Archive pour la catégorie 'LUMIERE'

Etre canal de lumière

christique

Beaucoup d’êtres qui s’offrent à être canal de lumière ne s’autorisent pas à recevoir d’abord pour eux même.

Vous n’êtes point uniquement au service des autres mais bien d’abord au service de votre propre source et lorsque vous recevez pour retransmettre,  accueillez de pouvoir pleinement vous nourrir au passage.

Vous n’avez pas à le mériter. Toutes les croyances  disant qu’il faut être digne de l’amour céleste sont des héritages de conditionnements religieux passés. Vous avez projeté sur les plans célestes l’amour conditionnel que vous connaissez sur terre et qui dit: « Si tu te conduis comme il faut tu seras aimé et récompensé. « Là n’est pas le « mode de fonctionnement » des plans célestes. Car dans les plans célestes la loi est l’inconditionnel.

Ce que nous cherchons à vous transmettre à travers ceci est que vous êtes tous totalement capable d’être canal de lumière.

Pour pouvoir le vivre, il y a un élément important  et cet élément est de le choisir.

Nous avons parlé de cette loi de l’inconditionnel. Il y a une autre loi que tous les êtres de lumière  connaissent et  respectent pleinement : la loi du libre arbitre.  Pour descendre dans votre canal ils ont besoin de votre autorisation. Tout comme vous n’iriez point dans le domicile d’un autre être sans y avoir été invité.

Ainsi vos amis de lumière ont besoin de votre invitation pour pouvoir se présenter dans votre canal. Et au -delà de l’invitation, ils ont besoin d’un choix posé, ferme et répété de votre part pour les accueillir dans vos vies afin de contribuer à enraciner et rayonner leurs énergies de lumière sur la terre . 

Certes nous avons commencé par souligner qu’il était important que vous vous autorisiez à vous nourrir pleinement de ces énergies avant de les les redistribuer.

Que ces énergies viennent d’abord pour vous-même ne signifie pas qu’elles viennent uniquement pour vous-même.

Car le but du canal  est lorsqu’il pleinement rempli de la lumière des plans célestes est de la rayonner.

Maintes êtres de lumière, Maitres, anges et Guides recherchent activement des êtres qui acceptent d’acceuillir leurs énergies afin de pouvoir infuser la terre de leurs vibrations de paix , d’amour et de sagesse. Car leurs énergies sont d’un taux trop élevé pour pouvoir être pleinement enracinées sans structures intermédiaires.

Vous connaissez dans votre monde matériel des transformateurs électriques : des structures qui ajustent une lumière trop intenses pour l’adapter à vos équipements afin que vous puissiez  en bénéficier, sans quoi il y aurait risque que tout dijoncte.

De la même façon les êtres de lumière ont besoin d’êtres qui puissent accueillir leurs énergies et  les transformer afin  qu’elles soient assimilables par les plans terrestres.

Tel est le rôle auquel vous êtes convié. Si vous le choisissez.

 

Extrait de la canalisation des énergies de Marie Madeleine et du Maitre Saint Germain du 21 septembre 2015 . L’enregistrement de ce channeling sur le thème « Etre un canal de lumière » est disponible ici.

Pour recevoir 4 vidéos offertes sur comment vous relier à votre Guide intérieur cliquez ici

Francesca du blog : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:CHANNELING, LUMIERE |on 9 février, 2016 |Pas de commentaires »

LA MORT ET L’AU-DELÀ


Il existe beaucoup de peurs concernant la mort. La peur de l’annihilation, la peur de l’oubli, la peur d’être engloutis par ce grand trou noir que l’on associe à la mort. Comme c’est si souvent le cas dans la dimension terrestre, vous avez tendance à inverser les choses et à les présenter exactement à l’opposé de ce qu’elles sont en réalité. En fait, la mort est une libération, un retour à la maison, un rappel de ce que vous êtes réellement.

coeur

Lorsque la mort vient, vous retournez sans effort à votre état d’être naturel. Votre conscience fusionne avec la flamme de lumière qui est votre identité réelle. Les fardeaux terrestres sont ôtés de vos épaules. Résider dans un corps physique vous impose des limitations. Il est vrai que vous avez choisi de plonger dans cet état de limitation à cause de la possibilité d’expérience qu’il avait à offrir. Néanmoins, c’est une sensation de félicité que d’être rétablis dans votre état angélique naturel. L’ange à l’intérieur de vous aime voler et être libre, explorer librement les myriades de mondes qui constituent l’univers. Il y a tant à explorer et à expérimenter. Une fois que vous êtes nés dans un corps terrestre, vous perdez plus ou moins contact avec cette liberté angélique et ce sentiment d’être sans limites.

Si vous le voulez bien, joignez-vous à moi, alors que nous revenons au moment qui précède le plongeon dans votre incarnation actuelle. À un niveau intérieur, vous vous êtes donné la permission de commencer cette vie terrestre. Ce fut un choix conscient. Peut-être l’avez-vous oublié, et à l’occasion, vous avez des doutes sur votre réel désir d’être ici. Pourtant, il fut un temps où vous avez dit « oui ». Ce fut un choix courageux. C’est un acte de grande bravoure que celui de troquer temporairement votre liberté angélique et votre sentiment de non-limitation pour l’aventure qui consiste à devenir humain, à devenir mortel. Cette aventure recèle une promesse qui la rend précieuse. Ressentez ce « oui! » qui un jour s’est élevé de votre âme. Souvenez-vous aussi de votre attirance pour la Terre. Ressentez comment vous vous êtes connectés à la réalité terrestre, et ressentez le moment où vous êtes descendus dans l’embryon à l’intérieur de l’utérus de votre mère. Il se peut que vous remarquiez qu’il y a de la lourdeur entourant la planète Terre, une certaine grisaille, une certaine densité.

Il y a beaucoup de souffrances sur la Terre. Douleur, perte, peur, pensées négatives, font partie de l’atmosphère collective. Et c’est ce que vous avez traversé, en tant qu’âme en voie d’incarnation. Votre lumière s’est frayé un chemin à travers cette obscurité et ce faisant, un voile inévitable d’ignorance est tombé sur votre conscience angélique originelle. Ressentez la tristesse de cet événement, et derrière lui, votre courage et votre bravoure. Vous étiez déterminés: « Je vais le faire. Une fois de plus, je vais m’enraciner dans la réalité de la Terre, afin de trouver ma lumière, afin de la reconnaître, de la redécouvrir et de la transmettre à ce monde qui en a tant besoin. »

Oui, ce fut un bond dans l’ignorance. Oublier temporairement qui vous êtes, ne pas vous souvenir de votre état d’être illimité, font partie de l’être humain. Vous oubliez que vous êtes en sécurité et libres, peu importe où vous êtes. Étant humain, vous faites en sorte de clamer à nouveau ce sentiment de liberté et de sécurité. Dans votre quête, il est possible que vous tombiez dans le piège d’énergies qui paraissent vous offrir ce que vous recherchez, mais qui en fait, vous rendent dépendants de choses qui vous sont extérieures. Il se peut que vous vous reposiez sur des jugements extérieurs qui vous disent comment vous comporter afin d’être aimé. Ces fausses images du Foyer, ces substituts, ont tendance à vous attrister et vous déprimer. En fait, le voyage de descente du ciel à la terre a été rude. La mort, toutefois, vous ramène au plan de l’amour et de la sécurité éternels. C’est en mourant que vous vous abandonnez à ce que vous avez toujours été. Si vous mourez consciemment, s’il vous est possible d’accepter la mort et de vous y abandonner, mourir devient un événement joyeux.

Que se passe-t-il lorsque vous mourez? Avant de mourir, vous passez par un processus de séparation et de lâcher-prise. C’est une phase où vous dites adieu à la vie terrestre, à ceux que vous aimez. Ce peut être difficile, mais en même temps, cela vous offre la possibilité de réfléchir en profondeur sur ce que vous êtes, ce que vous avez appris et accompli sur terre pendant votre vie. Dans le chagrin que vous ressentez à quitter ceux que vous aimez, ce qui vous connecte à eux devient encore plus clair. C’est un lien d’amour qui est immortel. Ce lien est si puissant qu’il passe sans effort par delà la frontière qu’est la mort. L’amour est une source inépuisable, donnant pour toujours naissance à une vie nouvelle. N’ayez pas peur de perdre ceux que vous aimez, car c’est au moment de dire adieu que les liens d’amour inconditionnel sont renforcés et reçoivent une vie nouvelle. Car il est certain: lorsque vous vous quittez dans l’amour, vous allez à nouveau vous rencontrer. Vous allez vous retrouver sans effort, car le plus court chemin reste toujours celui du coeur.

Si vous avez aimé ceux qui sont partis, vous pouvez être sûrs qu’ils sont proches de vous au niveau du coeur. Ressentez leur présence, car ils sont ici parmi nous, ils vous saluent. Ils se sentent privilégiés et libres. Ils sont délivrés des doutes qui assaillent tant de vous sur terre et ils aspirent à partager avec vous l’amour et la tendresse qui vous sont accessibles à tout moment.

Ceux qui restent associent souvent la phase qui précède le départ de ceux qu’ils aiment avec des sentiments de tristesse et de perte. Il est naturel de ressentir du chagrin au départ de ceux que l’on aime; il est naturel de ressentir un manque et d’avoir envie de leur présence physique. Toutefois, nous vous encourageons à essayer de ressentir qu’avec leur départ, c’est une porte vers une dimension nouvelle qui s’ouvre, une dimension où la communication est de nature si pure, si claire et si directe qu’elle s’élève au-dessus des méthodes de communication couramment utilisées sur terre. Il vous est possible d’entrer en communication directe avec ceux que vous aimez après leur mort, de coeur à coeur. De cette façon, les malentendus qui survenaient habituellement entre vous sont facilement éclaircis, dès que vous communiquez de façon honnête et ouverte avec eux. Votre message sera toujours reçu.

Lorsque vous mourez, vous verrez ceux qui vivent sur terre selon une perspective différente. Vous serez plus tolérants, plus doux, et vous aurez un sentiment de plus grande sagesse. Vous ne serez pas soudain complètement équilibrés, car il y a des émotions et des sentiments que vous emportez et qui nécessitent d’être gérés. Vous ne serez ni parfaits ni omniscients, sitôt que vous lâcherez prise de la vie physique. Et ce n’est pas si mal, après tout, car il y a encore tant à découvrir de ce côté-ci! Cependant, il y a chez la majorité d’entre vous une perspective nouvelle. La dimension d’éternité est tangible et elle teinte de respect votre vision de ce qui vous préoccupait, vous et vos proches, durant votre séjour terrestre.

Ce channelling a été présenté en direct le 5 février 2006 à Oisterwijk, aux Pays-Bas.
Le langage parlé a été légèrement révisé pour améliorer la lisibilité.

PAMELA KRIBBE « La mort et l’au-delà »  http://www.jeshua.net/fr/

Publié dans:CHANNELING, La MORT, LUMIERE |on 29 janvier, 2016 |Pas de commentaires »

Les paradis, mais c’est quoi en vérité

 

 

Les paradisOui, il en est qui ont cru et qui croient encore à des endroits où, pour prix de leurs souffrances, et à condition qu’elles correspondent à la liste publiée par leur église, ils connaîtraient le repos éternel dans des lieux de délices. Mais pourquoi considérerait-on que les soi-disant pécheurs n’ont pas souffert eux aussi et ne méritent pas, en gage de leurs maux, le même droit à la paix ? Et puis, une béatitude éternelle en échange de quelques dizaines d’années douloureuses, le calcul n’est-il pas un peu naïf ? Et enfin, quelle preuve avons-nous que ces para­dis seraient meilleurs que notre Terre ? Auraient-ils été créés par un autre démiurge que ce monde où nous nous débattons ? Ou bien y aurait-il, là aussi, une hiérarchie selon laquelle, en certaines strates de la manifestation, tout serait pure félicité, tandis que, pour nous-mêmes, ce serait la nuit concentrationnaire et l’extermination ? Y aurait-il encore cette féodalité-là, avec, d’une part, selon les religions, des anges ou des dieux ivres de leur beauté, et, d’autre part, ce monde, cette terre paria, cette planète zonarde, ce taudis cosmique où nous crevons sans que, des Versailles de ces êtres supérieurs, nous soit lancé autre chose que des foudres mortelles ?

Peut-être y a-t-il effectivement de tels séjours divins où, indifférent aux choses de la Terre, on se contente de faire partie des élus. Mais en ce cas, vouloir s’y rendre après la mort, vouloir gagner l’un de ces paradis à l’inconscience ravissante relèverait d’une espèce de snobisme religieux. Le sort de notre monde est ailleurs, son but ne peut s’atteindre par des visites à des altesses supraterrestres, mais par une révolution où s’écroulent les donjons où nous sommes tenus captifs, une révolution qui abatte les potentats dont le joug nous asservit depuis tant de millé­naires.

Combien de millénaires, au juste ? Nous ne saurions le dire, n’ayant souvenance que d’avoir été toujours esclaves — ce qui rend bien inutile l’idée qu’il existe des enfers où, après la mort, nous serions déportés : comme s’il pouvait y avoir pire qu’Auschwitz ou Hiroshima ! Et la révolution devient de plus en plus urgente et inévitable, qui est en réalité un nouveau stade de l’évolution où, nous emparant des Bastilles de la pensée traditionnelle, nous délivrerons de nouveaux pouvoirs et un savoir nouveau, une autre façon de nous envisager, de regarder le monde et d’y parti­ciper.

Depuis le début, tout nous assassine et tout nous est espoir. Tout s’avère inutile, et cependant nous continuons. Plus nous devenons forts, plus les coups dont on nous frappe sont effrayants. Plus nous sommes capables de comprendre la vie, plus elle se dérobe et devient incompréhensible. Et cependant, nous ne nous lassons jamais. Recrus de maux, de vilenies, de hontes, nous conservons cette inaliénable innocence grâce à laquelle nous savons aimer encore et toujours rêver.

Et dans la tempête des ans, il y a ces hommes — le Boud­dha, Jésus, Lao-Tsé et les autres — qui apparaissent et qui nous parlent avec douceur et brandissent des lumières pour nous réconforter. Ceux de l’autre Espace. Ceux de l’Éternité. Nous frémissons parfois, rien qu’à les entendre, ou seulement même rien qu’à savoir qu’ils existent.

Mais, bien sûr, nous ne pouvons pas les comprendre, car ils disent que tout est Dieu, même nos souffrances, ou bien que tout, même nos souffrances, est illusion. Et nous savons, au contraire, que la Mort qui arrache l’enfant ou l’amant de nos bras est réelle et n’a rien de divin, que la guerre qui décime notre famille ou notre pays est, elle aussi, réelle et n’a, elle non plus, rien de divin.

Plus ils insistent, plus leur voix devient persuasive, plus leur vision est lumineuse — et plus, au-dehors, autour de nous, le monde semble hideux. Et ce qu’ils voient et qui est vrai, ce qu’ils savent et qui est la vérité des choses, ils ne peuvent nous le communiquer, seulement nous faire savoir que cela existe.

S’ils pouvaient nous communiquer leur illumination, réellement nous la transmettre, nous serions tous illumi­nés. Mais il n’en est rien. Nous sommes distancés, comme pour toujours maintenus dans une position inférieure. Et cependant, aujourd’hui que, dans nos poitrines, s’élève un chant de révolution cosmique, nous commençons de comprendre qu’ils sont des précurseurs, non pas des chefs venus d’ailleurs et dont tout nous séparerait, mais les hérauts de notre propre futur, les symboles de ce qu’à notre tour nous pouvons atteindre et même dépasser, quels que soient leurs noms.

À l’état de conscience où ont atteint les grands messies  du monde, nous devons tous accéder un jour. S’ils ne viennent que pour nous dire que nous sommes différents d’eux et que pour faire miroiter devant nous l’éclat de leur béatitude, ils ne méritent que notre mépris. Mais si, au contraire, c’est pour nous promettre qu’à notre tour nous jouirons de cette extase où se déploient leurs jours, que tout sera Lumière, que tout sera Infinitude, que tout sera Éternité, que nous serons libres des fers où nous sommes nés, que nous aurons nous aussi conscience d’être immor­tels, si c’est pour nous ensemencer de notre propre divi­nité, alors, oui, nous pouvons nous incliner devant eux, les écouter nous parler de ce voyage que nous faisons sans savoir et des continents que nous atteindrons.

 

(Extrait de Le Dieu de Dieu de Alexandre Kalda aux éditions Flammarion 1989)

Publié dans:ENERGIES, LUMIERE |on 4 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

Des champs électromagnétiques et de la lumière

 

 Nous sommes lumière

Nous sommes des êtres énergétiques. Ce n’est pas un postulat ésotérique. En Asie, les traditions médicales et spirituelles appréhendent cette réalité – les premières en repérant la circuiterie invisible du corps humain désignée par les méridiens ou les chakras, les secondes en insistant sur la nécessité de contrôler ses désirs, ses pensées et le brouhaha du mental pour accéder à plus de clarté d’esprit. 

Cet état se traduit chez les méditants expérimentés par d’importants changements électromagnétiques dans le cerveau. Ils génèrent des fréquences si inhabituelles que les premiers scientifiques à les avoir mesurées en laboratoire ont cru à un défaut de leurs appareils ! 

Nos pensées, nos émotions, notre état physique et les atteintes qu’il subit, tout cela concourt à créer notre état énergétique. Cet état énergétique se décline en champs – un concept qui permet de modéliser les perturbations d’un espace par une force. Nous produisons en permanence des champs vibratoires – sonore, électromagnétique, lumineux. C’est cela l’énergie : une force qui est à la fois source et produit du mouvement, de la chaleur, de la gravitation… 

Qu’est-ce que le son ? 

Une vibration dans l’air, captée par nos oreilles. 

Que sont les couleurs ? 

Des vibrations d’ondes électromagnétiques dans la lumière. « En réalisant des mesures dans les mains des guérisseurs, on a pu détecter non seulement du son, mais aussi des champs électromagnétiques et de la lumière », explique le physicien James Oschman, spécialiste de médecine énergétique. 

Chaque battement de cœur produit une impulsion électrique envoyée au reste du corps. Or, un courant électri­que transitant par un conducteur – le sang en l’occur­rence – implique la  création d’un champ magnétique.  

« Le cœur génère le signal électromagnétique le plus important de tout notre corps », souligne le  Dr Rollin McCraty, directeur de recherche à l’Institute of HeartMath dans le documentaire de Living Matrix. Ses recherches ont montré que le cœur se comporte en véritable cerveau donnant la rythmique de base de l’organisme. Selon Oschman, « tous ces champs – du cœur, des yeux, etc – donnent une représentation plus claire de ce qui se passe dans notre corps que ne le faisaient les outils de diagnostic électriques classiques tels que l’électroencéphalogramme ».

C’est d’autant plus vrai que les progrès de la technologie permettent d’affiner sans cesse les mesures. Une technologie quantique mise au point en 1964, le SQUID (Superconducting Quantum Interference Device), permet de détecter des champs biomagnétiques extrêmement faibles. « La propagation de signaux par les neurones est associée à des mouvements d’ions, donc à des courants électriques. Cela se traduit par la génération de champs électriques et magnétiques », expliquaient les professeurs de physique Jean-Michel Courty et édouard Kierlick dans un article paru en 2011 dans le magazine Pour la science.

Ces courants sont un milliard de fois plus ténu que le champ électromagnétique de la Terre. Les systèmes de détection décomposent ces ondes de champs. A l’aide de logiciels informatiques, on peut en extraire de plus en plus d’informations. De la simple cellule au corps entier, nous sommes des paquets de fréquences en goguette sur la planète, des symphonies sonores, lumineuses, électromagnétiques

 

extrait du Magazine Inexploré N°15 – JUILLET – AOûT – septembre 2012

Publié dans:ENERGIES, LUMIERE |on 2 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le franchissement de la Lumière

 

 FRANCHIR LA LUMIERE

Et non seulement nous mourons, mais nous le savons. Nous sommes les seuls, ici-bas, à savoir que nous mour­rons un jour, que tout est condamné, que rien n’y échap­pera. Si nous ne nous en doutions pas, quelle importance ? Tout mourrait autour de nous, et nous nous acheminerions inconsciemment vers notre fin. Mais la Mort n’existerait pas. Et nous non plus, puisque, pour exister en tant qu’êtres pensants, il nous a fallu découvrir son existence. Elle n’aurait pas la réalité qu’elle a maintenant pour nous et qui est précisément ce qui nous distingue des autres créatures terrestres. Car, encore une fois, ce qui fait que nous sommes des hommes, c’est que nous percevons la Mort. C’est que nous en avons le sens que nous en avons et dont le dépassement ferait de nous des surhommes.

C’est donc ce sens qu’il nous faut, par quelque moyen, dépasser. Et nulle œuvre ne nous est plus urgente, à laquelle, en vérité, nous sommes attelés depuis le commencement. À peine avons-nous enregistré le phéno­mène de la Mort qui, jusque-là, ne dérangeait aucun être terrestre et pourtant les détruisait tous, à peine en avons-nous mesuré l’inéluctable que nous avons tout fait pour nous en évader. Et c’est là notre grandeur. En notre reconnaissance et notre refus de la Mort, se trouvent les insignes de notre royauté, qui sont aussi les stigmates de notre malédiction.

Ce sont eux qui nous ont permis de nous développer, de projeter dans toutes les directions, extérieures et inté­rieures, des antennes par lesquelles découvrir, toujours plus loin devant nous, toujours plus profondément en nous, les impossibles clefs de notre délivrance.

Les sciences, les arts, les religions, nous avons tout essayé. Et toutes les réponses sont justes, que nous avons entendues. Toutes nous ont rapprochés du parvis où doit paraître la Vérité comme un soleil nouveau. Toutes nous ont enseigné la non-Mort, qui est notre condition véritable, mais aucune n’a encore pu nous livrer les moyens d’y atteindre, sinon en un au-delà dont nous n’avons aucune preuve et que nient beaucoup d’entre nous.

Nous descendons, aujourd’hui, au fond des particules élémentaires comme autrefois dans les cryptes et les cavernes souterraines de notre initiation. Un même élan nous y incite, qui ne retombera que nous n’ayons enfin abordé à l’autre rive. C’est le seul but de notre odyssée. Toutes nos civilisations ne se sont édifiées, les unes après les autres, avec ou contre les autres, que dans ce dessein unique. Nous l’oublions, nous n’y pensons même jamais. Et pourtant, rien d’autre ne nous fait avancer dans les ténèbres que le désir de dépasser la Mort, de pénétrer dans une dimension où elle ne compte pas, de posséder une conscience sur laquelle elle n’ait aucune emprise.

Tous les renseignements que nous recueillons en route, infimes comme des grains de pollen et pourtant miri­fiques comme autant de Golcondes, forment un rébus dont nous assemblons les éléments à l’aveuglette. Com­ment saurions-nous ce qu’une fois parachevé nous y lirons demain, et que c’est peut-être notre visage que nous traçons ainsi dans la nuit ?

Le moindre de nos gestes, depuis des dizaines de mil­liers d’années, ne nous conduit que vers cette capture du secret primordial où, immobilisant le Temps, nous arrê­terons la Mort. Depuis soixante mille ans que nous creu­sons des tombes afin d’y enfouir les corps, abattus sans raison, de ceux qui partagent nos jours, c’est en réalité une sape que nous creusons dans l’édifice de la Mort, de façon qu’elle s’écroule demain. Nous rongeons du dedans l’insaisissable et omniprésent pouvoir qui nous dévore.

Nous ne faisons pas autre chose que de creuser et creu­ser encore les flancs qui nous enferment dans cette prison de douleur, que d’en forer chaque recoin, que d’en sonder chaque abîme. Et chaque fois que nous trouvons quelque chose, nous avançons d’un nouveau pas dans le domaine des techniques ou de la pensée, de l’art ou de la science, ou de ce que nous appelons Dieu.

Mais au fond, nous ne faisons que davantage envahir la sphinge colossale qu’est la Mort. Et tant pis si elle semble grandir à mesure que nous nous rapprochons de son cœur. Ce n’est qu’une illusion d’optique. Lorsque nous la touche­rons, en son centre, elle disparaîtra.

C’est comme si nous allions franchir le mur de la Lumière. Et au vrai, si nous ne devions y arriver un jour, notre histoire n’aurait aucun sens. Cela ne voudrait rien dire qu’ayant autrefois basculé dans cette sphère où la Mort règne en idole absolue nous ne passions demain dans un autre plan. Celui où nous nous mouvons actuellement a un début que nous pouvons approximativement fixer dans le Temps. Pour cela même, il doit avoir une fin.

Parce que, à une époque révolue, il y a eu un jour où nous avons pris conscience de la Mort, il est fatal que vienne un jour où nous nous déprendrons de cette conscience et entrerons en possession de celle de l’Éter­nité.

Il ne peut en aller autrement. Ce qui a commencé à un moment ne peut durer toujours. Le sens que, jadis, nous avons acquis de la Mort et de son empire ne peut que dis­paraître à l’avenir. La Mort telle que nous la concevons ne peut être qu’une étape. Elle ne saurait être perpétuelle et ultime. Sans doute renverse-t-elle toutes les formes de la manifestation. Sans doute marque-t-elle la fin de toute chose. Et pourtant, elle n’est pas le dernier stade possible. Il doit y avoir, ici même, quelque chose qui se réalise dans le futur. Et c’est cela que décrit notre histoire. C’est cela que même le plus humble de nos actes quotidiens proclame aussi nettement que nos hauts faits les plus notoires. C’est cela que tout notre être, individuel et col­lectif, exécute avec une minutie d’artisan.

LA LUMIERE

Le fourmillement de nos foules au long des millénaires n’a de but que cela. Notre apparente incohérence est le brassage sans fin recommencé de notre matériau pour qu’il donne forme à cela. Il y aura autre chose, un jour, bientôt, demain. Et nous reprenons espoir au milieu de nos guerres et de nos carnages. Le voile peint de la vanité s’écarte sur une lueur que nous ne comprenons pas, mais qui nous suffit. Autre chose ! Autre chose va se produire. Nous avons parcouru une route si longue. Et nos gestes s’entrecroisent comme pour tresser l’image qui nous hante et, depuis le début du Temps, nous anime et nous fait avancer.

Nul n’en sait plus que nous sur cette image d’immorta­lité, sinon le mystique, qui, toutefois, ne sait pas plus que nous échapper à la Mort. Non, même le mystique le plus radieux, le plus pur illuminé, le messie le plus sublime n’en sait à ce sujet davantage que le plus démuni d’entre nous. Il peut avoir vu ce que nous appelons Dieu, l’avoir vécu, l’être devenu et avoir ainsi partagé son immortalité pendant un instant hors du Temps, il n’est pas plus que nous parvenu à l’immortalité. À la connaissance per­sonnelle de l’immortalité, oui. Mais pas à sa réalisation matérielle. Il n’est pas un seul Dieu vivant au monde qui ne soit mort comme le plus obscur d’entre nous.

Il y a ce dont témoignent les Écritures du monde entier, l’extase éblouissante où se trouve franchi le mur de la Lumière, mais c’est toujours au point que la forme est rejetée et que, seule, l’essence de tout univers se révèle. Victoire suprême de la Mort qui a tout aboli ? Ou vision transcendante de l’être qui abolit la Mort ? Ou abolition de la Mort par elle-même en ce qu’aucune limite ne peut borner?

Quelle est la vérité ? Ce dont l’âme fait alors l’expé­rience, elle sait que cela est vrai. Car cela est la Vérité qui se connaît elle-même. Il n’y a plus d’être humain, per­sonnel, limité dans l’Espace-Temps pour rien demander ni rien savoir. Sois ce qui est, et non celui qui est. La per­sonne est dissoute. Si elle ne l’était pas, il ne pourrait y avoir connaissance de l’Impersonnel. Ce qui la délimite est effacé. Autrement, il ne pourrait y avoir connaissance de l’Illimité. Il n’y a plus que la Lumière, depuis toujours et à jamais.

Or, depuis qu’il existe parmi nous des hommes capables de s’élever jusqu’à ce plan de conscience, les paradoxes s’accumulent, qui ne font que nous enfiévrer davantage. Toutes les possibilités que l’âme a de s’unir à Dieu, il semble que nous les ayons recensées sans pourtant avoir progressé sur le chemin de notre délivrance véritable. Simplement, il y a, dans la race, la confiance irrationnelle qu’il existe, ou existera un jour, ici ou au-delà, un état dif­férent du nôtre, à l’avènement duquel charge nous est de travailler.

De l’intuition primitive de la Mort qui avait toujours existé mais que la créature ne percevait pas, nous sommes passés à l’intuition de la non-Mort qui, elle aussi, a peut-être toujours existé mais que nous ne percevons pas. De la perception de la Mort, nous sommes nés. De la perception de la non-Mort, une race naîtra, qui sera nous, dépouillés de nous-mêmes et rendus infinis.

À l’image du mystique qui, s’unissant à la Conscience suprême, jaillit soudain de lui-même en une explosion silencieuse où s’anéantit tout ce qu’il est personnellement, nous devons nous arracher à cette chrysalide de notre per­sonnalité et nous propulser comme à travers le feu afin que tout soit consumé de ce que nous croyons être exté­rieurement aussi bien qu’intérieurement.

Franchir le mur de la Lumière revient à désagréger notre individualité dans le feu d’une connaissance plus haute. Mais l’éblouissement est si grand, sachons-le, que nombre de mystiques, qui avaient dissous leur individualité dans la Lumière, ont cru, pendant des siècles, qu’il n’y avait rien après — au-delà de l’au-delà lui-même —, et ils ont parlé de la béatitude absolue du Néant, du vide où rien ne peut exister et que rien ne peut transcender.

Or, il y a autre chose. De l’autre côté du Soleil, s’étend un autre monde, s’éploient les continents de l’Éternité, vogue la galaxie-Dieu qui est notre univers perçu et vécu en sa divinité.

Autre image, plus récente et plus riche, qui n’annule pas, mais complète celle du Soleil que le yogi sait devoir traverser : l’horizon cosmologique qui encercle notre univers d’une muraille illuminée. On le situe à quinze mil­liards d’années-lumière, ce qui correspond à l’âge présumé du cosmos. Il marque la frontière entre l’inconnaissable et le connu. À partir de cette ligne de feu et en vertu de la loi qui veut que, dans un univers en expansion (comme le nôtre), la vitesse des objets s’accroisse avec leur éloignement, les mondes, s’il y en a, se déplacent à la vitesse de la lumière et n’ont donc, pour nous, pas de forme. Impossible de dire qu’il n’y a rien. Impossible de penser ce qu’il y a. Or, c’est cela que nous avons entrepris de conquérir : ce dépassement de toute limite spatio-temporelle, cette accession à la lumière de l’Éternité.

 

(Extrait de Le Dieu de Dieu de Alexandre Kalda aux éditions Flammarion 1989)

Publié dans:La MORT, LUMIERE |on 31 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

N’ayez pas peur du Noir

 

Alors que nous célébrons la deuxième récolte de Mabon et sentons l’air se rafraichir, nous commençons à peine à réaliser que l’été disparaît lentement pour laisser place à la saison sombre de l’année. Pour certains d’entre nous, c’est le temps de l’euphorie, où nous dansons à Samain avec la vraie nature de l’obscurité et nous nous préparons à vivre ce cadeau que représentent les fêtes de fin d’année quelques semaines plus tard. Ceux qui aiment les sports d’hiver et autres activités par temps froid passent à la vitesse supérieure et entrent dans un rythme effréné d’activités diverses.

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Cependant, pour beaucoup, la saison sombre de l’année représente un défi, non seulement pour les païens, mais aussi pour la société en général. En cette période de l’année, la détresse est si répandue que nous avons fini par légitimer les maladies et troubles actuels, tels que la dépression saisonnière, liée au manque de lumière survenant pendant les mois d’hiver. Les taux de suicide augmentent, particulièrement pendant les fêtes. Le stress lié aux attentes explicites et implicites, conjugué à la frustration face à des objectifs non atteints, peut davantage nous entraîner vers l’obscurité que vers la lumière. Même l’optimisme se dégageant des bonnes résolutions de Nouvel An est généralement de courte durée, et apporte sa propre contribution à cette période de désarroi dont peut s’imprégner un moment de l’année qui n’est objectivement pas plus sinistre que son homologue estival. Nous, peuple magique, résistons souvent, et ce à juste titre, à la tendance à diaboliser l’obscurité et à la confondre avec le mal. Même les enfants ont souvent une peur innée de l’obscurité.

Dans beaucoup de grandes religions, on entend associer «bon» à la «lumière», et «mauvais» à l’«obscurité». Nous soupirons et exposons la vérité au sujet de la magie «noire» et «blanche». Nous écoutons d’adorables novices expliquer qu’ils s’entourent d’une lumière blanche pour se protéger et chasser l’obscurité, ce qui est efficace certes. Mais cela l’est d’autant plus si l’obscurité est utilisée en tandem, pour sa capacité à effectivement absorber et neutraliser l’énergie négative, plutôt que de simplement la repousser.

Nous brandissons sans crainte le symbole du yin et du yang et sommes pleins de bon sens lorsque nous nous exprimons sur la nécessité et l’égalité des deux énergies, ainsi que sur ce point minuscule provenant de chacune d’elles et résidant dans le cœur de l’autre. Nous expliquons à nos étudiants que, pour marcher dans la lumière, nous devons comprendre l’obscurité, non seulement dans le monde et dans la magie, mais aussi en nous-mêmes. L’obscurité étant même parfois diabolisée par nos propres pratiques, n’est-il pas étonnant que la saison sombre soit un endroit effrayant ? Pendant des milliers d’années, la plupart des sociétés étaient basées sur l’agriculture; les villages s’organisaient autour du cycle des saisons et de la lune.

Ces deux forces célestes indiquaient la période à laquelle il fallait planter, récolter, réformer les troupeaux et, moment tout aussi important, laisser la terre en jachère. Il était peu probable que les difficultés psychologiques auxquelles beaucoup de gens sont actuellement confrontés pendant la saison sombre, surgissaient lorsque nous étions si attentifs aux cycles naturels. A Samain, nos ancêtres honoraient non seulement la mort de ceux qui partaient avant eux, mais aussi la mort de la récolte. On pensait que les cultures laissées dans les champs le 1er Novembre étaient touchées par le Trickster, un esprit malin et farceur, ainsi empoisonnées et impropres à la consommation. Nous savons, et probablement nos ancêtres le savaient tout autant, que les cultures laissées sur pied le 1er Novembre ne sont pas différentes de celles qui s’y trouvaient la veille. Mais nos ancêtres comprenaient aussi que l’homme a besoin de cycles.

De même que nous avons besoin de l’effervescence de la période de récolte, de même, nous avons besoin de calme et d’introspection pendant l’obscurité de l’année. Samain leur donnait une ligne de conduite bien définie, afin de respecter la transition vers la saison sombre. Ils étaient également encouragés à «battre le fer pendant qu’il est encore chaud», en faisant les foins et en s’efforçant de terminer les travaux de récolte tant que le soleil brillait. Samain leur a donné un enseignement; et si nous laissons son influence entrer pleinement dans nos vies, il nous montre quand vient le moment.

Il nous montre la délimitation entre la saison claire et la saison sombre de l’année. Il nous apprend à cesser de vouloir obtenir de l’Univers et à renoncer aux attentes et surtout, à modifier notre définition de la réussite et de la productivité pendant quelques mois. Durant cette période active de récolte, nous travaillons dur. Cela vaut parfois aussi bien pour les authentiques agriculteurs que pour ceux qui ne le sont pas littéralement, mais qui «cultivent» des objectifs dans leur vie et pendant l’année.

Durant la saison claire, les heures d’ensoleillement sont plus longues et le temps est plus clément, de sorte que nous augmentons naturellement nos heures productives et connaissons des périodes de travail actif plus longues. Lorsque les jours raccourcissent, nous pouvons sentir que notre corps a grandement besoin de repos et de calme. Avec la baisse des températures et de la lumière sur cette partie de la terre, même la nature nous conseille de rester à l’intérieur.

Dans cette optique, Il nous enseigne à accepter «ce qui est» et nous encourage à pleurer nos pertes, à admettre que ce que nous avons et qui nous sommes à l’instant pré- sent, est suffisant. Samain nous dit de renoncer à vouloir et convoiter des résultats et de laisser nos champs se reposer pendant un moment, le temps de nous adapter et de nous recentrer.

Malheureusement, la plupart d’entre nous ne menons pas une vie qui puisse accueillir sans difficultés une baisse de la productivité au cours de la saison sombre. Nous occupons en général des emplois exigeant le même résultat en hiver qu’en été. Nous créons un éclairage artificiel pour étendre nos journées de travail durant la nuit. Nous buvons des boissons énergisantes pour rester éveillés plus longtemps et du café pour nous réveiller plus tôt.

Dans de nombreuses sociétés de pays industrialisés, les expressions «allez, allez, allez» et «produire, produire, produire» reflètent ni plus ni moins un comportement considéré comme acceptable pour les adultes. Mon point de vue est qu’il est temps pour nous de redécouvrir l’obscurité et les dons qu’elle nous apporte. Même avec les exigences de la vie moderne auxquelles nous faisons face, nous pouvons apporter des changements subtils afin d’accueillir la saison sombre et de créer une alliance, nous permettant d’en tirer plein avantage. Comme peuvent vous le dire tous ceux qui ont déjà arpenté chaque recoin de leur esprit, l’obscurité a de la valeur et c’est en fait l’endroit où l’on apprend les meilleures leçons.

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En tant que peuple magique, il est adroit de nous plonger dans l’obscurité de l’année et de travailler sur sa progression naturelle; mais cela est presque obligatoire. Alors que nous progressons vers la sagesse et développons notre énergie, nous gravitons naturellement ou sommes amenés à explorer complètement la lumière et l’obscurité dans toute leur gloire et tous leurs aspects. Les saisons sont tout simplement une représentation naturelle, fournissant des aspects distincts d’un même décor, dans lequel nous pouvons repousser nos limites et en apprendre davantage sur ces concepts.

Caractérisée par la planification et la contemplation calme : où nous en sommes et où nous voulons être. Tout comme les agriculteurs profitaient de cette période pour planifier les récoltes de l’année suivante, nous pouvons sérieusement évaluer ce qui doit changer dans nos vies et comment nous pouvons devenir de meilleures personnes ainsi que des représentations plus fortes des Dieux et des Déesses sur terre. Nous pouvons arriver à mieux nous connaître, en retirant les masques et les étiquettes que nous portons et en prenant conscience de notre Moi authentique.

Quels que soient les moyens que nous prenons pour rester reliés et en contact avec qui nous sommes réellement, les exigences et les frustrations du monde extérieur vont inévitablement nous distraire de temps en temps. La saison sombre est un moment idéal pour redéfinir qui nous sommes réellement et ce que nous représentons dans ce monde. Comment changeriez-vous votre vie pour honorer et accueillir la saison sombre ? La plupart des païens ont deux méthodes de prédilection de transition énergétique : les rituels, et brûler des choses, de préférence en conjonction l’un avec l’autre.

Notre Moi supérieur répond très favorablement au rituel, car il est un terrain d’entente parfaite pour la communication entre le Moi supérieur et le Moi conscient. Ritualiser la transition entre la saison claire et sombre de l’année permet à notre esprit, corps et âme de reconnaître le changement naturel et de faciliter le changement.

En revanche, ignorer le changement et agir comme si toute l’année avait la même saveur et le même objectif peut totalement détraquer nos processus énergétiques. Concrètement, afin de tirer le meilleur parti de la saison sombre, nous devons tenir compte de ce que nos ancêtres faisaient, car ce message est profondément ancré dans notre ADN et notre conscience collective. Une fois les dernières céréales récoltées et les champs brûlés pour l’année, le travail principal de la récolte s’achevait.

Tout au long du processus de récolte, la nourriture était «entreposée» au moyen de procédés tels que la mise en conserve et le stockage dans les silos. Quand ce travail était terminé, la moisson s’achevait et la vie changeait considérablement. En aucun cas la ferme n’était laissée en veille pour le reste de l’année. Il fallait encore s’occuper des animaux, préparer les repas, faire des réparations; mais l’énergie était orientée vers un autre type de productivité. Les hommes allaient à la chasse pour la viande, en complément de la récolte.

Les femmes ne travaillaient plus dans les champs avec leurs familles, mais s’adonnaient plutôt au tissage et à la création. Étant donné que la lumière diminuait, les gens dormaient plus, se levaient plus tard et allaient au lit plus tôt. Le froid réunissait les familles autour du feu, pour partager des histoires et souvent dormir ensemble pour se tenir chaud. Tout ce processus créait un sentiment de solidarité et renforçait les liens familiaux. C’était un temps où l’on partageait et apprenait les uns des autres.

S’adapter aux conditions naturelles de cette précieuse période de l’année est plus facile que la plupart des gens ne l’imaginent. L’instinct automatique est d’insister sur le fait que tout ce que nous faisons est vraiment essentiel et que nous ne pourrions pas prendre le temps de ralentir. Souvent, c’est notre ego qui parle et cache la réalité. Il y a toujours de la place pour créer une marge de manœuvre, laisser pénétrer le calme et renoncer aux activités inutiles. La première fois que j’ai travaillé sur cette période d’adaptation, j’étais mère célibataire avec quatre enfants et trois emplois, dont l’un était à temps plein. Je correspondais parfaitement à la définition d’une personne surchargée, surmenée, trop stressée, et débordée.

Je cherchais les moindres petits moments où je pouvais être calme. Je m’asseyais même dans les toilettes et respirais, laissant mon esprit ralentir en imaginant que je marchais dans l’obscurité. Quand la nuit, j’allais enfin me coucher, je me mettais en état de méditation, laissant mon esprit s’ouvrir aux leçons de l’obscurité et prenant le temps d’inspirer, d’expirer, et de sentir le calme se propager en moi. Même les plus petits moments de silence mis bout à bout peuvent nous aider à passer vers l’obscurité de manière efficace.

Laissez Samain vous montrer qu’il est temps de :

- Lire des livres

- Passer du temps avec la famille et les amis

- Explorer vos centres d’intérêts créatifs

 - Calmer consciemment les pensées et se détendre.

Cela peut souvent devenir tout un processus, car nous ne sommes pas habitués à le faire. – Boire des boissons chaudes et non stimulantes. – Prendre le temps de se reposer et de se remettre du stress de l’année. – Dire «non» aux activités et invitations ne favorisant pas le repos et la paix. Rationaliser votre calendrier et éliminer les activités qui ne sont pas essentielles.

- Écouter et redécouvrir votre musique préférée.

- Nettoyer et dégager votre espace de vie et décorer selon l’énergie de la saison, afin de fournir des repères visuels pour la transition énergétique.

- Vous entourer de symboles évoquant la saison et faisant appel à vos sens, tels que des huiles essentielles et encens, un autel, des aide-mémoires, des changements dans les choix musicaux, des produits frais de saison.

Lorsque vous célébrerez Samain cette année, outre vos autres centres d’intérêt, prenez le temps d’accueillir l’obscurité et les enseignements qu’elle vous apporte. Remerciez la saison claire et tout ce qu’elle vous a donné. Demandez aux Sages de votre choix de vous guider à travers les leçons de l’Obscurité et ouvrez-vous à sa sagesse.

Écrivez sur un bout de papier, un ruban ou des feuilles de maïs ce que vous voulez libérer du passé et brûlez-le afin de vous diriger nu et sans entraves vers la saison sombre. Dites à votre Moi supérieur que de suivre le courant naturel est sans danger, et que vous honorerez le besoin d’entrer dans l’obscurité pour y trouver ce qui est là pour vous. Accordez-vous une période de jachère pendant les six semaines séparant Samain du solstice d’hiver.

N’hésitez pas à rejeter toute activité inutile, allant même jusqu’à informer vos amis proches et la famille que vous avez besoin d’un congé. Faites aussi peu que possible et résistez à l’envie de planifier, de vous préoccuper, ou d’anticiper. Bien sûr, vous avez encore des obligations et vous devez les honorer, mais faites un sérieux bilan de votre investissement en temps et énergie et déterminez ce que vous pouvez réduire. Faites le strict minimum et refusez toute autre activité en surcroît de ce que vous devez déjà absolument faire. Lorsque le solstice d’hiver arrivera, laissez cette étincelle de lumière retourner vers le ciel et enflammer vos objectifs et vos aspirations pour l’année. Ré- fléchissez sur l’année de récolte précédente et sur ce que vous avez manifesté dans votre vie et imaginez ce à quoi vous voulez que votre vie ressemble le 1er Novembre de l’année prochaine. Ne vous laissez pas préoccuper par la façon dont ces changements vont se produire. Rêvez simplement et écrivez-le. Faites une liste que vous garderez et une liste que vous brûlerez en offrande au Dieu et à la Déesse, tel un testament pour l’année. Il n’y a pas besoin de planifier le voyage. Pour l’instant, vous êtes en train de créer la destination.

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Trouvez des moments de méditation pendant la journée ; profitez-en pour explorer les coins sombres en vous-même et engager le dialogue avec vos propres démons. Explorez doucement les entraves que vous créez à votre propre succès et trouvez le moyen d’améliorer vos relations ainsi que d’autres processus personnels.

Trouvez les mensonges que vous vous dites et objectivez-les jusqu’à ce que vous trouviez la vérité. Profitez de ce temps pour vous remémorer de vieilles expériences que vous percevez comme des échecs et commencez à les considérer comme des leçons essentielles de votre vie.

Observez avec du recul le travail des Dieux dans votre vie et voyez comme la sagesse et le don (même la trahison!) ont été créés dans l’adversité. Honorez vos forces et pardonnez vos faiblesses, en sachant que vous resterez maître de leur emploi l’année prochaine. L’hiver peut être un endroit très sûr et agréable lorsqu’il est correctement utilisé. Trouvez votre «rythme d’hiver» et portez-le jusqu’à l’équinoxe de printemps, lorsque la partie active de l’année recommencera. Votre chi vous remerciera.

par Katrina Rasbold, traduit par Catherine

(Magazine Lune Bleue/ LWE) et le lien : http://la-lwe.bbfr.net .

Publié dans:LUMIERE, MULTIDIMENSIONNALITE, PEUR, POUVOIR |on 6 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

L’ancienne lumière solaire est sur le point de s’éteindre

 

tache-solaireLorsque suffisamment de personnes modifient leur façon de voir les choses, les solutions deviennent alors évidentes et se manifestent fréquemment selon des voies que l’on n’aurait même pas imaginées avant de changer de perception. Nous avons détruit une bonne partie de notre  monde à cause de notre culture ; nous pouvons en préserver l’essentiel en transformant notre culture. Néanmoins, c’est par la compréhension des choses et de leur fonctionnement que nous découvrons les outils mis à notre disposition dans notre environnement essentiellement dans notre façon de vivre et de concevoir le monde -, outils positifs et indispensables pour effectuer les transformations nécessaires. Ainsi, dans ce contexte, même les « mauvaises nouvelles » sont, en réalité, de bonnes nouvelles. 

Au sens littéral du terme, nous sommes tous véritablement constitués de lumière solaire. La chaleur radiante du soleil, la lumière visible et les rayons ultraviolets représentent l’origine de  quasiment toute forme de vie sur terre. Tout ce qui vit autour de nous n’existe que pour une seule raison quelque part, un jour, une plante fut capable de capter la lumière du soleil et de la stocker.

Tous les animaux vivent de ces plantes, soit directement (les herbivores), soit indirectement (les carnivores qui dévorent les herbivores). Ce phénomène s’applique aux mammifères, aux insectes, aux oiseaux, aux amphibiens, aux reptiles, aux bactéries… à toute créature vivante. Chaque forme de vie, à la surface de notre planète, existe grâce à une plante qui fut, un jour, capable de capter la lumière du soleil et de l’emmagasiner. Puis, une entité ingéra cette plante et son énergie solaire, transmettant ainsi cette puissance à son propre organisme’.

De cette façon, l’abondance ou la pénurie de nos réserves alimentaires fut, jusqu’à ces derniers siècles, largement déterminée par la quantité de lumière solaire qui baigna notre sol. Et il en est exactement de même en ce qui concerne les formes de vie non humaines de notre planète. En effet, vous pouvez constater que de nombreuses zones autour de l’équateur, abondamment baignées par la lumière du soleil, bénéficient d’une profusion de vie végétale et animale, alors que, dans les régions polaires relativement privées de soleil, les créatures vivantes sont beaucoup moins nombreuses et leur diversité, bien moindre.

Nous utilisions les peaux d’animaux et les arbres (qui avaient consommé la lumière solaire au cours des années précédentes de leur existence) pour fabriquer notre habillement et construire nos abris. Tous ces éléments étaient le fruit de la lumière solaire du moment.

Nos ancêtres, désormais en mesure d’utiliser la lumière solaire stockée par les végétaux il y a des millions d’années, se mirent, pour la première fois, à consommer plus de nourriture et de chaleur que ne pouvait en fournir la lumière solaire « actuelle » qui inondait alors quotidiennement la planète. Et la population humaine dépassa le seuil que la Terre aurait pu supporter, si les humains s’étaient contentés de recourir à la lumière solaire « actuelle » comme unique source d’énergie et de nourriture.

En d’autres termes, si les ressources en charbon de nos ancêtres s’étaient épuisées, ces individus se seraient trouvés confrontés à un choix terrible : abandonner les zones cultivables (avec les risques de famine que cette option comportait) pour reconstituer les zones forestières afin de pouvoir se chauffer, ou disposer de suffisamment de nourriture mais endurer les froidures hivernales. (Bien entendu, ils auraient pu, également, abandonner les régions froides et s’entasser plus près de l’équateur. Mais les migrations historiques s’en éloignèrent toujours, tendance encouragée par la constante disponibilité de combustible pour le chauffage.)

Nous constatons le même phénomène aujourd’hui : la disponibilité d’un combustible conduit les populations à dépendre entièrement de lui et à en souffrir s’il vient à faire défaut. En mettant à profit cette ancienne lumière solaire emprisonnée dans le carbone pour répondre à leurs besoins en chauffage et en énergie, ce qui permettait ainsi le remplacement des animaux de trait par des tracteurs, nos ancêtres augmentèrent considérablement leur production de nourriture. En effet, les animaux de trait, tels les chevaux et les boeufs, se nourrissaient de lumière solaire « actuelle » : l’herbe qu’ils ingéraient chaque jour et qui poussait grâce à la lumière solaire quotidienne. Et c’est la raison pour laquelle leur productivité était limitée – ne pouvant convertir en énergie plus que ce qu’ils assimilaient en une journée – comparativement à un tracteur fonctionnant au pétrole et pouvant transformer en un jour autant de lumière solaire qu’en consommeraient des centaines de chevaux.

Extrait du Livre : Les dernière heures du Soleil ancestral de Thom Hartman – aux Editions Ariane

Publié dans:ASTROLOGIE, LUMIERE, NATURE |on 29 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le processus de transition vers la Lumière est progressif

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La Terre subit depuis quelques années une modification qualitative et quantitative de son champ magnétique. Son taux vibratoire augmente et, parce qu’elle est un système vivant d’énergie en mouvement, tous ceux qui vivent à l’intérieur de son champ magnétique expérimentent cette augmentation fréquentielle, avec plus ou moins de conscience.

Le processus de transition vers la Lumière est progressif. Nous ne sommes pas matière un jour et pure Lumière le lendemain. Nos champs énergétiques sont baignés de Lumière et réalignés progressivement. La création du Corps de Lumière (Merkabah) est due au processus naturel de transition de la Terre et n’est pas une expérience ou un processus facultatif. Le Corps de Lumière se crée graduellement par la transmutation de notre corps physique qui se transforme et absorbe davantage de Lumière. Ceci est directement lié au réalignement de nos champs énergétiques sur les fréquences et octaves les plus élevés de la Lumière. Chacun évolue et absorbe la Lumière à son rythme. Certains travaillent consciemment avec ces changements et accélèrent leur transformation tandis que d’autres, qui n’ont pas conscience qu’ils absorbent cette lumière, présentent des changements en liaison avec celui de la planète.

PROCESSUS D’ASCENSION

 Au début, d’importants changements se produisent dans le cerveau ainsi que dans les échanges chimiques et électromagnétiques des corps subtils. Le corps mental commence à s’aligner sur l’Esprit, les rêves s’éclaircissent de plus en plus. Les processus de pensée ne sont plus linéaires, l’Etre oscille entre la Connaissance et le doute. A la suite de cela, nous attirons des Etres de même essence que nous afin de nous soutenir mutuellement et de stimuler notre croissance. Nous nous posons de vraies questions. Notre processus mental et notre manière de nous identifier aux autres et à nous-même changent rapidement. Cette ré-évaluation peut être inconfortable mais nous sentons qu’elle doit être opérée. Nous observons nos relations, travail, environnement, style de vie et constatons que des changements s’imposent. C’est le moment de lâcher prise et d’aller de l’avant. Nous changeons bien souvent d’amis. Tout semble en état de changement continuel mais nous nous sentons plus légers, plus vastes et plus libres, d’une certaine façon. Nous découvrons nos sens intérieurs. La clairvoyance, la clair-audience, le clair-senti nous semblent peu à peu naturels.

Ensuite, le chakra du cœur s’ouvre davantage. Nous nous libérons de nos blocages, de nos vieux schémas et d nos bagages émotionnels. Nous nous sentons plus alignés avec chaque moment, plus présents. L’Etre s’exprime en profondeur et honore ses sentiments. Il n’y a plus de place pour le reniement, pour la négation de nous-mêmes, à aucun niveau. Nous commençons à perdre notre attachement émotionnel aux autres.

A ce moment-là, la peur disparaît car les champs énergétiques de tous les corps sont réalignés à partir du cœur. Lorsque la glande pinéale est totalement ouverte, nous connaissons une expérience multidimensionnelle et, pourtant, la dualité semble augmenter à mesure que nous la quittons. Certains jours, nous nous sentons connectés et joyeux ; d’autres, nous sommes comme terrassés par la peur et empêtrés dans des problèmes de survie. Les énergies en provenance de la Source – neutres par nature – amplifient en effet toutes nos parts en même temps, lumière sombre comme lumière divine. Nos ombres ont alors à être pleinement accueillies et transmutées.

Puis nous voyons le Maitre en nous et souhaitons, d’une manière pure, nous placer au service. Nous abandonnons notre fonctionnement en « mode de sauvetage » en faveur du désir de servir la Volonté Divine. Les glandes pinéales et pituitaire changent de forme. Nous commençons à être branchés sur le secteur des langages de Lumière. Les glandes pituitaires et pinéales s’ouvrent complètement et travaillent ensemble à créer « l’Arc de l’Alliance », un arc en ciel lumineux qui se courbe depuis le sommet de la tête jusqu’au troisième oeil et qui sert de décodeur au langage des dimensions supérieures.

De nouveau, nous devenons plus conscients de l’immensité et de l’aspect multidimensionnel de notre nature, du fait que nous pouvons être tout ce que nous voulons. Nous arrêtons d’agir par obligation. Nous prononçons des paroles qui viennent de notre cœur, de notre âme. Nous agissons depuis un niveau de sérénité profond avec une sensibilité élevée et une conscience qui s’est déjà établie et transformée.

Notre corps physique change de forme car les champs énergétiques bougent. Nous nous sentons intimement reliés partout à tous les êtres et moins connectés avec les opinions des autres. nous relâchons le désir et l’énergie de soutenir le jeu de la séparation et de la limitation et nous nous sentons véritablement libres. On observe alors une descente massive du Corps de Lumière dans le corps physique. Nous commençons à nous en remettre à l’Esprit et à devenir véritablement instruments du Divin.

C’est la dissolution de l’ego. Faire ce dernier bond peut être effrayant, même si nous avons cheminé des siècles et des siècles pour atteindre ce point. On peut avancer et reculer, en se cramponnant à nos anciennes zones de confort avant de lâcher complètement. Aucune marche arrière n’est cependant possible et tout doit être libéré. Nous réalisons que tout en étant réel, le libre-arbitre est aussi une illusion dont le seul but est en définitive de nous permettre de ne faire qu’Un avec l’Esprit. Les peurs liées à la survie disparaissent, dissoutes dans l’Ici et Maintenant.

A partir de maintenant, la Lumière intérieure irradie considérablement. Nous nous sentons intensément enracinés, connectés, centrés utiles et désirant uniquement servir. Ainsi continuellement reliés nous agissons guidés par notre Présence divine. Notre intention – somme de notre volonté, de notre conscience et de notre intensité – vis toujours ce qu’il y a de plus élevé.

Nous ne faisons qu’un avec la Source de la Conscience et nous savons que tout est possible. Notre ADN ne se compose plus seulement de 2 brins mais de 12. Notre Merkabah est construit et nous permet de traverser l’espace, le temps et les dimensions, dans notre entièreté. Il a sa propre conscience et nous la dirigeons.

Tous les niveaux du Corps de Lumière ont été construits, activés et sont reliés à notre corps physique par des « points rotatifs ». Ces matrices lumineuses s’alignent le long des méridiens physiques d’acupuncture et forment des lignes de lumière s’entrecroisant dans des figures géométriques. C’est un nouveau système de circulation de lumière dans la 5ème dimension. La régénération cellulaire est accomplie. Notre temps n’est plus linéaire mais simultané. Passé, présent et futur coexistent e parallèle.

C’est la continuation de la Création et de l’implantation du Système du Nouveau Monde, en association avec d’autres initiés donnant vie à de nouveaux gouvernements, un nouveau système financier, un nouveau système d’éducation, une meilleure répartition de la nourriture et des ressources, etc…

Lors de l’étape finale, le paramètrage de la planète est redéfini afin que tout existe dans la joie, l’égalité et l’harmonie. La Terre entre dans la Lumière, sort de cette dimension et est élevée dans un système à plusieurs soleils où chaque Etre possède un Corps de Lumière et suit l’Esprit en totale maîtrise. Toutes les réalités parallèle sont redessinées et réabsorbées par l’Esprit. Chacun a aligné sa volonté sur le Divin. L’Ascension est accomplie.

Par  Grégory Mutombo -  

Site à consulter : http://www.lasymphoniedesames.com/gregory_mutombo.html

L’AMOUR INCONDITIONNEL

 

NamastéTu es unique, différent de toutes les autres, incomparable.

Sans réserve ni hésitation, je t’accueille comme tu es, sans une pensée ou une parole de jugement. Je ne vois aucune erreur ni faute dans tout ce que tu dis, accomplis, ressens ou crois, car j’ai conscience que tu fais ce que tu crois être bon pour toi.

Je ne peux observer la vie à travers tes yeux ni la comprendre à travers ton cœur. Alors, même si j’ai déjà foulé un chemin qui ressemble à celui que tu empruntes aujourd’hui, je reconnais toute la valeur de ton point de vue unique.

Je te vois comme une parcelle de la Conscience Infinie, du Tout, cherchant à trouver sa propre façon de s’unir à elle-même et au monde.

Sans réserve ni hésitation, je te laisse libre de chaque choix afin que tu puisses apprendre de la façon qui te paraît appropriée. Je ne peux savoir ce qui est mieux pour toi, ce qui est juste ou ce dont tu as besoin sauf si, à ta demande et en accord avec ton âme, je recherche dans tes archives subtiles ce que tu as chois d’apprendre, comment tu as choisi de l’apprendre, avec qui et pendant quelle période de temps. Sache que, seul, si tu fais silence et écoutes ta voix intérieure, tu pourras obtenir les mêmes réponses.

Sans réserve ni hésitation, j’accueille les choix que tu fais à chaque instant. Je n’émets aucune opinion à e sujet car je sais qu’avent de songer à retrouver l’unité, il te faut expérimenter toutes les facettes de la dualité. Avec humilité, je m’incline devant le constat que le chemin que je pense être le meilleur pour moi n’est pas forcément le meilleur pour toi. Je sais que ma vérité n’est pas ta vérité ni la vérité. Je sais que tu es guidé comme je le suis, que mes guides n’ont pas la voix qui porte plus que les tiens, amis simplement que j’ai appris à davantage tendre l’oreille vers eux.

Je te remercie de dévoiler auprès de moi tes blessures, tes souffrances et tes peurs qui, parce qu’elles font parfois encore écho en moi, me permettent aussi d’identifier et guérir les miennes.

L’amour que je te porte est sans attente, sans objectif et sans esprit de retour. Je connais ce lieu en toi où tout l’univers réside. Je connais ce lien en toi qui est Amour, Paix et Vérité. Et je connais ce lieu où, si tu es dans ce lieu en toi et moi dans ce lieu en moi, alors toi et moi ne sommes plus qu’UN.

SOURCE http://www.lasymphoniedesames.com

Publié dans:AMOUR, ENERGIES, LOI NATURELLE, LUMIERE, POUVOIR |on 23 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Nous, les Porteurs de la Lumière

 

PORTER la lumièreOn voit des quantités de lumières brillantes sur la planète Terre, des gens qui rapportent la lumière de la Source et la rayonnent à travers leur enveloppe physique, pour vous aider à vous voir et à voir la lumière de la Source plus facilement. Vous savez depuis toujours que certains êtres viennent avec une lumière presque trop brillante pour la supporter. C’est comme si l’éclat presque trop brillant de leurs yeux attirait l’attention, et ils sont si créatifs que tout ce qu’ils touchent devient magique.  Mais parfois, leur vibration est si haute qu’il leur est difficile de se sentir bien sur Terre, cette planète à la vibration si basse.  Beaucoup ont vu de ces brillantes lumières que nous appelons des « Anges terrestres ».  Ils naissent avec de nombreux dons,  s’offrant gracieusement et sans hésitation.  Ils le font parfois à leurs propres dépens et le prix à payer est parfois lourd. 

Et pourtant, ils laissent derrière eux des dons  incroyables qui permettent à toute l’humanité de progresser.  Vous les avez vus chez de nombreux artistes célèbres, tels des musiciens qui sont morts trop jeunes mais ont laissé une empreinte indélébile sur Terre. Certains Anges Terrestres ont vécu une vie extrêmement difficile en tentant d’être des humains sur la planète. Nous vous disons ceci maintenant, parce qu’un nombre limité de tels êtres est venu avec une lumière tellement brillante qu’ils ne pouvaient pas se cacher. Eh bien, très chers, nous vous disons que vous êtes sur le point d’acquérir cette lumière. Et nous vous demandons : y a-t-il, maintenant même, assez de place dans votre vie pour le cas où cela vous arriverait aujourd’hui ?

Ce que vous allez découvrir, c’est que même s’il semble merveilleux d’avoir autant de lumière et de vivre une connexion aussi forte avec la Source, nombreux sont ceux d’entre vous qui n’ont pas encore assez de place dans leur vie pour cela. Vous avez édifié votre vie autour de votre existence quotidienne, vos désirs, vos joies et vos passions, mais qu’arriverait-il si vous rayonniez tout à coup cette incroyable lumière comme le font les Anges terrestres ? Le moment est venu d’y réfléchir. Evaluez votre vie – où que vous soyez. Vous êtes nombreux à évaluer vos relations, votre métier ou même ce que vous devez faire de votre temps, chaque jour. Il devient extrêmement important de le faire, parce que vous êtes ici-bas pour une bonne raison. Vous êtes ici pour rapporter une nuance de lumière de la Source que vous êtes seuls à pouvoir apporter sur Terre.

Votre âme a passé par d’innombrables incarnations justes pour que vous puissiez porter cette lumière, en être l’expression. Et vous voici arrivés à ce point. Nous vous le disons, beaucoup d’entre vous craindront leur propre lumière, car c’est bien plus effrayant que de la voir reflétée chez quelqu’un d’autre. Cependant, il se trouve que vous êtes en train d’atteindre un niveau de confiance de l’âme qui fait qu’il vous devient possible de porter cette énergie de la Source. Ce qui est important, c’est que jusqu’à maintenant, au cours de l’histoire, lorsque cela arrivait, cela n’arrivait qu’à une personne par ci, par là sur la planète; les porteurs de lumière étaient très disséminés, Mais maintenant, vous portez tous cette même lumière.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:LUMIERE |on 23 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Mettre sa part d’ombre en Lumière

 

LumièreEgoïsme, jalousie, timidité, agressivité, trop ceci, pas assez cela… Ce qui mijote en nous n’est pas toujours de notre goût. Parfois au contraire, nos forces sombres semblent nous satisfaire, nous aimons nous y complaire. Faut-il les réprimer, de peur de ne plus être aimé, ou bien leur céder, en les laissant nous définir ? Pour la thérapeute psychocorporelle Caroline Jeannet, la clé est d’abord « d’accueillir ce qui est là », sans jugement, mais sans se laisser emporter. Vous êtes en colère ? « Ah ! Je suis en colère. » Vous détestez telle personne ? « O.K., j’éprouve de la haine. »

Une remarque vous blesse ? Notez la tension qui se crée dans votre corps. Est-elle nécessaire, maintenant ? Que pouvez-vous faire pour y remédier ?

 Respirer, vous masser le ventre ou les mains, relativiser… Traquez vos réactions avec curiosité, arrêtez de les estampiller « négatives », comprenez qu’elles sont simplement le fruit de circonstances, qu’il n’y a pas la vilaine ombre d’un côté et la belle lumière de l’autre : chacune a le pouvoir de faire de vous un être complet. « Si nous nions notre peur, nous minimisons notre courage. Si nous nions notre cupidité, nous réduisons d’autant notre générosité », note Debbie Ford. Plutôt que de les « mettre sous le tapis », reconnaissez leur existence ; c’est déjà un moyen de les dompter, d’éviter qu’elles vous rongent de l’intérieur ou vous explosent brutalement à la tête. Ayez envie de les débusquer, relevez le défi d’agir sur ces ombres plutôt qu’elles agissent sur vous.

Comprendre

Une fois ces ombres repérées, « identifiez leurs fonctions, c’est- à-dire les raisons pour lesquelles elles sont là », indique Caroline Jeannet.

Car loin d’être des démons intérieurs auxquels on ne peut échapper, ce sont des « dragons protecteurs » mis en place dans l’enfance, en réaction à certaines expériences blessantes : soumission ou agressivité édifiée pour survivre dans un milieu violent, façade dure pour masquer une hypersensibilité… L’ombre est une part de notre identité construite dans des moments de difficulté. Normaux pour un enfant, ces mécanismes n’ont très souvent plus lieu d’être à l’âge adulte. Assumez la responsabilité de chercher à les comprendre, de ne plus vous cacher derrière. « En contactant la souffrance de l’enfant, vous donnez du sens et de l’empathie à l’attitude qu’elle a engendrée », et commencez à la déconstruire.

Prenez aussi conscience de vos stratégies de défense. Etes-vous dans le déni total de vos parts sombres, ou plutôt dans le reniement – vous les connaissez mais les rejetez ? Etes-vous dans la projection, le rejet de la responsabilité sur l’autre, ou dans une identification à 100 % à vos ombres, au point de vous dire : « Je suis nul, je ne vaux rien » ou de passer à l’acte, en devenant le jouet de votre Mister Hyde ?

Observez également comment votre comportement change en fonction de votre degré de fatigue ou du contexte social. Vous êtes timide, mais sur une scène de théâtre, vous vous galvanisez et osez tout ? Vous êtes plus vaste que vous ne l’imaginez, alors cessez de vous conformer à l’image que vous vous êtes forgée de vous-même.

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Fermez les yeux, détendez-vous, accédez à un état favorable à l’ouverture de conscience. En « héros courageux », posez l’intention de plonger dans « l’énergie de vos ombres pour voir ce qu’elle révèle », conseille le thérapeute psychocorporel Félix Haubold.

Listez les défauts que vous détestez et les mots qui vous blessent : leur charge émotionnelle est révélatrice. Quelles sont les 5 choses que vous n’aimeriez pas qu’on écrive à votre propos ?

Notez aussi celles qu’on pourrait dire sans que cela vous touche. « Ne sont-elles pas toutes des vérités ? », suggère Debbie Ford. Réfléchissez : quelles sont les croyances qui dirigent votre vie ? Comment sont-elles nées, sous l’influence de quelles personnes ou de quelles circonstances ? De quoi vous protégez-vous (et vous privez-vous) en les perpétuant ? Essayez d’identifier l’événement originel, afin de le dépasser et d’ouvrir la cage à la partie de vous qui s’y est cristallisée.

Si c’est difficile, n’hésitez pas à vous faire accompagner. Traquez aussi les comportements qui vous agacent ou vous interpellent chez les autres : ils sont souvent le miroir de ce qu’on refuse de voir en soi. Pourquoi vous perturbent-ils ? à quoi réagissez-vous ? Dans quelles situations avez-vous fait preuve d’une attitude similaire ? Petit à petit, vous commencerez à percevoir en vous un microcosme entier. Impossible dès lors de morceler, de porter des jugements péremptoires… Embrassez vos peurs, acceptez votre vulnérabilité, prenez le risque de vous ouvrir, de vous découvrir. Aussi déstabilisante qu’elle paraisse, cette mise en mouvement – comme la mise en mots de ce que vous ressentez – fera sauter vos carcans.

Extrait du  Magazine Inexploré N°21 janvier – février – mars 2014 – - 

Publié dans:HUMANITE, LUMIERE |on 29 août, 2015 |Pas de commentaires »

Protégez-vous des informations déstructurantes

imagesAutre point important : cessez de lire et d’écouter toutes informations déstructurantes, déstabilisantes, juste créées pour abaisser votre niveau vibratoire. Ne lisez, n’écoutez que ce qui est positif, et qui sans vous masquer la réalité, vous donne de l’espoir, vous aide à vous élever, à être vous, seulement vous.

Bien sûr, vous ne trouverez pas ces données dans vos médias « officiels » : TV, presse écrite, radio… qui ne sont que des instruments de l’ombre. Vous disposez depuis quelques années d’un excellent outil de communication et d’information qui est l’internet. Mas là, ATTENTION car sis tout le monde peut y placer de l’information, l’ombre aussi, et elle ne s’en prive pas !

Le test de l’Ombre et de la Lumière

Aussi, chaque information que vous collectez sur l’internet, doit passer par le filtre de votre cœur. C’est vous et personne d’autre qui doit la valider. Comment me direz-vous ?


Très simplement : lorsque vous recueillez une nouvelle information qui vous interpelle, fermez les yeux et demandez à l’Être de Lumière qui vous habite – votre Moi profond – de vous indiquer tout simplement, par le test de l’Ombre et de la Lumière, si cette information est crédible. Invariablement, vous la verrez apparaître lumineuse ou sombre… bien entendu votre choix sera fait !

Prenez pour habitude d’interroger votre Moi profond, votre essence, votre Esprit… et vous serez surpris de voir avec quelle rapidité vos facultés de discernement vont évoluer.

Surtout ne prenez pas pour « argent comptant » une information véhiculée par un « grand-média-renommé-et-connu-de-tous »… !!!!
Pour tout ce qui vous est proposé comme information, faites systématiquement le test de l’Ombre et de la Lumière… vos facultés de discernement seront décuplées… !

Mais retenez bien ceci : « L’ombre ne pourra jamais éteindre la Lumière, alors que la Lumière a déjà commencé à dissoudre l’ombre, et continuera jusqu’à ce que la surface de la Terre soit aussi lumineuse que son intérieur, où je vis. »

Allez mes amis de la surface, reprenez confiance en vous, en votre capacité de participer à ce grand changement vibratoire que constitue l’ascension planétaire actuelle. Bientôt, l’intérieur et la surface de la Terre seront en pleine harmonie et vous serez heureux d’y avoir participé et d’y vivre.

Cela me fera un énorme plaisir de vous faire connaître mon monde, où je vis, si vous le souhaitez, une fois l’harmonisation réalisée, l’harmonisation de l’intérieur de la Terre avec l’extérieur : sa surface, où vous vivez actuellement.


Mais vous découvrirez également qu’une harmonisation de l’Intérieur et de l’Extérieur de vous-même se sera produite…

 

Message d’Othar, reçu le 14 août 2015 par Jean-Paul Thouny

 

Publié dans:LOI NATURELLE, LUMIERE, MAITRISE |on 28 août, 2015 |1 Commentaire »

Note sur les Mandalas couleurs

 

MANDALA arc en ciel

D’après Joan Kellogg, la symbolique de l’arc-en-ciel rejoint celle du vagin cosmique c’est- à-dire une renaissance dans des circonstances magiques. Par ailleurs, les couleurs de l’arc-enciel sont aussi celles des sept chakras. Créer un mandala arc-en-ciel, revient à activer tous les chakras en même temps. Et, c’est vrai que la répartition équilibrée des couleurs du spectre lumineux dans un mandala procure un sentiment de plénitude.

Si une couleur manque dans la composition, c’est qu’il y a un problème intéressant la tranche émotionnelle correspondant à cette couleur. C’est aussi le cas si cette couleur prédomine. Prenons par exemple le vert, couleur située au milieu du spectre lumineux, à mi-chemin du noir (absence de toute couleur) et du blanc (synthèse de toutes les couleurs). Ce n’est pas un hasard si c’est la couleur dominante de la nature, qui passe toutes les douze heures des ténèbres de la nuit à la lumière éclatante du jour. Dans le spectre des couleurs, le vert est encadré par le bleu et le jaune dont il est la résultante.

D’après Gœthe, le bleu est la projection du noir, et le jaune, la projection du blanc. Le sentiment d’harmonie qui résulte de la jonction entre ces deux opposés avait déjà été ressenti par Yolande Jacobi et, bien avant elle, par sainte Hildegarde qui voyait dans le vert la présence de Dieu dans les affaires terrestres. Pour Joan Kellogg, le vert symbolise le moment de la maturation où l’on intériorise à la fois la conscience de la Mère (bleu) et celle du Père (jaune), pour servir de parents à soi-même.

 Pour Cirlot, les couleurs des chevaliers de la mythologie européenne sont des symboles des stades successifs de la croissance humaine. C’est ainsi que le Chevalier Vert rencontré par Messire Gauvain dans le mythe d’Arthur représente un stade du développement où l’élève choisit la voie conduisant à l’illumination.

Pour Birren et pour DeVries, le vert dans les mandalas indique une prédisposition à porter secours et assistance à autrui. S’il est faiblement représenté, c’est une propension à trop prendre soin de soi-même au détriment des autres. S’il est largement utilisé, c’est l’indication d’une tendance exagérée à s’occuper des autres, à vouloir se les approprier. Il en est de même pour les verts trop foncés ou trop clairs. DiLéo, Graff et Kellogg jugent le vert dans les mandalas à travers le chakra central, Anâhâta chakra (dont la couleur est le vert), comme une accession à l’autonomie de l’adulte et, pour les personnes d’âge mûr, la révision d’expériences antérieures. En ce qui concerne les tendances émotionnelles des six autres couleurs de l’arc-en-ciel, on peut dégager les grandes lignes suivantes:

Le Rouge. Si cette couleur domine dans le mandala, on peut penser que le dessinateur est malade et qu’il fait appel à ses ressources de guérison dans les profondeurs de sa psyché. Il y a, en effet, une réaction d’alerte et d’excitation du cerveau, d’ordre électrique, citée par Birren.

Aux premiers temps du Christianisme, l’Église donnait la couleur bleue à Dieu le Père, la couleur jaune au Fils de Dieu et la couleur rouge à l’Esprit-Saint. Pour sainte Hildegarde, cette couleur exprimait l’impulsion du zèle religieux, avide de justice, qui naît de Dieu au cœur même de l’homme. Le rouge étant souvent associé aux concepts de feu et de sang, liés à la planète Mars, le dieu de la Guerre, les natifs du Scorpion et du Bélier auront tendance à utiliser abondamment cette couleur dans leurs mandalas, pour exprimer leur tempérament actif et évacuer leur trop-plein d’énergie. À l’inverse, ceux qui répugnent à l’employer révèlent une certaine passivité ou effacement de soi. Si le rouge se trouve mélangé à une autre couleur, il suggère que l’énergie est bien présente mais en étroite relation avec le symbolisme de cette autre couleur.

Par exemple, le violet peut indiquer que le rouge de l’énergie est en harmonie avec l’archétype de la Mère (le bleu).

L’orangé. Si le rouge est l’énergie brute, l’orangé est une énergie tempérée par le jaune de l’intuition. C’est la part d’énergie rouge investie par le sujet dans ses relations avec le Père (jaune). La couleur orange dans le mandala peut signifier une attitude hostile envers l’autorité ou un manque de discipline personnelle. Elle peut aussi indiquer une volonté de réussir, une saine et forte assurance. Son absence peut, au contraire, signifier l’automne de la vie, le coucher du soleil associé à un cycle finissant, la démission, le refus de voir sa jeunesse s’éloigner de façon inoxérable.

Le Jaune. C’est la couleur du soleil, symbole de lumière, de chaleur et d’énergie. Elle évoque la qualité divine de la conscience qui permet à l’homme d’imaginer. Sa présence dans les mandalas est un signe indéniable du développement de la conscience et de l’individualité. Le jaune reflète le moment où l’enfant prend conscience d’être un individu à part entière, désormais responsable de son devenir. La présence du jaune dans les mandalas peut donc être interprétée comme l’aptitude à saisir le sens général des faits. Jung, de même que Yolande Jacobi, identifie cette aptitude à l’une des quatre fonctions psychologiques, l’intuition. À l’inverse, son absence peut signifier une incapacité à voir les choses clairement, à se fixer des objectifs réalistes et à les réaliser, à rechercher le changement ou de nouveaux contacts.

Le Bleu. C’est la couleur du ciel et de la mer. Elle calme et détend. La réaction électrique du cerveau à cette couleur est la paix et la sérénité (Birren). Dans les mandalas tibétains, le bleu symbolise un état spirituel où « le tourbillon des passions a été transcendé et où ne demeure que la lumière claire et immobile de la conscience » (Tucci). Pour les premiers chrétiens, c’était la couleur de Dieu le Père. Depuis saint Bernard, c’est celle de la Vierge Marie. Pour Jung, le bleu signifie hauteur et profondeur. Dans une de ses visions, sainte Hildegarde décrit le Dieu trinitaire sous l’aspect d’un homme bleu au milieu d’un disque d’or, mais en parle comme de « l’essence de la compassion maternelle ». Dans les mandalas, le bleu indique une propension à la sollicitude, à la compassion, à l’amour inconditionnel. Trop clair, c’est l’expression d’un désir de calme et d’isolement.

Trop foncé (c’est alors l’indigo) ce peut être l’indication d’un instinct maternel excessif, dévorant et impersonnel, ou au contraire le souvenir de rapports négatifs anciens avec la Mère. Chez l’homme, trop de bleu indique la passivité (Kellog).

Le Violet. Avec son homologue le pourpre qui est aussi un mélange de bleu (sérénité) et de rouge (énergie), le violet est la couleur de la spiritualité. Pour Lüscher, violet et pourpre sont les couleurs de l’identification. Le sujet qui les utilise de façon excessive a tendance à pousser son union mystique jusqu’à la magie. Le pourpre est la couleur de la royauté et le violet celle des évêques. Dans les mandalas, c’est l’indication d’une vive imagination spirituelle, mais aussi d’égocentrisme s’il prédomine.

SOURCE LES YANTRAS Tracés dynamiques des Maîtres d’œuvre du Moyen-Age de Louis Rosier aux éditions Mosaïque 2013

Publié dans:CHAKRAS, CO-CREATION, ENERGIES, LUMIERE |on 28 août, 2015 |Pas de commentaires »

Méditation d’ouverture : Le pilier de Lumière

 

OUVERTURE

Assis les pieds posés à plat au plancher, laissez-vous porter et soutenir par le fauteuil. Sentez l’espace où vous êtes et où se trouve votre corps… maintenant, frottez-vous les mains et commencez à attirer l’énergie à partir du cœur de la Terre.

Tirez—la du centre même de la planète, par la plante de vos pieds et laissez-la s’élever dans tout le corps… à travers vos jambes … à travers votre torse…   dans votre cou … et dans la cavité de votre crâne. Laissez l’énergie appuyer sur la paroi intérieure de votre crâne.

Tout en continuant de frotter vos mains, vous remarquerez peut-être que l’énergie a circulé dans vos bras et vos mains. Présentement, vos mains devraient être chaudes, utilisez-les pour dégager votre aura – le champ d’énergie qui entoure votre corps. Balayez physiquement votre corps, le dégageant de toute vibration qui soit sur vous ou autour de vous et qui n’est pas à vous. Envoyez-la dans la Terre, qui peut l’absorber et la transmuter. Puis, lorsque vous avez fini, posez vos mains, paumes vers le haut, sur vos genoux ou sur les accoudoirs du fauteuil.

A présent, laissez-vous prendre conscience de la source infiniment puissante et aimante de Lumière qui est toujours là, à environ quarante-cinq centimètres au-dessus de votre tête… A mesure que vous prenez conscience de la Lumière celle-ci s’active et se déverse en pluie sur vous – devant, derrière et des deux côtés. La Lumière dégage tout ce qui, sur vous ou autour de vous, interfère avec votre capacité de ressentir votre propre bonté.

A mesure que la Lumière circule de la tête aux pieds, elle s’accumule sous vos pieds et commence à se répandre. Elle se met à vous fournir une plate-forme de Lumière qui vous maintient à cet endroit en ce moment. Elle ne vous retient pas les pieds, mais elle les tient et les soutient.

Puis, la Lumière commence à remplir votre champ énergétique. C’est un espace ovoïde qui s’étend tout autour de vous, à environ quarante-cinq centimètres dans chaque direction : devant, derrière et des deux côtés. La Lumière commence à remplir cet espace…. Jusqu’à vos chevilles… vos genoux… vos hanches… jusqu’à vos épaules et au-dessus du sommet de votre tête, et vous êtes maintenant assis à l’intérieur d’un pilier de Lumière.

Prenez un moment, à présent, pour laisser la Lumière faire son travail sur vous. D’abord, de par son magnétisme naturel, la Lumière vous enlève tout ce qui, de l’intérieur, ne vous aide pas en ce moment ; douleur physique, stress ou détresse ; turbulence émotionnelle, inquiétude ou chaos ; et de votre esprit, elle enlève toute pensée qui pourrait vous effrayer ou vous perturber. La Lumière peut vous enlever tout cela : tout ce qui est en vous et qui interfère avec votre expérience immuable de paix intérieure. Vous n’avez pas à lui dire quoi faire : la Lumière est une intelligence infinie qui connaît précisément vos besoins dans l’instant. Vous n’avez qu’à la laisser faire son travail…

Et alors que la Lumière vous enlève tout cela de par sa nature magnétique, en même temps, de par sa nature rayonnante, elle s’irradie en vous. Et tout comme elle s’irradie en vous de chaque angle possible – de l’avant, du haut, d’en-dessous – et qu’elle traverse la frontière de votre peau, la Lumière devient exactement ce qu’il vous fallait. S’il vous faut du courage, la Lumière en devient. Si vous avez besoin de réconfort, la Lumière en devint. Laissez-vous observer la Lumière à mesure qu’elle devient ce dont vous avez besoin et qu’elle répond au besoin du moment, quel qu’il soit. Prenez quelques instants pour la laissez agir.

Vous devriez maintenant vous trouver dans un état d’équilibre raisonnable et prêt à avancer. Ramenez votre attention à cet instant, puis continuez de lire.

Proposée par Linda Howe et retranscrit par Francesca du blog : http://channelconscience.unblog.fr/

Message de la civilisation ascensionnée des Incas

 

imageNous venons pour vous aider. Et nous sommes heureux de pouvoir enfin nous adresser à vous. La Terre est sur le point de vivre des transformations qui généreront des perturbations au sein de vos sociétés préétablies dont la réalité, assurément, n’est qu’illusoire dans votre monde tangible. La Vérité se révélera en vous, car elle est déjà connue de vous. Nous, des Étoiles, tenons à vous livrer certains des enseignements qui permettront cette transition vers la Terre-Lumière à venir, cette expansion collective de conscience qui touchera le coeur de chaque homme sur cette planète. Nous sommes venus, en vérité, il y a fort longtemps sur votre Terre/Mère.

Notre civilisation a connu, certes, une apogée glorieuse, mais aussi une fin tragique à vos yeux qui s’est avérée, en réalité, un passage et une envolée vers des sphères plus élevées. Nous avons ainsi préservé nos connaissances et notre vécu sur terre, et notre expérience n’est autre que celle qui vous attend très prochainement: l’Ascension. Quel bien grand mot, n’est-ce pas? Ce terme suscite en chacun de vous quelques appréhensions, certaines craintes, puis des désirs et une volonté pour certains d’être prêts lorsque le moment se présentera. Ne vous inquiétez pas de cela. Nous veillons sur vous.

Nous, des Étoiles, sommes des milliers à vous accompagner dans ce processus de transformation. Vous réaliserez que tout le système que vous avez bâti n’est qu’illusoire. Et vous ouvrirez enfin votre coeur à la Lumière en l’acceptant de tout votre être, sans peur aucune et sans hésitation. Voilà ce qui vous attend. Vous devez être prêts, et, nous vous le répétons, nous y veillons. Nous tenons à vous enseigner comment fusionner vos cellules avec l’énergie solaire, comment apprendre à reconnaître son essence en vous, à « ré » ouvrir vos capteurs solaires, et à vivre le Soleil en vous, la fluidité de la Lumière en votre corps physique afin de réunifier ce dernier et de rétablir les connexions entre tous vos corps multidimensionnels. Vous prendrez bientôt conscience de votre corps de Lumière et l’accepterez, comme vous acceptez présentement votre véhicule physique. Au fur et à mesure des temps qui viennent, ce dernier connaîtra des modifications profondes dans sa structure même, et l’élévation progressive de son taux vibratoire lui permettra de fusionner avec votre Être-Lumière. Vous serez ainsi pure Lumière.

Mais vous l’êtes déjà, n’est-ce pas?

Vous accepterez simplement de l’être et de rayonner cette lumière en conscience. Recevez ouvertement l’énergie de l’astre solaire dans votre corps, laissez-la s’écouler dans votre sang et vous parcourir totalement. Ainsi, de votre sang, cette énergie se diffusera dans vos cellules, dans votre peau, dans votre système immunitaire tout entier, votre coeur pulsera le Soleil et le Soleil pulsera en votre Être. Et, ainsi connectés à la Terre de par votre incarnation physique, et au Soleil par la réceptivité de ses rayons et de son énergie dans le noyau même de vos cellules, vous verrez la transformation déjà amorcée s’accélérer. Nous souhaitons partager. Nous désirons vous aider. Quel bonheur de pouvoir vous adresser nos vibrations! Quelle joie de vous voir sourire et éclore à la Lumière! Toutes les civilisations des Étoiles se joignent à vous en cette période de grand changement sur votre planète. Et nous sommes heureux de voir jaillir la Lumière du coeur des hommes.

Reliez-vous à nous en conscience, branchez-vous à nos énergies et vous recevrez par milliers les vagues de Lumière que nous diffusons à votre Terre. Nous, des Étoiles, serons de plus en plus nombreux à établir des liens et des contacts conscients avec vous. Nous sommes cette Unité. Vivez-la! C’est avec la Lumière que vous sortirez de la dualité pour vibrer sur nos sphères. N’oubliez pas, cependant, que vous avez choisi de connaître cette dualité. Vous avez pris la décision consciente, en accord avec votre âme et en résonance avec la Source d’Amour divin, de vivre votre incarnation.

Alors, nous vous le disons, et nous insistons sur ce point : vivez-la pleinement. Car ce n’est que par l’acceptation de votre incarnation que vous pourrez amorcer le processus d’Ascension. En expérimentant la dualité et la séparation, qui ne sont en fait qu’illusoires, vous permettez à l’humanité entière de vivre la transmutation de l’énergie physique en Lumière, soit l’Alchimie divine. N’oubliez pas que le concept de séparativité n’existe qu’en fonction de la force de vie que vous lui accordez, qu’il n’est qu’illusion, une illusion que l’on découvre dans l’incarnation. Vous êtes des Êtres de Lumière.

Vous êtes beaux! Regardez-vous ! Consentez à vous sonder profondément et vous apercevrez cette étincelle qui brille et pulse en vous. Cette étincelle, c’est vous. Et elle grandit de jour en jour, à mesure que vous reconnaissez le Divin en vous, que vous intégrez les qualités divines que vous portez par essence dans chacune de vos cellules. Votre corps physique recèle des trésors dont vous ne vous doutez point ! Toutes ces capacités endormies en vous vous seront révélées progressivement. Et, nous vous l’affirmons, cela se fera très rapidement. D’ici à 2005 vous aurez acquis des connaissances que vous ne soupçonnez même pas et qui, pourtant, sont déjà en vous.

Cette accélération du processus pour la Terre et l’humanité a été voulue et décidée en commun par les Grands Maîtres et les Conseils inter-stellaires qui veillent au mouvement de l’Univers. Tout est régi selon le Plan divin et l’Ordre cosmique. Nous souhaitons focaliser votre attention sur l’importance et l’acceptation de votre corps terrestre, physique, car il s’agit là de la première étape du processus; étape que vous avez tendance à vouloir dépasser trop vite… Pour voler, il faut d’abord apprendre à déployer ses ailes !

En prenant conscience de la Vie en chacune des cellules de votre corps, vous accordez sa place dans l’espace et le temps à votre existence terrestre et reconnaissez votre présence en tant qu’êtres incarnés. Cette prise de conscience vous amènera ensuite à connecter la Lumière en vous, en vos centres énergétiques. Vous réagirez alors comme des « capteurs » solaires. Vous pourrez « capter » l’énergie lumineuse divine, la diffuser dans votre corps, puis dans tous vos corps subtils, pour ensuite vous expanser dans la Lumière. La Lumière est en vous. Vous êtes Lumière. Nous vous demandons de rayonner cette Lumière par votre coeur, vers tous les hommes de la Terre, en conscience, chaque jour, vers chacune des personnes que vous croiserez. Ceci ne fera qu’accroître le potentiel lumineux en chacun et tissera des liens de Lumière toujours plus intenses à la surface de votre planète.

Nous, des Étoiles, vous envoyons notre Lumière. Amour et Paix aux Hommes de la Terre. Chandra, Hildon et Flex

 Le retour des Frères stellaires du peuple Inca par Nathalie Chintanavitch aux éditions Ariane Éditions

Publié dans:ASCENSION, LUMIERE, TERRE |on 28 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

L’INTÉGRATION DE LA FORCE D’AMOUR-LUMIÈRE

 

amour multidimensionnelIl ne sert à rien de vouloir décupler ces potentialités psychiques que vous assimilez à des capacités divines, si vous ne vivez pas d’abord l’Amour dans tout votre Être. L’accès à la connaissance universelle, dont les codes sont déjà gravés dans vos cellules physiques, n’est possible, je vous le répète, que dans l’Amour total. Car l’Amour est la clé qui ouvre la Porte des Univers. Lorsque vous aurez fusionné avec la Force d’Amour, c’est-à-dire quand votre véhicule physique, dans toute sa splendeur, sera en résonance avec la vibration de la flamme céleste en votre coeur, alors vous serez prêts à réactiver tous vos centres énergétiques et à recevoir la vibration solaire qui participe à l’élévation du degré vibratoire du corps humain en rééquilibrant le degré vibratoire du noyau même de vos cellules. « Comment vivre la Force d’Amour? » me demanderez-vous.

 En comprenant simplement que votre potentiel divin est déjà en activation. Chacune de vos cellules reçoit et diffuse la lumière d’Amour. Prenez conscience de cela. Vous êtes Lumière, vous êtes Amour. Et vous êtes uniquement cela! Car vos angoisses, vos peurs, vos colères ne sont pas vous! Elles ne sont que des substances que vous «croyez» être en vous alors qu’elles ne font que voiler qui vous êtes vraiment. Par l’Amour, transmuez. Par l’Amour, unifiez. Par l’Amour, fusionnez avec Dieu.

L’ouverture du coeur permet à la fois la réceptivité à la Lumière et la diffusion de la Lumière. Je souhaite vous enseigner une technique de visualisation intérieure qui favorisera une ouverture du coeur en conscience. Mais retenez bien que cela est indissociable d’une prise de conscience quotidienne de l’Amour en vous et autour de vous et qu’il est important de vivre la Force d’Amour dans votre réalité terrestre, au quotidien, et non pas seulement en méditant.

PREMIÈRE ÉTAPE: La Lumière de la Source, du Père divin, descend en un faisceau lumineux par votre tube pranique, traversant le chakra coronal, le centre Ajna, la gorge, jusqu’au coeur. Cette lumière tournoie de plus en plus vite dans votre chakra du coeur, augmentant ainsi les vibrations d’Amour- Lumière – L’intégration de la force d’Amour-Lumière à l’intérieur de votre corps physique. Cette boule de lumière dans la région du coeur s’intensifie, grandit et illumine votre poitrine entière. Diffusez alors cet Amour-Lumière aux chakras de vos mains en envoyant des faisceaux lumineux de votre coeur, par vos bras, jusqu’aux diamants des mains. Alors, avec le plus grand respect pour la Création, les paumes de vos mains tournées vers le ciel, envoyez votre Amour à la Source. Ainsi vous activez une première circulation triangulaire de Lumière divine dans votre corps physique et un échange réceptivité/diffusion d’Amour- Lumière de la Source.

DEUXIÈME ÉTAPE: Portez maintenant votre attention sur la Terre-Mère, sa lumière traversant votre tube pranique, les trois premiers chakras, jusqu’au chakra du coeur. De la même manière, la Terre-Mère gorge votre coeur de Lumière. Cette force d’Amour-Lumière grandit dans votre poitrine et vous la diffusez le long de vos jambes, jusqu’aux chakras de vos pieds. Par vos pieds, vous renvoyez alors, avec toute tendresse, toute douceur, cet Amour-Lumière au coeur de la Terre. Ceci constitue le second échange triangulaire d’Amour-Lumière. Il est important de souligner ici que la reliance à la Terre s’effectue par le premier chakra (racine) et non par les pieds comme vous avez généralement l’habitude de visualiser « l’enracinement». Le premier chakra constitue l’assise, la base, la Terre. La réception de l’énergie Terre par les chakras des pieds vous aide à prendre conscience de votre incarnation terrestre. C’est en quelque sorte un alignement énergétique Terre/Ciel très souvent employé dans vos techniques de méditation et, certes, efficace. Nous utilisons dans notre activation la réception de la lumière Terre par le premier chakra, car ceci constitue une circulation et contribue à une meilleure diffusion énergétique en tant que mouvement dans le corps.

TROISIÈME ÉTAPE : Les deux premières étapes assurent une circulation tridimensionnelle de votre Force d’Amour-Lumière à l’intérieur de votre corps physique, vers le Ciel et la Terre. La troisième constitue l’ouverture à la réceptivité de l’Amour-Lumière dans sa multidimensionnalité, c’est-à-dire la capacité de réception/diffusion de la Force d’Amour dans votre coeur durant votre incarnation terrestre de troisième dimension et dans les autres dimensions. Ainsi la lumière de votre coeur, qui tourbillonne en spirale, va former une première étoile à sept branches. Il s’agit là d’une activation de la réceptivité Amour-Lumière aux énergies des sept rayons. Vient ensuite se former une deuxième étoile qui se superpose à la première.

C’est l’étoile à 12 branches, qui ouvre le contact et la communication avec tous les Maîtres ascensionnés. Une troisième étoile se forme alors, son centre étant le même que celui des deux premières, soit la flamme divine de votre coeur. Cette étoile aux 144 000 branches grandit jusqu’à englober tout votre corps. C’est l’Étoile cosmique qui assure un échange intersidéral. Cette Une_étoile_illuminéetechnique donne lieu à une circulation intégrale de l’énergie Amour-Lumière dans votre corps physique et augmente le degré vibratoire d’Amour de vos cellules en activant la flamme de votre coeur. Ainsi préparé, votre corps physique prend conscience de la vitalité de ses différents centres énergétiques, qui acquièrent alors une ouverture plus conséquente, ce qui optimise la circulation énergétique lors des sept activations de la Porte du Soleil dont nous vous parlerons plus tard.

Prenez donc conscience de cette énergie d’Amour qui vous anime et vous unit. C’est cette Force qui permet de vaincre la dualité et de vivre la Lumière dans votre incarnation, qui vous permet aussi de réguler vos émotions parfois trop excessives et irraisonnées. La circulation triangulaire de l’énergie Amour/Lumière entraîne cette régularisation en agissant sur la tridimensionnalité de l’être humain. Nous, des Étoiles, disposons d’un système d’activation de l’énergie Amour-Lumière dans tout notre Être qui vous sera bientôt accessible, et cela facilitera votre avancement dans votre processus ascensionnel. Il s’agit d’un système complexe de rayons cristallins diffusés par des cristaux à facettes disposés à l’intérieur de cabines de forme ogivale et de taille humaine. Les faisceaux cristallins agissant sur la grille magnétique lumineuse de notre Être régulent les éventuels déséquilibres vibratoires et régénèrent notre système dans son intégralité. Vous serez amenés à utiliser ces stabilisateurs ioniques à énergie cristalline.

Nous, des Étoiles, souhaitons joindre nos énergies aux vôtres particulièrement lors de vos méditations, afin de vous aider à effectuer ce rééquilibrage intérieur de vos énergies. Faites appel à nous en conscience, et nous serons là avec vous. Vous sous-estimez encore vos capacités télépathiques, qui sont pourtant fondamentales pourrait-on dire, par rapport aux découvertes nouvelles qui vous attendent au cours des prochaines années. Alors nous vous le demandons, par télépathie adressez-vous à nous, des Étoiles, à vos frères extraterrestres et intraterrestres, à vos guides, à vos anges.

Nous sommes là pour vous aider dans votre processus d’éveil à la Lumière et d’Ascension. Permettez cet échange énergétique que nous vous proposons. D’ici à trois ou quatre de vos années, vous serez tous amenés à expérimenter et à vivre cette accélération du processus de transmutation de l’être humain. L’être humain incarné sera alors prêt à devenir l’être humain divinisé. Les trois passages primordiaux sont:

• l’intégration de l’Amour-Lumière dans votre incarnation,

• la modification de votre ADN et l’activation vibratoire de votre structure cellulaire,

• la réalisation de votre multidimensionnalité dans votre monde tridimensionnel.

Nous, des Étoiles, sommes heureux de pouvoir participer à ce grand événement que nous préparons depuis si longtemps pour les peuples de la Terre. L’intégration de la force d’Amour-Lumière Je Suis Chandra, de la civilisation ascensionnée des Incas, et je vous accompagne dans la Lumière.

 Extrait de LA DELIVRANCE PAR LE SOLEIL par Nathalie Chintanavitch aux éditions Ariane Éditions

Et la lumière fut

lumièreCouleur ? Lumière ? Pourquoi parler des deux ensembles ? « La lumière est une octave de fréquence dans le spectre électromagnétique. Cette octave est perçue par notre système visuel comme une série de couleurs : les couleurs de l’arc-en-ciel », explique Anadi Martel par ailleurs co-inventeur du Sensora – un système de soin utilisant des stimuli lumineux. Tout comme nous le voyons lorsqu’un prisme décompose un rayon de soleil, le rouge, l’orange, le jaune, le vert, le bleu, le violet… sont des fréquences particulières de la lumière, des vibrations lumineuses. Ainsi, parler de couleur nous conduit inévitablement à parler de lumière. « Il suffit de choisir une longueur d’onde dans la bande de rayonnement de la lumière pour voir apparaître une couleur. Mais le terme de couleur ne veut pas dire grand-chose. Il y a des milliers de rouges avec des longueurs d’ondes différentes, comme il y a des milliers de bleus ou de verts. Il convient de définir exactement le rayonnement électromagnétique avec lequel travailler », complète le Dr Agrapart soucieux d’exactitude.

Et c’est parce que la matière de notre organisme serait elle-même vibration, qu’une fréquence lumineuse pourrait interagir avec. En effet, la mécanique quantique nous informe que nos atomes sont composés de particules élémentaires qui sont par essence des paquets d’ondes – sauf lorsqu’ils sont mesurés auquel cas ils deviennent des particules. Nous savons aussi maintenant que l’organisme humain émet à tous les niveaux – atomique, moléculaire, cellulaire… – des ondes électromagnétiques. Cela est par exemple illustré par l’utilisation dans le milieu médical de procédés comme la magnéto ou encéphalographie, l’image à résonances magnétiques, des procédés qui captent nos signaux électromagnétiques. Ce n’est plus un mystère : notre corps physique est aussi un « corps énergétique ». Et ce n’est rien de nouveau. De nombreuses traditions parlent de l’existence d’anatomies énergétiques – méridiens d’acupuncture, chakras, nadis, aura… « L’idée est que la matière est une densification de la lumière et que différents stades de densification existent autour du corps physique. Cela forme des enveloppes énergétiques qui s’emboîtent comme des poupées russes », indique le Dr Dominique Bourdin, co-élaborateur de la Chromothérapie.

Dialogues colorés

« Lorsque nous comprenons que l’organisme est un ensemble de fréquences, nous comprenons que les couleurs qui sont des vibrations lumineuses spécifiques, peuvent entrer en résonance avec ses différents niveaux. Tout le travail consiste alors à étudier les couleurs et mesurer les modalités de leurs interactions avec les organismes vivants, afin d’avoir un effet thérapeutique », renseigne Ma Prémo, psychothérapeute co-développeuse du Sensora. Choix des fréquences lumineuses, de la zone et du mode d’application sur le corps humain, élaboration d’un temps et d’un rythme d’exposition… Les possibilités sont nombreuses. Utilisation de pigments, de supports colorés, de filtres de couleurs, de lasers de faible niveau, de lumière continue ou pulsée, d’applications externes ou interne… Il n’existe pas « une » forme de thérapie par la couleur, mais de multiples alternatives qui sont plus ou moins simples et accessibles par tout un chacun, ou médicales et nécessitant une technologie avancée.

Les effets ? Nombreux. Tant sur le plan physique, qu’énergétique ou psychologique. « Prenons une maîtresse de maison qui vient de se brûler. Vous irradiez. La douleur disparaît dans la demi-heure qui suit et la cicatrisation se fait en 24h. Une autre possibilité est de travailler sur les yeux auquel cas, vous informez directement le cerveau. Cela peut avoir un impact sur les déséquilibres psychiques. Enfin, vous pouvez travailler sur les points d’acupuncture, l’approche devient encore plus complexe », spécifie le Dr Agrapart, neuropsychiatre et acupuncteur. « J’ai vu des cas qui frisent le miracle. Des personnes descendues à 35 kg à cause de cancers très avancés, ont repris leur poids normal en l’espace de deux mois et certaines se imagessont guéries. Et c’est sans compter les résolutions émotionnelles que nos soins peuvent provoquer », rapporte le Dr Bourdin qui propose, entre autres, avec la Chromothérapie des cycles de couleurs. Certaines expériences d’élargissements de conscience pourraient même être au rendez-vous.

Voyages psychiques

« Le cerveau a cette tendance naturelle d’entrer en résonance avec un stimuli externe. Lorsque nous l’exposons à des pulsations lumineuses, nous pouvons l’entraîner à aller dans des fréquences correspondant à différents états mentaux. Nous pouvons donc induire des états de conscience élargie qui peuvent être utiles dans le traitement de troubles psychologiques », renseigne Anadi Martel.

Gisèle, qui souffre de dépression, est allongée sur le fauteuil du Sensora. Plongée multisensorielle : la séquence de couleurs proposées est accompagnée d’un bain sonore, le fauteuil sur lequel elle est allongée lui impulse aussi de fines vibrations. Gisèle se détend progressivement. Surprise, elle se voit dans un lac, accompagnée d’un enfant. L’expérience est intense, elle sent qu’il se joue des choses importantes pour elle. Percevant des trésors au fond du lac, elle fait rentrer l’enfant à l’intérieur d’elle afin de le protéger et de pouvoir plonger. « Là je vois des rayons, des couleurs, la vie, les poissons qui sourient, le sable doux. Ils nous bercent dans leur valse », témoigne-t-elle. Gisèle a la sensation d’être redevenue entière. Elle se sent en contact avec une source de vie précieuse qui lui fait comprendre que tout ne fait qu’un. Cette séance sera décisive dans la progression de son état. « Cette combinaison particulière d’éveil et de relaxation est induite par la modulation de lumière, sans aucun effort conscient de la part des sujets. Elle a des points communs avec les états méditatifs et possède un grand potentiel d’intégration thérapeutique », conclu une étude clinique menée en 2013 sur le Sensora et publiée dans le Journal of advances in Mind-body medicine. La couleur pourrait être aussi nous faire voyager dans d’autres dimensions ?

Myriam Gablier www.inrees.com

 

Publié dans:LUMIERE |on 19 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

LES ASTRES NOUS NOURRISSENT DE LUMIERE

 

Le Soleil et la Lune représentent le couple par excellence ; le Soleil a toujours été honoré et la Lune aussi, mais aujourd’hui ces deux astres entrent en mutation afin de vous donner la nourriture, la lumière dont vous avez besoin pour ancrer cette réalité dans laquelle nous vivons nous-mêmes. Durant cette mutation, vous ne pourrez pas enterrer votre passé ni renier vos forces antérieures ; vous les amènerez plutôt dans les nouvelles énergies et leur rendrez grâce parce qu’ils acceptent de rentrer en mutation pour vous aider et d’accomplir ce geste dont vous avez besoin pour nourrir, ensemencer cette sphère de visions nouvelles. Vous êtes porteurs de visions et de réalisations que cette Terre n’a pas encore connues. Ce n’est pas de votre ressort ni du nôtre. Nous sommes nés avec ces visions parce que le Grand Constructeur nous les a données, ce sont SES visions. Dans votre quotidien, la lumière de votre coeur va commencer à émettre.

 LES ASTRES

Si vous acceptez ce rayonnement nouveau, vous traverserez avec aisance les perturbations à venir. Si vous le refusez, vous créerez vous-mêmes des perturbations de manière à casser cette rigidité qui vous empêche de rentrer de plein droit dans votre royaume, dans votre identité. Les épreuves ne servent qu’à casser les schémas construits, acceptés lorsque l’on s’incarne. Vous n’avez plus besoin de ces patterns restrictifs et pouvez les déposer, simplement les honorer, les remercier et les aimer ; ils ont effectué tout leur travail, vous ayant conduits à ce que vous êtes aujourd’hui, c’est-à-dire à un retour dans la conscience de vous-mêmes, dans la grandeur de vous-mêmes, dans la divinité de vous-mêmes, dans la maîtrise de vous-mêmes.

Je n’apporte rien de nouveau, je suis celle qui détient des énergies particulières ; à votre demande, je viens vous restituer le dépôt que vous avez fait il y a un temps déjà. Alors j’emploie des mots, des mots clés, réveillant cette mémoire à l’intérieur de vous qui est la vôtre et non la mienne. 

Ce premier jour se termine et, encore une fois, j’espère que vous avez repris conscience un petit peu plus de cette géométrie sacrée qui est en vous, qui forme cette identité que vous portez et que vous allez amener à sa plus haute expression, du moment peut-être, mais ce sera bien ainsi. 

Nous n’attendons de vous rien d’autre que ce que vous avez décidé. Aus si, si mes mots soulèvent des mémoires, c’est que vous avez choisi à travers eux d’ouvrir cette porte que vous allez franchir et que vous travaillerez avec cette mémoire, cette énergie. J’ouvre des portes, des canaux, des réservoirs, mais les énergies, les dépôts, vous seuls les avez placés, et personne d’autre. Si vous vous retrouvez dans la situation de devoir vous adresser aux autres, c’est que vous avez opté pour cette place ; si vous avez décidé de travailler avec vos mains, c’est toujours en réponse à ces premiers choix. 

Au fil de ces trois jours, je vais relier chacun de vous à son contrat suprême. Celui-ci est ce qu’il est, c’est le vôtre. Par conséquent, chacun recevra une force correspondant à l’ouverture de ce contrat. Certains l’auront immédiatement en conscience, d’autres l’auront dans une semaine, un an ou dix ans, eux seuls le détermineront. Chose certaine, j’effectuerai ce travail pendant ces trois jours. Nous avons déjà commencé, déversant vers cette planète, par le coeur de ce cercle, une qualité d’amour visant à l’aider à reconstituer ses forces et ainsi à lui éviter d’entrer en trop profonde mutation pour rétablir ses forces. 

Il y a un temps pour la parole, il y en a un aussi pour le silence et, aujourd’hui, le silence vous nourrira de manière à intégrer les énergies déjà descendues vers vous. Les cercles de paroles sous notre directive ou celle d’un autre maître, d’une autre entité recevront toujours notre appui, car ils représentent tous une matrice forte en service et que nous animerons des meilleures pensées possibles. 

Nous voulons simplement terminer cette journée en vous disant que nous vous aimons beaucoup et que ce beaucoup ne reflète pas la réalité. Nous vous aimons et vous remercions de tout votre travail conscient et inconscient. Soyez en paix avec vous-mêmes. Vous avez trouvé votre place, même si vous n’avez pas encore réussi à y mettre un mot ou un visage. 

Demain, nous reviendrons et partagerons encore ces instants, de façon à ancrer davantage l’ouvrage effectué aujourd’hui. Pour l’heure, la charge d’énergie reçue étant déjà forte, nous clôturons cette première journée.  Nous vous remercions de votre présence et d’avoir ainsi répondu à notre souhait. 

Paix à vos coeurs, à vous-mêmes et à vos esprits.

EXTRAIT – Le Collectif SORIA se positionne autour de cette planète et sur une trajectoire prédéterminée en vue de canaliser les énergies descendantes. Notre travail consiste surtout à conduire les énergies nouvelles véhiculées par l’Éther depuis le coeur du Sans-Nom !

 

Publié dans:ASTROLOGIE, LUMIERE |on 7 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

Chaque défi est l’occasion d’un miracle

 main-paillettes

« Nous faisons tous face à des problèmes, parfois graves, à un moment ou à un autre. Pourtant, alors que nous pensons en avoir plusieurs de nature différente, en réalité, nous n’en avons qu’un : notre séparation d’avec Dieu. Une fois que nous nous sommes réalignés avec la Vérité de notre être, ce qui est faux ne peut plus subsister longtemps en notre présence.
 
Récemment, j’expliquais à ma fille que la vie, il ne s’agit pas d’éviter les problèmes : il s’agit de devenir quelqu’un qui sait comment les accueillir de façon positive. Il s’agit de prendre l’entière responsabilité de ce que nous avons pu faire pour contribuer au problème, de nous pardonner et de pardonner à autrui, de prier pour toutes les personnes concernées et de cultiver notre foi que les miracles divins sont en route vers nous.
 
Avoir un problème n’est pas nécessairement une mauvaise chose ; s’il survient, c’est qu’il fait partie du curriculum conçu par Dieu comme expérience d’apprentissage pour tous les partis impliqués. Or, une fois que nous avons affronté les problèmes et reçu les miracles les résolvant, une des convictions que nous acquérons est que les miracles s’accomplissent. Les miracles viennent de la conviction, et rien ne nous convainc davantage que d’être rescapés du fond du puits où nous sommes tombés.
 
Dieu peut démêler l’écheveau des énergies dysfonctionnelles qui envahissent une situation : Il le fera si nous la remettons entre Ses mains. En imaginations, infusez de lumière la situation qui vous trouble. Relâchez l’emprise de vos attitudes. Voyez la situation comme une leçon – la possibilité de démontrer le pouvoir miraculeux de Dieu de guérir toute chose – et remettez-là entre les mains de Dieu en Le remerciant. Sentez qu’en tant qu’individu, vous ne portez plus le problème sur vos épaules et vous n’avez plus à le résoudre. Déployez-vous dans l’infinité de votre être et de là, tournez votre attention vers le problème et sa solution. De cette manière, vous ajoutez à votre capacité de faire face une dimension supplémentaire de pouvoir. Nous héritons des règles du monde auquel nous nous identifions. Quand nous nous identifions uniquement à l’Esprit, il n’y a plus de règles, sauf celles de l’amour et de la miséricorde. »

 

« Mon Dieu
Je dépose ce problème sur Ton autel.
Je Te demande d’interpréter cette situation à ma place.
Fais que je ne vois que l’amour en l’autre et en moi.
Montre-moi ce que je dois voir.
Montre-moi ce que je dois faire.
Aide-moi à pardonner.
Libère mon esprit de la peur.
Merci, mon Dieu.
Amen.« 

Morceaux choisis extraits des pages 64 et 65 du livre Le changement : Un cadeau inestimable, chapitre 3 intitulé De la Pensée négative à l’Amour positif, de Marianne Williamson. Paru au Editions du Roseau en 2006.

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Au sujet de l’auteure : Marianne Williamson
Ecrivaine américaine de renommée internationale, auteure de nombreux ouvrages traduits dans plus de vingt langues, et du célèbre texte Jouer petit ne sert pas le monde, lu par Nelson Mandela lors de son discours d’investiture, Marianne Williamson a commencé à étudier Un Cours En Miracles en 1978. Elle est l’une des nombreuses personnes dont la vie a été transformée par ce programme autodidactique de psychothérapie spirituelle.
 
En 1992, elle écrivait un premier ouvrage de réflexions sur les principes du Cours, intitulé Un retour à l’Amour. Vingt après elle publie Le Changement : Un Cadeau Inestimable.
 
« Il y a vingt ans, je considérais la sagesse d’Un cours en miracles comme un outil de transformation individuelle ; aujourd’hui, je la vois comme une moyen de changer le monde. Mais surtout, je constate à quel point ces deux visions sont intimement liées. Voilà pourquoi j’ai écrit ce livre : Je souhaite à nouveau réfléchir – et encore plus profondément, je l’espère – à certains des principes d’Un Cours en Miracles. » – Marianne Williamson.
 
Depuis plus de trente ans, elle a animé des conférences et des séminaires basés sur les concepts du Cours.
 

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Publié dans:LUMIERE, PRIERE, VIDEOS à voir |on 19 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Les Solaires de juin 2015

 

Soyez paisibles et ne soyez pas préoccupés lorsque vous vous sentez secoués et non alignés…

Frères et Sœurs de Lumière nous vous saluons.

Depuis un moment de votre temps que nous sondons vos âmes et vos cœurs, nous entendons :
« Que font-ils donc ces solaires ?
Pourquoi ne donnent-ils plus de messages ?
Est-ce qu’ils existent réellement ? »

À ces questionnements, nous voulons vous répondre

galacticNous ne cherchons pas de disciples, nous ne souhaitons pas que notre présence soit comme une habitude et nos messages comme un moment à passer puis à oublier dans l’attente du message suivant.

Il y a, en ce moment en vous et sur votre planète, des éléments d’une grande importance qui font que les changements vibratoires naturels de votre terre, ajoutés aux perturbations créées volontairement, désorganisent votre temps, votre psychisme et votre physique.
Vous pouvez en conséquence vous sentir secoués et soumis à des hauts et des bas semblables à vos climats.

Il n’est plus temps pour l’humanité de créer de nouvelles dépendances dues bien souvent à la peur du futur, mais il est grand temps pour vous tous et toutes d’expérimenter le lâcher-prise sur les diverses situations qui vous semblent préoccupantes et compliquées en ce moment.

Nos interventions ne sont pas aléatoires

Nous intervenons d’une manière qui peut vous sembler totalement aléatoire bien que ce ne soit pas le cas. Nous le faisons cette fois car, durant les prochains mois, nous savons combien vous, dans votre totalité, serez soumis à des tempêtes intérieures et extérieures qui vous paraîtront submergeantes.

Nos Frères et sœurs des étoiles apparaîtront d’une manière bien plus évidente aux yeux de tous dans les prochains mois. Cependant, d’autres êtres venus d’autres mondes et aussi du vôtre, feront des apparitions qui sembleront identiques afin de créer plus de confusion encore. Il s’en suivra un semblant de guerre des étoiles et nous disons bien “un semblant” car les envahisseurs ne sont pas ceux que l’on voudra vous faire croire.

Les frères et sœurs de l’ombre misent sur la peur qu’ils savent éveiller en vous pour vous soumettre à de nouvelles conditions de vie qui seront inacceptables. Vous n’avez pas la puissance de ceux qui vous gouvernent mais vous avez un pouvoir bien plus grand qui est celui de dire “oui” ou “non”. Sans votre assentiment rien ne peut avoir lieu, soyez-en suffisamment persuadés pour agir en conséquence.

Les temps sont comptés

Les temps sont comptés et des frères et sœurs des étoiles suggèrent des changements importants à ceux qui vous dirigent mais également à vos gouvernants qui, même s’ils n’ont pas un pouvoir réel, peuvent prendre des décisions qui feront basculer le monde.

Soyez confiant(e)s, les tempêtes sont semblables à ce que votre sœur nomme souvent “le chant du cygne” et qui correspond à la mort d’un ancien mode de vie. Vous les traverserez et serez à nouveau dans l’équilibre, cependant nous vous conseillons ceci afin de prendre la traversée plus douce.

Qui êtes-vous vraiment ?

Ne soyez pas trop exigeants avec votre organisme physique, ne poussez pas votre corps dans ses retranchements, il pourrait s’y perdre.
Soyez attentifs à vos besoins, notamment aux demandes de votre âme que peu connaissent vraiment. Sachez simplement être à l’écoute et faites des choix en correspondance avec ce que vous êtes… mais savez-vous au juste, qui vous êtes en dehors du rôle que vous avez pris dans cette vie ?

Nous ne répondrons pas pour vous à cette question, apprenez à vous faire confiance non pas de manière anarchique en suivant ce que vos émotions vous dictent mais en écoutant votre intuition supérieure. Pour cela, et nous vous le répétons à nouveau, il est important que vous preniez quelques minutes par jour avec vous-même, simplement dans le silence intérieur de votre âme. De cette manière votre contact avec la partie de vous la plus subtile se fera.

Il n’est guère besoin à l’heure actuelle de vous retirer de la vie quotidienne. Elle est votre plus grand instructeur. Il est simplement besoin que vous ouvriez la porte à une partie de vous qui ne demande qu’à prendre place.

La grande confusion

Nous savons et nous voyons combien nombreux sont ceux qui ne savent plus à qui faire confiance. Nous vous l’avons souvent répété : le moment de grande confusion est déjà présent et continuera jusqu’à ce qu’en vous la clarté se fasse.

Pour cela il n’est nul besoin de faire des exercices compliqués.
Il est plutôt question de regarder autour de vous sans juger car le fait de juger absorbe déjà une partie de votre énergie et vous rend plus faible face aux influences extérieures et aux sollicitations qui ne manqueront pas de se faire.

Puis après avoir regardé ou écouté ce qui se dit ou ce qui se passe dans votre monde, faites une pause de quelques minutes afin de vous tourner à l’intérieur de vous et de vous poser cette question : cette information amène-t-elle un élément essentiel à ma vie et à la vie en général ? Vos émotions peuvent vous faire penser que “oui c’est important” mais si vous sondez votre cœur vous vous apercevrez qu’en fait bien peu des informations dont on vous inonde ont une importance réelle.

Ce qui est dit et ce qui est…

Il y a ce qui vous est dit et ce qui est, et actuellement la confusion, volontairement créée, fait en sorte qu’il vous semble compliqué de faire la différence.

Peu importe ! Soyez présents à ce qui vous paraît essentiel et qui tient souvent en peu de mots : l’Amour est-il au rendez-vous ?
En fait l’Amour est partout mais vous ne le percevez plus tant il est masqué par ce qui n’est pas lui.

Soyez donc paisibles et ne soyez pas préoccupés lorsque vous vous sentez secoués et non alignés. Il s’agit de réajustements dans votre corps et votre âme pour continuer la route dans un monde en grande mutation.

Nous avons une complète confiance en vous et nous vous aimons et nous vous saluons,
Les Solaires.

Message des Solaires, reçu le 08 juin 2015 par
Anne Givaudan www.sois.fr

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net

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