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Marie-Madeleine

La Lumière Dorée

Par Pamela Kribbe. Pamela transmet Marie-Madeleine.

Très chers amis, je suis Marie-Madeleine, votre sœur, et je suis ici de bon cœur. Nous sommes réunis une nouvelle fois, et cela me semble si familier d’être reliée à la réalité de la Terre. Nous avons si souvent été ensemble, réunis en cercles fraternels, afin de nous accorder au présent et au futur. Tout au long de nos vies, cela a toujours été une source de soutien et d’encouragement de reconnaître chez les uns et les autres le même désir, la même soif de liberté et de joie, le même désir de communion véritable.

Image illustrative de l'article Marie de MagdalaNous voici ensemble au seuil d’un temps nouveau, et vous êtes dans une phase de transition importante. L’énergie de l’innovation qui balaie la Terre en ce moment est comme une grande vague qui nettoie tous les registres mentaux, émotionnels et d’activités du genre humain. En fait, c’est une grande vague de lumière éblouissante qui pénètre votre dimension et vous incite à vous éveiller. Elle peut aussi parfois vous effrayer, parce que cette vague d’énergie nouvelle bouleverse votre vie. C’est comme si rien d’ancien ne pouvait rester : l’activité, les relations, les moyens de subsistance, votre vie quotidienne. Tout semble aller de travers. Pourquoi cela se produit-il ? Que se passe-t-il ?

Actuellement, il vous est demandé d’oser clarifier pour vous-mêmes ce qui est vous et ce qui ne l’est pas. Et par  »vous », je ne veux pas dire cette personnalité humaine terrestre qui a été formée par les influences extérieures : vos gènes (en provenance de l’extérieur), vos parents, votre éducation, la société, etc. Ce n’est pas à cette personnalité que je fais référence lorsque je dis  »vous », mais à l’être que vous êtes. Ce  »vous » indépendant de ce monde, des préjugés et des critères de norme que vous avez reçus de cette société, indépendant même de ce corps que vous habitez et dont les réactions sont aussi influencées par les stimuli externes. Plongez une fois encore dans votre for intérieur, et souvenez-vous de qui vous êtes ! Vous êtes la conscience éternelle qui donne et maintient la vie de votre corps et qui acquiert ainsi temporairement des expériences terrestres. Cette conscience que vous êtes au fond de vous est pleine de vie. Elle est créatrice, radieuse, aventurière. Elle connaît aussi, car elle est enracinée dans l’Être.

Cette conscience que vous êtes n’est pas un principe abstrait. Ce n’est pas un Dieu lointain, mais une conscience vivante et palpable. C’est ce que vous êtes ! Vous la sentez circuler en vous au moment où vous avez le plus conscience de qui vous êtes. Lorsque vous savez ce qui vous donne de la joie. Lorsque vous êtes émus par ce que vous voulez et aussi lorsque vous savez ce que vous ne voulez pas. Cette aptitude fondamentale à discerner, à dire oui ou non à ce qui vous fait du bien ou du mal, vous maintient en contact avec qui vous êtes réellement, avec votre âme et votre Être éternel. À présent, cet Être est invité à prendre une place prépondérante dans votre vie, et à choisir ce qui vous appartient en propre et ce qui ne vous appartient pas.

La vie vous invite maintenant à prendre le chemin de la nouvelle énergie, de cette vague d’énergie qui pénètre actuellement l’atmosphère de la Terre. Vous pouvez réagir de deux façons à cette invitation : soit vous aligner sur ce courant d’énergie nouvelle, soit vous y opposer. Si vous faites confiance à ce courant, et que vous acceptez de vous laisser porter par sa force, cela vous donne des  »ailes » et son dynamisme vous propulse. Cela peut aussi vous faire peur, car il vous faut lâcher prise de l’ancienne énergie. Mais en même temps, c’est passionnant et libérateur !

Vous pouvez aussi choisir d’aller à contre-courant, par peur de ce que la nouvelle énergie va vous apporter ou effrayés à l’idée de lâcher la sécurité apparente qu’offre l’ancienne énergie. Dans ce cas, vous entrez en lutte contre les forces qui veulent changer votre vie de l’intérieur. Cette résistance, cette opposition, sont une forme de lutte, et si vous résistez à un courant aussi puissant, il se produit une sorte de noyade et les choses peuvent alors devenir étouffantes et oppressantes en vous et autour de vous. Votre vie manque d’un ancrage solide, parce que vous ne faites pas confiance aux forces merveilleuses qui veulent guider votre vie. Il est toujours possible de faire marche arrière et de dire  »oui » au courant. Au moment où vous capitulez et lâchez prise, vous pouvez à nouveau faire l’expérience d’être portés, qu’il y a un sens à ce courant, et qu’il vous portera vers un lieu beau et bon. Il est important que vous ayez conscience qu’en protestant, vous êtes encore nourris par des images pleines de peur en provenance du passé. Il y a là des images tellement sacrées pour vous que vous ne voyez même pas qu’elles sont, en fait, la voix de la peur. Il peut donc arriver que vous soyez si occupés à résister que vous ne réalisez pas que vous résistez à quelque chose de bon qui veut émerger dans votre vie. Vous pensez que le fait de tenir à ce qui est ancien est correct, sans voir ni reconnaître votre peur. Vivre selon la peur est devenu une habitude en grandissant dans une société pleine de peurs.

Je vous invite aujourd’hui, grâce à un simple exercice, à examiner de quelle façon vous êtes englués dans de vieilles habitudes de peur, et comment vous résistez à ce qui veut circuler dans votre vie. Afin de pouvoir faire cet exercice, je vais d’abord vous parler un peu de ce nouveau monde au seuil duquel vous vous trouvez. Imaginez la réalité de la Nouvelle Terre devant vous, telle une Lumière Dorée. Nous n’allons pas décrire les détails physiques de ce monde, mais nous allons nous relier à lui sur le plan énergétique pour ressentir sa réalité. Pensez à vos rêves, vos visions d’une nouvelle réalité pleine d’amour sur la Terre, étayée par des relations fondées sur le cœur. Voyez la Lumière Dorée émanant de cette réalité, et prenez contact avec cette Lumière. Voyez s’il vous est possible de laisser entrer cette Lumière Dorée dans votre corps.

Ressentez sa douceur, aimante et puissante. Cette Lumière Dorée connecte. Elle ne résiste à rien. Elle dit  »oui » à tout et donc, cette Lumière peut tout imprégner, aussi bien les zones d’ombre que les zones de lumière. C’est la lumière de l’amour, la lumière de l’alchimie, qui transforme l’ombre (le plomb) en lumière (l’or). Dans cette Lumière Dorée, tout a un sens et une valeur. Il n’y a plus de combat entre la lumière et l’ombre. Ressentez la puissance de cette Lumière Dorée. C’est la naissance de la conscience christique en chacun et chacune de vous. Lorsque vous incarnez cette lumière, vous n’avez pas besoin de vous éloigner de l’ombre et de la lourdeur. Vous pouvez être complètement présents dans ce monde terrestre. Vous pouvez être qui vous êtes au milieu du chaos de l’effondrement du vieux système qui se produit maintenant dans le monde qui vous entoure. Vous n’avez besoin d’aller nulle part. Gardez simplement cette lumière en vous. C’est la lumière du monde nouveau, la lumière de votre âme. Vous n’avez pas besoin d’éviter le monde. La seule chose requise est votre fidélité à cette Lumière Dorée. Reconnaissez-la en vous, elle est tranquille, calme et confiante. Ressentez la force de cette énergie qui vous porte et vous soutient. Sentez-la descendre dans vos pieds, elle a une certaine substance. Sentez cette Lumière Dorée circuler dans vos pieds jusque dans la Terre, et y allumer des semences de Lumière partout.

Dans l’ère à venir, l’ancien et le nouveau coexistent. Ici et là, des ouvertures émergent dans le champ énergétique ancien, là où des êtres humains consentent à abandonner leurs sécurités apparentes et accueillent la nouvelle énergie. L’afflux de Lumière Dorée peut alors prendre place. Peut-être va-t-il passer par vous, parce que vous incarnez déjà cette Lumière Dorée. En restant dans le monde avec votre Lumière Dorée, vous pouvez être vous-mêmes, et en même temps, offrir quelque chose de neuf au champ énergétique ancien. Vous êtes comme une porte, une ouverture vers plus de liberté et de gentillesse. Vous êtes cette porte pour les autres grâce à cette énergie qui émane de vous. Il n’est pas nécessaire de faire de gros efforts pour cela. Lorsque la lumière Dorée passe de vous aux autres, cela se fait sans effort, simplement par votre présence. Le temps des durs efforts et des combats contre l’ombre est terminé. Vous n’avez plus à vous battre ! Ce n’est pas votre combat. Laissez tomber toute cette dynamique de combat pour ou contre quelque chose. Vous avez seulement besoin d’être là, de nourrir en vous cette Lumière Dorée du futur et d’y être fidèles.

Nous allons maintenant voir de quelle façon vous êtes encore englués dans des pensées anciennes de pénurie basées sur la peur, et des actions issues du besoin de pouvoir et de contrôle. Vous avez grandi avec ces pensées parce qu’elles font partie de l’énergie collective sur Terre. Vous venez juste de vous reconnecter à la Lumière Dorée de la Nouvelle Terre, où prévalent la joie et le réconfort. Regardez maintenant avec votre œil intérieur cette énergie de l’ancien monde, basée sur la peur, la lutte et l’hostilité, et visualisez cette énergie devant vous. Regardez-la de façon neutre, sans peur. De quelle couleur est-elle ? Est-elle comme un brouillard dense et sombre, suffocant et collant ? Quelle impression s’en dégage ? Il y a beaucoup de peur en elle, vous pouvez l’observer calmement, car vous n’avez rien à faire avec elle. Vous n’avez pas besoin d’y adhérer ni de vous y opposer. Elle est juste là, et vous l’observez.

Marie-Madeleine dans MARIE-MADELEINE 220px-Magdala_um_1900Maintenant, ressentez à nouveau la présence de la Lumière en vous. Puis regardez où l’énergie ancienne s’accroche encore à vous. Regardez surtout dans les zones du cœur et des centres inférieurs : l’estomac, le nombril et le coccyx. Y’a-t-il des cordes énergétiques qui vous retiennent et vous relient encore à la vieille Terre, régie par la peur, le jugement et la lutte ? Regardez cela calmement et demandez-vous :  »où suis-je encore coincé (e) dans l’ancienne énergie ? Montrez-le moi simplement et clairement, parce que je veux en être complètement conscient (e) ». Au moment où cette ancienne énergie devient visible, et que vous voyez les cordes qui vous retiennent à elle, ressentez quelles sont les énergies qu’elles contiennent. Qu’est-ce qui vous enchaîne encore à l’ancienne énergie ? Est-ce la peur ou l’incertitude ? Est-ce un sentiment d’infériorité que vous n’osez pas relâcher ? Et cependant que vous savez ne plus vous appartenir ? Qu’est-ce qui vous restreint et vous empêche de vous focaliser sur ce qui vous fait du bien ?

Regardez attentivement ce qui vous paralyse ou vous bloque le plus. Il se peut que cela se présente sous la forme d’un enfant : un enfant terrorisé, incertain, refoulé, ou encore agressif. Soyez très conscients de la dynamique émotionnelle qui vous ramène à l’ancienne énergie. Plus vous verrez clairement cette dynamique et la comprendrez, plus ce sera facile de la laisser aller. Il n’y a rien d’aussi libérateur que de voir clairement qui vous êtes. Même si cela peut être décourageant de réaliser que vous êtes encore enchaînés à l’ancienne énergie ici ou là, c’est toujours mieux d’en avoir conscience, plutôt que refouler cette peur et ne pas vouloir la voir. Et la Lumière Dorée ne condamne jamais. Laissez tout ce qui est encore effrayé ou qui offre de la résistance à la nouvelle énergie se présenter à la lumière du jour, c’est précieux et significatif. Lorsque vous avez une conscience claire de vos liens avec l’ancienne énergie, que vous savez ce qu’ils sont, vous laissez alors la Lumière Dorée circuler dans cette zone. N’essayez pas de rompre les liens qui vous attachent au passé. Permettez-leur juste de s’imprégner de Lumière Dorée, chaleureuse et compréhensive.

Ne vous battez pas contre votre peur, votre incertitude ou votre dépendance à l’ancienne énergie. Entourez-les de Lumière Dorée, avec empathie, avec compassion. Il n’est pas nécessaire de les combattre. Le combat les fait empirer, car il génère de la résistance dans ces aspects de vous qui ne sont pas encore prêts ou capables de se joindre à la nouvelle énergie. Laissez l’amour dégeler et détendre ces aspects. Si vous dites à ces aspects sous l’emprise de la peur et de l’insécurité que vous les accueillez tels qu’ils sont, ils vont alors commencer à se relâcher et changer. Gardez toutes vos frayeurs et vos résistances, ne les reniez pas. Dites-leur que vous les aimez et que vous avancez avec eux. Elles contiennent une puissance énorme et vous ne voulez pas perdre cela ! Vous voulez transformer cette énergie et cela ne peut se faire que par l’amour.

À présent, permettez à un enfant intérieur de venir à vous, l’enfant qui reflète le plus cette résistance, cette peur, ce manque de confiance en vous. Accueillez cet enfant dans votre cœur, entourez-le de Lumière Dorée et dites-lui que vous êtes heureux de l’avoir trouvé. Maintenant qu’il est avec vous, vous pouvez le mettre  »sous votre aile » et prendre soin de lui. Il n’est donc plus vulnérable aux impulsions et aux coups en provenance de l’extérieur qui renforcent cette peur.

J’aimerais maintenant vous parler de cette nouvelle année 2012. nous sommes au dernier mois de 2011, et l’hiver est un temps de transition naturelle, un temps d’intériorisation et de préparation. Beaucoup de choses ont été dites sur ce que serait 2012. J’aimerais vous inviter à oublier tout ce que vous avez entendu ou lu sur  »2012 ». Ce sont des suggestions externes. Je préférerais que vous acceptiez de ressentir ce que cela signifie pour vous. Calmez-vous. Vous n’avez rien à craindre et vous êtes en sécurité. Accordez-vous à l’année 2012 et à ce qu’elle signifie pour vous, et non pour le monde. Visualisez une couleur ou une lumière qui la représente, et ressentez son énergie, ses possibilités. Posez-lui des questions :  »Quel est le plus grand potentiel pour moi cette année et comment puis-je réaliser ce potentiel ? »  »Quelle est la chose la plus importante pour moi à connaître et à faire ? »

Imaginez que vous êtes assis (e) sur la crête d’une énorme vague de l’océan. C’est délicieux et passionnant d’être porté (e) par cette vague. Permettez à ce que vous ressentez en vous de vous porter, parce qu’au sommet de cette vague, vous êtes dans le courant de vos possibilités les plus élevées, et que vous permettez au courant de la vie de vous mener là où il veut. Qu’est-ce que cela vous demande  pour vous abandonner à ce courant ? Comment pouvez-vous lui dire  »oui » ? Permettez à ce que vous ressentez sur la crête de la vague d’agir sur vous. En haut de la vague, vous vivez dans la vérité, et en vous replongeant dans ce ressenti, vous vous accordez avec ce que l’année va vous apporter. Faites toujours confiance à vos signaux internes. Les informations offertes par le monde extérieur, comme par exemple les prédictions et l’attente de la fin du temps, ne sont pas nécessairement fondées sur une pensée claire ou intuitive. Certains messagers parlent à partir de leur peur, par besoin de sensationnel et de tragédie, et leurs messages peuvent semer la confusion. Il y a aussi des messages de Lumière qui génèrent la paix et la tranquillité. Faites la distinction sur la base de ce que vous ressentez. Qu’est-ce qui me semble bon ? Qu’est-ce qui ne me semble pas bon ? Vous êtes l’ancre.

feu-anim dans MARIE-MADELEINEPour finir, j’attire votre attention sur notre petit cercle réuni ici aujourd’hui. Imaginez que nous soyons assis autour d’un feu, un feu brûlant d’inspiration. Nous sommes tous nourris par ce feu, le feu de notre cœur. Voyez la lueur qui brille sur nos visages, elle reflète nos espoirs, nos aspirations, notre tristesse et nos doutes. Lorsque ces expressions se manifestent sur nos visages à la lueur du feu, elles paraissent très humaines et transparentes. Dans la douce lumière chaude du feu, toutes choses ont la permission d’exister telles qu’elles sont. Accordez-vous cette chaleur, cette Lumière Dorée. Vous vivez encore des traces de la Nuit de l’âme, de l’ombre qui vous a piégés. Maintenant, entourez-vous de chaude lumière, vous en êtes capables. Rendez-vous hommage, soyez fiers de qui vous êtes, et voyez votre bravoure. Rappelez-vous tout ce que vous avez déjà accompli, ce que vous êtes capables de faire, et ce que vous avez enduré. Confirmez-vous dans votre grandeur et n’écoutez pas les pensées qui vous diminuent. Laissez ce feu devenir un feu de joie, dont les étincelles jaillissent au-delà de ce cercle et touchent un grand nombre d’autres personnes, faisant ainsi s’agrandir le cercle. Ce sont mes vœux de cette année pour vous et tous ceux et celles qui liront ce message.

© Pamela Kribbe - Traduction Christelle Schoettel.

Source originale.  Source : http://www.urantia-gaia.info (en cas de copie, merci de respecter l’intégralité du texte et de citer la source).

 

 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 14 septembre, 2012 |Pas de commentaires »

Pamela transmet Marie-Madeleine

Pamela Kribbe.

Pamela transmet Marie-Madeleine dans MARIE-MADELEINE peintureChers amis, je suis Marie-Madeleine. Vous me connaissez, ma silhouette et mon visage font partie de votre histoire, et de ce fait, ils ont été déformés et défigurés. Mais vous connaissez bien mon origine, parce que nous vivons à partir de la même source, l’espace intérieur du cœur, le Foyer de l’âme. Vous êtes poussés par le même désir que celui que j’avais lors de ma vie sur Terre. Une aspiration, un désir ardent pour la vérité, pour ce qui est réel, pour l’Être. Un désir de vivre à partir de l’âme, de l’inspiration, de votre centre. C’est ce qui est important pour vous.

Vivre de cette façon peut faire mal. Cela vous amène dans vos zones les plus obscures, parce que vivre depuis votre centre intérieur signifie que tout doit être vu. La lumière a besoin de briller sur tout, de façon que vous puissiez devenir Un et complets en vous-mêmes. Beaucoup de gens sont engagés dans un combat contre eux-mêmes et c’est pénible à voir. Les gens vivent souvent selon des images, des représentations et des séries de règles idéalisées à propos de ce qu’est un être humain réussi, reconnu et respecté par le monde. Alors, avant que vous le sachiez, vous êtes déviés par les opinions et les exigences du courant principal de la société. Vous avez l’impression d’avoir besoin de vous ajuster à leur mode de pensée, de façon à pouvoir paraître séduisants et bons aux yeux du monde. Cela vous éloigne de votre centre intérieur et c’est ainsi que vous vous déconnectez de vous-mêmes. Mais il y a encore une petite voix qui dit : « Va en toi, découvre qui tu es ».

À lire sur http://www.urantia-gaia.info/

 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 13 septembre, 2012 |Pas de commentaires »

AGNI et DURGA

 

Après des années de voyage et d’amitié avec Jésus, nous rencontrâmes Marie Madeleine, une sainte femme de la communauté de sœurs des femmes d’Ephèse. Lors de sa rencontre avec Jésus s’embrasa son Amour qui n’a pas de début ni de fin.

Notre amitié avec elle rencontra un terrain ancien et fertile si bien que nous prîmes la décision de partager la vie à venir. Beaucoup d’années plus tard, Sarah, la fille de Jésus et Marie Madeleine se maria avec notre fils et scella ainsi une nouvelle union d’Amour, de Lumière et de Feu. Cette union invite aujourd’hui tout le monde à se connecter à elle.

AGNI et DURGA dans MARIE-MADELEINE gravure%20dore%20bible%20-%20marie%20madeleine%20repentanteJe suis Marie Madeleine, la compagne de Jésus depuis le début des temps.

Je voudrais vous faire savoir que je ne me suis pas incarnée depuis 2000 ans. Avant tout, j’ai développé au Ciel des aspects de moi-même afin de me préparer à la grande mission que Jésus nous a jadis promise.

Vous devez savoir aussi qu’en ce moment je ne suis sur Terre sous aucune forme. Jusqu’à récemment, je séjournais en unité avec Jésus. Depuis ce tempslà, nous n’avons plus jamais été séparés. Nous sommes un courant d’Amour christique, réuni sous la forme du Christ-Shakti et du Christ-Shiva.  Nous nous sommes seulement séparés, après des éons, après une éternité, pour nous retirer chacun dans notre Ciel et notre conscience divine.

Jésus s’est remis au Père pour densifier sa Lumière dans le sein de Dieu et s’exercer à faire revenir son âme en préparation à sa prochaine venue. Je me suis retirée dans la Mère des mondes où le

Ciel de mon âme se sent en sécurité. Je me prépare de la même façon à venir sur Terre.

Ceci est mon message pour vous à qui ce livre est dédié : humanité, prépare-toi à la venue de Jésus.

Moi, Marie Madeleine, j’attendrai jusqu’à ce qu’il m’ait précédée à nouveau et qu’il soit revenu sur Terre par le canal sacré pour réapparaître aux hommes sous sa forme incarnée.

J’attendrai jusqu’à ce moment-là avec mes prières, mes préparations et rituels, avec lesquels j’imprègne les mondes. Seulement après, je reviendrai sur Terre.

Je suis en complète fusion avec le Ciel de mon âme et je me prépare à mon retour sur Terre.

Je suis Marie Madeleine, l’amante éternelle, dont le cœur appartient seulement et uniquement au Seigneur.

Lire le livre en PDF icihttp://jesus-the-book.com/wp-content/uploads/2011/11/mm_frz.pdf

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 2 juin, 2012 |Pas de commentaires »

Les 3 Marie de Meurois

 

Avec la parution de son dernier livre « Le Testament des Trois Marie », Daniel Meurois nous révèle l’Enseignement initiatique que le Christ a offert à ses plus proches disciples-femmes. Cet enseignement qui aborde, entre autre, les relations de couple, la guérison des mémoires et la pacification du coeur s’avère extraordinairement actuel. Daniel Meurois nous commente ici son oeuvre.

La 1

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La 2

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Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 19 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Marie-Madeleine

 

Voici un extrait, mis en images, du CD audio de « L’Évangile de Marie-Madeleine… selon le livre du temps »
Textes : Daniel Meurois ( d’après le livre du même titre paru aux Éditions Le Passe-Monde).
Interprétation: Pakoune
Bande sonore et musique : Michel Garnier
L’Intégrale de ce CD réalisé par Les Productions Intus Solaris est disponible à partir de ce site : www.danielmeurois.com (onglets CD et Boutique )
Cette vidéo est une conception et une réalisation de Marie Johanne Croteau

 

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Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 19 mai, 2012 |Pas de commentaires »

L’incident survenu en territoire français

 

Par Marie-Madeleine

Le retour de la déesse ne veut pas dire qu’elle descendra des cieux avec une épée enflammée. Il signifie qu’elle incarne le cœur et l’esprit des femmes et que celles-ci trouvent maintenant le courage d’exprimer leur vérité et de poser les gestes qu’elles croient nécessaires à l’instauration d’un changement.

 Dans le sud de la France, au pied des Pyrénées, se trouve une région unique. Comme dans tous les endroits de la Terre, il y a là de subtils canaux énergétiques pour la circulation de l’énergie planétaire partout dans la campagne. Ce sont les méridiens du corps de la Terre.

 Dans cette région, celle du Languedoc, le réseau énergétique est très complexe. La région possède une longue histoire remontant à l’époque païenne. Il y avait là autrefois des temples d’Isis, la Mère cosmique. Plus tard, lorsque la chrétienté s’y implanta, des églises furent construites sur plusieurs de ces sites énergétiques païens. Dès lors, les mystères féminins furent recouverts par la nouvelle religion dominée par les mâles. Et les siècles passèrent.

 Voici venu le temps d’une remontée du féminin sacré, cette fois-ci en équilibre avec le masculin. Ce ne sera ni le matriarcat ni le patriarcat, mais les deux dans un équilibre mutuel, symbolisés en alchimie par le soleil et la lune en parfait équilibre réciproque. Voici la naissance de l’androgyne sacré, l’équilibre parfait du masculine t du féminin. Quand cela se produit, la dimension mystique de l’être humain se révèle. J’ai donc demandé à Thomas de chanter dans la petite église afin d’ancrer une énergie qui libérerait le féminin sacré en invoquant en quelque sorte la déesse endormie. Ce fut fait par des sons, envoyés par moi en lui. Ces sons furent reçus par la terre, par ces lignes d’énergie et ces vortex de lumière terrestre.

Image7-2.png Si j’ai demandé à Thomas de chanter dans la petite église, c’était pour des raisons personnelles, car j’ai un problème avec l’Eglise de Rome. Moi qui fus l’épouse de Yeshua ainsi que sa plus proche disciple, j’ai été éclipsée. Pierre, le « roc sur lequel fut bâtie l’Eglise de Rome », ne pouvant tolérer les femmes de pouvoir, ma position et mes enseignements furent occultés par la montée du patriarcat.

 Lorsque l’Eglise de Rome brûlait des femmes sous l’Inquisition en accusant ces guérisseuses d’être des sorcières, il s’agissait d’une attaque directe contre les méthodes de guérison païennes qui employaient les énergies terrestres, et ces méthodes constituaient mon héritage. Mes méthodes de guérison n’utilisaient pas uniquement la lumière d’autres mondes, mais aussi celle de la terre : les énergies terrestres, les herbes, les huiles.

 Ainsi, quand l’Eglise de Rome entreprit la purification de ce qu’elle appelait le « mal », il s’agissait d’une attaque directe contre le féminin sacré. Maintenant, avec le temps, le vent a commencé à tourner et j’ai un compte à régler avec l’Eglise. C’est pourquoi mon cœur s’est profondément réjoui quand Thomas a chanté dans l’église qui porte mon nom. Son chant consacré à la déesse rendait honneur au féminin sacré sur les lieux mêmes qui lui étaient consacrés autrefois et qui lui furent volés par l’Eglise. J’y ai donc pris un plaisir très particulier. Avant tout événement spirituel important surgissent des obstacles qui tentent de l’empêcher. Lors de la Cène, quand Yeshua livra ses derniers enseignements avant sa crucifixion, il n’y avait que des hommes autour de la table. J’étais la seule femme présente, et c’est un homme, Judas, qui l’a trahi.

 Au moment où Tom s’apprêtait à aller semer le germe de la libération du féminin sacré dans une église catholique romaine, symbole suprême du patriarcat, il était assis à une table en compagnie de femmes uniquement. Survint alors une femme qui tenta de le distraire en instillant de la peur dans la situation. Ce fut suffisant pour que Tom se sente catapulté dans le temps jusqu’à l’époque où l’on avait réellement peur de l’insurger contre l’Eglise. Cette époque remonte à plusieurs siècles. Dès lors, Tom opérait dans deux dimensions temporelles. L’une était le présent et l’autre était le passé, qui comportait ses souvenirs de l’Inquisition, et il se débattait donc entre deux époques. Il a fallu la femme qu’il aime, et qui est aussi une femme de pouvoir, pour le ramener à la réalité présente et lui rappeler ce qu’il était venu faire, soit chanter dans cette église pour y semer le germe de la libération du féminin sacré, parce que moi, Marie Madeleine, je le lui avais demandé. Ce qu’il faut retenir ici, c’est qu’une femme a tenté de le distraire et qu’ne femme de pouvoir qu’il aime et en qui il a confiance l’a ramené au présent à travers le labyrinthe des souvenirs et des émotions d’une vie antérieure.

 Venons-en donc maintenant à ce qui s’est passé dans la petite église et à la première raison pour laquelle ce fut important. A l’exception de Thomas, tous les personnages principaux étaient des femmes. Je dirais qu’il était important pour Thomas de chanter dans cette église où se trouvaient tant de forces apparemment opposées. Quand il a chanté, il s’est pleinement investi de lui-même, c’est-à-dire du Soi supérieur, et il a chanté pour moi et pour les femmes avec toute la force de son être. Il l’a fait dans une église patriarcale, et ce, même s’il avait servi l’Eglise mère dans le passé. Grâce à l’intervention de Judi, j’ai reçu ce que j’avais espéré pour ma propre instruction, pour le plaisir d’apprendre… J’ai appris que Thomas pouvait se lever et changer malgré une énorme opposition extérieure. Grâce à l’intervention de Judi,  la libération du féminin sacré fut implantée dans une géométrie centrale.

 Ce fut donc pour moi l’achèvement de ce cycle énergétique, une note dans les pages du temps pour célébrer le retour du féminin sacré et sa montée jusqu’à son équilibre avec le masculin. La seconde raison pour laquelle c’était important, c’est que le germe de cette libération fut semé dans une église catholique romaine, et énergétiquement dans tout l’édifice à l’éveil et au changement tous ceux qui appartiennent à l’Eglise. Je crois fermement que ce germe sera comme un grain de sénevé ; insignifiant sur le moment, il croîtra en force et en protée. C’est la déesse elle-même sonnât le clairon contre le château du patriarcat ; « Le temps est venu de partager votre pouvoir. Partagez-le avec équité, sinon vous le perdrez ». 

Ce son fut le germe de la libération du féminin sacré, lequel germe fut semé dans le sol d’une église catholique romaine érigée sur les ruines d’un temps consacré à la déesse. Concluez-en ce que vous voulez. 

Extrait de 2012 – Le Grand Rassemblement – Propos de Kryeon, Marie-Madeleine et les Hathors recueillis par Martine Vallée. Invités spéciaux : l’archange Michaël, le Haut Conseil de Sirius. Aux éditions Ariane – Page 243.

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 15 mai, 2012 |1 Commentaire »

Le rythme de la Création

Par Marie-Madeleine

Lorsque vous commencez à comprendre le grand rythme de la Mère des mondes, qui passe, trépasse et renaît afin de créer, vous percevez alors le circuit vous permettant un nouveau cycle temporel de compréhension et de rencontre avec vous-même et la Terre.

glittersJe vais vous expliquer en profondeur les rythmes de la Mère des mondes car il va être important que vous vous en remettiez à eux. Vous devez apprendre à lâcher-prise et quand il sera temps, à donner tout ce que vous possédez et ce que vous êtes à la création pour renaître, ressusciter dans la Lumière et être reconnu devant Dieu. C’est le rythme entre la Mère des mondes et la Terre.

Mais quand ce rythme n’est pas accepté, des perturbations entre la Mère des mondes et la Terre se manifestent et les structures sur Terre et au Ciel éclatent.

C’est ainsi que l’on doit vivre des crises car il n’y a pas eu de lâcher-prise. Cette extinction doit être comprise en tant que processus de la vie éternelle au même titre que la création, tout comme la naissance et l’abondance. Car tout naît et tout disparaît.

Si vous, humains, compreniez une bonne fois ce rythme originel, une guérison profonde toucherait vos âmes car vous vous reconnecteriez avec les initiations de la vie et il naîtrait en vous considération et respect profonds pour la création.

Beaucoup sont emprisonnés dans un monde que vous appelez souffrance et traumatisme. Vous cultivez la souffrance parce que vous supposez à tort que ce n’est que dans l’Obscurité de la souffrance que vous pouvez faire l’expérience de la profondeur de la création.

Cette profondeur est bien plus que ce que vous osez espérer. Elle est le cocon, l’initiation et le fait d’arriver au cœur originel de la confiance. Vous comprenez par profondeurs de l’Obscurité, pouvoir, leadership, vie et création.

Cette Obscurité n’a rien en commun avec l’Obscurité que vous connaissez sur Terre qui a pris, ici-bas, la forme de signes cliniques. La Terre est aussi prisonnière et souffre du cancer que vous les Hommes expérimentez dans vos corps. Les Hommes ayant vécu pleinement le libre arbitre sur Terre et la longue guerre entre Lumière et Obscurité, la Terre a dû ainsi accepter l’expérience d’une croissance pervertie dans ses cellules. La Terre ne peut pas se guérir elle-même. Elle a besoin d’expérimenter la guérison avec l’humanité.

Extrait du livre Marie Madeleine, Le début de l’âge d’or 2012 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 15 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Invitation FORUM de discussion

 BONJOUR A TOUS ET TOUTES !

Invitation FORUM de discussion dans 2007 - PREDICTIONS 150157_979163764_coeur-rouge_H224046_L

Pour ceux qui apprécient ce blog et les autres, vous pouvez nous rejoindre sur Le forum que je viens de créer, c’est un nouvel espace de discussion supplémentaire et complémentaire….

Voici son adresse : http://devantsoi.forumgratuit.org/        

       Venez nombreux ! Je serai heureuse de vous y accueillir !

Vous pourrez toujours reprendre des éléments contenus sur ce blog afin de pouvoir en discuter ensemble sur le forum !

Je vous dis donc à TRES BIENTOT !

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Les Hathors et Marie Madeleine

 

En m’efforçant de bien orienter ce livre, j’ai consulté Marie Madeleine pour lui demander quels étaient les meilleurs moyens d’action pour affronter ce qui vient. Elle m’a dit que très peu de gens comprendraient ce qu’elle avait à dire. Voici son message.

 Selon ma vision des choses, cette Terre est en pleine purification cataclysmique, non par l’action de Dieu, mais simplement par la nature même d le a planète et du cosmos, et il n’y pas grand-chose qu’une seule personne puisse faire.

 Les Hathors et Marie Madeleine dans AMOUR 200px-Maria_Magdalene_by_CaravaggioCe qui est requis, soit nager à contre-courant, est impossible pour la plupart des gens. Le « courant » auquel je fais ici allusion, c’est le contrôle l’implosion évolutionnaire, le fascisme, le fanatisme religieux et la manipulation exercée au moyen de la peur par les forces qui contrôlent la destinée humaine à une grande échelle. Il appartient donc à chaque individu de trouver une façon de nager à contre-courant, ce qui exige de la maîtrise, de l’intelligence et un haut degré de créativité et de souplesse.

 L’un des moyens de nager à contre-courant consiste à se connecter à la vibration de l’amour – l’amour impersonnel – et de rester ensuite dans cette bulle tout en étant conscient des réalités du monde. Ne vous faites pas l’illusion de croire que tous les gens qui vous entourent sont dans ce même état d’amour.

 L’art consiste donc, si l’on veut, à être dans un champ vibratoire qui semblera peut-être vous séparer de l’état d’esprit de votre entourage. Vous devez en effet atteindre un état d’esprit qui vous permettra de nager à contre-courant et de vivre ensuite dans cet état vibratoire tout en restant très conscient de tous les éléments qui vous entourent. C’est ce que font les couples quand leur relation est vraiment alchimique, mais peu de couples ont une telle relation. Je dirais qu’il est plus difficile de le faire seul, mais  il faut être avec la bonne personne si l’on est dans une relation. La plupart des couples en sont justement l’antithèse. Mieux vaut alors trouver cet état tout seul et y vivre seul.

 La force impersonnelle de l’amour est comme l’eau. Quand nous nageons, l’eau nous entoure, mais il y a toujours des pierres et des objets impossibles à repousser dans le courant. La maîtrise de la nage consiste à contourner tout ce qui n’est pas ce que vous cherchez. Nager autour des obstacles, et sans vous retourner, laissez-les derrière vous. Les plus grands trésors de l’humain ne sont pas matériels ce ne sont pas les richesses de ce monde. Ce sont les attributs de la conscience qui se développent au cours de l’existence et que vous emportez dans d’autres mondes en quittant cette vie. Il faut donc un certain niveau d’intelligence pour reconnaître la valeur d’un attribut – cet amour impersonnel – et pour savoir l’utiliser afin de créer une bulle, un champ vibratoire sui vous permette de vaincre les obstacles du courant, de remonter la rivière à contre–courant.

 La Terre est l’école de l’âme. Certains obtiennent leur diplôme et plusieurs ne l’obtiennent pas. Cette vie est temporaire, mais la conscience est éternelle. C’est donc la façon dont vous composez avec la densité et la souffrance de la vie qui détermine quels attributs vous en extrairez. L’un des plus grands  trésors ou attributs de la conscience est la capacité d’aimer d’une manière impersonnelle, car cela crée un champ vibratoire qui remonte de lui-même le courant en vous emportant avec lui.

 230px-Magdala_um_1900 dans MARIE-MADELEINEPar ailleurs, si vous êtes dans une relation où vous vous respectez vraiment l’un l’autre, vous pouvez créer une troisième force et l’utiliser pour générer le champ ou la bulle. Si vous n’êtes pas dans une relation avec quelqu’un qui possède l’intelligence et les attributs requis, vous devez alors nager tout seul à contre-courant. Les trois étapes s’appliquent toujours : reconnaître la valeur de l’attribut, le trésor ; vivre dans cet attribut, cet état vibratoire ; et le protéger de toute interférence.

 Vivez pleinement dans ce monde pour acquérir toute l’expérience possible, mais vivez chaque jour en sachant que vous n’êtes pas de ce monde. Si vous pouvez vivre ainsi de toute la force de votre être, vous pourrez traverser l’expérience de cette vie avec davantage de maîtrise et de grâce.

 Je dirais que la voie de l’Initié consiste à vivre en s’élevant malgré tout ce qui se passe dans son environnement extérieur et à trouver ses trésors intérieurs : la capacité de penser, de ressentir et d’aimer de manière impersonnelle ; puis, elle consiste aussi à les utiliser comme moyens de naviguer dans les conditions et les situations de la vie sans jamais les perdre de vue.

 Telle est la voie.

 Extrait de 2012 – Le Grand Rassemblement – Propos de Kryeon, Marie-Madeleine et les Hathors recueillis par Martine Vallée. Invités spéciaux : l’archange Michaël, le Haut Conseil de Sirius. Aux éditions Ariane – Page 191.

 

Publié dans:AMOUR, MARIE-MADELEINE |on 31 décembre, 2011 |Pas de commentaires »

Marie-Madeleine

une initiée maitre de l’énergie de la Déesse 

 

Marie-Madeleine dans MARIE-MADELEINE 270Les prêtres patriarcaux juifs et leurs femmes s’opposaient de plus en plus ouvertement à l’adoration de la Mère divine, la Shékinah sacrée. En jouant le rôle d’intermédiaires entre le chercheur et Dieu, les prêtres cherchaient à régir la capacité inhérente des individus d’avoir une connaissance directe de Dieu à l’intérieur d’eux-mêmes. Ils se méfiaient, et souvent, abhorraient les manières d’entrer en relation directe avec la Shékinah. Ils méprisaient Isis, Inanna et les autres représentations de la Grande Mère, à défaut de pouvoir se servir de la Déesse à leurs propres fins. Les femmes qui étaient solidement ancrées dans les vieilles traditions matriarcales étaient perçues comme une menace parce qu’elles ne pouvaient être dominées facilement et qu’elles détenaient des pouvoirs que la prêtrise convoitait pour elle-même. Par conséquent, bien des hommes en position d’autorité religieuse regardaient ces femmes de haut et les considéraient comme des tentatrices responsables de la chute du genre humain et de la corruption de la chair. La plupart des maris traitaient leurs femmes et leurs filles comme des possessions ignorantes et de virtuelles esclaves au service de leurs plaisirs physiques et de leur besoin d’héritiers. On appliquait souvent aux femmes qui étaient connues pour leur adoration de la Déesse les étiquettes de prostituées et de femmes aux mœurs légères

 

Anna, grand-mère de Jésus;Claire Heartsong 

Les femmes étaient porteuses d’une énergie créative et intuitive très forte qui ne devait pas servir au simple plaisir sexuel. En réalité, Marie-Madeleine était maitre de l’énergie créative de la kundalini et fut capable de démontrer la fonction essentielle de cette énergie à certains hommes. Cependant, les enseignements et pratiques qu’elle dirigeait furent mal compris et elle fut traitée de prostituée. 

 

 Révélations d’Arcturus; Ramathis-Mam 

Marie me reconnut comme initiée [au culte d'Isis], du fait que je portais à mon bras le bracelet d’or en forme de serpent… Il est ironique que j’aie ensuite rencontré les yeux de ceux qui furent des disciples [de Jésus], qui me jugèrent et décidèrent que j’étais une prostituée. Cette opinion s’est perpétuée au fil de générations de croyants. 

 

Le manuscrit de Marie-Madeleine, T. Kenyon et J. Sion 

  

SOURCE :extraits du livre « Le Manuscrit de Marie-Madeleine à lire ici    

 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 5 août, 2011 |Pas de commentaires »

Mémoires magdaléennes

Mémoires magdaléennes dans MARIE-MADELEINE 16691    L‘AMOUR A L’INFINIOserez-vous lire une nouvelle vérité sur Marie-Madeleine et Jésus ?

Dans l’actualité cinéma du « Da Vinci Code », rendez-vous avec les révélations de Marie Ysalia.

Symbole dans MARIE-MADELEINE Tome 1 & Tome 2       

 

Avec l’ouvrage « Mémoires Magdaléennes » (éd. des 3 Monts) vous allez découvrir le nouveau visage de Marie-Madeleine, tantôt humiliée tantôt glorifiée mais toujours portée par son amour infiniment humain.

Le tome 1
Ysaliâ Marie est le pseudonyme qui permet à l’auteur de s’immerger dans la mémoire du temps à la rencontre d’une vérité oubliée. Et si elle était la réincarnation de Marie-Madeleine ? Comme beaucoup d’êtres, elle est sans doute de ces âmes qui portent en elles la «  souvenance  » d’une femme d’exception ayant vécu au côté du Maître voici 2000 ans. C’est parce qu’elle a choisi dans son libre arbitre de se souvenir et de se reconnaître qu’elle remonte pour nous le fil de ses mémoires anciennes et dévoile certains éléments de l’histoire de Marie-Madeleine. Les portraits, les révélations, les tableaux généalogiques soulignent la profonde humanité de tous ceux qui participèrent à la révélation christique de ce temps-là. Ainsi, découvre-t-on pour la première fois les proches parents et les enfants de Jésus et de Marie-Madeleine.

L’auteur (ysaliamarie@yahoo.fr)
D’origine ardéchoise, mariée et mère de deux enfants, Ysaliâ Marie a fait une carrière en milieu hospitalier en tant qu’infirmière tant en région parisienne que lyonnaise. Depuis 1990, elle exerce en tant que sophrologue en psychiatrie. Formée aux soins énergétiques, à la lecture d’aura et à la chromothérapie, elle a partagé son expérience de thérapeute lors de nombreuses conférences et propose des formations sur l’auto guérison. Sa quête spirituelle l’entraîne aujourd’hui à retrouver sa nature cathare et à venir s’installer avec son mari en région occitane où elle a choisi de poursuivre sa route de découverte, de service et de partage. « L’éveil de la colombe »
Ce livre n’est pas un roman «  surfant  » sur la vague du «  Da Vinci Code  » mais une avancée dans la lumière, une aventure qui conduit une femme libre d’aujourd’hui à retrouver aussi sa nature cathare et bien d’autres mémoires. 

L’ouvrage
Il comporte 5 organigrammes arbres généalogiques de la descendance de Marie Madeleine & Jésus, 1 dépliant en 3 volets (36 X 20 cm – inséré librement dans le livre) reprenant toute la lignée généalogique de Jésus & Marie Madeleine, 2 portraits réalisés par l’auteur (un de Marie madeleine, un autre de Marie Madeleine & Jésus) – en noir & blanc dans le livre, le symbole de MYRAMA (photographie du symbole sculpté dans la pierre), 1 carte du pays cathare et 1 carte de la Palestine au temps de Jésus. 

Nb de pages : 320 pages – Prix : 19,80 euros – Editions des 3 Monts

Disponible en cliquant ici 

Sommaire
1-  Le temps de la guidance
Chapitre I : L’invitation
Chapitre II : Un Cortège angélique
Chapitre III : Premières informations
Chapitre IV : Conseils et encouragements célestes
Chapitre V : L’étonnante guidance de Gabriel
Chapitre VI : Mémoire atlante
Chapitre VII : Un lieu saint et sacré
2-  Le temps des révélations
Chapitre VIII : Une surprenante révélation
Chapitre IX : Les premières mères de la véritable église
Chapitre X : Un message des guides
Chapitre XI : Marie de Magdala
Chapitre XII : La descendance de Jésus et Marie de Magdala
Chapitre XIII : Une légende démystifiée
Chapitre XIV : L’offrande de Marie : Le Concept Immaculé enseigné par Marie
Chapitre XV : L’histoire de Marie, princesse de Gamala
Chapitre XVI : Les deux Joseph
Chapitre XVII : Jean, le Bien-Aimé
Chapitre XVIII : Confidences de Miryamâ
Chapitre XIX : La Victoire de l’Ascension


3-  Les temps cathares
Conclusion et annexes
Disponible en cliquant ici 

 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 23 juillet, 2011 |1 Commentaire »

Question posée à Marie-Madeleine

 

Question posée à Marie-Madeleine dans MARIE-MADELEINE 2018653712

 

-       La Cène de Léonard de Vinci est l’une des plus belles œuvres de toute l’histoire de la peinture. D’après mes recherches, Léonard semblait faire partie d’un groupe de gens très cultivés que l’on appelait les literati (peinture de lettres) et qui comportait des hommes et des femmes. Ce magnifique artiste semble avoir été un grand partisan de l’énergie féminine divine, et il est évident, sur ce tableau, qu’une présence féminine est assise à la table, à la droite du maître Jésus. Nous savons tous aujourd’hui que c’était vous Marie-Madeleine. A l’époque (et peut-être même encore aujourd’hui) , la personne assise à la droit de celle qui était la plus respectée, était la deuxième plus respectée.  Ce tableau illustre un moment historique interprété par Léonard, car il n’y avait pas d’appareils photo à l’époque. A mon avis, il n’y a que deux explications possibles. Ou bien Léonard était présent à l’époque et il a simplement retrouvé la mémoire cellulaire de cet événement .. ou bien il savait comment accéder aux archives akashiques. Quand on regarde l’ensemble de son œuvre, qui est tellement géniale, on sait qu’il a dû se passer quelque chose d’extraordinaire en lui pour qu’il puisse la produire.  

 

 

-       Est-il possible d’expliquer comment ce tableau a été inspiré à Léonard ?  

-       Ce dernier repas préparait-il les disciples de Jésus à poursuivre son œuvre ? puisque vous y étiez présente Marie Madeleine, pouvez-vous nous dire quel était le motif de ce rassemblement ?  

-       Et qu’est-ce que le Saint Graal ?  

 

 

Réponse de Marie-Madeleine :  

Il est vrai que j’étais présente à ce souper que l’on appelle la Cène et j’étais effectivement assise à la droite de Yeshua, car dans son esprit, j’étais la disciple qui avait atteint le plus haut niveau puisque j’avais reçu les enseignements les plus secrets.  

Léonard a peint ce tableau (La Cène) à partir des Archives akashiques car il avait certainement l’esprit hautement développé. Il appartenait à une tradition artistique et intellectuelle qui comprenait la place du féminin et qui cultivait un savoir secret qu’il était dangereux d’afficher ouvertement parce que l’Eglise avait jeté un voile d’obscurité sur toutes les formes du féminin divin. Ceux qui partageaient ce savoir le répandaient donc clandestinement, faisant connaître la présence du féminin, mais sans jamais la montrer clairement. Cette connaissance du féminin, de la place de la déesse, avait des origines païennes remontant à une époque antérieure à la domination de la civilisation par l’Eglise.  

La coupe qui fut utilisée lors de ce dernier repas en commun était un simple récipient en terre cuite. Elle ne possédait aucun ornement, contrairement aux représentations embellies qu’en ont faites les artistes des époques subséquentes. On a fini par prêter à cette coupe, le Saint Graal, des propriétés magiques. Les humains ont malheureusement tendance à croire à l’existence d’un pouvoir extérieur qu’ils peuvent posséder.  

La véritable coupe du Graal est le ventre de la femme. Dans ce cas, il s’agissait du mien car j’avais conçu l’enfant de Yeshua. Il est à la fois ironique et tragique que les hommes aient recherché le Saint Graal alors qu’il se trouvait tout près d’eux, chez les femmes qui partageaient leur existence. L’époque présente est propice à la rectification de cette erreur. On peut maintenant reconnaître ce qu’est réellement la coupe du Graal, et la femme peut reprendre sa place, qui se trouve dans l’égalité et non dans l’infériorité.  

Ce changement n’arrivera pas par les hommes, mais par les femmes, particulièrement celles qui ont le courage de dire ce qu’elles pensent, de faire des vagues sur le plan culturel et social. Elles sont les héroïnes de l’heure. Le monde a grandement besoin d’elles en ce moment. Ce souper que l’on appelle maintenant la Cène fut pour moi un moment bien particulier.  

Je savais que la situation atteindrait un certain paroxysme. Ce rassemblement avait pour motif la transmission d ‘un pouvoir spirituel. Par conséquent, quand Yeshua rompit le pain et qu’il en donna des morceaux à chacun, il ne nous donna pas seulement ce pain, mais un pouvoir spirituel. Cette transmission conférait une grande intensité à la soirée. Il s’agissait donc avant tout de transmettre un pouvoir. Yeshua savait qu’il devrait affronter l’initiation ultime. 

 

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Issu du livre : 2009 La Grande Transformation – L’année de la cocrétation – page 72 – série Kryeoncanalisé par Lee Carroll – Les Hathors et Marie Madeleine 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 6 juillet, 2011 |1 Commentaire »

initiation à la Magie sexuelle d’Isis

LE MANUSCRIT DE MARIE MADELEINE (Initiation à la Magie sexuelle d’Isis) 

initiation à la Magie sexuelle d’Isis dans MARIE-MADELEINE flecheUN 

 

« J’ai été élevée dans une famille pour qui la magie était familière. Mon père venait de Mésopotamie et ma mère était égyptienne. Avant ma naissance, elle avait adressé des prières à Isis pour avoir un enfant. Cet enfant, c’est moi. On me connaissait sous le nom de Marie Madeline.

 

Lorsque j’ai eu douze ans, on m’a envoyée étudier dans une communauté secrète d’initiés protégés par Isis. J’ai reçu les enseignements secrets de l’Egypte, les alchimies d’Horus et la magie sexuelle du culte d’Isis. Lorsque j’ai rencontré celui que vous appelez Yeshua, j’avais déjà reçu toutes les initiations. Je m’étais préparée à faire sa rencontre au puits. Les Evangiles font de moi une prostituée, car tous les initiés de mon ordre portaient un bracelet en or représentant un serpent ; cela signifiait que nous pratiquions la magie sexuelle, par conséquent, aux yeux des Hébreux nous étions des prostituées.

 

Lorsque j’ai vu Yeshua et que nos regards se sont rencontrés, j’ai su que nous étions destinés l’un à l’autre. Ce que je m’apprête à vous dire n’est connu que de ceux qui étaient avec moi. Bien des légendes ont couru concernant ce qui est arrivé. Mais pour moi c’est l’histoire d’un très grand amour. Que Yeshua ait eu une vision du monde, cela ne me concerne pas. Mon histoire est une histoire d’amour. Beaucoup de gens ont suivi Yeshua. Et les occasions que nous avons eues d’être ensemble n’ont pas été nombreuses. Les Evangiles n’évoquent pas ces faits, car seuls ceux qui étaient avec nous le savaient. Avant que Yeshua se rendre au jardin de Gethsémani, nous avons conçu un enfant, dont le nom devait être Sarh.

 

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L’histoire que je m’apprête à vous raconter va paraître fantastique. Je me souviens des roseaux de Saintes-Maries-de-la-Mer, bien qu’évidemment l’endroit ne portait pas ce nom à l’époque. C’est là que notre bateau a approché du rivage. Sar’h était encore très jeune. Elle n’avait pas un an. J’étais déchirée entre le chagrin et l’ébahissement le plus total. J’étais présente quand Yeshua a été crucifié. Avec sa mère, nous l’avons accompagné jusqu’à sa tombe et nous l’avons enveloppé. Je me souviendrai toujours de l’odeur de la myrrhe. C’est l’un des onguents que nous avons utilisés. Yeshua m’est apparu dans son corps de lumière. Je ne pouvais en croire mes yeux ; voilà pourquoi j’ai touché ses blessures. Les disciples étaient jaloux du fait qu’il soit venu à moi en premier.

 

C’est très bizarre d’un côté, mon bien-aimé était transporté dans une autre dimension, un autre monde, de l’autre côté, moi et notre fille traversions la Méditerranée seules, sans lui. Nous n’étions plus en sécurité et nous avions dû quitter l’Egypte où nous nous étions réfugiées. Lorsque nous avons fait la traversée et sommes arrivées sur les rives de ce qui allait devenir la France, tout était encore sauvage. Ce sont les prêtresses du culte d’Isis qui nous accueillirent, et nous nous sommes mises en chemin en direction du nord pour nous placer sous la protection des druides, car Isis les avait avertis ; ils avaient entendu son appel qui leur demandait de protéger sa fille, Sar’h. C’est ainsi que nous avons cheminé jusqu’à une autre vaste étendue d’eau, que nous avons traversée pour nous retrouver dans ce qui est aujourd’hui l’Angleterre. Et là, on nous a mises au secret dans le saint des saints des druides, au Tor et à Glastonbury. Nous étions moins en danger ici qu’en Israël ou en Egypte, mais l’influence de Rome s’étendait  jusqu’en Angleterre et nous avons dû nous cacher.

 

Nous avons vécu là pendant des années, et c’est à cet endroit que Sar’h a épousé un homme dont les descendants sont les chevaliers du Temple. Pour ma part, je suis allée vers le nord au Pays de Galles, là où j’ai vécu jusqu’à la fin de mes jours. Je dois dire que pendant ces années où j’ai vécu seule au bord de la mer. Yeshua m’a souvent rendu visite. Bien entendu, pas comme avant, car son était constitué davantage d’énergie et de lumière que de chair, mais c’était tout de même extraordinaire de me trouver de nouveau avec lui. A ma mort, il était là et m’a emportée vers ce que certains appellent le paradis qui, en vérité, est simplement un espace dans l’âme.

 

flecheTROIS 

Je commence mon récit par la rencontre à la margelle du puits, car par bien des côtés, c’est ici que ma vie a commencé vraiment. Toutes les années auparavant n’ont été qu’une préparation à cette rencontre. Ce matin-là, je sentais que quelque chose se préparait. Il y avait en moi un sentiment d’excitation –une sorte de tremblement des bras et des jambes – même avant notre rencontre. J’étais déjà au puits avant qu’il arrive. J’avais déjà descendu mon seau dans le puits, et il est venu me prêter main-forte. Certains des disciples, voyant le bracelet en serpent d’or, ont pris pour acquis que j’étais une prostituée et furent consternés que leur maître vienne en aide à une personne comme moi. Mais cela ne me toucha point. J’étais dans un autre monde, transportée par les yeux de Yeshua. Nos regards se rencontrèrent, et ce fut comme si je contemplais l’éternité entière. A ce moment-là, je sus que c’était pour lui qu’on m’avait préparée – et lui aussi le savait.

 

Je l’accompagnais, me tenant aux derniers rangs de ceux qui le suivaient, et le soir venu nous nous éloignions ensemble ; pas tous les soirs cependant, car il était très recherché. Moi qui avait été formée aux alchimies d’Horus et à la magie sexuelle d’Isis, et qui était considérée comme une adepte avancée par mes maîtres, la première fois que je fus dans les bras de Yeshua, je tremblais comme une feuille et je dus lutter pour retrouver dans mon désir le chemin central qui mène au trône  le plus élevé, chemin qui avait fait l’objet de ma formation. En mariant les techniques que j’avais apprises et les méthodes qu’il avait assimilées en Egypte, Yeshua et moi avons réussi à charger son corps ka, son corps énergétique d’une lumière et d’une force plus importante, de façon à ce qu’il lui soit plus facile de travailler avec ceux qui venaient le voir. Et voilà exactement ce qui est arrivé. Et ce n’est pas sans ironie que les Evangiles rapportent que j’étais au puits lorsque Yeshua est arrivé. Mais, ces nombreuses nuits où Yeshua et moi étions seuls, c’est lui qui vint à mon puits, pour s’abreuver par moi aux puissances d’Isis se recharger et se renforcer.

 

flecheQUATRE 

Je m’arrête un instant pour contempler tout ce qui est arrivé ; on dirait un rêve, un rêve d’une clarté extraordinaire encore aujourd’hui. A raconter cette histoire, mon cœur tremble comme si c’était hier. Ma première nuit avec Yeshua se dessine dans mon esprit aussi clairement que les cieux au-dessus de Jérusalem.

 

Après avoir réussi à vaincre mes désirs de femme et m’être élevée dans l’alchimie spirituelle à laquelle j’étais formée, j’ai pu voir la forme spirituelle de Yeshua – déjà lumineuse, déjà resplendissante de lumière. Une colombe se tenait au-dessus de sa tête, et des rayons dorés en émanaient. Sa forme spirituelle reculait les sceaux de Salomon, Hator, Isis, Anubis et Osiris, confirmant qu’il avait subi ces initiations. Il présentait aussi d’autres symboles que je ne comprenais pas, car ils provenaient de cultures qui m’étaient inconnues ou sur lesquelles je n’avais pas reçu d’enseignement ; mais à partir des sceaux égyptiens que je reconnaissais, je conclus qu’il était sur le sentier du dieu suprême Horus. Il n’était toutefois pas encore passé par son initiation à la mort, et je savais que c’était justement la raison pour laquelle j’avais été attirée vers lui cette fois-ci – afin de consolider son âme grâce aux pouvoirs d’Isis et de la Mère cosmique, de sorte qu’il puisse traverser le portail des ténèbres et atteindre Horus.

 

Cette nuit-là, après avoir fait l’amour et ainsi maniés nos corps spirituels et les avoir fusionné l’un à l’autre, et l’alchimie ayant déclenché ses effets en nous, Yeshua se laissa gagner par le sommeil. Tandis que je le tenais dans mes bras je sentis un changement s’amorcer en moi, un désir de le protéger, l’espoir d’être toujours avec lui, et j’eus en même temps, conscience que nous serions séparés par des forces plus puissantes que ma volonté.

 

flecheCINQ 

L’Eglise prétend que j’étais une prostituée ; moi je vous  dis que c’est l’Eglise qui est la prostituée, car elle voudrait vous faire croire que la femme est un être impur et que la passion sexuelle entre l’homme et la femme est mauvais. Pourtant, c’est dans le magnétisme de la passion qu’est engendrée la matrice de l’ascension.

 

Le secret des secrets était connu de tous les initiés d’Isis, mais je n’avais pas imaginé que ce pourrait être moi qui serais appelée à le réaliser pleinement avec un être tel que Yeshua. Pour moi, c’est un cheminement de l’esprit et du cœur. Pour ceux qui aimeraient savoir quel a été notre parcours physique cependant… Après la crucifixion de Yeshua, Marie, la mère de Yeshua, Joseph d’Arimathie, Aaron, son fils, alors âgé de douze ans, deux autres jeunes femmes et moi-même avons pris la route de l’Egypte du nord. Ironiquement,  nous avons d’abord été entraînés vers l’Est puis nous avons dû faire halte en chemin pour le ravitaillement, car notre bateau était minuscule. Ensuite, notre périple passa d’abord par Malte et la petite Ile d’Oudish, puis par la Sardaigne et la pointe de ce qu’on appelle aujourd’hui Cinque Terra. Finalement, nous avons abouti à Saintes-Maries-de-la-Mer, cheminé vers le nord de la France en passant par Rennes-le-Château, puis traversé la Manche pour se rendre en Angleterre comme on l’appelle aujourd’hui. Pour finir, nous nous sommes installés à Glastonbury pendant plusieurs années, jusqu’à ce que Sar’h ait douze ans.

 

Lorsqu’elle a eu douze ans, nous sommes retournées parmi les roseaux du bord de la Méditerranée, là où nous avions accosté en provenance d’Egypte. C’était le point le plus proche de l’Egypte qui soit aussi sans danger pour nous. Là, j’ai initié ma fille au culte d’Isis, et l’ai fait prendre un bain dans les eaux de la Méditerranée, comme l’indiquent les enseignements que j’avais reçus. Nous sommes ensuite retournées à Glastonbury, jusqu’à ce que ma fille – et fille de Yeshua – ait l’âge de se marier, à 16 ans. Elle a épousé le fils d’une famille bien connue, dont les descendants devaient donner naissance aux Templiers,  bien qu’à cette époque-là, les Chevaliers du Temple n’existaient pas. Le sang dont Sar’h est issue a donc couru dans les veines des Templiers eux-mêmes. Une fois Sar’h mariée et installée dans sa nouvelle vie, je suis partie vers le nord pour le Pays de Galles, où j’ai vécu le reste de mes jours dans une petite maison en pierre près de la mer.

 

Derrière ma maison coulait un ruisseau qui jaillissait du flanc de la colline. Bien souvent, je me suis assise auprès de ce ruisseau qui se divisait en deux. Sur une certaine distance, les deux bras affluaient parallèlement, puis l’un obliquait vers la gauche et l’autre vers la droite. Et je réfléchissais, assise entre les deux ruisseaux, au courant qui entraînait ma vie et à celui qui avait emporté la vie de Yeshua, et au fait que, pendant un moment, les deux courants avaient filé ensemble, puis s’étaient séparés.

 

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Je me rappellerai toujours la première fois que Yeshua est venu à moi après sa résurrection. C’était un soir de nouvelle lune, le ciel était limpide. Une légère brume flottait sur les bruyères et tout était baigné de la lumière argentée de la lune et des étoiles. Je vis une forme s’approcher sur le chemin venteux qui menait à ma maison. Par une ironie du sort, je venais de sortie pour puiser de l’eau au puits, et c’est là qu’il se tenait. Il avait la même apparence, mais il rayonnait –impossible de ne pas le reconnaître. Mes yeux se sont remplis de larmes, mon cœur tremblait. Je courus vers lui, mais je m’arrêtai net, me souvenant de ses paroles, prononcées juste après la résurrection. « Ne me touche pas encore, avait-il dit alors, car je ne suis pas encore monté jusqu’au Père ». O Combien l’initiée d’Isis en moi, pendant toutes ces années, a désiré rétablir les faits ! Qu’a-t-il voulu dire par ces paroles ? car les chrétiens n’ont reçu en héritage qu’une partie de la vérité. La part la plus importante est demeurée cachée au milieu des mystères de la Grande Mère ; et comme l’Eglise a cherché à priver de ses droits tout ce qui est féminin, la vérité est restée scellée et inaccessible.

 

Et cette vérité concerne le corps ka même -  ce que les initiés nomment ; le double éthérique ou le jumeau spirituel, car chargé d’une quantité suffisante de vitalité et d’énergie, il ressemble au corps physique. Contrairement à celui-ci toutefois, le ka n’est pas constitué de matière, mais d’énergie – d’énergie et de lumière. Et lorsque Yeshua est venu à moi après sa résurrection, il est venu dans son ka. Cependant, son ka n’avait pas encore été stabilisé, car Yeshua ne s’était pas élevé jusqu’au Père – c’est-à-dire jusqu’à l’Esprit suprême de sa propre âme. Avant d’y parvenir, il devait passer par le portail de la mort et parcourir son chemin dans l’inframonde de son propre être. Il faisait cela pour deux raisons, d’après moi. Premièrement, en tant qu’âme maîtresse, c’était une façon d’apporter un important afflux de pouvoir à son ka. En second lieu, il lui fallait ouvrir le passage par la mort, afin que d’autres puissent le suivre et traverser les ténèbres plus facilement en suivant son sillage de lumière. Ainsi, cette première nuit de nos retrouvailles, mon cœur s’est rempli de la joie d’être de nouveau avec lui et je le ressens aujourd’hui aussi clairement et fortement qu’alors. Il est venu un peu avant minuit pour repartir au point du jour. Pendant ces heures où nous étions étendus tous les deux, nos corps ka s’entremêlèrent une fois de plus, nul besoin de parler. Nous communiquions par télépathie. Et sans l’acte sexuel physique, le pouvoir serpentin en lui s’unissait au pouvoir serpentin en moi, et ils montaient en suivant le trajet sacré le long de notre épine dorsale jusqu’au siège au sommet du crâne (le coronal) ; cela me plongeait dans une extase de béatitude pure. C’est ainsi que nous nous sommes rencontrés des années durant. Il venait me voir sous cette forme plusieurs fois par année. Parfois, nous bavardions. La plupart du temps nous étions tout simplement en union.

 

Je lui ai demandé où il allait quand il n’était pas avec moi. Il a répondu qu’il avait visité de nombreux lieux sacrés sur la terre, et qu’il avait rencontré bien des gens différents. A son dire, il traçait un chemin de lumière. Lors de l’un de ses visites, je lui ai demandé d’expliquer. Il traça un cercle sur la terre battue de ma maison, et je reconnus les deux triangles du sceau de Salomon, dont  l’intersection forme l’étoile de David. Il me dit que plusieurs régions du monde existaient dont nous nous n’avions pas connaissance dans notre région. Bon nombre présentaient des points qui correspondaient aux points du sceau de Salomon. En se rendant en ces lieux, il s’assurait que son œuvre s’enracinerait mieux dans le sol de ce monde.

 

flecheSEPT 

Parmi toutes les fois où Yeshua m’a rendu visite, celle dont le souvenir est le plus vif est la fois où il est venu alors que Sar’h était chez moi. Elle venait de tomber enceinte de voulait recevoir ma bénédiction. J’étais toute à ma joie de la retrouver et de recevoir ses compagnons de voyage. Elle m’avait fait prévenir par les druides, mais la nouvelle de sa visite ne m’était parvenue que la veille de son arrivée. Elle demeura avec moi trois jours, et Yeshua apparut le second jour.

 

Pouvez-vous vous rendre compte à quel point la situation était particulière ? Sar’h n’avait jamais rencontré son père, et Yeshua n’avait jamais connu sa fille. Et voilà qu’ils étaient l’un face à l’autre. Le corps de son père était retourné à l’état d’éléments en un éclair de lumière au moment de la résurrection. Donc, maintenant il avait la forme de son ka, qui émettait une lumière unique. Tous deux étaient très émus. Sar’h jusqu’aux larmes, Yeshua jusqu’au pathos. Ils ont passé une heure à marcher ensemble dehors. J’ignore de quoi ils ont discuté, mais du début à la fin de leur conversation, le ciel était zébré d’étoiles filantes. Avant de partir ce matin-là, juste avant l’aurore, Yeshua mit ses mains sur l’estomac de Sar’h et bénit l’enfant. Sar’h repartit le lendemain, rayonnant d’une paix incomparable. Tout est maintenant dit sur ce que je voulais établir à propos de ma vie de mère. Subséquemment, je vais parler en tant qu’initiée aux secrets d’Isis, dans les alchimies d’Horus.

 

flecheHUIT 

Je me tourne maintenant vers ma chère sœur, ma sœur en esprit, la mère de Yeshua, connue aussi sous le nom de Marie. Marie était une initiée de haut rang dans le culte d’Isis. Elle avait reçu sa formation en Egypte. C’est pourquoi Joseph et elle, fuyant la colère du roi en Israël, prirent la fuite vers l’Egypte. Marie était en sûreté parmi les prêtresses et les prêtres d’Isis. Sa formation avait été différente de la mienne, mais nous servions la même cause. Pour préciser comment je comprends Marie, je dois révéler l’un des secrets les mieux dissimulés du culte d’Isis. Selon notre croyance, et la mienne, dans certaines conditions, la déesse elle-même s’incarne, soit en naissant, soit par initiation spirituelle. Marie, la mère de Yeshua fut reconnue très jeune pour sa pureté d’esprit par les prêtresses des temples d’Isis. Elle reçut la formation, devint une initiée et atteint les niveaux les plus élevés. Mais plutôt que de devenir une prêtresse, elle suivit l’entraînement pour devenir ce qu’on appelle une incarnation.

 

Pour devenir une incarnation, il faut être une âme très avancée, il faut un entraînement spirituel et une discipline considérables. A l’initiation finale, Marie dépositaire d’un courant énergétique provenant d’Isis elle-même. De ce point de vue, elle était donc une incarnation de la Mère cosmique. Tout se passe comme s’il y avait deux Marie : Marie l’humaine, pure d’esprit et de cœur, cachant par-devers elle un portail direct menant à la Mère Suprême, créatrice de toute matière, du temps et de l’espace.

 

Les conditions étaient réunies pour la conception d’un être aux qualités remarquables, qui allait devenir son fils Yeshua. Lors de ce que l’Eglise appelle l’Immaculée Conception, Marie fut le témoin et le siège d’un processus d’insémination céleste et galactique, grâce auquel le principe du Père, ou Esprit, tel que nous le concevons dans le culte d’Isis, transféra son essence en Isis, la Mère recevant l’essence du Père, la matière recevant l’impulsion de l’Esprit. Et c’est cette énergie spirituelle raffinée et puissante qui prit racine dans la matrice de Marie et donna naissance à Yeshua.

 

flecheNEUF 

Marie parmi les disciples lorsqu’ils vinrent vers moi auprès du puits. Elle me reconnut aussitôt comme initiée, du fait que je portais à mon bras le bracelet d’or en forme de serpent et aussi en raison du sceau d’Isis qui étincelait dans mon corps ka, car Marie était tout à fait clairvoyante et télépathe.

 

La personne dont j’ai d’abord croisé le regard fut Yeshua et comme je l’ai rapporté, sa présence immense me transporta dans d’autres mondes. Par la suite, mon regard a rencontré celui de Marie, sa mère. Dans ses yeux, j’au lu qu’elle reconnaissait mon statut de consoeur initiée dans le culte d’Isis, et bien que sa formation n’ait pas été dans le domaine de la magie sexuelle comme moi, elle comprit que j’avais été préparée pour Yeshua. Entre eux deux, je me sentis soulevée sur les ailes transcendantes de l’amour. Mon esprit a pris son envol. Il est ironique que j’aie ensuite rencontré les yeux de ceux qui furent ceux des disciples, et qui me jugèrent et décidèrent que j’étais une prostituée ; cette opinion est perpétuée au fil de générations de croyants.

 

Mais je déclare, aux yeux de Yeshua et de sa mère, je n’étais pas une prostituée, mais le vase apportant les pouvoirs curatifs et nourrissants d’Isis elle-même. Dans la vie d’un homme, qui’l soit humain ou divin, vient un temps où sa mère ne peut plus lui donner l’essentiel. Son amour pour lui est toujours là, mais ce qu’il lui faut, c’est une nourriture d’une autre nature, soit celle d’une autre femme. J’ai été cette femme. Marie m’a reconnue et a admis mon statut, et m’a confié son fils en cet instant auprès du puits. Marie et moi avons passé beaucoup de temps ensemble, à discuter des besoins de Yeshua et de sa place dans ma vie. Il était entendu que j’étais la servante d’un pouvoir qui me dépassait. J’avais été formée pour ce rôle, mais je dois vous avouer que cette reconnaissance m’émeut encore aujourd’hui. Lorsque je pense au fait qu’il m’a reconnue, je frémis. Au fil de ces journées et ces nuits passées ensemble, Marie et moi nous sommes consacrées à la tâche de subvenir aux besoins de Yeshua et de ses disciples. A cette période, Marie et moi sommes devenues très proches car je l’aimais, et je l’aime toujours pour sa grande beauté, pour sa pureté de cœur et d’esprit et pour la douceur avec laquelle elle s’est occupée du monde.

 

Je puis affirmer, car c’est limpide dans mon esprit, que Marie, après avoir servi comme initiée d’Isis incarnée, était un maître accompli. Son service, sa maîtrise et sa perfection – sa perfection spirituelle – sont stupéfiants.

 

flecheDIX 

Marie habite dans les royaumes célestes. Sa compassion et son amour se répandent sur l’ensemble de l’humanité. Chacun peut s’adresser à elle, quelles que soient ses croyances. Si quelqu’un l’invoque, qu’il sache qu’il est entendu. Il faut maintenant que je clarifie ma compréhension des choses. Je veux parler de la magie sexuelle du culte d’Isis et des alchimies d’Horus. J’ai l’intention de révéler des secrets qu’un initié n’aurait jamais dévoilés, même sous menace de mort. Mais les temps ont changé. Il ne reste plus beaucoup de temps, comme vous le savez et j’ai reçu la permission de la déesse – en fait c’est la déesse elle-même qui m’a demandé de vous révéler certains des secrets les mieux gardés de tous les temps. Ils vous sont divulgués dans l’espoir de vous voir vous élever.

 

flecheONZE 

Les alchimies d’Horus sont un corps de connaissance et de méthodes visant à modifier le ka. Selon ces enseignements, si notre ka incorpore ou acquiert plus d’énergie ou de lumière, il se produit une intensification de notre champ magnétique, qui permet au désir de l’initié de se manifester plus rapidement. Toutefois, lorsque nous nous abandonnons à notre âme céleste, ou , la poursuite de désirs personnels, sans être abandonnée, n’est plus le centre de notre existence entière. Notre regard se tourne vers les hauteurs, pour ainsi dire, vers les capacités supérieures de notre être, telles qu’elles sont justement perçues par le Bâ, ou âme céleste.

 

Cette âme céleste, ou bâ, existe à un niveau vibratoire beaucoup plus élevé que le corps physique (le khat) ou le ka (le jumeau spirituel ou éthérique du corps physique). Au sien du ka, il existe des conduits que l’on peut stimuler et ouvrir. L’activation de ces passages secrets du ka lui confère un pouvoir très accru. Les alchimies d’Horus ont pour objet de les consolider, et d’activer les pouvoirs latents et les talents de l’initié par ce qui est désigné par le nom de Djed, les sept sceaux ascendants que les yogis et les yoginïs de l’Inde appellent les chakras.

 

flecheDOUZE 

Dans l’école où j’ai reçu ma formation, nous avons appris à activer le pouvoir serpentin, la kundalini, en faisant se mouvoir certains canaux de l’épine dorsale et en ouvrant certains circuits dans le cerveau. Ce procédé engendre ce qu’on l’appelle l’uroeus.

 

L’uroeus est généralement un feu de couleur bleue qui se diffuse dans l’épine dorsale horizontalement et verticalement ; il ondule suivant les altérations énergétiques dans ces conduits. L’activation de l’uroeus accroît l’intelligence potentielle du cerveau, la créativité et surtout la réceptivité, car la tâche de l’initié est de changer la qualité de son être même, de façon à ce que l’entrée en résonance avec le ka, l’âme céleste, soit libre et non obstruée.

 

flecheTREIZE 

Lorsque j’ai rencontré Yeshua pour la première fois, au puits, sa simple présence a activé mes alchimies internes. La kundalini est montée le long de l’épine dorsale, comme si je m’étais livrée aux disciplines apprises.

 

La première nuit où nous nous sommes retrouvés seuls, dans les bras l’un de l’autre, étendus côte à côte, nous avons pratiqué la magie sexuelle d’Isis. Cette forme spécifique de magie charge le corps ka d’une extraordinaire force magnétique en utilisant le pouvoir de l’orgasme physique, car lors d’un orgasme, il se produit une décharge considérable d’énergie magnétique dans les cellules. Au moment où cette énergie se diffuse, elle dégage un potentiel magnétique que l’on peut mettre à profit. Je désire exposer ce processus spécifique en détail, mais pour ce faire, il faut d’abord expliquer un peu davantage certaines notions de base ayant trait à la sexualité et la réalisation spirituelle, car ce secret a été dérobé par l’Eglise.

 

flecheQUATORZE 

Lorsque je me suis unie à Yeshua en tant qu’initiée d’Isis, il y avait des canaux particuliers que je devais ouvrir en moi. Je fus pourtant stupéfaite de découvrir que ces conduits s’ouvraient spontanément en sa présence. Au début de mon récit, j’ai mentionné combien la femme en moi tressaillait et devait lutter contre ses passions et ses désirs, car le sentier de l’initié consiste à utiliser l’énergie de la passion d’une manière très précise et non pas de se laisser simplement emporter par elle. L’alchimie exige que l’énergie, en vue d’être transformée, soit d’abord maîtrisée.

 

Très rapidement, Yeshua et moi avons atteint l’état connu sous le nom des « quatre serpents ». Cet état est réalisé lorsque les deux partenaires ont maîtrisé les alchimies internes d’Horus jusqu’à pouvoir activer les serpents solaire et lunaires dans leur épine dorsale. Par clairvoyance, on aperçoit un canal central situé le long de l’épine dorsale. Du côté gauche, il y a le circuit lunaire, et du côté droit, le circuit solaire, que les yogis et yogninïs appelle : ida et pingala. Dans les alchimies d’Horus, il s’agit d’activer ces deux circuits au moyen de champs magnétiques serpentins. Le serpent lunaire, du côté gauche, est d’un noir profond, la couleur du vide ; et de fait, c’est le vide incarné lui-même, porteur de toutes les potentialités et créateur de toutes choses. Le serpent solaire est doré. La tâche d’un initié est de faire en sorte que ces deux serpents s’élèvent. Tandis qu’ils montent, ils transpercent les chakras et s’entrecroisent. Dans l’alchimie d’Horus, les deux serpents s’entrecroisent au cinquième sceau, celui de la gorge, ainsi qu’à tous les autres chakras au-dessous.

 

Ils se font face approximativement là où se trouve la glande pinéale, c’est-à-dire au centre de la tête. Il faut visualiser un calice contenant la glande pinéale tout au fond. Les deux serpents sont vivants, à savoir, ils ne sont pas immobiles, ils vibrent, scintillent et sont parcourus par des ondes énergétiques. Et quand leurs corps se contorsionnent dans le ka, le potentiel magnétique s’intensifie. Il existe des pratiques spécifiques que j’aborderai plus loin. Pour le moment, je souhaite élucider la pratique des quatre serpents.

 

flecheQUINZE 

Lorsque Yeshua et moi avons fait l’amour, comme vous dites, nos serpents se sont mis à monter le long de nos épines dorsales, nos djeds. Nous l’avons fait simultanément, et au moment de notre orgasme mutuel, la charge libérée par les premiers sceaux dans la zone pelvienne de nos corps a été propulsée vers le haut, vers le trône du sommet de la tête (le coronal), stimulant les centres les plus élevés du cerveau. A ce moment d’extase sexuelle, nous avons fixé notre attention consciente sur nos corps ka, car l’extase consolide le ka. Les états extatiques sont une nourriture, une source de force pour le corps ka, et comme je l’ai déjà expliqué, chaque apport de puissance au ka le rend plus magnétique, attirant ainsi ce que l’initié désire. La magie sexuelle d’Isis repose sur la capacité innée chez l’être de sexe féminin de mettre à profit les énergies magnétiques, pour ouvrir des niveaux de conscience profonds en s’abandonnant aux énergies sexuelles et aux voies qui s’ouvrent ainsi.

 

Lorsqu’une femme se sent profondément aimée et appréciée, comme je l’étais par Yeshua, quelque chose se libère au plus profond d’elle-même, qui fait qu’au moment de l‘orgasme, elle sera secouée de spasmes incontrôlables. Si elle se sent en sécurité et qu’elle laisse libre cours à ses tressaillements, si elle les laisse prendre possession d’elle, alors s’ouvre un vortex magnétique d’une puissance considérable, vortex qui se centre dans sa matrice. Deux initiés qui se livrent à la magie sexuelle d’Isis peuvent accroître leur puissance et étendre leur conscience grâce au pouvoir de ce champ magnétique. Dans les pratiques les plus avancées de la magie sexuelle d’Isis, l’initié fait monter ses deux serpents dans le ka de la femme, et la femme fait monter ses deux serpents dans le ka de l’homme. La puissance cataclysmique de cette pratique est comparable à  l’énergie libérée par une arme nucléaire. Le tsunami magnétique qui jaillit massivement insufflera au ka une puissance au-delà de ce tout qui est concevable – ou l’anéantira, s’il est mal guidé. C’est à cette pratique avancée du ka que Yeshua s’est livré la nuit précédent Gethsémani. L’extraordinaire intensification du potentiel magnétique de son ka lui a donné la force nécessaire pour faire face aux souffrances et à la tâche qui l’attendaient lors de son ultime initiation par le portail de la mort ; tant et si bien que son corps physique s’est dissolu en éléments constitutifs par un embrasement de lumière et de chaleur, ce que l’Eglise nomme résurrection. A vrai dire, ce n’était  que le reflet visible d’un effet beaucoup plus profond en lui. Le magnétisme de son ka est à l’origine de ce résultat, car c’est par son ka potentialisé qu’il a pu franchir l’inframonde et la mort elle-même.

 

Lorsque Yeshua et moi nous sommes engagés dans les pratiques sexuelles d’Isis, nous savions que c’était la raison d’être de notre relation. Pour lui, chaque union avec moi était un moyen de consolider son ka. Voilà pourquoi j’ai expliqué plus haut qu’il vint à mon puits, car le puits que l’initiée offre à l’homme est une inépuisable source de potentiel magnétique. Ce puits ne s’ouvrira cependant que lorsque la femme se sent en sécurité et aimée. C’est la condition préalable pour que les pratiques donnent des résultats. Dépourvues de la substance nourricière de l’amour, ces pratiques ne sont que des techniques qui ne donnent pas le résultat requis ou attendu. Quant à moi, j’étais à la fois femme et initiée. J’avais été entraînée pendant des années et je savais quoi faire à propos des canaux, pourtant j’ai eu la surprise de me retrouver transportée comme une simple femme. Je me suis surprise à attendre avec anticipation un regard ou un geste de Yeshua, et je constate que le temps passé ensemble fut le temps le plus précieux qu’il m’ait été donné de vivre. Quelque chose en lui, son toucher, ses yeux, le sentiment qu’il m’inspirait, faisait que quelque chose en moi s’ouvrait, je me retrouvais parfois presque en train de pleurer et de me moquer de moi-même.

 

Moi qui avais été formée aux pratiques les plus secrète de la magie sexuelle d’Isis t qui avais été jugée par mes prêtresses comme très avancée, moi l’initiée, j’étais simple débutante en présence de la femme. Car, sachez-le, dans le cœur et l’esprit et la sagesse corporelle de la femme se trouvent quelques-uns des secrets les plus vitaux et certains des pouvoirs les plus fabuleux. Et ils n’attendent que d’être révélés. Et il suffit du simple toucher d’un autre être humain pour les dévoiler. Voilà pourquoi lorsque je parle de Yeshua mon amour et les sentiments que j’ai pour lui, et qui ont résisté au temps me submergent.

 

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Publié dans:MARIE-MADELEINE, SEXUALITE |on 8 mai, 2011 |7 Commentaires »

Questions à Marie-Madeleine

Gif ballon

-       Dans Le manuscrit de Marie Madeleine, vous avez mentionné que vous faisiez partie d’un ordre secret, l’ordre de Madeleine. Pourquoi était-il secret ? existe-t-il encore aujourd’hui ? 

On m’appelait Marie de Magdala parce que je venais d’une région qui portait le nom de Magdala. C’était l’usage, à l’époque, de désigner les gens selon leur lieu d’origine. Ainsi, on disait « Jésus de Nazareth ». Alors que Yeshua poursuivait son œuvre, un cercle de femmes se forma autour de moi. Elles étaient des femmes de pouvoir. Elles étaient de vraies disciples de Yeshua, mais elles ne faisait pas partie du cercle intérieur. Elles reconnaissaient mon autorité spirituelle car j’étais détentrice de ses enseignements secrets. Nous n’avions pas de nom particulier car notre groupe était clandestin. Quand je suis partie pour la France afin de sauver ma vie et celle de ma fille Sar’h, elles ne m’ont pas suivie. Elles se sont alors appelées « l’ordre de Magdala » et elles ont continué pendant un certain temps à transmettre en secret à d’autres femmes l’enseignement que je leur avais moi-même donné. 

De mon vivant, ce n’était pas un ordre formel come les ordres de nonnes qui existent aujourd’hui. C’était plutôt une assemblée informelle de femmes de pouvoir qui nous suivaient, Yeshua et moi. Elles étaient treize, en m’incluant. J’étais considérée comme la dirigeante de ce groupe, que l’on appelait informellement l’ordre de Magdala. 

-       Etaient-elles présentes à la Cène ? 

Elles n’étaient pas présentes à la Cène. C’est moi qui leur communiquais les mystères. Occasionnellement, nous les rencontrions, Yeshua et moi, mais c’est surtout autour de moi qu’elles se rassemblaient. Ces femmes possédaient des moyens financiers et un pouvoir social. Nous nous réunissions en secret, par nécessité. 

Nous nous cachions parce que c’est ainsi que cela se passait à l’époque, comme d’une certaine façon, cela se passe toujours aujourd’hui. Les hommes détenaient les postes de pouvoir importants, alors que les femmes restaient en retrait ; c’est donc par convention culturelle que l’on dissimulait l’identité de l’ordre, qui n’était alors qu’un rassemblement informel de femmes. 

Toute entreprise significative doit recevoir du soutien pour durer. C’était la fonction de ce rassemblement de femmes ; soutenir le ministère de Yeshua et propager ses enseignements par mon intermédiaire. 

Celles qui s’associèrent à moi furent choisies par moi parce qu’elles étaient suffisamment évolués pour comprendre ce que j’attendais d’elles. Elles comprenaient que ce travail requérait leur assistance et leur allégeance, et c’est ainsi que ce « couvent » (qui désigne simplement un groupe se réunissant régulièrement en secret ) se forma par nécessité, puisque l’on ne peut créer dans un vide. On a besoin de l’appui d’un groupe. Nous ne portions pas le nom de l’ordre de madeleine de mon vivant, mais nous savions que notre groupe s’était formé  cause de mes contacts. 

Plus tard, quand je fus rendue très lion de ce monde, des femmes de pouvoir cherchant à s’unir autour d’un point de rassemblement formèrent divers groupes, dont l’ordre de Madeleine et l’ordre de la Rose bleue, selon leur conception de la nature de notre travail. S’il existait à mon époque un ordre formel, c’était celui des temples d’Isis. 

Aucune organisation particulière n’a poursuivi ses activités sous ma direction depuis cette époque. Comme certaines personnes prétendent animer un ordre que j’ai fondé et suivre mes directives, je ne peux dire que ceci ; mes enseignements ont une résonnance, ils constituent un champ de connaissances accessible, et les gens de pouvoir spirituel peuvent accéder à cette information et la faire connaître. Je ne peux que m’en réjouir, mais n’allez pas croire qu’ils reçoivent des instructions directement de moi. Ce n’est pas le cas. 

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Marie Madeleine – issu de La grande transformation de Kryeon canalisé par Lee Carroll 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 26 avril, 2011 |Pas de commentaires »

Paroles de M.Madeleine

Gif ballonIntroduction de Marie-Madeleine 

 

Je suis très heureuse que mes messages soient désormais disponibles au lectorat francophone. J’aime profondément la France et j’en conserve un doux souvenir, car c’st dans ce pays que je me suis réfugiée avec ma fille Sar’h. Aux Saintes Maries de la Mer, nous avons séjourné en sécurité. Lorsque je suis ensuite allée vivre au nord, dans le pays qui constitue maintenant l’Angleterre, afin d’y faire protéger Sar’h par les druides, je me suis souvenue de la France. Quand Sar’h fut devenue une femme et que je l’eux donnée en mariage, je fus libre de retourner en France et je le fis plusieurs fois, pour y enseigner les mystères tels que je les comprenais. Les traces de mon passage y subsistent encore aujourd’hui. Lorsque je suis retournée en Angleterre pour y vivre mes derniers jours, la France était très présente dans mo cœur. 

 

Si la connaissance des mystères féminins est utilisée de la manière espérée, elle répandra un baume guérisseur sur votre Terre. La montée du féminin en cette époque ne signifie pas la déchéance de l’homme. Les femmes doivent obtenir l’égalité pour que, dans les profondeurs de la psyché humaine, le soleil et la lune s’équilibrent et que le grand androgyne universel apparaisse enfin. De cette union mystérieuse résultera une renaissance spirituelle. C’est ce que je souhait à chacun et à chacune d’entre vous individuellement, ainsi qu’à toute la famille humaine. Puissiez-vous vous élever intérieurement par une renaissance spirituelle. Que les mensonges, les souffrances et les larmes du passé soient effacés à jamais. 

 

Je suis Marie de Magdala. 

 

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Les Hathors et Marie Madeleine – issu de La grande transformation de Kryeon canalisé par Lee Carroll 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 26 avril, 2011 |Pas de commentaires »

Marie-Madeleine et Jésus

Marie-Madeleine était-elle mariée à Jésus ?

 

Marie-Madeleine et Jésus dans MARIE-MADELEINE JESUS-ET-MARIE-MADELEINE

Pour les historiens et les chercheurs en sciences religieuses, le secret étonnant du mariage de Jésus qu’annonce Dan Brown n’en est pas un. L’hypothèse d’une relation intime entre Jésus et Marie-Madeleine remonte en effet à plusieurs siècles et la liste de livres publiés uniquement ces 20 dernières années, est considérable. 

Cette idée vient en réalité de la pensée, véhiculée par certains mouvements ésotériques, que Jésus ne pourrait être pleinement humain que s’il avait connu des relations sexuelles ou tout au moins une relation amoureuse avec une femme. Mais aucune des premières sources chrétiennes ne fait mention d’un tel événement, ni les Evangiles, ni les écrits des premiers chrétiens. Même les « autres évangiles » mentionnés par Dan Brown ne parlent pas de cette hypothèse (voir Da Vinci Code : ce que disent les « autres » évangiles). Cette idée n’a donc aucun fondement historique. 

Cela est de toute façon en totale contradiction avec la mission et la nature de Jésus : Jésus ne s’est jamais présenté comme étant un homme comme les autres, (ayant donc des prétentions à un bonheur « terrestre » : un foyer, une maison, un métier), mais comme Dieu fait homme. Il est venu se révéler à nous, de façon visible, et s’est sacrifié à notre place pour nous apporter le salut en nous pardonnant nos péchés (voir : « Jésus, homme ou Dieu ?« ). 

A plusieurs reprises, il a bien établi son identité et sa mission auprès de tous. Si certains trouvent des ambiguïtés dans les affirmations de Jésus, une chose est sûre, c’est que ses ennemis ne les voyaient pas. Lorsque Jésus demanda aux chefs religieux ce qu’ils avaient contre lui, ils lui répliquèrent : 

   
- Nous ne voulons pas te tuer pour une bonne action, mais parce que tu blasphèmes. Car, toi qui n’es qu’un homme, tu te fais passer pour Dieu. (Evangile de Jean ch.10 v.33) 

Il n’y a pas non plus de doute quant au fait que les disciples et les premiers chrétiens ont considéré la divinité du Christ comme un fait à la base de leur foi : 


« Il est l’image du Dieu que nul ne voit… car c’est en lui qu’ont été créées toutes choses : dans les cieux comme sur la terre, les visibles, les invisibles, les Trônes et les Seigneuries, les Autorités, les Puissances. Oui, par lui et pour lui tout a été créé », écrit l’apôtre Paul (lettre aux Colossiens ch.1 v.15-16) (voir aussi : « 
Les prophéties annonçant la venue de Jésus« , « comment expérimenter l’amour de Dieu« ). 

Dans les Evangiles, on peut voir le signe d’une relation affective entre Jésus et Marie-Madeleine (elle pleure à sa mort, elle se prosterne à ses pieds…). Cependant Jésus a le même genre de relation avec n’importe lequel de ses disciples. A plusieurs reprises il manifeste un amour inconditionnel envers tous ceux qu’il croise et il exhorte ses disciples à aimer les autres comme lui le fait. 

Pour justifier son affirmation du mariage entre Jésus et Marie-Madeleine, Dan Brown dit qu’il était quasiment impossible, à l’époque, pour un homme de plus de 20 ans, de ne pas être marié. Il cite comme preuve ce que mentionnent les Manuscrits de la Mer Morte. Mais il ignore visiblement ce que sont ces manuscrits car, d’une part ils ont été écrits deux cents ans avant J.C. et rapportent essentiellement des données relatives à l’Ancien Testament, d’autre part ils proviennent de la bibliothèque d’un groupe d’hommes célibataires, les Esséniens, sorte de « moines » juifs ! 

Dans le Da Vinci Code il est écrit aussi que dans l’Evangile de Philippe (censé parler du mariage secret), le mot araméen « compagnon » (utilisé pour Jésus envers Marie), peut vouloir dire « époux ». En fait, cet évangile apocryphe est en langue copte et non pas en araméen. Ensuite, le mot, emprunté du grec, est « koinonos », qui désigne clairement un ami ou un associé, et non pas un époux. Donc en réalité, le seul élément dans les textes qui pourrait soutenir cette idée, ne la soutient pas du tout. (voir Da Vinci Code : ce que disent les « autres » évangiles

Conclusion

Marie-Madeleine a été et est considérée par certains comme une incarnation du Féminin Sacré, représentant d’une certaine manière la Déesse-Mère, dont le culte s’étendait au Moyen-Orient dans l’Antiquité. Au travers de mythes, de légendes et de symboles, un conte romanesque s’est élaboré autour d’elle et s’est répandu en Europe. Cependant, tous les adeptes de son culte et de son mariage secret avec Jésus reconnaissent qu’ils émettent des hypothèses et que les faits qu’ils invoquent ne reposent sur rien. 

À l’issue de cette analyse, le Da Vinci Code n’apparaît donc pas comme un roman historique. C’est une fiction, un divertissement, jusque dans les allégations historiques qu’il avance.

 

 

Ce livre et le film qui en est tiré sont par contre l’occasion pour tout un chacun de considérer à nouveau les dires de Jésus-Christ.

3905 dans MARIE-MADELEINE

Questionnements sur un livre : Da Vinci Code de Dan Brown – extraits de lectures……

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 19 février, 2011 |Pas de commentaires »

Le Manuscrit de M.Madeleine

Le Manuscrit transmis par Marie Madeleine 

 

Le Manuscrit de M.Madeleine dans MARIE-MADELEINE 2018653712

Un

 

 J’ai été élevée dans une famille pour qui la magie était familière. Mon père venait de  Mésopotamie et ma mère était égyptienne. Avant ma naissance, elle avait adressé des prières à Isis pour avoir un enfant. Cet enfant, c’est moi. On me connaissait sous le nom de Marie Madeleine. 

 

Lorsque j’ai eu douze ans, on m’a envoyée étudier dans une communauté secrète d’initiés protégés par Isis. J’ai reçu les enseignements secrets de l’Égypte, les alchimies d’Horus et la magie sexuelle du culte d’Isis. Lorsque j’ai rencontré celui que vous appelez Yeshua, j’avais déjà reçu toutes les initiations. Je m’étais préparée à faire sa rencontre au puits. 

 

Les Évangiles font de moi une prostituée, car tous les initiés de mon ordre portaient un bracelet en or représentant un serpent; cela signifiait que nous pratiquions la magie sexuelle, par conséquent, aux yeux des Hébreux nous étions des prostituées. Lorsque j’ai vu Yeshua et que nos regards se sont rencontrés, j’ai su que nous étions destinés l’un à l’autre. 

 

Ce que je m’apprête à vous dire n’est connu que de ceux qui étaient avec moi. Bien des légendes ont couru concernant ce qui est arrivé. Mais pour moi c’est l’histoire d’un très grand amour. Que Yeshua ait eu une vision du monde, cela ne me concerne pas. Mon histoire est une histoire d’amour. 

  

Beaucoup de gens ont suivi Yeshua. Et les occasions que nous avons eues d’être seuls ensemble n’ont pas été nombreuses. 

 

Les Évangiles n’évoquent pas ces faits, car seuls ceux qui étaient avec nous le savaient. Avant que Yeshua se rende au jardin de Gethsémani, nous avons conçu un enfant, dont le nom devait être Sar’h.

                 Transmis par Marie-Madeleine elle-même ! 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 21 décembre, 2010 |Pas de commentaires »

Le Manuscrit : 2

Deux 

Le Manuscrit : 2 dans MARIE-MADELEINE marie_madeleine_lisant

L’histoire que je m’apprête à vous raconter va paraître fantastique. Je me souviens des roseaux de Saintes-Maries-de-la-Mer, bien qu’évidemment l’endroit ne portait pas ce nom à l’époque. C’est là que notre bateau a approché du rivage. 

 

Sar’h était encore très jeune. Elle n’avait pas un an. J’étais déchirée entre le chagrin et l’ébahissement le plus total. J’étais présente quand Yeshua a été crucifié. Avec sa mère, nous l’avons accompagné jusqu’à sa tombe et nous l’avons enveloppé. Je me souviendrai toujours de l’odeur de la myrrhe. C’est l’un des onguents que nous avons utilisés. 

 

Yeshua m’est apparu dans son corps de lumière. Je ne pouvais en croire mes yeux ; voilà pourquoi j’ai touché ses blessures. Les disciples étaient jaloux du fait qu’il soit venu à moi en premier. C’était très bizarre. D’un côté, mon bien-aimé était transporté dans une autre dimension, un autre monde, de l’autre côté, moi et notre fille traversions la Méditerranée seules, sans lui. Nous n’étions plus en sécurité et nous avions dû quitter l’Égypte où nous nous étions réfugiées. 

 

Lorsque nous avons fait la traversée et sommes arrivées sur les rives de ce qui allait devenir la France, tout était encore sauvage. Ce sont des prêtresses du culte d’Isis qui nous accueillirent, et nous nous sommes mises en chemin en direction du nord pour nous placer sous la protection des druides, car Isis les avait avertis; ils avaient entendu son appel qui leur demandait de protéger sa fille, Sar’h. C’est ainsi que nous avons cheminé jusqu’à une autre vaste étendue d’eau, que nous avons traversée pour nous retrouver dans ce qui est aujourd’hui l’Angleterre. 

 

Et là, on nous a mises au secret dans le saint des saints des druides, au Tor et à Glastonbury. Nous étions moins en danger ici qu’en Israël ou en Égypte, mais l’influence de Rome s’étendait jusqu’en Angleterre et nous avons dû nous cacher. 

 

Nous avons vécu là pendant des années, et c’est à cet endroit que Sar’h a épousé un homme dont les descendants sont les chevaliers du Temple. Pour ma part, je suis allée vers le nord au Pays de Galles, là où j’ai vécu jusqu’à la fin de mes jours. 

 

Je dois dire que pendant ces années où j’ai vécu seule au bord de la mer, Yeshua m’a souvent rendu visite. Bien entendu, pas comme avant, car son corps était constitué davantage d’énergie et de lumière que de chair, mais c’était tout de même extraordinaire de me trouver de nouveau avec lui. 

 

À ma mort, il était là et m’a emportée vers ce que certains appellent le paradis qui, en vérité, est simplement un espace dans l’âme. 

 

                             Le Manuscrit transmis par Marie Madeleine 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 21 décembre, 2010 |Pas de commentaires »

Le Manuscrit : 3

Trois 

Le Manuscrit : 3 dans MARIE-MADELEINE cene_jean03

Je commence mon récit par la rencontre à la margelle du puits, car, par bien des côtés, c’est ici que ma vie a commencé vraiment. Toutes les années auparavant n’ont été qu’une préparation à cette rencontre.   

Ce matin-là, je sentais que quelque chose se préparait. Il y avait en moi un sentiment d’excitation – une sorte de tremblement des bras et des jambes – même avant notre rencontre. 

J’étais déjà au puits avant qu’il arrive. J’avais déjà descendu mon seau dans le puits, et il est venu me prêter main-forte. 

Certains des disciples, voyant le bracelet en serpent d’or, ont pris pour acquis que j’étais une prostituée et furent consternés que leur maître vienne en aide à une personne comme moi. Mais cela ne me toucha point. J’étais dans un autre monde, transportée par les yeux de Yeshua. Nos regards se rencontrèrent, et ce fut comme si je contemplais l’éternité entière. À ce moment-là, je sus que c’était pour lui qu’on m’avait préparée – et lui aussi le savait. 

Je l’accompagnais, me tenant aux derniers rangs de ceux qui le suivaient, et le soir venu nous nous éloignions ensemble; pas tous les soirs cependant, car il était très recherché. 

Moi qui avait été formée aux alchimies d’Horus et à la magie sexuelle d’Isis, et qui était considérée comme une adepte avancée par mes maîtres, la première fois que je fus dans les bras de Yeshua, je tremblais comme une feuille et je dus lutter pour retrouver dans mon désir le chemin central qui mène au trône le plus élevé, chemin qui avait fait l’objet de ma formation. 

En mariant les techniques que j’avais apprises et les méthodes qu’il avait assimilées en Égypte, Yeshua et moi avons réussi à charger son corps ka, son corps énergétique, d’une lumière et d’une force plus importantes, de façon à ce qu’il lui soit plus facile de travailler avec ceux qui venaient le voir. Et voilà exactement ce qui est arrivé. 

Et ce n’est pas sans ironie que les Évangiles rapportent que j’étais au puits lorsque Yeshua est arrivé. Mais, ces nombreuses nuits où Yeshua et moi étions seuls, c’est lui qui vint à mon puits, pour s’abreuver par moi aux puissances d’Isis, se recharger et se renforcer.  Le Manuscrit transmis par Marie Madeleine 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 21 décembre, 2010 |Pas de commentaires »

Le Manuscrit : 4

Quatre 

Le Manuscrit : 4 dans MARIE-MADELEINE tableau-marie-madeleine-ste

Je m’arrête un instant pour contempler tout ce qui est arrivé ; on dirait un rêve, un rêve d’une clarté extraordinaire encore aujourd’hui. À raconter cette histoire, mon cœur tremble comme si c’était hier. Ma première nuit avec Yeshua se dessine dans mon esprit aussi clairement que les cieux au-dessus de Jérusalem. 

 

Après avoir réussi à vaincre mes désirs de femme et m’être élevée dans l’alchimie spirituelle à laquelle j’étais formée, j’ai pu voir la forme spirituelle de Yeshua – déjà lumineuse, déjà resplendissante de lumière. Une colombe se tenait au-dessus de sa tête, et des rayons dorés en émanaient. Sa forme spirituelle recelait les sceaux de Salomon, Hator, Isis, Anubis et Osiris, confirmant qu’il avait subi ces initiations. Il présentait aussi d’autres symboles que je ne comprenais pas, car ils provenaient de cultures qui m’étaient inconnues ou sur lesquelles je n’avais pas reçu d’enseignements; mais à partir des sceaux égyptiens que je reconnaissais, je conclus qu’il était sur le sentier du dieu suprême Horus. 

 

Il n’était toutefois pas encore passé par son initiation à la mort, et je savais que c’était justement la raison pour laquelle j’avais été attirée vers lui cette fois-ci – afin de consolider son âme grâce aux pouvoirs d’Isis et de la Mère cosmique, de sorte qu’il puisse traverser le portail des ténèbres et atteindre Horus. 

 

Cette nuit-là, après avoir fait l’amour et ainsi manié nos corps spirituels et les avoir fusionné l’un à l’autre, et l’alchimie ayant déclenché ses effets en nous, Yeshua se laissa gagner par le sommeil. Tandis que je le tenais dans mes bras, je sentis un changement s’amorcer en moi, un désir de le protéger, l’espoir d’être toujours avec lui, et j’eus en même temps conscience que nous serions séparés par des forces plus puissantes que ma volonté. 

 

Le Manuscrit transmis par Marie Madeleine 

Publié dans:MARIE-MADELEINE |on 21 décembre, 2010 |Pas de commentaires »
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