Archive pour la catégorie 'HUMANITE'

Les Cherokees

 

Les TchérokîsChérokîs ou Cherokees d’après l’orthographe anglaise sont un peuple d’Amérique du Nord qui habitaient dans l’est et le sud-est des États-Unis avant d’être forcés de se déplacer vers le plateau d’Ozark. Ils faisaient partie de l’organisation dite des Cinq tribus civilisées. Les ethnologues estiment qu’il existe aujourd’hui entre 5 et 7 millions de personnes descendant des Cherokees.

Actuellement, les principales communautés sont la Nation Cherokee, l’United Keetoowah Band of Cherokee Indians (Oklahoma) et l’Eastern Band of Cherokee Indians (Caroline du Nord). La nation est également représentée en Géorgie, en Alabama, en Arkansas, dans le Missouriet dans le Tennessee.

Les Cherokees dans AMERINDIENS

Pour certains, le cœur spirituel de la nation est la Keetoowah Nighthawk Society.

Le nom Cherokee vient de Tsalagi, le nom des Cherokee dans la langue des Creek, et également le nom qu’ils utilisaient eux-mêmes le plus souvent. Tsalagi se prononçait Cha-ra-gi dans un dialecte aujourd’hui disparu. Il s’est ensuite transformé au cours du temps jusqu’à devenirCherokee. À l’origine, les Cherokees se nommaient Aniyunwiya.

Selon une tradition orale, les Cherokees, parlant une langue iroquoienne, auraient migrés vers le Sud depuis la région des Grands Lacs, où l’on retrouve différents peuples iroquoises1. Selon une autre tradition orale, les Cherokees seraient originaires du Sud-Est des États-Unis, mais aucune preuve archéologique ne soutient cette théorie.

De 1736 à 1743, l’utopiste allemand Christian Priber se rend en territoire cherokee et organise en tant que « premier ministre » la résistance indienne face aux Anglais.

À l’époque de la Guerre d’Indépendance, les violations répétées des traités par les colons blancs poussèrent certains Cherokees à quitter la nation cherokee. Ces dissidents furent nommés lesChickamauga. Menés par le chef Dragging Canoe, les Chickamauga s’allièrent avec les Shawnee et menèrent des raids contre les établissements des colons, aidés par les Britanniques.

John Ross (Koowescoowe en langue cherokee) fut un des personnages importants dans l’histoire de la nation cherokee. Son père émigra d’Écosse avant la révolution américaine. Sa mère, également fille d’Écossais, possédait un quart de sang cherokee. John Ross commença sa carrière publique en 1809. Comme l’autorisait la constitution de l’époque, la Nation Cherokee fut créée en 1820, avec des représentants officiels élus. John Ross devint le chef de la nation en 1828 et le resta jusqu’à sa mort.

Les Cherokees furent déplacés de force de leurs terres ancestrales du nord de la Géorgie et des Carolines vers le Territoire Indien en Oklahoma, principalement à cause de la ruée vers l’or aux environs de Dahlonega dans les années 1830. La déportation du peuple cherokee porte le nom de Piste des Larmes.

Une fois arrivés, les tensions s’aggravèrent et la suspension de la Loi du Sang cherokee fut ignorée. Le 22 juin 1839, après l’ajournement d’une assemblée tribale, plusieurs des plus importants signataires du Traité de New Echota furent assassinés, y compris le rapporteur de la Loi du Sang, Major Ridge, ainsi queJohn Ridge et Elias Boudinot. Ce fut le début d’une guerre civile de 15 ans parmi les Cherokees. Un des survivants notables fut Stand Watie, qui devint généralconfédéré pendant la Guerre de Secession. Les Cherokee sont une des Cinq tribus civilisées qui ont signé des traités, et ont été reconnus par les États confédérés d’Amérique.

D’autres Cherokee, dans l’ouest de la Caroline du Nord, servirent au sein de la Thomas’ Legion, une unité d’environ 1 100 hommes d’origines cherokee et blanche, combattant principalement en Virginie, où leur réussite fut impressionnante. La Thomas’ Legion fut la dernière unité confédérée à se rendre en Caroline du Nord, à Waynesville, le 9 mai 1865.

Avant la guerre de Sécession, les Cherokees, comme d’autres peuples indiens du sud des États-Unis, avaient des esclaves. Ceux-ci ont été libérés à la fin de la guerre, mais nombre d’entre eux sont alors restés dans les nations où ils étaient, et certains se sont mariés à des Indiens. Ce sont leurs descendants que les Cherokees veulent exclure en 2007.

Les Cherokees d’Oklahoma perdirent le droit d’élire leur propre chef en 1907 lorsque l’Oklahoma devint un État. Divers dirigeants furent désignés par les présidents jusqu’en 1970 quand les Cherokees récupérèrent le droit d’élire leur gouvernement grâce à un décret du Congrès signé par le président Richard Nixon. W. W. Keeler fut le premier chef élu des Cherokees d’Oklahoma. Il était également président de Phillips Petroleum. Ross Swimmer, Wilma Mankiller, Joe Byrd et actuellement Chad Smith lui succédèrent.

Le 14 juin 2004, le Conseil Tribal de la Nation Cherokee définit officiellement le mariage comme une union entre un homme et une femme, mettant de fait hors la loi le mariage homosexuel. Cette décision répondait à une demande d’union d’un couple lesbien déposée le 13 mai. Le chef Chad Corntassel Smith expliqua que le motif principal de cette décision était d’homogénéiser les lois de la Nation Cherokee et de l’État d’Oklahoma.

Début mars 2007, les Cherokees ont voté en majorité, à 77 %, pour l’expulsion des descendants, notamment métis, d’anciens esclaves Africain-américains de leur nation Les Cherokees pratiquaient l’esclavage des Noirs avant la guerre de Sécession. Les esclaves ont été affranchis après la guerre et certains ont épousé des Amérindiens.

Comme toutes les nations indiennes officiellement reconnues par le gouvernement des États-Unis, les Cherokees bénéficient d’avantages et de subventions, et les critiques ne voient dans ce scrutin qu’une façon d’écarter de ces avantages ceux qui ne sont pas de pur sang indien.

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 15 août, 2012 |Pas de commentaires »

La Guérison par impositions des mains

Par Aigle Bleu

qui lance également un appel,

à voir sur notre FORUMhttp://devantsoi.forumgratuit.org/t444-conseils-d-aigle-bleu#3119

 

Bonjour Aigle Bleu, depuis quelques temps je me pose des questions sur le magnétisme qui est, si j’ai bien compris, une pratique par laquelle on peut soigner des personnes en utilisant l’énergie électromagnétique qui enveloppe les corps des êtres vivants (donc cela s’effectue aussi sur les végétaux). Quel est votre point de vue sur ce sujet ? Est-ce une pratique utilisée par les amérindiens?
Merci d’avance.
Vincent
La Guérison par impositions des mains dans GUERISON 1333523-150x150
Bonjour Vincent,

Oui, effectivement, c’est une pratique que nous utilisons. Mais pour bien comprendre il nous faut mettre un peu de contexte à cette question.

Le terme juste ici n’est pas magnétisme mais bien guérison par imposition des mains. Cette pratique est connue par bien des traditions du monde. Il y a une trentaine d’années, une femme docteur fit une recherche sur des guérisseurs dans de nombreux pays et une compilation des soins qu’ils offraient. Elle fit ensuite une synthèse des pratiques communes à la plupart de ces guérisseurs et tenta de reproduire elle-même cette approche. Avec grande joie elle s’aperçut qu’elle pouvait améliorer l’état général des gens. Alors elle l’enseigna à d’autres personnes qui réussirent également à aider les gens par imposition des mains. Elle écrivit alors un livre aux États-Unis qui s’intitule « Therapeutic Touch » de Dolores Kreiger PhD. J’ai rencontré Mme Kreiger qui est une très bonne amie de OhShinnàh Fastwolf, l’aînée Teneh (Apache) qui m’a beaucoup enseigné sur la guérison avec les cristaux. Son approche a le mérite d’être simple et efficace. Cette pratique fut enseigné à beaucoup d’infirmières aux Etats-Unis et de nombreux personnes qui pratiquent la relation d’aide car c’est une méthode rapide, simple, efficace et qui apporte un réel réconfort.

J’ai appris auprès de mes aînés une approche similaire bien que beaucoup plus complexe et qui nécessite une formation plus longue. Nous l’appelons la méthode de la main tremblante car les praticiens de cette méthode ont souvent la main qui vibre lorsque l’énergie transmise atteint un certain niveau.

Il faut comprendre que la main possède naturellement une énergie qui guérit. Nous avons cogné notre genou, immédiatement nous frottons ce genou avec la main. Notre corps sait que la main guérit et le réflexe est inné. De la même manière si un ami ou un parent a du mal ou de la peine instinctivement nous le touchons à l’épaule ou à la main ou le prenons dans nos bras. Notre corps sait que la main guérit et la réaction est spontanée et juste.

Les guérisseurs sont des êtres qui ont la capacité de donner par les mains une plus grande énergie que la plupart des gens même si nous avons tous cette capacité. De même dans la formation traditionnelle à laméthode de la main tremblante, des exercices sont donnés pour augmenter le niveau et la force de l’énergie qui peut être transmis par les mains. Bien que tous les humains aient ce pouvoir il y a ceux qui ont reçu plus de talent ou de capacités et qui ont de plus grands résultats. Comme dans la musique ou les arts, il y a 2 aspects à la pratique, soit le talent et ensuite le travail que l’on y met. J’ai vue des musiciens avec très peu de talent réussir à force de travail et d’autres avec beaucoup de talent ne rien faire.

Dans le toucher thérapeutique on offre de l’énergie. Il n’y a pas en fait de toucher, les mains sont en général à la lisière du corps étherique, le premier champ électromagnétique autour du corps, donc environ a 30 centimètres de la peau. Et oui cela peut aussi être utilisé pour soigner les plantes et les animaux.

Guérir est une vocation. Ce n’est vraiment pas un travail ordinaire. Par contre, nous avons tous la capacité d’aider avec nos mains et il est simple et utile de connaître les bases de l’imposition des mains pour assister notre famille et nos amis en temps de besoin. Vous verrez plus bas, dans les commentaires des lecteurs le titre de l’ouvrage de Mme Krieger dans sa traduction française.

Dans la formation que j’offre sur la guérison avec les cristaux, la première étape consiste à apprendre comment faire le toucher thérapeutique, c’est-à-dire apporter des soins avec les mains. Cette approche étant beaucoup plus simple que la méthode de la main tremblante, c’est celle que j’ai adopté pour enseigner dans le premier niveau de ces enseignements. En Cristaux niveau 2 nous apprenons ensuite à amplifier cette technique avec le cristal.  On vient de confirmer que je donnerai les cours sur les cristaux près de Québec cet automne.  Surveiller le calendrier. 

Paix et Lumière

Aigle Bleu du site http://www.aiglebleu.net/8-index.html

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, POUVOIR |on 3 août, 2012 |Pas de commentaires »

L’humain en 3D

 

 » Kryeon, Vois-tu, je suis un orphelin, et je n’ai jamais connu mes parents. « 

Oh ! Cher Être Humain en 3-D, tu n’es pas à l’écoute. Du plus profond de ta sagesse, tu as choisi les parents qui ont fait de toi un orphelin. Donc, tu pourrais me demander pourquoi tu as fait une telle chose. La réponse est que, lorsque tu es de mon côté du voile, tu as l’esprit de Dieu. Vous choisissez parfois des défis qui vont aider la planète, selon vos potentiels. Sachez que personne ne vient ici pour souffrir. Vous êtes ici dans le but d’éclaircir le puzzle de la vie, et c’est précisément ce que vous êtes en train de faire… Vous qui êtes ici, ainsi que celles et ceux qui lisent ces lignes ou écoutent l’enregistrement.

L'humain en 3D dans HUMANITE googlebodybrowser-300x60

Chacun de vous est une partie intégrante du Créateur. Chacun de vous a commencé de mon côté du voile. À noter que ce n’est pas du tout un lieu ou un endroit, selon la définition de ces mots. Vous ne pouvez pas vraiment le comprendre, puisque dans la 3-D, votre lieu d’origine doit nécessairement être physique. Dieu n’est pas un lieu quelconque. Dieu est. L’on pourrait dire que vous faites partie de la « soupe » appelée Dieu.

Dieu n’a pas d’attributs physiques. Faire partie de Dieu n’est pas explicable en 3-D. Je suis assis devant vous, mais je ne suis pas une entité isolée ou séparée. Je suis comme vous, une partie de la soupe appelée Dieu. De mon côté du voile, mon nom n’est pas Kryeon. Ce nom a été créé pour vous. Pendant cette communication, je prends place dans l’énergie de mon partenaire en tant que groupe. Je vois les Êtres Humains qui lisent ou écoutent ce message. Pouvez-vous imaginer une telle situation ?

Donc, votre existence ne commence pas à la naissance, car vous avez toujours existé ! Quand les Univers ont été créés, vous existiez… Vous étiez là ! Vous aussi, vous êtes Dieu. Vous êtes la famille divine. Il y a une raison pour laquelle vous avez choisi de venir sur Terre… Et elle est connue de tous (sauf vous, quand vous êtes en incarnation).

La raison pour laquelle vous venez sur cette planète est quelque chose que nous avons maintes fois tenté d’expliquer. Il nous est difficile de bien expliquer cette raison, car elle n’a pas tellement de rapports avec la Terre. Cela concerne plutôt l’Univers. Cela concerne plutôt les énergies futures que vous mettrez en place, lors de vos expériences, ici sur Terre. Il est difficile d’expliquer le monde extérieur à un poisson qui est dans un aquarium, puisqu’il connaît seulement ce qu’il y a dans ce contenant (limitation 3-D). Si vous lui parlez du système solaire et de ses environs, il ne vous comprendra pas. Donc, nous coupons court et nous vous répétons que ce que vous faites dans cet aquarium a une grande influence sur l’extérieur.

Vous ne me croirez peut-être pas, mais c’est vous qui avez fait le choix de venir ici. Quand vous avez vu les potentiels qui vous étaient offerts par vos « futurs parents génétiques », ainsi que l’endroit où alliez naître, vous avez dit :  » Oui !  » Vous avez dit :  » Il me tarde de revenir. Permettez que je revienne maintenant. « 

Chacun de vous sait ce qui s’est passé dans sa propre vie. Ceci vous fait réfléchir, n’est-ce pas ?  » Kryeon, si j’avais connu ces potentiels, je pense que je ne serais pas revenu.  » Chères âmes incarnées, c’est justement ce qui fait que vous êtes des Êtres Humains incroyables. En effet, vous le saviez. Vous connaissiez les potentiels de tout ce que vous avez expérimenté jusqu’à présent. Ils étaient là, et vous êtes allés directement au but. Vous en avez fait l’expérience.

 » Pourquoi est-ce que Dieu aime tellement l’humanité ?  » Nous venons de vous répondre. C’est parce que vous connaissiez les potentiels, et vous êtes quand même venus. C’est parce que vous aimez cette planète autant que moi. C’est parce qu’un plan ou événement grandiose est en cours de déploiement. Il s’agit de voir où la vibration va aller – sur cette planète. Sera-t-elle haute ou basse ? Ces événements qui se déroulent ici créent des choses qui sont beaucoup plus vastes et magnifiques. Pour que ce test se fasse dans l’intégrité, les Êtres Humains doivent naître sur cette planète et chercher le Créateur en eux.

Voici quelques précisions. Au moment où vous vous « penchez en avant dans le vent de la naissance » et pendant que l’embryon se développe, je suis métaphoriquement avec vous. C’est un portail qui se situe entre la linéarité et l’inter-dimensionnel. Ce n’est pas un lieu. C’est plutôt une dimension divine. Je regarde votre énergie et vous regardez la mienne. Ce qui suit est ce qui s’est passé avec chacun d’entre vous, car je représente le groupe qui vous dit au revoir et qui vous accueille à votre retour. Je suis Kryeon, un amant de l’humanité.

C’est là que – dans cette splendide énergie – j’ai demandé à chacun d’entre vous si vous étiez prêts et si vous y aviez bien réfléchi. Chacun de vous m’a embrassé avec son énergie divine. Ensuite, vous avez disparu, et cet incroyable processus a commencé.

La naissance sur cette planète n’est pas une sinécure. Vous devez commencer par vous scinder. Votre divinité n’est pas entièrement transférée dans le corps humain, car une partie de celle-ci reste de mon côté du voile. Vous le saviez, n’est-ce pas ? Vous passez tellement de temps à chercher les parties manquantes de votre propre divinité intérieure. Vous cherchez à vous connecter à votre Soi-Supérieur. Vous avez l’impression d’être coupés du tout, puisqu’une partie de votre divinité est restée de l’autre côté du voile. Vous avez le sentiment d’être isolés ou seuls, car vous êtes passés d’un état inter-dimensionnel à l’état singulier de la limitation 3-D. Le Soi-Supérieur est la meilleure représentation de ce que vous êtes réellement. C’est l’énergie de base de votre âme. C’est vraiment VOUS. Voilà pourquoi vous ressentez ce sentiment de joie et de plénitude, quand vous parvenez finalement à vous connecter à votre propre Soi-Supérieur. C’est un lien que vous avez demandé, afin qu’il ravive le souvenir de QUI vous Êtes.

Ainsi, à la naissance vous vous scindez. En outre, il y a d’autres choses qui s’ajoutent à cela, et c’est là que ça devient difficile à comprendre – dans votre limitation humaine. Les parties, pièces ou morceaux de votre esprit de base restent de mon côté du voile. Ces dernières ne sont pas votre Soi-Supérieur. Ces énergies qui font également partie de votre Être – non scindé – deviennent vos guides. Je viens de vous livrer un secret. Vos guides sont vous. Maintenant, vous savez pourquoi vous vous sentez tellement bien quand ils sont avec vous, et pourquoi vous avez le sentiment d’être perdus quand ils s’en vont.

Extraits du channeling « L’incroyable humain, novembre 2008 : http://www.kryon.com/k_channel08_Venezuela.html – Traduction et/ou interprétation de Jean-M. Gobeil : SITE : http://kryeon.oldiblog.com

Publié dans:HUMANITE |on 27 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Chez les Blackfeet

 

Les Blackfeet ou Piegan, qui se désignent eux-mêmes par le nom de Pikunis, sont une tribu amérindienne blackfoot qui vit actuellement au sein de la Nation Blackfoot, dans le nord-ouest du Montana. La population est concentrée dans la ville de Browning.

Le Confédération des Pieds-Noirs est le nom collectif donné à quatre tribus amérindiennes des Grandes Plaines, trois de l’Alberta(Canada) et une du Montana (États-Unis). Bien que cette dénomination n’ait recouvert aucune alliance formelle, elle a constitué dans les faits une véritable nation.

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Bien qu’isl pratiquaient un peu l’agriculture, les Pikunis étaient partiellement nomades. Ils se déplacèrent vers l’ouest en partie à cause de l’introduction des chevaux et des fusils, et adoptèrent la culture des Indiens des Grandes Plaines au début des années 1900. À l’époque, on estimait la population pikuni à environ 20 000, alors qu’aujourd’hui ils sont environ 25 000. La population était parfois bien moins nombreuse, car les Pikuni souffraient de la maladie, de la famine et de laguerre. Leur territoire s’étendait sur une grande partie de l’Alberta et du Montana, alors qu’aujourd’hui la réserve pikuni a la taille du Delaware, et les trois réserves en Alberta sont plus petites.

La Nation des Pieds-Noirs comprend les Peigan, répartis entre Peigan du nord (Aapatohsipiikanii) et Peigan du sud (Aamsskaapipiikanii), les Kainai (ou Gens-du-sang) et les Siksika (Pieds-Noirs proprement dits). Les Peigan du sud vivent au Montana et les trois autres groupes en Alberta. On donne généralement à ces peuples l’appellation Blackfoot au Canada anglais (Pied-noir en français), et Blackfeet aux États-Unis. Ils se nomment eux-mêmes les Niitsitapii (le « vrai peuple »). Tous ces groupes ont en commun une même culture et une mêmelangue qu’ils nomment Niitsipussin (le « vrai langage »), avec seulement de légères différences dialectales.

Les Pieds-Noirs pratiquaient traditionnellement le nomadisme, se déplaçant en permanence d’un bout à l’autre de leur territoire, vivant principalement de la cueillette et de la chasse, en particulier de la chasse au bison. Ils étaient également des guerriers redoutés. Leur territoire recouvrait le sud de l’Alberta et le nord du Montana actuels, s’étendant de la rivière Saskatchewan-nord en Alberta jusqu’à la rivière Yellowstone au Montana, et depuis les contreforts des Montagnes Rocheuses jusqu’aux Collines Cyprès (Cypress Hills), à la frontière de l’Alberta et de la Saskatchewan.

L’unité sociale de base des Pieds-Noirs était la bande, qui variait de 10 à 30 foyers, soit environ 80 à 240 personnes. La taille du groupe était suffisamment grande pour lui permettre de se défendre contre les attaques et pour chasser collectivement, mais aussi suffisamment petite pour faire preuve de souplesse. Chaque bande était constituée d’un chef respecté et de sa proche famille, mais également d’autres personnes n’appartenant pas à sa famille. En effet, une bande étant surtout définie par son lieu de résidence, la parenté était accessoire, et un individu pouvait librement la quitter pour en rejoindre une autre. Ainsi, lorsqu’une bande faisait face à des temps difficiles, ses membres pouvaient se séparer et rejoindre d’autres bandes. En pratique, les bandes se formaient et se dispersaient en permanence. Cette organisation très flexible était idéale chez un peuple de chasseurs.

Les Pieds-Noirs ne pratiquaient pas l’agriculture, et leur vie était étroitement dépendante des bisons d’Amérique du Nord, qui servaient de base à leur nourriture et à leur habillement. Pendant le long hiver du nord qui durait environ la moitié de l’année, les Pieds-Noirs installaient leurs campements à proximité d’une vallée boisée, ne se déplaçant que lorsque la nourriture (pour les hommes et pour les chevaux) ou le bois pour le feu faisaient défaut. Lorsque bois et gibier étaient disponibles en quantité, plusieurs bandes pouvaient partager le même campement. Durant cette période, les bisons hivernaient dans les régions boisées ; ils y trouvaient une certaine protection contre les tempêtes et la neige qui, en entravant leurs mouvements, en faisaient des proies faciles. Le printemps revenu, les bisons se dirigeaient vers les prairies pour y brouter l’herbe nouvelle. Les Pieds-Noirs ne les suivaient pas immédiatement, par peur des blizzards tardifs, mais, lorsque les ressources s’épuisaient, les bandes se séparaient et reprenaient leur vie nomade de chasseurs de bisons.

Au milieu de l’été, lorsque les baies d’amélanchier (saskatoon), important ingrédient dans la fabrication du pemmican, arrivaient à maturité, la tribu se regroupait pour sa plus importante cérémonie tribale, la danse du soleil. C’était la seule occasion dans l’année où la tribu tout entière pouvait se rassembler, renforçant ainsi à la fois les liens sociaux entre les différents groupes, et l’identité tribale de chacun des individus. Des chasses collectives au bison étaient menées à cette occasion, fournissant à la fois la nourriture de base et les langues de bison, mets particulièrement délicat, pour les cérémonies. Après la danse du soleil, les diverses bandes de la tribu reprenaient à nouveau leur vie nomade.

À l’automne, les populations, tout en se dirigeant peu à peu vers leurs emplacements d’hivernage, préparaient leur grande chasse au bisons. Celle-ci demandait la collaboration de nombreux individus, et s’effectuait dans des sites bien choisis, tel le Précipice à bisons Head-Smashed-In. Les bisons, qui se déplaçaient au fur et à mesure du dessèchement progressif des herbages en fin d’été, finissaient par atteindre naturellement des lieux de pâturage proches du site de chasse. Les Pieds-Noirs les tuaient alors en grandes quantités, et préparaient ainsi leurs provisions de viande séchée et de pemmican pour l’hiver et les périodes où le gibier faisait défaut. À la fin de l’automne, les Pieds-Noirs rejoignaient leurs campements d’hiver.

Chez les Blackfeet dans AMERINDIENS 400px-Three_chiefs_Piegan_p.39_horizontal

Les Pieds-Noirs ont conservé leur mode de vie traditionnel basé sur la chasse au bison jusqu’à la quasi extinction de ce dernier vers 1881, qui les a forcés à s’adapter aux changements provoqués par l’installation des colons européens sur leurs territoires ancestraux. Aux États-Unis, ils furent d’abord cantonnés aux territoires qu’on leur assigna par le Traité de Fort Laramie en 1851, puis on leur attribua une réserve distincte par le Traité de Sweetgrass en 1887. En 1877, les Pieds-Noirs du Canada signèrent le Traité n° 7, et s’installèrent dans des réserves au sud de l’Alberta. Commença alors pour les Pieds-Noirs une période particulièrement difficile, pendant laquelle ils durent s’adapter à un mode de vie entièrement différent, tout en étant confrontés à des maladies nouvelles que leur peuple n’avait encore pas connues. Ils finirent cependant par établir une économie viable basée sur l’agriculture, l’élevage et l’industrie légère, et leur population s’accrut de nouveau, pour atteindre aujourd’hui environ 16 000 personnes au Canada et 15 000 aux États-Unis. Grâce à leur nouvelle stabilité économique, les Pieds-Noirs sont parvenus à adapter leur culture et leurs traditions à leur situation nouvelle, renouant ainsi les liens qui les unissent à leurs racines ancestrales.

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 27 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Les Apaches

 

Apache est un nom générique donné à différentes tribus indiennes d’Amérique du Nord vivant dans le sud-ouest des États-Unis et le Nord des États mexicains de Chihuahua et du Sonora, formant le territoire de l’Apacheria et partageant la même langue athapascane méridionale (proche des langues athapascanes septentrionales parlées par les indiens d’Alaska et de l’ouest du Canada). Les Navajos parlent une langue très proche et partagent la même culture, ils sont donc souvent considérés comme des Apaches.

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Nomades et chasseurs dans un environnement semi-aride, les Apaches furent de farouches guerriers attaquant les peuples cultivateurs dont les Pueblos et d’autres tribus sédentaires de la région. Ils s’opposèrent plus tard aux colons espagnols, puis aux Mexicains et aux colons européens. Ils furent finalement vaincus et décimés par ces derniers à la fin du xixe siècle et leurs quelques descendants vivent aujourd’hui dans des réserves.

Lorsqu’ils dansaient, les Apaches revêtaient des costumes symbolisant les esprits de la montagne. Cherchant à guérir les malades en éloignant le mauvais sort, ils se paraient de peintures corporelles, de jupes, de masques aux couleurs sombres. Les Apaches croyaient en de nombreux hôtes surnaturels mais surtout en une divinité suprême nommée Yasun.

Leurs chefs les plus célèbres sont Mangas ColoradasCochise et Geronimo.

La répartition actuelle des tribus apaches comprend les Navajos, les Apaches de l’Ouest, les Chiricahuas, les Mescaleros, les Jicarillas, les Lipans, et les Apache des Plaines (anciennement appelés Kiowa-Apaches).

Il y avait peu d’unité politique entre les différentes tribus qui parlaient sept dialectes distincts. Chaque bande était indépendante, ce qui n’empêchait pas des alliances lors d’expéditions de pillage vers les presidios mexicains ou les villages des tribus indiennes sédentaires (PueblosPimasTohono O’odham — nommés Papagos par les Espagnols), ou dans le cas de la défense de leur territoire face aux envahisseurs européens.

En 1872, un traité de paix est signé entre le chef CochiseTom Jeffords (broussard remarquable qui devint en 1870, au cours d’une cérémonie sacrée, le frère de sang de Cochise) et le général Olivier O. Howard. Suite au traité, 2 500 Apaches sont déportés dans la réserve Chiricahua (8 000 km2 au cœur du pays apache). 1 500 Apaches (l’autre millier ayant « disparu ») seront à nouveau déportés en 1876 dans la réserve de San Carlos.

Parmi ces déportés, Tazha, chef héréditaire de clan, fils ainé de Cochise et père de Niño Cochise, s’arrange pour que son propre clan de 38 personnes disparaisse en route.

Le clan est mené par sa femme, Nod-Ah-Sti (surnommée affectueusement Niome par Thomas Jefford), accompagnée de son fils, Niño Cochise, et d’un chamane, Dee-O-Det. Ils ne figurèrent jamais plus sur les registres d’une réserve et ne furent pas tatoués. Ils se surnommèrent les « sans nom ».

Les Apaches dans AMERINDIENS WWapache4

Tazha mourut deux mois plus tard d’une pneumonie alors qu’il se rendait à Washington pour un entretien avec le président Grant. Lorsque la nouvelle parvint à la réserve de San Carlos, son frère Naiche, le plus jeune des fils de Cochise, s’enfuit pour prendre le sentier de la guerre. Ce fut le début des « guerres de Géronimo » qui ne devaient prendre fin qu’en septembre 1886.

Les « sans noms », dont le chef était désormais Niño Cochise, vécurent cachés mais libres pendant plus de 40 ans dans les montagnes du Sonora, dans un lieu qui s’appelait Pa-Gotzin-Kay.

Les tribus apaches vivent aujourd’hui en Oklahoma et au Texas et dans les réserves de l’Arizona et du Nouveau-Mexique. Les Navajos résident eux principalement dans une réserve de16 000 000 acres (65 000 km2) située dans la région de Four Corners.

La religion apache associe des esprits surnaturels aux animaux, aux plantes, aux minéraux, aux phénomènes météorologiques, ainsi qu’à des figures mythologiques.

Le plus important de ces esprits est Usen, le dieu créateur, le « donneur de vie ». Les gaan sont des esprits protecteurs anthropomorphiques associés aux montagnes.

Le personnage du coyote — très présent dans les histoires religieuses — est un trickster : il a souvent un comportement inapproprié, ne respecte pas les convenances, trompe les humains mais subit aussi les conséquences de ses erreurs. Le coyote, comme d’autres animaux (le hibou, l’ours, le serpent), est considéré comme malfaisant et peut provoquer des maladies.

Les Apaches étaient avant tout des guerriers nomades, placés sous la direction d’un chef. La plupart vivaient dans des huttes construites par les femmes à l’aide de perches en saule reliées avec des fibres tirées du yucca. Les huttes sont recouvertes de buissons ou de chaume en été, et de peaux en hiver. Les Apaches portent un vêtement en cuir, des mocassins hauts, des bijoux et parfois des plumes d’aigle.

Leur réputation de bravoure et de violence a inspiré de nombreux films et romans (comme la série romanesque de Karl May mettant en scène le personnage de Winnetou).

Leur nom a été repris pour décrire de jeunes voyous parisiens de la Belle Époque, un hélicoptère d’attaque et un missile de croisière.

SITE A VISITER  http://www.yavapai-apache.org/ 

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 19 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Les Aléoutes, ancêtres Amérindiens

 

Les Aléoutes sont un peuple rattaché à l’ensemble culturel inuit. Leur patrie inclut les îles Aléoutiennes, les îles Pribilof, les îles Shumaginet la péninsule d’Alaska.

Il semblerait que les Aléoutes et les Inuits descendent d’une lointaine population commune. Ils seraient venus d’Asie à une époque postérieure aux ancêtres des Amérindiens, hypothèse confirmée par l’absence de parenté de leurs langues avec les langues amérindiennes.

Lors de fouilles sur l’île d’Anangula, située à l’extrémité orientale des Aléoutiennes, on a découvert des indices permettant de penser que les Aléoutes descendent d’un groupe venu de Sibérie vers -8000. De -2000 à -1000, la culture aléoute s’est développée graduellement pour aboutir à la culture historique.

Les Aléoutes furent en contact avec les Russes dès la fin du xviiie siècle (les îles Aléoutiennes et l’Alaska étaient alors des possessions russes). Des postes côtiers furent créés en 1784 à AttuAgattuUnalaska et sur l’île Kodiak ; ces colonies étaient gérées par la Compagnie russe d’Amérique. Après l’arrivée de missionnaires à la fin du xviiie siècle, beaucoup d’Aléoutes devinrent chrétiens en rejoignant l’Église orthodoxe russe. En particulier, une mission fut fondée sur l’île Kodiak en 1794, où fut construite une école bilingue russe et aléoute. Le premier saint orthodoxe d’Amérique, nommé saint Germain de l’Alaska et canonisé en 1970, a vécu de 1808 à sa mort en 1837 sur l’île aux Sapins (proche de Kodiak) aux côtés des Aléoutes. Un des premiers martyrs chrétiens d’Amérique du Nord fut saint Pierre l’Aléoute, qui a été tué à San Francisco (Californie) en 1815 parce qu’il ne voulait pas abandonner sa foi chrétienne orthodoxe. Il fut canonisé en 1970 par le Synode de l’Église orthodoxe russe hors frontières. Les missionnaires rapportèrent que les employés de la Compagnie russe d’Amérique réservaient un traitement brutal et méprisant aux indigènes.

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On a estimé le nombre d’Aléoutes avant l’arrivée des Russes à 25 000. Mais la barbarie des colons et les maladies qu’ils ont importées a divisé ce nombre par dix. Ce déclin s’est poursuivi, et il restait à peine 1 491 Aléoutes lors du recensement de 1910. Aujourd’hui on ne compte que 2 200 Aléoutes. Une poignée d’habitants s’accrochent aux terres ancestrales et s’efforcent de défendre la culture aléoute.

En 1942, les Japonais occupèrent les îles d’Attu et Kiska dans l’ouest des îles Aléoutiennes, et déportèrent par la suite les habitants d’Attu à Hokkaido en tant que prisonniers de guerre. Des centaines d’autres Aléoutes de l’ouest et des îles Pribilof ont été évacués par le gouvernement des États-Unis pendant la Seconde Guerre mondiale et placés dans des camps d’internement dans le sud-est de l’Alaska. Beaucoup y moururent. L’Aleut Restitution Act de 1988 peut être considéré comme une tentative du Congrès des États-Unis de dédommager les survivants.

Les Aléoutes était un peuple très noble et respectueux de ses valeurs. Les Aléoutes ont eu de nombreux chefs tout en ayant un régime matriarcal. La femme qui le représentait était choisie ou descendait d’un ancien chef.

Malgré les influences extérieures, les Aléoutes ont conservé un mode de vie traditionnel jusqu’au début du xxe siècle.

Les Aléoutes habitaient des barabaras, de vastes maisons semi-souterraines. Lillie McGarvey, un chef aléoute du xxe siècle, a écrit que ces habitations « gardaient les occupants à l’abri des pluies fréquentes, étaient tout le temps chaudes, et bien abritées des vents forts particuliers à cette zone ».

Les Aléoutes pêchaient et chassaient les mammifères marins, tels que les loutres, les otaries et les baleines. La chasse était précédée de rites ancestraux trouvant leur source dans la mythologie aléoute. Les chasseurs se déplaçaient en baïdarkas, les kayaks locaux, adaptés aux conditions de navigation très difficiles des îles Aléoutiennes. Ils utilisaient divers harpons garnis de flotteurs et parfois pourvus d’un propulseur. Leur technique de chasse à la baleine les rendit célèbres : ils harponnaient l’animal depuis leurs baïdarkas et anticipaient son lieu d’échouage.

La fabrication d’armes, la construction de bateaux et le tissage font partie des arts traditionnels aléoutes. Les artisans du xixe siècle étaient connus pour leurs chapeaux en bois décorés en forme de cône asymétrique dotée d’une grande visière protégeant les yeux. Ces coiffes comportaient des dessins raffinés et colorés et pouvaient être ornés de moustaches d’otaries, de plumes et d’ivoire. Les couturières créaient des parkas imperméables finement cousues à partir de boyaux de phoques (kamleikas); certaines femmes maîtrisent encore l’art du tissage de paniers à partir de seigle et d’herbe poussant sur le rivage.

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De nos jours, les Aléoutes vivent essentiellement de la pêche commerciale. Ils pratiquent également la chasse au phoque.

La langue aléoute fait partie du groupe des langues eskimo-aléoutes, avec l’inuit (ou inuktitut) et le yupik. Ces langues possèdent également quelques points communs avec des tribus du nord-est de la Sibérie, telles que les Tchoukchis, les Koriaks et les Kamtchadales.

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 18 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Les Algonquins du Québec

 

Les Algonquins ou Anishinabeg sont un peuple autochtone algonquien et de langue algonquine, de la famille des langues algonquiennes. Neuf communautés sont situées au Québec et une en Ontario.

Culturellement et linguistiquement, ils sont proches des Ottawas (Outaouais) et des Ojibwés, avec lesquels ils forment le groupe desAnishinaabeg, qui signifie littéralement les « vrais hommes issus de cette terre », et s’auto-désignent Omàmiwinini (pluriel: Omàmiwininiwak).

Les Algonquins du Québec dans AMERINDIENS

Peu d’Algonquins parlent encore la langue algonquine, appelée généralement Anicinàpemowin ou spécifiquement Omàmiwininimowin. Seulement un Algonquin sur cinq est capable de s’exprimer correctement dans cette langue. Le problème principal est de trouver des professeurs, souvent âgés, pour enseigner aux plus jeunes, qui souvent partent ensuite dans des milieux francophones comme la ville de Val d’Or. La langue est considérée comme l’une des divergences de plusieurs dialectes des langues Anishinaabe. Entre les jeunes, la langue algonquine a connu un fort emprunt de mots de la langue cri.

Traditionnellement, les Algonquins vivaient dans une habitation en écorce de bouleau appelée wikiwàn ou en bois mikiwàn, bien que les Algonquins vivent aujourd’hui dans des logements identiques à ceux des autres habitants du pays. Ils pratiquaient le Midewiwin, estimaient qu’ils étaient entourés de nombreux manitòk. Avec l’arrivée des missionnaires français, de nombreux Algonquins furent convertis au christianisme, mais encore beaucoup pratiquent le Midewuwin ou encore une pratique entre le christianisme et le Midewiwin.

Bien que leur culture fût principalement tournée vers la chasse et la pêche, certains Algonquins pratiquaient l’agriculture et cultivaient du maïs, des haricots et des courges, les « Trois Sœurs » de l’horticulture indigène. Ils fabriquaient aussi plusieurs outils.

Le chef autochtone a plusieurs devoirs et responsabilités envers sa tribu. La façon dont ce chef est nommé a changé au fil du temps. En effet, avant l’arrivée des Européens en Amérique, le chef algonquin était nommé par le cercle des anciens. Puis quelques siècles plus tard, il y a eu une période transitoire jusqu’à la création des premières réserves et de l’instauration de la loi sur les Indiens. Depuis ce moment, les chefs autochtones ne sont plus choisis, mais élus par les habitants de la réserve. Cet article traitera de l’organisation politique avant l’arrivée des Européens et de l’organisation politique suivant la création des réserves.

Le chef algonquin est nommé Okima dans la langue algonquine. Ce mot peut être traduit par une personne sage, un conseiller ou encore un pilier dans la communauté. Avant l’arrivée des Européens en Amérique, pendant le XVI siècle, le chef d’une tribu algonquine était nommé par le cercle des anciens. Ce cercle était composé de plusieurs personnes, dont particulièrement des sages, des hommes médecine, d’anciens chefs algonquins et de personnes importantes. Lorsqu’un chef mourrait ou devait être remplacé, c’est le cercle des anciens qui choisissait le prochain chef. La décision du cercle devait être respectée. Le futur chef devait bien connaître la médecine, la philosophie et les valeurs du cercle des anciens et des Algonquins.

Lors de la création des réserves autochtones, l’organisation politique des tribus a changée. Le chef algonquin n’a plus les mêmes devoirs, les mêmes pouvoirs et n’est plus nommé de la même façon. Celui-ci est désormais régi par la loi sur les Indiens de 1876. Le chef a des pouvoirs limités et doit se soumettre à la loi sur les Indiens. Celle-ci limite ce qu’il peut faire et la façon dont il doit le faire. Le chef ainsi que ses nombreux conseillers sont élus par les habitants de la réserve. Le mandat du chef et des conseillers est de deux années. Les élections ont donc lieu tous les deux ans. Pour se présenter comme candidat au poste de conseiller ou de chef d’une réserve, une personne doit respecter plusieurs conditions : « Un membre d’une bande, qui a au moins dix-huit ans et réside ordinairement sur la réserve, a qualité pour voter en faveur d’une personne présentée comme candidat au poste de chef de la bande et, lorsque la réserve, aux fins d’élection, ne comprend qu’une section électorale, pour voter en faveur de personnes présentées aux postes de conseillers. » On peut donc voir ici que la loi sur les Indiens réglemente l’organisation politique des réserves autochtones et que celle-ci a fortement changé. Il y a un conseiller pour chaque tranche de cent habitants et un minimum de trois conseillers, peu importe la population de la réserve. Le chef et les conseillers forment ensemble le conseil de bande. Celui-ci s’occupe du bien-être de la communauté et est également régi par la loi sur les Indiens. Plus précisément, il adopte des mesures relatives à la santé des habitants, il s’occupe de l’observation de la loi, du maintient de l’ordre, de l’entretien de la réserve et la réglementation de la circulation dans la réserve

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. Avant l’arrivée des Blancs, les autochtones ont toujours vécu en harmonie avec la nature. Dès leur plus jeune âge, les hommes apprenaient à chasser et à pêcher, c’est pour subvenir à leur besoin puisqu’ils vivent en pleine nature. Par la suite, les Français sont arrivés sur le territoire, mais cela n’a pas eu un grand effet puisque les Français venaient pour troquer des fourrures de castor. Le changement est plutôt survenu sous le régime anglais. Vers 1820, c’est le début de l’exploitation forestière, alors les autochtones sont devenues une nuisance, car ils vivaient en forêt et ralentissaient les opérations, alors la Loi sur les Indiens (1876) est créée. Cette loi confère aux autochtones plusieurs territoires de chasse et de pêche exclusive. Toutefois, certaines personnes trouvent que les autochtones en abusent. Ils disent que les autochtones peuvent tuer n’importe quoi, n’importe où et n’importe quand, mais c’est faux, car ils doivent le faire sur les territoires donnés de l’entente. Ils sont même qualifiés de sauvages puisqu’ils ne vivent pas en société. Encore aujourd’hui, on peut voir des gens se plaindre que les autochtones pratiquent la chasse et la pêche dans certaines réserves fauniques. Les autochtones ont le droit de les pratiquer dans certaines réserves fauniques qui font partie de leur entente, mais ils doivent toutefois respecter les quotas comme tout le monde. Bref, le préjugé de braconnier a suivi les autochtones du régime anglais à aujourd’hui.

D’autre part, un autre préjugé assez présent est qu’ils sont tous riches. Avant l’arrivée des Français, les autochtones vivaient sans argent et ils ont développé leur propre moyen d’échange complexe entre nations, le troc. Après l’arrivée des Blancs, ils troquaient principalement des fourrures de castor contre des armes à feu, de la vaisselle et plusieurs autres objets. Le changement est survenu après 1876, c’est là qu’est créée la Loi sur les Indiens. Cette loi confère aux autochtones une exemption de taxes et une exemption d’impôt si l’autochtone habite sur une réserve et y exerce également son travail. Alors, les gens associent tout de suite les autochtones à la richesse en raison de ces exemptions. Ce n’est pas le cas puisque ceux-ci ne peuvent pas travailler sur leurs réserves et donc n’ont pas de revenu et c’est inutile de payer des impôts puisqu’ils n’ont aucun revenu. Il importe de savoir que les conditions de vie sont difficiles en raison de leurs faibles revenus et aussi qu’ils sont contraints sur un tout petit territoire pour pratiquer la chasse et la pêche eux qui avaient l’habitude d’avoir un très vaste territoire et ils n’ont pas les mêmes privilèges que les autres. Par exemple, environ en 1970, une bande autochtone vivant dans une réserve nommée Kitcisakik vivait à moins d’un kilomètre d’un barrage et n’avait pourtant pas l’électricité sur la réserve. De plus, ils ne touchaient pas un dollar de ce barrage qui était pourtant dans leur rivière. Encore aujourd’hui, on peut voir que ce préjugé est très présent dans la société. Les gens ne sont pas informés que pour avoir ces exemptions, l’autochtone doit habiter et travailler sur la réserve où le travail est plutôt rare. En plus d’avoir une difficulté de se trouver un travail sur la réserve, ils ne sont pas très payants, un autochtone gagne un salaire généralement très inférieur à un blanc. Bref, encore une fois un préjugé est né du régime britannique et de la Loi sur les Indiens.

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Plusieurs préjugés face aux autochtones sont nés durant le régime britannique à cause de la création de la Loi sur les Indiens de 1876. Il ne faut toutefois pas sauter aux conclusions trop vite, car cette loi limite beaucoup les autochtones. Chaque communauté autochtone est différente avec ces propres traditions et sa propre langue, il ne faut pas tous les mettre dans le même sac. Malheureusement, plusieurs de ces préjugés se sont accentués dans les pensionnats autochtones ouverts au Québec dans les années 1950 et fermés dans les années 1970.

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 14 juillet, 2012 |1 Commentaire »

AIMARA ou les Aymaras

 

L’aymara (ou parfois aimara) désigne à la fois un peuple appelé également peuple QollaKolla ou Colla, originaire de la région du lac Titicaca au croisement de la Bolivie, du Pérou, de l’Argentine et du Chili, ainsi qu’une langue vernaculaire qui a remplacé de nombreuses autres comme l’uru ou uchhumataqu de Bolivie.

Selon Rodolfo Cerrón-Palomino, un des principaux spécialistes de ces deux langues, ce n’est pas le quechua, mais bien l’aymara qui était la langue officielle de l’empire inca, contrairement à une opinion répandue.

Les variétés d’aymara forment une sous-famille linguistique avec les variétés de quechua.

L’aymara compte environ deux millions de locuteurs, essentiellement en Bolivie.

Comme pour la plupart des peuples amérindiens, il n’y a pas ou peu de documents relatant l’histoire du peuple Aymara. Quelques bribes nous sont parvenues au travers des chroniques qui relatent l’époque de la conquête ainsi que quelques récits précolombiens.

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On sait cependant de façon certaine que le peuple Aymara n’était pas le premier à peupler la région du Titicaca et l’altiplano, on se pose donc la question de l’origine de ce peuple. Il y a aujourd’hui plusieurs théories, notamment la théorie localiste qui voudrait que la répartition actuelle de la langue Aymara s’explique par l’essor de quelques communautés des abords du lac en direction de l’altiplano. Une autre théorie situe l’origine du peuple Aymara dans les Andes centrales du Pérou, entre HuarochiríYauyosCañete et Nazca. Ces régions, actuellement de langue quechua, faisaient autrefois partie de l’aire aymaraphone. Une troisième théorie situe l’origine du côté de la côte du Pacifique au nord du Chili.

Le peuple Aymara arrive sur les rives du lac Titicaca deux siècles avant notre ère, il concurrence alors les peuplades Uros qu’il remplace peu à peu dans la région. Développant une culture originale et basant son économie sur le développement de l’agriculture et de l’élevage ainsi que le commerce avec les peuples alentour, le peuple prospère sur les rives bien abritées du lac. S’ensuit une période d’expansion, on retrouve de nombreuses traces archéologiques en direction sud-est du lac principalement.

C’est en passant à un stade impérial (on parle de civilisation de Tiwanaku ou Tiahuanaco) que la langue commence à se répandre dans lesAndes : on la retrouve sur tout l’altiplano, sur la côte, depuis Arica, au Chili, jusqu’à Lima, au Pérou et au sud-est, jusqu’en Argentine. Atteignant son apogée vers l’an 900 de notre ère, la civilisation impériale Tiwanaku va décliner pour laisser place à plusieurs royaumes et chefferies de langue et culture Aymara. Ce sont ces chefferies prospères mais rivales que rencontrent les Incas lors de leur expansion vers le sud. Parmi celles-ci, on connaît les royaumes rivaux Lupaqas et Pacajes situés sur la rive sud-ouest du lac. On ne sait pas exactement si les Aymaras se sont intégrés pacifiquement à l’empire, comme le décrit Inca Garcilaso de la Vega, ou s’ils ont livré bataille à l’Inca. L’ensemble des peuples de langue Aymara sont progressivement intégrés au Qollasuyu, le quart sud de l’empire Inca. Après la conquête et la chute du régime Inca, le peuple Aymara passe sous domination de la couronne d’Espagne. Cette période sera parsemée de révoltes paysannes causées par les difficiles conditions de vie des communautés. Au début du xixe siècle, les Aymaras participent aux combats pour l’indépendance de la Bolivie, mais leurs conditions de vie ne seront pas améliorées sous le pouvoir des républiques.

Du point de vue géographique, après la conquête Inca, puis la colonisation espagnole, la langue Aymara perd progressivement du terrain face à l’espagnol et au quechua, langue avec laquelle elle maintient une frontière flottante. Elle reste aujourd’hui enracinée sur les rives du lac Titicaca et dans les zones de peuplement Aymara.

On explique en grande partie la perte de son usage comme langue véhiculaire du fait que l’évangélisation des peuples autochtones par les européens a été principalement faite avec les dialectes quechua et muchik ou mochica. Toutefois, il y eut un déclin significatif du fait de l’indifférence, et parfois du mépris, des gouvernements jusqu’à la moitié du xxe siècle. Après des années de délibération, le décret suprême 20227-DS du 9 mai 1984 du gouvernement bolivien, ainsi que la résolution ministérielle 1218-RM du 18 novembre 1985 du gouvernement péruvien, donnent un statut officiel à cette langue millénaire. De même, l’alphabet officiel Aymara est reconnu, par force de loi, denominado único. Ainsi, c’est aujourd’hui la langue co-officielle de la Bolivie et du Pérou.

 

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 13 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Les Abénaquis, terre amérindienne

Les Abénaquis sont un peuple amérindien de Nouvelle-Angleterre faisant partie des peuples algonquiens. Il y a deux tribus majeures d’Abénaquis: les Abénaquis de l’ouest et les Abénaquis de l’est. Au début du xxie siècle, ils sont présents dans les États du Maine, duVermont, du New Hampshire et au Québec.

Le nom d’Abénaqui provient des termes waban (la lumière) et aKi (la terre), on peut donc les désigner comme « peuple du matin », « peuple du soleil levant » ou « peuple de l’Est. » Cela forme leur ancien nom ‘Wabanaki’. Comme le nom originel de leur territoire correspond à ce qui est désormais la Nouvelle-Angleterre, le terme Wabanaki est parfois utilisé pour désigner tous les peuples dans la région parlant des langues algonquiennes: les deux tribus d’Abénaquis, les Micmacs, les Malécites et les Passamaquoddy.

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Après l’essai raté de La Saussaye d’implanter une colonie au Mont Désert en 1613 - où les pères jésuites Biard, Masse et Quentin proposaient de convertir les amérindiens – les Capucins, les Récollets, les Augustins, et quelques frères séculaires du séminaire québécois firent l’essai, avec un résultat négligeable. Le jésuite Druillettes y fut envoyé en 1646, mais n’y resta pas longtemps. Plus tard, d’autres missionnaires tels que Bigot, Thury et De La Chasse y travaillèrent, mais en 1727, trois ans après le meurtre du Père Rasle, il n’y eut pas de prêtre au Maine après le départ des deux derniers, Syvesme et Lauverjat. Toutefois, les amérindiens furent occasionnellement visités par des frères. Au début des années 1900, il y eut des missions pour ce qu’il restait des tribus à Calais, à Eastport, et à Old Town.

Un conseil tribal fut organisé en 1976 à Swanton au Vermont. L’état reconnut la tribu la même année, mais lui retira cette reconnaissance plus tard pour des raisons inconnues.

Les Abénaquis ne sont pas une tribu officiellement reconnue par le gouvernement américain, à la différence de la plupart des autres tribus de l’est. Pourtant, cela pourrait bientôt changer parce que l’État du Vermont annula leur décision précédente en 2006. S’ils ne sont pas encore reconnus par le gouvernement fédéral, c’est parce qu’ils furent presque annihilés et ensuite dispersés, chaque petit groupe s’isolant dans des réserves indiennes différentes, avant que le gouvernement ne commence à reconnaître des tribus amérindiennes à la fin du XXe siècle.

ls eurent des mœurs similaires à ceux des Algonquiens du sud de la Nouvelle-Angleterre. Ils furent sédentaires et dépendaient surtout de l’agriculture pour leur nourriture, ce qui explique que leurs villages étaient toujours proches d’une rivière. Ils pratiquaient aussi la chasse, la pêche et la cueillette, mais ces activités étaient moins importantes que la culture de vivres. Ils étaient donc culturellement à mi-chemin entre les Iroquois et les Algonquins.

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Ils vécurent en groupes dispersés de grandes familles pour la plus grande partie de l’année. Les groupes se concentraient pendant le printemps et l’été dans des villages temporaires situés près de fleuves, ou quelque part sur la côte pour planter et pêcher. Ces villages durent des fois être fortifiés, dépendant des alliances et ennemis proches de leur emplacement. Les villages Abénaquis furent très petits comparés à ceux des Iroquois, ne contenant que 100 personnes environ. Pendant l’hiver, ils se dispersaient loin de la côte.

Chaque homme avait un territoire de chasse différent hérité de son père, les Abénaquis étant patrilinéaires, au contraire des Iroquois.

La plupart des Abénaquis vivaient dans des wigwams faits en écorce d’arbre, mais certains préféraient des petites maisons ovales.

Ils avaient des sortes de chef appelés sagamores qui servaient à vie mais qui ne pouvaient pas être mis en accusation. Ils détenaient en fait peu de pouvoir, mais les colons européens les traitaient de monarques, sursimplification qui résulta en beaucoup de malentendus…

 

Publié dans:AMERINDIENS, HUMANITE |on 12 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Humanité et vies antérieures

 

 Mon peuple d’origine est un peuple de créateurs,  de grands artistes qui cherchent toujours à améliorer les qualités de la vie.  Les trois points importants de base pour faire progresser toutes choses est la beauté, la bonté et la vérité.  Elles doivent se retrouver dans toute création mais à différent dosage selon les intentions des auteurs.  Croyez-vous sincèrement, comme simple exemple, qu’un poisson peut être moitié violet et moitié rose avec une touche de jaune sous l’oeil sans s’être jamais vu dans un miroir?  Le reflet dans l’autre ne suffit pas. Cette caractéristique n’ajoute rien dans son environnement et n’est que pure beauté.  Cela ne le protège en rien et ne lui donne rien comme avantage que celui de développer dans l’oeil de l’autre la conscience de l’harmonie.  Il y a aussi des harmonisateurs derrière les interrelations entre les individus et entre les différentes espèces.  Le grand ballet d’ensemble est toujours orchestré par des êtres supérieurs mais c’est l’apport des subtilités de MOULINchacun et surtout leurs réactions individuelles qui amènent la richesse évolutive.  Vous devez maintenant passer à un cran plus haut et imaginer que les humains ont été créés de la même façon.

 Mon peuple peut stimuler avec des courants d’énergie appropriés la vie sur une planète qui a les éléments propices de base.  Des courants d’énergie plus sophistiqués peuvent être nécessaires à la naissance de vies plus complexes.  A une certaine limite, la transplantation d’échantillons devient nécessaire.  Au moment que ce sont des espèces qui ont la capacité de construire des civilisations, comme les humains, elles sont entièrement créées en laboratoire avec un mélange de composantes de base issu de différents mondes évolués et réorchestrés dans de nouveaux arrangements.  Ce sont nos rejetons, nos enfants directs ou indirects qui sont propagés ensuite à travers l’univers.

 Certains d’entre vous croyez que ces manipulations sont sacrilèges et offensent la partie Divine en vous.  Il ne faut pas oublier que ce n’est que l’étendue plus large de votre taux vibratoire qui engendre votre plus grand nombre de corps.  Ce qui vous rend plus apte à vous prolonger individuellement mais ne vous rend pas plus noble ou plus sacré que toutes autres formes de vie plus restreintes.  Par les attentions que nous vous avons prodiguées dans le passé, on a pu vous laisser croire que vous étiez unique.  Dans un certain sens, c’est vrai mais pas au point de recevoir de Dieu toute l’attention au détriment du reste de l’univers.  Seule l’énergie, l’essence première est éternelle et est digne d’être appelée Divine.  Comme elle est présente en toutes choses, cela rend toutes choses précieuses.  N’oubliez pas que malgré tout l’amour que vous portez à vos animaux de compagnie, ils n’en sont pas moins aussi des créations hautement trafiquées par vous.  Maintenant, vous êtes au seuil de pouvoir, comme nous, créer des vies entièrement nouvelles.  Cependant, réfléchissez sur vos réelles intentions avant de jouer comme des enfants présomptueux avec des forces que vous croyez contrôler.  Etre adulte, c’est être responsable de ses actes en toute connaissance de cause et d’effet.

 Que l’amour divin vous guide!

 Donc, il y a deux cent mille ans environ, nous avons implanté toute une nouvelle faune et une nouvelle flore ainsi qu’une race humanoïde sur la terre.  Cette dernière avait nos caractéristiques essentielles mais latentes avec des codes de verrouillage.  Leurs potentiels devaient s’éveiller à des moments-clé de l’évolution.  Avant la naissance d’une trop grande conscience, on devait purifier ce monde c’est-à-dire repartir à nouveau la pureté, l’innocence et la saine découverte de l’univers.  Ce paradis planétaire devait accueillir et stimuler l’émerveillement et les vibrations d’amour.  Il fut apporté environ 2,800 spécimens humanoïdes, soit 1,400 couples dans des vaisseaux.  Ce nombre est minimal pour garantir la prospérité de l’espèce.

 Pour ceux qui ont encore de la difficulté à accepter qu’ils ont été créés par une race supérieure, écoutez ceci.  L’évolution d’une espèce ou même d’une entité ne vient jamais de la base mais des mondes supérieurs.  Vos yeux ne sont pas l’évolution naturelle d’une peau s’hypersensibilisant à la longue mais le prolongement d’un sens préexistant à un niveau plus subtil, plus complexe chez les êtres supérieurs.  Dans une entité aussi primitive et primaire qu’une amibe, il n’y a pas de yeux ni de bouche ni d’estomac.  Pourtant elle perçoit l’autre, l’avale et le digère.

 Pourquoi?  Parce que la fonction existe dans l’essence avant même l’organe.  L’évolution de toutes choses ne vient pas de la base comme vous le croyez mais du sommet de la pyramide.  Vous revenez vers le centre.  Vous êtes en sens contraire de l’évolution première.  Toute la beauté de votre monde, vous la devez à des entités supérieures hautement conscientes de ce qui est beau, bon et vrai. 

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:HUMANITE, VIES ANTERIEURES |on 3 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

Origine KUNDALINI

L’heure est venue où je dois vous révéler votre véritable potentiel, celui qui vous fut donné à votre création. Vous comprenez maintenant que votre vie dans ce monde laisse une empreinte dans l’énergie primordiale, que cette empreinte est votre personnalité qui survit à votre mort et non votre individualité physique. Mais dans votre cas, les humains, vous êtes une race expérimentale.  Vous avez été conçus avec un corps immortel ce qui veut dire que vos douze enveloppes possibles qui forment votre individualité peuvent se prolonger indéfiniment.  Votre prototype n’est pas encore très au point mais voilà ce que cela implique: la possibilité d’évoluer à l’infini dans tous les mondes possibles sans vous délester complètement de vos premiers corps.

 Origine KUNDALINI dans HUMANITE 676620056_smallVous savez que vous vous servez, en général, de plus ou moins dix pour cent de votre cerveau et de dix pour cent de votre batterie énergétique, la Kundalini.  La raison est que vous avez le potentiel de vous servir de vos douze corps qui correspondent si cela est fait au cent pour cent de vos capacités.  Il vous serait possible d’atteindre le douzième niveau tout en gardant votre premier corps.

En une phrase, vos douze corps peuvent être en activité maximum sans se détruire mutuellement.

Je dois ici ouvrir une longue parenthèse pour ceux qui ne connaissent pas bien la Kundalini.

 On dit, en général, que le cerveau humain fonctionnerait donc à dix pour cent de sa capacité.   Mais dans cet énoncé, on ne tient pas compte de l’effet exponentiel au carré ce qui veut dire que chaque connexion de plus dans le cerveau n’amène pas simplement qu’une possibilité de plus mais double à chaque fois le potentiel.  Il serait plus juste de parler de un pour cent d’utilisation.  L’énergie qui l’alimente et qui se trouve à la base de la colonne vertébrale, certains l’appellent la Kundalini. 

 Chaque corps à la naissance a une sorte de batterie avec une charge bien définie, une durée issue de l’héritage génétique de vos ancêtres et de l’héritage de votre conscience évolutive ce qui veut dire une durée de vie prédéterminée.  En cas de mort prématurée du corps physique ou d’un autre, elle peut continuer à se déverser dans ce corps, prolongeant un lien avec son monde correspondant.

 Cette batterie fonctionne aussi à un voltage équivalent à la demande de votre cerveau donc, en général, à un pour cent  de sa capacité.  C’est elle qui alimente en énergie tous les corps en passant par l’axe centrale, la colonne vertébrale jusqu’au sommet de la tête pour redescendre comme une fontaine tout autour de l’être et être aspirée par sa base en un nouveau parcours. 

 Ce que certains appellent aussi le corps énergétique est ce cycle constant apparaissant dans chaque corps du même être.  Votre cerveau joue un rôle important dans le contrôle et la distribution de cette énergie.  Malgré que le parcours est automatique, il peut se former des obstructions qui nuisent à la distribution équitable de cette énergie.  Par la volonté, on peut réparer ces lacunes et même amplifier, densifier cette énergie pour accélérer le processus évolutif.  Cette batterie centrale est à l’image en miniature du centre de l’univers avec son potentiel colossal.  La Kundalini est un accès direct et immédiat en vous à la réalisation entière de votre être ici, maintenant.

 Cette batterie alimente donc en énergie tous les corps possibles.  Dans son parcours le long de l’axe centrale, cette énergie rencontre les chakras primordiaux qui sont des centres de concentration d’énergie les plus importants du système.  Les chakras primordiaux,  pour ceux qui ne sont pas familiers avec ce terme, sont les points d’ancrages le long de l’axe central de l’être qui redistribuent à chaque corps son besoin en énergie.  Il y en a donc douze en tout mais c’est seulement ceux reliés aux corps en fonction qui sont actifs donc, en moyenne, cinq chez l’humain.

 Pour connaître leurs placiations, tout bon livre sur le sujet vous renseignera.  Ce qui par contre n’est pas toujours clair, c’est leur rôle précis.  Ce système de voies fonctionne naturellement et entretient  la vie de vos différents corps mais son potentiel est sous-utilisé si je peux m’exprimer ainsi.  Il est possible consciemment de l’éveiller et de le stimuler jusqu’à son plein rendement.  Par votre  évolution lente et continue, vous vous en servez de plus en plus et augmentez ainsi vos capacités supérieures.

Mais vous ne réalisez pas que son plein potentiel est opérationnel immédiatement.  Vous êtes la seule et unique limite à votre plein épanouissement.  N’oubliez pas que votre corps est parcouru aussi par une multitude de courants d’énergie qui tissent votre enveloppe éthérique et qui possèdent des centaines de chakras secondaires qui sont des points névralgiques pour votre système.

Je dois mettre ici quand même un bémol dans mon énoncé.  L’éveil de la Kundalini n’est pas sans conséquence dangereuse.  Certains se sont consumés en quelques minutes pour avoir mal compris la procédure.  Malgré que les combustions spontanées sont plus souvent un déclic accidentel de la valve de sécurité qui retient le flot immense d’énergie dû à un éveil de la Kundalini dans une vie antérieure.  La peur ne doit pas vous arrêter dans votre processus de découverte mais des excès, au détriment de la santé générale et de ce que vous dicte le bon sens de vos corps,  ne sont jamais souhaitables.

 Son ouverture doit se faire au rythme de la progression des corps c’est-à-dire à sa capacité de résister à la combustion.  En plus clair, être capable par la stimulation de la Kundalini à augmenter la charge d’énergie de son corps physique et,  par le fait même, celle des quatre autres corps successifs.  Le but est d’amener les corps à tolérer une plus grande densité,  une plus grande intensité et de les faire durer.  C’est une accélération consciente du processus évolutionnaire en un processus révolutionnaire.

Si vous êtes en contact direct, intime avec vos différents corps, ils seront les balises de cet éveil.  L’équilibre se situe entre l’effort de la volonté et les effets produits sur vos corps.  Cette ouverture peut provoquer des ondes de chocs, des changements de température drastiques et des courants d’énergie aléatoires dans toutes les directions.  Mais, si tel est votre désir, vous saurez maîtriser ce potentiel colossal.

  barre_separation1 dans HUMANITE

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:HUMANITE |on 1 juillet, 2012 |Pas de commentaires »

L’alimentation

Extraits de lectures d’Edgar Cayce
sur l’alimentation

« L’association de ce que nous pensons et de ce que nous mangeons engendre ce que nous sommes, physiquement et mentalement. »
[Lecture 288-38]


L'alimentation dans DEVELOPPEMENT 1903344587· « Ne pas manger dans un état de grande fatigue, de stress, d’énervement ou de surexcitation. Éviter les aliments ne convenant pas à l’organisme. » [137-30]
· « Consommer en moyenne 80% d’aliments alcalins et 20% d’aliments acides. Il n’est pas souhaitable de s’astreindre à des règles alimentaires trop strictes ou de se rendre esclave d’un régime. Ne pas prendre agrumes et céréales au même repas. Ne mettre ni lait ni crème dans le café ou dans le thé. Ne pas manger de fritures. » [1568-2]
· « Si le milieu est légèrement alcalin, il résiste mieux aux rhumes et aux congestions. » [270-33]
· « Préférer les céréales complètes, car elles ont gardé leur germe. Consommer beaucoup de légumes verts et de fruits. Des fruits oléagineux. Parmi ces derniers, l’amande est celui qui possède la plus grande proportion de phosphore et de fer directement assimilables par l’organisme. » [1131-2]
· « Trois amandes par jour constituent une bonne prévention contre le cancer. » [1158-31] 
· « Dans la mesure du possible, consommer essentiellement des produits locaux. Ceci permet au corps de mieux s’acclimater à la région où il se trouve. » [3542-1]
· « Manger beaucoup de crudités. Les préparer de diverses façons, y compris en gelée. » [3445-1]
· « La gélatine ne se recommande pas pour ses vitamines propres, mais pour son action sur les glandes. Elle permet en effet à ces dernières d’extraire des aliments ingérés certaines vitamines que le système digestif ne peut assimiler autrement. » [849-75]
· « Pratiquement tout le monde devrait consommer de la salade verte en abondance, car c’est un dépuratif sanguin très efficace. » [404-6]
· « Pour chaque légume poussant sous terre, en manger au moins trois qui poussent au-dessus du sol. En outre, consommer au moins un légume à feuilles pour chaque légume à cosses. » [2602-1]
· « Le maïs et les tomates sont excellents. À condition d’être mûries sur la plante, les tomates contiennent davantage de vitamines que n’importe quel légume. » [900-386]
· « Ramassées vertes, les tomates peuvent s’avérer très nocives. Il est donc souvent préférable de les préparer en conserve avant de les consommer, car elles perdent ainsi une grande partie de leur toxicité. » [584-5]
· « L’huile d’olive en petite quantité est très bénéfique au système digestif. » [543-26]
· « Avec les viandes ou les protéines, manger peu d’hydrates de carbone. » [416-9]
· « Éviter trop de viande rouge, surtout peu cuite. Consommer plutôt du poisson, de la volaille et de l’agneau. » [1710-4]
· « Boire chaque jour un litre et demi ou deux litres d’eau. » [1131-2]
· « 1/2 ou 3/4 verre d’eau chaude tous les matins à jeun aide à éliminer les toxines. » [311-4]
· « Ne pas mastiquer la nourriture, ainsi que boire beaucoup en mangeant, favorisent les rhumes. Il faudrait même « mâcher » l’eau ou les liquides deux ou trois fois avant de les avaler. » [808-3]
· « Ne pas utiliser de corps gras dans la cuisson des légumes. » [303-11]
· « Le fait d’ajouter les condiments, même le sel, avant la fin de la cuisson, détruit les vitamines des aliments. » [906-1]
· « Éviter de cuisiner dans de l’aluminium. Utiliser plutôt des ustensiles en grès ou, mieux encore, le papier sulfurisé. » [1196-7]

L’Histoire de l’Humanité

 

L’histoire telle qu’on nous l’a enseigné a l’école et dans la bible est-elle vraiment la véritable histoire de l’humanité? 

Cette vidéo signée Klaus Dona pose bien des questions et des énigmes. Je vous propose d’aller récupérer gratuitement le pdf de cette vidéo sur www.bouger-la-vie.com/blog/histoire-cachee-genre-humain

Vous découvrirez d’autres informations sur la page.

 

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Publié dans:HUMANITE |on 17 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Fausse interprétation de la Genèse

 

Rollin Olson. D’où vient cette fausse interprétation de la Genèse ?

Benjamin Creme. De la manière symbolique dont est présentée l’histoire d’Adam et Eve dans la Bible. L’homme animal, pas vraiment humain, plus tout à fait un animal, mais à mi-chemin entre les deux, avait atteint un certain degré dans son évolution. Il possédait un corps physique solide et coordonné, un corps astral plus ou moins sensible et le germe du mental, un mental naissant qui formerait plus tard le noyau du corps mental. Lorsque ce point fut atteint, il y a 18 millions et demi d’années, les âmes humaines qui, sur le plan de l’âme, attendaient ce moment précis de l’évolution, s’incarnèrent pour la première fois dans ces hommes primitifs. C’est la « chute du paradis » d’Adam et Eve.

RO. C’était une métaphore ?

Fausse interprétation de la Genèse dans HUMANITE couv_symboles_histoire_humaniteBC. Oui, en effet, c’était une métaphore, une image. Ce ne fut pas la perte d’un état de grâce, mais l’accomplissement délibéré d’une partie du plan d’évolution, qui poussa les âmes humaines à renoncer au « paradis », au pralaya, ce merveilleux état de félicité sans fin, et à « manger le fruit de l’arbre de la connaissance », c’est-à-dire à s’incarner sur le plan physique dans ces hommes qui n’étaient pas encore vraiment sortis du règne animal. C’est ce qui s’est produit, et a été faussement interprété comme la perte d’un état de grâce : de là est venue l’idée que Lucifer était un grand ange qui se rebella contre Dieu dont il se considérait l’égal et qui fut chassé du paradis. Ce n’est rien d’autre qu’une histoire, qui a été interprétée d’une façon totalement erronée. C’est en fait l’histoire de l’incarnation humaine.

RO. D’où proviennent ces informations ? Quelle est leur origine ?

BC. La plupart proviennent de l’enseignement théosophique, qui fut introduit par Mme Blavatsky entre 1875 et 1890. Son ouvrage majeur, la Doctrine secrète, renferme les enseignements préliminaires donnés pour le nouvel âge qui est en train de naître. Les enseignements transmis par Alice Bailey constituent la phase intermédiaire. La prochaine phase, celle de la Révélation, viendra de Maitreya lui-même.

RO. Vous venez de dire qu’un changement s’était produit, il y a 18 millions et demi d’années, lorsque l’homme-animal avait progressé jusqu’à un certain point. Que s’est-il passé alors ? Qu’est-ce qui a fait que cet homme-animal devienne un être spirituel ?

BC. Les âmes humaines, qui attendaient sur le plan de l’âme ce moment particulier, s’incarnèrent pour la première fois dans ces hommes et ces femmes primitifs, et l’évolution humaine commença alors. L’individualisation de l’homme eut lieu. Ce fut un point culminant pour l’humanité, une expérience initiatique. L’énergie du Mental vint renforcer le mental naissant de l’homme-animal, et les hommes, les « fils du mental », commencèrent le long voyage de leur évolution.

RO. Il y avait donc des âmes en attente ?

BC. Oui. Effectivement.

RO. L’homme-animal était déjà là, mais que faisaient les âmes en attendant ?

BC. Elles étaient en pralaya, un état de bonheur sans fin, sachant que ce bonheur serait interrompu lorsque résonnerait l’appel et que le premier groupe devrait descendre et « manger le fruit de l’arbre de la connaissance ».

RO. Et ce fut les débuts de l’humanité ?

BC. Oui. L’évolution du genre humain a commencé à ce moment-là. Ce ne fut pas une « chute » du paradis mais une descente délibérée.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

Publié dans:HUMANITE |on 12 mai, 2012 |Pas de commentaires »

L’ère du Verseau

 

L'ère du Verseau dans HUMANITE 350px-AquariusRollin Olson. Vous avez parlé de la « prochaine étape que doit franchir l’humanité ». Cela a-t-il quelque chose à voir avec la présence de Maitreya ici, maintenant ?

Benjamin Creme. Oui, tout à fait. Nous entrons dans une nouvelle ère, l’ère du Verseau, et il n’est pas question, bien sûr, d’astrologie mais d’astronomie. Il s’agit de la relation qui se forme actuellement dans le cosmos entre notre système solaire et la constellation du Verseau. Pendant 2.500 ans environ, nous allons absorber l’énergie cosmique du Verseau, qui transformera toute la vie sur notre planète. C’est une énergie synthétisante : elle rassemble, fusionne et mélange, tandis que l’énergie des Poissons, celle de l’ère qui se termine, a séparé et divisé le monde. Ce processus se poursuivra pendant 2.500 ans, et, progressivement, l’humanité se rassemblera et comprendra la réalité de sa nature spirituelle.

Cela a donné aux Maîtres la possibilité de commencer à revenir dans le monde. C’est dû au fait que tant de disciples approchent de la première initiation et s’apprêtent, par conséquent, à entrer dans la Hiérarchie. Cela crée une force d’attraction magnétique, un canal par lequel les Maîtres sont attirés dans le monde. Il y a plus de 500 ans qu’ils étaient prêts à le faire ; la seule question était de savoir quand cela serait possible. Il paraissait probable qu’il faudrait attendre encore 1.200 ou 1.300 ans. Mais en 1945, à la fin de la guerre, Maitreya a annoncé son intention de revenir le plus tôt possible et d’amener son groupe de Maîtres avec lui dans le monde. C’est ce qui se produit maintenant.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

Publié dans:HUMANITE, PLANETES |on 8 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Ascension terrestre et changement dimensionnel


La Terre a sa propre conscience, c’est un être vivant. Le Plan Divin du Créateur, que nous suivons tous consciemment ou inconsciemment, appelle la Terre à ascensionner de la réalité que nous connaissons en tant que troisième dimension, vers la quatrième dimension (une existence intermédiaire ou temporaire) et ensuite à la cinquième dimension et au-delà [sur la notion de dimension, voir article Chakras et corps subtils]. On a longtemps suggéré que cela aurait lieu vers la fin de 2012, ou avant. L’humanité, et toutes les autres formes de vie doivent être prêtes à ascensionner, ou à augmenter leur vibration, pour se déplacer avec la planète. La plupart des gens n’ont plus le temps de passer par des processus séparés et Ascension terrestre et changement dimensionnel dans ASCENSION 4548016109_531d4cb571individuels d’ascension qui pourraient prendre encore 200 ou 300 ans. Ils se trouvent dans leur dernière incarnation et sur le point d’ascensionner pour aider à établir la création suivante sur Terre et dans l’univers entier. Cela signifie qu’ils conserveraient leur corps et le ramèneraient graduellement à l’âge approximatif de 30 ans. Ceux qui ne seront pas prêts se réincarneront dans la troisième dimension sur une autre planète. Ils ne peuvent pas revenir sur une Terre de dimension dorénavant plus élevée. Le « contrat » de certaines personnes est terminé et elles doivent retourner dans leur ancien système stellaire si elles veulent. Personne à l’origine n’était sur cette planète Terre.

L’ascension est l’intégration de l’esprit et de la matière. C’est le processus par lequel nos corps physique, émotionnel, mental et spirituel fusionnent pour créer un être pleinement conscient. Nous revêtons un corps de Lumière. En réalité, nous sommes des êtres spirituels vivant une expérience humaine. Nous avons d’autres aspects de nous-mêmes qui existent dans d’autres mondes, dimensions ou réalités. En essence, nous sommes tous des Anges physiques avec un gigantesque problème d’amnésie. Par l’ascension, nous réaliserons que nous sommes tous connectés, que nous sommes tous Un avec toutes les autres formes de vie dans l’univers. Tout est venu d’un Créateur. Les différences de races, la guerre, le concept de propriété, les droits de territoire, en fait tous les aspects de notre monde actuel sont en réalité illusoires. Nous vivons dans un hologramme géant.

Beaucoup de dimensions, également connues sous le nom de plans, demeures, ou mondes parallèles coexistent dans le même espace. Ils diffèrent simplement par leur degré de vibration. Lorsque nous augmentons suffisamment notre vibration, nous changeons de dimension.

La résonance de Schumann constitue une mesure du taux vibratoire de la Terre, son pouls. Toutefois, mesurée par certains scientifiques de la Terre, elle s’est révélée différente des informations transmises par les royaumes supérieurs. Pendant des années, elle s’est maintenue à 7,8 périodes par seconde (hertz). Elle a commencé à monter au moment de la Convergence Harmonique, en Aout 1987, l’année d’un éveil spirituel majeur. En théorie, lorsqu’elle passera de façon stable à 13,0, nous serons dans la quatrième dimension. Selon diverses sources, nous avons stationné à 12,9 depuis un certain temps, et nous passerons à 13,8 dans un futur proche.

On s’attend à ce que l’ascension soit accomplie lorsque nous serons pleinement exposés aux énergies de la ceinture de photons. C’est une bande d’énergie en forme de tore que notre système solaire a traversé deux fois durant son cycle de 26 000 ans. Lors des cycles précédents, chaque passage a duré 2 000 ans. Nous sommes actuellement dans la ceinture, mais protégés d’une ascension prématurée fatale par un champ d’énergie holographique, placé autour de notre système solaire par la Fédération Galactique de la Lumière, nos alliés provenant d’autres civilisations de notre galaxie de la Voie Lactée. Tandis que notre taux vibratoire augmente, certaines énergies photoniques sont progressivement libérées dans notre système solaire. Des énergies interdimensionnelles majeures, qui nous affectent spirituellement et physiquement, sont émises également du centre de notre galaxie (un trou noir) vers notre Soleil puis vers nos planètes.

Pour commencer, un système d’ADN à 12 brins remplacera notre système actuel à 2 brins. Notre système de vortex d’énergie à 7 chakras passera à un système à 13 chakras. Nous utiliserons également consciemment 100% de notre cerveau, au lieu des 10 à 20% qui sont utilisés actuellement. La pleine conscience nous sera rendue, c’est-à-dire la conscience de pourquoi nous sommes ici, de ce que nous allons faire dans le futur, et de ce qu’ont été nos vies passées. Nous aurons une connaissance universelle sur le bout des doigts, ou plutôt par nos récepteurs du cerveau, et nous aurons des capacités supra-humaines.

Tony Wicks, Australie

Mai 2004

Publié dans:ASCENSION, HUMANITE, TERRE |on 6 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Les Ecritures

 

Rollin Olson. Comment les différentes Ecritures s’inscrivent-elles dans le plan d’évolution ?

Benjamin Creme. Les Ecritures en parlent, mais habituellement (bien que cela ne soit pas toujours le cas) de manière plus exotérique, de façon à pouvoir être comprises directement par les gens simples, peu instruits. Elles exercent surtout un impact émotionnel sur les masses. Au-dessus et au-delà de cet impact émotionnel, il existe un ensemble d’enseignements, très mental et orienté de manière spirituelle, transmis par les Maîtres tout spécialement pour les initiés et les disciples du monde, qui les informe du Plan, de la contribution qu’ils pourraient y apporter, et les invite à prendre part à sa mise en œuvre.

RO. Etant donné que l’interprétation des Ecritures donne lieu à des discussions sans fin, il est évident qu’il existe un sens plus profond à découvrir.

BC. Oui, mais souvent présenté de manière symbolique. Prises à la lettre, les Ecritures paraissent souvent absurdes. Mais comprises dans un sens plus ésotérique ou symbolique, elles ont, bien sûr, préservé la vérité, sous forme de métaphores et de symboles. Elles ont maintenu le lien entre celui que nous appelons Dieu, le Logos de notre planète, et sa manifestation : l’humanité et les royaumes inférieurs. Elles nous informent qu’il existe une relation, qu’il existe réellement un plan d’évolution, que nous ne sommes pas arrivés au bout du chemin, que nous continuerons à avancer jusqu’à ce que nous ayons créé un monde parfait, la perfection étant le complet achèvement du Plan du Logos, dans toute la variété de sa manifestation. Les anciennes Ecritures présentent aussi l’inconvénient d’avoir toutes été plus ou moins déformées en raison de la lenteur de leur dissémination au cours des siècles.

RO. J’avais aussi en tête l’idée que l’évolution se produit sans doute par étapes…

BC. Oui, tout à fait.

RO. Une nouvelle révélation est-elle aussi à l’origine de chaque pas en avant ?

BC. Oui.

RO. Et c’est ce qui explique la nécessité de révélations périodiques ?

BC. Oui, en effet, la révélation est continuelle. Certains enseignements, comme celui des groupes chrétiens, affirment de manière catégorique que Jésus est venu donner l’enseignement suprême, le dernier de tous, celui qui a, soudain, révélé la nature de Dieu à l’humanité. Ils refusent l’idée d’une révélation qui a commencé au tout début de l’existence de l’humanité sur la planète et qui se prolongera jusqu’à ce que nous ayons atteint la perfection. C’est, à mon avis, une conception erronée de la part des groupes chrétiens que de s’arroger ce genre de supériorité vis-à-vis des autres religions.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

Publié dans:ACCORD, HUMANITE |on 4 mai, 2012 |Pas de commentaires »

Une Vérité

Conclusion du livre de Naja-Colin

 

Existe-t-il une vérité ultime, unique et immuable?  Sûrement puisque vous la cherchez.  J’aime ce genre de réponse qui renvoie à l’essence même des pourquoi.  On ne peut chercher ce qui n’existe pas car le désir crée la chose.  On ne peut qu’imaginer que ce qui est déjà compris dans l’univers.  Tout ce qui fut pensé et sera pensé par un être vivant existe déjà.  Voilà une phrase sur laquelle on peut médire ou méditer longtemps.  Elle est basée sur le principe qu’aussi complexes que peuvent être les connections d’un cerveau, il ne peut créer que ce qui est déjà compris dans l’univers dont il est issu.  On peut s’unir à un être supérieur pour recombiner des éléments simples en de nouvelles combinaisons mais cela est déjà réalisé en Une Vérité dans HUMANITE 220px-Max_Weber_1917potentiel à l’échelle du cosmos entier.  Ma propre conscience n’en a pas encore résolu toutes les équations ce qui me laisse présager d’autres plaisirs à venir.  Pour l’instant, je ne peux que vous rappeler cette ancienne vérité.  On ne découvre rien, on ne fait que redécouvrir tout.

 Je voudrais encore tant vous dire mais j’en ai déjà trop dit.  La soif de savoir des humains, c’est un peu de nous qui se manifeste en vous.  Mais voir trop loin, entrevoir des mondes accessibles que dans un futur lointain, ne peut que vous faire perdre pied dans votre réalité présente.  Les rêves inspirent et vous font avancer mais ne doivent pas primer sur le concret.

 Ce livre vous a donné un vaste aperçu des concepts et des principes de base qui sont généralement acceptés dans les civilisations supérieures.  Cela était nécessaire pour que vous compreniez comment nous, en tant qu’entité spirituelle ou extra-terrestre, on pense, on conçoit l’univers.  Il fallait que vous preniez connaissance de nos axiomes qui régissent nos vies.  Maintenant, vous pourrez mieux comprendre le rôle que l’on a joué dans le passé sur votre terre, le rôle que l’on jouera dans le futur et le rôle aussi que l’on ne jouera pas.

 A n’en pas douter qu’il existe des énergies sources à l’origine de d’autres univers inaccessibles à notre conscience.  Mais laissons ces autres réalités se questionner sur elles-mêmes.

 Tout ce que je vous ai révélé ici est ma vérité issue d’une multitude de vies comprises et actualisées en moi.  Cela fait de moi un être hautement personnalisé car le personnel finit un jour par rejoindre l’universel.  Ma vérité est aussi grande que ma conscience et occupe tout l’espace que j’occupe.  Plus je prends de l’expansion, plus ma vérité englobe des multitudes de vérités.

Il n’y a rien de faux dans l’univers.  Il n’y a que des vérités devenues inutiles par la découverte de vérités plus vastes, plus englobantes.  J’ai transmis ici seulement mon vécu, mon savoir accumulé au fil de mes expériences.  Si vous ne faites que les répéter aux autres sans les vivre, les expérimenter dans votre quotidien pour qu’elles deviennent personnelles, elles ne sont que paroles vides de sens.  Une vérité qui n’est que répétée devient un mensonge.

 Toutes les vérités doivent nous faire grandir, nous faire sentir mieux, exalter le meilleur de nous-mêmes.  Même si souvent elles peuvent déstabiliser d’anciennes vérités stagnantes.  La grande vérité commune à tous, seule l’essence Divine la possède.  Dieu voudrait bien la partager mais dès lors, elle se morcelle et se teinte de la personnalité de chaque individu.  Nous ne sommes pas encore un tout unique et c’est bien ainsi.  Peut-être cela se réalisera dans un présent lointain.

 Les civilisations oscillent, tour à tour,  entre la valorisation des croyances communes à tous au détriment des croyances individuelles ou la valorisation des croyances individuelles au détriment des croyances communes à tous.  Même dans la réalisation hypothétique d’une vérité unique dans le futur, elle sera suivie tôt ou tard d’une nouvelle période favorisant les expériences individuelles qui seront sources de nouvelles vérités personnelles.

 Malgré tout ce qu’il fut dit avant moi, je me suis permis quand même d’apporter ma contribution.  Ma personnalité m’a permis de redire les choses autrement.  Peut-être mes paroles toucheront des êtres qui ont des affinités avec ma façon d’être.  Tant qu’il aura quelqu’un qui aura une expérience personnelle de l’univers, elle sera bonne à partager.  Mais le savoir de l’un, né de l’expérience, devient seulement la connaissance de l’autre s’il n’est pas aussi expérimenté par lui.

 Trop de connaissances qui ne sont pas appliquées dans le quotidien peuvent créer des écarts vibratoires entre vos différents corps et être la cause de déséquilibres importants.  Les vérités qui ne sont pas applicables concrètement devraient être rangées dans le surconscient, le non-réalisé pour ressortir quand votre évolution le réclamera.

  En attendant que mes révélations vous servent toutes concrètement, j’espère qu’elles auront aidé à ouvrir et à éclairer votre conscience.

 

NAJA L’ILLUMINÉ

Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:HUMANITE |on 1 mai, 2012 |Pas de commentaires »

LA PLANETE TERRE

 

LA PLANETE TERRE dans HUMANITE la-terre-300x199La terre est une création toute récente en périphérie d’un centre.  La rareté de l’énergie première ne lui permet pas pour l’instant d’accéder à un niveau d’évolution plus élevé.  Sa situation géographique dans l’espace, entre la lumière centrale et l’obscurité des confins, lui donne un registre d’évolution très précis.  La palette des comportements des humains est régie par toutes les émanations en provenance des astres et des égrégores qui entourent leur planète.  En d’autres mots, votre planète est un organisme vivant et conscient qui évolue à son propre rythme fait de la rencontre entre la somme des émanations venant de l’extérieur et la somme des émanations venant de son intérieur.

 Les humains sont dépendants pour leur évolution de la planète terre, de sa position dans l’espace et de la somme de toutes les vies qui font son tout.  La terre évolue à son propre rythme fait de l’ensemble des vies qui la composent et de son interrelation avec le reste de l’univers.  Elle ne peut supporter qu’un registre vibratoire très précis ce qui veut dire que quoique fassent les humains, leur évolution est tributaire et limitée par ce registre.  Si votre type d’esprit s’est incarné ici bas, c’est que son niveau d’évolution correspond à celui de l’endroit.  Il ne pourra espérer dépasser le taux  vibratoire limite de la terre sans donner en contrepartie un lourd tribut.  La terre sera un jour un lieu idyllique quand elle aussi aura décidé de franchir les étapes qui l’amèneront plus près du centre.

 En attendant, votre rôle est d’être en harmonie avec son ensemble.  Quel rôle croyez-vous jouer pour la terre?  Une entité qui contribue à son équilibre ou une cellule chaotique qui menace sa survie?  Vous n’êtes responsable que de vous-même.   Mais de combien de parties de vous pouvez-vous vous délester sans menacer votre vie même?  Combien de cellules cancéreuses pouvez-vous supporter sans que votre organisme dépérisse?  Alors, vous n’êtes pas responsable de la terre mais la responsabilité envers vous-même fait toute la différence.

 Il y a l’évolution naturelle et celle volontaire des êtres qui en ont décidé ainsi.  Quand ce processus est enclenché, on peut faire progresser son habitat mais au prix d’un consensus, d’une relation intime entre soi et ses parties, entre soi et l’ensemble.  La situation et les caractéristiques d’un astre dans l’espace sont faites des perceptions communes à toutes formes de vie qui l’habitent et définissent les bornes qui limitent l’évolution de chaque individu.  On ne peut supprimer une partie de cet ensemble sans menacer sa propre survie.  On ne peut dépasser ces limites planétaires sans être obligé d’aider en retour à l’évolution de l’ensemble. Il faut se délester d’un trop-plein pour s’élever.

310px-Earthlights_dmsp dans PLANETES Dans les mondes immédiatement au-dessus de vous, il y a encore des structures, des organismes qui réglementent la vie de ses habitants.  On y retrouve toutes les sortes de paysages, de maisons, de villes où des êtres s’affairent aux tâches semblables aux vôtres et qui ont encore leurs raisons d’exister.  Comme les contrastes de toutes sortes s’amenuisent, tout le temps qui était consacré à les régler sur terre sert maintenant à d’autres fins.  Les êtres qui étaient des régleurs de conflits dans votre monde deviennent des aides éclairés pour tous ceux qui cherchent l’harmonie, la lumière dans leur nouveau monde.  Chaque monde se divise en douze niveaux ce qui fait que le niveau le plus bas est très proche du monde au-dessous et le niveau le plus haut très proche du monde au-dessus.  Mais les niveaux sont symboliques car tout se passe ici.  Il n’y a une élévation réelle, ce qui veut dire vers le ciel, qu’au seuil du troisième monde.  C’est donc l’univers mental qui enclenche pour vous un début d’ascension.

 Extraits du livre NAJA L’ILLUMINÉ -  PREMIER PORTRAIT  À L’ORIGINE DE TOUT CANALISÉ PAR

                     COLIN CHABOT – retrouvez les écrits en son entier ici : http://www.music-close-to-silence.net/a_lorigine_de_tout.pdf

Publié dans:HUMANITE, PLANETES, TERRE |on 30 avril, 2012 |Pas de commentaires »

Les races humaines

 

Rollin Olson. Si c’est ainsi que se déroule le processus de réincarnation, et si le corps, comme vous le dites, retourne à la poussière, que pensez-vous des différentes manières de le traiter après la mort : l’inhumation, la crémation ou les bûchers funéraires des Indiens ?

Benjamin Creme. La seule manière scientifique et hygiénique de traiter le corps est la crémation ; il doit être brûlé. Tout le monde vient en incarnation avec un passé chargé des maladies de l’humanité, et certaines d’entre elles remontent aux tous premiers temps. Par la pratique de l’inhumation, ces maladies, telles que le cancer, la syphilis et la tuberculose, s’infiltrent dans la terre, entrent dans la chaîne alimentaire et sont réabsorbées par les animaux et les êtres humains. Cela dure depuis tant de milliers d’années que ces maladies sont endémiques et qu’il faudra plusieurs centaines d’années pour s’en débarrasser tout à fait. La crémation est un premier pas, d’une importance majeure, dans ce processus. Nous faisons partie de la 5e race racine. La première race racine vraiment humaine fut la race lémurienne, qui a duré six millions d’années – il y eut auparavant deux autres races qui ne possédaient pas de corps physiques denses. Elle fut suivie par la race atlante, qui a duré environ douze millions d’années. Notre race racine, la race aryenne (qui n’a rien à voir avec la notion hitlérienne de race aryenne), a 100.000 ans environ, elle n’est donc qu’au tout début de son évolution. Chaque race a la tâche de perfectionner l’un ou l’autre des véhicules. La race lémurienne avait pour tâche de perfectionner le corps physique. La race atlante, celle de perfectionner le corps astral ou émotionnel. Elle y est si bien parvenue qu’il est devenu le véhicule dominant et que la vaste majorité des hommes d’aujourd’hui ont toujours une conscience atlante, « polarisée » sur le plan astral ou émotionnel.

Races humaines.pngLa race aryenne, la nôtre, a pour tâche de perfectionner le corps mental. Nous n’utilisons que les plans mentaux inférieurs. Selon l’ésotérisme, il existe quatre plans mentaux. Le plus élevé est appelé le plan causal, sur lequel se trouve le corps de l’âme, le corps causal. L’âme utilise le corps causal pendant la majeure partie de son expérience d’incarnation, jusqu’à la quatrième initiation, où elle l’abandonne. C’est de cette manière que les races avancent, évoluent, et chaque race se compose de sept sous-races. Les Européens et les Américains d’aujourd’hui sont la cinquième sous-race de la race racine aryenne.

RO. Existe-t-il une autre catégorie pour les peuples des autres continents ?

BC. Oui, il existe différentes sous-races.

RO. Quelles sont-elles ?

BC. A l’heure actuelle, il existe des peuples qui sont atlantes par le corps physique. C’est le cas de l’ensemble des peuples de type mongol, les Chinois, les Japonais, les Indiens d’Amérique du Nord et du Sud, les Esquimaux, tous ont des corps atlantes, mais les individus qui possèdent ce type de corps font partie, bien entendu, de la race aryenne.

texte issu de : Les enseignements de la Sagesse éternelle
Interview de Benjamin Creme, par Rollin Olson

(source: PartageInternational.org)

Publié dans:HUMANITE |on 29 avril, 2012 |Pas de commentaires »
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