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NE PAS ENCOMBRER SA CONSCIENCE

 

La plupart des expériences et des incidents deviennent inconscients. On agit alors « machinalement ». L’inconscient est chargé de gérer les informations qui ne nous sont pas d’une utilité immédiate, ainsi que toutes les actions et chaînes de pensée automatisables. Cette faculté de mécaniser les gestes et les idées a permis l’essor de la parole et des innombrables comportements humains. S’il fallait toujours songer à ce que l’on va dire, ou réviser mentalement les gestes à venir, nous serions restés des êtres primitifs, ne disposant que d’une faible réserve d’actions et de réactions. Le potentiel de l’inconscient est la clé de l’essor humain.

image de soi

La médaille a son revers : le mécanisme de l’inconscient peut nous faire revivre à l’infini des souvenirs désagréables, car nous apprenons rarement à interrompre une chaîne de pensées et à faire bifurquer les émotions. Une fois le mécanisme intégré, on ne le remarque plus, il paraît aller de soi, et l’on ne sait plus comment l’orienter. Et pourtant, de nombreux souvenirs agréables sont disponibles, ne demandant pour ressurgi… qu’une pensée favorable.

Pourquoi ne pas commencer par un exercice tout simple ?

Avez-vous déjà porté une veste bleue ? Avez-vous déjà dansé le tango ? Aussitôt ces questions posées, votre cerveau se met en quête d’images, de sensations, d’exemples. En un instant, votre esprit parcourt des années de votre vie et opère un tri quasi instantané. La visualisation est ce processus naturel, cette faculté de se remémorer ou d’imaginer des situations absentes de l’environnement immédiat. Projeter, telle est la grande force de l’être humain.

Amusez-vous à faire surgir des souvenirs que vous pensiez disparus. Soyez attentif surtout aux sensations physiques. Prenez comme point de départ certains mots, par exemple : plage, forêt, chaud, crème, gâteau, grenadine, fenêtres, danse, lit, petits pois, purée… En quelques instants, quantité d’informations remontent à la surface. Un procédé similaire vous permettra bientôt de redécouvrir vos capacités à dissocier conscience et corps physique ; vous mettrez au jour le trésor de votre inconscient individuel et de l’inconscient collectif.

Plus exact que « visualisation » est le terme « représentation », car la fonction visuelle n’est pas la seule à opérer ; les foncions auditives, kinesthésique, olfactive, participent également de cette activité.

Pour réussir cet exercice, auquel vous devez consacrer de cinq à dix minutes, restez assis, ou étendez-vous sur votre lit. Après avoir ravivé des situations agréables du passé, imaginez une situation à venir. Voyez-vous vous-même en train de réaliser quelque chose qui vous tient à cœur – par exemple, vous passez un examen en restant détendu, vous parlez à un supérieur sans vous sentir inférieur, ou bien encore vous chantez en public, ou vous dessinez paisiblement. C’est un bon moyen de vous perfectionner. Il n’est pas indispensable de mimer les mouvements correspondants, mais le faire vous aidera, au même tire qu’une répétition théâtrale.

Ensuite, pour varier, aussi longtemps sinon plus, appliquez-vous à ressentir les mouvements, tout en restant strictement immobile. Quelques exemples :

-          vous faites du sport, vous vous observez de l’extérieur, comme à travers l’objectif d ‘une caméra. Eprouvez les tensions dans les muscles, le choc des pieds sur le sol, les mouvements des bras, etc. Sentez que, la prochaine fois que vous pratiquerez ce sport, vos gestes seront déliés et harmonieux. Comme un metteur en scène, ajustez les diverses composantes : chaleur, respiration, pensées, environnement.

-          imaginez d’autres situations… vous téléphonez pour demander un renseignement ou un service, écoutez votre voix posée…. ou bien encore vous courez le long de la mer, sentez le vent dans vos cheveux, le sel sur la peau, l’eau sur vos mollets, entendez le cri des mouettes…. etc…

Là encore, le processus est connu. Toute la journée, nous imaginons des événements qui sont censés se produire. D’où l’importance de tester à l’avance vos comportements, pour acquérir des réactions appropriées.

Votre cerveau et votre esprit inconscient enregistrent les événements qui se sont produits depuis votre naissance, et même avant celle-ci.  A vous de découvrir ces enregistrements, qui vous aideront à faciliter l’union intérieure, la réconciliation entre les diverses tendances de votre être, les différents aspects de votre personnalité. La richesse de ces enseignements demeure en partie inexploitée.

Si votre main droite racontait sa vie, que dirait-elle ?  Chaque morceau de chair es tune banque de données, gorgée d’émotions et de scènes. Réveillez ses organes, c’est ouvrir la conscience. Bien des éléments nous influencent, nous perturbent et nous guident, sans que l’on s’en aperçoive. En désamorçant les bombes émotionnelles du passé, vous augmentez vos chances de quitter votre corps. Vous ne serez plus retenu par la crainte ou l’illusion.  Vous découvrirez une voie utilisée par nos ancêtres et qui demeure disponible dans notre inconscient. Ils possédaient le même cerveau, les mêmes ressources, et ont évolué par empirisme.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, MAITRISE |on 9 avril, 2016 |Pas de commentaires »

L’imposition des mains par le médium

 Imposition-des-mains

L’imposition des mains par le médium guérisseur mérite qu’on y consacre quelques lignes supplémentaires : l’imposition des mains consiste en l’application sur le front pour une application généralisée ou sur la partie malade. Le médium guérisseur demande à Dieu le pouvoir d’écarter les fluides nocifs et réclame l’assistance des esprits, à la suite de quoi le médium secoue ses mains, comme s’il voulait se débarrasser de quelque chose d’impur, puis recommence l’imposition. Cette technique était surtout appliquée jadis. Aujourd’hui, le médium impose les mains avec foi et amour remerciant Dieu et les esprits de la guérison. Les fluides célestes apportés et mélangés au fluide terrestre travaillés par l’esprit, se répartissent dans tout le corps et rétablissent l’équilibre vital. Bien sûr pour agir de la sorte il faut une foi inébranlable. L’imposition se fait par-dessus vêtements ou couette sur une personne assise, debout ou couchée, tout cela n’ayant plus aucune importance.

L’imposition a lieu avec la  paume ou le bout des doigts sans raideur ni contraction…laisser faire…laisser faire les esprits envoyés de Dieu…. 

C’est le médium qui sent lorsque le moment de cesser est advenu (une imposition de 10 minutes environ semble salutaire). L’imposition sur la partie malade (bénigne) fait disparaître comme par enchantement le mal, parfois avec extériorisation. Le médium ressentira des sensations aussi diverses que variées, qui peuvent être picotements, chaleur…dans la main et parfois jusque dans l’avant- bras. Le plus souvent, le médium aura recours au contact simple avec la main droite ou peut poser la main droite sur le front et la main gauche sur la nuque (Pour les bactéries très localisées (verrues par exemple ou coupure) et de faible envergure le débutant dirigera le bout des doigts sur la partie à soigner, l’imposition des mains demandant une grande action fluidique. 

Le débutant croira parfois que l’imposition peut se contenter de quelques minutes et passera rapidement à autre chose dans le but d’expédier le mal, ce n’est peut-être qu’une erreur, car il ne doit se soucier de rien d’autre que laisser faire…. Voir peut-être sa main se déplacer imperceptiblement vers une autre partie du corps. S’en remettre à Dieu et aux esprits est la meilleure « méthode » de guérison. 

Par l’imposition des mains, le guérisseur spirituel pourra se guérir « lui-même », dans la mesure où la partie du corps à soigner est accessible sans demander de gymnastique. Ainsi, il pourra demander aux esprits de guérir par la grâce de Dieu et l’intermédiaire de ses mains une douleur à l’estomac, une entorse à la cheville, une brûlure sur la main (imposition d’une seule main dans ce cas, bien sûr)….. 

Si le malade n’est pas présent, le guérisseur pourra, suivant sa sensibilité, opérer à distance.

Imposition des mains sur photo, avec toujours, foi amour, concentration de la pensée sur la guérison et appel à Dieu et aux esprits. Il pourra aussi le faire au moyen d’un objet personnel porté par le malade (linge, papier, bijoux) afin d’établir un courant de communication entre eux. Certaines matières comme la laine, le papier s’imprègnent facilement du fluide vital. Il pourra également y ajouter l’absorption d’eau (par le malade) qu’il aura magnétisée en lui donnant par sa pensée l’intention voulue. Delà engage entre les deux personnes un lien médiumnique et le guérisseur pourra travailler comme si le malade était auprès de lui. 

La durée de l’action magnétique est variable. Selon Durville, elle diminue progressivement pour disparaître complètement. L’eau la conserve fort longtemps (des années, à condition qu’elle ne soit pas bouillie) sans que les propriétés soient diminuées, alors que les corps solides la perdent beaucoup plus rapidement (quelques semaines). Le métal possédant sa polarité propre, reprend dans la nature le mode vibratoire dont il est ordinairement animé en quelques jours. Les objets magnétisés doivent être conservés à l’ombre dans un endroit frais et sec, enveloppés dans du papier ou un tissu et surtout les éloigner de tous agents magnétiques physiologiques (aimants, électricité, métaux, bruits intenses). 

D’autres formes d’actions à distance peuvent être opérées : l’imposition des mains à distance de 10 ou 15 centimètres de la personne (après prise de contact). L’imposition sur photo comme nous l’avons déjà dit et enfin la pensée qui seule peut établir, sans aucun support, un lien suffisant entre le patient et le médium-guérisseur, elle réclame toutefois un grand développement médiumnique et une assistance spirituelle puissante. La prière (sous toutes ses formes comme précédemment indiqué) et l’élévation spirituelle du médium jouent ici un rôle capital, autant dire qu’elle est assez rare. 

Les premières magnétisations glissent souvent sur le malade sans qu’aucun effet ne se produise. Tout d’abord parce que, outre la foi et l’amour, c’est avec « l’entraînement » que les fluides se décuplent, également parce qu’il s’agit de vaincre les réticences du malade. Comme nous l’avons déjà expliqué, le malade réfractaire fera barrage, alors que le malade convaincu, consentant, voire seulement indifférent ou inconscient (les animaux, les bébés…) ne fera aucune barrière. 

Il n’y a pas deux guérisseurs qui produiront la même chose pour un même malade. L’un soignera très bien telle affliction, alors que l’autre n’obtiendra que piètre résultat. Le guérisseur aura une faculté puissante un jour et bien moindre le lendemain cela dépendant de tant de facteurs (conditions fluidiques, assistance des esprits, concentration de la pensée, prière….). 

Il arrive que le guérisseur, comme le magnétiseur, constate après quelques séances une recrudescence des symptômes de la maladie, il faut y voir là un signe de régénérescence de l’organisme qui, toutefois, prévient qu’il s’agit d’être prudent dans le « dosage » de l’émission des fluides (ne pas trop prolonger une émission fluidique, nous en revenons à notre paragraphe précédent où il est indiqué qu’il vaut mieux de petites doses régulières qu’une séance prolongée). L’intuition et l’inspiration jouent ici un rôle important. 

Au cours de l’opération médiumnique, les forces du guérisseur peuvent se mêler à celle du consultant et les passes peuvent entraîner avec elles des particules fluidiques nocives. Le guérisseur devra alors prier Dieu et ses guides protecteurs et avoir foi que les fluides mauvais s’écartent de lui (le lavage symbolique des mains à l’eau claire est ici important pour certains. Les soins médiumniques dérangent l’ambiance spirituelle ordinaire du malade, constituée parfois d’esprits inférieurs qui provoquent l’état de faiblesse du patient ou profitent de l’état de faiblesse pour le faire agir selon leurs caprices. Ecartés malgré eux du malade, ces esprits se retournent parfois contre le médium qui, s’il n’était pas protégé par sa foi, son altruisme, son amour, son humilité parviendraient à l’atteindre. Ceci explique que des médiums trop téméraires ou imprudents s’obsèdent ou abandonnent leur mission. 

Mais comme pour toute médiumnité « celui qui est dans la lumière ne craint rien » et Dieu le protège. Intervention de l’esprit :  » La plupart des médiums guérisseurs ne craignent rien car c’est l’amour qui guide leurs pas et l’amour est leur meilleur bouclier. » 

Comme nous l’avons vu, les esprits qui vivent autour de nous agissent et réagissent sur nous.

Ils ont une volonté plus éclairée que la nôtre et plus forte que la moyenne humaine, mais cette volonté peut-être paralysée par notre inertie et notre manque d’aspiration spirituelle. La loi du « qui se ressemble s’assemble » implique que tout homme qui désire faire le bien est assisté par  un esprit bienveillant. Le guérisseur sincère, humble, d’amour, d’abnégation et de foi agira sous l’influence, parfois occulte de l’esprit guérisseur. Peu à peu il se rend compte que ses interventions sont inspirées, que sa main est conduite pour diriger les soins. Ainsi, le guérisseur spirituel aura tout à gagner au moment des soins à faire abstraction de ses connaissances scientifiques pour laisser place à son intuition, à son inspiration, en fait à l’automatisme spirite. L’esprit saura mieux que lui ce qu’il y a lieu de faire, s’en remettre totalement à l’esprit envoyé de Dieu. 

Le médium guérisseur utilise son fluide personnel et s’adjoint, de par ses qualités spirituelles et morales le fluide céleste apporté par un esprit élevé. 

Le magnétiseur utilise uniquement son propre fluide et celui-ci est moins actif et demande une magnétisation soutenue avec un traitement qui peut être long, le magnétiseur donnant uniquement son propre fluide peut se fatiguer, voire s’épuiser, il doit donc de temps à autre récupérer des forces. Le fluide des esprits est plus puissant parce que pur et produit donc des effets plus rapides et parfois instantanés, la fatigue du guérisseur est alors quasiment nulle. 

Les médiums guérisseurs dans la plus pure acceptation du mot sont rares sur cette terre parce que leur personnalité doit s’effacer complètement devant l’action spirituelle et cette faculté élevée au plus haut degré demande un ensemble de qualités morales que l’on trouve rarement sur notre planète, ceux-là seulement peuvent obtenir par l’imposition des mains des guérisons instantanées (les autres peuvent obtenir par la simple imposition des mains mais devront prodiguer leurs soins dans le temps). 

La faculté de la guérison spirituelle n’est accessible qu’avec l’abnégation, l’humilité, le dévouement, le désintéressement, et bien sur la concentration de la pensée, la foi et l’amour de son prochain…. Tout un programme … !

 

SOURCE http://www.alliancespirite.org

Publié dans:MAITRISE, MALADIE, MEDIUM |on 1 avril, 2016 |Pas de commentaires »

Conseils au guérisseur débutant

 

 guérisseur

Le guérisseur débutant, enthousiasmé par une foi exaltée par les guérisons merveilleuses, peut se figurer qu’il suffit de faire certains gestes, de répéter certaines paroles et de vouloir avec force pour que les choses s’accomplissent. Il sera déçu s’il n’a pas pris conscience que les connaissances, l’amour, la foi, l’humilité, le désintéressement et l’élévation spirituelle sont nécessaires pour mériter l’assistance indispensable des esprits ! Le guérisseur doit comprendre que c’est à condition d’humilité qu’il conservera sa faculté, qu’il se méfie donc de lui-même et de l’orgueil qui le guette sournoisement… 

La spiritualité n’implique pas que le guérisseur néglige quelques règles de bases. 

La propreté de la personne et le lavage des mains, avant et après la séance, pour aussi, la symbolique de la pureté, sont souvent de mise. Une autre coutume veut que le guérisseur se « décharge » les mains en les secouant loin du malade et de lui-même autant que faire se peut, afin de faire partir les fluides nocifs, qui attirés par les mains de certains guérisseurs peuvent indisposer un organe délicat et transmettre d’autres malades. 

Le régime alimentaire peut aussi avoir une influence sur certains guérisseurs. En tout état de cause, la sobriété et la tempérance (pas d’excès alimentaires) sont primordiales. Il s’abstiendra de tout excitant (alcool, drogue etc..). 

De même les fatigues excessives laisseront le guérisseur sans force. Le médium guérisseur se tiendra dans une disposition d’esprit calme et bienveillant, un colérique ou un bouillonnant ne sera pas un bon guérisseur. 

En cas de fatigue psychique, la marche au grand air, qui en même temps régénère les poumons (l’oxygène est source de vie) lui fera le plus grand bien. Le malade quant à lui, arrive au guérisseur souvent dans un état de total découragement. Il convient alors d’être à son écoute, de lui redonner espoir, de susciter en lui la foi en une puissance souveraine qui dispense la vie : DIEU. Et la foi en lui-même. Lui faire comprendre que son « genre » de vie, son caractère, son mental influent sur son état. L’apaiser, le calmer, le déculpabiliser parfois tout en lui donnant l’intime conviction qu’il existe bel et bien au-dessus de nous des forces d’amour et d’intelligence à qui on peut demander une assistance efficace. 

En même temps le guérisseur doit gagner la confiance de la personne et manifester son dévouement désintéressé qui ne réclame aucun merci, aucune reconnaissance, aucune rétribution. L’abnégation totale, l’amour de l’autre. L’autre, son frère, partie de lui, partie du grand tout comme lui. 

De même que pour le magnétiseur, le guérisseur spirituel aura soin de conseiller au malade de ne pas se soustraire aux soins médicaux traditionnels, de poursuivre ses consultations et son traitement, faisant preuve ainsi de son ouverture d’esprit : Science et foi ne sont pas contraires, elles sont complémentaires. 

Après avoir éclairé le consultant de ce qu’on attend de lui, le guérisseur ne s’imposera pas davantage, il saura attendre que la personne soit demandeur de ses soins, forcer ne ferait que bloquer la personne et l’on sait que le refus psychologique implique l’échec. Comme pour toutes facultés, la guérison spirituelle connaît plusieurs niveaux et si nous parlons essentiellement ici des « grands » guérisseurs dont certains de nos jours sont très connus pour leur action salutaire, il n’en demeure pas moins que, beaucoup d’anonymes tout aussi dévoués pratiquent un peu partout dans le monde depuis la nuit des temps. 

On pourrait résumer très succinctement quelques guérisseurs « types » : 

- Magnétiseur clairvoyance spirite qui permet de voir l’entité dans les cas d’obsession,

- Magnétiseur doué de la clairvoyance médicale (vision des organes malades) ;

- Magnétiseur doué de la clairvoyance aurique (nous parlons de l’aura ci-dessous). 

Un médium guérisseur peut posséder plusieurs facultés qui se développeront avec l’exercice. 

Au fur et à mesure de son avancement, il abandonne de plus en plus le magnétisme humain soumis à sa propre volonté pour s’abandonner à celle de son guide qui dirigera sa main et l’inspirera. Les déclarations du consultant confirmeront ses indications, cette manière de faire lui servira de boussole, l’empêchera de s’égarer et ainsi lui permettra de progresser. 

La clairvoyance de l’aura peut, comme on vient de le dire être un facteur d’aide à la guérison ; En effet, la partie du corps psychique (ou éthérique) contenu dans le corps matériel dépasse quelque peu de ce dernier et se nomme aura. Elle est plus importante chez les méditatifs que chez les personnes à tendance matérielle prononcée. Les premiers détiennent une réserve d’énergie suite à la concentration et l’élévation de leurs pensées, de l’économie vitale réalisée par leur mode de vie et peut-être aussi leur alimentation peu carnée. L’activité organique des seconds réclame la presque totalité de leurs forces psychiques disponibles, d’où une faible influence magnétique. 

L’aura apparaît aux clairvoyants auriques (après entraînement) et aide à la compréhension de la maladie. Elle apparaît comme une buée laiteuse qui se colore d’après la qualité des aspirations de la personne. Pour certains l’aura n’est visible que lorsque la personne est placée dans l’obscurité la plus complète. On peut dire que pour le voyant chaque couleur correspond à un état : 

- blanc : pureté

- or : calme

- vert : intelligence et savoir

- jaune : pouvoir cérébral

- mauve : bienveillance

- bleu : recherche de la vérité

- rouge : passion

- brun : dépression mentale

- gris : désespoir

- noir : idée de suicide, animalité 

Cette « liste » n’est donnée qu’à titre d’exemple indicatif et ne peut être, elle non plus, tenue comme vérité. 

Les pensées elles-mêmes se traduisent par des mouvements rectilignes ou tourbillonnants qui sont, eux, provoqués par une agitation mentale (colère, passion). Un manque de rayonnement dénote un manque de vie, indice d’une maladie dégénérescente (cancer). 

Pour résumer ces exemples, nous dirons, sans l’affirmer, que lorsque le corps est en bonne santé l’aura est légèrement bleutée et striée de rayons rectilignes. Aux alentours des parties malades, les rayons s’estompent, tourbillonnent, s’entrecroisent ou s’affaissent. 

C’est par la pensée que l’homme peut donner au fluide vital les qualités bonnes ou mauvaises selon sa nature, la valeur des pensées qui les provoquent et les dirigent. Ainsi le magnétiseur, avec foi et amour, pourra faire des prodiges. Par son action désintéressée et morale, il s’élèvera peu à peu vers le plan spirituel et obtiendra, même à son insu, l’assistance d’un esprit supérieur. 

La pensée donne au fluide les qualités de calme ou d’excitation désirée. De même, les esprits donnent au fluide médiumnique, la forme, la couleur, la densité, la direction, les propriétés qu’ils désirent lui imprimer, ils « travaillent » le fluide du médium à l’aide de leurs pensées et de leur volonté. Son action terminée, l’esprit se retire et retourne à sa vie spirituelle. 

Pour guérir, l’esprit travaille le fluide du médium auquel il adjoint le fluide spirituel. L’esprit dirige le fluide vital du médium auquel il donne des qualités spéciales en vertu de ses connaissances et de son élévation morale. Le médium guérisseur, n’est en fait qu’un instrument docile de l’esprit, un condensateur de forces et un collaborateur de bonne volonté.

« Le médium guérisseur est le fil conducteur », nous dit l’esprit. 

Le fluide du guérisseur est quelque fois long à rendre sa santé à l’organisme, car aucune amélioration du corps ne peut se faire de façon rapide. Un peu comme dans la médecine traditionnelle où il ne sert à rien de donner en seule fois le sirop antibiotique, le fluide agit de même, et donné chaque jour, il modifie de façon stable la vitalité du consultant. Si la maladie est consécutive à une influence psychique ou spirite, l’action du médium guérisseur peut-être extrêmement rapide et la guérison parfois foudroyante. 

Les fluides sont donc le véhicule de la pensée, comme nous l’avons vu plus haut et sont modifiés par la pureté des sentiments qui les animent. C’est donc avec foi que les fluides agissent et par amour qu’ils révèlent leur puissance. 

Le corps humain, comme l’aimant, est polarisé (expériences établies grâce à des voyants sensitifs, entre autres, Durville). Le côté droit du corps, le front et la ligne médiane de la poitrine et du ventre sont positifs. Le côté gauche, la nuque et la colonne vertébrale sont négatifs. Mis en présence, les pôles de même nom (positifs avec positifs….) provoquent de l’excitation, de l’échauffement, de la force, le sommeil magnétique. Les pôles de noms contraires (positifs avec négatifs) calment, décongestionnent. 

Un exemple d’application : la main droite placée à la nuque ou le long de la colonne vertébrale donne une impression de bien être, diminue les spasmes nerveux des organes qui se trouvent à la même hauteur et commandés par les nerfs de la moelle épinière. Comme pour le magnétiseur, l’action magnétique du guérisseur sera la même, à la différence près que le fluide de l’esprit lui sera adjointe pour les raisons déjà exposées. Ainsi, le guérisseur spirituel établira la mise en rapport, et travaillera comme il le sent (passes, jet fluidique, souffle etc.), souvent inspiré par l’esprit. Son action se réduit à deux actions principales : dispersion des fluides nocifs (dégagement) puis concentration et application de fluides bienfaisants. Il utilisera la ou les méthodes qui lui conviennent le mieux, parfois pour une raison inexpliquée puisque inspiré et assisté.

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Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MAITRISE, PENSEE |on 30 mars, 2016 |Pas de commentaires »

MÉDITER C’EST REGARDER POUR LA PREMIÈRE FOIS

 

 

Né à Montréal en 1948, Jean Bouchart d’Orval a été pendant de nombreuses années chercheur en physique et en génie nucléaire à l’Université de Montréal. Pendant tout ce temps, il se posait des questions plus fondamentales que celles auxquelles la science et même la pensée peuvent répondre. Cet intense questionnement l’a mené vers une approche méditative de la vie et une désimagination de la réalité. Devenu enseignant spirituel, il ne se réclame d’aucune école en particulier, mais sa pensée est modulée par l’intuition de la non-dualité. Il est possible de le rencontrer en Europe et au Québec.

regarder

Vous avez déjà enseigné la méditation, mais il semble que depuis quelques années vous en parlez différemment. Qu’est-ce que méditer pour vous ? Quel genre de méditation recommandez-vous ?

Si vous pratiquez la méditation pour arriver quelque part, pour engranger des profits, pour devenir quelque chose, pour vous libérer ou pour devenir un être réalisé, alors que faites-vous de vraiment différent de la plupart des êtres humains qui calculent et s’inquiètent sans répit ? Par contre, si vous vous donnez à des instants libres de ce genre d’arrivisme et de petitesse – et de tels moment surgissent chaque jour, il suffit d’être attentif – alors vous sortez de l’habitude. L’acte que n’entrave aucun but est pure puissance. La méditation désencombrée de toute direction volontaire est pur éclat.

Comme vous le dites, à une certaine époque il m’est arrivé de dispenser des « cours de méditation ». Cette formulation malheureuse a peut-être laissé croire qu’il y a des instructions spéciales, quelque chose à faire, à apprendre, à mémoriser et à emporter chez soi pour le ressortir plus tard, quand on éprouve de la difficulté à faire face à sa vie. Non. Il n’y a pas de système, il n’y a pas de truc. Vous posez la question d’un « genre » de méditation. Or, tant que la méditation a un genre, cela demeure une activité mondaine. Il n’est donc pas question de méditation bouddhiste, de méditation zen, de méditation dynamique, de méditation soufie etc. Tout cela c’est de la poudre aux yeux, c’est du spectacle ; ne vous laissez pas impressionner par les images, par le décorum et les réputations que se sont laborieusement forgées les gurus à la mode, les gérants d’ashrams et les directeurs d’écoles de méditation, qu’ils soient occidentaux ou orientaux. Voyez, même les chrétiens tentent désespérément de récupérer ce mot populaire depuis quelques décennies : après deux mille ans de bavardage inutile et la condamnation de la méditation par le pape actuel, il y a maintenant une méditation chrétienne.

La question d’un « genre de méditation » est très liée à celle d’une autorité spirituelle et de toutes les bêtises qui viennent avec cela. J’ai personnellement été témoin du désolant spectacle d’êtres humains captifs d’un système de méditation et d’une idéologie de libération personnelle ; j’ai vu des gens à première vue très brillants être complètement subjugués par la pensée d’un malheureux « être réalisé » affligé du besoin compulsif d’être approuvé et admiré. Je les ai vus adhérer à une doctrine et suivre la ligne du « parti » avec le même aveuglement que les Jésuites ou les gardes rouges chinois du temps de Mao. Il faut avoir vu les romantiques adeptes de tels groupuscules sectaires s’agglutiner pendant des années dans des lieux exotiques pour se concentrer. Il faut avoir vu tous ces gens se retirer dans ces camps de concentration et même souvent se mettre des bouchons dans les oreilles pour « méditer », afin de ne pas entendre la rumeur du monde, qui n’est rien d’autre que la rumeur de Dieu. Je puis témoigner que vingt, trente ans plus tard, ces dormeurs posent toujours les mêmes questions et reçoivent toujours les mêmes réponses formulées de la même manière et avec les même mots. Derrière les barbelés psychologiques dressés par leur guru autour du camp, les croyants se sentent toujours aussi frileux devant la vie et ses grands espaces ouverts.

Je remercie les dieux de m’avoir mis en contact avec cette caricature, où le maître est incapable d’entendre la moindre critique ou suggestion d’une autre approche et où les disciples se sentent immédiatement menacés à la suggestion d’un autre système ou, suprême horreur, de l’absence de système. Ce fut pour moi une grande leçon : j’ai vu comment naissent les sectes – toutes les sectes, dont la plus grosse est l’Église catholique -, les systèmes, les encadrements et les structures. J’étais assis aux premières loges.

Mettre lourdement l’accent sur une quelconque technique et sur une idéologie pour se libérer, c’est une stratégie pour ne plus ressentir sa vie telle qu’elle est. Ce réflexe pathologique face à la peur et à la souffrance (qui n’est rien d’autre qu’avoir des problèmes avec la réalité) est, bien sûr, un ajournement. Cet ajournement peut être nécessaire, quand notre trajectoire passée dans l’espace-temps ne nous laisse pas le choix, mais ça n’en demeure pas moins un ajournement.

De grâce, soyez un peu sérieux ! Si vous avez la capacité d’entendre cela, alors vous n’en serez plus réduit à aller faire la queue pendant des heures pour recevoir l’accolade d’une figure exotique qui flatte les images romantiques populaires. Vous ne ressentirez plus le besoin de ce genre de pitreries. Vous serez libre de cette frilosité qu’est la religion sous quelque forme que ce soit. Les religions, les idéologies, les groupes hiérarchisés, avec leurs leaders, leur autorité, leurs dogmes, leurs promesses, leurs techniques et leurs programmes pour vous éviter de ressentir la misère de ce que vous avez échafaudé dans votre vie, sont des calamités dont vous pouvez très bien vous passer tout de suite, sans autre simagrée. Dans tous les groupes religieux, autour de toutes les autorités spirituelles, on retrouve invariablement les mêmes promesses de mieux-être pour plus tard. Vous devez accepter de penser et de vivre de telle manière, de pratiquer tel rituel ou telle méditation, de marmonner tel mantra, toutes choses qui vous insensibilisent et vous rendent stupide maintenant dans le but de vous libérer plus tard. Croyez-vous vraiment que toutes ces singeries peuvent vous être de quelque utilité pour voir clair et vous comprendre ? Je ne dis pas qu’il ne faut pas se sentir en résonance avec un courant spirituel quand une évidence se présente, mais s’identifier à un groupe, vouloir faire carrière dans le bouddhisme ou le christianisme, c’est un symptôme de peur ou d’ennui. Vous seriez mieux de ressentir votre peur ou l’ennui de votre vie et d’y voir clair, au lieu d’aller vous cacher et grelotter en groupe derrière une doctrine de libération future.

Quand vous pratiquez une technique, vous répétez toujours la même chose, vous essayez de revivre la même situation afin d’exorciser tout ce qui remet en question votre savoir sur le monde et sur vous-même. C’est complètement mécanique. Comment pouvez-vous espérer qu’un monceau de conditionnements vous mène un jour à la liberté ? C’est cela la grande illusion de ce genre de pratiques spirituelles, dont la principale utilité est de faire rouler les affaires de ceux qui veulent vous sauver à tout prix, de ceux qui veulent vous libérer sans que vous ayez à être présent dans votre vie, bref, tous ceux qui se veulent indispensables dans votre vie. On peut comprendre la pratique de techniques en vue d’acquérir une habileté professionnelle, pour apprendre la clarinette ou la boxe, mais pour vivre la liberté.

Qu’y a-t-il donc derrière cette névrose très ancrée qui consiste à s’en remettre à une technique, à un autre être humain, à une façon de penser ou à une nouvelle drogue ? La peur ! La peur de sentir qu’en fin de compte on n’est absolument rien, du moins rien de tout ce qu’on a pu imaginer, y compris les images infantiles qu’on se crée sur « Dieu » ou sur « le Soi ». Ce n’est pas un blâme à l’endroit de ceux qui croient qu’une technique ou un guru va les dispenser de se voir et de se comprendre : l’être humain en est réduit à de telles âneries parce qu’il n’a pas le choix, parce qu’il n’a pas la force et l’humilité d’être simple, direct et honnête avec lui-même. Ainsi, vous ne pouvez demander à un enfant de trois ans de comprendre ce qu’un adulte peut comprendre. Il n’y a rien à imposer à qui que ce soit. Il n’y a aucun jugement ici, simplement une constatation. Par contre, si vous avez l’humilité d’entendre cela sans peur, sans retourner dormir devant un « éveillé », dans un groupe ou derrière une idéologie, alors vous allez peut-être découvrir vous-même que tout est beaucoup plus simple et infiniment plus beau que ce que votre mémoire vous inflige.

La méditation n’a vraiment rien à voir avec une technique. Méditer c’est regarder pour la première fois, alors que pratiquer une technique consiste à répéter pour la nième fois. Se concentrer c’est se couper de la vie, c’est un manque de respect envers ce qui est là. Qu’est-ce donc que vous ne voulez pas voir dans votre vie au juste et pourquoi ? Il n’y a pas à se concentrer ; il n’y a qu’à écouter, regarder.

Méditer ce n’est ni fuir les objets ni aller à la pêche pour en attraper ; ce sont là les deux facettes d’un même manque de maturité. Tout ce qu’on attend, tout ce qu’on espère, tout ce qu’on peut comprendre, ce sont des objets, c’est-à-dire quelque chose qu’un observateur particulier découpe de toutes parts par rapport aux autres « objets » et par rapport à l’arrière-plan silencieux. Si vous allez à la chasse ou à la pêche au fond des bois, vous risquez de tuer un animal ou un poisson qui, comme vous, ne demande qu’à vivre. Ce n’est certes pas là une marque de grande sensibilité, mais quand vous partez chaque jour à la pêche intérieure pour attraper quelque chose de substantiel, vous faites preuve d’une insensibilité encore plus fondamentale : vous n’allez peut-être pas tuer un animal, mais vous allez tuer, ou du moins ensevelir, ce qui en vous est vivant. Au bout de quelques années, vous irez grossir les rangs des vieux croûtons qui errent à la surface de la soupe prétendument spirituelle de cette planète. Chercher à distinguer un objet, chercher à comprendre, chercher un état de conscience, vouloir transcender le monde, devenir un être réalisé, tout cela reflète un manque de clarté et c’est encore un compromis.

Mais alors le mot méditer a-t-il un sens pour vous?

La méditation c’est le respect total de ce qui est là, le respect de la vie telle qu’elle est. C’est le respect de ce que j’appelle ma vie, avec mon corps et mon psychisme tels qu’ils sont. C’est la non-violence parfaite. Cela veut dire que vous ne faites plus dans l’ailleurs ou dans le plus tard. Vous ne pensez plus à votre vie, vous la vivez clairement, directement.

Vous savez ce que veut dire vivre ? Cela veut dire être présent : sentir, ressentir, goûter, regarder, écouter. Ce n’est pas anesthésier cette sensibilité en vivant dans un monde abstrait tissé de notions engluées de mots. Quand vous voyez un arbre, un cerf, un homme, vous vous donnez vraiment à la vision et aussi à ce que vous sentez en vous, vous vous abandonnez au toucher intérieur. Vous n’êtes pas en train d’évaluer l’âge de l’arbre, si c’est un beau cerf ou un homme sympathique. Bien sûr, toutes ces notions peuvent vous venir – vous ne choisissez pas ! – mais vous ne mettez pas l’accent sur elles. Vous êtes beaucoup trop occupé à ressentir, à toucher, à goûter, pour avoir le temps de courir après des concepts ou des opinions. C’est un manque de temps. Généralement, quand on perçoit un objet, un visage ou une énergie, que fait-on immédiatement ? On se détourne de la réalité pour se tourner vers les images proposées par la mémoire. C’est cela vivre de manière abstraite, complexe, virtuelle. La vie est très simple, sauf quand on la regarde à travers le brouillard de la mémoire.

Observez bien ! Notez ce que vous échafaudez par-dessus la perception du moindre objet physique ou mental. Voyez ce que vous construisez encore qui étouffe et ensevelit le regard. Au moment même où vous plongez la main nue dans la neige, il n’y a rien à penser, à juger, à analyser ni à classifier. Au moment même où vous ressentez la tristesse, la colère ou la peur, il n’y a pas davantage à penser ou à « comprendre ». À un moment donné, il vous apparaît étrange de rechercher autre chose que ce qui est là, autre chose que ce qui est offert par la vie. Vraiment, cela paraît très étrange.

Voyez les enfants – tant ceux des êtres humains que ceux des animaux -, voyez comme ils ne sont que regard, écoute, sensibilité, attention. C’est universel, c’est inné ; voilà notre vraie nature. N’y a-t-il pas là un signe très clair ? C’est avec l’accumulation des impressions mentales laissées par les innombrables expériences passées que nous nous mettons à vivre dans l’habitude. Avec le temps nous en venons à accepter l’idée que ce n’est pas la première fois, la seule fois, que nous ouvrons les yeux sur le monde. La notion d’objet va alors de soi et il ne nous vient plus de douter de la réalité de nos images. Notre cerveau, très tôt dans notre vie, a échafaudé une image du « monde » à partir des impressions des cinq sens. Nous sommes dès lors convaincus de la solidité des choses « là-bas » et d’un moi « ici ». Le cerveau a construit les notions même de « là-bas » et « ici ». Mais si vous absorbez des substances hallucinogènes, alors vous voyez différemment et avec la même conviction. Est-il vraiment nécessaire de se livrer aux drogues pour voir l’aspect fallacieux de nos fragiles images du monde ? Il suffit d’être attentif ! Pendant combien de temps allons-nous rêver et remplacer une image par une autre image ?

La vie méditative, c’est la maturité du regard, dans lequel n’y a plus l’habituelle ruée bovine sur des objets. C’est une persistance du regard. C’est par impatience que nous nous jetons sur des objets et sur des situations. L’impatience c’est la peur et cette peur repose uniquement sur une pensée. Méditer c’est persister avec ce qui est là. Cela implique donc le refus des images. Non pas les combattre, non pas chercher à les détruire – qu’y a-t-il à combattre ? Non. Cela consiste à refuser de se contenter du pâle reflet de la réalité qu’est l’image de soi-même. Quand vous demeurez avec « ce qui est là », à un moment donné cette attention devient silence, étonnement, ravissement, tranquillité. La brume des images se dissipe et il reste une lucidité dans laquelle il n’y a plus ni objet ni sujet. Méditer c’est vivre sans se localiser. Il n’y a que pur regard, pure attention.

Vous vivez dans le marasme simplement par manque de conviction d’être pur regard, pure lumière consciente. Conviction veut dire évidence directe, non pas conclusion intellectuelle. Les intellectuels vivent dans la même peur que les autres, à cause de la même déficience de conviction. Sans une telle évidence directe, la vie sur terre n’est qu’une interminable errance pour tenter d’éteindre la soif d’expériences et de compréhension. Tant que vous ne demeurez pas présent à ce qui est là dans votre vie, clairement, simplement, vous ne pouvez éclairer vos constructions mentales et réaliser tout ce qu’elles ont de virtuel. La réalité est sans cesse en train de souffler sur le château de cartes de vos fabrications. Mais tant que vous fuyez de situation en situation, de pensée en pensée, vous êtes comme l’impatient qui pénètre dans une pièce sombre en provenance de l’extérieur en hiver : tout ébloui par l’éclat du soleil sur la neige, ne distinguant rien pendant les premiers instant, il se retire de cette pièce, retourne dehors, puis entre à nouveau dans une autre pièce, puis une autre, sans avoir jamais rien vu. Ainsi affligé, vous avez vite fait le tour de votre maison et vous vous sentez toujours aussi vide. Notre regard a besoin d’une certaine persistance pour distinguer. Alors, ce que j’appelle méditation c’est cette persistance du regard, cette insistance de l’attention, sans but, sans projection de ce qu’on pourrait voir. D’ailleurs, il n’y a rien à voir ! Au cour d’une telle attention, il ne subsiste bientôt plus que la pure lumière consciente, qui est la vie elle-même.

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Vous parlez du regard qui s’exerce. Cela ne ressemble-t-il pas à une pratique ?

Il n’y a pas d’éléments techniques à maîtriser ici. Qui peut vous enseigner le regard ? Il existe beaucoup de « techniques de méditations » sur le marché, mais il s’agit là d’un artifice de marketing. On peut bien créer un espace méditatif, mais ce qu’il y aurait à dire sur une technique méditative tiendrait en très peu de mots. Cela dit, il est vrai que le regard s’exerce et devient plus compétent quand on se donne à des moments de silence sans but. C’est cela qui permet de demeurer présent quand souffle le vent de la vie sur vos plans et sur vos certitudes. Mais ce n’est pas quelque chose à pratiquer dans le but d’être présent plus tard. Ce n’est rien à mémoriser, à thésauriser. Cela vient comme une conséquence naturelle, non comme un objectif à atteindre. Dès que vous êtes tourné vers un autre moment, vous rêvez, vous dormez.

Par exemple, quand vous avez complété les tâches de la journée, vous êtes assis et vous demeurez là. Vous n’allez pas voir ailleurs, vous ne chercher pas ce qui pourrait vous désennuyer à la télé, vous ne cherchez pas dans votre carnet le numéro de téléphone d’un ami qui pourrait être votre clown de service ce soir-là. Vous regardez ce qui est là, vous ressentez votre corps, sans rien essayer. En méditation vous n’êtes tenu à rien, surtout pas de « méditer » ! Demeurez simple. Il n’y a rien à suivre, rien à refuser. Laisser venir, laissez aller. Vous assistez à ce qui est là, y compris à ce que votre mémoire nomme « rien ». « Rien » est un autre concept. Il n’y a jamais « rien » : vous êtes toujours là en tant que pur regard. Mais n’essayez pas de voir ce « pur regard » ! Vous réalisez que vous êtes perdus dans vos pensées ? Et alors ? Vous assistez à cela, sans plus. Depuis toujours vous ne faites qu’assister aux modalités de ce que vous appelez votre vie. Vous allez bientôt voir que tout est vide de substance, qu’il n’y a pas de choses séparées du regard, vraiment.

Et quelle place faites-vous à la prière ?

Prier, dans le sens où on emploie ce mot la plupart du temps, ça n’a pas grand sens. Ce que veulent dire la plupart des gens par prier c’est demander, supplier « Dieu » d’intervenir dans leur petite vie misérable. Mais même ce genre de prière est au moins le signe d’un début d’humilité. Quand leurs stratégies habituelles ne semblent plus rapporter de dividendes, les superbes et les arrogants se mettent à la prière. Quand les Nazis ont envahi l’Union soviétique, à l’été de 1941, et que tout semblait perdu, même Staline a fait rouvrir les églises.

Pour la plupart des gens prier est un réflexe : ils grelottent quand ils ont froid, ils toussent quand leur gorge est chatouillée et ils prient quand ils ont peur et ne comprennent plus rien. Ce réflexe est encore une stratégie qui pointe en direction d’un quelconque soi-même : c’est une activité mondaine et vulgaire. Je veux bien que, sur un mode poétique, on s’adresse à une divinité, ou même que, sur ce même mode, on demande parfois quelque chose pour sa vie personnelle, mais alors cette demande ne devrait pas être formulée à partir de la conviction d’être une entité séparée. Bien sûr, la littérature sacrée est constellée de prières qui ressemblent à des demandes, même à des implorations. Mais c’est toujours sur un mode poétique.

Vous pouvez très bien demander, mais alors de la même manière que vous demandez le sommeil quand vous allez vous mettre au lit. Vous ne pouvez pas le provoquer. Bien sûr, si vous ne vous étendez pas, vous n’allez pas dormir non plus. Alors vous allez interroger le dieu du sommeil. Vous allez vous étendre pour suggérer le sommeil, vous allez voir s’il est là. Le reste n’est pas entre vos mains en tant que personne. Autrement dit, votre corps et votre psychisme sont les dociles instruments du dieu. Vous n’êtes pas là en tant que personne qui exige de dormir. D’ailleurs regardez ce qui arrive quand vous vous étendez avec l’idée que vous devez dormir à tout prix, que vous voulez dormir.

Prier pourrait être cela : être consciemment l’instrument de la vie. Vous pouvez alors interroger pour voir si votre foie ne pourrait pas se désencombrer de certaines énergies, pour voir si votre nerf sciatique ne pourrait pas se décoincer, pour voir si votre ami ne pourrait pas voir sa vie s’éclaircir ; des choses comme cela. Mais vous le faites toujours en souhaitant qu’il arrive ce qui doit arriver. C’est le sens de la prière de Jésus, dans le Jardin des oliviers, qui demande : « Père, s’il est possible, que cette coupe passe loin de moi. Cependant, non pas comme je veux, mais comme tu veux ». En réalité, c’est le Père qui fait tout, qui est tout. Le Père, en tant que Jésus, ne doute pas de cela et peut donc « demander » sans se fourvoyer comme le font les autres êtres humains. De là la puissance de ses « demandes ». C’est bien ainsi que les malades étaient guéris en sa présence.

téléchargementAlors, quand vous priez, vous n’intervenez pas en tant que cette image pour laquelle vous vous êtes pris depuis si longtemps ; vous n’êtes simplement pas là. Quand vous priez ainsi, vous ne manquez plus de respect envers Dieu en estimant qu’il puisse y avoir autre chose que Lui.

Nous pourrions peut-être terminer par la prière de Maître Eckhart : « Et maintenant, que Dieu nous aide à gagner cette lumière éternelle ! »

Ecrit par Jean Bouchart d’Orval pour le magazine Signes et Sens

MAITRISER DES PEURS CONSCIENTES ET INCONSCIENTES

 

Il est dangereux d’éliminer la peur. Mieux vaut la conserver pour les circonstances où elle se révèle indispensable. La peur, comme l’angoisse, la colère, l’agressivité, est liée à la survie. Elle assure votre protection en prévenant les dangers. Vouloir la supprimer, c’est risquer de la renforcer. Menacé dans sa survie, vote inconscient sabotera les tentatives non écologiques dans les six mois.

En revanche, vous pouvez la maîtriser grâce aux exercices suivants, qui donnent confiance et rassurent. Connaissance et pratique sont les antidotes de la peur, souvent infondée.

DIEU

PEUR DE PERDRE LE CONTACT AVEC LA REALITE : Au contraire, de telles expériences enracinent, affirment les perceptions, vous mettent davantage en contact avec le monde, élargissent votre vision de la vie, développent votre intuition et votre créativité. Ces expériences facilitent l’évolution spirituelle et favorisent la rencontre de personnes ayant les mêmes orientations que les vôtres.

PEUR D’ETRE MALADE : Au contraire, le contact avec soi-même, avec son âme, les exercices de relaxation, d’hypnose, de circulation d’énergie, améliorent la santé. De toute façon, les périodes de maladie ou les accidents favorisent la sortie du corps. Lorsqu’on est malheureux lorsque la réalité est opprimante, ou quand la douleur est trop vive, on se réfugie dans ses rêves ou dans ses pensées. La conscience s’échappe du corps physique et se dissocie, pour rendre la situation tolérable. Des personnes soumises à des souffrances ont trouvé une force fabuleuse dans la transfiguration.

Ces mécanismes se retrouvent lors des expériences aux frontières de la mort. Très souvent, le corps aussi sort du corps physique. Le cerveau libère des substances euphorisantes pour apaiser la douleur. Des visions se produisent. Le dédoublement, comme les autres états de transe, a des effets bénéfiques, principalement pour deux raisons : tout d’abord, ces expériences développent une profonde relaxation physique et permettent au cerveau de créer une nouvelle métaphore de vie, en puisant des images fertiles dans l’inconscient. Les exercices de détente, de respiration, sont bienvenus dans le quotidien. D’autre part, elles facilitent la transformation des parties obscures ou méconnues. Le dédoubleur se sent plus à l’aise dans sa peau, dont il n’est pas prisonnier. Subsiste, au retour, la merveilleuse certitude que l’esprit guide la matière, qu’il existe un aspect de soi qui ne meurt jamais.

Le vrai danger serait de se couper de la réalité, des amis, de son travail. Les expériences spirituelles n’ont guère de portée si elles demeurent sans incidence sur la vie quotidienne. Certains s’investissent totalement dans le sport, les jeux vidéo, ou telle autre passion.  Cela ne dure qu’un temps. Après la fascination, l’exaltation, vient l’heure de la moisson. Cependant, pour les personnes malades, hospitalisées, handicapées ou assaillies de problèmes, la sortie du corps es tune excellente échappatoire, mais non une panacée durable. L’idéal est d’approfondir les techniques de guérison et de communication à distance.

PEUR DE S’EPUISER : Au contraire, en dialoguant avec votre âme, en vous entraînant à rayonner, vous disposerez de beaucoup plus d’énergie. Celle-ci s’éteint lorsqu’elle stagne, et augmente lorsqu’on s’en sert. La sortie du corps n’entraîne pas de dépense d’énergie. La plupart du temps, elle agit plutôt comme un « rechargement » des accumulateurs.

PEUR DE DEVENIR FOU : Au contraire, c’est en luttant contre des forces intérieures que vous risquez de devenir fou. En acceptant les différents aspects de votre personnalité, y compris les aspects invisibles, vous facilitez l’intégration et l’harmonisation. Se situer dans le perspective d’un temps éternel relativise également nombre de difficultés courantes.

PEUR DE MOURIR : Jamais personne n’est mort d’une sortie du corps. On ne meurt que dans la vie physique, de maladie ou par la faute des autres humains (accidents, guerres, crimes). On ne meurt pas dans la vie spirituelle. L’expansion de conscience amenuise la peur de mourir. Le corps redoute l’inconnu ; l’âme est confiante.

PEUR D’ETRE DIFFERENT : Pourquoi faudrait-il suivre les désirs des foules, s’ils ne vous correspondent pas. Vous êtes un être unique, votre destin es tunique, vous vous devez de vous respecter, de tout mettre en œuvre pour votre épanouissement. Si vous ne vivez pas votre différence, qui la vivra. Par ailleurs, vous pouvez arrêter vos recherches, provisoirement ou définitivement, si elles ne vous conviennent pas.

le  blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:MAITRISE, PEUR |on 12 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Connexion avec les praticiens de l’invisible

 

Je souhaite vous parler de mes expériences de guérison et évoquer mes contacts établis avec ces praticiens de l’invisible que j’appelle dans mon livre la guérison harmonique : les thérapeutes supramentaux.

Sur un plan subtil, ils sont en relation avec le quatrième plan de conscience, celui où certaines entités œuvrent pour le soulagement de la souffrance. Je me souviens notamment du témoignage de Maguy Lebrun sur les médecins du ciel et de ses groupes de prière qui poursuivent, encore aujourd’hui, leur action positive aux quatre coins du monde.

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Pour ma part, en tant que « musicien de l’âme », ces connexions sont tellement évidentes quand les voix s’élèvent d’un groupe pour nous relier au cosmos, que je ne ressens pas le besoin de m’initier à telle ou telle instruction particulière pour contacter ces plans liés aux hiérarchies invisibles. La pratique personnelle du chant thérapeutique, les expériences toujours plus profondes réalisées sur la conscientisation des sons, me mettent en relation avec eux, sans que j’en sois toujours conscient, et révèlent naturellement mes énergies de guérison. Bien sûr, on peut aussi supposer que mon chemin actuel – comme celui d’autres chercheurs-musiciens – se place dans la continuité des connaissances accumulées dans mes vies passées, celles qui caractérisent, selon certaines sources traditionnelles, les « vieilles âmes » ! Je ne me considère pas pour autant comme un être d’exception, mais plutôt comme quelqu’un qui a vécu intensément sa part d’ombre et de lumière, et qui a pris, en son temps, des engagements pour aider les autres.

Accueillir et transmettre les énergies

J’ai toujours prôné l’autoguérison, et je continue de le faire, car il n’y a rien de tel que d’être son propre thérapeute et de rester le plus possible autonome face à la maladie, à la dysharmonie. En l’écrivant, je réalise que je touche le nœud du problème : cette capacité inhérente de se guérir ne fait-elle pas un peu peur, ne nous transforme-t-elle pas en apprenti sorcier ? Ne se crée-t-on pas des thérapeutes sur-mesure, des praticiens virtuels issus de notre imagination débridée, avec sous-tendue la représentation allégorique de sauveurs qui nous tireront des affres de l’adversité et du mal-être ? Après tout, si la créativité sans limite de notre imagerie mentale contribue à nous guérir, il n’y a rien à redire, il faut continuer. Ou alors cette capacité que nous avons de recevoir et de transmettre des énergies s’inscrit dans un plan hors norme, qui nous dépasse totalement, pour que nous ne cédions à la tentation de lui donner visages humains. Face à ces interrogations sans fin, lâchons prise tout simplement, laissons-nous porter, laissons-nous guérir. Accueillons les réajustements salutaires du corps et de l’esprit.

Un autre point essentiel est de redistribuer aux autres cette énergie bénéfique que nous avons reçue. En fait, qui que nous soyons, tout est à notre portée, à condition que ce soit le chant de l’humilité qui prévaut sur celui de l’ego, que le don de guérison soit utilisé pour servir les autres en respectant une éthique personnelle stricte.

Saturer l’être de positif

Toujours est-il que ce n’est que par l’expérience réitérée de contacts avec les plans supérieurs que l’incrédulité s’efface, que le pas est franchi. Dans les sphères de l’invisible – puisque nous y sommes – tous les impossibles sont permis ! Quitte à me rapprocher des pensées de pascal, pourquoi ne pas y croire, car quand bien même ça n’existerait pas, on n’aurait rien perdu pour autant ! Ce doute, il est préférable qu’il soit exploité comme accélérateur de guérison et non comme freinateur. N’oubliez jamais qu’il faut saturer l’être de positif pour guérir et je vous assure, pour l’avoir expérimenté personnellement, de l’existence de ces entités, en mesurant bien toute l’énergie de guérison que j’ai reçue d’elles – ou en tout état de cause que j’ai sincèrement supposé venir d’elles – et du travail qu’elles ont accompli sur tous les plans. Est-ce pour autant la suppression de la souffrance physique ou mentale ? – non, pas toujours, mais son acceptation certainement.

Croire ou ne pas croire

Rien ne se fera sans votre adhésion totale au processus de guérison métaphysique mis en place. Dans ce domaine encore plus que dans d’autres, il faut souligner qu’il ne s’agit en aucune façon d’une intoxication mentale, d’une prise de pouvoir psychique ne respectant pas l’intégrité de la personne. Vous restez un agissant et décidez par vous-même de vous connecter, de constater les effets positifs de ce contact et de suivre ou non les conseils qui vous sont suggérés. Petit rappel : si vous, ou une personne à traiter, n’adhère pas au principe même de l’existence de thérapeutes œuvrant sur d’autres plans de conscience, vous pouvez très bien ressentir la présence d’un guérisseur intérieur qui répond toujours à votre demande d’aide, ou encore considérer que vous pratiquez de la visualisation créatrice. D’ailleurs, le lien est étroit entre les phases de visualisation et celles qui aboutissent à la connexion : le passage progressif dans les différents états de conscience modifiés – alpha, thêta, delta – conduit à l’immersion totale et acceptée dans les chants profonds de l’être, à son ouverture, à son déverrouillage. Aborder confiant et serein les soins thérapeutiques, ne plus se protéger, ne plus craindre, ne plus avoir peur, supprimer les verrous inutiles face à l’implacable permanence des forces régénératrices mises à votre disposition, telle est la voie de la guérison.

Etablir une connexion par les huit rayons

Parmi les techniques que je pratique au quotidien et que je transmets dans mes séances individuelles, la connexion par les huit rayons apporte beaucoup de bienfaits. Il s’agit des rayonnements de vos centres énergétiques : les sept chakras majeurs et le hara. Je l’ai vécu sous la forme de huit faisceaux irradiant une lumière blanche de forte intensité. Celle-ci se teinte subtilement d’un violet un peu froid et inhabituel quand ces rayons se connectent aux plans supérieurs. La force qu’ils dégagent peut induire des affects très opposés où se mêlent de la crainte, une perte de repères spatio-temporels compensés par un sentiment intense de gratitude et d’amour universel.
Lors des premiers contacts, peu de souvenirs subsistent de ces rayonnements verticaux et parfaitement alignés qui sont bien vite effacés par le sommeil. Mais après plusieurs connexions, à la première phase de manifestation des huit faisceaux s’ajoute une remarquable transmutation des énergies. 

Effets positifs des connexions

Bien que ces thérapeutes interviennent principalement durant le sommeil profond, j’ai gardé le souvenir, au fil des expériences, de certaines phases de leurs interventions : au niveau énergétique et prânique, ils me faisaient ce que j’ai supposé être des « transfusions », me préconisaient un régime alimentaire à suivre, m’indiquaient le nom d’un médicament… mais leur travail de guérison holistique consistait essentiellement en une « chirurgie » sur les énergies très difficile à décrire, des actes précis réalisés par des mains invisibles. Aucun souvenir d’un contact ou d’un dialogue avec eux, encore moins de leurs visages ou de la couleur de leurs yeux, rien que des formes translucides penchées au-dessus de moi et nimbées d’un halo doré.

Au réveil et les jours qui suivirent, l’amélioration de l’état de santé était perceptible : les douleurs s’atténuaient ou disparaissaient, la pesanteur souvent ressentie dans une zone en souffrance s’était gommée ou allégée, enfin une force vitale inhabituelle m’habitait en permanence.

Toutefois, ces aides ne vous dispensent pas pour autant d’arrêter vos traitements médicaux ou de vous dire : « miracle, je suis guéri ! ». Non, il faut continuer à se soigner en étant assuré d’un soutien métaphysique puissant qui peut être réactivé à tout moment quand le besoin s’en fait sentir.

Affronter ses zones de turbulences

Sans titreIl arrive que pendant une connexion, le sommeil soit particulièrement agité par des images effrayantes, des sons vécus comme désagréables, des êtres qui s’interposent, qui prennent la parole avec des mots durs, chargés de reproches, de mise en garde. S’il est parfois nécessaire de pousser le potentiomètre un peu plus à fond pour vous faire comprendre qu’il y a urgence à réagir, il n’est pas dans le rôle de ces « chirurgiens » des énergies de vous traumatiser mais plutôt de vous apporter une aide efficace en corrigeant les défaillances de vos corps subtils. Mais en opérant sur vos enveloppes sensibles, ils dégagent de grandes quantités d’agrégats psychiques : des nœuds résiduels qui raniment des sentiments enfouis, des blessures de l’âme en étroite relation avec votre vécu. C’est donc une foultitude de « personnes » qui prennent la parole : en son temps, vous les avez bâillonnées, frustrées, effacées ; elles se rappellent aujourd’hui à vous, non dans l’espace spatio-temporel de leur vie présente mais dans celui qui était le leur au moment où vous les avez connues. Vous les aviez « gelées » dans les tréfonds de votre inconscient, l’exérèse de l’agrégat psychique leur permet aujourd’hui de s’exprimer.

Bien sûr, il n’est pas exclu que ce processus de régression puisse atteindre des zones karmiques en relation avec vos vies passées, ou encore que des entités s’interposent pour que ne vous franchissiez pas certains portails pour lesquels vous n’êtes pas suffisamment préparé. Imaginez votre vie si vous étiez conscient de tous les actes de vos existences antérieures. Seriez-vous plus heureux pour autant ? – je ne le pense pas. Chacun a sa place définie dans l’univers et dans les différents mondes sans qu’il soit toujours nécessaire de lever tous les coins du voile. Le chant thérapeutique, associé aux techniques de connexion, est là pour ça : vous apporter de la lumière, vous replonger dans vos résonances, juste ce qu’il faut, pour ne plus subir la vie, mais la chanter dans toutes ses tonalités intérieures.

Par Philippe Barraqué
thérapeute de la voix, musicologue

© 2007 – tous droits réservés pour tous pays

La guérison harmonique – Philippe Barraqué (Editions jouvence)

Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MAITRISE, POUVOIR |on 9 mars, 2016 |Pas de commentaires »

MANDALAS – YANTRAS et SYMBOLISME

Les mandalas et les yantras sont extérieurement des diagrammes rituels utilisés dans le Vajrayana (ou  bouddhisme tantrique), chacun d’eux représentant un univers symbolique perçu selon la perspective sacrée d’une médiation.

Nées en Inde, la théorie et les techniques liées à l’élaboration du mandala se sont transmise au Tibet par une lignée ininterrompue de maîtres et des disciples depuis le VIIIè siècle. De nos jours, les lamas enseignent comme ils l’ont toujours fait, et l’actuel dalaï lama, parmi d’autres, maintient cette tradition d‘enseignement.

mandalas

Un mandala comporte un palais sacré au cœur duquel réside la déité, et la forme du mandala bouddhiste ressemble au modèle architectural des temples hindou. Pour accéder au sanctuaire où se trouvent les statues divines à adorer, les fidèles hindous suivent un parcours indirect dans le temple, à travers des cours aux différents emblèmes divin, pour finalement parvenir au sanctuaire du dieu principal, où ils contemplent enfin la présence divine et s’y absorbent.

Mais si la forme du palais d’un mandala ressemble à cela, sa fonction est quelque peu différente. Au cours de l’utilisation, l’entrée symbolique dans le mandala se fait par l’une des quatre portes situées dans les directions cardinales. Chaque direction est liées à une « famille de Bouddha » : Diamant (vajra) à l’est, Joyau (ratma) au sud, Lotus (padma) à l’ouest et Action (karma) au nord.  Chaque disciple visualise qu’il entre par la porte convenant à ses propres qualités ou défauts à transmuter. Ainsi vajna (Diamant) à l’est, est lié au tempérament colérique. Une fois dans la cour du palais, il peut être initié aux aspects extérieur, intérieur et secret de la déité, et le maître lui révèle qu’elle n’est autre que sa vraie nature éveillée.

près l’initiation, le maître confère au disciple les instruction de la pratique (sadhama). L’étudiant s’appliquera alors à pratiquer le sadhana (chemin spirituel) de la déité. Par une visualisation élaborée, il sera amené à faire l’expérience de sa vraie nature identique à la déité. Quand il se sera visualisé comme la déité, toute sa vision du monde sera transformée en vision pure, et c’est là la vraie signification du mandala.

Mandala se dit en effet kyilkhor en tibétain. Kyil est le centre, c’est à dire la déité. Khor est ce qui l’entoure, l’environnement perçu comme le palais de la déité. Le pratiquant purifie ainsi sa vision ordinaire ou « vision karmique » en vision pure et transforme ses passions en la sagesse correspondante.

Le terme mandala est utilisé dans plusieurs contextes et rituels. A un niveau simple, le schéma du mandala marqué de syllabes mystiques, mantras et dharamis, est utilisé comme talisman protecteur par les bouddhistes tibétains. Consacrés et portés sur le corps dans un petit reliquaire ou une amulette, ces charmes variés apportent chance ou santé, ou bien défendent contre les infortunes naturelles ou surnaturelles. Mis sur le cœur d’un mourant, ils l’aident à se libérer dans l’après-mort.

Un autre genre de mandala est celui que l’on offre rituellement à l’occasion des initiations ou des préliminaires tantriques ; en écho à la donation trois répétée de l’Inde au sangha par l’empereur Ashoka, les pratiquant offrent symboliquement l’univers entier aux bouddhas sous la forme d’un mandala. Sur un plateau circulaire, l’officiant dépose de petits tas d’offrandes, riz, pierres précieuses ou poudre d’or, en énumérant les trente sept points de description symbolique de l’univers, le mont Méru, les autre continents, les possession d’un roi universel, etc. et offre le tout aux bouddhas visualisés devant lui. Cette offrande est la pratique du donc et une accumulation de mérites.

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Le schéma du manda fut aussi utilisé dès les origines du bouddhisme tibétain à une tout autre échelle. Quand le roi Trisongdetsen voulu faire édifier le monastère de Samyé, au sud est de Lhassa au VIIIè siècle, les déités locales se déchaînèrent, dit-on pour contrecarrer le projet. Afin de les subjuguer et de créer un espace sacré. Padmasanbhava traça sur le sol un mandala des cinq dhyani-bouddhas. Sur cette base, on édifia le monastère, lui-même sous la forme d’un mandala circulaire.

Les monastères de Lhassa furent également bâtis sur ce modèle. Au centre figure la colline rouge, avec le palais royal, qui devint plus tard le Potala des dalaï-lamas. Aux coins d’un carré abstrait qui s’étend à travers la capitale, trois autres monastères furent bâtis. Le plus vieux et le plus sacré d’entre eux est le Jokhang, construit « sur le cœur d’une démone couchée sur le dos ». Cette démone représente les forces spirituelles hostiles du Tibet pré-bouddhique. Les monastères et les stupas bâtis sur ses membres la clouent au sol, l’empêchant de nuire au dharma.

LES SYMBOLISMES DU MANDALA

Le Tantra est la voie de la transformation, et les éléments du mandala symbolisent le renversement du samsana en nirvana. Le samsara n’est que le fruit de l’ignorance. Par ignorance, les êtres sensibles créent la dualité entre un monde « extérieur » et leur « moi », et entrent en contact avec ce monde par trois biais : l’ignorance, le désir et l’agression. Puis quantité de passions secondaires les poussent à agir égoïstement. Leurs actes créent ainsi du karma. Chaque acte est une cause qui produit un effet de même nature et laisse dans la conscience une empreinte qui va rejoindre d’innombrables autres empreintes d’actes passé. Ces traces karmiques conditionnent leur perception du monde ne leur voilant la réalité.

Mandala1_detailPar la pratique, notre perception karmique impure est purifiée et transformée en vision de la réalité telle quelle. Cette transformation est possible parce que, ultimement, la vision grossière des êtres sensibles (samsara) et la vision pure des bouddhas (nirvana) sont de même nature.

Le pratiquant s’applique à la visualisation de déités dans un environnement pur, le mandala. Dans les Tantras « supérieurs », il se visualise lui-même comme la déité avec tous ses attributs, divins et perçoit son environnement transformé en un palais divin. C’est le niveau du mandala extérieur. Puis il considère dans son corps le mandala intérieur, formé de canaux subtils (nadi) et de roues (cakras) ou circulent les souffles internes (prana) et les énergies (indu). Par les yogas, il transmute son corps ordinaire en corps de vajra. Du point de vue tantrique, ses cinq agrégats (skandhas, sont les cinq dhyani-bouddhas [bouddhas de méditation], ses cinq élément sont les cinq Youm des Dhyani-Bouddhas. A l’intérieur de son corps se déploie le mandala des déités. Un troisième niveau de mandala est le mandala secret de l’esprit. Les cinq passions (stupidité, colère, désir, orgueil et jalousie) ne sont autres que les Cinq Sagesse en potentiel.

 

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Publié dans:HOLONS, MAITRISE, MEDITATION |on 5 mars, 2016 |Pas de commentaires »

Ne laissez personne vous dire ce que Dieu fera ou ne fera pas

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Certains nous diront que l’Esprit ne nous mènera jamais en des lieux sombres et effrayants durant notre vie. Eh bien, ceux qui proclament cela n’ont pas étudié l’histoire spirituel de cette planète et ignorent, de ce fait, comment Dieu s’est conduit avec nous depuis des éons. Selon presque toutes les religions terrestres écrites, la crainte fut intégrée dans les leçons des hommes et des femmes célèbres, et ce depuis l’aube des temps.

Bouddha en parle clairement dans ses divers enseignements. Mahomet eut à éprouver la peur à diverses reprises, dans sa vie, ce qui mit sa foi à l’épreuve et le fit progresser spirituellement. Sur la croix, Jésus l’énonça et, plusieurs purent l’entendre en même temps qu’il se préparait aux vibrations de l’Ascension. Un maître contemporain, Paramahansa Yogananda, a lui aussi clairement enseigné cette notion. Au temps de l’ancienne énergie, les épreuves de Job son légendaires ; pouvons-nous imaginer la terreur d’Abraham au moment de mettre à mort son fils unique ? Toutes ces épreuves étaient envoyées par un Dieu d’amour.

La crainte représente un instrument d’amour et d’honneur. Transmuer la crainte est récompensé par une élévation de la fréquence vibratoire. Ne laissons personne nous dire ce que Dieu fera ou ne fera pas. C’est encore le meilleur moyen de définir une nouvelle forme de croyance religieuse. Utilisons notre propre capacité de discernement et jetons un coup d’oeil sur notre histoire.  Aujourd’hui, l’Esprit n’utilise pas la crainte de la même façon que durant l’ancienne énergie, mais elle demeure l’un des meilleurs outils de développement qui soient.

Lorsque nous déciderons consciemment de mettre fin à ces situations, les autres personnes concernées comprendront que le défi est terminé. Nous pouvons comparer ces situations à un match de tennis. Aussi longtemps que nous nous efforcerons de renvoyer la balle, la partie continuera sans cesse. Le jour où la partie est terminée et que nous n’apparaissons plus sur le court, la partie est arrêtée pour chacun de nous. L’autre joueur peut bien continuer à se présenter sur le court, il ne se passera guère de temps avant qu’il ou elle se rende compte que son service n’est plus retourné et que notre énergie est absente du court. Cette personne saura que nous avons changé.

Il n’y a pas d’amour plus grand, c’est grâce à l’autorité de notre esprit et à sa vision d’ensemble des problèmes qu’il nous est possible de transformer en amour tout ce qui arrive dans notre Famille.

Croyez-vous qu’il existe une personne qui ne puisse jamais vous aimer ou à qui vous ne puissiez pardonner ? C’est une situation voulue. Elle se tient en permanence devant vos yeux et vous demande chaque jour de la corriger. Elle vous dit : « Tu ne peux pas progresser sur ce plan terrestre tant que tu n’auras pas réglé ce problème ». Grâce à l’amour, elle vous supplie de co-créer la joie dans cette situation difficile. Vous n’avez même pas à impliquer quelqu’un d’autre directement. Tout ce que vous avez à faire, c’est d’apporter des corrections en vous-mêmes.

Lorsque vous procéderez ainsi et que vous ressentirez une sincère clémence, une compréhension et de la tolérance pour l’autre personne, surveillez bien ce qui lui arrivera. Car elle comprendra que le karma l’a libérée et elle prendra du recul vis-à-vis de ses croyances.

Outre les sources de conflits, la mort est également familière à toute l’humanité et elle représente un outil fort utile que nous avons créé pour faciliter notre développement aussi difficile que cela puisse être. Certains trouvant une mort injuste, bien qu’en réalité cela n’existe pas. Il s’agit d’instants qui, pour certains parmi nous, sont encore très présents, au cours desquels un jeune être cher est décédé. Peut-être même cet enfant est-il notre fils ou notre fille, ou bien notre sœur ou notre frère. Non, ce ne fut pas un gâchis. Car durant la divine et suprême séance d’organisation, avec notre consentement, cette personne nous a dit que lorsque le moment sera venu, la façon dont il nous quittera et ce que nous ferons de sa mort représentera notre mise à l’épreuve.

J’ai vécu cette expérience, et j’ai compris que l’on avait le choix ; soit nous pouvons nous lamenter pendant le reste de notre vie et nous considérer comme une victime, nous épuisant à prononcer son nom à longueur de journée, soit nous pouvons remercier pour le présent de l’amour et décider de ce que nous allons faire avec nos émotions. C’est le moment où notre vie est prête pour le changement. L’Esprit comprend nos sentiments humains : il n’y a donc pas de mort inutile. L’amour est toujours présent même s’il nous est difficile de le distinguer. Les êtres que nous avons perdus son toujours parmi nous. Ils ne sont pas partis. Leur énergie s’est transformée en amour dans le but d’élever le niveau vibratoire de cette planète.

Réservons-lui une place parmi nous, une chaise vide peut-être, et annoncez à chacun qu’il est toujours présent. C’est l’un des plus puissants attributs de l’Esprit qui nous est transmis, sans altération depuis l’au-delà.

Les êtres humains, laissés à eux-mêmes et ignorant la nature de l’épreuve, sauront-il engendrer une vibration supérieure. Chacun des éléments qui nous composent, chaque molécule, appartiennent à la Terre. Nous sommes entourés d’aides innombrables – plusieurs fois le nombre d’humains existant ou ayant existé sur la planète et qui sont là pour nous soutenir. Il s’agit là du lien Amour/ Terre.

Dieu ne juge pas, il ne fait qu’honorer. 

Francesca du blog : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ASCENSION, DEVELOPPEMENT, ENERGIES, MAITRISE |on 6 février, 2016 |Pas de commentaires »

Une seule énergie durable, stable et quantique, sur la planète

 

Regardons une expérience qui date de plus de 10 ans, en Écosse. Il y avait un physicien et un médecin. Le médecin est le Dr Todd Ovokaitys, un collègue de mon partenaire. N’est-ce pas une coïncidence étrange ou un drôle de hasard, de voir que ces deux hommes se soient rencontrés au cours de leurs incarnations actuelles (sourire de Kryeon) ? Le physicien et le médecin ont été les premiers à co-développer un événement quantique, durable, cohérent, contrôlable et reproductible. Ils ont créé une énergie quantique durable [ sorte de "mouvement perpétuel"], qui peut être reproduite et utilisée à volonté. Ils l’ont fait en opposant des énergies laser et déphasées, à travers ce que nous appellerions « un arrangement quantique de lentilles holographiques ». Il s’est produit un changement du temps réel. Cette « soupe cohérente et quantique », bien que très petite, est contrôlable. Elle peut être recréée, manipulée et livrée à volonté.

LEE 2015

Ils ne sont pas les premiers Êtres Humains qui ont réussi à créer de l’énergie quantique sur votre planète. Cependant, ils sont les premiers qui ont réussi à le faire avec une formule précise, ce qui fait que cette expérience peut être répétée autant de fois que vous le souhaitez. Le premier Être Humain qui a réussi à le faire était Nikola Tesla. Hélas, il ne pouvait pas déterminer la formule précise pour ce faire, car il n’avait pas le support informatique que vous avez actuellement. Pourtant, avec toutes ses multiples expériences sur le magnétisme, il avait parfois vu la preuve de cette énergie quantique, mais il faisait tellement de « soupes différentes » qu’il ne se souvenait plus des sortes et de la quantité des ingrédients qu’il avait placés dans cette soupe.

Suite à cette expérience d’il y a 10 ans, ce médecin et ce physicien ont mis le facteur quantique en évidence, car ils ont appliqué leur découverte [ou recette de soupe quantique] à la biologie. Chaque fois qu’ils ont imprégné cette énergie dans un test ou une expérience biologique, ils ont obtenu une guérison ! Pensez-y. Selon vous, est-il possible – sur cette planète – que vous en arriviez à développer une sorte d’énergie qui, lorsque vous la dirigez vers quelqu’un, il guérisse ? Quelles sont les chances que cela se réalise ? C’est comme lancer mille fois les dés et toujours avoir des 6. Commencez-vous à percevoir l’image globale, le plan d’ensemble ?

Lorsque cette énergie quantique pourra être reproduite dans d’autres laboratoires, il y en aura qui vont chercher à en faire une arme (il en est toujours ainsi). Je peux vous affirmer que ce sera la première énergie spécifique dont il ne sera pas possible d’en faire une arme. Peut-on dénaturer une énergie et en faire une arme ? Cependant, dans le cas de l’énergie quantique, c’est impossible, puisqu’elle a une attitude de bienveillance, sans compter le fait que votre science physique et vos astronomes commencent à penser qu’elle est « peut-être » intelligente. Alors, que dites-vous de tout ceci ? Cela devrait vous faire voir qu’il y a quelque chose qui se passe dans les « hautes sphères de la physique ». Quelque chose qui va bien au-delà des règles, lois et attributs de la matière.

Avec le temps, le facteur quantique sera éventuellement découvert, sur cette planète. Lorsque ce sera chose faite, il sera très controversé, puisqu’il ira à l’encontre de la logique 3-D et de la façon dont les choses fonctionnent, selon la méthode scientifique. La réalisation de cette oeuvre a été difficile. Les âmes expérimentées qui sont en face de moi, ou en train de lire ces lignes, se sont dévouées, pour que l’humanité puisse enfin constater la présence de cette énergie incroyable. Elles ont pataugé pendant de multiples réincarnations, afin de réaliser cette bénédiction bien méritée. Si, en tant que scientifique, vos recherches et expériences vous donnaient l’impression qu’il y a une sorte de chose, une force ou une énergie qui semble « penser par elle-même », que feriez-vous ? Si, le magnétisme, la gravité et la lumière, pouvaient être harmonisés d’une manière quelconque, afin que cet agencement puisse créer des guérisons, sans jamais devenir une énergie destructive, que feriez-vous ? Ce phénomène va provoquer la redéfinition d’une partie des forces fondamentales de l’Univers. La planification intelligente est seulement le premier phénomène de cette force ou de cette énergie intelligente. Pourtant, même aujourd’hui, les astronomes et physiciens pensent encore qu’il s’agit d’une anomalie.

Cette dite « anomalie » sera la prochaine grande découverte sur votre planète. Elle vous était inaccessible parce qu’il fallait que le niveau de conscience soit plus élevé, afin que la compréhension 3-D puisse réaliser sa présence. Lorsqu’une planète atteint le niveau de conscience où elle peut découvrir l’énergie quantique, elle est en mesure de l’utiliser. Si vous alliez sur l’une de ces planètes, vous sauriez que vous pouvez rencontrer des entités qui ont un haut niveau de conscience. Pourquoi nous aurions-vous parlé de tout ceci, avant que des entités incarnées – sur votre planète – aient atteint ce niveau de conscience ? Ç’aurait été une perte de temps, en plus de, peut-être, créer des frustrations. Sachez que le facteur quantique contient le secret des voyages interplanétaires, car ceux-ci ont de multiples enchevêtrements, des états qui semblent inextricables. Il y a de nouvelles manières d’agir, qui sont fonctionnelles, mais vous n’y aviez jamais pensé auparavant, car votre niveau de conscience n’était pas assez élevé. Vous pouvez désormais jeter vos « navettes spatiales ». Vous êtes sur le point de franchir un grand pas – dans ce domaine.

L’ADN est une force quantique

Passons maintenant à l’infiniment petit. Il y a plus de 10 ans, Vladimir Poponin, un scientifique russe, a utilisé la lumière, lors d’une expérience sur une molécule d’ADN. Grâce à cette expérience ou test de laboratoire, il a découvert un champ multidimensionnel, autour de la molécule d’ADN. La lumière s’est modelée par elle-même, dans une équation mathématique (onde sinusoïdale), en présence de l’ADN. Il a découvert que l’ADN avait un champ quantique. En outre, ce champ quantique était en quelque sorte, rempli d’informations. Si l’ADN n’avait pas été présent, comment le modèle du champ lumineux aurait-il pu se transformer en une onde sinusoïdale ? N’oubliez pas que ces informations proviennent d’un biologiste quantique, non pas de Kryeon. Pourtant, nombreux sont ceux qui doutent que cette expérience se soit déjà réalisée, car elle montre quelque chose qu’aucun Être Humain n’avait pensé ou espéré. Il y en a d’autres qui ne veulent tout simplement rien savoir du fait que ce vrai biologiste quantique ait réalisé une telle expérience ! Ils ont choisi de reléguer toutes ces informations aux oubliettes du Nouvel-Âge, au lieu de la science. Il est toujours intéressant de constater ce que les Êtres Humains font avec la science, n’est-ce pas ? Si ça ne cadre pas avec le modèle 3-D de leur réalité, alors ils nient son existence.

Lorsque le génome humain a été complètement transcrit, chaque particule chimique a été vue ou identifiée. Les chiffres sont mirobolants, car, dans une molécule, trop petite pour être vue sans un microscope électronique, il y a plus de 3 milliards de particules chimiques ! La double hélice est plus complexe que vous ne le pensez. Cette molécule est assez petite pour être qualifiée comme faisant partie de l’état quantique, et Vladimir Poponin a montré qu’il avait fait un champ autour d’elle, même s’il y avait une seule petite molécule d’ADN.

Ceux qui ont créé le Projet Génome Humain ont voulu savoir comment les 3 milliards de particules chimiques de l’ADN créent plus de 26 000 gènes dans le corps humain. Sachez qu’il y a plus de gènes que cela, mais j’utilise les chiffres des scientifiques au lieu des miens. C’est ce qui les intéressait. Ils n’ont pas vu l’état quantique de l’ADN, même si, dans la science relative à l’ADN, la logique crie de toutes parts qu’elle se doit d’être quantique. Ce n’est pas ce qu’ils cherchaient. Au lieu de cela, ils ont compté les particules chimiques et cherché des codes. Ils les ont trouvés, dans un arrangement très bizarre.

Ils ont découvert que dans les 3 milliards de particules chimiques de la double hélice d’ADN, tous les gènes étaient créés dans les parties des protéines codées de l’ADN. Trois et demi pour cent de l’ADN créait tous les gènes. Plus de 90 % de la composition chimique de l’ADN semblait être aléatoire. Il semblait complètement inutile, selon ce qu’ils pouvaient voir ou comprendre. Même à ce jour, la science ne voit pas ce qui est évident ; c’est-à-dire que le 90 % est quantique et le 3,5 % est linéaire.

Aujourd’hui, vos physiciens quantiques ont souvent affaire à dix dimensions, plus le temps (11 dimensions), dans le genre le plus populaire de la physique multidimensionnelle ; la théorie des cordes [string theory]. Si vous leur demandez à quoi ça ressemble, les réponses contiendront des mots tels que : chaos, arrangement aléatoire, etc. C’est ainsi que fonctionnent les champs quantiques. Ils sont pleins de potentiels, au lieu d’être « pleins de lois et règles absolues ». En outre, ils varient selon une foule de facteurs… Incluant celui de la conscience des Êtres Humains. Un jour viendra où l’on réalisera qu’il y a une forte possibilité que l’ADN soit dans un état quantique, même si c’est une molécule biologique. Ceci va aller à l’encontre de la loi de « volume ou taille », dans l’état quantique. L’ADN est majoritairement quantique, et il a également un effet sur le spin [rotation] des atomes qui entrent dans son champ. Ensuite, la prochaine question sera :  » Quelles sont les informations contenues dans le 90 % d’ADN qui est quantique? »

Nous arrivons maintenant à la vérité de base, n’est-ce pas ? Alors, je vais vous la dire. La partie quantique du 90 % de l’ADN est deux choses à la fois. Elle est pleine d’informations ésotériques et intemporelles. C’est le modèle original et quantique de tout ce que vous avez été et de tout ce que vous êtes, depuis votre première incarnation sur cette planète. Votre ADN individuel contient des séries d’instructions utiles à votre incarnation actuelle, puisque chaque incarnation individuelle a été enregistrée dans votre propre cristal des Archives akashiques. L’on pourrait dire que c’est la semence de l’empreinte créatrice et bienveillante de toute la Création elle-même. Tous vos talents sont là : expériences de vie, connaissances, sagesse, etc., même si ces choses ne sont pas visibles ou actives dans votre incarnation actuelle. Toutes les prédispositions à X, Y ou Z sont enregistrées là. Bref, les instructions de chaque cellule-souche sont là.

Vous êtes-vous déjà demandé à quel endroit les cellules souche obtenaient l’information nécessaire à la « fabrication d’un corps humain » ? Cette information provient du 90 % de l’ADN qui est quantique. Pourquoi est-ce qu’un ADN quantique individuel crée-t-il un corps physique plus faible ou plus fort que les autres ? Pourquoi est-ce qu’il y a des prédispositions pour certaines maladies, dès la naissance ou un peu plus tard ? Je vais maintenant vous donner des informations à ce sujet. Ainsi, vous serez en mesure de comprendre ce qui suivra. Ce sera peut-être l’attribut le plus important de l’information biologique que nous ayons jamais présentée.

KRYEON – sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ Extraits du channeling « Le facteur quantique – La physique avec une attitude », 10 avril 2011 - 

Publié dans:ADN, CHANNELING, ENERGIES, MAITRISE |on 17 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

PEUT-ON CONNAITRE LE FUTUR

 

 Les scientifiques qui ont étudié les prémonitions avec grand sérieux répondent : OUI ; c’est ce que le Dr Larry Dossey développe dans son livre The Poxer of Premonitions (sur internet dans Google-Books – extraits d’une interview dans le site mercola.com).

Prémonition : signifie littéralement « avertissement à l’avance ». Nous avons tous des prémonitions. Souvent elles annoncent quelque chose de désagréable ; problème de santé, décès, catastrophe naturelle, mais parfois aussi des choses positives ; promotion dans le travail, la seule place de parking qui reste, ou même les numéros gagnants de la loterie…

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Elles se manifestent souvent sous la forme de rêves, comme dans l’exemple suivant. Amanda, jeune mère de famille, se réveille en pleine nuit. Elle a rêvé que, dans la chambre voisine, le lustre s’est décroché et a écrasé le bébé dont le berceau était en dessous, tandis qu’une horloge indique 4 h 35 et que la pluie et le vent frappent la fenêtre. Inquiète, elle secoue son mari qui lui dit de se rendormir, ce n’est qu’un rêve, il ne pleut pas … Mais Amanda va chercher le bébé et le garde avec elle. Quelques heures plus tard, un bruit très fort se fait entendre : le lustre est tombé sur le berceau, la pendule indique 4 h 35 et la fenêtre est battue par le vent et la pluie.

Les prémonitions peuvent aussi être de simples « Impressions » plus ou moins conscients, signalant que quelque chose ne va  pas, ou va se produire, ou qu’il faut faire attention à ceci, ou agir comme cela … On peut apprendre à les déceler et à en tenir compte.

Depuis deux décennies, les scientifiques se sont penchés sur la question. Des centaines d’expériences ont été menées, reproduites par des chercheurs dans le monde entier, confirmant la réalité des prémonitions. Ces expériences sont de nature à secouer les préjugés des sceptiques. Nous savons maintenant qu’on peut voir le futur, parce que c’est ce que des études scientifiques très soignées prouvent : des centaines d’études du phénomène pré-cognitif de « vision à distance », des études sur les pressentiments, des textes de prémonitions sur Internet… Le taux de probabilité expliquant les résultats positifs de ces études par l’intervention du hasard est de un sur un milliard.

Prenez par exemple les expériences sur les pressentiments faites sur le pionnier Dean Radin, chercheur en sciences cognitives. Une personne est assise devant un ordinateur qui lui présente une suite d’images tirées au hasard d’une très vaste collection. Ces images sont de deux types ; calmantes ou violentes. Les images calmantes peuvent être de charmantes scènes de nature ; les images violentes représentent la mort, des carnages, des autopsies, etc … Le sujet est relié à un circuit enregistrant une fonction physiologique, comme la conductivité électrique de la peau ou le diamètre de la pupille. Surprise et choc ; l’enregistrement montre que la fonction physiologique change quelques secondes avant que l’image soit sélectionnée au hasard par l’ordinateur et affichée sur l’écran. Et ce changement est beaucoup plus fort si l’image montrée est de nature violente. Comment le corps peut-il savoir qu’elle image va être montrée dans le futur ?

Ces études démontrent que nous avons une capacité inconsciente, inscrite en nous, de connaître le futur. D’une manière où d’une autre, le corps « sait » avant que notre prise de conscience se fasse. La plupart des chercheurs pensent que les prémonitions sont reliées à la survie et à l’évolution de l’espèce. Si vous savez que quelque chose qui menace votre vie est sur le point d’arriver, vous avez une chance de l’éviter, cela augmenterait votre chance de rester en vie et de vous reproduire.

Question ; si des gens peuvent voir le futur, pourquoi ne deviennent-ils pas riches en jouant en bourse .

Réponse ; quelques-uns le font. Bill Gates, Oprah Winfrey, Donald Trump affirment que leurs prémonitions les guides en affaires. Georges Soros a toutes sortes de théories pour soutenir ses décisions financières, mais son fils affirme ; »La vraie raison pour laquelle il change sa positon en bourse ou ailleurs, c’est que son dos commence à lui mal. Pour lui, c’est le premier « signal ».

Les chercheurs ont testé les capacités de voir le futur chez des PDG d’entreprises en plein essor. Un exercice consiste à prévoir une suite de chiffres qui va être montrée plus tard ; Les PDG qui ont de bons scores à ce test sont généralement ceux qui réussissent le mieux dans la gestion de leur entreprise. En d’autres termes, leur capacité de prémonition est corrélée avec leur succès professionnel. Ainsi, les expérimentateurs ont pu prévoir quels seraient les meilleurs bilans annuels d’entreprises en voyant les résultats de leurs PDG sur ce type de textes. Or, c’est quelque chose qui ne dépend ni de la raison, ni de la logique ; Vous ne pouvez pas « analyser » pour savoir ce qu’une suite de nombres choisis au hasard va être… Pour ces PDG, le mot politiquement correct pour « prémonition » est « intuition des affaires ». Dans d’autres expériences, les sujets utilisaient leurs prémonitions pour gagner des sommes d’argent en bourse ; l’une de ces expériences a fait la une du Wall Street Journal.

Alors qu’est-ce qui empêche les gens de devenir riches ? L’auteur répond : le facteur de limitation semble être l’avidité. Quand les sujets se concentraient pour gagner des sommes modestes, ça marchait. Quand ils devenaient trop gourmands, l’expérience échouait. Dans le cas des événements de Wall Street en automne 2008, des experts affirment que la principale cause de l’effondrement a été une avidité sans limite.

Sur le blog de Francesca  http://channelconscience.unblog.fr/

Extrait du journal L’Ethérien mensuel d’informations composé d’un éditorial, d’actualités internationales, de conférences d’IJP. Appel Guéry, d’articles écrits par les membres de l’Institut, de commentaires, de témoignages, d’informations et d’annonces

Les âmes expérimentées

 

jugementbLes âmes expérimentées vont entrer plus rapidement dans cette nouvelle énergie. Vous êtes peut-être l’une de ces âmes ayant mérité et acquis de la sagesse sur cette planète, et vous commencez à changer. Les Êtres Humains qui font partie de votre environnement vont le voir dans vos actions et attitudes. Il y aura peut-être un changement dans votre nature humaine. Ils diront :  » Tu as quelque chose que j’aimerais avoir !  » Que leur répondrez-vous ?

Vous n’aurez jamais besoin de leur donner un livre de Kryeon ! Vous n’aurez jamais à dire un mot au sujet de votre système de croyance, car ils regarderont vos actions et paroles avec les Êtres Humains. Ils verront votre amour inconditionnel envers des personnes qui sont apparemment peu aimables. Ils verront que vous vous souciez des personnes auxquelles vous n’aviez pas porté attention auparavant.

La nature humaine est de plus en plus bienveillante. Vous commencez peut-être à le constater, dans des secteurs où vous n’auriez jamais pensé voir une telle attitude. Les attitudes des politiciens vont commencer à changer. La façon dont vous faites des affaires commence à changer. Les relations personnelles deviennent plus paisibles et moins acerbes. Oh, chers Êtres Humains, il y en aura toujours qui sont déséquilibrés ! Il y aura toujours des choses que vous ne pouvez pas contrôler. Il y aura toujours le libre choix humain, et les prisons. Il y aura ceux qui s’incarnent sur la planète pour la première fois, et qui n’ont pas la moindre idée du fonctionnement des choses de la vie, sur Terre, et qui « semblent » toujours agir d’une manière inappropriée. Vous l’avez fait, lors de vos premières incarnations. Je parle d’un changement global de conscience qui se fera lentement. Cependant, les âmes expérimentées seront les premières à le constater, et ce sont elles qui vont finalement réaliser ce grand changement.

Il y a un lignage dans la salle. Il ne s’agit pas seulement de l’une de vos nombreuses vies mais plutôt de la sagesse qui vous amène à être ici ou en train de lire ces lignes. Les questions que vous posez au sujet de la conscience sociale et de la Terre sont empreintes de sagesse. Vous dites :  » Quand allons-nous tirer les leçons ?  » Eh bien, c’est commencé, mais vous devez voir les problèmes, avant de poser cette question, non ? Il y a une énorme masse de sagesse, assise ici – dans cette salle. La ressentez-vous ?

Donc, chers Êtres Humains, vous avez la possibilité de commencer à revenir à une énergie que vous pensiez avoir perdue. Une énergie où les êtres humains peuvent s’autoriser à vivre plus longtemps, sans détruire l’environnement. En outre, vous ne souffrirez pas de surpopulation, car vous serez en mesure de la gérer intelligemment et avec sagesse, au lieu d’adopter des lois désuètes et irrationnelles.

Un beau jour, vous rencontrerez des semences d’étoiles… Vos soeurs et frères de la famille des Pléiades. En fait, cette famille est ici – en ce moment – puisqu’elle est dans le domaine quantique. Vous avez des ancêtres Pléiadiens qui vivent très longtemps – dans une planète [in a planet] – car ils ont franchi l’étape qui est actuellement devant vous. Ils ont développé le facteur quantique. Ils ont également développé la bienveillance et l’énergie quantique. Voilà pourquoi ils peuvent venir ici instantanément, sans jamais déranger ou faire de l’ingérence dans votre libre choix. C’est aussi la raison pour laquelle ils n’atterrissent pas sur votre planète, afin de vous dire :  » Allô !  » Au lieu de cela, ils s’assoient en coulisse et célèbrent ce que vous avez accompli. Ils attendent, avec vous, pour célébrer le solstice de décembre 2012… Le point situé à mi chemin de ce changement de 36 ans dans lequel vous êtes engagés.

Avant de terminer, chers Êtres Humains, nous allons à nouveau vous dire que c’est un processus lent. Nous l’avons vu auparavant. Il arrive à travers les générations, à travers les enfants des enfants des enfants. Ce n’est pas quelque chose que vous allez voir aussi rapidement que la lumière d’une ampoule de flash. Il peut y avoir certaines choses qui vont faire marche arrière pendant un moment, avant de repartir vers l’avant. Toutefois, si vous regardez ensemble, ce sera comme la basse vitesse d’un navire dont le gouvernail est tenu par la sagesse. Ce navire se dirige lentement, mais sûrement, vers un temps où la haine sera une chose peu habituelle. Elle ne pourra plus se draper dans la culture ou la religion. C’est parce que l’énergie quantique est bienveillante, et les humains commencent à le voir.

Et voilà ! C’est la vérité de ce jour. C’est l’énergie de cette journée. Ce sont les potentiels que je vois, en ce moment, et c’est pourquoi nous vous apportons ce message. En partant d’ici ou en terminant cette lecture, vous aurez changé un peu. Vous en connaîtrez un peu plus, au sujet de qui vous êtes, de ce que vous avez accompli, et de ce qui est devant vous.

Je suis Kryeon, un amant de l’humanité. Et c’est ainsi.

Extraits de LES SEPT GRANDES ILLUSIONS HUMAINES DE DIEU sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME, ENERGIES, MAITRISE |on 14 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

La pierre cubique, un symbole alchimique et cabalistique

 

pierre cubique
 

La Pierre Cubique est le symbole de l’Homme dans son évolution. L’Homme du Commencement, l’Homme avant l’involution est la pierre brute. L’Homme à la fin de son évolution est devenu la pierre polie. La Qabal dit que l’Homme, le microcosme, est en petit la reproduction du macrocosme, la Création, l’Adam Kadmon, l’Homme-Univers.

En hébreu le cube s’écrit : Qaph Beth Yod He à rapprocher de Qabal : Qaph Beth Lamed.

Si on admet que Qaph Beth est la connais­sance dans la dualité, Lamed signifie son extension, Yod He son inclusion dans l’être.Nous allons donc examiner le cube dans son symbolisme numérique appliqué aux Lois de l’Univers.

Le cube symbolisant les lois du Créé, de la dualité, n’a pas de signification dans l’Unité, nous commencerons par le nombre 2 : le déve­loppement de la surface du cube donne une croix comme sur le dessin 1. Cette croix, qui n’a rien à voir avec la croix chrétienne, symbolise la première phase de manifestation du Créé. Le bras vertical, l’actif, rencontre le bras horizon­tal, le passif, et le carré central, de la rencontre est le point de manifestation. Le nombre 2 est le nombre de la lettre Beth, la dualité. La signifi­cation qabalistique de la lettre Beth est la maison. La dualité qui enveloppe le cube en fait la maison de l’involution et de l’évolution.

Nombre 3 : à chaque sommet du cube arri­vent trois arêtes. Le cube est le seul polyèdre dans lequel les trois arêtes de chaque sommet sont orientées suivant les trois directions de l’espace :

– Nadir Zénith, Aleph Air

– Nord Sud, Shin Feu

– Est Ouest, Mem Eau

Pour chaque direction de l’espace, il y a quatre droites générées par les quatre arêtes parallèles. Il est aussi possible de considérer les trois arêtes d’un sommet comme le symbole des trois lettres-mères de l’alphabet hébreu : Aleph Mem et Shin. Symboliquement Aleph arrive au sommet où il se différencie en deux : Mem et Shin.

Nombre 4 : est symbolisé par les quatre côtés de chaque face du cube. Le nombre 4 est le nombre de la lettre Daleth. La signification qabalistique de la lettre Daleth est la porte. Chaque face est une porte d’entrée dans la dualité. Le nombre 4 est aussi le symbole de la stabilité de la durée de la Pierre.

Nombre 5: il n’a pas été retenu dans le symbolisme du cube. 5 est le nombre de l’Homme mais n’est pas celui des lois qui régissent l’involution et l’évolution.

Nombre 6 : est symbolisé par les six faces du cube, à chacune est affectée une des lettres doubles de l’alphabet hébreu. Comme il y a sept lettres doubles, la dernière Tav n’est pas af­fectée à une face.

Nombre 7: il comprend les six faces précé­dentes plus la lettre Tav placée au centre du cube. Cette lettre est la lettre de l’Univers ce qui signifie que le centre du cube est le centre du microcosme.

Nombre 12 : est symbolisé par les douze arêtes du cube. À chacune d’elles est affectée une des douze lettres simples de l’alphabet hébreu. Chacune de ces lettres est affectée à l’un des signes du Zodiaque. En réalité ces signes représentent les étapes d’une phase d’évolu­tion. Chaque phase commence avec le signe du Bélier et se termine avec le signe des Poissons. Divers auteurs ont essayé de mieux préciser le sens de ces étapes dans divers textes tels :

— les 12 Travaux d’Hercule

— les 12 Portes d’Alchimie de Rypley

— les 12 Clefs de la Philosophie de Basile Valentin

— les 12 Opérations de l’Œuvre Alchimique, etc.

 

image 1

 

— Les dispositions sont conformes au texte hébreu du Sepher Yetzirah.

— En bas en hébreu le mot « cube » et le mot « Qabal » ; voir la similitude de racine.

— Le cube est censé être vu par un observateur placé au sud du cube et regardant vers le nord.

  • Les lettres en caractères latins sont les points de l’espace : Zénith : Z, Nadir : Na, Nord : N, Sud : S, Est : E, Ouest : O.
  • Au centre la lettre Tav.
  • Les lettres doubles des faces sont près des extré­mités des axes des 3 dimensions.
  • Les lettres-mères et simples sont sur les lignes correspondantes.

— Positions et noms des 12 lettres simples :

 

image 2

  • haut sud Vav
  • haut est He
  • haut nord Chet
  • haut ouest Zain
  • bas sud Ain
  • bas est Samech
  • bas nord Qoph
  • bas ouest Tzadde
  • sud est Yod
  • est nord Teth
  • nord ouest Nun
  • ouest sud Lamed

Revenons maintenant à un aspect alchimique du symbole de la Pierre Cubique. Le cube n’est pas le symbole de la pierre philosophale puisque celle-ci n’est pas une pierre mais une poudre, la poudre de projection. Selon Para­celse et d’autres alchimistes la Pierre la plus puissante vient du plomb, métal de Saturne, la plus haute planète du ciel selon les Qabalistes. Le minerai de plomb utilisé par les Alchimistes, la galène, cristallise dans le système cubique.

Si nous revenons maintenant au Sentier le plus bas de l’Arbre de la Qabal, celui du départ de l’évolution, ce Sentier est consacré à Saturne et à la lettre Tav, symbole de l’Univers. Ce Sentier peut être abordé alchimiquement par le métal saturnien d’Artéphius : l’antimoine. Et là aussi le symbolisme du cube se manifeste. Quand l’antimoine est préparée pour la distilla­tion il se présente cristallisé en de longues aiguilles. Mais si on entreprend sa plus extrême purification afin qu’il soit prêt pour la pierre, il change de forme et cristallise en petits cubes transparents de 1 cm d’arête. La pierre d’anti­moine est alors prête pour polir la pierre brute.

image 3

Jean Dubuis (1919-2010) est un cas spécial dans le cénacle restreint des « chercheurs de vérité » : il est à la fois un scientifique et un véritable « adepte », alchimiste et qabaliste.

Scientifique, Jean Dubuis est ingénieur électronicien. Alors que ses études supérieures avaient été interrompues par l’occupation allemande, il a eu la chance de travailler pendant plusieurs mois dans le laboratoire de synthèse atomique d’Ivry, dirigé par Frédéric Joliot-Curie. Après la Libération, son parcours l’a mené dans des entreprises de radio-électricité (comme on les appelait à l’époque) pour finir comme ingénieur pendant plus de 30 ans à la compagnie IBM, témoin et acteur de l’évolution des ordinateurs depuis les tubes électroniques jusqu’aux circuits intégrés en passant par les transistors.

A la fois scientifique, dans le sens moderne du terme, et expérimentateur des « sciences traditionnelles », Jean Dubuis s’est imposé, dans ce long travail comme dans ceux qui suivront, tel un véritable Initié en même temps qu’un remarquable Enseignant, alliant la profondeur des conceptions présentées à la clarté remarquable de leur formulation. C’est pour diffuser ce travail qu’il a décidé, à la suite de stages organisés avec l’alchimiste italien Augusto Pancaldi, de créer en 1979 l’association « Les Philosophes de la Nature » qu’il a présidée et animée pendant 12 ans…

(Revue 3e Millénaire. Ancienne série. No 12. Janvier-Février 1984)

Publié dans:MAITRISE, MEDIUM, PYRAMIDE, SOCIETE |on 21 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

17 raisons d’appeler à l’émergence d’une nouvelle conscience

 

. Ils sont astrophysiciens, biologistes, psychiatres, philosophes, enseignants, artistes, maîtres zen ou pionniers de l’écologie. Tous estiment qu’il est temps d’évoluer vers une nouvelle conscience, de soi et du monde.

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L’INREES leur donne la parole dans le hors-série n°1 d’Inexploré.

Et si vous oubliez tout ce que vous pensiez savoir des lois qui régissent le vivant ? XVIIe siècle, Newton décrit le monde comme un ensemble d’objets mécaniques et délimités, Descartes réduit le réel à ce qui est observable et mesurable – l’homme y compris. Emerge alors en Occident la représentation d’un univers fragmenté, déterministe, quantifiable. Tout devient maîtrisable, exploitable, consommable.

Au nom de quoi faire voler en éclat ces conceptions ? De la science elle-même. Depuis cent ans, des physiciens lèvent le voile sur de nouvelles dimensions. Trinh Xuan Thuan, astrophysicien : « Après avoir dominé la pensée occidentale pendant trois cents ans, la vision newtonienne a fait place à celle d’un monde holistique, indéterminé et débordant de créativité. L’avènement de la physique quantique et de la théorie du chaos a introduit les principes d’incertitude, d’imprévisibilité, d’influence entre l’observateur et le réel observé. Les atomes forment un monde de potentialités ou de possibilités, plutôt que de choses et de faits. Des phénomènes de mécanique quantique ne peuvent se comprendre avec les références classiques. Pourquoi par exemple, quand on sépare de plusieurs kilomètres deux photons qui étaient associés, l’un continue de savoir ce que fait l’autre, sans aucune communication ? Cela pose problème si on suppose que la réalité est morcelée et localisée sur chacune des particules. Le paradoxe n’a plus cours si on admet que les deux photons font partie d’une réalité globale, quelle que soit la distance qui les sépare. Ils sont interdépendants : chaque partie porte en elle la totalité, et de chaque partie dépend tout le reste. »

La réalité de cette nouvelle physique est multidimensionnelle, son univers constitué de matière, de flux d’énergie et d’information. Et si c’était le cas à tous les niveaux du vivant ? 

En biologie du cerveau, par exemple. Jean Becchio, médecin généraliste, président de l’Association française d’hypnose : « Dans les années 50-60, on pensait tout connaître du cerveau. Quarante ans plus tard, on est perdu ! La matière grise n’est plus considérée comme aussi primordiale : elle ne serait que le récepteur d’informations captées depuis l’extérieur, puis envoyées dans la substance blanche, où elles rencontrent d’autres informations issues du monde intérieur, de la mémoire, des émotions, des apprentissages… On vient aussi de trouver qu’il y a des neurones miroirs partout dans le cerveau, qui jouent un rôle important dans les phénomènes de sympathie, d’empathie et de compassion. Cette découverte fait évoluer la conception très robotique de l’humain ; il est d’abord un être relié aux autres. Le cerveau n’est plus étudié comme une boîte isolée, mais dans sa relation avec son entourage. »

Autre découverte de taille : le cerveau ne produirait pas la conscience. Pim Van Lommel, cardiologue, spécialiste des expériences de mort imminente : « Dans l’étude que j’ai menée sur des patients ayant survécu à un arrêt cardiaque, 18% rapportent une expérience d’expansion de conscience au moment où ils étaient en mort cérébrale. Ils ont perçu leur réanimation, peuvent avoir vu des souvenirs de leur vie entière, interagi avec des proches décédés… Des millions de gens dans le monde ont vécu ces phénomènes – 9 millions aux USA, 20 millions en Europe. Notre étude (la plus importante à ce jour) met en échec les explications matérialistes – manque d’oxygène, hallucinations, rêves, etc. Elle prouve que le cerveau ne crée pas la conscience ; il n’est que le catalyseur qui rend possible son expérience – comme le poste de télévision n’est qu’une interface pour accéder aux émissions. La véritable conscience est non locale, plus vaste que ce que nous percevons dans la vie quotidienne, et capable de survivre au corps physique. » 

Il existerait donc une conscience supérieure à la conscience ordinaire… Une hypothèse en voie de validation scientifique. Roger Nelson, directeur du Global Consciousness Project, chercheur en parapsychologie à l’Université de Princeton : « Nos expérimentations ont montré que les gens étaient capables, par la pensée, d’influer sur le contenu d’une séquence de nombres aléatoire. L’effet est ténu, pas suffisant pour ouvrir une porte de garage à distance, mais assez pour comprendre que l’esprit n’est pas confiné à la boîte crânienne et peut entrer en relation directe avec différents aspects du monde. Nos capteurs détectent aussi un changement lorsque les gens se retrouvent en communion, à l’occasion d’un événement fort. L’interaction des consciences individuelles induit un échange d’information et la création d’une cohérence de champ, qui n’existait pas auparavant, qu’on appelle la conscience de groupe. Nous avons plus de 400 enregistrements de ce type ; à partir de ce seuil, les critères scientifiques admettent la réalité d’un phénomène. »

Il serait même possible, par cette conscience non locale, d’accéder à des informations affranchies de l’espace et du temps. Stephan A. Schwartz, chercheur principal sur le cerveau, l’esprit et la guérison à l’Institut Samueli (USA) : « Les expériences que nous avons menées prouvent, protocoles scientifiques et données statistiques à l’appui, que nous avons la capacité de décrire des choses, des lieux ou des gens éloignés, comme s’ils étaient sous nos yeux. Nous pouvons également décrire un événement qui ne s’est pas encore produit. Les données recueillies sont de deux types : des impressions de sens – par le goût, le toucher, les odeurs – et une impression de connaissance : je ne sais pas comment, mais je sais que c’est vrai. Il n’y a rien de surnaturel là-dedans : vous vous ouvrez simplement à cette part non locale de votre conscience qui n’est pas limitée par le temps et l’espace. Cette compétence se développe, à condition d’en avoir la volonté. L’intention est un point clé. »

De quoi chambouler profondément nos visions du monde et de nous-mêmes. Comme l’ont pressenti nombre de sagesses traditionnelles, notre identité profonde ne serait pas nos corps ni nos esprits individuels, mais cette conscience connectée à un grand tout. Lynne McTaggart, journaliste scientifique : « Lorsque les particules subatomiques conversent, elles échangent de l’énergie. Quand vous multipliez cette infime quantité par tous les échanges entre toutes les particules de l’univers, vous obtenez une incroyable quantité d’énergie dans un espace vide. Ce champ permet de comprendre qu’il n’y aurait pas des objets séparés, mais un lien, c’est-à-dire une connexion si intriquée, si essentielle et si profonde qu’il est impossible de dire où une chose s’arrête et où l’autre commence. Notre environnement nous crée autant que nous le créons. C’est un processus coopératif, qui doit nous inciter à dépasser la polarisation terrible que nous observons aujourd’hui, et vivre selon une image plus organique et plus holistique. » 

Sortir du sentiment de maîtrise absolue, retrouver le sens de la globalité, de l’humilité et des responsabilités…

Dans le rapport à soi, d’abord, la manière dont on s’envisage et dont on se soigne.Thierry Janssen, médecin psychothérapeute : « En parallèle d’une médecine de plus en plus technologique, émerge un paradigme de santé issu de cultures traditionnelles, qui insistent davantage sur la prévention et, lorsqu’il s’agit de soigner, le font de manière globale, en ne réduisant pas la personne à un corps-machine. Il me paraît absolument pertinent de considérer l’humain comme un être indivisible, dont les pensées influencent le fonctionnement biologique et dont le fonctionnement biologique influence la pensée, sans tomber dans l’idée que toutes les pathologies sont causées par des conflits psychologiques et que la résolution de ceux-ci suffiraient à guérir. Dans une perspective intégrative, l’idéal serait de soigner les patients avec empathie, en développant des relations de respect, en les considérant comme des individus multidimensionnels, tout en profitant des merveilleux outils que la technologie nous offre. » 

Evolution, aussi, dans notre rapport aux autres, ce que l’on inculque et ce que l’on transmet. Antonella Verdiani, docteure en sciences de l’éducation, à l’initiative du Printemps de l’éducation : « Aujourd’hui, l’école est source d’inégalités car basée sur la compétition et non sur la coopération. Elle ne table pas sur l’échange et le partage des connaissances, mais sur un rapport autoritaire, qui n’autorise pas les enfants (et ils ne se l’autorisent pas eux-mêmes) à devenir auteurs de leurs propres vies. Notre époque n’a plus besoin des petits soldats de l’ère industrielle. Lorsque l’enseignant se positionne avec ouverture, en tant que guide et accompagnant, cela change totalement la donne. L’éducation intégrale, fondée sur le libre progrès de l’enfant, dans un cadre bienveillant, part du principe qu’il existe chez l’enfant une connaissance quasi-innée. Si on lui fait confiance, il sait très vite où il doit aller. Il faut stimuler le questionnement, les éveiller à leurs propres réponses. Y compris en matière existentielle, une dimension qui existe bel et bien chez les enfants. » 

la nature

Autres aspect fondamental : notre rapport à la nature.  

Pierre Rabhi, pionnier de l’agro-écologie, fondateur du mouvement Colibris : « Au lieu de prendre conscience de la beauté infinie de la planète et de considérer la Terre comme une oasis perdue dans un désert sidéral dont nous sommes totalement dépendants, nous continuons de la sinistrer, en agissant comme si ses ressources étaient inépuisables, comme si nous pouvions nous affranchir de cette nature que nous appelons “environnement”, comme si nous n’en faisions pas partie. Si des extraterrestres nous observaient, ils concluraient que nous avons des aptitudes mais que nous sommes inintelligents ! Tant que nous ne modifierons pas notre regard, nous serons dans cette dichotomie, dans ce dualisme totalement artificiel. A partir du moment où je suis à l’école de la nature, je ne cherche plus à m’imposer à elle, à la dominer ni à l’empoisonner, je suis à son écoute, j’observe son processus et je le respecte. Etymologiquement, humus, humanité, humilité, c’est la même chose. »

Jusqu’à notre rapport à l’univers, en prenant la mesure que nous n’en sommes qu’un des composants. Morvan Salez, chercheur en astrophysique : « Grâce à l’amélioration de la technologie, on trouve de plus en plus de systèmes planétaires très semblables au nôtre. Environ 780 exoplanètes ont été détectées de manière certaine, plus de 2000 sont en attente de confirmation. Les très importants progrès effectués dans la compréhension de notre propre écosystème ont aussi permis de découvrir que les bactéries sont absolument partout, dans des régions où l’on pensait que c’était impossible. Pour arriver à la biosphère actuelle à partir de molécules organiques inertes, il a fallu des mécanismes incroyablement subtils. Face à ce constat, on peut considérer que les paramètres de l’univers sont tels que si on laisse le temps agir à partir de bons ingrédients de départ, des formes de vie sont vouées à apparaître, peut-être très différentes de la nôtre. Nous dire que nous ne sommes pas seuls, c’est un électrochoc, qui peut remodeler en profondeur notre conception de nous-mêmes et de notre place au sein du cosmos. »

Cette évolution n’est pas un luxe : si on ne change rien, la planète court à sa perte, et nous avec. La crise actuelle n’est-elle pas révélatrice d’un besoin criant de retrouver un supplément d’âme, un sens et une cohérence ? Frédéric Lenoir, philosophe : « Les derniers grands succès de la littérature et du cinéma, tels que l’Alchimiste, le Seigneur des Anneaux, Harry Potter ou Avatar, réhabilitent les mythes, la magie, l’imaginaire. Preuve qu’on crève dans un rationalisme desséchant et que les gens ont besoin de rêver, de se relier au monde à travers des symboles, des archétypes. L’âme n’a pas suivi la croissance du corps matériel de l’humanité. Pourquoi ? Parce que nous ne la cultivons pas. On a aujourd’hui de plus en plus d’outils qui nous permettent de comprendre, de discerner, mais on ne sait pas bien s’en servir. Nous avons besoin de rééquilibrer notre cerveau. De plus en plus d’individus sont en quête d’une expérience intérieure qui touche leur cœur, leur vie. Ils sont à la recherche d’un éveil, d’un changement de conscience. Je crois que l’existence a un sens et que chacun peut le trouver, s’il le veut. » 

Pas seulement en acceptant un nouveau paradigme scientifique – qui ne serait alors qu’une idéologie de plus. Au-delà des théories, certaines expériences sensibles ouvrent sur une perception, intime, d’un autre réel : une musique que l’on écoute, un film que l’on regarde, une poésie que l’on lit, un paysage que l’on contemple… Jean François Clervoy, astronaute : « La Terre vue de l’espace, c’est très beau ! On en a les larmes aux yeux, on en tombe amoureux. Et on s’aperçoit que la couche d’atmosphère est fine comme du papier à cigarettes ; notre vie ne tient qu’à ce filet ! Tous les astronautes reviennent des vols spatiaux bien plus sensibles au fait que la Terre est un vaisseau spatial en soi, aux ressources limitées. L’espace enrichit : sur le plan sensoriel, émotionnel, spirituel, existentiel. Quand on voit la beauté de l’univers, on se demande pourquoi c’est aussi beau, pourquoi on est si ému. Lorsqu’on regarde la Terre par le hublot, en apesanteur, on oublie qu’on a un corps, on a l’impression qu’on est simplement une conscience qui flotte, qui a le pouvoir de voir. Je crois que l’univers n’est pas limité à la matière, aux couleurs que je vois, aux émotions que je perçois. Il y a quelque chose de supérieur. »

Un quelque chose qu’il est possible d’explorer en lâchant la raison individuelle – et les postures sociales – pour laisser vibrer cette justesse d’intuition qui sommeille en nous. Jan Kounen, cinéaste : « Créer est un processus très intuitif. Tout à coup, une histoire résonne en moi et ne me quitte plus. Cette intuition compte beaucoup dans mes choix. Avant de prendre une décision, je surveille les signaux qui m’indiquent, physiquement et psychiquement, que je ne suis pas dans la peur, dans la détresse artistique. Sinon, la décision restera liée à l’énergie qui l’a fait naître. La pensée est créatrice, elle est liée à un monde énergétique que l’on nourrit, et qui nous alimente en retour. Je pense qu’il existe à l’intérieur de nous une intelligence plus efficace que notre seule intelligence mentale, laquelle est limitée par notre culture, notre vocabulaire, nos modèles, etc. Dans le monde indigène, l’imaginaire est un outil, qui permet d’accéder à des réalités différentes, qui toutes peuvent donner des informations importantes. »

Y compris en psychothérapie, où de nouvelles méthodes explorent l’invisible, au-delà de l’ego. Olivier Chambon, psychiatre : « Focusing, cohérence cardiaque, hypnose, TIPI… Ces techniques travaillent sur le monde de l’âme, du rêve, de l’imaginal, qui amène des compréhensions dépassant les connaissances habituelles. Lorsque la conscience est attirée vers l’ego, celui-ci la rétrécit, la ratatine et la conditionne. C’est en allant chercher des choses extérieures à lui qu’on permet à l’ego de trouver des voies de transformation qu’il ne trouve pas en lui-même. On apprend à faire attention à des choses inconnues, irrationnelles, éphémères, imprévues, incontrôlées. En voyage chamanique sous hypnose ou en EMDR, on accède à des parties du soi oubliées, des souvenirs qu’on ignorait avoir, des énergies nouvelles, ainsi qu’à un espace de pardon, de compréhension et de confiance, où l’on peut se voir et voir les autres sans juger ni blâmer. On obtient alors un rééquilibrage à tous les niveaux : physique, émotionnel, mental et spirituel. » 

Mais la prise de conscience ne suffit pas. Elle doit se cultiver au quotidien. Thich Nhat Hanh, maître zen : « Pour que la paix, la joie de vivre, l’amour et l’espoir puissent émerger, il faut prendre soin de l’instant présent, être conscient d’être vivant, qu’on est en train de marcher sur la planète Terre, d’entrer en contact avec les merveilles de la vie. Cela s’acquiert par une pleine conscience nourrie à chaque instant, de la concentration sur le présent, et une bonne gestion de ce moment. Réorganiser sa vie quotidienne, sa manière de travailler, de manger, de dormir, de respirer… Etre capable de préserver la paix, la compréhension et la compassion dans n’importe quelle situation, est une pratique spirituelle. Une fois qu’on est habité par cette vision juste, on existe en tant qu’être véritable, solide, libre et joyeux, et on peut avoir une influence sur le monde. Il n’y a pas de cloison étanche entre le soi et le non-soi. Chaque énergie que vous émettez en termes de pensée, de parole et d’acte, a un effet sur tout le cosmos. » 

Exemple très concret avec la MBSR, une méthode de réduction du stress par la pleine conscience, implantée dans 550 hôpitaux aux Etats-Unis (et 200 ailleurs dans le monde). Jon Kabat-Zinn, professeur de médecine, concepteur du programme : « Le MBSR met de l’énergie sous forme d’attention dans ce qui va en nous, plutôt que dans ce qui ne va pas. Le patient devient acteur de sa santé, en entrant en contact avec le paysage de son être. En habitant le moment présent, qu’il soit plaisant ou non, sans rien prendre personnellement, sans créer une narration sur sa douleur, on finit par voir les idées et les opinions pour ce qu’elles sont : des habitudes de l’esprit, qui ne sont pas la vérité. Je ne suis pas ma douleur, je ne suis pas mes pensées, je ne suis pas mon cancer. Sans médicament ni chirurgie, juste avec la pleine conscience cultivée comme un muscle, la MBSR permet de réduire durablement les symptômes. Ce type de pratique change non seulement l’activité cérébrale, mais la structure du cerveau. Et il n’est pas le seul à être plastique : vos chromosomes, vos cellules, tout en vous est capable de changer en fonction de la façon dont vous mangez, dont vous aimez, dont vous faites de l’exercice, du temps que vous prenez pour le calme et l’attention méditative. »

Direction le pays des Bisounours et de l’amour rose bonbon ? Non. Le but n’est pas de vivre perché bien au chaud sur un petit nuage, mais au contraire de trouver en soi la lucidité et la force de cerner la réalité sous toutes ces facettes, même les plus sombres, et passer à l’action contre tout ce qui nous désincarne, faute de sens et d’âme. Fabrice Midal, fondateur de l’Ecole occidentale de méditation :  

« On n’a jamais rendu les hommes heureux en les gavant de sucreries ! Seule la vérité apaise réellement le cœur humain. Si nous ne l’affrontons pas, nous ferons de la spiritualité un rêve de plus. Impossible de s’asseoir et de méditer un moment sans rencontrer la souffrance. Mais à mesure qu’on s’y engage, la conscience s’ouvre et devient assez vaste pour soutenir les défis et les difficultés. L’important n’est pas d’avoir les solutions toutes faites, mais d’ouvrir notre champ de vision et notre capacité à faire face. La spiritualité doit chercher à comprendre le pire, afin de trouver des manières justes d’y répondre. La méditation donne le courage de revenir à l’essentiel. Elle montre un autre rapport à tout, fondé sur l’attention et la bienveillance. Partout où il y a l’être humain, il y a la possibilité d’un acte gratuit qu’on ne peut commander, instrumentaliser ni pronostiquer. C’est cela qu’il nous faut reconnaître, préserver et cultiver. » 

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Publié dans:CO-CREATION, LOI NATURELLE, MAITRISE, NATURE |on 13 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Le processus de transition vers la Lumière est progressif

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La Terre subit depuis quelques années une modification qualitative et quantitative de son champ magnétique. Son taux vibratoire augmente et, parce qu’elle est un système vivant d’énergie en mouvement, tous ceux qui vivent à l’intérieur de son champ magnétique expérimentent cette augmentation fréquentielle, avec plus ou moins de conscience.

Le processus de transition vers la Lumière est progressif. Nous ne sommes pas matière un jour et pure Lumière le lendemain. Nos champs énergétiques sont baignés de Lumière et réalignés progressivement. La création du Corps de Lumière (Merkabah) est due au processus naturel de transition de la Terre et n’est pas une expérience ou un processus facultatif. Le Corps de Lumière se crée graduellement par la transmutation de notre corps physique qui se transforme et absorbe davantage de Lumière. Ceci est directement lié au réalignement de nos champs énergétiques sur les fréquences et octaves les plus élevés de la Lumière. Chacun évolue et absorbe la Lumière à son rythme. Certains travaillent consciemment avec ces changements et accélèrent leur transformation tandis que d’autres, qui n’ont pas conscience qu’ils absorbent cette lumière, présentent des changements en liaison avec celui de la planète.

PROCESSUS D’ASCENSION

 Au début, d’importants changements se produisent dans le cerveau ainsi que dans les échanges chimiques et électromagnétiques des corps subtils. Le corps mental commence à s’aligner sur l’Esprit, les rêves s’éclaircissent de plus en plus. Les processus de pensée ne sont plus linéaires, l’Etre oscille entre la Connaissance et le doute. A la suite de cela, nous attirons des Etres de même essence que nous afin de nous soutenir mutuellement et de stimuler notre croissance. Nous nous posons de vraies questions. Notre processus mental et notre manière de nous identifier aux autres et à nous-même changent rapidement. Cette ré-évaluation peut être inconfortable mais nous sentons qu’elle doit être opérée. Nous observons nos relations, travail, environnement, style de vie et constatons que des changements s’imposent. C’est le moment de lâcher prise et d’aller de l’avant. Nous changeons bien souvent d’amis. Tout semble en état de changement continuel mais nous nous sentons plus légers, plus vastes et plus libres, d’une certaine façon. Nous découvrons nos sens intérieurs. La clairvoyance, la clair-audience, le clair-senti nous semblent peu à peu naturels.

Ensuite, le chakra du cœur s’ouvre davantage. Nous nous libérons de nos blocages, de nos vieux schémas et d nos bagages émotionnels. Nous nous sentons plus alignés avec chaque moment, plus présents. L’Etre s’exprime en profondeur et honore ses sentiments. Il n’y a plus de place pour le reniement, pour la négation de nous-mêmes, à aucun niveau. Nous commençons à perdre notre attachement émotionnel aux autres.

A ce moment-là, la peur disparaît car les champs énergétiques de tous les corps sont réalignés à partir du cœur. Lorsque la glande pinéale est totalement ouverte, nous connaissons une expérience multidimensionnelle et, pourtant, la dualité semble augmenter à mesure que nous la quittons. Certains jours, nous nous sentons connectés et joyeux ; d’autres, nous sommes comme terrassés par la peur et empêtrés dans des problèmes de survie. Les énergies en provenance de la Source – neutres par nature – amplifient en effet toutes nos parts en même temps, lumière sombre comme lumière divine. Nos ombres ont alors à être pleinement accueillies et transmutées.

Puis nous voyons le Maitre en nous et souhaitons, d’une manière pure, nous placer au service. Nous abandonnons notre fonctionnement en « mode de sauvetage » en faveur du désir de servir la Volonté Divine. Les glandes pinéales et pituitaire changent de forme. Nous commençons à être branchés sur le secteur des langages de Lumière. Les glandes pituitaires et pinéales s’ouvrent complètement et travaillent ensemble à créer « l’Arc de l’Alliance », un arc en ciel lumineux qui se courbe depuis le sommet de la tête jusqu’au troisième oeil et qui sert de décodeur au langage des dimensions supérieures.

De nouveau, nous devenons plus conscients de l’immensité et de l’aspect multidimensionnel de notre nature, du fait que nous pouvons être tout ce que nous voulons. Nous arrêtons d’agir par obligation. Nous prononçons des paroles qui viennent de notre cœur, de notre âme. Nous agissons depuis un niveau de sérénité profond avec une sensibilité élevée et une conscience qui s’est déjà établie et transformée.

Notre corps physique change de forme car les champs énergétiques bougent. Nous nous sentons intimement reliés partout à tous les êtres et moins connectés avec les opinions des autres. nous relâchons le désir et l’énergie de soutenir le jeu de la séparation et de la limitation et nous nous sentons véritablement libres. On observe alors une descente massive du Corps de Lumière dans le corps physique. Nous commençons à nous en remettre à l’Esprit et à devenir véritablement instruments du Divin.

C’est la dissolution de l’ego. Faire ce dernier bond peut être effrayant, même si nous avons cheminé des siècles et des siècles pour atteindre ce point. On peut avancer et reculer, en se cramponnant à nos anciennes zones de confort avant de lâcher complètement. Aucune marche arrière n’est cependant possible et tout doit être libéré. Nous réalisons que tout en étant réel, le libre-arbitre est aussi une illusion dont le seul but est en définitive de nous permettre de ne faire qu’Un avec l’Esprit. Les peurs liées à la survie disparaissent, dissoutes dans l’Ici et Maintenant.

A partir de maintenant, la Lumière intérieure irradie considérablement. Nous nous sentons intensément enracinés, connectés, centrés utiles et désirant uniquement servir. Ainsi continuellement reliés nous agissons guidés par notre Présence divine. Notre intention – somme de notre volonté, de notre conscience et de notre intensité – vis toujours ce qu’il y a de plus élevé.

Nous ne faisons qu’un avec la Source de la Conscience et nous savons que tout est possible. Notre ADN ne se compose plus seulement de 2 brins mais de 12. Notre Merkabah est construit et nous permet de traverser l’espace, le temps et les dimensions, dans notre entièreté. Il a sa propre conscience et nous la dirigeons.

Tous les niveaux du Corps de Lumière ont été construits, activés et sont reliés à notre corps physique par des « points rotatifs ». Ces matrices lumineuses s’alignent le long des méridiens physiques d’acupuncture et forment des lignes de lumière s’entrecroisant dans des figures géométriques. C’est un nouveau système de circulation de lumière dans la 5ème dimension. La régénération cellulaire est accomplie. Notre temps n’est plus linéaire mais simultané. Passé, présent et futur coexistent e parallèle.

C’est la continuation de la Création et de l’implantation du Système du Nouveau Monde, en association avec d’autres initiés donnant vie à de nouveaux gouvernements, un nouveau système financier, un nouveau système d’éducation, une meilleure répartition de la nourriture et des ressources, etc…

Lors de l’étape finale, le paramètrage de la planète est redéfini afin que tout existe dans la joie, l’égalité et l’harmonie. La Terre entre dans la Lumière, sort de cette dimension et est élevée dans un système à plusieurs soleils où chaque Etre possède un Corps de Lumière et suit l’Esprit en totale maîtrise. Toutes les réalités parallèle sont redessinées et réabsorbées par l’Esprit. Chacun a aligné sa volonté sur le Divin. L’Ascension est accomplie.

Par  Grégory Mutombo -  

Site à consulter : http://www.lasymphoniedesames.com/gregory_mutombo.html

NDE : Réflexions avec Patrice van Eersel

 

Après avoir rencontré tous les pionniers de la recherche sur les NDE depuis une trentaine d’années, Patrice van Eersel a proposé quelques pistes de réflexion autour des expériences de mort imminente lors de la grande conférence INREES du 27 Novembre 2008.

NDE

Si la thématique de la mort est présente dans toutes les cultures depuis des siècles, comme dans le livre tibétain de la mort, ou dans les différents récits religieux, elle reste encore un sujet complexe et tabou pour notre société. Malgré cela, l’expérience de mort imminente est aujourd’hui en train de devenir un phénomène de masse reconnu à travers le monde notamment grâce aux progrès médicaux et en réanimation, un endroit clé des rencontres aux frontières de la mort. c’est sous cet angle que Patrice van Eersel a engagé la conférence : « Ce qui est complètement nouveau, c’est que les NDE se démocratisent parce que les techniques médicales se sont perfectionnés. Un simple accident peut nous amener dans une unité de soin intensif, et c’est dans ce temple des sociétés modernes que ressuscitent des milliers de personnes dont certaines ont vécu ces expériences »

Le film documentaire Aux frontières de la mort projeté avant la conférence nous apprenait ainsi à travers le témoignage d’Evelyn Elsaesser-Valarino, spécialiste du phénomène et membre d’honneur de l’INREES, qu’environ 20% des personnes proches de la mort traversaient une NDE selon une étude publiée aux Etats-Unis. Une statistique confirmée par les recherches de Pim van Lommel, qui après avoir mobiliser une dizaine d’hôpitaux sur une période donnée et comptabilisée toutes les personnes qui y avaient eu un arrêt cardiaque – soit 344 Personnes – a constaté que près de 18% avaient vécu une expérience de mort imminente. Une étude que n’a pas manqué de relayer Patrice van Eersel durant la conférence. « c’est très intéressant, et c’est d’un point de vue scientifique une des études les plus forte qui existe »

Le journaliste et écrivain nous rapportait également quelques anecdotes intéressantes sur le brusque changement de vie des expérienceurs après leurs NDE. « Ils reviennent souvent avec un besoin artistique, comme Oliver Sacks. c’est très frappant. Ce neurochirurgien a été pris d’une folie musicale alors qu’il ne savait pas une note de musique auparavant. » Une évolution qui peut également se traduire sous forme de cheminement spirituel, comme le décrivait l’un des expérienceurs interviewés dans le documentaire : « Actuellement j’ai trouvé un équilibre dans une vie de célibataire car le fait d’avoir eu cet expérience a eu beaucoup d’influence sur ma vie de couple, mais également sur ma vie professionnelle. j’ai une formation technique de monteur en tableau électrique. c’est un métier qui est très cartésien, et j’ai eu beaucoup de mal à intégrer cette expérience qui nous amène vers une nouvelle vision sociale, humaine et spirituelle. » 

Après avoir repris les différentes étapes d’une expérience de mort imminente – le sentiment de calme et de paix, la dé-corporation, le tunnel, le contact avec d’autres entités, le panorama de la vie, la frontière et le retour – Patrice van Eersel revenait sur une autre caractéristique frappante présentes dans les différents témoignages : cette difficulté à décrire ces expériences. « Il n’y a pas de mot. c’est ce que disent beaucoup d’expérienceurs. Ces personnes disent que la lumière était beaucoup plus fort que le Soleil, mais que ça n’éblouissait pas. qu’à côté, même le plus bel orgasme de votre vie n’est rien, ou bien que tout allait très vite, mais que c’était complètement en même temps immobile… » Voilà quelques-unes des observations qui révèlent la complexité métaphysique de cette expérience et qui montrent l’obligation d’humilité dont doit faire preuve un professionnel de santé dans l’écoute de ces témoignages. 

Et c’est justement sur ce thème qu’a continué Patrice van Eersel, revenant sur le rôle des infirmières, qui ont aidé au fil de l’histoire les personnes en fin de vie et qui ont été les premières à relever certains témoignages. Raymond Moody, précurseur de l’étude des NDE, avait d’ailleurs découvert de la bouche même d’Elisabeth Kübler-Ross que ces expériences n’étaient inconnu des soignants travaillant avec des personnes en fin de vie. « c’est à ce moment là une grande actrice de l’Acte I qui passe le relais à un jeune acteur de l’Acte II » souligne avec sourire Patrice van Eersel, profitant également de cette soirée pour saluer les travaux de l’INREES évoquant notamment le Manuel de description clinique. Le texte fondateur de l’INREES qui sera un ouvrage collectif regroupant et présentant par catégorie la totalité des expériences extraordinaires répertoriées à ce jour, ainsi que les suggestions d’approches thérapeutiques et d’écoute à paraître en 2009.

La Source noire, Patrice van EerselVan assel
LGF – Livre de Poche (Juin 1987 ; 445 pages)
 

Aux frontières de la mort 
Réalisé par Patrice van Eers
 & Denise Gilliand
AV3 DISTRI (Novembre 2007)
 

Plainte pour hantise

 

Un couple de locataires du New Jersey vient de porter plainte contre son propriétaire pour un motif surprenant: la maison serait hantée ! Si les plaignants obtiennent gain de cause, la décision de justice pourrait faire jurisprudence, aux Etats-Unis. Comment reconnaît-on une maison « habitée » par des entités ? Et que faire pour s’en débarrasser ? Explications avec Florence Hubert, médium spirite.

hantise

Des bruits inexpliqués, des craquements, une sensation de froid dans le dos, des maux de tête récurrents, des coups de pompe répétitifs ou encore des insomnies. L’impression de se sentir épié en permanence, des portes qui claquent, des lumières qui clignotent, des appareils qui s’allument tout seuls, des chaises qui se déplacent… Voici, selon Florence Hubert, quelques-uns des symptômes et autres phénomènes que l’on serait susceptible de ressentir ou de constater quand une maison est « habitée par une ou plusieurs entités ». « Parfois, ajoute-t-elle, les disputes se multiplient au sein du foyer, il y a des tensions qui ne parviennent à s’apaiser. L’ambiance est pesante. Les animaux le ressentent plus que nous. D’ailleurs, bien souvent, ils ne veulent plus entrer dans la maison. »

 Qui seraient ces entités ? Que chercheraient-elles en se manifestant ? Et pourquoi stagneraient-elles dans nos maisons ? « Nous sommes en permanence entourés d’entités », affirme la médium spirite qui, dans son métier, peut être appelée à « nettoyer » des maisons, c’est-à-dire débarrasser un lieu de ces entités. « Partout, nous sommes en présence d’âmes errantes, restées bloquées dans le monde des vivants. A cela, plusieurs raisons : soit parce qu’elles ne savent pas qu’elles sont décédées, ce qui est souvent le cas des morts violentes ou brutales. Soit parce qu’elles ont un niveau de conscience peu élevé, elles ne croient pas en un au-delà, et ne savent ni où elles sont, ni comment sortir de cet entre-deux. Soit parce qu’elles sont trop attachées à la matière : certaines se raccrochent à un proche qui vit encore dans la maison – comme une mère décédée qui ne peut se résoudre à quitter son fils, par exemple -, d’autres ne peuvent se résoudre à quitter un lieu dans lequel elles ont vécu de leur vivant. Parfois, c’est aussi parce qu’elles ont un problème qu’elles n’ont pas réglé dans notre monde ou qu’elles ont un message à faire passer. » 

De célèbres films d’horreur comme L’ExorcisteAmityville ou encore Paranormal Activityont alimenté notre peur féroce de tout ce qui peut s’apparenter aux « esprits » mais Florence Hubert se veut rassurante : « J’ai certes déjà été confrontée à de mauvais esprits. Une fois, je me suis pris une claque. Il y a eu le bruit, et la marque d’une main laissée sur ma joue. Une autre fois, on m’a poussée pour me faire tomber. Mais les trois-quarts du temps, ce sont des âmes angoissées, perdues qui ont simplement besoin d’être guidées, et qui ne nous veulent aucun mal. Certaines ne font que passer et ne dérangent personne, d’autres se manifestent et squattent un lieu dans lequel beaucoup de personnes se sentent tout de suite mal à l’aise dès qu’elles y pénètrent sans comprendre pourquoi.

C’est ainsi que certaines maisons deviennent invendables. » Pour faire monter ces âmes vers des sphères plus propices pour elles, et débarrasser un lieu de ses esprits, Florence Hubert déboule avec ses bougies, de l’encens et des bons sentiments. Son « kit de nettoyage », dit-elle en plaisantant. « Mieux vaut s’armer d’amour plutôt que de débarquer avec son sabre,précise-t-elle. Je n’ai pas de rituel spécifique. Je leur parle simplement, leur demande comment ils sont morts, pourquoi ils sont là… En fonction de ce qu’ils veulent et de combien ils sont, cela me peut me prendre entre une heure et une journée pour nettoyer un lieu. ».

Toutefois, la médium tient à préciser que : « Dans 95% des cas, tous ces phénomènes qu’on dit surnaturels mais aussi les symptômes physiques qu’on peut ressentir, tels que les maux de tête récurrents ou les insomnies, sont dûs à des problèmes électromagnétiques ou d’eau stagnante qui influent sur les énergies d’un lieu et de ses habitants… C’est environ dans 5% des cas seulement qu’ils sont provoqués par des entités. Avant de faire appel à un médium spirite, je pense qu’il est judicieux de contacter un radiesthésiste ou un géobiologue qui va vérifier l’origine du problème et rétablir l’équilibre dans la maison. Dès que j’arrive quelque part, je me mets en résonance avec le lieu, je déploie mes « antennes », et je sens très vite si il est « habité » ou non. Je le sens physiquement : j’ai d’abord des bourdonnements dans les oreilles, des espèces de faisceaux devant les yeux. Ensuite, je vois que ça bouge, et j’entends des choses parfois aussi. Quand ce sont des problèmes électromagnétiques, j’ai l’honnêteté de le dire aux gens mais il faut se méfier car il y a beaucoup de charlatans dans ce domaine ! » 

Autre précision, parfois, un lieu peut dégager des énergies négatives allant jusqu’à entraîner des problèmes de santé chez certaines personnes sensibles, sans pour autant être pollué par des ondes électromagnétiques ou des entités, juste la « mémoire des murs ». « Les lieux sont comme des éponges, ils conservent des traces de passage de ceux qui les ont habités : cela peut être une femme qui souffrait de dépression, un couple qui se disputait beaucoup ou encore un papy qui y est décédé après une longue maladie. Son âme n’est plus forcément présente mais les murs sont imprégnés de mal-être, de souffrance. C’est pourquoi, il est important de se renseigner sur les anciens propriétaires d’un lieu avant d’acheter. Je conseille également à tous ceux qui viennent d’emménager de nettoyer leur appartement ou leur maison. Ils peuvent le faire eux-mêmes avec des bougies et de l’encens. Ça n’est pas cher, ça ne prend pas beaucoup de temps, mais cela peut permettre de se sentir bien chez soi, et en harmonie avec ceux qui partagent votre vie ! »

source INREES

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, MAITRISE |on 21 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Réunifier corps-émotion-esprit pour accueillir la Vie

 

Que faire quand notre tête nous met en déroute et nous tourmente ? Lorsqu’elle a peur de ne pas connecter suffisamment de données mentales, qui puissent l’aider à contrôler et à savoir se contrôler elle-même….

Quand et comment ramener la Paix et le Silence dans un vacarme incompréhensible de détails tellement « humains » et conceptuels ?
Comment réunifier l’Âme et le Corps, quand une seule parole surgit de votre cœur : « au secours, où en suis-je ? qui et que dois-je entendre pour me reconnecter à mon essentiel ? Qui suis-je et quels choix puis-je poser ? Je ne m’entends plus… ».

Corps-ame-esprit

Le remue-méninges humain…

L’aurez-vous remarqué… l’Homme, avec tous ses aspects beaux et sensibles, est le champion de la réflexion ininterrompue !! De sa tête peuvent sortir tous azimuts un flot de questionnements, parfois les idées se surenchérissent, donnant naissance à de nouvelles idées, au point que ce vacarme ambiant mette en péril la quiétude de notre esprit. Tout ceci nous empêchera alors parfois d’entendre, voire de reconnaître, notre Intuition intérieure. Ce concert de paroles intérieures peut nous empêcher de nous poser en tant qu’Enfant chéri de la Terre, qui reçoit abondance, sans même qu’il n’y ait de doute à poser, sans avoir besoin absolu de poser contrôle sur toute situation.

Et tout ce remue-ménage, même si en apparence il veut servir l’évolution spirituelle ou personnelle… peut même nous faire carrément divaguer car nous perdons nos sens et sommes désorientés… Nous vagabondons alors d’une idée à l’autre, sans relâche, toujours plus vite et plus pressé, avec le risque même de perdre confiance en nous, tout simplement, car nous n’entendons plus notre belle voix intérieure nous insuffler les voix qui sont bonnes pour nous, dans l’instant.
Comment, loin de nos sens, pouvons-nous encore entendre notre Intuition, claire, qui elle sait nous envoyer ses messages, à l’aide de mots, oui, mais aussi de saveurs et sensations corporelles.

Et dans ce vacarme, nous nous sentons perdus, perdus dans notre vie, qui se mène, voire se démène, et que nous tentons de ramener vers un « axe » purement conceptuel, en y posant des repères mentaux qui pourraient nous créer un semblant de direction…au lieu de sentir directement la vie nous parler, nous porter dans nos choix.

que fait alors la conscience animale ?

Et quel est donc le rapport entre l’Animal et cette discordance mental-corps, plus ou moins typiquement humaine ? Cette discordance qui peut nous fausser la route et nous faire croire à notre bon sens, alors que ce n’est que déroute. Cette discordance qui peut nous emmener loin, tellement loin, de nos objectifs et envies de cœur et d’âme, essentiels à notre réalisation et à notre bonheur. Cette discordance encore qui masque notre écoute toute naturelle de ce qui est bon pour nous, pour notre plus grand bien, et qui fait que l’on confond dramatiquement notre « petite voix » de l’Intuition, porteuse de vie toujours, et la voix artificielle de notre saboteur intérieur, qui cherche même à se faire identifier à notre mental ! Tout ceci masque notre vraie liberté, celle d’être un Être pleinement Vivant !

Comment stopper le flux incessant d’idées parasites ?

Comment alors stopper le flux incessant d’idées parasites qui tournent dans notre tête et veulent guider les pas de notre vie ?

Et si, pour nous dégager de ce carcan, nous ouvrions d’autres portes que celles de la tête, au lieu de vouloir faire le tri dans ces idées, savoir à quel plan elles appartiennent, mental (inférieur, supérieur), émotionnel, spirituel, etc., ce qui d’ailleurs nécessite analyse et jugement… donc possible erreur de discernement ! Poser un choix intellectuel sur les idées qui nous turlupinent peut mener à continuer à faire le lit de nos schémas de blocage et nous voiler la voix de notre intuition. Tant que c’est la tête qui jauge une situation, elle doit poser une analyse (étymologie : se couper de la source), donc disséquer, s’approprier une situation à distance, sans la vivre, pour la juger. Tout ce processus nous sépare du Senti direct, qui lui, vit les choses de l’intérieur, sans avoir à poser une pseudo-étiquette au sujet de telle ou telle situation ou phrase qui peuple notre tête. Par le corps, nous vivons, par la tête seule, nous imaginons.

Le corps, lorsqu’il est vivant et qu’on lui laisse la parole, vit une expérience directe. Je décide de lui faire confiance, je me relie à lui, et je sens l’impact du choix qui se dessine : la phrase clé est « comment je me sens » par rapport à tel mot, telle situation, et peu à peu, un discernement, non pas mental, mais bien direct, va se redessiner, au fur et à mesure que j’aurais redonné confiance à mon corps, suffisamment qu’il pourra se libérer lui aussi de ses peurs toutes émotionnelles ou inconscientes, et redevenir ainsi un outil de Vie.
Un discernement non pas construit par une analyse mentale, mais qui provient du corps lui-même, de son potentiel à CHOISIR LA VIE, au-delà des apparences et des croyances même sociétales. Notre corps recontacte son intelligence innée qui sait toucher directement la source de toute idée ou notion, qui sait ressentir le bien-fondé d’une suggestion et les effets d’une décision sur sa vie.

Aussi, dans ma tête, quand cela foisonne… d’où cela vient ? Ma tête, mon mental, ma véritable intuition ? Peu importe. Je lègue tout cela à mon senti corporel, qui, une fois touché par l’information, saura, lui, dire d’où cela provient et qu’est-ce que cela génère. Deux possibles que mon corps saura discerner : c’est vivant – c’est morbide. Et notre corps sent deux mouvements de vie, sans avoir à juger, à séparer, à interpréter quoi que ce soit.

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Le corps voit à travers le visible apparent et sent et sait le cœur des événements. Le corps est Animal, de Anima = souffle de vie. 

Ainsi, plus vous laisser votre corps parler et s’exprimer, plus il reconnecte lui aussi de plus en plus sa véritable nature, celle d’un officiant pour les sens de la Vie. Et notre corps humain, au lieu de s’émousser et de se croire vieux et ratatiné, redevient ce qu’il est : un « outil », si vous souhaitez, de recueil d’informations, de précisions, un hôte pour notre individualité. Nous sommes portés, aidés, en sécurité, car dans un corps merveilleux, qui se réalimente à la source de toute vie, car il croît en elle.

Et dans notre tête s’allège le fardeau des mots, jusqu’à ce que les maux disparaissent. Nous co-naissons et nous nous connaissons à nouveau, à l’issue d’un long périple d’expérience et de pratique, mais nous pouvons dès à présent goûter les effets immédiats de la joie qui suit un dialogue et reconnexion avec son propre corps. Car avec le Corps vivant, l’intégration de toute expérience libératoire est directe et non le fruit d’une réflexion. Et ainsi reconnecté, de nouvelles voies de perceptions, sans cesse, sont ouvertes et s’engagent entre le corps et ce que l’on peut appeler Esprit de vie. Un véritable mouvement vertueux fait place dans le creux de votre être, tout heureux de retrouver son autonomie, capacité pourquoi pas à nommer et retrouver ce qui est bon pour nous, simplement pour notre plus grande joie.

En pratique, comment faire ?

Le retour au corps permet de se sentir neuf par rapport à la vie, par rapport bien entendu à la rencontre avec l’animal et facilite notre échange à tous deux.
En communication Animale, il s’agit de partager des expériences corporelles et de contact sensible avec les Animaux. Nous nous focalisons donc essentiellement sur nos perceptions corporelles. Ainsi, outre le plaisir des sens, nous repartons de ces échanges avec de nouvelles clés de compréhension et de sensations pour notre propre corps.

Des contacts plus sincères, en communication animale, sur photo, puis chez vous en direct, s’offrent alors. Plus nous cultivons le langage intérieur du corps, expression de qui l’on est sur l’instant (émotion) mais aussi dans notre nature (vibratoire), plus nous serons nous-mêmes et donc plus les animaux sauront nous accueillir et nous voir. Ne vous étonnez alors pas si les animaux, et domestiques et sauvages, peuvent venir ensuite plus facilement à vous.

En posant une vraie écoute corporelle, peu à peu, vos communications se feront plus précises, posées et révélatrices non pas de vos projections mentales, mais bien de l’échange vivant qui a lieu entre vous et l’animal avec lequel vous entrez en communication. C’est aussi une plus grande confiance en vous et en la vie qui va s’en dégager progressivement. Tout cela est facilité au départ sans le contact physique cutané, qui vous remet dans des habitudes tactiles et ne vous permet pas de sentir autrement. Ainsi, sur photo, ou en se tenant à distance physique de l’animal au départ, vous retrouverez vous aussi la capacité de communiquer avec votre senti corporel et donc serez plus à l’écoute des Animaux. Vous entrez dans une véritable communication vécue et non interprétée, au cours de laquelle chacun, homme et animal, recevant de l’autre le cadeau qui lui était destiné, son essentiel.

Dans les stages de communication consciente avec les Animaux, nous ne commençons jamais par entamer des conversations intellectuelles ou de paroles avec les Animaux. Tout d’abord, et à chaque contact avec un animal, nous nous réapproprions tout simplement déjà nos perceptions corporelles. Au début, cela se fait sous forme de jeux d’écoute avec un animal, ou une plante, un ruisseau, un rocher, dans une rencontre sensible où nous offrons nos sens pour recevoir la façon dont l’animal utilise ses propres sens. Ainsi, nous posons un regard neuf, d’Écoute globale (accueil et réception sans jugement et analyse) avant même d’engager un dialogue de mots et d’informations verbales.

L’Animal, avec un peu d’expérience au fur et à mesure que nous nous laissons faire, nous fait sentir comment il voit, sent, touche, goûte, entend, tout cela à travers notre propre perception corporelle, qui alors se remet à neuf et nous permet de plus en plus de ne rien attendre et de découvrir à chaque instant. Combien de nous, Humains, sans même le savoir, n’osons employer pleinement notre odorat, notre ouïe ?etc. Par ce rapprochement des sens, non seulement nous nous mettons plus aisément à la portée de l’animal avec lequel nous souhaitons communiquer, pour l’entendre de notre intérieur par un rapprochement direct du cœur et des sens, mais en plus ce processus, via l’animal, offre de nouvelles perspectives sur nos propres sens corporels, qui se remettent à jour, se clarifient (se nettoient des mémoires ancrées qui nous obstruaient la vue), pour être plus vrai et pointus dans leurs perceptions.

Puis, tout doucement, nous glissons alors très aisément vers ce que l’on appelle perceptions extra-corporelles ou clair-senti, avec tout le remaniement d’ouverture d’esprit qui s’accompagne conjointement sur ce qui nous entoure et donc nous-mêmes aussi. Tout cela ne se pose pas comme une machine en but de performer, mais s’intègre, grâce à l’échange intuitif entre nous et un être pleinement vivant comme peut l’être l’animal, dans une symphonie de vie, un échange à la fois sensible mais aussi très sensé et donc constructif mais pas seulement intellectuellement. Ainsi, le corps ne part pas en quête de performance sans but de cœur mais il sert de lien et de liant à l’écoute des âmes qui se rencontrent, et c’est tout un univers qui se déploie, tout autant qu’il nous apporte tranquillité de l’âme et du corps. Il y a un SENS à toutes ces redécouvertes sensibles, celui de porter l’Amour en son sein, tout en accueillant les magnifiques multiples spécificités de chaque être vivant, qu’il soit humain, végétal, minéral ou animal, ou tout autre. C’est un hymne à la beauté des mondes, où chacun -soi compris !- redevient libre de rencontrer, de savourer les échanges et de porter en paix et en unité, tant dans la tête, que cela aide à clarifier, que dans les sens corporels et notre plus grand intérieur.

C’est toute une aventure, qui se déroule au contact de l’Animal en toute simplicité et innocence, de redécouverte de la Vie et de ses Mystères, pour aller vers notre allégement des rétrécissements que nous portons parfois depuis tant de temps. C’est juste bon à vivre et grandement structurant tout autant que libérateur, de pouvoir laisser parler son cœur à travers l’écoute de sa voie corporelle. Nous entrons alors dans l’aire du mouvement sacré, où tout est lié, corps et esprits, ce mouvement intentionnel qui porte véritable soin à tous les plans de vie, pour une ouverture mystique des plans de conscience tout autant que pour un équilibre émotionnel, mental, corporel et donc relationnel. Nous renforçons progressivement notre confiance en Nous et en la Vie.

L’Animal est une voie de redécouverte du chamanisme universel ou du Lien qui ne dépend ni du temps ni de l’espace pour des applications concrètes de bonheur et de mieux-être au quotidien.

Florence Emmeline Lombardini Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante Courriel : contact@terres-d-emeraude.eu

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

Protégez-vous des informations déstructurantes

imagesAutre point important : cessez de lire et d’écouter toutes informations déstructurantes, déstabilisantes, juste créées pour abaisser votre niveau vibratoire. Ne lisez, n’écoutez que ce qui est positif, et qui sans vous masquer la réalité, vous donne de l’espoir, vous aide à vous élever, à être vous, seulement vous.

Bien sûr, vous ne trouverez pas ces données dans vos médias « officiels » : TV, presse écrite, radio… qui ne sont que des instruments de l’ombre. Vous disposez depuis quelques années d’un excellent outil de communication et d’information qui est l’internet. Mas là, ATTENTION car sis tout le monde peut y placer de l’information, l’ombre aussi, et elle ne s’en prive pas !

Le test de l’Ombre et de la Lumière

Aussi, chaque information que vous collectez sur l’internet, doit passer par le filtre de votre cœur. C’est vous et personne d’autre qui doit la valider. Comment me direz-vous ?


Très simplement : lorsque vous recueillez une nouvelle information qui vous interpelle, fermez les yeux et demandez à l’Être de Lumière qui vous habite – votre Moi profond – de vous indiquer tout simplement, par le test de l’Ombre et de la Lumière, si cette information est crédible. Invariablement, vous la verrez apparaître lumineuse ou sombre… bien entendu votre choix sera fait !

Prenez pour habitude d’interroger votre Moi profond, votre essence, votre Esprit… et vous serez surpris de voir avec quelle rapidité vos facultés de discernement vont évoluer.

Surtout ne prenez pas pour « argent comptant » une information véhiculée par un « grand-média-renommé-et-connu-de-tous »… !!!!
Pour tout ce qui vous est proposé comme information, faites systématiquement le test de l’Ombre et de la Lumière… vos facultés de discernement seront décuplées… !

Mais retenez bien ceci : « L’ombre ne pourra jamais éteindre la Lumière, alors que la Lumière a déjà commencé à dissoudre l’ombre, et continuera jusqu’à ce que la surface de la Terre soit aussi lumineuse que son intérieur, où je vis. »

Allez mes amis de la surface, reprenez confiance en vous, en votre capacité de participer à ce grand changement vibratoire que constitue l’ascension planétaire actuelle. Bientôt, l’intérieur et la surface de la Terre seront en pleine harmonie et vous serez heureux d’y avoir participé et d’y vivre.

Cela me fera un énorme plaisir de vous faire connaître mon monde, où je vis, si vous le souhaitez, une fois l’harmonisation réalisée, l’harmonisation de l’intérieur de la Terre avec l’extérieur : sa surface, où vous vivez actuellement.


Mais vous découvrirez également qu’une harmonisation de l’Intérieur et de l’Extérieur de vous-même se sera produite…

 

Message d’Othar, reçu le 14 août 2015 par Jean-Paul Thouny

 

Publié dans:LOI NATURELLE, LUMIERE, MAITRISE |on 28 août, 2015 |1 Commentaire »

Comment faire pour obtenir de l’aide de l’univers

 

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Depuis 2011 nous vivons une période incroyable: les voiles entre les différents mondes se rapprochent (et tombent sur certains moments) et on peut manifester facilement pleins de belles choses dans la matière, dans la vie de tous les jours… si on sait comment s’y prendre et si on fait confiance.
L’univers et les forces universelles sont là pour vous aider et soutenir dans vos démarches, si seulement vous demandez leur aide.
J’utiliserai le terme « poser des intentions’ pour décrire cet acte de demander l’aide universel, certains appelleront ça la prière, d’autres envoient des formes-pensées en méditation…

COMMENT OBTENIR L’AIDE DE L’UNIVERS POUR LES DÉMARCHES QUE VOUS SOUHAITEZ ENTREPRENDRE/POUR LES CHOSES QUE VOUS VOULEZ MANIFESTER DANS VOTRE VIE:

 

1) Pour obtenir de l’aide de l’univers, n’ayez pas peur de demander:

Il y a des personnes qui ressentent une certaine gêne pour demander de l’aide à l’univers, comme s’ils n’osaient pas « déranger » le grand tout avec leur « petits soucis ». Vous savez quoi? Vous en faites partie, de cet univers et c’est dans l’intérêt de l’univers que vous soyez bien et que vous vous rapprochez de votre chemin de vie (et donc de la fluidité et du bien-être). Vous contribuez ainsi à l’harmonie de la vie. L’univers a envie de vous aider, c’est ce qu’il fait naturellement, donc ne vous inquiétez pas et ne vous laissez pas freiner par des blockages mentaux. 

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2) Les intentions efficaces viennent du cœur:

Faites une méditation ou connectez-vous au coeur avant de poser vos intentions. Laissez couler vos intentions spontanément et ressentez qu’elles vibrent dans votre coeur. Le coeur émane le champs magnétique le plus puissant du corps et va attirer facilement les énergies dont vous avez besoin pour avancer. En réalité, si vous manifestez depuis votre coeur, vous manifestez avec tout votre être, avec chacune de vos cellules et vous envoyez donc une intention qui résonne avec l’entièreté de votre être.

Si vous réfléchissez trop sur ce que vous souhaitez faire apparaître, si vous êtes trop dans le mental et vos intentions émanent de votre cerveau, vous allez attirer des énergies contradictoires à vous. Le cerveau étant un organe divisé en 2 parties (cerveau gauche et cerveau droite), il est sujet à la dualité : Il peut créer/attirer ce qu’on désire, mais il va aussi créer et attirer le contraire de ce qu’on désire. C’est le côté pervers de la loi d’attraction. Vous allez attirer des énergies qui ne sont qu’en résonance avec 1 aspect de votre être et pas avec votre être entière.

 3) Pour obtenir de l’aide de l’Univers, formulez des affirmations positives:

La dynamique est simple: l’univers n’entend pas de négation. Si vous mettez toute votre attention sur ce que vous ne souhaitez pas, c’est ce que vous allez attirer.

exemple: « Je ne veux plus de manque d’argent »: L’univers entend manque, vous allez manifester un manque dans un aspect de votre vie.
« Je ne veux pas déménager cette année »: L’univers entend déménager, commencez déjà à garder les cartons. 

4) Simplifiez votre intention :

Ne compliquez pas trop votre demande et allez à l’essence de la question. Débarrassez-vous du superflu de votre demande est allez à l’essentiel de ce que vous souhaitez attirer. La dynamique de l’univers fonctionne ainsi: plus que la vibration de ce que vous envoyez est simple, claire et concentrée, plus qu’elle aura de l’effet.

Pour ce faire, voici les étapes:

A) Visualisez que vous avez déjà attiré ce que vous avez demandé. Fermez les yeux et imaginez que vous êtes déjà là. Quelle sensation est-ce que ça vous provoque, comment vous sentez-vous? Ouvrez les yeux, gardez cette sensation et distillez-là dans un mot.

exemple: « Je veux avoir un salaire que me permet d’être confortable à la fin du mois. »: Le problème est que cette intention est un peu vague. Qu’est-ce qui est confortable à la fin du mois? Ne laissez pas de la place à l’interprétation avec les intentions, parce que votre demande pourrait être mal interprété. En plus, votre intention transmet une peur : peur du manque, peur de ne pas avoir assez: c’est l’énergie du manque que vous allez émettre et donc c’est le manque que vous allez attirer.

Quelle est l’essence de votre intention : de ressentir l’abondance. Le mot qui peut résumer votre désir peut être: « Abondance »

B) Pour posez votre intention connectez-vous à votre cœur et dites la phrase suivante : « Je fais abstraction de tout espace temps et je me connecte en conscience à l’énergie de l’abondance. » Observez le ressenti dans le corps, observez ce qui change dans votre énergie : vos cellules sont en train de se synchroniser avec la vibration de l’abondance. Plus que vous répétez ce processus, plus que vos cellules vont reconnaître cette vibration et plus que vous allez inviter cette énergie dans votre vie.

Vous pourrez faire cette exercice avec n’importe quelle intention que vous voulez poser:

Des exemples:

« Je veux rencontrer quelqu’un » : Amour
« Je veux être moins seule » : Amitié
« Je veux arrêter de fumer » : santé

etc, etc, etc

5) Lâcher prise:

Une fois que vous avez fait votre demande, lâcher-prise. Souvent vous ne pouvez même pas imaginer ce qui peut rentrer dans vos possibilités et très souvent ce que vous désirez va se présenter sous une forme inattendu. Si vous faites une obsession sur la manière dont, le comment ou le quand, vous bloquez l’énergie de pleins de belles choses qui pourraient faire partie de votre réalité. Vous avez envoyés votre demande, c’est bon, vous pouvez passer à autre chose.

Exemple: Souvent au début d’un stage de bien-être on pose des intentions. À la fin du stage les participants sont toujours bluffés par les réponses qu’ils ont reçus, les clarifications qu’ils ont entendus et les nombreuses idées avec lesquelles ils repartent à la maison. Ils se disent qu’à la maison ça ne se passe jamais de manière aussi fluide.
Oui, il y a aussi un effet de groupe et l’énergie pendant un stage est multipliée, mais vous avez surtout oublié votre intention. Vous étiez tellement occupé pendant la journée ou le séjour, que vous ne vous rappeliez plus de vos intentions, jusqu’au moment de la relecture. 

6) Participez en confiance:

La création de la vie que vous souhaitez vivre est une collaboration entre vous et l’univers: Vous faites partie du processus de manifestation et vous êtes sensé agir en fonction. Ne vous mettez pas dans une position d’attente, car vous n’assumeriez pas votre puissance. S’il y a des opportunités qui se présentent à vous: saisissez-les. S’il y a des choix à faire dans la vie et un de des choix ne vous mène pas vers ce que vous souhaitez vivre, ne l’acceptez pas. Prenez conscience de vos actes et vos actions et éloignez-vous de tout ce qui vous sépare de ce que vous souhaitez attirer et rapprochez-vous de tout ce qui vous rapproche de la vibration à laquelle vous aspirez. Vous êtes acteur et vous co-créez la réalité que vous voyez.

http://www.conscience-et-eveil-spirituel.com 

Vidéo-Conférence : NDE de TECKAEL

Que se passe t-il après la mort Teckaël ?

 

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Vidéo du JEUDI 09 JUILLET 2015 à 20 H 30. Mis en ligne Enzo Venturatéléchargement (1)

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