Archive pour la catégorie 'POUVOIR'

Un grand passeur de savoirs botaniques

 

Pour saluer le botaniste et écrivain Jean-Marie Pelt, décédé ce 23 décembre 2015, voici une interview réalisée en janvier 2013 par la rédaction de Plantes et Santé. Un témoignage de la vision poétique qu’avait du monde végétal cet humaniste et grand défenseur de l’écologie.


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Peut-on parler d’intelligence au sujet des plantes ?

Les plantes ne sont pas intelligentes mais elles possèdent une sorte d’intelligence. En 1910, Maurice Maeterlinck montre, dans son livre « L’intelligence des fleurs », la subtilité des mécanismes d’interrelations. De même que Goethe, dans sa « Métamorphose des plantes », développe une vision d’ensemble. Derrière chaque chose, il y a un lien où tout se tient. Avant, on n’étudiait qu’un organisme, tout seul. Il est plus intéressant de regarder cet ensemble qui fonctionne avec des relations intelligentes. Car il y a bien une idée de cohérence générale. Les plantes agissent avec des mécanismes passifs mais qui aboutissent à des résultats visibles.

Comment se manifeste cette sorte d’intelligence ?

J’ai vu les travaux de M. Campagna, un chercheur de Clermont-Ferrand, sur la bryone. En frottant une partie de la tige, il en freine la croissance. Les cellules se durcissent comme du bois. Le chercheur récupère ces dernières et les cultive en labo. Sur quatre générations, les cellules refont du bois, ensuite elles redeviennent normales. C’est donc comme s’il y avait une mémoire. Intéressant, non ? Mais le plus important ce sont les relations qu’elles ont. Les plantes sont bien plus douées que les animaux en termes de création de molécules chimiques. Elles peuvent même

recréer des phéromones simplement pour attirer les insectes nécessaires à leur pollinisation. Grâce à leur métabolisme secondaire, les plantes synthétisent des molécules pour communiquer, se protéger, etc. Elles peuvent secréter des toxines pour les bactéries liées aux racines des plantes voisines, ce qui va rendre impossible la germination des graines. Sous un eucalyptus, par exemple, vous ne trouverez qu’un vide, car rien ne peut y pousser.

Ne font-elles que se défendre ? Ces mécanismes n’ont-ils que des effets négatifs ?

Non, au contraire. Certaines plantes sont favorables les unes aux autres. Par exemple, entre la carotte, l’oignon et le poireau. L’odeur d’oignon se brouille avec celle de la carotte. Or la mouche de la carotte se repère normalement à l’odeur. Dans ce cas-là, elle se perd et ne trouve plus la carotte. C’est aussi le cas, dans l’autre sens, pour le parasite de l’oignon, ainsi que pour les mites attirées par l’odeur du poireau. Mais des chercheurs se sont rendus compte récemment que les plantes réagissent différemment aux signaux reçus. Quand l’armoise américaine est broutée, elle produit des émissions volatiles pour que ses voisines fabriquent le tanin qui éloignera l’herbivore. L’efficacité du signal dépend de l’armoise qui la reçoit. Si elle provient du même pied-mère, génétiquement identique, l’efficacité sera plus grande qu’avec un autre pied. C’est l’idée de parentèle. Il en va de même pour la croissance des plantes. Dans le sol, les racines ne se gêneront pas si les plantes sont de la même espèce. Elles respectent alors le territoire de l’autre.

Les plantes ont-elles conscience de ce qui les entoure ?

La plante donne une partie d’elle-même quand elle se fait brouter, mais pas tout. Elle rééquilibre les échanges en se défendant. Ce sont des échanges subtils. La Nature est une entité où tout se régule. Et s’il n’y a pas de conscience chez les plantes, elles participent à un équilibre métastable, qui est remis en cause régulièrement mais finit normalement par se restabiliser.

source de l’article http://www.plantes-et-sante.fr/

 

Publié dans:PLANTES, POUVOIR |on 9 février, 2016 |Pas de commentaires »

Coupeurs de feu et panseurs de secrets

LUMIERE

 
Il y aurait, en France, six mille « coupeurs de feu »… Qu’ils apaisent le feu ou guérissent d’autres maux,   tous sont appelés « panseurs de secrets ». L’un prie et marmonne des mots inintelligibles en faisant des   signes de croix, l’autre se concentre, le troisième applique la main sur le mal, un quatrième utilise de   mystérieuses préparations… L’origine de leur pouvoir est toute aussi diverse : transmission du don par   un parent, découverte fortuite, apprentissage des prières et invocations… L’apprentissage est plus simple   qu’il n’y paraît pour qui connaît les bonnes techniques. Sachez que si vous pouvez apprendre à couper   le feu, vous pouvez apprendre les autres compétences qui feront de vous un magnétiseur opérationnel.
 
C’est un fait que constatent tous ceux   qui ont eu la chance de fréquenter un   certain nombre de ces gens « à don »,   ils sont très différents du médecin ou   même du magnétiseur courant. Tous   les médecins allopathes ont fait les   mêmes études et utilisent les mêmes méthodes pour   diagnostiquer un mal. Quand vous en avez consulté   un, c’est presque comme si vous aviez consulté toute   la profession ! À moins que le premier ait fait une   erreur, ils vous donneraient tous, ou presque tous, le   même traitement.
 
UN MONDE DE DIVERSITÉ :  Avec le magnétiseur, les choses changent un peu :   l’efficacité du traitement varie de l’un à l’autre et   l’effet du traitement sur le patient dépend aussi de   ce dernier Monsieur X…, magnétiseur, peut très bien   n’avoir aucun résultat sur la sciatique de Paul, et obtenir   un soulagement rapide à celle de Jean. Ce peut   être complètement l’inverse avec M. Y…, lui aussi   magnétiseur, qui soulage facilement Paul, mais est   complètement inefficace avec Jean.   Évidemment, ni l’un ni l’autre magnétiseur n’est informé   de cette situation. Cependant, je sais que cela   existe parce qu’à une époque, en tant que journaliste   spécialisé, j’ai interviewé un grand nombre de   clients de magnétiseurs. Avec les coupeurs de feu   et autres panseurs de secrets, c’est encore pire : l’un   prie, enfin marmonne des mots inintelligibles avant   de faire un ou plusieurs signes de croix sur le mal,   l’autre se concentre, le troisième applique la main   sur le mal, un quatrième utilise une mystérieuse préparation   qu’il associe à quelques autres manoeuvres   … L’origine de leur pouvoir est toute aussi diverse :   quand l’un tient le « don » d’un ancêtre qui lui a   « transmis le secret », l’autre s’est aperçu un jour   qu’il « pouvait le faire », et un troisième a reçu le don   de couper le feu, mais a découvert par hasard qu’il   pouvait également agir sur les entorses… Le moins   qu’on puisse dire, c’est que le monde des « coupeurs   de… » et autres panseurs de secrets est étrange et   mystérieux.
 
CE DON, POUVEZ-VOUS L’ACQUÉRIR   ET SI OUI COMMENT ?   Au demeurant, même si le secret a été transmis   par un ancêtre, il y a eu forcément, dans le passé,   un « premier », un individu qui a inventé ou mis au   point la formule ou la technique, ou qui a cru qu’elle   lui était révélée par une puissance spirituelle quelconque.   Ce premier a dû apprendre, même si ceux à   qui il a transmis n’en ont pas eu besoin (ou croient   ne pas avoir appris).   En réalité, même s’il y a don naturel ou surnaturel   (nous ne prendrons pas parti sur ce point), il y a apprentissage.   Beaucoup de gens ont l’oreille absolue,   mais même eux, pour devenir de bons chanteurs,   doivent apprendre.
 
HEUREUSEMENT, L’APPRENTISSAGE  EST PLUS SIMPLE QU’IL N’Y PARAÎT   Tous les panseurs de secrets ne sont pas magnétiseurs   ou radiesthésistes, mais tous ont acquis quelque   chose que nous appellerons un « état de conscience »   ressemblant, et même identique, tantôt à celui du magnétiseur   tantôt à celui du radiesthésiste.   Nous entendons ici par magnétiseur celui qui « émet   du magnétisme », et par radiesthésiste celui qui « perçoit   des radiations »… Quand un radiesthésiste utilise   un pendule pour « émettre », son état de conscience   est de la même nature que celui du magnétiseur.   En fait, même si la plupart de ces praticiens ne les   différencient pas au quotidien, il existe un état de   conscience « émetteur » et un état de conscience   « récepteur », mais ils sont aussi proches que la face   et la pile de la plus mince des pièces de monnaie. Ils   sont différents, mais on passe facilement de l’un à   l’autre. Ces états sont faciles à atteindre, et l’apprentissage   en est très simple pour ceux qui connaissent   les bons exercices.   Si vous pouvez apprendre à couper le feu, vous pouvez   apprendre tout le reste…
 
EN QUOI CONSISTE CET APPRENTISSAGE ?   Le pouvoir du coupeur de feu, celui de tous les panseurs   de secret, relève du monde invisible, de ces   réalités non physiques dont certains nient l’existence.   Dans ce domaine, tous les apprentissages   consistent en des prises de contact avec des réalités   inconnues et en prise de conscience des pouvoirs   que donne leur connaissance.   Il ne s’agit pas d’élaborer des théories. Les théories,   c’est à vous de les construire ou de ne pas vous en   préoccuper. Elles peuvent vous aider à progresser ou   être pour vous sans intérêt. Les exercices sont des expériences, des expériences   de vie, des expériences de conscience, des expériences   qu’on ne peut raconter ou transmettre par   la parole. Ils ont pour but, tous, de modifier l’état   de conscience de celui qui les pratique. Ils ont aussi   pour but de permettre à celui qui les réalise de   prendre conscience de cette modification d’état et   d’apprendre à la provoquer. 
 
APPRENDRE À SENTIR   Le coupeur de feu, le toucheur d’entorses, de dartres,   de verrues et le rebouteux ont un point commun : ils   sentent le patient. Ceux qui ont reçu une transmission   n’ont, en général, pas eu besoin d’apprendre,   cela leur est venu avec la transmission, et ne me demandez   pas pourquoi, je n’en sais rien. Simplement,   je le constate à travers leurs témoignages.
 
QUE FAUT-IL APPRENDRE À SENTIR ?   Il existe une réponse toute faite : « des énergies   subtiles » ! Maintenant que les énergies que nous   devons apprendre à sentir sont défi nies, entrons   dans la pratique. Les « énergies » que nous devons   apprendre à percevoir émanent des êtres vivants,   mais aussi des objets. En fait, il n’existe pas de rupture   entre des « champs » purement physiques que   nous pouvons percevoir et des champs d’énergies   subtiles. C’est ce que j’avais compris à une époque   où j’enseignais l’hypnose et la radiesthésie.
 
UNE SENSATION BIEN PRÉCISE   La sensation provoquée par le magnétisme est   proche de celle provoquée par certains champs   purement physiques. C’est une sensation que l’on   compare à des coups d’épingle dans la main ou au   toucher d’une brosse à poils durs et pointus. Elle se   rapproche également de celle que l’on ressent en   passant la main dans le courant d’air d’un ventilateur   tournant à faible vitesse, qui donne une sensation   de coussin d’air.   C’est en réalité une combinaison de ces deux   sensations. Cette description est évidemment analogique.   La sensation n’est pas douloureuse, mais   tous ceux qui l’ont ressentie une fois dans leur vie la   décrivent de cette façon…  

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/     - Ecrit Par Jean-Luc Caradeau paru en librairie dans le magazine Essentiel n° 28 – 2 Janvier 2016

Publié dans:GUERISON, POUVOIR |on 14 janvier, 2016 |2 Commentaires »

En état de Rêverie

 

citronPour manifester vos idéaux, il est fondamental que vous appreniez à vous imbiber complètement de vos rêves pour leur permettre de se frayer un chemin jusqu’à votre dimension. Mais il faut aussi vous assurer que cette sensation ne soit jamais utilisée pour compenser la présence des éléments qui suggèrent la fuite, ou le refuge.

Lorsqu’un Être vit une envie de douceur, mais que sa vie ne semble pas lui refléter cela, s’il cherche à fuir sa réalité, il appellera à lui au niveau du rêve et de ses idéaux une expérience plus douce. Mais en vérité, ce qu’il fera c’est ce que nous nommons de la rêverie, un peu comme un Être qui lit un roman Arlequin pour se convaincre que les relations entre les humains sont magiques, alors que sa propre relation intime est douloureuse. Il est intéressant de s’inspirer d’autres relations, mais vous comprenez que dans cet exemple, le roman Arlequin devient un refuge pour éviter de ressentir et de transformer la relation concrètement vécue.

Dès qu’un Être reconnaît ses malaises, ses sensations d’inconfort et ce qui l’associe à sa réalité plus lourde, sa vie commence à se modifier. S’il rencontre ses lourdeurs à partir de l’aspect de lui qui se permet de rêver et de ressentir son idéal, voilà que l’Être anime cet idéal pour lui permettre de se frayer un chemin jusqu’à sa réalité concrète. Pourquoi? Parce qu’il n’y a plus de non-dit, d’éléments reniés, mis de côté ou camouflés. En d’autres termes, l’Être n’utilise pas son rêve pour compenser sa tristesse.

Une clé

Nous vous transmettons ici une clé pour vous aider à transformer votre réalité. Nous pointons cette notion de douceur-refuge, qui est un moyen utilisé par tant d’Êtres pour compenser les malaises et les sensations d’inconfort ressentis. Vous ne pouvez pas les mettre dans un coin en attendant que la vie rêvée se manifeste. Ce faisant, il devient alors difficile de changer votre réalité, parce que votre envie de la modifier part d’un espace de refuge en vous, pour éviter de ressentir les incohérences de votre vie.

Nous ne sommes pas à dire que votre vie est incohérente, au contraire. Il y a tant de passion, d’engagement et de soif d’un Nouveau Monde chez les Travailleurs de Lumière. Cela est magnifique. Seulement en parallèle, beaucoup d’Êtres souhaitent occulter une forme de honte en eux de ne pas parvenir à créer leur vie rêvée. « Un Être spirituel devrait être en mesure d’avoir une vie idéale, et puisque ma vie n’est pas idéale, je vais faire comme si elle l’était ».

Au niveau symbolique, cela est intéressant de se projeter dans sa vie rêvée en s’imaginant qu’elle le deviendra. Et il est juste de reconnaître que plus un Être ressent et s’imbibe de sa vie idéale, plus elle se concrétisera. Mais la nuance fondamentale est que chez cet Être qui aspire à cet idéal, il n’y a jamais rien qui est occulté, mis de côté, honteux ou fuit. Tous les éléments de sa vie font partie du rêve. Voilà la clé.

L’Être se projette dans son idéal pour s’imbiber de sa vie rêvée, mais il inclut en lui tout ce qui semble l’en éloigner. Et parce qu’il les aura inclus, ces éléments feront partie de sa réalité au moment où il se permettra de rêver. Et alors, le rêve ne sera plus un refuge, mais une véritable création.

Une approche toute simple

Certaines écoles de pensée vont proposer une approche toute simple, soit l’utilisation de la formulation « même si ». Par exemple, « je choisis de créer plus d’abondances, même si une partie de moi est convaincue que je ne le mérite pas ». Chers amis, prenez un instant pour ressentir la puissance de cette proclamation.

Cette affirmation reconnaît le droit à plus d’abondances, mais ne nie pas la partie de vous qui est convaincue qu’elle ne le mérite pas. Parce que dès que vous la reniez, vous entrez dans un combat intérieur et utilisez le rêve en mode compensatoire, comme un refuge. Et alors, cet aspect de vous occulté sera nourri par votre inconscient et agira sur votre vie en s’opposant à vos rêves.

Si vous souhaitez plus d’abondances pour camoufler la tristesse de ne pas en avoir, la partie de vous qui sabote l’abondance est nourrie par un mouvement inconscient qui vient l’amplifier et lui donner votre pouvoir. Et vous direz que les Dieux s’acharnent contre vous. Mais en vérité, ce ne sont pas les Dieux qui s’acharnent, mais une partie de vous inconsciente qui cherche votre lumière. Elle attire ainsi votre attention pour être éclairée, en faisant ce qu’elle connaît le mieux, soit le sabotage. Elle va donc saboter, au même titre qu’un autre Être préparerait la nourriture. Cette partie de vous est conditionnée à saboter, alors elle sabote, tout simplement.

Il n’y a aucun jugement dans l’équation. L’Univers ne se dit pas « mais quel drame, cet Être est en train de se saboter ». L’Univers ne connaît pas le drame, ni la pitié.

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

SOURCE: Site web : au-deladumaintenant.blogspot.ca

Publié dans:POUVOIR, REVES |on 10 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

LE HANDICAP VÉCU COMME UN DON

HANDICAP ET DONChaque handicap est un don, parce qu’il nous permet de découvrir en nous des pouvoirs qui, sinon, passeraient inaperçus. Le mot-clef ici est l’acceptation.

Tant que nous n’avons pas pleinement accepté d’être tels que nous sommes, ces dons et ces pouvoirs qui sont le corollaire de ce qui semble être un handicap, demeurent hors de portée. Toute forme de révolte crée un blocage qui empêche les énergies de la vie de circuler. Lorsque j’étais jeune, ce sont la maladie et la souffrance qui sont devenues mes enseignantes. L’inconfort de mon corps était tel que j’ai appris à voyager dans d’autres dimensions de l’être où mon corps ne me pesait plus. J’ai appris également à apprécier la solitude, la méditation, la contemplation et à vivre la philosophie de l’acceptation, avec laquelle vient une compréhension de ce que vivent les autres.

La plupart des chamans à travers le monde le sont devenus après une expérience de mort «temporaire » ou une maladie grave. Il est parfois très difficile d’être reconnaissant d’un handicap. Je me souviendrai toujours des prisonniers amérindiens que j’ai accompagnés en tant que conseiller spirituel dans une prison de haute sécurité. Ils ont dû apprendre à être reconnaissants d’être en prison. Cela leur a pris beaucoup de temps, environ 5 à 6 mois, pendant lesquels j’ai dû insister pour qu’ils puissent développer en eux le sentiment de reconnaissance d’être là où ils étaient.

Tant qu’ils n’avaient pas acquis la capacité d’éprouver cette gratitude, tout restait au point mort. Mais dès que cela leur a été possible, tout a changé. Ils sont devenus productifs et ont fabriqué de l’artisanat. Ils ont même entrepris des campagnes de financement pour obtenir les matériaux nécessaires et la permission de les faire entrer dans un établissement de sécurité maximale. Ils ont fait renaître la fraternité amérindienne qui continue à œuvrer depuis ce moment important. Certains d’entre eux sont devenus des guérisseurs reconnus qui enseignent aujourd’hui la méditation et guident leurs frères vers un autre mode de vie. Ce sont d’ex-criminels, qui ont vécu dans une ambiance où la violence et le crime étaient un mode de vie. Ils ont fait un virage à 180° et leur premier pas a été la gratitude d’être là où ils étaient. Il en est de même pour un handicap.

Après la reconnaissance et la gratitude, il est temps de générer de l’énergie pour transformer le handicap en atout. Il existe probablement autant de méthodes que d’individus….

Extrait de l’Interview de Aigle Bleu pour le magazine Sacrée Planète

Publié dans:AMERINDIENS, ENERGIES, GUERISON, POUVOIR |on 25 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

La peur de la souffrance

 

La souffranceUne partie de notre être se rebellera toujours contre la souffrance physique ou morale car nous sommes de simples êtres humains qui aimons la vie et le bonheur.

Nous ne pouvons assumer la peur de la souffrance qu’en fonction de l’amour que nous portons aux autres. Comme une mère qui par amour de son enfant n’a pas peur d’affronter mille dangers pour le sauver. De même celui qui pense aux autres, celui qui se dévoue pour un noble idéal, pour servir la volonté divine, celui-là n’a pas peur pour lui-même. Il peut tout, et souvent fortifié par la foi et la justesse de sa cause, il devient inébranlable.

Si par l’offrande de notre souffrance personnelle nous savons que nous pouvons soulager celle des autres êtres, nous l’accepterons et malgré elle nous aurons une sorte de certitude, sinon de joie, qui justifiera encore notre vie ; et peut-être qu’il est possible d’être à la fois joyeux et souffrant en même temps à deux niveaux de conscience différents. Comme une mère qui souffre en mettant au monde son enfant et pourtant reste joyeuse.

La souffrance que nous craignons tous reste, l’instructeur dont nous avons besoin pour comprendre celle des autres et ne pas rester insensible dans notre égoïsme. C’est en faisant dans son corps l’expérience de la maladie que l’on s’aperçoit combien on était heureux avant sans le savoir et que l’on peut être amené plus tard à vouloir aider les autres.

La souffrance est le moteur essentiel de toute progression spirituelle. Beaucoup de grands saints l’ont affirmé en disant à la fin de leur vie : « Ce qu’il faut c’est toujours assumer plus de souffrance par amour des autres. »

Chacun a un type de peur à surmonter pour donner un sens à sa vie et avancer sur son chemin. Il est normal d’avoir peur, car même les saints ou les êtres réalisés ont eu peur dans leur vie. Il faudrait être complètement insensible pour ne pas connaître la peur.

La vie est une grande aventure où parfois nous connaissons de nombreux déboires. Mais il ne faut pas avoir peur de l’échec, car ce sont ceux-ci qui nous instruisent et nous enrichissent.

Savoir réfléchir calmement, accepter la vérité et recommencer immédiatement à partir de son expérience acquise, c’est se prémunir de la peur de l’échec et augmenter sa confiance en soi.

Notre vie est le reflet de notre maturité intérieure, et il convient donc de toujours travailler sur soi. Celui qui prend conscience de la présence du Bouddha en lui et dans l’univers ne perd jamais confiance ni courage. Celui-là il peut faire face car il croit en son destin. La vie devient pour lui une grande aventure joyeuse, le Jeu de Dieu, où l’incertitude joue au contraire le rôle d’un stimulant.

Plus nous descendons profondément en nous-même et plus la richesse de nos découvertes nous permet d’affronter des problèmes difficiles comme la souffrance physique, la maladie, la vieillesse et la mort. La vraie spiritualité doit permettre d’accepter ou de vivre différemment la souffrance. D’ailleurs celle-ci peut être l’occasion d’un éveil spirituel, certains ayant beaucoup souffert physiquement ou moralement n’ont pu assumer leur vie qu’en se tournant vers leur être intérieur.

Docteur Billaud et Révérend Yukaï sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:GUERISON, PEUR, POUVOIR |on 24 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

N’ayez pas peur du Noir

 

Alors que nous célébrons la deuxième récolte de Mabon et sentons l’air se rafraichir, nous commençons à peine à réaliser que l’été disparaît lentement pour laisser place à la saison sombre de l’année. Pour certains d’entre nous, c’est le temps de l’euphorie, où nous dansons à Samain avec la vraie nature de l’obscurité et nous nous préparons à vivre ce cadeau que représentent les fêtes de fin d’année quelques semaines plus tard. Ceux qui aiment les sports d’hiver et autres activités par temps froid passent à la vitesse supérieure et entrent dans un rythme effréné d’activités diverses.

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Cependant, pour beaucoup, la saison sombre de l’année représente un défi, non seulement pour les païens, mais aussi pour la société en général. En cette période de l’année, la détresse est si répandue que nous avons fini par légitimer les maladies et troubles actuels, tels que la dépression saisonnière, liée au manque de lumière survenant pendant les mois d’hiver. Les taux de suicide augmentent, particulièrement pendant les fêtes. Le stress lié aux attentes explicites et implicites, conjugué à la frustration face à des objectifs non atteints, peut davantage nous entraîner vers l’obscurité que vers la lumière. Même l’optimisme se dégageant des bonnes résolutions de Nouvel An est généralement de courte durée, et apporte sa propre contribution à cette période de désarroi dont peut s’imprégner un moment de l’année qui n’est objectivement pas plus sinistre que son homologue estival. Nous, peuple magique, résistons souvent, et ce à juste titre, à la tendance à diaboliser l’obscurité et à la confondre avec le mal. Même les enfants ont souvent une peur innée de l’obscurité.

Dans beaucoup de grandes religions, on entend associer «bon» à la «lumière», et «mauvais» à l’«obscurité». Nous soupirons et exposons la vérité au sujet de la magie «noire» et «blanche». Nous écoutons d’adorables novices expliquer qu’ils s’entourent d’une lumière blanche pour se protéger et chasser l’obscurité, ce qui est efficace certes. Mais cela l’est d’autant plus si l’obscurité est utilisée en tandem, pour sa capacité à effectivement absorber et neutraliser l’énergie négative, plutôt que de simplement la repousser.

Nous brandissons sans crainte le symbole du yin et du yang et sommes pleins de bon sens lorsque nous nous exprimons sur la nécessité et l’égalité des deux énergies, ainsi que sur ce point minuscule provenant de chacune d’elles et résidant dans le cœur de l’autre. Nous expliquons à nos étudiants que, pour marcher dans la lumière, nous devons comprendre l’obscurité, non seulement dans le monde et dans la magie, mais aussi en nous-mêmes. L’obscurité étant même parfois diabolisée par nos propres pratiques, n’est-il pas étonnant que la saison sombre soit un endroit effrayant ? Pendant des milliers d’années, la plupart des sociétés étaient basées sur l’agriculture; les villages s’organisaient autour du cycle des saisons et de la lune.

Ces deux forces célestes indiquaient la période à laquelle il fallait planter, récolter, réformer les troupeaux et, moment tout aussi important, laisser la terre en jachère. Il était peu probable que les difficultés psychologiques auxquelles beaucoup de gens sont actuellement confrontés pendant la saison sombre, surgissaient lorsque nous étions si attentifs aux cycles naturels. A Samain, nos ancêtres honoraient non seulement la mort de ceux qui partaient avant eux, mais aussi la mort de la récolte. On pensait que les cultures laissées dans les champs le 1er Novembre étaient touchées par le Trickster, un esprit malin et farceur, ainsi empoisonnées et impropres à la consommation. Nous savons, et probablement nos ancêtres le savaient tout autant, que les cultures laissées sur pied le 1er Novembre ne sont pas différentes de celles qui s’y trouvaient la veille. Mais nos ancêtres comprenaient aussi que l’homme a besoin de cycles.

De même que nous avons besoin de l’effervescence de la période de récolte, de même, nous avons besoin de calme et d’introspection pendant l’obscurité de l’année. Samain leur donnait une ligne de conduite bien définie, afin de respecter la transition vers la saison sombre. Ils étaient également encouragés à «battre le fer pendant qu’il est encore chaud», en faisant les foins et en s’efforçant de terminer les travaux de récolte tant que le soleil brillait. Samain leur a donné un enseignement; et si nous laissons son influence entrer pleinement dans nos vies, il nous montre quand vient le moment.

Il nous montre la délimitation entre la saison claire et la saison sombre de l’année. Il nous apprend à cesser de vouloir obtenir de l’Univers et à renoncer aux attentes et surtout, à modifier notre définition de la réussite et de la productivité pendant quelques mois. Durant cette période active de récolte, nous travaillons dur. Cela vaut parfois aussi bien pour les authentiques agriculteurs que pour ceux qui ne le sont pas littéralement, mais qui «cultivent» des objectifs dans leur vie et pendant l’année.

Durant la saison claire, les heures d’ensoleillement sont plus longues et le temps est plus clément, de sorte que nous augmentons naturellement nos heures productives et connaissons des périodes de travail actif plus longues. Lorsque les jours raccourcissent, nous pouvons sentir que notre corps a grandement besoin de repos et de calme. Avec la baisse des températures et de la lumière sur cette partie de la terre, même la nature nous conseille de rester à l’intérieur.

Dans cette optique, Il nous enseigne à accepter «ce qui est» et nous encourage à pleurer nos pertes, à admettre que ce que nous avons et qui nous sommes à l’instant pré- sent, est suffisant. Samain nous dit de renoncer à vouloir et convoiter des résultats et de laisser nos champs se reposer pendant un moment, le temps de nous adapter et de nous recentrer.

Malheureusement, la plupart d’entre nous ne menons pas une vie qui puisse accueillir sans difficultés une baisse de la productivité au cours de la saison sombre. Nous occupons en général des emplois exigeant le même résultat en hiver qu’en été. Nous créons un éclairage artificiel pour étendre nos journées de travail durant la nuit. Nous buvons des boissons énergisantes pour rester éveillés plus longtemps et du café pour nous réveiller plus tôt.

Dans de nombreuses sociétés de pays industrialisés, les expressions «allez, allez, allez» et «produire, produire, produire» reflètent ni plus ni moins un comportement considéré comme acceptable pour les adultes. Mon point de vue est qu’il est temps pour nous de redécouvrir l’obscurité et les dons qu’elle nous apporte. Même avec les exigences de la vie moderne auxquelles nous faisons face, nous pouvons apporter des changements subtils afin d’accueillir la saison sombre et de créer une alliance, nous permettant d’en tirer plein avantage. Comme peuvent vous le dire tous ceux qui ont déjà arpenté chaque recoin de leur esprit, l’obscurité a de la valeur et c’est en fait l’endroit où l’on apprend les meilleures leçons.

lumière

En tant que peuple magique, il est adroit de nous plonger dans l’obscurité de l’année et de travailler sur sa progression naturelle; mais cela est presque obligatoire. Alors que nous progressons vers la sagesse et développons notre énergie, nous gravitons naturellement ou sommes amenés à explorer complètement la lumière et l’obscurité dans toute leur gloire et tous leurs aspects. Les saisons sont tout simplement une représentation naturelle, fournissant des aspects distincts d’un même décor, dans lequel nous pouvons repousser nos limites et en apprendre davantage sur ces concepts.

Caractérisée par la planification et la contemplation calme : où nous en sommes et où nous voulons être. Tout comme les agriculteurs profitaient de cette période pour planifier les récoltes de l’année suivante, nous pouvons sérieusement évaluer ce qui doit changer dans nos vies et comment nous pouvons devenir de meilleures personnes ainsi que des représentations plus fortes des Dieux et des Déesses sur terre. Nous pouvons arriver à mieux nous connaître, en retirant les masques et les étiquettes que nous portons et en prenant conscience de notre Moi authentique.

Quels que soient les moyens que nous prenons pour rester reliés et en contact avec qui nous sommes réellement, les exigences et les frustrations du monde extérieur vont inévitablement nous distraire de temps en temps. La saison sombre est un moment idéal pour redéfinir qui nous sommes réellement et ce que nous représentons dans ce monde. Comment changeriez-vous votre vie pour honorer et accueillir la saison sombre ? La plupart des païens ont deux méthodes de prédilection de transition énergétique : les rituels, et brûler des choses, de préférence en conjonction l’un avec l’autre.

Notre Moi supérieur répond très favorablement au rituel, car il est un terrain d’entente parfaite pour la communication entre le Moi supérieur et le Moi conscient. Ritualiser la transition entre la saison claire et sombre de l’année permet à notre esprit, corps et âme de reconnaître le changement naturel et de faciliter le changement.

En revanche, ignorer le changement et agir comme si toute l’année avait la même saveur et le même objectif peut totalement détraquer nos processus énergétiques. Concrètement, afin de tirer le meilleur parti de la saison sombre, nous devons tenir compte de ce que nos ancêtres faisaient, car ce message est profondément ancré dans notre ADN et notre conscience collective. Une fois les dernières céréales récoltées et les champs brûlés pour l’année, le travail principal de la récolte s’achevait.

Tout au long du processus de récolte, la nourriture était «entreposée» au moyen de procédés tels que la mise en conserve et le stockage dans les silos. Quand ce travail était terminé, la moisson s’achevait et la vie changeait considérablement. En aucun cas la ferme n’était laissée en veille pour le reste de l’année. Il fallait encore s’occuper des animaux, préparer les repas, faire des réparations; mais l’énergie était orientée vers un autre type de productivité. Les hommes allaient à la chasse pour la viande, en complément de la récolte.

Les femmes ne travaillaient plus dans les champs avec leurs familles, mais s’adonnaient plutôt au tissage et à la création. Étant donné que la lumière diminuait, les gens dormaient plus, se levaient plus tard et allaient au lit plus tôt. Le froid réunissait les familles autour du feu, pour partager des histoires et souvent dormir ensemble pour se tenir chaud. Tout ce processus créait un sentiment de solidarité et renforçait les liens familiaux. C’était un temps où l’on partageait et apprenait les uns des autres.

S’adapter aux conditions naturelles de cette précieuse période de l’année est plus facile que la plupart des gens ne l’imaginent. L’instinct automatique est d’insister sur le fait que tout ce que nous faisons est vraiment essentiel et que nous ne pourrions pas prendre le temps de ralentir. Souvent, c’est notre ego qui parle et cache la réalité. Il y a toujours de la place pour créer une marge de manœuvre, laisser pénétrer le calme et renoncer aux activités inutiles. La première fois que j’ai travaillé sur cette période d’adaptation, j’étais mère célibataire avec quatre enfants et trois emplois, dont l’un était à temps plein. Je correspondais parfaitement à la définition d’une personne surchargée, surmenée, trop stressée, et débordée.

Je cherchais les moindres petits moments où je pouvais être calme. Je m’asseyais même dans les toilettes et respirais, laissant mon esprit ralentir en imaginant que je marchais dans l’obscurité. Quand la nuit, j’allais enfin me coucher, je me mettais en état de méditation, laissant mon esprit s’ouvrir aux leçons de l’obscurité et prenant le temps d’inspirer, d’expirer, et de sentir le calme se propager en moi. Même les plus petits moments de silence mis bout à bout peuvent nous aider à passer vers l’obscurité de manière efficace.

Laissez Samain vous montrer qu’il est temps de :

- Lire des livres

- Passer du temps avec la famille et les amis

- Explorer vos centres d’intérêts créatifs

 - Calmer consciemment les pensées et se détendre.

Cela peut souvent devenir tout un processus, car nous ne sommes pas habitués à le faire. – Boire des boissons chaudes et non stimulantes. – Prendre le temps de se reposer et de se remettre du stress de l’année. – Dire «non» aux activités et invitations ne favorisant pas le repos et la paix. Rationaliser votre calendrier et éliminer les activités qui ne sont pas essentielles.

- Écouter et redécouvrir votre musique préférée.

- Nettoyer et dégager votre espace de vie et décorer selon l’énergie de la saison, afin de fournir des repères visuels pour la transition énergétique.

- Vous entourer de symboles évoquant la saison et faisant appel à vos sens, tels que des huiles essentielles et encens, un autel, des aide-mémoires, des changements dans les choix musicaux, des produits frais de saison.

Lorsque vous célébrerez Samain cette année, outre vos autres centres d’intérêt, prenez le temps d’accueillir l’obscurité et les enseignements qu’elle vous apporte. Remerciez la saison claire et tout ce qu’elle vous a donné. Demandez aux Sages de votre choix de vous guider à travers les leçons de l’Obscurité et ouvrez-vous à sa sagesse.

Écrivez sur un bout de papier, un ruban ou des feuilles de maïs ce que vous voulez libérer du passé et brûlez-le afin de vous diriger nu et sans entraves vers la saison sombre. Dites à votre Moi supérieur que de suivre le courant naturel est sans danger, et que vous honorerez le besoin d’entrer dans l’obscurité pour y trouver ce qui est là pour vous. Accordez-vous une période de jachère pendant les six semaines séparant Samain du solstice d’hiver.

N’hésitez pas à rejeter toute activité inutile, allant même jusqu’à informer vos amis proches et la famille que vous avez besoin d’un congé. Faites aussi peu que possible et résistez à l’envie de planifier, de vous préoccuper, ou d’anticiper. Bien sûr, vous avez encore des obligations et vous devez les honorer, mais faites un sérieux bilan de votre investissement en temps et énergie et déterminez ce que vous pouvez réduire. Faites le strict minimum et refusez toute autre activité en surcroît de ce que vous devez déjà absolument faire. Lorsque le solstice d’hiver arrivera, laissez cette étincelle de lumière retourner vers le ciel et enflammer vos objectifs et vos aspirations pour l’année. Ré- fléchissez sur l’année de récolte précédente et sur ce que vous avez manifesté dans votre vie et imaginez ce à quoi vous voulez que votre vie ressemble le 1er Novembre de l’année prochaine. Ne vous laissez pas préoccuper par la façon dont ces changements vont se produire. Rêvez simplement et écrivez-le. Faites une liste que vous garderez et une liste que vous brûlerez en offrande au Dieu et à la Déesse, tel un testament pour l’année. Il n’y a pas besoin de planifier le voyage. Pour l’instant, vous êtes en train de créer la destination.

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Trouvez des moments de méditation pendant la journée ; profitez-en pour explorer les coins sombres en vous-même et engager le dialogue avec vos propres démons. Explorez doucement les entraves que vous créez à votre propre succès et trouvez le moyen d’améliorer vos relations ainsi que d’autres processus personnels.

Trouvez les mensonges que vous vous dites et objectivez-les jusqu’à ce que vous trouviez la vérité. Profitez de ce temps pour vous remémorer de vieilles expériences que vous percevez comme des échecs et commencez à les considérer comme des leçons essentielles de votre vie.

Observez avec du recul le travail des Dieux dans votre vie et voyez comme la sagesse et le don (même la trahison!) ont été créés dans l’adversité. Honorez vos forces et pardonnez vos faiblesses, en sachant que vous resterez maître de leur emploi l’année prochaine. L’hiver peut être un endroit très sûr et agréable lorsqu’il est correctement utilisé. Trouvez votre «rythme d’hiver» et portez-le jusqu’à l’équinoxe de printemps, lorsque la partie active de l’année recommencera. Votre chi vous remerciera.

par Katrina Rasbold, traduit par Catherine

(Magazine Lune Bleue/ LWE) et le lien : http://la-lwe.bbfr.net .

Publié dans:LUMIERE, MULTIDIMENSIONNALITE, PEUR, POUVOIR |on 6 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Dissoudre la souveraineté de l’égo et Donner la pouvoir à notre Divinité

Le 8 / 8 / 8 (le 8 août 2015) et la Mi-Août

inner vision

Depuis 2012, Nous progressons à la vitesse de la Lumière Les temps sont extrêmement bouleversants et à la fois immensément transformateurs. Grâce à tout le travail accompli depuis des années par les Artisans de Lumière, les Royaumes Célestes ont pu mettre en place d’autres plans divins qui permettent à l’Humanité de faire des bonds en avant vers sa Vérité Divine. Désormais, tout avance très, très vite et ce que nous traversons n’a jamais été expérimenté par l’Humanité. Depuis le portail 2012, nous sommes passés à un tout autre degré de conscience, même si le monde extérieur semble encore refléter tant de chaos. Nous sommes au cœur d’un processus de transformation colossal. Les 3 dernières années, nous avons grandement progressé.

2015 nous a offert des opportunités d’éveil au-delà de ce que nous pouvions imaginer et ce n’est pas fini. En effet, les Eclipses et le solstice (2015) ont été très puissants, provoquant des mutations cellulaires et bien d’autres formes de modifications. La Lumière que nous expérimentons maintenant est très intense et les Maîtres ont précisé que s’ils avaient dû déverser cette même lumière avant 2012, cela aurait très, très dur, voire même insoutenable pour une grande partie de l’Humanité.

Nos Présences Je Suis ont accéléré la vibration en nos cellules, nos atomes, nos électrons et nos ADN au plus haut degré de ce que nous pouvions tolérer. Cela a causé beaucoup de stress à tout niveau mais cela fait partie de la bascule. Nous savions que nous aurions à faire l’expérience de cette difficile métamorphose.. Nous avançons encore vers des événements très importants. Des millions de personnes le savent et sont réceptives à ces fabuleuses bascules. Le travail entrepris ces 50 dernières années nous a permis d’intégrer les fréquences de la Quatrième Dimension et nous savons tous que cela nous a obligé à faire face à de nombreuses épreuves. Il fallait vivre ce travail d’épuration, de recalibrage pour passer à l’étape suivante, celle d’intégrer enfin les énergies de la Cinquième Dimension.

« Pulvériser » l’ego par la lumière afin qu’il perde son emprise Depuis l’anniversaire de la Convergence Harmonique (Aout 1987), il y a 29 ans, Les Royaumes Célestes ont fait le bilan du chemin parcouru et ont minutieusement considéré comment ils pouvaient mettre à profit les très belles énergies que nous avons émises. Toute forme d’expression lumineuse a été capturée par les Maîtres (contemplation, prière, méditation, travail sur soi, compassion, générosité,..). Après toutes ces observations, les Maîtres ont fait le choix de tout mettre en œuvre pour « pulvériser » l’égrégore créé depuis trop longtemps par nos egos. L’ego a pris les commandes depuis des milliers d’années empêchant l’accès à notre héritage Divin. Parce que l’humanité a atteint une certaine masse critique, il est alors possible d’inverser ce processus de terrible domination.

L’Ascension ne peut avoir lieu tant que nous sommes encore sous le joug de cet ego qui n’est que l’expression d’une terrible absence d’Amour. Excessivement insidieux, l’ego nous freine dans notre évolution car il nous replonge en permanence dans nos peurs, nos comportements erronés et nos croyances ennemies. Il nous pousse, depuis la nuit des temps, sur les rivages de plaisirs médiocres et sur les terres de l’égoïsme, comme si cette incarnation avait pour unique objectif, celui de satisfaire nos sens. L’ego nous a fait dériver très loin dans l’ignominie et a conduit la Terre à son douloureux désordre actuel. L’ego nous a fait croire que le monde physique était la seule réalité. Dès lors et depuis longtemps, les combats ont été menés entre notre Divinité et notre ego. Une fois que la cristallisation de l’ego est « pulvérisée », les Présences Divines de chaque homme, femme, enfant de la planète, vont pouvoir, au fur et à mesure, tenir les rênes de notre destinée. Les particules de cet ego étant dispersées, elles ne pourront exercer cette forte emprise et petit à petit, disloquées, les vibrations de l’ego ne pourront reprendre leur pouvoir. Beaucoup pensent encore qu’il faut combattre l’ego, ce qui est une erreur car cela nous ramène à vivre la dualité entre le bien et le mal, le beau et le laid, le gentil et le méchant.

 Ainsi, nous nous épuisons à vouloir dominer une énergie qui connaît nos failles et qui sait très bien s’en servir. Je le redis : l’ego est vraiment l’expression de l’absence d’Amour… Nous devons nous rappeler que nous avons été tout ce que nous pouvons imaginer. Et toutes ces incarnations avaient pour but de corriger et de redonner les commandes à Notre Présence Divine.

L’emprise de l’Ego a été telle que nous avons éprouvé beaucoup, beaucoup de difficultés à nous souvenir et à nous unir à notre Puissance Divine. Cependant, on ne peut pas tuer l’ego, ce n’est pas ainsi que cela fonctionne. Nous n’avons pas compris cet ego, pas plus que nous avons su l’aimer. Nous n’avions pas les clefs pour le faire taire. L’ego a manipulé le monde et le monde de chacun..

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Notre travail n’est pas de le tuer mais de le dissoudre ! Cet ego a pris une telle « place » qu’il nous faut l’intervention de nos Frères et Sœurs de Lumière pour qu’il s’évapore pour toujours. C’est ce que nous vivons en ce mois d’Août : fragmenter l’ego, pour le neutraliser et le rendre inoffensif.. C’est le moment, car nous avons franchi d’importants paliers vibratoires. Et parce que nous avons la connaissance de qui nous Sommes, parce que nous oeuvrons avec Nos Présences JE SUIS, cette étape cruciale peut être enfin vécue par l’Humanité. Si les énergies cosmiques « pulvérisent » l’ego, notre travail consiste en parallèle à aimer toutes ces parties de nous-mêmes afin de les apprivoiser.

Réinitialiser nos quatre corps : Pour se faire, La Présence Je suis doit également ré-initialiser nos 4 corps afin que l’ego ne puisse plus avoir une telle emprise comme cela a été le cas depuis des éons. En effet, les Eléments qui nous constituent ont dû servir notre ego et aujourd’hui, ils vont enfin pouvoir être davantage au service de Notre Présence Divine.

Nous sommes des êtres Elémentaux car nous sommes constitués d’Eau, de Feu, de Terre et d’Air. Les Elémentaux vont donc participer à cette « pulvérisation ».

Les Elémentaux effectuent un travail colossal pour nous permettre de vivre, à tous les nouveaux. Dans un premier temps, ces précieux Elémentaux devaient manifester nos belles co-créations. Sauf que nous avons oublié que nous coopérions avec eux. Ces Elémentaux ont des ancrages dans nos corps physiques et ces « vortex », reliés au pouvoir des Elémentaux, vont être enfin véritablement réactivés. Ceci va favoriser une fabuleuse restauration de nos 4 corps physiques. Il suffit de demander à notre Présence JE SUIS, à notre Père/Mère Divin ainsi qu’à nos Elémentaux qui nous servent de guérir ces centres fondamentaux.

Il est bon de comprendre que tout cela se produit d’abord dans le monde de la cause pour se manifester ensuite dans le monde de la forme. Cette passation de pouvoir est subtilement orchestrée par notre Présence JE SUIS.

Les Maîtres nous confirment que rien ne peut stopper le processus. En revanche, la rapidité de la manifestation dépend du travail de chacun. Le travail reste à faire. Le portail du Lion Tous les 8 Août, certains initiés célèbrent depuis fort longtemps ce que l’on appelle « Le Portail du Lion ». En effet, un alignement solaire se produit au niveau de la galaxie. Les soleils au-delà des soleils s’alignent avec le centre de la galaxie ce qui crée un Vortex d’une immense puissance. Physiquement, ce portail se situe en Egypte où se trouvent les pyramides et le Sphinx mais la zone est bien plus vaste. (cela commence le 26 juillet et se prolonge jusqu’au 12 Aout).

Cette poussée énergétique a commencé le 22 Juillet, jour consacré à Marie-Madeleine, cette date amorce le signe du Lion. L’énergie s’est accrue jusqu’au 8 Aout. Le 8 symbolise : « Ce qui est en bas est comme ce qui est en haut ». Ainsi les royaumes dans Haut et le royaume physique (la Terre) se relient, unissant l’esprit et le cœur. Symbole de l’infini, le 8 connecte dans notre cerveau les deux hé- misphères (gauche : le masculin et droit : le féminin).

Cette année, le jour 8/8/8, a connu un gigantesque influx de lumière, lequel se poursuivra jusqu’au 20/8/2105. Ces dates avaient été prédites depuis bien longtemps. Il existe de nombreuses représentations sur lesquelles figurent deux têtes de lion (représentant le passé et le présent) et au milieu se tient un portail symbolisant l’instant pré- sent. C’est intéressant d’observer la mobilisation planétaire qu’il y a eu pour le Lion Cecil. L’histoire de ce lion a touché des millions de personnes. Cette compassion globale a créé une force de lumière qui a permis de guérir tant de blessures perpétrées au monde élémental.

Nous sommes venus sur cette magnifique Terre pour apprendre à être de puissants co-créateurs. Le Je SUIS, qui est notre empreinte unique et divine, est l’expression de notre Masculin et de notre Féminin : Je = Masculin = alpha, Suis = Féminin = oméga (le début et la fin de tout ce qui est). Les mots JE SUIS sont des mots puissants qui nous relient instantanément à notre Père/ Mère Divin. Tout ce qui suit le JE SUIS est extrêmement créateur.

Ces deux énergies mélangées donnent un magnifique Violet qui active les glandes endocrines supérieures. Ceci permet de réveiller pleinement nos chakras et particulièrement le chakra coronal qui est la passerelle qu’emprunte notre Présence JE SUIS. Quand nous avons commencé à mesurer l’énergie nous avons impacté le monde élémental qui a reflété nos co-créations souvent dépourvues de bienveillance et d’amour. Puis, très rapidement, nous avons commencé à ressentir beaucoup de douleurs et de souffrances.

LES ELEMENTAUXPour ne pas sombrer dans l’agonie nous avons « fermé » notre chakra du cœur. L’énergie du féminin (de l’amour) a été déversée alors goutte à goutte au lieu de s’écouler en abondance. Notre hémisphère droit s’est atrophié et le chakra coronal s’est comme obstrué.. Notre aspect masculin a pris le dessus, imposant une domination dépourvue de noblesse et de grandeur. Nous aurions toujours dû maintenir cette relation : « en bas comme en haut ».

 Comme cela n’a pas été le cas, nous avons utilisé notre pouvoir masculin sans la fréquence du féminin sacré. Nous avons oublié alors que nous étions divins. Notre belle conscience a chuté très bas. A partir de là, nous avons créé les horreurs que nous expérimentons depuis des éons. Nous aurions toujours dû recevoir l’assistance des Maîtres. Mais nous nous sommes servi de notre pouvoir sans utiliser le pouvoir de l’amour. Le masculin s’est alors développé sans beauté et sans révérence.

C’est ainsi que l’ego a vu le jour. Qu’importe que nous ayons été des hommes ou des femmes, dans tous les cas, cette absence d’amour a conduit l’humanité à ce terrible naufrage. Avant 2012, les prophéties annonçaient la venue d’un nouvel âge. Cet âge de lumière ne peut s’imposer sans le retour du féminin sacré (l’Amour Inconditionnel) et sans la dissolution de l’ego. Les électrons qui ont été mal utilisés attendent depuis des éons ce moment de réparation.

Ce 8/8/8 a permis la reconstruction de ces centres, puis la pulvérisation de notre ego, vont entrainer une extraordinaire mutation (transfiguration). Ce travail se poursuivra jusqu’aux éclipses de septembre 2015. Grâce à tout cela, La Présence JE SUIS va reprendre sa souveraineté. Elle attend ce moment depuis la chute. C’est au-delà de notre compréhension, voilà le travail de ce mois d’Août. C’est une réparation que nous attendons depuis si longtemps…. Le temps est venu de créer la Vie que nous désirons au plus profond. Et attention car : dès lors que nous prononçons JE SUIS, nous devons exprimer une immense vigilance et une impeccabilité, car ce qui est verbalisé se manifeste toujours.

Inspiré par Patricia Cota-Roblès Ecrit par Dominique-Claire Germain

http ://www.dominique-claire-germain.com  

Le processus de transition vers la Lumière est progressif

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La Terre subit depuis quelques années une modification qualitative et quantitative de son champ magnétique. Son taux vibratoire augmente et, parce qu’elle est un système vivant d’énergie en mouvement, tous ceux qui vivent à l’intérieur de son champ magnétique expérimentent cette augmentation fréquentielle, avec plus ou moins de conscience.

Le processus de transition vers la Lumière est progressif. Nous ne sommes pas matière un jour et pure Lumière le lendemain. Nos champs énergétiques sont baignés de Lumière et réalignés progressivement. La création du Corps de Lumière (Merkabah) est due au processus naturel de transition de la Terre et n’est pas une expérience ou un processus facultatif. Le Corps de Lumière se crée graduellement par la transmutation de notre corps physique qui se transforme et absorbe davantage de Lumière. Ceci est directement lié au réalignement de nos champs énergétiques sur les fréquences et octaves les plus élevés de la Lumière. Chacun évolue et absorbe la Lumière à son rythme. Certains travaillent consciemment avec ces changements et accélèrent leur transformation tandis que d’autres, qui n’ont pas conscience qu’ils absorbent cette lumière, présentent des changements en liaison avec celui de la planète.

PROCESSUS D’ASCENSION

 Au début, d’importants changements se produisent dans le cerveau ainsi que dans les échanges chimiques et électromagnétiques des corps subtils. Le corps mental commence à s’aligner sur l’Esprit, les rêves s’éclaircissent de plus en plus. Les processus de pensée ne sont plus linéaires, l’Etre oscille entre la Connaissance et le doute. A la suite de cela, nous attirons des Etres de même essence que nous afin de nous soutenir mutuellement et de stimuler notre croissance. Nous nous posons de vraies questions. Notre processus mental et notre manière de nous identifier aux autres et à nous-même changent rapidement. Cette ré-évaluation peut être inconfortable mais nous sentons qu’elle doit être opérée. Nous observons nos relations, travail, environnement, style de vie et constatons que des changements s’imposent. C’est le moment de lâcher prise et d’aller de l’avant. Nous changeons bien souvent d’amis. Tout semble en état de changement continuel mais nous nous sentons plus légers, plus vastes et plus libres, d’une certaine façon. Nous découvrons nos sens intérieurs. La clairvoyance, la clair-audience, le clair-senti nous semblent peu à peu naturels.

Ensuite, le chakra du cœur s’ouvre davantage. Nous nous libérons de nos blocages, de nos vieux schémas et d nos bagages émotionnels. Nous nous sentons plus alignés avec chaque moment, plus présents. L’Etre s’exprime en profondeur et honore ses sentiments. Il n’y a plus de place pour le reniement, pour la négation de nous-mêmes, à aucun niveau. Nous commençons à perdre notre attachement émotionnel aux autres.

A ce moment-là, la peur disparaît car les champs énergétiques de tous les corps sont réalignés à partir du cœur. Lorsque la glande pinéale est totalement ouverte, nous connaissons une expérience multidimensionnelle et, pourtant, la dualité semble augmenter à mesure que nous la quittons. Certains jours, nous nous sentons connectés et joyeux ; d’autres, nous sommes comme terrassés par la peur et empêtrés dans des problèmes de survie. Les énergies en provenance de la Source – neutres par nature – amplifient en effet toutes nos parts en même temps, lumière sombre comme lumière divine. Nos ombres ont alors à être pleinement accueillies et transmutées.

Puis nous voyons le Maitre en nous et souhaitons, d’une manière pure, nous placer au service. Nous abandonnons notre fonctionnement en « mode de sauvetage » en faveur du désir de servir la Volonté Divine. Les glandes pinéales et pituitaire changent de forme. Nous commençons à être branchés sur le secteur des langages de Lumière. Les glandes pituitaires et pinéales s’ouvrent complètement et travaillent ensemble à créer « l’Arc de l’Alliance », un arc en ciel lumineux qui se courbe depuis le sommet de la tête jusqu’au troisième oeil et qui sert de décodeur au langage des dimensions supérieures.

De nouveau, nous devenons plus conscients de l’immensité et de l’aspect multidimensionnel de notre nature, du fait que nous pouvons être tout ce que nous voulons. Nous arrêtons d’agir par obligation. Nous prononçons des paroles qui viennent de notre cœur, de notre âme. Nous agissons depuis un niveau de sérénité profond avec une sensibilité élevée et une conscience qui s’est déjà établie et transformée.

Notre corps physique change de forme car les champs énergétiques bougent. Nous nous sentons intimement reliés partout à tous les êtres et moins connectés avec les opinions des autres. nous relâchons le désir et l’énergie de soutenir le jeu de la séparation et de la limitation et nous nous sentons véritablement libres. On observe alors une descente massive du Corps de Lumière dans le corps physique. Nous commençons à nous en remettre à l’Esprit et à devenir véritablement instruments du Divin.

C’est la dissolution de l’ego. Faire ce dernier bond peut être effrayant, même si nous avons cheminé des siècles et des siècles pour atteindre ce point. On peut avancer et reculer, en se cramponnant à nos anciennes zones de confort avant de lâcher complètement. Aucune marche arrière n’est cependant possible et tout doit être libéré. Nous réalisons que tout en étant réel, le libre-arbitre est aussi une illusion dont le seul but est en définitive de nous permettre de ne faire qu’Un avec l’Esprit. Les peurs liées à la survie disparaissent, dissoutes dans l’Ici et Maintenant.

A partir de maintenant, la Lumière intérieure irradie considérablement. Nous nous sentons intensément enracinés, connectés, centrés utiles et désirant uniquement servir. Ainsi continuellement reliés nous agissons guidés par notre Présence divine. Notre intention – somme de notre volonté, de notre conscience et de notre intensité – vis toujours ce qu’il y a de plus élevé.

Nous ne faisons qu’un avec la Source de la Conscience et nous savons que tout est possible. Notre ADN ne se compose plus seulement de 2 brins mais de 12. Notre Merkabah est construit et nous permet de traverser l’espace, le temps et les dimensions, dans notre entièreté. Il a sa propre conscience et nous la dirigeons.

Tous les niveaux du Corps de Lumière ont été construits, activés et sont reliés à notre corps physique par des « points rotatifs ». Ces matrices lumineuses s’alignent le long des méridiens physiques d’acupuncture et forment des lignes de lumière s’entrecroisant dans des figures géométriques. C’est un nouveau système de circulation de lumière dans la 5ème dimension. La régénération cellulaire est accomplie. Notre temps n’est plus linéaire mais simultané. Passé, présent et futur coexistent e parallèle.

C’est la continuation de la Création et de l’implantation du Système du Nouveau Monde, en association avec d’autres initiés donnant vie à de nouveaux gouvernements, un nouveau système financier, un nouveau système d’éducation, une meilleure répartition de la nourriture et des ressources, etc…

Lors de l’étape finale, le paramètrage de la planète est redéfini afin que tout existe dans la joie, l’égalité et l’harmonie. La Terre entre dans la Lumière, sort de cette dimension et est élevée dans un système à plusieurs soleils où chaque Etre possède un Corps de Lumière et suit l’Esprit en totale maîtrise. Toutes les réalités parallèle sont redessinées et réabsorbées par l’Esprit. Chacun a aligné sa volonté sur le Divin. L’Ascension est accomplie.

Par  Grégory Mutombo -  

Site à consulter : http://www.lasymphoniedesames.com/gregory_mutombo.html

L’AMOUR INCONDITIONNEL

 

NamastéTu es unique, différent de toutes les autres, incomparable.

Sans réserve ni hésitation, je t’accueille comme tu es, sans une pensée ou une parole de jugement. Je ne vois aucune erreur ni faute dans tout ce que tu dis, accomplis, ressens ou crois, car j’ai conscience que tu fais ce que tu crois être bon pour toi.

Je ne peux observer la vie à travers tes yeux ni la comprendre à travers ton cœur. Alors, même si j’ai déjà foulé un chemin qui ressemble à celui que tu empruntes aujourd’hui, je reconnais toute la valeur de ton point de vue unique.

Je te vois comme une parcelle de la Conscience Infinie, du Tout, cherchant à trouver sa propre façon de s’unir à elle-même et au monde.

Sans réserve ni hésitation, je te laisse libre de chaque choix afin que tu puisses apprendre de la façon qui te paraît appropriée. Je ne peux savoir ce qui est mieux pour toi, ce qui est juste ou ce dont tu as besoin sauf si, à ta demande et en accord avec ton âme, je recherche dans tes archives subtiles ce que tu as chois d’apprendre, comment tu as choisi de l’apprendre, avec qui et pendant quelle période de temps. Sache que, seul, si tu fais silence et écoutes ta voix intérieure, tu pourras obtenir les mêmes réponses.

Sans réserve ni hésitation, j’accueille les choix que tu fais à chaque instant. Je n’émets aucune opinion à e sujet car je sais qu’avent de songer à retrouver l’unité, il te faut expérimenter toutes les facettes de la dualité. Avec humilité, je m’incline devant le constat que le chemin que je pense être le meilleur pour moi n’est pas forcément le meilleur pour toi. Je sais que ma vérité n’est pas ta vérité ni la vérité. Je sais que tu es guidé comme je le suis, que mes guides n’ont pas la voix qui porte plus que les tiens, amis simplement que j’ai appris à davantage tendre l’oreille vers eux.

Je te remercie de dévoiler auprès de moi tes blessures, tes souffrances et tes peurs qui, parce qu’elles font parfois encore écho en moi, me permettent aussi d’identifier et guérir les miennes.

L’amour que je te porte est sans attente, sans objectif et sans esprit de retour. Je connais ce lieu en toi où tout l’univers réside. Je connais ce lien en toi qui est Amour, Paix et Vérité. Et je connais ce lieu où, si tu es dans ce lieu en toi et moi dans ce lieu en moi, alors toi et moi ne sommes plus qu’UN.

SOURCE http://www.lasymphoniedesames.com

Publié dans:AMOUR, ENERGIES, LOI NATURELLE, LUMIERE, POUVOIR |on 23 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’Ordre des Exorcistes

 

téléchargementL’exorcisme est l’action par laquelle on condamne, on adjure, on abandonne, on fait prêter serment. Dans la religion, c’est la fonction qui consiste à expulser les forces mauvaises ou les démons ayant pris possession d’un être. L’ordination à l’Exorcisme vise le corps causal. Elle favorise la volonté et donne à l’âme le contrôle le plus complet sur les véhicules inférieurs. Les apôtres reçurent le pouvoir d’exorciser de Jésus-Christ lui-même. Le Baptême est considéré comme un exorcisme ordinaire parce qu’il purifie la personne qui le reçoit.

Ignorés dans l’Ancien Testament, les récits en sont assez fréquents dans le Nouveau Testament. Ils sont relatés lors des guérisons effectuées par Jésus-Christ. Les évangiles mentionnent plusieurs cas d’exorcismes décrits dans les écritures (Marc 1, 23-26 ; 5, 1-15 ; 7, 25-30 ; Luc 13, 11-13 ; Matthieu 12, 22 ; 9, 32-33 ; 17, 14-18).

Le terme de guérison est approprié même si l’on ne distingue pas les cas de maladies ou de possessions parmi ces dernières. Après la résurrection de Jésus, les apôtres savent qu’ils détiennent également la possibilité ou « pouvoir » de guérir en chassant les démons des êtres humains. Ils savent néanmoins que ce « pouvoir » n’a rien de magique mais qu’il est conditionné par le jeûne et la prière.

L’ordination à l’exorcisme se déroule le Samedi des Quatre Temps, après la troisième leçon. Comme pour le Portier et le Lecteur, si le jour ne figure pas au Canon de l’Eglise, la cérémonie aura lieu immédiatement après l’ordination des Lecteurs.

L’évêque prononce ces quelques paroles aux candidats :

« Vous devez connaître le pouvoir que vous recevez. Il vous appartiendra de chasser les démons, de dire aux non-communiants de se retirer, et de préparer l’eau pour le Saint Mystère. Vous recevez aujourd’hui le pouvoir d’apposer les mains aux fidèles, d’y joindre les paroles des exorcismes et la Grâce du Saint Esprit et de chasser ainsi les esprits immondes des corps des possédés. Pour pratiquer l’exorcisme sans vous exposer vous-même aux attaques du démon, vous devez veiller à purifier votre corps et votre esprit de toute souillure. Apprenez à vaincre vos propres passions afin de n’avoir aucune faiblesse que puissent utiliser les forces du mal ».

L’évêque présente à chaque candidat le livre des Exorcismes, le Pontifical, le Missel ou le Rituel qu’ils touchent successivement de la main droite.

« Recevez, dit l’officiant, ce livre et gravez-en les paroles dans votre mémoire. Ayez le pouvoir d’apposer les mains sur les énergumènes, baptisés ou catéchumènes ». « Ainsi donc, dit l’évêque, en ces nouvelles fonctions où vous êtes appelés, efforcez-vous avec zèle de vous vaincre vous-même afin d’aider plus efficacement votre prochain à acquérir une domination semblable sur sa faiblesse ».

Après avoir remis aux candidats une épée et un livre, il ajoute :

« Prenez cette épée comme le symbole de la volonté et ce livre comme le symbole de la connaissance. Grâce à eux, vous serez plus fort dans les luttes de l’esprit ».

Aujourd’hui ces rituels sont pratiqués par les Prêtres qui doivent avoir une autorisation de l’Eglise. Les autres actions afférentes aux exorcistes de jadis sont également tombées en désuétude. Autrefois les tentations étaient toutes considérées comme l’œuvre du démon, mais aujourd’hui, nous sommes conscients qu’elles sont en nous à l’état latent et qu’il nous faut lutter contre leurs émergences.

Dès lors que nous progressons sur la voie spirituelle, nos instincts et nos mauvaises habitudes tentent de refaire surface pour nous éloigner de l’idéal de perfection que nous recherchons. Pour y échapper, nous devons faire des efforts constants et assidus. Ayant vaincus nous-mêmes nos passions, nous serons mieux armés pour aider notre prochain dans ce combat contre les forces du mal. Si un individu laisse son corps et son âme se faire harceler par de mauvaises choses il ne peut prétendre aider son prochain. Seul un corps et un cœur purs peuvent lui venir en secours.

source : http://chevalerietemplieretraditionnelle.fr/

Publié dans:ESPRITS, POUVOIR |on 14 juin, 2015 |Pas de commentaires »

La Biognose : Rencontrer le Divin dans chaque être vivant

 

 Biognose. Fred Lefaune nous dit :  Je découvris ce mot pour la première fois dans le livre de Stephen Harrod Buhner, «The secret teachings of plants : the intelligence of the heart in the direct perception of Nature».

 94928987Le titre du bouquin est en soi très révélateur. Il exprime le fait que si l’on souhaite accéder à l’enseignement des maîtres végétaux, il convient de développer une forme d’intelligence, celle du cœur, laquelle nous ouvre à une perception différente de la nature. La gnose postule la possibilité d’appréhender le divin par l’expérience directe. Par la biognose, c’est le divin qui habite tout être vivant qui se donne à connaître. En parcourant le livre de cet auteur, je parvins pour la première fois à me reconnaître moi-même sur le plan spirituel. Je n’étais donc pas le seul à interroger le monde végétal. Je ne parle pas d’une connaissance biologique, mais bien d’une démarche spirituelle. 

La plupart de mes expériences cherchent à comprendre les  plantes, pas seulement sur un plan botanique, voire médicinal, mais bien sous un point de  vue spirituel. Je crois, personnellement, que le divin se manifeste à travers chaque être vivant. Je crois aussi que cette partie divine se donne elle-même à connaître. Et qu’elle se manifeste pour peu qu’on l’approche avec un esprit libre et ouvert. Si tous les êtres vivants sont interconnectés, nous pouvons parcourir ces fils qui nous relient et diminuer du même coup la distance qui nous sépare les uns des autres. Croire la chose possible est une première étape. Recevoir l’enseignement en est une autre.` 

J’emploie plusieurs méthodes pour cela. La première passe par l’observation de la plante. Cela suppose de l’approcher physiquement, dans son milieu de vie. On l’observe. 

Comment sont ses feuilles ? Les perd-elle en hiver ? Comment se comporte-t-elle ? Est-elle seule ? De quelles plantes s’entoure-t-elle ? Où pousse-t-elle ? Comment sont ses fleurs et ses fruits ? Quel est leur parfum, leur couleur, leur goût ? Est-elle comestible ? Toxique ? Si oui, en quoi ? A la voir, quel trait de caractère semble-t-elle posséder ? Est-elle massive ? Elancée ? Rampante ? A quelle période de l’année se réveille-t-elle ? 

Ensuite, il faut laisser se dissoudre les frontières et croire qu’il est possible de rencontrer la plante sur un plan plus spirituel. Interroger la plante. Accepterait-elle de dialoguer ? Si le moindre malaise surgit, autant abandonner. Si ce n’est pas le cas, pourquoi ne pas poursuivre ? On peut entrer dans un état méditatif et laisser surgir les images. La tentation serait de croire qu’elles naissent de notre propre imaginaire. Qu’elles ne signifient rien. Qu’elles ne sont que tromperies. Avec le temps, je me suis libéré de cette tentation. Les images ont un sens. 

 Il est très fréquent qu’une  plante communique au moyen  d’images. Dans son livre, «Plant Spirit Familiar», Christopher Penczak nous le souligne. Après tout, les plantes ne se nourrissent-elles pas de lumière ? En général, je procède à une méditation guidée. Ce n’est pas nécessaire. Peut-être même cela est-il limitatif dans certains cas. On peut tout aussi bien se laisser aller à une méditation libre et laisser faire les choses. Toutefois, cet exercice guidé me donne un canevas que je juge utile. Avec le temps, ce guidage s’est ancré dans ma mémoire et s’opère de lui-même sans besoin d’écouter un enregistrement. Je commence tout bêtement par me détendre. Je m’ancre à la terre qui me porte, je me centre et je laisse les pensées s’en aller. Le plus souvent, je réalise alors des exercices de rééquilibrage des chakras. Si je le sens nécessaire, j’appelle la protection de mes gardiens et le conseil de mes guides. 

Puis j’observe longuement la plante. Ensuite, je ferme les yeux et la laisse apparaître en esprit. En général, une sorte d’abri apparaît. Qui est une forme de métaphore de son corps. J’ai vu des abris incroyables et totalement loufoques. Un gâteau par exemple. Ou des fenêtres ornées de paupières. Ensuite, un personnage se montre. Ce personnage est une autre métaphore qui permet d’appréhender cette fois l’âme de la plante. Que fait-elle ? A quoi sert-elle ? Quelle est sa fonction en ce monde ? Souvent, je laisse des images de bougies et de coupes apparaître. Je note leur aspect souvent riche d’informations. Je bois alors le liquide de la coupe, en esprit, et laisse d’autres visions surgir, qui seront un conseil personnel délivré par la plante elle-même. Des éléments d’une nature plus spirituelle encore peuvent se manifester sous la forme d’une phrase, de quelques mots, souvent parcimonieux. Puis vient l’instant où je laisse mon esprit offrir quelque chose à la plante. Le cadeau qui lui est offert, ainsi que la réaction du personnage, sont très révélateurs. C’est un remerciement, bien sûr.

Mais c’est aussi, parfois, la métaphore de moyens très humains avec lesquels nous pouvons nous rapprocher de la plante en question, coopérer avec elle. J’ai découvert énormément de choses avec cette méthode. Je consigne ensuite tous les éléments que j’ai aperçus. Tout de suite. Afin de ne rien oublier. Puis, seulement, j’effectue des recherches sur la plante rencontrée. Je parcours des livres. Ou encore internet. Je compare mes interprétations aux connaissances déjà existantes. Au fil du temps, j’ai découvert que je ne suis pas le seul à pratiquer ce genre d’expérience, loin de là. A chaque fois, je les vis comme un vrai cadeau. Un bonheur. Une rencontre. Un partage. J’éprouve une intense gratitude pour ces végétaux. Il est utile, bien sûr, d’effectuer cet exercice en étant soi-même assis ou couché, voire debout, à côté de la plante elle-même. 

Ce n’est toutefois pas nécessaire. Un des plus extraordinaires moyens de communication que les végétaux utilisent est leur parfum. Il ne faut pas hésiter à fermer les yeux en se penchant sur leurs fleurs. Surtout, il faut rester ouvert aux images révélées. Humer un parfum d’huile essentielle est également porteur. Une autre méthode que j’utilise fait appel au pendule. J’étale alors une liste de divinités devant moi. Des dieux et des déesses provenant de divers panthéons. J’ai peu de goût pour la mythologie, je le confesse. J’en connais peu de choses. Toutefois, par le biais du pendule, je parviens à trouver un dieu ou une déesse associé(e) à la plante étudiée. Parfois, la divinité désignée par le pendule sera très différente de celle que la culture populaire lui a attribuée. Pour prendre un exemple, il se peut que le pendule montre une autre déesse qu’Artémis lorsque l’on étudie l’Armoise. C’est que la divinité désignée possède elle-même un attribut, une caractéristique qu’elle partage avec le végétal concerné. La plupart du temps, cela nous ouvre des horizons insoupçonnés. Quand on parcourt le monde de la magie verte (comme certains la dénomment), un triste constat s’impose très vite. Les auteurs, et ils sont nombreux, vous enseignent comment telle plante attirera sur vous l’amour. Ou bien encore la chance. Ou guérira telle ou telle maladie. Des préoccupations somme toute très anthropocentristes. C’est égoïste, je regrette. On peut tout aussi bien se poser d’autres questions. D’abord, quelle place spirituelle la plante occupe de manière générale dans le monde. Ou, pour le dire autrement, quelle lumière du divin elle rayonne, manifeste, rend réelle. Souvent, c’est vrai, les végétaux ont un double visage. Je l’ai fréquemment constaté. 

images (1)La Rose a des épines. Ce n’est pas par hasard. Il serait fou d’imaginer que le peuple végétal soit totalement gorgé de bienveillance pour les humains. Certaines plantes s’intéressent bien peu à l’humanité.   Une plante peut néanmoins  adopter une forme humaine quand elle se manifeste à nous  en esprit. Mais cela s’explique uniquement par le fait que sous cette forme nous la comprendrons peut-être mieux. Ce que je verrai n’est pas ce que vous verrez. Cependant, il se peut que les enseignements retirés concordent, si tant est que nous devions collaborer avec cette plante de la même manière. Ce n’est pas forcément le cas. Les plantes ont de nombreuses facettes. Une autre démarche intéressante est de comprendre comment l’humain peut soutenir le peuple végétal en esprit. Si telle plante est connue pour purifier un lieu, en enlever les pollutions énergétiques, pourquoi ne pas la soutenir ? 

On peut le faire matériellement, bien sûr. Dans cet exemple, il s’agira de retrousser ses manches et de nettoyer l’endroit pollué. Mais on peut également opérer cette aide par la visualisation par exemple. Si les plantes communiquent avec nous par le biais des images, je suis persuadé que cette communication fonctionne dans les deux sens. Une visualisation diversifiée sera plus efficace, à mon sens, qu’une prière. Si telle plante est liée à l’amour maternel, il s’agit par exemple d’imaginer toute une série de scènes par lesquelles cet amour-là se manifeste. On pourrait m’objecter que ce n’est pas forcément l’esprit de la plante que je rencontre lors de ces exercices. Que c’est peut-être un cadeau de mes guides. Que ce sont eux qui m’enseignent et pas les plantes elles-mêmes. C’est possible. Mais je ne le crois pas. Je crois qu’une époque est venue. Un temps où l’homme va cesser de se croire supérieur aux autres êtres vivants. Un temps où l’homme va re-découvrir que le divin habite chaque être de la nature. Et qu’il est également possible de les rencontrer.

Qui sont ces esprits végétaux ? Des élémentaires ? Autre chose ? Je l’ignore. Je suis par contre convaincu qu’ils sont très étroitement liés aux plantes qu’ils protègent. Certaines personnes opèrent une sorte de communication «verticale». Elles s’intéressent à une forme de divin céleste et se moquent complètement du reste des êtres vivants. Ils ne les perçoivent pas comme habités par le divin. Beaucoup de religions monothéistes procèdent de cette manière.

 Je pratique pour ma part une communication «horizontale». Je ne recherche pas à contacter un divin totalement désincarné. Mais au contraire à trouver la lumière divine exprimée en chaque être vivant. Ce Dieu qui est au ciel ne me concerne pas.

 Le divin qui vit dans la mousse, l’Hellébore, le Pommier m’interpelle beaucoup plus. C’est une façon pour moi d’expérimenter le paradoxe immanence-transcendance. Contacter le divin qui s’exprime chez une plante revient à admettre que nous sommes différents, qu’une distance nous sépare. Sans cela, il n’y a pas de contact possible, à mon sens. Rejoindre ce divin, le vivre, le célébrer, accepter qu’il procède de la même source que le divin qui habite l’être humain relève par contre de l’immanence. Nous faisons partie du Vivant. Nous faisons partie du Divin. Quand une plante et moi unissons nos lumières divines, cela, oui, c’est de la Magie.

Cette union de l’humain et du végétal possède son symbole : l’homme vert. Au Royaume Uni, ces masques à la fois humains et végétaux sont nombreux. Ceux que vous admirez sur cette page proviennent d’un site où il est possible d’en acheter. Il y en a de superbes, vraiment. 

Retrouvez les articles de Fred Lefaune sur son blog : http://sentierdesfaunes.canalblog.com

 

Publié dans:HUMANITE, NATURE, POUVOIR |on 31 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Nous sommes tous des guérisseurs qui s’ignorent

 

Interview

telechargement-12Dhyan Manish, vous proposez une formation de « Guérisseur Authentique » depuis plusieurs années, qu’est-ce qu’un guérisseur authentique ?

Avant de répondre à cette question très importante, il me semble indispensable de préciser ce qu’est la guérison selon ma vision et mon expérience de guérisseur depuis plus de 30 ans.
La guérison est la transformation de la maladie et de la souffrance, mais c’est surtout la prise de conscience de sa propre vérité et de son authenticité.

Pour cela nous devons recevoir, reconnaître et accepter nos blessures, nos souffrances et nos conditionnements, c’est-à-dire tout ce qui nous a rendu malade, tout ce qui nous a éloigné de notre propre être intérieur, de notre centre. Recevoir, Reconnaître, Accepter sont les trois premières étapes du processus de guérison. La quatrième étape, c’est la Transformation. Ce processus, je l’ai appelé la « Voie du Cœur ».

La guérison ne vient que de l’intérieur. Elle peut provenir d’une cellule de l’organisme qui se propage à toutes les autres cellules. Lorsque l’être humain devient conscient de son intérieur profond, il libère chaque cellule qui le rendait malade. Se guérir, c’est simplement éliminer tout ce qui ne nous appartient pas et qui nous empêche d’exprimer notre essence propre. Il est inutile d’accuser l’extérieur, les autres et les parents… tout est caché en nous, nous pouvons le regarder et l’exprimer, car maintenant tout nous appartient. Même si le responsable est l’extérieur. La guérison et l’authenticité sont inséparables.

Chaque guérison individuelle apporte la guérison, la transformation à son entourage. La guérison crée l’amour et la paix.
La guérison est la prise de conscience de notre propre être et de son individualité. Elle s’obtient grâce à la relation entre l’existence et nous-même. Elle se réalise par la conscience, séparée du mental et de l’égo.

La guérison, c’est s’abandonner totalement à l’existence, c’est dire oui inconditionnellement aux situations qui perturbent notre vie. Si un malade dit oui totalement à sa maladie c’est déjà une guérison. La « Voie du Cœur » est un chemin de guérison pour arriver à la transformation. La guérison est un acte spirituel envers soi.

« Lorsque vous essayez de faire quelque chose seul, séparés du Tout, c’est un échec. Le succès est en Dieu et avec Dieu. » (Osho) Par Dieu, il faut entendre le principe Créateur, vous pouvez l’appeler l’Existence, l’Energie de vie…

Pour mieux comprendre le processus de la guérison, je vais continuer en répondant à votre question initiale : qu’est ce qu’un « guérisseur authentique », « Authentic Healer » ?

Le guérisseur authentique n’est pas seulement quelqu’un qui connaît et utilise une technique de guérison pour guérir les autres, il est avant tout un homme ou une femme qui a pris le chemin de la rencontre avec son être intérieur pour trouver sa propre guérison. Pour être un guérisseur authentique pour les autres, il est indispensable de suivre la voie de l’autoguérison. Le guérisseur est un être spirituel qui utilise son énergie individuelle pour accompagner l’autre afin qu’il se guérisse par sa propre conscience.

Notre propre guérison nous permet d’être connecté à la vie de tous les jours dans un état de présence, d’écoute, de réceptivité, d’authenticité et d’amour.
Lorsque nous sommes guéris, nous sommes ouverts et réceptifs aux autres et pouvons les recevoir et les aider dans le cœur, pour les accompagner dans leur travail sur eux-mêmes pour leur propre guérison.

Être un guérisseur authentique est un état naturel de l’être humain qui se donne le droit d’être connecté à l’existence. Nous sommes tous des guérisseurs, c’est une qualité humaine.
Si vous êtes un professionnel de santé ou désirez le devenir, suivez la voie de la guérison authentique pour être présent à vous-même et en vous-même. Vous deviendrez le guérisseur de votre vie. Alors vous guérirez peut-être les autres simplement par votre présence et par votre nouvel état d’être.

Nous sommes tous des guérisseurs et tous guérissables. Grâce à notre état authentique, notre entourage profite de notre bien-être, notre qualité de vie les attira dans leur propre conscience. Il n’est pas nécessaire d’être professionnel pour être un guérisseur authentique. Le guérisseur est avant tout un état naturel dans la présence, la réceptivité et l’amour. Le guérisseur authentique offre ce qu’il est, il ne peut pas offrir autre chose que cela.

Aider les gens, ce n’est pas obligatoirement agir et faire quelque chose pour eux, il suffit juste d’être présent avec soi-même. Notre nouvel état d’être et la nouvelle qualité de notre vie deviennent un miroir qui attire l’attention de l’enfant intérieur des autres. Le guérisseur authentique crée un parfum qui apporte la guérison aux autres par l’amour.

Le guérisseur n’est pas celui qui guéri mais celui qui aide à la guérison.
Il est parfois nécessaire d’agir rapidement, par des moyens fiables, pour bloquer une maladie, mais il est ensuite indispensable de découvrir le pourquoi de cette maladie. Le médicament, la chirurgie sont des thérapies merveilleuses lorsqu’elles sont utilisées à bon escient. Mais l’expression émotionnelle est indispensable pour accéder à une véritable guérison.Tant qu’il y a des nœuds émotionnels, des kystes émotionnels, qui résident dans nos corps physique, émotionnel et de conscience, l’état de guérison ne peut-être que momentané.

Si la maladie est trop avancée, l’expression émotionnelle aide le malade à moins souffrir, s´ il accepte sa maladie et ses conséquences. Cette prise de conscience va lui permettre de vivre plus dignement. C’est la première phase de la guérison. Il ne s’agit pas d’une soumission, mais bien d’une acceptation, ce qui est totalement différent.

Beaucoup de maladies graves ont été créées par des systèmes de contrôle et des résistances à la vie. Le lâcher-prise est un élément nécessaire pour la guérison. Un des rôles du guérisseur est d’accompagner la personne pour que se lâcher-prise aie lieu. Cet aspect nécessite lui aussi des qualités d’être particulières, qui vont se traduire dans la voix, le mouvement, la créativité du guérisseur.

L’état psychique est aussi important que l’état physique. Le guérisseur authentique permet au malade de redevenir conscient de lui-même et de découvrir le système qui est caché derrière sa maladie, afin de favoriser la guérison.

Le guérisseur authentique, dans son accompagnement, doit-être dans le non vouloir. Plus il sera dans une réelle présence à lui-même, dans un état méditatif, plus il sera en lien avec la nature profonde de son client, avec son mouvement spécifique, plus il pourra l’accompagner sur son chemin de libération et de guérison.

Vous pouvez, s’il vous plaît, nous parler plus précisément de la technique sur laquelle repose l’accompagnement du guérisseur au cours des sessions de guérison ?
Vous nous avez parlé également des Nœuds émotionnels, ou kyste émotionnel, vous pouvez nous préciser ?

Oui, bien entendu, mais tout d’abord permettez moi d’insister sur le fait que c’est toute la qualité de présence du guérisseur et son authenticité qui permettront à cette technique d’être totalement efficace. La Confiance, la Compassion et l’Amour qui en découlent sont indispensable. Cette technique ou plus exactement ce processus, je l’ai appelé « Energétic Breathing ® »

Energetic Breathing est une technique simple et naturelle. Elle peut être même pratiquée par un enfant. Cette technique utilise la respiration diaphragmatique profonde et consciente pour retrouver son être originelle, authentique.
Energetic Breathing est un processus naturel pour prendre conscience des émotions réprimées et permettre à celles-ci de s’exprimer pour libérer notre être.

Toutes les techniques de respiration sont indispensables pour retrouver son être originel. Mais la technique Energetic Breathing est certainement la plus efficace, la plus juste et la plus puissante car elle touche directement les problèmes et va directement à l´essentiel.

Energetic Breathing agit dans tous les corps et possède plusieurs qualités et plusieurs fonctions :

  1. Psychique : nettoyer des émotions réprimées par l’expression
  2. Physique : retrouver la santé et un équilibre métabolique par la déméthylisation
  3. Spirituelle : découvrir la méditation par la relaxation profonde
  4. Existentielle : découvrir une dimension au-delà des frontières du mental par la conscience

1. Psychique : L’expression émotionnelle est aussi importante que les sens.
Pour information les émotions sont : le rire, les pleurs, la colère, le bien-être, le plaisir, la souffrance, la joie, la tristesse, la peur… Il n’y a pas de bonnes ou de mauvaises émotions. Il y a simplement des émotions, elles sont une partie intégrante à l’être humain.
Depuis la naissance l’enfant exprime ses émotions naturellement. Déjà fétus il les exprimait. Les émotions non exprimées créent un dérèglement dans le corps physique et psychique. Cette anomalie perturbe le corps donc forme des blessures. Ces blessures créent la maladie physique et psychique.

La technique Energetic Breathing aide à libérer les émotions et à retrouver son énergie émotionnelle.
Par exemple : Quand un computer est charger par des virus, des chevaux de Troyes, il faut le nettoyer pour qu’il fonctionne avec sa qualité première. Pour que notre corps fonctionne il faut nettoyer notre mental, notre psychique de toutes les infections et les traumas reçus dans notre vie.
Il n’y a pas de guérison sans expressions émotionnelles.

2. Physique : Les stress, les angoisses et les émotions réprimées forment des groupes de méthyles qui bloquent le transfert des gènes sur la RNA.C’est ce que j’appelle aussi kystes émotionnels.
La méthylisation réduit les gènes au silence. Un choc ou un stress physique peut provoquer un phénomène chimique que l’on appelle méthylisation. Marqués par des molécules des méthyles (CH3) certains gènes ne peuvent plus se transmettre sur la RNA ce qui crée des problèmes car ils sont souvent des régulateurs du stress. Mais ce blocage est réversible grâce à Energetic Breathing.

Energetic Breathing fait disparaître les marquages des méthyles sur la RNA et les gènes peuvent s’exprimer à nouveau. De ce fait les cellules retrouvent leurs activités, le corps physique guérit et les maladies et les symptômes peuvent alors disparaître.

3. Spirituelle : La société moderne est tellement obsédée par l’extérieur que nous sommes depuis notre enfance conditionnés par l’extérieur. Ce n’est pas la nature de l’être humain. L’être humain est créé pour être au centre, à l’intérieur, et être en relation avec le monde extérieur depuis ce centre.
Energetic Breathing® permet de découvrir son être profond par une respiration douce, profonde qui permet de se détendre et de découvrir l’espace de la relaxation et l’état méditatif. Cet état méditatif a des influences très bénéfiques sur le corps physique.

4. Existentielle : Energetic Breathing permet – après s’être débarrassé des obstacles physiques et mentales – de découvrir un monde au-delà du mental et de l’égo. Libéré de toutes informations, de tous conditionnements, cet espace intuitif permet de créer, d’inventer, de découvrir un monde nouveau qui n’a jamais été explorer par le rationnel. Cela s’appelle le monde astral.
Imagine tous les gens.… John Lennon

Pour en revenir au rôle du guérisseur, celui-ci accompagne son client dans cette respiration spécifique. L’hyperventilation qui se crée conduit à l’hyper-oxygénation. Avec la présence méditative du guérisseur, l’énergie se propage dans tout le corps et, après un temps indéterminé, les blocages, les traumas, les peurs, les angoisses, les émotions réprimées dans le corps depuis très longtemps commencent à ressurgir.

L’expression émotionnelle peut varier considérablement et provoquer des réactions différentes dans le corps (rire, douleur, pleurs, bien-être, plaisir, cris, colère …), en fonction notamment du contrôle ou du lâcher mental du client.

Le guérisseur accompagne le client dans l’expression de ses émotions mais il ne le dirige pas. Il l’accompagne afin que celui-ci, ne contrôle pas ses émotions, ne les réprime pas, et ne s’identifie pas non plus à celles-ci. Les émotions doivent s’exprimer totalement et librement. Plus les émotions sont exprimées, plus la respiration devient ample et le client commence à sentir une libération. Il va progressivement se désidentifier de celles-ci et va sentir de plus en plus un état d’harmonie intérieure et d’unité avec son propre être dans une paix profonde, un espace dans lequel les problèmes peuvent se transformer.

La session se conclue par un échange verbal, toujours dans une réelle présence. Cet échange permet de faire un retour (feed-back), un résumé de ce que le client a vécu et de ce que le guérisseur a ressenti. Avant de se quitter, le hug est indispensable.

Vous pouvez nous dire quelques mots sur la formation de « Guérisseur Authentique », Energetic Breathing ?

ego10La formation de « Guérisseur Authentic » est ouverte à toutes et à tous. Chaque année, j’organise des cycles de formation en France, en Italie et en Allemagne.

Il s’agit d’une formation axée sur l’expérimentation consciente où chaque participant est à la fois invité à vivre un véritable chemin de transformation et de guérison, tout en ayant accès à l’ensemble du programme Energetic Breathing. Au cours de la formation, les participants découvrent et expérimentent aussi un ensemble de clés et de pratiques du Training la Voie du Cœur et de la Transformation, sans oublier les techniques de méditation actives qui sont pratiquées quotidiennement et qui font partie intégrante de l’enseignement. Nous abordons, en effet, de nombreux thèmes tels que : l’attachement, la manipulation, les conditionnements, les manques, les relations, la relation de couple, le mental et l’égo, l’Amour, la sexualité….

Au cours de ces cycles de formation, nous accueillons également les personnes intéressées qui veulent recevoir des sessions individuelles de guérison, expérimenter cette technique et cette approche de la guérison ou qui souhaitent découvrir le programme en vue de suivre cette formation.

Aujourd’hui, il y a plusieurs praticiens confirmés, en France et à l’étranger. Ceux qui souhaitent avoir des informations complémentaires sur le programme Energetic Breathing, sur les sessions individuelles, ou sur le réseau de praticiens peuvent nous contacter directement à l’Espace Healing. Charam se fera un plaisir de leur répondre.

Manish, j’aimerais que vous nous parliez de votre parcours personnel de guérisseur ?

J’ai expérimenté le monde de l’ésotérisme pendant plusieurs années et en 1981 à la suite d’une expérience initiatique très forte, je me suis retrouvé en communion avec le Divin, plus tard, j’ai appris que cela s’appelait Satori. A la suite de cette expérience, la vision de l’aura m’a été offerte. Après plusieurs mois de pratique, j’ai pu maîtriser ma vision de l’aura, la comprendre, la connaître et l’utiliser. C’est une connaissance totalement personnelle, en connexion directe avec mon être intérieur. 

Aujourd’hui, ma capacité de voir l’aura est plus précise, plus affinée et je l’utilise dans mon travail de guérison et de thérapie. 
Ma rencontre avec Osho en 1988 a été un grand changement dans ma vie. Il m’a reconnu comme guérisseur authentique et m’a proposé le département de la guérison dans son ashram à Puna. J’ai décliné cette invitation pour créer un centre de guérison en France, « le centre de méditation Osho – la chêneraie » à Orange, puis l’« Espace Healing » à Comps en Provence.

La parole que m’a offerte personnellement Osho : « Guérisseur, guéris-toi toi-même » est devenue le fondement de mon enseignement et est au cœur de mon chemin spirituel et professionnel. La guérison de soi-même est la plus importante pour devenir un guérisseur et transformer les techniques thérapeutiques auxquelles ont se forme. Une petite technique peut être valorisée par un bon technicien, une grande technique peut être détruite par un mauvais technicien.

Je propose depuis 34 ans des sessions individuelles, des stages de développement personnel et de guérison, des satsangs et, surtout, un cursus de formation de guérisseur authentique, « Authentic Healer® », en France, en Allemagne et en Italie. Cette technique permet principalement de se guérir et de guérir les autres. Depuis de nombreuses années, j’anime des conférences et des soirées à thème en France et à l’étranger.

Aujourd’hui, je poursuis bien entendu mon propre chemin de développement personnel et spirituel pour que le monde soit plus conscient et plus beau, quand je quitterai mon corps, que lorsque je suis venu sur cette terre en 1948.
Osho m’a guidé et me guide toujours sur mon chemin spirituel et dans mon travail avec l’être humain.

Charam anime les week-ends de méditation au centre Espace Healing, il y en a presque un par mois (voir le programme sur le site web), c’est l’occasion de pratiquer les fameuses méditations actives d’Osho ? 

Oui, cela fait partie des activités que propose Charam au sein de l’Espace Healing. L’accès à l’espace de méditation est aujourd’hui devenu indispensable pour faire face au stress qui ne cesse d’augmenter dans notre monde moderne. Mais, c’est aussi la voie pour permettre à chacun d’accéder à son centre intérieur, à sa vérité libre de tous conditionnements, à l’expression naturel de son Etre. C’est là, dans cet espace de méditation, que nous pouvons nous relier à nos ressources essentielles et à notre créativité pour accomplir la Promesse qui nous habite. C’est la vision que partage Charam. Il anime des groupes de méditation depuis plusieurs années. Les méditations d’Osho et les pratiques associées représentent, aujourd’hui, pour lui, la clé qui permet d’entrer dans cet espace et d’arriver ainsi à l’Etat de méditation.

Pour accéder à notre centre intérieur, pour nous reconnecter au Soi profond, nous avons besoin de lâcher nos tensions et de nous libérer de l’agitation du mental. Dans notre monde moderne, le cerveau est très fortement sollicité. Il est stimulé par une surabondance d’informations et de sollicitations en tout genre, provenant du monde extérieur. Il est prédominant au point d’être devenu le centre de la personnalité humaine, générant ainsi de nouvelles tensions. L’Homme est ainsi de plus en plus éloigné de son Centre Intérieur, enchaîné au pouvoir du mental, et les pratiques traditionnelles de méditation ne sont plus adaptées.

Les Méditations actives d’Osho ont été conçues scientifiquement afin de nous aider à lâcher d’une manière consciente les répressions accumulées au fond de notre Etre, de nous libérer de nos conditionnements et ainsi de pouvoir ensuite goûter à l’état relaxé de la méditation.
Ces méditations sont utilisées dans le monde entier. Elles nous conduisent à explorer et aller toujours plus profondément à l’intérieur de nous-mêmes, afin de nous rapprocher de plus en plus de notre Etre authentique; cette approche élimine la dépendance à une autorité extérieure et la filiation à une quelconque idéologie. Elles nous permettent simplement, dans un esprit ludique, de revenir en conscience au bonheur de Vivre.

Vous être un des fondateurs du très beau centre Espace Healing dans la Drôme Provençale (à 30 Kms à l’est de Montélimar près de Dieulefit), c’est je crois le seul centre de méditation Osho en France mais c’est aussi un lieu ouvert à toutes les personnes de toutes tendances spirituelles qui désirent se transformer pour créer une meilleure humanité. J’ai appris que toute l’équipe de l’Espace Healing et quelques amis, ont constitué un groupe de projet afin d’écrire une nouvelle page de l’histoire du Centre, pouvez-nous en dire quelques mots ?

Merci de me poser cette question. En effet, parfois les informations qui circulent, peuvent-être erronées. Tout d’abord, il n’y a rien de plus permanent que le changement, et il est donc bien naturel que l’Espace Healing se transforme, évolue tant dans son organisation que dans les activités proposées. La vocation de l’Espace Healing tant qu’à elle ne change pas : offrir à tous ceux qui le souhaite un lieu d’accueil, de ressourcement, de méditation et de guérison d’une part, et un ensemble d’activités, de programmes de formation et d’accompagnement pour permettre à chacun et à chacune d’accéder à l’expression de leur Etre dans son authenticité. Cette vocation est toujours dans la mouvance d’Osho.

Pour en venir plus précisément au projet de l’Espace Healing, celui-ci comporte deux volets. L’un concerne le site, l’autre les activités du Centre. Sur ce dernier point, compte tenu de la vocation de l’Espace Healing, il est bien naturel de toujours essayer d’évoluer et d’apporter des énergies et des idées nouvelles. Une équipe s’est constituée pour élaborer et mettre en place de nouvelles activités et en améliorer certaines qui existent déjà. Ce projet a aussi pour objectif de repenser l’organisation générale de l’Espace Healing, en y associant de nouvelles personnes et de nouvelles compétences. Ce dernier point est d’ailleurs la priorité des priorités dans le sens où pour ma part, je souhaite me consacrer totalement au cœur de mon métier.

Des sannyasins, des personnes qui ont fréquentés et fréquentent ce lieu, des amis, souhaitent participer à ce projet, selon une même motivation et des valeurs communes, 
L’idée générale est de redonner un nouvel élan à l’Espace Healing, pour participer d’une manière encore plus active à ce qui nous tient à cœur au sein de l’équipe.

Ensuite, par rapport au site, un des associés de la SCI, souhaite revendre toutes ou partie de ses parts. Il nous faut donc trouver des acquéreurs pour celles-ci et l’idée est de pouvoir en profiter pour associer là aussi de nouvelles personnes à ce projet collectif. Il s’agit donc d’un placement financier qui est proposé dans le cadre de l’achat de parts au sein de la SCI. La différence, avec certains placements c’est qu’il offre en même temps l’intérêt de participer à un beau projet de développement de la conscience pour un monde meilleur.

Comme chaque année, il y aura encore cette année le festival de méditation d’été (du 10 au 14 juillet) avec le talentueux groupe Prem Joshua et ses mélodies envoutantes inspirées des mantras indiens.
C’est une grande chance d’avoir ce musicien et ce groupe en France, vous connaissez ce groupe personnellement, pouvez-nous en dire quelques mots ?

téléchargementDepuis plusieurs années, Prem Joshua et ses musiciens viennent nous offrir un festival de méditation qui permet grâce à la musique d’aller plus profondément à l’intérieur et de retrouver ainsi notre véritable silence. Prem Joshua est un musicien célèbre dans le monde et principalement en Inde. Il a été reconnu par Ravi Shankar pour sa maîtrise de la Cithare. C’est une chance extraordinaire pendant ces 5 jours du festival, de côtoyer intiment ce grand artiste. Le festival d’été est un espace de rencontre, de partage, de célébration, où chacun peut d découvrir de nouvelles pratiques dans un esprit convivial, d’ouverture et de méditation.

L’Espace Healing propose à tous ceux qui le souhaitent différentes formules de séjours. Grâce à un accueil convivial, authentique, et une écoute attentive, chacun peut se ressourcer, vivre une expérience enrichissante, être accompagner dans son questionnement, découvrir et pratiquer la méditation, recevoir des soins de guérison, échanger à partir de l’expérience de chacun.

POUR EN SAVOIR PLUS
www.dhyanmanish.com 
www.espacehealing.com
Votre contact Charam Satgyan Email : espacehealing@orange.fr

Publié dans:GUERISON, POUVOIR |on 28 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Les Télépathes qui s’ignorent

Qu’elle est la différence entre la télépathie mentale et la télépathie basée sur une activité du plexus solaire ?

télépatheComme je l’ai déjà dit, la télépathie, comme tous les autres aspects psychiques de l’homme, est une et une seule, et la seule différence qui existe est dans sa qualité. C’est un peu comme avec votre poste de radio. Vous avez les ondes et sur ces ondes, vous avez différents postes accessibles, différents programmes.

Admettons que sur le poste le plus bas, vous ayez les programmes les plus bas, c’est-à-dire les moins intéressants qui font plus de bruit qu’autre chose. Et puis vous montez la gamme des ondes et vous obtenez, chaque fois que vous montez, un programme plus agréable, plus sympathique et plus instructif. Il en est de même avec tous les pouvoirs qui sont en l’homme, que ce soit la télépathie ou autre chose.

Plus vous montez dans les vibrations, et ceci est dû à vos efforts personnels, à votre évolution et à vos niveaux initiatiques, plus vos pouvoirs psychiques vont s’exercer avec qualité, pour recevoir quelque chose de qualité, ou donner quelque chose de qualité. Ce qui fait, qu’un pouvoir exercé par un homme sur le premier plan, ne va pas du tout ressembler à un pouvoir exercé sur un plan plus haut par un autre homme, et pourtant c’est le même pouvoir. Tout dépend donc de l’individu lui-même. 

Pour tous les pouvoirs, cela dépendra toujours de l’homme, de ce qu’il est initialement dans sa vibration et son niveau initiatique. Lorsque vous analysez la télépathie chez quelqu’un qui est trop centré dans l’astral, le plexus solaire, il va sembler avoir beaucoup d’intuition, parce qu’il va pouvoir supposer qu’il va pleuvoir demain, ou il va sentir que son fils ou sa fille est en danger à l’autre bout de la terre, etc.

Tout ce qui est donc du phénoménal et de l’événement, va être pour lui une connaissance dévoilée. Et puis plus vous montez dans la gamme spirituelle, dans les niveaux initiatiques, plus la télépathie va se déterminer comme quelque chose de différent. Forcément l’individu ne va plus pouvoir se rendre compte des choses du bas, mais il se rendra compte des choses du haut.Mais de toute manière, la loi veut que, tout ce qui est en haut, est comme ce qui est bas, en ayant connaissance du haut, il aura aussi connaissance du bas, dans une certaine mesure.

Tous les pouvoirs dépendent de vous-même quoi que vous exerciez, que vous soyez magnétiseur, guérisseur, astrologue, télépathe, médium, ou quoi que ce soit d’autre. Comprenez bien que pour changer, pour évoluer, vous devez avant tout faire des bilans avec vous-même et pas avec le pouvoir que vous exercez. Il ne faut pas vous dire, je veux devenir ceci, cela, parce que j’obtiendrai tel niveau de conscience, ou telle initiation.

Certaines personnes s’imaginent qu’en faisant les démarches pour devenir guérisseurs, ils vont devenir des initiés, c’est faux. En essayant de devenir télépathes, ils vont devenir des initiés, c’est faux. Vous devez faire le bilan avec vous-même, et ainsi en ayant cette authenticité, vous saurez sur quoi travailler pour développer votre pouvoir, qui à ce moment-là ne vous intéressera plus d’ailleurs comme un pouvoir, mais juste comme un service pour l’humanité.

Source : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, POUVOIR |on 27 mai, 2015 |Pas de commentaires »

L’évolution vue par la Théosophie

Comme on l’a rappelé au début, la Théosophie voit très large lorsqu’il s’agit de l’évolution sur cette Terre : des milliards d’années au total. La première phase d’involution de l’Esprit dans la matière est révolue depuis la naissance de l’homme soi-conscient. Il reste à parcourir la phase ascendante d’évolution, permettant à la conscience de se dégager de la matérialité la plus dense, remonter au niveau d’origine et opérer la pleine communion avec l’Esprit divin Universel. 

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En remontant vers le plan de l’Esprit, l’évolution va passer en sens inverse à travers les niveaux parcourus au cours de l’involution, cette fois de moins en moins matériels, jusqu’au degré spirituel le plus éthéré. C’est dire que, une fois toute l’expérience utile récoltée sur le plan physique, l’évolution se poursuivra pour nous de façon continue et consciente dans la sphère astrale, et cela jusqu’à ce que, toute l’expérience utile ayant été récoltée sur ce niveau, l’activité des êtres change encore de théâtre d’opération vers des plans de plus en plus élevés.

En clair, notre itinéraire (où la réincarnation ininterrompue nous entraîne, sous le contrôle de karma) va nous mettre de plus en plus en rapport avec l’astral, jusqu’à ce que nous n’ayons plus finalement de corps physique, et vivions entièrement dans la sphère astrale. Cela suppose que nos sens psychiques, avec les pouvoirs correspondants, vont s’éveiller progressivement, pour devenir totalement opérationnels dans l’avenir. Ces sens pourront fonctionner bien avant que nous n’ayons plus de corps matériels : à nous de les accueillir en nous, à mesure qu’ils se révéleront actifs, et de les utiliser au mieux, avec la conscience que ce surcroît de pouvoirs comporte pour nous une responsabilité de plus en plus grande, en augmentant considérablement notre champ d’action et notre capacité d’intervention dans tous les domaines de notre vie humaine. Imaginons les conséquences karmiques qu’entraînerait aujourd’hui l’éveil brusque de la clairvoyance, du pouvoir d’influencer les autres par la pensée, de déplacer les objets à volonté, etc. chez tous les êtres humains.

Comme l’indique Mme Blavatsky dans la Doctrine Secrète, l’humanité a pris du retard sur son programme d’éveil et d’épanouissement intérieur, en raison de la tyrannie des passions, de l’égoïsme et de la séparativité. Le développement de l’intelligence, au détriment de la dimension spirituelle (avec la paralysie du 3e Œil), n’a pas été accompagné d’un développement correspondant du sens moral : d’où le danger permanent qui pèse non seulement sur l’humanité mais aussi sur la planète entière.

Il y a donc grande urgence à ce que l’homme - individuellement et collectivement - découvre la réalité et les perspectives de sa destinée divine, pour la prendre en main dans toute la mesure du possible. 

En résumé, il n’est pas dit que les pouvoirs psychiques soient inutiles, ou à écarter comme dangereux : étant naturels, ils ont leur nécessité et leur utilité. De même que les sens physiques ont leur nécessité et leur utilité mais ne peuvent servir de guide pour l’homme intérieur appelé à incarner le Divin, de même les sens psychiques ne doivent servir de guides pour s’élever vers le spirituel.

Fascinés comme nous le sommes par les merveilles du monde physique, la même fascination nous guette souvent lorsque nous entrerons dans la sphère astrale. À nous de ne pas nous arrêter en chemin, de continuer la quête de l’Esprit là où il se trouve : dans les replis cachés les plus secrets du cœur.

Condensé d’après un article théosophique sur http://www.francelecture.net/

 

 

Publié dans:ESPRITS, PENSEE, POUVOIR, REINCARNATION |on 2 avril, 2015 |Pas de commentaires »

Les pouvoirs psychiques et leur champ d’action

 

3225942119_1_8_yI1N4vfLPouvoirs de perception extra-sensorielle

Les faits de la transcommunication instrumentale où des morts semblent communiquer directement avec les vivants (par l’intermédiaire des appareils modernes - téléphone, magnétophone, télévision, etc.) ne relèvent pas de cet article axé sur les pouvoirs dont les humains sont les canaux essentiels.

Les pouvoirs de P.E.S. sont très nombreux, et assez répandus parmi les hommes et même les animaux. Ils opèrent sans l’aide initiale des sens et organes du corps, d’où leur appellation.

Ils permettent de saisir de l’information à distance, ou en des sites hors de portée des sens et du mental ordinaires.

Selon les cas, les données saisies appartiennent au présent, au passé, voire à un futur parfois assez lointain.

La manifestation de ces pouvoirs est très variable selon les sujets : 
- Dans un état de conscience «  ordinaire  », ou plus ou moins modifié, transe…
- Rare, fréquente…. presque constante,
- Spontanée, subie… ou exercée à volonté,
- Sans raison inductrice apparente, ou induite par une personne, un paysage, un objet.

La manifestation de ces pouvoirs a un caractère toujours étonnant, insolite, apaisant ou terrifiant, selon le contenu de la perception reçue. Ils sont toujours dérangeants pour les témoins habitués au monde «  normal  ». En règle générale, il faut soigneusement distinguer :

a - le constat des faits expérimentaux (pas toujours aisé à établir très objectivement, pour éliminer la fraude possible, ou simplement les exagérations, ou distorsions, introduites par la subjectivité des sujets ou des témoins).

b - les tentatives d’explication, et leur degré de crédibilité, selon la grille de lecture ou d’interprétation utilisée (réaliste, imaginée sur la base des apparences, avec des prétentions « scientifiques »)

L’optique théosophique n’a rien d’une spéculation intellectuelle. Elle est proposée par des Maîtres Initiés qui ont développé en eux-mêmes des moyens d’observation objective de tous les phénomènes possibles dans ce domaine, avec la capacité de les reproduire à volonté, en conservant le plein contrôle d’eux-mêmes et des forces qu’ils mettent en jeu pour les produire.

À l’opposé, les sujets plus ou moins sensitifs, font des expériences très variables, parfois nulles ou médiocres, parfois exceptionnelles, sans jamais avoir la certitude de la véracité complète de leur perception.

Ils ont assez souvent besoin de conditions préférentielles, ou d’objets choisis et de supports pour stimuler leur pouvoir, comme le pendule du sourcier, la boule de cristal de la voyante, le marc de café etc. Un adepte chevronné n’a besoin ni d’un cadre spécial, ni d’aucun de ces artifices pour exercer ses pouvoirs.

D’une façon générale, l’information captée a un caractère dominant, parfois combiné à d’autres, plus ou moins marqués ; on peut ainsi avoir des images visuelles et/ou auditives - ou uniquement auditives ou des messages mentaux, accompagnés ou non d’informations visuelles ou auditives.

Selon les cas, on parlera de clairvoyance, de clairaudience, de prémonition, de transmission de pensée…

Condensé d’après un article théosophique sur http://www.francelecture.net/

Publié dans:POUVOIR |on 21 mars, 2015 |Pas de commentaires »

Vous possédez un pouvoir fabuleux : Vos Croyances

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Dès l’instant de notre toute première respiration, nous sommes imprégnés de la plus grande force qui soit dans l’univers : le pouvoir de transformer les possibilités jaillissant dans notre esprit en réalités bien tangibles. Le plein éveil de ce pouvoir nécessite cependant un changement subtil dans la perception que l’on a de soi-même, et dans les croyances que l’on entretient à son propre égard. Tout comme le son crée des ondes générées lorsqu’il voyage dans la gouttelette d’eau, les ondes générées par nos croyances se propagent dans le tissus quantique de l’univers pour devenir la guérison de notre corps, l’abondance et la paix ou bien la maladie, la pénurie et la souffrance que nous connaitrons au cours de notre existence. 

Et de la même façon que nous pouvons accorder un instrument afin de changer sa tonalité, nous pouvons modifier nos croyances pour préserver ou bien détruire tout ce que nous chérissons, y compris la vie elle-même. Dans un monde malléable où tout ce qui existe, des atomes aux cellules, se transforme pour s’adapter à nos croyances, nous ne sommes limités que par la perception que nous avons de nous-mêmes dans ce monde. Pour changer notre vie et nos relations, guérir notre corps et faire régner la paix dans notre famille et entre les nations, il suffit de modifier la façon dont nous utilisons nos croyances. Lorsque nous changeons nos croyances à propos de notre corps et de notre monde, la Matrice Divine transporte ce changement dans notre réalité quotidienne. Nous sommes venus en ce monde en sachant déjà comment employer le pouvoir des croyances. 

Vous possédez un pouvoir aussi fabuleux et qu’il vous suffit de changer vos croyances pour accéder à l’Amour, à la guérison et aux miracles les plus extraordinaires qui soient. Guérir : c’est changer de croyances Pour changer notre vie et nos relations, guérir notre corps et faire régner la paix dans notre famille et entre les nations, il suffit de modifier la façon dont nous utilisons nos croyances. Les croyances humaines, ainsi que les sentiments et les émotions les entourant, changent directement l’ADN lequel a une influence sur ce qui se passe dans la Matrice Divine. Lorsque nous changeons nos croyances à propos de notre corps, la Matrice Divine transporte ce changement dans notre réalité quotidienne. Cependant, pouvons-nous supporter la vérité que nous avons nous-mêmes demandé à découvrir ? Ce sont nos croyances qui déterminent le genre de vie que nous menons. Quoique que nous fassions dans notre existence, ce sont les croyances à l’origine de nos actions qui constituent le fondement de tout ce que nous aimons, rêvons, devenons et réalisons. Que ce soit le rituel matinal par lequel nous amorçons la journée, ou bien les inventions que nous utilisons pour améliorer notre qualité de vie, ou même la technologie conçue pour détruire la vie lors des conflits militaires, l’ensemble de nos routines personnelles, des coutumes de notre communauté, de nos cérémonies religieuses et même de notre civilisation est fondé sur les croyances que nous entretenons. 

Nous fondons donc notre vie en fonction sur ce que nous croyons à l’égard de notre monde, de nous-mêmes, de nos capacités et de nos limites. De ce fait, si notre vie est fondée sur ce que nous croyons, alors que se passe-t-il si nos croyances sont erronées ? Sommes-nous vraiment les architectes de nos vies ? 

Les croyances sont des programmes La science déclare que nos croyances ont le pouvoir de changer le cours des événements dans l’Univers : littéralement d’interrompre et de rediriger le temps, la matière, l’espace ainsi que les événements s’y déroulant. Les croyances sont alors les « programmes » créant les processus que nous observons dans la réalité. Si les croyances bénéfiques à la vie ont le pouvoir de repousser la maladie et de guérir le corps, nous devons alors nous poser une question qui s’impose d’elle-même : quels torts les croyances négatives peuvent-elles causer ? Quelles peuvent être les conséquences du bombardement des messages transmis par les médias, souvent centrés sur l’idée que nous sommes malades au lieu de nous encourager à célébrer notre bonne santé ? 

C’est ainsi qu’un faible pourcentage de la population atteint de paix intérieure, cette dernière se répercute partout autour ! La profondeur de nos croyances les plus intimes influence clairement ce qui se passe dans notre environnement. 

Selon cette perspective, tant la guérison de nos corps que la paix entre les nations, ainsi que notre succès en affaires, dans nos rapports avec les autres et dans notre carrière, mais aussi les échecs amoureux et la dissolution des familles, en fait, TOUT doit être considéré comme un reflet de nos croyances et du sens que nous accordons aux expériences de la Vie. Oui, les croyances sont un langage. 

Une croyance est une expérience personnelle. Une croyance est un pouvoir personnel. Il est important de comprendre que toute croyance s’exprime dans le cœur, là où nos expériences sont traduites en ondes électriques et magnétiques en constante interaction avec le monde physique. Les croyances, et les sentiments qu’elles font naître en nous, sont le langage qui communique avec la matière quantique de notre réalité. Il a été observé que plusieurs de nos croyances les plus intimes, tirent leur origine de notre subconscient et ont pris forme avant l’âge de sept ans, quand l’état malléable du cerveau nous permettait d’absorber les idées des autres. Si nous parvenons à identifier comment les caractéristiques se manifestent autour de nous dans le genre de personnes, de situations et de relations auquel nous avons affaire dans notre vie, nous aurons une bonne idée des croyances subconscientes qui en sont à l’origine. Découvrir les croyances subconscientes Lorsque nous sommes confrontés aux plus grands défis de notre vie, nous réalisons souvent que nos croyances les plus secrètes sont mises au jour et peuvent être alors plus facilement guéries. 

Car, Ce n’est pas ce que vous pensez croire qui importe, pas plus que ce que vous aimeriez penser croire. La question la plus importante est : En quoi croyez-vous réellement ? La croyance crée des miracles La science découvre aujourd’hui que la réalité se conforme à nos attentes et à nos croyances. Ce qui signifie que chacun d’entre nous détient le pouvoir d’influencer le comportement de la matière et le déroulement de la Réalité, simplement par la façon dont nous percevons le monde qui téléchargement (8)nous entoure. De ce fait, si nous croyons à un miracle, s’il devient possible et manifesté pour une personne, il devient possible et tangible pour tout le monde. La Guérisons des croyances Pour changer les limitations liées à notre passé, notre esprit a besoin d’une très bonne raison pour changer ses croyances. Mais, changer ses croyances, c’est changer son identité, c’est pour cette raison qu’il est difficile de changer nos croyances. C’est pour cela qu’il nous faut un puissant élément déclencheur pour ébranler nos fondements. Il est temps de guérir nos croyances. En changeant nos croyances, nous changeons notre vie … 

        Par Greg Braden

 

Publié dans:POUVOIR |on 7 février, 2015 |Pas de commentaires »

La Biologie des Croyances

 

Nous avançons à grands pas grâce à la physique quantique.

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Les recherches alliant physique quantique, ingénierie électrique, chimie et biologie, sont particulièrement pertinentes, car elles pourraient donner naissance à des thérapies entraînant beaucoup moins d’effets secondaires que les médicaments. Or, ces recherches confirmeront ce que « savent » déjà, sans l’avoir réalisé, le scientifique et le non-scientifique : tout organisme, y compris l’humain, communique avec son environnement et le décode en évaluant les champs d’énergie. Comme l’humain dépend étroitement des langages parlé et écrit, il a négligé ses senseurs d’énergie en tant que système de communication. 

Comme pour toute fonction, le non usage mène à l’atrophie. Les aborigènes utilisent encore quotidiennement cette fonction hypersensible, et il n’y a pas chez eux d’atrophie sensorielle. Ainsi, ils sont capables de sentir l’eau enfouie profondément dans le sable. Quant aux chamans de l’Amazonie, ils communiquent avec l’énergie des plantes médicinales. Vous avez déjà eu, à l’occasion, un aperçu de cet ancien mécanisme sensoriel. Par exemple, vous est-il déjà arrivé de marcher dans une rue sombre la nuit et de vous sentir soudainement vidé de toute énergie ? Que pensez-vous avoir ressenti ? Tout simplement une interférence « destructive », comme les cailloux déphasés dans l’eau. 

Dans le jargon populaire, il s’agit de mauvaises vibrations, d’ondes négatives. Vous est-il déjà arrivé aussi de rencontrer inopinément une personne et d’être, au contraire, énergisé au point d’avoir l’impression de « planer » ? Dans  ce cas, vous avez ressenti une interférence constructive, c’est-à-dire de bonnes vibrations ou des ondes positives. Quand j’ai abandonné l’idée que nous sommes faits de matière inerte, j’ai non seulement compris que la science où je faisais carrière était dépassée, mais aussi que je devais favoriser davantage d’interférences constructives dans ma propre vie. J’avais besoin d’une mise au point quantique dans ma propre vie. Au lieu de m’employer à créer des énergies harmoniques dans ma vie, je vivais en dispersant mon énergie sans réfléchir. C’était un peu comme chauffer une maison en plein hiver tout en gardant portes et fenêtres grandes ouvertes. J’ai donc commencé à fermer ces portes et ces fenêtres en observant soigneusement où je gaspillais mon énergie. Certaines portes furent faciles à fermer. Ce fut le cas quand je décidai de mettre un terme aux activités épuisantes, dont les mortelles soirées de faculté. Il me fut par contre plus difficile d’abandonner mon défaitisme habituel, tout aussi épuisant. Comme nous le verrons au prochain chapitre, les pensées consomment autant d’énergie qu’un marathon.

 

BIOLOGIE ET CROYANCES.

…. Comment est-il possible que l’esprit surpasse le programme génétique, comme dans ce cas-là (cas du Dr Mason et du patient souffrant d’une maladie génétique mortelle)… le médecin ne le savait pas, a pensé que c’était des verrues, a soigné le jeune homme avec l’hypnose en pensant que c’était des verrues, et le jeune garçon a été guéri de sa maladie. Il n’a plus jamais pu recommencer, car ensuite il « savait  » qu’il ne pouvait pas guérir. En quoi la croyance de Mason en son traitement a-t-elle pu influencer sur le résultat ? La nouvelle biologie fournit quelques réponses à ces questions. Nous avons vu que la matière et l’énergie sont enchevêtrées. Il en découle logiquement que l’esprit (énergie) et le corps (matière) sont liés de façon similaire, bien que la médecine occidentale ait vaillamment tenté de les séparer depuis des centaines d’années. Au 17ième siècle, Descartes rejeta l’idée que l’esprit puisse avoir une quelconque influence sur le corps. Selon lui, le corps physique était fait de la matière concrète et l’esprit, matière non identifiable mais clairement immatérielle. A défaut d’identifier la nature de l’esprit, Descartes abandonna l’énigme philosophique suivante impossible à résoudre : Si seule la matière peut agir sur la matière, comment un esprit immatériel peut-il être « relié » à un corps matériel ? L’esprit non physique que voyait Descartes fut communément appelé le « fantôme dans la machine » par Gilbert Ryle, dans son livre « The concept of Mind », publié en 1949.

 

La biomédecine classique, fondée sur l’univers exclusivement matériel de Newton, adhère à la notion cartésienne  d’une séparation entre l’esprit et le corps. D’un point de vue médical, il serait plus facile de réparer un corps mécanique que d’avoir à se préoccuper de son « double fantomatique » désordonné. L’univers quantique réunit ce que Descartes avait séparé. Eh oui, l’esprit (énergie) émane du corps physique, comme le pensait Descartes. Toutefois, notre nouvelle compréhension des mécanismes  de l’univers nous révèle de quelle manière l’esprit immatériel peut avoir une incidence sur le corps physique. La pensée, cette énergie de l’esprit, affecte directement la façon dont le cerveau contrôle la physiologie.  

L’ « énergie » de la pensée peut activer ou inhiber la production cellulaire de protéines par la mécanique des interférences  constructives et négatives, dont j’ai parlé au chapitre précédent. Voilà pourquoi, j’ai effectué un premier pas en vue de changer ma vie, j’ai effectivement observé comment je dispersais mon énergie cérébrale ; j’ai dû examiner l’effet de l’énergie investie en pensées aussi attentivement que celle  investie physiquement. Malgré les découvertes de la physique quantique, la dissociation entre le corps et l’esprit se perpétue dans la médecine occidentale. On apprend aux   scientifiques à qualifier d’anomalies étranges, et à rejeter en ce sens, les cas analogues à celui du garçon guéri d’une maladie génétique par le pouvoir de son esprit. Je crois au contraire que les scientifiques devraient se lancer dans l’étude de ces anomalies. Derrière ces cas exceptionnels se cache une compréhension plus puissante de la nature de la vie, plus « puissante » parce que ces exceptions contredisent les « vérités » établies. En fait, exploiter le pouvoir de votre esprit peut s’avérer plus efficace que les médicaments qu’on vous a programmé à croire nécessaires. La recherche dont il a été question au chapitre précédent révélait que l’énergie agit plus efficacement sur la matière que les agents chimiques.  

Malheureusement, les scientifiques préfèrent souvent nier les exceptions au lieu de les comprendre. Mon exemple préféré du déni scientifique devant la réalité de l’interaction entre le corps et l’esprit est tiré de l’article paru dans Science. Il portait sur un physicien allemand du 19è siècle, Robert Koch, qui avec Pasteur, bâtit la «théorie des germes ». Selon cette théorie, les bactéries et les germes sont la cause des maladies. La théorie des germes est aujourd’hui largement admise, mais, à l’époque, elle était plus controversée. L’un des critiques de Koch était si convaincu de la fausseté de cette théorie qu’il avala imprudemment un verre rempli de « vibrion cholérique », la bactérie responsable du choléra selon Koch. A la surprise générale, l’homme ne fut aucunement atteint par ce virulent pathogène.images (3) 

L’article publié dans le magazine Science en 2000, relatait l’incident : « pour une raison inexplicable, cet homme n’eut aucun symptôme, mais avait tout de même tort. » L’homme avait survécu et, reflétant l’opinion  unanime sur la théorie des germes, Science avait tout de même eu l’audace d’affirmer  que la critique de cet homme était incorrecte. Pourtant s’il est admis que cette bactérie cause le choléra, et si l’homme a prouvé qu’il n’était pas affecté par ces germes… alors, comment pouvait-il « avoir tort » ? Au lieu d’essayer de comprendre comment l’homme avait échappé à cette maladie redoutable, les scientifiques rejetèrent allégrement cette exception embarrassante, ainsi que d’autres qui gâchaient leurs théories. Vous rappelez-vous du dogme selon lequel les gênes contrôlent le vivant ? Voilà un autre exemple où les scientifiques, enclins à établir la validité de leur vérité, ignorent les exceptions troublantes. Le problème ici, c’est qu’il ne peut y avoir d’exceptions à une théorie, car l’exception démontre que la théorie n’est pas totalement exacte. L’ancienne pratique religieuse de la marche sur le feu est un exemple courant où la réalité défie la croyance scientifique établie. Des croyants se rassemblent quotidiennement pour dépasser les frontières de la conscience habituelle en marchant sur des charbons ardents.

Bien que la température du charbon et le temps d’exposition soit suffisants pour causer des brûlures médicalement significatives aux pieds, des milliers de participants en ressortent totalement indemnes. Avant de sauter sur la conclusion que les charbons ne sont pas réellement très chauds, il faudrait compter le nombre de participants qui manquent de foi et se brûlent les pieds en marchant sur ces mêmes charbons. Même si la science admet formellement que le VIH est la cause du Sida, elle ne peut expliquer pourquoi un si grand nombre d’individus infectés par ce virus depuis des décennies ne présente aucun signe de la maladie. L’exemple des cancéreux en phase terminale qui recrouvrent la santé après une guérison spontanée totale est encore plus déconcertant. Etant donné que de telles rémissions dépassent les frontières de la théorie classique, la science rejette complètement le fait qu’elles se soient produites. Les rémissions spontanées, qualifiées d’exceptions inexplicables selon nos valeurs courantes, ou simplement de mauvais diagnostics, sont tout bonnement écartées.

 

Quand la pensée positive se gâte.

Avant de poursuivre sur le pouvoir incroyable de l’esprit et sur la façon dont ma recherche sur les cellules m’a amené à comprendre le fonctionnement des voies de communication entre le corps et l’esprit, je viens de clarifier  ceci : je ne crois pas qu’une simple pensée positive mène invariablement à la guérison physique. Il est important pour notre santé et notre bien-être de canaliser l’énergie de l’esprit vers des pensées positives, et vivifiantes, et d’éliminer les constantes pensées négatives, qui sont débilitantes. Mais, et j’insiste fortement « MAIS », le seul fait de penser positivement n’a pas nécessairement d’effet sur nos vies ! En réalité, ceux chez qui la pensée positive ne réussit pas deviennent encore plus démunis face à la situation qu’ils croient sans issue, car ils pensent avoir épuisé tous les remèdes de l’esprit et du corps. Ce que ces décrocheurs de la pensée positive n’ont pas compris, c’est que même si les subdivisions de l’esprit, le conscient et l’inconscient semblent   séparés, elles sont interdépendantes. Le conscient est le créatif, celui qui peut créer les pensées positives. 

En revanche, l’inconscient est l’archivage d’actions-réactions mémorisées, archivage hérité de l’instinct et de l’expérience acquise. L’inconscient fonctionne uniquement par habitude. Il rejoue sans cesse les mêmes  réactions comportementales aux signaux de la vie, et c’est déplorable ; combien de fois êtes-vous parti en guerre pour un détail  aussi bête qu’un tube de dentifrice ouvert ? Comme, dès l’enfance, on vous a montré à soigneusement remettre le bouchon sur le tube, votre « esprit programmé » s’active et vous vous mettez automatiquement en colère en voyant le tube débouché. Ainsi, vous répétez tout bonnement le mécanisme d’action-réaction d’un programme comportemental stocké dans votre inconscient.  

Sur le plan des capacités neurologiques, l’inconscient est des millions de fois plus puissant que le conscient. Si la volonté du conscient entre en conflit avec la programmation inconsciente, laquelle des deux l’emportera à votre avis ? Vous aurez beau vous répéter sans cesse l’affirmation positive que vous êtes digne d’être aimé, ou que votre tumeur cancéreuse se résorbera, si, dans l’enfance, on vous a constamment répété que vous étiez nul et maladif, ce message programmé dans votre inconscient minera vos efforts en vue de changer. Pensez seulement à la vitesse à laquelle votre résolution du Nouvel An, visant à moins manger, à fondu à l’odeur du gigot au four… mais il y a de l’espoir pour les personnes chez qui la pensée positive n’a pas réussi…. Nous verrons cela plus tard….

 

L’esprit prime sur le corps

… à mesure que les animaux plus complexes ont évolués, les cellules spécialisées ont pris la responsabilité de surveiller et d’organiser le flux des signaux moléculaires régulant leur comportement. Ces cellules se sont constituées en des réseaux de nerfs et un processeur central d’information, le cerveau. La fonction de ce dernier est de coordonner le dialogue des signaux moléculaire dans la communauté. En conséquence, chaque cellule d’une communauté doit obéir aux décisions éclairées de son autorité consciente, le cerveau, lequel contrôle le comportement des cellules du corps. C’est là un point dont il faut tenir compte lorsque nous accusons les cellules de notre corps des problèmes de santé qui nous affectent.

 

images (4)Emotions : comprendre le langage des cellules

Chez les formes de vie supérieures plus conscientes, le cerveau s’est spécialisé pour permettre à toute la communauté de se syntoniser sur ses signaux régulateurs. Le système limbique s’est doté d’un mécanisme unique qui convertit les signaux communicationnels chimiques en sensations que toutes les cellules de la communauté sont aptes à ressentir. Notre conscient ressent ces signaux en tant qu’émotions. Le conscient ne se limite pas à « lire » le flux des signaux de coordination cellulaire qui constituent « la conscience » corporelle. En réalité, il peut également générer des émotions sous la forme d’une émission de signaux régulateurs contrôlée par le système nerveux.  

… Candace Pert, étudiait le cerveau humain et comprenait de mieux en mieux les mécanismes du cerveau cellulaire. Dans « Molécules of Emotion », Pert révèle comment, en étudiant les récepteurs d’information situés sur les membranes des cellules nerveuses, elle a découvert que ces récepteurs étaient présents dans la plupart, si non la totalité, des cellules de notre corps. Par ses expériences, elle a établi que « l’esprit » n’est pas uniquement localisé dans la tête, mais réparti dans tout le corps, sous forme de signaux moléculaires. Son travail soulignait en outre que les émotions n’émanent pas seulement d’une réaction à l’information provenant de l’environnement physique. Le mental peut consciemment utiliser le cerveau pour « générer » des « molécules d’émotion » et outrepasser le système. Si la conscience, employée judicieusement, peut améliorer la santé du corps, le contrôle inconscient des émotions peut aisément nuire à un corps en santé… 

Les croyances contrôlent la biologie

… nous avons la capacité d’évaluer consciemment nos réactions aux stimuli et de changer nos vieilles réactions n’importe quand … après nous être occupé du puissant inconscient… dès lors nous ne sommes donc pas esclaves de nos gènes ni de nos comportements autodestructeurs… 

Placebo : l’effet croyance

En médecine, on enseigne aux étudiants, du moins en survol, que le mental peut affecter le corps. On leur apprend que certaines personnes vont mieux quand elles croient (à tort), qu’on leur administre des médicaments. Lorsque le patient se sent mieux après avoir avalé un comprimé de sucre, la médecine appelle ce phénomène effet placébo. Mon ami Rob Williams, fondateur de PSYCH-K, un système de traitement psychologique basé sur l’énergie, affirme qu’il serait plus juste de qualifier ce phénomène : d’effet perception. Pour ma part, je l’appelle effet croyance pour souligner que nos perceptions, exactes ou inexactes agissent de la même manière sur le comportement et le corps… En tant que scientifique, je crois pour ma part que plus nous en saurons sur la « science » du placébo, plus nous pourrons nous en servir en milieu clinique. A mon avis, si l’esprit a été rejeté aussi sommairement en médecine, c’est

non seulement en raison d’une pensée dogmatique, mais également pour des considérations financières. En effet, si votre esprit avait le pouvoir de guérir votre corps malade, pourquoi iriez-vous consulter un médecin, et, pire encore, pourquoi achèteriez-vous des médicaments ?…  

Une étude de la Baylor School of Medecine, publiée en 2002 dans le New England Journal of Medecine, a évalué la chirurgie dans le cas de douleurs débilitantes sévères au genou. Le principal auteur de l’étude, le Dr Bruce Moseley, « savait » que la chirurgie aidait ses patients. « Tout bon chirurgien sait qu’il n’y a pas d’effet placebo en chirurgie ». Or, Moseley tentait de comprendre qu’elle partie de la chirurgie soulageait ses patients. Dans son étude, les patients se divisaient en trois groupes. Dans le premier groupe, Moseley avait cureté les cartilages du genou endommagé de ses patients ; dans le deuxième groupe, il avait lavé l’articulation et retiré la matière qu’il croyait être la cause de l’inflammation. Ces deux procédures constituent en effet le traitement courant dans le cas d’arthrite du genou. Quant aux patients du troisième groupe, ils avaient subi une « fausse » chirurgie. Après leur avoir administré un sédatif, Moseley fit les trois incisions habituelles, parla et agit comme durant une véritable opération, et aspergea même le genou d’eau salée pour simuler le bruit d’une procédure de lavage. Au bout de quarante minutes, il recousit les incisions comme dans une chirurgie. Aux trois groupes, il prescrit les mêmes soins postopératoires, dont un programme d’exercices. 

Les résultats furent incroyables. Bien sûr, comme on s’y attendait, les groupes ayant subi une chirurgie s’étaient améliorés. Cependant, le groupe placebo s’était amélioré tout autant que les deux autres ! Malgré le fait qu’il y ait actuellement 650 000 chirurgies du genou, coûtant chacune 5 000 $, pour Moseley les résultats étaient clairs : « mes talents de chirurgien n’ont été d’aucune utilité à ces patients. L’avantage d’une chirurgie pour l’arthrose du genou est entièrement attribuable à l’effet placébo »… Effet placebo et antidépresseur… le professeur de psychologie Irving Kirsch, de l’université du  Connecticut, découvrait que 80% de l’effet des antidépresseurs, tels que mesuré en essais cliniques, serait imputable à l’effet placebo… Autre fait intéressant à noter sur l’efficacité des antidépresseurs : les performances en essais cliniques s’est améliorée au fil des années, ce qui laisse penser que leur effet placebo est partiellement attribuable à un bon marketing. Plus le miracle des antidépresseurs était vanté dans les médias et en publicité, plus ceux-ci devenaient efficaces. Les croyances sont  contagieuses ! 

Nous vivons maintenant dans une culture où les antidépresseurs fonctionnent, parce que les gens y croient !

 

… le nocebo : l’effet des croyances négatives

Bien que de nombreux professionnels de la santé soient conscients de l’effet placebo, peut-on considéré son potentiel d’auto guérison ? Si la pensée « positive » peut vous sortir de la  dépression et guérir un genou endommagé, imaginez un peu ce que la pensée négative peut faire dans votre vie ! Le phénomène de l’esprit, qui par la suggestion positive, améliore la santé, est connu sous le nom de placébo. En revanche, lorsque le même esprit est absorbé par des pensées négatives susceptibles de nuire à la santé, cet effet négatif est appelé nocebo En médecine, l’effet nocebo peut s’avérer aussi puissant que l’effet placébo, ce que vous devriez avoir à l’esprit chaque fois que vous consultez un médecin. Par leurs paroles et leurs attitudes, les médecins sont à même de transmettre aux patients des messages décourageants qui, à mon avis, sont totalement gratuits…

Dans l’émission « Placebo : Mind Over Medecine », diffusée en 2003 sur les ondes de Discovery Health Channel, … le passage le plus touchant présente un médecin de Nashville, Clifton Meador,

lequel avait réfléchi pendant trente ans au pouvoir potentiel de l’effet nocebo. En 1974, le Dr Meador avait un patient du nom de Sam Londe. Cet homme, un vendeur de chaussures à la retraite, souffrait du cancer de l’oesophage, considéré comme fatal à l’époque. Londe fut traité pour ce cancer, mais toute la communauté médicale « savait » que son cancer reviendrait. Ce ne fut donc pas une surprise lorsque l’homme mourut, quelques semaines après son diagnostic. La surprise vint après la mort de Londe,  lorsque l’autopsie révéla que celui-ci n’avait que très peu de cancer, et certainement pas suffisamment pour en mourir. Il présentait quelques taches au foie, et une autre au poumon, mais aucune trace de ce cancer de l’oesophage qui était censé l’avoir tué. Le Dr Meador fit ce commentaire à la télévision : « cet homme est mort avec le cancer, non du cancer. » de quoi Londe est-il mort, si ce n’est du cancer de l’oesophage ? Est-il mort parce qu’il croyait qu’il allait mourir ? Ce cas hante encore le Dr Meador,   trente ans après le décès de Londe : « je pensais qu’il avait le cancer. Il pensait en être atteint. Tout le monde autour de lui le pensait … ne lui aurai-je pas fait perdre espoir, d’une certaine manière ? » De tels cas de nocébos suggèrent que les médecins, les parents et les enseignants peuvent vous amener à perdre espoir en vous programmant à croire que vous n’avez aucun pouvoir. Nos croyances positives et négatives affectent non seulement notre santé, mais aussi les autres aspects de notre vie. Vos croyances agissent comme les filtres d’un appareil-photo : elles changent votre façon de voir le monde. Et votre biologie s’adapte à vos images (1)croyances. Lorsque nous admettons réellement que nos croyances ont un tel pouvoir, nous détenons la clé de la liberté. Nous ne pouvons changer les matrices de notre code génétique, mais nous pouvons changer notre esprit… »

 

Livre «Biologie des Croyances». Docteur Bruce H. Lipton

Ce livre révèle les découvertes majeures en la matière, et qui vont changer considérablement notre vision du monde.

 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, POUVOIR |on 6 février, 2015 |Pas de commentaires »

Les propriétés des bougeoirs en cristal de sel

 

téléchargement (5)Le cristal de sel gemme, formé il y a des millions d’années, possède des propriétés telles que les spécialistes du Feng-Shui, de la géobiologie ou encore de la chromothérapie, conseillent fortement l’utilisation de bougeoirs ou de lampes fabriqués à partir de cette matière.

On voit fleurir ces magnifiques objets décoratifs aussi bien dans les cabinets de thérapeutes, dans les salles de relaxation ou de méditation que chez les particuliers. Ils ont effectivement leur place dans une chambre d’enfant, près d’un ordinateur ou d’un écran de télévision. La lumière relaxante et reposante d’un bougeoir en cristal de sel atténue, en effet, les inconvénients de nos appareils électroniques.

Neutraliser les ions nocifs

L’air qui nous entoure, lorsqu’il est pollué, comporte une surcharge d’ions positifs. Ceux-ci ont la caractéristique de laisser en apesanteur de minuscules grains de poussière. Aussi, les personnes allergiques aux acariens s’en trouvent considérablement gênées. Or, la spécificité du cristal de sel réside dans le fait que, combiné à une source de lumière (bougie ou même ampoule), il émet des ions négatifs. Résultat ? Les grains de poussière tombent sur le sol assainissant ainsi l’air ambiant. Par ailleurs, une bougie disposée près d’un appareil électrique atténue les effets indésirables sur l’organisme humain comme le stress ou l’insomnie, ces inconvénients étant dus à une exposition hertzienne trop importante.

Un recentrage sur soi

Des disciplines de type Feng-Shui, géobiologie, magnétisme, témoignent aussi des bienfaits du cristal de sel en termes d’espace. Le bougeoir permet effectivement de se recentrer selon les axes des points cardinaux. Il aide aussi à résoudre les clivages corps/esprit, matière/spiritualité et réalité/rêve car le sel est un minéral induisant un ancrage. De ce fait, il permet au psychisme de se reconnecter à la terre, de la même manière qu’une prise de terre en électricité. Les thérapeutes le conseillent donc pour lutter contre l’instabilité et la propension à se laisser aller aux fluctuations d’un mental débridé. Très utile également pour aider à se libérer du tabagisme et d’autres dépendances. Une lampe en cristal de sel canalise donc les émotions et incite, quoi qu’il en soit, à plus de sagesse et de sérénité.

Des formes uniques

Récoltés dans des galeries pouvant parfois atteindre 800 mètres de profondeur, les blocs de sel servant à la fabrication de bougeoirs sont travaillés de façon artisanale. Ceci explique que chaque produit est unique par sa forme. S’offrir une telle bougie n’a ainsi rien à voir au niveau vibration avec un objet fabriqué en série. Les couleurs, elles aussi naturelles, vont du blanc au rouge, en passant par le jaune et l’orangé. Le ton est tributaire de la quantité d’argile qui se trouvait là lors du processus de cristallisation. Un spécialiste en chromothérapie peut aider à choisir la couleur de la bougie le plus en accord avec soi. Quant au coût, il varie en fonction de la lampe, selon une fourchette allant de 40 à 100 euros.

 

Pierrette Fillot du MAGAZINE SIGNES ET SENS

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, POUVOIR |on 30 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

Terra Nostra : hommage

 

images (8)Imaginez les sons qui vous parviennent depuis une vieille demeure en pierre, derrière une lourde porte de bois entrouverte : des cliquetis, le bruit d’une scie, et une douce musique qui s’élève dans les airs, au rythme des tambours. Imaginez également les odeurs, la sciure du bois, la cire, les vieilles pierres qui constituent les murs de la pièce… Si vous poussez la porte, vos yeux se poseront sur un Atelier modeste. Au centre trône une table usée par les années, remplie de perles et de breloques, de baguettes, de pierres et d’autres merveilles. Au mur, des dizaines d’étagères pleines à craquer de coffrets et de tissus qui se soutiennent les uns aux autres. Là bas, tout au fond, il y a une   bibliothèque, dont les planches courbent sous le poids des livres accumulés depuis si longtemps. Chacun d’eux contient un rêve, un souffle, un murmure, une idée. Et même lorsque les tambours s’arrêtent, la Magie est encore là.» S’il fallait décrire Terra Nostra tel qu’il se présente dans ma tête,  s’il m’était demandé de vous faire ressentir ces images, ces sensations qui emplissent mon esprit, c’est ainsi que je le ferais, jamais autrement. «Terra Nostra», «Notre Terre» en français, est mon atelier d’artisanat Païen, un espace de partage quotidien et d’expérimentations créatives. Pourquoi ce nom ? Tout simplement parce qu’il évoque la Terre, bien entendu, Celle qui est à la base de tout, Gaïa, celle qui soutient nos pas jour après jour malgré nos erreurs et sans laquelle nous ne serions pas là aujourd’hui… Elle représente pour moi l’Energie primordiale, la Déesse au dessus des Dieux – s’il fallait la personnifier ; je ne connais rien de plus puissant, de plus enivrant ni de plus inspirant que sa force et son énergie.

Il faut la respecter, lui rendre hommage pour les cadeaux qu’elle nous offre. Parmi ces cadeaux se trouvent justement les matières naturelles avec lesquelles je travaille jour après jour : mes matériaux de prédilection sont la pierre et le bois, mais également les plumes, l’écorce, que je ramasse avec bonheur lors de mes balades en forêt. Enfiler des perles, pyrograver un symbole, poncer du bois, dessiner… Ce sont autant d’actes qui sont tout sauf dénués de sens.

En créant, on se concentre non seulement sur ce que l’on cherche à réaliser, sur la cohésion  d’ensemble, les matières et les teintes, les reflets et les formes, mais aussi sur soi. Plus longue est la création, plus longue est la réflexion. Il ne s’agit pas juste d’assembler trois pierres ensembles parce que-c’est-cool-et-hop-voila-c’est-fait, non, bien au contraire !

On met toujours un peu de soi dans ce que l’on fait, peu importe ce que l’on fait, comment on le fait et pourquoi on le fait. Et on prend le temps de réfléchir. Parfois, notre esprit divague, on pense à autre chose, on se remémore des faits, des gens, des images ou des paroles, et puis on revient à ce que l’on a entre les mains, on constate, on évolue, on change des éléments, tant sur le bijou/objet/autre que dans notre propre cheminement. On se met en relation avec ce en quoi nous croyons au plus profond de nous-mêmes et, parfois, en y mettant le coeur nécessaire, il est possible de percevoir un peu de cette énergie, de cette force qui anime nos croyances.

«Terra Nostra», c’est aussi un nom plein de mystère, élément qui, selon moi, manque trop souvent à nos vies quotidiennes, happées par la société d’aujourd’hui. Nous ne prenons plus le temps de rêver. Une fois tombés dans l’âge adulte, il nous est demandé de devenir raisonnable, d’oublier les contes de fées pour se concentrer sur la rentabilité, le marketing. Il faut consommer, consommer, consommer encore… Alors, une once de mystère, un peu de fantaisie, quelques gouttes de rêverie au milieu de tout ceci, ça ne fait pas de mal !

1Je me suis lancée dans l’aventure créative il y a maintenant plus d’un an. Après avoir crée depuis ma plus tendre enfance aux côtés de ma famille, qui m’a appris énormément, j’ai décidé d’allier ma spiritualité aux travaux manuels car j’ai la conviction que l’un ne va pas sans l’autre. Créer, c’est faire le lien entre Ciel et Terre, c’est relier esprit et matière, pour que l’un soit le résultat de l’autre et vice versa. Pendant un an, donc, j’ai partagé mes créations sur un blog, rencontré des gens fabuleux avec qui il m’a été donné de faire un petit bout de chemin. En un an de création, à savoir 365 jours de réflexion, de découvertes et d’échanges, beaucoup de choses se sont passées et ont changé tout naturellement en moi et autour de moi. Il y a quelques mois, je me suis retrouvée à la croisée des chemins, et j’ai dû faire un choix décisif pour la suite de ma vie. Je venais de finir mes études de graphisme/webdesign, mon contrat de travail avait touché à sa fin, et les offres dans mon domaine ne pullulaient pas trop (et ce n’est d’ailleurs toujours pas le cas…). Ainsi, un cycle se terminait pour laisser place à un autre et j’ai pris le temps de faire le bilan. Qu’est-ce que je voulais faire de ma vie ? Pour quoi étais-je réellement faite ? J’ai toujours aimé le graphisme, et j’aime toujours ce métier pour lequel j’ai été formée. Ce qui ne me plaît pas, en revanche, c’est tout ce qui l’entoure, ce brouillard informe et nauséabond d’hypocrisie, de stress et de profit qui plane au dessus de ce genre de métier. Comment me résoudre à créer des affiches publicitaires, à imaginer des story boards pour vendre à des inconnus ce dont moi-même je ne suis absolument pas convaincue ? D’autant que la plupart du temps, les gens n’ont vraiment pas besoin qu’on les matraque encore et encore d’images supplémentaires, alors que nous avons déjà l’esprit encombré de milliers d’entre elles dès que nous ouvrons les yeux au petit matin…

Je me suis toujours sentie en décalage avec la société actuelle. Mes aspirations ont toujours été simples, hors du cadre «normal» : apprécier la Nature, lire, flaner… et fuir les métros bondés ! Ce que j’aime par dessus tout, c’est donc la création, faire plaisir en me faisant plaisir, offrir des choses originales, différentes, être proche de ceux qui viennent me demander un coffret, une baguette ou  un collier rituel… J’aime essayer de donner vie à leurs envies, il n’y a rien de mieux que de travailler sur un bijou personnalisé qui vous tient à cœur, ou de décorer un objet selon vos goûts, avec l’appréhension de savoir si cela va vous plaire ou non lorsque vous le recevrez. A quoi bon être tous  différents si, lorsque nous cherchons par exemple un outil de pratique magique, nous nous retrouvons tous face aux mêmes créations, fabriquées à la chaîne par une machine qui se fiche plutôt pas mal de ce que nous sommes ? Nous sommes tous différents, et nous avons donc tous des envies et des besoins différents. C’est la base de tout.

En un an, j’ai eu la possibilité d’expérimenter de nombreuses choses, de tester de nouvelles techniques, d’observer l’évolution de l’Atelier, de voir si le projet était viable à long terme. Et je pense sincèrement qu’il l’est. Depuis le début du mois de novembre, j’ai fait de l’Atelier mon projet professionnel. Voilà, ça y est, le pas a été franchi. Je veux me lever le matin en étant heureuse d’«aller travailler», en faisant tous les jours un métier qui me plaît. Peut-être que ça marchera, peut-être que ça ne marchera pas, je n’en sais rien, et je ne veux pas le savoir. Mais dans tous les cas, j’essaie, et j’y crois fort ! Certains ont vu démarrer ce projet d’un œil bienveillant, m’ont même beaucoup aidée et donné des ailes pour aller de l’avant, et je les en remercie du fond du coeur car, sans eux, je pense que je ne serais pas là où j’en suis aujourd’hui. Mais d’autres en revanche n’ont pas mis longtemps avant de faire fuser critiques infondées et réflexions méprisantes alors qu’on ne se connaissait même pas. A ceux-là, je répondrais simplement que le monde est bien assez vaste pour qu’ils y trouvent leur place eux aussi, sans pour autant nuire à ceux qui souhaitent s’épanouir en toute quiétude. Mon but n’est pas de me faire de l’argent sur le dos des autres. Je ne souhaite pas devenir comme ces gens que je critique si fort. Ce n’est pas parce que je suis passée d’«amateure» à «professionnelle» que mes aspirations, idées et points de vue ont changé. Bien au contraire ! Mais ne nous leurrons pas, à chaque fin de mois, il faut payer des factures, faire des courses, payer un loyer… Vivre, tout simplement !

De «Rêves Païens», l’ancien nom de mon Atelier, à «Terra Nostra», j’ai souhaité garder la même ligne de conduite, la même proximité. Un nom qui change ne veut pas dire que la personne qui se cache derrière change elle aussi.  Terra Nostra, au final, c’est une multitude d’objets créés par vous et pour vous, qui évoluent constamment au fil du temps et des saisons, se parent de mille couleurs en  automne et d’un manteau blanc scintillant en hiver. Ce sont des encens aux senteurs multiples, faits de résines et d’herbes sélectionnées avec soin, ce sont des baguettes de bois, gravées de vos symboles, issues du cœur même de la forêt.

animée6Ce sont des coffrets aux multiples facettes, prêts à protéger vos propres trésors, mais aussi des bijoux magiques pour enchanter les Sabbats, prier la Lune ou Cernunnos. Ce sont aussi des créations plus fantaisistes, des boucles d’oreilles, des bracelets ou des pendentifs de pierres qui caressent du bout du doigt les mythes et légendes celtiques, nordiques ou chamaniques, soufflés par une mélodie, une image ou un murmure. Ce sont des cadres en bois pour orner vos murs, des plaques d’autel pour accueillir vos offrandes, des Runes, des Tarots, et tant d’autres choses encore…

Et si vous poussiez la porte de l’Atelier ?

Carnet d’adresse : La boutique : http://atelier-terranostra.net

La plateforme d’échange : http://blog.atelier-terranostra.net/

Contact : yuna@atelier-terranostra.net

Publié dans:ENERGIES, MAITRISE, POUVOIR, TERRE |on 27 janvier, 2015 |Pas de commentaires »

Les effets protecteurs des symboles spirituels

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Une croix, une médaille, une Bible ou tout autre objet dont l’effigie ramène à une notion religieuse, autant de symboles qui restent animés d’une énergie qui dépasse la simple notion d’esthétique ou de religiosité. Le symbole en effet relève de ce que Carl Gustav Jung a nommé « archétype », c’est-à-dire une connaissance commune à toute l’humanité, que les religions se sont appropriées sous une forme correspondant à leur théologie mais qui renvoie à un patrimoine quasi universel.

Depuis des millénaires, l’Homme s’interroge sur le sens de la vie. Pour cela, il a besoin de se sentir relié à quelque chose de plus grand que lui. Conscient de ses limites matérielles, son esprit, lui, englobe passé, présent et avenir. Autrement formulé de façon récente par Sigmund Freud, le psychisme inconscient de l’être humain ne connaît ni le temps ni l’espace. Et tout le travail de la cure psychanalytique est justement de faire cohabiter harmonieusement conscient et inconscient, limites et absence de limites. Son disciple Carl Gustav Jung parle d’inconscient collectif, abordant le fait religieux comme un essai d’harmonisation, accordant au symbole religieux une action psychiquement pacifiante.

Équilibre, harmonie, éveil

Offrir un objet à consonance religieuse doit s’adapter à la sensibilité de la personne à qui l’on veut faire plaisir et avoir du sens. Le prosélytisme serait perçu comme une agression. Hélène porte sur elle une main de Fatma, offerte par une famille maghrébine en remerciement d’un service rendu alors qu’elle travaillait dans un organisme en lien avec l’immigration. Si elle n’avait pas ressenti une énergie relationnelle faite d’une réelle authenticité, il est évident qu’elle n’accrocherait pas à son cou cet objet. Il en est de même pour Martine, athée et amatrice d’art, qui reçoit pour son anniversaire une magnifique reproduction d’une icône orthodoxe russe nommée « La Gouvernante ». Martine est fascinée par l’énergie artistique qui se dégage de l’image, autant que par l’histoire qui va avec : on raconte qu’au printemps 1991, dans l’église Saint Nicolas de Moscou, pendant deux semaines, une icône semblable à celle-ci se mit à suinter de l’huile… Le mandala, quant à lui, est d’origine indienne et recèle une connaissance qui vient de la nuit des temps. Sa forme géométrique et l’agencement de ses couleurs obéissent à des règles strictes et procurent à son observateur équilibre, harmonie et éveil. De plus en plus de personnes, pas spécialement sensibilisées à l’Hindouisme, témoignent de leur attirance spontanée pour ce symbole. Zoé en possède une collection et demande elle-même à ses proches en manque d’idée de cadeaux de compléter celle-ci…

Pour toutes les sensibilités

Il est intéressant de constater que selon un questionnaire effectué par une paroisse catholique auprès des habitants de Nîmes, beaucoup de foyers, même s’ils ne l’ouvrent pas, possèdent une Bible. Le mot bible signifie livre et celui-ci reste le best-seller par excellence. Il n’est pas rare dans certaines chambre d’hôtel de la trouver tout naturellement à disposition. Offrir une belle Bible, joliment reliée et parfois illustrée, peut être fort appréciée, indépendamment de toute sensibilité religieuse. De la même manière, offrir une croix (il en existe une infinité, de la croix traditionnelle à la croix dite du Languedoc ou encore la croix Saint-Jacques-de-Compostelle avec coquille) sera rarement mal reçue… La médaille de Sainte-Rita sera l’occasion de rappeler l’histoire singulière et admirable de cette femme qui fut tour à tour épouse, mère de famille et… religieuse. Quant à Saint-Hubert, le patron des chasseurs, il a aussi son effigie. La légende raconte qu’un jour qu’il se trouvait engagé dans une partie de chasse et que celle-ci l’avait conduit dans un coin de la forêt des Ardennes, un cerf, qui paraissait plus grand et plus beau que les animaux de son espèce, lui apparut avec une croix entre ses bois. Le récit ne dit pas s’il le tua ou pas : à chacun de l’imaginer… La liste est longue de ces objets qui invitent si ce n’est à l’introspection, du moins à l’interrogation. Offrir un symbole religieux revient à mettre en lien l’être aimé avec un symbolisme protecteur.

 

Gérard Tardieu DU MAGAZINE Signes et Sens

Publié dans:ENERGIES, POUVOIR |on 8 janvier, 2015 |Pas de commentaires »
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