Archive pour la catégorie 'LOI NATURELLE'

SACHEZ ILLUMINER VOTRE SENTIER

 

espace-13Bonjour mes chers Enfants de la Terre,

Vous vous attendez à ce que je vous parle de nouveau de l’Ascension de la Terre ? Et bien non, pas spécifiquement, mais de vous, de votre devenir.

Votre futur proche

Votre futur immédiat est incertain, emplit de peurs et de craintes, de doutes de vous-même, de vos capacités à surmonter les difficultés s’ouvrant à vous… cela, vous le savez.

Mais savez-vous de quoi sera fait votre futur proche ? Et là, je parle du court terme… Non, vous ne le savez pas… vous vous efforcez de le deviner, de l’imaginer… mais vous refusez de voir la réalité, cette réalité que votre âme connaît, qu’elle attend, et non pas tous ces événements qui se passent actuellement et qui sont à venir.

Votre mental imagine le pire : la destruction totale de la planète, de votre planète la Terre, et de sa population… et imagine les pires scénarios dignes des scénarios apocalyptiques auxquels votre presse de désinformation vous abreuve quotidiennement…

Votre âme, étincelle divine, sait que tout cela est faux et seulement destiné à vous masquer la vérité, à vous empêcher de progresser en activant le processus de peurs.

La Lumière

Votre âme sait que derrière l’ombre, derrière ce paravent de peur, se trouve la Lumière. D’ailleurs, ce mot « ombre » est inapproprié, car il divise « le bon grain de l’ivraie », le « bon du mauvais », le « blanc du noir »… En fait, il a été créé lorsque l’expérience de la dualité vous a été nécessaire.

Aujourd’hui, ce n’est plus le cas, vous devez sortir de cette dualité qui vous a tant pesée depuis 2000 de vos années. Non, aujourd’hui il est temps pour vous d’expérimenter le chemin conduisant à l’unicité, à la Lumière. C’est pourquoi, ici, nous préférons parler de « non-lumière », de « faible lumière », de « forte lumière »… de Lumière !

Vous l’avez compris, nous préférons évoquer le sentier lumineux conduisant à la Lumière, plutôt qu’exprimer la dualité du « blanc et du noir », et d’opposer quelque chose à la Lumière. Votre chemin, qui pour beaucoup est encore peu lumineux, est en train de le devenir et le deviendra de plus en plus.

Certes me direz-vous, certaines personnes de mes connaissances sont loin d’être lumineuses… Oui, elles peuvent être encore dans la partie « non-lumière » ou « faible lumière » du sentier lumineux, mais cela fait partie de leur expérience de Vie qu’elles ont choisi. Se sentant en « sécurité » ou en « phase » avec la non-luminosité de cette 3e dimension que vous venez d’expérimenter durant plusieurs millénaires, elles ont choisi, pour l’instant de rester dans cette illusion de sécurité, qui correspond à leur degré d’avancement sur le chemin de leur évolution.

C’est pourquoi ces personnes sont maintenant prêtes à prendre le chemin de plans de conscience leur correspondant mieux et où elles pourront progressivement expérimenter le passage de la « non-lumière » à la « faible lumière ». Passage que vous expérimentez actuellement, ou avez déjà expérimenté.

C’est pourquoi, dans un futur proche, vous allez assister à de très nombreux départs de proches et de non-proches. Et n’oubliez pas : n’oubliez pas : ce qui compte ce n’est pas la couleur de l’ascenseur, mais le niveau où il vous emmènera chacun, pour rejoindre le plan de conscience correspondant à son avancement sur le sentier lumineux.

Qu’est-ce que le sentier lumineux ?

Le sentier lumineux, quel est-il et où se trouve-t-il, me direz-vous ?

Il est tout simplement l’expression lumineuse de votre progression sur le chemin de votre évolution. Il est en vous et vous en faites partie. Votre sentier lumineux est votre création. Il est en votre pouvoir de le faire devenir de plus en plus lumineux.

Comment progresser sur le sentier lumineux ?

Et bien tout simplement en ouvrant votre cœur, comme nous vous l’avons dit maintes et maintes fois, en libérant l’Être de Lumière qui est en Vous, enfoui au plus profond de votre cœur.

Ainsi que nous vous l’avons déjà dit maintes et maintes fois : SOYEZ et RAYONNEZ et vous verrez votre sentier devenir de plus en plus lumineux.

N’oubliez pas mes chers Enfants de la Terre qui lise ces lignes, Vous êtes venus cette fois-ci expérimenter la Lumière. Aussi, ouvrez votre cœur et laissez s’exprimer la Lumière en vous… rejoignez celles et ceux qui progressent sur le chemin de leur évolution, sans regarder derrière eux. Vous verrez votre Sentier devenir de plus en plus lumineux, sans jamais faiblir, car les lois divines sont ainsi conçues que la Lumière ne peut faiblir, mais seulement éclairer de plus en plus.

Ce qui veut dire que ne pouvant régresser sur le chemin de votre évolution, mais seulement progresser, votre Sentier ne peut devenir que de plus en plus lumineux.

Oui bien sûr, par moments, vous pouvez penser qu’il est très sinueux, qu’il fait des détours inutiles… mais en fait, il ne fait que suivre scrupuleusement le chemin de votre évolution, dont vous êtes le seul maître et sur lequel, seulement vous et vous seul, pouvez décider de progresser ou de faire une pause. Comme je vous l’ai dit tout à l’heure, votre Sentier Lumineux n’en est que l’expression… lumineuse !

Vous avez le choix de votre propre progression

images (4)Comme vous le savez, tous les chemins mènent au même endroit : à la Lumière. Vous, vous avez le choix de la direction, de l’orientation, qui vous fera avancer plus ou moins directement, plus ou moins rapidement.

N’oubliez pas que vous êtes un Être de Lumière, sous une carapace physique… le véhicule de votre âme… Vos proches, les personnes que vous rencontrez, que vous croisez, le sont aussi. Votre seule différence avec eux, qui n’a rien à voir avec le véhicule, est la volonté, les que vous pouvez faire, de progresser plus ou moins rapidement qu’eux.

Vous avez toutes et tous la capacité de sortir des zones de différents niveaux de lumière pour rejoindre La Lumière… Mais, le souhaitez-vous en votre âme ?

Aujourd’hui, beaucoup d’entrevous semblent se trouver à une « croisée » de chemins : soit emprunter une voie permettant d’accéder rapidement à la Lumière, soit de faire un détour, de prendre son temps… Consciemment, ils sont dans l’expectative, ne savent plus quoi penser, car ils ne parviennent pas à percevoir ce que leur âme a choisi pour leur futur proche… Ils s’en remettent aux voix de la désinformation et laissent à d’autres le choix de leur direction…

Respectez le choix des autres

C’est peut-être aussi cela qu’ils sont venus expérimenter… aussi, respectez leur choix, même si vous pensez qu’ils sont dans l’erreur et que vous souhaitez « pour leur bien » les ramener dans le « droit chemin ».

Oh non ! Ne faites rien de tel, laissez-les expérimenter pleinement ce que leur âme a choisi d’expérimenter ; ce qui correspond à leur degré d’avancement sur le chemin de leur évolution… se traduisant bien entendu par la luminosité de leur Sentier.

Aussi, je vous en conjure mes chers Enfants de la Terre, ne portez pas de jugement sur les faits et gestes des autres, sur leurs décisions, sur leurs choix d’expérimentation. Laissez-les vivre pleinement leur expérience avec leur libre arbitre total, sans chercher à les influencer dans un sens ou un autre, car ce faisant, vous influez également conjointement sur votre propre progression.

Aidez celles et ceux qui le souhaitent, mais n’essayez pas d’imposer votre propre vision de la progression aux autres, qu’ils soient proches, voire très proches de vous ou non. Soyez aidant à ceux qui e souhaitent, mais pas influents, même en pensées… car vos pensées ont un énorme pouvoir, bien au-delà de ce que vous pouvez imaginer.

Le moteur de votre progression : l’Amour !

Par contre, oui, envoyez des pensées d’amour à tous ceux, sans distinction, que vous voyez être dans des endroits, des zones, très faiblement éclairés, manquant de cette énergie de Lumière dont vous disposez.

La seule façon de progresser et d’aider tous ceux qui le souhaitent, à progresser, se résume à un seul mot : AMOUR. C’est l’amour de l’autre que vous pouvez l’aider à rendre son Sentier de plus en plus lumineux, et non pas lui disant « fais ceci » ou « fais cela »…

La lumière est disponible pour tous, pour tous ceux qui le souhaitent. Mais encore faut-il qu’ils le souhaitent maintenant…

Illuminez votre Sentier…

Mes chers Enfants de la Terre, vous êtes venus participer à cet événement magnifique qu’est l’émergence du Nouveau Monde, que va découvrir dans un futur proche toute la population de la Terre, qui en a fait le choix… le choix de rendre son Sentier de plus en plus lumineux. C’est en empruntant la voie de l’amour, lorsque vous avez choisi ou que vous choisissez votre direction, que votre Sentier vous conduira directement à la Lumière, qui rayonne déjà dans le Nouveau Monde.

Ce Nouveau Monde qui vous attend, qui vous ouvre ses portes, est l’aboutissement de votre cheminement, dans cette expérience que vous vivez actuellement… expérience qui se trouve être exprimée par vos Sentiers Lumineux.

Mes chers Enfants de la Terre
Je vous y attends, avec tout mon amour

 Hilarion

Message du Maître Hilarion, reçu le 21 octobre 2014 par Jean-Paul Thouny

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net

Publié dans:LOI NATURELLE, LUMIERE |on 18 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

Ma conscience est-elle uniquement la mienne ?

Source INREES

La conscience est la faculté mentale d’appréhender de façon subjective les phénomènes extérieurs (par exemple, sous la forme de sensations) ou intérieurs (tels que ses états émotionnels) et plus généralement sa propre existence. Pourtant, de récentes découvertes scientifiques nous proposent de reconcevoir ce modèle sous une forme plus large…
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La conscience est le fait le plus intimement et immédiatement connu de notre réalité. Celle dont nous disposons tous est unique à chacun et nous accompagne depuis la naissance jusqu’à la mort. Pourtant, il se pourrait que ma conscience ne soit pas entièrement et uniquement la mienne. Les liens qui la relient à la conscience des autres, liens bien connus des peuples aborigènes dits primitifs mais très avancés à de nombreux égards, sont redécouverts de nos jours lors d’expériences bien planifiées grâce à la transmission de pensées et d’images, ainsi que par le constat de l’effet d’un esprit humain sur le corps d’un autre humain. [...]

Les découvertes actuelles les plus avancées sur la conscience humaine rappellent la déclaration faite par Einstein il y a un demi-siècle : « L’être humain est partie intégrante de tout appelé « univers », une partie limitée dans le temps et l’espace. Il fait l’expérience de ses pensées et de ses émotions comme quelque chose de dissociée du reste, en fait comme une sorte d’illusion d’optique de sa conscience. Cette illusion est en quelque sorte une prison pour lui, une prison qui le restreint à prendre des décisions purement personnelles et à donner de l’affection aux quelques personnes seulement qui lui sont les plus intimes. » Alors que, selon le point de vue traditionnel, la communication et l’interaction humaines se ramènent à nos sens (tout ce qui est dans l’esprit, dit-on, doit d’abord être passé par l’œil ou l’oreille), les chefs de file en psychologie, en psychiatrie et dans le domaine de la conscience redécouvrent ce que Einstein avait compris et que les vieilles cultures ont toujours su, c’est à dire que nous sommes aussi liés les uns aux autres par des liens subtils et généralisés. Actuellement, les ouvrages scientifiques qualifient ces liens de transpersonnels.

Les sociétés traditionnelles n’ont jamais considéré les liens transpersonnels avec des personnes, des tribus ou d’autres sociétés modernes. L’esprit moderne n’est pas prêt à accepter la réalité comme étant autre chose que du manifeste, des objets que l’on peut littéralement prendre en main (manus, du latin, signifie « main »). Par conséquent, les liens transpersonnels sont tenus pour paranormaux et seulement acceptés dans des conditions exceptionnelles.

Et l’une de ces exceptions renvoie aux situations où des jumeaux homozygotes (identiques) sentent à distance la douleur ou la souffrance l’un de l’autre. On s’est longuement penché sur ce phénomène. Guy Playfair, l’auteur du livre Twin Telepathy, a remarqué qu’environ trente pour cent des jumeaux font des expériences de liens télépathiques. Il cite à cet effet une émission télévisée datant de 1997 où quatre paires de jumeaux homozygotes ont subi des tests. Leurs ondes cérébrales, leur tension artérielle et leurs réactions électrodermales ont été rigoureusement mesurées et enregistrées. Un des tests visait à déclencher une alarme bruyante installée derrière le dossier de la chaise sur laquelle était assis l’un des deux jumeaux, qui ne s’y attendait pas. Chez trois paires de jumeaux sur quatre, on enregistrera chez le jumeau correspondant la répercussion du choc, même si ce dernier était enfermé dans une pièce insonorisée et éloignée de son jumeau. Les jumeaux chez qui l’expérience avait réussi furent invités à participer à l’émission, cette transmission télépathique d’information se produisit, bien que le jumeau « receveur » fût incapable de décrire ce qui était arrivé à son jumeau. L’animateur en conclut que les jumeaux avaient hors de tout doute perçu quelque chose quelque part.

Les jumeaux identiques sont les plus frappants des duos de personnes fortement liées. On a observé une forme de télépathie semblable chez tous les gens unis par un lien profond, entre autres les mères et leurs enfants ; les amoureux, les vieux couples, ainsi que les grands amis. Dans tous ces cas, nous devons reconnaître – mis à part les psychologues les plus conservateurs – l’existence d’un certain contact transpersonnel. Mais seuls les psychologues ayant une exceptionnelle largeur d’esprit admettent que ce contact transpersonnel suppose également la possibilité de transmission de pensées et d’images, et que cette faculté est le propre de bien des gens, sinon de tous. C’est du moins ce que les dernières expériences en la matière confirment. Les pouvoirs télépathiques des gens, c’est-à-dire leur faculté à transmettre des pensées et des images, ne sont ni un rêve ni une erreur de lecture des résultats d’expériences. Toute une gamme de protocoles expérimentaux ont été mis au point, dont la procédure de réduction du bruit connue sous le nom de technique Ganzfeld, et la méthode très rigoureuse de l’influence mentale à distance sur les organismes vivants (de l’anglais, DMILS pour Distant Mental Influence on Living Systems). Dans ces expériences, toutes les éventualités n’ont pas fait le poids pour remettre en cause des résultats statistiquement significatifs. Il semblerait que presque tout le monde soit doté de dons paranormaux. 

Extrait du livre « Science et champ akashique » (Editions Les Arènes)
Par Ervin Laszlo – 22 septembre 2005

La suite du dossier « Bonnes feuilles quantiques »

Ma conscience est-elle uniquement la mienne ? dans DEVELOPPEMENT couv_23Science et Champ akashique – Tome 1, Ervin Laszlo
Editions Ariane (Juin 2008) 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, LOI NATURELLE |on 28 juin, 2014 |Pas de commentaires »

Histoire d’espace

Jean-François Clervoy, astronaute français de l’Agence spatiale européenne, est allé trois fois dans l’espace. Un témoignage extraordinaire qui nous fait vivre l’espace de l’intérieur. Et quand on atterrit, les choses ne sont plus jamais les mêmes…

Histoire d'espace dans ASTROLOGIE vol1

La première nuit, nous décidons de faire semblant de nous coucher, en éteignant toutes les lumières dans la cabine à l’heure prévue. Grâce aux milliers de capteurs dont les données sont transmises par radio vers la Terre, le sol décrypte tout ce qui se fait à bord de la navette.

Face à leur console, les contrôleurs voient à distance jusqu’au maniement des interrupteurs : par exemple, ils visualisent très bien le trajet aller et retour d’un membre d’équipage qui se « lève » au milieu de son sommeil pour aller aux toilettes et allume les plafonniers sur son chemin. 

Nous avons donc tout préparé comme si nous allions dormir. Puis, à l’insu des contrôleurs de vol, nous sommes restés éveillés plus longtemps dans le cockpit supérieur, pour regarder et admirer la Terre pendant une heure ou deux. Le tour de la Terre se fait en une heure et demie. Nous faisons ainsi 16 tours du monde par jour. Pendant cette heure et demie, la Terre a tourné sur elle-même de 1/16e de 360°, soit 22°. Tout ce qu’on survolait à un moment donné s’est décalé vers l’est de 22° au passage suivant, une orbite plus tard. Depuis notre altitude de six cents kilomètres, on voit jusqu’à deux mille huit cents kilomètres à la ronde. En réalité, on ne voit nettement que la moitié la plus proche. Le reste, à l’horizon, est plus diffus. Depuis Cap Canaveral, dont la latitude est la même que celle du Caire, nous sommes partis en tirant plein est. Un quart d’orbite plus tard, on est sur l’équateur. Un quart supplémentaire plus tard, on est encore plus au sud, à trois mille kilomètres sous l’équateur. L’orbite alterne ainsi du nord au sud de l’équateur. On reste à survoler une bande qui fait six mille kilomètres de large à cheval sur l’équateur. Et le regard vers l’horizon porte encore plus loin. 

Comme la répartition des terres est inégale de part et d’autre de l’équateur, on voit défiler presque toutes les terres de l’hémisphère sud, mais une partie seulement de l’hémisphère nord, c’est-à-dire le sud de l’Europe, la côte méditerranéenne, les États-Unis, l’Asie mais pas le Canada ni la Russie, trop au nord. Du côté de la Terre éclairée par le Soleil, on se plaît à voir les terres émergées. Même du côté nocturne de l’orbite, le spectacle est riche : orages, étoiles filantes, lumières des villes, halo de la Lune et son reflet sur les océans et les nuages. 

Lors de cette première séance d’observation, nous sommes au-dessus de l’Afrique. La navette survole la zone subsaharienne, et on distingue bien, au nord, la côte méditerranéenne. On passe pas loin du Caire. Le Nil se découpe comme un fil noir posé sur le tapis d’or du désert égyptien. Cela contraste avec mes deux précédentes missions spatiales, au cours desquelles nous avions survolé l’ Europe. De nuit, on voyait des grandes villes un peu partout, reliées par des petits chapelets de tâches blanches, les villes éclairées plus petites. Chaque jour on ne manquait pas la moindre occasion de contempler notre astre de vie. Lors d’une autre séance d’observation, à la fin de la mission, la Lune était pleine. Elle n’ était jamais passée aussi près de la Terre depuis 200 ans. Elle l’éclairait superbement. On avait l’impression qu’une lumière artificielle tamisée nous entourait de partout. L’Amérique du Sud était comme phosphorescente. On reconnaissait les côtes, délicatement dessinées par un liséré de lumière parce que 50 % des Terriens vivent sur les côtes. J’aime reconnaître les paysages que je vois. En avion, je choisis toujours une place près du hublot. Cela m’arrive de sortir mon ordinateur portable. J’ai une carte détaillée de la Terre que je grossis jusqu’à ce que je repère où je suis. De l’espace, j’aimais aussi identifier chaque zone survolée. L’atlas dont on dispose n’est pas très détaillé, mais il y a des coins qu’on a envie de voir parce qu’ils sont connus et spectaculaires, comme l’ Himalaya ou la grande barrière de corail. Si l’on est de l’ autre côté de la Terre par rapport au Soleil, on peut voir les étoiles. Mais il faut tout éteindre dans le cockpit et tirer le rideau qui l’isole du pont inférieur. Sinon le ciel est uniformément noir. À part la Terre, le Soleil et la Lune, on ne voit rien. 

Une fois éteintes toutes les lumières de la cabine, quand les pupilles sont assez dilatées, on prend des jumelles et on s’installe près d’un hublot. Le spectacle devient magnifique et émouvant. C’est tout blanc d’étoiles. On ne voit pas vraiment plus d’ étoiles que du sommet d’une montagne en plein mois d’août par temps clair. Mais elles sont beaucoup plus nettes et de couleur plus distincte que depuis la Terre. Elles ne scintillent pas. La voie lactée est plus belle qu’on ne l’a jamais vue. Avec nos puissantes jumelles grossissantes, on admire Saturne et Jupiter plus colorées qu’observées depuis la Terre. Les quatre plus gros satellites de Jupiter sont nettement visibles. 

Dans ce magnifique planétarium, on observe les nébuleuses, on cherche à reconnaître les constellations. Le contraste est saisissant avec ce que l’on voit habituellement par les hublots pendant les périodes de travail, où le fond de l’univers apparaît désespérément noir, d’un noir d’encre. La possibilité d’éteindre toutes les lumières de l’habitacle est rare et exceptionnelle. Certains de mes collègues astronautes n’ont jamais vu les étoiles depuis l’espace ! 

Après avoir grappillé sur notre temps de sommeil pour observer ce spectacle inouï, on finit par se préoccuper du travail du lendemain. Au bout d’une heure d’observation, je redescends du pont supérieur. J’accroche mon sac de couchage au plafond, avec ses tendeurs aux quatre coins. Chacun vérifie que les interrupteurs d’urgence sont bien protégés, qu’on ne peut pas les activer par inadvertance. Chacun repère ceux qui vont servir à s’éclairer en cas de déplacement dans la cabine pendant la période de sommeil. 

Extrait du Chapitre 9 du livre « Histoire(s) d’espace : Mission vers Hubble »
Par Jean-François Clervoy (Editions Jacob-Duvernet)

couv_110 dans LOI NATURELLEHistoire(s) d’espace, Jean-François Clervoy
Éditions Jacob-Duvernet (Septembre 2009 ; 207 pages) 

Publié dans:ASTROLOGIE, LOI NATURELLE |on 30 avril, 2014 |Pas de commentaires »

Les étapes du processus de création

 

images (4)Comme l’univers répond à votre vibration et non à ce que vous vivez présentement, des choses étonnantes jamais vécues auparavant se manifesteront peu à peu dans votre existence. D’après nos observations, la chose qui vous fait le plus souvent trébucher est la suivante: le contraste [entre les expériences agréables et désagréables que vous vivez], pourtant nécessaire et utile pour vous aider à susciter la montée de désirs nouveaux en vous, fait souvent apparaitre toutes sortes d’énergies confuses. En général, pour savoir si vous voulez quelque chose, il vous faut déjà avoir une assez bonne idée des détails et des événements qui vous ont aidé à identifier ce que vous ne voulez pas.

Autrement dit, quand exprimez-vous avec clarté le désir d’être bien? N’est-ce pas habituellement lorsque vous ne vous sentez pas tellement bien? Quand avez-vous le plus fortement envie d’avoir davantage d’argent? Sans doute quand vous n’en avez pas assez. Ainsi, c’est lorsque la confusion règne en vous que vous avez le plus grand besoin de clarté. C’est lorsque l’accablement vous envahit que votre désir de sérénité est le plus grand. Et c’est lorsque vous vous ennuyez que votre besoin de stimulation devient le plus fort…

Le processus de créativité comporte 3 étapes. Premièrement, vous demandez, ce qui est facile puisque vous le faites constamment. Deuxièmement, une réponse est apportée à votre requête, ce qui ne vous concerne pas puisqu’elle provient de l’énergie Source. Troisièmement, vous devez consentir à recevoir ce que vous avez demandé.

Il est important de bien comprendre la différence entre la première étape et la troisième. Lorsque toute votre attention est focalisée sur une chose dont vous avez besoin ou que vous désirez vraiment, ou lorsque vous priez pour obtenir cette chose, il est fréquent que la vibration émanant de vous ne corresponde pas à la chose désirée et qu’elle soit plutôt en résonance harmonique avec l’absence de cette même chose.

Lorsque toutes vos factures arrivent en même temps, que vous n’avez pas assez d’argent pour les payer, que la panique s’empare de vous et que vous vous dites: « J’ai besoin de plus d’argent » ou, de façon plus positive, « Je veux plus d’argent », vous en êtes alors à la première étape, celle d’exprimer votre désir. Mais vous n’êtes pas en mode réceptif, lequel correspond à la troisième étape. Vous maintenez une distance entre votre demande et vous. Vous demandez continuellement, incapable de vous arrêter, car le contraste entre la situation actuelle et la situation recherchée fait naitre un désir en vous. Vous devez trouver un moyen de vous mettre en mode réceptif, comme si vous vouliez recevoir un signal radio.

Extrait de: Créateurs d’avant-garde, E.&J. Hicks

 

Publié dans:CO-CREATION, LOI NATURELLE |on 9 avril, 2014 |Pas de commentaires »

Les influences galactiques sur l’homme et sur la terre

 

dieu1Par « influences galactiques ou extra-terrestres », nous entendons des influences provenant d’énergies collectives associées avec certains systèmes stellaires, étoiles ou planètes. Dans l’univers, il y a de nombreux niveaux ou dimensions d’existence. Une planète ou une étoile peuvent exister dans des dimensions variées, de la plus dense à la plus éthérée. En général, les communautés galactiques qui ont influencé les âmes de la terre existaient dans une réalité moins dense ou moins matérielle que celle qui est la vôtre sur la terre.

Les royaumes galactiques étaient habités par des âmes mûres nées longtemps avant les âmes de la terre et qui se trouvaient au début du stade de l’ego. Lorsque la terre a été habitée par toutes sortes de formes de vie et finalement par des êtres humains, les royaumes extra-terrestres ont observé ce développement avec grand intérêt. La diversité et l’abondance de formes de vie ont attiré leur attention. Ils ont ressenti que quelque chose de spécial s’y passait.

Entre les différentes communautés galactiques, quantités de combats et de batailles avaient lieu depuis longtemps. C’était un phénomène naturel, en un sens, puisque la conscience de ces âmes avait besoin de batailles pour découvrir les tenants et aboutissants du centrage sur soi et du pouvoir. Ils exploraient les fonctionnements de l’ego et à mesure qu’ils progressaient, ils devenaient experts en manipulation de la conscience. Ils étaient devenus des spécialistes de la subordination d’autres âmes ou communautés d’âmes à leur autorité au moyen d’outils psychiques subtils et moins subtils.

L’intérêt que les communautés galactiques portaient à la terre était surtout égocentrique. Elles y trouvaient une opportunité d’exercer leur influence de manières nouvelles et puissantes. On pourrait dire qu’à ce point, les batailles intergalactiques étaient dans une impasse. Lorsqu’on se bat sans arrêt, on parvient à une sorte d’équilibre au bout d’un certain temps, une division des zones de pouvoir, pour ainsi dire. On finit par se connaître si bien que l’on sait où l’on peut agir ou non. La situation était dans cette sorte d’impasse et les ennemis galactiques espéraient de nouvelles opportunités sur la terre. Ils pensaient que la terre pourrait leur fournir une scène pour renouveler la bataille et sortir de cette impasse.

C’est en manipulant la conscience des âmes de la terre que les communautés galactiques ont cherché à exercer leur influence sur la terre. Les âmes de la terre étaient particulièrement réceptives à leur influence quand elles sont passées au stade de l’ego. Avant cela, elles étaient immunisées contre toute force extérieure motivée par le pouvoir, parce qu’elles-mêmes n’avaient aucune inclination à exercer le pouvoir. On est  immunisé contre l’agression et le pouvoir quand il n’y a en soi rien à quoi ces énergies puissent s’attacher. Les énergies galactiques ne pouvaient donc pas avoir accès à la conscience des âmes de la terre avant que celles-ci ne décident d’explorer elles-mêmes l’énergie du pouvoir. 

La transition vers le stade de l’ego rendait les âmes de la terre vulnérables car, hormis leur intention d’explorer la conscience de l’ego, elles étaient encore largement naïves et innocentes. Ce n’était donc pas difficile pour les puissances galactiques d’imposer leurs énergies sur la conscience des âmes de la terre. Elles opéraient par le biais d’une manipulation de la conscience ou de contrôle mental. Leurs technologies étaient très sophistiquées. Ils possédaient surtout des outils psychiques, semblables au lavage de cerveau, agissant au moyen de suggestions hypnotiques subconscientes. Ils opéraient à des niveaux astraux et psychiques mais sont allés jusqu’à influencer les humains au niveau matériel/physique du corps. Ils ont influencé le développement du cerveau humain , en réduisant l’étendue des expériences disponible aux êtres humains. Pour l’essentiel, ils ont stimulé les schémas de pensée et d’émotion relatifs à la peur. Celle-ci était déjà présente dans la conscience des âmes de la terre, comme résultat de la douleur et de la nostalgie que toute âme jeune porte en elle. Les puissances galactiques ont pris cette peur existante comme point de départ pour exacerber les énergies de peur et d’asservissement dans l’esprit et les émotions des âmes de la terre. Cela leur a permis de contrôler la conscience humaine.

Par la suite, les guerriers galactiques ont essayé de lutter contre leurs anciens ennemis au travers de l’être humain. Le combat pour le pouvoir sur l’humanité était un combat entre de vieux ennemis galactiques qui ont utilisé les êtres humains comme hommes de paille.

Le sentiment tendre d’individualité et d’autonomie de l’âme de la terre a été coupé à sa racine par cette violente intervention, cette guerre pour le coeur de l’humanité. Malgré cela, les intervenants galactiques n’ont pas vraiment pu leur enlever leur liberté. Quelle que soit la lourdeur de l’influence extra-terrestre, l’essence divine en chaque âme-conscience individuelle est restée indestructible. L’âme ne peut être détruite, même si sa nature libre et divine peut se voiler pendant longtemps. C’est en rapport avec le fait que le pouvoir n’est pas réel, en définitive. Le pouvoir parvient à ses fins par le biais des illusions de la peur et de l’ignorance. Il peut seulement voiler et cacher les choses ; il ne peut vraiment ni créer ni détruire quelque chose.

De plus, cette offensive menée contre les âmes de la terre n’a pas apporté que de l’obscurité à la terre. A son insu, elle allait initier un changement profond dans la conscience des guerriers galactiques, un pas vers leur prochain stade de conscience : l’illumination ou « seconde innocence ».

© Pamela Kribbe 
www.jeshua.net/fr

Publié dans:LOI NATURELLE, TERRE |on 16 février, 2014 |Pas de commentaires »

La Biologie qui fait peur

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Nouvelles Clés : Autrefois, la biologie et les neurosciences nous émerveillaient. Aujourd’hui, elles font plutôt peur, alors qu’a priori, elles visent quand même à soigner. Comment s’y retrouver ?

Hervé Chneiweiss : Nous traversons un passage difficile parce nous en savons aujourd’hui beaucoup plus. Or, la science commence toujours par désenchanter le monde… avant de le réenchanter. Il faut comprendre que la biologie a fini par entièrement s’intégrer au grand courant de la démarche scientifique, où l’on passe de l’approximation à l’accumulation des connaissances. Grâce au microscope optique ou électronique, on a pu observer les cellules, leur développement, leurs assemblages. Le séquençage du génome humain – grand rêve de quelques pionniers lancé le lendemain même du jour où Armstrong mettait le pied sur la lune, quand James Watson (Découvreur, avec Francis Crick, de la structure de l’ADN, en 1953. Prix Nobel en 1962.) a convaincu les autorités d’en faire la « next frontier » du rêve américain – a été réalisé deux à trois fois plus vite que prévu. Avec, au passage, la première aventure industrielle menée par la recherche fondamentale (qui n’en a pas été dépossédée comme avec l’atome), et même un moratoire d’un an sur les recherches, décidé en 1974 à la suite d’une rencontre, à Asilomar en Californie, de tous les scientifiques travaillant sur la génétique. Une année à réfléchir aux enjeux éthiques et à mettre au point les protocoles de confinement des labos ! Bref, on a fait entrer la vie dans le monde technique, où tout est mis à plat, révélé. Les questions éternelles (d’où vient la vie ? pourquoi vit-on ?), simples au départ, ne relèvent plus du « grand mystère de la vie » dont parlaient les théologiens. Du moins en apparence ! Car une fois que l’on a dit cela, tout le mystère réapparaît : on découvre qu’il n’y a rien de pré-déterminé vraiment, rien de pré-écrit vraiment, mais un ensemble de possibles.

Comment passe-t-on d’une cellule d’un centième de millimètre – où se trouve cependant un ruban d’ADN mesurant, déplié, environ un mètre – à un individu fait de centaines de milliards de cellules assemblées à peu près correctement en organes, qui va vivre environ 90 ans, interagir avec son environnement, se nourrir, aimer, penser, et tout ça avec des molécules ? Comment est-ce possible ? Les questions éternelles restent les mêmes, avec ceci de merveilleux : le mystère n’est plus « fermé », on a posé le pied sur un continent nouveau, l’atome conduit au quark appelé « charmant » ou « étrange », la cellule montre qu’il ne suffit pas d’avoir lu ses gènes pour comprendre comment elle marche, tout comme il ne suffit pas de voir l’activité du cerveau pour comprendre la conscience – ou de connaître les lettres pour faire de la poésie.

N. C. : En entrant dans l’ère de la complexité, la biologie ne fait-elle pas exploser tous ses dogmes ?

H. C. : Si ! À chaque découverte, un dogme explose. Quand j’étais étudiant, on considérait le gène, constitué d’ADN, comme une simple unité de codage des informations permettant, via l’ARN-messager, de produire une protéine. Gène, ARN, protéine, chacun avait sa fonction, comme un interrupteur allumé ou éteint. C’était simple. On sait aujourd’hui que la moindre protéine interagit avec une centaine d’autres, en fonction d’une multitude de facteurs qui lui donnent une formidable palette d’expressions, comme un être humain que l’on trouve habillé différemment selon les lieux, les époques de l’année ou de la vie. Quant à l’ARN, on a découvert qu’il n’était pas seulement un intermédiaire entre l’information génétique et la protéine. Il existe plusieurs ARN, et chacun a un sens. Certains fragments, les SIRNA (small inhibitory ribo nucleic acid) peuvent même empêcher l’expression des autres… Inutile de dire que le gène lui-même se révèle d’une complexité extrême, bien loin de l’idée : un gène = une fonction !

N. C. : Et du côté du cerveau ?

H. C. : C’est la même chose : les dogmes s’écroulent et ça change tout ! On vivait depuis 1904 dans le dogme du neurone : la cellule qui transmet l’information, c’est le neurone – soit seulement 10 à 15 % des 500 milliards de cellules du cerveau. Le reste – la « glie » – a été considéré pendant un siècle comme du remplissage. Il fallait bien que ça tienne, elle était là pour ça. Or, pas du tout ! On sait aujourd’hui que les cellules gliales entrent en interaction avec les neurones, codent de l’information de façon spécifique, interagissent les unes avec les autres et provoquent, quand elles se dérèglent, l’immense majorité des maladies neurologiques. Les astrocytes, qui constituent la majorité de ces cellules gliales, jouent un rôle primordial dans la constitution de l’architecture cérébrale au cours du développement : ils servent de « rails » lors de la migration des neurones immatures vers les couches externes du cortex. Par ailleurs l’astrocyte est le seul lieu de stockage du glucose dans le système nerveux, donc la seule source énergétique des neurones.

N. C. : L’idée selon laquelle nous n’utilisons que 10 % de notre cerveau est donc fausse également ?

H. C. : Tout comme celle disant que l’on naît avec un stock de cellules à peu près fixe, avec quelques ajustements jusque vers l’âge de trois ans et qu’ensuite, jusqu’à sa mort, on va conserver ce capital – tout en l’usant ! Ce n’est pas vrai du tout, nous renouvelons des cellules pendant toute notre vie, grâce aux fameuses cellules souches présentes dans tous nos organes. Nos os se remanient sans arrêt, notre tube digestif change chaque semaine. Mieux , notre système nerveux lui-même a sa plasticité : chaque neurone remodèle en permanence son « arbre dendritique » – l’endroit où il reçoit de l’information – sous l’influence des cellules gliales, qui déterminent quelle synapse doit être mise en place ou remaniée pour travailler avec plus d’efficacité. Plus encore : deux zones du cerveau (la zone sous-ventriculaire et la zone sous-granulaire de l’hippocampe) abritent des cellules souches qui donnent naissance à de nouveau neurones tout au long de la vie, y compris à l’âge adulte. Il existe également des cellules souches adultes capables de donner naissance aux différentes lignées cellulaires du système nerveux central, dont des neurones, dans d’autres régions du cerveau (le striatum, la moelle épinière). Toutefois ces cellules restes inactives tant que tout est normal dans la physiologie du système nerveux. D’où une idéée simple : l’environnement local conditionne la capacité des cellules souches à proliférer et à se différencier.

Autrement dit, cette nouvelle complexité nous montre que les mécanismes d’apprentissage sont infiniment moins déterminés qu’on le pensait. Nous pouvons continuer d’apprendre jusqu’à un âge très avancé, et même jusqu’à la fin de notre vie, aucune fatalité ne s’y oppose. Tant que nous nous servons de notre système nerveux central – en agissant, en communiquant, en réfléchissant – notre réseau de cellules gliales continue d’établir de nouvelles passerelles synaptiques entre nos neurones, et ceux-ci peuvent même, dans certains cas, se renouveler !

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Publié dans:ADN, ESPRITS, LOI NATURELLE, PEUR |on 15 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’Instinct de conservation – esprit Kardec

 

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  L’instinct de conservation est-il une loi de nature ?
 » Sans doute ; il est donné à tous les êtres vivants, quel que soit le degré de leur intelligence ; chez les uns, il est purement machinal, et chez d’autres il est raisonné. « 

 Dans quel but Dieu a-t-il donné à tous les êtres vivants l’instinct de leur conservation ?
 » Parce que tous doivent concourir aux vues de la Providence ; c’est pour cela que Dieu leur a donné le besoin de vivre. Et puis la vie est nécessaire au perfectionnement des êtres ; ils le sentent instinctivement sans s’en rendre compte. « 

 

 Dieu en donnant à l’homme le besoin de vivre lui en a-t-il toujours fourni les moyens ?
 » Oui, et s’il ne les trouve pas, c’est qu’il ne les comprend pas. Dieu n’a pu donner à l’homme le besoin de vivre sans lui en donner les moyens, c’est pourquoi il fait produire à la terre de quoi fournir le nécessaire à tous ses habitants, car le nécessaire seul est utile ; le superflu ne l’est jamais. « 

Pourquoi la terre ne produit-elle pas toujours assez pour fournir le nécessaire à l’homme ?
 » C’est que l’homme la néglige, l’ingrat ! C’est pourtant une excellente mère. Souvent aussi, il accuse la nature de ce qui est le fait de son impéritie ou de son imprévoyance. La terre produirait toujours le nécessaire si l’homme savait s’en contenter. Si elle ne suffit pas à tous les besoins, c’est que l’homme emploie au superflu ce qui pourrait être donné au nécessaire. Vois l’Arabe au désert ; il trouve toujours à vivre, parce qu’il ne se crée pas des besoins factices ; mais quand la moitié des produits est gaspillée pour satisfaire des fantaisies, l’homme doit-il s’étonner de ne rien trouver le lendemain, et a-t-il raison de se plaindre d’être au dépourvu quand vient le temps de la disette ? En vérité je vous le dis, ce n’est pas la nature qui est imprévoyante, c’est l’homme qui ne sait pas se régler. « 

Les biens de la terre ne doivent-ils s’entendre que des produits du sol ?
 » Le sol est la source première d’où découlent toutes les autres ressources, car en définitive, ces ressources ne sont qu’une transformation des produits du sol ; c’est pourquoi il faut entendre par les biens de la terre tout ce dont l’homme peut jouir ici-bas. « 

Les moyens d’existence font souvent défaut à certains individus, même au milieu de l’abondance qui les entoure ; à qui doivent-ils s’en prendre ?
 » A l’égoïsme des hommes, qui ne font pas toujours ce qu’ils doivent ; ensuite, et le plus souvent, à eux-mêmes. Cherchez et vous trouverez : ces paroles ne veulent point dire qu’il suffit de regarder à terre pour trouver ce qu’on désire, mais qu’il faut le chercher avec ardeur et persévérance, et non avec mollesse, sans se laisser décourager par les obstacles, qui bien souvent ne sont que des moyens de mettre à l’épreuve votre constance, votre patience et votre fermeté. « .

Si la civilisation multiplie les besoins, elle multiplie aussi les sources du travail et les moyens de vivre ; mais il faut convenir que sous ce rapport il lui reste encore beaucoup à faire ; quand elle aura accompli son oeuvre, personne ne devra pouvoir dire qu’il manque du nécessaire, si ce n’est par sa faute. Le malheur, pour beaucoup, est qu’ils s’engagent dans une voie qui n’est pas celle que la nature leur a tracée ; c’est alors que l’intelligence pour réussir leur fait défaut. Il y a place pour tout le monde au soleil, mais c’est à la condition d’y prendre la sienne, et non celle des autres. La nature ne saurait être responsable des vices de l’organisation sociale et des suites de l’ambition et de l’amour-propre.

Il faudrait être aveugle cependant pour ne pas reconnaître le progrès qui s’est accompli sous ce rapport chez les peuples les plus avancés. Grâce aux louables efforts que la philanthropie et la science réunies ne cessent de faire pour l’amélioration de l’état matériel des hommes, et malgré l’accroissement incessant des populations, l’insuffisance de la production est atténuée, en grande partie du moins, et les années les plus calamiteuses n’ont rien de comparable à ce qu’elles étaient naguère ; l’hygiène publique, cet élément si essentiel de la force et de la santé, inconnu de nos pères, est l’objet d’une sollicitude éclairée ; l’infortune et la souffrance trouvent des lieux de refuge ; partout la science est mise à contribution pour accroître le bien-être. Est-ce à dire que l’on ait atteint la perfection ? Oh ! certes, non ; mais ce qui s’est fait donne la mesure de ce qui peut se faire avec la persévérance, si l’homme est assez sage pour chercher son bonheur dans les choses positives et sérieuses, et non dans des utopies qui le reculent au lieu de l’avancer.

N’y a-t-il pas des positions où les moyens d’existence ne dépendent nullement de la volonté de l’homme, et où la privation du nécessaire le plus impérieux est une conséquence de la force des choses ?
 » C’est une épreuve souvent cruelle qu’il doit subir, et à laquelle il savait qu’il serait exposé ; son mérite est dans sa soumission à la volonté de Dieu, si son intelligence ne lui fournit aucun moyen de se tirer d’embarras. Si la mort doit l’atteindre, il doit s’y résoudre sans murmure en pensant que l’heure de la véritable délivrance est arrivée, et que le désespoir du dernier moment peut lui faire perdre le fruit de sa résignation. « 

Ceux qui, dans certaines positions critiques, se sont trouvés réduits à sacrifier leurs semblables pour s’en repaître ont-ils commis un crime ; s’il y a crime, est-il atténué par le besoin de vivre que leur donne l’instinct de conservation ?
 » J’ai déjà répondu en disant qu’il y a plus de mérite à subir toutes les épreuves de la vie avec courage et abnégation. Il y a homicide, et crime de lèse nature, faute qui doit être doublement punie. « 

Dans les mondes où l’organisation est plus épurée, les êtres vivants ont-ils besoin d’alimentation ?
 » Oui, mais leurs aliments sont en rapport avec leur nature. Ces aliments ne seraient point assez substantiels pour vos estomacs grossiers ; de même ils ne pourraient digérer les vôtres. « 

 

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ESPRITS, LOI NATURELLE |on 23 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Connaissance de la loi naturelle.

 

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Dieu a-t-il donné à tous les hommes les moyens de connaître sa loi ?
 » Tous peuvent la connaître, mais tous ne la comprennent pas ; ceux qui la comprennent le mieux sont les hommes de bien et ceux qui veulent la chercher ; cependant, tous la comprendront un jour, car il faut que le progrès s’accomplisse. « 

La justice des diverses incarnations de l’homme est une conséquence de ce principe, puisqu’à chaque existence nouvelle son intelligence est plus développée et qu’il comprend mieux ce qui est bien et ce qui est mal. Si tout devait s’accomplir pour lui dans une seule existence, quel serait le sort de tant de millions d’êtres qui meurent chaque jour dans l’abrutissement de la sauvagerie, ou dans les ténèbres de l’ignorance, sans qu’il ait dépendu d’eux de s’éclairer ?

L’âme, avant son union avec le corps, comprend-elle la loi de Dieu mieux qu’après son incarnation ?
 » Elle la comprend selon le degré de perfection auquel elle est arrivée, et en conserve le souvenir intuitif après son union avec le corps ; mais les mauvais instincts de l’homme la lui font souvent oublier. « 

Où est écrite la loi de Dieu ?
 » Dans la conscience. « 
- Puisque l’homme porte dans sa conscience la loi de Dieu, quelle nécessité y avait-il de la lui révéler ?
 » Il l’avait oubliée et méconnue : Dieu a voulu qu’elle lui fût rappelée. « 

Dieu a-t-il donné à certains hommes la mission de révéler sa loi ?
 » Oui, certainement ; dans tous les temps des hommes ont reçu cette mission. Ce sont des Esprits supérieurs incarnés dans le but de faire avancer l’humanité. « 

Ceux qui ont prétendu instruire les hommes dans la loi de Dieu ne se sont-ils pas quelquefois trompés et ne les ont-ils pas souvent égarés par de faux principes ?
 » Ceux qui n’étaient pas inspirés de Dieu, et qui se sont donné, par ambition, une mission qu’ils n’avaient pas ont certainement pu les égarer ; cependant, comme en définitive c’étaient des hommes de génie, au milieu même des erreurs qu’ils ont enseignées, il se trouve souvent de grandes vérités. « 

Quel est le caractère du vrai prophète ?
 » Le vrai prophète est un homme de bien inspiré de Dieu. On peut le reconnaître à ses paroles et à ses actions. Dieu ne peut se servir de la bouche du menteur pour enseigner la vérité. « 

Quel est le type le plus parfait que Dieu ait offert à l’homme pour lui servir de guide et de modèle ?
 » Voyez Jésus. « 

Jésus est pour l’homme le type de la perfection morale à laquelle peut prétendre l’humanité sur la terre. Dieu nous l’offre comme le plus parfait modèle, et la doctrine qu’il a enseignée est la plus pure expression de sa loi, parce qu’il était animé de l’esprit divin, et l’être le plus pur qui ait paru sur la terre.
Si quelques-uns de ceux qui ont prétendu instruire l’homme dans la loi de Dieu l’ont quelquefois égaré par de faux principes, c’est pour s’être laissé dominer eux-mêmes par des sentiments trop terrestres, et pour avoir confondu les lois qui régissent les conditions de la vie de l’âme avec celles qui régissent la vie du corps. Plusieurs ont donné comme lois divines ce qui n’était que des lois humaines créées pour servir les passions et dominer les hommes.

Les lois divines et naturelles n’ont-elles été révélées aux hommes que par Jésus, et avant lui n’en ont-ils eu connaissance que par l’intuition ?
 » N’avons-nous pas dit qu’elles sont écrites partout ? Tous les hommes qui ont médité sur la sagesse ont donc pu les comprendre et les enseigner dès les siècles les plus reculés. Par leurs enseignements, même incomplets, ils ont préparé le terrain à recevoir la semence. Les lois divines étant inscrites dans le livre de la nature, l’homme a pu les connaître quand il a voulu les chercher ; c’est pourquoi les préceptes qu’elles consacrent ont été proclamés de tout temps par les hommes de bien, et c’est aussi pourquoi on en trouve les éléments dans la doctrine morale de tous les peuples sortis de la barbarie, mais incomplets ou altérés par l’ignorance et la superstition. « 

Puisque Jésus a enseigné les véritables lois de Dieu, quelle est l’utilité de l’enseignement donné par les Esprits ? Ont-ils à nous apprendre quelque chose de plus ?
 » La parole de Jésus était souvent allégorique et en paraboles, parce qu’il parlait selon les temps et les lieux. Il faut maintenant que la vérité soit intelligible pour tout le monde. Il faut bien expliquer et développer ces lois, puisqu’il y a si peu de gens qui les comprennent et encore moins qui les pratiquent. Notre mission est de frapper les yeux et les oreilles pour confondre les orgueilleux et démasquer les hypocrites : ceux qui affectent les dehors de la vertu et de la religion pour cacher leurs turpitudes. L’enseignement des Esprits doit être clair et sans équivoque, afin que personne ne puisse prétexter ignorance et que chacun puisse le juger et l’apprécier avec sa raison. Nous sommes chargés de préparer le règne du bien annoncé par Jésus ; c’est pourquoi il ne faut pas que chacun puisse interpréter la loi de Dieu au gré de ses passions, ni fausser le sens d’une loi toute d’amour et de charité. « 

Pourquoi la vérité n’a-t-elle pas toujours été mise à la portée de tout le monde ?
 » Il faut que chaque chose vienne en son temps. La vérité est comme la lumière : il faut s’y habituer peu à peu, autrement elle éblouit. Jamais il n’est arrivé que Dieu permît à l’homme de recevoir des communications aussi complètes et aussi instructives que celles qu’il lui est donné de recevoir aujourd’hui. Il y avait bien, comme vous le savez, dans les anciens âges, quelques individus qui étaient en possession de ce qu’ils considéraient comme une science sacrée, et dont ils faisaient mystère aux profanes selon eux. Vous devez comprendre, avec ce que vous connaissez des lois qui régissent ces phénomènes, qu’ils ne recevaient que quelques vérités éparses au milieu d’un ensemble équivoque et, la plupart du temps, emblématique. Cependant, il n’y a pour l’homme d’étude aucun ancien système philosophique, aucune tradition, aucune religion à négliger, car tout renferme des germes de grandes vérités qui, bien que paraissant contradictoires les unes avec les autres, éparses qu’elles sont au milieu d’accessoires sans fondement, sont très faciles à coordonner, grâce à la clef que nous donne le spiritisme d’une foule de choses qui ont pu, jusqu’ici, vous paraître sans raison et dont aujourd’hui la réalité vous est démontrée d’une manière irrécusable. Ne négligez donc pas de puiser dans ces matériaux des sujets d’étude ; ils en sont très riches et peuvent contribuer puissamment à votre instruction. « 

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:LOI NATURELLE |on 20 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le dogme de la réincarnation

Le dogme de la réincarnation dans ACCORD a

Le dogme de la réincarnation, disent certaines personnes, n’est point nouveau ; il est ressuscité de Pythagore. Nous n’avons jamais dit que la doctrine spirite fût d’invention moderne ; le spiritisme étant une loi de nature, a dû exister dès l’origine des temps, et nous nous sommes toujours efforcés de prouver qu’on en retrouve les traces dans la plus haute antiquité.

Pythagore, comme on le sait, n’est pas l’auteur du système de la métempsycose ; il l’a puisée chez les philosophes indiens et chez les Egyptiens, où elle existait de temps immémorial. L’idée de la transmigration des âmes était donc une croyance vulgaire, admise par les hommes les plus éminents. Par quelle voie leur est-elle venue ? Est-ce par révélation ou par intuition ? Nous ne le savons pas ; mais, quoi qu’il en soit, une idée ne traverse pas les âges et n’est pas acceptée par les intelligences d’élite, sans avoir un côté sérieux. L’antiquité de cette doctrine serait donc plutôt une preuve qu’une objection. Toutefois, comme on le sait également, il y a, entre la métempsycose des anciens et la doctrine moderne de la réincarnation, cette grande différence que les Esprits rejettent de la manière la plus absolue la transmigration de l’homme dans les animaux, et réciproquement.

Les Esprits, en enseignant le dogme de la pluralité des existences corporelles, renouvellent donc une doctrine qui a pris naissance dans les premiers âges du monde, et qui s’est conservée jusqu’à nos jours dans la pensée intime de beaucoup de personnes ; seulement, ils la présentent sous un point de vue plus rationnel, plus conforme aux lois progressives de la nature et plus en harmonie avec la sagesse du Créateur, en la dépouillant de tous les accessoires de la superstition. Une circonstance digne de remarque, c’est que ce n’est pas dans ce livre seul qu’ils l’ont enseignée dans ces derniers temps : dès avant sa publication, de nombreuses communications de même nature ont été obtenues, en diverses contrées, et se sont considérablement multipliées depuis. Ce serait peut-être ici le cas d’examiner pourquoi tous les Esprits ne paraissent pas d’accord sur ce point ; nous y reviendrons plus tard.

Examinons la chose sous un autre point de vue, et abstraction faite de toute intervention des Esprits, mettons ceux-ci de côté pour un instant ; supposons que cette théorie ne soit pas leur fait ; supposons même qu’il n’ait jamais été question d’Esprits. Plaçons-nous donc momentanément sur un terrain neutre, admettant au même degré de probabilité l’une et l’autre hypothèse, savoir : la pluralité et l’unité des existences corporelles, et voyons de quel côté nous portera la raison et notre propre intérêt.

Certaines personnes repoussent l’idée de la réincarnation par ce seul motif qu’elle ne leur convient pas, disant qu’elles ont bien assez d’une existence et qu’elles n’en voudraient pas recommencer une pareille ; nous en connaissons que la seule pensée de reparaître sur la terre fait bondir de fureur. Nous n’avons qu’une chose à leur demander, c’est si elles pensent que Dieu ait pris leur avis et consulté leur goût pour régler l’univers. Or, de deux choses l’une, ou la réincarnation existe, ou elle n’existe pas ; si elle existe, elle a beau les contrarier, il leur faudra la subir, Dieu ne leur en demandera pas la permission. Il nous semble entendre un malade dire :  » J’ai assez souffert aujourd’hui, je ne veux plus souffrir demain.  » Quelle que soit sa mauvaise humeur, il ne lui faudra pas moins souffrir le lendemain et les jours suivants, jusqu’à ce qu’il soit guéri ; donc, s’ils doivent revivre corporellement, ils revivront, ils se réincarneront ; ils auront beau se mutiner, comme un enfant qui ne veut pas aller à l’école, ou un condamné en prison, il faudra qu’ils en passent par là. De pareilles objections sont trop puériles pour mériter un plus sérieux examen. Nous leur dirons cependant, pour les rassurer, que la doctrine spirite sur la réincarnation n’est pas aussi terrible qu’ils le croient, et s’ils l’avaient étudiée à fond ils n’en seraient pas si effrayés ; ils sauraient que la condition de cette nouvelle existence dépend d’eux : elle sera heureuse ou malheureuse selon ce qu’ils auront fait ici-bas, et ils peuvent dès cette vie s’élever si haut, qu’ils n’auront plus à craindre de retomber dans le bourbier.

Nous supposons que nous parlons à des gens qui croient à un avenir quelconque après la mort, et non à ceux qui se donnent le néant pour perspective, ou qui veulent noyer leur âme dans un tout universel, sans individualité, comme les gouttes de pluie dans l’Océan, ce qui revient à peu près au même. Si donc vous croyez à un avenir quelconque, vous n’admettez pas, sans doute, qu’il soit le même pour tous, autrement où serait l’utilité du bien ? Pourquoi se contraindre ? Pourquoi ne pas satisfaire toutes ses passions, tous ses désirs, fût-ce même aux dépens d’autrui, puisqu’il n’en serait ni plus ni moins ? Vous croyez que cet avenir sera plus ou moins heureux ou malheureux selon ce que nous aurons fait pendant la vie ; vous avez alors le désir d’y être aussi heureux que possible, puisque ce doit être pour l’éternité ? Auriez-vous, par hasard, la prétention d’être un des hommes les plus parfaits qui aient existé sur la terre, et d’avoir ainsi droit d’emblée à la félicité suprême des élus ? Non. Vous admettez ainsi qu’il y a des hommes qui valent mieux que vous et qui ont droit à une meilleure place, sans pour cela que vous soyez parmi les réprouvés. Eh bien ! Placez-vous un instant par la pensée dans cette situation moyenne qui sera la vôtre, puisque vous venez d’en convenir, et supposez que quelqu’un vienne vous dire :  » Vous souffrez, vous n’êtes pas aussi heureux que vous pourriez l’être, tandis que vous avez devant vous des êtres qui jouissent d’un bonheur sans mélange ; voulez-vous changer votre position contre la leur ?  » – Sans doute, direz-vous ; que faut-il faire ? – Moins que rien ; recommencer ce que vous avez mal fait et tâcher de faire mieux. – Hésiteriez-vous à accepter fût-ce même au prix de plusieurs existences d’épreuve ? Prenons une comparaison plus prosaïque. Si, à un homme qui, sans être dans la dernière des misères, éprouve néanmoins des privations par suite de la médiocrité de ses ressources, on venait dire :  » Voilà une immense fortune, vous pouvez en jouir, il faut pour cela travailler rudement pendant une minute.  » Fût-il le plus paresseux de la terre, il dira sans hésiter :  » Travaillons une minute, deux minutes, une heure, un jour, s’il le faut ; qu’est-ce que cela pour finir ma vie dans l’abondance ?  » Or, qu’est la durée de la vie corporelle par rapport à l’éternité ? Moins qu’une minute, moins qu’une seconde.

Nous avons entendu faire ce raisonnement : Dieu, qui est souverainement bon, ne peut imposer à l’homme de recommencer une série de misères et de tribulations. Trouverait-on, par hasard, qu’il y a plus de bonté à condamner l’homme à une souffrance perpétuelle pour quelques moments d’erreur, plutôt qu’à lui donner les moyens de réparer ses fautes ?  » Deux fabricants avaient chacun un ouvrier qui pouvait aspirer à devenir l’associé du chef. Or il arriva que ces deux ouvriers employèrent une fois très mal leur journée et méritèrent d’être renvoyés. L’un des deux fabricants chassa son ouvrier malgré ses supplications, et celui-ci n’ayant pas trouvé d’ouvrage mourut de misère. L’autre dit au sien : Vous avez perdu un jour, vous m’en devez un en compensation ; vous avez mal fait votre ouvrage, vous m’en devez la réparation ; je vous permets de le recommencer ; tâchez de bien faire et je vous conserverai, et vous pourrez toujours aspirer à la position supérieure que je vous ai promise « . Est-il besoin de demander quel est celui des deux fabricants qui a été le plus humain ? Dieu, la clémence même, serait-il plus inexorable qu’un homme ? La pensée que notre sort est à jamais fixé par quelques années d’épreuve, alors même qu’il n’a pas toujours dépendu de nous d’atteindre à la perfection sur la terre, a quelque chose de navrant, tandis que l’idée contraire est éminemment consolante : elle nous laisse l’espérance. Ainsi, sans nous prononcer pour ou contre la pluralité des existences, sans admettre une hypothèse plutôt que l’autre, nous disons que, si nous avions le choix, il n’est personne qui préférât un jugement sans appel. Un philosophe a dit que si Dieu n’existait pas, il faudrait l’inventer pour le bonheur du genre humain ; on pourrait en dire autant de la pluralité des existences. Mais, comme nous l’avons dit, Dieu ne nous demande pas notre permission ; il ne consulte pas notre goût ; cela est ou cela n’est pas ; voyons de quel côté sont les probabilités, et prenons la chose à un autre point de vue, toujours abstraction faite de l’enseignement des Esprits, et uniquement comme étude philosophique.

S’il n’y a pas de réincarnation, il n’y a qu’une existence corporelle, cela est évident ; si notre existence corporelle actuelle est la seule, l’âme de chaque homme est créée à sa naissance, à moins que l’on admette l’antériorité de l’âme, auquel cas on se demanderait ce qu’était l’âme avant la naissance, et si cet état ne constituait pas une existence sous une forme quelconque. Il n’y a pas de milieu : ou l’âme existait, ou elle n’existait pas avant le corps ; si elle existait, quelle était sa situation ? Avait-elle ou non conscience d’elle-même ; si elle n’en avait pas conscience, c’est à peu près comme si elle n’existait pas ; si elle avait son individualité, elle était progressive ou stationnaire ; dans l’un et l’autre cas, à quel degré est-elle arrivée dans le corps ? En admettant, selon la croyance vulgaire, que l’âme prend naissance avec le corps, ou, ce qui revient au même, qu’antérieurement à son incarnation elle n’a que des facultés négatives, nous posons les questions suivantes :

1. Pourquoi l’âme montre-t-elle des aptitudes si diverses et indépendantes des idées acquises par l’éducation ?
2. D’où vient l’aptitude extra-normale de certains enfants en bas âge pour tel art ou telle science, tandis que d’autres restent inférieurs ou médiocres toute leur vie ?
3. D’où viennent chez les uns, les idées innées ou intuitives qui n’existent pas chez d’autres ?
4. D’où viennent, chez certains enfants, ces instincts précoces de vices ou de vertus, ces sentiments innés de dignité ou de bassesse qui contrastent avec le milieu dans lequel ils sont nés ?
5. Pourquoi certains hommes, abstraction faite de l’éducation, sont-ils plus avancés les uns que les autres ?
6. Pourquoi y a-t-il des sauvages et des hommes civilisés ? Si vous prenez un enfant hottentot à la mamelle, et si vous l’élevez dans nos lycées les plus renommés, en ferez-vous jamais un Laplace ou un Newton ?

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Publié dans:ACCORD, LOI NATURELLE, REINCARNATION |on 19 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

JOURNEE de DEUIL PERINATAL (parlons-en)

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« Le deuil d’un bébé pendant la grossesse ou après, ce n’est pas le deuil du passé, comme le deuil d’un adulte.  C’est le deuil de l’avenir, le deuil du futur et des projets qui viennent avec.  Ce n’est pas un deuil qui se règle en très peu de temps, puisqu’on va peut-être revivre une grossesse, accompagnée d’inquiétudes et de stress.  Et c’est justement à ce moment-là qu’il faudra renégocier la perte qu’on a vécue. »

Ce site a vu le jour le 26 avril 2001.
Il est le premier groupe de soutien virtuel créé
pour les parents qui font face au deuil de leur petit bébé décédé
en cours de grossesse, en naissant
ou durant ses premières semaines de vie.
Depuis, il réunit des parents endeuillés habitant aux quatre coins du monde…
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«Chaque année des milliers de parents vivent le décès d’un bébé en cours de grossesse ou dans les jours, semaines ou mois suivant sa naissance. Aujourd’hui j’appuie ces parents en affichant comme photo de profil le ruban du deuil périnatal, faites comme moi!» 

Cet événement vient de toucher le couple de ma fille et son compagnon ! la grossesse avait atteint 7 mois ! le petit Nolan sera… en pensées ! 2758329009 dans Entre amis

«Un bébé qui meurt entourant sa naissance, c’est toute une vie qui ne sera jamais vécue. Appuyons les parents vivant un deuil périnatal en affichant comme photo de profil le ruban de la cause aujourd’hui»

«La peine ne se mesure pas au nombre de semaines ou au vécu d’un bébé, mais à la grandeur du rêve que portaient en eux ses parents. Aujourd’hui j’appuie la cause du deuil périnatal en affichant le ruban officiel comme photo de profil. Faîtes comme moi!»

«Le deuil périnatal est ce que vivent les parents dont le bébé décède en cours de grossesse ou dans l’année suivant sa naissance. Un deuil méconnu, tabou et très difficile à vivre. Aujourd’hui est la journée internationale de sensibilisation au deuil périnatal, faites comme moi et affichez le ruban de la cause comme photo de profil!»

OSEZ en parler et faites en sorte que le deuil périnatal ne soit plus un sujet tabou pour notre société !

Chaque petit geste compte!

France – Fondatrice

Nos Petits Anges au Paradis
Groupe de Soutien au Deuil Périnatal 


www.nospetitsangesauparadis.com

Nos Petits Anges au Paradis – Deuil Périnatal


www.nospetitsangesauparadis.com

Groupe de soutien pour les parents qui font face au deuil de leur petit bébé mort in utero, décédé à la naissance ou encore suite à de graves malformations menant au décès.

MERCI DE PARTICIPER ! 

Ce que j’ai vu quand j’étais mort

Ce que j'ai vu quand j'étais mort dans ESPRITS telechargement

par Eben Alexander, Patrice van Eersel

Un neurologue américain croyait dur comme fer que les expériences de mort imminente étaient de simples hallucinations expliquées par la médecine. Jusqu’à ce qu’il sombre dans le coma…

Supposons que vous n’ayez jamais entendu parler des NDE (near death experience – en français EMI : expérience de mort imminente) et que vous tombiez sur l’histoire du Dr Eben Alexander, que nous publions dans les pages suivantes. Il y a des chances pour que vous éclatiez de rire. Ou que vous le preniez pour un fou. Si cette histoire a fait la une de « Newsweek », c’est forcément parce qu’il s’agit d’une farce ! Je pensais ainsi quand, ayant lu un article similaire dans « Der Spiegel », en 1980, je suis parti en reportage aux Etats-Unis pour rencontrer les neuropsychiatres qui disaient pouvoir expliquer ce genre de délire de A à Z. J’étais enthousiaste et sincère – et je rigolais d’avance (c’était bien notre genre, à « Actuel ») à l’idée qu’on allait même pouvoir expliquer les visions de sainte Thérèse d’Avila par la neurochimie. Au moment de mourir, ou de nous croire mourant, nous aurions tous, disaient ces savants, une formidable overdose endogène. Un grand flash hallucinatoire final. La nature est bien faite… J’ignorais alors que les scientifiques en question n’avaient en fait rien expliqué et que ce reportage allait changer ma vie, en me faisant découvrir la plus improbable des zones d’humanité : la fin de vie. Tout un univers.

Trente-deux ans plus tard, la NDE demeure un mystère. En fait, c’est un phénomène aussi vieux que l’humanité, mais qui connaît un boum fou en raison des progrès des techniques de réanimation. Dans toutes les autres sociétés, ces gens seraient morts : les unités de soins intensifs les ramènent à la vie. Dès qu’ils retrouvent la parole, 20 % d’entre eux racontent une histoire insensée… en précisant qu’elle est « strictement indicible ». Ils devraient donc se taire. Mais leur besoin de témoigner est si fort qu’ils parlent quand même, quitte à basculer à leur insu dans le symbolique. Que disent-ils ? Qu’ils sont « sortis de leur corps », qu’ils ont vu, étonnés, leur entourage s’affoler, puis qu’ils ont fait un voyage cosmique dans une « pure lumière d’amour et de connaissance ». Une sorte de songe biblique. Ou boud­dhique. On se dit : « Quel délire ! » Oui, mais il faut alors imaginer un délire dont on sortirait structurellement changé, en général dans un sens positif, plus authentique, plus vivant, plus altruiste et débarrassé de la peur de mourir…

Dans ma première enquête, « La Source noire », publiée en 1986 (Grasset), j’étais fasciné par le profil type de l’expérience : tous les cas répertoriés semblaient quasiment superposables. Dix ans après, dans un complément d’enquête intitulé « Réapprivoiser la mort » (Albin Michel), c’est le contraire qui m’a sauté aux yeux : le profil type est utile, mais théorique ; en réalité, il n’y a pas deux cas identiques. Celui du neurologue américain qui témoigne ci-après raconte un scénario unique, un parmi des millions. Il sera à Marseille les 9 et 10 mars, aux deuxièmes Rencontres internationales EMI organisées par la réalisatrice Sonia Barkallah *. Si vous voulez vous faire votre propre opinion, vous pouvez toujours y faire un tour. C’est un événement sans équivalent dans le monde. 

Le récit d’Eben Alexander

En tant que médecin, je n’avais jamais accordé de crédit aux expériences de mort imminente. Fils

d’un neurochirurgien, j’ai suivi les pas de mon père jusqu’à devenir professeur en neurochirurgie, enseignant entre autres à la Harvard Medical School. J’ai appris à comprendre ce qui se passe dans le cerveau d’un homme sur le point de mourir. Et j’ai toujours cru que, derrière chaque récit de voyage astral rapporté par ceux qui ont frôlé la mort, il y avait une explication scientifique précise.

Le cerveau est, certes, une mécanique étonnamment sophistiquée, mais il est également d’une extrême fragilité. Réduire un tout petit peu la quantité d’oxygène qu’il reçoit le fait réagir. Je ne m’étonnais donc pas outre mesure que les personnes ayant subi des traumatismes sévères en réchappent la tête pleine d’étrangetés. Cela ne signifiait pas qu’elles aient véritablement voyagé quelque part. 

Pourtant, à l’automne 2008, après plusieurs jours de coma au cours desquels […] une partie de mon cerveau s’est retrouvée désactivée, j’ai fait une expérience si intense qu’elle m’a donné une raison scientifique de croire en une conscience après la mort. […]

Lire la suite ici… 

 

Publié dans:ESPRITS, La MORT, LOI NATURELLE |on 12 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Codes secrets du langage

Codes secrets du langage dans ACCORD images-35

Un système de codes est un langage qui est commun à une communauté ou un groupe, mais les personnes extérieures au groupe ont la possibilité de l’apprendre si elles le désirent. Or certains groupes demandent que leurs messages ne soient pas compris des autres. Développés principalement pour des usages militaires, politiques et économiques, les codes secrets permettent d’envoyer des messages à des collaborateurs sans qu’ils tombent à la connaissance de l’ »ennemi ». Si le message est intercepté, il reste indéchiffrable par qui n’en a pas le code. Actuellement, les utilisateurs de codes secrets sont surtout des acteurs du monde économique, des informaticiens, des banques (pour transmettre des mots de passe de carte bancaire), des compagnies de télécommunications et toutes les entreprises qui tiennent à assurer un minimum de confidentialité à leurs données.

Les messages qu’on veut coder sont au départ écrits dans notre langage parlé, donc avec des mots, des lettres ou des chiffres. Le procédé consiste à remplacer chaque caractère par un autre, selon un règle définie que l’on appelle la clé de déchiffrage. Si l’on ne possède pas cette clé, il est impossible de déchiffrer le message et normalement, seuls les destinataires potentiels du message la détiennent.

Le codage le plus simple est celui qui consiste à remplacer une lettre par une autre lettre qu’on détermine par un décalage déterminé, par exemple, selon cette correspondance:

a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z
d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z a b c

Un autre codage est de remplacer les lettres par des chiffres. C’est donc un codage numérique.

a b c d e f g h i j k l m n o p q r s t u v w x y z
01 02 03 04 05 06 07 08 09 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26

Bien entendu, cet exemple de chiffrage est d’une grande évidence et n’a rien de secret, mais l’avantage de chiffrer les lettres est que l’on peut ensuite remplacer ces nombres par une nouvelle valeur calculée selon une formule donnée. Pour éviter la possibilité que des concurrents ou malfaiteurs reconstituent les clés, le chiffrage est rendu plus difficile en utilisant des formules très élaborées, mélangeant des logarithmes, des sinus, des très grands nombres, etc.

Source 

Publié dans:ACCORD, CHIFFRES, LOI NATURELLE |on 7 août, 2013 |Pas de commentaires »

Comprendre la Cause des Causes

pour Guérir l’Individu et l’Humanité ! »

par Claude Traks

Comprendre la Cause des Causes dans GUERISON images-20

La raison principale pour laquelle l’Humanité en est à ce point, c’est parce que les peuples ne sont pas assez précis dans leur perception et dans leur compréhension des mondes de l’invisible, des dimensions « énergétiques » de la vie. Dans ce sens, le shamanisme devrait être enseigné dans les écoles. La science des mondes de l’invisible à été confisquée par les religions, qui ont été à leur tour confisquées par ceux qui dirigent, afin d’en faire un outil de contrôle des Esprits humains ! Cela me fait penser au droit des Etats d’imprimer leur propre argent qui a été dérobé par les financiers, ce qui a crée la chaos actuel.

J’espère d’ailleurs que vous êtes assez informé que pour savoir qu’un énorme complot des mondes de la finance est en train d’essayer de tuer les démocraties, de réduire à néant de quelques traits de stylo des siècles d’acquis sociaux pour lesquels nos grands parents on donné leur sang, de racheter les Etats et de diviser le monde entre ceux qui travaillent pour ce complot et ceux qui en sont les esclaves. Ce sont eux qui ont inventé la dette qui est une « manipulation comptable », elle n’existe pas vraiment ! Pour en savoir plus sur la dette et la seule solution légale et pacifique qui existe pour sortir de cette « crise », rendez-vous sur mon site. Je vous promets un scoop, même pour eux qui connaissent déjà beaucoup le sujet ! 

Beaucoup de gens me diront : « Ok ! Pourquoi tu nous parles de la crise dans un article sur le shamanisme ? ». Car ce que peu de gens savent, c’est que la quasi totalité de ces êtres (les politiciens, médias, financiers et autre PDG des grands groupes) sont complètement habités par des entités non humaines et que si vous voulez les influencer vous devez vous attaquer à la source. Vous aurez beau tous les tuer, cela n’arrangera rien car les entités qui les possèdent passeront dans le corps de quelqu’un d’autre. Ils ne sont plus connectés à leur Conscience, ils ne sont plus là ! Ce sont un peu des morts vivants ! Il ne créent rien et se nourrissent du travail et des énergies des autres. Mais pas de panique ! Tout va, l’évolution suit son cours… Si vous comprenez l’Histoire de Terre Gaïa et de ses âmes (cf : claudetraks.com) vous comprendrez qu’il ne s’agit absolument pas d’un combat « bien » « mal », mais d’un processus d’évolution très efficace. 

Vous comprendrez que ce monde qui est dans l’ombre a aussi sa part à jouer dans la création. La raison la plus importante pour laquelle il est vital pour les futurs humains d’apprendre comment sentir et appréhender les mondes de l’invisible se comprend par la comparaison suivante : auriez-vous l’idée de vous asseoir sur un nid de fourmis ? Non bien sûr. Et bien imaginez que dans l’invisible, il y a des fourmis invisibles mais que vous ne les voyez pas, que vous ne les sentiez pas sur votre peau et que vous n’étiez pas non plus Conscient de leur morsure ? Et bien c’est la même chose pour les mondes de l’invisible. Il y a par exemple un endroit où vous avez une aspiration d’énergie et ce n’est pas bon de dormir dessus. Mais si vous ne sentez pas cette énergie, si vous ne savez pas que cette aspiration n’est pas bonne pour y dormir et qu’en plus le fait de vous faire aspirer de l’énergie vous créez une sensation agréable, alors vous vous ferez aspirer beaucoup d’énergie. 

Dans l’invisible il y a de nombreuses sortes d’êtres vivants différents, il y a des courants d’énergie comparables à des rivières, des volcans énergétiques et… des fourmis, des moustiques, des dragons… Oui, oui, riez et le jour où vous vous retrouverez en face de l’un d’eux… Notez que les dragons sont des êtres dotés d’un amour d’une grandeur difficile à imaginer pour un homme ! Faut juste pas s’asseoir sur leur tête, ils détestent cela… Ce qui est compliqué lorsqu’on ne sait pas où est la tête et encore moins où est le dragon ! 

Les premières fois qu’on réalise qu’il y a toujours des êtres invisibles autour de nous, cela fait souvent peur ! 
Pourtant, dans les mondes de l’invisible, la plupart des êtres que vous rencontrez sont moins puissants que les humains. Certains d’entre eux arrivent cependant à influencer les choix importants des humains en influençant leurs pensés et leurs émotions. Ils y arrivent grâce au fait que les humains ne savent pas que ces entités existent ! Mais ne croyez pas que les mondes de l’invisible soient hostiles à l’humain, loin de là ! 

Parmi ces êtres invisibles, il existe des élémentaux, qui sont un peu l’équivalent des animaux mais en invisible. Ils vivent très proches de la nature. Il existe aussi de nombreuses races E.T. de quasi toutes les planètes et surtout de toutes les dimensions possibles et inimaginables. Ils n’ont jamais été aussi nombreux sur Terre Gaïa ! Ils viennent ici pour participer à l’une des plus grandes Alliances que cette Humanité n’aie jamais connue. Il est en effet VITAL pour toute la création que l’espèce humaine ne s’autodétruise pas ! En effet, le corps des êtres humains est un maillon essentiel de la création qui doit et va jouer un rôle capital dans l’éveil de l’Humanité. Les corps des futurs humains vont servir de passerelles pour réunifier toute la création. En effet, les Humains ont cette faculté fabuleuse de pouvoir connecter des êtres qui ont une Conscience très élevée et d’amener ces messages dans les mondes où il y a moins de Conscience. 

Ainsi l’homme va muter et va devenir vraiment Humain, de gré ou de force…Ceux qui acceptent qu’ils ont besoin d’être guéris et acceptent au moins en théorie de vivre dans une culture qui sera quasi exactement à l’opposé des cultures dites patriarcales pourront rester sur Terre Gaïa. Les autres devront partir dans des hôpitaux en dehors de cet espace temps car il faudra remplacer leur âme par leur âme originelle. Une âme doit être remplacée lorsqu’elle met en danger toute son espèce et qu’elle n’en est même pas Consciente ! Cela me semble être une Loi tout à fait Juste, pas vous ? C’est le cas de pas mal de gens dans cette Humanité vu qu’on vit dans un système qui sacrifie l’existence même des générations futures pour le confort de ceux qui s’appellent eux-mêmes les « adultes ». Mais ne vous inquiétez pas, tout va très bien, personne ne sera puni et chaque âme sera traitée comme un enfant Divin ! 

Nous vivons dans une espèce de programme de simulation de jeu vidéo interactif qui est fait justement pour jauger les âmes et voir jusqu’à quel point elles sont prêtes à « se remettre au boulot » en servant l’intérêt de l’évolution, donc de l’Amour éternel. Ce n’est que lorsqu’on a passé cette épreuve, que l’on peut retrouver ses pouvoirs Divins. Et c’est grâce à ce stratagème, qu’il n’y a pas de dualité dans la création et que les mondes Divins sont vraiment Divins ! J’aime aussi le concept que notre réalité est une sorte de camp de vacances pour les divinités qui sont fatiguées de faire tout le temps des choix. On commence à devenir divin à partir du moment où on fait des choix ! 

Pour être précis ce sont les « formes pensées » issues de l’astral qui sont le grand défi des humains. Ce sont chez les formes pensées que vous trouverez la cause de toutes les injustices et leurs remèdes ! La plupart des gens ne veulent pas voir ces jeux de force, car il leur fait peur. En fait cela fait peur aux entités qui les influencent, car elles ont peur d’être démasquées et c’est cette peur là que leur âme ressent ! On les appelle les « formes pensées » car ce sont des formes qui ont été pensées par les humains ! Ce sont les hommes et les femmes qui créent les formes pensées et qui ensuite les nourrissent ! Tous les futurs humains sont attachés aux formes pensées au travers de leur corps astral ! Certains en ont à l’intérieur d’eux, la quasi totalité à l’extérieur de leur corps physique. On les appelle des formes car elles ne sont que formes sans autre identité que celle que les hommes projettent en elles ! Ce n’est qu’une image qui agit en réaction à la Lumière ! Chacun d’entre nous a une projection de son image dans l’astral. La plupart des gens, croient que cette image, c’est eux, alors que c’est leur fantôme, leur propre ombre. Ils ne sont plus qu’une image qui suit ou rejette les mouvements de masses, dont l’inconscient n’arrive pas à se dissocier de l’inconscient collectif, un principe d’action/réaction primaire qui ne crée rien… Même si Facebook a beaucoup d’avantages, il faut y faire très attention car on assiste à l’avènement d’une génération obsédée par son image… 

Ce qu’il est très important de comprendre, c’est que comme l’homme vit de plus en plus dans sa tête(nouvelles technologies), il crée de plus en plus de formes pensées et vit de plus en plus dans leur monde qui donne à la matrice de plus en plus de pouvoirs. Même s’il elles n’avaient pas été « pensées » pour cela à l’origine, les formes pensés ont fini par penser par elles mêmes et par vouloir s’émanciper de leur « créateurs ». Je peux vous affirmer qu’avec l’énergie des humains elles ont construit un véritable monde qu’elles ont peur de perdre si les humains arrivent à se connecter à l’énergie inépuisable de leur dimension quantique (l’infiniment petit, l’intérieur de l’atome, l’ADN, les profondeurs des chakras…). 

On ne se rappelle jamais assez que chacun des atomes de notre corps détient la puissance d’une centrale atomique ! Mais pour capter cette énergie, il faut que nos attaches vers l’intérieur soient plus fortes que nos attaches extérieures. C’est pour cela que nos dirigeants sont amis avec toutes les religions qui nous font chercher ce dont on a besoin à l’extérieur de nous : chercher Dieu dehors, le grand Amour, l’autorité etc…. Donc, la stratégie à adopter pour faire ses choix dans les mondes « matériels de la matrice » et nos « intérêts Divins », vont en général dans le sens exactement opposé. Comme le disait Hermès, « la terre est le miroir du ciel ». Tout y est inversé ! 

Revenons-en aux formes pensées. Ce sont des êtres qui sont créés par les hommes et les femmes sans qu’ils s’en rendent compte. Ce n’est qu’en comprenant bien l’histoire de Terre Gaïa et de ses âmes que vous comprendrez d’où viennent ces forces, pourquoi elles sont là et en quoi elles font à la fois partie du problème et de la solution ! Le monde que ces êtres de l’invisible ont crée est d’une sophistication inouïe. Ils ont notamment créé un faux « monde divin » (l’astral) dans lequel les âmes sont retenues prisonnières dans des cycles de réincarnation sans fin. Ils ont leurs faux dieux, leurs faux saints de toutes les religions patriarcales de la planète (qui sont tous les saints vénérés par les religieux). Quel que soient leur nom ou leur culture, chaque fois qu’un être donne de l’attention à ces soit disant saints, cela nourrit encore un peu plus leur monde. Certains appellent ce monde « la matrice » en référence au film « Matrix » mais aussi en référence à la matrice de la création. On l’appelle le monde de l’ombre notamment car c’est un monde qui ne peut survivre qu’en se cachant. Sa plus grande force réside d’ailleurs en ce que la quasi totalité des humains ne savent pas qu’il existe. Le gouvernement mondial invisible et sa soit disant dette en est le reflet dans la matière. Mais comprenez bien que le gouvernement invisible est théâtre de marionnettes ! Alors si tu fais partie des très rares (tu comprends très rares ?) êtres humains encore vivants sur cette planète, rejoins-nous ! Dans l’invisible ou dans la matière, rejoins-nous ! Mets-toi dans cette Etat d’Esprit, ferme les yeux et parle nous : nous ta famille de Lumière sommes toujours à tes côtés ! 

Revenons-en à leur caractéristique principale : ils ne savent pas comment se connecter à leur énergie intérieure. Il dépend donc de leur survie que de vivre aux crochets des humains, de tout simplement « se nourrir » de l’énergie des humains afin d’en tirer leur énergie de vie. On ne peut pas leur en vouloir, ce ne sont pas les forces du mal pour autant. C’est d’ailleurs la même chose avec les futurs humains qui mangent des animaux et des plantes. On ne peut pas dire qu’ils sont mauvais parce qu’ils sont à une phase de leur évolution où il se nourrissent de plantes et d’animaux ! 

C’est là que réside tout le comique de la blague cosmique que nous vivons. Nous créons et nourrissons nous-mêmes un monde qui nous asservit ensuite ! Mais plus vous comprendrez les subtilités de toute cette histoire, plus vous comprendrez qu’ils sont en fait nos meilleurs amis car ils sont là pour réveiller les guerriers immortels qui sont en nous ! Ce qui est fabuleux avec ces entités, c’est qu’elles s’accrochent à des failles de notre aura, nous montrant ainsi là où il est nécessaire de travailler. Quant à leur complot il est là pour réveiller nos guerriers intérieurs qui sortent souvent lorsqu’ils sont en danger. Donc merci le complot, et merci aux entités de l’ombre d’être si efficaces ! C’est la même chose avec ce complot de la finance qui s’attache à la faille du système qu’est le capitalisme sauvage. Comme la planète est en danger, autant accélérer un processus de répartition des richesses de toute façon injuste ! 

C’est pour cela que si on veut un nouveau monde ou améliorer celuici, c’est aussi par les mondes de l’invisible qu’il faut commencer. 

Et le plus important, c’est de comprendre que ces forces se nourrissent au travers nos désirs de possessions.La majorité des gens sont conditionnés à vouloir posséder ce qu’ils aiment… Et se rattachent à leurs possessions au lieu de se rattacher à l’intérieur d’eux-mêmes, là où ils peuvent se connecter à l’identité de leur Divinité intérieure ainsi qu’à une énergie et à une créativité illimitée ! Nous sommes sur Terre pour apprendre à aimer sans posséder ! Si tu veux posséder, tu te perds dans tes possessions au sens propre et figuré car tu te perds énergétiquement dans l’autre ! Aimer doit nous aider à nous trouver nousmêmes, c’est ça le plus beau des cadeaux que nous pouvons apporter dans cette crise de l’Humanité. Et notre identité nous allons la trouver en aspirant l’énergie de l’infiniment petit, de nos atomes, de notre ADN, et de nos chakras… Mais la grande difficulté que très peu comprennent c’est que pour bien sentir notre identité énergétique, il ne faut pas trop fusionner avec d’autres énergies, et notamment éviter d’avoir des contacts physiques avec des personnes qu’on n’a pas vraiment choisies. Il faut apprendre à aimer sans vouloir absolument fusionner à chaque coup ! Dans les mondes de l’invisible, imaginez deux auras qui se rencontrent. C’est comme deux bulles ovaloïdes. Elles ne se pénètrent pas l’une l’autre sans connaître d’abord les caractéristiques énergétiques de l’être et la plupart du temps elles ne fusionnent pas. Bien sûr, quand elles le choisissent elles fusionnent en ayant bien pris soin d’être sûres que l’autre le désire aussi. Lorsqu’on fait des bises automatiques, parfois, on n’a pas vraiment envie d’avoir ce contact physique, mais on le fait par obligation. Pourtant nos auras s’interpénètrent, et donc il y a échange d’identité énergétique ! C’est bien dans l’absolu, mais lorsque la majorité sont endormis ! 

Si on n’apprend pas le shamanisme à l’école pour une certaine hygiène énergetique, il ne peut y avoir de monde libre, est-ce si difficile à comprendre ? L’apprentissage des mondes invisibles doit être la priorité absolue des scientifiques au service de l’humain. 

Et le vrai shamanisme utilise aussi les plantes n’en déplaise aux français qui sont toujours traumatisés dans leur inconscient collectif par le fait que sur le sol de France durant l’inquisition, on brûlait tous les shamans, druides, sorciers et autres guérisseurs des âmes. Et la plupart de ces êtres étaient des femmes. Ce travail doit se faire en suivant un minimum de règles parmi lesquelles… 
  Règle 1 : ne pas le faire en dehors d’un travail de remise en question profond en amont en aval. 
  Règle 2 : le faire sur le sol où la plante pousse dans l’idéal ou au moins dans un endroit où elle pourrait pousser ! 
  Règle 3 : vous ne pouvez vous faire accompagner que par des êtres qui savent que la plupart des shamans se connectent aux faux mondes Divins, ce qu’ils appellent l’astral. Et pour connaître l’Etat d’Esprit des mondes Divins, c’est l’opposé de nos cultures patriarcales… 

N’oublie pas que malgré les apparences nous nous aimons tous et toutes depuis l’éternité. On va réussir à amener cette Humanité dans son âge d’Or. C’est promis ! La question c’est « veux-tu venir créer sur cette planète un paradis pour tous les êtres vivants ? » Tout ce que tu as à faire c’est lâcher le bord de la piscine… 

A lire de Claude Traks : 
 sur www.claudetraks.com

telechargement-7 dans HUMANITEClaude Traks a aussi écrit 5 autres livres que vous pouvez tous commander sur son site. Si c’est trop cher pour vous, proposez ce que vous pouvez… 
1/ A la Recherche du message des Dauphins 
2/ Les dernières pièces du puzzle ou la mission spirituelle de la France et de l’Europe 
3/ Pour se Libérer de la matrice ou les piège du Nouvel âge 
4/ Les mensonges de la Bible, du Coran et de la Torah ou comment le rôle des femmes a été soigneusement gommé de l’histoire par les religions 
5/ Lettre au président Sarkozy et au nouvel ordre mondial de la part du monde des fées, des anges et des dragons

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, LOI NATURELLE, PENSEE |on 5 août, 2013 |Pas de commentaires »

Un descendant de mandarins interroge le cosmos

 Un descendant de mandarins interroge le cosmos dans HUMANITE 11-petitGrandi dans la tradition vietnamienne, puis dans la culture française, devenu astrophysicien américain et professeur à l’université de Virginie, Trinh Xuan Thuan a coutume d’exprimer dans ses livres une quadruple préoccupation, scientifique et poétique, philosophique et mystique. Son dernier-né, Le Cosmos et le lotus (Albin Michel), est best-seller en librairie. Comme d’habitude ! Dans l’ouvrage collectif , paru dans la collection des Entretiens Clés (Albin Michel et Livre de Poche), c’est lui qui entre en lice le premier, défendant la théorie controversée du « Principe anthropique fort », avant de subir le feu roulant des critiques de cinq autres scientifiques : Ilya Prigogine, Albert Jacquard, Joël de Rosnay, Jean-Marie Pelt et Henri Atlan. Que dit cette théorie ? L’entretien suivant, tiré de cet ouvrage collectif, la présente avec précision. Résumée en une phrase, elle dit ceci : « S’il n’existe qu’un seul univers, le nôtre, un principe créateur a forcément dû en régler les paramètres dès le début, pour qu’apparaissent la vie et la conscience » En tant que bouddhiste et en tant qu’astrophysicien confronté constamment à des notions de temps et d’espace, Trinh Xuan Thuan s’était souvent demandé si la réalité vue par un scientifique moderne coïncidait avec la vue de Bouddha quand celui-ci atteignit l’Éveil. Il n’était pas vraiment sûr que la question ait du sens, l’objet de la science étant le monde extérieur tandis que le bouddhisme, évidemment, regarde à l’intérieur. La science utilise l’intellect et la raison, se disait le chercheur, elle catégorise, analyse, compare, mesure, sa méthode expérimentale est basée sur l’observation ; ses connaissances dérivent de l’expérience à travers des appareils de mesure, ce ne sont pas des pensées métaphysiques. Tandis que le bouddhisme utilise la contemplation et l’intuition, qui font naître de telles pensées. La science, elle, utilise un langage autrement formalisé, le langage mathématique. Mais n’est-il pas surprenant que des entités complètement abstraites, sortant de notre esprit, puissent décrire la nature avec tant d’acuité ?

Clés : Notre question de départ est toute simple, presque enfantine : le monde s’est-il créé tout seul ? 
Trinh Xuan Thuan : De quel monde parlez-vous ?

L’univers : le monde matériel, des planètes jusqu’à nous, tout ce qui existe –du moins, ce que nous en connaissons. 
Savez-vous combien cette connaissance est volatile ? Elle a constamment évolué en fonction du temps.

Je suppose en effet que chaque culture répondrait différemment à ma question. C’est précisément pourquoi je voudrais, avant de lancer le débat sur le terrain de la science, questionner votre point de vue. Il est spécifique : vous êtes nourri de plusieurs sources – Orient et Occident d’une part, science et philosophie de l’autre – et vous vous efforcez de les faire dialoguer, ce dont témoignent vos nombreux livres. Dans Origines, par exemple, parmi d’extraordinaires photographies de planètes, d’étoiles ou de galaxies, vous passez en revue les mythes portant sur la création du monde, et vous les confrontez à nos connaissances actuelles. Si donc je demande : « L’univers s’est-il créé tout seul ? », vous êtes sans doute particulièrement conscient de la diversité des réponses ? 

Je suis avant tout frappé par l’universalité de la question ! Depuis l’aube de l’humanité, elle n’a cessé d’être posée, et cela à toutes les époques et dans toutes les cultures. À mon sens, elle est même ce qui nous définit comme humains : elle montre que nos préoccupations dépassent la simple survie, elle fait appel à « quelque chose de plus ». Toutes les civilisations ont cette recherche en commun. Les alignements de Stonehenge, les peintures rupestres des grottes de Lascaux et de Chauvet, les statues polynésiennes de l’Ile de Pâques, la cité inca de Machu Pichu ou le complexe religieux khmer d’Angkor, tous les vestiges du passé le plus lointain nous offrent les manifestations d’une quête de la transcendance.

Et ainsi se dessine une histoire des origines ? 

Au départ, la vision humaine de l’univers était surtout animiste. L’homme prêtait une âme et une vie aux arbres, aux animaux, à toute la nature. Nos ancêtres évoluaient dans un univers magique, animé de toutes sortes d’esprits. L’univers était illuminé pendant le jour par l’esprit Soleil et pendant la nuit par l’esprit Lune. Le tonnerre qui gronde, l’arc-en-ciel qui apparaît après une averse, la rivière qui monte, la pluie qui tombe, chacun de ces événements naturels était la manifestation d’un esprit. Si vous butiez contre une pierre, vous vous excusiez à l’esprit pierre ! Tout était familier, à la mesure de l’homme. Il y a quelque trente mille ans, les êtres qui ont peint des bisons, des rennes et des chevaux dans les grottes de Lascaux et de Chauvet, se sentaient familiers et fraternels avec eux. Une nature tout entière « spirituelle » leur servait de modèle. Avaient-ils une idée quant à son origine ? Les anthropologues ont montré que chez certains peuples animistes, elle pouvait être conçue comme relevant d’un « grand esprit », tantôt masculin, tantôt féminin, tantôt les deux. 

De cette vue animiste et magique, l’homme est ensuite passé à une pensée mythique il y a quelque dix mille ans. Les éléments naturels se sont transformés en dieux, tout en acquérant des pouvoirs surhumains. Dès lors, on ne pouvait plus leur parler familièrement. Pour communiquer avec eux, il fallait avoir recours à des intermédiaires spéciaux, des prêtres – qui gagnèrent par leur fonction un grand pouvoir. Ce furent d’abord des astrologues qui lisaient dans les événements naturels le destin des hommes. Observant le ciel, ils firent de la lune et du soleil des dieux, et expliquèrent l’univers par des mythes. Pour les Égyptiens, par exemple, le ciel était le corps de la belle déesse Nout, dont les bijoux formaient les étoiles. Le dieu soleil Rê traversait son corps pendant le jour, pour revenir la nuit sur ses pas à travers les eaux souterraines dans les entrailles de la Terre. Ainsi se trouvait expliquée l’alternance du jour et de la nuit. Dans l’univers mythique, tout phénomène naturel, la création de l’univers incluse, était la conséquence des actions des dieux, de leurs amours et de leurs accouplements, de leurs haines et de leurs guerres. L’alliance entre l’homme et la nature fut rompue. L’homme se mit à adorer les dieux, mais perdit le contact intime et familier avec son environnement. Les dieux de l’univers mythique créent le monde, contrôlent tout et s’éloignent de l’homme. Eux seuls ont accès à la connaissance.

Cette vision a duré jusqu’au VI° siècle avant notre ère, quand, le long de la côte de l’Asie Mineure, en Ionie, survient le « miracle grec ». En plein milieu de l’univers mythique, les Grecs ont l’intuition extraordinaire que les phénomènes naturels peuvent être compris sans s’abandonner aveuglément à l’action des dieux. Les composantes du monde sont régies par des lois qui peuvent être appréhendées par la raison humaine. Puisque les dieux imposent ces règles et que la nature les suit, l’idée que l’harmonie du monde ne peut être perçue qu’à travers les mesures et les observations des mouvements célestes s’impose. Seule l’observation de la nature peut en livrer les clés. Les Grecs ont entrepris de les chercher. Toute la science moderne occidentale est née de cette quête.

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Publié dans:HUMANITE, LOI NATURELLE, REINCARNATION |on 19 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

symboles des lettres

 

Initiation à la langue des Oiseaux

extrait de dix minutes tiré du site http://www.baglis.tv

« Les mots nous parlent autant que nous les parlons » nous dit Luc Bigé. L’auteur distingue quatre fonctions du langage qui nous racontent des choses différentes. La langue des oiseaux, ou « langue des anges », nous parle de sens. Dans ce langage vivant, les mots, traités comme des symboles tant par la géométrie des lettres qui les composent que les sonorités qui les agitent, nous en disent plus que ce qu’ils semblent. Véritable forme de pensée en soi, ils nous conduisent à une pluralité de sens à explorer comme un jeu, nous dit l’auteur.

Image de prévisualisation YouTube

Par exemple, la « maladie » peut se lire le « mal a dit ». Le son est ici porteur d’une nouvelle signification qui échappe au sens conventionnel. A leur tour, chaque lettre est à la fois un son et une image, un véritable archétype nous guidant sur un chemin de transformation et d’évolution intérieure. Qu’est-ce que l’euphonie?

Pour accéder à la vidéo dans son intégralité allez sur http://www.baglis.tv/religion-video/1…

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La Magie solaire

Une magie qui prend son énergie au niveau du soleil est appelée la magie solaire, c’est une magie qui est positive et bienfaitrice. C’est également une énergie puissante puisque le soleil a toujours été considéré comme un Dieu.

 Il faut être assez précis dans votre demande afin que le magicien choisisse un rituel adapté à votre propre situation. En effet, la magie solaire s’effectue à des jours bien précis et à un moment de la journée lorsque le soleil se lève, lorsqu’il est au zénith ou à son coucher.

La Magie solaire dans LOI NATURELLE ble-contrejours Les rituels de magie solaire sont le plus souvent effectués en extérieur proche de la nature pour que l’énergie du soleil soit la plus présente possible.

 Les jours de la semaine et les saisons ont une grande importance et ont des significations bien précises qui permettent aux magiciens de bien choisir le moment le plus adapté à votre demande.

La magie solaire est spécialement efficace lorsqu’il s’agit de rituels qui touche à la finance et à la carrière.

Un rituel de magie doit se réaliser un jour précis de la semaine afin avoir plus d’effet positif. En effet, magicien vous posera des questions précises sur votre situation, ce que vous voulez vraiment et quelle personne doit être visée en détails. Ainsi, le rituel de magie blanche ou solaire sera le plus personnalisé possible.

Pour mieux comprendre, nos magiciens ont mis en place une petite explication des spécificités de chaque jour de la semaine pour la réalisation des rituels de magie :

  • Le Lundi est le jour de la Lune est utile pour les rituels qui touchent à la fertilité en générale et pour les ententes interpersonnelles.
  • Le Mardi est le jour de Mars, est le jour que les magiciens préférent pour réaliser des rituels de protection et de purification pour lutter contre les mauvaises ondes.
  • Le Mercredi est le jour de Mercure, c’est le jour le plus faste en ce qui concerne les rituels d’argent et d’intuitions.
  • Le Jeudi est le jour de Jupiter, si vous souhaitez avoir plus de chance et augmenter votre capital, le magicien réalisera le rituel ce jour-là.
  • Le Vendredi est le jour de Vénus, ce jour-ci il est préférable de réaliser des rituels qui sont liés aux relations amoureuses et sexuelles.
  • Le Samedi est le jour de Saturne, cette planète permet de pouvoir être en contact avec de bons esprits pour votre avenir.
  • Le Dimanche est le jour du Soleil, il favorise les rituels pour guérir d’un mal et pour éloigner les mauvais esprits.

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Publié dans:LOI NATURELLE |on 31 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

La Magie Bleue

 

La Magie Bleue dans LOI NATURELLE ciel3-300x225On donne des noms de couleurs aux différentes magies, ici il s’agit de la magie bleue qui correspond à l’eau et à tout ce qui est liquide. C’est une magie qui est associée à la patience, à la créativité et bien entendu à la purification avec l’eau pure.

 La magie bleue peut donc être utilisée dans plusieurs cas de purification et de protection que ce soit d’un lieu, d’une personne,…

Les rituels qui touchent au plaisir, à la chance et à l’argent qui vous aident dans votre vie pourront être effectués en magie bleue.

La magie bleue complète la magie blanche en ce qui concerne la protection anticipée d’une personne ou d’un lieu. En effet, il existe un rituel très courant de protection du foyer et de purification.

 La Magie Bleu est également une forme de Magie blanche car les ingrédients sont très positifs. Les ingrédients sont des sources d’eau, du robinet, de ruisseau, de fleuves, de lacs, de mer, etc…

La Magie bleu, comme sa couleur l’indique est à base d’élément liquide neutre, l’eau. Bien souvent associée à la purification, au désenvoutement, à l’eau bénite, la Magie bleu est une Magie très puissante mais méconnue.

Ses rituels consistent à soigner des personnes, ou à purifier une personne ou un lieu comme une maison, un appartement, un véhicule. Pour tous les rituels de Magie blanche qui utilisent de l’eau en ingrédients et dont l’objectif est de purifier ou de soigner, le nom de cette Magie devient alors la Magie bleu.

Les précautions à prendre en Magie bleu

Les dangers de la Magie bleu sont les mêmes que ceux de la Magie blanche. A savoir: Il faut que vos intentions soient louables, ne souhaitez pas le mal, mais le bien. Ne pratiquez pas ou ne faites pas pratiquer des rituels de Magie bleu si vos intentions tendent à forcer une tierce personne à nourrir votre intérêt unique ! Le risque principal est le triple choc de retour. Dans le doute, abstenez-vous.

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Publié dans:LOI NATURELLE |on 31 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

La magie rouge

 

En 1830, face à une démarcation blanc/noir très souvent utilisée, une nouvelle démarcation est apparue (plusieurs siècles après) pour catégoriser une autre forme de magie, appelée rouge. Elle possède de nombreuses définitions différentes, certains utilisent cette démarcation pour diviser la magie noire en deux parties distinctes. Avec d’une part les magies (noires) visant à détruire ou maudire mais n’apportant rien d’autre au mage qu’un plaisir sadique face au malheur et à la frustration que ses opérations suscitent (ou sont censées susciter) chez la victime. Et d’autre part les magies (rouges donc) ayant un but plus égoïste, visant à apporter au mage des biens et plaisir matériels ou charnels (mais pas nécessairement en rapport avec la sexualité.)

La magie rouge dans LOI NATURELLE 3d9dc5b6Toutefois, la plupart des définitions de la magie rouge possèdent une caractéristique relativement commune, associée directement à la sexualité, à l’amour, à la séduction et au plaisir charnel ou amoureux. La magie rouge est alors essentiellement relationnelle (s’occupant des rapports particuliers entre deux humains). Il existe toutefois deux courants parmi ceux qui utilisent cette catégorisation rouge amoureuse et/ou charnelle.

Ceux qui considèrent que la magie rouge contient essentiellement les charmes et enchantements séducteurs, comme les philtres d’amour, ou toutes les magies cherchant à séduire et à obtenir du pouvoir de séduction sur les individus charmés. Cette catégorisation est souvent illustrée par les sorcières censées avoir obtenu le cœur de certaines personnes déjà mariées, ou inaccessibles socialement, par des envoûtements, et cela (bien sûr) contre le gré de ces dernières.

D’autres considèrent que ces pratiques sont des enchantements et des manipulations égoïstes à classer uniquement dans la magie noire, et ne placent dans la magie rouge que les pratiques et rituels visant non pas à manipuler, mais à révéler des sentiments déjà existants, ou à les développer. Dans cette vision, la magie blanche est issue d’une personne pour aider la communauté, la magie noire tire bénéfice du monde extérieur pour les besoins personnels du mage et la magie rouge est basée sur l’amour et les échanges volontaires entre les deux participants à cette magie. Par exemple certains rituels entre amoureux se basant sur leur amour pour se rendre plus forts, ou pour lutter contre une maladie ou une affliction particulière de l’un des membres sont des exemples de cette magie rouge « non-manipulatrice ».

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Publié dans:LOI NATURELLE |on 29 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

La Magie Verte

 

Beaucoup de magies ont des termes de couleurs, mais l’expression magie verte elle, est plus commune et bien plus connue. 
On peut définir cette magie comme la magie végétale, on y inclut donc les arbres, forêts, les fleurs, plaines, les herbes, les plantes…

Elles seront utilisées dans ce cas pour leurs caractéristiques médicinales et thérapeutiques ainsi que pour leurs propriétés magiques. On peut parler « d’herborisme » « d’herboristerie » ou « d’herboriste »

Certaines traditions poussent même la définition de magie verte comme de Magie de La Nature. On parlera de la « magie de la nature » en incluant tous les rituels incluant la nature dans son ensemble et en spécifiant que c’est de la « magie naturelle ». On parlera alors de la Terre, des pierres, des animaux, de l’eau, de toute forme de vie… et même de l’Univers, le Cosmos, etc.

Les rituels de « magie verte » sont des rituels englobant tout types de rituels : sortilèges d’amour, de protection, de guérisons, de pouvoirs, etc., en autant que ces rituels demeurent en parfaite harmonie avec la nature. Ou en respect avec les énergies de la Nature ou de la Terre. 

Par extension, on parlera alors de « magie verte » la magie qui utilise les énergies telluriques, etc. En général, on dit surtout que ces rites visent à entrer en harmonie avec soi-même et avec les énergies de l’univers – peu importe la façon d’ arriver. 

Beaucoup vont alors associer la « magie verte » à une magie bénéfique ou blanche. Cette association est basée sur le fait que les énergies utilisées proviennent des plantes, herbes, fleurs, etc… et donc de la Nature, de la Terre et que si ces énergies sont utilisées avec respect, le praticien est donc en harmonie avec la Nature. Certains discours soulignent cependant que de toute évidence, ces rituels ne sont pas plus bénéfiques puisque la « Nature », n’est ni bonne, ni mauvaise… mais bien les deux, elle est à la fois créatrice et destructrice. 

Lorsque les rites de « magie verte » font appel aux entités, nous verrons alors le plus souvent les divinités associées à la terre et à la nature. Parfois aux élémentaux et aux fées, comme nous verrons plus loin. 

 La Magie Verte dans LOI NATURELLE 220px-oaxaca-corn-rafleLa Magie verte est nommée ainsi en raison des ingrédients utilisés pour les rituels. En effet, la Magie verte comme son nom l’indique utilise de nombreux végétaux pour l’élaboration des rituels.

La Magie verte rentre en rapport des éléments de la nature comme les forêts, les plantes, les arbres, les végétaux en règle générale.

La Magie verte utilise différentes plantes pour l’élaboration des rituels magiques. Autrefois, lorsque la médecine ne parvenais pas à soigner des maux, ils utilisaient fréquemment des mélanges de plantes.

La Magie verte permet comparativement à la Magie blanche, d’avoir de la chance, de réussir un mariage, d’apaiser le sommeil, de réveiller les souvenirs, de se rappeler de nos vies antérieures ou d’avoir des rêves prémonitoires. Les débouchées sont nombreuses.

La Magie verte fut couramment pratiquée par les druides, les amérindiens et les aborigènes.

Les magiciens, ou plutôt les sorciers connaissaient les vertus des plantes et pouvaient ainsi les utiliser pour soigner différents maux. De nos jours, les recettes qu’ils utilisaient sont pour la plupart perdus à jamais.

La Magie verte utilise différentes plantes pour l’élaboration des rituels magiques. Des différentes plantes possèdent des vertus et s’utilisent en fonction des différents jours de la semaine, et des phases de la lune.

Acacia, Achillée, Ail, Ajonc, Amande, Angélique, Anémone, Aneth, Angélique, Anis, Aubépine, Avoine, Basilic, Bouleau, Bouton de rose, Bruyère, Buis, Camomille, Cannelle, Carvi, Céleri, Chardon béni, Chèvrefeuille, Chicorée, Chiendent, Chou, Citron, Clou de girofle, Concombre, Coriandre, Cumin, Cyprès, Erable, Eucalyptus, Euphraise, Fenouil, Fenugrec, Fougère, Fraisier, Fumeterre, Gentiane, Géranium, Gingembre, Guy, Hêtre, Iris, Jacinthe, Jasmin, Laurier, Lotier, Marguerite, Mélisse, Menthe, Moutarde, Myrtille, Nénuphar, Noisetier, Orchidée, Origan, Orme, Ortie, Patience, Pensée, Pervenche, Peuplier, Piment, Pin, Pissenlit, Pommier, Poirier, Poivrier, Primevère, Quinquina, Rhue, Rose, Romarin, Salsepareille, Sauge, Sureau, Thym, Tilleul, Tomate, Trèfle, Valériane, Vanille, Varech, Verveine, Vétivers, Violette, Ylang-Ylang.

Si vous envisagez de pratiquer la Magie verte, il vous faudra donc trouver différentes plantes. Dans le cas ou vous ne vous y connaissez pas spécialement n’hésitez pas à présenter les plantes que vous trouvez à un professionnel afin de ne pas ingérer une mauvaise plante ! Vous pouvez également trouver certaines de ces plantes dans les jardineries ou encore dans une herboristerie.

Dans la magie blanche les herbes et les plantes sont très importantes. Elles ont chacune leur propriété magique et sont souvent utiliser pour des rituels ou des potions. Il est important de savoir à quoi servent chacune de ces plantes. Il en existe plusieurs mais je vous en présente ici que quelques-unes:

-L’Acacia
Elle peut être brûler pendant les séances de méditation pour capter plus facilement les message émanant du monde invisible

-L’Ail
Cette plante est très efficace contre le mauvais oeil. Il peut être suspendu à notre porte ou emporter sur soi. L’ail porte chance.

-L’Angélique
L’angélique, appelée également l’herbe aux anges, préserve des maléfices et mauvais sortilèges, toutes personnes faisant appel à ses vertus. Elle possède également le pouvoir d’augmenter la patience et la persévérance

-Le Basilic
Cet herbe sacrée assure la protection dans la maison; son odeur agréable et attirante apporte, entre autres, la joie et la gaieté.

Le Bouleau
L’écorce de bouleau sert à fabriquer des talismans, à inscrire des incantation en vue de sortilèges amoureux et à protéger des envoûtements. 

Le Bouton de rose
Jeter quelques boutons de rose dans un feu procure la chance.

La Camomille
Il est reconnu que la camomille attire l’argent; il est recommandé de se laver les mains dans un infusion de camomille juste avant de jouer à un jeu de hasard.

La Cannelle
Utilisée comme encens, elle apporte la prospérité.

Le Céleri (graines)
Elles sont excellentes pour la concentration des médiums. Brûlée avec de l’encens, elles augmentent les pouvoirs psychiques. 

Le Coriandre
Les graines de coriandre sont portées dans un sachet de tissu blanc comme amulette contre toutes sortes de maladies.

La Fougère
Mettre une fougère près de sa fenêtre protège des mauvais sorts.

Le Gui
Le gui était la plante sacrée des druides, et un rituel magique précédait toujours sa cueillette. On dit qu’il possède des propriétés aphrodisiaques, qu’on le consomme en infusion ou qu’on le porte en talisman.

Le Jasmin
Il protège l’affection et l’amour. Brûlé comme encens, il inspire des rêves divinatoires.

Le Laurier
Une feuille de laurier passée sur une feuille de papier apporte l’inspiration à celui ou celle qui veut écrire. Un bouquet de laurier offert à une mariée lui assurera une union heureuse et durable.

La Marguerite
Les marguerites prédisposent au retour d’affection.

Le Nénuphar
Le nénuphar est une plante aquatique. Une variété des nénuphars blanc entraient autrefois dans la préparation de l’onguent des sorcières, panacée pour tous les maux. On dit que les fleurs de nénuphar sont excellentes pour augmenter la sensualité.

Le Romarin
Cette plante améliore la mémoire. Placée sous un oreiller, elle attire la chance; portée sur soi, elle favorise la bonheur.

La Rose
La rose est la fleur par excellence pour tous les rituels d’amour et, pour ce type de rituel, on la retrouvera toujours sur l’autel ou à l’intérieur du cercle magique. Symbole de la perfection, de la séduction et de la sensualité, elle est la fleur de Vénus, planète associée aux natifs du Taureau et de la Balance. Les pétales de roses rouges et jaunes ont un effet incontestable sur la fécondité.

Le Thym
Lorsqu’on le brûle sur du charbon, dans la maison, on garantit la bonne santé à tous les occupant; en porter sur soi nous apporte de vois nos qualités reconnues.

La Verveine
La verveine, également appelée plante d’amour, sera utilisée dans tous les rituels visant à garder auprès de soi une personne aimée ou pour attirer à soi un personne désirée.

 

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Publié dans:LOI NATURELLE |on 19 décembre, 2012 |Pas de commentaires »

La magie lunaire

La pratique de la magie blanche demande beaucoup de précisions et ce de votre demande et des informations que vous fournissez, de la préparation du rituel, du rituel en lui-même et enfin de la finalisation du processus magique.

 C’est pourquoi, il existe de nombreux rituels qui seront plus efficace s’ils sont effectués durant une période bien précise. On dit donc que ces rituels font partis de la magie lunaire car ils s’effectuent en fonction du cycle de la lune.

 Pour avoir plus d’informations, nos magiciens vous expliquent l’histoire de cette magie lunaire et également les spécificités de chaque phase de la lune afin de réaliser les bons rituels aux bons moments.

La magie lunaire dans LOI NATURELLE lune

Histoire de la magie de la lune

Depuis toujours la Lune a des influences sur nos comportements et sur nos caractères, c’est pourquoi, en magie il est important de suivre le cycle lunaire pour réaliser certains rituels.

 En fait la magie lunaire est un concept qui sert d’appui aux autres magies afin qu’elles soient les plus performantes possibles à la vue des phases de la lune.

 On classe donc les rituels de magie lunaire en quatre parties en fonction de leurs spécificités :

  • La magie effectuée lors de la pleine lune qui correspond aux rituels de fertilité, d’amour et d’intuitions.
  • La magie faite lorsque la lune est décroissante qui s’apparente à se séparer des mauvais esprits et à avoir de bonnes ondes pour l’avenir.
  • La magie de lune noire est celle dans laquelle les rituels de magie noire et de sorcellerie principalement.
  • La magie qui est lors de la lune croissante est particulièrement efficace pour les rituels de retour affectif et de changements.

Par exemple, il est important de ne pas faire un rituel de magie blanche ou rouge durant la phase de lune noire car elle dégage les mauvais esprits, il s’agit donc de la lune qui correspond le mieux à la magie noire.

  • La lune montante est la meilleure phase pour la magie blanche et la magie rouge car elle favorise l’amour, la chance, le sexe, l’argent et la protection.
  • La pleine lune est également bonne pour la magie rouge car elle est excellente pour la fertilité et tout ce qui touche à la spiritualité.
  • La lune décroissante est le moment idéal pour se débarrasser des mauvaises ondes, personnes et activités qui nuisent au bon futur.
  • La lune noire est sans aucun doute la lune de la magie noire car les rituels de magie blanche seront inefficace ce soir là.

Les phases lunaires

Les phases de la lune sont très importantes pour toutes les magies, que ce soit  la magie blanchela magie rougela magie vertela magie noire,… En effet, la magie lunaire permet d’effectuer un rituel plus efficace en fonction de votre propre situation.

 

Explications issues du site …   http://www.magieblanche.eu/

Publié dans:LOI NATURELLE, LUNES |on 23 novembre, 2012 |Pas de commentaires »
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