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Le médium qui sommeille en nous

La voyance est-elle un don ou serions-nous tous capables d’obtenir intuitivement des informations que nous ignorons ? Pour Alexis Tournier, médium depuis 15 ans, devenu le premier Remote Viewer français, il y a 5 ans, nous aurions tous en nous cette faculté. Comment la réveiller ? La clé se trouverait dans le Remote Viewing.

Le médium qui sommeille en nous dans MEDIUM oracle_oui_non

Le Remote Viewing (en français, vision à distance) est une pratique intuitive permettant de développer l’intuition et les perceptions, principalement pour obtenir des informations spécifiques, relatives à une problématique définie, physiquement inaccessibles par des moyens conventionnels. Cette méthode englobe un ensemble de protocoles et de techniques qui ont été développés dans les années 70 aux États-Unis, sur la base des travaux scientifiques menés principalement dans les laboratoires du PEAR, du SRI et de la Mobius Society. Certaines de ces recherches initiales ont été menées dans le domaine civil (par exemple les travaux de la Mobius Society dirigée par Stephan A. Schwartz), surtout dans les cadres de l’archéologie, de la finance et d’enquêtes. D’autres ont été financées par des organismes militaires (comme la CIA, la DIA…) qui ont par la suite créé une unité de renseignement pour « espions psychiques » : c’est le fameux programme Star Gate. Le plus célèbre remote viewer : Joe Mc Moneagle, espion extrasensoriel engagé par la CIA, la NASA et le FBI pour des missions très spéciales comme la récupération d’otages. Les résultats qu’il a obtenu lui ont valu d’être plusieurs fois récompensé. Entretien avec Alexis Tournier, médium depuis 15 ans, devenu le premier Remote Viewer français.

Comment vous êtes-vous intéressé au remote viewing ? 
J’ai accepté de participer, il y a quelques années, à une série d’expériences menées par des chercheurs et des étudiants en parapsychologie de l’Institut Métapsychique International (IMI). Ayant moi-même un parcours scientifique, j’avais très envie de voir s’il était possible de comprendre le fonctionnement psychique et intuitif de la capacité de voyance, une activité qui, à la base, n’a aucun fondement rationnel. Je devais, comme les autres voyants qui participaient à ces protocoles de tests, décrire le contenu d’une enveloppe fermée. C’est dans ce cadre-là que j’ai appris qu’il existait des techniques élaborées de vision à distance, que tout le monde est capable d’utiliser. J’ai alors voulu me former au Controlled Remote Viewing avec d’anciens viewers militaires américains. Cette méthodologie est née des différentes recherches sur les phénomènes PSI – télépathie, états modifiés de conscience, clairvoyance… – menées par deux physiciens américains, le Dr Hal Puthoff et le Dr Russell Targ. Ensemble, ils ont proposé une approche scientifique des perceptions intuitives. Ce qui est intéressant, c’est que le Remote Viewing remet en questions le « don » – comme on l’appelle à tort – de voyance car les différentes recherches effectuées tendent à prouver que ces capacités intuitives sont finalement à la portée de tous. 

Cela ne nécessite-t-il pas certaines prédispositions ? 
A moins d’avoir des problèmes d’ordre psychologique ou un dérèglement psychoémotionnel important, je ne connais personne qui ne soit jamais parvenu à trouver des éléments tangibles du contenu d’une enveloppe. 

Suffit-il de se former au Remote Viewing pour être voyant ? 
Disons que plus on s’entraîne, plus on développe son intuition. De nombreux stagiaires que j’ai eus en formation chez IRIS Intuition Consulting pensaient ne pas avoir une once d’intuition dans la vie. Pourtant, certains se sont avérés très brillants, parfois même bien meilleurs que moi. Leurs résultats étaient parfois stupéfiants, et dignes d’un scénario de science-fiction. Certains pourraient en effet faire de très bons voyants ! 

Des exemples marquants dont vous vous souvenez ?
Un stagiaire avait pour cible l’animatrice de talk show américaine Oprah Winfrey. Il a senti que c’était une femme, contemporaine, il a également décrit l’environnement show biz dans lequel elle évolue, sans toutefois mettre un nom dessus. Puis, il a senti qu’elle avait toujours un objet dans la main comme un totem ou un emblème de sa fonction. « Elle ne peut s’exprimer sans avoir ce truc-là », a-t-il ajouté. Il a alors pris de la pâte à modeler et sculpté quelque chose qui avait bel et bien une forme de micro. Un autre stagiaire devait trouver un événement récent : le saut en parachute depuis l’espace réalisé par l’autrichien Felix Baumgartner. Il a dessiné une capsule avec un gars qui saute dans le vide, et décrit très clairement les conditions sécurisées, la personnalité aventurière du parachutiste… Dernier exemple, celui d’une autre stagiaire qui avait pour cible la sonde Curiosity envoyée sur la planète Mars. Je me souviens que c’était très drôle car sans bien comprendre de quoi il s’agissait, il soulignait une dichotomie entre le côté totalement désert du lieu et la présence de la technologie. 

Quelles différences entre la technique du Remote Viewing et la voyance ?
Pour le Remote Viewing comme pour la voyance, je fais appel aux mêmes facultés, et j’utilise les mêmes canaux. La différence c’est qu’en Remote Viewing, on ne connaît pas la nature de sa cible, on travaille en aveugle, et on doit décrire de la manière la plus précise possible ce qui est contenu dans l’enveloppe, en suivant un protocole précis, sans jamais tomber dans l’interprétation. Si par exemple, je sens que l’objet que je dois trouver a quatre pieds et qu’on peut s’asseoir dessus, je ne dois pas déduire qu’il s’agit d’une chaise. Je dois d’abord me concentrer sur mes sensations premières. En revanche, lors d’une séance de voyance, le consultant, assis face à moi, interagit, me pose des questions. Je vais donc sentir son angoisse, ce qu’il a envie de savoir, ce qu’il désire entendre. J’engrange aussi inconsciemment tout un tas d’informations non verbales – son apparence, la manière dont il s’exprime, sa gestuelle… Des éléments perturbateurs qui biaisent mon ressenti, et donnent lieu à des interprétations. Pour rester dans l’information brute, il faudrait que je ne voie pas la personne, et que je ne l’entende pas. C’est pourquoi, je commence toujours la consultation avant que la personne n’arrive au cabinet. Ce qui me permet d’obtenir de l’information pure.

Comment pensez-vous que les viewers comme les voyants captent leurs informations ? 
Je pense qu’on se connecte à une espèce de matrice de l’information, à un champ de conscience universel, à une immense base de données invisible. Par un processus inconscient, ces informations sont décryptées par le corps, à travers les cinq sens. C’est comme si on nous téléchargeait des kilooctets de bits informatiques et qu’on se branchait sur le bon logiciel de décodage.

source : http://www.inrees.com/

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 28 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Changer par la magie des contes

 

Jean-Pascal Debailleul

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 Changer par la magie des contes dans GUERISON 2

 

 « De tous temps, les mythes ont fécondé le politique, les contes ont transmis de façon simple et populaire l’art de traverser les épreuves et de se ressourcer aux origines de l’humain. Clefs de sagesse et portes d’inspiration, ils ouvrent des passages qui permettent de comprendre et d’agir dans une réalité de plus en plus complexe », dit Jean-Pascal Debailleul.

A 60 ans, cet inlassable quêteur de vérité a suivi des chemins variés : publicitaire, éditeur, thérapeute, consultant, formateur, il a ensuite mis au point une méthode de connaissance et de réalisation de soi par les contes merveilleux (1). 

Les contes mettent en scène un monde non linéaire, un monde en volume où tous les règnes s’interpénètrent. Les animaux parlent, les objets sont vivants, et tout agit en interdépendance et en réciprocité. 

Il était une fois deux hommes qui voyageaient ensemble, comme ils s’étaient arrêtés en chemin pour laisser tomber la chaleur, l’un d’eux s’étendit à l’ombre. Tandis que l’homme dormait, l’autre crut voir une mouche sortir de la bouche de son compagnon et entrer dans le squelette d’une tête de cheval qui se trouvait par là, et cette mouche tourna dans la tête de cheval dont elle visita tous les recoins puis elle revint « dans » la bouche du dormeur. Celui-ci dit à son réveil : « Si tu savais le beau rêve que je viens de faire, j’ai rêvé que j’étais dans un château où il y avait une infinité de chambres toutes plus belles les unes que les autres et sous ce château, jamais tu ne voudrais le croire, était enterré un grand trésor ». L’autre lui dit alors : « Tu veux que je te dise ce qui s’est passé : regarde, tu es allé dans cette tête de cheval, oui… Oui j’ai vu ton âme sortir de ta bouche sous la forme d’une mouche et se promener dans tous les recoins de ces ossements puis elle est rentrée dans ta bouche ». Alors, les deux hommes soulevèrent cette tête et creusèrent dessous et ils découvrirent un grand trésor. 

Le vœu oublié 
Les contes réveillent en nous un vœu oublié, le rêve d’une réalité qui se conforme à nos aspirations profondes, et qui s’ajuste à notre désir d’être qui tarde tant à s’accomplir : voler, marcher sur l’eau, donner, guérir, aimer, être…Ces grands vœux nous effleurent, et le conte, puisant dans les sagesses les plus anciennes, nous indique comment les réaliser. « Les contes invitent à une créativité d’intuition, de vision, d’inspiration. C’est de là que je suis parti pour élaborer ma méthode de transformation de soi par les contes, il y a 20 ans et extraire des contes des outils de connaissance de soi qui permettent cet accomplissement intime. Mais aujourd’hui, dans le foisonnement novateur de notre époque en pleine mutation, c’est en créateurs que nous devons imiter le héros des contes. Et j’ai créé pour cela la démarche d’Eurêka qui synthétise la puissance créatrice du héros. » 

L’Eurêka ! au niveau psychologique 
Le cerveau contrôle notre conscience et tient tout fermé, comme la chambre noire de l’appareil photo. Soudain, l’obturateur se déclenche et l’intuition surgit, c’est le moment d’ouverture de l’appareil : la lumière se grave sur la pellicule, le contact avec la réalité est direct. C’est un lâcher prise. Eurêka ! est un instant de vérité. « Eurêka ! » c’est découvrir les solutions latentes, évidentes et lumineuses, des problèmes majeurs que nous rencontrons.

La démarche d’Eurêka ! est un entraînement au mode intuitif de résonance et de lâcher prise qui donne à faire vivre personnellement l’expérience d’Eurêka ! à volonté dans tous les domaines pour ensuite induire cette expérience, la stimuler, la déclencher ou la provoquer chez les autres. Le savoir-être de l’archétype du Héros des mythes et contes millénaires, ainsi que la méthodologie Horaklès de la Voie des Contes, forte de son expérience de ces 25 dernières années, en apportent les clés pratiques. 

Les praticiens Eurêka se forment à la création en un double programme : un séminaire sur la synchronicité pour acquérir la posture d’ensemble à la croisée des tendances et un cursus de pratique de l’Eurêka individuel et collectif, dans tous les domaines (développement personnel, coaching, thérapie, conseil).

  (1)Cette méthode est enseignée dans les séminaires et ateliers de La Voix des Contes 25 rue Titon 75011 Paris. Réunions de présentation en septembre. Site internet : www.lavoiedescontes.com 
  Jean-Pascal Debailleul a publié plusieurs ouvrages : Changer par la magie des contes (éditions Albin Michel, 1998) ; Se réaliser par la magie des coïncidences (Jouvence, 2000) ; La synchronicité par les contes et Le Jeu de la voie des contes (Le Souffle d’or, 2003 et 2007). Horaklès, le jeu du héros (Guy Trédaniel, 2009)

Publié dans:GUERISON, LUMIERE, POUVOIR, SOCIETE |on 16 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Comment voir l’aura

 

Comment voir l’aura dans DEVELOPPEMENT laura

Si vous désires vraiment voir l’aura et apprendre quelque chose à son sujet, je vous suggère d’abord la lecture d’un livre ou deux sur les traitements par la gamme chromatique. Ainsi, vous vous familiariserez avec les significations des diverses couleurs.

En fait, Drunvalo Melchizédek a découvert que nous possédons déjà cette connaissance dans notre subconscient.  Il y a très peu de différences dans les différents livres qui traitent de traitements par la couleur.

 Les militaires entraînent maintenant certains soldats d’élite à voir les auras. Ainsi, ils sont capables de savoir exactement ce que l’ennemi pense et ressent, ce qui s’avère évidemment un avantage majeur en cas de conflit. Voici leur technique…

A cette fin, procurez-vous plusieurs feuilles de papier cartonné en couleur, ainsi qu’une grande feuille de papier cartonné blanc d’environ 90 centimètres de longueur et 60 centimètres de largeur. Bous allez maintenant être les témoins d’un phénomène de vision qui n’a absolument rein à voir avec l’aura : cependant, nous pouvons apprendre à distinguer l’aura humaine grâce à cette technique.

Posez la grande feuille de  papier blanc à plat sur le sol et éclairez-la du dessus, toujours avec une lampe directionnelle de type table à dessin et branchée au préalable sur un rhéostat. Posez maintenant une des feuilles de couleur au milieu du papier blanc. Choisissez d’abord une feuille rouge et fixez-là pendant 30 secondes sans cligner des yeux. Une fois ce temps écoulé, continuez à regarder fixement le même endroit, même après avoir brusquement retiré cette feuille et l’avoir placée hors de vue. En moins d’une seconde, la couleur complémentaire apparaîtra devant vos yeux, c’est à dire le vert. Ce double sera toujours d’une couleur différente  e l’original, mais la forme restera la même.

Cette image fantôme apparaîtra donc devant vos yeux, toute reluisante et transparente, et il vous semblera même qu’elle flotte au-dessus de la surface du papier blanc. Si vous répétez la même expérience avec quatre ou cinq feuilles de couleurs différentes les unes après les autres, cela ne prendra quelques minutes avant que vous développiez une certaine capacité de percevoir ce type d’image en couleur – reluisante, transparente et flottant dans l’espace. En fait, ces couleurs sont comme le champ aurique, sauf qu’elles sont idéales, car peu de gens ont une aura dont les couleurs sont si nettes et si claires.

Pour la deuxième partie de l’entraînement, vous aurez besoin d’un partenaire et tous les deux devrez (de préférence) porter des vêtements blancs, car c’est le meilleur moyen de voir les couleurs de l’aura. Les vêtements eux-mêmes ne bloquent certainement pas l’aura, mais leur couleur (autre que le blanc) la rend difficile à percevoir. Demandez à votre partenaire de rester debout devant un écran de projection blanc ou, à la rigueur, un mur blanc (s’il y en a un dans votre environnement immédiat).

Prenez ensuite la lampe équipée du rhéostat et réglez-la pour obtenir une illumination maximale, tout en dirigeant le faisceau sur votre partenaire. Prenez maintenant une feuille de couleur et demandez qu’il la tienne à environ trois centimètres devant lui, et à hauteur de poitrine. Comme auparavant, concentrez-vous sur le papier en couleur, fixez votre regard sur lui sans battre les paupières, et comptez mentalement jusqu’à trente. Demandez à votre partenaire de retirer rapidement la feuille de  papier et de la mettre hors de vue. Vous verrez alors la couleur complémentaire, comme si elle flottait dans l’espace tout autour de la personne debout devant vous.

 Cela fait, vous pouvez demander au sujet de placer la feuille de couleur derrière sa tête ou ses épaules. Répétez le même processus quatre ou cinq fois, jusqu’à ce que vous soyez habitués à voir les couleurs dans l’espace tout autour de son corps. Ensuite, retirez le papier de couleur de sa main et continuez à observer le sujet en tournant très lentement le rhéostat de manière à avoir de moins en moins de lumière. A partir d’un certain point, le corps de votre partenaire devient très sombre et un moment magique survient bientôt, car d’un seul coup, toutes les couleurs de l’aura apparaissent devant vos yeux. Vous saurez qu’il s’agit bien de toutes les couleurs de l’aura, et pas seulement des couleurs complémentaires déjà vues, puisque vous verrez alors toute une variété de couleurs changeantes. Tout ce à quoi la personne pense et out ce qu’elle ressent sur le moment est immédiatement projeté sous forme de couleurs dans l’aura.

Habituellement, celles qui se trouvent autour de la tête et des épaules représentent ce à quoi la personne pense. Dans la région de la poitrine et du dos, les couleurs sont celles des sentiments et des émotions, même s’il s’agit parfois d’une légère juxtaposition.

En plus des pensées et des émotions, il se peut que l’aura révèle un problème de santé. Si vous êtes malade vous souffrez d’un malaise physique, elle adoptera souvent une couleur particulière. Les couleurs émises par vos pensées brillent et reluisent dans l’aura, mais changent en même temps qu’elles. Quant aux couleurs qui correspondent aux émotions, elles ont tendance à se mouvoir autour de la personne. Par contre, celles associées à une maladie sont fixes, se présentant souvent comme des formes globuleuses et parfois angulaires qui se dégagent du patient, mais restent au même endroit du corps. Dans certains cas, une maladie ne donnera aucun signe extérieur de sa présence, car la couleur ou la forme angulaire rattachée à cette maladie reste totalement à l’intérieur du corps, sans rien laisser émerger.

En général, disons que quelque chose est habituellement apparent !

 Extrait de l’Ancien secret de la Fleur de Vie -  Tome 2 – de Drunvalo Melchizédek 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, LUMIERE, POUVOIR |on 8 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Les Plantes magiques et leurs secrets

 

Par Patrice de Bonneval.

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Les Plantes magiques et leurs secrets dans PLANTES g

Une rencontre 
J’ai rencontré un jour, dans l’avion, un chercheur africain missionné par un laboratoire pharmaceutique pour recueillir les données de la tradition concernant certaines plantes médicinales de son pays. L’ordre de mission qu’il me montra précisait bien qu’il s’agissait de savoir à quoi servaient les plantes mais, en aucun cas comment on les cueillait. Le laboratoire définissait ainsi sa philosophie totalement matérialiste ramenant la plante à un principe actif, c’est-à-dire quelque chose de concret, mesurable et utilisable sous forme pharmaceutique. Son refus de considérer l’entourage de la récolte comme une donnée importante souligne la peur ou l’aveuglement des techniciens de santé face à ce qui n’est pas purement matériel.

La Magie 
« La magie est liée à la sorcellerie, et au monde des éléments que l’homme ne peut mesurer, par conséquent, cela est dangereux et mensonger…. » 

Telle est la pensée résumée, caricaturée, du scientisme mondial : 
Seul ce que je touche est réel, cette manière de voir, bien que datant des siècles passés, semble encore bien installée dans l’esprit matérialiste actuel. En ce qui concerne l’homéopathie, par exemple, la médecine continue à vouloir utiliser des « preuves » adaptées à l’allopathie alors même que l’on est dans l’infiniment petit. Je ne dirai pas que cela est absurde mais en tout cas loin du bon sens pratique que devrait posséder tout esprit dit scientifique. Dans notre monde des soins naturels, nous ne concevons en aucun cas le médicament comme soignant suffisant.

Les ensembles 
En Inde, et aujourd’hui dans la recherche fondamentale scientifique très moderne de l’infiniment petit ou de l’infiniment grand, on tient compte de trois points principaux : 
– L’objet de l’observation 
– L’observateur 
– et la relation entre les trois. 
En médecine, il en est de même : 
– L’objet de l’expérience est le malade. 
– L’expérience est le type de soin. 
– L’expérimentateur, le praticien. 

Le malade et le praticien ont une relation basée sur quatre points principaux correspondant à leurs différents plans de vie interdépendants et indissociables : 
– Intellect 
– Affectif 
– Physique 
– Spirituel. 

On ne peut soigner l’un sans tenir compte des autres. Dans notre société occidentale qui pratique la séparation des pouvoirs temporels et intemporels, notre Inconscient collectif répète cette idée séparative alors même que les spiritualistes dits civilisés ou ceux qui sont, paraît-il, en voie de civilisation ne conçoivent le Monde et l’Individu que dans un rapport global synthétique et interconnecté.

Pour le thérapeute de la nature, il n’est pas concevable de cueillir, transformer et prescrire une plante sans tenir compte de l’environnement, se mettre en état de réceptivité ou utiliser nos vieilles méthodes ancestrales que sont le chant et la danse comme support d’action thérapeutique. 
Ces méthodes plus ou moins rituelles ont pour effet de mettre à niveau la plante et le cueilleur puis le soignant et la maladie avec la présence participative du malade.

Le médicament moderne 
Revenons au médicament : celui-ci ne peut se concevoir sans prévoir une synthèse chimique du ou des principes actifs principaux afin de rentabiliser l’investissement. 
Autrement dit : l’aspect Magique est totalement exclu de la pensée Occidentale.

La Magie 
On peut dès lors se poser la question de ce qu’est réellement la Magie. Le dictionnaire nous assure qu’il s’agit d’un ensemble de pratiques visant à la maîtrise des forces invisibles immanentes à la Nature et à les faire servir aux fins que l’on se propose. Pour le scientifique de base, la question ne se pose guère car son matérialisme lui interdit d’imaginer autre chose que ce qu’il connaît. Pour les autres, au contraire, l’invisible et par voie de conséquence, la Magie existe aussi :

Les Forces invisibles existent 
Ce qui n’est pas connu ce jour le sera demain. C’est ce que nous disent les différents Yogi, Sages, Chamans, Mediums de toute contrée et de tous âges. Nous vivons dans un monde de mystère en croyant vivre dans un monde déterminé. 
Physiquement tout le monde admet l’existence de vibrations dont la sphère humaine ne perçoit normalement qu’une microscopique partie, bien que ses ressentis puissent assez facilement s’affiner. 

Même le plus courant est mystère pour nous ; ainsi, nous utilisons la fée électricité sans même savoir ce qu’elle est. 
Affectivement, il en est de même : nous croyons à l’amour, à la haine, à la colère mais nous ne savons que reconnaître leurs effets sans en connaître la Nature. Dans ce cas, même le plus retardataire des scientistes est obligé de reconnaître qu’il vit et utilise des émotions dont il ne peut trouver la moindre preuve d’existence. Psychiquement le domaine des rêves et de la télépathie restent totalement mystérieux.

Les plantes 
Ce sont des êtres vivants qui souffrent, vivent, perçoivent la présence de ce qui les entoure. Pour les personnes intéressées par le sujet, je conseille la lecture de « La vie secrète des Plantes »*. Etudiez l’Homéopahie. Pratiquez les Fleurs de Bach. Et surtout apprenez à parler et écouter les plantes, soignez les chez vous, immergez vous dans les forêts et la Nature. Vous ne serez pas déçus car LES PLANTES PARLENT VOUS ECOUTENT ET VOUS CONSOLENT. 
<Je le sais parce que je les pratique depuis bien longtemps.

*« La vie secrète des Plantes » de P. Tomkins et C. Bird chez Presse Pocket.

A lire : 
Manuel pratique d’aromathérapie au quotidien. Patrice de Bonneval et Franck Dubus. Editions le Sureau 29 €.

Cours à Lyon, Toulouse, ou par correspondance 
www.ecoledeplantesmedicinales.com Email : elpm@wanadoo.fr

Publié dans:PLANTES, POUVOIR |on 24 mai, 2013 |Pas de commentaires »

Tout se fait par télépathie

Tout se fait par télépathie dans ENERGIES 481

Nous sommes tous en chaîne magnétique, et il faut comprendre que tous les cerveaux qui sont sur Terre en ce moment reçoivent les malheurs des autres et comme ils n’arrivent pas à repositiver cette force, tout se met à se détériorer dans tous les coins de l’univers, dans tous les domaines, tant dans la matière que sous forme de malaise psychologique pour certains.

Quand il y a des catastrophes et  que  tous les médias vous montrent une actualité des plus pessimistes, il ne faut pas être triste, ressasser, s’apeurer, mais au contraire toujours redresser la barre, réagir par une dynamique positive qui contrebalancerait ces mauvais effets, sinon on ajoute des négativités à des éléments déjà difficiles. Il est capital de comprendre que nous rajoutons des négativités à cause de nos états intérieurs.

 C’est le mécanisme de la pomme d’arrosoir : l’image de la pomme d’arrosoir symbolise le processus par lequel chaque cerveau est régi par d’autres cerveaux et régit lui-même d’autres cerveaux.

La pomme d’arrosoir est immensément perfectionnée : ce sont des milliers de petits orifices qui ont des dimensions différentes et  vont programmer des nuances variées dans le cerveau des autres.

Imaginez que notre cerveau soit une lampe placée dans une pomme d’arrosoir ; par chaque orifice filtre un rai de lumière, qui lui-même éclaire l’intérieur d’une autre pomme d’arrosoir (le cerveau d’un autre). Chaque orifice éclaire encore une pomme d’arrosoir et ainsi de suite ; c’est un processus qui agit par multiplication.

C’est l’imprégnation du film des vies antérieures : nous avons tous un film dans la tête où tout est retenu. Il n’y a pas un brin d’herbe qu’on n’ait oublié, ni un grain de sable, tout est imprégné définitivement en nous ; toutes les expériences de notre acquis sont magnétisées en nous, elles sont imprimées dans notre cerveau comme la mémoire d’un ordinateur.

C’est capital car, à cause de ce système de chaîne, on peut programmer continuellement  du positif chez les autres ou inversement projeter du négatif, selon son état d’être.

Chaque personne ayant déjà vécu de nombreuses vies, a de nombreuses responsabilités par rapport aux êtres qu’elle a rencontrés dans d’autres vies. Nous avons tous cette télépathie mais elle n’est pas toujours éveillée et même souvent inhibée.

Nous pouvons tous continuellement travailler par télépathie : pour aider quelqu’un, il suffit d’évoquer la personne, de la visualiser dans notre tête, d’évoquer l’être supérieur à qui nous voulons le confier que ce soit le Christ, la Vierge, un saint ou un Être de Lumière qui nous est cher. On laisse la force arriver en soi et repartir vers cette personne, cela se fait avec naturel. Dieu effectue le travail tout seul, il n’est pas nécessaire d’avoir une grande quête intérieure, il faut simplement être dans un état de générosité et dire : « Aidez cette personne » et elle reçoit cette force qui la redynamise.

C’est pour cela que la prière est très importante, parce qu’elle met en contact avec des entités très évoluées, qui envoient immédiatement de la force.

L’importance de la télépathie entre les désincarnés et les incarnés, le besoin réciproque de chacun : nous demandons aux désincarnés de nous aimer, de nous guider, de nous consoler. Il faut savoir que dès que nous pensons à un être défunt qui nous est cher, il est attiré immédiatement vers nous et il faut savoir le recevoir, l’écouter dans l’intérieur de son cœur.

Par contre, peu de personne ont conscience du besoin qu’ont les désincarnés que nous pensions à eux, que nous aussi nous leur parlions. Ils ont besoin, tout comme nous, de continuer à être aimés, de garder les liens avec ceux qu’ils ont chéris et qu’ils essaient éternellement d’aider. C’est pour eux une grande joie, une grande source d’énergie pour continuer leur évolution.

D’où l’importance des albums de photos, des portraits de famille ou encore les objets ayant appartenu à des êtres chers et qui nous en évoquent le souvenir.

Les oublier, ne pas les solliciter peut leur donner une grande tristesse, un désintérêt et même une léthargie, les empêchant, eux aussi, d’évoluer.

Il faut savoir qu’un désincarné continue son évolution, en aidant bien sur les êtres à qui il est lié affectivement, mais aussi les personnes qui perpétuent leurs travaux réalisés sur Terre lors de leur dernière vie, par exemple Allan Kardec continue à former des médiums, Martin Luther King continue à combattre le racisme, Gandhi continue à lutté pour la paix….

Être en télépathie avec les désincarnés que l’on a aimés est une grande joie réciproque.

Bénédicte Wallut Civet-Lobstein

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, MAITRISE, MEDIUM, POUVOIR |on 29 avril, 2013 |Pas de commentaires »

3 foyers de perception clairvoyante

 3 foyers de perception clairvoyante dans MEDIUM loracle-bleu

La véritable clairvoyance ne se limite pas à une seule forme de perception. Il y a trois foyers de perception qui sont des combinaisons de chakra, un peu comme des engrenages s’entraînent les uns, les autres.

Le premier foyer est crée lorsque les portes (chakras) rouge, orange et jaune  se rejoignent en une seule force centrale (Bouddha de la Joie)

Le second foyer de clairvoyance est une combinaison de chakras qui permettent la réception d’informations d’ordre céleste et transcendant. Ce sont les chakras bleu ( situés sur la gorge), indigo ( le front ) et blanc (le dessus de la tête).

Le Troisième Foyer de perception clairvoyante est le chakra anahata ou « porte du Cœur »(couleur vert, rose ou doré).

 Reçu par Lilas

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 27 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Superstition : remède à nos doutes

 

Glisser un trèfle à quatre feuil­les dans sa poche le jour d’un examen, ça ne coûte rien, mais ça peut redonner confiance en soi. Un porte- bonheur est une plan­che de salut à laquelle on se raccroche pour surmonter son angoisse. « Avant tout, les superstitions représentent un rituel rassurant qui nous per­met­­ de surmonter nos crain­tes, explique Anne Floret-Van Eiszner, psychologue. Certains en ont besoin pour retrouver confiance en eux et combattre leur anxiété. » Comme les doudous de no­tre enfance, ces grigris servent à endormir nos inquiétudes et à nous donner du courage. « Je collectionne les porte-bonheur, raconte Sarah qui ne sort jamais sans ses féti­ches. À l’âge de 6 ans, j’ai trouvé un trèfle à quatre feuil­les et, toute la journée, je me suis sentie protégée. Quand il s’est fané, quel­ques jours après, j’ai eu l’impression d’être plus vulnérable. Depuis, j’amasse les objets qui peuvent m’aider à influencer le hasard. Je sais, c’est une croyance qui ne repose sur rien de précis. Mais ça me donne du cou­rage quand je dois prendre une décision… et ça ne gêne personne. »

Superstition : remède à nos doutes dans HUMANITE 9

Nous croyons souvent que le vendredi 13 est néfaste ou que « toucher du bois » porte bonheur. Simple réflexe ou authentique conviction, quelles sont les raisons qui nous poussent à être superstitieuses ?

2. SUPERSTITION : L’INFLUENCE DE NOS PARENTS

Les grands-parents montrent souvent l’exemple. Et certains adultes se souviennent longtemps des récits qui ont bercé leur enfance. « Quand j’étais petite, on me répétait que les chats noirs portent malheur, se souvient Suzanne. J’ai vécu dans la crainte de ces animaux durant quinze ans, au fond sans savoir pourquoi… jusqu’au jour où mes amis m’en ont offert un. Après un premier mouvement de recul, je m’y suis attachée.Et lorsqu’il m’arrive d’avoir des ennuis, je ne lui fais pas porter le chapeau ! »

L’éducation joue un rôle important. Car, malgré soi, on s’imprè­gne des pensées de ses proches.Si les parents sont plutôt du genre cartésien, donnant une explication logique à chaque événement, l’enfant aura moins tendance à recourir à la magie.« Même si les adultes ne s’expriment pas ouvertement sur leurs pro­pres superstitions, les enfants, qui sont de fins observateurs, perçoivent dans leurs comportements des indices de croyan­ces qu’ils reprennent à leur compte », souli­gne la psychologue. Et même si les parents ne sont pas superstitieux, il paraît bien difficile d’échapper aux messages envoyés par notre environnement.Les publicités pour le Loto nous font miroiter des gains fabuleux.Et chacun se demande : « Pourquoi pas moi ? »

C’est une façon de nous rassurer, de forcer le destin : nous aimerions décider de tout ce qui concerne notre vie privée et nos émotions. Et pourtant, ce n’est pas possible.

 3. SUPERSTITION: DES REPÈRES DANS NOTRE VIE

On ne se résigne pas au hasard, ni aux caprices du destin : nous nous arrangeons toujours pour lui donner un sens. Et nous interprétons ce qui nous arrive en fonction de nos croyances personnel­les . Quand on rencon­tre l’homme de sa vie, c’est grâce à no­tre bonne fortune.Si on se casse la jambe après être passé sous une échelle, c’est la faute au mauvais sort : ce n’était pas notre jour… Les superstitions sont des si­gnes qui nous aident à déchiffrer ce qui nous arrive. Elles forment des points d’ancrage qui nous guident au quotidien. 

« Quand j’aperçois un corbeau avant de me rendre à un rendez-vous, je reste sur mes gardes, confie Cécile. Au moment de prendre une déci­sion, je fais très attention à ces petits signes. Pour moi, il s’agit de messages qui m’annoncent les coups du sort. » 

Les superstitions évoluent avec la société. Aux croyan­ces traditionnelles s’ajoutent des « légendes » toutes personnelles que chacun s’in­vente en fonc­tion de son expérience, de son éducation… No­tre vie sem­ble ainsi plus fami­lière et plus rassurante.Tant qu’elles ne tournent pas à l’obsession, les superstitions ont donc quel­­­ques bons côtés à préserver.

Mais lorsque croyances et rituels deviennent des contraintes, il est nécessaire de consulter un spécialiste.

Voir le site de référence http://www.topsante.com/sante-au-quotidien

Publié dans:HUMANITE, POUVOIR, SOCIETE |on 22 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Le pouvoir de la pensée

…pour produire le changement

un endroit à votre disposition pour en parler : http://devantsoi.forumgratuit.org/

À ce point de notre voyage vers le Nouvel Âge, beaucoup parmi nous se sentent impuissants contre l’écrasante structure de contrôle physico-mental dont disposent les Forces Sombres. Mais s’il existe quelque chose au monde qui soit plus puissant que l’arsenal des Forces Sombres, c’est encore le pouvoir de la pensée. C’est l’arme dont chacun dispose durant la bataille en cours avec les Forces Sombres. C’est bien plus puissant que les émeutes de rue ou les manifestations contre les injustices humaines, bien que de telles manifestations servent de repères pour mesurer l’état de changement dans la transmutation des problèmes en cours. La pensée est aussi l’outil créatif qui peut être employée pour attirer ce dont chacun à besoin.

Le pouvoir de la pensée dans PENSEE 9-petitCe qui confère du pouvoir à la forme pensée La clé du pouvoir de la forme pensée c’est la clarté et le détail. Le Maître, qui autrefois enseigna à Londres et à Boston comme l’a dépeint Cyril Scott dans la série l’Initié et nous étant connu sous le pseudonyme terrestre de Justin Moreward Haig, livra à l’auteur cette formule simple pour utiliser les formes pensées :

…Nous qui, aux pieds des grands Boudhas rendons hommage, nous les trouvons contemplant cette simple vérité. Vous voyez, il y a quelque chose qui relève du mystère ici. Ce qui passe pour être simple est souvent le plus profond. Quand je dis alors que toute chose commence avec la pensée, je parle de création du début à la fin. Les vêtements que vous portez ont été autrefois une pensée dans l’esprit du couturier. Maintenant, elles embellissent votre forme …

Il y a beaucoup à dire à propos de la pensée, sauf que cela se résume à ceci. Quoique vous souhaitiez accomplir, pensez-y d’abord précisément comme à une pensée seulement. Vous voyez qu’en cela, il y a confusion. Premièrement, cela doit être vu comme une forme pensée qui existe et seulement alors, une fois que la forme pensée est claire, les atomes savent comment procéder pour construire les molécules de matière autour de la forme pensée. Donc vous voyez que la pensée elle-même doit être intacte, claire et aussi nette et précise que l’on peut la rendre. Justin Moreward Haig

Le pouvoir de la pensée est très sous-estimé et la tendance parmi les porteurs de lumière est de penser que nous sommes individuellement trop insignifiants pour faire une différence. Mais avec une compréhension des cycles et des tendances cosmiques qui nous sont données dans la Sagesse Antique, notre pensée peut être mise en harmonie avec ce que nous connaissons du Plan Divin, et à l’intérieur de ce plan, nous pouvons produire des formes-pensées détaillées et de qualité qui peuvent faire tourner la bataille avec les Forces Sombres en faveur des forces de lumière.

La création de formes-pensées pour manifester ses propres besoins est aussi un droit légitime, mais ce processus créatif a été déformé dans encore une autre industrie Nouvel âge qui commercialise des enseignements spirituels. Par de très puissants et coûteux séminaires, les experts en marketing s’en prennent aux porteurs de lumière bien intentionnés pour utiliser « le secret » » de la Loi d’Attraction afin que chacun puisse satisfaire ses désirs égoïstes et faire partie des supers riches. Être en train de créer des formes-pensées pour s’offrir une grande propriété clôturée avec une piscine et deux voitures de sport garées dans l’allée est tout à fait différent que de créer des formes-pensées qui vont éclairer les mensonges et les projets que les Forces Sombres commettent contre leurs frères.

ISSU du site http://www.sanctusgermanus.net/french/Seeding%20the%20Mass%20Consciousness.html

Publié dans:PENSEE, POUVOIR |on 6 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Tremplin d’évolution

La maladie :

tremplin d’évolution individuelle

de Jean GRACIET

Que croyons-nous jusqu’à maintenant, au sujet de la maladie ?

La médecine actuelle sait très bien soigner le corps quand un symptôme apparait mais elle s’arrête à la frontière du monde physique ou du monde de la matière pensant que c’est là un tout.

Pour elle, les manifestations tels, rougeurs, tumeurs, fièvres, etc., de la maladie représentent un état anormal qu’il faut immédiatement soigner ou bien supprimer, éradiquer.

En effet, quand une maladie apparait, elle dérange, elle perturbe, elle devient le centre d’intérêt, elle accapare toute l’attention. Elle est devenue un frein, un obstacle qu’il faut éliminer, combattre. D’ailleurs ne dit-on pas « …se battre contre la maladie? ».

Tremplin d'évolution dans AME image-33-a-300x229

On parle alors de hasard, de fatalité, voire d’injustice.

On voit donc le médecin et on attend de lui qu’il nous sorte de ce mauvais pas. On se confie totalement à lui et on suit docilement ses prescriptions et son traitement. Puis, si ça n’est pas suffisant, alors le chirurgien sera chargé de supprimer l’organe ou partie de l’organe atteint par la maladie afin d’assurer la survie.

Si la maladie est provoquée par un virus, une bactérie, un champignon, ou un agent allergène ou cancérigène, on évitera tout contact avec les agents en question avant de les combattre pour les supprimer.

Fidèle aux théories de Descartes, Pasteur ou Darwin, la médecine traditionnelle n’établit aucun lien entre le monde physique, visible et le monde invisible, de l’esprit, des croyances et des émotions. Il y a séparation entre ces 2 mondes. Elle ne tient pas compte de l’importance et de l’impact des émotions et des croyances sur le corps physique. Pour elle, la maladie n’est que le fait d’un accident de la vie, le fait du hasard. Sa cause est donc extérieure à l’individu. Lui n’y est pour rien. La maladie vient de l’extérieur.

Donc la maladie n’a aucun sens.

Pourtant Hippocrate disait déjà en son temps que « Le hasard quand on vient à l’examiner se trouve n’être rien. Tout ce qui se fait a une cause certaine et cette cause se trouve encore en avoir une autre qui l’a produite. On ne voit point que le hasard puisse exister dans la nature. C’est seulement un nom. »

Ainsi que Platon qui écrivait dans « Les Charmides », à propos des médecins grecs de son temps, « qu’on ne peut guérir la partie sans soigner le tout. On ne doit pas soigner le corps séparé de l’âme, et pour que l’esprit et le corps retrouvent la santé, il faut commencer par soigner l’âme. Car, c’est une erreur fondamentale des médecins d’aujourd’hui : séparer dès l’abord l’âme et le corps »

Malgré cela, la médecine officielle a continué de soigner le corps physique comme s’il était séparé du corps émotionnel et du corps spirituel.

Depuis plusieurs décennies, beaucoup de médecins, physiciens, biologistes ou philosophes, à travers leur recherche, ont démontré que les symptômes physiques ou maladies n’étaient pas dus au hasard mais découlaient plutôt de chocs émotionnel, de croyances limitantes ou négatives et de mémoires ancestrales.

Parmi ceux-ci, on peut citer deux médecins qui ont laissé un héritage important pour l’humanité, Samuel Hanneman et le Docteur Edward Bach.

Le fondateur de l’Homéopathie, Samuel Hanneman , affirmait que « La maladie commence quand nous justifions par l’extérieur, le malaise intérieur. »

Le célèbre Docteur Bach s’était rendu compte que ce que nous nommons maladie, est une manifestation ultime produite par le corps et qu’une personnalité sans conflit serait immunisée contre la maladie . Pour lui, la peur, la lassitude, la résignation,…diminuent les défenses naturelles. Il estimait que pour guérir les maladies, il fallait d’abord reconnaître la cause psychique, l’émotion perturbatrice, l’état d’âme négatif. Et ensuite grâce à des remèdes naturels, le malade serait soignée dans sa globalité.

Et ce qui est remarquable, c’est que pour lui, «  Les véritables maladies de l’homme proviennent de tares telles que l’orgueil, la cruauté, la haine, le narcissisme, l’ignorance, l’instabilité, le déséquilibre, la convoitise, la jalousie et la cupidité. Chacun de ces défauts produit un conflit qui ne peut que se refléter au niveau du corps physique, produisant ainsi des malaises et des maladies. »

Sa philosophie, “Tant que l’Ame, le Corps et l’Esprit sont en harmonie, rien ne peut nous affecter.”

Dès 1978, un médecin allemand, le Docteur Ryke HAMER découvre que tout cancer résulte d’un « choc psychique, conflictuel, dramatique, vécu dans l’isolement ». Ce choc psychique ou émotionnel, il l’a appelé le Dirk Hamer Syndrom ou D.H.S. en mémoire de son fils. Il affirme que la maladie est la solution parfaite du cerveau en réponse à un stress ou à un conflit antérieur.

Pourquoi son fils ? Parce qu’à la suite de sa mort accidentelle, qui pour lui fut un véritable drame, il démarre un cancer des testicules. Ces évènements tragiques sont à l’origine des travaux qu’il entreprend dès lors et des découvertes tout à fait nouvelles qui vont ébranler les fondements de la médecine officielle.

Il établit un lien irréfutable entre la mort de son fils et son cancer et ses recherches vont l’amener à découvrir les causes psychiques ou émotionnelles de chaque cancer et, par extension, de chaque pathologie.

Le Docteur Hamer a donc découvert, qu’avant l’apparition de tous symptômes ou maladies, il y avait eu un choc émotionnel qu’il a appelé le D.H.S.
Nous vivons tous des chocs, des situations difficiles sans que chaque choc, chaque conflit n’entraîne obligatoirement une maladie. En fait, pour qu’il y ait maladie, pour biologiser en nous un choc, le DHS doit répondre à plusieurs critères.

Le choc doit être :

Dramatique (petit drame ou drame plus important). Il peut être très intense, brutal, dans une période très courte ou bien il peut être moins intense mais répété sur une période plus longue.
En fait, c’est un coup de foudre qui saisit tout notre être, le met en stress. Tout notre être vit la situation comme un drame qui prime sur tout le reste. Il n’y a plus rien d’autre d’important, on n’est plus en paix avec soi-même, on est comme « déconnecté ».

Inattendu (souvent), la plupart du temps on est pris par surprise et nos moyens de défense habituels sont dépassés.
Le choc n’est pas quelque chose que l’on voit venir, on est surpris, le choc arrive en un instant.
Exemple  : Le père dit à sa fille : « tu es une putain comme ta mère ». Elle est prise par surprise et le prend comme un coup de tonnerre sur la tête.

Vécu dans l’isolement , à l’intérieur de soi, sans qu’on puisse traduire à d’autres l’intensité du ressenti du choc reçu. Ce ressenti va dépendre de l’environnement, de nos croyances, de nos valeurs (croyances et valeurs qui fonctionnent comme un filtre à travers lequel on voit, on vit l’évènement) et ce ressenti qui est lié au choc est vécu dans l’isolement. Les gens qui nous entourent, familles, amis voient bien le même évènement sans connaître le même ressenti. Le ressenti est unique, il est bien vécu dans l’isolement.

Exemple  :
« Je me fais cambrioler. Tout le monde le sait mais personne ne se doute de la terreur qui m’envahit à chaque fois que je rentre chez moi. »

Si on parle de l’évènement sans entrer dans son ressenti, on ne guérit pas. Il faudra comprendre la nature de ce ressenti.

On ne trouve pas de solution , on ne voit pas la solution. Nous sommes comme prisonniers de notre conflit. Le conflit, le drame, par son intensité, sa nature, nous obsède. On devient prisonnier, sous son emprise. On y pense sans arrêt, on est préoccupé à l’excès. On a le « nez » dans le conflit et on ne voir rien d’autres et on cherche désespérément une solution.

L’homme vit des situations de dévalorisation professionnelle ou familiale, des conflits purement familiaux, des frustrations d’ordre sexuel, des affrontements d’ordre territorial, des humiliations. Dès l’instant où un de ces conflits atteint un niveau tel et que la personne n’est plus en mesure de solutionner, à ce moment là, la maladie apparait. De l’intensité du ressenti et de la durée du conflit vécu par la personne découlera la gravité de la maladie.

Ainsi la maladie apparait comme un programme de survie en réponse à un choc émotionnel devenu ingérable par la psychologie. Cette manifestation dans le corps est donc un langage, un message envoyé par l’inconscient afin qu’on le libère de douleurs passées.

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Publié dans:AME, MALADIE, PEUR, POUVOIR |on 27 février, 2013 |Pas de commentaires »

Pouvoir de l’Esprit

 

Comment acquérir cette attitude ? Peut-on l’induire ? Comment l’utiliser, puisque l’effet placebo marche et que l’on commence à l’observer scientifiquement ? Telles sont les questions pragmatiques autour desquelles se joue une nouvelle approche de la santé, comme le montrent l’explosion aux Etats-Unis de la médecine corps-esprit, la poussée des thérapies alternatives et la reconnaissance internationale des médecines traditionnelles, toutes plus ouvertes à ces interactions. Et si le mouvement s’accompagne d’un renouveau de pratiques archaïques comme le chamanisme, c’est qu’il s’agit bien d’abord d’une réconciliation, entre la pensée scientifique – forcée par l’effet placebo de reconnaître le pouvoir de l’esprit sur le corps – et la pensée magique à l’œuvre dans toute croyance.

Pouvoir de l'Esprit dans ESPRITS a-petit-3Cette pensée, venue de la nuit des temps et appelée « mentalité primitive » par l’anthropologue Lucien Lévy-Bruhl, se caractérise par une « loi de participation » entre le monde physique et le monde spirituel, selon laquelle les êtres, les idées, les objets et les phénomènes sont tous reliés. Dans cette vision du monde; la foi, l’intention, la croyance – et donc le rite – comptent autant pour la guérison que les remèdes ou les interventions chirurgicales. Mais comme l’a montré un autre anthropologue, Claude Lévi-Strauss, la « pensée sauvage » n’est ni irrationnelle ni illogique, car elle fait appel à une raison propre et avant tout pratique, tenant plus du « bricolage » que de la théorie. Comme le bricoleur, en effet, expliquait l’auteur de Tristes Tropiques, elle ne s’appuie pas sur des schémas préconçus mais sur un savoir-faire qui procède en fonction des occasions. Une thérapie au cas par cas ? Voilà qui devrait convenir à notre époque allergique aux doctrines. La médecine moderne pourrait également y gagner – la découverte des neurones miroirs *> p.renvoi l’y incite fortement. Se rappelant que sa pratique est avant tout œuvre humaine, elle s’ouvrirait alors à d’autres dimensions (l’intuition ? le rire ? l’empathie ?). Qui sait quelle nouvelle science naîtrait d’un tel acquis ?

D’après un article de Sylvain Michelet dans Psychologies Magazine

 

Publié dans:ESPRITS, POUVOIR |on 11 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Le Pouvoir de l’Empathie

« Notre identité et notre sentiment d’exister se construisent dans la relation aux autres, rappelle la psychosociologue Dominique Picard, auteure avec Edmond Marc du Petit Traité des conflits ordinaires (Seuil, 2006) et des Conflits relationnels (PUF, “Que sais-je ?”, 2008).

Le Pouvoir de l'Empathie dans POUVOIR images-1-300x148Plus nos relations sont vraies et équilibrées, mieux nous nous portons, physiquement et psychiquement. » Pour prendre soin au quotidien de notre vie relationnelle, la psychosociologue conseille de veiller à l’équilibre de trois pôles dans nos relations amoureuses, familiales ou sociales : « L’échange, la reconnaissance et la congruence. » Dans l’échange, il s’agit de veiller à donner autant que l’on reçoit, et inversement. Du temps, des compliments, des attentions, ou encore des objets. Et ce, afin de trouver un équilibre relationnel qui nous exempte des liens de dépendance ou de domination. La reconnaissance consiste à accepter l’autre comme fondamentalement différent de soi. Nombre de conflits ouverts ou de rapports de force souterrains proviennent de notre désir de modeler l’autre, de le faire à notre main, pour mieux le contrôler et se retrouver ainsi en terrain connu. Mais cette sécurité est illusoire et son coût très élevé. Enfin, être en congruence signifie avoir un discours enadéquation avec son ressenti, de manière à ne pas envoyer de messages ambivalents ou contradictoires, porteurs de stress et de conflits. Dans les faits, il s’agit de ne proposer son aide que si, au fond de soi, nous sommes réellement prêts à aider – tout comme nous ne disons pas : « J e ne t’en veux pas », alors que nous n’avons qu’une seule envie, nous venger. 

Promoteur de la communication non violente, Marshall B. Rosenberg, auteur de Spiritualité pratique, les bases spirituelles de la communication non violente (Jouvence Éditions, 2007), préconise ce qu’il appelle « un langage d’action positif » :

« Je dis à l’autre ce que je veux qu’il fasse et non ce que je ne veux pas qu’il fasse. » Une façon claire et assumée d’affirmer son désir, qui incite l’autre à en faire autant et nous met sur un pied d’égalité avec lui. Poussant son projet encore plus loin, le thérapeute américain propose une communication dans laquelle chacun, après avoir exprimé ses sentiments et ses besoins, pourrait vivre pleinement l’empathie « en se reliant à ce qui est vivant chez l’autre dans l’instant ». C’est comprendre ce qui le traverse, ce qu’il vit ici et maintenant, non pas avec son intellect, mais avec ses sens, son intuition, sa sensibilité. Que ressent-il vraiment ? Que n’ose-t-il pas dire ? Qu’est-ce qui, dans mes mots ou ma posture, le blesse ou le gêne ? Que puis-je faire pour nous mettre à l’aise ? Cette posture fraternelle exige que nous quittions momentanément notre « centre », notre point de vue, notre but, pour entrer, sans préjugés ni craintes, dans l’espace mental et affectif de notre interlocuteur. 

Utopique ? Peut-être pas, si nous nous donnons la peine de sortir des relations de pouvoir engendrées par la peur. Au moins de temps en temps. 

Paroles d’espoir de chefs spirituels : Lytta Basset, pasteure

 « Il me semble essentiel de regarder le présent tout en mesurant le chemin parcouru : dans le domaine des droits de l’homme, de nos conditions de vie… Et aussi de reconnaître les avantages de la mondialisation : nous ne fermons plus les yeux face aux malheurs de ceux qui vivent à l’autre bout du monde. Le sens de la vie est dans la relation interpersonnelle : faire comprendre à l’autre que cela fait une différence qu’il existe, c’est lutter contre les sentiments de solitude et d’exclusion, racines du pessimisme. »

Publié dans:POUVOIR |on 7 janvier, 2013 |Pas de commentaires »

Saint-Germain

Le comte de Saint-Germain et les maîtres de l’Aggartha

dans l’oeuvre de François Brousse

 
J’apparais personnellement à travers les âges comme une comète éternelle et vagabonde. On m’a vu dans l’antique continent atlante, tel un sage aux pouvoirs mystérieux. J’ai surgi à la base des grandes civilisations, comme une providence vivante, sous les masques d’Imouthès, le dieu constructeur de pyramide, d’Amourrou, celui qui sait les chemins de la Montagne, de Zerovanus, le contemplateur des deux Principes invincibles. [...] 

Au XVIIIe siècle, alchimiste immortel, je fabriquais de l’or, faisais grossir des perles, purifiais des diamants, guérissais des maladies, dévoilais l’avenir du monde. 

Saint-Germain dans HUMANITE priere-194x300Au XIXe siècle, j’ai fondé, avec Koot- Houmi et Morya, cet édifice de granit, la Société théosophique où furent étudiés les mystères essentiels de l’univers. Sa fondatrice officielle, l’étonnante Helena Petrovna Blavatsky, sortait des sanctuaires initiateurs de l’Asie. Elle fut sur la Terre notre disciple bien aimée, notre messagère fulgurante. [...] 
Aujourd’hui, c’est à vous [François Brousse] que je me présente, apportant révélations métaphysiques, scientifiques, prophétiques et méthodologiques. (Propos de F. Brousse, 4e de couverture) 

François Brousse 
Le Voyageur des siècles, Saint- Germain, représente la Haute Magie, dominatrice de la Mort, maîtresse des couleurs et en relation avec le Grand Soleil central de la galaxie. 
Alchimiste suréminent, il fabriquait de l’or, purifiait les diamants, grossissait les perles, chassait les entités du bas-astral, guérissait les malades et révélait les sombres lueurs de l’avenir. (p. 13) 

François Brousse 
[En 1743], le maréchal de Belle-Isle revenait d’Allemagne. Il venait d’abandonner, sous la pression des armées impériales, la merveilleuse ville de Prague. [...]. Il ramenait dans ses bagages [...] un étrange personnage : c’était le comte de Saint-Germain. [...] Ce Comte était petit, brun, le visage basané, le regard d’une étonnante profondeur. Il y avait en lui la majesté du mage et, en même temps, la douceur et peut-être, un peu, l’égarement du prophète. Il était vêtu d’une étrange façon, toujours avec des habits admirablement bien taillés, mais ce qui le différenciait de tous les autres courtisans de l’époque, de tous les autres grands seigneurs, c’était le faste, la somptuosité, l’éclat des bijoux. Ses bijoux [...] étaient en train de défrayer les chroniques d’un peuple léger, superficiel, amant néanmoins de la beauté et amant de l’intelligence. [...] Il devint très rapidement l’ami de la marquise de Pompadour et, par la marquise de Pompadour, il pénétra facilement dans l’intimité du roi Louis XV. Le roi Louis XV avait, pour le comte de Saint-Germain, une véritable admiration. (p. 179-180) 

François Brousse 
Zoroastre, Hammourabi, Moïse ont rencontré leur Dieu sur la montagne, et nous avons rencontré le Maître sur les flancs des Pyrénées, dont l’étymologie rappelle le Feu créateur. 

C’est aux environs de la ville de Vernet-les-Bains [Pyrénées-Orientales], paradis du Midi, que cette rencontre insolite marqua notre mémoire d’un sceau ineffaçable. J’étais ce jour-là [le 14 avril 1966] en promenade non loin de cette station si douce et si harmonieuse, sur la route qui se dirige vers Casteil, tandis qu’un ciel rayonnant répandait sur la campagne aux arbres frémissants un manteau de gloire azuréenne. 

Je venais d’effectuer un virage majestueux aux environs de l’hôtel Alexandra [...] et voici que je rencontre un personnage d’une taille moyenne, avec un front très large, des yeux au regard insoutenable et un peu malicieux, portant des vêtements clairs et une coupe moderne. Son caractère particulier consistait en un étincellement de bijoux. Une bague à la main droite, avec un rubis flamboyant. Une bague à la main gauche, avec un saphir ensorceleur. Autour de son cou, pendait un vaste collier terminé par une croix gravée de trois roses. C’était la rose-croix, mais sous un style original. 

J’ai pensé tout de suite : « Est-ce un fou, un illuminé, un imposteur ou un homme de génie ? » C’était un joli éventail de possibilités. Pendant que je songeais, l’illuminé-imposteurhomme de génie s’avance vers moi et me dit ex abrupto : -Vous avez raison d’annoncer la chute du général de Gaulle pour 1969*. Je reprends mon souffle et rétorque : -Je suis ravi que la renommée de mes oeuvres soit parvenue jusqu’à vos oreilles ; puis-je me permettre de vous demander à qui j’ai affaire ? Il me répond superbement : 
Au comte de Saint-Phénix. Phénix ou Saint-Phénix, c’était, je le savais, l’un des pseudonymes de l’illustre Saint-Germain. (p. 274-275) 
* Cf. BROUSSE F., Les Clés de Nostradamus, dans Revue Sources Vives, Perpignan, N°32, printemps 1965 

François Brousse 
Après l’effondrement de l’Atlantide, ce puissant génie a découvert le mouvement perpétuel, la quadrature du cercle et le moyen de transmuter les métaux profanes en métaux précieux. [...] Le Frère immortel poursuit sur la Terre le but d’Élias Artista en trois points fondamentaux : l’unité de toutes les religions, la production d’une richesse intarissable, la perfection de la science et de la morale, de sorte que les humains retrouveraient le paradis primitif. Il laisse entrevoir la rencontre future des fils d’Adam avec une civilisation extraterrestre. [...] Tel est le comte de Saint Germain, un des grands sages de l’Himalaya. (p. 280-281) 

François Brousse 
L’humanité évolue, elle est en quelque sorte la dernière fleur de l’arbre animal ; nous avons été successivement à travers les siècles des plantes, des poissons, des reptiles, des amphibiens, des oiseaux, des quadrupèdes, enfin des hommes, des humains, et notre sort est de devenir des surhumains, autrement dit, des dieux. (p. 52) 

Saint-Germain 
Nous sommes, nous, les Frères Aînés, Koot-Houmi, Morya, Saint-Germain, les résultats d’une évolution prodigieuse. Nos êtres, plus anciens que les vôtres, plongent dans une antiquité inconcevable. Ils ont acquis la réalisation définitive. 
Notre suprématie se met au service de l’ascension humaine. Par nos pensées, torrent perpétuel d’amour, de puissance, de sagesse, de beauté, de joie, nous baignons d’un flux vivifiant les multitudes et les penseurs. Parfois, nous nous manifestons directement à quelques privilégiés. 
(Propos de F. Brousse, p. 51) 

fee-240x300 dans MAITRISEFrançois Brousse (4e de couverture) 
Il faut savoir que le but de l’évolution est de fabriquer des humains immortels, non dans leur corps physique (utopie contradictoire), mais dans leur corps éthérique. Ils peuvent alors, par la concentration de leur volonté, condenser des corps tangibles. La nuance est de taille ! 
Ainsi le comte de Saint-Germain et Melchisédech apparaissent-ils d’âge en âge, avec de longues périodes d’occultation. Donc, l’explication éthérico-créatrice illumine les mystères de l’Aggartha


L’Aggartha est composée de ces hommes surhumains qui sont devenus des dieux. Ils ont atteint l’immortalité parfaite en ce sens qu’ils ont un corps éthérique indestructible, grâce auquel ils peuvent refaire à leur gré des corps physiques. 
L’Aggartha comprend vingt-deux grands maîtres, ceux qui ont atteint la conscience cosmique et l’illumination permanente. [...] Ces vingt-deux grands sages sont les points de convergence de l’humanité tout entière. En l’Aggartha, il y a la puissance, l’amour, la sagesse et la création de la beauté, ce qui fait que l’homme devient semblable à Dieu, Dieu qui est à la fois le grand poète, le grand géomètre et le grand amoureux éternel. [...] Ces maîtres ont atteint l’immortalité du corps éthérique. [...]. En voici les noms… (Cf. p. 38-39)

A lire : Le comte de Saint-Germain et les maîtres de l’AggarthaAuteur : Jean-Pierre WENGER 
Les éditions Saint-Germain Morya 3e trimestre 2012 
chez DG Diffusion dans toute librairie

Publié dans:HUMANITE, MAITRISE, POUVOIR |on 30 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

Evolution et Equilibre

 

un enseignement initiatique pour aujourd’hui par Michèle Schwarz

Une Connaissance supérieure s’offre maintenant, à divers degrés et sous diverses formes, à toute personne qui désire être libérée d’une vie ordinaire répétitive et des souffrances qu’elle génère.

Evolution et Equilibre dans ASCENSION osteoCette Connaissance universelle, non livresque, dont l’origine se perd dans la nuit des temps, fait figure d’objet précieux que l’on sort avec précaution de son écrin, à chaque nouvelle époque, pour la donner à étudier aux bons élèves de l’école de la Vie. Elle est la Base stable qui sert de tremplin à l’essor de l’humanité. Tant que l’Homme ignore sa véritable Origine, sa raison d’être sur Terre, ce qui l’attend après cette vie… et que les grandes Lois qui régissent l’Existence ne sont pas prises en considération, nombre de personnes se perdent dans une matérialité ou une spiritualité improductive et se retrouvent errant dans la vie, tel un naufragé ballotté au gré des flots. Cela est d’autant plus regrettable que l’humanité se trouve devant un choix crucial dont dépend son évolution future.

Ayant atteint le point le plus bas dans la matière il y a deux mille ans et ne pouvant descendre en deçà sans prendre le risque de voir sa conscience se déstructurer, il lui faut entreprendre une remontée progressive vers son monde d’origine en commençant par rechercher l’équilibre dans l’union de l’Esprit et de la Matière, de l’esprit et du corps, du masculin et du féminin… Or, depuis ce temps là, au lieu de s’élever vers de plus grandes réalités la majorité de l’humanité, après avoir emprunté des voies scabreuses, continue en toute inconscience de descendre en se fourvoyant sur des chemins dangereux qui ne mènent qu’à des mondes obscurs. Sur ces bas niveaux inappropriés à sa nature spirituelle, l’Homme perd ses repères et les valeurs s’inversent, le mal étant alors pris pour le bien. C’est ce qui explique les malheurs et les violences qui déferlent sur la Terre, du moins en partie. Tous les niveaux de la Création ont leurs retardataires, y compris dans les hiérarchies angéliques. Certains de ces Aînés de l’Homme, après avoir été des élèves indisciplinés, sont devenus des créateurs incompétents qui ne respectèrent pas le Plan de Vie. La « lumière » qu’ils transmirent étant davantage de nature à éblouir qu’à vivifier, il en est résulté une baisse des vibrations de l’ensemble de cette jeune création puis, l’humanité restant sourde à l’aide céleste qui lui a largement été prodiguée par la suite, une chute dans les profondeurs de la matière s’en est suivie. Toutefois, en ces jours nouveaux, il est dans la possibilité de chaque homme de bonne volonté d’opérer en lui un juste changement de conscience, en portant un regard plus profond sur la Vie, ce qui lui fera intégrer dans la sérénité le bon parcours évolutif. L’humanité récolte actuellement ce qui fut ensemencé aux temps anciens et chacun sème aujourd’hui pour les temps futurs.

La Vie ne s’improvise pas, elle s’apprend

L’ère nouvelle qui s’installe ne va plus pouvoir être appréhendée de la même manière que celle qui s’achève. Beaucoup trop de personnes, malheureusement, s’accrochent encore avec ténacité à des principes dépassés, alors que des valeurs plus élevées les attendent déjà sur un plan supérieur pour éveiller leur conscience à de plus grandes vérités. De nouvelles énergies se répandent actuellement sur Terre et l’imprègnent de leurs forces vives. Le monde se métamorphose et l’Homme ne peut se soustraire à l’Évolution. C’est donc dans l’intérêt de chacun de s’y adapter. Cela fait partie des desseins du grand Programme cosmique. Celui qui refuse de s’accorder à ce nouvel état vibratoire en restant ancré dans la matérialité ou en se laissant prendre au piège d’une fausse spiritualité, aura à affronter bien des maux car les conditions de vie ne seront plus alors en concordance avec les siennes. C’est un peu comme un poisson que l’on enlève à son milieu naturel : il finit par s’asphyxier.

Quel rôle tient un enseignement initiatique dans la vie de chacun ?

Dans les temps anciens, seul un nombre limité d’hommes ayant développé une plus haute conscience pouvait, par l’Initiation aux Mystères, se soustraire à une morne existence sans intérêt pour l’âme et à de sempiternels allers-retours « Terre-Au-delà » improductifs. Mais bien que l’époque actuelle soit marquée par de grands changements, aujourd’hui comme hier, seuls ceux qui auront fait l’effort de s’ouvrir avec sagesse aux grandes Réalités de la Vie, pourront passer la porte discrète qui mène aux initiations et, par là, franchir un à un les degrés de l’évolution humaine. Aucun élève ne peut prétendre aux grandes classes s’il a négligé les petites.

Lire la note de l’auteur ici… http://www.soleil-levant.org/presse/article.php3?id_article=48  

 

venez nous rejoindre sur le forum : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

 

 

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES, MAITRISE, POUVOIR |on 20 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

Des valeurs pour vivre notre pouvoir personnel

 

Par Jean-Claude Genel

Selon une pensée fort répandue, nous traversons actuellement une crise des valeurs. Mais n’est-ce pas justement parce nos valeurs profondes s’adaptent mal à une conception purement matérialiste de la vie ? Découvrons la boussole de nos valeurs pour nous redonner notre pouvoir personnel.

Des valeurs pour vivre notre pouvoir personnel dans GUERISON fleurs-fleurs-roses-00003Qu’elles soient conscientes ou non, nos valeurs dirigent notre vie. Elles pilotent en particulier la qualité de nos relations et sont nos instruments de navigation dans l’existence. Quotidiennement, elles sous-tendent nos décisions, nos actions et nos choix de vie. Paradoxalement, c’est bien souvent par leur absence qu’elles nous interpellent : manque de confiance en soi, de courage ou de patience. Pas assez solidaire, intègre ou bienveillant. En fait, les valeurs nous aident à mesurer le chemin parcouru et, en ce sens, elles sont des moyens d’apprécier notre qualité d’être et d’exprimer le meilleur de nous-mêmes en toute circonstance.

Les valeurs structurent l’être spirituel que nous sommes et facilitent une relation de cœur et d’âme avec les autres. Elles nous offrent une intelligence intuitive par laquelle nous sommes toujours présents à notre « essentiel » dans toute action. C’est ce qui nous permet d’être forts, même dans les moments d’épreuves, et de nous hisser à un autre niveau de compréhension. La voie des valeurs nous évite, dans les moments critiques, de céder à la victimisation et à la faiblesse, à la bêtise. Chaque jour, par les valeurs, nous gagnons en estime de soi et percevons plus finement ce monde intelligent, ce monde d’amour, celui que l’on dit invisible et qui fait la noblesse de l’être. Les valeurs nous révèlent que ce monde est là pour chacun de nous. 

Se rapprocher de soi 
L’étude des valeurs, du courage à la persévérance, du l’humilité à la compassion, a pour fonction de rapprocher de soi, et même de se recentrer sur ce qui est met naturellement de l’ordre dans la vie, à l’image de la Maât des ancien égyptiens. Vivre ses valeurs impose une sacrée responsabilité. On essaie toujours de s’améliorer et de se tenir dans une parfaite intelligence qui génère l’harmonie, une complicité et place la relation à l’autre au-dessus de tous préjugés. Petit, mes parents me disaient toujours « Reste comme tu es, ne t’occupe pas des autres. ». Finalement je me plais à penser que seul mon être spirituel était vertueux et que l’expérience humaine que je représentais ne pouvait que pratiquer les valeurs pour offrir une pensée juste, une parole et un comportement justes.

Une pratique quotidienne… 
« Nous ne sommes pas des êtres humains venus vivre une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine ». Cette pensée parle à la fois des valeurs qui permettent de prendre conscience de nos états intérieurs, éternels et des vertus qui placent ces états au-dessus de toute morale. Notre intelligence s’anime et nous permet de retrouver notre verticalité, notre humanité spirituelle. Ainsi, on se sent bien dans son corps et l’on se guérit de bien des maux. Par leur charge essentiellement positive, les valeurs permettent toujours de faire une lecture philosophique de notre vie, c’est-à-dire avec juste ce qu’il faut de distance pour oser exprimer le meilleur de nous-mêmes. Et pour y parvenir sans effort, la pratique quotidienne est une clé irremplaçable ! 

  Retrouvez les douze valeurs fondamentales de l’auteur dans le DVD « Aimer, Guérir, Réussir » et l’ouvrage « Le Sens sacré des Valeurs (3 Monts), en librairie et sur www.gproductions.fr 

  Une « Journée des valeurs » est organisée le 24 avril à Paris et le 25 avril à Ferney-Voltaire sur le thème « Vivez votre Légende personnelle ! ». Infos surwww.gproductions.fr

Publié dans:GUERISON, POUVOIR |on 18 novembre, 2012 |Pas de commentaires »

PROGRAMMER LA MAGIE

Alors, systémisme ou psychanalyse ? 

Chaque école propose sa clé au mystère familial.
Et le poltergeist ?
Chaque école apporte son explication. 

Selon le systémisme, exprimer les tensions trop fortes étant devenu impossible tant elles mettent en péril son homéostasie, la famille les répercute sur sa demeure, interface du système, par le biais d’un « adolescent coupable » jouant le rôle de patient identifié sans symptôme. 

Pour les psychanalystes, c’est l’inconscient groupal qui, sous l’effet de pulsions archaïques contradictoires et inavouables, est projeté et explose sur les murs de la maison, membrane matérialisée de l’appareil psychique familial.

PROGRAMMER LA MAGIE dans PENSEE meriusQuel modèle adopter ? La famille, système ou entité rêvante ? Le réseau de liens, de mythes et de croyances ou l’ectoplasme hirsute ? 

Faut-il d’ailleurs choisir ? Après tout, les deux visions paraissent compatibles. Si elles cultivent des images différentes de l’individu, toutes deux considèrent la résistance au changement et la nécessité d’évoluer comme les tendances opposées du fragile équilibre familial, et voient dans le poltergeist un symptôme comme les autres, bien que plus marqué d’irrationnel. 
Un débat fait pourtant rage entre psychanalystes et systémistes, particulièrement quant aux méthodes d’intervention applicables aux familles.

Travailler uniquement sur le présent et sur la communication, disent les psychanalystes, sans mettre à jour les processus inconscients, c’est courir le risque de voir apparaître le « syndrome pop-corn » : la fille anorexique devient boulimique, si elle va mieux son frère développe soudain un autre symptôme, ou bien le malaise devient général et éventuellement un poltergeist éclate. Pour les analystes, une thérapie doit restituer aux patients leur histoire par la levée des refoulements et aboutir à « l’insight », prise de conscience des pulsions fondamentales en jeu dans la situation, sans laquelle aucun problème ne peut-être définitivement résolu.

Mais que dirait-on d’un médecin qui prétendrait rendre pour toujours la santé à ses patients, d’un mécanicien annonçant que sa réparation tiendra éternellement ?, rétorquent les systémistes. Pourquoi demander aux psychologues une disparition permanente des problèmes, que l’on n’exige de personne d’autre ? La vie comporte une montagne de difficultés, qu’il vaut mieux apprendre à gérer que vouloir résoudre àjamais, espoir vain dont l’échec renforce la famille dans son sentiment d’impuissance, excusant toutes ses résistances ! De plus, les systémistes considèrent comme dangereux, voire malsain, le récit des rêves en famille, ouverture d’une boîte de Pandore sur des pensées qui gagneraient à rester ignorées, notamment des enfants. L’inconscient est volage et parfois agressif. Imaginez les conséquences de l’aveu d’un rêve meurtrier ou sexuel ! Le partage des rêves, s’il est possible dans certaines sociétés où l’habitude entraîne à faire la part des choses, représente chez nous le risque de les voir pris au pied de la lettre. Pire encore, il est contre-productif. Violer le jardin secret propre àchacun va à l’encontre du processus d’individuation. Et lever des refoulements qui forment souvent la base des croyances familiales, c’est s’opposer aux conceptions du monde qu’elles sous-tendent au lieu de s’en servir. Quant à la prise de conscience, si elle permet de connaître en profondeur tous les éléments d’un problème, aide rarement à en sortir, comme le rapporte la blague du bègue qui, au bout de dix ans d’analyse, bégaye toujours, « mais maintenant sait pourquoi » ! L’insight dépend des capacités de chacun, et de nombreuses familles ont plus besoin d’outils pratiques pour changer que des interprétations parfois fort compliquées que leur propose la psychanalyse. 

Ce conflit oppose aussi deux conceptions de la psyché, et du monde. Pour la psychanalyse, le psychisme demeure principalement individuel, sa cartographie est verticale, montant de l’inconscient au préconscient puis au conscient. Le monde est le reflet du dialogue entre ces éléments, dans l’opposition entre individu et collectif. Pour le systémisme l’individu existe avant tout dans les relations, son psychisme est commandé horizontalement par l’action complémentaire et parfois contradictoire des deux hémisphères cérébraux, et le monde est le lieu de la communication entre différents éléments d’un système. 

Au delà d’un accord fragile sur les pathologies, ces points de vue semblent inconciliables, entraînant avec eux des divergences sur les images du monde, le vocabulaire et les méthodes. 

Pourtant, les dissentions s’affirment moins vigoureuses lorsqu’on approche les praticiens qui se préoccupent de travailler sur le terrain plutôt que de théoriser. Le systémisme, arrivé tardivement et encore peu reconnu en France, a été adopté par des professionnels qui avaient pour la plupart reçu auparavant une formation freudienne, contrairement à d’autres pays où furent formés à la thérapie des néophytes venus d’horizons divers, sans aucune connaissance psychologique préalable, pratique inimaginable dans un pays aux structures rigides comme le nôtre. Bien qu’elle enflamme les théoriciens, la lutte entre les deux écoles ne passionne guère les praticiens français et beaucoup conjuguent pratique de l’analyse individuelle et thérapie familiale. 

Ainsi Nicole, thérapeute analytique à l’hôpital psychiatrique de Laborde, la Mecque de l’antipsychiatrie française, et praticienne familiale systémiste dans la ville voisine : 

 » Ma formation de systémiste, avoue-t-elle sans embarras, m’a surtout servi personnellement. Elle m’a permis d’acquérir une vision plus large de la vie, de relativiser le contenu transmis par les mots, de m’ouvrir à l’analogique, aux gestes, aux regards, aux positions, au ton de la voix, à tout ce qui permet de recadrer le langage dans un contexte qui l’éclaire et parfois le modifie. 
 » Cela m’aide tout le temps, ajoute-t-elle, même devant le journal télévisé, je peux recadrer les problèmes, car je sais qu’il y a dix façons de présenter les choses, que cela dépend par quelle porte on les aborde. Face à une famille, on utilise sans cesse cette approche, on tente une hypothèse, c’est une porte, et si cela ne marche pas, on entre par une autre. Impossible dans les pathologies lourdes rencontrées à Laborde, pour des raisons tant pratiques qu’institutionnelles, la thérapie familiale fait d’abord l’objet d’une séance d’évaluation, en fonction de laquelle nous proposerons soit une thérapie individuelle si le problème est personnel et relève de la psychanalyse classique, soit une thérapie de couple, soit une thérapie familiale. Celle-ci nous paraît indiquée et semble efficace dans tous les cas de problèmes collectifs, de symptômes circulants, dans la majorité des problèmes enfantins, comme l’énurésie, les angoisses et phobies, l’anorexie, mais aussi dans les pathologies dites comportementales comme l’alcoolisme, la toxicomanie ou l’agressivité. Mais ce n’est ni la panacée universelle ni même le garant du succès.

– D’autant plus, fait remarquer Anne Michel qui travaille dans un centre médico-social de la région parisienne, que le problème pratique fondamental ne se situe pas dans le choix entre systémisme et analyse, mais dans la population à laquelle on a affaire. Dès que vous mettez en péril l’homéostasie d’une famille particulièrement rigide, elle sabote la thérapie familiale, par abandon, ou par des actes manqués, des absences de l’un ou de l’autre sous de faux prétextes, ou encore par une aggravation de l’état du patient identifié justifiant une hospitalisation. Nous en sommes réduits, surtout dans le cadre médico-social où la thérapie est souvent imposée de l’extérieur par l’école ou les organismes sociaux, à revenir à une thérapie individuelle alors que nous savons bien qu’un traitement familial serait la meilleure solution. Qu’elle soit systémiste ou analytique, la thérapie familiale a ses limites, qui sont celles de la famille elle-même.

Pour Xavier Colle, psychologue au Centre Monceau de thérapie familiale spécialisé dans le traitement de la toxicomanie, la différence théorique est pourtant fondamentale. 

– Le systémisme, dit-il, peut englober la psychanalyse car il se trouve à un niveau d’abstraction supérieur. Comme le montre von Bertalanffy dans sa Théorie générale des systèmes, le systémisme utilise des modèles et peut effectuer des transferts d’un savoir à un autre car il s’intéresse aux interactions plus qu’aux caractéristiques individuelles. Un systémiste observera les relations, les communications, les réseaux et les coalitions, les phénomènes de causalité linéaire et circulaire dans lesquels la famille est prise, ce que la psychanalyse ne peut faire, puisque son objet est l’inconscient, considéré dans une logique intra-psychique de causalité linéaire. 

 » Cela dit, la rivalité entre les deux écoles de thérapie familiale est placée sur un plan intellectuel alors que sur le terrain elle se situe sur un plan commercial, c’est une défense de territoires, de bastions, de privilèges, un débat typiquement franco-français, sans intérêt. Certains thérapeutes du centre où je travaille ont une approche psychanalytique, sans aucune formation systémique. Je suis en désaccord avec eux, mais parfois je me rends compte qu’en fait, ils travaillent pratiquement comme moi, la pertinence et la finesse de leurs interventions sont totales. Un bon clinicien est un bon clinicien quel que soit son modèle. »

Rassurante réconciliation. Mais, si les conceptions d’un clinicien sur la famille et la thérapie importent peu, quels facteurs déterminent sa valeur et son efficacité ?

C’est pour répondre à cette question que John Grinder, psychologue et linguiste, et Richard Bandler, psychologue et mathématicien, décidèrent dans les années soixante-dix d’observer méthodiquement des interventions thérapeutiques. Par une démarche typiquement nord-américaine, ils choisirent des psychologues reconnus comme étant les meilleurs, sans se préoccuper de leurs écoles ou de leurs chapelles, filmèrent et analysèrent avec minutie leurs pratiques. Surprise ! En concentrant leur attention sur ce que les thérapeutes faisaient vraiment, sans tenir compte de ce qu’ils disaient faire, ils découvrirent certains types d’interactions communs à tous, et pour la plupart inconscients, comme s’il existait, au delà des théories divergentes, de grands schémas directeurs de l’activité thérapeutique. Partant du principe, après tout discutable, que l’on peut enseigner ce à quoi certains excellent sans en être conscients, ils reprirent ces grands shémas, pour en extraire des données susceptibles de « modéliser l’excellence ». On pense aussitôt à l’écoute, indispensable préalable àtoute relation d’aide. Pourquoi certains semblent-ils posséder un talent inné pour susciter la confiance et inviter autrui à s’épancher librement ?
Mais la question est plutôt de savoir comment. Et précisément, Grinder et Bandler cherchaient à élaborer un modèle, non une théorie. Une théorie essaye d’expliquer pourquoi un système fonctionne comme il le fait. Eux s’intéressaient au comment, voulaient décrire le fonctionnement du système, tentaient d’en dégager un modèle, puis d’en élaborer une réplique plus performante. D’abord limité au système thérapeutique, leur modèle fut rapidement étendu à toutes les communications, et baptisé Programmation Neuro-Linguistique (PNL). Le terme paraît quelque peu ostensiblement cybernétique et post-moderne. Il suffit de le décortiquer pour en comprendre le sens. 

La programmation constitue l’ensemble des croyances, souvenirs, façons de penser, de ressentir et de se comporter à partir duquel une famille, un individu ou un groupe construisent cette réalité de deuxième ordre dont parle Watzlawick. C’est le produit de cette écologie des liens dont parle Jacques Miermont.

Toute programmation nécessite un « hardware » sur lequel s’imprimer, un support physique, constitué chez l’être humain par le système neurologique. L’activité humaine repose sur l’utilisation des cinq sens et sur l’excitation neuro-cérébrale, d’où le « neuro » de cette programmation.

Elle est dite « linguistique » parce que c’est le langage, verbal ou non, qui structure l’activité mentale et reflète la programmation spécifique à chacun. 

Prise au pied de la lettre, la PNL ressemble fort à une nouvelle version des vieilles conceptions réductrices de l’humain, le comparant aujourd’hui aux ordinateurs après en avoir fait une mécanique horlogère ou une cellule. Elle présente pourtant deux avantages : elle ne prétend pas être autre chose qu’une grille de lecture, et elle englobe la communication comme caractéristique fondamentale de l’activité humaine. Loin de définir la nature profonde de l’être humain, elle s’attache à montrer comment il fonctionne, et surtout communique.

C’est en effet à partir de l’observation de la façon dont les thérapeutes communiquaient avec leurs patients que Grinder et Bandler dégagèrent des concepts plus généraux, destinés selon eux à rendre les relations plus harmonieuses, quels que soient leur cadre et le système de croyances qui les sous-tendent. Ils remarquèrent par exemple que, malgré les différences de discours et de méthodes d’intervention, tous les thérapeutes particulièrement efficaces semblaient copier leur attitude, leur vocabulaire, souvent même leurs gestes, sur ceux de leurs patients, par cette sorte de mimétisme naturel immédiat dont le guérisseur Jean Favier nous avait montré l’efficacité et Laurent Corbin souligné l’importance. 

tempete-en-mer-189x300 dans POLTERGEISTS et LEGENDESLes fondateurs de la PNL en déduisirent le modèle et les méthodes de la « synchronisation », que le bon sens populaire illustre par l’adage bien connu « chez les Romains, faites comme les Romains ». Hypocrisie, proclameront certains, considérant avec dédain les vertus du caméléon comme une manipulation, une faiblesse de caractère ou une perte d’identité. Certitude à la vue bien courte, répondent les PNListes (pé-ène-elle-iste), qui conduit à passer sans cesse à côté de l’autre et à ne pouvoir communiquer que dans le ghetto relationnel de ceux qui pensent, parlent et se comportent comme vous. Certitude commune, ajoutent les thérapeutes familiaux familiers des idées PNListes, aux membres de familles à transactions rigides et illusion puissante, incapables de se démarquer de leur milieu et de s’ouvrir au monde. 

Se synchroniser demande en effet de sortir de soi-même, impose l’observation, la prise en compte et l’imitation, inconscientes chez certains, du mode de perception sensorielle de l’autre que la PNL dénomme système VAKO, pour Visuel, Auditif, Kinesthésique ou Olfactif. Chaque individu privilégie l’un ou l’autre de ces modes de perception, qui transparaît dans son langage. D’un même propos un Visuel dira « Je vois clairement de quoi vous voulez parler », un Auditif : « J’entends bien que vous me dites », un Kinesthésique : « Vos propos me touchent », et un Olfactif : « Je sens que nous pourrions collaborer ». Les membres d’une famille partagent en général un même type de vocabulaire spécifique. Tout comme le mode de perception qu’il transcrit, celui-ci traduit leur façon d’appréhender la réalité, de construire le réel, et véhicule leur système de croyances. 
La PNL apporte de lumineuses précisions sur le processus de construction du système de croyances propre à l’écologie familiale. Avant de se construire un monde, une famille doit approcher celui qui existe, et dépend pour ce faire de limitations d’ordre neurologique, sociologique et personnel. Approche du monde et limitations sont loin d’être des concepts abstraits. Ce n’est pas pour rien, par exemple, que l’on dit souvent d’ene maison qu’elle reflète le mode de pensée de ses habitants. Avant de la choisir ou de la faire construire, une famille en visite plusieurs, examine des plans : c’est l’approche. L’être humain diffère de l’animal, il lui est impossible de vivre en pleine nature, à l’air libre : c’est sa limitation neuro-physiologique. Le choix sera déterminé par des critères de prix, de confort, d’esthétisme qui sont le reflet de limitations sociologiques. Il y entrera enfin des préférences irrationnelles éminemment personnelles.

A partir de leurs limitations, une famille et les individus qui la composent construisent leur univers, intérieur autant qu’extérieur, grâce à trois facultés que possède la pensée pour se fabriquer des modèles à partir du réel. 
La généralisation dirige l’apprentissage. Savoir monter un escalier ou rouler à bicyclette signifie pouvoir monter tous les escaliers et enfourcher n’importe quel vélo. 

La sélection évite d’être submergé par toutes les informations que rapportent les sens, permet d’enregistrer celles qui sont utiles. Un automobiliste concentre son regard sur l’essentiel et délaisse le superflu. 

La distorsion, enfin, représente le travail de l’imagination, transforme la réalité et change l’expérience sensorielle. Les ciels fous de Van Gogh transmettent l’émotion, on « voit » la belle maison que donnera une ruine une fois bien rebâtie. 
Déterminantes dans le mode de fonctionnement et le système de croyances que se constitue une famille, ces trois capacités illustrent le paradoxe inhérent au phénomène familial, car autant elles contribuent à fabriquer sa vision du monde, autant elles peuvent en appauvrir les ressources et rétrécir les dimensions, par un processus de boucles auto-justifiantes caractéristique de la causalité circulaire. Chacune possède aussi en effet ses aspects négatifs. Avoir vécu une relation tendue avec son père peut entraîner à rencontrer des difficultés avec tous les hommes. Une sélection morbide peut inciter à ne relever dans les situations que leur côté dramatique et à oublier ce qui va bien. La distorsion négative conduit à prendre la critique d’un comportement pour un rejet de la personnalité, à se mettre martel en tête, « elle ne m’a pas souri, ô pleurs, elle ne m’aime plus ».

Pour la PNL toute communication, familiale ou autre, se situe sur deux niveaux : le contenu de ce qui est dit, et le processus, qui représente comment les choses sont dites et détermine à l’insu des interlocuteurs la relation qu’ils vivent, comme la « ponctuation » des systémistes. Pour être efficace et durable, un changement doit concerner le processus, car le comment est le plus fondamental, en particulier dans les tensions. Une famille n’est pas rigide par plaisir, elle ne vit pas avec bonheur ses problèmes ou la pathologie de l’un de ses membres, elle ne crée pas un patient identifié par volonté de vengeance ou d’échec, mais parce qu’elle ne sait pas comment faire autrement. 

Sur ce point encore, la PNL et le systémisme se rejoignent. La deuxième génération de systémistes affirme en effet que le symptôme, s’il est la preuve d’un dysfonctionnement du système tout entier, représente surtout une formidable adaptation à ce dysfonctionnement. « C’est la solution qui pose problème, pas le problème ! », disent-ils.
Plus encore, affirment les PNListes, les ressources nécessaires au changement sont présentes dans la dynamique même de la pathologie. 

Devant de telles affirmations l’esprit logique se rebiffe. Bon, d’accord, admettons : bien que son origine collective ne paraisse pas toujours évidente, le symptôme n’est qu’un signal. Le patient identifié joue le rôle de disjoncteur d’un système sous tension, le poltergeist sert à exprimer le malaise familial. Mais de là à penser qu’une pathologie recèle, en elle-même, le remède aux problèmes qu’elle dénonce, ne serait-ce pas pousser le bouchon un peu loin ?

La question méritait d’être posée à des représentants de cette nouvelle école aux affirmations bien surprenantes.

Jane Turner et Bernard Hévin, psychologues et PNListes parisiens, animent le « Dôjô », centre de formation aux techniques de la PNL. Dans ce duo parfait, chacun reprend les paroles de l’autre pour en renforcer l’impact. Bernard, agitant sans cesse son corps compact de judoka, fourrage d’une main nerveuse une barbe touffue dont il semble sortir soudain, comme des lapins d’un chapeau, les bons mots, anecdotes et histoires drôles dont il fleurit son discours avec la voix forte et posée de l’homme habitué à parler en public. Jane, impeccable de blancheur, si droite sur sa chaise qu’elle en paraît immobile, lui donne le répons d’un ton doux agrémenté d’une pointe d’accent anglais, qu’elle ponctue parfois d’un geste élégant. 

Jane et Bernard furent les seuls psychologues rencontrés dans cette enquête à spontanément s’intéresser au poltergeist, que les autres, exceptée bien sûr Djohar Si Ahmed qui les connaît de près, semblèrent considérer comme un symptôme parmi d’autres, sans signification ni teneur particulières, pour certains plus proche du délire hallucinatoire collectif que d’un phénomène remettant en question nos certitudes (croyances ?) sur la nature de la matière et les capacités du psychisme.
 » N’ayant pu observer directement de tels phénomènes, dit Bernard Hévin, je peux réfléchir uniquement sur ce qu’ils indiquent quant au système de croyances des familles qui les vivent. Et pour un PNListe, c’est particulièrement intéressant : comment une famille arrive-t-elle à un moment donné à produire un événement pareil, négatif, perturbateur, désagréable et surtout en apparence étranger à elle-même ? Si elle est capable de le produire négativement, elle doit pouvoir le produire avec des effets positifs, à l’utiliser d’une autre manière. Quelles que soient les choses que l’on fait, ce n’est pas pour qu’elles nous nuisent.

– C’est l’idée de base, la croyance fondamentale de la PNL, intervient Jane Turner. Une intention positive existe dans tout phénomène. La question posée ne sera évidemment pas : en quoi est-il positif ?, mais : quel est le besoin sous-jacent qui demande une réponse et a pour l’instant trouvé cette issue-là ?

– Vous rejoignez donc la conception systémiste du malaise ?
– Tout à fait. La PNL reprend d’ailleurs toutes les techniques systémistes, la prescription du symptôme, l’injonction paradoxale de ne surtout rien changer, etc. Mais nous allons plus loin dans l’utilisation du symptôme ou, si vous préférez, nous en restons là où est la famille, c’est-à-dire avec son problème, sans chercher à savoir quelles en sont les raisons, ni à changer son système de pensée et de croyance.

– Imaginons que nous intervenions dans l’affaire des apparitions de poteries que vous décriviez, reprend Bernard. Dans un premier temps, nous nous efforcerions d’établir une relation avec cette famille, pour adopter son langage, ses croyances, nous synchroniser avec elle, la mettre en confiance. Il ne s’agit pas d’arriver dans la pièce et de leur conseiller gentiment d’accepter la mort de leur fils, ni de leur dire : « Vous êtes encore plus fous que les fantômes que vous inventez », ni de proclamer : « Vous savez, ce phénomène, c’est vous qui le produisez, et devinez quoi ?, derrière lui se cache une intention positive ! » Ça ne marcherait jamais ! Ensuite nous chercherions à leur faire préciser quelle est leur demande. Arrêter ce vacarme et ces apparitions ? Avant d’élaborer une tactique d’intervention, nous travaillerions sur leurs points de repère, pour faire émerger le rôle que joue le phénomène. Si, parce que le guérisseur est venu et a mis fin aux troubles, ils sont incapables de préciser cette demande, je leur demanderais par exemple : « Qu’est-ce que vous allez mettre à la place ? ». Cela les surprendrait, et s’ils ne savent pas, nous réfléchirions ensemble là-dessus, ce qui les amènerait à rechercher en quoi ce poltergeist leur servait. Ma question est au présent, et dirigée vers l’avenir, donc positive, mais elle conduit à remonter la Ligne de Temps, dont Jane est une grande spécialiste.

– La Ligne de Temps, poursuit Jane avec un sourire indulgent envers son partenaire, rejoint les délégations trans-générationnelles dont parlent les systémistes, et le système d’allégeances qui en découlent. Un événement passé n’a pas de véracité absolue, il n’existe que dans l’intériorisation que chacun en fait, en termes non seulement de souvenirs, mais aussi de signification. Il s’agit de trouver un sens qui soit plus efficace, compte tenu de ce que la famille est en train de vivre et veut obtenir. Pour cela, on l’amène à percevoir quelle est son organisation spatio-temporelle.

– A l’aide des génogrammes systémistes, ces arbres généalogiques un peu particuliers ?
– C’est une option complémentaire. Mais on utilisera plutôt la visualisation. Dans ce cas, par exemple, puisqu’ils hésitent entre le fantôme de leur fils et un égrégore de leur belle-fille, on va d’abord demander à cet « esprit » quel qu’il soit s’il est d’accord pour dialoguer. On va trouver une acceptation, sous une forme ou une autre. Par le biais du fantôme, le symptôme va « parler », et finira par nous dire pourquoi il est là. En dialoguant avec lui, on lui demandera àquoi il sert, quelle est son intention positive. Et il va répondre, tout simplement ! Il va se déclarer. Peu importe comment. Des bruits, des déplacements d’objet, un coup pour oui, deux coups pour non, je ne sais pas, je n’ai pas vécu de poltergeist. Mais j’ai l’expérience de phénomènes analogues, d’individus ayant subi des chocs épouvantables. Et le travail qui m’était demandé concernait les deux bouts, en quelque sorte, de la Ligne de Temps : aidez-moi à ce que cela ne se reproduise pas, et : aidez-moi à reconstruire ma vie. 
Alors on travaille sur les repères. Comment cela a-t-il commencé ? Comment pointer un redémarrage du phénomène ? Que faire pour retrouver les repères d’avant ? Et le fantôme va répondre, on va pouvoir amorcer une négociation, que nous appelons « gagnant – gagnant », où nous proposerons des moyens qui conviennent à tous, y compris au fantôme, ou aux bruits, ou à tout ce qu’on veut, pour que ce qu’ils expriment soit reconnu, mais par d’autres moyens que ceux qu’ils utilisent.
– Si on prend cette famille dont vous parlez, intervient Bernard, même sans la connaître je pense qu’il sont très soudés autour de ce phénomène, contre quelque chose, la peur de voir leur fils cadet partir comme l’aîné l’avait fait, la mort de leur fils, la belle-fille, que sais-je. Le moyen est franchement désagréable. Mais on peut penser que si le phénomène cessait, la famille éclaterait. Eviter la dispersion représente l’intention positive. On pourrait comparer cela avec des problèmes dans une entreprise, excepté que la famille ne peut pas déposer le bilan ! Alors la question sera : comment faire pour rester tous ensemble, et plutôt que de lutter contre, lutter pour quelque chose ? A partir de là, on peut travailler sur l’acquisition de nouveaux moyens de préserver cette unité, ou bien la famille décide qu’elle n’a rien envie de mettre à la place de ce phénomène, et le hasard devient volonté. Ils réalisent que cela permet d’avoir une vie plus individuelle, moins reliée à leur fils mort, moins confinée, et simplement d’être heureux, ensemble mais séparés.

– Le travail de toute thérapie est d’aider les individus à se placer côté cause, à devenir initiateurs de l’action, sujets de leurs vies.

– Bien sûr, mais comment faire ?
– Multiples tactiques qui se résument en une : il faut augmenter les choix, aussi bien de définitions du problème que de ses solutions.

– Un exemple ! s’exclame Bernard. Samuel, mon fils de cinq ans, se réveillait toutes les nuits à cause de cauchemars, un horrible sorcière qui venait le tourmenter. Je lui ai prêté mon boken, le sabre en bois d’entraînement aux arts martiaux, en l’autorisant à s’en servir contre la sorcière. « Bon, écoute, lui ai-je dit ensuite, cette sorcière est peut-être très forte, tu n’es pas certain de gagner. Alors on va fabriquer un piège avec une boîte dans laquelle on mettra une pomme que je vais empoisonner, je connais la formule, je te la donnerai quand tu seras plus grand. Si la sorcière prend la pomme, elle tombera dans la boîte. »

La nuit passe sans cauchemar. « Parfait, à mon avis elle est très maligne, elle a vu le piège, elle a compris qu’elle risquait gros. Elle ne reviendra plus, mais on va laisser le piège une semaine pour plus de sûreté. » Et elle n’est jamais revenue ! Quand Samuel est persuadé de voir une sorcière, il voit vraiment une sorcière. Le faire agir dans son rêve, c’est accepter le fait que ce rêve soit pour lui une réalité. Une autre réalité. Comme le poltergeist. Peu importe qu’il soit réel ou non.

– Vous tenez les mêmes propos que les guérisseurs qui interviennent dans les cas de poltergeist ! Mais c’est de la magie, tout ça. Efficace avec des enfants, ou même des adultes qui vous croient investis d’un pouvoir. Mais dans les autres cas ?

– Un autre exemple. Voilà ce que me raconte l’autre jour un participant dans un séminaire d’entreprise. « Mon couple vivait de graves problèmes. Le divorce semblait inéluctable. Nous décidons d’aller voir un psychologue. Nous tombons sur un bonhomme incroyable, vraiment un âne, qui nous écoute pendant une heure, puis nous dit : bon, écoutez, vous me devez cinq cents francs, moi je ne peux rien faire pour vous, trouvez-vous de bons avocats. On est ressortis scandalisés, on n’est bien sûr jamais retournés le voir, les psys sont vraiment d’incroyables charlatans ! » J’approuve et je lui demande : – Et c’était il y a combien de temps ? – Oh, une dizaine d’années – Et comment cela va-t-il avec votre femme ? – Eh bien, on est toujours ensemble – Donnez-moi vite l’adresse de ce psy, parce que pour arriver à cela en une seule séance, il doit être vraiment fort ! – Je ne comprends pas ce que vous voulez dire – Vous êtes allés le voir parce que vous hésitiez entre rester ensemble et divorcer, et en une heure il a réalisé le tour de force de vous souder si bien contre lui que depuis dix ans vous êtes restés ensemble. Ce type est un génie ! » Et tout d’un coup, mon bonhomme a réalisé que j’avais raison, et qu’il ne s’en était jamais rendu compte ! 

Tiens donc ! La magie redeviendrait-elle en odeur de sainteté dans certains milieux psy ?

Micky Reeman n’est pas près d’oublier le séminaire d’initiation à la PNL auquel il participa l’automne dernier. Organisé dans le somptueux décor des montagnes cévenoles par un organisme allemand, le Centre d’Entraînement à la Communication de Wiesbaden, ce fut, avoue-t-il, l’expérience la plus enrichissante mais aussi la plus inconfortable de sa vie. Certes, on l’avait prévenu que l’aventure ne serait pas théorique et qu’il serait demandé aux participants un travail sur eux-mêmes, notamment sur leurs « représentations familiales ». Mais il ne s’attendait pas à ce que de simples représentations puissent prendre un caractère aussi vivant ! 

L’affaire démarra sans fioritures ni longs préliminaires. Après une première prise de contact et une rapide présentation des grands principes, on demanda un volontaire. Intrépide, Micky s’avança. 

Et se retrouva seul au milieu d’un grand cercle, autour duquel les autres participants s’alignèrent.
Le principe est très simple, lui expliqua-t-on, tu vas choisir parmi nous des personnes qui joueront le rôle de membres de ta famille, les placer où tu veux, leur faire prendre toutes les positions que tu désires et estimes symboliques de ce qu’ils représentent pour toi, bref animer une pièce de théâtre silencieuse dont la troupe serait ta propre famille. 

Ces « sculptures », empruntées à la thérapie systémiste, ne permettent pas seulement de repérer les éventuelles délégations trans-générationnelles, mais aussi de se positionner soi-même par rapport aux différents membres de sa famille, et aux grands courants relationnels qu’elles font rapidement apparaître, en déclenchant parfois une vague d’émotions insoutenables.
Un stagiaire put ainsi affronter son grand père, disparu depuis longtemps, mais dont le passé nazi entachait d’une culpabilité inavouée le souvenir conservé par sa famille. Se rendant compte à quel point il l’avait éloigné de la sculpture familiale en l’isolant à l’écart des autres dans un exil symbolique, il put enfin s’en approcher pour lui dire, après de longues hésitations et avec beaucoup de difficulté : « je te reconnais, grand père, comme un quart de moi-même. Mais je ne partage pas tes idées, et si je condamne tes actions, je t’invite à rejoindre la lignée de mes ancêtres, tout assassin que tu aies été ».

Le processus va encore plus loin, car il permet aussi de renouer cette Ligne du Temps dont parle Jane Turner, d’en ravauder les « trous noirs », événements toujours dramatiques que la famille a rejetés, dont elle ne parle jamais, mais qui restent non résolus, inexplicables béances dans la trame de son histoire. On invita Micky et ses partenaires à se concentrer non plus sur leur position personnelle dans la famille, mais sur les lignes interactives qui la traversent et le rôle qu’y joue chaque membre. Pour cela, plus de sculpture, mais chacun dut s’asseoir à une table et dessiner, sous l’oeil vigilant d’un observateur, sa cartographie familiale, à l’aide de ficelles et de pièces de monnaie. Spectacle cocasse et parfois poignant, comme lorsque Micky éclata soudain en sanglots en réalisant combien la famille de sa mère avait vécu sans jamais en parler dans le souvenir permanent d’un jeune frère disparu prématurément, cause profonde de l’éternelle tristesse mêlée de sur-investissement affectif dont Micky avait tant souffert pendant son enfance.

C’est là qu’intervient vraiment la PNL, qui ose prétendre à la possibilité de se refabriquer un réel à partir de ce que l’on en ressent et voudrait qu’il soit. Il est possible, et permis, de changer ces lignes d’échanges, d’imaginer ce qui serait advenu si les événements avaient été différents, de se fabriquer une autre histoire, en réintroduisant par exemple des membres absents parce que reniés, rejetés ou morts dans des circonstances inacceptables. Grâce àl’intervention des animateurs du séminaire, le jeune homme fit revivre cet oncle disparu depuis si longtemps, enfant lointain à l’influence mystérieuse et, imaginant un autre réel, se reconstitua une ascendance positive.

Cette expérience, avoue aujourd’hui Micky, bouleversa les souvenirs qu’il gardait de son enfance, transforma les rapports avec sa famille. Plus encore, elle le conduisit à entrevoir d’une façon différente ses relations, à en rompre certaines qu’il n’entretenait que pour mieux se protéger du monde, à affronter celui-ci avec plus d’autonomie et de maturité.
Là, la thérapie rejoint le chamanisme, dans le sens où elle permet de se créer un réseau d’aides, de faire de ses ancêtres des « alliés », comme disent les chamans.

A ses débuts la psychanalyse, emportée par son désir de scientisme, évacua l’irrationnel hors de son champ en l’assimilant à un « esprit magique » fondamentalement primitif et archaïque, que l’introspection logique permettait de rendre conscient et rationnel et que la connaissance scientifique du psychisme finirait par chasser de la nature humaine. Cependant l’aspect magique de toute thérapie, incompréhensible alchimie de la transformation mentale, est mentionné de ci de là dans de nombreux ouvrages, et certains analystes ne renient pas le caractère parfois surnaturel de leurs interventions. Son importance était-elle au coeur de l’aveu de Freud lorsqu’il disait que s’il devait refaire sa vie il la consacrerait au paranormal ? 

Le systémisme, moins imprégné d’esprit rationaliste, marque le début d’un abandon de cette véritable croyance dans le pouvoir de la science à expliciter le phénomène humain, qui relève plus de la foi que de la raison et est d’ailleurs abandonnée par les scientifiques les plus modernes. Certes, pour les systémistes, les phénomènes paranormaux ne constituent pas un sujet d’intérêt en soi, puisque le problème n’est pas le symptôme mais la dynamique familiale qui l’a fabriqué, le rôle qu’il y joue, les solutions cherchées pour le résoudre ou les moyens parfois trouvés pour s’en satisfaire. Schizophrénie, toxicomanie, poltergeist ou pipi au lit seront considérés de la même façon, les différences d’intervention portant sur la spécificité de chaque famille plutôt que sur les particularités des pathologies. Mais les systémistes se montrent ouverts à la dimension irrationnelle présente à des degrés divers dans toute famille, plus que la psychanalyse dont ils inversent la démarche. Au lieu de faire remonter l’inconscient vers le conscient comme dans l’interprétation des rêves, ils s’efforcent de bloquer le rationnel cerveau gauche pour atteindre le cerveau droit, à l’aide de métaphores, de paradoxes, et au besoin d’objets symboliques, tels le fusible et le réseau électrique hâtivement confectionnés par Alain dans la thérapie du jeune homme hébéphrène. L’utilisation d’objets chargés de sens, propre aux pratiques magiques, rejoint le scarabée d’or et la synchronicité de Jung, à ceci près qu’ils sont employés sciemment et font partie intégrante des méthodes systémistes, d’ailleurs plus rarement explicitées que ne le laissait penser la thérapie prise pour exemple.

La PNL franchit une autre étape, et se sert de la dynamique même du symptôme, invité à coopérer dans une recherche commune de son message positif et une mutation de ses manifestations. Malgré la froideur apparente de modèles très rationnels, la pratique s’inspire franchement du chamanisme où le malade, presque toujours entouré de ses proches, est entraîné dans une descente jusqu’aux racines de son mal dont le chamane le libère en luttant, pour lui mais aussi avec lui et avec le symptôme, contre les esprits qui en sont la cause.

Le premier traité de PNL écrit par Grinder et Bandler en 1976 s’appelait The Sructure of Magic. Derrière la Magie, la PNL, de Josiane de Saint Paul et Alain Cayrol, introduisit, onze ans plus tard, la PNL en France.

A l’extrême opposé de la psychanalyse, dont elles acceptent le savoir à défaut d’en partager les méthodes et croyances, de nouvelles pratiques thérapeutiques apparues ces dernières années tentent délibérément d’établir la synthèse entre recettes magiques et découvertes récentes sur le fonctionnement mental. 

C’est là que nous retrouvons Djohar Si Ahmed et l’Institut des Champs Limites de la Psyché. 
Les entraînements à la télépathie mettent effectivement en valeur le caractère insolite, inconnu, secret et magique des communications humaines. Ils repoussent aussi la frontière entre individu et collectif, en permettant par exemple à quelqu’un ayant une tendance paranoïaque de faire la part entre ce qui vient de lui et ce qui vient d’ailleurs, de mesurer combien les processus inconscients qui déforment le message télépathique proviennent de son histoire personnelle et non de l’extérieur.

Ce n’est donc pas à une vision annihilée de l’individu qu’ils invitent, mais à un recadrage des positions respectives de l’individu et du collectif.

transforme-237x300 dans POUVOIRLa respiration holotropique, mise au point par le psychiatre d’origine tchèque Stanislas Grof à partir de travaux effectués dans les années soixante sur l’utilisation thérapeutique du LSD, représente la dernière née de ces techniques d’exploration des dimensions collectives de la psyché humaine. Atteignant un état modifié de conscience grâce à la relaxation, à une hyper-ventilation respiratoire et à l’influence quasi hypnotique d’une musique soigneusement sélectionnée, le « respirant » refait l’expérience de sa naissance. Il la revit littéralement, avec une intensité souvent pathétique et des découvertes parfois lumineuses, comme lorsqu’un participant comprit que la peur d’être étranglé qui le tourmentait depuis toujours provenait de ce qu’il était né avec le cordon ombilical enroulé autour de son cou. Certains respirants remontent jusqu’à leur vie intra-utérine, dont ils retrouvent alors cette ambiance symbiotique qui revêt une telle importance pour la psychanalyse familiale. Là aussi, l’expérience peut apporter de féconds éclaircissements, en informant sur l’état d’esprit de la mère pendant la grossesse. Plus encore, certains franchissent parfois une frontière étrange, au delà de laquelle ils atteignent un autre univers, dont ils reviennent en racontant d’incroyables histoires de vies antérieures ou d’expériences animales, trop précises, réelles et chargées de vécu pour être seulement considérées comme hallucinatoires.

Ainsi donc, s’éloignant d’une conception classique de l’individu, la psychologie semble appelée par la pensée de système et la découverte des dimensions transpersonnelles de la psyché, à intégrer toujours plus l’être humain dans les réseaux de liens et de communications dont il est membre, à le relier au monde, aux autres et à ses origines, à en accepter le caractère irrationnel et magique. 

Mais, ce faisant, elle remet en question toute notre conception de la réalité. Que reste-t-il de l’individu ? De quelle nature sont les liens qui le relient à ses ancêtres ? Qu’est-ce que la pensée ? Quels rapports entretient-elle avec la matière ?
En réhabilitant des pratiques quasiment chamaniques, les nouvelles thérapies, familiales ou pas, conduisent aussi à se poser une autre question : en quoi la pensée moderne rejoint-elle les pensées traditionnelles ? Nous avions quitté un mystère moyen-âgeux pour un mystère moderne, qui s’avère finalement presque aussi insoluble. Quels éléments de réponse les « Moyen-Ageux », les « Primitifs », auraient-ils à apporter, eux qui, après tout, jouaient avec aisance de ces notions que les « Modernes » ne réussissent à aborder que par un détour ?

Il restait à interroger un autre de ces psychanalystes « pas comme les autres », dont nous avons déjà rencontré quelques specimens et qui, en approfondissant la recherche sur le psychisme, en élargissent les limites.

Agitateur iconoclaste n’hésitant pas à dénoncer les lacunes de la théorie freudienne, sans toutefois la répudier, Didier Dumas va nous permettre, grâce à sa théorie du fantôme et à sa connaissance du taoïsme, de relier chamanisme moderne et traditions antiques. Il va aussi, au passage, jeter un dernier coup de projecteur sur quelques questions laissées en suspens au cours de cette enquête.

             Extrait de Lorsque la Maison crie, phénomènes paranormaux et thérapie familiale, Robert Laffont, Paris, 1994

Ascension


Il est possible que vous ressentiez quelques symptômes d’accélération et nous désirons vous le faire savoir afin que vous ne soyez pas inquiets. Il va y avoir comme un sentiment ‘d’état d’urgence’ qui sera le résultat de la réponse de votre corps à l’accélération, tout comme vous pourriez la ressentir si vous étiez dans un véhicule – un avion, une voiture ou un train – qui commence soudainement à se déplacer plus rapidement et qui dépasse votre zone de confort. Cette accélération donne une sensation de grande vitesse et votre corps peut répondre par des symptômes de ‘nervosité’, ‘de papillons dans l’estomac’, de légères nausées passagères et un mélange fait à la fois d’anxiété, d’anticipation et d’excitation.

Ascension dans ASCENSION bouddha2Ce sera une ‘aventure plus folle’ que ce que nous avions prévu et notre conseil est de vous souvenir de respirer lorsque ces sensations surgissent en vous. Il sera plus facile de rester à l’aise lors de cette accélération si vous vous laissez aller DANS l’expérience, un peu comme si vous vous installiez dans le siège enveloppant d’un vaisseau spatial. Alors que vous ressentez la pression de cette accélération, soyez attentif à rester calme en amplifiant votre respiration, en fermant les yeux et en choisissant encore et encore de faire confiance au mouvement et à ceux qui le créent.

L’intention et le but de cette action est de vous élever vers une bande fréquence supérieure. Cela nécessite également que toutes les énergies qui sont en vous et qui ne sont plus compatibles avec ces fréquences élevées, soient dégagées de votre système ; ce qui se traduit par un nettoyage plus rapide de celles-ci. Ceux d’entre nous qui vous assistent, vont travailler avec vous afin de soulager les symptômes de ces purifications mais vous pouvez également rendre les choses plus faciles en choisissant de chevaucher cette vague de changement avec calme et sans résistance.

C’est la résistance qui empêche l’énergie de se déplacer. Et c’est une tendance innée que de résister plutôt que de vous laisser porter lorsque le mouvement semble vous pousser. Si vous choisissez de vous détendre DANS le mouvement en lui faisant confiance, votre expérience en sera facilitée et elle se fera avec le moins d’inconfort possible. Surtout, si vous éprouvez de la peur, respirez profondément et faites les choses suivantes afin de vous calmer :

Créez un espace sacré en vous et dans votre environnement immédiat. Détachez-vous de ce qui se passe autour de vous. Si vous écoutez constamment les bulletins d’informations, vous ne ferez qu’accroitre votre niveau d’adrénaline et vous cèderez plus facilement à la peur et à l’anxiété de ce qui se passe. Nous vous conseillons de donner de l’attention à ce qui vous calme plutôt qu’à ce qui vous stimule. Ralentissez votre rythme autant que possible et la transition se fera en douceur. Faites-en moins mais avec plus d’attention. Il sera alors plus facile pour vous de traverser tranquillement ces changements.

~ Operation Terra

Traduction TransLight http://www.facebook.com/TransLight

Publié dans:ASCENSION, GUERISON, POUVOIR, TERRE |on 29 octobre, 2012 |Pas de commentaires »

Miroir brisé….

Superstition des 7 ans de malheur       

 

Miroir brisé.... dans HUMANITE images5

Cette superstition reste l’une des plus répandues aujourd’hui : , elle est née bien avant l’apparition des premiers miroirs de verre. Elle trouve son origine à Rome au 1er siècle av-JC.

Les premiers miroirs que possédaient les Égyptiens, les Hébreux et les Grecs de l’Antiquité étaient fabriqués à base de métal poli (cuivre, bronze, argent ou or), et étaient incassables. Vers le 4ème siècle av-JC, les Grecs s’en servaient pour la catoptromancie (divination), qui utilisait du verre fin ou des cruches de terre cuites remplies d’eau. Le récipient plein d’eau (miratorium pour les Romains) était censé révéler l’avenir de la personne dont l’image s’y reflétait. Les prédictions étaient déchiffrées par un voyant. Si l’un de ces miroirs glissait et se brisait, ce dernier pouvait interpréter la chose soit la personne n’avait pas d’avenir (il ne lui restait guère de temps à vivre), soit les épreuves qui l’attendaient étaient terrifiantes.

Au Ier siècle ap-JC, les Romains adoptèrent cette superstition en y ajoutant une petite note personnelle, qui subsiste encore à présent. Persuadés que l’état de santé d’un individu évoluait selon des cycles de sept ans, ils en déduisirent que le miroir, qui reflète l’apparence d’une personne, et donc son état de santé, augurait sept ans de maladie ou de malchance s’il se brisait.

Au XVème siècle, les premiers miroirs plats, cassables, recouverts d’une couche d’argent, étaient fabriqués à Venise. Ils étaient fort coûteux et exigeaient le plus grand soin dans leur manipulation et les maîtresses de maison répétaient inlassablement aux domestiques chargés de les entretenir qu’un miroir brisé équivalait à sept ans de malheur (ou par extension les domestiques seraient privés de salaire pendant 7 ans pour rembourser le miroir brisé).

Au-delà de 2012…

 

LE PLAN DIVIN: 2012 ET AU-DELÀ – Partie 1 de 3

par Caroline Cory  - www.omniumuniverse.com

UNE INTERVENTION DIVINE INÉVITABLE…

Au-delà de 2012... dans 2012 - PREDICTIONS arbre-chakraAu commencement, cet univers était une nébuleuse qui, par le processus de création divine, accumula suffisamment de vitesse et d’élan pour attirer les matériaux et énergies appropriés capables d’engendrer la vie telle que vous la connaissez.  La Terre, avec tous ses océans et mers combinés, a la taille approximative d’une tête d’épingle, comparativement parlant, et constitue un aspect d’une minute dans les innombrables manifestations de la nébuleuse.  La Terre fait partie de la nébuleuse originelle, et par ce fait, se conforme au plan de création originel qui est de nature divine.  Le plan divin ordonne un état permanent d’Amour, de Vérité absolue, de Beauté et de Bonté, ou ce qui pourrait ressembler à de l’énergie pure et positive sur votre monde.  Si ce plan se trouve perturbé par des circonstances inconnues, les portions affectées se détachent éventuellement d’elles-mêmes de l’ensemble et du reste de la nébuleuse qui a été créée.  C’est à ce point du détachement et à cette fraction du temps que nous parlons actuellement.  Cette période est constituée par les évènements de 2012 et au-delà  – une période qui a accumulé suffisamment de force et qui ne peut plus être ignorée ou empêchée.

Supposons pendant un moment, que personne sur ce plan terrestre ne soit prêt à accepter une telle vérité.  Dans ce cas, il serait possible de conclure que personne ne ferait l’expérience des évènements décrits dans ce livre, puisque tous les êtres, de par leur droit de naissance, créent leur propre destinée et leur réalité en fonction de leurs systèmes de croyances.  Si vous ne croyez pas en ces évènements ou que vous n’en êtes pas informés, alors cette époque – 2012 et au-delà – ne représente pas une possibilité pour vous et en conséquence ne fait pas partie de votre potentiel de création.  Cependant, à ce moment-ci de l’histoire de la Terre,  le Plan Divin doit être rétabli.  C’est à la jonction du rétablissement de ce plan que nous avons conçu ce livre dans le but d’expliquer pourquoi il y a actuellement une intervention auprès de l’humanité, jusqu’à un certain point, peu importe vos systèmes de croyances individuels ou ce sur quoi vous portez votre attention.

Il peut sembler qu’utiliser ces deux termes ‘Plan Divin’ et ‘intervenir auprès de’ dans une même phrase soit contradictoire, puisque le Plan Divin est basé sur le libre-arbitre, libre d’intervention extérieure.  Cependant, ce rétablissement du Plan Divin est une réponse nécessaire à la requête de la Terre et de l’humanité de rétablir le plan divin originel.  Par l’intermédiaire de ce plan, les tendances perturbatrices qui ont contrôlé ce monde et ont gardé l’humanité prisonnière de la peur, égarée et oublieuse du plan divin pendant plusieurs millénaires, seront annihilées.  C’est seulement dans ce sens que le plan divin dirige la destinée de cette Terre de façon à ce que même ceux qui ne croient pas en un tel évènement fassent tout de même l’expérience d’un changement de réalité majeur qui est orchestré par l’Ordre Divin – l’Ordre du Créateur qui crée toute vie intelligente sur le plan terrestre et au-delà.  En termes simples, nous sommes à l’époque d’une intervention divine qui permettra la manifestation d’une Ère Nouvelle d’Amour et de Lumière.  Cette ère se manifeste par l’implantation multidimensionnelle de nouveaux modèles énergétiques, de changements géophysiques sans précédents ainsi que par l’émergence du Père Créateur Divin et Sa mission sans faille dans votre réalité spatiotemporelle.

LA RAISON…

Il y a plus de 200,000 ans, les être planétaires régnants et veillant à la supervision de votre Terre ont créé la réalité dans laquelle beaucoup d’êtres humains vivent encore aujourd’hui.  En utilisant leur propre libre-arbitre, ces êtres ont consciemment et délibérément choisi de vous limiter, de manipuler votre conscience et de vous garder emprisonnés dans un système basé sur le contrôle et la peur.  Ces êtres ont conçu un plan basé sur l’illusion et la séparation, revêtant la Terre du voile de l’illusion.  De telles explications sont apparues de façon sporadique dans des textes variés à travers votre histoire et quoiqu’ils soient basés sur la vérité, l’interprétation de cette vérité a été quelque peu embrouillée par l’incompréhension et le jugement humains.

Les êtres planétaires qui supervisent et accompagnent l’évolution de votre Terre sont des Fils Créateurs Divin du 3ème ordre, puisque ce sont ces êtres qui sont les plus aptes à s’intégrer physiquement dans les mondes matériels.  Cependant, une telle proximité avec une race matérielle juvénile peut occasionnellement inciter un superviseur planétaire à errer.  Un tel évènement tragique débute par de la simple curiosité et quelques expériences mais peut éventuellement conduire à de dangereux abus de libre-arbitre ainsi qu’à des actes d’arrogance et de narcissisme. Dans l’histoire entière de la Création, vieille de plusieurs milliards d’années, de tels évènements tragiques de rébellion ne se sont produits que 3 fois sur un nouveau monde tel que votre Terre.  Lors de chaque incident, la rébellion a conduit à l’isolation de ce monde d’avec la Source Universelle pour une période de temps donnée mais est ensuite renversée par l’intervention et la manifestation du Père Créateur Divin dans le monde en question. 

À suivre…

Extrait du livre :  ‘The Divine Plan :  2012 and Beyond’, publié en 2007
Traduction Dominique Lacroix
Source: www.omniumuniverse.com

Les lieux sacrés et…

Les Lieux Sacrés et les Points de Pouvoir sur Terre

L’endroit où se trouvent les pyramides égyptiennes est-il un lieu sacré ou un point de pouvoir sur Terre et pourquoi ?

Tout d’abord, nous allons commencer par une histoire de ce lieu. Une compréhension globale de la relation entre la planète et la Source à un moment donné est nécessaire pour remettre les pyramides égyptiennes dans leur contexte. L’histoire biologique et géologique de la planète, comme nous la connaissons grâce à nos sciences, propose une explication physique du fait qu’au début de la formation de la planète, l’homme ne pouvait pas exister ici. L’environnement physique n’était pas suffisant pour les humains. Au niveau spirituel, c’est parce qu’il y avait une énorme quantité de lumière ; la Terre n’était pas encore un lieu entièrement différencié et ne pouvait pas supporter la séparation que les humains incarnent. La Terre est alors devenue de plus en plus dense à la fois physiquement et spirituellement, ce qui a rendu possible l’arrivée de nombreux êtres. Le point le plus dense a été aux environs de l’an 1000, et depuis lors la Terre a commencé à revenir dans la lumière. À l’heure actuelle, nous sommes à un point où nous sommes plus ouverts à la Source que nous ne l’avons été depuis longtemps. Notre réceptivité à la Lumière Divine donne la possibilité que s’achève l’illusion du temps et de l’espace, ce qui rend possible pour nous d’être en 5ème dimension. Là où il a fallu des millions d’années pour en arriver au point de densité, il a seulement fallu 1000 ans pour revenir au point de Lumière.

Les lieux sacrés et... dans POUVOIR egypte-1-228x300

Avec cette compréhension de l’évolution de la relation entre la Terre et la Lumière Divine, nous pouvons placer un événement donné dans cette progression de la Lumière pénétrant la Terre. Dans cette histoire, il y a eu des passerelles, dont les civilisations de l’Atlantide, de la Lémurie, les anciens Égyptiens et les Aztèques. Ils ont tous trouvé différentes façons de retourner en masse à la Source et de briser n’importe quelles limitations existant à leur époque afin de contester les illusions de limitation qui se développaient sur ​​la Terre. Les anciens Égyptiens ont canalisé une énorme quantité de Lumière Divine sous la forme d’informations. Ils en ont traduit une partie en langage et autres symboles, et ils en ont stocké davantage énergétiquement, en vue du moment où la Terre serait de nouveau prête pour cela. Alors que certains êtres utilisent l’énergie de la Lumière Source pour travailler avec l’amour, la guérison, ou d’autres formes d’énergie, les anciens Égyptiens ont élaboré de l’information à l’état pur. C’est le moment de l’histoire de la Terre où les Annales Akashiques ont été stockées. Avant de devenir purement énergétiques et gérées par des êtres énergétiques, les Annales Akashiques ont été introduites dans le physique et modifiées par les anciens Égyptiens. Cela nous donne une idée de la façon dont nous pouvons travailler avec des informations énergétiques comme les Annales Akashiques. Les anciens Égyptiens sont arrivés à trouver un moyen de contenir ces informations dans la 3ème dimension. Elles ont été détenues dans une forme physique (qui a fini par devenir purement énergétique) appelée la Salle des Archives, offrant une métaphore de la façon dont chacun de nous peut y accéder énergétiquement. Les anciens Égyptiens étaient dotés d’informations qu’ils manifestaient directement à partir de la Source, créant un pont spécifique et important entre la Terre et un travail dépassant le tri-dimensionnel.

À suivre sur 
http://www.anneduquesne.com/
Page d’origine : 
http://www.akashictransformations.net/ARonFREE

Publié dans:POUVOIR, PYRAMIDE, TERRE |on 26 octobre, 2012 |Pas de commentaires »

Retrouver ses connaissances…

Archange Jophiel du rayon jaune :mai 2005

Chers enfants de lumière, soyez tous bénis de votre désir d’apprendre toujours, de retrouver vos connaissances, car à l’origine, vous savez tout. Tout est à l’intérieur de vous, inscrit, codé, mais vous ne trouvez plus la clé du code, vous ne savez plus comment faire pour aller chercher les informations, les connaissances, toute votre mémoire, la mémoire du monde. 

Retrouver ses connaissances... dans MAITRISE aniouchka-3757bc81Oui, tout est inscrit en vous, quelque part au cœur du cœur de vos atomes vous allez pouvoir capter toutes les informations cosmiques universelles qui existent. Oui c’est en allant à l’intérieur de vous-même, profondément, en visualisant cet atome qui s’ouvre et qui redonne d’autres atomes qui s’ouvrent et qui redonnent d’autres atomes qui s’ouvrent que vous allez pouvoir comprendre la structure de l’univers.

Tout est inscrit en chacun de vous, Tout est inscrit en chaque atome. Vous êtes des créatures atomiques, le monde est un monde atomique et subatomique. Vous avez tous en vous des capacités extraordinaires mais vous vous contentez d’un monde ordinaire, limité. Petit à petit vous vous êtes limités vous-mêmes, vous avez demandé à être limités pour voir, pour jouer, pour comprendre, pour expérimenter une facette différente de vos activités. 

Si vous attachez ensemble deux pattes d’un animal qui en a quatre, il ne peut plus courir, il ne peut plus sauter, il ne peut plus même marcher, pourquoi ? 

Parce qu’il est créé pour être en harmonie sur ses quatre pattes. Alors il y a des expérimentateurs, des scientifiques qui s’amusent à ôter une patte d’un animal pour voir la réaction et ils s’aperçoivent au bout d’années de recherches qu’un animal est mieux avec ses quatre pattes. 

Il y a des millions d’argent, de devises qui sont ainsi utilisés pour faire des expériences sur les animaux alors qu’ils suffirait simplement de réfléchir, de monter la connaissance, d’aller chercher dans les informations supérieures la réalité pour avoir la conséquences de ce qu’ils mettent des mois à prouver physiquement.

Dans la vie de tous les jours ne soyez pas des scientifiques bornés, allez au-delà chercher vos informations. Il n’est pas obligé que vous preniez un marteau et que vous vous tapiez sur un doigt pour penser, pour savoir, pour comprendre que ça peut faire mal. C’est pourtant ce que vous avez fait depuis des années. Vous avez tous voulu expérimenter la douleur pour enregistrer dans votre cerveau humain qu’une douleur fait mal. 

L’enseignement, le nouvel enseignement n’aura pas besoin de passer par ces épreuves pour comprendre, les nouveaux enfants n’auront pas besoin d’épreuves difficiles pour comprendre, ils sauront instantanément, instinctivement qu’un marteau tapé sur un doigt peut faire très mal et ils ne feront pas l’expérience. Ce n’est pas simplement parce qu’on leur dira, c’est parce qu’ils iront chercher à l’intérieur d’eux la connaissance.

Dans la vie de tous les jours, ayez ce réflexe de monter vos connaissances à un niveau supérieur, apportez la lumière du rayon jaune, éclairez ces connaissances et demandez à votre Présence, aux guides, à toutes les entités qui vivent en vous par le cœur de vos atomes, d’où ils peuvent passer et vous expliquer, vous faire comprendre ce qu’est la réalité de ce que vous désirez. Lorsque vous lisez, si vous ne comprenez pas l’essence même de ce que vous apprenez, vous avez deux possibilités : soit penser que ce livre n’est pas pour vous et vous le laisser, soit avoir vraiment envie de comprendre et à ce moment-là vous montez vos énergies, vous allez demander à votre mental supérieur de comprendre ce que l’auteur à voulu donner comme enseignement, comme explication. C’est ainsi que vous pouvez monter rapidement votre quotient intellectuel, ce quotient qui n’est pas de la connaissance mais de la logique, de l’éclaircissement du mental.

Les êtres cosmiques qui viennent, qui sont évolués ont souvent un cœfficient intellectuel plus développé que la moyenne des humains; ils ont une perception extralucide, ils ont une compréhension instantanée de certaines choses, de certaines logiques. Ce n’est pas qu’ils sont plus intelligents, c’est parce qu’ils ont réveillé en eux plus de connexions qui permettent de répondre à des questions.

Chaque jour faites monter l’énergie, imaginez votre pensées, vos pensées, vos connaissances, être éclairées par ce rayon jaune.

Lâchez ce que vous connaissez et demandez d’avoir de nouveaux enseignements directs. Les enseignements que vous recevrez, seront ceux qui vous conviendront le mieux. Il n’y a pas d’enseignements qui peuvent aller à tout le monde. Le même enseignement ne peut pas être perçu par chaque personne de la même manière, il est donc important que votre présence divine adapte ce qu’elle entend pour vous.

Il y a sur terre de plus en plus d’enseignements de lumière et le monde cosmique s’en réjouit car ainsi chaque humain va pouvoir comprendre, apprendre, se souvenir, se rappeler qui il est et pouvoir agir au quotidien, dans la lumière.

Certains enseignements sont adaptés pour certaines personnes et ne peuvent pas être adaptés pour d’autres. Cela ne signifie pas qu’ils ne sont pas bons, loin de là mais simplement le rayonnement ne correspond pas à la perception de certaines personnes.

Si vous désirez enseigner ou si vous désirez apprendre, il est important de vous centrer, de monter vos énergies, vos pensées et d’aller chercher la connaissance dans votre partie supérieure pour savoir comment adapter votre enseignement aux personnes présentes. 

Ou alors si vous désirez participer à un enseignement, posez-vous la question en montant vos énergies de savoir : » est-ce bon pour moi ? » Ne suivez pas machinalement une amie, un ami qui vous dit « cela est bon pour toi ». Si vous ne le ressentez pas intérieurement, ce n’est pas la peine de vous déplacer, ce n’est pas la peine d’aller à des stages, à des formations qui ne vous parlent pas intérieurement. Ce ressenti, c’est votre énergie supérieure mentale qui vous parle. En toutes choses, demandez toujours l’accord de votre Présence, demandez toujours l’aide de votre Présence divine qui sait tout, qui peut tout, qui a accès à toutes les mémoires akashiques, à toutes les mémoires mondiales et qui peut vous donner les informations nécessaires pour votre travail. 
Plus vous écouterez votre ressenti, votre perception, et vous vous serez guidé, enseigné de la meilleure façon. 

Mais nous mettons en garde les humains qui pensent tout savoir, qui ont fait de nombreux stages, de nombreux enseignements, qui ont lu de nombreux livres et qui pensent tout savoir, qui n’ont plus besoin de connaissances. 

Chaque humain, chaque être de lumière à toujours besoin de retrouver sa connexion totale avec le divin. Le divin c’est tout, possède tout, connaît tout. Ce n’est pas parce que vous connaissez une partie, une infime partie de connaissances, que vous connaissez tout.
Vous n’êtes pas obligés non plus de vous remplir le mental de milliards de connaissances dans votre état divin actuel. Mais ce mental humain limité vous permet de comprendre de plus en plus de choses. 

Si vous ouvrez à la partie supérieure vous comprendrez encore plus de choses. Celui qui croit tout savoir sur Terre est toujours limité. En ouvrant un tout petit peu son cerveau à plus de lumière, il permet de recevoir plus de connaissances, mais il faut qu’il y ai un échange. Si vous accumulez des connaissances et que vous ne les faites pas passer alors comme un vase qui se rempli d’eau, il y a un moment où vous serez rempli, et vous ne pourrez plus avoir de nouvelles connaissances. 

Il est très important de faire passer ce que vous connaissez en matière de lumière auprès de vos proches, auprès d’élèves. Si vous ne savez pas à qui faire passer ces connaissances, créez un petit groupe et attirez à vous des personnes qui en ont besoin. Ecrivez des livres de connaissances, des thèses, écrivez simplement et faites passer ces écrits. C’est une manière de vider, c’est une manière de faire passer et de vous ouvrir à de nouvelles connaissances. 

Plus vous donnerez, plus vous recevrez, c’est une loi cosmique. Et vous ne recevez pas la même chose que vous donnez, vous recevez toujours d’une manière amplifiée, supérieure. Quelque soit ce que vous donnez, vous avez toujours plus en retour.

Chers enfants de la lumière, aujourd’hui accueillez cet enseignement, accueillez le fait que vous pouvez toujours, toujours, toujours avoir de nouvelles connaissances supérieures qui vous apportent la joie, qui vous apportent le bonheur, qui vous apporte la sagesse divine. Plus vous avez de connaissances, et plus vous comprenez le monde, le monde cosmique. Plus vous comprenez qui vous êtes, plus vous avez de pouvoirs qui se révèlent. 

En ce sens, chaque jour, recueillez-vous, faites monter vos énergies, vos pensées, inondez-les de lumière jaune et vous comprendrez de plus en plus la vie, vous serez de plus en plus en harmonie avec la vie. 
C’est ce que je vous souhaite de tout mon cœur. Je vous enveloppe de mes ailes d’amour.

Archange Jophiel
Reçu par Joéliah à Oléron.
Diffusé par amourdelumiere.com

 L’amour véritable est l’unique voie de l’ascension qui est enseignée par tous les maîtres.

 Si vous souhaitez contacter Joéliah utilisez cette adresse : joeliah@amourdelumiere.com. 

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Publié dans:MAITRISE, POUVOIR |on 29 septembre, 2012 |Pas de commentaires »
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