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Les symptômes d’un Envoutement

 Les symptômes d'un Envoutement dans POSSESSION yeux-chat

 Décrits sur le site : http://chapellesaintexpedit.com/envoutement.html

I) Sensation de piqûres à la nuque, au plexus solaire, dans la région du coeur, parfois Sensation de brûlures 
2) Impression de poids sur la poitrine ou sur les épaules (Etouffement)
3) Palpitations cardiaques, surtout en période de pleine lune.
4) Douleurs lancinantes dans la tête certaines périodes et le soir de préférence.
5) Angoisse sans raison
6) Sensation d’épuisement sans cause, perte d’énergie, fatigue en se levant
7) Amaigrissement sans raison.
8 ) Cauchemars éprouvants et répétés avec un paroxysme aux lunaisons.
9 ) Réveil en pleine nuit avec sensation de présence dans la chambre.
10) Peur irraisonnée quand on est seul
11) Pulsions répétées de suicide.
12) Impuissance sexuelle persistante après consultation médicale.
13) Inappétence pour la sexualité
14) Sensation d’attachement sur le corps (pendant le sommeil)
15) Objet se déplaçant dans la chambre ou dans le lieu où l’on habite.
16) Sensation d’être mal dans sa peau lorsque l’on pénètre dans une Eglise ou de dire des 
grossièretés à l’encontre des images Saintes ou des Icônes à caractère Religieux
17) Devenir agressif et grossier envers ses proches et ses amis sans motifs valables.
18) Malchance dans tous les domaines, malgré l’acharnement, la volonté et la persévérance, tous ces
efforts se solde par des échecs consécutifs ; surtout dans le domaine professionnel
19) Brusque dégoût du partenaire (quelques fois réciproque) dans les rapports sexuels provoquant un éloignement affectif.
20) Malaises vagues ou contractures musculaires, impression que les organes se déplacent dans le corps.
21) Impression d’être observé, épié sans cesse.
22) Série de désagrément, problèmes, deuil, catastrophes affectives ou professionnelles régulièrement et surtout aux lunaisons. Echecs permanent.
23) Eloignement des relations, des amis ou désaffection d’une clientèle. Perte d’argent répétées etc.
24) Prostration volontaire, abandon soudain des habitudes (loisirs et autres) désir de s’enfermer, de s’isoler entièrement et de ne voir personne.
25) Série noire d’accidents ou de maladies dont les médecins ne comprennent pas l’origine, la raison ou le mode curatif. Et parfois un dédoublement de personnalité.
26) Les personnes entendent des voix très désagréables qui les persécutent.

Publié dans:POSSESSION |on 18 avril, 2013 |Pas de commentaires »

La certitude de la Possession

La certitude de la Possession dans POSSESSION mort4-300x183

Le communiqué de l’Agence France-Presse, dont il a été fait mention précédemment, indique que, selon le nouveau Rituel « l’exorciste ne doit jamais procéder à un exorcisme sans avoir la ‘certitude morale’ de se trouver réellement face au démon » !… Voilà une exigence qui est théologiquement plus que discutable !…

Il faut rappeler d’abord que les signes caractéristiques d’une possession diabolique ne se manifestent pas constamment ; au contraire, ils apparaissent presque toujours pendant ou vers la fin d’un exorcisme. Sauf dans les cas les plus graves, le sujet possédé peut continuer à vaquer à son travail, à poursuivre des études, d’une manière apparemment normale, étant en réalité le seul à connaître les efforts que cela lui demande. Lorsqu’il ne se trouve pas en présence d’une influence religieuse, le possédé n’attire habituellement pas l’attention ; au contraire, il peut être aimable et discret !…

Le discernement est souvent difficile et conjectural et c’est l’exorcisme lui-même qui permet de diagnostiquer la possession. Les trois principaux symptômes de la possession, c’est-à-dire une force surhumaine, le parler en langues inconnues et la connaissance de choses cachées, ne se manifestent jamais avant l’exorcisme et toujours pendant celui-ci. C’est au cours de l’exorcisme que l’exorciste discerne graduellement la gravité du mal, qu’il constate s’il s’agit d’une possession, d’une obsession, d’une vexation, et si le mal est profondément enraciné.

Il convient de remarquer que le nouveau Code de droit canonique n’exige plus la certitude de la présence du démon pour prononcer un exorcisme (can. 1172), comme le faisait l’ancien Code (can. 1151).

D’ailleurs, pourquoi prendre tant de « précautions » pour éviter de nuire au démon, alors qu’il est la cause, plus ou moins lointaine, de tout le mal qu’il y a chez les hommes et sur la terre ?… De plus, selon le témoignage de nombreux exorcistes, jamais un exorcisme, qui n’était pas nécessaire, n’a causé le moindre dommage ; par contre, ils ont parfois eu à regretter de l’avoir omis !…

A ce sujet, on peut admirer la « sagesse » du père Francescau Palau, béatifié par le pape Jean-Paul II, le 25 avril 1988 !… Il accueillait les malades mentaux et il les exorcisait TOUS : alors, ceux qui étaient malades restaient malades, tandis que les possédés étaient libérés !…

Extrait du site : http://chapellesaintexpedit.com/pathologie.php

Publié dans:POSSESSION |on 13 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Se libérer de la possession

 Se libérer de la possession dans POSSESSION morta-241x300

Beaucoup de personnes ont perdu le contrôle de leurs corps, de leurs émotions, et même de leur esprit au contact d’autres « présences ». Cela entraîne des comportements inhabituels allant de l’hyperactivité, à la folie, au changement de personnalité, à la dépendance et à des colères incontrôlées. Nous sous-entendons que la plupart de ces comportements sont causés par la possession par des entités. Ce livret explore ce problème.

Qu’est-ce qu’une entité ? Qu’est-ce que la possession par une entité ?

Une « entité » est un être désincarné ou non physique qui s’est attaché lui-même à une personne, un hôte, afin de lui soutirer l’énergie dont il a besoin pour assouvir ses désirs. Par cet attachement, l’entité affecte la santé physique et émotionnelle, autant que mentale de l’hôte; elle peut causer des problèmes ou aggraver ceux déjà existants; elle peut aussi conduire son hôte vers des comportements criminels.

Le comportement de l’hôte, ses émotions, ou ses désirs attirent l’entité puisque celle-ci choisit d’habitude une personne ayant des besoins semblables : une entité qui garde une envie irrésistible de chocolat s’accrochera à un hôte qui adore le chocolat; celle qui aime jouer des percussions s’attachera à un batteur; celle qui sollicite de l’héroïne s’accrochera à un consommateur d’héroïne qui  risque de devenir un héroïnomane accro de par l’impact ajouté de l’envie insatiable de l’entité. L’hôte porte la responsabilité ultime et doit traiter avec le comportement qui attire l’entité.

Une entité peut s’emparer d’une personne pour la durée d’une vie, comme dans le cas d’un enfant solitaire qui invite une entité à apparaître et celle-ci lui reste accrochée; ou s’attache jusqu’à ce qu’un acte précis soit accompli, comme dans le cas de jeunes gens qui abattent leurs camarades de classe avec des armes à feu.
Une entité peut aussi s’emparer d’une personne de temps à autre, comme dans le cas d’artistes qui créent des œuvres d’art les unes à la suite des autres; les artistes identifient souvent l’entité comme leur muse et peuvent avoir un rituel particulier pour se connecter avec elle. Beaucoup de personnes qui ont une entité attachée à elles le réalisent à un niveau subconscient; vous pouvez le percevoir dans le langage qu’elles emploient : « Je ne sais pas ce qui m’a possédé, mais une fois que j’ai commencé à le fouetter, quelque chose m’a envahie et je ne pouvais juste plus m’arrêter. » Si elles s’étaient assises tranquillement à ressentir ce qui était alors en jeu, elles se seraient rendu compte qu’il y avait quelque chose d’étrange attaché à elles, affectant leur comportement.

Certaines personnes se rendent clairement compte qu’elles ont une entité qui leur est attachée, mais restent embarrassées pour en parler de crainte de paraître insensées. Écoutez ce que dit un homme qui est conscient qu’une entité le dirige; il pouvait seulement rester sobre une semaine à la fois; après il devait s’embarquer pour une soûlerie agressive : « Avant chaque bringue, je sens un monstre se coller à mon dos et ce monstre me fait boire et combattre. Le monstre s’en va seulement quand je suis ivre dingue et roué de coups. J’ai peur de ne pouvoir jamais m’arrêter. »

Comment une entité est-elle créée ? D’où vient-elle ?

Pour comprendre ceci, nous devons explorer la structure du corps humain. Les êtres humains possèdent plusieurs corps : le physique, l’éthérique, l’astral et des corps mentaux inférieurs; ainsi que le mental supérieur, bouddhique et des corps atmiques, qui composent le royaume de l’âme. Pour notre étude, nous nous occuperons des quatre corps inférieurs.

Le corps éthérique : votre corps physique possède un corps éthérique qui lui est associé, auquel il est entremêlé, un corps d’énergie subtil; c’est la force de vie qui soutient et anime votre corps physique. Votre corps éthérique lie votre corps physique dense avec votre corps astral, autrement dit émotionnel.  

Le corps astral : votre corps astral est le siège de vos désirs et émotions. Ces émotions peuvent s’étendre et varier des plus sombres (désirs qui poussent à  la cruauté, à l’avidité, à la dépendance, et à des pratiques sexuelles perverties) aux plus élevées (les désirs de joie, de paix et de libération d’âme).

Le corps mental inférieur : votre corps mental inférieur est le siège de la pensée concrète et du raisonnement; quand il est étroitement entrelacé avec le corps astral, sa faculté pensante est recrutée pour accomplir les désirs inférieurs du corps astral : il cherche des façons de soutenir vos besoins élémentaires primordiaux, comme contribuer délibérément, manipuler, et inventer des moyens pour obtenir ce que vous souhaitez. La plupart des personnes vivent sur ce plan d’existence.

À la mort le corps physique se décompose et retourne à la poussière. Le corps éthérique continue quant à lui à vivre, emportant avec lui le corps astral et le corps mental inférieur.  

Si la personne avait des attachements émotionnels forts, soit envers une personne aimée ou détestée, soit envers l’alcool, la drogue, le sexe, voire le pouvoir politique ou quelque chose d’équivalent, l’âme dès lors ne peut passer à autre chose, ou se développer. Le corps éthérique astral s’attarde alors au plan éthérique le plus bas et dans les sous-plans astraux appropriés au niveau de l’évolution de cette personne.  

Si l’âme tend à continuer son voyage d’évolution, le corps éthérique astral expérimente alors une deuxième mort, se brise en sous-parties, laissant derrière lui des coquilles éthériques astrales qui devraient se désagréger au fil du temps, ce qu’elles ne font pas souvent. Ces coquilles conservent leur instinct de préservation.  

Aussi, ces coquilles et corps éthériques astraux conservent certains des désirs et des appétits de leur personnalité précédente, mais elles n’ont plus de source de vie pour les animer. Si elles parviennent à s’attacher à une personne vivante, elles peuvent alors l’utiliser comme source d’énergie, elles deviennent dès lors des entités exploitant l’être qu’elles ont capturé.

Que veut une entité ?

Alors lisez la suite sur le site d’origine…. 

Publié dans:POSSESSION |on 7 avril, 2013 |1 Commentaire »

Possession et entités astrales

 

Possession et entités astrales dans POSSESSION a1L’idée d’une interaction permanente entre notre monde et le monde spirituel est de celles qui existent dans l’imaginaire de toutes les cultures de l’humanité. Il s’agit d’un fond commun, d’un archétype qui sommeille dans toutes les consciences et qui conditionne de façon plus ou moins perceptible notre philosophie de vie. Pendant longtemps, les traditions spirituelles nous raccrochaient à l’idée réconfortante d’un ailleurs où nous nous retrouvons après la mort. C’est d’ ailleurs le sens des veillées et des messes qui accompagnent traditionnellement l’âme des défunts.

Pour ce qui est de l’après-vie, certaines cultures admettent que l’esprit de nos devanciers peut rester en contact avec nous, on dit « liés à la terre », afin de nous faire partager l’acquis de leur évolution sur la terre. Il en est aussi pour signaler des cas d’obsessions et de possessions qui reviennent hanter et affaiblir les vivants. Il s’agit d’hommes habités par une présence. Ils se trouvent alors dépouillés de leur volonté propre et de leur sensibilité, et ne sont plus qu’un instrument entre les mains de celui qui les possède. A cet effet, les exorcismes sont des rites religieux qui ont pour but d’écarter l’influence de ces esprits possessifs. Est-il possible qu’un esprit désincarné puisse parasiter voire contrôler notre personnalité ? Globalement, le corps scientifique s’y refuse. Pourtant, il existe des méthodes de guérison et de dépossession qui s’emploient et qui obtiennent de très bons résultats. Alors mythe ou réalité ? Voici quelques éléments d’histoire pour tenter d’y voir plus clair !

Du côté de la science…

Aujourd’hui, le matérialisme aliénant de notre société de consommation a posé une chape de doutes sur la permanence dans l’après-vie. En se détournant de sa quête intérieure, le monde marchand fait de plus en plus l’apologie de l’avoir et s’appuie sur le matérialisme scientifique pour affirmer qu’après la mort il n’y a plus rien, que du néant, le vide. Pourtant ce sont les scientifiques du 20 e siècle qui nous invitent à rester sceptiques, étant entendue notre ignorance des lois universelles.

Confucius disait « quand on ne sait pas ce qu’est la vie, comment peut-on savoir ce qu’est la mort ? ». D’après la physique quantique, le vide c’est l’absence de matière car il n’y a pas de particules réelles, mais ce n’est pas rien car cet état de vie est doué de propriétés particulières. Il s’agit d’un peuplement de particules virtuelles ne pouvant pas se matérialiser spontanément mais pouvant perturber la propagation des particules réelles. En somme, il existe donc une interaction entre la matière telle que nous la connaissons, localisée et définie dans l’espace, et une matière virtuelle, indéfinie et délocalisée, peuplée de particules fantômes. Ne voyons nous pas là l’illustration de la théorie des corps énergétiques chère aux sages hindous ?

Toujours du côté de la science, on peut citer aussi le cas de ces personnes qui ont fait l’expérience de la mort clinique, appelée aussi expérience de mort imminente. 

Les enquêtes menées par des parapsychologues comme Raymond Moody mentionnent le cas de ces personnes qui sont sortie de leur corps et l’ont observé comme une entité séparée. Il y a aussi la « transcommunication », observée pour la première fois par le scientifique suédois Friedrich Jürgenson en 1959. Jürgenson capte sur un magnétophone des sons qui forment une voix semblant émaner de nulle part. Canular ou vérité, on a observé depuis de nombreux phénomènes similaires sur des appareils audio ou vidéo. Le pape Pie XII lui-même s’est intéressé à cette forme de communication dont il disait qu’elle « est un moyen scientifique bien différent du spiritisme car neutre et impossible à influencer par l’esprit humain ».

Pour ne pas conclure, on constate que la recherche métapsychique tend de plus en plus à devenir un sujet d’étude au même titre que les autres disciplines. Sans doute parce que l’ésotérisme d’hier est devenue la science d’aujourd’hui. Dès lors on peut raisonnablement penser que l’évolution de notre expérience puisse nous permettre, un jour prochain, de comprendre des phénomènes qui hantent la psyché humaine depuis le début de l’évolution, et qui, demain, feront sans doute partie de notre champ conscient pour notre bien être à tous.

Publié dans:POSSESSION |on 30 mars, 2013 |Pas de commentaires »

Jean-Paul II – exorciste

On raconte de nombreux cas d’exorcisme pratiqué par Jean-Paul II. En voici un parmi d’autres, raconté par le photographe officiel du Pape, Arturo Mari :

 Je me souviens que durant une audience générale ils ont fait venir une fille, très particulière. À un moment de l’audience, elle s’est mise à hurler. Sa voix n’était pas humaine, elle ressemblait à celle d’une bête ou, plus exactement, elle semblait venir d’outre-tombe. La jeune fille prononçait des paroles très violentes, imprégnées de colère et de haine. Le vice gouverneur, Jean-Paul II - exorciste dans POSSESSION gpii_indexMonsignore Danzi, est descendu, il a cherché à lui parler mais sans aucun effet. Aussi la fille se déchaînait-elle encore davantage, elle criait des paroles encore plus vulgaires, offensives. Après l’audience, le Saint Père a commencé à recevoir les invités, puis il est monté sur la papamobile et est parti pour rentrer au Saint Siège. À la hauteur de l’Arc des Cloches, il y avait la fille, parce que justement on l’avait placée là contre le mur de la basilique. C’était une jeune fille de 20-22 ans, mince, mais elle avait tant de force que six fonctionnaires de l’antichambre, appelés habituellement ’sediari’, jeunes gens robustes, n’arrivaient pas à la maintenir immobile. Elle avait une force inconcevable, surhumaine. Quand ils ont dit au pape ce qui se passait, le Saint Père a fait arrêter la voiture, il est descendu et à ce moment s’est passé le ’pandémonium’. La jeune fille s’est mise à crier : « va-t’en vieil estropié ! Maudit !… » et de sa bouche, sortait une salive verdâtre, foncée. Son visage n’était pas humain. Les jeunes gens qui la retenaient étaient tout en sueur, ils n’arrivaient pas à la maintenir immobile. À ce moment, la jeune fille n’avait pas visage humain. Sa force non plus ne pouvait être humaine. Le Saint Père s’est approché, il a fait le signe de croix et a commencé à prier en latin. J’étais à une certaine distance, je n’entendais pas les paroles du Pape, en revanche j’entendais très distinctement la jeune fille qui continuait à crier : « Vieil estropié, tu es malade ! » À un certain moment, pendant que le Pape priait, la voix de la jeune fille s’est atténuée, est devenue presque une lamentation : « Mais tu sais que je ne peux rien contre toi. Je ne peux rien, tu es trop fort, trop fort ». Le Saint Père, priant, a mis la main sur sa tête et alors on a entendu un cri, comme arraché du ventre. Le Pape l’a bénie, l’a touchée de nouveau. La voix de la jeune fille était encore plus faible, elle répétait : ’ça suffit, maudit’, et après environ 20 minutes elle s’est tue. Puis elle s’est affaissée et son visage a repris sa physionomie normale, mais elle était littéralement trempée de sueur. Après cela, elle a ouvert les yeux et a regardé le Pape. Le Saint Père l’a caressée, bénie, et ensuite il est parti. J’étais stupéfait, bouleversé. Des phrases contre le Pape, du ton de la voix, inhumain, et surtout de la simplicité de l’intervention de Jean Paul II.

(SOURCES Catéchisme de l’Eglise Catholique n°1673 ; Compendium CEC n°352 ; Code de Droit Canon, Can. 1172 ; Rituel Romain, Cap. De exorcizandis obsessis a daemonio ; Tanquerey, Compendium de Théologie Ascétique et Mystique ; Schram, Théologie Mystique).

Publié dans:POSSESSION, POUVOIR |on 16 juin, 2012 |Pas de commentaires »

Se libérer d’une possession démoniaque

Comment libérer quelqu’un d’une possession démoniaque ?

Se libérer d'une possession démoniaque dans POSSESSION 220px-Goya_le_sabbat_des_sorci%C3%A8resL’exorcisme vise à expulser les démons ou à libérer de l’emprise démoniaque et cela par l’autorité spirituelle que Jésus a confiée à son Église (CEC n° 1673). L’Eglise demande beaucoup de prudence à cause de la délicatesse et de la gravité du problème. L’exorcisme solennel, appelé  » grand exorcisme « , ne peut être pratiqué que par un prêtre et avec la permission de l’évêque. Il faut y procéder avec prudence, en observant strictement les règles établies par l’Église. Le Code de Droit Canon précise que le prêtre qui reçoit la licence de pratiquer l’exorcisme doit être doté de piété, de sagesse, de prudence et d’intégrité de vie (Can 1172). Il convient donc à l’exorciste de discerner s’il s’agit d’une maladie psychique ou d’une véritable possession. Ensuite, il faut distinguer les cas aptes à l’exorcisme (Le 1er et le 4ème cas ne conviennent pas, car ils découlent d’un consentement libre à la possession du démon : ils ne peuvent donc être annulés que par une décision personnelle exprimée à travers un profond repentir et une confession sacramentelle.) Dans tous les cas, l’exorcisme n’est vraiment efficace que s’il est suivi par une décision personnelle de renoncer à Satan (promesse du baptême) et par un retour aux sacrements. Sinon, la possession risque de revenir, et d’être encore pire que la précédente (Cf. Mt 12.43-45)

Le prêtre qui procède à l’exorcisme (ainsi que les personnes qui retiennent le possédé pendant l’exorcisme) doivent être eux-mêmes en état de grâce, avoir une profonde vie intérieure, et ne pas avoir dans le passé été possédés ou très affectés par le péché. L’exorcisme ne convient pas aux personnes émotives, ni aux personnes colériques. Sachant que les démons sont, à l’égal de leur chef, les « pères du mensonges », l’exorciste doit posséder une très grande humilité pour ne pas être affecté par les insultes du démon.

Issu du site 

Publié dans:POSSESSION |on 28 mai, 2012 |1 Commentaire »

Des cas de possession

Les possessions diaboliques : mythe ou réalité ?

Comment reconnaître un cas de possession ? Peut-on être possédé et en état de grâce ? Que faire devant une possession ? Les pactes avec le démon, ça existe vraiment ? Qui peut faire un exorcisme ? Comment se protéger contre les possessions ?

Ce que dit l’Eglise

L’Eglise affirme que les démons ont vraiment le pouvoir de posséder ou d’obséder les corps des hommes comme celui des objets matériels.

La possession est le phénomène par lequel le démon envahit le corps d’un homme et en prend le contrôle. Les deux éléments fondamentaux de la possession sont :

 La présence d’un ou plusieurs démon(s) dans sa victime. 
 Le commandement « despotique » du démon sur elle.

Des cas de possession dans POSSESSION Merkaba-Dante-Paradiso-Canto-31-Chakras-Above-HeadL’infestation est la présence d’un démon dans un objet matériel.

Les personnes qui souffrent d’une possession sont appelées : énergumènesobsédésdémoniaques ou possédés.

On a affaire à un exorcisme lorsque l’Église demande, avec son autorité, au nom de Jésus, qu’une personne ou un objet soit protégé contre l’emprise du Malin et soustrait à son empire. Sous sa forme simple, il est pratiqué lors de la célébration du Baptême. L’exorcisme solennel, appelé grand exorcisme, ne peut être pratiqué que par un prêtre et avec la permission de l’Évêque.

Que disent les Evangiles ?

L’Evangile cite de nombreux cas de possessions : il y a par exemple le possédé de Gerasène, que Jésus libère de ses « légions » de démons (Mc 5.1-13) ou le possédé que Jésus exorcise dans la synagogue de Capharnaüm après que ce dernier eut tenté de l’agresser (Mc 1.13-27). Les Evangiles notent que Jésus, pendant sa vie publique, « chassait de nombreux démons » ( Mc 1.34) et que les gens qui assistaient à ces premiers exorcismes étaient stupéfaits « car Jésus avait autorité sur eux » (Lc 4.36).

Jésus envoie ses disciples avec le pouvoir de chasser les démons (Mc 6.7) et précise que certains genres de démons « ne peuvent être chassés que par la prière » (Mt 17.21). Lors des exorcismes pratiqués par Jésus, se révèle clairement sa divinité : les démons le craignent et reconnaissent en lui « le Saint de Dieu » (Lc 4.34).

Son pouvoir d’exorciste lui sera d’ailleurs objecté par ses détracteurs. Certains juifs accusaient en effet Jésus de tenir son pouvoir du démon (Mc 3.22-30). Mais Jésus leur répond habilement en poussant leur raisonnement jusqu’à l’absurde : s’il chassait les démons par un pouvoir démoniaque, cela signifierait que le royaume de Satan est divisé, ce qui n’a aucun sens.

Satan est le protagoniste principal de la mort de Jésus : Jésus avait en effet affirmé que par sa passion, « le prince de ce monde serait jeté dehors » (Jn 12.31). Cet holocauste permettra donc à Jésus de « racheter » l’humanité de ses péchés. Le démon craint cette victoire de Jésus ; il avait même affirmé que « le monde lui appartenait » (Lc 4.6). Satan tente donc de dissuader Jésus (Lc 4.13 ; Mt 16.36-46), et il va simultanément déchaîner sa haine contre le Fils de Dieu : c’est l’heure des ténèbres. Satan pénètre dans le cœur de Judas (Jn 13.27), le « fils de la perdition » (Jn 17.12), qui va livrer Jésus au Sanhédrin avant d’aller se pendre.

Par la Résurrection, Satan est définitivement vaincu, ce qui le place dans une situation extrême : il ne peut se convertir mais connaît sa défaite et est donc désespéré. C’est justement dans ce royaume du désespoir, de la désolation, qu’il essaie d’attirer les hommes. En effet l’homme est la créature préférée de Dieu, et donc celle que Satan hait le plus, et par sa liberté l’homme peut refuser Dieu jusqu’à l’extrême de la condamnation éternelle. C’est là qu’il veut le mener, par cause de sa haine et pour se venger ; et pour cela il ment continuellement à l’homme, lui qui est « menteur et père du mensonge » (Jn 8,44).

C’est pourquoi Jésus, dans la prière qu’Il nous a laissée, nous invite à demander à Dieu : « Délivre-nous du Mal ». Le catéchisme commente (CEC 2851) : « dans cette demande, le Mal n’est pas une abstraction, mais il désigne une personne, Satan, le Mauvais, l’ange qui s’oppose à Dieu. Le « diable » (dia-bolos) est celui qui « se jette en travers » du dessein de Dieu et de son œuvre de salut accomplie dans le Christ ».

La grandeur de ce combat est représentée en particulier dans le livre de l’Apocalypse de saint Jean : lorsque la victoire sur le « prince de ce monde » (Jn 14,30) est acquise, celui-ci « se lance à la poursuite de la Femme » (Ap 12,13), mais il n’a pas de prise sur elle : Marie, la nouvelle Eve, est préservée du péché et de la corruption de la mort. « Alors, furieux de dépit contre la Femme, il s’en va guerroyer contre le reste de ses enfants » (Ap. 12, 17). C’est pourquoi l’Esprit et l’Eglise prient : « viens, Seigneur Jésus » (Ap 22,17) puisque sa Venue nous délivrera définitivement du Mauvais.

Quels sont les différents genres de possession ?

On peut classifier les cas de possession en quatre groupes, suivant deux critères : le consentement de la personne et son état de grâce. La plupart des cas de possession proviennent de cérémonies occultes : spiritisme et rituels sataniques.

vmnbjhli dans POSSESSION 1er cas : La victime est en état de grâce et consent à la possession. C’est un cas assez rare, mais qui est rapporté par certains exorcistes. Il arrive que Dieu donne à certaines âmes la possibilité de souffrir jusque dans leur corps la présence d’un démon pour pouvoir affermir leur désir d’aimer Dieu et de renoncer au péché. On connaît le cas, au XIXème siècle, du Père Surin qui fut possédé par un démon alors même qu’il réalisait un exorcisme ; ses mémoires, en ce sens, ont été très précieuses pour montrer que le démon n’a en fait aucune influence directe sur la volonté de sa victime. Il ne fait que susciter des tentations… Mais il ne faut pas confondre ce cas avec celui des âmes qui s’offrent à Dieu comme « victime d’oblation » pour le salut des âmes (Ste Thérèse de Lisieux, Marthe Robin,…). Il peut aussi arriver dans certains cas que le démon s’en prenne à des personnes avec acharnement à cause du bien qu’ils font au monde : Le saint curé d’Ars et le Padre Pio avaient l’habitude de se battre « physiquement » contre le démon durant des nuits entières. Et il n’était pas rare qu’ils apparaissent le matin tout couverts de contusions… et que dans la journée un grand pécheur vienne se confesser.

 2ème cas : La victime est en état de grâce, mais ne consent pas à la possession. Ce cas, que l’on trouve dans l’Evangile (le jeune homme possédé depuis l’enfance Mt 17.14-21), est peut-être plus fréquent qu’on ne le pense. Il est difficile à comprendre car il nous semble, à première vue, assez injuste… « Qu’a donc fait cette personne de mal pour mériter une telle souffrance ? »La foi nous apprend cependant que Dieu n’est pas la cause du mal et qu’il n’accepte un mal que pour en faire sortir un plus grand bien. On a vu en effet des familles entières revenir à la foi et aux sacrements grâce à ce genre d’épreuve. Ce cas se produit rarement, pour ne pas dire jamais, dans les personnes qui ont une profonde vie spirituelle et sacramentelle. Certains exorcistes indiquent que cela peut se passer quand le rituel du baptême a été tronqué du cérémonial d’exorcisme, par négligence ou présomption.

 3ème cas : La victime n’est pas en état de grâce, mais n’est pas pour autant consentante à la possession.Il s’agit en fait d’un châtiment de Dieu dû à un enracinement profond dans le péché. Dieu « permet » cette possession à cause de l’endurcissement du cœur de l’homme. Thyrée (De daemoniacis, I pars, ch. 30, n° 9-23) signale principalement les désordres d’infidélité, d’apostasie, d’abus de l’Eucharistie, de blasphème, d’orgueil, les excès de luxure, de paresse, la persécution contre les serviteurs de Dieu, le manque de respect contre les parents, les violences de la colère, le mépris de Dieu et des choses saintes… Il arrive que ces personnes aient eu une certaine vie spirituelle. Mais à force de pécher, de ne pas pratiquer leur foi, l’eau chaude est devenue tiède, puis froide… puis a littéralement gelé. Alors le démon peut très facilement prendre « les commandes » de cette âme, comme il le fit avec le malheureux Judas (Jn 13.27). Dans ce cas, le démon conduit généralement sa victime au désespoir en la forçant à commettre des péchés très graves. La victime reçoit une image tant détestable d’elle-même qu’elle ne peut plus se supporter. Elle tombe dans la schizophrénie et la dépression. Cela s’achève souvent – c’est la victoire du démon – par un suicide. C’est aussi dans cette catégorie que l’on peut classer ceux qui, non baptisés, n’ont jamais eu accès à la vie de grâce.

 4ème cas : La victime n’est pas en état de grâce et est pleinement consentante à la possession. Ce cas provient d’un « pacte » établi avec Satan. Dans ce cas, le possédé devient complice du démon et reçoit généralement des « dons obscurs » qui lui permettent de multiplier ses forces pour répandre le mal dans le monde. Il y a alors une sorte « d’inversion » de l’ordre de la grâce : le possédé reçoit des pouvoirs et une protection particulière tant que ces derniers peuvent lui être utiles. Cependant, il ne faut pas croire que le démon devienne l’« ami » de celui qui pactise avec lui, car le diable n’a pas d’ami, il n’a que des victimes. Ceux qui se prêtent à ce triste jeu peuvent avoir un instant l’impression d’avoir gagné l’amitié de Satan. Qu’ils ne se fassent pas d’illusion : le diable les méprise autant que tous les êtres humains, race largement inférieure à sa nature angélique et pourtant préférée du Créateur.

Issu du site : http://qe.catholique.org/le-mal/6104-les-possessions-diaboliques-mythe-ou-realite

Publié dans:POSSESSION |on 27 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Invitation FORUM de discussion

 BONJOUR A TOUS ET TOUTES !

Invitation FORUM de discussion dans 2007 - PREDICTIONS 150157_979163764_coeur-rouge_H224046_L

Pour ceux qui apprécient ce blog et les autres, vous pouvez nous rejoindre sur Le forum que je viens de créer, c’est un nouvel espace de discussion supplémentaire et complémentaire….

Voici son adresse : http://devantsoi.forumgratuit.org/        

       Venez nombreux ! Je serai heureuse de vous y accueillir !

Vous pourrez toujours reprendre des éléments contenus sur ce blog afin de pouvoir en discuter ensemble sur le forum !

Je vous dis donc à TRES BIENTOT !

877c29ca dans 2008 - PREDICTIONS

La sexualité ou onanisme

Même si vous parvenez à vous passer de sexe pendant des années, cette activité est en vérité un besoin pour le mieux-être physique. Elle vous garde jeune et vigoureux ; grâce à l’intimité sexuelle avec une autre personne, vous approchez de votre âme. Avec l’âge, les gens cessent souvent de faire l’amour, pour une raison ou une autre, même s’ils ont un conjoint ou un partenaire. Dans ce cas, ils se livrent à l’onanisme. Les professionnels de la santé conçoivent désormais que la masturbation et autres formes d’autoérotisme sont indispensables au développement personnel et au mieux-être. Les personnes qui se privent de sexe pendant de longues périodes sont souvent sujettes à divers troubles physiques. Il est essentiel de stimuler le corps et c’est beaucoup plus délicieux et productif avec un partenaire. En vieillissant et en acquérant plus de discernement, vous êtes mieux en mesure de vous accorder à votre partenaire parce que vous êtes tous deux plus perceptifs et possédez la sagesse de l’expérience. Votre site sacré a reçu plus d’une visite ; vous avez aussi fait le tour du soleil plusieurs fois et glané le savoir du cosmos. Le sexe devient naturellement davantage qu’une expérience génitale ou physique et il prend du goût avec l’âge ; vous possédez la sagesse, vous avez construit des sentiers dans la forêt et, idéalement, vous avez accepté votre corps, ayant vaincu les fixations gauches de la jeunesse. Vous faites désormais l’amour avec une personne, vous ne faites pas qu’utiliser un corps aux fins de l’autostimulation. Du coup, les poignées d’amour, un ventre plus moi et un derrière moins ferme n’ont plus autant d’importance.

 La sexualité ou onanisme dans POSSESSION tao-3-2745Dans une relation à long terme, votre vie sexuelle prendra l’allure de montagnes russes. Si vous passiez votre temps à gravir l’Everest, ce serait plutôt éreintant. Franchir des sommets et des vallées, sur le plan sexuel, fait partie d’une relation saine. Néanmoins, en apprenant à mieux vous connaître, vous remarquerez que faire l’amour merveilleusement laisse derrière une quantité d’énergie tout aussi merveilleuse. Le sexe est un super-échange énergétique. L’expression sexuelle représente votre contact avec le Créateur. Il s’agit dès lors de savoir employer votre pouvoir sacré. Si vous entretenez une vie sexuelle secrète ou que vous êtes forcée de manipuler l’énergie – la vôtre ou celle d’un autre – pour coucher avec quelqu’un, vous faites alors un mauvais usage flagrant de votre intégrité et de votre responsabilité en tant qu’être humain. De telles attitudes vibrent au bout inférieur du spectre de la conscience. Vous seul êtes responsable de l’élévation de vos principes ; ce faisant, vous découvrirez la version cinq étoiles de l’énergie sexuelle.

 Le côté sombre et dangereux des pouvoirs de l’énergie sexuelle comporte la possession par des entités incorporelles. En ce qui concerne la gestion de l’énergie, vous devez vous demander : « Est-ce que j’occupe pleinement mon corps et est-ce que je fais l’amour de mon plein gré ? Mes expériences sexuelles son-elles consenties, joyeuses, basées sur l’intimité, la confiance et la sincérité ? » Si vous avez de fortes pulsions sexuelles, mais que l’intimité, la confiance et la sincérité sont absentes, l’ennui s’installera dans vos rapports et conduira à des explorations de plus en plus risquées, qui feront parfois appel à la douleur et à l’humiliation pour produire l’excitation génitale. Désirer ce type extrême de stimulation vous éloigne de plus en plus des frontières de la dignité humaine et vous rapproche des affres de la possession par une entité. N’oubliez pas que, lorsque vous ouvrez des vortex sexuels, vous jouez avec la puissance primale brute de la création. Des entités provenant d’autres dimensions sont très attirées par l’énergie érotique et par la force vitale ainsi générées. En présence de l’intimité et de l’amour, des énergies dynamiques à haute vibration établissent un contact subtil avec vous pendant le coït afin de reconnecter votre corps physique avec les dimensions supérieures de votre identité spirituelle, ce qui vous protège de la possession.

 Si l’on craint l’intimité et que sont absents le respect et l’appréciation pour le partage d’énergies créatives sacrées, le sexe ne sert alors qu’à la simple gratification de désirs transitoires. Cette approche est susceptible d’attirer les entités de basse vibration qui cherche à pénétrer dans la réalité matérielle sans avoir à se charge de la responsabilité d’occuper, de posséder et de s’occuper d’un corps. La possession par des entités est une calamité invisible. Plusieurs individus sont incapable de se sortir de comportements dysfonctionnels parce qu’ils ont dévalorisé l’acte sexuel et sont parasités par des entités attachées à leur champ énergétique. La société actuelle a dégradé et perverti la sexualité parce que des millions de gens ont consent à ce que leur deuxième chakra soit dominé par des êtres qui utilisent la race humaine pour satisfaire leurs désirs sexuels tordus. La pulsion véritable qui anime une dépendance ou la perversion, c’est la possession. Dans la plupart des cas, lorsqu’une personne se livre au sexe non consenti ou sans discernement, comme le viol ou l’union avec des enfants ou des animaux, elle se prête typiquement à la tromperie sexuelle, une attitude qui signale la présence  d’entités désincarnées. Les gens ont le droit, dans ce programme particulier de la réalité, d’explorer à leur guise les monts et les vaux de la destinée ; nous ne portons pas de jugement sur ces expérimentations. Néanmoins, pour ceux qui cherchent à atteindre un niveau de conscience supérieure, les valeurs morales et le degré de perception lucide qu’ils apporteront à ces activités détermineront la nature des expériences qu’ils attireront à eux.

 tao-3-2745 dans SEXUALITESi vous portez en vous des problèmes douloureux non résolus, liés à la sexualité, qui proviennent d’aventures antérieures, vos croyances concernant ces expériences apparaîtront lorsque vous ferez l’amour. Le côté sombre de la sexualité est douloureux, terrifiant, brutal, contrôlant, abuseur, dégradant, destructeur et humiliant. N’oubliez pas que le sexe ouvre naturellement les portes de la connaissance intuitive, que vous le souhaitez ou pas. Les expériences sexuelles intenses, notamment celles qui ont été vécues dans l’enfance, sont souvent liées à des problèmes ou à des accords provenant d’autres lignes temporelles. Les sévices sexuels laissent chez l’individu des traumatismes graves qui entraînent la fragmentation, la désorientation, la dissociation de la personnalité, et, le plus souvent, l’amnésie au sujet des événements à l’origine de ces traumatismes. Vous ne perdez pas la  boule sans raison. Dans les cas extrêmes, l’expérience violente de l’agression sexuelle peut conduire la victime à la démence ou alors elle développera des troubles de l’identité où elle perdra ou abandonnera apparemment le contact avec son centre parce qu’il lui sera impossible d’affronter les faits. De toute façon, tout traumatisme peut entraîner une augmentation dramatique de la sensibilité physique et psychique, incitant le corps à réagir en entretenant une vigilance accrue.

 Si le sexe était considéré comme un geste sacré, le monde ne connaîtrait pas les tumultes actuels. Le marché des esclaves sexuels, où des hommes, des femmes et des enfants sont achetés et vendus comme objets de plaisir, est une entreprise générant des milliards de dollars et dont les tentacules enserrent les cinq continents. Toute  une variété de groupes pernicieux se livre à une maltraitance sexuelle organisée. Ils utilisent l’énergie sexuelle pour exercer une domination sur autrui et, lors de rituels, comme offrande de force vitale pour amener des entités démoniaques noires dans la réalité matérielle. L’énergie sexuelle est l a plus vitale des forces qui résident en vous et c’est pourquoi ceux qui cherchent à contrôler la psyché l’utilisent pour dominer et diriger leurs esclaves ; le sexe génère aussi une quantité formidable d’énergie, qui comme l’énergie atomique, perce des trous dans d’autres réalités. Voilà pourquoi les gens qui se livrent à des actes sexuels non consentis ou sans discrimination attirent des entités de vibration inférieure correspondant aux formes-pensées fantasmatiques qu’ils entretiennent et qui satisferont ces entités. Les pensées et les désirs se chargent de la puissance de l’énergie sexuelle. Les entités s’empareront du corps et régenteront la sexualité de la personne en question. Si vous n’accordez aucune valeur à la sexualité, une entité désincarnée pourrait facilement se rendre maître de vos organes génitaux. Si vous êtes attiré par la pornographie et que vous vous livrez à des formes de sexualité sordides, il est plus que probable que ces forces se servent de vous pour dévaloriser la sexualité. Vous êtes également vulnérable à la possession si vous n’avez pas de frontières émotionnelles, mentales, physiques ou spirituelles ; si vous agissez dans la confusion et avez peine à prendre dune décision, ou si vous agissez sans amour pour vous-même et pour votre corps, vous postez alors une affiche de « chambre à louer » proposant le gîte et le couvert gratuits.

 Issu du livre Sagesse des Pléiades – Pour un monde en chaos – Le pouvoir de la sexualité humaine page 186 – de Barbara Marciniak aux éditions Ariane.

Publié dans:POSSESSION, SEXUALITE |on 5 février, 2012 |Pas de commentaires »

Un cas de possession

Mademoiselle Julie

 

Un cas de possession dans ESPRITSNous avons dit qu’il n’y avait pas de possédés dans le sens vulgaire du mot, mais des subjugués ; nous revenons sur cette assertion trop absolue, car il nous est démontré maintenant qu’il peut y avoir possession véritable, c’est-à-dire substitution, partielle toutefois, d’un Esprit errant à l’Esprit incarné. Voici un premier fait qui en est la preuve, et qui présente le phénomène dans toute sa simplicité.

Plusieurs personnes se trouvaient un jour chez une dame somnambule-médium. Tout à coup celle-ci prend des allures toutes masculines, sa voix change, et, s’adressant à l’un des assistants, s’écrie : « Ah ! mon cher ami, que je suis content de te voir ! » Surpris, on se demande ce que cela signifie. La dame reprend : « Comment ! mon cher, tu ne me reconnais pas ? Ah ! c’est vrai ; je suis tout couvert de boue ! Je suis Charles Z… » A ce nom, les assistants se rappelèrent un monsieur mort quelques mois auparavant, frappé d’une attaque d’apoplexie au bord d’une route ; il était tombé dans un fossé d’où l’on avait retiré son corps couvert de boue. Il déclare que, voulant causer avec son ancien ami, il a profité d’un moment où l’Esprit de madame A…, la somnambule, était éloigné de son corps, pour se mettre en son lieu et place. En effet, cette scène s’étant renouvelée plusieurs jours de suite, madame A… prenait chaque fois les poses et les manières habituelles de M. Charles, se renversant sur le dos du fauteuil, croisant les jambes, se frisant la moustache, passant les doigts dans ses cheveux, de telle sorte que, sauf le costume, on aurait pu croire avoir M. Charles devant soi ; toutefois il n’y avait pas transfiguration, comme nous l’avons vu en d’autres circonstances. Voici quelques-unes de ses réponses :

D. Puisque vous avez pris possession du corps de madame A…, pourriez-vous y rester ? –

R. Non, mais ce n’est pas la bonne envie qui me manque.

D. Pourquoi ne le pouvez-vous pas ?

R. Parce que son Esprit tient toujours à son corps. Ah ! si je pouvais rompre ce lien, je lui jouerais le tour.

D. Que fait pendant ce temps l’Esprit de madame A… ?

R. Il est là, à côté, qui me regarde et qui rit de me voir dans ce costume.

Ces entretiens étaient très amusants ; M. Charles avait été un joyeux vivant, il ne démentait pas son caractère ; adonné à la vie matérielle, il était peu avancé comme Esprit, mais naturellement bon et bienveillant. En s’emparant du corps de madame A…, il n’avait aucune mauvaise intention ; aussi cette dame ne souffrait-elle nullement de cette situation, à laquelle elle se prêtait volontiers. Il est bon de dire qu’elle n’avait point connu ce monsieur, et ne pouvait être au fait de ses manières. Il est encore à remarquer que les assistants ne songeant point à lui, la scène n’a point été provoquée, et qu’il est venu spontanément.

La possession est ici évidente et ressort encore mieux des détails, qu’il serait trop long de rapporter ; 090326051705619713376297 dans POSSESSIONmais c’est une possession innocente et sans inconvénient. Il n’en est pas de même quand elle est le fait d’un Esprit mauvais et mal intentionné ; elle peut alors avoir des suites d’autant plus graves que ces Esprits sont tenaces, et qu’il devient souvent très difficile d’en délivrer le patient dont ils font leur victime. En voici un exemple récent, que nous avons pu observer nous-même, et qui a été pour la société de Paris l’objet d’une étude sérieuse.

Mademoiselle Julie, domestique, née en Savoie, âgée de vingt-trois ans, d’un caractère très doux, sans aucune espèce d’instruction, était depuis quelque temps sujette à des accès de somnambulisme naturel qui duraient des semaines entières ; dans cet état elle vaquait à son service habituel sans que les personnes étrangères se doutassent de sa situation ; son travail même était beaucoup plus soigné. Sa lucidité était remarquable ; elle décrivait les lieux et les événements à distance avec une parfaite exactitude.

Il y a six mois environ, elle devint en proie à des crises d’un caractère étrange qui avaient toujours lieu pendant l’état somnambulique, devenu en quelque sorte l’état normal. Elle se tordait, se roulait à terre comme si elle se débattait sous les étreintes de quelqu’un qui cherchait à l’étrangler, et, en effet, elle avait tous les symptômes de la strangulation ; elle finissait par terrasser cet être fantastique, le prenait par les cheveux, l’accablait ensuite de coups, d’injures et d’imprécations, l’apostrophant sans cesse du nom de Frédégonde, infâme régente, reine impudique, vile créature souillée de tous les crimes, etc. Elle trépignait comme si elle la foulait aux pieds avec rage, lui arrachait ses vêtements et ses parures. Chose bizarre, se prenant elle-même pour Frédégonde, elle se frappait à coups redoublés sur les bras, la poitrine et le visage, en disant : « Tiens ! tiens ! en as-tu assez, infâme Frédégonde ? Tu veux m’étouffer, mais tu n’en viendras pas à bout ; tu veux te mettre dans ma boîte, mais je saurai bien t’en chasser. » Ma boîte était le terme dont elle se servait pour désigner son corps. Rien ne saurait peindre l’accent frénétique avec lequel elle prononçait le nom de Frédégonde, en grinçant des dents, ni les tortures qu’elle endurait dans ces moments-là.

Un jour, pour se débarrasser de son adversaire, elle saisit un couteau et s’en frappa elle-même, mais on put l’arrêter à temps pour empêcher un accident. Chose non moins remarquable, c’est que jamais elle n’a pris aucune des personnes présentes pour Frédégonde ; la dualité était toujours en elle-même ; c’est contre elle qu’elle dirigeait sa fureur quand l’Esprit était en elle, et contre un être invisible quand elle s’en était débarrassée ; pour les autres, elle était douce et bienveillante dans les moments même de sa plus grande exaspération.

Ces crises, vraiment effrayantes, duraient souvent plusieurs heures et se renouvelaient plusieurs fois par jour. Quand elle avait fini par terrasser Frédégonde, elle tombait dans un état de prostration et d’accablement dont elle ne sortait qu’à la longue, mais qui lui laissait une grande faiblesse et un embarras dans la parole. Sa santé en était profondément altérée ; elle ne pouvait rien manger et restait parfois huit jours sans prendre de nourriture. Les meilleurs aliments avaient pour elle un goût affreux qui les lui faisait rejeter ; c’était, disait-elle, l’œuvre de Frédégonde, qui voulait l’empêcher de manger.

Nous avons dit plus haut que cette jeune fille n’a reçu aucune instruction ; dans l’état de veille, elle n’a jamais ouï parler de Frédégonde, ni de son caractère, ni du rôle que celle-ci a joué. Dans l’état de somnambulisme, au contraire, elle le sait parfaitement, et dit avoir vécu de son temps. Ce n’était point Brunehaut, comme on l’avait d’abord supposé, mais une autre personne attachée à sa cour.

Une autre remarque, non moins essentielle, c’est que, lorsque commencèrent ces crises, mademoiselle Julie ne s’était jamais occupée de Spiritisme, dont le nom même lui était inconnu. Encore aujourd’hui, dans l’état de veille, elle y est étrangère, et n’y croit pas. Elle ne le connaît que dans l’état de somnambulisme, et seulement depuis qu’on a commencé à la soigner. Tout ce qu’elle a dit a donc été spontané.

En présence d’une situation aussi étrange, les uns attribuaient l’état de cette jeune fille à une affection nerveuse ; d’autres à une folie d’un caractère spécial, et il faut convenir qu’au premier abord cette dernière opinion avait une apparence de réalité. Un médecin a déclaré que, dans l’état actuel de la science, rien ne pouvait expliquer de pareils phénomènes, et qu’il ne voyait aucun remède. Cependant des personnes expérimentées en Spiritisme reconnurent sans peine qu’elle était sous l’empire d’une subjugation des plus graves et qui pouvait lui devenir fatale. Sans doute, celui qui ne l’aurait vue que dans les moments de crise, et n’eût considéré que l’étrangeté de ses actes et de ses paroles, aurait dit qu’elle était folle, et lui aurait infligé le traitement des aliénés qui eût, sans aucun doute, déterminé une folie véritable ; mais cette opinion devait céder devant les faits. Dans l’état de veille, sa conversation est celle d’une personne de sa condition et en rapport avec son défaut d’instruction ; son intelligence même est vulgaire ; il en est tout autrement dans l’état de somnambulisme : dans les moments de calme elle raisonne avec beaucoup de sens, de justesse et une véritable profondeur ; or, ce serait une singulière folie que celle qui augmenterait la dose d’intelligence et de jugement. Le Spiritisme seul peut expliquer cette anomalie apparente. Dans l’état de veille, son âme ou Esprit est comprimé par des organes qui ne lui permettent qu’un développement incomplet ; dans l’état de somnambulisme, l’âme, émancipée, est en partie affranchie de ses liens et jouit de la plénitude de ses facultés. Dans les moments de crise, ses actes et ses paroles ne sont excentriques que pour ceux qui ne croient pas à l’action des êtres du monde invisible ; ne voyant que l’effet, et ne remontant pas à la cause, voilà pourquoi tous les obsédés, subjugués et possédés passent pour des fous. Dans les maisons d’aliénés, il y a eu dans tous les temps de prétendus fous de cette nature, et que l’on guérirait facilement si l’on ne s’obstinait à ne voir en eux qu’une maladie organique.

Sur ces entrefaites, comme mademoiselle Julie était sans ressources, une famille de vrais et sincères Spirites consentit à la prendre à son service, mais dans sa position elle devait être bien plus un embarras qu’une utilité, et il fallait un véritable dévouement pour s’en charger. Mais ces personnes en ont été bien récompensées, d’abord par le plaisir de faire une bonne action, et ensuite par la satisfaction d’avoir puissamment contribué à sa guérison, aujourd’hui complète ; double guérison, car non seulement mademoiselle Julie est délivrée, mais son ennemie est convertie à de meilleurs sentiments.

C’est là que nous avons été témoin d’une de ces luttes effrayantes qui ne dura pas moins de deux heures, et que nous avons pu observer le phénomène dans les plus minutieux détails, phénomène dans lequel nous avons immédiatement reconnu une analogie complète avec ceux des possédés de Morzines. La seule différence est qu’à Morzines les possédés se livraient à des actes contre les individus qui les contrariaient, et qu’ils parlaient du diable qu’ils avaient en eux, parce qu’on leur avait persuadé que c’était le diable. Mademoiselle Julie, à Morzines, eût appelé Frédégonde le Diable.

Dans un prochain article, nous exposerons avec détail les différentes phases de cette guérison et les moyens employés à cet effet ; nous rapporterons en outre les remarquables instructions que les Esprits ont données à ce sujet, ainsi que les importantes observations auxquelles il a donné lieu touchant le magnétisme.

 

Lire la suite ici : Chapitre suivant

 

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Extraits des revues spirites de 1858 à 1868 

ALLAN KARDEC

Publié dans:ESPRITS, POSSESSION |on 27 juillet, 2011 |Pas de commentaires »

L’OBSESSION

 

L’OBSESSION dans ESPRITS WARLOGHE_TheFirstPossession

Certaines personnes déplorent qu’il y ait de mauvais Esprits. Ce n’est pas en effet sans un certain désenchantement qu’on trouve la perversité dans ce monde où l’on aimerait à ne rencontrer que des êtres parfaits. Puisque les choses sont ainsi, nous n’y pouvons rien : il faut les prendre telles qu’elles sont. C’est notre propre infériorité qui fait que les Esprits imparfaits pullulent autour de nous ; les choses changeront quand nous serons meilleurs, ainsi que cela a lieu dans les mondes plus avancés. En attendant, et tandis que nous sommes encore dans les bas-fonds de l’univers moral, nous sommes avertis : c’est à nous de nous tenir sur nos gardes et de ne pas accepter, sans contrôle, tout ce que l’on nous dit. L’expérience, en nous éclairant, doit nous rendre circonspects. Voir et comprendre le mal est un moyen de s’en préserver. N’y aurait-il pas cent fois plus de danger à se faire illusion sur la nature des êtres invisibles qui nous entourent ? Il en est de même ici-bas, où nous sommes chaque jour exposés à la malveillance et aux suggestions perfides : ce sont autant d’épreuves auxquelles notre raison, notre conscience et notre jugement nous donnent les moyens de résister. Plus la lutte aura été difficile, plus le mérite du succès sera grand : « A vaincre sans péril, on triomphe sans gloire. »

 

Ce ne sont pas les médiums qui ont créé les Esprits, ceux-ci existent de tout temps, et de tout temps ils ont exercé leur influence salutaire ou pernicieuse sur les hommes. Il n’est donc pas besoin d’être médium pour cela. La faculté médianimique n’est pour eux qu’un moyen de se manifester ; à défaut de cette faculté ils le font de mille autres manières. Si ce jeune homme n’eût pas été médium, il n’en aurait pas moins été sous l’influence de ce mauvais Esprit qui lui aurait sans doute fait commettre des extravagances que l’on eût attribuées à toute autre cause. Heureusement pour lui, sa faculté de médium permettant à l’Esprit de se communiquer par des paroles, c’est par ses paroles que l’Esprit s’est trahi ; elles ont permis de connaître la cause d’un mal qui eût pu avoir pour lui des conséquences funestes, et que nous avons détruit, comme on l’a vu, par des moyens bien simples, bien rationnels, et sans exorcisme. La faculté médianimique a permis de voir l’ennemi, si on peut s’exprimer ainsi, face à face et de le combattre avec ses propres armes. On peut donc dire avec une entière certitude, que c’est elle qui l’a sauvé ; quant à nous, nous n’avons été que les médecins, qui, ayant jugé la cause du mal, avons appliqué le remède. Ce serait une grave erreur de croire que les Esprits n’exercent leur influence que par des communications écrites ou verbales ; cette influence est de tous les instants, et ceux qui ne croient pas aux Esprits y sont exposés comme les autres, y sont même plus exposés que d’autres, parce qu’ils n’ont pas de contre-poids. A combien d’actes n’est-on pas poussé pour son malheur, et que l’on eût évités si l’on avait eu un moyen de s’éclairer ! Les plus incrédules ne croient pas être si vrais quand ils disent d’un homme qui se fourvoie avec obstination : C’est son mauvais génie qui le pousse à sa perte.

 

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Extraits des revues spirites de 1858 à 1868 

ALLAN KARDEC

Publié dans:ESPRITS, POSSESSION |on 23 juillet, 2011 |Pas de commentaires »

Possession

Possession  dans POSSESSION metatron2  NOVEMBRE 2010 : VERITES ET MYTHES REVELES – Une session questions/réponses avec Métatron 

Canalisation de l’Archange Métatron via James Tyberonn : un lecteur a posé la question suivante qui le préoccupe. 

Question : La possession démoniaque ou la possession par des entités extérieures existe-t-elle ? Y a-t-il des attaques psychiques ? 

Métatron : Ah ! C’est là un domaine des plus complexes. Mais nous essaierons de répondre simplement. 


Pour ce qui concerne la première partie de la question : au cours des 3500 dernières années, et particulièrement au Moyen Age, on pensait que la possession était un phénomène très réel, et en fait, des portions de vos églises avaient des spécialistes qui chassaient les démons et les diables. Les Chrétiens ne furent pas les seuls à qui on apprit à craindre de telles  » entités diaboliques « , certains groupes indigènes et païens adoptèrent aussi cette croyance. 

Ce que vous appelez  » malfaisant  » existe certes dans la dualité, c’est une fonction du libre choix. Votre histoire répertorie beaucoup d’horribles guerres et de dictateurs et chefs d’état inhumains qui perpétrèrent des atrocités catastrophiques. Dans votre langage, ces hommes furent malfaisants. 

La Terre est une planète de dualité, pourvue du spectre électro magnétique complet en 3D qui contient par définition un champ positif et un champ négatif. 

Mais comprenez qu’il n’existe pas d’autres réels diables et démons autres que ceux que vous créez dans vos pensées et croyances en dualité. Mais des formes-pensée négatives sont certes créées à travers vos propres peurs et colères, et peuvent s’agréger en divers degrés d’énergies négatives indépendamment conscientes. Tel est le pouvoir de la pensée. Comme votre planète contient les deux spectres, il y a bien sûr des formes d’énergie qui se rassemblent dans le champ  » négatif « et quand on les rencontre elles sont ressenties comme très déséquilibrées et très contraires à l’idée qu’on se fait du bien-être. Mais, essentiellement, c’est électrique et non pas démoniaque. 

Cela dit, il existe certaines énergies Déviques dont la nature électrique se situe du côté  » négatif  » du spectre. Il y a aussi des champs d’énergies électriquement négatives qui se produisent naturellement et contrebalancent ce que vous appelleriez  « champs électriques positifs » . 

Mais comprenez que, selon une perspective plus conforme à la vérité et un aspect plus élevé, ce ne sont pas là des démons, et que rien de tout cela ne peut vraiment vous  » posséder « . Cependant, ces énergies peuvent s’attacher aux champs de l’aura qui sont ouverts à cause d’un dysfonctionnement du champ électro magnétique humain. C’est certainement, dans de nombreux cas, la peur qui ouvre votre champ et permet à ces formes de s’attacher à vous. C’est pourquoi il est d’une importance vitale de savoir comment préserver votre champ électro magnétique éthérique ou Aura. 

Il est malheureux que certains thérapeutes et métaphysiciens bien intentionnés interprètent les fuites de l’aura et son dysfonctionnement, ainsi que l’attachement électro magnétique d’énergies et de formes-pensée parasites qui en résulte parfois, comme des possessions par des démons. Car, même s’ils peuvent correctement supposer l’existence d’un trouble de l’énergie, ils se trompent dans le détail de leur diagnostic et de leur traitement quand ils prétendent chasser des démons. Même s’ils peuvent offrir quelque soulagement temporaire, de tels  » soins  » malencontreux peuvent aussi aggraver les fuites de l’aura en exacerbant le problème central du patient par le renforcement de sa peur initiale, via la terminologie des exorcismes. 

Les thérapeutes peuvent offrir de l’énergie, mais cela ne fera que traiter le symptôme et non pas la cause. Celle-ci est toujours un champ de l’aura ouvert. Et lorsque le thérapeute qui en est averti l’explique au patient, cela peut l’aider à résoudre lui-même le problème. Quand un champ de l’aura est totalement intact aucune forme d’énergie négative ne peut s’y attacher. Point final. 

Soyons clairs, les thérapeutes de talent sont certes capables de fournir une aide valable. Et si les thérapeutes parvenaient à comprendre parfaitement le véritable processus de  » Maintenance de l’Aura « , ils chercheraient aussi à fournir au patient les outils permettant de conserver l’aura intacte. Mais la personne qui souffre du problème doit aussi se donner les moyens d’agir dans ce sens. 

Toute personne dont l’aura est ouverte, souffre d’une hémorragie d’énergie, et elle peut être la victime d’attachements, de peurs et d’hallucinations. Elle peut devenir inconsciemment un  » voleur d’énergie « . Et ainsi un thérapeute qui renforce l’idée de possession par des démons affaiblit encore davantage son patient, et, de propos délibéré ou pas, lui siphonne plus d’énergie et crée une dépendance. Cela peut devenir une addiction chez certains. C’est aussi ce qui peut se passer avec des  » gourous  » qui deviennent les voleurs d’énergie de leurs disciples quand l’inflation de leur ego se produit. 

Vous êtes confronté à votre propre déni de pouvoir ….chaque fois que vous vous trouvez dans une situation où vous vous sentez vulnérable ou qui vous effraie. Et le fait est que de nombreuses personnes souffrent de symptômes physiques ou de situations déplaisantes parce qu’elles ont peur d’utiliser leur propre pouvoir d’agir. Dans la grande majorité des cas, celui qui est victime d’attachements a affaire au retour de ses propres créations d’énergie négative. Et ces formes négatives s’attachent et se nourrissent d’énergie, à cause de fuites dans l’Aura provoquées par des dysfonctionnements de celle-ci, venant de conditions auto-induites comme la peur, la mésestime de soi, la haine de soi, la jalousie, la dépression, l’anxiété, la colère et toutes sortes de projections négatives qui court-circuitent et fissurent le champ de l’aura, provoquant par là une fuite d’énergie. 

Dans votre système de réalité 3D vous apprenez ce qu’est l’énergie mentale (vague créatrice de pensée) et comment l’utiliser d’une manière responsable. Donc, s’il vous plaît, soyez conscients du fait que l’apprentissage des règles de base de maintenance de l’aura est un outil essentiel, permettant de se donner tout pouvoir, et aussi, faute d’un mot plus approprié, de se protéger. 

Et quand les gens s’en remettent aux autres pour leur guérison, cela en soi peut conduire à une dépendance malencontreuse vis-à-vis d’autrui, via une perte de pouvoir auto infligée. 

Il est donc important que chacun se reconnaisse comme propriétaire de son propre pouvoir et use de discernement. Ne placez pas les mots des gourous, thérapeutes, psychologues, amis, ni même mes propres mots au-dessus de la voix intérieure de votre Soi Divin. Bien que vous puissiez apprendre beaucoup des autres, cela doit résonner…la savoir le plus profond doit toujours venir d’au-dedans de vous-mêmes. Sachez que les  » attaques psychiques « , comme vous dites, existent, mais se définissent plutôt comme des confrontations de volontés et un apprentissage par l’expérience dans toute la gamme des forces de la dualité-polarité. 

Très souvent, lorsque quelqu’un cherche à vous contrôler, ou vice-versa, un attachement au niveau du 3ème chakra se produit, qui essaie d’imposer la volonté de l’un à l’autre. Mais il est facile d’éviter ça avec un champ de l’aura intact, et les procédures d’une telle maintenance sont enseignées au niveau 1 des Clés Métatroniques. 

Ce que vous appelez  « Démoniaque » n’existe vraiment pas au-delà des niveaux de la dualité. Et, bien sûr, la dualité a une très belle architecture, une véritable raison d’être dans ce contexte. C’est la cause et l’effet et ce sont là de grands enseignants. Vous êtes ici pour apprendre à créer d’une manière responsable, et donc l’humanité crée des énergies négatives et du mal les uns envers les autres sur le chemin de l’apprentissage de l’utilisation de l’amour. Mais tout ce qui est créé dans la négativité doit être résolu, et il est inévitable que toute personne, tout individu, soit confronté à la moindre parcelle d’énergie négative qu’il crée. C’est la règle d’or de la Loi d’Attraction, du  « à force de cracher en l’air on reçoit la pluie sur le nez » . 

Et donc, dans le processus d’apprentissage de la création, les événements électriquement  » négatifs  » subjectifs et objectifs auxquels vous êtes confrontés vous feront absolument examiner le contenu de votre mental conscient et de vos projections mentales. Du point de vue d’une perspective plus élevée, même les pensées de haine ou de vengeance, par le biais de la cause et de l’effet, de l’action et de son résultat, peuvent être vues comme une sorte de thérapie. Car si on les suit, l’affliction qu’elles créent est une motivation pour rechercher une solution, bien que ce soit là un passage difficile sur le chemin de l’apprentissage. Cela répond-t-il à votre question ? 

Le Canal : Oui, merci. 

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Traduit par Martine Racine. JungianBear@aol.com 

© Copyright 1999-2010 Tyberonn, Earth Keeper  All rights reserved. May not be used or reprinted without prior permission.     
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Email: Tyberonn@earth-keeper.com  N’oubliez pas, utilisez toujours votre discernement par rapport à ces textes.
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Publié dans:POSSESSION |on 9 juillet, 2011 |Pas de commentaires »

Un art qui exorcise

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La voyance par le plomb s’avère très profitable pour tout ce qui entrave l’être depuis sa conception jusqu’au moment de sa consultation. Il s’agit ici de rendre à cette pratique séculaire ses lettres de noblesse.  Car elle semble trop souvent, par méconnaissance sans doute,  étiquetée à tort et dévalorisée. Cet art clairvoyant se dévoile comme une source de bien-être. 

D’autre part, notre voyante Brigitte Faccini, collabore étroitement avec de nombreux thérapeutes, spécialement des psychiatres ayant compris l’avantage réel que comporte cette précieuse pratique. 

On pourrait même suggérer que la voyance par le plomb apparaîtrait comme un véritable exorcisme, balayant en profondeur toutes les impuretés incrustées au sein d’un être, explorant celui-ci jusqu’au tréfonds de ses racines à la manière des rayons X. Il est fort intéressant de constater combien la voyance par le plomb permet l’efficacité des thérapies traditionnelles. Pourquoi ? Tout simplement parce que grâce à elle, il y a mise à jour du mal affectant un patient. Pour celui qui n’a pas trouvé sa thérapie, la voyance par le plomb l’orientera alors vers celle lui convenant le mieux, puisqu’il aura été dévoilé à lui-même autant qu’à autrui. 

Brigitte Faccini parle d’exorcisme car il y a vraiment une mise en lumière de ce qu’elle nomme le « nœud d’enracinement » qui bloquait jusqu’alors l’individu au sein de son existence. D’où l’importance de mettre en avant le contexte thérapeutique de la voyance par le plomb, car  on peut de telle sorte vraiment parler de « dé-victimisation » de l’être. L’individu se verrait, autrement dit, libéré de ses entraves et d’une éventuelle manipulation par autrui, ou par lui-même. Cette voyance est une voyance où la notion de libre arbitre demeure une voie incontestable

Un art qui exorcise dans POSSESSION 884c67d6

Témoignage Brigitte Faccini recueilli ici : http://www.spiritsoleil.com/actualite/dev-perso/voyance-spirituelle.htm -  (contact: ermes.faccini@wanadoo.fr

Publié dans:POSSESSION |on 16 juin, 2011 |Pas de commentaires »

Envoûtement

Forme d’envoûtement : après la vie ; Par Brigitte Faccini 

Envoûtement dans POSSESSION envoutement6-1

 

Cette forme d’envoûtement se produit effectivement dans le cas d’un parasitage par une personne décédée – donc devenue âme – qui ne serait pas montée dans la lumière. Pourquoi ? Dans la majorité des cas, raconte Brigitte, il s’agit de personnes qui sont athées, non croyantes et qui croient seulement au néant après la mort.

 Brigitte précise qu’il n’est, bien sûr, pas question de juger ici qui que ce soit dans sa manière de vivre ou de penser. Le but de cette remarque s’avère importante pour mieux saisir l’enseignement des ses guides concernant ces âmes « perdues ». 

Le message des guides se révèle des plus clairs au sujet du parcours de l’âme après la « mort », ou comme il me plaît à le baptiser, durant son « envol » : 

« L’âme et l’esprit se détachent du corps physique. A noter qu’en tant qu’esprit, nous pensons. Quand nous pensons, nous sommes. Une personne décédée s’incarne donc par conséquent dans un corps spirituel, fluidique. Selon sa propre pensée, cette entité va désormais concevoir ce corps fluidique comme étant sien ! On comprend à l’évidence que ce corps fluidique sera donc créé à « l’image » que l’être aura de sa conception initiale, durant sa vie terrestre. 

Cette âme errante va se dire : « Ah tiens, je suis sorti indemne de ce terrible accident ! » ou encore « je sors de la salle d’opération » ou bien « je suis en convalescence ! » Puis viendra irrémédiablement le « J’aimerai rentrer chez moi », c’est-à-dire « dans ma maison ». L’entité ayant ainsi toujours conscience d’être « bien vivante » ! Aussi, dans le monde spirituel, la pensée et le désir sont concrétisés selon la volonté de l’individu. Puisqu’il n’a alors plus de « corps de chair », l’esprit, ou l’âme, se trouvent instantanément projetés PAR la pensée à l’endroit qu’ils souhaitent. 

De ce fait, la personne qui désirera rentrer chez elle y sera « projetée » immédiatement ! Par contre, elle se posera désormais mille questions : 

  •  
    • concernant l’attitude de ses proches à son encontre : « mais, pourquoi ne me parlent-ils plus ? », « Pourquoi semblent-ils ne plus me voir ? » En définitive, pour quelle raison font-ils « comme si j’étais morte » ? 

    • relatives au monde matériel : « pourquoi y a-t-il ce panneau de vente devant ma propre maison ? » 

En gros, que signifie cette mascarade ? Ainsi la personne/entité croira à un cauchemar et, désirera se réveiller mais ce qu’elle pensera n’être qu’un mauvais rêve se métamorphosera en un enfer terrible ! L’âme se mettra à crier qu’elle veut de l’aide et qu’elle n’en peut plus de cette condition. 

A ce titre, certaines personnes pourront se sentir injustement condamnées ou punies à cause de leur incroyance. Bien sûr, il n’en est rien ! Il s’agit juste d’une projection de vérité personnelle conçue par l’entité pour laquelle il ne réside aucune place pour SON inconcevable ! Ce qui signifie que même son guide n’aura pu pénétrer son plan mental, même par l’entremise d’un message du type « écoute-moi, je vais t’expliquer ta condition nouvelle. Te dire pourquoi tu ne comprends pas ce qu’il t’arrive ! » Ou encore des messages rassurants comme « n’aies pas peur, je suis ton guide dans l’au-delà… » 

Ajoutons que cette entité en verra d’autres venir à sa rencontre. Et ces personnes défuntes lui expliqueront alors qu’elles ne viennent pas la chercher mais qu’elles-mêmes sont déjà « mortes », et qu’à cet instant il ne faudra plus nier l’évidence que la survivance des âmes se prouve par leur présence… Ainsi, cette nouvelle âme percevra une magnifique lumière au loin ; elle acceptera enfin d’aller vers cette lumière, au moment où elle-même aura décidé de son envolée. Il conviendra alors qu’elle s’écoute pour permettre de s’ouvrir à sa nouvelle condition de vie en se disant : « pourquoi pas concevoir enfin SON inconcevable ? » 

Pour toutes ces raisons, ces âmes peuvent errer un jour, un mois, un an, voire même des siècles, accrochées à notre plan terrestre si familier ! 

En seconde majorité des cas, les âmes savent parfaitement qu’elles sont « décédées », mais refusent de s’unir à la lumière. En général, il s’agit d’une peur de l’enfer due aux fausses croyances qui leur ont été inculquées. Autrement dit, ces entités préfèrent rester dans leur maison terrestre, s’accrocher à leurs objets personnels et à leurs proches… Et bien sûr subsiste quelquefois la fausse croyance relative à l’enfer ! Ces âmes craignent tant que leurs actes les plus négatifs soient horriblement punis et entraînent une damnation sans appel. Et puis, il existe aussi une autre forme de peur de l’autre côté : celle de risquer tout simplement de soulever le fameux voile de l’au-delà par angoisse de la découverte qui les attend !

 Brigitte évoque une autre catégorie d’âmes qui souhaitent rester près de leurs proches, par pure possessivité, comme s’ils s’investissaient d’une mission de protection envers eux. 

Elle met également l’accent sur les pauvres âmes suicidées. Ce pauvre suicidé qui ne comprend pas son enfer car il est toujours dans le même état d’esprit et de détresse quand il passe de l’autre côté ! Envahi par la désolation qu’il avait avant de commettre cet acte, il croira s’être raté puisqu’il souffre encore ! Si l’enfer a un nom, n’est-ce pas celui-ci ? Certes, c’est très probable. Ou alors, pourra-t-on parler du cas de l’âme suicidée comprenant très bien son nouvel état mais qui se devra (pour lui bien sûr) de rester près des siens pour obtenir leur pardon. 

Brigitte a elle-même appris que pour toutes ces raisons-là, il existe des âmes en souffrance : des âmes qui nagent dans la totale incompréhension de leur nouvelle condition et qui restent accrochées au plan terrestre : par amour, par passion, mais aussi par colère ou par rancune. 

Pour citer un exemple révélateur : 

« Un savant décédé, et dont l’âme est en errance, pourra donc investir l’âme d’un autre scientifique, et au travers de son confrère encore vivant, poursuivre ses propres recherches ». C’est incroyable n’est-ce pas ? Alors comment savoir si nous ne sommes pas, nous aussi, parasités par une autre âme en errance sur Terre ? Nous allons le découvrir par le biais d’un autre vécu enrichissant de Brigitte. 

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Témoignage Brigitte Faccini  recueilli ici : http://www.spiritsoleil.com/actualite/dev-perso/voyance-spirituelle.htm

Publié dans:POSSESSION |on 26 mai, 2011 |Pas de commentaires »

Expérience envoutement

 Forme d’envoûtement 

Expérience envoutement dans POSSESSION voyante_voyance

Selon les connaissances transmises par les guides de Brigitte, nous serions donc tous, à notre échelle, des « jeteurs de sort ». Car, sans nous en rendre compte, il nous est tous arrivé de jeter un « sort » à un individu passant dans notre vie. Est-ce si étonnant pensez-vous ? 

Par son vécu, Brigitte retrace une histoire ayant eu cours en 1990 

« Je faisais mon lit en pensant à une maison de campagne bâtie en meulière, couverte de lierre, avec un saule pleureur sur sa gauche. Sortant de ma chambre pour aller chercher un chiffon, je passe dans mon salon. Qu’elle ne fut pas ma surprise d’apercevoir dans la pièce un grand écran vierge, identique à ceux des salles de cinéma ! Interdite, je vis que l’écran blanc semblait matérialisé. De plus, il ne touchait ni le sol, ni le plafond ! Au centre de cet écran, je distinguai alors ma propre pensée en couleur de la maison en meulière. L’instant ne dura que quinze secondes. Tout ce que je sais, c’est que j’étais complètement éveillée et en pleine forme. La seule chose constatée fut mon état tétanisé m’empêchant de  bouger lors de cette singulière apparition ! Gardant les yeux très ouverts, je me dis : « Brigitte, tu es saine de corps et d’esprit, tu ne bois pas, ne te drogues pas, ne prends aucun somnifère. De plus, il n’y a pas de soleil dans la pièce. » Mais qu’était-ce que cette histoire ? Toujours est-il que l’écran dématérialisé n’évoqua aucune forme de message spécifique mis à part l’apparition de cette habitation. 

Quelques temps après l’incident, je me rendis en librairie ésotérique pour raconter ce vécu extraordinaire. Là-bas, ils me dirent de regarder dans le rayon de la pensée vivante et créatrice. 

Ouvrant ainsi un livre sur ce thème, je lis effectivement ceci : 

« Toute pensée émise est créée dans l’univers » 

On peut dire que je ne pouvais qu’être en accord avec cet auteur éclairé ! Bien entendu, je tiens à préciser que jamais auparavant, je n’avais rien lu ni entendu sur ce thème. Toutes les preuves sur la pensée vivante et créatrice que je détenais résultaient de mon unique expérience. C’était pour moi indéniable ! Alors voici ce que m’ont une fois de plus révélé mes guides : 

« Supposons qu’une personne souhaite que ton mari te quitte. La pensée de cet être va s’axer vers ceci : « ils ne s’aimeront plus, se disputeront constamment, n’auront plus envie l’un de l’autre » ou bien « elle aura un accident, elle grossira, elle tombera malade… »  Mais comme cela ne suffira pas à l’être malfaisant, il se rendra chez un jeteur de sort. Le « sorcier », heureux d’avoir un contrat, utilisera alors toute sa panoplie d’ustensiles de magie pour son travail. Sera donc fabriquée une dagyde sur laquelle il pourra opérer avec des aiguilles, des incantations et autres poudres afin de produire le mauvais sort. 

D’après mes guides, il convient de bien savoir que cette mise en scène « magique » est bidon ! Certes, mon jeteur de sort, grâce à ses supports et à sa seule volonté de haine, va cristalliser  un scénario en raison, par exemple, de dix minutes par jour pour activer le sort en question. Mais un être ayant une forte pensée de haine contre moi, tous les jours, bénéficiera de la même force que ma propre pensée qui a créé l’apparition de la maison en meulière ! 

Notons que cette fameuse pensée est alors créatrice d’un égrégore qui, ainsi créé va incarner une sorte de « colis », qui sera envoyé vers l’être visé, comme une simple lettre à la Poste. L’égrégore tournera ainsi autour de l’aura de l’individu, et s’y accrochera en la pénétrant, à l’endroit où il sera le plus faible, le plus vulnérable, le moins lumineux. C’est-à-dire, au sein de ses propres défauts bien sûr ! 

Prenons un exemple : en supposant que je sois soumise à la jalousie obsessionnelle. Lors de rêves nocturnes, je rêve de mon mari qui me trompe ! Le lendemain, je ne suis bien évidemment pas de bonne humeur. La journée durant, mon esprit est traversé par des pensées obsessionnelles. Tout me semble louche dans l’attitude de mon époux. Bien entendu, cela se dégrade de plus en plus entre nous et mon regard sur lui s’avère plus soupçonneux. Toute circonstance et toutes attitudes de mon mari sont source d’interrogations : « tiens, quand je lui téléphone au travail, il n’est jamais disponible pour moi », « il a changé de parfum », « il met toujours sa chemise préférée», « il rentre en retard le soir » ! Et puis, il y a tous ces rêves désagréables qui sont des « indices » qui me prouvent que j’ai raison : je suis sûre qu’il me trompe ! » 

Alors la suspicion augmente. Je vide ses poches et regarde sa messagerie. Pendant six mois je vais faire une dépression, tomber malade, grossir/maigrir ! Ce sera l’enfer à la maison. Et arrivera ce qui « devra » arriver. Mon mari, à force de vivre dans ces conditions, finira vraiment par me tromper, accusé à tort par sa propre femme. Il me trahira avec notamment cette jeune fille qui lui tourne autour et le piège se refermera ! Ou bien il me quittera car je ne ressemblerai décidément plus à la femme qu’il aime. D’ailleurs, il ne me reconnaîtra même plus ! 

Voilà, mon jeteur de sort (ou Pierre, Paul, Jacques) a eu raison. Car, SI je reconnais que j’ai ce problème de jalousie obsessionnelle et comme la vie est une belle école, elle me renverra sans cesse MON défaut ! Poursuivons cet exemple : « Si je pars faire des courses au supermarché avec mon époux que je soupçonne, je trouverai que, décidément, même la caissière semble trop gentille et prévenante avec lui. Idem pour la boulangère qui met un temps fou à lui donner sa baguette de pain. Et quand nous recevrons du monde, je trouverai que la gente féminine s’intéresse de trop près à mon époux… » 

« La vie est une belle école ! » 

Car, bien sûr que ce n’est la faute de personne si je suis jalouse. La seule coupable dans l’histoire, c’est moi ! Alors, je vais décider de me dire que, dès que ma jalousie pointe son nez : « Fais attention Brigitte, sache que tu es ta « propre ennemie ». Quand tu es soumise à  ta jalousie, tu n’as plus le discernement nécessaire pour agir car tu deviens paranoïaque, impulsive, intolérante. Combien de fois as-tu fait des histoires où il n’y avait pas lieu d’en faire ? Tu ne peux pas avoir confiance en ce que tu ressens à ces instants troublés car tu es « malade » et aveuglée par cette jalousie obsessionnelle ! Celle-ci te maîtrise et détruit TA vie. » 

Alors, je vais décider d’abord de me méfier de moi-même et rejeter cette jalousie qui empoisonne mon existence et qui m’a surtout fait commettre bien trop de dégât ! En réagissant ainsi de la sorte, en rejetant loin de moi ce défaut que je reconnais, je vais me créer une « coque d’invincibilité ». Autrement dit, dès qu’une énergie extérieure pénétrera mon aura, je serai toujours titillée, travaillée, exacerbée dans mes propres défauts incarnés ! 

C’est la raison pour laquelle mes guides m’ont demandé de travailler le plomb de cette façon. Seulement nous allons découvrir que l’enseignement des guides ne se termine pas là puisqu’ils révèlent une autre forme d’envoûtement, tout aussi nuisible à l’être humain. Il provient cette fois du monde parallèle à celui que nous connaissons tous. Un univers invisible mais pourtant bien réel…

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Témoignage Brigitte Faccini recueilli ici : http://www.spiritsoleil.com/actualite/dev-perso/voyance-spirituelle.htm 

Publié dans:POSSESSION |on 24 mai, 2011 |Pas de commentaires »

Processus de l’auto-envoûtement

Processus de l’auto-envoûtement dans POSSESSION fantome Lorsque quelqu’un de très réceptif – pas forcément faible – mais peu informé et inquiet se trouve en face de celui qu’il croit compétent, il attend que lui soit donnée une explication quant à l’origine des problèmes auxquels il est confronté. Semi-inconsciemment il pense déjà à une possibilité d’envoûtement. Et l’autre le lui affirme ou le lui confirme : « C’est très clair, vous êtes envoûté. »  Aussitôt, c’est un quasi soulagement. D’une part, il a une explication qui le déculpabilise ; il n’est pas responsable de ses malheurs. D’autre part, il va être « guéri ». Et l’autre ajoute solennellement : « Je vais vous désenvoûter. » … Et le soulagement mental se double souvent d’un soulagement du portefeuille. C’est à partir de cette affirmation que la victime s’auto-envoûte et qu’elle se place à la merci de son pseudo désenvoûteur. Désormais cette personne est persuadée qu’elle est envoûtée et n’écoute pas ceux qui pensent différemment. 

Annoncer à une personne mal informée qu’une action est entreprise contre elle, l’en persuader par des artifices parfois grotesques permet de provoquer un auto-envoûtement qui déclenchera toutes les conséquences d’un véritable envoûtement.

C’est alors une porte ouverte sur la destruction mentale de « la victime », pouvant engendrer des perturbations de sa santé physique, et sur des escroqueries qui vont parfois très loin …

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Source Blog de Charly SAMSON site : http://charlysamson.blogspirit.com/   

Publié dans:POSSESSION |on 17 mai, 2011 |1 Commentaire »

Auto-envoûtement

 

et magie de « soi à soi » 

Se libérer et se protéger de la magie et de l’auto-envoûtement constituent des actes essentiels sur le chemin d’ouverture de conscience où beaucoup s’engagent en « roue libre » sans vigilance suffisante.

Voici un enseignement très pertinent donné par Philippe du site ‘en esprit et en vérité’, avec le concours de Saint-Emile et d’Arabelle Arc-En-Ciel :

Auto-envoûtement  dans POSSESSION fleche-mini  http://www.en-esprit-et-en-verite.fr/guerison/2011/02/27/auto-envoutement-et-magie-de-%C2%AB-soi-a-soi-%C2%BB/

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Publié dans:POSSESSION |on 17 mai, 2011 |Pas de commentaires »

Dialogue avec Satan

DIALOGUE AVEC SATAN 


Merci Satan de m’accorder un entretien. Je ne vous imaginais pas aussi proche des créatures, aussi simple et prêt à dialoguer avec nous. 

 

- C’est que tu me connais mal ! Tu fais trop confiance aux racontars des curés et à la désinformation entretenue sur mon compte par mes célestes ennemis. 

 Peut-être ! Puisque je suis en votre présence, je voudrais bien entendre de votre bouche comment je devrais, selon vous, conduire ma vie. Je ne promets pas de vous suivre, mais je voudrais m’instruire. 

  - Tu parles pas trop mal pour un mortel. 

 Merci. Mais je n’aime pas les flatteurs. J’aimerais que vous me contiez, à votre façon, votre propre histoire. Qui étiez-vous avant d’être chassé de la cour du Seigneur Dieu, et quel est votre rôle aujourd’hui ? 

  - Ta question me surprend. Tu connais très bien tout cela. La Bible et les Curés, Dante et Milton, racontent mon histoire dans les moindres détails, même s’ils affabulent parfois ! 

 Je suis aujourd’hui le symbole même de l’horreur et de la cruauté, du mal absolu, du crime et de la perversité, de tout ce que les hommes doivent éviter. Mais les hommes sont si faibles que cette connaissance millénaire ne les retient pas devant le gouffre. Mes tentations sont plus fortes que leur volonté. Tu en as toi-même fait maintes fois l’expérience, et jusqu’à la fin de ta vie je vaincrai tes velléités de conversion au bien, je réduirai à néant tes bonnes dispositions. 

  - Vous reconnaissez donc que la Bible dit la vérité ? Surprenant aveu de votre part, vous qui incarnez le mensonge ! 

 Je suis aussi le Malin, l’Imposteur, Lucifer le porteur de lumière ! Lorsque je mens, je dois être crédible, je dois faire illusion, sinon je perdrais mon temps. 

  - En somme, vous ne pouvez tromper que celui ou celle qui veut bien se laisser tromper, les créatures dans l’erreur ou à ton service ? 

 Pas mal raisonné pour un simple mortel ! Mais tu ne fais pas le poids ! Ton pouvoir est nul. Ni ton intelligence, ni ta foi ne te permettront jamais de te transformer en démon pour me mystifier, comme moi je me déguise en ange pour tromper les croyants ! 

  - Dites-moi, Satan, quel est donc votre véritable rôle ? Selon l’Église, vous tentez de détourner les hommes du droit chemin, vous les empêchez de se libérer du péché, vous vous efforcez de leur barrer l’entrée au Paradis. Mais, pourquoi tout cela, au fond, puisqu’il est dit qu’à la fin des temps vous serez vaincu ? 

Pour embêter Dieu, pardi ! Pour lui montrer qu’il joue à qui perd gagne ! Je me moque au fond de toutes ces créatures veules, sottes et imbéciles qui succombent à mes tentations, qui tombent dans mes pièges ! Ce qui me passionne, c’est d’attirer dans mes filets des gens libres, bons, intelligents, des saintes et des saints ! J’aime pervertir les chastes, tenter les incorruptibles, corrompre les gens honnêtes. Mais ce sport est devenu difficile de nos jours, tant pour moi que pour Dieu. Car la plupart des hommes et des femmes cultivés, sensibles et intelligents nous échappent : ils ne croient plus en Dieu, ni en moi, le prince des ténèbres ! 

  - Pour remédier à cela, mon vieux, il vous reste à faire la paix avec Dieu, à vous réconcilier avec le Ciel, peut-être éviterez-vous ainsi que l’Homme ne prenne votre place à tous les deux ! 

 Ah ! ça, elle est bien bonne ! Mais ne vois-tu pas petit crétin que l’Homme a déjà pris ma place ! Que l’Homme est Satan ! Que l’homme en tant que race, c’est le Diable ! Et qu’il ne reste à Dieu que quelques brebis perdues, égarées, naïves, sans âme ni cervelle ! Des bêtes de somme, en somme ! Ha ! Ha ! Ha !
  

(Communiqué par Régis Morand Paris) 

Publié dans:POSSESSION |on 7 avril, 2011 |Pas de commentaires »

Etre possédé ?

Possédés….. 

 Un Esprit peut-il momentanément revêtir l’enveloppe d’une personne vivante, c’est-à-dire s’introduire dans un corps animé et agir au lieu et place de celui qui s’y trouve incarné ? 

« L’Esprit n’entre pas dans un corps comme tu entres dans une maison ; il s’assimile avec un Esprit incarné qui a les mêmes défauts et les mêmes qualités pour agir conjointement ; mais c’est toujours l’Esprit incarné qui agit comme il veut sur la matière dont il est revêtu. Un Esprit ne peut se substituer à celui qui est incarné, car l’Esprit et le corps sont liés jusqu’au temps marqué pour le terme de l’existence matérielle. » 

S’il n’y a pas possession proprement dite, c’est-à-dire cohabitation de deux Esprits dans le même corps, l’âme peut-elle se trouver dans la dépendance d’un autre Esprit, de manière à en être subjuguée ou obsédée, au point que sa volonté en soit en quelque sorte paralysée ? 

« Oui, et ce sont là les vrais possédés ; mais sache bien que cette domination ne se fait jamais sans la participation de celui qui la subit, soit par sa faiblesse, soit par son désir. On a souvent pris pour des possédés des épileptiques ou des fous qui avaient plus besoin de médecin que d’exorcisme. » 

Le mot possédé, dans son acception vulgaire, suppose l’existence de démons, c’est-à-dire d’une catégorie d’êtres de mauvaise nature, et la cohabitation de l’un de ces êtres avec l’âme dans le corps d’un individu. Puisqu’il n’y a pas de démons dans ce sens, et que deux Esprits ne peuvent habiter simultanément le même corps, il n’y a pas de possédés selon l’idée attachée à ce mot. Le mot possédé ne doit s’entendre que de la dépendance absolue où l’âme peut se trouver à l’égard d’Esprits imparfaits qui la subjuguent. 

Peut-on soi-même éloigner les mauvais Esprits et s’affranchir de leur domination ? 

« On peut toujours secouer un joug quand on en a la ferme volonté. » 

Ne peut-il arriver que la fascination exercée par le mauvais Esprit soit telle que la personne subjuguée ne s’en aperçoive pas ; alors, une tierce personne peut-elle faire cesser la sujétion, et dans ce cas, quelle condition doit-elle remplir ? 

« Si c’est un homme de bien, sa volonté peut aider en appelant le concours des bons Esprits, car plus on est homme de bien, plus on a de pouvoir sur les Esprits imparfaits pour les éloigner et sur les bons pour les attirer. Cependant, il serait impuissant si celui qui est subjugué ne s’y prête pas ; il y a des gens qui se plaisent dans une dépendance qui flatte leurs goûts et leurs désirs. Dans tous les cas, celui dont le coeur n’est pas pur ne peut avoir aucune influence ; les bons Esprits le méprisent, et les mauvais ne le craignent pas. » 

Les formules d’exorcisme ont-elles quelque efficacité sur les mauvais Esprits ? 

« Non ; quand ces Esprits voient quelqu’un prendre la chose au sérieux, ils en rient et s’obstinent. » 

Il y a des personnes animées de bonnes intentions et qui n’en sont pas moins obsédées ; quel est le meilleur moyen de se délivrer des Esprits obsesseurs ? 

« Lasser leur patience, ne tenir aucun compte de leurs suggestions, leur montrer qu’ils perdent leur temps ; alors, quand ils voient qu’ils n’ont rien à faire, ils s’en vont. » 

La prière est-elle un moyen efficace pour guérir de l’obsession ? 

« La prière est d’un puissant secours en tout ; mais croyez bien qu’il ne suffit pas de murmurer quelques paroles pour obtenir ce qu’on désire. Dieu assiste ceux qui agissent, et non ceux qui se bornent à demander. Il faut donc que l’obsédé fasse de son côté ce qui est nécessaire pour détruire en lui-même la cause qui attire les mauvais Esprits. » 

Que faut-il penser de l’expulsion des démons dont il est parlé dans l’Evangile ? 

« Cela dépend de l’interprétation. Si vous appelez démon un mauvais Esprit qui subjugue un individu, quand son influence sera détruite, il sera véritablement chassé. Si vous attribuez une maladie au démon, quand vous aurez guéri la maladie, vous direz aussi que vous avez chassé le démon. Une chose peut être vraie ou fausse suivant le sens qu’on attache aux mots. Les plus grandes vérités peuvent paraître absurdes quand on ne regarde que la forme, et quand on prend l’allégorie pour la réalité. Comprenez bien ceci, et retenez-le ; c’est d’une application générale. » 

Etre possédé ? dans POSSESSION

Texte issu du Livre des Esprits – Allan Kardec – Les principes de la doctrine Spirite. 

Publié dans:POSSESSION |on 26 mars, 2011 |3 Commentaires »

Pactes

Des pactes : des réponses

 

 Y a-t-il quelque chose de vrai dans les pactes avec les mauvais Esprits ? 

 

« Non, il n’y a pas de pactes, mais une mauvaise nature sympathisant avec de mauvais Esprits. Par exemple : tu veux tourmenter ton voisin, et tu ne sais comment t’y prendre ; alors tu appelles à toi des Esprits inférieurs qui, comme toi, ne veulent que le mal et pour t’aider veulent que tu les serves dans leurs mauvais desseins ; mais il ne s’ensuit pas que ton voisin ne puisse se débarrasser d’eux par une conjuration contraire et par sa volonté. Celui qui veut commettre une mauvaise action appelle par cela même de mauvais Esprits à son aide ; il est alors obligé de les servir comme eux le font pour lui, car eux aussi ont besoin de lui pour le mal qu’ils veulent faire. C’est seulement en cela que consiste le pacte. » 

 

La dépendance où l’homme se trouve quelquefois à l’égard des Esprits inférieurs provient de son abandon aux mauvaises pensées qu’ils lui suggèrent, et non de stipulations quelconques entre eux et lui. Le pacte, dans le sens vulgaire attaché à ce mot, est une allégorie qui peint une mauvaise nature sympathisant avec des Esprits malfaisants. 

 

Quel est le sens des légendes fantastiques d’après lesquelles des individus auraient vendu leur âme à Satan pour en obtenir certaines faveurs ? 

 

« Toutes les fables renferment un enseignement et un sens moral ; votre tort est de les prendre à la lettre. Celle-ci est une allégorie qui peut s’expliquer ainsi : celui qui appelle à son aide les Esprits pour en obtenir les dons de la fortune ou toute autre faveur murmure contre la Providence ; il renonce à la mission qu’il a reçue et aux épreuves qu’il doit subir ici-bas, et il en subira les conséquences dans la vie à venir. Ce n’est pas à dire que son âme soit à jamais vouée au malheur ; mais puisque au lieu de se détacher de la matière, il s’y enfonce de plus en plus, ce qu’il aura eu en joie sur la terre, il ne l’aura pas dans le monde des Esprits, jusqu’à ce qu’il l’ait racheté par de nouvelles épreuves, peut-être plus grandes et plus pénibles. Par son amour des jouissances matérielles, il se met sous la dépendance des Esprits impurs ; c’est entre eux et lui un pacte tacite qui le conduit à sa perte, mais qu’il lui est toujours facile de rompre avec l’assistance des bons Esprits, s’il en a la ferme volonté. » 

 

Pactes  dans POSSESSION

Texte issu du Livre des Esprits – Allan Kardec – Les principes de la doctrine Spirite. 

Publié dans:POSSESSION |on 26 mars, 2011 |Pas de commentaires »
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