Quelques clés pratiques pour le développement spirituel dans MAITRISE insolite-5

De nombreuses écoles de sagesse, inspirées par l’Orient, l’Égypte ou le druidisme, ont diffusé dans les siècles passés des enseignements destinés à reconnecter les êtres à leur essence et à leur révéler les mystères de l’univers. Aujourd’hui les rites, les rituels, les règles, les codes et les secrets ne sont plus adéquats à l’humanité actuelle. Les réponses que vous cherchez reposent en vous. Les seules pratiques spirituelles recommandées sont celles qui vous éveillent à votre vérité. En voici quelques-unes qui peuvent vous aider dans votre évolution, et que vous adopterez si elles vous conviennent.

L’attention aux sentiments

Dans votre quotidien, arrêtez-vous de temps en temps sur vos sentiments et émotions. Observez-les. Accueillez-les. Puis demandez-vous ce qu’ils cherchent à vous dire. Lorsque des sentiments négatifs (ou plus exactement de basse énergie) tels que tristesse, chagrin, colère, mélancolie vous habitent, remettez-les mentalement à la lumière (ou avec un geste symbolique). Vous imaginez que vous les tenez dans vos mains et que vous les redonnez au soleil, ou à un être de lumière, à une divinité tel que la Mère Terre, la Mère Divine, Dieu, l’archange Michaël, les anges, les esprits, etc, en fonction de votre culture, de vos croyances et de vos attirances. Un peu comme on remet un appareil en panne au spécialiste pour qu’il s’en occupe. Vous n’êtes pas obligés de vous occuper de tout. Vous pouvez confier vos difficultés à d’autres énergies.

La pensée juste

Dans votre quotidien, efforcez-vous de porter votre attention à vos pensées, et orientez-les vers l’authenticité, la sincérité, la vérité, la liberté, la paix, l’amour et l’abondance. Évitez la critique ou le jugement sur vous, sur les autres, sur les médias, sur ce qui vient de l’extérieur. Cela ne signifie pas que vous n’avez pas une avis sur la situation. Ce qui est important, c’est le sentiment qui est associé à l’avis. Est-ce de la colère, de l’amertume ou de la sérénité? Si des pensées négatives reviennent avec persistance, remettez-les à une énergie de lumière de la même façon que les sentiments négatifs.

Dans le cas de sentiments et de pensées négatives sur soi, il est recommandé de déverser amour, tendresse et compassion sur vous-même, comme vous le feriez à un enfant.

Gratitude et joie

Dans la journée, exercez-vous à repérer ce qui vous a plu et ce qui vous a causé de la joie, que ce soit une petite joie fugitive et souvent inaperçue de quelques secondes ou une grande joie. Quelles que soient vos difficultés du quotidien, vous découvrirez, si vous voulez bien y prêter attention, que la vie vous offre beaucoup de petits cadeaux, ainsi que beauté, générosité et témoignages d’amour. Ajoutez-y une pensée de reconnaissance. Remercier est une façon d’alimenter l’Essence en nous et de lui donner une place croissante. Exprimez le plus possible la joie, la sérénité et l’amour.

Abandonnez-vous à la Vie

S’abandonner à son être intérieur et suivre le courant de vie, c’est adopter une attitude de service envers la Source intérieure, quels que soient les chemins qu’elle emprunte et les circonstances qui les accompagnent. Cessez de lutter et mettez-vous à sa disposition. Notre Source intérieure est le poste avancé d’une source plus grande, une Source solaire (voir article L’âme et l’Univers). C’est donc aussi servir et se mettre à disposition de cette Source. Toutefois, il ne s’agit pas d’une attitude servile sans discernement, mais d’une harmonie joyeuse avec notre Essence. Il s’agit plus d’un état de réceptivité que d’une action.

Élevez votre âme

Nourrissez votre conscience en lisant des textes qui vous inspirent. Évitez les actualités télévisées. Contemplez et communiez avec la nature. Pratiquez un art sans souci du résultat, comme un enfant qui joue avec la matière, la couleur, le son, la voix, le corps.

Respiration profonde

La respiration est l’un des moyens les plus puissants pour entrer en contact avec notre être intérieur. Elle fait le lien entre notre conscient et notre inconscient, entre le corps et l’esprit. Installez-vous confortablement et respirez tranquillement en observant votre respiration. Imaginez l’air qui entre dans tout votre corps, et qui s’installe partout jusqu’au bout des membres. Arrêtez-vous entre l’inspiration et l’expiration, entre l’expiration et l’inspiration. Faites cet exercice assez longtemps pour constater son effet. D’abord 5 min, puis jusqu’à 30 min ou plus. Faites-le régulièrement. C’est une forme de méditation.

Méditation

Méditer n’est pas réfléchir. C’est se mettre en état de réceptivité vis-à-vis de son état intérieur. On détourne son attention de l’extérieur pour devenir observateur de son monde intérieur. Par ce fait, on peut ouvrir la communication intime avec sa propre essence. On n’émet pas de jugement sur cet état intérieur, qui peut se présenter comme un calme plat, ou avec sensations, sentiments, émotions, et pensées diverses plus ou moins tumultueuses. On accueille et on laisse passer. Avec le temps et la pratique, se produisent au cours de la méditation une distanciation vis-à-vis des pensées, des émotions et des sensations physiques, une détente du corps physique et un élargissement des corps subtils. Cela profite au système nerveux toujours sursollicité, au cerveau, aux glandes endocrines, qui peuvent ainsi se régulariser.

Installez-vous confortablement. Commencez par un moment de respiration profonde afin d’occuper le mental jusqu’à ce qu’il soit calmé. La présence d’une bougie allumée est favorable, ainsi que le nettoyage vibratoire préalable de la pièce par de l’encens. Vous pouvez suivre votre respiration et peu à peu laisser le silence et le calme vous envahir afin d’écouter les battements de votre cœur. De 15 min à 1 heure, selon votre sensation.

Visualisation

La visualisation consiste à imaginer un scénario se déroulant en nous, dans le but d’aider le mental à coopérer à la méditation ou à la prière (voir article Le pouvoir de l’imaginaire). Par exemple, il est bon de préparer la méditation en visualisant les couleurs qui nourrissent et équilibrent les chakras, successivement de bas en haut (voir article Nature de la couleur). Certaines méditations-visualisations sont proposées dans ce site: J’invite la lumière en moiLa clé de communication avec les plans de lumièreRéactiver la merkabah.

Chant et mantras

Le chant est un excellent moyen d’entrer en communication avec le Soi, à condition qu’il ne fasse que très peu appel au mental. Cela est réalisé lorsque nous chantons sans mots, seulement avec des sons tels que des voyelles, ou avec un texte répétitif inspirant et élevant qui ne nécessite pas d’effort de mémoire. C’est par exemple le cas avec les mantras, textes courts sacrés issus de diverses traditions, comme le Kyrie Eleison chrétien ou le Om, ou encore Om Nama Shivaya indiens. Les vibrations du son pénètrent profondément dans le corps et dans les cellules (voir article Résonance corporelles des sons). Elles éveillent certains codes des cellules ou de l’ADN, codes qui s’activent seulement dans le processus d’éveil (voir articles Codes, mémoires et information et L’ADN et ses modes d’expression).

Géométrie sacrée

Certains types de figures et de pictogrammes, ainsi que les couleurs, agissent de la même façon que les sons en éveillant les codes cellulaires. Pour les recevoir, on se laisse imprégner par leur beauté en les contemplant. Par exemple dans l’article sur les diagrammes de champ, contemplez le diaporama inclus. (Voir aussi les pictogrammes Langages de lumière de Stéphane Cavé)

Prière

La prière n’est pas, comme on le croit communément, le simple fait de réciter mécaniquement un texte. Ce n’est pas non plus une demande faite à un Dieu tout puissant, comme un enfant demande à un parent de le protéger. C’est un dialogue avec votre Source intérieure et la Source élevée dont elle est le poste avancé, comme on dialogue avec un ami. Le dialogue peut se faire avec des mots, des mots appris ou spontanés, ou sans mots, par la pensée et l’intention. Une prière exprime une intention. Cela peut être l’intention d’apaiser vos ombres, de faire la paix, de réaliser la lumière en vous, d’être guidé de la meilleure façon, etc. C’est un travail de collaboration, de cocréation. Il se fait dans la gratitude, ce qui signifie que la demande d’aide est associée à un abandon total de ce qui en résulte. Il n’y a pas d’attente d’un résultat, ni de colère si la prière n’est pas exaucée selon les souhaits de l’égo, car la Source a une vue plus globale et saisit le sens subtil de votre demande au-delà de la forme. La prière a pour but d’élever votre état vibratoire. La méditation en est un préalable dans la mesure où elle permet de se détacher de la personnalité. L’état de prière est un état de recueillement et de communication profonde avec la Source, issu du cœur.

Source : http://www.spirit-science.fr/doc_spirit/spiritualite.html

Publié dans:MAITRISE, PENSEE, SOCIETE, TERRE, TOLERANCE |on 29 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Spiritualité, science et religion

Spiritualité, science et religion dans ACCORD 1jLa spiritualité n’a rien d’une vérité toute faite, prête à avaler. Elle invite chacun à découvrir qui il est en profondeur et à se former sa propre vérité. Au contraire, la religion enseigne des vérités choisies par des autorités, et demande aux adeptes de les adopter. Les autorités décident quels écrits sont conformes à sa doctrine et lesquels sont hérétiques. Des textes de référence disent ce qu’il faut croire et ce qu’il faut rejeter. Les personnes qui enfreignent les règles édictées par ces textes sont considérées comme fautives et doivent se racheter ou être punies.

La religion considère qu’il existe un paradis qui est réservé à ceux qui ont fait preuve de bonne conduite, selon le jugement de Dieu ou des prêtres. La spiritualité enseigne que chacun a la possibilité de s’épanouir totalement, tel un bourgeon qui se déploie et fleurit. Il le fait de manière unique selon ses capacités (voir article Talents et doutes), en élargissant sa conscience par l’expérience et emprunte parfois des chemins détournés (parabole du fils prodigue dans la Bible). Chaque expérience est un enseignement vivant. La spiritualité conduit à la pleine reconnaissance de nos capacités physiques, émotionnelles, mentales, sociales et intuitives. La réalisation de Soi se manifeste par la radiance et la beauté, un paradis sur terre à la portée de tous au moyen du développement spirituel.

Dogmes et frontières

Dès qu’un mur s’érige, dès que la moindre clôture est élevée, qu’une porte se ferme et qu’un interdit est édicté, voyez-y la trace d’une présence humaine non encore adulte. Barricades et règlements n’ont de raison d’être que face aux immatures. (Daniel Meurois, Comment dieu devint Dieu)

La Science, dans les limites où l’actuelle société humaine dominante est capable de la concevoir, demeure tout aussi dogmatique que l’était l’ancienne approche du concept de Dieu. Un mot a simplement remplacé l’autre. Lorsque vous déclarez « les scientifiques ont dit », vous agissez comme ces prêtres qui déclaraient autrefois: « Dieu a dit », coupant court à toute velléité de réflexion autonome. L’approche de la Sagesse ne peut quant à elle, s’espérer que par la pénétration de cette question: « la Vie en moi, que dit-elle? » (Daniel Meurois, Comment dieu devint Dieu)

Propos de Alain Boudet    

Publié dans:ACCORD, SOCIETE |on 29 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

LA FORMULE DU SUCCÈS

LA FORMULE DU SUCCÈS dans DEVELOPPEMENT images-18

Avant de vous fournir une réponse satisfaisante et correcte à l’interrogation présentée dans le titre du présent article, il nous faut nous en poser une autre, bien plus primordiale, en deux points indissociables.

Qu’est ce que je veux vraiment ?

Suis-je disposé à faire tout ce que je crois nécessaire pour atteindre mon (ou mes) but(s) ?

Une fois que vous aurez répondu à ces deux interrogations, il ne vous reste plus qu’à commencer à agir.

Facile à dire, vous exclamerez-vous peut-être, oui, facile à dire et à écrire, mais indispensable !

L’une des raisons de la faillite de l’idée de la pensée positive, ou du «  training mental  », ou de la dynamique mentale, etc… C’est que, quasiment les neufs dixièmes des personnes désirant améliorer leur quotidien attendent d’avoir réuni les conditions idéales pour lancer leur projet, quel qu’il soit.

Qu’il s’agisse de mincir, d’améliorer sa situation financière, de trouver le (ou la) partenaire idéal, ou bien encore de fonder une entreprise destinée à générer des millions d’euros de revenus annuels, il est absolument impératif de commencer.

Comme le disent fort justement les chinois :
«  Un voyage de mille li commence avec le premier pas  ».

Trop souvent, les excuses pour reporter l’action initiale paraissent logiques et insurmontables.

Prenons un exemple simple, mais non simpliste.
«  Je veux créer une entreprise, je sais quoi faire, comment le faire, j’y crois, je pense positivement, mais… Je suis chômeur, sans un euro d’économie et n’ayant pas de connaissance pouvant être susceptible de m’apporter une aide quelconque au niveau financier. Que vais-je faire ?  »

Dans la plupart des cas les personnes concernées se disent :
«  Je vais attendre que ma situation financière soit plus stable, je verrai cela plus tard, quand j’aurai mis un peu d’argent de côté. Si je prends deux boulots, j’y arriverai peut être plus vite  ». Etc.… etc.…

Cela vous parait-il correct ?

Est-ce une bonne manière d’aborder la création du rêve de sa vie, de se sortir du lot commun ?

Beaucoup d’entre vous se diront surement:
«  Oui, je crois que cela est raisonnable, se jeter tête baissée sur un projet alors que l’on a aucun moyen palpable de le réaliser ressemble plus à de l’inconscience qu’à une décision mûrement réfléchie.  »

Du point de vue ordinairement logique, vous auriez parfaitement raison de penser ainsi mais, et c’est ce qui fait toute la différence, il ne faut PAS penser comme tout le monde quand on veut être différent.

Pour appliquer réellement les principes tels que la loi d’attraction, il vous faut agir différemment, dès le départ.

Ce qui fera la différence entre un projet mort-né et un succès éclatant est le fait de FAIRE IMMÉDIATEMENT QUELQUE CHOSE QUI IMPRIME DANS L’UNIVERS PHYSIQUE QUOTIDIEN LA CRÉATION DU PROJET !

Quel que soit celui-ci, le fait de poser un acte physique, concret, en rapport direct avec ledit projet, éveille l’intérêt de l’univers pour celui-ci.

N’oubliez jamais que l’univers (ou Dieu, ou la Providence, peu importe le nom qui vous convient) est toujours à l’affût de nouvelles opportunités de créations et d’expérimentations, par le biais des êtres intelligents qu’il a créé.

Cet acte en rapport avec le projet peut être aussi simple que le fait de réserver chez soi, sans rien ajouter à son mobilier, un espace que l’on nommera dans son mental «  bureau  ». Même s’il ne s’agit que d’un coin de la table de votre cuisine ! Votre bureau existera et, dans cette optique, en poursuivant votre but mentalement, les circonstances se déclencheront automatiquement.

Trop simple, trop beau pour être vrai ?

Certainement pas, car votre vie personnelle est déjà le résultat de cette façon d’agir de votre part. Prenez le temps de regarder en arrière et voyez comment tous les évènements de votre vie se sont manifestés à la suite de l’exécution, même involontaire, de cet acte d’implantation dans le monde physique de l’élément déclenchant.

Pour réussir quoi que ce soit, posez-vous, après les deux premières, les deux questions suivantes :

QUOI ?
POURQUOI ?

Il peut vous sembler que le «  quoi  » se rapproche exactement de la définition de ce que vous voulez, au premier regard c’est vrai, cela semble identique, mais l’analyse du projet avec le «  quoi  » dont nous parlons ici sera beaucoup plus profonde, plus précise et donc, plus à même d’apporter une énergie supplémentaire ; laquelle sera extraite automatiquement de la mer infinie de l’univers, attirant l’attention de celui-ci sur cette nouvelle opportunité qui prend naissance dans votre esprit.

Le «  pourquoi ?  », lui, apporte toute la légitimité à votre projet. Comment cela ? Simplement parce que l’univers est une immense mer d’énergie aimante, consciente d’elle-même et en interaction permanente avec la totalité de sa création. Il ne peut d’ailleurs en être autrement puisque, chaque atome ou particule composant cet univers est une fraction de ce que, généralement, on définit comme étant Dieu.

Donc, en définissant exactement pourquoi votre projet mérite d’être soutenu par l’ensemble de la création jusqu’à sa réussite complète, vous entrez dans la «  logique  » de l’univers lui-même, qui ne fait jamais rien sans raison.

La réalisation d’un objectif humain, quel qu’il soit, est très rarement néfaste à l’ensemble de l’humanité.

Dans le cadre de notre exemple de la création d’une société générant des millions d’euros chaque année, les bénéfices, pour un très important nombre de personnes sont énormes :

  • Création de milliers d’emplois, ce qui apporte un bien être familial quotidien à une multitude de personnes qui, sans les salaires versés par la société en question, seraient certainement dans la précarité.
  • Bien être social plus important car, avec un plus grand nombre de personnes moins angoissées par l’avenir de leur famille et d’eux-mêmes, une atmosphère plus douce et plus harmonieuse règne dans l’environnement immédiat, donnant ainsi un repos mental débouchant sur une meilleure santé.

Les énumérations pourraient être, bien sûr, plus nombreuses mais ces deux-ci suffisent amplement pour servir notre propos de ce jour.

Il en va de même si le projet qui vous tient à cœur est de rencontrer la ou le partenaire idéal.

Ici, il suffit de remplacer le quoi, par qui, en définissant exactement quel genre de personne vous souhaiter rencontrer et, surtout, ce que vous, vous pouvez lui offrir.

Les relations égoïstes n’entrent nullement dans les plans d’harmonie et d’évolution de l’univers et c’est pour cela que dans les sociétés humaines actuelles, les séparations sont si nombreuses. Des édifices construits sur les sables mouvants des seules passions animales ne peuvent que s’écrouler, à plus ou moins longue échéance.

Mais ceci est un autre sujet, que nous approfondirons dans un autre article.

Gardez simplement présente à l’esprit l’idée que, pour être assuré de la réussite totale, complète et dans ses moindres détails de votre projet, il est absolument impératif que celui-ci soit en accord avec les lois de l’harmonie universelle.

Avec cet état d’esprit juste et votre motivation sincère, quoi que ce soit que vous vouliez voir se manifester sur le plan de votre vie quotidienne se réalisera.

Une dernière chose cependant, mais TRÈS importante, ayez confiance en vous, rien ne pourra jamais remplacer cela. Une confiance en soi lucide, ferme et sans arrogance ou fausse modestie, conduit infailliblement là où l’on veut se rendre.

À votre succès, présent et futur.
D.C. Braibant
Auteur des CDs d’auto-hypnose:
attirez l’abondance dans votre vie
boostez votre confiance en vous

Publié dans:DEVELOPPEMENT, POUVOIR, SOCIETE |on 14 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Ouverture d’un BLOG sur le DIVIN avec Omraam

Ouverture d'un BLOG sur le DIVIN avec Omraam dans NATURE banniere

Au travers de plus de 4500 conférences, il explore la nature humaine dans son environnement, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire. Celui que nous appelons Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, nous dit : « ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-même, comment vous êtes construits, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après entre vous et l’univers qui est la Vie ».

Aider l’être humain à retrouver sa dimension spirituelle (qu’il appelle sa nature supérieure ou divine), à se perfectionner, se renforcer et s’épanouir au cœur du monde où il se trouve, voilà son objectif prioritaire. Omraam Mikhaël Aïvanhov précise : « Je me suis surtout efforcé d’éclairer un sujet : les deux natures de l’être humain, sa nature supérieure et sa nature inférieure, parce que c’est la clé qui permet de résoudre tous les problèmes. 

Mais le travail intérieur, individuel, s’inscrit dans une perspective plus large et universelle : il permet d’acquérir la conscience que nous sommes citoyens du cosmos, membres de la grande famille humaine, la fraternité universelle, fils et filles d’un même créateur. Au-delà encore, l’enseignement du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov nous invite à participer à la réalisation d’un nouvel âge d’or sur la terre.

Par son rayonnement et son enseignement, le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov a ouvert à d’innombrables personnes le chemin de l’épanouissement intérieur.

Pour suivre les enseignements de Omraam Mikhaël Aïvanhov :

fleche-a-droite1 dans POUVOIRVoici le lien : http://herosdelaterre.blogspot.fr/ 

 

omraam.mikhael.aivanhov-106x150 dans SOCIETE

Publié dans:NATURE, Non classé, POUVOIR, SOCIETE |on 1 août, 2013 |Pas de commentaires »

Humain si petit !

Le big-bang est invisible, on n’a encore jamais vu la naissance d’une étoile ou d’une galaxie, mais la théorie reste confirmée ? 

Humain si petit ! dans HUMANITE b3

Le fait que nous ne puissions pas observer directement l’univers avec des télescopes entre le moment de l’explosion primordiale et la 380 000e année à cause de son opacité ne veut pas dire que nous n’avons aucun moyen expérimental pour explorer cette période. L’univers, à ses débuts, n’est en effet pas autre chose qu’un immense accélérateur de particules élémentaires, avec des électrons, des protons, des photons, des neutrinos, et d’autres particules encore et leurs anti-particules. Celles-ci allaient et venaient dans tous les sens, s’entrechoquant dans des collisions violentes. C’était un univers à très haute énergie, très chaud, très petit et très dense. Nous pouvons reproduire certaines de ces hautes énergies en construisant de grands accélérateurs de particules sur Terre. Ceux-ci prennent donc le relais des grands télescopes pour nous permettre de remonter à des temps plus tôt que la 380 000e année. Le plus grand accélérateur qui existe actuellement est le LHC (Large Hadron Collider, ou Grand collisionneur de protons) au CERN (Centre Européen de la Recherche Nucléaire) à Genève. Il va entrer en opération en l’an 2008 et permettre de remonter le temps jusqu’à un milliardième de seconde après le big-bang et de tester la théorie du big-bang et certaines théories de particules élémentaires, comme la théorie des cordes selon laquelle les particules élémentaires ne sont pas des points, mais des vibrations de bouts de corde infinitésimalement petits (de 10-33 cm). L’observation en direct des premières étoiles et galaxies pendant la prochaine décennie permettra de tester la théorie du big-bang encore plus loin. Mais en attendant, comme je vous l’ai dit, cette théorie a passé triomphalement bien de tests observationnels, que ce soit la distribution en énergie du rayonnement fossile ou la composition chimique des corps stellaires.

Qu’en est-il – détail énorme non sans rapport avec notre propos – de cette « masse noire » qui échappe à toute observation ou détection, tout en constituant, en théorie, plus des trois quarts de notre univers ? 

La « masse noire » découverte par l’astronome suisse-américain Fritz Zwicky en 1933 constitue en effet l’un des plus grands mystères de l’astrophysique contemporaine. A cela est venu s’ajouter le mystère de l’ « énergie noire » découverte en 1998, qui fait que l’expansion de l’univers, au lieu de décélérer est en accélération. Ainsi, nous vivons dans un univers-iceberg dont la partie émergée est minuscule. En effet, la partie visible de l’univers, les étoiles et les galaxies qui brillent, ne constituent qu’une partie infime (0,5%) du contenu total en masse et énergie de l’univers. Ces étoiles et galaxies sont faites de matière ordinaire (protons, neutrons, électrons désignés sous le nom générique de « baryons ») comme vous et moi. Mais en mesurant les mouvements du gaz d’hydrogène et des étoiles dans les galaxies et ceux des galaxies dans les amas de galaxies, les astrophysiciens se sont aperçus qu’il existe une grande quantité de « matière noire » qui ne brille pas, et qui manifeste sa présence principalement par les effets gravitationnels qu’elle exerce. Sans la présence de cette matière noire, les galaxies et les amas de galaxies se seraient désintégrés et auraient disparu en quelques centaines de millions d’années. Or ils sont toujours là. Il faut donc la présence d’une masse noire dont la gravité retienne le gaz et les étoiles dans les galaxies, et les galaxies dans les amas de galaxies. On sait que la matière noire constitue un total de 26,5% du contenu total en matière et énergie de l’univers. Sur ces 26,5%, seulement 4% sont composés de matière baryonique ordinaire, probablement sous la forme de nuages de gaz chaud dans les amas de galaxies et de gaz froid dans l’espace intergalactique. Qu’en est-il des 22,5% restants ? On pense qu’ils sont constitués de matière non pas ordinaire mais « exotique ». Certains astrophysiciens pensent que cette matière exotique se présente sous la forme de particules subatomiques massives nées dans les premières fractions de seconde du Big Bang et interagissant très faiblement avec la matière ordinaire et pas du tout avec la lumière. La matière lumineuse (0,5%) et noire (26,5%) contribue donc un grand total de 27%, soit à peu plus du quart du contenu de l’univers. Notre recensement de celui-ci est-il complet ? Assurément non, car en 1998 les astronomes furent tout ébahis de découvrir que le mouvement de fuite des galaxies aujourd’hui, au lieu de décélérer, ralenti par la force de gravité attractive du contenu matériel de l’univers comme on s’y attendait, s’accélère au contraire. Ils ont été contraints et forcés d’admettre qu’il existe dans l’univers une mystérieuse force « anti-gravité » répulsive qui s’oppose à la gravité. Les observations montrent que l’univers a bien été en décélération, mais seulement pendant les sept premiers milliards d’années de son existence. A partir de la sept milliardième année, il y a 6,7 milliards d’années, la force anti-gravité a pris le dessus sur la force de gravité et a provoqué l’accélération du mouvement d’expansion de l’univers. Le mouvement d’expansion de l’univers est donc analogue à celui de votre voiture quand vous vous arrêtez à un feu rouge. Vous appuyez sur votre frein pour décélérer et stopper la voiture au feu. Quand le feu repasse au vert, vous appuyez sur l’accélérateur afin de repartir. Comme pour l’univers, le mouvement de décélération a été suivi par un mouvement d’accélération. Les astrophysiciens pensent que la force anti-gravité responsable de l’accélération de l’univers est liée à la densité d’énergie du vide quantique qui existait dans les tout premiers instants de l’univers. Faute de plus d’informations, ils ont baptisé cette mystérieuse énergie « énergie noire ». Les mesures du taux d’accélération de l’univers nous disent que l’énergie noire contribue 73% du contenu de l’univers. Et les dernières mesures du contenu total en énergie et masse de l’univers ajoutent que nous vivons dans un univers de courbure nulle (on appelle cela un univers « plat »), avecune expansion éternelle qui ne s’arrêtera qu’après un temps infini ! 

Ainsi, non seulement la matière lumineuse dans les étoiles et les galaxies ne constitue qu’un insignifiant 0,5% du contenu en masse et énergie de l’univers, non seulement la matière dont nous sommes faits (protons, neutrons, électrons) n’en constitue qu’un minuscule 4%, non seulement il existe environ 6,5 fois plus de matière noire exotique (23%) que de matière noire ordinaire (3,5%), mais la majeure partie du contenu de l’univers (73%) est formée d’une mystérieuse énergie noire dont l’origine nous échappe totalement ! Le fantôme de Copernic à continué à sévir de façon implacable ! Depuis que le chanoine polonais a délogé la Terre de sa place centrale dans l’univers en 1543, l’homme n’a cessé de se rapetisser au sein de l’univers, à la fois dans l’espace et dans le temps. Notre astre, le Soleil, est devenu une simple étoile de banlieue parmi les centaines de milliards qui composent la Voie lactée. Celle-ci s’est perdue à son tour parmi les centaines de milliards de galaxies qui peuplent l’univers observable. Mais l’ego humain n’a pas fini de prendre des coups ! Désormais, l’homme sait qu’il n’est pas fait de la même matière que la plus grande partie de l’univers et que, si protons, neutrons et autres électrons n’étaient pas venus au monde, cela aurait à peine perturbé le contenu en masse et énergie de l’univers. Et pourtant, le miracle, si j’ose dire, est que malgré sa place insignifiante dans l’univers, l’homme est là pour se demander des questions sur le cosmos qui l’a engendré !

En quel sens ? 
Ne peut-on considérer comme quelque peu miraculeuse cette majestueuse structure cosmique dont témoigne l’univers, riche aussi de désordre, de chaos, d’incertitude; mais si parfaitement réglée qu’elle a donné naissance à la conscience ?

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Publié dans:HUMANITE, PLANETES, SOCIETE |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Changer par la magie des contes

 

Jean-Pascal Debailleul

Un forum : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 Changer par la magie des contes dans GUERISON 2

 

 « De tous temps, les mythes ont fécondé le politique, les contes ont transmis de façon simple et populaire l’art de traverser les épreuves et de se ressourcer aux origines de l’humain. Clefs de sagesse et portes d’inspiration, ils ouvrent des passages qui permettent de comprendre et d’agir dans une réalité de plus en plus complexe », dit Jean-Pascal Debailleul.

A 60 ans, cet inlassable quêteur de vérité a suivi des chemins variés : publicitaire, éditeur, thérapeute, consultant, formateur, il a ensuite mis au point une méthode de connaissance et de réalisation de soi par les contes merveilleux (1). 

Les contes mettent en scène un monde non linéaire, un monde en volume où tous les règnes s’interpénètrent. Les animaux parlent, les objets sont vivants, et tout agit en interdépendance et en réciprocité. 

Il était une fois deux hommes qui voyageaient ensemble, comme ils s’étaient arrêtés en chemin pour laisser tomber la chaleur, l’un d’eux s’étendit à l’ombre. Tandis que l’homme dormait, l’autre crut voir une mouche sortir de la bouche de son compagnon et entrer dans le squelette d’une tête de cheval qui se trouvait par là, et cette mouche tourna dans la tête de cheval dont elle visita tous les recoins puis elle revint « dans » la bouche du dormeur. Celui-ci dit à son réveil : « Si tu savais le beau rêve que je viens de faire, j’ai rêvé que j’étais dans un château où il y avait une infinité de chambres toutes plus belles les unes que les autres et sous ce château, jamais tu ne voudrais le croire, était enterré un grand trésor ». L’autre lui dit alors : « Tu veux que je te dise ce qui s’est passé : regarde, tu es allé dans cette tête de cheval, oui… Oui j’ai vu ton âme sortir de ta bouche sous la forme d’une mouche et se promener dans tous les recoins de ces ossements puis elle est rentrée dans ta bouche ». Alors, les deux hommes soulevèrent cette tête et creusèrent dessous et ils découvrirent un grand trésor. 

Le vœu oublié 
Les contes réveillent en nous un vœu oublié, le rêve d’une réalité qui se conforme à nos aspirations profondes, et qui s’ajuste à notre désir d’être qui tarde tant à s’accomplir : voler, marcher sur l’eau, donner, guérir, aimer, être…Ces grands vœux nous effleurent, et le conte, puisant dans les sagesses les plus anciennes, nous indique comment les réaliser. « Les contes invitent à une créativité d’intuition, de vision, d’inspiration. C’est de là que je suis parti pour élaborer ma méthode de transformation de soi par les contes, il y a 20 ans et extraire des contes des outils de connaissance de soi qui permettent cet accomplissement intime. Mais aujourd’hui, dans le foisonnement novateur de notre époque en pleine mutation, c’est en créateurs que nous devons imiter le héros des contes. Et j’ai créé pour cela la démarche d’Eurêka qui synthétise la puissance créatrice du héros. » 

L’Eurêka ! au niveau psychologique 
Le cerveau contrôle notre conscience et tient tout fermé, comme la chambre noire de l’appareil photo. Soudain, l’obturateur se déclenche et l’intuition surgit, c’est le moment d’ouverture de l’appareil : la lumière se grave sur la pellicule, le contact avec la réalité est direct. C’est un lâcher prise. Eurêka ! est un instant de vérité. « Eurêka ! » c’est découvrir les solutions latentes, évidentes et lumineuses, des problèmes majeurs que nous rencontrons.

La démarche d’Eurêka ! est un entraînement au mode intuitif de résonance et de lâcher prise qui donne à faire vivre personnellement l’expérience d’Eurêka ! à volonté dans tous les domaines pour ensuite induire cette expérience, la stimuler, la déclencher ou la provoquer chez les autres. Le savoir-être de l’archétype du Héros des mythes et contes millénaires, ainsi que la méthodologie Horaklès de la Voie des Contes, forte de son expérience de ces 25 dernières années, en apportent les clés pratiques. 

Les praticiens Eurêka se forment à la création en un double programme : un séminaire sur la synchronicité pour acquérir la posture d’ensemble à la croisée des tendances et un cursus de pratique de l’Eurêka individuel et collectif, dans tous les domaines (développement personnel, coaching, thérapie, conseil).

  (1)Cette méthode est enseignée dans les séminaires et ateliers de La Voix des Contes 25 rue Titon 75011 Paris. Réunions de présentation en septembre. Site internet : www.lavoiedescontes.com 
  Jean-Pascal Debailleul a publié plusieurs ouvrages : Changer par la magie des contes (éditions Albin Michel, 1998) ; Se réaliser par la magie des coïncidences (Jouvence, 2000) ; La synchronicité par les contes et Le Jeu de la voie des contes (Le Souffle d’or, 2003 et 2007). Horaklès, le jeu du héros (Guy Trédaniel, 2009)

Publié dans:GUERISON, LUMIERE, POUVOIR, SOCIETE |on 16 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Mythologie et Réincarnation

 

par Isabel de la Cruz

Toutes les civilisations ont créé des mythes décrivant la création du monde et retraçant l’origine de leur existence. Dans ces récits, la plupart du temps, “l’humain” se confronte à une situation insoluble ou à une épreuve surhumaine qui lui demande de faire appel à quelque chose de plus élevé en lui, à une identité supérieure qui lui permettra de trouver une réponse au-delà des limites de ce monde. Les mythes reflètent des moments essentiels de notre évolution personnelle et décrivent les moments clés de l’évolution d’une civilisation. Ils nous invitent à une vision plus large de l’histoire de l’humanité.

Mythologie et Réincarnation dans REINCARNATION 1a-220x300La mythologie est considérée de nos jours comme un ensemble de récits fabuleux et de contes, ou tout au mieux comme des textes renfermant une symbolique universelle. Plus la distance est grande – dans l’espace et le temps – avec une civilisation, plus l’ensemble des récits mythiques qui lui sont propres parait perdre le lien avec une quelconque réalité. Ce phénomène est surtout une caractéristique du monde occidental. Pourtant, l’Occident, ou plus précisément le système de croyances dans lequel l’homme occidental baigne, est en lien direct avec certaines mythologies, dont les plus importantes sont : la mythologie égyptienne (puis son héritière, la gréco-romaine), la mythologie celtique, et la plus récente, la mythologie hébraïque.

Et si tous ces récits mythiques étaient la chronique de véritables évènements historiques ?

Chaque culture et chaque peuple de la Terre possède sa propre mythologie. Nous pouvons ainsi dire qu’une mythologie définit une civilisation au même titre que son organisation sociale, son activité artistique, le savoir scientifique et technologique qu’elle développe. Seulement, en parcourant les différentes mythologies de la planète, il est possible de remarquer certaines similitudes entre les récits issus de toutes les grandes civilisations, même éloignées géographiquement et surtout dans le temps. Il est en effet très intéressant d’observer une récurrence infaillible dans toutes les traditions, aussi bien anciennes et élaborées que plus récentes. Toutes coïncident à retracer l’origine d’une culture et son évolution première grâce à l’aide “d’êtres venus du ciel”, apportant un savoir essentiel à son développement : l’agriculture, la construction, le tissage, la musique, l’écriture. Chaque civilisation naissante cherche ainsi, à travers sa mythologie, à perpétuer une vision du monde, de ses origines, de son vécu. En fait, elle apporte une réponse aux grandes questions existentielles.

D’où venons-nous ? Pourquoi sommes-nous ici ? Vers où allons-nous ?

La culture occidentale a toujours porté un intérêt, qui devient de plus en plus important actuellement, aux recherches archéologiques, et pour cause : le lien avec sa tradition mythique et son vrai sens a été perdu. Par ce geste de découvrir, de dévoiler le passé, l’homme occidental cherche à retrouver ses origines. Tout comme un orphelin chercherait à découvrir qui sont ses vrais parents. D’autre part, lorsqu’à un niveau individuel nous nous sentons appelés à chercher des réponses à ces mêmes questions essentielles sur nos origines, nous arrivons assez vite à l’idée de la réincarnation. En introduisant cette nouvelle variable, celle de la possibilité pour l’âme d’évoluer grâce à de multiples expériences, il est alors possible de commencer à percevoir la vie et le monde de manière non linéaire, mais plutôt multidimensionnelle, de la même manière que la physique actuelle (théorie des cordes, théorie quantique) commence à décrire l’Univers : un système de synchronicités parfaitement orchestrées à différents niveaux et en interaction constante.

Dieux, anges, et êtres venus du ciel.

C’est ainsi que toute une civilisation, vue comme une famille d’âmes, naît dans ce monde, grandit, mûrit et quitte ce plan terrestre en laissant le fruit de son expérience pour les civilisations héritières à venir. Si ce point de vue est exact, alors ces “dieux”, “êtres venus du ciel”, “anges” dont parlent les mythes sont probablement différents noms donnés aux mêmes personnes. Des êtres que nous pourrions appeler aujourd’hui frères de l’espace, êtres de lumière, ou encore maîtres ascensionnés. Tous des noms différents pour appeler ceux qui, faisant partie d’une civilisation ancienne, sont partis de cette réalité pour vivre sur d’autres espaces des multiples dimensions planétaires, afin de continuer leur évolution. Les mêmes qui non seulement ont laissé leur savoir inscrit avant de partir (Guizeh, Chichen-Itza, …), mais aussi maintiennent un lien de fraternité et d’aide envers leurs cadets (sauf quelques-uns qui ont commis des erreurs d’évolution par superbe : mythe d’Hercules/Héraclès ou autres), et qui parfois reviennent achever des expériences propres à notre dimension (acquisition d’une conscience de la réalité sensible), comme les “anges déchus”. Petit à petit, nous observons que les différents mythes, au-delà de leur symbolique certaine et de l’idée religieuse qu’ils véhiculent, correspondent avant tout à une chronique d’évènements historiques clés, riches en enseignements initiatiques. Ils contiennent la mémoire de l’évolution de l’humanité, à travers des civilisations qui se succèdent et se chevauchent, parfois violement (génocides, cataclysmes, …), pour donner toujours une nouvelle opportunité d’apprendre aux nouvelles et aux anciennes âmes. Par exemple, celui qui a participé à l’extermination de groupes indiens pourrait bien aujourd’hui être l’un d’eux, et vivre dans sa propre chair une situation qu’il a lui-même aidé à mettre en place.

Les mythes, témoignages de l’invisible et du monde spirituel.

Pensons par exemple à l’échelle de Jacob : ce mythe sur la création et le fonctionnement du monde dans l’Ancien Testament, qui parle des anges, explique que celui qui est plus proche du Ciel aide celui qui est immédiatement en dessous à monter, à s’élever, à ascensionner sur le chemin vers le Ciel. Cette description pourrait bien nous donner de bonnes raisons de concevoir l’existence d’une aide apportée par des êtres plus évolués technologiquement et spirituellement, et qui seraient en réalité des “anciens”, des “grands frères” qui nous montreraient l’exemple de la tolérance et de la solidarité comme moyen de vivre. Cette vision de la diversité et de la multiplicité de la réalité, intégrée à notre vie quotidienne, en commençant par nous-mêmes, est un des cadeaux que nous apportent les mythes.

Isabel de la Cruz organise et anime des stages et des formations basés sur une approche quantique de la santé et une vision multidimensionnelle de l’Être humain.

www.etoileduberger.com

Superstition : remède à nos doutes

 

Glisser un trèfle à quatre feuil­les dans sa poche le jour d’un examen, ça ne coûte rien, mais ça peut redonner confiance en soi. Un porte- bonheur est une plan­che de salut à laquelle on se raccroche pour surmonter son angoisse. « Avant tout, les superstitions représentent un rituel rassurant qui nous per­met­­ de surmonter nos crain­tes, explique Anne Floret-Van Eiszner, psychologue. Certains en ont besoin pour retrouver confiance en eux et combattre leur anxiété. » Comme les doudous de no­tre enfance, ces grigris servent à endormir nos inquiétudes et à nous donner du courage. « Je collectionne les porte-bonheur, raconte Sarah qui ne sort jamais sans ses féti­ches. À l’âge de 6 ans, j’ai trouvé un trèfle à quatre feuil­les et, toute la journée, je me suis sentie protégée. Quand il s’est fané, quel­ques jours après, j’ai eu l’impression d’être plus vulnérable. Depuis, j’amasse les objets qui peuvent m’aider à influencer le hasard. Je sais, c’est une croyance qui ne repose sur rien de précis. Mais ça me donne du cou­rage quand je dois prendre une décision… et ça ne gêne personne. »

Superstition : remède à nos doutes dans HUMANITE 9

Nous croyons souvent que le vendredi 13 est néfaste ou que « toucher du bois » porte bonheur. Simple réflexe ou authentique conviction, quelles sont les raisons qui nous poussent à être superstitieuses ?

2. SUPERSTITION : L’INFLUENCE DE NOS PARENTS

Les grands-parents montrent souvent l’exemple. Et certains adultes se souviennent longtemps des récits qui ont bercé leur enfance. « Quand j’étais petite, on me répétait que les chats noirs portent malheur, se souvient Suzanne. J’ai vécu dans la crainte de ces animaux durant quinze ans, au fond sans savoir pourquoi… jusqu’au jour où mes amis m’en ont offert un. Après un premier mouvement de recul, je m’y suis attachée.Et lorsqu’il m’arrive d’avoir des ennuis, je ne lui fais pas porter le chapeau ! »

L’éducation joue un rôle important. Car, malgré soi, on s’imprè­gne des pensées de ses proches.Si les parents sont plutôt du genre cartésien, donnant une explication logique à chaque événement, l’enfant aura moins tendance à recourir à la magie.« Même si les adultes ne s’expriment pas ouvertement sur leurs pro­pres superstitions, les enfants, qui sont de fins observateurs, perçoivent dans leurs comportements des indices de croyan­ces qu’ils reprennent à leur compte », souli­gne la psychologue. Et même si les parents ne sont pas superstitieux, il paraît bien difficile d’échapper aux messages envoyés par notre environnement.Les publicités pour le Loto nous font miroiter des gains fabuleux.Et chacun se demande : « Pourquoi pas moi ? »

C’est une façon de nous rassurer, de forcer le destin : nous aimerions décider de tout ce qui concerne notre vie privée et nos émotions. Et pourtant, ce n’est pas possible.

 3. SUPERSTITION: DES REPÈRES DANS NOTRE VIE

On ne se résigne pas au hasard, ni aux caprices du destin : nous nous arrangeons toujours pour lui donner un sens. Et nous interprétons ce qui nous arrive en fonction de nos croyances personnel­les . Quand on rencon­tre l’homme de sa vie, c’est grâce à no­tre bonne fortune.Si on se casse la jambe après être passé sous une échelle, c’est la faute au mauvais sort : ce n’était pas notre jour… Les superstitions sont des si­gnes qui nous aident à déchiffrer ce qui nous arrive. Elles forment des points d’ancrage qui nous guident au quotidien. 

« Quand j’aperçois un corbeau avant de me rendre à un rendez-vous, je reste sur mes gardes, confie Cécile. Au moment de prendre une déci­sion, je fais très attention à ces petits signes. Pour moi, il s’agit de messages qui m’annoncent les coups du sort. » 

Les superstitions évoluent avec la société. Aux croyan­ces traditionnelles s’ajoutent des « légendes » toutes personnelles que chacun s’in­vente en fonc­tion de son expérience, de son éducation… No­tre vie sem­ble ainsi plus fami­lière et plus rassurante.Tant qu’elles ne tournent pas à l’obsession, les superstitions ont donc quel­­­ques bons côtés à préserver.

Mais lorsque croyances et rituels deviennent des contraintes, il est nécessaire de consulter un spécialiste.

Voir le site de référence http://www.topsante.com/sante-au-quotidien

Publié dans:HUMANITE, POUVOIR, SOCIETE |on 22 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Phénomène Chemtrails

 

Regardez-vous le ciel ?

Le ciel a besoin que vous le regardiez. Le ciel bleu est en danger de disparition. Observez-le régulièrement, vous verrez que les jours de ciel totalement bleu se font de plus en plus rares. Ce n’est pas rien.

Phénomène Chemtrails dans PLANETES chentrails

Jamais tant que ces dernières décennies, la destruction de l’environnement sur notre planète ne s’est si dramatiquement intensifiée. Le vivant est attaqué de toutes parts. Les produits chimiques polluent les terres, les eaux et les airs, perturbent et détruisent les écosystèmes et ceux qui y vivent. Des technologies mortifères menacent la santé humaine : nucléaire, OGM, nécro-carburants, nanotechnologie, micro-ondes, puces RFID… Pour la seule victoire du profit. 

Un article paru dans le magazine Science de juillet 2011, annonçait le doublement du nombre d’aérosols (ou particules fines) en haute altitude. « L’augmentation très rapide des quantités d’aérosols est surprenante » poursuit J. Daniel. « Elles ont presque doublé en 10 ans. L’augmentation des aérosols depuis 2000 n’est pas encore entièrement expliquée ». 

Les moteurs d’avions sont conçus pour être plus propres (32 % de pollution en moins en 20 ans) et pour consommer moins. L’augmentation du trafic aérien ne suffit pas à expliquer ce doublement.

 
Certains jours, les avions passent sans laisser de trace persistante. Leur traînée de condensation (vapeur d’eau) les suit et se résorbe rapidement au fur et à mesure de leur déplacement. D’autres jours, quelque soit le moment de la journée, plusieurs avions passent en même temps, dans toutes les directions, laissant des traces persistantes qui s’étalent et voilent le ciel, le rendant blanchâtre, pollué. Les conditions atmosphériques, les taux d’humidité, n’expliquent pas la différence, puisque les vols « propres » sont aussi visibles au même moment, en général et paradoxalement, à une altitude plus élevée où il fait donc plus froid. 

Depuis l’an 2000, l’espace aérien militaire s’élève jusqu’à 8000 m d’altitude ( 4000 m auparavant). Or circulent dans cet espace de nombreux avions de ligne, en-dessous de leurs couloirs habituels. Ils échappent ainsi aux radars des contrôleurs aériens. Qu’y font-ils ? Quelle proportion d’avions vole sans passager ni fret ? 

Pour bien distinguer traînée de condensation et traînée persistante, le mieux est de les observer au même moment dans le ciel. Les avions « traceurs » se permettent des demi-tours, des U, des cercles complets, des quadrillages parfaits. A l’évidence les économies de carburant ne les concernent pas ! Ils volent dans presque toutes les directions de l’espace, en-dessous des couloirs aériens commerciaux. Il ne se passe pas une semaine sans épandage. Mais de plus en plus, la couverture nuageuse nous les cachera. 

Observation fréquente : les trajectoires discontinues. Avant de survoler une ville, un avion passe « proprement », et tout à coup lâche une traînée persistante qui s’étalera, puis reprend son trajet « propre ». Il ne s’agit pas de délestage lesquels selon la DGAC, sont exceptionnels et interdits à basse altitude. 

Aux Etats-Unis où le « phénomène » est apparu dix ans plus tôt qu’en Europe, dans certains lieux, le ciel n’est plus jamais bleu. La couverture nuageuse y est telle, qu’elle a littéralement « tué » le vent. Nous avons encore la chance en région PACA d’avoir des jours sans traînées persistantes. Et le mistral pour nettoyer le ciel de ces nuages artificiels. Mais que se passerait-il si elles étaient présentes tous les jours ? Nous trouverions cela normal, et nous n’aurions plus que du ciel blanc. 

Certaines opérations « coup de poing » menées par une cohorte d’avions (40 en une heure !) peuvent transformer un ciel bleu en couvercle blafard et éblouissant en moins de 3 heures. Depuis quand le trafic aérien serait-il chargé de fabriquer des nuages artificiels 

La photosynthèse chez les plantes et l’absorption de la vitamine D chez l’homme sont perturbées. L’analyse des sols et de l’eau révèle des taux anormalement élevés de baryum et d’aluminium. Entre autres. Il s’agit ni plus ni moins d’un crime contre le vivant. 

 

 La question récurrente est « pourquoi ? ». Le sujet est complexe car il est lié à de nombreux enjeux. Pour ne citer que les principaux : contrôle climatique, répercussion des ondes électro-magnétiques (opérations militaires, projet HAARP…) et main- mise des multinationales semencières sur l’agroalimentaire (ex : gènes résistants à l’aluminium). 

Les banques spéculent sur le temps : les marchés annuels représentent des dizaines de milliards de dollars. Des produits dérivés climatiques concernent aussi les capitales européennes. Fera-t-il chaud ou froid sur Paris en avril 2013 : les paris sont ouverts ! 

L’ETC group, organisation très active à dénoncer les dérives de l’économie verte, a publié un dossier intitulé : « Géopiraterie ». On y apprend comment, à la suite des échecs successifs des négociations sur les enjeux des changements climatiques et de la réduction des gaz à effet de serre, les lobbies verts vendent leur trouvaille : « Vous n’arrivez pas à vous mettre d’accord. Inutile de limiter vos émissions de gaz à effet de serre ! Nous avons la solution : la géo-ingénierie. » Ainsi les pilotes qui participent à ces programmes d’intervention climatique sont convaincus d’agir pour le bien de l’humanité : la lutte contre le réchauffement climatique. 

Notons également que certaines structures scientifiques indépendantes se sont spécialisées dans l’étude des « Morgellons », un syndrome qui est directement lié aux substances qui sont pulvérisées par certains avions.L’Institut Carnicom est l’un des plus avancés dans ce domaine, il publie régulièrement de nouveaux travaux. On y apprend notamment que les fibres retrouvées dans le corps des malades sont vivantes et se développent lorsqu’elles sont placés en culture dans des bocaux. Un mélange de substances polymères et biologiques mais également de nanotechnologies constituent ces fibres comme l’a démontré le Dr Hildegarde Staninger. Le sujet a même été abordé à la télévision québecoise. 

Il est indispensable de recouper les éléments relevant de ces différents secteurs d’activité pour évaluer pleinement la portée du phénomène. Des politiciens (Nikola Aleksic, Antonio di Pietro…), des scientifiques (Clifford Carnicom, Hildegarde Staninger, rapport Case Orange, météorologues apportant des preuves par le radar Doppler…) témoignent. Et des citoyens s’engagent partout dans le monde pour alerter et informer, comme dans le film « Bye Bye Blue Sky ». 

Certains présentateurs météo n’hésitent plus à briser leur carrière professionnelle pour révéler au grand public ce qu’ils savent de ces opérations d’épandage. On a pu le constater lors de bulletins météo télévisés en direct en Allemagne et aux Etats-Unis. 

Bien que cela puisse paraître difficile à croire, une complicité à de nombreux niveaux est nécessaire pour assurer la discrétion d’opérations d’une telle envergure. La télévision joue un rôle clé en habituant progressivement petits et grands à l’omniprésence d’un ciel voilé et blanchâtre à travers ses émissions et publicités. Le blog « Actu-Chemtrails » y consacre une rubrique étonnante. 

Nous nous sentons comme David contre Goliath, au même titre que les activistes à leurs débuts face au nucléaire, aux pesticides ou aux OGM, mais nous avons le pouvoir de créer un véritable mouvement populaire qui révélera au grand jour ces programmes d’épandage. Il est urgent qu’ils cessent pour que notre belle planète puisse accueillir dans tous les règnes, la vie des générations futures.

  Association Ciel Voilé - Notre blog : http://www.cielvoile.fr/ 

  Liens utiles pour approfondir le sujet : 
Sites et Blogs : 
Association ACSEIPICA 
Actu-Chemtrails 
Chemtrails-Fance (en sommeil) 
Flight Radar 24 

  Films : 
Bye Bye Blue Sky (version courte) 
What in the world are they spraying ? (Que pulvérisent-ils ?) 
Why in the world are they spraying ? (Pourquoi pulvérisent-ils ?)

Publié dans:PLANETES, SOCIETE |on 20 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Juger ou ne pas juger

…. telle est la question

« Ne jugez pas et vous ne serez pas jugé » a été préconisé durant des siècles. Pour la plupart des personnes cette doctrine a orienté leurs vies laissant peu de place pour la critique constructive, ou la révélation de la vérité. Le non-jugement est devenu une sorte d’habitude voire de réflexe culturel et juger les autres pour leurs mauvaises idées et actions impolies, incorrectes a été considéré contraire à la morale, indépendamment de la nature de ces actions et de ces idées. La plupart des personnes recourent au silence, pensant que s’elles osent juger, elles endommageront les sentiments d’autrui, provoqueront une réaction Juger ou ne pas juger dans HUMANITE petit-71agressive et créeront une situation désagréable. Se vouloir aussi neutre que possible est parfaitement excellent. Mais qu’arrive-t-il quand nous sommes confrontés au dilemme de se taire et rester neutre, ou proclamer courageusement la vérité?

Quand Jésus a visité Jérusalem et a vu tous les marchands dans le Temple, Il s’est mis en colère et les a fouettés en les chassant du temple. Son action était justifiée parce qu’Il vit les méfaits et décida que la chose juste à faire était de les renvoyer. Jésus était critique et personne ne peut nier qu’Il a fait le bon choix, la chose appropriée; pourquoi ? Parce que Son jugement était fondé sur la Vérité et non juste sur la critique.

Se vouloir neutre a trop bien servi nombre de gens à se défausser et à permettre aux Forces Sombres de déployer leurs plans. Mais qui sont-elles ? La liste en est très longue, mais je peux donner quelques exemples : les leaders religieux, empereurs, rois, les leaders de pays, les leaders d’armées, politiciens, banquiers. Le dogme du non-jugement leur a donné « le feu vert » pour appliquer leurs ordres du jour, sans résistance du peuple. Ces forces-là sont les changeurs, les échangeurs de monnaie des temps modernes. En enjambant les cadavres, ces gens essayent de collecter et rassembler à leur profit, la richesse et le pouvoir de la planète. Presque personne n’ose juger leurs actions, sans quoi on les considérerait politiquement incorrects. Ne faisant rien, nous devenons les victimes de leur soif d’argent et de pouvoir et en réalité nous servons à atteindre leur but. Devons- nous sceller nos lèvres en essayant d’être « politiquement corrects »? Devons-nous oser proclamer que l’empereur est nu, ou suivons-nous la pratique de l’adage « le silence est d’or »? Quelqu’un pourrait dire : « comment puis-je savoir quelle est la vérité? » Parfois, il est très difficile de distinguer entre la vérité et le mensonge. La plupart du temps ce l’est toujours, bien qu’il y ait des signes, des drapeaux rouges s’agitant devant nos yeux. Certains reconnaissent ces signes plus aisément que d’autres. Les Maîtres de Sagesse déclarent clairement dans leurs enseignements qu’il est essentiel de dire la vérité sagement. Si l’étourderie prévaut, donc révéler la vérité peut devenir un outil pour les égarés, les Forces Sombres comme nous les appelons. La perspicacité est obligatoire. La considération des faits, dégagés de toutes émotions est nécessaire, prenant les Lois Cosmiques en compte. N’importe quelle action, ou l’idée, qui suit les préceptes des Lois Cosmiques, ne pourra faire qu’une seule et unique chose : servir l’humanité. Être critique en servant les moyens de Vérité qui s’attachent à servir l’humanité, aussi longtemps que c’est accompli pour de justes raisons.

Je vous laisse avec la même interrogation par laquelle je vous ai interpellé au commencement : juger, ou ne pas juger?

Stavros Eleftheriou et l’équipe éditoriale de la fondation Sanctus Germanus http://www.sanctusgermanus.net/french/messages/Juger,%20ou%20ne%20pas%20juger,%20telle%20est%20la%20question.html

Publié dans:HUMANITE, SOCIETE |on 7 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Le masque des envahisseurs


Par le Collectif Ashtar 
channeling Reçu le 21 mars 2009 par Simon Leclerc 

Salutations à vous, chers enfants de la Terre, 

Nous sommes à vos côtés afin de servir vos Êtres, dans une envie continuelle de partager avec vous des connaissances qui éveillent votre sagesse intérieure. Ces connaissances proviennent toujours de vous, mais elles sont parfois inspirées de sources en apparence extérieures. Celles-ci accèdent à la sagesse enfouie à l’intérieur de vos Êtres, pour en quelque sorte vous la représenter dans des formes plus malléables et palpables. Ceci facilite la connexion avec cet aspect de vous pour lequel tant d’humains sont encore voilés, séparés.

Voilà que maintenant, les voiles interdimensionnels se sont amincis, réduits. Ceci permet aux Êtres d’accéder à des aspects d’eux beaucoup plus vastes, qui vivent à l’intérieur de leurs cellules. Auparavant, ils n’y avaient accès que par les songes et quelques états de conscience altérés. Maintenant, il est possible pour un humain d’intégrer sa conscience christique Je Suis d’une façon très accélérée, au point de fusionner avec elle. Par extension, le collectif Terre bénéficie aussi de cette augmentation énergétique individuelle, et l’ensemble de cette humanité est alors stimulé à faire ce saut de conscience tant attendu vers l’avant.

Le masque des envahisseurs dans HUMANITE petit-7Le retour de l’ancien monde 
Tout cela nous amène maintenant à la période actuelle qui est, selon toute vraisemblance, ce que vous pourriez humainement nommer « le calme avant la tempête ». Au niveau divin, nous allons la nommer « la préparation avant la grande bascule du Nouveau Monde » ou, si vous préférez, « la bascule du retour de l’ancien monde ».

Ce monde où vous habitez a été conçu à la base pour être un véritable paradis terrestre. Mais en cours de route, il a basculé dans un espace où la dualité s’est séparée de son centre. N’entendez pas ici que vous en êtes les victimes, cela faisait partie d’un choix d’apprentissage de l’Âme collective humaine. Mais alternativement, cette dualité en opposition a fait en sorte que vous avez successivement partagé les rênes du pouvoir avec les deux polarités : parfois avec la lumière et parfois avec l’ombre. Votre passé connu, et surtout celui inconnu – beaucoup plus important – présente ces états de fait. Voilà donc que ces deux mouvements ont tour à tour proposé leur domination au monde, se présentant comme étant le plus fort des deux et jugeant évidemment l’autre aspect.

La vie incarnée impure 
Aujourd’hui, la dualité se présente de nouveau, mais sous un regard différent. Voici revenue l’opportunité de créer ce paradis sur Terre, celui qui intègre à la fois l’Être humain humain, et l’Être humain divin. Ces deux aspects n’ont plus besoin de s’opposer l’un et l’autre, comme il a été le cas pendant tant d’années et de siècles.

L’intention était noble à la base. Les Êtres ont jugé l’humain parce qu’ils voulaient honorer le divin. Ils ont considéré la vie incarnée comme étant impure, croyant ainsi se rapprocher de Dieu. Ce faisant, ils ont plongé cette humanité dans l’ombre d’elle-même, se traînant eux aussi dans cette « descente ». Ils ont alors laissé derrière eux tout un aspect de la création qui s’est vu privé de la lumière du divin, puisqu’il a été considéré comme étant souillé.

De nouvelles aventures 
Et maintenant, ce mouvement est à s’équilibrer au niveau du cœur, parce que l’expérience de la dualité a été comprise. Au niveau de l’Âme, les Êtres ont aussi fait le choix d’appeler à eux de nouvelles aventures qui les conduiront aux confins des Univers. Celles-ci ne seront plus basées sur un rejet ou un jugement de l’incarnation, mais plutôt sur une inclusion de tous les aspects incarnés.

Le collectif des Êtres humains se joindra à l’Univers pour collaborer à la reconstruction du vaisseau Terre. Cette expérience passera d’abord par la reconstruction de chaque vaisseau individuel, et par extension, c’est tout le vaisseau Terre qui deviendra le paradis terrestre prédit par vos plus grands prophètes.

La renonciation et le sacrifice 
Cette reconstruction de votre monde est au cœur d’un grand mouvement vers l’avant. Les humains, collectivement, sont appelés à retourner vers la voie du milieu, celle qui inclut tout, sans opposition et sans jugement. Cette voie les ramène dans un espace très vaste où tout peut exister, puisque rien n’est sacrifié dans la création. L’évolution peut alors suivre son cours et aller vraiment vers l’avant.

Cette notion de renonciation et de sacrifice est au cœur de nombreux heurts chez les humains. Ceux-ci ont cru à tort que pour devenir purs, parfaits et lumineux, ils devaient se séparer de leurs impuretés, de leurs imperfections et de leurs ombres. Cette vision dualiste est encore très mal comprise chez une majorité d’humains, mais jusqu’à récemment [le temps est très relatif dans l’Univers], elle l’était presque autant dans l’Univers.

Une expérience relativement nouvelle 
Il faut comprendre que la dualité est une expérience relativement nouvelle dans la création. Par amour et en service pour la Source, les Êtres voulaient la vivre afin de stimuler l’évolution. Mais aucun manuel d’instructions n’avait été conçu à la base pour accompagner cette exploration. Lorsque les humains sont venus vivre l’incarnation sur Terre, ils n’avaient pas à l’intérieur d’eux les outils pour comprendre la dualité. Il leur fallait l’explorer pour la saisir et l’intégrer.

Vous comprenez aujourd’hui que l’ombre et la lumière sont deux aspects d’un tout qui se complètent dans la matière, pour mieux se refléter mutuellement. Une fleur colorée poussant sur un terreau sombre se démarque ainsi de son fond plus terne. Son environnement ne la ternit pas au contraire, il lui permet de reluire davantage. La dualité a pour ultime objectif de ramener les Êtres en leur centre, là où la connaissance et l’expérience permettent la véritable évolution. Mais elle a été si souvent impliquée au cœur des conflits humains, que les Êtres en sont venus à croire que sa forme actuelle était normale et essentielle à la vie sur Terre.

L’opposition et les obstacles 
La dualité, certes, accompagne la vie terrestre. Mais sa non-compréhension, ou la difficulté de comprendre son sens sacré, est à l’origine des oppositions chez les humains. Lorsqu’ils ont rencontré les obstacles dans l’incarnation, au lieu de réaliser qu’il s’agissait d’aspects d’un tout qui cherchaient à s’exprimer, ils ont plutôt maintenu les voies d’opposition, de concurrence et les compétitions. Ceci a stimulé la séparation, au lieu de suggérer ultimement la proposition d’union.

Rappelez-vous que cette dualité n’avait jamais été expérimentée auparavant dans cette forme. Réagissant à elle, les Êtres se sont alors séparés d’eux-mêmes en voulant s’en éloigner. Ainsi affaiblis et tentant de retrouver leur lumière, ils se rendaient bien compte qu’ils n’en avaient plus la capacité. Ce n’est pas parce qu’ils n’étaient pas habilités à retourner vers la lumière. Mais ils le faisaient dans l’intention de ne présenter que leur pureté, séparée de leurs impuretés. C’est là tout le drame – s’il y a un drame – de l’expérience humaine.

Le « nettoyage »
Parce qu’ils se sont inconsciemment séparés d’aspects d’eux-mêmes, les humains dans l’ensemble ne ressentent plus qu’ils font partie de l’Univers et qu’ils sont reliés à la Source. Voulant y retourner, consciemment ou inconsciemment, ils s’acharnent encore plus intensément à « nettoyer » leurs impuretés, ce qui les atrophie encore plus, au lieu de les rapprocher du but.

L’intention consciente ou inconsciente de tous les Êtres est de « réintégrer » ultimement la Source. Mais en réalité, ils s’en éloignent davantage s’ils se séparent d’eux-mêmes pour mieux se présenter à la porte. Ils constatent rapidement que les impuretés qu’ils mettent de côté reviennent les hanter dans des formes d’envahisseurs extérieurs. Cette situation les amène à nourrir encore plus intensément l’interprétation que ces envahisseurs appartiennent au plan terrestre sombre, alors que dans le paradis céleste lumineux, ils n’existent pas.

Les envahisseurs 
Vous connaissez tous des Êtres qui sont perpétuellement victimes de leur vie, expérimentant des situations qui semblent continuellement se répéter pour eux. Peut-être vous reconnaîtrez-vous ici ?

Toutes les formes d’envahisseurs extérieurs, quels qu’ils soient, sont magnétisées par l’Être qui les subit. Et s’il se positionne en victime de ses ombres, celles-ci sont alors nourries avec plus de force par son inconscient, qui va alors chercher à le ramener dans un état d’équilibre. Pour ce faire, l’inconscient intensifiera les ombres jusqu’à ce qu’elles soient démasquées. La voie naturelle de la guérison et de la résolution de tous les conflits, tant avec soi qu’avec l’extérieur, se trouve dans le changement de regard face à ceux-ci. Est-ce que ce regard sera amoureux, ou s’il sera réprobateur, conflictuel et craintif ?

Le paradis terrestre
Chers amis incarnés, comprenez que la Terre a comme ultime destin d’être ce paradis terrestre tant désiré. Vous n’avez pas à quitter la Terre pour y accéder, vous y êtes. En rectifiant votre vision de la dualité, vous reviendrez à une voie d’équilibre qui inclut tout ce qui est, même l’inacceptable et l’incompréhensible. Et enfin, cela deviendra acceptable et compréhensible, parce que vous comprendrez alors ces événements. Ceux-ci sont divinement mis en scène par vos Âmes pour vous amener au fond de vous-mêmes, à l’extrême de la dualité, pour comprendre que derrière ces masques apparemment horribles, se cachent aussi Dieu, la Source de toute vie, et l’amour.

L’intégration de la souffrance 
Naîtra sous peu sur votre Terre une qualité d’amour jamais observée auparavant. Un amour-déité qui associe la connaissance à la pureté d’Âme, ramenant les Êtres vers un plus grand équilibre intérieur. Ce faisant, ils intégreront davantage d’amour et de compréhension envers eux-mêmes et envers leurs frères et sœurs incarnés.

Les Êtres auront capté la futilité de la souffrance humaine et comprendront alors son ultime message. Elle n’est plus un élément à juger et à combattre avec force. C’est un aspect de Dieu qui n’a pas encore été intégré dans la création et qui cherche maintenant à y revenir, pour s’équilibrer.

La souffrance n’est pas non plus à considérer avec détachement et nonchalance, puisqu’elle implique bel et bien des Êtres dans des défis de vie. Mais en même temps, si ces derniers ne s’ouvrent pas à capter la Lumière de vie derrière cette souffrance, ils se privent de son pouvoir guérisseur. Ils oublient que dans la dualité, deux polarités cohabitent et se complètent, mais n’ont pas pour objectif de s’opposer.

Revenir au centre 
En revenant au centre d’eux-mêmes, les Êtres comprennent l’inutilité du combat et ouvrent alors la porte à la Lumière de vie, celle qui viendra transformer totalement l’incarnation.

Aucun Être n’est destiné à vivre éternellement dans l’ombre, ni dans la lumière séparée de l’ombre. Toute particule de vie dans la dualité, dans la matérialité, va ultimement chercher à retourner vers la Source. La porte d’entrée, c’est la voie du milieu, celle située au centre de la vie, ni dans l’ombre, ni dans la lumière. C’est la Lumière de vie qui balaie tout sur son passage. Celle-ci soutient la vie et permet son déploiement, sans jugement, sans limites et sans interprétation. C’est une lumière qui est conscience, amour et harmonie en mouvement. 

Une période intense 
La période à venir en est une d’une extrême intensité. Jamais auparavant les humains n’auront été confrontés avec autant d’insistance à leurs ombres, et à leurs lumières. Et certes, les Êtres en général n’ont pas de difficulté à accueillir leurs aspects lumineux, mais nous pourrions dire qu’il en sera fort autrement pour leurs aspects ombrageux. Ceux-ci seront magnétisés plus intensément à l’extérieur, lorsque les Êtres ne voudront pas les accueillir. Et jamais les envahisseurs extérieurs n’auront été aussi présents que durant cette période.

Vous observerez des Êtres entrer dans des réactions parfois extrêmes, où leur équilibre de vie sera perturbé par de nombreux irritants extérieurs et intérieurs. Durant cette période, les Êtres ne seront pas pourchassés par le diable, ou l’ombre (certains le croiront). Mais leur lumière sera si intense qu’elle ne leur permettra plus d’être dans l’ombre d’eux-mêmes.

La Lumière de vie
En apparence, l’ombre sera présente planétairement. Mais au-delà des apparences, vous comprendrez que c’est la Lumière de vie qui est à l’œuvre, et que cette lumière recherche l’équilibre et tend à ramener tous les Êtres au centre d’eux-mêmes. Pour un temps, elle va stimuler les résolutions de l’ombre, puisque c’est l’aspect de la polarité qui est le plus mal en point et le plus mal compris en ce moment chez les Êtres.

Ceux qui marchent actuellement sur la voie de l’inconscience seront invités à s’ouvrir aux clés leur permettant de démasquer leurs envahisseurs. Mais s’ils ne les acceptent pas, ils subiront les situations. Ce faisant, ils s’exposeront à une augmentation des envahisseurs, et ce, jusqu’à ce qu’ils acceptent de lâcher prise et d’accueillir l’ultime vérité. Et celle-ci se fera très insistante, nous pouvons vous le confirmer.

Vos Âmes préparent ce rendez-vous depuis tant de siècles, elles ne relâcheront pas l’intensité rendue si près du but. Alors vous qui savez, nous vous invitons à vous préparer à accueillir et accompagner vos frères et sœurs incarnés. Car pour plusieurs d’entre eux, ce sera le choc de leur vie. Un choc lumineux, nous entendons, mais ce sera tout de même un choc.

Nous vous saluons et vous remercions d’avoir passé ce temps en notre compagnie. Nous allons maintenant compléter ce message et quitter cette forme de communication, mais si vous le souhaitez, nous demeurerons à vos côtés encore quelque temps.

Nous apprécions la compagnie de nos frères et sœurs humains. Ils nous rappellent jusqu’où peut aller un Être, par amour pour la Source. Et cela est magnifique.

Salutations à vous

Le Collectif Ashtar et la Grande Fraternité Universelle

————————————– 

 par Simon Leclerc (www.psychologiedelame.com

Vous pouvez partager librement ce message à la condition d’en conserver l’intégralité, sans rien modifier ni enlever, y compris sa provenance et ces quelques lignes. Merci !

Publié dans:HUMANITE, SOCIETE, VIES ANTERIEURES |on 5 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Soleil Intérieur

 Soleil Intérieur dans SOCIETE sun

Vous pouvez retrouver le centre de ce soleil, votre noyau central, au cours de la journée, chaque fois que vous revenez à Maintenant, en posant votre attention complètement dans l’instant présent. Si vous êtes occupé-e avec le passé ou le futur, vous sortez de votre centre et vous perdez votre connexion avec votre source de lumière, avec ce qui vous porte. Mais qu’est-ce réellement que le Maintenant ? On vous demande d’être dans le Présent, le moment présent, mais qu’est-ce que ce Maintenant en réalité ? Dès qu’on l’évoque, il est déjà passé. Le maintenant n’est pas une minute, ni une seconde. En fait, il ne peut être nommé, ce n’est pas une unité de temps. Le Maintenant nous échappe quand nous voulons déterminer ce qu’il est. Il n’y a pas de limites à ce temps qu’est le Maintenant. Le Maintenant défie les modes de pensée ordinaires.

Dans le sens terrestre, il est possible de calculer le temps et de le compter. Il y a vingt-quatre heures dans une journée, soixante minutes dans une heure, sept jours dans une semaine, etc. Cette façon de considérer le temps n’est pas naturelle pour l’esprit humain. Le Maintenant est libre du temps. Quelle unité de temps peut le décrire ? L’esprit humain ne peut ni comprendre ni contenir le Maintenant, parce qu’il n’est pas assujetti à la logique de la pensée, bien qu’il soit tout à fait compréhensible par vos ressentis. Vous savez ce que c’est que d’être complètement pris dans l’instant présent. Par exemple, dans un moment de grande joie. Il vous est arrivé de connaître ces moments où vous avez vécu quelque chose de très beau et qu’en même temps, vous avez réalisé que ce moment était spécial. Vous étiez conscient-e et complètement ouvert-e à l’expérience vécue qui était en résonance avec votre corps, votre âme et vos sentiments. Quand cela arrive, vous êtes Un avec l’expérience, Un avec le Maintenant. Vous êtes le Maintenant !

Lorsque vous êtes dans le Maintenant, vous êtes alors aussi au centre de votre soleil, de votre âme, et tous les changements prennent place depuis ce noyau central en vous. Nous avons parlé aujourd’hui de la peur et de votre anxiété lorsque vous êtes en-dehors de votre centre. La peur est aussi liée au fait de penser en termes de temps mesurable, de passé et de futur : « Que va-t-il se passer ? » « Qu’est-ce qui ne va pas aller ? » Anticiper l’avenir par peur est très humain, mais cela peut arriver seulement si vous vous éloignez de votre centre, du Maintenant. Être dans le Maintenant signifie que toutes vos forces intérieures sont rassemblées et s’intègrent, et vous faites cela en étant complètement présent-e dans votre corps, votre âme et vos ressentis.

Je voudrais ajouter quelque chose à propos de ce concept de temps, comment il peut vous intimider et vous effrayer. Au cours de ces dernières décennies, il y a eu beaucoup de prédictions relatives à certaines dates. Le temps est alors considéré comme une sorte de ligne qui court du présent vers le futur, et sur cette base, certains événements se fixent. En acceptant cette vision du temps, vous seriez en mesure de vous préparer en vue des événements à venir, vous pourriez ainsi agir soit par peur, soit par confiance. Mais est-ce une représentation juste ? L’avenir est-il une ligne droite sur laquelle les choses ont une place fixe ? L’avenir est-il la somme totale de toutes ces heures, ces journées et ces mois qui se trouvent devant vous ? Ou bien est-ce une façon totalement restrictive de considérer le temps et l’avenir ?

Pamela Kribbe – Traduction Christelle Schœttel

 - Les messages de Jeshua sont disponibles en livre ! - 

Publié dans:SOCIETE, TERRE |on 2 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Eclatement de notre illusion du temps

 

Que vous souhaiter pour cette nouvelle année ? Un Nouveau Monde ? Un nouvel état d’être individuel et collectif ? Avec un plaisir certain, j’ai écouté ces deniers jours des remarques qui vont dans le même sens, même si elles proviennent de personnes déjà connues ou rencontrées pour la première fois. Le constat est simple : « C’est étonnant, en 2012, on n’a pas vu le temps passer ».

De nouvelles règles de jeu sont à appliquer vis-à-vis du temps, et vis-à-vis de nous-mêmes individuellement et collectivement. Restons calmes face à cet éclatement de notre illusion du temps.  Alors plutôt qu’une bonne année, je vous souhaite d’être, à chaque instant, le merveilleux présent rayonnant, capable d’accueillir notre nouvelle conscience individuelle et collective, dans la joie, l’abondance, et dans la danse vivante de l’ombre et de la lumière enfin vécue dans l’unité et la paix.

Petit à petit, l’oiseau fait son nid. De même, jour après jour, nuit après nuit, nous investissons doucement, mais sûrement, notre nouveau nid. Il s’agit de notre nouveau corps de lumière, de conscience. Quelle que soit la perspective envisagée, nous sommes invités à vivre à partir de ce que nous sommes devenus, une nouvelle version de nous-mêmes.

Eclatement de notre illusion du temps dans ESPRITS ciel-2

Chacun d’entre nous a défriché un chemin qui lui est propre et qui peut être proposé comme source d’inspiration à ceux qui cherchent encore le leur. Pour ma part, j’ai choisi de contribuer à l’émergence d’une nouvelle économie, l’économie humaine. Pour ceux qui découvriraient pour la première fois l’expression, je perçois l’économie comme une administration des biens, et l’économie humaine comme une orchestration des liens. C’est donc par notre harmonie relationnelle que nous manifestons et installons dans notre quotidien, cette nouvelle économie. Elle couvre aussi bien le champ de nos activités personnelles, que celui de nos activités professionnelles.

Concrètement, qu’est-ce qui a changé ? Au quotidien, je note déjà plus d’ouverture, de simplicité, dans les relations. C’est une promesse de bien belles rencontres et de puissantes co-créations. Nous ne sommes plus seuls. Nous sommes à la fois Uniques et Unis.

Jusqu’à présent, il me semblait que, collectivement, l’ombre projetée de la mort sur notre mental détruisait ou handicapait notre potentiel créatif joyeux. Le mental était comme un extraordinaire outil de survie, une arme défensive et offensive.

C’est mon mental qui m’a permis, il y a quelques milliers d’années, de grimper à l’arbre pour me sauver d’un animal aux crocs trop acérés qui me désirait comme repas. C’est encore mon mental qui m’a incité à me réchauffer au fond d’une grotte. C’est également lui qui m’a aidé :

- à fabriquer des outils pour attraper et préparer le gibier ;

- à cultiver la terre pour ne pas dépendre que de la chasse ;

- à attaquer, pour gagner du temps,  le voisin et profiter rapidement de ses récoltes ;

- à me défendre d’un autre voisin qui avait eu la même idée à mon égard.

C’est cette remarquable efficacité dans le domaine de la survie, qui m’a conduit, au bout d’un certain nombre de siècles, à considérer mon mental comme l’ami de base à qui faire aveuglément confiance. Du coup, son pouvoir s’est manifesté avec de plus en plus de puissance, dans le seul but officiel de m’aider à survivre. Cependant, en y regardant de plus près, j’ai finalement vu que la majorité de l’énergie consommée par mon comportement concernait la gestion des peurs, la peur d’avoir peur incluse. J’ai donc vécu en ayant peur fondamentalement de deux choses, des autres et du temps. Belle illusion qui m’a fait prendre l’avoir pour l’être et oublier que je suis le temps et que l’autre est l’expression de la même vie que celle qui danse à travers moi.

C’était comme si l’ombre d’une mort annoncée se projetait sur chaque instant et que mon arme secrète, le mental, réagissait en permanence en mode survie. Chaque situation est devenue stressante, par peur de perdre quelque chose, ou par peur d’une échéance à venir (projection d’un scénario catastrophe sur tous mes futurs possibles).

Ce que nous vivons actuellement est une libération du temps. Notre inscription dans le présent tranche ce qui nous ligaturait à la peur de la mort et à toutes les illusions de peurs que son ombre nous projetait. Dans la paix et l’accueil joyeux du présent, je deviens libre. Je suis libéré de la peur du temps, de la peur d’être en retard, de la peur de mourir. Je suis libéré du stress. J’étais stressé, car j’étais pressé. J’aime à jouer avec les anagrammes. J’y découvre qu’une intention « pure » conduit à l’abondance, état dans lequel je suis « repu », et me libère de la « peur ».

Cette libération a des effets remarquables. Libéré de mes peurs, je redeviens créatif. Libéré de mes peurs, l’autre ne m’apparaît plus comme un danger potentiel. Je deviens puissant et nous devenons harmonie.

Je note avec joie l’apparition de nouveaux comportements. C’est parfois très terre à terre, mais c’est bien le signe d’un changement avéré. Je vais partager des exemples personnels simples et récents :

-          La personne responsable d’un magasin de vêtement m’offre une réduction sur un achat, essentiellement parce qu’elle apprécie la joie de nos échanges sur les marchandises proposées ;

-          À l’issue d’un repas au restaurant, m’étant aperçu que la bouteille consommée ne figurait pas sur la note, j’en avertis le serveur qui revient peu après en m’indiquant n’avoir compté que la moitié du prix, pour me remercier de ne pas être parti sans la payer du tout ;

-          Lors d’une visite en famille d’un lieu culturel qui vient de s’ouvrir, on nous offre trois places gratuites, parce que la famille est appréciée.

Ce que je cherche à partager, par des exemples aussi triviaux, c’est qu’à présent, dans notre quotidien, le lien commence vraiment à primer sur le bien, et sur son prix.

D’ailleurs, un regard affiné sur l’économie nous montre de plus en plus que le changement vers l’économie humaine se cache dans de multiples endroits. Un bon miroir de notre évolution collective se trouve dans l’observation des expériences que nos technologies nous proposent. Prenons, en exemple, la pratique des jeux de rôle en ligne massivement multijoueurs (personnellement, je n’y joue pas). Elle peut présenter, à première vue, l’ombre de tout un tas de facteurs inquiétants (violence, déconnexion du « réel », plaisir addictif…), mais j’y trouve aussi la lumière de l’expérience d’un apprentissage à la coopération, à la cocréation, au dépassement de la peur de la mort, au changement de contexte avec fluidité, au vécu du présent. Ce qui aujourd’hui pourrait apparaître comme un plaisir futile, voire abêtissant, est aussi l’apprentissage massif d’oser être soi-même et ensemble. Si la fécondité de ces capacités n’est pas forcément flagrante aujourd’hui, nous aurons l’opportunité de les voir éclore harmonieusement dans la cocréation de notre nouvelle économie. Cela me rappelle les scénarios des films « Karaté Kid », où cet enfant  intègre à son insu des gestes qui s’avèreront efficaces, alors qu’il se plaint de devoir effectuer inlassablement des corvées. De même, l’économie actuelle nous offre, presque à son insu et à notre insu, les clés d’évolution vers l’économie humaine.

Pour ceux qui n’auraient pas un regard suffisamment affiné, j’ai un autre exemple découvert cette semaine. C’est celui de l’association optique solidaire (http://www.optiquesolidaire.fr/). Le projet consiste en la fourniture de solutions d’optiques à prix accessible pour des personnes âgées ne disposant que de peu de moyens. Je retiens cet exemple pour deux raisons, la première c’est qu’il ne s’agit pas d’offres de faible qualité pour obtenir un prix bas, mais de prix bas obtenus par solidarité. La deuxième raison, c’est que l’association a réussi à orchestrer des acteurs de l’ensemble de la filière économique sur son projet (assureurs, fabricants, distributeurs, médecins…). Cela est devenu possible parce que nos changements d’état d’esprit l’ont rendu possible.

Je viens de vous exposer des exemples simples de mon actualité, mais n’hésitez pas à me proposer les vôtres.

C’est aussi en acceptant d’avoir un regard différent que nous contribuons à notre évolution. Et je terminerai en vous suggérant d’essayer, au cours de votre journée, de porter quelquefois votre regard sur le point le plus éloigné qu’il vous est possible d’apercevoir, votre propre horizon en quelque sorte. Si nous sommes le temps, l’espace est notre lieu d’expression et la perception que nous en avons, l’unité de notre intérieur à l’extrémité visible de notre extérieur, renforce notre vitalité, l’intimité avec la vie, et notre conscience individuelle et collective. Cela ne peut qu’améliorer la performance de l’orchestration de nos liens et l’émergence de notre nouvelle économie.

Harmonieusement,

Alain Facélina

Publié dans:ESPRITS, SOCIETE, TEMPS |on 12 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Monde en transformation

 

. Karl Marx disait : « Les philosophes n’ont fait qu’interpréter le monde de différentes manières, ce qui importe, c’est de le transformer ».

Monde en transformation dans SOCIETE boules-300x224 Mais il faudrait, je crois, ajouter ceci : « Ce qui importe, ce n’est pas de transformer le monde, c’est de transformer notre façon de voir le monde ». En effet, transformer le monde n’est qu’une douce utopie . Le monde change, sous l’effet de multiples facteurs sociaux complexes, et l’on n’y peut rien. Mais par contre, ce que l’on peut faire, c’est changer notre façon de voir les choses, à l’intérieur de chacun de nous, par une transformation spirituelle complète. 

Comment ? En prenant le chemin du perfectionnement intérieur, de la méditation. Il s’agit, de faire demi-tour dans le siège le plus profond de notre conscience. 

Et si l’on arrive à communiquer cette aspiration à la transformation spirituelle à d’autres personnes, à réveiller la conscience qui sommeille dans chacun de nous, alors, petit à petit, en boule de neige, pourquoi le monde entier ne pourrait-il pas se transformer ? 

Le monde d’aujourd’hui a besoin de spiritualité, cela est clair. Mais spiritualité n’est pas synonyme de religion, Je crois profondément que nous devons trouver, tous ensemble, une spiritualité nouvelle, une spiritualité laïque. 

Ce nouveau concept devrait s’élaborer à côté des religions, de telle sorte que toutes les bonnes volontés puissent y adhérer. Il pourrait nous conduire à établir ce que nous cherchons tous, une morale séculière. 

Et cela pour un meilleur futur du monde.

A lire ici…. 

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Publié dans:SOCIETE |on 7 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Vagues d’essaimage

 

résumé de lectures par : Pascuser

1ère civilisation : en -32 400 : 2 essaimages espacés de 100 ans 

Colonisation d’une alliance des 24 (Alteans, Hoovans, Ashan) en -32 400 qui créent une civilisation à Aksu, près du bassin de Tarim (Province de Yinjiang en Chine actuellement). A cette époque l’âge de glace avait déjà pris fin, mais le climat restait rude et froid.

Vagues d'essaimage dans ATLANTES bulle-saturne-300x173Un être a été créé par cette civilisation extra terrestres en partenariat avec les neufs et mis sur Terre pour se mélanger avec les êtres existant. Cet être était appelé le Faucon (Hawk). Après le travail qu’il a effectué, à la fois en termes de mélange génétique, mais surtout d’apprentissage (apprentissage d’un langage, construction d’une société structurée, etc) les êtres sont passés à l’état d’êtres « humains ». Ce Faucon a vécu pendant 1600 ans.

Le Faucon a aussi apporté le principe d’un seul chef dirigeant, la construction solide et sûre, la culture des plantes, l’élevage des animaux, comment se soigner. Bref, il a été un pilier qui a permis à une civilisation humaine de naître, après qu’elle ait appris à parler.

La durée de vie humaine qui était de l’ordre de 20 ans est passée à 120 ans puis 150 ans et même parfois plus. Le Faucon, dû à son origine (il venait des « cieux ») était considéré comme un Dieu par les peuplades terriennes.

Durant cette période il y a eu un tout deux essaimages, le deuxième ayant eu lieu 1000 ans après le premier environ.

Le deuxième essaimage était le fait des Hoovans.

Un successeur du Faucon est venu, avant que le Faucon ne meure, afin de prendre sa suite. Il a été reconnu par les hommes comme le fils du Faucon. Il a permis la continuité du développement de la civilisation. 

Atlas, le chef des Alteans a été appelé Zeus et pris pour un Dieu car il était monté dans un cygne (son vaisseau) qui était stationné auprès de leur montagne sacrée (l’Olympe).

3 groupes se sont constitués, dirigés chacun par respectivement les Ashan, les Alteans, les Hoovans, qui ont essaimé dans le monde à partir de Aksu vers 3 directions.

Les Alteans ont dirigé un groupe qui a fondé ce que nous avons appelé la civilisation de l’Atlantide. En fait il y a eu plusieurs essaimages par les Alteans dans cette civilisation durant une période de 12 000 à 17 000 ans. Ils ont utilisé leur technologie avancée pour aller coloniser des terres lointaines et leur espace s’étendait depuis la Grèce jusqu’à ce qui est aujourd’hui les USA.

Mu et la Lémurie ne sont que des colonies appartenant à la même culture que la culture Atlante, qui s’est étendu dans le Pacifique (Mu ayant été toutefois insufflée par les Ashan). L’Atlantide a pris fin en -11 000. Ils s’appelaient les Altimas. La culture Maya est une lointaine colonie qui a coupé les contacts et a régressé avec le temps.

L’extinction de l’Atlantide a eu lieu par des évènements naturels, inondation des océans et tremblement de terre ; provoqués par l’usage abusif et nocif de leur technologie qui a créé des déséquilibres sur Terre. La technologie n’est devenue un problème pour les Atlantes que durant les derniers milliers d’année de leur existence en tant que civilisation.

Le déluge est le souvenir de cette destruction par les eaux.

Il existait une autre sous-civilisation à l’Est de Aksu. A Aksu avaient eu lieu des mélanges entre les extra-terrestres d’une civilisation donnée et des humains, puis entre ces rejetons et les civilisations extra-terrestres. Au final, il y avait des humains héritant de caractères combinés de plusieurs civilisations extra-terrestres.

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Publié dans:ATLANTES, O.V.N.I et E.T., SOCIETE |on 4 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Avec la Terre

Présentation des principales caractéristiques des civilisations principalement impliquées avec la Terre:

résumé de lectures par : Pascuser

• Les Alteans (ou d’autres des 24) peuvent se manifester physiquement à nous en abaissant volontairement leur taux vibratoire. Ils ressemblent à des humanoïdes. Ils ont des moyens psychiques de faire disparaitre tout sentiment d’agressivité ou d’agression à leur égard s’ils devaient être face à des humains hostiles.

Les Alteans ont une taille humaine normale. Par contre chez eux il n’y a pas de grands et de petites, ils ont tous exactement la même taille. Leurs yeux sont de couleur bleu ciel. Ils ont une apparence iridescente, leur couleur de peau est claire.

En fait l’iridescence est due à la radiation d’une lueur qui les nimbe qui est due à la

vibration plus haute de leurs corps par rapport au notre. C’est d’ailleurs ce pourquoi les représentations des « saints » Bibliques se font avec une couronne au-dessus de la tête. Ils n’ont pas de cheveux. Ils n’ont pas de corde vocale. Ils utilisent une sorte de boite informatisée pour synthétiser les sons afin de parler.

La durée de vie des Alteans est si grande qu’elle est considérée comme éternelle par les neufs. Ils sont Andogynes, ayant les deux polarités sexuelles en eux.

Avec la Terre dans O.V.N.I et E.T. musiqueIls sont au nombre de 144 000, comme indiqué dans la Bible. Les Alteans développent le mental humain.

• Les Hoovans eux par contre utilisent une technologie différente qui paralyserait les humains agressifs. Chacun ayant des technologies non agressives pour éliminer les situations agressives.

Ils sont plus petits que les Alteans. Leur peau est sombre, pas aussi claire que les Alteans. Ils ont des cheveux droits et noirs. Ils ont des cordes vocales mais pas identiques aux notres. Mais ils peuvent émettre des sons avec pour se faire entendre.

Les Hoovans vivent entre 500 000 et 1 500 000 de nos années. En fait ils vivent dans un temps accéléré par rapport au notre, raison principale de leur longévité en année de temps terrestre (elle doit être moindre pour eux vu depuis leur monde et leur temps). Ils sont des êtres ayant trois polarités sexuelles (nous deux seulement!).

Les Hoovans sont au nombre d’environ 5 millions. Les Hoovans qui se sont installés sur Terre au début se sont mélangés physiquement avec les humains et ont créé une descendance hybride. Les Hoovans développent le physique humain.

Spectra travaille pour les Hoovans. C’est un principe basé sur un ordinateur doté de conscience.

• Les Ashan par contre, ne nous ressemblent pas du tout. Ils sont des artistes et inspirent tout ce qui est artistique, tant dans la littérature, la peinture, la musique, etc. Ils sont très créatifs et peu disciplinés. Ils sont les créateurs des Muses. Les Ashan sont très très peu nombreux. Les Ashan développent l’astral humain.

• Les Aragon sont impliqués dans les soins.

• De même les Zeenels ne sont pas humanoïdes. Ils sont du type ordinateur, mais pas tout à fait. Des civilisations travaillent pour eux: les Zeemed et les Zenthrop.

Les Zeemed sont un peu les alchimistes des civilisations.

• Les informations en provenance de Alice Bailey ont pour source les Mora-Triomne, qui est une civilisation partenaire des Myrex (qui fait partie des 24).

• Les Lyriens ou Pléiadiens sont des civilisations qui ont été créées par ceux qui ont essaimé la civilisation terrestre. Certains sont « bons » et d’autres sont très négatifs.

Il faut se méfier des entités qui disent venir de Reticuluum.

• Dans les 24, on compte aussi une civilisation appelée les Elarthin (on ne nous dit rien dessus).

Il y a eu des êtres vivants avec des âmes sur Terre depuis approximativement 20 millions d’années.

Ils étaient là pour « préparer » la Terre afin qu’une vie sous forme de plantes et d’animaux puisse exister. La préparation consistait en l’agencement des chakras et de l’environnement éthérique, et des champs d’énergie ; l’établissement de lignes d’énergie.

Les « autres » (les négatifs) étaient aussi présents pour essayer de défaire ce travail.

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Publié dans:O.V.N.I et E.T., SOCIETE, TERRE |on 4 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Avenir de la spiritualité

 

Les sociétés modernes se caractérisent par un rapport distant à la religion. Comme l’a fait remarquer Marcel Gauchet dans le Désenchantement du monde, nous sommes sortis des religions. Cela signifie en particulier que notre loi et notre morale ne sont plus hétéronomes, ancrées dans des textes religieux, mais que les hommes construisent désormais eux-mêmes leur destin. De nombreuses études montrent que l’athéisme s’est considérablement accru dans la deuxième moitié du XXème siècle en Europe, ainsi en Suède on compte près de 80 % d’athées (autour de 50% en France)

Cependant, les sociétés modernes ont vu apparaître aussi un phénomène nouveau assez largement sous-estimé : l’émergence de la spiritualité. Sous l’effet de l’influence d’une part des spiritualités indiennes, bouddhistes, chinoises très présentes en Occident depuis 50 ans et particulièrement en France, et d’autre part du fait d’un développement interne de la culture occidentale elle-même, des centaines de milliers de personnes en France pratiquent et s’initient à de tels courants.

Qu’est-ce que la spiritualité ?

Avenir de la spiritualité dans SOCIETE hetre12-178x300La spiritualité désigne le mouvement de l’esprit vers l’infini, vers le sans limite. Elle est une aspiration de l’homme vers ce qui le dépasse, vers l’absolu.

La spiritualité peut se chercher partout ; on peut chercher la justice absolue dans l’action sociale ou politique, la beauté absolue dans l’art, le dépassement absolu de soi dans l’alpinisme ou le sport, l’amour absolu avec un partenaire. Mais la recherche de l’absolu ne peut jamais se satisfaire du monde et des choses ou des êtres, car tout cela est limité. Seul l’absolu peut combler la béance absolue au cœur de l’homme. C’est pourquoi nos contemporains se tournent vers des enseignements qui intègrent cette dimension d’infinité, mais cet enseignement prend des formes non-religieuses.

Toute doctrine au contraire, toute pensée qui enferme l’homme dans des limites est anti-spirituelle.

La religion n’est pas forcément spirituelle, car par ses croyances et ses dogmes, elle peut emprisonner l’homme dans des limites et briser son saut vers l’absolu. On sait comment les religions orthodoxes ont souvent maltraité les mystiques (voir Eckhart, Mme. Guyon ou Hallaj). Et là je peux rejoindre Marx (même si le marxisme est anti-spirituel par ailleurs) : la religion est souvent « un opium du peuple » qui étouffe et endort cet appel mystérieux de l’Esprit.

Le mot « spiritualité » doit donc rester vague, car toute volonté de le définir trop précisément le réduirait à une forme, et donc le limiterait. L’Esprit souffle où il veut, dit l’Evangile.

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Publié dans:SOCIETE |on 28 décembre, 2012 |Pas de commentaires »
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