Archive pour la catégorie 'HUMANITE'

Accueillir son masculin

429900_3251364564532_1279548853_33432017_1772407729_n« Nous vous avons souvent parlé de victoire et nous vous avons dit qu’elle pulsait déjà dans chacune de vos cellules et dans chaque particule de vie. Mais nous observons que certains doutent encore de l’extraordinaire bascule qui prend place actuellement. Depuis des années, nous évoquons le retour du féminin sacré, le retour de la mère Divine. Sachez que la vague d’amour que cela a provoqué dépasse vos entendements Le coeur de l’Humanité s’ouvre à la beauté d’une autre réalité et chaque coeur qui s’ouvre devient un flambeau de lumière pour ses frères de la Terre. Voilà où se tient la bascule. Voilà où se tient la victoire 

Le retour du Féminin Sacré ne peut se faire sans la complétude du masculin sacré. Pour se faire, le masculin sacré doit reprendre sa juste place. Cette fête des pères qui s’annonce, s’inscrit alors que le soleil est à son zénith, le soleil lui-même est considéré à travers le monde comme étant l’expression du puissant Père Divin. De ce fait, le 21 juin est un important moment de guérison, un moment de transmutation permettant une avancée dans la réintégration du masculin divin. L’humanité peut aujourd’hui accueillir le retour de ces belles énergies masculines. La nouvelle lune succèdera à cet événement et sera telle une caresse restaurant le retour du Masculin Divin. 

Pour les accueillir il est essentiel que chacun reconnaisse en soi et en l’autre, la partie sacrée de ce masculin. C’est pour cela qu’il est grand temps de poser un autre regard sur les hommes, il est grand temps pour ceux qui avancent sur le chemin de l’éveil de ne plus juger l’homme dans ces distorsions mais de pointer haut et fort la beauté et la force qui battent en eux et qui ont toujours étaient là. Tant de fois nous vous entendons dire encore : « A les hommes, ils sont ainsi, A ces hommes ! ». Vous vous méprenez et en agissant ainsi vous ne faites que renforcer la partie obscure qui tente désespérément de guérir ! Ne portez plus votre attention sur leur médiocrité, leurs limitations, leur vulgarité, mais prenez plaisir à débusquer leurs talents, leurs valeurs et leurs aspects positifs. Les hommes souffrent d’être enfermés dans des schémas qui ralentissent leur évolution. Vous qui savez, vous avez la responsabilité de pointer chez l’homme sa partie pure et belle. Chacun de vos regards compatissant les transformera et permettra la résurgence de qualités que vous ne soupçonnez peut être plus. L’homme a besoin pour guérir de considération et d’intentions bienveillantes. 

Il n’est rien à attendre d’eux si ce n’est la réaction magnifique et spontanée que déclenchera une révérence tant de fois espérée. Nous honorons le précieux masculin qui est votre force, votre protection  et votre ténacité. Nous vous chérissons et nous vous soutenons à chaque instant. 

Nous sommes vos frères de Lumière. » 

Par les frères de lumière – Issu du Magazine Vivre Sa Légende

 

Publié dans:GUERISON, HUMANITE |on 21 décembre, 2014 |Pas de commentaires »

Un autre imaginaire

 

images (8)L’imaginaire est la voie royale vers l’inconscient. Dans une optique psychanalytique, l’imaginaire n’est ni illusoire ni mensonger, ce mot désigne tout ce qui se manifeste par des images : les songes de la nuit, les rêveries de la journée, les fantasmes et les mythes, ces éléments collectifs dont, selon Jung, nos âmes ont besoin pour se nourrir spirituellement. Et n’oublions pas que, pour les psys, les fictions ont elles aussi une valeur de vérité : les petites histoires que nous nous racontons, les pensées vagabondes qui nous accompagnent tout au long de la journée, les scénarios que nous forgeons véhiculent nos désirs inconscients et des pans enfouis de notre personnalité. Même s’ils nous semblent absurdes, ils ont l’utilité de nous remettre en contact avec le petit enfant que nous avons été. « L’image est une force agissante, il est légitime de la faire agir », écrivait le psychanalyste Charles Beaudoin (In De l’instinct à l’esprit- Imago, 2007). Des techniques telles que l’hypnose, le rêve éveillé, la visualisation ou les tests projectifs s’appuient justement sur son pouvoir créateur.

Le refuge de notre mauvaise foi ?

 « Je ne crois pas en l’existence de l’inconscient, affirme le philosophe Robert Misrahi. Nous sommes toujours conscients, présents à nous-mêmes. L’inconscient n’est que le nom que nous donnons à nos obscurités, à nos complicités, nos passivités et nos ignorances. » (In Savoir vivre, manuel à l’usage des désespérés, entretiens avec Hélène Fresnel – Encre marine, 2010). Pour de nombreux penseurs, en particulier Jean-Paul Sartre, l’idée d’un inconscient n’est qu’un prétexte pour démissionner en tant qu’humain responsable. C’est le refuge de la mauvaise foi et de la lâcheté : « Je ne savais pas ce que je faisais, ce n’est pas moi, c’est mon inconscient. » En réalité, Freud nous invite à rendre l’inconscient le plus conscient possible. Pour son héritier, le psychanalyste Jacques Lacan, nous sommes responsables de lui. Nous avons à en répondre, ce qui signifie que nous devons connaître et affronter nos pensées et nos fantasmes inavouables, même si cela nous coûte moralement. C’est tout l’objet de la cure analytique.

 

Une zone dans notre cerveau ?

« Les avancées des neurosciences, les sciences du cerveau, confirment les intuitions de Freud sur la réalité de l’inconscient, assure Boris Cyrulnik. Et les théories analytiques permettent aux neurobiologistes de mieux saisir ce qu’ils observent. » Loin d’enterrer Freud, de nombreux neurobiologistes tels Jean-Pol Tassin, ou neurologues tels Lionel Naccache, auteur du Nouvel Inconscient (Odile Jacob, 2009) vérifient ses hypothèses depuis plusieurs décennies. Il n’existe pas à proprement parler de siège central de l’inconscient. Mais trois zones cérébrales sont impliquées dans les processus inconscients : les structures limbiques (le royaume des émotions et de la sensibilité affective), les zones associatives du cortex ou` se créent les liens entre les idées, les mots et les choses, et les aires sensorielles. Le développement de la neuropsychologie permet également de mieux comprendre pourquoi nos conflits psychiques se traduisent si fréquemment par des maladies psychosomatiques, des douleurs physiques. En effet, le cerveau traite les mots exactement comme les sensations physiques. Une insulte est ressentie de la même facon qu’une gifle. Cette analogie explique pourquoi, après un choc, au lieu d’être malheureux, angoissé, nous pouvons nous sentir relativement serein… tout en nous mettant curieusement à souffrir de dorsalgies, de migraines ou de douleurs abdominales.

Un inconscient du corps ?

Les recherches actuelles le montrent : l’inconscient, ce n’est pas seulement « dans la tête », c’est toute une organisation psychocorporelle. Depuis la fin des années 1980, les neurobiologistes se penchent sur un deuxième inconscient, « cognitif ». Comme le décrit Boris Cyrulnik, il s’agit d’une mémoire purement corporelle, sans souvenirs, sans désirs secrets ni pensées honteuses. C’est grâce à lui que nous accomplissons les gestes du quotidien : nous laver les dents, sortir de chez nous, sauter dans le métro, rentrer, composer le code de la porte d’entrée sans même nous souvenir des chiffres, automatiquement, sans y réfléchir. Cet inconscient « corporel » explique aussi pourquoi sans le vouloir beaucoup d’enfants maltraités deviennent des adultes maltraitants. Ils ont intégré dans leur corps les gestes de la violence. Il peut également rendre compte des fausses allégations : une femme peut, par exemple, porter plainte « aujourd’hui » pour viol et éprouver le fait d’avoir été violée parce qu’elle l’a réellement été « dans le passé ». Son inconscient cognitif ayant conservé la trace du drame, il aura suffi que le sourire d’un homme dans le métro lui rappelle celui de son agresseur pour réactiver le drame. Si nous voulons vraiment comprendre nos émotions, nos vrais désirs, sortir de la spirale infernale de l’échec et nous épanouir, il est urgent d’accepter d’écouter notre inconscient.

 A lire

La Transcendance de l’ego de Jean-Paul Sartre (Vrin, 2003)

Publié dans:GUERISON, HUMANITE |on 17 décembre, 2014 |Pas de commentaires »

que votre perception s’ouvre sur de plus larges perspectives

« Allez en profondeur, élevez-vous très haut  ! «  

« Bien Aimée Famille de Lumière, en ces moments de changement et de transformation, nous vous observons et nous voyons que beaucoup d’entre vous accueillent la Nouvelle Energie provenant du Coeoeoeoeur Cosmique qui se présente à vous à chaque instant. 

download-1Nous observons la façon dont vous vous expansez, dont vous grandissez et dont vous évoluez et sincèrement nous applaudissons vos progrès. Maintenant nous vous suggérons d’entreprendre une autre bascule et de vous autoriser à plonger encore plus profondément, à voler encore plus haut et à percevoir au plus près, la vérité de l’Amour et de la Sagesse. Tentez de faire l’expérience, encore et encore de qui Vous êtes vraiment. Bien Aimés ceci n’est pas une tâche difficile, il suffit de laisser votre corps de Lumière agir en votre ADN. Car il est vraiment temps d’aller au-delà des vieilles façons d’être et de vivre. Il est temps d’embrasser les possibles et les probables de la Nouvelle Réalité. 

Tout d’abord, nous vous suggérons de plonger encore et encore dans les profondeurs de votre Coeoeoeoeur, de Votre Âme et de votre Être. Là, faites l’expérience de votre richesse d’Amour, de connexion et d’intimité qui vous sont maintenant accessibles. Nous vous avons déjà dit que cette année 2010 serait l’année où vous devrez reconsidérer toutes vos relations, vos associés et votre entourage car il vous faudra vous réaligner à l’Harmonie et à la Volonté Divine. Au coeoeoeoeur de la DIVINE Harmonie vous rencontrerez la puissance de L’Amour Divin. 

Bien Aimés, alors que vous avancez vers la Cinquième Dimension, vous allez redéfinir les relations, toutes formes de relations afin de pouvoir exprimer un Amour Inconditionnel, engagé et dont l’intention est pure. Ce sera un amour qui honorera Les aspects Cosmiques et l’Humain.  Nous vous suggérons encore de redéfinir l’Amour et toute forme de relation à un plus haut niveau de connexion dans la Joie et la Révérence. Songez à la puissance de l’intention, à la puissance de l’engagement, à la force de la transparence et de la grâce car ces vibrations seront celles qui vous uniront dans la Nouvelle Terre. 

Dans un premier temps l’Intention est une phase importante de la relation. Les âmes s’attirent dans un but précis d’évolution. Une âme sage définira et exprimera ses intentions envers toute relation. Posez-vous certaines questions : Que représente cette relation ? Et comment est-ce que je la vis ? » Bien sûr, les relations changent et évoluent, mais c’est l’intention qui guidera l’évolution de toute relation. Si les âmes sont claires sur leurs intentions, elles auront bien plus de chance de connecter dans l’harmonie et ne feront plus l’expérience d’émotions denses comme les peurs, la manipulation ou l’anxiété. Les attentes n’existeront plus. 

Lorsque l’intention est déterminée, elle devrait être honorée en y étant fidèle et en intensifiant votre attention. Ceci a été perdu ou si mal compris depuis si longtemps. L’engagement est l’expression du choix et il ne signifie pas, en aucun cas « posséder ». Cela signifie que, dès lors que l’intention est définie, tel un contrat d’âme, elle doit être honorée dans l’intégrité. Ceci crée la Confiance et la Paix qui font émerger Harmonie et Joie. Ce processus entraine encore plus de Communion, bien plus de Partage et davantage de Joie. 

La Transparence en devient l’un des aspects. L’honnêteté et l’Unité devraient être au coeoeoeoeur de toute relation. Quand tout est libre, quand rien n’est caché, la Confiance s’épanouit créant une intimité d’une très grande qualité. DANS les nouvelles énergies, où vous apprenez à ressentir avec empathie, vous saisirez immédiatement l’intention de ceux que vous croiserez. Quand la relation est honnête, la sensation de liberté est immense, ceci vous offre la possibilité d’être vous-même, affranchi de toute peur. Bien Aimés quand vos partenaires agissent ainsi, la grâce Divine est présente. La Grâce Divine est une énergie d’Amour Inconditionnel Absolu, Il en découle alors une Joie, une Paix et une Harmonie délicieuses. Dans la Nouvelle Terre, que vos désirs et vos intentions soient empreints de Grâce Divine. Immergez-vous dans votre coeoeoeoeur afin d’y rencontrer cet Amour nourrit d’empathie qui favorisera la Communion, Communion qui transformera votre vie. Voilà l’essence de toute relation. 

Alors Bien Aimés, imaginez que vous êtes tels des Dauphins et que vous plongez profondément dans l’Océan des Sentiments et des Emotions de l’Amour Divin. Cela peut être l’expression ludique et joyeuse de la Lumière qui pétille en vos Coeoeoeoeurs. Puis imaginez que vous êtes tels un Aigle et que vous vous envolez très haut dans les Cieux. Que verriez vous de là haut, encore plus haut ? Ne verriez vous pas les choses différemment ? N’auriez vous pas d’autres perspectives à propos de vos vies ? 

Sincèrement, vos âmes peuvent être comme des oiseaux dont le but est de voler haut. 

Une toute autre perspective réajuste les Sentiments et les Emotions lovés dans vos coeoeoeoeurs et créent de ce fait un alignement entre votre corps et votre âme ou entre le Ciel et la Terre. Alors que vous prenez le temps de redéfinir comment vous allez exprimer l’AMOUR, apprenez également à vous hisser au-delà des considérations physiques et demandez-vous : Que ressent et que voit mon âme ? Hissez-vous et contemplez tout cela. Alors que vous prenez l’habitude d’observer d’une plus haute perspective, vous vivrez en pleine conscience et vous verrez enfin avec les « yeux » de votre âme. Vous exprimerez ainsi la Divinité que vous êtes. 

Bien Aimés, nous vous partageons cela car vous êtes encore nombreux à « patauger » dans vos relations, qu’elles soient professionnelles ou personnelles. Vous vous raccrochez encore aux vieux schémas, aux peurs de la troisième Dimension. Vous vous enlisez dans les colères, les manques, les frustrations, les conflits alors que votre âme vous invite à vivre l’Harmonie et la Joie. Nous vous répétons encore et encore, tout simplement, faites les choix qui vous hissent et hissent vos énergies vers une Divine Harmonie. De cette nouvelle perspective, quels choix devez-vous faire ? 

Sachez que votre Âme désire s’aligner à votre Esprit, alors désirez avec les Yeux du coeoeoeoeur, les yeux de l’Amour et de la Sagesse, vous exprimerez ainsi l’Amour inconditionnel et l’Harmonie dans tous les aspects de votre Vie. Il est temps que vous déployez vos ailes et que Vous soyez Tout ce que Vous Êtes ! En ce Mois d’Avril les énergies seront intenses… 

Nous vous souhaitons une Divine Harmonie et une Grâce Infinie. 

Je suis L’Archange Michaël ». 

L’Archange Michaël paru au magazine Vivre sa Légende – Par Celia Fenn traduit par Dominique-Claire Germain

Publié dans:CHANNELING, HUMANITE |on 14 décembre, 2014 |Pas de commentaires »

Maintenez une haute Vision de vous-mêmes

 

images (1)Parce que les temps sont exceptionnels, les Êtres de Sphères Supérieures nous demandent de maintenir toute notre attention sur la Lumière. Même au cœur de l’adversité, il est fondamental que nous utilisions de façon constructive, nos pensées, nos mots, nos émotions et nos actions afin d’accroître notre potentiel et créer dans notre vie ce que nous désirons et ce que nous souhaitons voir se manifester dans le monde. Si nous portons notre attention sur nos peurs et sur les événements négatifs qui émergent pour être transmutés, nous donnerons plein pouvoir à ce que nous ne souhaitons pas et nous alimenterons ce que nous souhaitons voir disparaître de la Planète. 

Rappelez-vous : chacune de vos pensées, chacun de vos mots, chacune de vos émotions et chacune de vos actions, accroissent la Lumière ou bien nourrissent la négativité. Prenez pleinement conscience de cette Vérité et maîtrisez votre attention ainsi que vos intentions à chaque instant. 

Pour vous aider dans le processus, je vais expliquer à nouveau la notion du «Point Critique » Atteindre le « Point Critique » Dès que nous désirons changer nos vies, nous observons qu’un phénomène se met en place qui engendre beaucoup de frustrations et qui nous plonge dans le douloureux sentiment de perte de pouvoir. Ce phénomène est appelé : le Point Critique, le point de bascule, le point de non retour Quand nous nous éveillons, nous prenons conscience du pouvoir de nos pensées et de nos émotions. Il nous apparaît évident et important de faire attention à nos attitudes et à ce sur quoi nous portons notre attention. Alors, nous nous disciplinons et nous nous appliquons à penser de façon positive. 

Nous mettons tout notre coeur à maintenir des pensées et des émotions qui nourrissent ce que nous désirons voir se manifester dans nos vies. Nous posons une belle Vision et nous ajoutons aux images pleines de sentiments et de sensations agréables. Nous méditons, nous affirmons, nous créons de belles formes pensées … Et, nous faisons tout cela avec beaucoup d’enthousiasme.

Mais souvent, après bien des efforts, nous expérimentons encore et encore les mêmes difficultés et les mêmes problèmes. 

Ces situations qui se répètent malgré notre bonne volonté nous plongent dans un découragement qui nous pousse à croire que nous ne sommes pas capables de changer de vie. A ce stade, nous pensons que nos efforts sont vains. Alors, nous décidons d’abandonner le processus et nous cessons de faire en sorte que nos vies deviennent meilleures. 

Quand nous abandonnons notre Vision ainsi que nos espoirs, nous régressons dans des formes pensées négatives. Nous replongeons dans nos peurs, nos problèmes et nos défis, au lieu de nous concentrer sur nos rêves, nos buts et nos aspirations.. 

Cette tragique rechute nous conduit souvent à vivre des expériences bien plus douloureuses qu’auparavant. Tout semble alors inextricable Une fois que nous comprenons le phénomène du Point Critique, cela nous redonne le courage de persévérer jusqu’à l’accomplissement de nos désirs. Nous avons, alors, la volonté de rester centrés sur nos aspirations et donc sur la Lumière, même si tout semble échouer. (Ce sentiment d’échec est TOUJOURS une illusion).  Tout est fait d’énergie, de vibration et de conscience. Quand on se penche sur les théories de la physique quantique, nous constatons que : dès que quelque chose atteint le Point Critique, s’en suit une bascule que l’on ne peut arrêter. Par exemple, si la vibration d’un électron s’accélère, au moment où il atteint le Point Critique d’une vibration supérieure, l’électron s’élève à une nouvelle fréquence. Dès que l’électron atteint Le Point Critique, rien ne peut empêcher la bascule vibratoire. 

Le Point Critique est très complexe et reste unique à chaque situation. Les Êtres de Lumière ont précisé que ce point était atteint quand 51 % de l’énergie était franchie dés lors que nous portons notre attention sur un point particulier. Par exemple, quand 51% d’un électron vibre à une fréquence supérieure, les 49% restant sont instantanément élevés dans la nouvelle vibration !

D’accord, mais comment cela affecte-t-il notre capacité à transformer nos vies ?

Alors que nous faisons tout ce qui nous est possible pour améliorer nos vies, la même loi observée dans la physique quantique s’applique dans notre processus d’évolution. Ces Lois Universelles, nous y sommes TOUS soumis. Quand nous renforçons notre vision, ou notre forme  pensée, le moment où l’on atteint le Point Critique, au niveau vibratoire, il se produit un alignement avec notre Vision, à ce moment précis, RIEN ne peut empêcher la manifestation de cette Vision ou de cette forme pensée. Le problème est que nous ne savons jamais si nous sommes ou pas sur le point d’atteindre le Point Critique. 

Bien souvent, il n’y a pas de signes extérieurs qui pourraient indiquer que nous sommes au seuil de ce Point Critique. En fait, bien souvent, il semble qu’on en soit même loin et que la transformation n’est pas à l’ordre du jour. Pourquoi cela? 

Parce que Notre Présence Divine nous présente toutes les opportunités   possibles pour que nous puissions transmuter les blocages et les résistances.

Tout doit être nettoyé. Alors, quand cela se produit, nous nous sentons « dépassés », et parfois accablés. Nous en déduisons, à tort, que nos efforts sont vains, et hélas, nous abandonnons. 

Les Êtres de Lumière nous ont souvent confirmé que nous n’étions parfois pas très loin de cet instant de bascule et que notre but était sur le point de se réaliser.Parce que nous n’en avions pas conscience, nous sommes retombés dans les schémas limités et nos rêves sont restés à l’état de rêve. Nos vies n’ont pas évolué et nos espoirs se sont envolés. 

Tentons de ne pas laisser ce scénario se reproduire. 2008 a été l’année de nouveaux commencements et l’Assistance des Sphères Supérieures, dont nous bénéficions, n’a jamais été aussi importante.  Concrètement, le Point Critique signifie que lorsque nous nous efforçons de créer l’abondance dans nos vies, vient le moment, où nos pensées, nos mots, nos émotions et nos actions, vibrent avec une telle intensité que les événements de nos vies basculent. Très rapidement, nous commençons à faire l’expérience d’une douce Abondance! 

Dès que le point critique de notre énergie est centré et aligné à l’estime de soi et à l’amour, nous attirons des relations agréables. Dès que le point critique de notre énergie est centré sur la Paix, l’Harmonie et l’équilibre, nous manifestons ces divines qualités au quotidien. 

La clef de notre réussite réside sur ce fait: Nous devons persévérer et persévérer encore, même si tout semble difficile ! Il est important que nous comprenions que la Lumière est bien plus puissante que nos distorsions humaines (volontairement créées ou pas). La pauvreté n’a aucun pouvoir sur l’Abondance ! Notre Potentiel Divin est infiniment plus puissant que la maladie, l’échec, les conflits, la haine, l’envie, la corruption, la guerre ou tout autre disfonctionnement que l’on peut observer. 

Si nous maintenons notre attention sur la Lumière, et si nous concentrons notre énergie seulement sur les événements positifs que nous désirons voir se  manifester dans notre monde, nous manifesterons notre vision et nos rêves bien plus rapidement que ce que nous pouvons l’imaginer. Quoi qu’il en soit, n’abandonnez pas ! Parce que ces temps sont cruciaux, cette information nous est transmise directement par Les Êtres de Lumière. Elle a pour objectif de nous rappeler que si nous désirons changer nos vies, nous pouvons le faire et que cela est possible et vrai pour tous, sans exception. 

Il n’est pas nécessaire de croire et d’adhérer aux Lois Universelles, mais quoi qu’il en soit, nous y sommes tous soumis. Par conséquent, il est plus aisé pour chacun de coopérer avec Elles. Nous n’avons pas besoin de croire que chacune de nos pensées, chacun de nos mots, chacune de nos émotions et chacun de nos actes ont un impact dans le monde puis nous reviennent amplifies, car dans tous les cas, cela se produit que l’on y croit ou pas ! 

Il est important de reconsidérer les événements et d’accepter que nous avons la responsabilité d’agir pour une vie meilleure. Quand, délibérément nous mettons toute notre énergie à vouloir transformer positivement nos vies ainsi que la Vie sur Terre, nos efforts sont grandement amplifiés par la Lumière de Notre Présence Divine JE SUIS. Si nous invoquons l’Assistance des Êtres de Lumière, notre Victoire est assurée. 

Alors, ne vous découragez pas! 

Par Patricia Diane Cota-Robles

Traduit par Dominique-Claire Germain

Source : Magazine « Vivre sa Légende »

Publié dans:ENERGIES, HUMANITE, PENSEE |on 22 novembre, 2014 |1 Commentaire »

L’énergie changeante du Recalibrage

 

 

images (1)Salutations, très chers. Je suis Kryeon, du Service magnétique. Le message de ce soir porte à nouveau sur le recalibrage de soi. Ce message demande de dépasser ce que j’appelle la réalité de survie afin d ‘accéder aux potentialités – mais sans preuve structurelle – car ce ne sont pas des attributs tridimensionnels. Toutefois, ils sont essentiels à votre recalibrage personnel.

En résumé, je dirai que la canalisation de ce soir constitue la suite de celle d’hier et, tout en étant succincte, elle sera complète. Cependant, si vous deviez écouter les deux canalisations à la suite, celle-ci sera encore plus complète. Avant de commencer, laissez-moi vous résumer l’information d’hier.

L’énergie de la planète est en changement, mais vous ne pouvez pas encore l’identifier. D’ailleurs, que veut dire le mot « énergie » pour vous. La plupart des gens décrivent celle-ci comme de l’électricité ou comme une certaine impression d’un lieu. Vous ne pensez pas que l’énergie émane régulièrement d’un humain. Lorsque vous étiez enfants, on ne vous a pas enseigné l’idée que l’humain transmet et reçoit  continuellement certains types d’énergies multidimensionnelles. En prendre conscience, c’est inviter maintes gens à vous trouver bizarres, étranges et tordus. Car vous ne pouvez donner à l’énergie aucun attribut reconnaissable et confirmé qui soit cohérent et constant. Cela dépasse donc les limites de ce qui, selon vous, est raisonnable, formulé, empirique, vérifiable. Alors, comment utiliseriez-vous une chose dont vous ne saisissez même pas l’existence ? C’est difficile, mais c’est ce que nous vous demandons de faire.

De plus, des choses restreignent votre croyance ou sont reliées aux préjugés humains. Vous êtes ancrés dans la tradition et souvent dans la mythologie (les choses se déroulent comme on vous l’a enseigné). Nous en avons parlé hier soir. Nous vous avons demandé comment vous percevez la lumière et l’obscurité. Puis, nous vous avons encouragés à comprendre que l’obscurité n’a aucune intelligence. Nous savons que vous accordez de l’intelligence à ce genre de choses, parce que c’est dans votre tradition et c’est simple. Lorsque vous sentez de la résistance, vous l’attribuez à une entité au lieu de comprendre que cela pourrait tout simplement être l’énergie qui fonctionne d’une certaine façon.

Un résumé de la lumière et de l’obscurité

Une fois de plus définissons la lumière et l’obscurité. La lumière a un attribut actif, contrairement à l’obscurité. Par conséquent, l’obscurité est l’absence de lumière. Si nous vous disons qu’il doit y avoir un nouvel équilibre entre la lumière et l’obscurité, vous répondez : « Je comprends cela ». Le mal changera-t-il ? Viendra-t-il d’autres directions ? Humains, pourquoi êtes-vous si déterminés à donner des attributs personnels à une réalité physique ? Si vous posez votre main à un endroit et que vous sentez que quelque choses d’invisible la repousse, souvent vous réagissez en ayant la chair de poule et en demandant ; « Qui est-ce «  ? C’est plutôt drôle. Laissez-moi vous poser une question. Lorsque vous sautez en l’air et que la gravité vous fait redescendre, avez-vous un frisson en demandant : »Qui est-ce «  ? Avez-vous peur ? Non. Vous n’êtes pas si bêtes, car vous avez connu la gravité toute votre vie. Vous ne lui avez pas attribué d’entité, n’est-ce pas ?

Lorsque vous travaillez en laboratoire avec le magnétisme, et que vous tirez parti de la capacité du positif et du négatif de repousser et d’attirer, vous trouvez merveilleuse cette énergie invisible. Avez-vous donné des noms à tout cela ? Non. Seuls les humains ignorants du passé l’ont fait, sans comprendre. Ils n’ont pas passé leur vie avec des aimants qui se repoussent et s’attirent. Ce que les scientifiques parmi vous voient en laboratoire, sur le plan atomique, ce sont tout simplement différents atomes qui cherchent à s’équilibrer. Ils sont continuellement attirés et repoussés au moyen d’un processus d’énergie inégale qui essaie de s’équilibrer. C’est de la physique. C’est de l’énergie. Et ces atomes tenteront toujours de trouver une structure atomique équilibrante. C’est une question d’équilibre et de magnétisme.

Je vais vous dire la vérité, chers amis. Aucune entité négative n’essaie de vous bousculer dans la vie avec des cornes et une queue. Mais des choses vous tiraillent que vous ne voyez pas et vous voulez croire qu’elles sont en vie. Voici la vérité : la lumière et l’obscurité sont des attributs de la conscience humaine et de votre monde qui collaborent à la création d’un système qui vous influence. Mais aucune « entité obscure ne menace votre âme ».

 

Source : http://francesca1.unblog.fr/  

Texte issu du Livre : « Recalibrage de l’Humanité – Le début d’un nouveau cycle évolutif » – TOME XI de KRYEON aux Editions Ariane 2014 

Nous pouvons en discuter ensemble sur http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Publié dans:HUMANITE |on 6 novembre, 2014 |Pas de commentaires »

POUR UNE HUMANITE CONSCIENTE

 

 

MEDECINE HOLISTIQUE ET CHAMANISME

retouralasource Andre Le VerreQ : Vous faites partie des pionniers dans le domaine des médecines alternatives du monde francophone, et peut-être d’Europe. Comment a débuté ce parcours ?

Tal : J’ai fait mes études de médecine à Genève. Après une année d’hôpital, je me suis installé comme médecin généraliste et j’ai mis en pratique ce que j’avais étudié. Un jour, j’ai appris que les anciens homéopathes testaient sur eux-mêmes les médicaments qu’ils prescrivaient. Je me suis demandé ce qui se passerait si je prenais du Valium, le Prozac de l’époque. J’en ai pris pendant 3 jours et je suis senti très mal. Je me suis alors rendu compte que la médecine enseignée dans les universités servait à poser des diagnostics puis à soigner les patients d’une manière qui les maintenait dans la maladie ! Ce fut un choc. Je me suis donc intéressé aux médecines douces. Je suis devenu acupuncture, homéopathe, j’ai testé la plupart des diététiques qui existaient…

Q : Vous avez donc repris des études avec chaque nouvelle discipline…

Tal : Effectivement, j’ai suivi une formation dans toutes ces médecines qui ne sont pas enseignées à la faculté ainsi que dans les médecines énergétiques, les psychothérapies humanistes et transpersonnelles ainsi que toutes les méthodes permettant d’ouvrir son cerveau droit, ce qu’on regroupe sous le terme de chamanisme.

Q : Quel fut l’autre tournant de votre carrière ?

Tal : Dans les années 75, après 7 ans de médecine, j’ai dit un jour à mes patients que je ne voulais plus seulement être thérapeute, je voulais devenir éducateur de santé, leur montrer comment gérer eux-mêmes leur propre santé. J’ai créé le slogan : « La santé, ça s’apprend ». Car il est essentiel de sortir du mythe qui consiste à croire que les traitements guérissent. C’est une des grandes illusions de notre époque. Les traitements peuvent soulager, faire du bien, aider, mais la guérison, c’est le corps qui la produit lui-même. L’archétype du système de consommation et de dépendance médicale, c’est un patient qui obéit aveuglément à un médecin qui est censé tout savoir. Je voulais que mes patients deviennent leur propre médecin. Je me suis passionné par le côté éducatif de la médecine. A cette époque, j’ai découvert la médecine holistique des anciennes traditions. Elle prend en compte l’individu dans sa globalité physique, émotionnelle, mentale et spirituelle. Il est certain que la médecine moderne fait du très bon travail dans les cas d’urgence. En revanche, les maladies chroniques proviennent d’une intoxication globale que les traitements chimiques ne font qu’aggraver. Tandis que la médecine holistique va enseigner au patient les lois universelles de la santé sur tous les plans de l’être.

Q : C’est à cette époque que vous avez ouvert la « Fondation Soleil » à Genève ?

Tal : Nous avons lancé le concept d’éducation à la santé avec ma première épouse. Beaucoup de gens ont aimé l’idée et nous ont soutenus. Nous avions une dizaine de bâtiments à Genève avec une bibliothèque, des cours, des jardins bio, une dynamique pour éduquer à prendre sa santé en main. La fondation a rencontré l’enthousiasme du public et des médias pendant une dizaine d’années. Malheureusement, ce succès a inquiété l’industrie pharmaceutique et nous avons subi une forte opposition qui nous a conduit à dissoudre cette fondation. C’est l’un des drames de notre époque : le système médical est sous la tutelle de l’industrie pharmaceutique qui dit que les médicaments sont la seule façon de se soigner, de guérir. C’est un mensonge dont on voit les conséquences aujourd’hui : le corps humain est gravement intoxiqué par la chimie industrielle, qu’elle soit médicamenteuse ou alimentaire. En réalité, ces multinationales n’ont aucun intérêt à ce que les gens soient en bonne santé, au contraire : « Soyez malades, l’industrie pharmaceutique a besoin de vous ! » J’avais écrit cette légende sous un dessin humoristique. Mon grand bonheur, c’est de voir des personnes guérir de maladies graves par une démarche personnelle. Etudions ce que font les gens qui guérissent, quel est leur mode de vie. C’est ce qui me passionne depuis 40 ans. Si la vie que l’on mène va contre la santé, que peut faire un traitement ? Quand on change son mode de vie, quand on arrête de manger n’importe quoi, quand on apprend à gérer ses émotions et ses pensées, quand on s’ouvre au contact avec les mondes spirituels, on devient l’artisan de sa santé et de son bien-être.

Q : Depuis toujours, vous accordez une grande importance à l’alimentation.

Tal : Tout à fait. Dans mes livres, je présente les lois fondamentales de l’alimentation. Je déplore le fait que les grandes organisations internationales ne disent rien sur ce que devrait être l’alimentation d’un être humain. Ainsi par exemple, les organisations d’entraide continuent à distribuer du lait en poudre à des gens que cela rend malades, elles n’ont aucune notion de diététique qualitative. Elles pratiquent une diététique purement quantitative et sont soutenues par les lobbies de l’industrie alimentaire. La consommation de viande et de produits laitiers empoisonne les habitants des pays riches et engendre la famine des pays pauvres. Quels sont les réels besoins alimentaires d’un être humain ? J’ai écrit une « Déclaration des droits de l’homme à une alimentation vivante » (dans La Nouvelle Alimentation planétaire, Universelle et Consciente). On doit éduquer, montrer aux habitants des pays riches et des pays sous-alimentés comment ils peuvent se nourrir avec des aliments vivants comme les graines germées, des aliments nourrissants et simples. Aujourd’hui, pour la majorité, se nourrir c’est acheter les aliments industriels des grandes marques. La plupart des écologistes omettent de parler de l’industrie de la viande qui est l’une des plus grandes pollutions de notre société. Bien se nourrir est autre chose que d’avaler sans conscience des aliments fabriqués dans des usines.

Q : Quelle autre étape a marqué votre carrière ?

Tal : Un jour, un patient m’a dit que je devrais aller voir les peuples qui vivent sans maladie. J’ai cru qu’il se moquait de moi ; je pensais que tous les habitants du monde étaient malades. Ce patient m’a dit que je me comportais comme les médecins à qui je reprochais d’ignorer les thérapies qu’ils ne connaissent pas. J’ai donc accepté de le suivre et j’ai vu une société sans maladie ! Plus tard, je suis allé en voir d’autres, sur des îles lointaines et dans des montagnes reculées. Chose extraordinaire, j’ai retrouvé chez tous ces peuples un mode de vie aligné sur la nature, qui obéit aux lois spirituelles universelles. Ils ne mangent pas d’animaux, seulement des végétaux, et ils gèrent leurs émotions comme des enfants de trois ans, quel que soit leur âge. Quand ils sont en colère, ils ne tapent sur personne, ils ne contrôlent pas l’émotion en la bloquant dans leur corps; ils piquent leur crise sans faire de mal à personne ! En libérant ainsi leurs émotions par des gestes et des sons, ils évitent tant le stress dû aux émotions refoulées dans le corps que les conflits avec autrui. Et j’ai découvert que c’est par cette gestion saine des émotions que l’on ouvre son cerveau droit, sa capacité à voyager à travers les mondes les mondes spirituels. C’est la base du chamanisme qui propose une spiritualité fondée non sur des croyances intellectuelles mais sur des expériences personnelles des mondes non matériels.

Q : La santé globale passerait donc par un mode de vie ouvert sur la spiritualité ?

Tal : Exactement. Le corps physique n’est pas la totalité de ce que nous sommes. Au départ, nous sommes des êtres spirituels. A partir de notre corps de lumière, nous avons créé un corps mental qui représente l’ensemble de nos pensées. Ce corps mental, en ralentissant sa vibration, a créé un corps émotionnel, l’ensemble de nos émotions ; en ralentissant sa vibration, le corps émotionnel a créé un corps de matière. On retrouve un concept analogue dans la physique moderne : la matière est de la lumière qui « ralentit ». Le problème, dans notre époque ultra matérialiste, est que nous croyons que la matière est la seule réalité avec comme conséquence la peur de la mort qui empoisonne la vie de tant d’habitants des pays industrialisés ; c’est la cause d’un stress terrible ! En réalité, si le corps physique peut cesser de vivre, notre corps émotionnel, notre corps mental et notre corps de lumière ne peuvent pas mourir. Nous rejoignons ainsi les anciennes sagesses qui disent toutes que nous sommes des êtres immortels, que nous avons plusieurs corps et que seul notre corps matériel peut disparaître.

Q : A quand remontent vos premières expériences de chamane ?

Tal : Un jour, je me suis souvenu que jusqu’à l’âge de six ans, je jouais avec des êtres spirituels. A six ans, je leur ai dit de me laisser tranquille car lorsque j’en parlais, on me disait que j’avais trop d’imagination, que j’inventais tout. Alors ils sont partis. J’ai vécu les dix-huit années qui ont suivi dans le cerveau gauche, dans l’intellect. Mais j’avais toujours le sentiment qu’il me manquait quelque chose. A vingt-quatre ans, j’étais stressé, insomniaque, souvent malade. J’ai appris à me détendre à L’Institut Monroe, aux Etats-Unis, et à ma grande surprise, j’ai aussi appris à voyager avec ma conscience, hors du corps physique. Dès que je suis monté dans les plans lumineux, j’ai rencontré ces êtres merveilleux qui avaient rendu mon enfance bienheureuse. J’ai repris contact avec les mondes spirituels. Depuis cette époque, je communique avec des guides spirituels et je transmets leurs messages. Etre chamane ou médium, cela s’apprend comme on apprend à conduire une voiture ! En fait, nous sommes tous chamanes dès que nous savons utiliser notre cerveau droit. Le cerveau gauche pense et parle, il n’a pas d’expériences spirituelles. Tandis que le cerveau droit ouvre sur les autres réalités, au-delà de la matière.

Q : Comment se passe le contact avec les entités spirituelles ?

Tal : En voyageant dans les mondes spirituels grâce à son cerveau droit, on voit alors des êtres, on les entend, les ressent, puis on met des mots sur ce que l’on capte. On écrit, on laisse parler à travers soi. C’est le channeling que je pratique depuis plus de quarante ans. Je calme mon cerveau gauche, j’ouvre mon cerveau droit, et un guide peut parler à travers moi. Pour faire taire le cerveau gauche, il faut commencer par libérer ses émotions à travers le corps en criant, en dansant, en gesticulant librement. Alors le cerveau gauche s’apaise et le cerveau droit s’ouvre naturellement. C’est à la portée de tout le monde. Bien sûr, certaines personnes se contentent de vivre avec leur cerveau gauche et la vie matérielle leur suffit. Mais pour ceux qui ont soif de découvrir autre chose que le plan matériel, ce travail sur le cerveau droit est essentiel. Il ne s’agit pas de rejeter le monde matériel, mais de pouvoir jouer sur les deux plans.

Q : Comment se passe le contact avec une entité ?

Tal : Lorsque je transmets les messages des êtres spirituels, j’ai un sentiment extraordinaire de joie et de paix. Je ne sais pas si ce qui est dit à travers moi a un sens pour la personne ; parfois, il s’agit de gens que je n’ai jamais vus, à qui je parle au téléphone ou par skype. Quand je remets mon cerveau gauche en place après la séance de channeling, pendant un instant, je me demande si ce que les guides ont raconté a un sens ! Il m’arrive même de douter. Pourtant, à chaque fois, les gens me disent que c’est magnifique, que cela leur fait beaucoup de bien : l’information a parlé à leur être intérieur. Il y a un grand décalage entre ce que je sais et ce que disent les guides. Il faut s’habituer à ces choses. Alors on apprécie la valeur des messages des guides qui ne jugent ni ne critiquent jamais. Ils encouragent chacun sur son chemin vers la paix, la conscience et l’amour et lui montrent la valeur de toutes ses expériences de vie présentes et passées.

Q : Quand vous parlez de soigner le corps physique, mental, émotionnel, on pense à la psychosomatique…

Tal : On sait que nos états émotionnels et mentaux ont une énorme influence sur ce qui se passe dans notre corps physique. Dès les débuts de ma pratique médicale, j’ai pris conscience qu’il y avait des pathologies qui résistaient aux traitements. J’ai pensé qu’il fallait explorer le tunnel de l’inconscient, chercher ce qui bloquait. Quand j’ai vu qu’il y avait des vies antérieures, cela m’a fait un choc parce que je n’y croyais pas du tout ! Puis cela m’est apparu comme une évidence : nous avons vécu d’autres vies et nous avons pu laisser immobilisés dans notre inconscient des personnages qui appellent au secours à travers des maladies. Il est important d’aller les délivrer en voyage intérieur. C’est ce que j’ai appelé la « psychothérapie spirituelle ». Par exemple, si j’ai été guérisseur au Moyen-Age et qu’on m’a brûlé sur un bûcher, j’ai peut-être gardé un sentiment de colère et d’injustice ; ce personnage est alors comme congelé dans mon inconscient – c’est une image, bien sûr. Plus tard, dans une autre vie, il appellera au secours en me rendant malade afin que j’aille le libérer. Une fois que ces personnages du passé sont délivrés de leurs émotions et conduits vers les mondes de lumière, leurs talents sont de nouveau à notre disposition. Johanne, mon épouse, a la capacité de voir autour de la tête des gens les personnages du présent et du passé. Nous appelons Sous-Personnalités Psycho-Actives (SPPA) ces personnages qui ont chacun leur propre but dans la vie. Si nous empêchons un personnage de vivre, il appelle, il crie au secours à travers une ou des maladies. Comprendre cela est vital pour une guérison complète.

Q : Vous utilisez aussi les expressions, « pollution intérieure et extérieure ». Qu’entendez-vous pas là ?

Tal : En voici un exemple : en Suisse, les dentistes n’ont plus le droit de jeter le mercure dans la poubelle, pour ne pas polluer les rivières  mais ils ont le droit de le mettre dans la bouche de leurs patients ! Cela montre que l’écologie intérieure est encore plus méconnue que l’écologie extérieure. Beaucoup de gens font de l’écologie partielle. Ils trient leurs déchets sans se préoccuper de l’industrie de la viande qui est la pire des pollutions. De la même façon, les émotions bloquées à l’intérieur du corps sont plus polluantes que les pesticides. Vouloir dépolluer le monde matériel sans dépolluer le monde émotionnel et le monde mental n’a pas de sens. Il s’agit d’éliminer les pensées négatives qui sont à l’origine des émotions négatives et s’ouvrir aux pensées et aux images positives qui coulent vers nous depuis les mondes spirituels. La démarche holistique consiste à s’occuper en même temps de tous les plans de l’être. Il est évident qu’elle donne des résultats bien meilleurs que la médecine matérialiste. Quant au chamanisme, c’est le père et la mère de toutes les médecines. C’est pourquoi on peut dire que la médecine holistique et le chamanisme sont vraiment les médecines du futur !

Le docteur Christian Tal SCHALLER, médecin, est depuis quarante cinq ans l’un des pionniers de la médecine holistique. Avec son épouse Johanne RAZANAMAHAY, ils parcourent le monde pour enseigner les lois universelles de la santé ainsi qu’une spiritualité fondée sur l’expérience personnelle des mondes non matériels grâce au chamanisme. Ensemble, Tal et Johanne ont écrit plus de soixante livres qui sont de véritables « modes d’emploi » de la vie sur Terre.

http://www.santeglobale.info

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A LIRE : Christian Tal Schaller

Christian Tal Schaller, médecin suisse, s’est peu à peu écarté des sentiers battus pour emprunter des chemins inédits et novateurs. Il nous apporte ainsi des trésors de connaissances et d’approches qui permettent de retrouver la santé, de la préserver et, ultimement, de goûter au bonheur.

http://editions-ariane.com/

Publié dans:HUMANITE |on 31 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Le but de l’homme : le retour à l’Unité

 

images (9)Lorsqu’un homme produit une œuvre quelconque, il ne fait que peindre et rendre visible le plan, la pensée ou le dessein qu’il a formé. Il s’attache à donner à cette copie autant de conformité qu’il lui est possible avec l’original, afin que sa pensée soit mieux entendue.

Si les hommes dont l’homme veut se faire entendre, pouvaient lire dans sa pensée, il n’aurait aucun besoin des signes sensibles pour en être compris : tout ce qu’il concevrait serait saisi par eux, aussi promptement et avec autant d’étendue que par lui-même.

Il n’emploie donc tous ces moyens physiques, il ne produit toutes ces œuvres matérielles que pour annoncer sa pensée à ses semblables, à des êtres distincts de lui, de les assimiler à une image de lui-même, et en s’efforçant de les envelopper dans son unité, dont ils sont séparés.

Tous les hommes n’ont et n’auront jamais pour but que de faire acquérir à leurs pensées, le privilège de l’universalité, de l’unité. C’est cette même loi universelle de réunion qui produit l’activité générale, et cette voracité que nous avons remarqué dans la Nature physique : car on voit une attraction réciproque entre tous les corps, par laquelle, en se rapprochant, ils se substantent et se nourrissent les uns les autres ; c’est par le besoin de cette communication, que tous les individus s’efforcent de lier à eux, les êtres qui les environnent de les confondre en eux et de les  absorber dans leur propre unité, afin que les subdivisions venant à disparaître, ce qui est séparé se réunisse ; ce qui est à la circonférence  revienne à la lumière, et que par là l’harmonie et l’ordre surmontent à la  confusion qui tient tous les êtres en travail.

Lorsque Dieu a eu recours à des signes visibles, tels que l’Univers,  pour communiquer sa pensée, il n’a pu les employer qu’en faveur d’êtres  séparés de lui. Car si tous les êtres fussent restés dans son unité, ils n’auraient pas eu besoin de ces moyens pour y lire. Dès lors nous  reconnaîtrons que ces êtres corrompus séparés volontairement de la cause première, et soumis aux lois de sa justice dans l’enceinte visible de l’Univers, sont toujours l’objet de son amour, puisqu’il agit sans cesse pour  faire disparaître cette séparation si contraire à leur bonheur.

Extrait du TABLEAU NATUREL DES RAPPORTS QUI EXISTENT ENTRE DIEU, L’HOMME ET L’UNIVERS  L.C. de Saint-MARTIN –1782

 

Publié dans:HUMANITE |on 16 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

L’amour est la seule chose que le partage grandit.

 

Je suppose que si je dis qu’avec un peu plus d’amour notre monde tournerait mieux, presque tout le monde sera d’accord. Cela semble même être une évidence. Si la solution à bien des difficultés est à portée de main (un peu plus d’amour), alors on devrait pouvoir la mettre facilement en application. 

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Mais ce n’est pas aussi facile que cela. Pourquoi ? 

Peut-être pensez-vous à nos jeux d’ego, qui nous maintiennent dans la dualité, à la recherche parfois avide et aveugle de pouvoir et de plaisir, ou à ces peurs qui nous séparent. Vous avez raison, tout cela existe, mais je pense à autre chose : à notre système économique.

Voyez-vous, la doctrine du capitalisme qui régit nos systèmes économiques est basée sur la compétition, la concurrence. Or, dès qu’un être humain entre en mode compétitif, qu’il voit en l’autre un concurrent, il ferme son cœur et ne peut plus exprimer son amour. C’est l’un ou l’autre. La compétition exclut l’amour

Il est facile de comprendre que tant et aussi longtemps qu’on basera nos échanges économiques et la plupart des relations entre humains sur la compétition, nous ne pourrons laisser s’exprimer l’amour présent dans nos cœurs. Qu’on le veuille on non, le capitalisme (ou tout système semblable) étouffe l’amour, l’amitié, la douceur, et empêche la floraison de notre humanité vers des valeurs plus élevées, des valeurs 
de partage, de solidarité, d’unité, de fraternité. 

Notre évolution passe donc inmanquablement par l’abandon du capitalisme. Comme on peut le voir, ceux qui en tirent profit font tout pour maintenir notre humanité sous le joug exclavagiste de se système (à travers le FMI, la Réserve fédérale américaine, la Banque européenne, etc). Je ne donne cependant que peu de temps encore à ce système. Il est trop barbare, cynique, destructeur et inhumain. Pour ma part, on peut s’en libérer dès aujourd’hui. 

Mais alors, comment va-t-on faire ? Voilà une excellente question !

Comment aimeriez-vous que soit notre monde ? 
 
Pensons-y, visualisons-le aussi beau et joyeux qu’on le peut, créons-le dès aujourd’hui en y mettant le meilleur de nous-mêmes, et nous le verrons un jour autour de nous. Car c’est à nous, individuellement et collectivement, qu’il appartient de le décider et de le bâtir. 

Ne laissons plus un groupe de gens passés maîtres dans l’art de la manipulation et du mensonge nous diriger et décider à notre place. S’ils ont pu installer un tel système, qui profite à une infime minorité au détriment de tous les peuples, qui saccage notre environnement et pollue au point de compromettre notre survie, c’est que nous les avons laissé faire.

Or, nous avons le pouvoir de choisir. Nous avons le pouvoir de dire oui et non ! Je connais bien les contraintes de notre vie moderne, je connais nos obligations de tous genres et je sais qu’on ne peut pas changer de vie comme par magie. Mais en ce qui concerne notre système économique actuel, dire « Non, ça suffit la folie ! » et un acte nécessaire. Un acte libérateur aussi, car nous sommes devenus trop dépendants, trop soumis et trop privés d’amour pour nous épanouir.

C’est en mettant la qualité d’amour au coeur de notre vie, de nos échanges, de nos relations à l’autre et à tout être vivant, que nous pourrons enfin exprimer le plus beau de l’humain !

Venez rejoindre « La Vie Devant Soi » ici : http://devantsoi.forumgratuit.org/

 

Publié dans:AMOUR, HUMANITE, MULTIDIMENSIONNALITE, SOCIETE |on 19 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

L’Humain en devenir

Il était une fois l’espèce humaine… 
Vers une 6e extinction ?

Il est des évidences difficiles à concevoir. L’être humain est en train de provoquer ce que les experts appellent maintenant la 6ème extinction de masse. Comment ouvrir nos consciences à un besoin pressant de changement ?
L'Humain en devenir dans HUMANITE Extinction

En 1739, Charles Le Moyne, Baron de Longueuil, un militaire de la Nouvelle France, descend la rivière Ohio dans l’actuel Canada avec ses soldats. Il reviendra de cette campagne chargé d’un butin insolite. En effet, en traversant des marais, ses pisteurs Iroquois découvrent des centaines et peut-être même des milliers d’ossements gigantesques. Quelques échantillons sont rapportés, notamment une dent de plusieurs dizaines de kilos. Du jamais vu. A quel animal peut bien appartenir une dent aussi énorme ? Quelques mois plus tard, ces ossements sont présentés à Louis XV qui les installe dans son cabinet du Roi. 

A partir de là, les hypothèses vont bon train sur leurs origines. Eléphants, hippopotames, un mélange des deux ? Georges Louis Leclerc de Buffon est le premier à suggérer que certains ossements appartiennent sûrement à un animal encore inconnu. En 1796, l’anatomiste Georges Cuvier suggère qu’ils pourraient provenir d’une espèce animale dont nous ne trouvons « plus de trace vivante ». Pour la première fois, l’homme conçoit qu’il a pu exister par le passé des animaux qui n’existent plus. Dans notre cas : des mammouths. La notion d’extinction fait ainsi son entrée sur la scène scientifique. Elle ne la quittera plus. 

Soudaine ou graduelle ?

L’arrivée sur les planches du concept d’extinction est assez fracassante. Fort de cette compréhension que des espèces ont disparu, Georges Cuvier invente le catastrophisme. D’après lui, notre histoire est régulièrement marquée de bouleversements excessifs de type inondations ou séismes, au cours desquelles des espèces meurent. Toutefois, bien que cette vision soit en partie avant-gardiste, elle est vite tournée en dérision. Charles Lyell, un géologue britannique qui a par ailleurs beaucoup influencé Charles Darwin et sa théorie de l’évolution, affirme que les changements ne se font que progressivement. Pas d’extinction soudaine en vue. Cependant, au milieu du 20ème siècle une seule vision graduelle n’est plus tenable. Si les évidences géologiques montrent des progressions lentes, de nombreuses espèces semblent aussi avoir souvent disparu de manière rapide et, par moment, toutes en même temps. 

L’homme comprend alors qu’il y a eu, à certains moments de l’histoire, des disparitions massives. Ainsi, 5 grandes extinctions de masse - ayant des noms plus abscons les unes que les autres – sont identifiées dans l’histoire de la vie animale sur terre. La plus massive d’entre elles, l’extinction du Permien, il y a 245-252 millions d’années, a vu 95% de la vie marine disparaître ainsi que 70% des espèces terrestres. La cause de ces extinctions massives ? Changements climatiques, mouvements des plaques tectoniques… Les catastrophes n’ont pas dit leur dernier mot. 

A la fin des années 1970, le géologue américain Walter Alvarez découvre des traces d’iridium dans une toute petite couche de sédiment qui correspond à la période durant laquelle les dinosaures ont disparu. L’iridium est un métal quasiment absent de la surface de la terre mais présent dans les météorites. La collision d’un objet céleste avec la terre aurait-elle causé l’extinction massive qui a aussi couté la vie des dinosaures ? La théorie de l’impact est maintenant reconnue par la communauté scientifique internationale. 

Si étudier le passé pour comprendre les mécanismes de ces exterminations est une bonne chose, examiner le présent se révèle être maintenant urgemment nécessaire. Il y aurait un autre agent majeur à prendre en considération dans l’histoire des extinctions : l’homme. 

L’homme, une catastrophe à lui tout seul ?

Envahissant, conquérant même, l’homme est en train d’envahir tout l’espace vital disponible sur cette belle planète et de consommer les ressources naturelles (minéraux, végétaux et animaux) qu’il trouve sur son passage. Darwin avait déjà constaté la disparition totale d’espèces d’oiseaux sur certaines îles, causée par la chasse humaine. Mais la vraie difficulté est que nous avons réellement du mal à comprendre que nos actions locales ont des répercussions globales bien réelles. Car depuis Darwin notre impact sur notre environnement n’a fait que grandir et son effet est tout simplement exponentiel. Pour le dire simplement : notre croissance démographique, notre main mise sur les terres ou les mers sauvages, notre tendance à la surconsommation et notre activité industrielle, sont un désastre pour notre planète. 

Notre impact sur la terre entière est si important que pour certains scientifiques, nous sommes entrés dans une nouvelle ère géologique : l’Anthropocène. Est-ce réellement un honneur qu’une marque si importante dans l’histoire soit créée à cause de nous ? Cette période débuterait au début du 18ème siècle avec la révolution industrielle. Elle se caractérise par l’influence massive et néfaste de l’homme sur le système terrestre. « Nous sommes au milieu d’une 6ème extinction de masse, celle-ci est entièrement causée par la transformation de l’environnement écologique par l’homme », nous dit une déclaration gravée au prestigieux Musée américain d’histoire naturelle. C’est donc officiel. « Non seulement nous sommes témoins d’un événement des plus rares de notre histoire, mais nous en sommes la cause », souligne Elisabeth Kolbert dans son livre The Sixth Extinction

La 6ème extinction

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« En 2050, le réchauffement aura condamné des millions d’espèces », dit le magazine National Geographic. 1/4 des mammifères, 1/6 des oiseaux, 1/5 des reptiles, 1/3 des requins et des raies, auront bientôt disparu. La déforestation anéantit une espèce toutes les heures, possiblement une toute les minutes. En 50 ans, le nombre de chimpanzés, de gorilles et d’orang outans sauvages est tombé de moitié. « Nous sommes en train de décimer notre arbre généalogique », dit Elizabeth Kolber. « Nous vivons dans un monde zoologiquement appauvri, duquel toutes les formes les plus grandes, sauvages et étranges ont récemment disparu », écrit le naturaliste Alfred Russel Wallace. Les pertes sont tellement généralisées que « si vous regardez bien, vous pouvez même les voir dans votre propre jardin », poursuit l’auteur de The Sixth ExtinctionSur les 130 millions de km2 de terres qui ne se trouvent pas sous la glace, il resterait seulement 30 millions de km2 de territoires dits « sauvages »« mais la Tundra est quadrillée de gazoducs, la forêt boréale de lignes sismiques, et la forêt tropicale est envahie de ranchs, de plantations et de projets hydroélectriques », poursuit Elizabeth Kolbert. Les catastrophes nucléaires telles que Tchernobyl ou Fukushima rendent inexploitables de larges zones pour des centaines d’années. Nous sommes la cause d’une pollution dont l’ampleur nous échappe, de l’épuisement des ressources naturelles dont certaines ne sont pas renouvelables, d’un réchauffement climatique qualifié par des experts d’irréversible. « Il y a une grande probabilité que le changement climatique à lui tout seul génère un niveau d’extinction égal ou supérieur aux extinctions moyennes connues par le passé », déclare le Pr Chris Thomas dans le magasine Nature en 2004. 

Nous pouvons toujours penser que l’extinction de masse que nous sommes en train de générer n’est pas la première tempête qu’essuie la vie sur terre. Et que cette vie trouvera le moyen de se renouveler. Mais le prix à payer à chaque destruction est extrêmement élevé : une imposante partie des espèces est littéralement anéantie. Et qui dit que, dans les pertes et fracas de cette 6ème extinction, nous serons nous-même exempts de toute atteinte ? L’équation est simple. Nous sommes dépendants de notre environnement. Détruire notre écosystème, c’est saccager la chaîne naturelle qui soutient notre propre survie. « En poussant les autres espèces à l’extinction, l’homme est en train de scier la branche sur laquelle il est assis », explique Paul Ehrlich, prix Nobel de medicine. « La vie a condamné sa plus belle création », s’exclame le père de la sociobiologie, Edward Osborne Wilson. Cette dernière déclaration est-elle trop radicale ? 

La conscience pour s’auto-réguler ?

L’homme est une espèce intelligente souvent considérée comme l’aboutissement de milliards d’années d’évolution terrestre. Il serait en quelque sorte un magnifique joyau de la création. Mais il se pourrait qu’il ait encore du chemin à faire. Dans son livre Requiem pour l’espèce humaine, Clive Hamilton, membre du bureau pour le changement climatique du gouvernement australien et professeur d’éthique à l’Université Charles Sturt, souligne la tendance humaine à nier la réalité. Nous aurions du mal à prendre conscience que nous sommes en train de générer la destruction de milliards d’autres espèces et peut-être même la nôtre. L’ampleur de la situation est tellement impensable, que justement nous n’arriverions pas à en prendre la mesure. Mais dernièrement encore, une étude du Centre des vols spatiaux Goddard de la NASA avance que notre civilisation moderne est condamnée. « La rareté des ressources provoquée par la pression exercée sur l’écologie et la stratification économique entre riches et pauvres ont toujours joué un rôle central dans le processus d’effondrement », avance les chercheurs pour qui notre civilisation industrialisée va s’effondrer. 

Alors, que faire ? Comment réveiller la conscience humaine ? Car si les faits scientifiques sont ce qu’ils sont, il reste certainement une marge de manœuvre. Nous pouvons soit continuer à accepter, dans une semi-conscience, de foncer dans le mur, soit ouvrir cette conscience dont la vie nous a fait cadeau, pour apprendre à nous auto-réguler et à respecter l’environnement dont nous sommes dépendants. Bien sûr, personne n’a dit que ce serait facile. Nous le savons, les habitudes reprennent vite le dessus et c’est une pratique qui doit s’installer dans tous nos gestes quotidiens. Moins consommer, recycler nos objets, choisir dans quoi l’on investit son argent et à quoi l’on accorde son attention, cultiver « une sobriété heureuse », propose l’agriculteur et philosophe Pierre Rabhi. Car une conscience pratique et incarnée, n’est-elle pas la force d’auto-régulation dont a besoin notre planète, et nous avec ? De tout façon, avons-nous le choix ? « Que les personnes se sentent concernées ou pas, ce n’est pas là l’important. Ce qui est primordial c’est que les gens changent le monde dans le bon sens », conclut Elisabeth Kolbert. Il va bien falloir que suffisamment d’homo sapiens sapiens – qui veut dire « l’homme sage sage » - évoluent de manière à ce que cette espèce cesse cette destruction massive. 

A LIRE  / couv_1591 dans VIDEOS à voirRequiem pour l’espèce humaine, Clive Hamilton
Sciences Po. Les Presses. (Octobre 2013 ; 265 pages) 

Publié dans:HUMANITE, VIDEOS à voir |on 25 avril, 2014 |Pas de commentaires »

La fin du stade de l’ego pour les artisans de Lumière

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Les guerres intergalactiques étaient dans une impasse avant que la terre n’entre en jeu. Lorsque la bataille s’est renouvelée sur la terre, elle s’est réellement transférée à la terre. Avec ce transfert, quelque chose a commencé à changer dans la conscience galactique. Le temps des guerres galactiques était fini.

Bien qu’elles soient restées activement concernées par l’humanité et la terre, les âmes galactiques se sont lentement retirées dans un rôle d’observatrices. Dans ce rôle, elles ont commencé à prendre conscience d’une sorte de fatigue particulière dans leur être. Elles se sentaient vides. Alors que les combats et les batailles se poursuivaient, celles-ci ne les fascinaient plus autant qu’autrefois. Elles ont commencé à se poser des questions philosophiques telles que : Quel est le sens de ma vie ? Pourquoi je me bats tout le temps ? Le pouvoir me rend-il vraiment heureuse ? En se posant ces questions, leur lassitude de la guerre se renforçait.

Les guerriers galactiques atteignaient graduellement la fin de leur stade de l’ego. A leur insu, ils avaient transféré l’énergie de l’ego et de la lutte pour le pouvoir à la terre, lieu énergétiquement ouvert à cette énergie. A cette époque, les âmes humaines commençaient juste à explorer le stade de conscience de l’ego.

Dans la conscience des guerriers galactiques, un certain espace s’est créé : un espace pour le doute, la réflexion. Ils sont entrés dans une phase de transformation, que nous décrirons en distinguant les étapes suivantes :

1)Etre insatisfait de ce qu’une conscience fondée sur l’ego peut offrir, aspirer à « autre chose » : Le début de la fin.      

2)Prendre conscience de ses attaches à une conscience fondée sur l’ego, reconnaître et se libérer des émotions et des pensées qui les accompagnent : Le milieu de la fin.

3)Laisser mourir en soi les vieilles énergies fondées sur l’ego, se débarrasser du cocon, devenir son nouveau soi : La fin de la fin.

4)L’éveil d’une conscience fondée sur le coeur, motivée par l’amour et la liberté ; aider les autres à faire la transition.

Ces quatre étapes marquent la transition d’ une conscience fondée sur l’ego à celle qui est fondée sur le coeur.

Souvenez-vous bien que la terre et l’humanité ainsi que les royaumes galactiques traversent cette phase, mais pas en même temps.

La planète terre entre maintenant dans la troisième étape. Nombre d’entre vous, les artisans de Lumière, sont aussi à cette troisième étape, en phase avec le processus intérieur de la terre. Certains se battent encore avec la seconde étape, et quelques-uns sont déjà parvenus à la quatrième et goûtent les délices de la joie véritable et de l’inspiration. 

De grandes parts de l’humanité, toutefois, ne désirent pas du tout se libérer de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne sont pas encore entrées dans la première étape de la phase de transition. Ce n’est pas quelque chose à juger, à critiquer ou plaindre. Voyez plutôt cela comme un processus naturel tel que la croissance d’une plante. Vous ne jugez pas une fleur pour être en bouton au lieu d’être en pleine floraison. Essayez de voir cela sous cet angle. Porter des jugements moraux sur les effets destructeurs de la conscience fondée sur l’ego dans votre monde provient d’un manque de compréhension des dynamismes spirituels. De plus, cela affaiblit vos  forces, puisque la colère et la frustration que vous ressentez parfois en regardant les nouvelles ou en lisant vos journaux ne peuvent pas être transformées en quelque chose de constructif. Cela ne fait que vous épuiser et abaisser votre taux vibratoire. Essayez de voir les choses avec un peu de recul, en ayant confiance. Essayez de ressentir intuitivement les courants souterrains de la conscience collective, ce que vous ne lisez ni n’entendez dans les medias.

Cela n’a aucun sens d’essayer de changer des âmes encore prisonnières de la réalité de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne veulent pas de votre aide, puisqu’elles ne sont pas encore ouvertes aux énergies fondées sur le coeur que vous, les artisans de Lumière, souhaitez partager avec elles. Même si à vos yeux, elles semblent avoir besoin d’aide, aussi longtemps qu’elles n’en veulent pas, c’est qu’elles n’en ont pas besoin. C’est aussi simple.

Les artisans de Lumière sont très enclins à donner et à aider, mais ils y perdent souvent leur capacité de discernement. Cela provoque un gaspillage d’énergie et peut résulter pour eux en doute de soi et en déception. S’il vous plaît, utilisez ici votre capacité de discernement, car le désir d’aider peut tragiquement devenir un piège pour les artisans de Lumière et les empêcher d’achever réellement la troisième étape de la transition. (La notion d’aide est explicitée plus loin et dans le message « Pièges sur la voie du guérisseur », 2ème partie).

Nous allons maintenant conclure notre description des artisans de Lumière à la fin de leur stade de l’ego. Comme nous l’avons vu, en ce temps-là vous, parmi d’autres empires galactiques, avez interféré avec l’humanité alors que l’être humain moderne prenait forme. A mesure que vous avez commencé à jouer un rôle d’observateurs, vous vous êtes lassés de combattre.

Le pouvoir que vous aviez si longtemps cherché avait eu pour résultat un type de domination qui anéantissait les qualités uniques et individuelles de ce que vous dominiez. Ainsi, rien de nouveau ne pouvait entrer dans votre réalité. Vous tuiez tout ce qui était « autre ». Ce mode de fonctionnement avait rendu votre réalité statique et prévisible au bout d’un certain temps. Lorsque vous avez pris conscience de la vacuité du combat pour le pouvoir, votre conscience s’est ouverte à de nouvelles possibilités. Une aspiration est née pour autre chose.

Vous aviez achevé la première étape de la transition vers une conscience fondée sur le coeur. Les énergies de l’ego, qui avaient régné librement pendant des éons, s’étaient calmées et libéraient un espace pour autre chose. Dans votre coeur, une nouvelle énergie s’était éveillée, comme une tendre fleur. Une voix subtile et calme commençait à vous parler de votre foyer, un lieu que vous aviez connu autrefois mais dont vous aviez perdu la trace en chemin. Vous ressentiez de la nostalgie.

Tout comme les âmes de la terre, vous aviez fait l’expérience autrefois de l’état océanique d’unité d’où toute âme est originaire. Graduellement, vous aviez évolué à partir de cet océan en unités individuelles de conscience. « Ces petites âmes » que vous étiez alors avaient un grand appétit d’exploration, tout en gardant  en elles le souvenir douloureux d’un paradis qu’elles avaient dû laisser derrière elles.  

Plus tard, lorsque vous êtes passées au stade de la conscience de l’ego, cette douleur était encore présente en vous. Pour l’essentiel, ce que vous avez essayé de faire a été de remplir cette place vide avec le pouvoir. Vous avez cherché à vous combler en jouant le jeu du combat et de la conquête.

Le pouvoir est l’énergie qui s’oppose le plus à l’unité. En exerçant le pouvoir, vous vous isolez de l’autre. En luttant pour le pouvoir, vous vous éloignez encore plus de votre foyer : la conscience de l’unité. Le fait que le pouvoir vous éloigne de votre foyer au lieu de vous en rapprocher vous était caché pendant longtemps, puisque le pouvoir est fortement entremêlé d’illusion. Le pouvoir peut facilement cacher son vrai visage pour une âme naïve et inexpérimentée. Il crée l’illusion de l’abondance, de la plénitude, de la reconnaissance et même de l’amour. Le stade de l’ego est une exploration sans restriction de l’étendue du pouvoir : gagner, perdre, lutter, dominer, manipuler, être l’offenseur et la victime.

Au niveau intérieur, l’âme est déchirée à ce stade. Le stade de l’ego provoque une attaque contre l’intégrité de l’âme. Par intégrité, nous voulons dire l’unité naturelle et l’intégralité de l’âme. En passant au stade de l’ego, l’âme entre dans un état de schizophrénie. Elle perd son innocence. D’un côté, elle se bat et conquiert ; de l’autre, elle réalise que c’est mal d’endommager et de détruire d’autres êtres vivants. Ce n’est pas mal selon  une loi objective ou un juge. Mais l’âme réalise subconsciemment qu’elle fait quelque chose qui s’oppose à sa nature divine. C’est dans la nature de son essence divine de créer et de donner la vie. Lorsque l’âme fonctionne sur un désir de pouvoir personnel, au fond d’elle naît un sentiment de culpabilité. Là encore, ce n’est pas un verdict extérieur qui proclame qu’elle est coupable. C’est l’âme qui réalise qu’elle perd son innocence et sa pureté. Tandis que l’âme poursuit sa quête de pouvoir sur le plan extérieur, un sentiment croissant d’indignité la dévore de l’intérieur.

Le stade de la conscience fondée sur l’ego est un stade naturel dans le voyage de l’âme. En fait, il concerne la pleine exploration d’un aspect de l’être de l’âme : la volonté. Votre volonté constitue le pont entre le monde intérieur et l’extérieur. La volonté est cette part de vous qui focalise l’énergie de votre âme dans le monde matériel. La volonté peut être inspirée par le désir du pouvoir ou par celui de l’unité. Cela dépend de l’état de votre conscience intérieure. Lorsqu’une âme atteint la fin du stade de l’ego, la volonté devient de plus en plus une extension du coeur. L’ego ou la volonté personnelle ne sont pas détruits, mais s’écoulent en accord avec  la sagesse du coeur et son inspiration. A ce point, l’ego accepte joyeusement le coeur comme guide spirituel. L’intégralité naturelle de l’âme est restaurée.

Quand vous, les âmes d’artisans de Lumière, êtes arrivées à la deuxième étape de cette transition, vous avez ressenti le désir sincère de rectifier ce que vous aviez fait de mal sur la terre. Vous avez réalisé que vous aviez maltraité les êtres humains vivant sur la terre et que vous aviez empêché la libre expression et le développement des âmes de la terre. Vous avez réalisé que vous aviez violé la vie en essayant de la manipuler et de la contrôler selon vos besoins. Vous avez voulu libérer les êtres humains des chaînes de la peur et des restrictions qui avaient apporté beaucoup d’obscurité dans leurs vies, et vous avez eu le sentiment que vous pourriez accomplir le plus à cet égard en vous incarnant vous-mêmes dans des corps humains. Vous vous êtes donc incarnées dans des corps humains, dont vous aviez vous-mêmes participé à la création de la génétique, pour transformer de l’intérieur vos créations. Les âmes qui sont venues sur la terre avec cette mission avaient l’intention de répandre la Lumière dans les créations qu’elles avaient manipulées.

C’est à cause de cela qu’on les appelle « artisans de Lumière ». Vous avez pris la décision d’agir ainsi et de vous embarquer dans toute une série de vies terrestres, sous l’impulsion d’un sentiment nouveau de responsabilité ainsi que du désir sincère de prendre sur vous ce fardeau karmique, de façon à être pleinement capables de vous libérer du passé.            

  
© Pamela Kribbe 
www.jeshua.net/fr

Publié dans:ENERGIES, HUMANITE, POUVOIR |on 15 février, 2014 |Pas de commentaires »

TRAVERSÉE VERS LE NOUVEAU MONDE

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Combien d’humains vivent de grandes transformations personnelles importantes ces temps-ci ?

Prenez un recul et voyez votre vie récemment et toutes les incertitudes, les hauts et bas financiers, les émotions instables, etc, que vous avez vécues ?

Sur Terre tout en a toujours été ainsi et votre époque apporte son apogée de situations à vivre et à transcender.

Une méthode toute simple vous aidera à résoudre tout problème quel qu’il soit :Le recueillement.

Vous avez tous accès à un endroit calme; retirez-vous seul(e) et respirez. Ce mouvement naturel si souvent négligé nourrit votre essence divine et apporte clarté dans vos décisions.  Il est simple et efficace et à votre portée, c’est certain.

Il est parfois difficile pour vous d’arrêter l’activité mentale alors voici unmantra à répéter de façon continue, il se prononce comme suit : SOUOO.

Il a la propriété de vous ancrer et d’élever vos vibrations simultanément.  Voilà donc l’exercice à mettre en pratique et ce, même si vous n’éprouvez aucune difficulté. Cela vous permettra de rester en dehors du tumulte intérieur.

Pour vous humains vivant dans un contexte parfois chaotique et 3D; vous pouvez utiliser l’alternative mentionnée ci-haut pour retrouver votre Paix intérieure.  Cette dernière, la Paix, vous permettra de traverser vers le nouveau monde dans un corps ayant procédé à un début de régénérescence cellulaire. Plus vous serez assidus, plus vous donnerez l’occasion à votre corps physique et vos corps éthériques de se restructurer.

Vous humains voguez vers un nouveau monde. Votre conscience fera des bonds quantiques et pour ce faire; accueillir dans la Paix votre quotidien est un effet gagnant, de réussite pour maximiser votre potentiel énergétique.

Tous et chacun avez le choix et décidez du rythme de votre ascension.  Nous accueillons chaque âme dans sa persévérance aux changements, nous la guidons dans sa traversée.

Sachez que votre évolution de conscience se situe selon votre choix d’évolution et tout est bien ainsi.

Votre parcours évolutif vous appartient et nulle autre âme ne peut recevoir meilleure guidance que la vôtre pendant votre recueillement.

Nous avons besoin de tous et chacun dans ce magnifique processus ascensionnel et puisqu’il est déjà en cour, vous rejoindrez la masse populaire selon votre temps.

Vos énergies terrestres s’élèvent de jour en jour. L’alignement solaire et galactique arrivent à sont apogée et vous ressentez pour certains de grandes pressions au niveau de votre corps physique.  Il est tout à fait normal de s’en inquiéter mais soyez rassurés, il s’agit là de quelques ajustements à la densité de votre corps terrestre.  Pour élever vos vibrations, le corps physique ainsi que tous les corps éthériques doivent se transformer et votre ADN est aussi en lien.

Accueillez ces transformations avec la légèreté de l’être car votre essence ne demande qu’à pouvoir s’exprimer et au travers ces changements, vous aurez accès plus facilement à d’autres plans de conscience.

Nous désirons vous apporter ces éclaircissements pour éviter toute résistance en vos corps pour ainsi mieux vivre et traverser ces changements qui sont assez inhabituels pour un être humain.

Votre Terre rayonnera de tous ses feux lumineux lorsque le 21 décembre prochain, tous les éléments et la conscience universelle seront alignés et en accord pour lui prodiguer guérison en ces terres.

Chaque être humain qui s’élève dans l’ascension élève également le taux vibratoire de la Terre et aidera au début d’un temps nouveau de paix et d’harmonie.

Vous êtes les précurseurs et les essences de lumière qui permettront à votre Terre de se renouveler et de guérir.

Accueillez dans la Paix ces changements cellulaires et planétaires.

Les Grands Prêtes Mayas

Canalisé par Sylvie Gourde le 29 Septembre 2012.

www.lesailesdelange.com

Publié dans:CHANNELING, HUMANITE |on 29 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

Prêter attention au corps subtil

 

Par Jeanne Guesné

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Dans un livre testament, Le troisième souffle (éd. Albin Michel), Jeanne Guesné nous parle du saut qualitatif que doit opérer l’espèce humaine à travers l’expérience de chacun de nous, pour passer du corps grossier au corps subtil. Extrait.

Un des faits marquants de notre époque est la réévaluation de la réalité spirituelle. Elle n’est pas seulement intellectuelle, mais elle touche aux fibres les plus intimes de l’être. Elle entraîne pour l’homme un besoin croissant de reprendre contact avec une réalité intérieure que beaucoup ont oubliée, au profit du développement exclusif de la pensée rationnelle. Cela implique une transformation et une harmonisation de toutes les composantes de la nature humaine.

La très grave crise qui secoue notre monde sonne le glas d’une époque. Seul l’éveil spirituel dans un minimum de consciences individuelles peut amorcer une transformation en l’Homme, l’ouvrant au dynamisme des voies qui conduisent du « Savoir à la Connaissance » de « l’automatisme à la conscience », et des ténèbres de la mort à la Lumière de vie.

Au début du siècle, la planète comptait moins d’un milliard et demi d’habitants. Aujourd’hui, le chiffre atteint les six milliards. La confusion est présente dans tous les domaines, sauf dans celui de la technologie, où l’adaptation des découvertes scientifiques semble ne plus connaître de limites. À partir des humains, l’énergie mentale s’est développée en énergie intellectuelle et, avec le temps, recouvre peu à peu la partie solide de la planète. Or nous vivons aujourd’hui une époque où les problèmes scientifiques les plus actuels manifestent une évidence qui déborde le cadre de la matière et correspond à une exigence de l’esprit.

L’inconnu n’est pas synonyme d’inconnaissable, et si nous nous dirigeons, sans complaisance, vers les pôles les plus avancés de la recherche (matière-esprit) en excluant tout dogme, nous débouchons inéluctablement sur des dynamismes organisateurs et régénérateurs, en notre propre intériorité.

Chacun de nous s’est imposé inconsciemment un masque pour se protéger de l’inconnu.

Or le propre du travail intérieur est de gommer ce masque avec patience et persévérance – car il se reconstitue inlassablement. Tant qu’il n’aura pas reconnu son esclavage imposé par les hôtes invisibles (pensées négatives, désirs insatisfaits, angoisses, peurs, etc.) qui envahissent son personnage habituel et gouvernent toutes ses réactions, l’Homme ne pourra faire allégeance à l’Être qui habite son ultime profondeur et attend son « retournement », c’est-à-dire son éveil.

Aujourd’hui les sciences et les traditions ont fait le premier pas pour se rejoindre, et ce doit être un encouragement dans la confusion des esprits qui règne actuellement. Soyons les « pionniers » de cette reconnaissance réciproque de l’universalité de l’être, et portons haut dans notre cœur le signe du ralliement de notre nature profonde, exigé par l’évolution. Faisons confiance à l’ordre secret de la Création qui, à travers la multitude des tribulations, conduit l’Homme, d’étape en étape à la fulguration de l’harmonie, de la paix… de l’amour.

Si nous pouvions nous convaincre de cette évidence, combien de conflits, de souffrances inutiles, d’inquiétudes, sinon de drames, éviterions-nous ?

Publié dans:HUMANITE |on 26 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

La progression humaine

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Le progrès de l’humanité a son principe dans l’application de la loi de justice, d’amour et de charité ; cette loi est fondée sur la certitude de l’avenir ; ôtez cette certitude, vous lui ôtez sa pierre fondamentale. De cette loi dérivent toutes les autres, car elle renferme toutes les conditions du bonheur de l’homme ; elle seule peut guérir les plaies de la société, et il peut juger, par la comparaison des âges et des peuples, combien sa condition s’améliore à mesure que cette loi est mieux comprise et mieux pratiquée. Si une application partielle et incomplète produit un bien réel, que sera-ce donc quand il en aura fait la base de toutes ses institutions sociales ! Cela est-il possible ? Oui ; car puisqu’il a fait dix pas, il peut en faire vingt, et ainsi de suite. On peut donc juger de l’avenir par le passé. Déjà, nous voyons s’éteindre peu à peu les antipathies de peuple à peuple ; les barrières qui les séparaient s’abaissent devant la civilisation ; ils se donnent la main d’un bout du monde à l’autre ; une plus grande justice préside aux lois internationales ; les guerres deviennent de plus en plus rares, et elles n’excluent point les sentiments d’humanité ; l’uniformité s’établit dans les relations ; les distinctions de races et de castes s’effacent, et les hommes de croyances différentes font taire les préjugés de sectes pour se confondre dans l’adoration d’un seul Dieu. Nous parlons des peuples qui marchent à la tête de la civilisation . Sous tous ces rapports, on est encore loin de la perfection, et il y a encore bien de vieilles ruines à abattre, jusqu’à ce qu’aient disparu les derniers vestiges de la barbarie ; mais ces ruines pourront-elles tenir contre la puissance irrésistible du progrès, contre cette force vive qui est elle-même une loi de la nature ? Si la génération présente est plus avancée que la génération passée, pourquoi celle qui nous succédera ne le serait-elle pas plus que la nôtre ? Elle le sera par la force des choses ; d’abord, parce qu’avec les générations s’éteignent chaque jour quelques champions des vieux abus, et qu’ainsi la société se forme peu à peu d’éléments nouveaux qui se sont dépouillés des vieux préjugés ; en second lieu, parce que l’homme voulant le progrès, il étudie les obstacles et s’attache à les renverser. Dès lors que le mouvement progressif est incontestable, le progrès à venir ne saurait être douteux. L’homme veut être heureux, c’est dans la nature ; or, il ne cherche le progrès que pour augmenter la somme de son bonheur, sans cela le progrès serait sans objet ; où serait le progrès pour lui, si ce progrès ne devait pas améliorer sa position ? Mais quand il aura la somme de jouissances que peut donner le progrès intellectuel, il s’apercevra qu’il n’a pas le bonheur complet ; il reconnaîtra que ce bonheur est impossible sans la sécurité des relations sociales ; et cette sécurité, il ne peut la trouver que dans le progrès moral ; donc, par la force des choses, il poussera lui-même le progrès dans cette voie, et le spiritisme lui offrira le plus puissant levier pour atteindre ce but.

 

Ceux qui disent que les croyances spirites menacent d’envahir le monde, en proclament par cela même la puissance, car une idée sans fondement et dénuée de logique ne saurait devenir universelle ; si donc le spiritisme s’implante partout, s’il se recrute surtout dans les classes éclairées, ainsi que chacun le reconnaît, c’est qu’il a un fond de vérité. Contre cette tendance, tous les efforts de ses détracteurs seront vains, et ce qui le prouve, c’est que le ridicule même dont ils ont cherché à le couvrir, loin d’en arrêter l’essor, semble lui avoir donné une nouvelle vie. Ce résultat justifie pleinement ce que nous ont maintes fois dit les Esprits :  » Ne vous inquiétez pas de l’opposition ; tout ce que l’on fera contre vous tournera pour vous, et vos plus grands adversaires serviront votre cause sans le vouloir. Contre la volonté de Dieu, la mauvaise volonté des hommes ne saurait prévaloir. « 

Par le spiritisme, l’humanité doit entrer dans une phase nouvelle, celle du progrès moral qui en est la conséquence inévitable. Cessez donc de vous étonner de la rapidité avec laquelle se propagent les idées spirites ; la cause en est dans la satisfaction qu’elles procurent à tous ceux qui les approfondissent, et qui y voient autre chose qu’un futile passe-temps ; or, comme on veut son bonheur avant tout, il n’est pas étonnant qu’on s’attache à une idée qui rend heureux.

Le développement de ces idées présente trois périodes distinctes : la première est celle de la curiosité provoquée par l’étrangeté des phénomènes qui se sont produits ; la seconde celle du raisonnement et de la philosophie ; la troisième celle de l’application et des conséquences. La période de la curiosité est passée ; la curiosité n’a qu’un temps : une fois satisfaite, on en quitte l’objet pour passer à un autre ; il n’en est pas de même de ce qui s’adresse à la pensée sérieuse et au jugement. La seconde période a commencé, la troisième suivra inévitablement. Le spiritisme a surtout progressé depuis qu’il est mieux compris dans son essence intime, depuis qu’on en voit la portée, parce qu’il touche à la corde la plus sensible de l’homme : celle de son bonheur, même en ce monde ; là est la cause de sa propagation, le secret de la force qui le fera triompher. Il rend heureux ceux qui le comprennent, en attendant que son influence s’étende sur les masses.

Celui même qui n’a été témoin d’aucun phénomène matériel de manifestations se dit : en dehors de ces phénomènes, il y a la philosophie ; cette philosophie m’explique ce que NULLE autre ne m’avait expliqué ; j’y trouve, par le seul raisonnement, une démonstration rationnelle des problèmes qui intéressent au plus haut point mon avenir ; elle me procure le calme, la sécurité, la confiance ; elle me délivre du tourment de l’incertitude ; à côté de cela la question des faits matériels est une question secondaire. Vous tous qui l’attaquez, voulez-vous un moyen de le combattre avec succès ? Le voici. Remplacez-le par quelque chose de mieux ; trouvez une solution PLUS PHILOSOPHIQUE à toutes les questions qu’il résout ; donnez à l’homme une AUTRE CERTITUDE qui le rende plus heureux, et comprenez bien la portée de ce mot certitude, car l’homme n’accepte comme certain que ce qui lui paraît logique ; ne vous contentez pas de dire cela n’est pas, c’est trop facile ; prouvez, non par une négation, mais par des faits, que cela n’est pas, n’a jamais été et ne PEUT pas être ; si cela n’est pas, dites surtout ce qu’il y aurait à la place ; prouvez enfin que les conséquences du spiritisme ne sont pas de rendre les hommes meilleurs, et partant plus heureux, par la pratique de la plus pure morale évangélique, morale qu’on loue beaucoup, mais qu’on pratique si peu. Quand vous aurez fait cela, vous aurez le droit de l’attaquer. Le spiritisme est fort parce qu’il s’appuie sur les bases mêmes de la religion : Dieu, l’âme, les peines et les récompenses futures ; parce que surtout il montre ces peines et ces récompenses comme des conséquences naturelles de la vie terrestre, et que rien, dans le tableau qu’il offre de l’avenir, ne peut être désavoué par la raison la plus exigeante. Vous, dont toute la doctrine consiste dans la négation de l’avenir, quelle compensation offrez-vous pour les souffrances d’ici-bas ? Vous vous appuyez sur l’incrédulité, il s’appuie sur la confiance en Dieu ; tandis qu’il convie les hommes au bonheur, à l’espérance, à la véritable fraternité, vous, vous lui offrez le NEANT pour perspective, et l’EGOISME pour consolation ; il explique tout, vous n’expliquez rien ; il prouve par les faits, et vous ne prouvez rien ; comment voulez-vous qu’on balance entre les deux doctrines ?

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ESPRITS, HUMANITE, MAITRISE, MEDIUM |on 21 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le Progrès des peuples – Peuples dégénérés.

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L’histoire nous montre une foule de peuples qui, après les secousses qui les ont bouleversés, sont retombés dans la barbarie ; où est le progrès dans ce cas ?

 » Quand ta maison menace ruine, tu l’abats pour en reconstruire une plus solide et plus commode ; mais, jusqu’à ce qu’elle soit reconstruite, il y a trouble et confusion dans ta demeure.

Comprends encore cela : tu étais pauvre et tu habitais une masure ; tu deviens riche et tu la quittes pour habiter un palais. Puis, un pauvre diable comme tu étais vient prendre ta place dans ta masure, et il est encore très content, car avant il n’avait pas d’abri. Eh bien ! apprends donc que les Esprits qui se sont incarnés dans ce peuple dégénéré ne sont pas ceux qui le composaient au temps de sa splendeur ; ceux d’alors qui étaient avancés, sont allés dans des habitations plus parfaites et ont progressé, tandis que d’autres moins avancés ont pris leur place qu’ils quitteront à leur tour. « 

N’y a-t-il pas des races rebelles au progrès par leur nature ?
 » Oui, mais celles-là s’anéantissent chaque jour, corporellement. « 

– Quel sera le sort à venir des âmes qui animent ces races ?
 » Elles arriveront comme toutes les autres à la perfection en passant par d’autres existences ; Dieu ne déshérite personne. « 

– Ainsi, les hommes les plus civilisés ont pu être sauvages et anthropophages ?
 » Toi-même tu l’as été plus d’une fois avant d’être ce que tu es. « 

Les peuples sont des individualités collectives qui, comme les individus, passent par l’enfance, l’âge mûr et la décrépitude ; cette vérité constatée par l’histoire ne peut-elle faire penser que les peuples les plus avancés de ce siècle auront leur déclin et leur fin, comme ceux de l’antiquité ?

 » Les peuples qui ne vivent que de la vie du corps, ceux dont la grandeur n’est fondée que sur la force et l’étendue, naissent, croissent et meurent, parce que la force d’un peuple s’épuise comme celle d’un homme ; ceux dont les lois égoïstes jurent avec le progrès des lumières et la charité meurent, parce que la lumière tue les ténèbres et la charité tue l’égoïsme ; mais il y a, pour les peuples comme pour les individus, la vie de l’âme ; ceux dont les lois s’harmonisent avec les lois éternelles du Créateur vivront et seront le flambeau des autres peuples. « 

Le progrès réunira-t-il un jour tous les peuples de la terre en une seule nation ?
 » Non, pas en une seule nation, cela est impossible, car de la diversité des climats naissent des moeurs et des besoins différents qui constituent les nationalités ; c’est pourquoi il leur faudra toujours des lois appropriées à ces moeurs et à ces besoins ; mais la charité ne connaît point de latitudes et ne fait pas de distinction entre la couleur des hommes. Quand la loi de Dieu sera partout la base de la loi humaine, les peuples pratiqueront la charité de l’un à l’autre, comme les individus d’homme à homme ; alors ils vivront heureux et en paix, parce que nul ne cherchera à faire du tort à son voisin, ni à vivre à ses dépens. « 

L’humanité progresse par les individus qui s’améliorent peu à peu et s’éclairent ; alors, quand ceux-ci l’emportent en nombre, ils prennent le dessus et entraînent les autres. De temps en temps surgissent parmi eux des hommes de génie qui donnent un élan, puis des hommes ayant l’autorité, instruments de Dieu, qui en quelques années la font avancer de plusieurs siècles. 
Le progrès des peuples fait encore ressortir la justice de la réincarnation. Les hommes de bien font de louables efforts pour faire avancer une nation moralement et intellectuellement ; la nation transformée sera plus heureuse en ce monde et en l’autre, soit ; mais pendant sa marche lente à travers les siècles, des milliers d’individus meurent chaque jour ; quel est le sort de tous ceux qui succombent dans le trajet ? Leur infériorité relative les prive-t-elle du bonheur réservé aux derniers arrivés ? Ou bien leur bonheur est-il relatif ? La justice divine ne saurait consacrer une telle injustice. Par la pluralité des existences, le droit au bonheur est le même pour tous, car nul n’est déshérité du progrès ; ceux qui ont vécu au temps de la barbarie, pouvant revenir au temps de la civilisation, chez le même peuple ou chez un autre, il en résulte que tous profitent de la marche ascendante.
Mais le système de l’unité des existences présente ici une autre difficulté. Avec ce système l’âme est créée au moment de la naissance ; donc si un homme est plus avancé qu’un autre, c’est que Dieu crée pour lui une âme plus avancée. Pourquoi cette faveur ? Quel mérite a-t-il, lui qui n’a pas vécu plus qu’un autre, moins qu’un autre souvent, pour être doué d’une âme supérieure ? Mais là n’est pas la principale difficulté. Une nation passe, en mille ans, de la barbarie à la civilisation. Si les hommes vivaient mille ans on concevrait que dans cet intervalle ils eussent le temps de progresser ; mais tous les jours il en meurt à tout âge ; ils se renouvellent sans cesse, de telle sorte que chaque jour en voit paraître et disparaître. Au bout des mille ans, il n’y a plus trace des anciens habitants ; la nation, de barbare qu’elle était, est devenue policée ; qu’est-ce qui a progressé ? Sont-ce les individus jadis barbares ? Mais ils sont morts depuis longtemps. Sont-ce les nouveaux venus ? Mais si leur âme est créée au moment de leur naissance, ces âmes n’existaient pas au temps de la barbarie, et il faut alors admettre que les efforts que l’on fait pour civiliser un peuple ont le pouvoir, non pas d’améliorer des âmes imparfaites, mais de faire créer par Dieu des âmes plus parfaites.
Comparons cette théorie du progrès avec celle donnée par les Esprits. Les âmes venues au temps de la civilisation ont eu leur enfance comme toutes les autres, mais elles ont déjà vécu, et sont venues avancées par un progrès antérieur ; elles viennent, attirées par un milieu qui leur est sympathique, et qui est en rapport avec leur état actuel ; de sorte que les soins donnés à la civilisation d’un peuple n’ont pas pour effet de faire créer pour l’avenir des âmes plus parfaites, mais d’attirer celles qui ont déjà progressé, soit qu’elles aient déjà vécu chez ce même peuple au temps de sa barbarie, soit qu’elles viennent d’autre part. Là est encore la clef du progrès de l’humanité tout entière ; quand tous les peuples seront au même niveau pour le sentiment du bien, la terre ne sera le rendez-vous que de bons Esprits qui vivront entre eux dans une union fraternelle, et les mauvais s’y trouvant repoussés et déplacés iront chercher dans des mondes inférieurs le milieu qui leur convient, jusqu’à ce qu’ils soient dignes de venir dans le nôtre transformé. La théorie vulgaire a encore cette conséquence, que les travaux d’amélioration sociale ne profitent qu’aux générations présentes et futures ; leur résultat est nul pour les générations passées qui ont eu le tort de venir trop tôt, et qui deviennent ce qu’elles peuvent, chargées qu’elles sont de leurs actes de barbarie. Selon la doctrine des Esprits, les progrès ultérieurs profitent également à ces générations qui revivent dans des conditions meilleures et peuvent ainsi se perfectionner au foyer de la civilisation.

 

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:HUMANITE |on 8 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Les sens intérieurs

imagesDes sens intérieurs prennent vie en l’homme et le font agir spontanément, sans passer par les schémas intellectuels du mental. Il acquiert alors l’état de compréhension dans le silence intérieur entre deux pensées, entre deux sensations, entre deux réactions… et tout à coup, c’est l’éclair qui foudroie !… Le réel est l’intervalle entre deux existences, l’intervalle entre le sommeil profond et la veille… ce que nous appelons « rien »… d’où tout émane…

Les morts ne sont pas dans le monde d’après l’existence. Ils sont ici, ils sont nous, qui dormons et rêvons notre condition humaine.. Nous vivons dans le despotisme du langage qui nous fait oublier que les mots ne sont pas la chose qu’ils représentent. Nous nous mouvons dans un monde d’étiquettes et dans la mémoire codifiée de ces étiquettes. Nous existons au dixième de nos potentialités.

Je comprends l’émotion que je ressentis au cours d’une émission télévisée, lorsque Bernard Pivot posa la dernière question à son invité :« À la fin de votre existence, lorsque vous arriverez devant Dieu, que souhaiteriez-vous qu’il vous dise ? » Peter Brook répondit : « Les répétitions sont finies ».

Je crois qu’à l’instant de la mort, l’énergie-vie-conscience qui se sépare du corps et retourne à sa source emporte, intégrée à son essence, la moisson du vécu au cours de son existence. Moisson organique, psychique, mentale qui sont sa Mémoire cristallisée. Je m’éveille à l’accord d’une résonance qui me fait participer et ne plus subir. C’est une perception inexprimable dans notre langage. Mais à son contact, mes interrogations anxieuses sur le troisième millénaire volent en éclat : il sera la victoire de l’esprit sur l’ego immature de l’humanité.

Au terme de ce deuxième millénaire, le XXe siècle, qui vit ses dernières années, est d’une certaine façon révélateur d’une métamorphose : celle de la puberté de l’âme de l’humanité. L’âge de tous les doutes et de tous les espoirs s’exprime à travers une transformation de l’humain à l’échelle de la planète, répercutée chez les hommes, c’est-à-dire nous-mêmes.

De grands noms marquèrent ce siècle, comme des phares perçant les ténèbres de guerres terriblement meurtrières, d’affrontements sanglants entre les cultures. J’en cite quelques-uns dans l’ordre où ils nous quittèrent : Ramana Maharishi, G.I. Gurdjieff, Aurobindo, Teilhard de Chardin, Schwaller de Lubicz (Aor & Isha), Mère, Nisagardatta, Krishnamurti, K.G. Dürckheim… Je reçus de chacun, en son temps, la nourriture indispensable à la poursuite de ma quête de la Connaissance, et mon attention grandit, me révélant l’attention, voie des métamorphoses.

écrit Par Jeanne Guesné

Publié dans:HUMANITE, La MORT |on 7 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

La rumeur sacrificielle

 

par Jean-Luc Delfin

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Derrière notre culture moderne et nos comportements rationnels, se cachent nombre de fonctionnements archaïques. Ainsi, les rumeurs stigmatisent un bouc émissaire dont le sacrifice (réel ou symbo-lique) permet d’exorciser les problèmes de la collectivité

Le chaman des temps anciens se mettait dans un état de transe pour rencontrer l’esprit de l’animal chassé par la tribu et le tuer d’une manière symbolique. Toute «chasse aux sorcières» fonctionne de la même manière : la rumeur induit un état de transe collective qui permet de dénoncer et sacrifier une victime expiatoire sur l’autel du consensus social. Selon Edgar Morin, la rumeur exprime « la part d’archaïsme intrinsèque à la modernité». Notre époque est celle d’une crise et d’un vide existentiel qui suscitent malaises et mal être. Une des fonctions des rumeurs est de catalyser ces angoisses flottantes qui « suscitent des fantasmes, cherchent un refuge archaïque et suscitent par-là même des mécanismes d’expulsion et de purification : l’immolation d’un bouc émissaire (La rumeur d’Orléans, Edgar Morin, Seuil)» Telle est l’origine de la rumeur sacrificielle.

Au-delà de l’aspect policé de notre éducation moderne, vit en nous une mémoire archaïque pour laquelle la survie et la lutte contre les prédateurs étaient des préoccupations essentielles. Cette survie dépendant étroitement de celle du clan, toute atteinte à la cohésion du groupe social et à l’identité collective était vécue comme une agression. Dans toute société survit donc l’instinct grégaire de la horde préhistorique. Il génère un imaginaire de répulsion envers tous ceux qui, perçus comme étranges ou étrangers, représentent un danger potentiel pour la cohésion sociale : originaux, étrangers, «anormaux» ou nomades… C’est parmi eux qu’on choisira le bouc émissaire dont le sacrifice rituel va ressourcer l’identité collective. René Girard a démonté, dans ses livres, les rouages de cette mécanique expiatoire (Cf. Le bouc émissaire, éd. LGF et La violence et le sacré, Hachette).

Diabolisation
Inspiré du rituel sacrificiel, il existe un modèle permanent de persécution contre le bouc émissaire, que l’on retrouve de tout temps, à travers toutes les cultures. Fondée sur une série de stéréotypes qui gravitent autour du fantasme de conspiration, la rumeur fait toujours partie du scénario des persécutions quels qu’en soient les acteurs religieux, politiques ou idéologiques. Qui veut noyer son chien l’accuse de la rage : la rumeur est là pour expliquer – par des spécialistes auto-proclamés – comment et pourquoi le chien a attrapé la rage… Face à la complexité des problèmes sociaux et au sentiment d’impuissance qu’elle génère, il est tentant de trouver des responsables à condamner. La sociologue Liliane Voyé soutient : «Au cœur de la rationalité que la modernité prétend affirmer, s’insinuent des mythes et des irrationalités qui témoignent de l’existence de problèmes et de crises que cette rationalité ne réussit ni à élucider ni à surmonter et qui cherchent un ersatz d’élucidation dans des forces occultes et des complots souterrains aux ramifications inextricables.» Les rumeurs sacrificielles sont donc des récits de diabolisation qui visent à transformer en bouc émissaire une victime de la violence sociale. Ces rumeurs ont pour fonction d’induire une transe collective au cours de laquelle le public, fasciné par un récit qui répond aux besoins inconscients de l’imaginaire collectif, perd contact avec ses références habituelles, se libère de ses interdits et de ses censures morales pour exprimer une violence symbolique ou réelle.

Transe collective
Les trois phases de la transe collective générée par la rumeur sacrificielle (déréalisation, fascination, sacrifice) correspondent aux trois stades de sa diffusion, analysée par Edgar Morin : incubation, propagation et métastase. Durant la période d’incubation, l’imaginaire se nourrit d’une ambiance passionnelle propice à la confusion et au surgissement de la rumeur sacrificielle. Le fantasme de conspiration est le décor dans lequel s’agitent les acteurs de la rumeur. En déstabilisant les références habituelles, ce climat tend à effacer l’esprit critique, les facultés de jugement et l’ancrage de la conscience collective dans le réel. Ce processus est à l’origine d’un état de transe. Selon Bernard Lempert (Le Retour de l’Intolérance, Bayard), «ce qui intéresse la rumeur, ce n’est pas de dire le réel, mais de se substituer à lui. Son caractère insaisissable cherche à faire croire en retour que le réel est méconnaissable et qu’il est inutile d’essayer de le circonscrire et de le fixer par la pensée. Dès l’instant que les faits, en tant que tels, sont considérés comme devant toujours s’échapper et donc nous décevoir, autant se détourner d’eux et ne plus se préoccuper de leurs contours.»

Vient alors la phase de propagation de la rumeur. Déstabilisée, coupée du réel, la conscience collective est embarquée dans un phénomène de transe fondé sur la suggestion et la fascination. Au cours d’une transe, la conscience est focalisée sur un seul objet, oubliant tout le reste : «N’ayant plus d’objet extérieur qui puisse un tant soit peu la contester, la rumeur suit un cours souverain. Elle est la certitude par excellence précisément parce qu’elle n’a de compte à rendre qu’à elle-même. Rien ne saurait la démentir puisqu’elle ne prétend rien connaître qui ne soit extérieur à elle. Le rappel des faits ne la trouble pas puisque les faits ne la concernent pas, tant ils se déroulent à des années-lumière de son propre cours. Le réel est pour la rumeur un au-delà qui l’indiffère.» (4) Cette indifférence au réel et cet état de fascination sont les marques typiques de l’état de transe. Comme un fleuve irrigué par tous ses affluents, plus la rumeur s’éloigne de la source qui l’a fait naître et plus elle grossit en se nourrissant au passage des fantasmes de ceux qui la colportent. Alimentée par l’intolérance, la rumeur est l’arme anonyme d’une majorité silencieuse qui n’a souvent rien d’autre à dire que de répéter stéréotypes et slogans qui sont le fonds de commerce de la propagande médiatique. De plus en plus soumis aux impératifs de la concurrence, le rôle des médias est avant tout de répondre aux besoins de la psychologie collective. Avec leur développement et celui d’Internet, la rumeur les utilise comme ceux-ci s’en nourrissent. En trouvant ainsi une force et une légitimité nouvelle, une simple rumeur peut se transformer en psychose collective.

Vient enfin la période des métastases qui gagnent tout le corps social. L’induction d’un état de transe permet la neutralisation des censures et l’expression de la violence. C’est ainsi que, dans l’état de transe particulier induit par la rumeur, on tue symboliquement le bouc émissaire, au cours d’un sacrifice expiatoire. Le psychologue américain Ralph Rosnow analyse le fonctionnement de cette violence sociale : «Il est utile de représenter l’activité rumorale de la même manière que l’on charge un revolver et que l’on fait feu. Le public de la rumeur est une arme de poing, la rumeur est une balle, qui est chargée dans une atmosphère d’anxiété et d’incertitude. On appuie sur la détente quand on estime que la balle va faire mouche. » Dans nos sociétés démocratiques, la rumeur est une nouvelle forme d’assassinat : «Dans les régimes totalitaires, on élimine un adversaire en lui tirant une balle dans la tête. Dans les démocraties, l’arme politique la plus redoutable c’est l’utilisation de la rumeur.» (Sectes, mensonges et idéaux,Frédéric Lenoir et Nathalie Luca, Bayard). A notre époque, le sacrifice expiatoire peut prendre la forme du lynchage médiatique qui correspond à un rituel de magie noire, au cours duquel on focalise sur le bouc émissaire une charge psycho-énergétique très puissante, résultat d’une concentration de conscience de millions d’individus.

Comment s’en sortir ?
On ne saurait réduire le champ complexe de la rumeur à une de ces modalités qu’est la rumeur sacrificielle. D’autres formes existent qui obéissent à d’autres lois de l’imaginaire et de l’inconscient collectif. Ce qui fait la spécificité de la rumeur sacrificielle, c’est qu’elle est une violence sociale destructrice dont peuvent être victimes tous ceux qui, involontairement, sont poussés sur la scène publique pour jouer, malgré eux, le rôle de bouc émissaire. La rumeur sacrificielle tend à opérer un véritable envoûtement qui s’empare de l’intimité personnelle d’un individu pour le réduire au rôle fonctionnel de bouc émissaire dans un scénario expiatoire. Parmi les victimes, certaines trouvent des ressources intérieures et un entourage qui leur permettent de résister à cet envoûtement. Ceux qui s’en sortent savent alors que ce qui ne tue pas rend plus fort. Mais certaines personnes auront beaucoup de mal à se remettre de ce traumatisme : certaines somatisent et déclenchent une grave maladie, parfois mortelle, d’autres transformées en zombies désocialisés peuvent vivre un ou plusieurs épisodes dépressifs ou sont détruits à vie, allant même parfois jusqu’à commettre un geste fatal comme le fit Pierre Beregovoy. Les victimes d’une telle violence ne peuvent se reconstruire qu’en comprenant les processus archaïques en œuvre dans ce phénomène : transe collective, sacrifice expiatoire, magie noire. Des thérapeutes spécialisés dans ce type de violence sociale devraient être formés pour aider les victimes de la rumeur sacrificielle à comprendre et, par-là même, à avancer sur la voie de la guérison…

G. PRODUCTIONS

 

Publié dans:HUMANITE, POSSESSION |on 3 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Une nouvelle dimension

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Par Jeanne Guesné

Les liaisons par radio et satellites font, dans une certaine optique, s’effondrer notre espace-temps traditionnel. Sur de grandes distances, nous arrivons avant d’être partis. Nous sommes renseignés à l’instant de ce qui se passe presque dans tous les points de la planète.

La découverte pour l’esprit humain de nouvelles dimensions de la conscience, avec la « transformation » qu’elle implique pour le comportement psychologique des hommes, permettra de résoudre plus facilement qu’on ne l’imagine, des difficultés paraissant insurmontables aujourd’hui. Trois années de souffrance ininterrompue ont développé en moi une extrême sensibilité dans le domaine de l’intuition. Je tente de traduire cela comme la perception d’un « compagnonnage » invisible et sublime de participants qui s’ignorent en grande partie, et sont reliés entre eux par le fil d’Ariane de leur aspiration commune à l’unité de la vie universelle.

Au niveau de leur existence personnelle, ils œuvrent dans des professions leur permettant une certaine « approche » des autres. Ils suscitent des associations, des créations de systèmes d’entreprises (physiques, scientifiques, philosophiques, littéraires, médicales, artistiques, presse, radio, télévision, etc.) où des affinités les rassemblent. Employons un langage populaire, que les physiciens ne peuvent désavouer : ils ont des atomes crochus.

Teilhard de Chardin trouvait, paraît-il, ses intuitions spirituelles dans ses travaux scientifiques de paléontologiste. D’où : « Quelques millions d’années pour faire la première bactérie puis, de mono-cellulaire, passer au pluricellulaire, poisson, reptile, mammifère et primate… puis à l’Homo Sapiens ».

« Actualiser nos potentialités », disait Lupasco. Je pense que cela peut être le vaste programme du troisième millénaire. Le sens de la vie doit être déchiffré dans une attitude de l’esprit qui ne nous est pas familière, une attitude « ouverte », ni exclusivement matérielle, ni exclusivement spirituelle. Il faut apprendre à se mouvoir, à penser, à agir avec tout son corps, avec la participation de son Être. Cette façon d’être là, avec la vie, lucide, confiant, peut devenir une force puissante de transformation, un art de vivre dynamique qui ouvre à l’universel.

Il faut avoir présent à l’esprit que le champ de l’histoire couvre au maximum sept mille années. Il est incroyablement court si on le compare à la durée de l’espèce humaine. Jacques Madaule disait notamment : « Si nous assimilons l’existence de l’humanité à la vie d’un homme, l’ensemble de ce que nous appelons l’histoire représenterait à peine une journée de cette vie ». Je pense à cette phrase de Jung tirée de «  L’âme et la vie  » (Éd. Buchet Chastel) : « Mais qui donc a pleinement conscience que l’histoire ne se trouve pas dans de gros volumes, mais inscrite dans notre sang ?».

Se libérer du « jeu de l’oie » des questions – Qui, Que, Où, Quand, Pourquoi, Comment ?… -, c’est se libérer du « jeu de l’oie » de l’existence. Le labyrinthe des questions nous enferme dans son piège centripète qui s’autonourrit, et nous demeurons son prisonnier.

Issu du magazine Nouvelles CLES

Publié dans:ASCENSION, HUMANITE |on 1 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le Secret des Etoiles sombres


« Les chroniques du Girku » Tome 1 aux Editions Nenki

Un livre rare à la poursuite de notre passé le plus mystérieux

Le Secret des Etoiles sombres dans HUMANITE images-5« Le Secret des Etoiles Sombres » est un livre rare. Un livre étrange‚ hors norme‚ hors du temps‚ fascinant. En découvrant ce manuscrit et son auteur Anton Parks l’éditeur canadien Nenki est tombé sur une perle rare. Trouver à la fois dans le même livre une richesse romanesque‚ une cohérence historique et surtout spirituelle qui puissent donner un sens au monde qui nous entoure‚ c’est une gageure. Un petit miracle ! 

Si la présentation du livre nous fait penser à un récit épique de science-fiction‚ et certes‚ ce livre a un vrai souffle épique‚ le Secret des Etoiles Sombres se penche en réalité sur notre plus lointain passé‚ sur la civilisation la plus ancienne qui a accouché de notre société actuelle‚ tout cela pour donner sens à notre présent. D’ailleurs‚ Anton Parks nous disait lui-même lors d’un long entretien: « Le présent n’est pas vraiment ma spécialité. C’est le passé que je vois ». Car la vision incroyablement précise qu’Anton possède de ce passé si éloigné nous éclaire de façon stupéfiante sur notre présent. Et nous permettra peut-être d’entrevoir un meilleur destin si nous levons le voile de manipulations et de mensonges qui recouvre ce histoire pré biblique qui a d’une certaine manière façonné notre perception du réel. Ce n’est ni un roman‚ ni un essai‚ ce livre transcende les genres. 

Comment Anton Parks a-t-il été mis en présence d’une telle qualité d’informations si cohérentes ? Comment est-il capable d’avoir une vision si pénétrante de la langue sumérienne et des chroniques de cette civilisation si ancienne‚ surgie de nulle part comme si elle avait fait un bond technologique inexplicable et sans précédents ? Rien que cette partie de la question mériterait tout un livre. Anton se montre circonspect sur cet aspect du livre mais il n’en fait par ailleurs aucun mystère: depuis l’âge de 14 ans‚ il a été comme possédé et traversé par des visions de mondes‚ de galaxies‚ de civilisations et d’êtres étranges. Ces visions étaient claires‚ précises et l’envahissaient à certains moments de ses journées : « le phénomène se réglait petit à petit » nous explique-t-il. La lumière qui l’environnait semblait être déclencheur du processus « et à chaque fois que le phénomène de flash se manifestait‚ il était toujours en relation avec la lumière ambiante où je me trouvais » ajoute-t-il encore. Ces sortes de « transes » (que son entourage ne remarquait pas parce que les flashs étaient objectivement très courts. Le temps vécu subjectivement par Anton était beaucoup plus long) devenaient de plus en plus envahissantes et ont plus d’une fois secoué le cours de sa vie mais‚ heureusement‚ sa famille semble toujours l’avoir soutenu. Il a fallu de très nombreuses années à l’intéressé pour savoir que faire avec visions fulgurantes et terriblement précises et ce n’est qu’il y a quelques années‚ vers l’âge de 30 ans‚ qu’Anton a été capable de donner sens‚ de situer et de vérifier le contenu de ses flashs. Au départ‚ le monde colossal et les étranges entités captées dans ces rêves éveillés ne signifiaient rien pour Anton. Cela ne semblait pas un monde humain‚ sauf lors de certaines séquences de l’histoire. Etait-ce un fantasme pur‚ une vision d’un lointain avenir ? 

Il s’agissait en réalité de visions du passé‚ de notre lointain passé‚ celui de ces époques « héroïques » des civilisations sumériennes et akkadiennes mais encore avant‚ de ces temps fabuleux des mythes créateurs‚ des Dieux et des « Héros ». Imaginez alors le soulagement pour Anton de constater que ce qu’il voyait était relié au « réel » et à l’histoire le jour où il a pu compulser les premiers ouvrages relatifs à la civilisation sumérienne. Tout prenait corps et signification ! Incroyable? Peut-être mais le contenu du livre plaide pour lui. La richesse phénoménale en détails très précis‚ le travail totalement révélateur qu’Anton Parks effectue avec la langue et l’écriture sumérienne‚ avec la symbolique et les objets d’art de ces époques si éloignées pour donner du sens à des concepts‚ des Dieux et des mythes relèvent justement du croyable‚ du plus que vraisemblable. Et donnent de la crédibilité et du poids à l’ouvrage. Ceux qui auront lu les livres de Zecharia Sitchin sur les Sumériens‚ sur leurs « Dieux » cosmonautes colonisateurs et généticiens verront dans l’oeuvre d’Anton non seulement une continuation mais surtout une étude nettement plus précise et cohérente. 

Cette trilogie dont « Le secret des Etoiles Sombres » est le premier opus vous surprendra à tous les points de vue et vous donnera un éclairage hors du commun sur notre monde actuel en levant le voile sur les mystères du passé: le contenu de tous les récits des religions révélées et des mythes fondateurs de nos civilisations est expliqué‚ la manipulation mise en lumière et une partie fondamentale de la raison pour laquelle nous sommes ce que nous sommes et pourquoi nous sommes ici vous est comme « révélé ». Un peu comme si un voile se levait sur quelque chose que l’on ressentait confusément sans avoir pu y mettre des mots. 

La trilogie d’Anton Parks est une oeuvre structurante et libératoire. En dissipant en grande partie le brouillard du passé volontairement entretenu autour des « mythes » bibliques‚ le processus de création de la vie‚ le lecteur comprend mieux l’actualité présente et le processus de mondialisation culturel‚ spirituel et matériel. Mais attention‚ tout n’est pas révélé dans le premier volume. On pressent qu’il va nous mener loin‚ très loin. C’est la raison pour laquelle la première partie du premier tome est une présentation très pénétrante de l’actualité et des événements étranges que nous traversons aujourd’hui. 

Et pour ceux que cet aspect quasi initiatique et prophétique laisse indifférent‚ pour ceux qui refusent de croire à l’étonnante aventure intérieure qui a mené Anton Parks a nous livrer ce récit si dense et si détaillé‚ il reste toujours une belle histoire à dévorer‚ une passionnante saga au souffle épique qui ravira les amateurs de mystères‚ les fans du « Seigneur des Anneaux »‚ de Dune ou de Matrix. Car à n’en pas douter‚ le tome 1 du « Secret des Etoiles sombres » possède un côté « Matrix » lorsqu’il effleure le fait que nous sommes enchaînés à un prodigieux mais effrayant mystère. L’homme pourra-t-il un jour se libérer ? Et qu’est-ce qui le menace ? 

A titre de curiosité‚ lisez sur http://www.antonparks.com / le courrier critique des lecteurs. J’ai rarement vu tant de concentrés d’éloges autant mérités. 

© Karma One pour les Editions Nenki (Karmapolis). Une interview complète d’Anton Parks sera très bientôt disponible sur www.Karmapolis.be.

Publié dans:HUMANITE, PROPHETIES |on 4 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Chanter, c’est jouir de l’existence

 Chanter, c'est jouir de l'existence dans AME images-31

Le chant n’est pas une activité anodine. Il exprime notre personnalité profonde qui reste cachée lorsque l’on parle.. Il est aussi affaire de philosophie, de langue, de sensualité… Rencontre plein chant avec un philosophe fan de rock.

Et si je chante faux ?

 Rien n’est plus irritant à entendre. Plus troublant aussi : comme s’il y avait une faille, une fêlure dans l’âme. Il est évidemment possible d’apprendre à se corriger par des techniques de rééducation. Celles-ci ne visent pas à « normaliser », mais à aider chacun à trouver sa voix, et donc sa voie.

On a longtemps chanté à tout propos : lever, coucher, labour, semailles, récolte, naissance, mariage, enterrement, etc. L’homme moderne ne se trouve-t-il pas en manque, contraint à l’écoute passive de chanteurs professionnels ?

 Cette histoire de « passé chantant » est un vieux fantasme où l’on retrouve Rousseau et sa modernité désenchantée : il y aurait eu une humanité innocente et chantante avant notre humanité malheureuse et non chantante. En réalité, c’est faux. Nous continuons à chanter, sous la douche ou en voiture, mais aussi en groupe : il n’y a jamais eu autant de chorales. 

Vous-même, chantez-vous ?

Comme beaucoup, je voulais avoir, adolescent, un groupe de rock. C’est resté à l’état de fantasme. Je chante toujours, mais en solitaire désormais. Et j’écoute ma femme…

Peut-on savoir ce que vous chantez et quel effet cela vous fait ?

Je chante essentiellement du rock, d’où la nécessité de m’isoler. Surtout du rock arty ou « indépendant », aux textes puissants. Nick Cave a été mon dieu (il l’est toujours). Que je les entende ou les chante, ses morceaux me bouleversent et me transportent, avec un sentiment extrême de libération. C’est comme si j’avais un autre corps, à côté duquel mon corps ordinaire ne ferait que vivoter. Je ne connais pas d’autre action qui mette le corps intégral dans cet état. 

Vous semblez très agacé par l’idée que le monde se serait « désenchanté » et qu’il faudrait donc le « réenchanter »…

Exact. Si j’ai eu envie d’écrire « Chanter », c’est en particulier par désir d’en finir avec cette nostalgie un peu aigre, ce regard négatif et dédaigneux vis-à-vis de la modernité et du temps présent. La vision d’une innocence première supposée m’exaspère. Elle confond l’origine des civilisations avec notre origine personnelle – cette éternité « magique » où l’on nous chantait des berceuses – et cela véhicule des idéologies rétrogrades. Par « désenchantement du mon­de », le sociologue Max Weber, au début du xxe siècle, entendait le recul du religieux. Il est vrai que le chant était lié au religieux et que celui-ci occupait l’essentiel de la vie sociale. L’humanité moderne faisant reculer l’emprise du sacré, un monde de chants et de cantiques a commencé à se dissoudre. Mais le chant n’a pas disparu pour autant. Porté par un autre contexte social, culturel, politique, artistique, l’enchantement s’est libéré des pesanteurs institutionnelles et ecclésiastiques. Tant mieux !

Cette histoire d’« humanité chantante » et d’« humanité non chantante » semble être un mythe répandu… 

Par Vincent Delecroix

Lire la suite ici… 

 

Publié dans:AME, HUMANITE |on 12 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction.


Qu’est-ce que l’autocensure vient faire avec l’esprit de Séduction? C’est ce que je vais vous montrer ! 

 

 La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction. dans ACCORD images-71

Les femmes sont assujetties au regard des hommes, c’est un fait, la séduction est inhérente au besoin de survivre et les femmes ont besoin -dans les circonstances difficiles des débuts de l’humanité-  de la force du mâle. De leur côté, les hommes sont habitués à obéir à leur chef de meute. Ce chef de meute peut-être un leader politique, ou leur mère, tout dépend de leur âge et du contexte !  

On peut dire que lorsqu’il s’agit d’entraide, les femmes s’imposeront l’autocensure immédiate : depuis des millénaires elles sont soumises à leurs ovaires et cette loi  de discrimination et d’infériorisation se transforme en obsession de la Séduction. Pour peu que leur famille soit axée sur l’obtention de pouvoir par n’importe quel moyen, les filles sont des instruments de valeur, des outils de séduction et d’obtention de faveurs : on leur apprend à utiliser leur corps comme moyen de valorisation de leurs compétences. Cette séduction sensuelle est ouvertement utilisée dans tous les systèmes de pouvoir et quoi qu’on dise les mœurs sur ce point n’évoluent pas  à cause  des femmes.

Les plus ardents défenseurs de la misogynie sont les femmes. Cette injustice notoire n’est pas pratiquée par des hommes mais par des femmes sur les plus jeunes, ce qui permet aux hommes de se placer aux postes d’envergure, même lorsqu’ils n’en n’ont pas les compétences : ils reçoivent le crédit moral, la récompense tandis que d’autres travaillent à leur mâcher le travail, car les femmes sont incapables de s’allier entre elles, incapables de se donner une chance les unes aux autres car trop soumises à leurs hormones, elles n’ont pas d’objectivité et de véritable égalité dans la tête quand il s’agit de comprendre les autres femmes de manière professionnelle et sans parti pris. Ce qui domine est la référence ovarienne : j’appelle référence ovarienne, l’impact des hormones de séduction sur les autres femmes qui discrédite celles qui ont un potentiel inférieur et/ou supérieur suivant la menace que ce potentiel représente pour l’auto-estime du détenteur du pouvoir.

La beauté, l’harmonie sont des facteurs discréditant lorsqu’il s’agit d’être prise au sérieux et n’importe quel homme –moins professionnel et moins compétent- recevra des femmes plus de respect et d’avantages qu’une femme dont il semble qu’elle n’a jamais suffisamment de compétences professionnelles pour recevoir le crédit moral dont elle aurait besoin pour progresser. Cette soumission à l’ancestralité est la cause des injustices faites aux femmes. Cet état de fait existe dans tous les milieux, mais plus particulièrement dans les élites, qui continuent de penser que les plus forts sont également les plus aptes à manager les autres.

Il est  pourtant évident que la force n’a plus besoin d’exister dans un monde où tout est automatisé et que l’industrie lourde disparaît progressivement de nos pays éco-labélisés. Dans ce cas, comment expliqué à nos enfants que le mariage entre personnes du même sexe et l’égalité des droits ne soient pas valables lorsqu’il s’agit des compétences professionnelles et des rémunérations ? Cela fait presque 200 ans que les femmes travaillent dans les mêmes conditions que les hommes, à des postes tout aussi variés et malgré cela, il semble encore normal à tout le monde qu’une femme ne peut pas…….la liste est trop longue et puis ça va m’énerver ! 

 En quoi une femme est-elle moins valorisable par ces aptitudes (hors mensurations corporelles) ? Pourquoi faut-il toujours préférer les paroles des hommes, leur discours surannés à la modernité et à la fluidité de la femme moderne? Femme moderne signifie hors caste sociale, qui s’est extraite des conditionnements religieux, qui s’est extraite des conditionnements sexuels et qui ne se laisse pas dominer par les tendances ancestrales à la soumission devant les hommes. La complémentarité  entre les individus existe. Elle est nécessaire et  indépendante du genre (des trucs sexués) 

Le droit de réussir une vie complète (réussite à chaque niveau de chakra) ne doit pas être réservé à quelques privilégiés : réussir une vie familiale, professionnelle, une vie solaire (extravertie) et lunaire (intuitive et réceptive) ne peut pas être réservé à l’élite des hommes. Je déplore cet état de fait dans le monde du New Age et des « avancées spirituelles » : il y a encore beaucoup trop à changer dans les têtes, qu’on se le dise, les hommes ne sont pas de meilleurs mages, ils sont simplement plus égoïstes et tournés à la réussite professionnelle exclusivement. Or, la spiritualité est un secteur où l’étape de croissance concerne les 2 sexes, les 2 énergies et 2 façons de fonctionner opposées : ceux qui n’arrivent pas à les unifier, « ensemble » dans la même pratique, ont raté l’épreuve !

Se priver d’une expression énergétique, par exemple ne pas avoir d’enfant, est une autocensure, une diminution des potentialités et cela n’a rien de glorieux. Nous sommes terriens, nous devons utiliser chaque potentiel au meilleur de ses possibilités. C’est ce que l’on appelle la « maîtrise »…au cas où certains voudraient se vanter sans en avoir vraiment les moyens. Léviter n’est pas ce que l’on nous demande, le but de l’existence est l’Harmonisation du Corps, de l’Esprit avec la transcendance spirituelle, l’éclairage de l’Intelligence Divine qui réside en soi, la partie évoluée et non-encastrable dans la linéarité du quotidien. Cette intelligence est « reseau », fluidité, légèreté et entraide. J’attends toujours d’en voir les effets!

Réagir n’est pas ma tasse de thé mais on dirait que le monde n’est pas prêt de changer à voir les habitudes sexistes perdurer…Y-a-t-il de vraies femmes modernes quelque part ? Allô ? Lila

issu du site : http://www.lilaluz.net/

Publié dans:ACCORD, ESPRITS, GUERISON, HUMANITE |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »
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