Archive pour la catégorie 'POUVOIR'

DES ÊTRES DU MONDE SPIRITUEL

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Si l’âme pénètre avec la conscience clairvoyante dans le monde suprasensible, elle y apprend à se connaître d’une manière dont elle ne peut se faire une idée dans le monde des sens. 

Elle trouve que sa faculté transformatrice lui permet de faire la connaissance d’êtres qui ont avec elle une degré plus ou moins grand d’affinité ; mais elle se rend compte aussi qu’elle rencontre dans le monde suprasensible des êtres qui n’ont pas seulement cette affinité avec elle, mais avec lesquels elle doit se comparer pour apprendre à se connaître. De plus, elle remarque que ces êtres sont devenus dans les mondes suprasensibles ce qu’elle est devenue elle-même par ses expériences dans le monde des sens. Dans le monde élémentaire se présentent devant l’âme humaine des êtres qui ont développé dans ce monde des forces et des facultés que l’homme lui-même ne peut développer que s’il est porteur d’un corps physique en même temps que d’un corps éthérique et des autres organismes suprasensibles de son être. 

Les êtres dont il est question ici, n’ont pas un corps physique sensible. Ils se sont développés de telle façon que, par leur corps éthérique, ils possèdent en fait de qualités de l’âme ce que l’homme possède par le moyen du corps physique. Bien que, jusqu’à un certain degré, ils soient des êtres semblables à l’homme, ils se distinguent pourtant de lui par le fait qu’ils ne sont pas sujets aux lois du monde sensible. Ils n’ont pas les sens que l’homme possède. Leur savoir ressemble à celui des hommes, seulement ils ne l’ont pas acquis au moyen des sens, mais en laissant en quelque sorte émerger leurs représentations et autres expériences de l’âme des profondeurs de leur être. Leur vie intérieure est pour ainsi dire un dépôt en dedans d’eux ; et ils l’extraient du fond de leurs âmes comme l’homme en extrait les représentations de la mémoire. 

L’homme apprend ainsi à connaître des êtres qui sont devenus dans le monde suprasensible ce qu’il peut devenir dans le monde des sens. À cet égard, le rang de ces êtres dans l’ordre cosmique est d’un degré plus élevé que celui de l’homme bien que, dans un certain sens, on puisse dire qu’ils lui sont semblables. Ils forment un règne d’êtres au-dessus de l’homme, une hiérarchie d’un échelon plus élevé dans la succession des êtres. Leur corps éthérique – malgré l’analogie de structure – est différent du corps éthérique de l’homme. Tandis que le corps éthérique suprasensible de la terre est tramé des sympathies et antipathies du corps éthérique de l’homme, ces êtres ne sont pas liés à la terre par la vie de leur âme. 

Si l’homme observe ce que ces êtres expérimentent au moyen de leur corps éthérique, il trouve qu’ils ont des expériences semblables à celles qu’il a dans son âme. Ils ont la pensée ; ils ont des sentiments et une volonté. Mais au moyen du corps éthérique ils développent quelque chose que l’homme ne peut développer qu’au moyen du corps physique. Par leur corps éthérique ils arrivent à une conscience de leur propre être. L’homme ne pourrait rien savoir d’un être suprasensible, s’il ne transportait dans les mondes supérieurs, ce qu’il acquiert de forces dans son corps physique sensible.

La conscience clairvoyante apprend à connaître ces êtres en se rendant capable d’observer à l’aide du corps éthérique humain. Cette conscience clairvoyante élève l’âme humaine dans le monde où ces êtres ont leur demeure et leur champ d’action. Seulement quand l’âme devient consciente d’elle-même dans ce monde, des images et représentations surgissent dans sa conscience et elles lui acquièrent la connaissance de ces êtres. Car ces êtres n’interviennent pas directement dans le monde physique et par conséquent pas davantage dans le corps humain physique sensible. 

Pour les expériences qui peuvent se faire au moyen de ce corps, ils sont inexistants. Ce sont des êtres spirituels (suprasensibles) qui, en quelque sorte, ne touchent pas le monde sensible. 

Si l’homme n’observe pas la limite entre le monde des sens et le monde suprasensible, il peut arriver que des images suprasensibles qui n’expriment pas véritablement la nature de ces êtres s’insinuent dans sa conscience physique sensible. 

Ces images surgissent parce que l’homme prend conscience des êtres lucifériens et ahrimaniens qui, il est vrai, sont de même nature que les êtres suprasensibles que nous venons de décrire, mais qui, contrairement à ceux-ci, ont transféré leur demeure et leur champ d’action dans le monde que l’homme perçoit comme monde sensible. 

Quand l’homme, par la conscience clairvoyante, contemple du haut du monde supérieur les êtres lucifériens et ahrimaniens, après avoir appris, grâce à l’expérience du « Gardien du Seuil », à bien respecter la limite entre ce monde et le monde sensible, alors il apprend à connaître ces êtres dans leur réalité. Il apprend à les distinguer des autres êtres spirituels qui sont restés dans le champ d’action correspondant à leur nature. C’est en se plaçant à ce point de vue que la science de l’esprit doit décrire les êtres lucifériens et ahrimaniens. Il se découvre alors que le champ d’action approprié aux êtres lucifériens n’est pas le monde physique sensible, mais le monde élémentaire. Quand, dans l’âme humaine, pénètre ce qui émerge comme images des flots de ce monde élémentaire et quand ces images exercent leur action vivifiante dans le corps éthérique de l’homme, sans prendre dans l’âme la forme d’une existence illusoire, l’être luciférien peut être présent dans ces images sans qu’il agisse contrairement à l’ordre cosmique. Cet être exerce alors une action libératrice sur l’âme humaine ; il l’élève au-dessus des conditions purement matérielles auxquelles elle se trouve mêlée dans le monde physique. Mais quand l’âme humaine introduit dans le monde physique sensible la vie qu’elle ne devrait déployer que dans le monde élémentaire, si elle permet que des antipathies et des sympathies qui ne devraient régner que dans le corps éthérique, passent dans les sentiments liés au corps physique, alors l’être luciférien acquiert par cette âme une influence qui s’oppose à l’ordre cosmique général. Cette influence se trouve partout où, dans les sympathies et antipathies du monde sensible, agit une force différente de cet amour qui consiste à prendre part par le sentiment à la vie des autres êtres qui évoluent dans le monde sensible. Ces êtres peuvent être aimés à cause de telle ou telle qualité qu’ils révèlent à celui qui les aime ; dans ce cas aucun élément luciférien ne pourra s’insinuer dans l’amour. L’amour qui se fonde sur les qualités de l’être aimé qui se manifestent dans l’existence sensible, ne subit pas l’empreinte luciférienne. 

L’amour qui a son fondement dans l’être qui aime, penche vers l’influence luciférienne. Un être qu’on aime parce qu’il possède des qualités vers lesquelles on incline naturellement, est aimé par la partie de l’âme accessible à l’élément luciférien. 

Il ne faudrait donc jamais dire que l’élément luciférien soit en tous cas mauvais. Car il faut bien que l’âme humaine aime les phénomènes et les êtres des mondes suprasensibles dans le sens de l’élément luciférien. L’ordre cosmique n’est enfreint que lorsqu’on dirige vers le sensible l’espèce d’amour par lequel on devrait se sentir attiré vers le suprasensible. L’amour de ce dernier exalte à juste titre le sentiment du moi dans celui qui aime ; l’amour auquel on aspire dans le monde des sens en vue de cette exaltation correspond à une tentation luciférienne. L’amour du spirituel, recherché pour l’avantage du moi, a un effet libérateur ; l’amour du sensible, recherché à cause du moi, n’a pas d’effet libérateur ; au contraire, la satisfaction qui en résulte forge des chaînes pour le moi. 

Les êtres ahrimaniens agissent par rapport à l’âme pensante comme les êtres lucifériens par rapport à l’âme sentante. Ils rivent la pensée au monde sensible.Ils la détournent du fait que toute pensée n’a d’importance que quand elle se présente comme partie du grand ordre cosmique mental qui ne peut se trouver dans l’existence sensible. 

Dans le monde qui contient les fils dont est tramé le tissu de la vie de l’âme humaine, l’élément ahrimanien est nécessaire comme contrepoids à l’élément luciférien. Sans l’élément luciférien l’âme gaspillerait sa vie en observations rêveuses de l’existence sensible et ne se sentirait point stimulée à s’élever au-dessus. Sans la réaction de l’élément ahrimanien l’âme tomberait sous la domination de l’élément luciférien ; elle n’apprécierait pas à sa valeur l’importance du monde sensible, bien que celui-ci contienne, en partie, les conditions nécessaires à son existence. Elle voudrait ne rien savoir du monde matériel. L’élément ahrimanien se montre dans sa vraie signification quand il amène l’âme à s’assimiler le monde des sens d’une manière adéquate à ce dernier, à le prendre pour ce qu’il est et à ne pas s’attacher à ses éléments naturellement et nécessairement transitoires. 

Il est tout à fait impossible de dire qu’on peut échapper à l’influence des éléments ahrimaniens et lucifériens en les extirpant en soi. Si, par exemple, on extirpait en soi l’élément luciférien, on ne pourrait plus, dans son âme, aspirer au suprasensible ; et si l’on extirpait l’élément ahrimanien, on ne pourrait plus donner au monde sensible toute sa part d’importance. On se met dans un juste rapport avec l’un de ces éléments, si on lui oppose le contrepoids de l’autre. Tous les effets nuisibles de ces êtres cosmiques dérivent du seul fait que quelquefois ils peuvent agir sans trouver dans la force opposée, une limite qui leur permettrait de s’harmoniser. 

extrait de LE SEUIL DU MONDE SPIRITUEL de RUDOLF STEINER aux ÉDITIONS ALICE SAUERWEIN

Publié dans:AME, POUVOIR |on 11 mars, 2014 |Pas de commentaires »

La fin du stade de l’ego pour les artisans de Lumière

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Les guerres intergalactiques étaient dans une impasse avant que la terre n’entre en jeu. Lorsque la bataille s’est renouvelée sur la terre, elle s’est réellement transférée à la terre. Avec ce transfert, quelque chose a commencé à changer dans la conscience galactique. Le temps des guerres galactiques était fini.

Bien qu’elles soient restées activement concernées par l’humanité et la terre, les âmes galactiques se sont lentement retirées dans un rôle d’observatrices. Dans ce rôle, elles ont commencé à prendre conscience d’une sorte de fatigue particulière dans leur être. Elles se sentaient vides. Alors que les combats et les batailles se poursuivaient, celles-ci ne les fascinaient plus autant qu’autrefois. Elles ont commencé à se poser des questions philosophiques telles que : Quel est le sens de ma vie ? Pourquoi je me bats tout le temps ? Le pouvoir me rend-il vraiment heureuse ? En se posant ces questions, leur lassitude de la guerre se renforçait.

Les guerriers galactiques atteignaient graduellement la fin de leur stade de l’ego. A leur insu, ils avaient transféré l’énergie de l’ego et de la lutte pour le pouvoir à la terre, lieu énergétiquement ouvert à cette énergie. A cette époque, les âmes humaines commençaient juste à explorer le stade de conscience de l’ego.

Dans la conscience des guerriers galactiques, un certain espace s’est créé : un espace pour le doute, la réflexion. Ils sont entrés dans une phase de transformation, que nous décrirons en distinguant les étapes suivantes :

1)Etre insatisfait de ce qu’une conscience fondée sur l’ego peut offrir, aspirer à « autre chose » : Le début de la fin.      

2)Prendre conscience de ses attaches à une conscience fondée sur l’ego, reconnaître et se libérer des émotions et des pensées qui les accompagnent : Le milieu de la fin.

3)Laisser mourir en soi les vieilles énergies fondées sur l’ego, se débarrasser du cocon, devenir son nouveau soi : La fin de la fin.

4)L’éveil d’une conscience fondée sur le coeur, motivée par l’amour et la liberté ; aider les autres à faire la transition.

Ces quatre étapes marquent la transition d’ une conscience fondée sur l’ego à celle qui est fondée sur le coeur.

Souvenez-vous bien que la terre et l’humanité ainsi que les royaumes galactiques traversent cette phase, mais pas en même temps.

La planète terre entre maintenant dans la troisième étape. Nombre d’entre vous, les artisans de Lumière, sont aussi à cette troisième étape, en phase avec le processus intérieur de la terre. Certains se battent encore avec la seconde étape, et quelques-uns sont déjà parvenus à la quatrième et goûtent les délices de la joie véritable et de l’inspiration. 

De grandes parts de l’humanité, toutefois, ne désirent pas du tout se libérer de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne sont pas encore entrées dans la première étape de la phase de transition. Ce n’est pas quelque chose à juger, à critiquer ou plaindre. Voyez plutôt cela comme un processus naturel tel que la croissance d’une plante. Vous ne jugez pas une fleur pour être en bouton au lieu d’être en pleine floraison. Essayez de voir cela sous cet angle. Porter des jugements moraux sur les effets destructeurs de la conscience fondée sur l’ego dans votre monde provient d’un manque de compréhension des dynamismes spirituels. De plus, cela affaiblit vos  forces, puisque la colère et la frustration que vous ressentez parfois en regardant les nouvelles ou en lisant vos journaux ne peuvent pas être transformées en quelque chose de constructif. Cela ne fait que vous épuiser et abaisser votre taux vibratoire. Essayez de voir les choses avec un peu de recul, en ayant confiance. Essayez de ressentir intuitivement les courants souterrains de la conscience collective, ce que vous ne lisez ni n’entendez dans les medias.

Cela n’a aucun sens d’essayer de changer des âmes encore prisonnières de la réalité de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne veulent pas de votre aide, puisqu’elles ne sont pas encore ouvertes aux énergies fondées sur le coeur que vous, les artisans de Lumière, souhaitez partager avec elles. Même si à vos yeux, elles semblent avoir besoin d’aide, aussi longtemps qu’elles n’en veulent pas, c’est qu’elles n’en ont pas besoin. C’est aussi simple.

Les artisans de Lumière sont très enclins à donner et à aider, mais ils y perdent souvent leur capacité de discernement. Cela provoque un gaspillage d’énergie et peut résulter pour eux en doute de soi et en déception. S’il vous plaît, utilisez ici votre capacité de discernement, car le désir d’aider peut tragiquement devenir un piège pour les artisans de Lumière et les empêcher d’achever réellement la troisième étape de la transition. (La notion d’aide est explicitée plus loin et dans le message « Pièges sur la voie du guérisseur », 2ème partie).

Nous allons maintenant conclure notre description des artisans de Lumière à la fin de leur stade de l’ego. Comme nous l’avons vu, en ce temps-là vous, parmi d’autres empires galactiques, avez interféré avec l’humanité alors que l’être humain moderne prenait forme. A mesure que vous avez commencé à jouer un rôle d’observateurs, vous vous êtes lassés de combattre.

Le pouvoir que vous aviez si longtemps cherché avait eu pour résultat un type de domination qui anéantissait les qualités uniques et individuelles de ce que vous dominiez. Ainsi, rien de nouveau ne pouvait entrer dans votre réalité. Vous tuiez tout ce qui était « autre ». Ce mode de fonctionnement avait rendu votre réalité statique et prévisible au bout d’un certain temps. Lorsque vous avez pris conscience de la vacuité du combat pour le pouvoir, votre conscience s’est ouverte à de nouvelles possibilités. Une aspiration est née pour autre chose.

Vous aviez achevé la première étape de la transition vers une conscience fondée sur le coeur. Les énergies de l’ego, qui avaient régné librement pendant des éons, s’étaient calmées et libéraient un espace pour autre chose. Dans votre coeur, une nouvelle énergie s’était éveillée, comme une tendre fleur. Une voix subtile et calme commençait à vous parler de votre foyer, un lieu que vous aviez connu autrefois mais dont vous aviez perdu la trace en chemin. Vous ressentiez de la nostalgie.

Tout comme les âmes de la terre, vous aviez fait l’expérience autrefois de l’état océanique d’unité d’où toute âme est originaire. Graduellement, vous aviez évolué à partir de cet océan en unités individuelles de conscience. « Ces petites âmes » que vous étiez alors avaient un grand appétit d’exploration, tout en gardant  en elles le souvenir douloureux d’un paradis qu’elles avaient dû laisser derrière elles.  

Plus tard, lorsque vous êtes passées au stade de la conscience de l’ego, cette douleur était encore présente en vous. Pour l’essentiel, ce que vous avez essayé de faire a été de remplir cette place vide avec le pouvoir. Vous avez cherché à vous combler en jouant le jeu du combat et de la conquête.

Le pouvoir est l’énergie qui s’oppose le plus à l’unité. En exerçant le pouvoir, vous vous isolez de l’autre. En luttant pour le pouvoir, vous vous éloignez encore plus de votre foyer : la conscience de l’unité. Le fait que le pouvoir vous éloigne de votre foyer au lieu de vous en rapprocher vous était caché pendant longtemps, puisque le pouvoir est fortement entremêlé d’illusion. Le pouvoir peut facilement cacher son vrai visage pour une âme naïve et inexpérimentée. Il crée l’illusion de l’abondance, de la plénitude, de la reconnaissance et même de l’amour. Le stade de l’ego est une exploration sans restriction de l’étendue du pouvoir : gagner, perdre, lutter, dominer, manipuler, être l’offenseur et la victime.

Au niveau intérieur, l’âme est déchirée à ce stade. Le stade de l’ego provoque une attaque contre l’intégrité de l’âme. Par intégrité, nous voulons dire l’unité naturelle et l’intégralité de l’âme. En passant au stade de l’ego, l’âme entre dans un état de schizophrénie. Elle perd son innocence. D’un côté, elle se bat et conquiert ; de l’autre, elle réalise que c’est mal d’endommager et de détruire d’autres êtres vivants. Ce n’est pas mal selon  une loi objective ou un juge. Mais l’âme réalise subconsciemment qu’elle fait quelque chose qui s’oppose à sa nature divine. C’est dans la nature de son essence divine de créer et de donner la vie. Lorsque l’âme fonctionne sur un désir de pouvoir personnel, au fond d’elle naît un sentiment de culpabilité. Là encore, ce n’est pas un verdict extérieur qui proclame qu’elle est coupable. C’est l’âme qui réalise qu’elle perd son innocence et sa pureté. Tandis que l’âme poursuit sa quête de pouvoir sur le plan extérieur, un sentiment croissant d’indignité la dévore de l’intérieur.

Le stade de la conscience fondée sur l’ego est un stade naturel dans le voyage de l’âme. En fait, il concerne la pleine exploration d’un aspect de l’être de l’âme : la volonté. Votre volonté constitue le pont entre le monde intérieur et l’extérieur. La volonté est cette part de vous qui focalise l’énergie de votre âme dans le monde matériel. La volonté peut être inspirée par le désir du pouvoir ou par celui de l’unité. Cela dépend de l’état de votre conscience intérieure. Lorsqu’une âme atteint la fin du stade de l’ego, la volonté devient de plus en plus une extension du coeur. L’ego ou la volonté personnelle ne sont pas détruits, mais s’écoulent en accord avec  la sagesse du coeur et son inspiration. A ce point, l’ego accepte joyeusement le coeur comme guide spirituel. L’intégralité naturelle de l’âme est restaurée.

Quand vous, les âmes d’artisans de Lumière, êtes arrivées à la deuxième étape de cette transition, vous avez ressenti le désir sincère de rectifier ce que vous aviez fait de mal sur la terre. Vous avez réalisé que vous aviez maltraité les êtres humains vivant sur la terre et que vous aviez empêché la libre expression et le développement des âmes de la terre. Vous avez réalisé que vous aviez violé la vie en essayant de la manipuler et de la contrôler selon vos besoins. Vous avez voulu libérer les êtres humains des chaînes de la peur et des restrictions qui avaient apporté beaucoup d’obscurité dans leurs vies, et vous avez eu le sentiment que vous pourriez accomplir le plus à cet égard en vous incarnant vous-mêmes dans des corps humains. Vous vous êtes donc incarnées dans des corps humains, dont vous aviez vous-mêmes participé à la création de la génétique, pour transformer de l’intérieur vos créations. Les âmes qui sont venues sur la terre avec cette mission avaient l’intention de répandre la Lumière dans les créations qu’elles avaient manipulées.

C’est à cause de cela qu’on les appelle « artisans de Lumière ». Vous avez pris la décision d’agir ainsi et de vous embarquer dans toute une série de vies terrestres, sous l’impulsion d’un sentiment nouveau de responsabilité ainsi que du désir sincère de prendre sur vous ce fardeau karmique, de façon à être pleinement capables de vous libérer du passé.            

  
© Pamela Kribbe 
www.jeshua.net/fr

Publié dans:ENERGIES, HUMANITE, POUVOIR |on 15 février, 2014 |Pas de commentaires »

Lieux d’enchantement

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Le jour de ce temps est une approche féérique de ce que la vie peut vous apporter dans votre conditionnement d’humain vivant sur terre. 

Vos images de la beauté parfois évoquent des paysages et des lieux magnifiquement beaux mais ces lieux là vous les avez aussi sur Gaia quand bien même l’homme a falsifié la beauté de sa nature et à rempli d’immeubles et de béton  les sphères particulièrement sublimées pour en faire des appâts de la société de consommation, chacun désirant acquérir un espace qui lui serait propre ou il pourrait bénéficier de l’ensemble d’une vision qui n’appartiendrait qu’a lui seul. 

Soit chers amis, cela est, et en même temps vos espaces de vies pourraient être considérés pour la majorité comme des lieux qui ne demandent qu’à s’embellir de la beauté que vous pouvez y inscrire en tant qu’être mais aussi en lui apportant la nourriture dont vous disposez pour l’embellir. 

Vous êtes nombreux à désirer quitter vos lieux de vie et vous pensez qu’ailleurs l’air est plus pur et l’image plus belle ; Bien évidemment il apparait sur Gaia des endroits magnifiquement protégés mais ces lieux doivent restés tels qu’ils sont afin que la majorité d’entre vous puissent aller s’y ressourcer. Ces lieux magiques appartiennent au domaine des esprits de la nature qui veillent à y demeurer pour que leur énergie de vie parachève l’énergie du lieu. 

Chers amis alors profitez de ces endroits de paix et d’énergie pure et apprenez à garder en vous cet esprit de pur enchantement qu’ils procurent en vous, cette béatitude et cette liberté d’être vous-même. 

Ces lieux de magnificences sont des poumons qui vous permettent de respirer la pureté et incarnent la majesté de leurs habitants de la nature, les arbres, les plantes, les animaux. 

Vous avez tous gardés au plus profond de vos êtres cette même pureté que désormais vous avez décidé en purifiant vos personnalités de véhiculer en vous et autour de vous. 

Prenez l’essence de la dimension universelle que vous êtes en train de parachever pour que tous unis  nous soyons dans la même capacité à élever nos vibrations et nous accorder au rythme de la création.  

Je vous souhaite en ces jours de repos pour vous, de rencontrer dans votre possible, cet état de pur enchantement qui vous conduira aux profondeurs d’Etre, votre âme et sa légèreté. 

La liberté vous appartient de diffuser cet écrit reçu en canalisation par Adèle, à condition de le garder intact et den donner la Source. http://www.a-d-ailes-d-ange.com 

Publié dans:AME, POUVOIR, TERRE |on 27 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

message de paix d’un Philippin

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Le chemin pour dissiper les Ténèbres est de laisser la lumière la traverser…. LUMIERE, LUMIERE, LUMIERE EN ACTION.

Pour négocier à partir du cœur, irradier la Lumière, l‘Amour et la Paix rend les intérêts transparents et peut entraîner une réunion des esprits pour le bien commun (ceci en référence directe à la paix par les négociations pour résoudre le conflit en Syrie).

La paix n’est pas reliée à la guerre comme nous le comprenons et l’exprimons. LA PAIX EST UN ETAT D’ETRE EXISTANT PAR ELLE-MEME A L’INTERIEUR DE CHACUN DE NOUS, même s’il semble qu’elle n’ait aucune chance de s’exprimer de façon quelque peu pénétrante. Tandis que les différentes perspectives et manifestations des tendances humaines peuvent donner une impulsion et s’exprimer dans la guerre, la destruction etc. …certains parmi nous peuvent être rendus impuissants ou se recentrer en tant que créateurs du bien par la puissance du désir pour la paix chez beaucoup parmi nous …. LA PAIX QUI REGNE DANS LES CŒURS DE CHACUN est notre but, pas l’arrêt des violences et des atrocités aux autres et à nous-mêmes, qui s’arrêteront sûrement ou seront transformées quand la paix prévaudra..

Souvenons-nous de nos bases … que tout est expression de la conscience en tant qu’Energie ; la différence repose dans la façon de nous relier à elle et éventuellement de l’exprimer.

Aussi bien aimés, dès que nous sentons l ‘impulsion de notre passion pour la paix être poussée dans la direction de l’outrage ou sous d’autres formes qui attiseront la conflagration des distorsions, respirons profondément quelques instants et redirigeons notre attention à l’origine de cette passion … NOTRE CŒUR DES CŒURS OU LA PAIX, L’AMOUR ET LE DESIR S’APPUIENT SUR LE BIEN. Cela peut nous amener à négocier pour la paix paisiblement au lieu de lutter pour la paix.

Ceci dit, je vous remercie tous, et alors que notre chant continue, QUE LA PAIX SOIT SUR TERRE ET QU’ELLE COMMENCE PAR MOI …

Nous honorons ces âmes du Centre et les innombrables autres qui envoient de la lumière d’amour. Selon la loi universelle, l‘énergie de paix à l’intérieur des cœurs et des esprits hâte le jour où toutes les âmes de votre monde vivront harmonieusement les unes avec les autres et avec la Nature.

Tous les êtres de lumière dans cet univers sont avec vous, vous chérissant à jamais et vous étreignant d’un amour inconditionnel.

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extrait de l’article
Website: 
The Matthew Books 

Publié dans:PLANETES, POUVOIR, TERRE |on 3 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

TECHNIQUES de communications outre tombe

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La communication avec les esprits de l’Au-delà nécessite la présence d’une personne sensitive, douée d’une capacité spéciale, appelée médium. Ces contacts doivent se faire dans le sérieux, pour des actions positives, pour faire le bien. Il ne s’agit pas d’un jeu, ni d’une manipulation des personnes, sauf si le médium est un charlatan. Si les défunts communiquent, c’est qu’ils veulent nous aider, nous rassurer sur leur survivance et nous enseigner sur notre devenir après cette vie. Certains ont aussi parfois besoin de l’aide des vivants.
 
En parlant autour de nous, nous nous sommes rendu compte qu’il est assez fréquent que des personnes décédées donnent des signes, parfois même longtemps après leur décès, à ceux qui sont restés ici, sur terre.    

Les techniques

Elles n’avaient jamais été oubliées dans les sociétés dites primitives animistes, comme les indiens d’Amérique et  les peuplades regroupées autour d’un chamane. C’est le monde moderne qui a fait oublier ces pratiques ancestrales qui sont citées aussi dans la bible.

C’est en 1848 que tout commence dans une maison hantée de Hydesville (état de New York), chez la famille Fox. Des coups sont frappés (RAPS) qui font peur aux occupants. Revenus de leur frayeur, ils finissent  par définir un code avec l’esprit qui se manifeste. Les coups frappés permettent de savoir qu’il s’agit de Charles Rosma, voyageur de commerce volé et assassiné par le précédent occupant de la maison et de retrouver son cadavre sous la cave,  pour lui donner, enfin, une sépulture correcte. L’entité ainsi satisfaite fit cesser les RAPS. Son but n’était pas de terroriser les habitants de la maison, mais de rechercher de l’aide auprès d’eux.   

Il fallut un code pour communiquer. Le premier fut inventé, tout d’abord, pour définir  le Oui et le Non. Un coup pour OUI et deux coups pour NON. Par la suite, ce code fut amélioré pour permettre de définir une lettre par des coups.  

La table du OUI – JA

Le langage des coups étant trop lent pour obtenir des messages plus conséquents, il fut inventé toute sorte d’appareils pour accélérer la vitesse de dictée (déjà le rendement !). Citons la table alphabétique ou OUI-YA. C’est une table préparée avec des lettres et des chiffres alignés et espacés.

Une planchette munie de roulettes permet à la main du médium de bouger sans trop de frottement, et donc d’effort, par l’entité contactée. La partie pointue de la planchette sert à indiquer une lettre sous sa conduite. La planchette se déplace sous la maîtrise de l’entité.  

 Les techniques d’écriture 

L’écriture médiumnique ou automatique. 

Certains médiums, parmi les plus doués n’ont pas conscience de ce qu’ils écrivent, ils le découvrent à la relecture ce qu’ils ont écrits. D’autres sentent ce qu’ils vont écrire, c’est l’écriture intuitive, mais c’est l’esprit qui écrit. D’autres, doués de clair-audience, écrirvent eux- même ce que l’esprit leur dicte dans l’oreille.  

L’incorporation

Certains médiums sont parfois incorporés par l’esprit qui veut communiquer. Le médium peut se mettre à parler une langue qu’il ne connaît pas lui- même mais que certaines personnes de l’assistance connaissent. Certains médiums ne se souviennent pas de ce qui se passe, seuls les témoins en parleront. D’autres sont conscients de l’incorporation, s’entendent parler et sentent la force de l’esprit et en sont courbattus le lendemain !   

Matérialisation

Apparaître avec un corps, c’est donner la preuve la plus impressionnante de la survivance. Certaines apparitions acceptent de se laisser mouler une main, un pied dans de la paraffine chaude qui surnage dans un récipient d’eau chaude. Après application de plusieurs couches et refroidissement dans un autre récipient d’eau froide, l’esprit retire son « corps » et le gant ou la chaussette obtenu peut servir à couler du plâtre qui ne laisse apparaître aucun plan de joint qui montrerait une supercherie. Ces expériences datent du début du 20ième siècle.  

Certaines apparitions sont complètes. Ces phénomènes étaient très prisés dans les réunions spirites à la fin du siècle précédent. Mais il y a eu beaucoup de fraudes dans ce domaine. Voici donc un exemple qui a été vérifié par de sérieux expérimentateurs. Un  anglais, William Crookes, a organisé des séances avec le médium Florence Cook. Ils ont fait apparaître le fantôme de Katie King. Elle restait visible de l’assistance pendant plus de 2 heures, elle leur parlait, leur serrait la main…Cela a duré pendant 3 ans entre 1871 et 1874. Ensuite, Katie a fait ses adieux le 21 mai 1874 et n’est plus revenue. Ces apparitions sont cependant toujours plus ou moins contestées…. !!!   

Les fantômes sont plus ou moins matérialisés. Un français, le colonel de Rochas, a fait des mesures. Le fantôme peut peser jusqu’à33 kg, Cette masse étant prise sur le médium, celui-ci, à l’inverse, diminue de poids. Il ne faut pas confondre ces chiffres avec ceux de la pesée d’une âme qui s’échappe lors de la mort et que des soviétiques ont estimée à une vingtaine de grammes. L’écart entre les 22 gr et les 33 kg serait donc le taux de matérialisation du fantôme. 
  
Voyons maintenant un exemple contemporain avec Mme Kubler Ross, docteur psychiatre née en 1926. Elle accompagne les malades en phase terminale. Elle a vu, un jour,  une ancienne patiente, décédée depuis 10 mois, venir la remercier et lui donner des conseils, dix mois après son décès. Elle lui parle, lui ouvre la porte de son bureau, pour la remercier et lui conseiller de ne pas arrêter ses recherches et son enseignement…

Le docteur Ross, qui pensait devenir folle, eut le réflexe de lui demander d’écrire un message…Son ancienne patiente s’exécuta. Elle raconte tout ceci dans son livre « La mort est un nouveau soleil »

Que Jésus puisse apparaître à ses disciples après sa mort, cela n’a donc rien d’extraordinaire, si je puis dire ! Dans notre entourage, nous avons connaissance de plusieurs personnes qui ont vu leur mari décédé, leurs grand-mères décédée, un ancien occupant de leur maison etc.  

La médiumnité ou TCM

Nous voici face à face avec le médium qui sera contacté par les entités qui voudront bien communiquer. Chacun a sa méthode de travail en fonction de ses capacités. Certains ont des flashs visuels ou auditifs, d’autres voient les défunts continuellement, d’autres encore sentent ou ressentent.

La sensation peut-être physique: manière dont la personne est décédée (coup de couteau, bombardement, étouffement), odeurs que le décédé veut faire sentir (fleur qu’il a appréciée, ou drogue qui l’a rendu malade par exemple). Ces rencontres sont toujours un moment exceptionnel. 

SOURCE : http://www.audeladumiroir.fr/organisaudela.html

Publié dans:ESPRITS, MEDIUM, POUVOIR |on 20 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Sai Baba, l’instructeur miraculeux

par Michel Rousseau

Paru dans le magzine Les 3 Mondes – juillet/août 2001 n°24

Sai Baba, l’instructeur miraculeux dans CHANNELING images-7Depuis soixante cinq ans, Sathya Sai Baba rencontre invariablement deux fois par jour ses fidèles venus pour recevoir sa bénédiction dans son ashram du sud de l’Inde (Puttaparthi dans l’état de l’Andra Pradesh), nommé « Prashanti Nilayam » (demeure de paix  suprême) . Certains repartent avec un peu de cendre sacrée matérialisée pour eux, d’autres se voient offrir toutes sortes de présents que le maître à la couronne de cheveux touffus semble extraire directement de l’espace. Le voir, pour le croire !                                                                  

« C’était en 1993, j’avais entendu parler de Baba et de ses miracles. Comme une petite fille devant un arbre de Noël, je décidais de me rendre à Puttaparthi. Mes moyens financiers ne me permettaient pas de m’offrir un tel voyage et à l’instant où je pris la décision de passer outre ce problème, la somme exacte représentant cette dépense me fut offerte spontanément d’une façon complètement inattendue. Deux semaines plus tard, en présence de Sathya Sai Baba commençait une transformation qui se poursuit depuis. » Ainsi s’exprime Nelly Lewin, la traductrice du livre Sai Baba, le Seigneur.

Pour Raymonde, biologiste-ingénieur de formation, l’expérience a été directe puisque Baba l’a reçue en privé et lui a matérialisé une bague ornée d’un diamant. Elle raconte: « Je suivais un stage en France et diverses personnes me demandèrent si je connaissais Sathya Sai Baba, dont à l’époque je n’avais jamais entendu parler. Je demandai de qui il s’agissait. Il me fut répondu: c’est un Avatar (1). Lorsque je vis sa photo, au dos d’un livre, je fus mal à l’aise: je ne le trouvai pas très « christique ». Pour comble, le livre s’ouvrit directement sur une photo de Baba avec des yeux bleus. Ma réaction fut très vive, je lançai le livre contre le mur, avec la sensation d’être bernée. Six mois plus tard, j’étais en Inde. Faire l’expérience de la puissance d’amour de cet être était la réponse à toutes mes questions formulées ou non. D’ailleurs, il s’arrêta un jour devant moi et, me regardant intensément, je pus voir ses yeux devenir aussi bleus que sur la photo qui m’avait tellement dérangée. Après un grand sourire, il continua sa route. En plus de la matérialisation de la bague devant mes yeux, j’ai eu l’occasion de vivre des expériences de matérialisation et de dématérialisation d’autres objets en réponse à des questions formulées. Je remarquai que le plus souvent, les miracles se produisaient quand la personne n’était ni dans l’attente de ceux-ci, ni en état de demande.

Pendant ce séjour, je rencontrai une jeune femme scandinave qui, l’année précédente, était arrivée là en chaise roulante. Lors d’un accident de voiture, elle avait perdu l’usage d’une de ses jambes, les muscles ayant été déchiquetés. Poussée par des amis, elle avait fait le voyage sans grande envie. Son premier contact avec Sai Baba l’avait en fait beaucoup dérangée : le côté kitsch indien du décor l’avait fait violemment réagir. Elle l’interpella intérieurement : »Hey, Man, you make a good show!«  (Hé, mon gars, tu fais du bon spectacle). Instantanément, Baba se retourna vers elle et lui fit un clin d’œil. Trois jours après cela, elle marchait comme avant, les muscles étaient reconstitués.« 

Le B. A. BA du message

Qu’y a-t-il de nouveau sous le soleil spirituel de l’Inde ? Sai Baba ne prétend pas apporter une nouvelle doctrine ni fonder une religion supplémentaire. Pour lui, l’unité de la foi et l’amour doivent se démontrer par un service actif envers l’humanité. Les disciples sont invités à invoquer le nom de Dieu sous ses noms traditionnels et à honorer toutes les religions. Mais, si la prière et la méditation constituent une voie de purification indispensable, le but ultime demeure conforme à l’idéal traditionnel de l’Inde : atteindre la libération. « Eteignez les désirs, dit Sai Baba, et l’illusion disparaîtra, et ce qui apparaîtra sera votre propre divinité. » Mais, pour l’instructeur miraculeux, il est hors de question de chercher à s’évader du monde. Au contraire, il faut travailler et construire ici-bas pour améliorer le sort de l’humanité. L’éducation et la médecine sont des domaines qu’il privilégie en tant que voies de service. Si les sceptiques peuvent douter des miracles opérés par Sai Baba, il faut reconnaître que ses réalisations concrètes sont assez surprenantes, telles de nombreuses écoles et universités dans le pays tout entier, entièrement gratuites comme tout le système d’éducation, ainsi que ce système d’irrigation en eau potable à l’usage d’un million et demi d’habitants de l’Andra Pradesh, ou bien ce deuxième hôpital gigantesque (ouvert à Bangalore), le premier se trouvant à Puttaparthi. Ce sont de véritables temples de la guérison. Tout y est gratuit, y compris les soins qui y sont dispensés.

La légende de Sai Baba

Sathyanarayana est né le 23 novembre 1926 dans une famille modeste du sud de l’Inde. Très tôt, il réunit ses premiers disciples parmi ses petits camarades. Un jour, il demanda à chacun quel était son fruit préféré et, au fur et à mesure des réponses, il fit apparaître dans un arbre toute la variété des fruits énumérés. Le tamarinier fut nommé « l’arbre des désirs ». Bientôt, les villageois et même ses professeurs formèrent le premier cercle de ses fidèles. Le 23 mai 1940, il déclara être un Avatar ayant reçu la mission de ramener les valeurs essentielles. Comme on lui demandait de donner les preuves de ses qualités spirituelles, il prit des fleurs de jasmin qu’il lança en l’air, et celles-ci retombèrent sur le sol en formant le nom Sathya Sai Baba en écriture télégou. Il annonça à sa famille qu’il renonçait aux liens familiaux et terrestres. Il aurait alors démontré qu’il était la réincarnation d’un Gourou (Maître Spirituel) – Shirdi Sai Baba – en réalisant des guérisons et des manifestations miraculeuses. Il aurait même opéré un malade à l’aide d’instruments chirurgicaux spécialement matérialisés pour l’occasion. La légende était née.

Dans un discours du 6 juillet 1963, Sai Baba déclara que son incarnation actuelle s’inscrivait dans une trilogie dont le but est de rétablir les valeurs morales de toutes les religions sur une période de 250 ans. Dans sa vie précédente, en tant que Sai Baba de Shirdi – du nom d’une bourgade de la région d’Hyderabad – il aurait assuré la transmission de l’énergie de Shiva (2), jusqu’à sa mort en 1918. Il s’est réincarné 8 ans plus tard, sous le nom de Sathya (Vérité) Sai Baba, dans l’énergie Shiva/Shakti. Sa réincarnation a déjà été annoncée. Sous le nom de Prema Sai, elle débutera 8 ans après son « départ » prévu pour 2020, à l’âge de 95 ans. Prema Sai devrait se faire connaître à l’âge de 20 ans, en 2048, afin de manifester « Prema », l’aspect amour et douceur (Shakti). Voilà donc un programme qui ne laisse rien au hasard. Pour démontrer la véracité de ces prédictions, certains disciples anciens ont affirmé qu’ils avaient continué avec Sai Baba des conversations commencées dans sa précédente incarnation en tant que Sai Baba de Shirdi.

Baba en ligne directe

Dans un premier livre, Graciela Busto relate son expérience de communication télépathique et médiumnique avec Sai Baba. A toutes les questions qui la préoccupent, le gourou répond par le canal d’une transmission qui ne laisse place à aucun doute dans l’esprit de la disciple. Cet acte de foi ne se discute pas.

Certains pèlerins revenus de l’ashram de Sai Baba expriment leur réserve envers ce qu’ils considèrent comme de l’idolâtrie : « Le moindre événement de la vie ordinaire est interprété comme survenant par la volonté du maître. A-t-on perdu ses clefs et voilà qu’on interprète l’incident comme une épreuve envoyée par Baba ou une de ses facéties amicales. Et lorsqu’on les retrouve, c’est bien entendu grâce à son intervention ». Sans doute, à force de projeter sur Sai Baba l’image d’un sauveur suprême, on risque la déception si l’âge d’or se fait attendre au-delà de 2015. Cette date annoncée par certains comme le début de l’âge d’or, constituant une ère de paix relative et d’opportunités spirituelles, non la fin de l’âge de fer – Kali-Yuga – dont les Ecritures prévoient qu’il doit durer encore 432000 ans. En ce domaine, les avis des diverses écoles divergent grandement. A moins que Sai Baba ne nous réserve des surprises ? Ce dernier passe davantage son temps à attirer notre attention sur les outils qui sont à notre disposition pour évoluer et atteindre la libération (réalisation, illumination) dans cette vie qu’à lancer des prédictions…

Sai Baba incite l’homme à faire l’unité à l’intérieur et à l’extérieur de lui. Il en résulte une exacerbation momentanée des dualités. Dans ce contexte, tout le spectre des réactions se trouve présent et il est facile d’alimenter les controverses. Comme nombre de mouvements qualifiés d’hindouistes souvent à tort, l’association Sri Sathya Sai rencontre en France des difficultés, depuis la parution du très controversé rapport parlementaire sur les sectes. Mais, la diffamation médiatique et la persécution administrative qui frappent un certain nombre de disciples ne sont fondées sur rien d’autre que l’allergie de la France rationaliste à toutes formes de manifestations surnaturelles et de spiritualité chaleureuse. L’expression « Faut pas rêver » n’est-elle pas typiquement française ?

1. Envoyé divin qui s’incarne sur la Terre à certaines époques cruciales.
2. Divinité détruisant l’illusion (Maya).

Publié dans:CHANNELING, CO-CREATION, POUVOIR |on 12 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Nous sommes tous channels !


Erik Pigani, journaliste à Psychologies magazine et auteur de « Channels, les voix de l’Au-delà » fait le point sur ce phénomène paranormal encore mal connu en France. Entretien avec Erik Pigani

Nous sommes tous channels ! dans CHANNELING images2

Erik Pigani a été formé à l’école de psychologie française, c’est-à-dire freudienne, avec la pensée unique matérialiste qui veut que l’âme n’existe pas et que la pensée soit sécrétée par le cerveau. Aussi, quand il est allé enquêter aux Etats-Unis, il a découvert que la plupart des psychologues, psychiatres et autres psychanalystes s’intéressaient aux phénomènes paranormaux, à la psychologie transpersonelle, à la spiritualité et étudiaient de façon sérieuse le channeling. Ce qui était totalement impensable en France, même encore aujourd’hui !

Yannick Le Cam : En ce début du XXIe siècle, le public comprend-il mieux le phénomène du channeling ?
Erik Pigani : Je ne sais pas, mais ce qui est certain c’est que de plus en plus de gens ont connaissance du phénomène et le vivent aussi. Pour autant, il y a encore beaucoup de confusion et c’est un peu normal. En effet, même si dans mon enquête je raconte les choses telles que je les ai vues et que je les vis de l’intérieur, personne n’est en mesure de dire précisément ce qu’est le channeling. C’est le même sort pour les autres phénomènes paranormaux comme les EMI (Expériences de mort imminente). Dans le domaine, c’est à chacun de faire un choix personnel et de prendre position.

Faut-il comprendre que l’affaire est plus compliquée pour le channeling ?
Erik Pigani : D’autant plus compliqué qu’il fait appel à bien des paramètres différents et soulève beaucoup de questions. Par exemple : y a-t-il une conscience en dehors du cerveau ? N’est-on pas en présence d’un phénomène où la personne canalise son propre inconscient ou l’inconscient collectif ?

Vous êtes une personne avertie et pourtant vous trouvez l’approche du phénomène difficile. Comment ceux qui vont écouter des channels en conférence peuvent-ils faire la part des choses ?

Erik Pigani : Pour eux, c’est encore plus difficile (rires) car le recul leur manque. Beaucoup de gens ont trop d’attentes pour garder de la distance. En ce sens, ils en seraient presque au même point que voici quinze ans. Mais dans l’ensemble, ils sont plus informés sur les phénomènes paranormaux, notamment grâce aux livres et aux émissions de radio. En faisant une rétrospective quasi complète des dix dernières années, j’ai pu constater que les mentalités ont changé et se sont ouvertes. Maintenant, comme partout, vous avez des gens prudents, avec une démarche d’autonomie, qui écoutent les channels et réfléchissent et ceux qui foncent tête baissée.

Avez-vous mesuré l’impact du phénomène channeling sur les mentalités, les habitudes de vie ?

Erik Pigani : D’une manière générale, ce phénomène a donné une dimension beaucoup plus spirituelle à la notion d’au-delà. Il y a quinze ans, je ne suis pas sûr que le channeling aurait été bien accueilli ; comme si la reconnaissance d’un au-delà devait être la première étape. Maintenant, il va de soi pour les gens ayant une ouverture spirituelle qu’il existe d’autres formes de consciences sur d’autres plans. Il ne faut pas oublier, par exemple, la mode des anges venue consolider des liens entre les hommes et d’autres plans de conscience à un moment où s’exprimait un besoin de liens plus « naturels ». Un autre changement est intervenu voici cinq ans environ. Il s’est traduit par l’augmentation des autels particuliers, ces petits espaces de méditation, de prière ou de recueillement pour honorer la mémoire d’un être cher. Ces lieux privés n’existaient pas avant. Grâce à un reportage sur le sujet, j’ai obtenu un nombre surprenant de témoignages de gens qui ont installé chez eux un lieu réservé pour communier avec d’autres plans. Ces autels comportent des petites statues ou des icônes orthodoxes, des photos des gens disparus ou des amis, des fleurs, une bougie, etc. C’est le signe d’une plus grande ouverture vers la spiritualité, qu’elle soit religieuse ou laïque.

Tout ce que transmettent les channels les plus « sérieux » participe à une ouverture et est un soutien au quotidien ?

Erik Pigani : Oui, tout d’abord parce que, généralement, le discours du channeling oriente toujours les personnes vers plus d’autonomie et de responsabilité. Il invite à penser à soi-même, à établir un lien direct entre soi et d’autres dimensions de soi. Ensuite, parce qu’il y a beaucoup d’informations sur la nature de la conscience, avec des éclairages nouveaux sur la manière de vivre avec les autres et avec soi-même.

Le channeling ne serait-il pas un don qui se dévoilerait ?

Erik Pigani : Comme pour la musique, vous avez des gens qui, avec très peu d’études, jouent avec une inspiration totale ; ceux-là vous font vivre des concerts inoubliables. Alors, effectivement, tout le monde peut développer le channeling. Certains sont faits pour ça et ont le don, d’autres pas. Le message des grands channels comporte beaucoup plus d’informations condensées et ces « informations miroirs » correspondent à chacun. Par exemple, une personne pourrait faire des Dialogues avec l’ange (2) une lumière de sa vie, un accompagnement pendant un certain temps ; alors qu’une autre sera incapable de la lire. En revanche, elle sera touchée par les Conversations avec Dieu. Une troisième ne sera touchée ni par l’un, ni par l’autre, mais accueillera volontiers les livres de Jane Roberts (3), etc.

La publication des travaux de Melvin Morse dans l’ouvrage « La divine connexion » contribue-t-elle à mieux comprendre le channeling ?

Erik Pigani : Ce type de publication explique comment fonctionne le cerveau et pose la question très sérieuse de la localisation de la conscience : d’où vient-elle ? Quel en est le centre ? Les travaux de Morse tendraient à prouver que nous sommes « outillés pour la reliance » qui, dans le cerveau, active certaines zones. L’autre grand pas en avant, c’est ce que disait Carl Gustav Jung : l’homme est fait pour la spiritualité. C’était d’avant-garde à son époque et pas très bien vu des freudiens. On comprenait enfin que la spiritualité était nécessaire à l’être humain pour sa vie et qu’elle n’était pas un phénomène pathologique comme on le disait avant. Nous avons besoin de spiritualité parce que nous sommes faits pour ça ! Le phénomène du channeling est une des infinies possibilités de notre cerveau.

Médium, voyant ou channel ?
Erik Pigani : Un médium reçoit des communications de l’au-delà avec des gens disparus mais qui ont vécu, quelle que soit l’époque.

Un voyant est capable de prévoir un événement futur. La voyance est l’équivalent de la précognition, terme utilisé en psychologie pour parler de la prémonition. Un « flash de voyance » est une information sur un événement futur.

La clairvoyance permet de capter des informations sur un événement présent qui se passe à distance. Un voyant peut être aussi clairvoyant. Pour le grand public, il est à la fois prophète et télépathe, c’est-à-dire quelqu’un qui sait tout !

Quant au channel, c’est une personne à la médiumnité ouverte. Il sert de canal à des consciences d’autres mondes, des entités qui peuvent s’identifier mais qui, normalement, n’ont pas été incarnées sur la Terre. Le channeling peut aussi s’exercer sur des entités spirituellement très élevées comme Jésus, les anges ou les archanges. Cela n’empêche pas un channel d’être aussi médium et/ou voyant !

Recueillis par Yannick Le Cam

Publié dans:CHANNELING, POUVOIR |on 12 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Pouvoir occulte-Talismans-Sorciers

Pouvoir occulte-Talismans-Sorciers dans ESPRITS images-2

 

Un homme méchant peut-il, à l’aide d’un mauvais Esprit qui lui est dévoué, faire du mal à son prochain ?
 » Non, Dieu ne le permettrait pas. « 

 Que penser de la croyance au pouvoir qu’auraient certaines personnes de jeter des sorts ?
 » Certaines personnes ont un pouvoir magnétique très grand dont elles peuvent faire un mauvais usage si leur propre Esprit est mauvais, et dans ce cas elles peuvent être secondées par d’autres mauvais Esprits ; mais ne croyez pas à ce prétendu pouvoir magique qui n’est que dans l’imagination des gens superstitieux, ignorants des véritables lois de la nature. Les faits que l’on cite sont des faits naturels mal observés et surtout mal compris. « 

Quel peut-être l’effet des formules et pratiques à l’aide desquelles certaines personnes prétendent disposer de la volonté des Esprits ?
 » Cet effet est de les rendre ridicules si elles sont de bonne foi ; dans le cas contraire, ce sont des fripons qui méritent un châtiment. Toutes les formules sont de la jonglerie ; il n’y a aucune parole sacramentelle, aucun signe cabalistique, aucun talisman qui ait une action quelconque sur les Esprits, car ceux-ci ne sont attirés que par la pensée et non par les choses matérielles. « 

- Certains Esprits n’ont-ils pas eux-mêmes quelquefois dicté des formules cabalistiques ?
 » Oui, vous avez des Esprits qui vous indiquent des signes, des mots bizarres ou qui vous prescrivent certains actes à l’aide desquels vous faites ce que vous appelez des conjurations ; mais soyez bien assurés que ce sont des Esprits qui se moquent de vous et abusent de votre crédulité. « 

Celui qui, à tort ou à raison, a confiance dans ce qu’il appelle la vertu d’un talisman, ne peut-il par cette confiance même, attirer un Esprit ; car alors c’est la pensée qui agit : le talisman n’est qu’un signe qui aide à diriger la pensée ?
 » C’est vrai ; mais la nature de l’Esprit attiré dépend de la pureté de l’intention et de l’élévation des sentiments ; or, il est rare que celui qui est assez simple pour croire à la vertu d’un talisman n’ait pas un but plus matériel que moral ; dans tous les cas, cela annonce une petitesse et une faiblesse d’idées qui donne prise aux Esprits imparfaits et moqueurs. « 

 Quel sens doit-on attacher à la qualification de sorcier ?
 » Ceux que vous appelez sorciers sont des gens, quand ils sont de bonne foi, qui sont doués de certaines facultés, comme la puissance magnétique ou la seconde vue ; et alors, comme ils font des choses que vous ne comprenez pas, vous les croyez doués d’une puissance surnaturelle. Vos savants n’ont-ils pas souvent passé pour des sorciers aux yeux des gens ignorants ? « 

Le spiritisme et le magnétisme nous donnent la clef d’une foule de phénomènes sur lesquels l’ignorance a brodé une infinité de fables où les faits sont exagérés par l’imagination. La connaissance éclairée de ces deux sciences, qui n’en font qu’une pour ainsi dire, en montrant la réalité des choses et leur véritable cause, est le meilleur préservatif contre les idées superstitieuses, parce qu’elle montre ce qui est possible et ce qui est impossible, ce qui est dans les lois de la nature, et ce qui n’est qu’une croyance ridicule.

Certaines personnes ont-elles véritablement le don de guérir par le simple attouchement ?
 » La puissance magnétique peut aller jusque là quand elle est secondée par la pureté des sentiments et un ardent désir de faire le bien, car alors les bons Esprits viennent en aide ; mais il faut se défier de la manière dont les choses sont racontées par des personnes trop crédules ou trop enthousiastes, toujours disposées à voir du merveilleux dans les choses les plus simples et les plus naturelles. Il faut aussi se défier des récits intéressés de la part de gens qui exploitent la crédulité à leur profit. « 

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ESPRITS, POUVOIR |on 1 novembre, 2013 |1 Commentaire »

Un philosophe peut-il consulter un médium ?

Un philosophe peut-il consulter un médium ? dans MEDIUM images

Denis Marquet : : Le chemin spirituel exige deux dimensions d’égale importance : l’ouverture et l’orientation. Alors oui, plutôt rester fermé que de s’ouvrir en étant mal orienté !

Car on s’ouvre alors à des dimensions basses du monde psychique, qu’une humilité insuffisante fait confondre avec des manifestations spirituelles. La mythologie judéo-chrétienne nomme d’ailleurs très précisément cette confusion : c’est celle du « porteur de lumière », Lucifer, le singe de Dieu qui, bien que coupé de la lumière divine et ayant chuté dans les ténèbres, demeure tout à fait capable d’imiter celle-ci. Vous me direz qu’au XXIe siècle, parler du “diable” a quelque chose de désuet. Je vous répondrai que, plus l’époque se rouvre aux anges et aux prophètes, plus nous avons besoin de prendre garde aux faux prophètes et aux diableries ! Cela étant dit, je n’oublie pas que la fermeture au spirituel est la maladie qui caractérise le mieux nos sociétés actuelles, et que l’humanité peut en mourir. Nous avons un urgent besoin d’ouverture ! Mais pas de n’importe quelle ouverture…

N. C. : Où l’on s’aperçoit que les instances ecclésiastiques remplissaient aussi une fonction de discernement !

D. M. : Tout à fait. On a beaucoup insisté, à juste titre, sur la censure, souvent abusive, qu’elles exerçaient, mais elles remplissaient aussi une fonction d’encadrement très précis. Longtemps les hommes ont vécu avec une conception de la vie et du monde à peu près universelle, défendue par toutes les instances religieuses, et bien résumée par la notion hindoue du Dharma. Ce mot, qui est fréquemment traduit par “loi” et qui désigne l’ensemble des règles et prescriptions morales qui s’appliquent à l’humanité. Il signifie d’abord : “ce qui soutient”, “ce qui étaye le monde pour lui éviter de sombrer dans le chaos”. Les innombrables règles, interdits, obligations et préceptes du système religieux traditionnel de l’Inde, mais aussi les commandements de la Torah hébraïque et je crois tous les systèmes moraux de l’humanité pré-moderne reposent sur l’idée qu’il existe un ordre juste qu’il faut respecter, sous peine de voir le monde sombrer dans le chaos.

Or, depuis deux ou trois siècles, et d’une manière qui va en s’accélérant, l’humanité s’est mise à vivre à l’opposé de ce qui est traditionnellement considéré comme juste. Individualisme, matérialisme, effondrement des valeurs transcendantes, règne de l’apparence et des forces de l’argent… Les fameuses lois de Manou hindoues, pour décrire l’Âge sombre à venir (Kali-Yuga), brossent par anticipation un tableau saisissant de notre époque ! Du point de vue des civilisations qui nous précèdent, toute la modernité est une rupture avec l’ordre juste. On comprend que les traditionalistes se lamentent, persuadés que nous courons droit à la catastrophe. Et le risque existe, car l’individu contemporain, conscient ou non, doit affronter le chaos d’une manière inédite. Ce que les intégristes ne peuvent pas voir, parce qu’ils ne sont tournés que vers le passé, c’est l’extraordinaire potentiel qui se trouve derrière tout cela – vers l’avenir ! Si l’individu s’avère suffisamment armé pour affronter son propre chaos, une évolution fantastique peut s’opérer, un processus d’accomplissement humain absolument inédit.

Il faut juste se rappeler que le danger est à la hauteur du potentiel.

N. C. : On ne peut tout de même pas exclure que, parmi toutes les expériences psy-spi qui se vivent en ce moment, certaines soient réellement en rapport avec ce que la tradition appelle l’Esprit.

D. M. : Mais les expériences spirituelles authentiques elles-mêmes ne sont pas sans danger ! Il faut y être préparé. C’est le mythe du voleur de feu. Ce que celui-ci dérobe est véritablement le feu divin. Mais au lieu de s’être disposé, par un patient travail intérieur, à le recevoir, il s’en empare… Et le voilà entièrement consumé ! On ne peut recevoir l’Infini dans les étroites limites de l’ego. Autrement dit, la capacité de discernement ne doit pas seulement nous servir à distinguer l’expérience spirituelle de son simulacre psychique. Elle nous sert aussi à sentir les étapes préalables, le rythme juste d’une ouverture à l’Esprit. Le discernement repose sur la connaissance de soi. Et particulièrement de ses limites : se connaître soi-même, c’est être humble, et le discernement est un exercice d’humilité.

N. C. : Prenons, un exemple d’ouverture audacieuse : un philosophe digne de ce nom peut-il sans problème consulter une voyante ?

D. M. : Je vous répondrai en trois temps. D’abord, un philosophe digne de ce nom a, en principe, une culture historique. Il sait donc qu’en trois siècles nous avons construit la première et la seule civilisation qui rejette comme superstitions des phénomènes psychiques unanimement admis, reconnus par les autres cultures. Son devoir de philosophe est de prendre du recul et de se questionner : nous, hommes modernes, avons-nous raison contre tous ? Sommes-nous vraiment l’aboutissement le plus éclairé de l’histoire, ou notre vision matérialiste du monde ne nous a-t-elle pas privés d’une connaissance plus profonde ?

Un philosophe saura que si la voyance existe, elle fonctionne exclusivement dans son domaine propre, qui est l’avenir prévisible. De même que la science peut prédire un système d’effets à partir d’un système

de causes, ainsi tout être humain est dans une certaine mesure prévisible – dans la mesure où il est conditionné. C’est-à-dire dans la mesure où il n’est pas libre.

Mais, troisième point, être philosophe, n’est-ce pas justement travailler à se rendre imprévisible, c’est-à-dire à vivre non plus depuis des conditionnements, mais depuis une liberté qui rend, par définition, toute prédiction impossible ? Si donc un philosophe va voir une voyante, ce sera seulement pour être éclairé sur ses conditionnements ! Mais a-t-il besoin d’une voyante pour un travail qui est l’essence même de la philosophie ?

N. C. : Mais Socrate a consulté la pythie de Delphes ?

D. M. : Il est vrai que Socrate, le premier des philosophes a commencé son cheminement à la suite d’un oracle prononcé par la pythie de Delphes ! Mais, là encore, il faut distinguer.

La pythie était moins une voyante qu’une sorte de prophétesse, considérée comme porteuse d’une parole divine. Un channel officiel, en quelque sorte, formé, encadré et authentifié par de solides instances religieuses. Dans son Apologie, Platon témoigne que Socrate la considérait comme “la parole du dieu”, ce qui n’est guère étonnant pour celui qui affirmait être guidé par la voix de son maître intérieur, le fameux “daïmon”. L’attitude questionnante, l’étonnement et l’émerveillement s’avèrent d’excellentes préparations à l’expérience spirituelle, car elles ont un pouvoir dissolvant vis- à-vis du mental !

N. C. : Vous avez plusieurs fois cité le “mental”, comme un niveau où notre conscience s’embourbe…

D. M. : Ce qu’on appelle le mental est une puissance en nous, qui a une obsession : transformer toute souffrance en problème – et tout le problème en solution. Le mental, synthèse humaine de l’instinct animal de survie et de la volonté de toute-puissance, n’est rien d’autre que la pulsion de mort freudienne ! Pour provoquer l’anesthésie, le mental se maintient dans une cogitation permanente, toujours à proposer des solutions. Il est cette force en nous qui ne cherche pas la vérité, mais le confort du moi. C’est pourquoi, face à l’expérience spirituelle, le mental ne peut que nous leurrer. Y compris quand il prétend trouver “Dieu”.

Car ce dieu-là, qui n’est que la projection d’une super-solution définitive à tous les problèmes existentiels humains, un simulacre vide. Repérer les manigances du mental, qui adore se déguiser en expérience spirituelle, est un aspect essentiel du juste discernement ! Et pour se libérer de ce fonctionnement compulsif et retrouver un peu de clarté, il s’agit de revenir à une expérience très simple, charnelle de soi-même. La présence à soi la plus élémentaire – la respiration, les sensations…
Tout peut repartir du corps ? Seul un corps sentant et vivant engendre une pensée claire.

L’une des stratégies du mental, pour “résoudre” le problème de la souffrance, est d’anesthésier le corps, pour nous désincarner. À l’inverse, rendre le corps à la sensation permet de neutraliser une bonne partie de cet incessant discours mental. Le mental refuse le corps car le corps souffre. Mais c’est aussi le corps qui jouit, receptacle de la joie d’exister ! Là encore, le discernement est nécessaire pour distinguer la vraie joie de son simulacre, le soulagement.

N. C. : Que voulez-vous dire ?

D. M. : Derrière les apparences d’un culte du corps, la société actuelle prône l’adoration d’un corps-objet qui ne vit pas, ne sent pas et ne se focalise que sur les apparences. Avec ces deux figures fétiches que sont la femme anorexique (le plus mince possible) et l’homme culturiste (le plus musclé possible), notre civilisation aboutit en réalité à l’inverse de ce qu’elle prétend : sous le masque d’une adoration du corps-apparence, elle nie les manques, les sensations, la vie du corps vécu. De même, la demande inconsciente que notre temps adresse à cette déesse toute-puissante qu’est la Science, c’est de nous faire accéder à l’immortalité. Les délires d’une secte comme celle de Raël, au sujet de l’immortalité grâce au clonage, sont en ce sens un symptôme de l’esprit du temps. Mais un corps qui ne peut pas mourir est un corps qui ne vit pas ! Vivre, c’est mourir et renaître sans cesse, et le refus de la mort est un refus de la vie. Notre culture moderne, avide de sécurité et de sensations faibles, est marquée par un profond refus de la vie. La spiritualité, c’est d’abord être pleinement vivant !

N. C. : Alors, que pourrait être une spiritualité vivante ?

D. M. : D’abord, une lutte contre ce que j’appellerais la tentation gnostique. Les gnostiques, dans les premiers temps du christianisme, affirmaient que la vie spirituelle devait se cultiver en opposition à la matière et au corps.
Ils enseignaient que la création du monde était le fait d’un dieu mauvais, et que l’incarnation était une chute. Il s’agissait de s’en libérer. Sortir de son corps, en finir avec la vie incarnée, tel était leur idéal, dans lequel on peut lire un triomphe du mental, un refus de la vie déguisé en attitude spirituelle… Eh bien, paradoxalement, le matérialisme contemporain peut être considéré comme le degré le plus élevé de l’attitude gnostique. L’homme se vit comme un esprit triomphant au centre d’un monde d’objets, virtuels ou non, à sa disposition, au premier rang desquels se trouve son propre corps, qui n’est plus le lieu d’une expérience de vie, mais un objet à dompter, à modeler à son idée, à neutraliser aussi pour qu’il ne souffre plus, ne meure plus, ne nous limite plus.

Dans cet hyper-contrôle fondé sur la peur de se sentir vivant, il devient impossible de vivre une spontanéité vivante, celle où la présence au corps rend possible l’acte juste, inspiré, fécond. Nous vivons actuellement une civilisation gnostique par excellence, qui n’a même plus besoin de l’alibi spirituel pour nier le corps et condamner la vie.

Plus profondément, la rupture avec le Dharma, l’ordre juste, engendre comme on l’a vu un chaos humain inédit et très dangereux, mais qui est aussi un formidable potentiel. Car le chaos, c’est l’émergence à la lumière d’une matière humaine que nous portons tous en nous, et que nous pouvons désormais travailler en conscience. À condition toutefois que chacun accepte de reconnaître ce chaos en lui-même, et ne le projette pas sur l’autre en l’appelant le “mal”…

À lire de Denis Marquet : 
Le triller Colère , au Livre de Poche et un essai sur son expérience de Père, éd. Albin Michel.

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 16 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Rivière de vie

Rivière de vie dans KARMA images-41

….papillons et créatures supérieures

Il y a quatre ans, un matin, je me suis réveillé avec des maux de tête d’une force incroyable. En quelques heures, mon cortex – la partie du cerveau qui contrôle la pensée et les émotions et qui, par essence, fait de nous des hommes – s’est retrouvé hors service. A l’hôpital, on m’a diagnostiqué une forme très rare de méningite foudroyante. La bactérie E.coli avait pénétré dans mon liquide céphalo-rachidien et était en train de me ronger la cervelle. […]

J’ai alors plongé dans un coma profond dont personne ne prédisait que je pourrais sortir autrement que dans un état végétatif – si jamais j’en sortais. Au septième jour, alors que mes collègues s’interrogeaient sur l’intérêt de poursuivre le traitement, j’ai ouvert les yeux.

Il n’y a aucune explication scientifique au fait que, pendant que mon corps était plongé dans le coma, mon esprit – ma conscience, mon moi intérieur – soit resté, lui, en activité et en parfaite santé. Tandis que la bactérie neutralisait totalement les neurones de mon cortex, ma conscience, comme libérée de mon cerveau, s’envolait vers une autre dimension. Une dimension dont je n’aurais jamais pu rêver, et dont l’ancien moi, celui d’avant le coma, aurait été ravi de prouver l’impossibilité théorique. 

Et pourtant, j’ose l’affirmer, cette dimension existe. Ce que j’y ai vu et appris m’a plongé dans un autre monde où l’Homme est bien plus que la somme d’un cerveau et d’un corps, et où la mort n’est pas la fin de la conscience, mais seulement un chapitre d’un voyage incroyablement positif. […]

Il m’a fallu plusieurs mois pour accepter ce qui m’était arrivé. Je ne parle pas seulement de l’impossibilité médicale d’avoir pu être conscient durant mon coma, mais aussi – et c’est le plus important – de ce qui s’est produit alors. Mon aventure a débuté dans un lieu empli de nuages rose pâle bouffis se détachant nettement d’un ciel bleu nuit profond. Au-dessus, […] des êtres transparents, chatoyants, décrivaient des arabesques, laissant une traînée dans leur sillage. Des oiseaux ? Des anges ? Aucun mot ne convient à ces créatures si différentes de tout ce que j’ai pu connaître sur Terre. Elles semblaient d’une forme plus avancée, supérieure. […] Dans cet univers, la vision et l’ouïe n’étaient pas deux sens distincts : j’entendais la beauté de ces êtres scintillants et je voyais la joie parfaite découlant de leurs chants. On aurait dit qu’il était impossible de regarder ou d’écouter quoi que ce soit sans en devenir soi-même partie intégrante. […]

Durant presque tout mon voyage, j’étais accompagné par une femme. Elle était jeune, avec de hautes pommettes et des yeux d’un bleu profond. Des tresses châtain doré encadraient son visage doux. La première fois que je l’ai vue, nous chevauchions ensemble un papillon. Tout autour de nous, il y avait des millions d’autres papillons, une rivière de vie et de couleurs transperçant l’air. […] Elle m’a parlé, mais sans dire un mot. Son message m’a traversé comme une brise et j’ai compris instantanément que c’était réel. Si je dois traduire ses propos dans un langage terrestre, cela donne à peu près : « Tu es aimé et chéri, tendrement, jusqu’à la fin des temps. Tu n’as rien à craindre. Il n’y a rien que tu puisses mal faire. » 

Une incroyable sensation de soulagement m’a submergé. Comme si on me révélait les règles d’un jeu auquel j’avais joué toute ma vie sans vraiment le comprendre. « Nous te montrerons beaucoup de choses ici, a continué la jeune femme, mais tu finiras par rentrer chez toi. » […]

Je sais bien à quel point tout cela est inimaginable. Et si, dans le passé, quelqu’un – même un médecin – m’avait raconté une fable pareille, je l’aurais, à coup sûr, cru en proie à une hallucination. Pourtant ce que j’ai vécu n’avait rien d’hallucinatoire, c’était aussi réel, voire plus réel que beaucoup d’événements de ma vie. Y compris le jour de mon mariage et la naissance de mes deux fils. […]

En tant que neurochirurgien, j’ai travaillé des dizaines d’années pour les institutions médicales les plus prestigieuses des Etats-Unis. Je sais que beaucoup de mes confrères s’accrochent – comme je l’ai fait moi-même – à l’idée que le cerveau, en particulier le cortex, génère notre conscience et que nous vivons dans un univers dépourvu de toute forme d’émotion. Cette croyance, cette théorie, est désormais en miettes à mes pieds. Ce qui m’est arrivé l’a détruite, et je compte passer le reste de ma vie à rechercher la vraie nature de notre conscience, et à prouver que nous sommes bien plus que notre cerveau physique. […]

L’un des rares endroits où j’ai pu partager mon histoire, c’est à l’église, où je mettais rarement les pieds jusqu’alors. La première fois que j’y suis allé après mon coma, j’ai eu l’impression de voir avec d’autres yeux. Les couleurs des vitraux me rappelaient la beauté lumineuse des paysages de l’autre monde. Les notes graves de l’orgue faisaient ressurgir en moi les pensées, les émotions qui, là-bas, m’avaient submergé comme une vague. Et surtout, un tableau de Jésus partageant le pain avec ses disciples évoquait le message qui m’avait alors touché au cœur : nous sommes aimés et acceptés sans réserve par………..

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Publié dans:KARMA, La MORT, MEDIUM, POUVOIR |on 12 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Le subconscient et les POUVOIRS ILLIMITÉS

Le subconscient et les POUVOIRS ILLIMITÉS dans POUVOIR images-3

La puissance incroyable qui réside en vous-même peut vous apporter absolument TOUT ce que vous désirez.

Nombreux, très nombreux même, sont les livres et les formations qui vous promettent la maîtrise de cette fabuleuse puissance intérieure.

 

Malheureusement, après bien des essais infructueux, vous avez certainement du vous résoudre à stagner, ou, dans le meilleur des cas, à avoir de faibles résultats, peu en rapport avec les merveilleuses possibilités et promesses faites dans les publicités vantant ces produits.

Comme la grande majorité de celles et ceux qui ont voulu améliorer leurs vies par ces moyens, vous êtes resté sur votre faim, bloqué par une force mystérieuse et diablement efficace, qui semblait vous retenir dans votre marche vers la vraie découverte de vous-même.

Cette même puissance, destinée à vous apporter tous les bienfaits que vous souhaitiez, prenait un malin plaisir, semblait-il, à vous « mettre des bâtons dans les roues ».

Alors, plus ou moins désespéré, vous vous êtes sûrement dit que quelque chose n’allait pas dans le système que vous tentiez d’appliquer ou, pire encore, que tout cela était fort bien, efficace, positif, ouvrait véritablement des horizons de bonheur et d’aisance financière, mais que, vous, vous n’étiez pas destiné à obtenir le succès que tant d’autres semblaient avoir obtenu.

C’est le résultat généralement obtenu par plus de 90 % des utilisateurs des méthodes proposées sur le « marché ».

Heureusement, de nombreux autres systèmes permettent de véritablement obtenir tout ce que la lecture ou l’étude des livres comme ceux de Joseph Murphy ou de Robert Collier, ( pour ne citer que ces deux sommités de la maîtrise des forces subconscientes), permettent d’entrevoir.

Mais ils sont rarement accessibles au grand public, parce que seulement enseignés dans des sociétés plus ou moins secrètes ou qui, pour le moins, recrutent des adeptes triés sur le volet par cooptation ou parrainage.

Les systèmes enseignés dans ces sociétés, dites initiatiques, sont véritablement efficaces et fonctionnent systématiquement.

Pour les plus anciens adeptes et grands maîtres en tout cas.

 

Par exemple et sans vouloir le dénigrer en aucune manière, l’ordre rosicrucien AMORC, qui possède de somptueuses demeures et châteaux, démontre dans les faits que les enseignements qu’il divulgue, parcimonieusement, sont réellement efficaces.

Reste à savoir si l’on est disposé à passer de très nombreuses années à étudier les monographies qui, un jour, permettront d’atteindre les objectifs personnels que l’étudiant s’est fixé.

Encore une fois il n’est pas question ici de dénigrer un ordre initiatique ancien, qui dispense un enseignement authentique et efficace.

Malheureusement, les méthodes utilisées pour la diffusion de cet enseignement, sont basées sur les techniques qui avaient cours au 19 ème et 20 ème siècle.

L’évolution spirituelle et mentale des chercheurs de notre époque ne se contente plus de telles manières d’enseigner.

Cherchant à avancer rapidement et demandant un enseignement vrai et authentique, le chercheur de base veut quelque chose de tangible et immédiatement applicable dans sa vie quotidienne.

Et il a bien raison !

Car c’est aujourd’hui qu’il vit, c’est aujourd’hui, maintenant, qu’il doit faire face aux difficultés grandissantes dans cette société agressive et insensible aux difficultés de chaque individu.

C’est aussi pour cela que de très nombreuses personnes se tournent vers ce qui semble leur promettre un bonheur et un épanouissement rapides.

Le problème c’est que toutes ces belles promesses, même si elles sont vraies, ne peuvent être réalisées que si l’on a la clef véritable de son propre subconscient puis, celle de son SUR conscient.

Généralement, les méthodes sérieuses et honnêtes omettent de donner cette clef.

Comme par exemple avec le livre et le DVD « The Secret ».

Tout ce qui est dit et écrit est VRAI, fonctionne véritablement…MAIS…

Il manque la aussi, la véritable révélation, celle qui permettrait à chacun de réussir, dans tous les domaines de son choix, simplement après avoir pris connaissance de ce qui est dit dans « the secret ».

Pour preuve, nombreux sont les intervenants du DVD, qui ont trouvé nécessaire, voire, indispensable, d’apporter des compléments d’informations.

Qui par des séminaires, qui par des quantités de formations par DVD, vendues très très cher (jusqu’à 2 000 dollars pour certaines), tout cela parce que la vraie clef n’est pas donnée immédiatement.

Omission, ou roublardise commerciale ?

Peu importe, l’essentiel est que, de très nombreuses personnes ont été déçues, une nouvelle fois, et ont abandonné une recherche et une application des principes qui auraient pu leur apporter joies et bien être dans leurs vies quotidiennes.

Alors que faire ?

Tout d’abord il convient de ne pas désespérer. Ce n’est pas parce que beaucoup d’enseignements sont incomplets que les principes énoncés sont faux.

Chaque être humain, donc VOUS AUSSI, possède en lui cette force miraculeuse, source de tous les bonheurs, mais aussi de toutes les calamités.

Car cette puissance fabuleuse fonctionne automatiquement, qu’elles que soient les choses vers lesquelles votre être pensant intérieur se tournent avec une conviction profonde.

Le véritable secret est la, savoir être convaincu, au plus profond de son être de ce que l’on fait et de la véracité de tous ces enseignements.

Non pas une conviction de surface, ou un rabâchage de formules plus ou moins positives.

Cela est parfaitement insuffisant !

Un exemple très simple vous permettra de saisir la nuance de cette conviction :

Quel que soit votre prénom, essayez de vous faire croire que vous vous nommez. Pierre, Paul, Marie ou Joséphine.

Vous pourrez :

  1. Vous le dire
  2. Le répéter des milliers de fois
  3. Tenter le faire croire à des personnes qui ne vous connaissent pas.

Rien n’y fera, au plus profond de vous-même vous saurez que ce n’est pas vrai.

Seule une attitude intérieure en correspondance parfaite avec votre conviction profonde, vous permet d’être en harmonie avec votre véritable prénom.

Il en est de même avec le travail sur le subconscient.

Vous devez être véritablement convaincu de ce que vous affirmez, sinon cela ne servira à rien, si ce n’est à vous embrouiller encore davantage.

La solution est d’aller directement à la source de votre être intérieur et, à partir de là, d’implanter efficacement les bases de pensées profondes qui vous permettront de réussir vraiment, dans tous les domaines qui vous tiennent à cœur.

En exemple concret, si vous voulez améliorer votre situation financière, il ne suffit pas de vous répéter :

« Je suis riche..Je suis riche.. »

Tout en sachant intérieurement que cela n’est pas vrai.

 

Dans ce cas, la solution serait plus exactement de vous tourner vers le moyen qui vous permettra de vous convaincre de votre réussite dans ce domaine particulier.

La solution dans ce cas, comme dans tous les autres domaines de ce qui fait une vie humaine, est d’utiliser ce qui a fait que vous êtes la personne qui vit aujourd’hui.

Soyez convaincu, au plus profond de vous et vous serez ce que vous voulez être.

Daniel C. Braibant

Publié dans:POUVOIR |on 22 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le créateur des cailloux énergétiques

Le créateur des cailloux énergétiques dans POUVOIR images-91

Sa redécouverte de la possibilité de capter et de transmettre l’énergie cosmique subtile grâce au pendule fait que son nom est indissociable de la «  charge  » d’énergie des pierres. Les galets et pierres ainsi chargés sont communément appelés «  cailloux Busby  », conférant ainsi à leur inventeur une gloire universelle dans le petit monde de la radiesthésie et des ondes de formes. Les frères Servranx ont consacré un ouvrage à l’étude et à l’explication complète de ce phénomène de charge des cailloux et minéraux. Cet ouvrage, très bien documenté et instructif, peut véritablement aider quiconque cherche à se perfectionner dans ce domaine si particulier.

Voici une description succincte de ce que contient cet ouvrage : «  Comment imprégner des galets de forces très puissantes, comment bénéficier de son nombre personnel et secret ?

Certes, nous sommes dans un domaine subtil, où les forces mises en jeu obéissent à l’intention et reposent entièrement sur un appel mental à des forces cosmiques. Mais insistons sur l’objectivité des auteurs qui, en expérimentant sur des plantes ont permis de mettre au point des méthodes vérifiables par tous les opérateurs curieux et dépourvus de préjugés ! Il est important aussi de bien considérer que les forces mobilisées par des nombres sont d’essence cosmique, car ce sont les forces cosmiques qui offrent, par leurs équivalents numériques, les influences les plus fortes et les plus exactes. On obtient du nombre personnel et secret les effets les plus curieux et les plus avantageux : santé, succès dans la vie, succès dans les sentiments, dans les finances, en radiesthésie… tout peut en être amélioré. Il s’agit d’une pratique simple et directe qui permet de bénéficier chaque jour des nombres les plus favorables. Le livre décrit, clairement et complètement, comment rechercher et mettre en œuvre le nombre personnel et «  charger  » des Cailloux Busby qui constituent des moyens pratiques de mobiliser les influences cosmiques. «  Nombres et Cailloux Qui Agissent. Actions et Protection Par le Nombre Secret, le Nombre Personnel et les Cailloux Busby.  » Editions Servranx 15,0cm x 21,0cm x 1,4cm, Broché, 158 pages

Voici une des méthodes utilisées pour charger les cailloux Busby.

C’est celle que j’utilise personnellement et elle s’est avérée d’une efficacité remarquable.
La qualité de vitalisation de la forme d’énergie ainsi captée est pour le moins stupéfiante.

Voici ce qu’en disait H.O. Busby lui même :
«  J’ai détecté une [énergie] sans doute d’origine cosmique, que j’ai cru pouvoir nommer  » la Haute Vitalité  » étant donné ses effets. (…) Les plantes du jardin se sont mises à pousser d’une façon vigoureuse. Un rosier Banksia, notamment et les arbrisseaux de la haie. On se croirait aux pays chauds, tant cette végétation est remarquable « 

Voici comment procéder.

  1. Tracez quatre cercles concentriques sur une feuille de papier 
  2. Déterminez au pendule un nombre de huit chiffres, suivant la  » qualité  » spécifique de l’énergie que vous désirez employer
  3. Inscrivez ces chiffres au centre du plus petit des cercles
  4. Placez quelques galets ou pierres ordinaires, que vous aurez a préalable lavé à l’eau froide sur les cercles
  5. Faites girer, volontairement, votre pendule au dessus de ces cailloux. Quand le pendule s’arrête de lui même la charge est effective et vous pouvez alors utiliser les cailloux, ainsi traités, pour la tâche que vous avez déterminée auparavant.

Bien que paraissant simpliste, cette technique n’en est pas moins très efficace. Testez-la sur des fleurs ou des plantes d’appartement, vous serez rapidement convaincu de la réelle existence de cette énergie subtile. Les champs d’applications sont aussi vastes que votre désir de tester et de mettre en œuvre cette énergie. Utilisez les cailloux Busby, ils vous permettront de faire des découvertes étonnantes.

Une autre application est la recherche du nombre bénéfique.
Que celui-ci soit personnel, ou bien utilisé pour une action particulière, le nombre bénéfique assure un plein succès dans toute recherche ou émission d’ondes de formes. Ici aussi l’expérience vous convaincra pleinement de la véritable puissance cette technique radiesthésique, directement issue des recherches et expérimentations de H.O. Busby.

Publié dans:POUVOIR, TERRE |on 20 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

LA FORMULE DU SUCCÈS

LA FORMULE DU SUCCÈS dans DEVELOPPEMENT images-18

Avant de vous fournir une réponse satisfaisante et correcte à l’interrogation présentée dans le titre du présent article, il nous faut nous en poser une autre, bien plus primordiale, en deux points indissociables.

Qu’est ce que je veux vraiment ?

Suis-je disposé à faire tout ce que je crois nécessaire pour atteindre mon (ou mes) but(s) ?

Une fois que vous aurez répondu à ces deux interrogations, il ne vous reste plus qu’à commencer à agir.

Facile à dire, vous exclamerez-vous peut-être, oui, facile à dire et à écrire, mais indispensable !

L’une des raisons de la faillite de l’idée de la pensée positive, ou du «  training mental  », ou de la dynamique mentale, etc… C’est que, quasiment les neufs dixièmes des personnes désirant améliorer leur quotidien attendent d’avoir réuni les conditions idéales pour lancer leur projet, quel qu’il soit.

Qu’il s’agisse de mincir, d’améliorer sa situation financière, de trouver le (ou la) partenaire idéal, ou bien encore de fonder une entreprise destinée à générer des millions d’euros de revenus annuels, il est absolument impératif de commencer.

Comme le disent fort justement les chinois :
«  Un voyage de mille li commence avec le premier pas  ».

Trop souvent, les excuses pour reporter l’action initiale paraissent logiques et insurmontables.

Prenons un exemple simple, mais non simpliste.
«  Je veux créer une entreprise, je sais quoi faire, comment le faire, j’y crois, je pense positivement, mais… Je suis chômeur, sans un euro d’économie et n’ayant pas de connaissance pouvant être susceptible de m’apporter une aide quelconque au niveau financier. Que vais-je faire ?  »

Dans la plupart des cas les personnes concernées se disent :
«  Je vais attendre que ma situation financière soit plus stable, je verrai cela plus tard, quand j’aurai mis un peu d’argent de côté. Si je prends deux boulots, j’y arriverai peut être plus vite  ». Etc.… etc.…

Cela vous parait-il correct ?

Est-ce une bonne manière d’aborder la création du rêve de sa vie, de se sortir du lot commun ?

Beaucoup d’entre vous se diront surement:
«  Oui, je crois que cela est raisonnable, se jeter tête baissée sur un projet alors que l’on a aucun moyen palpable de le réaliser ressemble plus à de l’inconscience qu’à une décision mûrement réfléchie.  »

Du point de vue ordinairement logique, vous auriez parfaitement raison de penser ainsi mais, et c’est ce qui fait toute la différence, il ne faut PAS penser comme tout le monde quand on veut être différent.

Pour appliquer réellement les principes tels que la loi d’attraction, il vous faut agir différemment, dès le départ.

Ce qui fera la différence entre un projet mort-né et un succès éclatant est le fait de FAIRE IMMÉDIATEMENT QUELQUE CHOSE QUI IMPRIME DANS L’UNIVERS PHYSIQUE QUOTIDIEN LA CRÉATION DU PROJET !

Quel que soit celui-ci, le fait de poser un acte physique, concret, en rapport direct avec ledit projet, éveille l’intérêt de l’univers pour celui-ci.

N’oubliez jamais que l’univers (ou Dieu, ou la Providence, peu importe le nom qui vous convient) est toujours à l’affût de nouvelles opportunités de créations et d’expérimentations, par le biais des êtres intelligents qu’il a créé.

Cet acte en rapport avec le projet peut être aussi simple que le fait de réserver chez soi, sans rien ajouter à son mobilier, un espace que l’on nommera dans son mental «  bureau  ». Même s’il ne s’agit que d’un coin de la table de votre cuisine ! Votre bureau existera et, dans cette optique, en poursuivant votre but mentalement, les circonstances se déclencheront automatiquement.

Trop simple, trop beau pour être vrai ?

Certainement pas, car votre vie personnelle est déjà le résultat de cette façon d’agir de votre part. Prenez le temps de regarder en arrière et voyez comment tous les évènements de votre vie se sont manifestés à la suite de l’exécution, même involontaire, de cet acte d’implantation dans le monde physique de l’élément déclenchant.

Pour réussir quoi que ce soit, posez-vous, après les deux premières, les deux questions suivantes :

QUOI ?
POURQUOI ?

Il peut vous sembler que le «  quoi  » se rapproche exactement de la définition de ce que vous voulez, au premier regard c’est vrai, cela semble identique, mais l’analyse du projet avec le «  quoi  » dont nous parlons ici sera beaucoup plus profonde, plus précise et donc, plus à même d’apporter une énergie supplémentaire ; laquelle sera extraite automatiquement de la mer infinie de l’univers, attirant l’attention de celui-ci sur cette nouvelle opportunité qui prend naissance dans votre esprit.

Le «  pourquoi ?  », lui, apporte toute la légitimité à votre projet. Comment cela ? Simplement parce que l’univers est une immense mer d’énergie aimante, consciente d’elle-même et en interaction permanente avec la totalité de sa création. Il ne peut d’ailleurs en être autrement puisque, chaque atome ou particule composant cet univers est une fraction de ce que, généralement, on définit comme étant Dieu.

Donc, en définissant exactement pourquoi votre projet mérite d’être soutenu par l’ensemble de la création jusqu’à sa réussite complète, vous entrez dans la «  logique  » de l’univers lui-même, qui ne fait jamais rien sans raison.

La réalisation d’un objectif humain, quel qu’il soit, est très rarement néfaste à l’ensemble de l’humanité.

Dans le cadre de notre exemple de la création d’une société générant des millions d’euros chaque année, les bénéfices, pour un très important nombre de personnes sont énormes :

  • Création de milliers d’emplois, ce qui apporte un bien être familial quotidien à une multitude de personnes qui, sans les salaires versés par la société en question, seraient certainement dans la précarité.
  • Bien être social plus important car, avec un plus grand nombre de personnes moins angoissées par l’avenir de leur famille et d’eux-mêmes, une atmosphère plus douce et plus harmonieuse règne dans l’environnement immédiat, donnant ainsi un repos mental débouchant sur une meilleure santé.

Les énumérations pourraient être, bien sûr, plus nombreuses mais ces deux-ci suffisent amplement pour servir notre propos de ce jour.

Il en va de même si le projet qui vous tient à cœur est de rencontrer la ou le partenaire idéal.

Ici, il suffit de remplacer le quoi, par qui, en définissant exactement quel genre de personne vous souhaiter rencontrer et, surtout, ce que vous, vous pouvez lui offrir.

Les relations égoïstes n’entrent nullement dans les plans d’harmonie et d’évolution de l’univers et c’est pour cela que dans les sociétés humaines actuelles, les séparations sont si nombreuses. Des édifices construits sur les sables mouvants des seules passions animales ne peuvent que s’écrouler, à plus ou moins longue échéance.

Mais ceci est un autre sujet, que nous approfondirons dans un autre article.

Gardez simplement présente à l’esprit l’idée que, pour être assuré de la réussite totale, complète et dans ses moindres détails de votre projet, il est absolument impératif que celui-ci soit en accord avec les lois de l’harmonie universelle.

Avec cet état d’esprit juste et votre motivation sincère, quoi que ce soit que vous vouliez voir se manifester sur le plan de votre vie quotidienne se réalisera.

Une dernière chose cependant, mais TRÈS importante, ayez confiance en vous, rien ne pourra jamais remplacer cela. Une confiance en soi lucide, ferme et sans arrogance ou fausse modestie, conduit infailliblement là où l’on veut se rendre.

À votre succès, présent et futur.
D.C. Braibant
Auteur des CDs d’auto-hypnose:
attirez l’abondance dans votre vie
boostez votre confiance en vous

Publié dans:DEVELOPPEMENT, POUVOIR, SOCIETE |on 14 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Les étapes du processus de création


Les étapes du processus de création dans ACCORD a1Comme l’univers répond à votre vibration et non à ce que vous vivez présentement, des choses étonnantes jamais vécues auparavant se manifesteront peu à peu dans votre existence. D’après nos observations, la chose qui vous fait le plus souvent trébucher est la suivante: le contraste [entre les expériences agréables et désagréables que vous vivez], pourtant nécessaire et utile pour vous aider à susciter la montée de désirs nouveaux en vous, fait souvent apparaitre toutes sortes d’énergies confuses. En général, pour savoir si vous voulez quelque chose, il vous faut déjà avoir une assez bonne idée des détails et des événements qui vous ont aidé à identifier ce que vous ne voulez pas.

Autrement dit, quand exprimez-vous avec clarté le désir d’être bien ? N’est-ce pas habituellement lorsque vous ne vous sentez pas tellement bien ? Quand avez-vous le plus fortement envie d’avoir davantage d’argent ? Sans doute quand vous n’en avez pas assez. Ainsi, c’est lorsque la confusion règne en vous que vous avez le plus grand besoin de clarté. C’est lorsque l’accablement vous envahit que votre désir de sérénité est le plus grand. Et c’est lorsque vous vous ennuyez que votre besoin de stimulation devient le plus fort…

Le processus de créativité comporte 3 étapes. Premièrement, vous demandez, ce qui est facile puisque vous le faites constamment. Deuxièmement, une réponse est apportée à votre requête, ce qui ne vous concerne pas puisqu’elle provient de l’énergie Source. Troisièmement, vous devez consentir à recevoir ce que vous avez demandé.

Il est important de bien comprendre la différence entre la première étape et la troisième. Lorsque toute votre attention est focalisée sur une chose dont vous avez besoin ou que vous désirez vraiment, ou lorsque vous priez pour obtenir cette chose, il est fréquent que la vibration émanant de vous ne corresponde pas à la chose désirée et qu’elle soit plutôt en résonance harmonique avec l’absence de cette même chose.

Lorsque toutes vos factures arrivent en même temps, que vous n’avez pas assez d’argent pour les payer, que la panique s’empare de vous et que vous vous dites: « J’ai besoin de plus d’argent » ou, de façon plus positive, « Je veux plus d’argent », vous en êtes alors à la première étape, celle d’exprimer votre désir. Mais vous n’êtes pas en mode réceptif, lequel correspond à la troisième étape. Vous maintenez une distance entre votre demande et vous. Vous demandez continuellement, incapable de vous arrêter, car le contraste entre la situation actuelle et la situation recherchée fait naitre un désir en vous. Vous devez trouver un moyen de vous mettre en mode réceptif, comme si vous vouliez recevoir un signal radio.

Extrait de: Créateurs d’avant-garde, E.&J. Hicks

Publié dans:ACCORD, CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, POUVOIR |on 18 août, 2013 |Pas de commentaires »

Sortir hors de son corps

  Folie, imposture ou voie d’Eveil ?

Par Akhena

Sortir hors de son corps dans ASCENSION images-12

 Après plus de 40 années d’expériences, doublées du contact avec des milliers d’élèves sincères et résolus, je peux affirmer que sortir hors de son corps est possible, n’est pas chose dangereuse et ouvre sur une incomparable évolution intérieure. Je suis très heureuse d’avoir choisi de me consacrer pleinement à sa pratique et à son enseignement.

La SHC nous permet d’expérimenter l’univers multidimensionnel de notre conscience. Elle n’implique pas de dons extraordinaires. Sans doute, faut-il croire que nous ne sommes pas qu’un corps physique
Ni fuite ni refuge, elle nous recale sans cesse dans notre réalité et nous demande aussi d’être enracinés dans le monde. L’une des découvertes majeures de la SHC est qu’il n’y a pas de barrières entre nous et la Vie, que les formes ne sont que transitoires et ne doivent en aucun cas nous séparer de l’autre, de l’Univers, de tous les êtres vivants. Elle nous fait prendre conscience de notre unité avec l’infiniment petit ou l’infiniment grand. Savoir d’expérience que la mort physique ne sera qu’un changement de forme et qu’une nouvelle aventure au sein de la Vie nous attend, est une force.

La SHC ne peut se produire que lorsque le corps physique est endormi. Pour reprendre des expressions utilisées par d’autres chercheurs : « corps physique endormi, conscience éveillée »(2) ou encore « dormir en étant réveillé »(3) caractérisent la SHC. Une SHC ne peut passer inaperçue car elle s’accompagne de sensations très fortes qui caractérisent ce qu’on appelle « l’état vibratoire ». Le corps physique, lui, dort paisiblement et ne court aucun danger. Elle ne peut pas non plus se confondre avec un rêve, ordinaire ou lucide. Des vérifications sont possibles. De plus en plus d’observations sont menées en milieu médical ou scientifique. Des témoignages viennent de tous les continents et de tous les âges. Aujourd’hui, la SHC est identifiée et reconnue comme une des phases essentielles des NDE (4).

Inutile de préciser qu’une SHC demande un travail assidu. Les qualités nécessaires sont motivation, détermination, goût de l’inconnu. L’état d’esprit requis est celui de l’explorateur lancé à la découverte d’un monde nouveau. 
Pas de recette magique, de « sésame, ouvre-toi » ni de bouton sur lequel appuyer. Bien sûr, il y a des grâces ! Une expérience spontanée en est une, mais une SHC isolée mène rarement à la compréhension du processus. La SHC n’est pas un but en soi mais un outil que nous devons apprendre à mettre au service de notre éveil et de notre évolution.

Trouver vous-même les réponses à vos questions existentielles, poser sur votre environnement un regard neuf, nourrir votre éveil spirituel n’est-ce pas une belle expérience ? 
Si je peux entrer et sortir de mon corps physique, je peux exister sans lui, sa mort n’est donc pas ma fin. Je peux penser, ressentir, vouloir et agir dans d’autres contextes que le monde physique. Je peux explorer le monde terrestre et l’univers, apprendre à mieux me connaître, identifier mes projections et m’en débarrasser, découvrir d’autres réalités, d’autres dimensions, recevoir des enseignements en toutes matières, revoir des êtres décédés, expérimenter directement la présence de guides spirituels, me ressourcer aux mondes de l’âme, vivre ma connexion avec l’Energie créatrice, vibrer en unité avec la Vie… ! 

– A lire : « Sortir hors de son corps, quarante années d’expériences aujourd’hui partagées » 406 pages, éditions Channel Soleil. 

En savoir plus : ici 
1 : SHC : Sortie Hors du Corps 2 : Patrick Drouot 3 : Traditions yogique, tibétaine… 4 : NDE pour « Near Death Experience » Le psychiatre américain R. Moody a recueilli pendant vingt ans les témoignages de personnes qui ont connu une NDE (cf : La Vie après la vie). Ces expériences sont maintenant étudiées par de nombreux scientifiques (médecins, cardiologues, anesthésistes, biologistes). Les apports de la SHC

Venez nous rejoindre sur le forum http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES, POUVOIR |on 4 août, 2013 |Pas de commentaires »

Ouverture d’un BLOG sur le DIVIN avec Omraam

Ouverture d'un BLOG sur le DIVIN avec Omraam dans NATURE banniere

Au travers de plus de 4500 conférences, il explore la nature humaine dans son environnement, à l’échelle individuelle, familiale, sociale, planétaire. Celui que nous appelons Maître, dans l’acception orientale du terme se référant à la maîtrise personnelle et au talent pédagogique, nous dit : « ce que je souhaite par cet enseignement, c’est vous donner des notions sur la vie, sur vous-même, comment vous êtes construits, quelles relations vous avez avec l’univers tout entier et quels échanges vous devez faire après entre vous et l’univers qui est la Vie ».

Aider l’être humain à retrouver sa dimension spirituelle (qu’il appelle sa nature supérieure ou divine), à se perfectionner, se renforcer et s’épanouir au cœur du monde où il se trouve, voilà son objectif prioritaire. Omraam Mikhaël Aïvanhov précise : « Je me suis surtout efforcé d’éclairer un sujet : les deux natures de l’être humain, sa nature supérieure et sa nature inférieure, parce que c’est la clé qui permet de résoudre tous les problèmes. 

Mais le travail intérieur, individuel, s’inscrit dans une perspective plus large et universelle : il permet d’acquérir la conscience que nous sommes citoyens du cosmos, membres de la grande famille humaine, la fraternité universelle, fils et filles d’un même créateur. Au-delà encore, l’enseignement du Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov nous invite à participer à la réalisation d’un nouvel âge d’or sur la terre.

Par son rayonnement et son enseignement, le Maître Omraam Mikhaël Aïvanhov a ouvert à d’innombrables personnes le chemin de l’épanouissement intérieur.

Pour suivre les enseignements de Omraam Mikhaël Aïvanhov :

fleche-a-droite1 dans POUVOIRVoici le lien : http://herosdelaterre.blogspot.fr/ 

 

omraam.mikhael.aivanhov-106x150 dans SOCIETE

Publié dans:NATURE, Non classé, POUVOIR, SOCIETE |on 1 août, 2013 |Pas de commentaires »

Transcender l’ego


Chères Âmes,

Sur le parcours d’évolution d’un Être humain, l’ego a pu avoir temporairement sa raison d’être lorsque l’être fut séparé de lui-même. Sans quoi, dans cet univers si parfait, lorsque nous observons la beauté et la perfection de tous les mécanismes de votre corps physique, de tous les circuits de vos corps subtils, pourquoi aurait-t-il été autorisé, pourquoi n’aurait-il pas été rejeté comme une entrave?

Transcender l'ego dans DEVELOPPEMENT images-17Imaginez qu’un Être se  présente dans votre demeure et qu’il cherche, avec peu de délicatesse et peu de subtilité, à diriger votre demeure. Pour celui dont la demeure est en déséquilibre, la présence d’un invité qui s’improvise et s’inscrit comme un dirigeant peut sembler un bienfait. Bien que plusieurs en seraient offusqués, certains auraient l’impression que leur demeure se rééquilibre de cette direction.

Ainsi pour l’Être qui ne s’est pas découvert, qui ne fut pas guidé à reconnaître sa véritable nature, son essence, et qui a de la difficulté à se ressentir comme Un dans le Tout, l’ego semble servir pendant une partie du parcours; il lui permettra de retrouver une sensation de son existence. Imaginez qu’un individu, dans les conditions de vie actuelles sur Terre, soit éduqué selon des structures et des valeurs déjà dépassées. Il serait comme une feuille emportée par les vents, comme une petite branche sur une rivière à débit intense…, projetée dans un sens, projetée dans l’autre. Ne réalisant pas qu’il est un dans le Tout, il se sentirait  comme un pantin secoué par les mouvements, les désirs, les caprices, les expressions de pouvoir des uns et des autres. Il serait manipulé, abandonné dans un mouvement qui le submerge.

L’ego facilite la construction d’un personnage, d’une image de lui, d’un caractère, d’une personnalité qui lui donne une impression d’existence jusqu’à ce qu’il retrouve la sensation qu’il existe uni dans le Tout. L’ego va donc lui permettre de sentir qu’il existe, bien sûr à travers une existence qui n’est pas l’expression de ce qu’il est véritablement et profondément. Cette existence l’entraînera dans des déviations de ce qu’il est et fera en sorte qu’il pourra ressentir une énergie de vie en lui, même si elle est sous-utilisée, mal utilisée ou emprisonnée.  Et l’utilisation de l’énergie de vie en lui, contrôlée par son ego, fera rejaillir des signaux, des malaises, un mal-être lui indiquant progressivement qu’il s’égare, dans la foule d’égarés. Et un jour, il retrouvera un peu plus de sensations véritables de lui-même et vivra progressivement une ouverture de conscience. Et ainsi, plus conscient de ce qu’il est au niveau de sa source et de son expression, il ressent davantage l’impact et l’ampleur de ce que l’ego a créé et détruit en lui et autour de lui.

En d’autres termes, si l’ego sert l’Être temporairement pour ne pas qu’il soit abandonné dans sa voie d’évolution, il devient rapidement un obstacle. Lorsque, par exemple, un enfant, mû par une pulsion de vie, cherche à se lever et à marcher, vous tendez amoureusement la vie… La vie qui vibre dans votre cœur lui est offerte. Et cette vie est si vibrante que de tout votre Être, il en ressent l’amour. Et puis physiquement, vous lui tendez aussi la main.  Vous l’aidez à se lever, vous l’aidez à marcher. Pourtant il n’a pas besoin réellement de votre main. L’enfant, naturellement, pourrait se lever. Il prendra appui sur une pierre, sur un arbre, sur une table, sur votre jambe… Il se lèvera. Et lorsqu’il commencera à marcher, il trébuchera, se fera quelques ecchymoses et il retrouvera son équilibre. Il n’a pas besoin de vous physiquement. Votre présence amoureuse, votre exemple d’un Être qui marche allègrement l’inspire, nourrit sa pulsion et il peut se lever. Toutefois, vous pouvez bien lui tendre la main, si cela évite certaines douleurs, si cela fait en sorte que sa chute soit moins souffrante. Et puis, il retrouve plus facilement un équilibre, il retrouve une confiance, une sécurité. Il sait fort bien que ce n’est pas votre main qui lui permet de marcher. Bien sûr, si vous tendez les deux mains et si vous le portez en le suivant partout, dans sa marche, il a plus de difficulté à constater qu’il existe. Il a l’impression que vous marchez et que vous le portez. Quel sera son véritable apprentissage? Il est totalement sous l’emprise de celui qui lui donne l’impression de marcher. Et l’enfant, au plus profond de lui, sait alors qu’il ne marche pas vraiment. C’est une illusion totale. Tôt ou tard, toutefois, la force de vie de l’enfant fera en sorte qu’il se retournera, regardera celui qui le porte en lui disant qu’il veut un peu plus de liberté.

Imaginez que vous vous maintenez la main d’un enfant dont la marche est progressivement de plus en plus équilibrée. Il a maintenant six ou sept ans et vous avez toujours sa main dans la vôtre. Il a cinquante ans, soixante ans et vous avez toujours sa main dans la vôtre… Il aurait l’impression qu’il n’existe que par vous. Cela ne ferait  pas sens.

Il en est de même pour l’ego. Vous n’avez pas besoin de lui. Toutefois, l’ego a permis à certains  de sauver leur peau, de survivre, à cause des circonstances qui prévalaient sur cette Terre. Bien sûr, dans une humanité de paix, d’amour, de joie, de stimulation, où les Êtres sont tous conscients, accueillent et guident les Êtres et se guident mutuellement, l’ego n’a pas sa place.

Lorsqu’un dictateur, dans une contrée, a usurpé le pouvoir dans une période d’anarchie, très souvent, le peuple s’en est senti fort sécurisé au début. Il instaure des structures, il met apparemment de l’ordre, il semble bien aligné. Les individus l’écoutent et ont l’impression qu’il y a enfin une voie plus claire, que la contrée progresse économiquement, politiquement et socialement. Les Êtres s’en sentent plus en équilibre, protégés et ils ont l’impression qu’enfin ils peuvent exister. Jusqu’à un jour où ils constatent qu’ils ont pu certes se lever, ils ont pu marcher, il y a eu de l’ordre, mais que toutes ces structures sont répressives, abusives et emprisonnantes. On a mis de l’ordre dans la prison. Alors, ils réclament de sortir de prison. C’est merveilleux! Les peuples de la Terre se réveillent, réclament que les dictateurs puissent quitter.

Pourrons-nous faire un parallèle entre le dictateur et l’ego? Est-il possible que l’ego vous ait permis de faire un peu d’ordre, de vous sécuriser, de vous affirmer? Il a fait en sorte qu’il y ait moins d’anarchie à l’intérieur de vous, créant une sensation de centration. Mais pourtant, voulant s’épanouir davantage, il ressent la présence d’une oppression maintenant. L’Être a grandi. Lorsqu’il était un enfant naissant, son terrain de jeu de deux mètres carrés lui semblait être un univers infini… Lorsque ses soixante-quinze kilos le font bien vibrer, ces deux mètres carrés lui semblent bien étroits…

Qu’il s’agisse d’une contrée prise en charge par un dictateur, ou qu’il s’agisse de l’emprise de l’ego il en va de même.

Le moment est venu maintenant où les peuples de la Terre s’unissent dans la fraternité et les dictateurs cèdent leur place. De plus en plus de présences subtiles, des Êtres de lumière, des Êtres de d’autres plans de conscience, des frères  des étoiles se présentent dans le champ magnétique de la Terre pour favoriser l’ouverture  des hommes à d’autres dimensions. Simultanément les hommes  de la  Terre se réveillent ; constatant qu’ils furent emprisonnés ils ouvrent leur cœur et leur conscience et deviennent progressivement disponibles à une autre réalité. Et à ce moment, d’autres formes de vie se présentent dans la matrice planétaire et créent des portes multidimensionnelles. Ce ne sont pas non pas uniquement des concepts et des symboles, mais voilà votre réalité d’aujourd’hui et de demain.

Et vous, observateur de ces peuples qui veulent se libérer de leurs dictateurs, de plus en plus observateur et conscient des portes vibratoires qui se créent sur Terre et dans l’atmosphère terrestre, nous vous invitons à aussi faire le choix de vous libérer de l’ego. Souvent, durant la dernière décennie, nous vous avons proposé de reconnaître vos beautés intérieures, vos qualités, votre essence. Vous connaissez notre message, l’éclairage que nous formulons, tout comme les peuples oppressés ont reçu aussi plusieurs messages de l’importance de la liberté en provenance de peuples plus libres. Et comme les peuples oppressés qui se réveillent et ressentent davantage les effets de l’oppression, de plus en plus, vous sentirez l’oppression de vos prisons, de vos egos.

À cette étape de l’évolution de la Terre et des Êtres humains, un grand rendez-vous de réveil, à plusieurs niveaux, est proposé. La période n’est plus celle du regard sur soi pour constater ses blessures, ses souffrances, ses désirs, les exigences des Êtres autour de soi. La période n’est plus à apprendre qu’il y a un ego, un personnage qui contrôle, un submergement émotionnel, mental, de croyance. Vous constaterez l’ampleur du paradoxe que nous vous présentons. La période est à un renouveau créateur, une ouverture vers une réalité beaucoup plus ample. Vous constaterez autour de vous jusqu’à quel point les Êtres sont maintenant plus disponibles à  reconnaître qu’ils sont leurs propres saboteurs. Nous vous disions auparavant de regarder les aspects de vous qui sont des entraves, un personnage… les autres Êtres n’étant que des acteurs… Nous vous disons maintenant que libérés du personnage, vous retrouvez et intensifiez toutes vos facultés d’aimer et de créer.

Chères Âmes nous vous entretenons d’une nouvelle ouverture sur l’univers qui se crée actuellement et malgré que la majorité des Êtres humains en soit inconscients, ils le ressentent. Ils le ressentent et veulent s’unir à eux-mêmes et aux autres.

Alors, au-delà de tout jugement, il faille simplement constater que, sur la Terre, maintenant, pour la majorité des Êtres humains, le mouvement de réveil a débuté. Pour plusieurs il s’agit d’un éveil. Vous qui avez choisi d’aller vers la réalisation de l’Être de lumière que vous êtes, accélérez le pas d’émergence de l’ego d’une part, et surtout, reconnaissez-vous comme une véritable offrande à la vie. Vous êtes les Maîtres de lumière incarnés.

Accueillez notre amour

Les Énergies du Maître Saint-Germain 
Par Pierre Lessard 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, POUVOIR |on 22 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

La médecine du futur


Loin de la conception cartésienne de l’être humain, des scientifiques sont en train de prouver l’existence de champs énergétiques liant le corps, l’esprit et l’environnement. Le documentaire The Living Matrix évoque ces pistes de recherches qui bouleversent nos conceptions traditionnelles. Si le film juxtapose parfois les témoignages et les découvertes scientifiques sans démontrer leur lien logique, il esquisse aussi le portrait prometteur d’une médecine d’avenir.

La médecine du futur dans GUERISON image_front_1_

Serions-nous à l’aube d’une révolution médicale ? Les avancées en matière de biophysique et de soins bioénergétiques sont en passe de changer fondamentalement notre conception de l’univers et de l’être humain.
Les peuples premiers et les cultures ancestrales ont toujours considéré l’univers comme un tout.
A la fin du 17ème siècle, les découvertes d’Isaac Newton et de René Descartes nous ont extraits de la trame de cet Univers, créant un modèle mécaniste où nous sommes tous séparés les uns des autres, et où l’esprit est séparé du corps. Un esprit réduit à un épiphénomène de la matière. Un corps sans pensée ni intériorité, qu’on voit comme une machine chimique à deux moteurs : le cerveau et le cœur, et qu’il suffit, en cas de défaillance, de rebooster avec la bonne substance chimique pour aller mieux. Il n’y a plus d’interconnexion entre les êtres vivants, et tout n’est plus qu’une histoire de suprématie de la matière, régie par des lois fixes. Cette idée réductionniste demeure le fondement de la pensée occidentale. Et notre médecine actuelle fonctionne encore sur cet ancien paradigme de la physique. Pourtant, aujourd’hui, des chercheurs en biophysique et biologie cellulaire vont vers une nouvelle compréhension de l’Univers, de l’Homme, du corps, de l’esprit et de la maladie, laissant entrevoir alors de nouvelles perspectives sur le plan médical. 
Le documentaire The Living Matrix, réalisé en 2009, par Greg Becker, donne la parole à des chercheurs, des thérapeutes, une journaliste scientifique, Lynne Mc Taggart ou encore l’astrophysicien Edgar Mitchell, pour explorer les principes de la bioénergétique du champ corporel humain. Si, à sa sortie, ce film n’avait pas fait grand bruit, il devient aujourd’hui une référence pour tous ceux qui s’intéressent aux médecines alternatives. Un succès tardif qui coïncide avec une ouverture d’esprit récente du grand public, et symbolise une tendance à ne plus vouloir considérer la science comme une vérité immuable et absolue. 
« A travers les siècles, explique le Dr Bruce Lipton, biologiste et généticien, nous nous sommes focalisés sur la réalité mécanique et avons abandonné le concept d’énergie et de champs dans la biologie. Mais on reconnaît maintenant que l’esprit est un champ énergétique de pensée que l’on peut lire avec les capteurs d’un électroencéphalogramme ou encore mieux, à l’aide d’un nouveau procédé de magnéto-encéphalographie, une sonde qui, bien qu’elle soit placée en dehors de la tête, peut lire les champs de l’activité nerveuse, sans même toucher le corps ». « La physique quantique tente de comprendre comment les cellules se parlent entre elles et comment elles gèrent l’information », explique Peter Fraser, chercheur en biophysique. 

Le pouvoir de la pensée

D’après les scientifiques intervenant dans ce documentaire, tout est question d’interconnexions entre les champs énergétiques du corps et de l’esprit. Les pensées, qui possèdent une réelle énergie physique, iraient même jusqu’à créer le corps. Le mental, l’intention et les croyances seraient alors trois facteurs capables d’influencer la maladie ou la guérison. « Nous avons constaté en laboratoire que lorsque nous avons des pensées positives, nous envoyons des substances chimiques, explique Edgar Mitchell. Pareil pour les pensées négatives qui ont un effet significatif sur le comportement des cellules. »
Si je pense : « Je vais aller mieux », serai-je réellement capable de me soigner ? 

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Publié dans:GUERISON, MAITRISE, PENSEE, POUVOIR |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Un chirurgien chez les chamanes

Ayahuasca : comment et pourquoi ?

Aziz Khazrai a un parcours hors du commun. Ce chirurgien, déçu par la pratique de la médecine en Occident, est parti étudier les pratiques guérisseuses du chamanisme amazonien. Comment et pourquoi en est-il venu à s’intéresser aux médecines traditionnelles  ?

Un chirurgien chez les chamanes dans ADN colombe

Ma première rencontre avec le chamanisme amazonien et l’ayahuasca date de l’été 2005. A cette époque je traversais une phase particulièrement difficile de ma vie, mélange de déprime cognée et totalement refoulée ainsi que d’un besoin vital de réponse à des grandes questions existentielles. Jusqu’à lors j’étais un jeune chirurgien viscéral « lambda » qui faisait son boulot sans se poser trop de questions et sans en tirer de grandes satisfactions non plus. A l’instar de beaucoup de mes collègues qui pratiquent la médecine classique occidentale, je faisais mon travail de technicien de santé du mieux que je pouvais, en appliquant les connaissances apprises sur les bancs de la faculté et dans les hôpitaux, mais une sorte de malaise diffus m’empêchait de planifier une carrière ou même de m’installer. A cette époque j’étais incapable de définir ce malaise par des mots, j’étais juste conscient de son existence. 

Je décidai alors de partir en Afrique pour faire un peu de la médecine humanitaire. Ma première mission fut dans une région reculée de l’Afrique occidentale, où vivait un peuple de la forêt, qui avait su conserver sa tradition spirituelle des origines. Outre leur pratique de la sorcellerie qui m’apparaissait comme très folklorique, ils utilisaient une médecine traditionnelle assez ésotérique qui faisait une large part aux plantes. Il faut vous dire que la plupart des médecins sont conditionnés dès les premières années de fac à mépriser l’usage des plantes médicinales ainsi que de toute forme de médecine non académique qui est souvent assimilée à de la charlatanerie pure et simple. Il est vrai que j’avais les mêmes préjugés. 

Pourtant au fil du temps je pus réaliser par moi-même l’efficacité réelle de cette médecine traditionnelle sur certaines maladies en particulier les affections et traumatismes des os et des articulations. Pour tout vous dire, leurs marabouts étaient tellement efficaces qu’aucun malade ne venait à l’hôpital se faire soigner d’une fracture ou autre luxation. Aucun. 

Comme j’étais assez intrigué par le phénomène, je rendis visite à nombre de marabouts et autres guérisseurs, mais aucun ne consentit à partager son savoir. Ce peuple vouait au secret un culte des plus fervents, raison pour laquelle je ne donne aucune précision géographique les concernant. Seul l’un d’entre eux m’a lâché une bribe d’explication et encore à contrecœur. Pour réduire une fracture m’a-t-il dit, j’applique une certaine plante sur le membre cassé du malade. Puis je prends de cette plante et je la mange. Ensuite la plante me dit comment soigner les os, comment les immobiliser et pour combien de temps. 

Cette simple phrase m’avait sidéré. Une étrange synchronie venait de se produire. Toute ma vie j’avais été formaté par le matérialisme et la vision scientifique et rationnelle du monde. J’étais même le genre de gars à affirmer haut et fort qu’il ne croyait pas du tout à l’existence de ce truc fumeux que les psychologues appellent l’inconscient. Seuls existaient pour moi la logique et la raison que j’assimilais à la conscience. Hors de la logique (linéaire et causale) et de la raison, il n’y avait que le délire et le chaos. Du grand n’importe quoi. Je ne le savais pas à cette époque, mais ni le matérialisme ni la science ne sont capables d’apporter des réponses satisfaisantes aux grandes questions existentielles que tout homme se pose un jour ou l’autre. Qui suis-je ? Qui suis-je vraiment ? Que suis-je ? C’est quoi tout ça là autour de moi ? A quoi ça rime ? Et pourquoi tout ce bordel ? Enfin vous voyez le genre. Ces questions avaient fini par me rattraper et ne me lâchaient plus jusqu’en Afrique. Je peux vous dire que j’avais lu des tas de livres sur le sujet. Des livres de science, de philo, de religions diverses et variées. J’avais même fait l’effort pour le grand incroyant que j’étais de lire des auteurs ésotériques. Le problème était que tout avait été écrit ainsi que son contraire. Je ne savais vraiment plus qui ou quoi croire et en même temps je ne pouvais plus revenir en arrière et ne plus croire à rien. J’avais même attribué comme raison principale à mon état dépressif d’alors, ce besoin insatisfait de réponses essentielles. Cet alors qu’en l’espace de quelques jours, deux amis que presque tout oppose m’ont parlé d’expériences incroyables qu’ont vécu certains occidentaux en Amazonie en consommant le breuvage ayahuasca, un des plus puissants hallucinogènes connus. Un de ces amis m’avait laissé un petit livre intitulé « Le Serpent Cosmique », dans lequel son auteur Jeremy Narby narre ses propres expériences avec l’ayahuasca. Sa conclusion était que le breuvage fait basculer la conscience ordinaire du monde macroscopique (celui des objets à notre échelle : humains, plantes, animaux) vers celui de l’infiniment petit, le monde de la biologie moléculaire et de l’ADN (l’acide nucléique contenu dans le noyau de toutes les cellules vivantes et qui contient l’information nécessaire à leur existence). Grâce à l’ayahuasca la communication entre le sujet et l’objet se fait directement d’ADN à ADN et non plus de cerveau à cerveau. C’est ainsi que Narby explique de manière rationnelle et satisfaisante l’immense savoir botanique (et autre) des peuples indigènes. 

Cette thèse des plus originales m’avait d’emblée séduit. Mon expérience Africaine acheva de me convaincre. Voici deux peuples de la forêt séparés par des milliers de kilomètres, jamais en contact les uns avec les autres, et qui pourtant utilisaient les mêmes techniques naturelles pour obtenir des connaissances pertinentes capables de soigner efficacement des malades. J’avais trouvé enfin une solution à ma quête de réponses existentielles. Je devais me rendre au Pérou à la rencontre des chamanes de la forêt. L’ayahuasca allait m’aider. Moi qui ne faisais plus confiance aux hommes ni à leurs livres j’allais interroger directement le grand ADN cosmique. 

Voici l’état d’esprit dans lequel je me trouvais lorsque je goûtais pour la première fois l’ayahuasca.

La suite du dossier « Un chirurgien chez les chamanes »

Publié dans:ADN, ESPRITS, POUVOIR |on 18 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Guérisseurs des Lieux

 

par Daniel Souque et Véronique Martin

  •  Guérisseurs des Lieux dans ENERGIES chantellle

Un jour nous avons décidé d’entrer dans l’univers étrange des phénomènes qui ne se voient pas, ne s’expliquent pas et par déduction logique : n’existent pas ! Et pourtant… cette plongée au coeur de l’impossible nous a permis de redonner vie et lumière à des habitations qui avaient perdu leur âme…

Nous nous sommes investis, tout d’abord, dans les soins et équilibres énergétiques des personnes et les circonstances nous ont amené à prendre en considération l’énergie de l’habitat comme faisant partie intégrante de la Bio Energie humaine. Ce sont les occupants d’habitations perturbées, qui nous ont incités à aller plus loin dans cette recherche. 

  Ondes inter-dimensionnelles 
Aujourd’hui, on connait mieux, grâce à la géobiologie, l’impact que peuvent avoir les perturbations souterraines sur la santé de ses occupants (eau souterraine, failles, réseaux magnétiques…). Il s’agit d’incidences liées aux courants telluriques dénommés également : ondes telluriques. 

Certaines d’entre elles sont repérables par les variations du champ magnétique terrestre. Mais il arrive que l’équilibre de certaines habitations soit bouleversé sans qu’il y ait, apparemment, de perturbation en relation avec le sous sol. Ces ondes extrêmement nocives n’appartiennent pas à la dimension physique. Elles sont, la plupart du temps, rattachées à une autre forme de lumière qui nait de la conscience et seraient du ressort de la physique quantique. 
Contrairement aux radiations électromagnétiques et d’hyper fréquences (téléphonie, micro ondes, radio) parfaitement maitrisées par la technologie moderne, aucun appareil (caméra IR, détecteurs de champ magnétiques ou d’ondes électromagnétiques) ne peut les repérer. Seul l’être humain, avec sa conscience et sa sensibilité, peut y avoir accès. 

  La terre souffre des agissements inconscients de l’humain 
Enclos, terrains, maisons et immeubles d’habitation, de travail sont directement affectés. A partir du moment où l’on accepte cette réalité, il est possible d’accéder aux différents phénomènes qui créent une rupture de l’équilibre cosmo tellurique d’un lieu, puis de les repérer afin de les traiter. Le lien entre maison et habitant est, à l’échelle individuelle, ce qu’est la Planète pour l’humanité. Les guerres, la haine, les destructions, la pollution sont le fait de l’homme et de son libre arbitre. Les lieux de vie s’imprègnent au fil du temps des actes de chacun qui s’inscrivent et parfois peuvent se perpétuer. Ce sont les mémoires des murs et des lieux. Chaque maison est unique, chaque histoire est différente. A travers nos méthodes et nos mesures nous avons établi une liste graduelle permettant de reconnaître l’énergie qui perturbe les lieux. 

  Cinq gradations apparaissent 
  Les mémoires des murs et des lieux. 
  Les présences (personnes décédées toujours rattachées à notre plan physique) perturbants mais sans malveillance. 
  Les entités négatives circulant par l’intermédiaire de vortex du monde astral au monde physique et se nourrissant du mental-émotionnel des individus. 
  Les maisons envoutées causées par des personnes pratiquant magie noire et sorcellerie dans le but d’infliger souffrance et destruction. 
  Les maisons ténébreuses où de multiples faits paranormaux se produisent séparément ou simultanément. 

  Réveiller la lumière de la Terre 
L’habitat est un lieu essentiel de vie et de régénération. Ces maisons « obscures » sont nocives, voire dangereuses pour la santé. Eliminer ces énergies polluantes, recrée des conditions de vie saines, et permet aux occupants de retrouver leur sérénité. Tout soin apporté à la Terre, lui restitue un peu de sa lumière. 

Contact : Daniel SOUQUE Bio énergéticien 

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, GUERISON, POUVOIR |on 30 juin, 2013 |Pas de commentaires »
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