Archive pour la catégorie 'HUMANITE'

Célébrons la spiritualité

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La mission de Célébrons la spiritualité est d’aider tous ceux qui veulent s’engager dans une pratique spirituelle pendant 40 jours. Nous croyons que celui qui établit sa vie sur une pratique quotidienne connaît la paix intérieure. Cette paix est celle qui transforme nos vies, qui amène la paix et guérit notre mère la Terre.

Nous savons qu »il faut seulement un petit groupe de gens engagés pour changer le monde. Nous sommes là pour le faire. Joignez-vous à nous pour la prochaine célébration

Célébrons la spiritualité

Quarante jours de pratique spirituelle pour tous, quelles que soient vos croyances

Publié dans:ASCENSION, HUMANITE, VIDEOS à voir |on 14 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’âme, voie de passage entre le corps et l’esprit


L’âme, voie de passage entre le corps et l’esprit dans AME de829300

Lorsqu’on dit que l’être humain est fait d’un corps et d’une âme, on oppose un principe matériel à un principe spirituel et on identifie donc l’âme à l’esprit. Mais l’âme n’est pas l’esprit ; bien qu’invisible, elle est une substance matérielle et périssable. Seul l’esprit en tant que principe divin en l’homme est immortel. Alors comment définir l’âme ?

Si nous considérons le système des 6 corps, l’âme correspond aux plans astral et mental. Elle apparaît ainsi comme un intermédiaire entre le plan physique et les plans causal, bouddhique et atmique qui représentent le monde de l’esprit. Elle est le véhicule qui transporte les éléments du ciel à la terre et de la terre au ciel. Les relations entre le monde d’en haut et le monde d’en bas passent par l’âme, et là encore c’est l’image de l’arbre qui peut le mieux nous éclairer.

Dans un arbre aussi on considère généralement trois parties : les racines, le tronc et les branches. L’alimentation de l’arbre est assurée par un système de vaisseaux conducteurs ; au centre du tronc se trouvent les vaisseaux qui transportent la sève brute des racines vers les feuilles où elle sera élaborée, et à la périphérie se trouvent ceux qui renvoient la sève élaborée vers les racines. Ce sont donc deux courants, l’un ascendant, l’autre descendant, et ils ne se rencontrent pas. Ces deux courants sont comparables aux circulations artérielle et veineuse dans le corps humain. Eux non plus ne se rencontrent pas ; s’ils se rencontraient, il s’ensuivrait des troubles graves appelés « maladie bleue ».

De la même façon, l’âme est cette région intermédiaire que traversent les courants qui vont du ciel à la terre t de la terre au ciel. C’est l’échelle de Jacob que mentionne Moïse dans la Genèse. Cette échelle lumineuse, que Jacob vit en songe et le long de laquelle des anges montaient et descendaient, représente les circulations veineuse et artérielle dans l’univers, et c’est cela l’âme. Cette échelle est également présent en l’homme ; ce sont les deux courants du sentiment et de la pensée qui traversent les plans astral et mental et qui eux non plus n’empruntent pas les mêmes voies.

L’esprit n’a aucune prise directe sur la matière, pour l’atteindre t travailler sur elle il a besoin d’un intermédiaire : l’âme. L’âme est l’instrument dont l’esprit se sert pour agir dans le plan physique. A travers l’âme (la pensée et le sentiment) l’esprit modèle la matière, la façonne, l’organise. Tous les éléments qui font la richesse du corps physique, l’esprit ne peut les utiliser qu’à travers l’âme. Et c’est aussi à travers l’âme que le corps physique reçoit les éléments de l’esprit. L’âme possède ce double pouvoir de diluer la matière dense et de condenser les énergies subtiles ; ces deux opérations que les alchimistes appellent « solve » et « coagulaé, seule l’âme est capable de les réaliser.

Mais quelle que soit la manière dont on essaie de l’expliquer, il n’est pas tellement possible de faire comprendre ce qu’est l’âme, il faut la voir. Vous direz : « Mais comment ?…  Il est possible de voir l’âme ?… » Oui, puisqu’elle est matérielle ; d’une matière tellement ténue, subtile, qu’on la croit invisible, mais en réalité o peut la voir ; même si chez les êtres les plus évolués l’âme semble faite de pure lumière, en réalité elle est un corps. Et ce corps un jour se désagrégera, lui aussi. A plus ou moins long terme, toute matière est vouée à la disparition, ou plus exactement à la désagrégation afin d’être recomposée différemment. Quand on dit que l’homme possède une âme immortelle, en réalité c’est de son esprit que l’on parle, car la véritable essence de l’homme, son être véritable, cette quintessence divine, c’est son esprit. C’est dans son esprit qu’il est immortel et qu’il vivra éternellement.

L’âme possède la marque de fabrique de son créateur, et quelle est-elle ?

Une structure que l’on retrouve partout, d’un monde à l’autre, avec quelques ajustements ; la vision corps, âme, esprit. Pour exemple :

Prenez un œuf… Pourquoi l’œuf est-il un symbole tellement important dans la tradition initiatique ? Parce que par lui se transmet la vie, mais aussi parce qu’il correspond à un schéma universel. De l’extérieur vers l’intérieur, il y a la coquille ; puis le blanc, l’albumine ; et enfin le jaune qui contient le germe. Le jaune, au centre, correspond donc à l’esprit : le blanc, au milieu, à l’âme ; et la coquille, à la périphérie, au corps. C’est la même structure qu’on retrouve  dans la cellule. La cellule est la plus petite unité qui entre dans la constitution de tout organisme vivant, et elle aussi se divise en trois : la membrane, le cytoplasme et le noyau. Et quand la coquille d’un œuf se brise, que se passe-t-il ? Tout se déverse et la vie s’en va. Comme la coquille, le corps sert à protéger la vie, c’est à dire l’âme et l’esprit. Quand le corps « se brise », la vie s’en va, l’âme et l’esprit le quittent.

Alors qu’est-ce que l’âme ? Comme le blanc de l’œuf, l’âme transporte les éléments nutritifs nécessaires au maintien de la vie, mais la vie, elle, est dans l’esprit. Le germe ne se trouve pas dans le blanc, il se trouve dans le jaune, de la même manière, la vie, la vraie vie, se trouve dans l’esprit. C’est cette vie que l’âme soutient, alimente et fait circuler. Vous vous demandez comment j’ai su cela ? En regardant, tout simplement ; parce que c’est évident, parce que c’est la nature qui a tout étalé sous nos yeux. Dans la nature, comme en l’homme, se déroulent les mêmes processus. Donc, si on sait observer la nature, on reçoit des réponses aux questions les plus difficiles. Tous les problèmes alchimiques, astrologiques, magiques, théurgiques, vous pouvez les trouver résolus dans les phénomènes du plan physique. Il faut seulement apprendre à lire dans ce livre qu’est la nature ! 

Texte issu du livre « Et il me montra un fleuve d’eau de la vie » de Omraam Mikhaël Aïvanhov – page 71 – aux éditions Prosveta

Publié dans:AME, HUMANITE |on 9 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Comprendre la Cause des Causes

pour Guérir l’Individu et l’Humanité ! »

par Claude Traks

Comprendre la Cause des Causes dans GUERISON images-20

La raison principale pour laquelle l’Humanité en est à ce point, c’est parce que les peuples ne sont pas assez précis dans leur perception et dans leur compréhension des mondes de l’invisible, des dimensions « énergétiques » de la vie. Dans ce sens, le shamanisme devrait être enseigné dans les écoles. La science des mondes de l’invisible à été confisquée par les religions, qui ont été à leur tour confisquées par ceux qui dirigent, afin d’en faire un outil de contrôle des Esprits humains ! Cela me fait penser au droit des Etats d’imprimer leur propre argent qui a été dérobé par les financiers, ce qui a crée la chaos actuel.

J’espère d’ailleurs que vous êtes assez informé que pour savoir qu’un énorme complot des mondes de la finance est en train d’essayer de tuer les démocraties, de réduire à néant de quelques traits de stylo des siècles d’acquis sociaux pour lesquels nos grands parents on donné leur sang, de racheter les Etats et de diviser le monde entre ceux qui travaillent pour ce complot et ceux qui en sont les esclaves. Ce sont eux qui ont inventé la dette qui est une « manipulation comptable », elle n’existe pas vraiment ! Pour en savoir plus sur la dette et la seule solution légale et pacifique qui existe pour sortir de cette « crise », rendez-vous sur mon site. Je vous promets un scoop, même pour eux qui connaissent déjà beaucoup le sujet ! 

Beaucoup de gens me diront : « Ok ! Pourquoi tu nous parles de la crise dans un article sur le shamanisme ? ». Car ce que peu de gens savent, c’est que la quasi totalité de ces êtres (les politiciens, médias, financiers et autre PDG des grands groupes) sont complètement habités par des entités non humaines et que si vous voulez les influencer vous devez vous attaquer à la source. Vous aurez beau tous les tuer, cela n’arrangera rien car les entités qui les possèdent passeront dans le corps de quelqu’un d’autre. Ils ne sont plus connectés à leur Conscience, ils ne sont plus là ! Ce sont un peu des morts vivants ! Il ne créent rien et se nourrissent du travail et des énergies des autres. Mais pas de panique ! Tout va, l’évolution suit son cours… Si vous comprenez l’Histoire de Terre Gaïa et de ses âmes (cf : claudetraks.com) vous comprendrez qu’il ne s’agit absolument pas d’un combat « bien » « mal », mais d’un processus d’évolution très efficace. 

Vous comprendrez que ce monde qui est dans l’ombre a aussi sa part à jouer dans la création. La raison la plus importante pour laquelle il est vital pour les futurs humains d’apprendre comment sentir et appréhender les mondes de l’invisible se comprend par la comparaison suivante : auriez-vous l’idée de vous asseoir sur un nid de fourmis ? Non bien sûr. Et bien imaginez que dans l’invisible, il y a des fourmis invisibles mais que vous ne les voyez pas, que vous ne les sentiez pas sur votre peau et que vous n’étiez pas non plus Conscient de leur morsure ? Et bien c’est la même chose pour les mondes de l’invisible. Il y a par exemple un endroit où vous avez une aspiration d’énergie et ce n’est pas bon de dormir dessus. Mais si vous ne sentez pas cette énergie, si vous ne savez pas que cette aspiration n’est pas bonne pour y dormir et qu’en plus le fait de vous faire aspirer de l’énergie vous créez une sensation agréable, alors vous vous ferez aspirer beaucoup d’énergie. 

Dans l’invisible il y a de nombreuses sortes d’êtres vivants différents, il y a des courants d’énergie comparables à des rivières, des volcans énergétiques et… des fourmis, des moustiques, des dragons… Oui, oui, riez et le jour où vous vous retrouverez en face de l’un d’eux… Notez que les dragons sont des êtres dotés d’un amour d’une grandeur difficile à imaginer pour un homme ! Faut juste pas s’asseoir sur leur tête, ils détestent cela… Ce qui est compliqué lorsqu’on ne sait pas où est la tête et encore moins où est le dragon ! 

Les premières fois qu’on réalise qu’il y a toujours des êtres invisibles autour de nous, cela fait souvent peur ! 
Pourtant, dans les mondes de l’invisible, la plupart des êtres que vous rencontrez sont moins puissants que les humains. Certains d’entre eux arrivent cependant à influencer les choix importants des humains en influençant leurs pensés et leurs émotions. Ils y arrivent grâce au fait que les humains ne savent pas que ces entités existent ! Mais ne croyez pas que les mondes de l’invisible soient hostiles à l’humain, loin de là ! 

Parmi ces êtres invisibles, il existe des élémentaux, qui sont un peu l’équivalent des animaux mais en invisible. Ils vivent très proches de la nature. Il existe aussi de nombreuses races E.T. de quasi toutes les planètes et surtout de toutes les dimensions possibles et inimaginables. Ils n’ont jamais été aussi nombreux sur Terre Gaïa ! Ils viennent ici pour participer à l’une des plus grandes Alliances que cette Humanité n’aie jamais connue. Il est en effet VITAL pour toute la création que l’espèce humaine ne s’autodétruise pas ! En effet, le corps des êtres humains est un maillon essentiel de la création qui doit et va jouer un rôle capital dans l’éveil de l’Humanité. Les corps des futurs humains vont servir de passerelles pour réunifier toute la création. En effet, les Humains ont cette faculté fabuleuse de pouvoir connecter des êtres qui ont une Conscience très élevée et d’amener ces messages dans les mondes où il y a moins de Conscience. 

Ainsi l’homme va muter et va devenir vraiment Humain, de gré ou de force…Ceux qui acceptent qu’ils ont besoin d’être guéris et acceptent au moins en théorie de vivre dans une culture qui sera quasi exactement à l’opposé des cultures dites patriarcales pourront rester sur Terre Gaïa. Les autres devront partir dans des hôpitaux en dehors de cet espace temps car il faudra remplacer leur âme par leur âme originelle. Une âme doit être remplacée lorsqu’elle met en danger toute son espèce et qu’elle n’en est même pas Consciente ! Cela me semble être une Loi tout à fait Juste, pas vous ? C’est le cas de pas mal de gens dans cette Humanité vu qu’on vit dans un système qui sacrifie l’existence même des générations futures pour le confort de ceux qui s’appellent eux-mêmes les « adultes ». Mais ne vous inquiétez pas, tout va très bien, personne ne sera puni et chaque âme sera traitée comme un enfant Divin ! 

Nous vivons dans une espèce de programme de simulation de jeu vidéo interactif qui est fait justement pour jauger les âmes et voir jusqu’à quel point elles sont prêtes à « se remettre au boulot » en servant l’intérêt de l’évolution, donc de l’Amour éternel. Ce n’est que lorsqu’on a passé cette épreuve, que l’on peut retrouver ses pouvoirs Divins. Et c’est grâce à ce stratagème, qu’il n’y a pas de dualité dans la création et que les mondes Divins sont vraiment Divins ! J’aime aussi le concept que notre réalité est une sorte de camp de vacances pour les divinités qui sont fatiguées de faire tout le temps des choix. On commence à devenir divin à partir du moment où on fait des choix ! 

Pour être précis ce sont les « formes pensées » issues de l’astral qui sont le grand défi des humains. Ce sont chez les formes pensées que vous trouverez la cause de toutes les injustices et leurs remèdes ! La plupart des gens ne veulent pas voir ces jeux de force, car il leur fait peur. En fait cela fait peur aux entités qui les influencent, car elles ont peur d’être démasquées et c’est cette peur là que leur âme ressent ! On les appelle les « formes pensées » car ce sont des formes qui ont été pensées par les humains ! Ce sont les hommes et les femmes qui créent les formes pensées et qui ensuite les nourrissent ! Tous les futurs humains sont attachés aux formes pensées au travers de leur corps astral ! Certains en ont à l’intérieur d’eux, la quasi totalité à l’extérieur de leur corps physique. On les appelle des formes car elles ne sont que formes sans autre identité que celle que les hommes projettent en elles ! Ce n’est qu’une image qui agit en réaction à la Lumière ! Chacun d’entre nous a une projection de son image dans l’astral. La plupart des gens, croient que cette image, c’est eux, alors que c’est leur fantôme, leur propre ombre. Ils ne sont plus qu’une image qui suit ou rejette les mouvements de masses, dont l’inconscient n’arrive pas à se dissocier de l’inconscient collectif, un principe d’action/réaction primaire qui ne crée rien… Même si Facebook a beaucoup d’avantages, il faut y faire très attention car on assiste à l’avènement d’une génération obsédée par son image… 

Ce qu’il est très important de comprendre, c’est que comme l’homme vit de plus en plus dans sa tête(nouvelles technologies), il crée de plus en plus de formes pensées et vit de plus en plus dans leur monde qui donne à la matrice de plus en plus de pouvoirs. Même s’il elles n’avaient pas été « pensées » pour cela à l’origine, les formes pensés ont fini par penser par elles mêmes et par vouloir s’émanciper de leur « créateurs ». Je peux vous affirmer qu’avec l’énergie des humains elles ont construit un véritable monde qu’elles ont peur de perdre si les humains arrivent à se connecter à l’énergie inépuisable de leur dimension quantique (l’infiniment petit, l’intérieur de l’atome, l’ADN, les profondeurs des chakras…). 

On ne se rappelle jamais assez que chacun des atomes de notre corps détient la puissance d’une centrale atomique ! Mais pour capter cette énergie, il faut que nos attaches vers l’intérieur soient plus fortes que nos attaches extérieures. C’est pour cela que nos dirigeants sont amis avec toutes les religions qui nous font chercher ce dont on a besoin à l’extérieur de nous : chercher Dieu dehors, le grand Amour, l’autorité etc…. Donc, la stratégie à adopter pour faire ses choix dans les mondes « matériels de la matrice » et nos « intérêts Divins », vont en général dans le sens exactement opposé. Comme le disait Hermès, « la terre est le miroir du ciel ». Tout y est inversé ! 

Revenons-en aux formes pensées. Ce sont des êtres qui sont créés par les hommes et les femmes sans qu’ils s’en rendent compte. Ce n’est qu’en comprenant bien l’histoire de Terre Gaïa et de ses âmes que vous comprendrez d’où viennent ces forces, pourquoi elles sont là et en quoi elles font à la fois partie du problème et de la solution ! Le monde que ces êtres de l’invisible ont crée est d’une sophistication inouïe. Ils ont notamment créé un faux « monde divin » (l’astral) dans lequel les âmes sont retenues prisonnières dans des cycles de réincarnation sans fin. Ils ont leurs faux dieux, leurs faux saints de toutes les religions patriarcales de la planète (qui sont tous les saints vénérés par les religieux). Quel que soient leur nom ou leur culture, chaque fois qu’un être donne de l’attention à ces soit disant saints, cela nourrit encore un peu plus leur monde. Certains appellent ce monde « la matrice » en référence au film « Matrix » mais aussi en référence à la matrice de la création. On l’appelle le monde de l’ombre notamment car c’est un monde qui ne peut survivre qu’en se cachant. Sa plus grande force réside d’ailleurs en ce que la quasi totalité des humains ne savent pas qu’il existe. Le gouvernement mondial invisible et sa soit disant dette en est le reflet dans la matière. Mais comprenez bien que le gouvernement invisible est théâtre de marionnettes ! Alors si tu fais partie des très rares (tu comprends très rares ?) êtres humains encore vivants sur cette planète, rejoins-nous ! Dans l’invisible ou dans la matière, rejoins-nous ! Mets-toi dans cette Etat d’Esprit, ferme les yeux et parle nous : nous ta famille de Lumière sommes toujours à tes côtés ! 

Revenons-en à leur caractéristique principale : ils ne savent pas comment se connecter à leur énergie intérieure. Il dépend donc de leur survie que de vivre aux crochets des humains, de tout simplement « se nourrir » de l’énergie des humains afin d’en tirer leur énergie de vie. On ne peut pas leur en vouloir, ce ne sont pas les forces du mal pour autant. C’est d’ailleurs la même chose avec les futurs humains qui mangent des animaux et des plantes. On ne peut pas dire qu’ils sont mauvais parce qu’ils sont à une phase de leur évolution où il se nourrissent de plantes et d’animaux ! 

C’est là que réside tout le comique de la blague cosmique que nous vivons. Nous créons et nourrissons nous-mêmes un monde qui nous asservit ensuite ! Mais plus vous comprendrez les subtilités de toute cette histoire, plus vous comprendrez qu’ils sont en fait nos meilleurs amis car ils sont là pour réveiller les guerriers immortels qui sont en nous ! Ce qui est fabuleux avec ces entités, c’est qu’elles s’accrochent à des failles de notre aura, nous montrant ainsi là où il est nécessaire de travailler. Quant à leur complot il est là pour réveiller nos guerriers intérieurs qui sortent souvent lorsqu’ils sont en danger. Donc merci le complot, et merci aux entités de l’ombre d’être si efficaces ! C’est la même chose avec ce complot de la finance qui s’attache à la faille du système qu’est le capitalisme sauvage. Comme la planète est en danger, autant accélérer un processus de répartition des richesses de toute façon injuste ! 

C’est pour cela que si on veut un nouveau monde ou améliorer celuici, c’est aussi par les mondes de l’invisible qu’il faut commencer. 

Et le plus important, c’est de comprendre que ces forces se nourrissent au travers nos désirs de possessions.La majorité des gens sont conditionnés à vouloir posséder ce qu’ils aiment… Et se rattachent à leurs possessions au lieu de se rattacher à l’intérieur d’eux-mêmes, là où ils peuvent se connecter à l’identité de leur Divinité intérieure ainsi qu’à une énergie et à une créativité illimitée ! Nous sommes sur Terre pour apprendre à aimer sans posséder ! Si tu veux posséder, tu te perds dans tes possessions au sens propre et figuré car tu te perds énergétiquement dans l’autre ! Aimer doit nous aider à nous trouver nousmêmes, c’est ça le plus beau des cadeaux que nous pouvons apporter dans cette crise de l’Humanité. Et notre identité nous allons la trouver en aspirant l’énergie de l’infiniment petit, de nos atomes, de notre ADN, et de nos chakras… Mais la grande difficulté que très peu comprennent c’est que pour bien sentir notre identité énergétique, il ne faut pas trop fusionner avec d’autres énergies, et notamment éviter d’avoir des contacts physiques avec des personnes qu’on n’a pas vraiment choisies. Il faut apprendre à aimer sans vouloir absolument fusionner à chaque coup ! Dans les mondes de l’invisible, imaginez deux auras qui se rencontrent. C’est comme deux bulles ovaloïdes. Elles ne se pénètrent pas l’une l’autre sans connaître d’abord les caractéristiques énergétiques de l’être et la plupart du temps elles ne fusionnent pas. Bien sûr, quand elles le choisissent elles fusionnent en ayant bien pris soin d’être sûres que l’autre le désire aussi. Lorsqu’on fait des bises automatiques, parfois, on n’a pas vraiment envie d’avoir ce contact physique, mais on le fait par obligation. Pourtant nos auras s’interpénètrent, et donc il y a échange d’identité énergétique ! C’est bien dans l’absolu, mais lorsque la majorité sont endormis ! 

Si on n’apprend pas le shamanisme à l’école pour une certaine hygiène énergetique, il ne peut y avoir de monde libre, est-ce si difficile à comprendre ? L’apprentissage des mondes invisibles doit être la priorité absolue des scientifiques au service de l’humain. 

Et le vrai shamanisme utilise aussi les plantes n’en déplaise aux français qui sont toujours traumatisés dans leur inconscient collectif par le fait que sur le sol de France durant l’inquisition, on brûlait tous les shamans, druides, sorciers et autres guérisseurs des âmes. Et la plupart de ces êtres étaient des femmes. Ce travail doit se faire en suivant un minimum de règles parmi lesquelles… 
  Règle 1 : ne pas le faire en dehors d’un travail de remise en question profond en amont en aval. 
  Règle 2 : le faire sur le sol où la plante pousse dans l’idéal ou au moins dans un endroit où elle pourrait pousser ! 
  Règle 3 : vous ne pouvez vous faire accompagner que par des êtres qui savent que la plupart des shamans se connectent aux faux mondes Divins, ce qu’ils appellent l’astral. Et pour connaître l’Etat d’Esprit des mondes Divins, c’est l’opposé de nos cultures patriarcales… 

N’oublie pas que malgré les apparences nous nous aimons tous et toutes depuis l’éternité. On va réussir à amener cette Humanité dans son âge d’Or. C’est promis ! La question c’est « veux-tu venir créer sur cette planète un paradis pour tous les êtres vivants ? » Tout ce que tu as à faire c’est lâcher le bord de la piscine… 

A lire de Claude Traks : 
 sur www.claudetraks.com

telechargement-7 dans HUMANITEClaude Traks a aussi écrit 5 autres livres que vous pouvez tous commander sur son site. Si c’est trop cher pour vous, proposez ce que vous pouvez… 
1/ A la Recherche du message des Dauphins 
2/ Les dernières pièces du puzzle ou la mission spirituelle de la France et de l’Europe 
3/ Pour se Libérer de la matrice ou les piège du Nouvel âge 
4/ Les mensonges de la Bible, du Coran et de la Torah ou comment le rôle des femmes a été soigneusement gommé de l’histoire par les religions 
5/ Lettre au président Sarkozy et au nouvel ordre mondial de la part du monde des fées, des anges et des dragons

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, LOI NATURELLE, PENSEE |on 5 août, 2013 |Pas de commentaires »

L’homme et la conscience


Une Mélodie Secrète – titre de votre premier livre – qui a été réglée de façon extrêmement précise pour l’émergence de l’homme, via la Création toute entière ? Et vous débouchez (dans Origines) sur « un univers gros de la vie et de la conscience » ? 

L’homme et la conscience dans DEVELOPPEMENT th

C’est tout l’enjeu du débat autour du « principe anthropique » – du grec anthropos, qui veut dire « homme » — énoncé dès 1974 par Brandon Carter, chercheur anglais, spécialiste des trous noirs, travaillant à l’Observatoire de Meudon. Comme vous le savez, ce principe anthropique possède deux versions, l’une « forte » et l’autre « faible ». Sa version faible, acceptée par tous les chercheurs ou presque, équivaut à énoncer une tautologie : l’univers se trouve avoir exactement les propriétés nécessaires pour que nous existions. Nous, c’est-à-dire une intelligence capable d’appréhender – ne serait-ce que par ses questions – l’univers qui l’a engendrée. Cette version faible est évidente, n’est-ce pas, puisque nous sommes là pour en parler ! Mais il existe aussi une version forte du principe anthropique qui suppose une intention dans la Nature : l’univers est réglé de façon extrêmement précise pour qu’il mène à la vie et à la conscience et afin que surgisse un observateur capable d’apprécier sa beauté et son harmonie. Selon le principe anthropique fort, l’homme reprend la première place dans l’univers – non pas au centre physique de l’univers, mais étant la raison même pour laquelle l’univers a été conçu. Vous vous doutez bien que la version forte du principe anthropique est beaucoup plus controversée que sa version faible. Je trouve pour ma part que le terme « anthropique » est mal choisi, car il sous-entend que l’univers est réglé pour la seule apparition de l’homme. Or, cet anthropomorphisme n’est pas de mise. En fait, l’univers est réglé pour l’émergence de n’importe quelle vie et conscience, qu’elles soient terrestres ou extraterrestres. Bien sûr, jusqu’à ce que nous entrions en contact avec une intelligence d’un autre monde, nous sommes la seule forme d’intelligence consciente que nous connaissions. Un terme plus approprié que « principe anthropique » serait peut-être « principe de complexité », comme l’a suggéré Hubert Reeves.

Saurait-on dire ce qu’est la conscience ?

 
Il n’est pas si difficile de s’entendre sur ce mot. Pour moi, c’est la capacité de recréer en permanence dans son cerveau les mondes intérieur et extérieur, de manipuler les symboles mentaux qui correspondent à ces mondes. Si les autres espèces sur Terre sont capables d’un comportement intuitif très complexe et très sophistiqué – il suffit d’observer un chien qui manifeste sa joie lors du retour de son maître ou l’oiseau qui porte à son nid le ver de terre juste attrapé pour nourrir ses petits –, seuls les humains semblent capables d’assembler et de réassembler à volonté des éléments mentaux dans leur esprit, en suivant des combinaisons originales pour créer du nouveau et de l’inédit. Seuls il se posent des questions comme : « D’où viens-je ? Où vais-je ? Quel est le sens de ma vie ? Que deviendrai-je après ma mort ? » Seuls ils ne se contentent pas de vivre dans l’instant présent, mais se penchent sur le passé et s’interrogent sur le futur. Seuls ils ont le sens de la transcendance et du sacré. On ne verra jamais des chimpanzés, qui partagent pourtant 99,5% du génome humain, écrire leur version d’ A la recherche du temps perdu , composer l’Ode à la joie , peindre les Nymphéas ou écrire des traités de théologie traitant de Dieu et de la vie après la mort. Je ne pense pas que cet arbre dans le jardin se demande quelle est son origine, où il va, quel est son futur, et ce qu’il sera après sa mort. En tout cas, ni les animaux, ni les autres espèces vivantes n’offrent de manifestation évidente d’un tel questionnement.

Lire la suite ici ….. 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ESPRITS, HUMANITE, MAITRISE |on 22 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Transcender l’ego


Chères Âmes,

Sur le parcours d’évolution d’un Être humain, l’ego a pu avoir temporairement sa raison d’être lorsque l’être fut séparé de lui-même. Sans quoi, dans cet univers si parfait, lorsque nous observons la beauté et la perfection de tous les mécanismes de votre corps physique, de tous les circuits de vos corps subtils, pourquoi aurait-t-il été autorisé, pourquoi n’aurait-il pas été rejeté comme une entrave?

Transcender l'ego dans DEVELOPPEMENT images-17Imaginez qu’un Être se  présente dans votre demeure et qu’il cherche, avec peu de délicatesse et peu de subtilité, à diriger votre demeure. Pour celui dont la demeure est en déséquilibre, la présence d’un invité qui s’improvise et s’inscrit comme un dirigeant peut sembler un bienfait. Bien que plusieurs en seraient offusqués, certains auraient l’impression que leur demeure se rééquilibre de cette direction.

Ainsi pour l’Être qui ne s’est pas découvert, qui ne fut pas guidé à reconnaître sa véritable nature, son essence, et qui a de la difficulté à se ressentir comme Un dans le Tout, l’ego semble servir pendant une partie du parcours; il lui permettra de retrouver une sensation de son existence. Imaginez qu’un individu, dans les conditions de vie actuelles sur Terre, soit éduqué selon des structures et des valeurs déjà dépassées. Il serait comme une feuille emportée par les vents, comme une petite branche sur une rivière à débit intense…, projetée dans un sens, projetée dans l’autre. Ne réalisant pas qu’il est un dans le Tout, il se sentirait  comme un pantin secoué par les mouvements, les désirs, les caprices, les expressions de pouvoir des uns et des autres. Il serait manipulé, abandonné dans un mouvement qui le submerge.

L’ego facilite la construction d’un personnage, d’une image de lui, d’un caractère, d’une personnalité qui lui donne une impression d’existence jusqu’à ce qu’il retrouve la sensation qu’il existe uni dans le Tout. L’ego va donc lui permettre de sentir qu’il existe, bien sûr à travers une existence qui n’est pas l’expression de ce qu’il est véritablement et profondément. Cette existence l’entraînera dans des déviations de ce qu’il est et fera en sorte qu’il pourra ressentir une énergie de vie en lui, même si elle est sous-utilisée, mal utilisée ou emprisonnée.  Et l’utilisation de l’énergie de vie en lui, contrôlée par son ego, fera rejaillir des signaux, des malaises, un mal-être lui indiquant progressivement qu’il s’égare, dans la foule d’égarés. Et un jour, il retrouvera un peu plus de sensations véritables de lui-même et vivra progressivement une ouverture de conscience. Et ainsi, plus conscient de ce qu’il est au niveau de sa source et de son expression, il ressent davantage l’impact et l’ampleur de ce que l’ego a créé et détruit en lui et autour de lui.

En d’autres termes, si l’ego sert l’Être temporairement pour ne pas qu’il soit abandonné dans sa voie d’évolution, il devient rapidement un obstacle. Lorsque, par exemple, un enfant, mû par une pulsion de vie, cherche à se lever et à marcher, vous tendez amoureusement la vie… La vie qui vibre dans votre cœur lui est offerte. Et cette vie est si vibrante que de tout votre Être, il en ressent l’amour. Et puis physiquement, vous lui tendez aussi la main.  Vous l’aidez à se lever, vous l’aidez à marcher. Pourtant il n’a pas besoin réellement de votre main. L’enfant, naturellement, pourrait se lever. Il prendra appui sur une pierre, sur un arbre, sur une table, sur votre jambe… Il se lèvera. Et lorsqu’il commencera à marcher, il trébuchera, se fera quelques ecchymoses et il retrouvera son équilibre. Il n’a pas besoin de vous physiquement. Votre présence amoureuse, votre exemple d’un Être qui marche allègrement l’inspire, nourrit sa pulsion et il peut se lever. Toutefois, vous pouvez bien lui tendre la main, si cela évite certaines douleurs, si cela fait en sorte que sa chute soit moins souffrante. Et puis, il retrouve plus facilement un équilibre, il retrouve une confiance, une sécurité. Il sait fort bien que ce n’est pas votre main qui lui permet de marcher. Bien sûr, si vous tendez les deux mains et si vous le portez en le suivant partout, dans sa marche, il a plus de difficulté à constater qu’il existe. Il a l’impression que vous marchez et que vous le portez. Quel sera son véritable apprentissage? Il est totalement sous l’emprise de celui qui lui donne l’impression de marcher. Et l’enfant, au plus profond de lui, sait alors qu’il ne marche pas vraiment. C’est une illusion totale. Tôt ou tard, toutefois, la force de vie de l’enfant fera en sorte qu’il se retournera, regardera celui qui le porte en lui disant qu’il veut un peu plus de liberté.

Imaginez que vous vous maintenez la main d’un enfant dont la marche est progressivement de plus en plus équilibrée. Il a maintenant six ou sept ans et vous avez toujours sa main dans la vôtre. Il a cinquante ans, soixante ans et vous avez toujours sa main dans la vôtre… Il aurait l’impression qu’il n’existe que par vous. Cela ne ferait  pas sens.

Il en est de même pour l’ego. Vous n’avez pas besoin de lui. Toutefois, l’ego a permis à certains  de sauver leur peau, de survivre, à cause des circonstances qui prévalaient sur cette Terre. Bien sûr, dans une humanité de paix, d’amour, de joie, de stimulation, où les Êtres sont tous conscients, accueillent et guident les Êtres et se guident mutuellement, l’ego n’a pas sa place.

Lorsqu’un dictateur, dans une contrée, a usurpé le pouvoir dans une période d’anarchie, très souvent, le peuple s’en est senti fort sécurisé au début. Il instaure des structures, il met apparemment de l’ordre, il semble bien aligné. Les individus l’écoutent et ont l’impression qu’il y a enfin une voie plus claire, que la contrée progresse économiquement, politiquement et socialement. Les Êtres s’en sentent plus en équilibre, protégés et ils ont l’impression qu’enfin ils peuvent exister. Jusqu’à un jour où ils constatent qu’ils ont pu certes se lever, ils ont pu marcher, il y a eu de l’ordre, mais que toutes ces structures sont répressives, abusives et emprisonnantes. On a mis de l’ordre dans la prison. Alors, ils réclament de sortir de prison. C’est merveilleux! Les peuples de la Terre se réveillent, réclament que les dictateurs puissent quitter.

Pourrons-nous faire un parallèle entre le dictateur et l’ego? Est-il possible que l’ego vous ait permis de faire un peu d’ordre, de vous sécuriser, de vous affirmer? Il a fait en sorte qu’il y ait moins d’anarchie à l’intérieur de vous, créant une sensation de centration. Mais pourtant, voulant s’épanouir davantage, il ressent la présence d’une oppression maintenant. L’Être a grandi. Lorsqu’il était un enfant naissant, son terrain de jeu de deux mètres carrés lui semblait être un univers infini… Lorsque ses soixante-quinze kilos le font bien vibrer, ces deux mètres carrés lui semblent bien étroits…

Qu’il s’agisse d’une contrée prise en charge par un dictateur, ou qu’il s’agisse de l’emprise de l’ego il en va de même.

Le moment est venu maintenant où les peuples de la Terre s’unissent dans la fraternité et les dictateurs cèdent leur place. De plus en plus de présences subtiles, des Êtres de lumière, des Êtres de d’autres plans de conscience, des frères  des étoiles se présentent dans le champ magnétique de la Terre pour favoriser l’ouverture  des hommes à d’autres dimensions. Simultanément les hommes  de la  Terre se réveillent ; constatant qu’ils furent emprisonnés ils ouvrent leur cœur et leur conscience et deviennent progressivement disponibles à une autre réalité. Et à ce moment, d’autres formes de vie se présentent dans la matrice planétaire et créent des portes multidimensionnelles. Ce ne sont pas non pas uniquement des concepts et des symboles, mais voilà votre réalité d’aujourd’hui et de demain.

Et vous, observateur de ces peuples qui veulent se libérer de leurs dictateurs, de plus en plus observateur et conscient des portes vibratoires qui se créent sur Terre et dans l’atmosphère terrestre, nous vous invitons à aussi faire le choix de vous libérer de l’ego. Souvent, durant la dernière décennie, nous vous avons proposé de reconnaître vos beautés intérieures, vos qualités, votre essence. Vous connaissez notre message, l’éclairage que nous formulons, tout comme les peuples oppressés ont reçu aussi plusieurs messages de l’importance de la liberté en provenance de peuples plus libres. Et comme les peuples oppressés qui se réveillent et ressentent davantage les effets de l’oppression, de plus en plus, vous sentirez l’oppression de vos prisons, de vos egos.

À cette étape de l’évolution de la Terre et des Êtres humains, un grand rendez-vous de réveil, à plusieurs niveaux, est proposé. La période n’est plus celle du regard sur soi pour constater ses blessures, ses souffrances, ses désirs, les exigences des Êtres autour de soi. La période n’est plus à apprendre qu’il y a un ego, un personnage qui contrôle, un submergement émotionnel, mental, de croyance. Vous constaterez l’ampleur du paradoxe que nous vous présentons. La période est à un renouveau créateur, une ouverture vers une réalité beaucoup plus ample. Vous constaterez autour de vous jusqu’à quel point les Êtres sont maintenant plus disponibles à  reconnaître qu’ils sont leurs propres saboteurs. Nous vous disions auparavant de regarder les aspects de vous qui sont des entraves, un personnage… les autres Êtres n’étant que des acteurs… Nous vous disons maintenant que libérés du personnage, vous retrouvez et intensifiez toutes vos facultés d’aimer et de créer.

Chères Âmes nous vous entretenons d’une nouvelle ouverture sur l’univers qui se crée actuellement et malgré que la majorité des Êtres humains en soit inconscients, ils le ressentent. Ils le ressentent et veulent s’unir à eux-mêmes et aux autres.

Alors, au-delà de tout jugement, il faille simplement constater que, sur la Terre, maintenant, pour la majorité des Êtres humains, le mouvement de réveil a débuté. Pour plusieurs il s’agit d’un éveil. Vous qui avez choisi d’aller vers la réalisation de l’Être de lumière que vous êtes, accélérez le pas d’émergence de l’ego d’une part, et surtout, reconnaissez-vous comme une véritable offrande à la vie. Vous êtes les Maîtres de lumière incarnés.

Accueillez notre amour

Les Énergies du Maître Saint-Germain 
Par Pierre Lessard 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, POUVOIR |on 22 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Humain si petit !

Le big-bang est invisible, on n’a encore jamais vu la naissance d’une étoile ou d’une galaxie, mais la théorie reste confirmée ? 

Humain si petit ! dans HUMANITE b3

Le fait que nous ne puissions pas observer directement l’univers avec des télescopes entre le moment de l’explosion primordiale et la 380 000e année à cause de son opacité ne veut pas dire que nous n’avons aucun moyen expérimental pour explorer cette période. L’univers, à ses débuts, n’est en effet pas autre chose qu’un immense accélérateur de particules élémentaires, avec des électrons, des protons, des photons, des neutrinos, et d’autres particules encore et leurs anti-particules. Celles-ci allaient et venaient dans tous les sens, s’entrechoquant dans des collisions violentes. C’était un univers à très haute énergie, très chaud, très petit et très dense. Nous pouvons reproduire certaines de ces hautes énergies en construisant de grands accélérateurs de particules sur Terre. Ceux-ci prennent donc le relais des grands télescopes pour nous permettre de remonter à des temps plus tôt que la 380 000e année. Le plus grand accélérateur qui existe actuellement est le LHC (Large Hadron Collider, ou Grand collisionneur de protons) au CERN (Centre Européen de la Recherche Nucléaire) à Genève. Il va entrer en opération en l’an 2008 et permettre de remonter le temps jusqu’à un milliardième de seconde après le big-bang et de tester la théorie du big-bang et certaines théories de particules élémentaires, comme la théorie des cordes selon laquelle les particules élémentaires ne sont pas des points, mais des vibrations de bouts de corde infinitésimalement petits (de 10-33 cm). L’observation en direct des premières étoiles et galaxies pendant la prochaine décennie permettra de tester la théorie du big-bang encore plus loin. Mais en attendant, comme je vous l’ai dit, cette théorie a passé triomphalement bien de tests observationnels, que ce soit la distribution en énergie du rayonnement fossile ou la composition chimique des corps stellaires.

Qu’en est-il – détail énorme non sans rapport avec notre propos – de cette « masse noire » qui échappe à toute observation ou détection, tout en constituant, en théorie, plus des trois quarts de notre univers ? 

La « masse noire » découverte par l’astronome suisse-américain Fritz Zwicky en 1933 constitue en effet l’un des plus grands mystères de l’astrophysique contemporaine. A cela est venu s’ajouter le mystère de l’ « énergie noire » découverte en 1998, qui fait que l’expansion de l’univers, au lieu de décélérer est en accélération. Ainsi, nous vivons dans un univers-iceberg dont la partie émergée est minuscule. En effet, la partie visible de l’univers, les étoiles et les galaxies qui brillent, ne constituent qu’une partie infime (0,5%) du contenu total en masse et énergie de l’univers. Ces étoiles et galaxies sont faites de matière ordinaire (protons, neutrons, électrons désignés sous le nom générique de « baryons ») comme vous et moi. Mais en mesurant les mouvements du gaz d’hydrogène et des étoiles dans les galaxies et ceux des galaxies dans les amas de galaxies, les astrophysiciens se sont aperçus qu’il existe une grande quantité de « matière noire » qui ne brille pas, et qui manifeste sa présence principalement par les effets gravitationnels qu’elle exerce. Sans la présence de cette matière noire, les galaxies et les amas de galaxies se seraient désintégrés et auraient disparu en quelques centaines de millions d’années. Or ils sont toujours là. Il faut donc la présence d’une masse noire dont la gravité retienne le gaz et les étoiles dans les galaxies, et les galaxies dans les amas de galaxies. On sait que la matière noire constitue un total de 26,5% du contenu total en matière et énergie de l’univers. Sur ces 26,5%, seulement 4% sont composés de matière baryonique ordinaire, probablement sous la forme de nuages de gaz chaud dans les amas de galaxies et de gaz froid dans l’espace intergalactique. Qu’en est-il des 22,5% restants ? On pense qu’ils sont constitués de matière non pas ordinaire mais « exotique ». Certains astrophysiciens pensent que cette matière exotique se présente sous la forme de particules subatomiques massives nées dans les premières fractions de seconde du Big Bang et interagissant très faiblement avec la matière ordinaire et pas du tout avec la lumière. La matière lumineuse (0,5%) et noire (26,5%) contribue donc un grand total de 27%, soit à peu plus du quart du contenu de l’univers. Notre recensement de celui-ci est-il complet ? Assurément non, car en 1998 les astronomes furent tout ébahis de découvrir que le mouvement de fuite des galaxies aujourd’hui, au lieu de décélérer, ralenti par la force de gravité attractive du contenu matériel de l’univers comme on s’y attendait, s’accélère au contraire. Ils ont été contraints et forcés d’admettre qu’il existe dans l’univers une mystérieuse force « anti-gravité » répulsive qui s’oppose à la gravité. Les observations montrent que l’univers a bien été en décélération, mais seulement pendant les sept premiers milliards d’années de son existence. A partir de la sept milliardième année, il y a 6,7 milliards d’années, la force anti-gravité a pris le dessus sur la force de gravité et a provoqué l’accélération du mouvement d’expansion de l’univers. Le mouvement d’expansion de l’univers est donc analogue à celui de votre voiture quand vous vous arrêtez à un feu rouge. Vous appuyez sur votre frein pour décélérer et stopper la voiture au feu. Quand le feu repasse au vert, vous appuyez sur l’accélérateur afin de repartir. Comme pour l’univers, le mouvement de décélération a été suivi par un mouvement d’accélération. Les astrophysiciens pensent que la force anti-gravité responsable de l’accélération de l’univers est liée à la densité d’énergie du vide quantique qui existait dans les tout premiers instants de l’univers. Faute de plus d’informations, ils ont baptisé cette mystérieuse énergie « énergie noire ». Les mesures du taux d’accélération de l’univers nous disent que l’énergie noire contribue 73% du contenu de l’univers. Et les dernières mesures du contenu total en énergie et masse de l’univers ajoutent que nous vivons dans un univers de courbure nulle (on appelle cela un univers « plat »), avecune expansion éternelle qui ne s’arrêtera qu’après un temps infini ! 

Ainsi, non seulement la matière lumineuse dans les étoiles et les galaxies ne constitue qu’un insignifiant 0,5% du contenu en masse et énergie de l’univers, non seulement la matière dont nous sommes faits (protons, neutrons, électrons) n’en constitue qu’un minuscule 4%, non seulement il existe environ 6,5 fois plus de matière noire exotique (23%) que de matière noire ordinaire (3,5%), mais la majeure partie du contenu de l’univers (73%) est formée d’une mystérieuse énergie noire dont l’origine nous échappe totalement ! Le fantôme de Copernic à continué à sévir de façon implacable ! Depuis que le chanoine polonais a délogé la Terre de sa place centrale dans l’univers en 1543, l’homme n’a cessé de se rapetisser au sein de l’univers, à la fois dans l’espace et dans le temps. Notre astre, le Soleil, est devenu une simple étoile de banlieue parmi les centaines de milliards qui composent la Voie lactée. Celle-ci s’est perdue à son tour parmi les centaines de milliards de galaxies qui peuplent l’univers observable. Mais l’ego humain n’a pas fini de prendre des coups ! Désormais, l’homme sait qu’il n’est pas fait de la même matière que la plus grande partie de l’univers et que, si protons, neutrons et autres électrons n’étaient pas venus au monde, cela aurait à peine perturbé le contenu en masse et énergie de l’univers. Et pourtant, le miracle, si j’ose dire, est que malgré sa place insignifiante dans l’univers, l’homme est là pour se demander des questions sur le cosmos qui l’a engendré !

En quel sens ? 
Ne peut-on considérer comme quelque peu miraculeuse cette majestueuse structure cosmique dont témoigne l’univers, riche aussi de désordre, de chaos, d’incertitude; mais si parfaitement réglée qu’elle a donné naissance à la conscience ?

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Publié dans:HUMANITE, PLANETES, SOCIETE |on 21 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Humanité reconstruction

Les Grecs s’expliquaient-ils un début, une origine ? 

Humanité reconstruction dans HUMANITE feuillePlaton a durablement inscrit dans la pensée occidentale la vision selon laquelle il existe un monde idéal, un monde des Idées, dont tout découle et où résident les dieux. Selon son célèbre mythe de la caverne, nous vivons dans une représentation de ce monde des Idées, comme dans une caverne, et nous en percevons qu’un bien pâle reflet. Tout ce que nous pouvons voir, ce sont les ombres projetées par les objets et les êtres vivants du monde extérieur sur les parois de la caverne. Mais le monde pur, celui des Idées, est en dehors, là où règne un monde vibrant de lumière, de couleurs et de formes. Le concept d’un dieu créateur qui impose des lois physiques réglant l’univers s’impose avec Kepler et Newton au XVIIe siècle. Newton unifie la Terre et le ciel : la gravitation universelle dicte aussi bien le mouvement de chute d’une pomme dans un verger que le mouvement de la Lune autour de la Terre. L’univers newtonien était mécanique. Il fonctionnait comme une horloge à ressort qu’on remontait. Après avoir créé l’univers, Dieu n’avait plus qu’à remonter son « ressort » à son début pour qu’il fonctionnât de lui-même par la suite en suivant les lois de la gravitation universelle. Dieu s’éloigna de plus en plus. Il assistait de loin à l’évolution de l’univers et n’intervenait plus dans les affaires humaines. À tel point que, à la charnière des XVIII et XIX° siècles, quand le physicien Pierre Simon de Laplace présente une copie de sa Mécanique céleste à Napoléon, il peut franchir le dernier pas. Alors que l’Empereur lui reproche de n’avoir pas mentionné le Grand Architecte responsable de cette formidable machine bien huilée qu’était la Nature, Laplace répond : « Sire, je n’ai pas besoin d’une telle hypothèse ! » C’est le triomphe de la raison mécaniste et déterministe. L’homme doué de raison pouvait tout faire. L’idée du progrès fit son apparition. L’homme pouvait domestiquer la nature à son profit. Il pouvait non seulement continuellement s’améliorer et se perfectionner, mais aussi parfaire les institutions sociales et politiques. La fin du XVIIIe siècle vit non seulement la révolution industrielle, mais aussi la révolution américaine en 1776 et la révolution française en 1789. La raison humaine était capable à elle seule de découvrir une nouvelle planète. Ainsi, en 1846, c’est par le seul calcul –en appliquant les lois de Newton – que l’astronome français Urbain Le Verrier et, indépendamment, l’astronome britannique John Adams, « découvrent » la planète Neptune, à partir des perturbations de l’orbite d’Uranus. L’observation avec un télescope ne viendra que par la suite pour confirmer le calcul.

Succès final de la démarche, pourrait-on dire : l’explication des origines par la théorie du big-bang. Est-ce le dernier mythe ? L’hypothèse la plus forte ? 

C’est la théorie qui rend le mieux compte des observations actuelles. Bien sûr, la science ne fonctionnant pas comme une religion, cette théorie n’est pas immuable. La science ne reposant pas sur des dogmes, des faits nouveaux peuvent survenir à chaque instant pour contredire la théorie existante et la remettre en question. Mais pour la théorie du big-bang, cela n’a pas été le cas. Au contraire ! Depuis son acceptation par la majorité des astrophysiciens après la découverte du rayonnement fossile, c’est-à-dire la chaleur qui reste de la création, en 1965, les astronomes se sont mis à tester avec acharnement la théorie du big-bang dans ses moindres aspects et ses plus petits recoins. Elle a vécu dangereusement pendant les quatre dernières décennies, car à tout moment des observations auraient pu venir l’infirmer et l’expédier au cimetière des théories mortes. Les astronomes auraient pu constater que la distribution en énergie des photons de ce rayonnement fossile n’était pas conforme à celle d’un univers doté d’un passé chaud et dense. Ils auraient pu trouver que le rayonnement fossile était si uniforme que ça le rendait incompatible avec les fluctuations de densité nécessaires pour donner naissance aux galaxies (ces fluctuations servent de semences de galaxies). Ils auraient pu découvrir une étoile pourvue d’une quantité d’hélium tellement inférieure aux 25% prédits par la théorie du big-bang que cela aurait porté à celle-ci un coup fatal. Nous pourrions multiplier à l’envi les exemples de découvertes qui auraient pu détruire la théorie du big-bang. Or rien de tout cela n’est advenu. Les observations les plus récentes ont renforcé la théorie, bien plus qu’elles ne l’ont infirmée. Si un jour une théorie plus sophistiquée venait à la supplanter, il lui faudrait incorporer tous les acquis de la théorie du big-bang, tout comme la physique einsteinienne a dû incorporer tous ceux de la physique newtonienne.

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Publié dans:HUMANITE |on 20 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Un descendant de mandarins interroge le cosmos

 Un descendant de mandarins interroge le cosmos dans HUMANITE 11-petitGrandi dans la tradition vietnamienne, puis dans la culture française, devenu astrophysicien américain et professeur à l’université de Virginie, Trinh Xuan Thuan a coutume d’exprimer dans ses livres une quadruple préoccupation, scientifique et poétique, philosophique et mystique. Son dernier-né, Le Cosmos et le lotus (Albin Michel), est best-seller en librairie. Comme d’habitude ! Dans l’ouvrage collectif , paru dans la collection des Entretiens Clés (Albin Michel et Livre de Poche), c’est lui qui entre en lice le premier, défendant la théorie controversée du « Principe anthropique fort », avant de subir le feu roulant des critiques de cinq autres scientifiques : Ilya Prigogine, Albert Jacquard, Joël de Rosnay, Jean-Marie Pelt et Henri Atlan. Que dit cette théorie ? L’entretien suivant, tiré de cet ouvrage collectif, la présente avec précision. Résumée en une phrase, elle dit ceci : « S’il n’existe qu’un seul univers, le nôtre, un principe créateur a forcément dû en régler les paramètres dès le début, pour qu’apparaissent la vie et la conscience » En tant que bouddhiste et en tant qu’astrophysicien confronté constamment à des notions de temps et d’espace, Trinh Xuan Thuan s’était souvent demandé si la réalité vue par un scientifique moderne coïncidait avec la vue de Bouddha quand celui-ci atteignit l’Éveil. Il n’était pas vraiment sûr que la question ait du sens, l’objet de la science étant le monde extérieur tandis que le bouddhisme, évidemment, regarde à l’intérieur. La science utilise l’intellect et la raison, se disait le chercheur, elle catégorise, analyse, compare, mesure, sa méthode expérimentale est basée sur l’observation ; ses connaissances dérivent de l’expérience à travers des appareils de mesure, ce ne sont pas des pensées métaphysiques. Tandis que le bouddhisme utilise la contemplation et l’intuition, qui font naître de telles pensées. La science, elle, utilise un langage autrement formalisé, le langage mathématique. Mais n’est-il pas surprenant que des entités complètement abstraites, sortant de notre esprit, puissent décrire la nature avec tant d’acuité ?

Clés : Notre question de départ est toute simple, presque enfantine : le monde s’est-il créé tout seul ? 
Trinh Xuan Thuan : De quel monde parlez-vous ?

L’univers : le monde matériel, des planètes jusqu’à nous, tout ce qui existe –du moins, ce que nous en connaissons. 
Savez-vous combien cette connaissance est volatile ? Elle a constamment évolué en fonction du temps.

Je suppose en effet que chaque culture répondrait différemment à ma question. C’est précisément pourquoi je voudrais, avant de lancer le débat sur le terrain de la science, questionner votre point de vue. Il est spécifique : vous êtes nourri de plusieurs sources – Orient et Occident d’une part, science et philosophie de l’autre – et vous vous efforcez de les faire dialoguer, ce dont témoignent vos nombreux livres. Dans Origines, par exemple, parmi d’extraordinaires photographies de planètes, d’étoiles ou de galaxies, vous passez en revue les mythes portant sur la création du monde, et vous les confrontez à nos connaissances actuelles. Si donc je demande : « L’univers s’est-il créé tout seul ? », vous êtes sans doute particulièrement conscient de la diversité des réponses ? 

Je suis avant tout frappé par l’universalité de la question ! Depuis l’aube de l’humanité, elle n’a cessé d’être posée, et cela à toutes les époques et dans toutes les cultures. À mon sens, elle est même ce qui nous définit comme humains : elle montre que nos préoccupations dépassent la simple survie, elle fait appel à « quelque chose de plus ». Toutes les civilisations ont cette recherche en commun. Les alignements de Stonehenge, les peintures rupestres des grottes de Lascaux et de Chauvet, les statues polynésiennes de l’Ile de Pâques, la cité inca de Machu Pichu ou le complexe religieux khmer d’Angkor, tous les vestiges du passé le plus lointain nous offrent les manifestations d’une quête de la transcendance.

Et ainsi se dessine une histoire des origines ? 

Au départ, la vision humaine de l’univers était surtout animiste. L’homme prêtait une âme et une vie aux arbres, aux animaux, à toute la nature. Nos ancêtres évoluaient dans un univers magique, animé de toutes sortes d’esprits. L’univers était illuminé pendant le jour par l’esprit Soleil et pendant la nuit par l’esprit Lune. Le tonnerre qui gronde, l’arc-en-ciel qui apparaît après une averse, la rivière qui monte, la pluie qui tombe, chacun de ces événements naturels était la manifestation d’un esprit. Si vous butiez contre une pierre, vous vous excusiez à l’esprit pierre ! Tout était familier, à la mesure de l’homme. Il y a quelque trente mille ans, les êtres qui ont peint des bisons, des rennes et des chevaux dans les grottes de Lascaux et de Chauvet, se sentaient familiers et fraternels avec eux. Une nature tout entière « spirituelle » leur servait de modèle. Avaient-ils une idée quant à son origine ? Les anthropologues ont montré que chez certains peuples animistes, elle pouvait être conçue comme relevant d’un « grand esprit », tantôt masculin, tantôt féminin, tantôt les deux. 

De cette vue animiste et magique, l’homme est ensuite passé à une pensée mythique il y a quelque dix mille ans. Les éléments naturels se sont transformés en dieux, tout en acquérant des pouvoirs surhumains. Dès lors, on ne pouvait plus leur parler familièrement. Pour communiquer avec eux, il fallait avoir recours à des intermédiaires spéciaux, des prêtres – qui gagnèrent par leur fonction un grand pouvoir. Ce furent d’abord des astrologues qui lisaient dans les événements naturels le destin des hommes. Observant le ciel, ils firent de la lune et du soleil des dieux, et expliquèrent l’univers par des mythes. Pour les Égyptiens, par exemple, le ciel était le corps de la belle déesse Nout, dont les bijoux formaient les étoiles. Le dieu soleil Rê traversait son corps pendant le jour, pour revenir la nuit sur ses pas à travers les eaux souterraines dans les entrailles de la Terre. Ainsi se trouvait expliquée l’alternance du jour et de la nuit. Dans l’univers mythique, tout phénomène naturel, la création de l’univers incluse, était la conséquence des actions des dieux, de leurs amours et de leurs accouplements, de leurs haines et de leurs guerres. L’alliance entre l’homme et la nature fut rompue. L’homme se mit à adorer les dieux, mais perdit le contact intime et familier avec son environnement. Les dieux de l’univers mythique créent le monde, contrôlent tout et s’éloignent de l’homme. Eux seuls ont accès à la connaissance.

Cette vision a duré jusqu’au VI° siècle avant notre ère, quand, le long de la côte de l’Asie Mineure, en Ionie, survient le « miracle grec ». En plein milieu de l’univers mythique, les Grecs ont l’intuition extraordinaire que les phénomènes naturels peuvent être compris sans s’abandonner aveuglément à l’action des dieux. Les composantes du monde sont régies par des lois qui peuvent être appréhendées par la raison humaine. Puisque les dieux imposent ces règles et que la nature les suit, l’idée que l’harmonie du monde ne peut être perçue qu’à travers les mesures et les observations des mouvements célestes s’impose. Seule l’observation de la nature peut en livrer les clés. Les Grecs ont entrepris de les chercher. Toute la science moderne occidentale est née de cette quête.

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Publié dans:HUMANITE, LOI NATURELLE, REINCARNATION |on 19 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Que nous apprennent les animaux sur l’homme ?

Que nous apprennent les animaux sur l'homme ? dans ANIMAUX animee1

Rien de direct. L’histoire animale n’est pas l’histoire humaine. Contrairement à une idée reçue, les hommes ne se comportent jamais comme des animaux. Notre culture est trop riche pour cela. Aucun homme violent et violeur ne pourra jamais être comparé à un singe en rut. Pourquoi ? Parce que, même chez l’homme le plus brutal, la sexualité est encore entièrement relayée par le langage qui fait qu’entre son corps et le corps de l’autre s’interposent des mots, des fantasmes. D’autre part le langage articulé ouvre une capacité étrangère à l’animal : celle de changer nos structures sociales. Les animaux ont une culture qu’ils peuvent même transmettre, mais « aucune culture primate ne pourra jamais fomenter une nuit du 4 août 1789 », comme s’amuse à dire Maurice Godelier, anthropologue opposé à la naturalisation de l’esprit.

La différence entre l’animal et l’homme n’est-elle pas surtout que nous savons que nous allons mourir ?

J’aime cette phrase du poète juif autrichien Erich Fried : « Un chien qui meurt et qui sait qu’il meurt comme un chien, et qui peut dire qu’il sait qu’il meurt comme un chien est un homme. » Nous appartenons à la nature, mais nous nous en émancipons et savons la regarder du dehors. Certains animaux s’en détachent aussi… mais dans des proportions infiniment moindres, de façon qualitativement différente. Il faut être continuiste, mais il faut aussi réserver son moment et sa place à l’émergence.

Le philosophe Patrick Tort rappelle que Darwin avait défini l’homme par cette caractéristique étrange: la sélection naturelle l’a favorisé parce qu’il a su intelligemment lui résister, en secourant ses congénères les plus faibles.

Oui, c’est ce qu’il appelle l’« effet réversif ». Je trouve cette idée passionnante. Mais insuffisante. Je ne peux pas ancrer le sens moral dans une simple empathie naturelle. Il manque l’essentiel, à savoir que, dans l’homme, il y a du tragique. Pas seulement parce qu’il sait qu’il lui faut mourir. Le tragique, dit le philosophe Lyotard, c’est que « nous sommes nés à notre insu » : quand s’éveille notre conscience d’être vivant, tout est joué, il est trop tard. Or, ce tragique, il faut à tout prix et paradoxalement le protéger : sans lui, nous cesserions d’être humain – c’est pourquoi la psychanalyse m’intéresse…

Vous faites souvent le parallèle entre la Shoah et les élevages industriels, qui seraient des sortes de camp d’extermination pour animaux.

Découvrir à 18 ans que ma mère était juive (elle-même n’en parlait jamais, et le jour où elle a décidé de le faire, elle est morte) et que cinq personne de ma famille proche avaient été assassinés à Auschwitz fut un choc qui a marqué ma vie, y compris ma réflexion sur les animaux. J’ai eu très vite l’intuition d’un lien entre la « Solution finale » des nazis et l’industrialisation de l’élevage et de l’abattage. J’en ai parlé la première fois en 1998, dans «Le Silence des bêtes » (Fayard). Les anti-animalistes comme Luc Ferry vous diront que les nazis avaient édicté des lois de protection des animaux – c’est faux – et que celui qui aime les bêtes n’aime pas les hommes – ce qui est loin d’être toujours vrai. Pensez à Albert Schweitzer. Le vrai drame se joue ailleurs : c’est la « rupture du contrat domestique », comme l’appelle la philosophe Catherine Larrère. Avec son mari, Raphaël Larrère, directeur de recherche à l’INRA, elle a écrit des pages fondamentales, qui montrent que nos ancêtres, même les plus récents, avaient passé un contrat avec les animaux qu’ils domestiquaient. Un échange de services et de signes, une familiarité que ceux qui ont grandi dans une ferme artisanale ont pu connaître : une forme d’humanisation des animaux et d’animalisation des humains, avec des liens affectifs très forts. 
Ce contrat a été rompu avec une violence inouïe au XX° siècle. Le prix Nobel de médecine Alfred Kastler s’en indignait déjà il y a 30 ans, dans «Le Grand massacre » (Fayard, 1981). Toute la monstruosité de la vision cartésienne faisant de l’animal une machine s’est trouvée soudain incarnée dans des industries d’une cruauté inimaginable. Jamais aucune société humaine n’avait ainsi traité des êtres vivants. Avez-vous lu « Faut-il manger les animaux ? » (L’Olivier, 2011) ? Pendant deux ans, Jonathan Safran Foer a enquêté sur les filières de la viande industrielle. C’est terrifiant. Et de surcroît, on nous fait manger des choses « fabriquées » de manière inquiétante.

Que faire ? Devenir végétarien ?

Il est urgent que nous passions un nouveau contrat avec l’animal domestique. Non pas revenir en arrière, mais repensernos rapports aux bêtes et de tout faire pour démanteler ces industries qui font honte. Cela n’est certes pas évident, puisque c’est tout un pan de l’alimentation planétaire qui est concerné. A défaut de devenir végétarien – ce qui serait l’idéal –, apprendre à manger beaucoup moins de viande serait déjà un progrès.

Moins de viande, mais meilleure, car provenant d’animaux ayant vécu plus naturellement ?

Les médecins s’accordent à dire que l’abus de viande est catastrophique pour la santé. Il l’est aussi pour l’environnement, la filière carnée accélérant la déforestation, la transformation des cultures en herbages et la production de gaz à effet de serre. Que la viande redevienne un luxe permettrait aussi à certains pays de relancer les cultures vivrières qu’ils ont abandonnées au profit du soja ou du maïs destinés aux bovins.

Source http://www.cles.com/

Publié dans:ANIMAUX, HUMANITE |on 16 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Le symbolisme des animaux

Barbara Hannah – Postface
d’Élisabeth de Fontenay

Le symbolisme des animaux dans ANIMAUX animauxCet ouvrage prend sa source dans plusieurs séries de cours sur le symbolisme des animaux, données par Barbara Hannah à l’Institut C.G. Jung de Zurich, entre 1950 et 1960. 

David Eldred, éditeur en langue anglaise, donne le ton : « Assister aux cours de Barbara Hannah relevait du pur plaisir. Il suffisait de bien s’installer, de goûter à la présentation et au développement du sujet et de se laisser stimuler par sa chaleur, son sens dramatique et son humour, son ironie. On n’avait aucune peine à suivre ses cours du début à la fin, et l’on n’avait pas besoin de laisser vagabonder son esprit.

Elle connaissait parfaitement bien son sujet, ajoutait spontanément des réflexions et des anecdotes, et improvisait librement. Elle n’était pas du genre à être impressionnée par la prolixité et l’érudition et avait le don de rendre la psychologie analytique vivante, pour les savants comme pour les nouveaux venus qui abordaient la pensée junguienne. »

Monique et Michel Bacchetta précisent dans l’avant-propos : « C.G. Jung lui-même s’est très souvent penché sur le symbolisme des animaux, et Barbara Hannah s’appuie également sur les écrits de Jung et des alchimistes pour tenter d’éclairer, à l’aide de la chatte ou du cheval, du taureau ou du lion, des mouvements d’humeur ou des états d’esprit mystérieux, des passions comme des paresses, des aspirations créatrices ou des profondes détresses. Ce que nous vivons, qui nous habite, plonge des racines dans les profondeurs de l’inconscient. Grâce à la présence d’animaux secourables ou redoutables, le dynamisme qui est à l’œuvre en nous trouve à s’exprimer, il s’apprivoise, son langage se déchiffre, et un dialogue s’instaure, comme si un lien de plus en plus étroit parvenait à se forger entre le conscient et l’inconscient, comme si une complicité se créait, une connivence. »

Quelques extraits
Page 34 : « Je ne crois pas que ce soit aller trop loin que de dire que la véritable raison d’être si attentifs aux animaux de nos rêves et de nos imaginations actives est qu’ils représentent des formes de vie restées en contact avec une forme de savoir absolu. Les «animaux» dans nos rêves et nos imaginations actives sont ceux-là mêmes qui peuvent nous conduire à cette source de vie naturelle. »

Page 95 : « La question de savoir si l’inconscient nous accepte est donc une vraie question. Il n’y a rien que nous puissions faire dans le processus d’individuation, ou dans le problème de la fonction inférieure, à moins que l’inconscient ne soit d’accord. S’il le ne veut pas, il ne nous enverra ni rêves ni aide instinctive. » 

Page 171/172 : « Sauf si l’on a affaire à des situations très rationnelles et sophistiquées, nous ne pouvons pas faire grand-chose sans l’aide de nos instincts, et l’un des symptômes les plus menaçants aujourd’hui est l’énorme fossé qui s’est creusé entre eux et nous. Nous pourrions aller jusqu’à dire sans exagérer que la condition sine qua non de la survie de notre civilisation est de renforcer consciemment nos liens avec nos instincts et notre nature intérieure. »

Page 238 : « Jung a fait remarquer un jour dans un séminaire que, dans toute analyse profonde, l’heure vient, si brève soit-elle, où l’importance du moi ne compte tout simplement plus et s’efface devant une expérience fondée sur l’éternel. Si vous pouvez en faire l’expérience, vous vous sentez alors mieux enraciné et plus sûr de vous ; si vous faites vraiment l’expérience de l’éternel un bref instant, alors ce qui arrive à votre moi extérieur, transitoire et changeant, perd toute son importance. »

Page 344 : « J’ai souvent cité Emma Jung qui m’a dit quelque chose qui s’est avéré d’une grande aide pour moi, au bout d’un an ou deux passés ici. Elle croyait beaucoup dans les émotions négatives et pensait que l’on pouvait en tirer un grand profit si l’on trouvait le moyen de les laisser s’exprimer elles-mêmes au lieu de se soumettre à elles ou de les combattre. La lutte que chaque femme engage contre l’animus quand celui-ci tente de se rendre maître de ses émotions serait un exemple du forgeron travaillant le feu du lion sur l’enclume. Cette idée dont je lui suis redevable a été l’une des plus utiles au cours de mon analyse. »

Page 355 : « Si nous ne pouvons pas accepter l’émotion et l’instinct, nous ne pouvons pas nous ouvrir à la transformation. C’est la raison pour laquelle les intellectuels purs sont parfois si infantiles. Nous devons nous réconcilier avec le lion – l’instinct – car, après tout, nul ne peut franchir les grandes étapes de la vie, comme le mariage, la mort, ou un examen particulièrement difficile, sans l’aide de son instinct et de son émotivité — sauf peut-être un examen. Quoique ! »

Éditions La Fontaine de Pierre – 490 pages – 15 cm x 22 cm
Traduit de l’anglais par Françoise de Coudenhove
avec la participation de Monique Bacchetta

Publié dans:ANIMAUX, HUMANITE, REVES |on 11 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Le Grand Esprit ou Supra-mental

 Le Grand Esprit ou Supra-mental dans AMERINDIENS u

Au-delà du mental, il y a ce que Hegel appelle le supra-mental et que les Indiens nomment le Grand Esprit. Il peut agir lorsque le mental est calmé. Le chaman est un allié du Grand Esprit. Il est en état constant de relation amoureuse. Le chaman ne regarde pas un arbre en attendant que l’Esprit y descende. Il le regarde pour informer l’Esprit que c’est dans le bois qu’il va descendre. Ca se passe instantanément car son mental inférieur, qui sait que c’est du bois, il l’utilise comme associé. Lorsqu’il descend, est-ce le Grand Esprit qui descend dans la Matière, ou le Grand Esprit caché, tapi dans le mystère de la conscience humaine qui se révèle ? C’est là la grande joie, le mystère de l’arbre, aussi !.

Le mental inférieur est un excellent ouvrier, un excellent outil pour explorer le monde. Son lieu de vie est le temporel, il n’est pas dans l’éternel, dans l’infinitude. Il ne peut pas pénétrer dans le domaine de l’intuition pure, de la raison objective, de la captation. S’il est livré à lui-même, il n’est qu’un serviteur qui se prend pour le maître. S’il est relié, s’il est au service du Seigneur, il est noble. Il peut servir d’intermédiaire, de messager. Si le mental inférieur est dans le croire, l’intuition sensitive est dans le savoir. Attention, il ne s’agit pas d’un savoir possessif, il s’agit d’un savoir ancré dans l’absolu. Le mental inférieur a besoin de preuves, l’intuition sensitive ne se soucie d’aucune justification ni d’aucun raisonnement.

Pour passer du mental inférieur au supra-mental, il faut une préparation. Si vous branchez un appareil de 100 volts sur du 220, il claque. Tout réveil prématuré par la drogue, ou par des expériences chamaniques inopinées en pleine Amazonie, est extrêmement dangereux, parce que ceux qui s’y livrent, poussés par l’avidité, entrent en contact avec des choses qui sont d’une autre fréquence, très haute.

Le sentir est une dilation de l’organisme et le mental est la réduction de tout à des concepts.

Le corps est un immense radar des tons vibratoires dans lequel le ton vibratoire de la pensée occupe une certaine place mais pas toute la place.

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La pensée du monde ordinaire, mécanique, contient trois niveaux : la pensée comparative, la pensée cumulative, la pensée possessive. La créature qui vit sous leur emprise sécrète des angoisses qui s’ankylosent jusqu’à former des kystes où s’enracinent le mal-être et la maladie. S’informer, apprendre, avoir des diplômes, être reconnu… Nous nous privons de la grâce pour avoir le mérite. C’est d’eux-mêmes que les gens ont peur. Le premier travail est de vaincre sa peur. Peur de se libérer de ses opinions. Peur de changer le niveau où s’opère sa conscience et d’être privé de repères. Peur de perdre ses droits qu’il pense avoir sur autrui, ou des prérogatives purement fantasmatiques, car elles n’existent qu’à l’ombre de cette sorte de réduit qu’il croit être le monde. Il faut savoir que nous pouvons, si nous le voulons, pénétrer dans un royaume magique à l’intérieur de nous-mêmes, animés par la force de l’amour qui nous aime.

 banniere-coloree dans DEVELOPPEMENT

Le chaman est un individu simple, naturel, qui, pour avoir développé sa dimension féminine par le sentir, est entré de plain-pied dans l’alchimie profonde de l’être. Qui s’intègre à la mémoire de toute chose et non pas au concept ou à l’opinion qu’il peut avoir des choses. 

Maître Eckhart a dit : « L’œil par lequel je vois et l’œil de Dieu sont un seul et même œil ».

Saint-Augustin a dit : « L’amour est spirituel parce que charnel et charnel parce que spirituel ». Il n’énonçait pas des concepts, il parlait d’expérience. Il est entré dans la vibration de la cellule, sentant les échos de ce qu’il appelait la fréquence de l’esprit dans l’incarnation de sa propre matière. Il annonçait déjà la grande découverte du XXème s.: il n’y a pas d’énergie sans matière.

Le dénominateur commun entre la voie soufie et le chamanisme est, dans les deux cas, un travail à l’intérieur de l’expérience du sentir amoureux, dans le présent, au moyen d’actions sans récompense ni châtiment futur, opérant sans culte visible, libre de tout dogme et qui, en général, se voilent avec art dans les aspects les plus ordinaires de la vie. 

Si les Seigneurs le désirent, Ils viendront et se révèleront pour donner à chacun ce dont il a besoin pour continuer sa route. Chacun reçoit selon ses nécessités et son destin. On ne mange pas tous dans le même plat, et pas forcément non plus la même nourriture. 

« Reste dans le sentir de ton Cœur. Ne pense plus ta vie, retourne dans le temple de ta substance chaque fois que tu respires et l’Amour viendra… Il te cherche ! Sors de ta souffrance. Brise la cage où gît la peur de tes ancêtres. Libère ton esprit et rejoins le mon des hommes qui se sont engagés sur le sentier de la joie dans l’éphémère. Joue sans peur ave l’Aigle. Ecoute-le lorsqu’il te parle, il le fait avec Amour en te chuchotant à voix basse ses secrets, ceux qui sont gardés dans la mémoire des pierres. Retourne au minéral, au végétal, à l’animal et avance. Avance jusqu’à toi et, de là, vole avec l’Aigle. Ne cherche pas à piller ses Secrets, ils te seront donnés au fil de ta vie, au fur et à mesure que ton être grandira en habileté, en expérience, en ruse. C’est cela, la voie royale que tu cherches, la voie du guerrier. Au banquet des initiés, veille à devenir, par l’amour, digne de participer au premier secret, CELUI DU PARTAGE.

Sort de la mort, cesse de rêver, frappe aux cinq portes de tes sens et opère avec le vent. Appelle le Seigneur caché dans le secret de ta substance. Ton propre corps est ton tabernacle. Je suis toi-même. Sors de ton histoire. Ecoute les légendes et le parfum des dieux. Elles ont pénétré le monde afin d’aider les hommes. Colle-toi au feu d’amour et deviens le fils de sa lumière ».

L’homme vient au monde formé à la fois d’une créature charnelle et d’un être spirituel. Dépendant des lois de l’ampleur qui règnent sur la planète, il est inexorablement poussé par l’instinct à croître et à se multiplier. Parallèlement, des réminiscences de l’Etre en lui l’attirent vers des sentiments nobles et altruistes et des états de conscience élevés. La racine de la souffrance humaine est là, dans le voisinage de ces deux natures qui , enfermées dans le même corps, se disputent le droit à la vie plénière. Dans ce triangle infernal de l’Affirmation et de la Négation, l’homme doit apporter, souverainement, la Réconciliation ».

Les regrets des mourants

Une infirmière australienne, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital, a accompagné les personnes mourantes dans leurs derniers jours. Dans un livre paru fin 2011, elle a révélé quels étaient les regrets les plus courants que nous avions à la fin de notre vie. (Lu sur Yahoo!)

Les regrets des mourants dans ENERGIES 222 

Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. « Inspiration and Chai » a ensuite été posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant ». Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 – J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l’entendaient

« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »

2 – J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur

« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ». Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler. »

3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients. »

4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir. »

5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux

« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement. »

Lire l’article sur Yahoo!

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, La MORT |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Perdre son centre

Perdre son centre  dans ESPRITS 34J’ai remarqué dans ma vie que chaque fois que je ressentais une entité plus lourde dans mes énergies, cela survenait toujours après une expérience vécue où j’avais perdu mon centre, souvent en lien avec un jugement que j’entretenais envers moi-même.

Je me souviens d’une fois où j’avais rencontré un homme qui expérimentait un handicap physique qui m’incommodait. Je vivais un malaise à la vue de cette personne, sans vraiment savoir pourquoi. Au lieu d’accueillir ma sensation, je me suis plutôt détourné de cet être, cherchant à l’éviter. Quelque temps après, j’ai commencé à ressentir des entités dans mes énergies. Je ne comprenais pas ce qui s’était produit, jusqu’à ce que je revois le fil des événements. J’ai réalisé à ce moment que la vue de cet homme éveillait en moi le souvenir d’une vie passée où j’étais moi-même handicapé et où j’avais rejeté cette expérience, comme si elle n’avait jamais existé.

Au niveau magnétique, mon Âme avait attiré cet être pour réveiller en moi un souvenir que j’avais jugé et qui cherchait ma lumière. Il s’agit ici d’une expérience passée, mais je pouvais aisément retrouver des traces de ce malaise ailleurs dans cette vie-ci. Il n’était donc pas nécessaire de retracer ma vie passée pour entreprendre la guérison, j’avais des correspondances dans cette vie. Je le mentionne ici pour éviter d’interpréter qu’il faut percevoir ses vies passées pour se guérir. Ce n’est pas nécessaire, car chaque incarnation est aussi un tout en soi.

Les vies passées 
Dans ma pratique de consultation, j’utilise surtout les vies passées pour sortir les gens (ou moi-même) d’un état de victime. Lorsqu’un être se sent impuissant ou victime d’un autre et qu’il se déresponsabilise de sa situation, il devient intéressant de lui présenter une autre vie où l’expérience était totalement inversée. Cela remet les choses en perspective et offre une compréhension nouvelle à l’expérience créée par l’Âme.

L’évolution n’est possible que si nous assumons l’entière responsabilité de notre vie, de tout ce que nos créons, consciemment ou inconsciemment. Ce que nous nommons « les autres » fait partie de nous et nous faisons partie d’eux. Croire que nous sommes séparés est une illusion. Les autres sont là pour nous aider à nous découvrir. Si nous attirons certaines facettes moins intéressantes « des autres », c’est parce que ces facettes recherchent notre lumière.

Revenons maintenant à mon expérience. Suite à la rencontre de l’homme handicapé, je me suis retrouvé rapidement « inondé » d’entités qui créaient beaucoup de malaises et de fatigue en moi. Je ne comprenais pas ce qui venait de se produire, mais je savais que quelque chose avait changé.

Quand j’ai croisé le regard de cette personne, un malaise inconscient s’est éveillé en moi. Le problème n’était cependant pas associé à la sensation ressentie, mais plutôt au fait que j’ai voulu l’occulter et me débarrasser de ce qui me dérangeait. C’est ce déni qui a ouvert la porte aux entités qui étaient présentes chez cet être et qui ont simplement « traversé » vers moi. Dès que j’ai conscientisé ma fuite et ma propre expérience passée reflétée par l’homme que j’avais croisé, j’ai repris mon pouvoir dans la situation. J’y ai ramené l’amour et j’ai ensuite pu proclamer ma souveraineté dans mes énergies. Les entités se sont alors éloignées.

Je ne fais aucun lien ici entre le fait que l’homme vivait avec un handicap et qu’il « transportait » des entités. Ces dernières s’associent aux êtres qui ont un état d’esprit plus lourd, peu importe la situation concrète qu’ils vivent.

Les cohabitations 
Nous nous exposons tous à cohabiter de temps à autre avec des entités – ou de façon plus prolongée pour certains – car elles résonnent avec les thèmes qui ne sont pas pacifiés en nous. Dès que ces derniers remontent à la surface et s’inscrivent dans notre champ aurique, il est naturel que des entités s’y intéressent, car pour elles, ce sont des énergies familières. Et dès que nous conscientisons et éclairons la lourdeur qui se présente, l’entité s’éloigne naturellement de nous, car elle n’est plus autorisée à « demeurer » dans nos énergies. Notre souveraineté retrouvée la repousse.

Il ne faut pas non plus juger ces êtres « sans domicile fixe ». Ils vivent dans un monde parallèle à la Terre et tout ce qu’ils connaissent de la vie est associé à l’humain qu’ils étaient. Ils veulent donc poursuivre l’aventure terrestre et ils continuent d’interagir avec le seul plan qu’ils connaissent, soit celui de la Terre. Ils s’accrochent ainsi à ce qu’ils peuvent, ce à quoi ils ont encore de l’emprise. Mais ils n’ont aucun pouvoir réel, sauf celui que nous leur octroyons, consciemment ou inconsciemment.

Les plans subtils 
Revenons maintenant au sujet principal de ce propos, soit le passage vers les plans plus subtils. Je disais donc qu’au départ, la plupart des gens qui décèdent continuent de vivre la vie qu’ils avaient sur Terre. Ils continuent de s’identifier à leur personnalité et à ce qu’ils aimaient, ainsi qu’à réagir à ce qu’ils n’aimaient pas.

À moins d’être ostracisés dans sa vie humaine et de craindre profondément les jugements de son entourage, tous les êtres assistent à leurs funérailles. C’est une invitation incontournable pour tout être qui souhaite compléter la boucle de son incarnation. Mais l’être n’est pas observateur comme s’il était « une étoile dans le ciel ». Il est vraiment là, présent aux côtés de ses proches. Il se promène concrètement dans la pièce avec son corps astral.

Quand mon père est décédé, je me souviens que j’étais dans un état second presque de transe. Il m’était alors possible de le percevoir et de l’entendre. Au salon funéraire, je l’entendais s’étonner des gens qui venaient le visiter. Il s’exclamait de joie en voyant les visiteurs arriver et il allait les accueillir à la porte. À un moment, je l’ai invité à « aller vers la lumière », tel que je l’avais appris dans les livres. C’était en 1996, alors que je débutais mon cheminement spirituel. Il m’a alors dit « je sais que la lumière est là et j’irai, mais pour le moment, laisse-moi vivre mon expérience ». Je n’avais pas compris qu’il était important de faire une transition, même dans l’astral. C’est pourtant quelque chose de si naturel sur Terre, pourquoi en serait-il autrement « de l’autre côté ».

J’ai compris depuis qu’il n’y a aucune urgence à « aller vers la lumière ». Il est même plutôt rare que des gens « traversent » avant une période d’au moins deux mois. Les êtres qui décèdent ont besoin d’un temps pour saluer leur proche une dernière fois (et parfois chercher à pacifier certains liens), visiter des lieux qui leur étaient chers, ou s’assurer que leurs dernières volontés soient adéquatement exhaussées. Ils ne peuvent plus rien y changer, mais beaucoup accompagnent tout de même leur exécuteur testamentaire dans ses fonctions. C’est une façon pour eux de passer le flambeau de leur vie à leurs proches et à leurs descendants.

extrait d’un texte de Simon Leclerc – LIRE L’intégralité de ce texte en cliquant ici.

Publié dans:ESPRITS, HUMANITE, VIES ANTERIEURES |on 15 juin, 2013 |Pas de commentaires »

L’élévation et l’ascension par l’unité


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L'élévation et l'ascension par l'unité dans ASCENSION kk

Le lecteur prendra conscience que, par l’Unité, se forme un tout dans une relation d’amour absolu, inconditionnel et sans attente. Il pourra s’élever et Ascensionner. Dans sa réalité de tous les jours, chacun doit s’ajuster et agir pour avancer dans la vie selon sa compréhension et son interprétation de la réalité de sa Globalité. Votre objectif est de vous unir et pour être en mesure de pouvoir concrétiser cet objectif, en élevant votre compréhension vous obtiendrez ce sentiment d’Unité et d’Amour Absolu afin que cette vérité vous guide à jamais sur le chemin de Lumière.

L’Unité, l’union de votre être avec toutes les formes de vies, que ce soit le monde minéral, végétal, animal, marin, ou avec chacun, l’unité est votre clé pour connaître la grandeur de votre être. Beaucoup de gens qui sont sur le chemin de l’éveil, suivent plusieurs chemins pour se permettre de mieux comprendre et maîtriser leur mental. Le plus difficile est de se donner d’autres habitudes, de changer les vieilles habitudes qui portent sur le jugement et la division.

Peu importe le jugement généré par un geste, une image, une vidéo, ou encore un mot, un texte, une croyance, tout ce qui peut vous contrarier et où vous ressentez un désaccord, une incompréhension ou autre qui vient déranger votre paix intérieure, cette réaction de votre part vous déstabilise et vous êtes portés à vous diviser. Même ceux et celles qui ont une fréquence d’amour plus haute se font prendre au piège.

Chacun a un taux de tolérance bien à lui pour ne pas tomber dans le piège du jugement, car tout jugement apporte la division, ce qui ouvre une porte au sentiment négatif. Plus votre tolérance augmente, plus vous serez en mesure de ne pas juger, mais avant de maîtriser complètement le non jugement, chacun devra être en permanence en train de valider ses choix et ses décisions selon ses pensées. Le but est d’arriver à vous unir et à entretenir une relation d’amour inconditionnel sans attente, une relation de non jugement, dans votre perception, votre compréhension. C’est très important que vous soyez Unis dans toutes vos relations et dans votre Réalité. Tout ce qui vous entoure fait partie de votre espace, votre relation avec ce tout doit faire partie de votre Unité.

Peu importe ce que les gens penseront de vous et de votre perception de la vie, votre seul but est de vous unifier avec votre Réalité quotidienne, votre espace, car vous êtes le centre de votre propre TOUT. Vous n’êtes pas seulement cette forme humaine, vous êtes cette Conscience de la vie, tout ce qui vous entoure est votre manifestation, votre concrétisation, votre création, c’est pour cette raison que votre relation avec ce TOUT est si présente en vous. Vous ressentez tout, chaque instant est un apprentissage merveilleux, votre forme humaine vous permet d’être en contact avec votre concrétisation.

Cet apprentissage est précieux pour votre compréhension Divine, car votre forme 3D (dimension) est un outil formidable pour enregistrer tout ressenti avec la concrétisation de votre monde. Toutes vos incarnations ont servis à votre compréhension et à toutes vos demandes d’expérimenter tout ce que vous désiriez apprendre. Imaginez, depuis votre venue sur cette terre, vous avez une quantité immense d’informations sur tout ce que vous avez ressenti et expérimenté que ce soit bien ou mal, vous avez appris de ces deux aspects.

Maintenant il est temps de vous souvenir de ce que vous êtes vraiment, un Être Divin, vous êtes des maîtres accomplis, des créateurs, des Dieux en devenir, le temps n’est plus aux divisions, mais bien à vous unir à votre réalité, votre concrétisation de ce monde par votre compréhension. Maintenant il est temps de voir que tout ce qui est votre réalité avait seulement pour but de vous faire apprendre dans cette forme humaine car elle vous apportait une conscience jamais éprouvée par votre Divinité. Et vous vous êtes tellement identifiés à la densité de ce monde 3D que vous pensez que cette Réalité était la seule que vous expérimentiez dans cette forme humaine. Vous êtes multidimensionnels et vous vivez en même temps d’autres réalités. Vous vous êtes trop identifiés à votre forme humaine, oubliant votre véritable identité Divine.

Toutes vos réalités se passent dans le maintenant, vous vivez tout cela en même temps. Dans votre forme humaine et cette réalité 3D, vous avez l’impression d’avoir un passé, un présent et un futur, c’est votre interprétation due à votre forme humaine qui a une durée de vie limitée.

Vous pensez avoir seulement une vie et votre perception se trouve limitée car vous n’êtes pas complets. Votre vide intérieur est ce sentiment de ne pas être vous-même. Vous ne comprenez pas tout à fait votre rôle dans ce monde, vous croyez que votre place ici est une erreur car tout vous semble étrange. Toutes ces attaques contre vous et ce monde hostile ou règne la division, ce que vous pensez être cette réalité n’est pas conforme à votre sentiment de faire un. Certains d’entre vous ont ce sentiment d’Unité et d’être très bien avec cette relation d’union, ne formant qu’un tout, baignant dans l’amour absolu avec chacun faisant partie de ce tout.

Chaque personne venue expérimenter dans ce monde de la matière, est manifestement tombée sous l’emprise de la densité, vivant la dualité dans toutes les circonstances possibles. Toutes ces expériences étaient bénéfiques et instructives car votre compréhension s’en trouve améliorée par cette expérience unique dans la troisième dimension.

Vous êtes immortels, retrouvez votre vraie nature, votre divinité. Vous êtes cet Être Divin. Enlevez toutes vos peurs elles n’ont plus leurs raisons d’être, vivez cet instant présent dans votre forme humaine. Elle représente votre temple dans ce monde, vous en êtes le souverain et le gardien. Le moment est venu de vous unir avec votre réalité du moment présent, ne pensez qu’à cet instant, ce maintenant, tout ce qui vous divisait dans votre compréhension est maintenant tout uni et vous ne faites qu’un avec.

Enlevez de votre vocabulaire le mot division et remplacez-le par union. Chacun de vous est venu expérimenter dans ce monde 3D, oubliez vos différences et vos divisions, vos croyances, tous vos jugements pour des choses insignifiantes, peu importe ce qui vous divise, arrêtez de jouer à la victime, vous êtes tous identiques, pas un n’est plus que l’autre, ce qui vous différencie c’est votre interprétation de ce que vous pensez être.

Vous êtes tous des Êtres Divins, des maîtres accomplis, prenez conscience de votre erreur et donnez-vous le temps de vous pardonner. Dieu vous a créé semblable à lui et chacun a choisi de vivre cet instant dans son temple actuel. C’est à vous seul de décider de votre choix de redevenir entier avec votre véritable Identité Divine, votre forme humaine se transformera en un Temple de Lumière qui manifestera sa joie et sa gratitude d’être à nouveau réuni avec sa propre réalité.

Conscient de sa Divinité et de la Divinité de chacun, plus rien ne l’incite à se diviser car maintenant il sait que tout ce qui l’entoure était là pour son apprentissage et l’expérimentation de son ancienne interprétation, celle d’avant avoir réalisé ce qu’il était vraiment, un Être Divin, multidimensionnel et éternel, un créateur, un maître accompli, conscient qu’il forme ce tout, car il est le centre de son univers et de sa création. Chacun vivant dans cette réalité 3D est son propre centre et sa création. Ce monde est à l’image de tous.

Votre ascension et élévation dépendent de votre compréhension actuelle. En redevenant complet avec votre divinité, votre forme humaine devient votre temple de lumière et vous en êtes le souverain et seul gardien, vous êtes le centre de cette réalité 3D. C’est à vous maintenant de vous unir dans l’amour inconditionnel et sans attente face à tout ce qui vous divisait, ne cherchez plus de coupable, car en réalité, il n’y a pas de coupable en soi, juste une mauvaise interprétation.

Chacun de vous êtes venu expérimenter dans ce monde la dualité et la sensation merveilleuse d’être dans une forme humaine, conscient de votre création personnelle et collective. Maintenant c’est le moment d’afficher et de vous identifiez à votre Divinité. Votre forme humaine se transformera en un temple de Lumière. Votre réalité présente, cet instant, ce maintenant est votre unification à votre TOUT dans l’Amour Absolu.

Le temps n’est plus aux jugements et aux comparaisons de vos connaissances et de vos croyances. Ne perdez plus votre temps à ces critiques non constructives, mais cherchez plutôt à aider ceux et celles qui ont encore cette perception erronée, à prendre conscience de leur Divinité et de leur véritable Identité Divine.

Ressentez toujours ce sentiment de bien-être et de paix, d’harmonie et d’amour absolu en vous, en tout temps, renforçant ainsi votre appartenance et votre identification à votre Divinité. En diffusant votre compréhension (Lumière) à votre Réalité, ça renforce votre ancrage et votre Unité.

Celui qui mettra en pratique cette vérité, sera en mesure de vivre pleinement l’Équilibre et en étant bien ancré, il vivra l’instant présent. Il pourra effectuer tout ce qu’il voudra expérimenter, sans rien négliger, car peu importe ses relations avec tout ce qui remplit sa Réalité, il ne la verra plus de l’ancienne façon mais d’une manière complète avec toute sa Divinité, car tous ses faits et gestes, ses pensées sont basés sur l’AMOUR ABSOLU, identique à son Créateur, cette Source Pure, Dieu qui entretien une relation d’Amour Absolu avec toute sa Création et tous ses enfants, chacun de vous, fils unique de Dieu, respectant votre Souveraineté, mais sans jamais vous priver de son Amour, car il fera tout pour permettre à chacun de reprendre sa place dans le royaume et son héritage Divin.

Reprenez votre Héritage Divin, en redevenant cet Être Divin uni dans la TOTALITÉ et savourez votre Richesse Éternelle car dans votre perception actuelle de votre compréhension, votre richesse est temporaire. Votre qualité de vie ira en s’améliorant ainsi que votre relation avec votre GLOBALITÉ DIVINE.

Je suis incarné dans ce monde, mon Essence Divine est Flot-Rah, je suis un Enseignant de Lumière. Plusieurs Messages de Flot-Rah sont publiés pour votre Éveil à votre Vraie Identité Divine. Cela représente une bonne source d’enseignement et d’informations. Je laisse mes coordonnées en bas de ce message d’Éveil à votre vraie Identité Divine. Ces messages s’adressent à un large public et s’adaptent à la fréquence d’amour selon la vibration de lumière de chacun.

Mon Expérience présente avec mon Essence Divine Flot-Rah, se fait dans le moment présent. Je vis intensément ce moment de Pure Fusion, sa présence se fait de plus en plus sentir et par ces messages j’ai le plaisir de partager avec vous mon expérience Divine Unie à ma véritable Identité Flot-Rah.

“J’ai l’espoir que les gens ne prendront pas ce qui est dit comme la vérité, mais la découvriront par eux-mêmes, parce que la vérité n’est pas dite, elle est réalisée.”

Paix, Amour et Lumière
Flot-Rah, Essence Divine de la Maison Sananda

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Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie à condition qu’il ne soit pas coupé, qu’il n’y ait aucune modification de contenu et que vous fassiez référence à ce site.

Comment voir l’aura

 

Comment voir l’aura dans DEVELOPPEMENT laura

Si vous désires vraiment voir l’aura et apprendre quelque chose à son sujet, je vous suggère d’abord la lecture d’un livre ou deux sur les traitements par la gamme chromatique. Ainsi, vous vous familiariserez avec les significations des diverses couleurs.

En fait, Drunvalo Melchizédek a découvert que nous possédons déjà cette connaissance dans notre subconscient.  Il y a très peu de différences dans les différents livres qui traitent de traitements par la couleur.

 Les militaires entraînent maintenant certains soldats d’élite à voir les auras. Ainsi, ils sont capables de savoir exactement ce que l’ennemi pense et ressent, ce qui s’avère évidemment un avantage majeur en cas de conflit. Voici leur technique…

A cette fin, procurez-vous plusieurs feuilles de papier cartonné en couleur, ainsi qu’une grande feuille de papier cartonné blanc d’environ 90 centimètres de longueur et 60 centimètres de largeur. Bous allez maintenant être les témoins d’un phénomène de vision qui n’a absolument rein à voir avec l’aura : cependant, nous pouvons apprendre à distinguer l’aura humaine grâce à cette technique.

Posez la grande feuille de  papier blanc à plat sur le sol et éclairez-la du dessus, toujours avec une lampe directionnelle de type table à dessin et branchée au préalable sur un rhéostat. Posez maintenant une des feuilles de couleur au milieu du papier blanc. Choisissez d’abord une feuille rouge et fixez-là pendant 30 secondes sans cligner des yeux. Une fois ce temps écoulé, continuez à regarder fixement le même endroit, même après avoir brusquement retiré cette feuille et l’avoir placée hors de vue. En moins d’une seconde, la couleur complémentaire apparaîtra devant vos yeux, c’est à dire le vert. Ce double sera toujours d’une couleur différente  e l’original, mais la forme restera la même.

Cette image fantôme apparaîtra donc devant vos yeux, toute reluisante et transparente, et il vous semblera même qu’elle flotte au-dessus de la surface du papier blanc. Si vous répétez la même expérience avec quatre ou cinq feuilles de couleurs différentes les unes après les autres, cela ne prendra quelques minutes avant que vous développiez une certaine capacité de percevoir ce type d’image en couleur – reluisante, transparente et flottant dans l’espace. En fait, ces couleurs sont comme le champ aurique, sauf qu’elles sont idéales, car peu de gens ont une aura dont les couleurs sont si nettes et si claires.

Pour la deuxième partie de l’entraînement, vous aurez besoin d’un partenaire et tous les deux devrez (de préférence) porter des vêtements blancs, car c’est le meilleur moyen de voir les couleurs de l’aura. Les vêtements eux-mêmes ne bloquent certainement pas l’aura, mais leur couleur (autre que le blanc) la rend difficile à percevoir. Demandez à votre partenaire de rester debout devant un écran de projection blanc ou, à la rigueur, un mur blanc (s’il y en a un dans votre environnement immédiat).

Prenez ensuite la lampe équipée du rhéostat et réglez-la pour obtenir une illumination maximale, tout en dirigeant le faisceau sur votre partenaire. Prenez maintenant une feuille de couleur et demandez qu’il la tienne à environ trois centimètres devant lui, et à hauteur de poitrine. Comme auparavant, concentrez-vous sur le papier en couleur, fixez votre regard sur lui sans battre les paupières, et comptez mentalement jusqu’à trente. Demandez à votre partenaire de retirer rapidement la feuille de  papier et de la mettre hors de vue. Vous verrez alors la couleur complémentaire, comme si elle flottait dans l’espace tout autour de la personne debout devant vous.

 Cela fait, vous pouvez demander au sujet de placer la feuille de couleur derrière sa tête ou ses épaules. Répétez le même processus quatre ou cinq fois, jusqu’à ce que vous soyez habitués à voir les couleurs dans l’espace tout autour de son corps. Ensuite, retirez le papier de couleur de sa main et continuez à observer le sujet en tournant très lentement le rhéostat de manière à avoir de moins en moins de lumière. A partir d’un certain point, le corps de votre partenaire devient très sombre et un moment magique survient bientôt, car d’un seul coup, toutes les couleurs de l’aura apparaissent devant vos yeux. Vous saurez qu’il s’agit bien de toutes les couleurs de l’aura, et pas seulement des couleurs complémentaires déjà vues, puisque vous verrez alors toute une variété de couleurs changeantes. Tout ce à quoi la personne pense et out ce qu’elle ressent sur le moment est immédiatement projeté sous forme de couleurs dans l’aura.

Habituellement, celles qui se trouvent autour de la tête et des épaules représentent ce à quoi la personne pense. Dans la région de la poitrine et du dos, les couleurs sont celles des sentiments et des émotions, même s’il s’agit parfois d’une légère juxtaposition.

En plus des pensées et des émotions, il se peut que l’aura révèle un problème de santé. Si vous êtes malade vous souffrez d’un malaise physique, elle adoptera souvent une couleur particulière. Les couleurs émises par vos pensées brillent et reluisent dans l’aura, mais changent en même temps qu’elles. Quant aux couleurs qui correspondent aux émotions, elles ont tendance à se mouvoir autour de la personne. Par contre, celles associées à une maladie sont fixes, se présentant souvent comme des formes globuleuses et parfois angulaires qui se dégagent du patient, mais restent au même endroit du corps. Dans certains cas, une maladie ne donnera aucun signe extérieur de sa présence, car la couleur ou la forme angulaire rattachée à cette maladie reste totalement à l’intérieur du corps, sans rien laisser émerger.

En général, disons que quelque chose est habituellement apparent !

 Extrait de l’Ancien secret de la Fleur de Vie -  Tome 2 – de Drunvalo Melchizédek 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, LUMIERE, POUVOIR |on 8 juin, 2013 |Pas de commentaires »

L’arbre et le Cercle

L’arbre et le cercle
Joycelyn Campbell
(Traduction par Fabien Chabreuil)

L'arbre et le Cercle dans CHAKRAS 008-225x300

Dans le livre de Joseph Niehardt, Black Elk Speaks, le grand chaman Lakota décrit sa vision : « J’étais debout sur la plus haute des montagnes et tout autour de moi, était le cercle complet du monde. Et tandis que je me tenais là, j’ai vu plus que je ne peux le dire et j’ai compris plus que je n’ai vu ; car je voyais en esprit les formes de toutes les choses et la forme de toutes les formes qui doivent vivre ensemble comme un être unique. Et j’ai vu que le cercle sacré de mon peuple était un des cercles qui constituaient un cercle grand comme la lumière du jour et celles des étoiles et au centre duquel poussait un puissant arbre en fleurs pour protéger tous les enfants d’une mère et d’un père uniques. Et j’ai vu que tout ceci était sacré. »

Etre sacré signifie être entier ou salutaire, sain ou curatif, saint ou béni. Depuis les temps les plus reculés, partout sur la terre, les hommes se sont réunis en cercle. Le cercle est le symbole universel de la complétude aussi bien dans les religions que dans le monde séculier. Il est visible dans le symbole chinois du Yin et du Yang, dans la Roue tibétaine de la vie et de la mort, dans la Roue celtique de l’année, dans les mandalas et dans les roues de médecines et même dans la Table Ronde du roi Arthur. Les chakras sont représentés comme des disques ou des roues d’énergie et le symbole de l’Ennéagramme est enclos dans un cercle. Cet aspect du symbole de l’Ennéagramme est particulièrement remarquable. Le concept de neuf types séparés peut être véhiculé de manière appropriée par les deux autres parties du symbole, le triangle et l’hexagone. Nous avons parfois tendance à insister sur les types et à les détailler en composants de plus en plus petits. Mais leur positionnement sur un cercle, le symbole de l’unité, nous rappelle que les neuf types font partie d’un tout.

L’arbre est un autre symbole très ancien ; il représente la croissance et la progression. Un arbre est planté dans le sol, mais ses branches s’étendent vers le haut, vers les cieux. Partout dans le monde, les arbres jouent un rôle majeur dans de nombreux mythes comme dans l’histoire égyptienne d’Osiris, dans celle d’Apollon en Grèce ou dans la mythologie nordique qui dépeint le monde comme constitué de trois niveaux reliés par Yggdrasill, l’arbre cosmique. Bouddha est dit avoir atteint l’illumination sous l’arbre Bô et la Bible nous raconte l’histoire de l’Arbre de la connaissance (du bien et du mal) et de l’Arbre de vie.

Le symbolisme de l’arbre peut prendre d’autres formes, comme celle de l’échelle. Dans Une brève histoire de tout, Ken Wilber utilise la métaphore de l’échelle, du grimpeur et du point de vue pour décrire les étapes de la croissance et du développement. Quand nous grimpons sur un barreau de l’échelle, nous nous désidentifions du point de vue que nous avions du barreau précédent et nous identifions au point de vue que nous avons du barreau actuel. Pourtant, chaque nouveau barreau « repose » sur les précédents et les inclut. Bien que notre vision ait monté d’un niveau, elle est soutenue par tous les niveaux inférieurs.

Les sept chakras principaux, qui sont part d’un réseau plus vaste d’énergie subtile, sont représentés comme montant de la base de la colonne vertébrale au sommet de la tête, la colonne vertébrale représentant le symbolisme vertical de la progression et de la croissance. Des tentatives ont été faites pour trouver une correspondance biunivoque entre les chakras et les types de l’Ennéagramme, mais elles ne fonctionnent pas car un des symbolismes est vertical et l’autre horizontal. Même s’ils se recoupent, ils ne correspondent pas un à un.

Comprendre l’intersection entre les chakras et l’Ennéagramme, l’arbre et le cercle, améliore et clarifie les fonctions des trois centres d’intelligence et donne une image plus claire et plus brillante du chemin de transformation. J’ai passé des années à combiner le travail avec l’Ennéagramme et celui sur les chakras et mon expérience me fait percevoir ces deux merveilleux systèmes comme complémentaires.

On pense généralement que les chakras font partie de l’hindouisme, mais en fait on les trouve dans le monde entier. Ils font partie de la spiritualité égyptienne et de celle des amérindiens et sont décrit dans le plus vieux mythe connu, l’histoire sumérienne de la descente de la déesse Innana dans le monde souterrain. La guérisseuse intuitive Carolyn Myss (Anatomie de l’Esprit) voit une relation entre les chakras et à la fois les sept sacrements chrétiens et la Kabbale.

Ces roues distinctes d’énergie ou de lumière sont reliées les unes aux autres par trois circuits. Le circuit central, la sushumna, correspond à un méridien majeur en acupuncture. Les deux autres, ida et pingala émergent du premier chakra et vont vers le haut en une sorte de double spirale passant par les autres chakras, jusqu’à ce qu’ils atteignent le sixième chakras où ils se réunissent pour former un seul courant. Le symbole de la médecine, le caducée, illustre cette spirale par deux serpents entrelacés autour d’une baguette ailée. L’ida et la pingala représentent les aspects mâle et femelle de l’énergie subtile nommée kundalini. La kundalini, connue aussi sous les noms de pranachi, ou force de vie, est symbolisée par un serpent endormi enroulé à la base de la colonne vertébrale, à l’emplacement du premier chakra, jusqu’à ce qu’il soit réveillé et commence son ascension. (Cette approche est en accord avec l’affirmation de Gurdjieff selon laquelle l’homme ordinaire est endormi et seul un effort intentionnel et habile peut le réveiller.)

En travaillant sur les sept chakras, le but est de les ouvrir tous et de les équilibrer. Un déséquilibre, excès ou déficience, dans un quelconque des chakras affecte le fonctionnement de tout le reste. De même, en travaillant avec l’Ennéagramme, le but est d’équilibrer les trois centres d’intelligence. Les trois centres de l’Ennéagramme ont à la fois des aspects et des fonctions inférieures et supérieures alors que le système des chakras est constitué de trois chakras inférieurs et de trois chakras supérieurs avec un pont entre eux.

Le premier chakra (Mulhadara) et le cinquième (Vishudda) semblent correspondre au centre instinctif : le premier chakra représente le fonctionnement inférieur [survie physique, obtenir de l'environnement ce dont nous avons besoin, action et réaction], alors que le cinquième représente le fonctionnement supérieur [expression authentique de soi, contribution à l'environnement, créativité].

Le deuxième chakra (Svadisthana) et le sixième (Ajna) semblent correspondre au centre émotionnel : le deuxième chakra représente le fonctionnement inférieur [émotion, sensualité et sexualité, empathie, relations interpersonnelles], alors que le sixième représente le fonctionnement supérieur [intuition, discernement, imagination, le monde des rêves, des symboles et des archétypes].
Le troisième chakra (Manipura) et le septième (Sahasrara) semblent correspondre au centre mental : le troisième chakra représente le fonctionnement inférieur [volonté, pouvoir, estime de soi, logique, rationalité et raison], alors que le septième représente le fonctionnement supérieur [sagesse, conscience, éveil, transformation et transcendance].

Le quatrième chakra (Anahata) est un pont entre les chakras inférieurs et supérieurs et ne correspond pas directement à un des trois centres. C’est le chakra du coeur (ou centre) et le siège de la compassion, de l’acceptation de soi et de l’amour inconditionnel. C’est aussi l’emplacement de l’Observateur Intérieur qui nous donne la possibilité de voir et de nous désidentifier de notre Soi compulsif tout autant que le désir de nous reconnecter à notre essence.

Pour « voir » neuf types séparés, nous devons regarder à travers la lentille de la dualité. Chacun des trois centres d’intelligence de l’Ennéagramme est relié à un chakra duel et à un chakra non-duel. La dualité nous informe sur notre existence quotidienne ; la dualité « éveillée » est la prise de conscience que ces paires apparentes d’opposés ne sont que la réflexion l’un de l’autre et que la vérité est quelque part entre le jeu de la lumière et de l’obscurité, de vous et de moi, de ceci et de cela.

Au premier chakra, « tout est un », ce qui signifie que la dualité, en tant que telle, n’existe pas. Dans Creating Mandalas, Susanne F. Fincher dit : « Psychologiquement parlant, nous avons tous eu l’expérience de l’unité quand nous étions enfants. Avant que notre identité ne se sépare du monde de l’expérience, tout était un. Quand la personne avance en âge, les fonctions de pensée, d’émotion, de sensation et d’intuition se différencient et deviennent accessibles à la conscience. » La dualité et la polarité apparaissent quand l’énergie kundalini se sépare en deux flux, l’ida (femelle) et le pingala (mâle), au niveau du deuxième chakra ; cette division fournit les bases de notre rencontre avec l’autre. Sans polarité, notre reproduction serait asexuée et aboutirait à la production de clones (sans différentiation). Dans les termes du centre émotionnel, la dualité fournit les bases de notre quête d’identité, qui est au cœur des types 23 et 4. Sans autre à qui se comparer, il ne peut pas y avoir de « Je ».

Au troisième chakra, la dualité est tout aussi essentielle. Sans elle, des disciplines comme la philosophie, les mathématiques et la physique, n’existeraient pas. La dualité fournit le soit/soit, la cause/effet et le si/alors qui sont le fondement du raisonnement linéaire rationnel. L’esprit rationnel explique, analyse, classe en catégories, conceptualise et comprend. Il a aussi tendance à essayer de réduire les choses à leur plus petit commun dénominateur pour alléger la peur et l’anxiété, ce qui est l’objectif des types 56 et 7. Cette hyper-simplification est utile, mais si on s’appuie exclusivement sur elle, elle peut nous poser (et nous a déjà posé) de graves problèmes.

Au quatrième chakra, nous développons l’Observateur Intérieur, en devenant capable de nous voir distinct de notre corps, de nos actions, de nos émotions et de nos pensées. C’est la dualité qui nous permet cela et c’est une bénédiction ; sinon, nous serions coincés dans nos attachements et nos compulsions, sans espoir d’en sortir.

Au cinquième chakra, la dualité rend la créativité possible par la tension entre les opposés, connue aussi sous le nom de tension structurelle. Tous les artistes en font usage et tout art est conçu dans ce cadre. Cependant, quand elle n’est pas utilisée créativement, cette tension des opposés dégénère en un conflit structurel, fondement de la résistance qui est à la base du fonctionnement des types 89 et 1. La dualité est aussi un facteur de communication, dans la mesure où celle-ci nous demande de participer à la fois en parlant et en écoutant.

Au sixième chakra, l’ida et le pingala fusionnent et deviennent un à nouveau. Nous sommes alors libérés de la pensée soit/soit, blanc/noir et nous reconnaissons que la vraie nature de l’univers est non-duelle. Quand nous sommes délivrés du fait de sans cesse peser et mesurer, être en accord et en désaccord, évaluer, trier et mesurer, nous sommes capable d’apercevoir un monde qui est interconnecté, inclusif plutôt qu’exclusif, entier plutôt que fragmenté. Nous pouvons aisément entrer dans la réalité des archétypes, des mythes, des rêves et des symboles et y apprendre. Nous commençons à voir les schémas qui sous-tendent le chaos apparent du monde et à découvrir que l’intuition et la synchronicité, par exemple, sont la norme plutôt que l’exception.

C’est depuis la perspective de la non-dualité qu’au septième chakra, nous nous éveillons à la connaissance de qui nous sommes. C’est l’essence et l’alchimie de la transformation. C’est une question d’expérience directe de reconnexion à la source plutôt qu’une compréhension intellectuelle.

Les chakras sont universels en ce sens que chacun de nous doit parcourir le même chemin vertical pour ouvrir et équilibrer les sept centres d’énergie. Selon notre type dans l’Ennéagramme, nous trouverons certaines étapes du voyage plus faciles que d’autres. Pourtant, aucun chakra n’est plus important que les autres. Si nous n’avons pas des fondations solides dans les trois chakras inférieurs, nous n’aurons pas les bases nécessaires au développement des chakras supérieurs. Comme le disait Abraham Maslow, « la part élevée de l’homme repose sur sa part inférieure. » Il en est de même avec l’Ennéagramme ; si nous ne pouvons pas équilibrer les niveaux inférieurs des centres, nous aurons des difficultés à contacter leurs aspects supérieurs. Le résultat est un accent mis sur nos différences plutôt que sur notre interconnexion et sur l’unité dans la diversité et il se reflète dans le monde autour de nous.

Venez me rejoindre sur le FORUM : http://devantsoi.forumgratuit.org/

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Joycelyn Campbell anime des cours et des ateliers sur l’Ennéagramme, la créativité et changement, après avoir exercé une fonction de conseil auprès de consommateurs de drogues. Elle a une expérience considérable du travail avec des individus et avec des groupes en utilisant l’Ennéagramme, les chakras, l’écriture, l’art-thérapie, la méditation, la visualisation, la mythologie et le travail sur les rêves. Elle a co-développé ENNEA-JOURNALING : Writing for Transformation avec Elizabeth Libbey et publie une lettre d’informations trimestrielle, Soul Cycling. Joycelyn peut être jointe à soulcycles@aol.com.

L’étoile annonciatrice

 L'étoile annonciatrice dans ASTROLOGIE 21-petit

Peut-être avez-vous remarqué dans le ciel une étoile plus brillante que les autres ? Peut-être avez-vous zoomé dessus, avec votre appareil photo ou votre caméscope ? Peut-être avez-vous alors observé qu’elle changeait de couleur, qu’elle changeait de taille, de forme, qu’elle se déplaçait avant de disparaître comme par enchantement ? Peut-être même l’avez-vous observée en plein jour ?

Dans un communiqué de presse diffusé le 12 décembre 2008, Benjamin Creme annonçait : « Dans un avenir très proche, les gens auront partout l’opportunité d’observer un signe extraordinaire et d’une grande portée [...] : une grande étoile, particulièrement brillante, va apparaître dans le ciel ; partout dans le monde, chacun pourra la voir, de jour comme de nuit. » 

Et ça n’a pas tardé. Dès les jours suivants, les premiers témoins ont placé sur Internet leurs films montrant une grande étoile au comportement des plus surprenants. « Suis-je le seul à avoir vu ça ? De quoi s’agit-il ? » Voilà leurs commentaires les plus fréquents. Depuis, les témoignages se sont multipliés, des médias en ont parlé, certains l’ont même montrée, de la Norvège au Brésil, de la Chine aux Etats-Unis et partout ailleurs. 

Dans un communiqué de presse ultérieur, on pouvait lire : « L’unique occasion, au fil de l’histoire, où un signe semblable se soit manifesté, a été la naissance de Jésus. Selon la tradition chrétienne, dans les cieux est alors apparue une étoile qui a guidé trois mages venus d’Orient jusqu’à son berceau. Bientôt, une fois encore, on verra autour du monde une source de lumière d’un puissant éclat, ressemblant à une étoile. [...] Ce mystérieux événement est un signe qui annonce le début de la mission publique de Maitreya. Peu après l’apparition de ce signe dans notre ciel, Maitreya entrera sur la scène médiatique en donnant à la télévision américaine sa première interview. » 

  Les Frères aînés de l’humanité : les Maîtres de Sagesse 
Depuis des millénaires en Orient, on connaît ces êtres parfaits sous différents noms : la Grande Fraternité blanche, les Frères aînés de l’humanité, les Instructeurs, les Guides, les Mahatmas, les Maîtres de Sagesse, les Seigneurs de Compassion… Ils vivent dans les montagnes reculées et les régions désertiques du monde, comme l’Himalaya, la Cordillère des Andes, veillant sur l’évolution de l’humanité. 

L’existence d’un groupe d’hommes devenus parfaits, qui veillent sur l’évolution de l’humanité, fut révélée en Occident à la fin du XIXe siècle par les écrits d’Helena P. Blavatsky, fondatrice de la société théosophique. A ces grands êtres, elle donna le nom de « Maîtres de Sagesse » pour marquer l’exceptionnel degré de sagesse spirituelle auquel ils sont parvenus. Elle appela « Instructeur mondial » celui qui est à leur tête, pour mettre en évidence son rôle d’enseignant et de conseiller pour toute l’humanité. Par la suite, Alice A. Bailey annonça au début du XXe siècle le retour à la vie publique des Maîtres de Sagesse. 

Au début de chaque cycle, l’un de ces Grands Etres vient enseigner le chemin du progrès, le prochain pas à franchir dans l’évolution vers la perfection. L’Histoire a retenu le nom de certains d’entre eux : Hercule, Hermès, Rama, Mithra, Vyâsa, Krishna, Confucius, Zoroastre, Shankaracharya, le Bouddha, le Christ, Mahomet… Ainsi se construisent de nouvelles civilisations. 

Toutes les traditions spirituelles partagent cette idée que l’Instructeur qui les a inspirées doit revenir. Il y a 2 600 ans, Gautama Bouddha a prophétisé qu’au début de l’ère nouvelle viendrait dans le monde un grand instructeur, « un Bouddha comme moi », du nom de Maitreya. Maitreya, a-t-il dit, inspirerait à l’humanité la création d’un âge d’or, d’une brillante civilisation fondée sur la justice et la vérité. 

La chose extraordinaire est que l’humanité n’a jamais été seule. Toute notre évolution, pendant des millions d’années, a pris place, étape par étape, avec l’aide d’un tel groupe d’hommes parfaits, sans enfreindre notre libre arbitre. Les Maîtres sont nos guides, nos instructeurs, les inspirateurs de ceux qui sont prêts à recevoir l’inspiration, les protecteurs de l’humanité. Aujourd’hui à l’heure du village planétaire, à l’aube de l’ère du Verseau, un tel Guide revient pour l’humanité entière. 

  Maitreya a commencé sa mission au grand jour 
Le 14 janvier 2010, lors d’une conférence à Londres, Benjamin Creme annonçait cette fois : « L’« étoile » annonciatrice a préparé la voie à Maitreya, l’Instructeur mondial, qui a donné récemment sa première interview télévisée aux Etats-Unis. Des millions de personnes l’ont entendu parler, que ce soit à la télévision ou sur Internet. » 

Il n’a pas été présenté en tant que Maitreya, Instructeur mondial [...], mais simplement comme un homme parmi d’autres. « Il s’assure ainsi que les hommes le suivront et le soutiendront pour la vérité et le bien-fondé de ses idées, plutôt que pour son statut. » Il a parlé avec gravité de la nécessité de la paix, à laquelle on ne peut parvenir que par la création d’un monde juste, dont les ressources seront partagées. 

Cette interview est la première. Bien d’autres suivront aux Etats-Unis, au Japon, en Europe et ailleurs. 

  De nouveaux horizons en perspective 
Maitreya aidera l’humanité à se percevoir comme une seule grande famille.
Il lancera tout d’abord un appel à l’action, pour sauver les millions de personnes qui meurent de faim chaque année dans un monde d’abondance. Parmi les recommandations de Maitreya, la principale sera un changement dans les priorités sociales, de telle sorte que l’alimentation, l’habitation, l’éducation et les soins médicaux de base deviennent réellement des droits universels. 

La restauration de la santé de la planète est également une de ses priorités. Si les hommes répondent à l’appel au partage, l’aide des Maîtres ouvrira l’accès à de nouvelles découvertes scientifiques permettant de produire une énergie inépuisable sans polluer. Nous pourrons ainsi construire une nouvelle et brillante civilisation fraternelle. 

  Benjamin Creme, « ambassadeur » de Maitreya 
Depuis 35 ans, Benjamin Creme, infatigable « ambassadeur itinérant de Maitreya », annonce l’ « émergence » de Maitreya et de son groupe, les Maîtres de Sagesse. Formé et entraîné par son Maître, avec lequel il est en contact télépathique constant, Benjamin Creme est informé en permanence du déroulement de ce processus d’émergence, ce qui lui donne la conviction nécessaire pour présenter cette information à un monde sceptique. 

Il donne des conférences dans le monde entier et est fréquemment interviewé par les médias. Il est l’auteur de treize livres traduits dans onze langues, et rédacteur en chef de la revue Share International (Partage international pour la version française), diffusée dans 70 pays. Il ne reçoit aucune rémunération pour son travail. 

  Informations gratuites à : 
Partage Publication, BP 242, 42014 Saint-Etienne cedex 2 ou visitez le site : partageInternational.org

Publié dans:ASTROLOGIE, HUMANITE, PLANETES |on 23 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Superstition : remède à nos doutes

 

Glisser un trèfle à quatre feuil­les dans sa poche le jour d’un examen, ça ne coûte rien, mais ça peut redonner confiance en soi. Un porte- bonheur est une plan­che de salut à laquelle on se raccroche pour surmonter son angoisse. « Avant tout, les superstitions représentent un rituel rassurant qui nous per­met­­ de surmonter nos crain­tes, explique Anne Floret-Van Eiszner, psychologue. Certains en ont besoin pour retrouver confiance en eux et combattre leur anxiété. » Comme les doudous de no­tre enfance, ces grigris servent à endormir nos inquiétudes et à nous donner du courage. « Je collectionne les porte-bonheur, raconte Sarah qui ne sort jamais sans ses féti­ches. À l’âge de 6 ans, j’ai trouvé un trèfle à quatre feuil­les et, toute la journée, je me suis sentie protégée. Quand il s’est fané, quel­ques jours après, j’ai eu l’impression d’être plus vulnérable. Depuis, j’amasse les objets qui peuvent m’aider à influencer le hasard. Je sais, c’est une croyance qui ne repose sur rien de précis. Mais ça me donne du cou­rage quand je dois prendre une décision… et ça ne gêne personne. »

Superstition : remède à nos doutes dans HUMANITE 9

Nous croyons souvent que le vendredi 13 est néfaste ou que « toucher du bois » porte bonheur. Simple réflexe ou authentique conviction, quelles sont les raisons qui nous poussent à être superstitieuses ?

2. SUPERSTITION : L’INFLUENCE DE NOS PARENTS

Les grands-parents montrent souvent l’exemple. Et certains adultes se souviennent longtemps des récits qui ont bercé leur enfance. « Quand j’étais petite, on me répétait que les chats noirs portent malheur, se souvient Suzanne. J’ai vécu dans la crainte de ces animaux durant quinze ans, au fond sans savoir pourquoi… jusqu’au jour où mes amis m’en ont offert un. Après un premier mouvement de recul, je m’y suis attachée.Et lorsqu’il m’arrive d’avoir des ennuis, je ne lui fais pas porter le chapeau ! »

L’éducation joue un rôle important. Car, malgré soi, on s’imprè­gne des pensées de ses proches.Si les parents sont plutôt du genre cartésien, donnant une explication logique à chaque événement, l’enfant aura moins tendance à recourir à la magie.« Même si les adultes ne s’expriment pas ouvertement sur leurs pro­pres superstitions, les enfants, qui sont de fins observateurs, perçoivent dans leurs comportements des indices de croyan­ces qu’ils reprennent à leur compte », souli­gne la psychologue. Et même si les parents ne sont pas superstitieux, il paraît bien difficile d’échapper aux messages envoyés par notre environnement.Les publicités pour le Loto nous font miroiter des gains fabuleux.Et chacun se demande : « Pourquoi pas moi ? »

C’est une façon de nous rassurer, de forcer le destin : nous aimerions décider de tout ce qui concerne notre vie privée et nos émotions. Et pourtant, ce n’est pas possible.

 3. SUPERSTITION: DES REPÈRES DANS NOTRE VIE

On ne se résigne pas au hasard, ni aux caprices du destin : nous nous arrangeons toujours pour lui donner un sens. Et nous interprétons ce qui nous arrive en fonction de nos croyances personnel­les . Quand on rencon­tre l’homme de sa vie, c’est grâce à no­tre bonne fortune.Si on se casse la jambe après être passé sous une échelle, c’est la faute au mauvais sort : ce n’était pas notre jour… Les superstitions sont des si­gnes qui nous aident à déchiffrer ce qui nous arrive. Elles forment des points d’ancrage qui nous guident au quotidien. 

« Quand j’aperçois un corbeau avant de me rendre à un rendez-vous, je reste sur mes gardes, confie Cécile. Au moment de prendre une déci­sion, je fais très attention à ces petits signes. Pour moi, il s’agit de messages qui m’annoncent les coups du sort. » 

Les superstitions évoluent avec la société. Aux croyan­ces traditionnelles s’ajoutent des « légendes » toutes personnelles que chacun s’in­vente en fonc­tion de son expérience, de son éducation… No­tre vie sem­ble ainsi plus fami­lière et plus rassurante.Tant qu’elles ne tournent pas à l’obsession, les superstitions ont donc quel­­­ques bons côtés à préserver.

Mais lorsque croyances et rituels deviennent des contraintes, il est nécessaire de consulter un spécialiste.

Voir le site de référence http://www.topsante.com/sante-au-quotidien

Publié dans:HUMANITE, POUVOIR, SOCIETE |on 22 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Bien-être et spiritualité

 

Par Roger Daulin

L’être humain est au cœur d’une Manifestation divine à laquelle il participe, et il contribue à sa pleine évolution.

Bien-être et spiritualité dans EXERCICES DEVELOPPEMENT 11

Un regard posé superficiellement sur notre univers conclut au fait qu’il est constitué de matière. Seul le niveau limité et fragmenté de nos perceptions nous fait percevoir les choses comme solides et distinctes les unes des autres… Mais le monde qui nous entoure, et l’être humain compris, est fait d’énergie. Chaque organisation vivante, qu’elle soit du monde minéral, végétal, animal, est constituée de particules plus ou moins denses, reliées les unes aux autres, en interactions permanentes. Dans le microcosme comme dans le macrocosme, dans notre corps comme dans l’univers, tout repose sur l’énergie. Le mouvement est énergie, la lumière, la chaleur, la pensée, la conscience, l’émotion sont également énergie.

Dans notre corps comme dans l’univers, tout repose sur l’énergie.

Nous vivons grâce et au milieu d’un tourbillon énergétique. Cette énergie vibre à des niveaux différents ce qui va lui confier des densités multiples allant de la plus grossière, de la plus dense à la plus légère, fine et subtile. Dans notre corps la structure osseuse est composée par une énergie dense, solide, alors que la pensée est plus fine, plus mobile, plus légère et jusqu’à la densité très subtile de la conscience. Tous ces différents niveaux vibratoires sont en mouvements constants. Si TOUT est énergie, tout est mouvement, et si tout est mouvement, tout est transformation. Toutes les Traditions parlent de deux dynamiques différentes, mais complémentaires et indissociables : l’orientation centrifuge et l’orientation centripète de l’énergie. La dynamique centrifuge nous pousse à nous préoccuper de ce qui se passe à l’extérieur, en dehors de notre corps, à nous identifier à ce que nous ressentons, à nous accrocher à nos pensées, à nos émotions. C’est l’attachement à tout ce que nous voyons, sentons, pensons. Dans ce mouvement nous nous éloignons de notre unité, de notre centre. La dynamique centripète en revanche nous ramène à l’intérieur. Notre mental ne s’attache plus, ou moins, aux pensées, nos ressentis ne pilotent plus à notre place notre vie. Nous percevons de façon élargie les sensations, nous accueillons les ressentis, nous acceptons que ceux-ci soient, mais sans se laisser entraîner, ou influencer notre vie, bref c’est dans ce processus de prise de conscience, de « dégagement » que nous pouvons parler de spiritualité.

Notre corps est ce lieu où l’attitude matérialiste et spiritualiste se rencontrent.

Quel regard portons-nous sur cette rencontre ? Comment se maintenir en lien avec l’Essentiel, dans ce qui n’a pas de contraire, de dualité, d’opposé ? Cela suppose un discernement entre ce qui est permanent (la Conscience) et ce qui ne l’est pas (les émotions les pensées, les ressentis, le corps…). Ce discernement provient d’un choix. C’est le choix du réel par rapport à l’illusion, à l’impermanence des choses.

Préparer le corps à retrouver l’unité.

Nous entrons de plain-pied dans l’espace de l’ÊTRE et non celui du FAIRE. Cet espace de l’Être est le fruit d’une progression qui s’appuie sur un « retrait des sens », sur une « non intention », sur un « désengagement » des ressentis perçus et éprouvés par le praticien en Massage Bien-Être. Il se doit de « pratiquer à reculons » c’est-à-dire de se donner les moyens de créer une distance, de créer un espace vide, espace d’où surgira la Conscience. C’est la conscience qui amène les résistances corporelles et psychiques à fléchir.

Elle seule peut inviter les résistances à fléchir, le corps à s’affranchir de ses rigidités et dans ce silence induit, quelque chose d’inattendu survient. Les défenses du corps et du mental deviennent labiles, moins réactives, elles laissent filtrer des informations vibratoires, unitives qui ont la particularité de réunifier et d’intégrer.

Le Bien-Être survient lorsque la personne se sent unie, non divisée donc non tendue, lorsque chaque spécificité de son corps se trouve rassemblée dans un Tout, lorsque chaque particularité de son tempérament s’imbrique dans un processus cohérent… Le Bien-Être c’est se sentir entier, complet, « rassasié », sans manque, et se percevoir plus près encore de l’Essentiel. Pour l’accompagnant en Massage de Bien-Être il s’agit d’évoluer dans une posture qui modifie le rapport à l’existence, qui accentue sa disponibilité à ce qui est, qui accueille sans jugement, sans pensée, sans raisonnement ce qui advient. Être le Toucher du Toucher !… Seule l’émergence de la Conscience permet d’éclairer ce qui se vit, s’entend, ce qui se touche, ce qui est touché. Grâce à cet espace vide issu du retrait intentionnel, le client comme l’accompagnant vivent l’entièreté de ce qui est là. La Présence, la Conscience génèrent une attitude intérieure qui permet au praticien de ne pas être le corps qu’il touche. C’est se détacher du corps de l’autre en pénétrant en nous-mêmes, à reculons. C’est la façon de vivre l’Essence du Toucher. Le détachement, plus encore que prendre du recul, c’est accepter que pour avancer, il faut savoir reculer.

Le massage Bien-Être peut être une voie d’évolution et d’accomplissement.

C’est une Voie qui engage dans le sens où elle nécessite pour l’accompagnant de se positionner, de trouver une place juste. C’est seulement à partir de cette place que l’accompagnant en Massage de Bien-Être s’expose à un consentement à ce qui dépossède et allège. C’est l’éloge « du moins », du creux, du vide… Dans ce « laissez-ouvert », le client tel qu’il est, avec ses failles et ses ressources, existe, se sent écouté et respecté. Cette altérité éprouvée au plus profond de son corps, ces effets de clarté et de prise de conscience que ce Toucher induit, cette spiritualité qu’il génère : le massage de Bien-Être devient ART DU TOUCHER.

Le geste juste symbolise et incarne la spiritualité. Il suppose une attitude éthique, responsable, et il passe par une ascèse, un travail de discernement quotidien. C’est un réel apprentissage pour passer d’une pratique de massage de confort à un accompagnement par le toucher de Bien-Etre. C’est l’art de se libérer des illusions, des tensions, des conflits internes, des processus de division et de rupture, générateurs de somatisations diverses… et d’accéder à une plus grande liberté de l’ÊTRE…<

Roger DAULIN propose des formation certifiantes en : Massages aux Pierres chaudes, Assis, Californien, Indiens, Ayurvédiques, Chinois (Tui Na), Equilibrage énergétique, Relaxologue corporelle…. mail :rogerdaulin@wanadoo.fr

Juger ou ne pas juger

…. telle est la question

« Ne jugez pas et vous ne serez pas jugé » a été préconisé durant des siècles. Pour la plupart des personnes cette doctrine a orienté leurs vies laissant peu de place pour la critique constructive, ou la révélation de la vérité. Le non-jugement est devenu une sorte d’habitude voire de réflexe culturel et juger les autres pour leurs mauvaises idées et actions impolies, incorrectes a été considéré contraire à la morale, indépendamment de la nature de ces actions et de ces idées. La plupart des personnes recourent au silence, pensant que s’elles osent juger, elles endommageront les sentiments d’autrui, provoqueront une réaction Juger ou ne pas juger dans HUMANITE petit-71agressive et créeront une situation désagréable. Se vouloir aussi neutre que possible est parfaitement excellent. Mais qu’arrive-t-il quand nous sommes confrontés au dilemme de se taire et rester neutre, ou proclamer courageusement la vérité?

Quand Jésus a visité Jérusalem et a vu tous les marchands dans le Temple, Il s’est mis en colère et les a fouettés en les chassant du temple. Son action était justifiée parce qu’Il vit les méfaits et décida que la chose juste à faire était de les renvoyer. Jésus était critique et personne ne peut nier qu’Il a fait le bon choix, la chose appropriée; pourquoi ? Parce que Son jugement était fondé sur la Vérité et non juste sur la critique.

Se vouloir neutre a trop bien servi nombre de gens à se défausser et à permettre aux Forces Sombres de déployer leurs plans. Mais qui sont-elles ? La liste en est très longue, mais je peux donner quelques exemples : les leaders religieux, empereurs, rois, les leaders de pays, les leaders d’armées, politiciens, banquiers. Le dogme du non-jugement leur a donné « le feu vert » pour appliquer leurs ordres du jour, sans résistance du peuple. Ces forces-là sont les changeurs, les échangeurs de monnaie des temps modernes. En enjambant les cadavres, ces gens essayent de collecter et rassembler à leur profit, la richesse et le pouvoir de la planète. Presque personne n’ose juger leurs actions, sans quoi on les considérerait politiquement incorrects. Ne faisant rien, nous devenons les victimes de leur soif d’argent et de pouvoir et en réalité nous servons à atteindre leur but. Devons- nous sceller nos lèvres en essayant d’être « politiquement corrects »? Devons-nous oser proclamer que l’empereur est nu, ou suivons-nous la pratique de l’adage « le silence est d’or »? Quelqu’un pourrait dire : « comment puis-je savoir quelle est la vérité? » Parfois, il est très difficile de distinguer entre la vérité et le mensonge. La plupart du temps ce l’est toujours, bien qu’il y ait des signes, des drapeaux rouges s’agitant devant nos yeux. Certains reconnaissent ces signes plus aisément que d’autres. Les Maîtres de Sagesse déclarent clairement dans leurs enseignements qu’il est essentiel de dire la vérité sagement. Si l’étourderie prévaut, donc révéler la vérité peut devenir un outil pour les égarés, les Forces Sombres comme nous les appelons. La perspicacité est obligatoire. La considération des faits, dégagés de toutes émotions est nécessaire, prenant les Lois Cosmiques en compte. N’importe quelle action, ou l’idée, qui suit les préceptes des Lois Cosmiques, ne pourra faire qu’une seule et unique chose : servir l’humanité. Être critique en servant les moyens de Vérité qui s’attachent à servir l’humanité, aussi longtemps que c’est accompli pour de justes raisons.

Je vous laisse avec la même interrogation par laquelle je vous ai interpellé au commencement : juger, ou ne pas juger?

Stavros Eleftheriou et l’équipe éditoriale de la fondation Sanctus Germanus http://www.sanctusgermanus.net/french/messages/Juger,%20ou%20ne%20pas%20juger,%20telle%20est%20la%20question.html

Publié dans:HUMANITE, SOCIETE |on 7 avril, 2013 |Pas de commentaires »
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