Archive pour la catégorie 'GUERISON'

Les Soins des Esséniens

 téléchargement (3)Les Esséniens étaient des êtres marginaux qui vivaient dans les montagnes. Jésus était leur maître avant qu’il ne se manifeste officiellement. Il faisait partie de leur tribu. Le Christ partageait la vie des Esséniens, il était leur maître incontesté. Très rapidement, il s’est imposé naturellement à eux, et ils l’ont reconnu comme chef de leur groupement philosophique. 

Si le Christ a enseigné plus tard aux foules d’Israël et d’ailleurs, il avait déjà commencé avec cette tribu essénienne. Leurs lois étaient les plus justes, les plus pures, les plus respectables, même si elles dérangeaient considérablement le pouvoir religieux en place. Ils ont appris beaucoup de leur maître Jésus pour soigner et guérir tous les maux ; les maux de l’âme, les maux de l’esprit et ceux du corps physique qui n’est que son serviteur. 

Soucieux de la santé de l’âme, le Christ s’attachait particulièrement à cet organe divin parce qu’l savait que tout en l’homme dépendait d’elle. C’est ainsi que son énergie se diffusait dans la matière pour atteindre le siège ou le cœur de l’esprit, c’est à dire l’âme. Ses soins étaient variés, il utilisait bien sûr la puissance de sa foi ; laquelle transfigurait et transformait totalement l’autre. Mais il utilisait aussi, comme ses amis esséniens, le traitement par les plantes ou avec certains minéraux très puissants et aujourd’hui totalement délaissés par la science. Il serait temps d’y revenir. 

L’opale, le quartz, la magnétite, furent les principaux minéraux utilisés à cette époque par le Christ. Ils émettent un rayonnement très puissant qui intervient sur le champ vibratoire de l’individu et en accélère la fréquence. Tout cela malheureusement quasiment disparu de nos jours, excepté une pratique occulte et généralement inconnue de la masse. 

Les Esséniens portaient donc une attention particulière à l’Esprit parce qu’ils savaient qu’il dominait la matière, et qu’il était indispensable d’être sains d’esprit pour être sains de corps. Donc, ils utilisaient pour l’esprit, pour le soin de l’esprit, les plantes. Certaines plantes étaient des euphorisants ; l’imposition des mains faisait partie de leur panoplie de guérison ainsi que l’utilisation de minéraux très influents recherchés aujourd’hui. Toutefois, n’allons surtout pas imaginer que ces matières sont miraculeuses. 

L’eau ne l’est pas davantage. C’est seulement la foi associée à leur utilisation qui conduit à la guérison et parfois au miracle ; Il était enseigné aux gens de cette époque que sans la foi, il n’est point de salut. 

Les Esséniens prirent un avantage considérable dans les techniques de soins et de guérison, grâce à leur savoir très particulier qui leur était enseigné par le plus grand d’entre eux : Jésus. Mais ils savaient qu’en agissant en marge de la société, ils prenaient de très grands risques pour leur devenir. C’est pour cette raison essentiellement d’ailleurs qu’ils ont été massacrés pour la plupart d’entre eux et très rapidement décimés. 

Le Christ a réussi à échapper à tous les pharisiens et grands prêtres qui les pourchassaient. Mais il était guidé par Dieu et sa mission ne devait pas s’arrêter à ce niveau….

Publié dans:GUERISON |on 19 juin, 2014 |Pas de commentaires »

Maux de tête sans médicaments

Dans son dernier livre, le Dr Patrick Lemoine, psychiatre, explique ce qui marche vraiment pour combattre autrement l’anxiété, le stress ou encore l’insomnie.

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Près de 20 % des Français âgés de 18 à 75 ans déclarent avoir pris des médicaments psychotropes au cours des douze derniers mois. Dans notre pays, trois millions de personnes sont touchées par la dépression, sous une forme plus ou moins sévère. À ces chiffres qui placent la France au premier rang en ce qui concerne la consommation de produits psychotropes en Europe, il faut ajouter les milliers d’individus qui souffrent de différentes formes de stress, parmi lesquelles le redoutable burn-out qui représente aujourd’hui une nouvelle cause d’atteinte sévère à l’intégrité psychologique et physique. 

Comment s’en sortir ? Peut-on réellement se passer de médicaments ? Quelles sont les alternatives ? Autant de questions auxquelles répond le Dr Patrick Lemoine dans son dernier livre*. Psychiatre, docteur en neurosciences et spécialiste du sommeil, il présente de façon très parlante, à partir d’histoires de patients, les méthodes scientifiques validées actuellement. « Moins en vogue aujourd’hui, la psychanalyse et ses ramifications qui s’occupent du pourquoi on va mal ont laissé la place à d’autres méthodes plus ou moins oubliées sous leur règne », explique-t-il.

Revivre une situation traumatique pour mieux l’accepter

Il y a d’abord les techniques pragmatiques, qui consistent à s’occuper du comment et qui cherchent à changer le point de vue et le comportement du patient par des thérapies cognitives et comportementales. Les techniques dites cathartiques permettent de revivre sans crainte une situation traumatique afin de l’accepter ; elles font souvent appel à l’hypnose. Certaines écoles ont même réussi à allier plus de théories, comme l’EMDR (Eye Movement Desensitization and Reprocessing). Introduite dans notre pays parDavid Servan-Schreiber, elle vise à placer le sujet en état de conscience modifiée (transe) et à lui faire revivre pas à pas, d’une manière ultraprécise et réaliste, le ou les traumatismes à l’origine de ses troubles. 

Des théories non validées scientifiquement peuvent également être proposées, comme l’EFT (Emotional Freedom Techniques), qui réunit l’acupuncture et les thérapies cognitives ainsi que comportementales. Elle vise à la fois une catharsis et une sorte de relaxation. On le voit, les propositions sont multiples et variées, et il semble difficile de trouver la meilleure pour combattre une déprime passagère, voire une dépression. C’est justement ce que le Dr Lemoine aide à faire en énumérant les principales alternatives en réponse à un problème précis et en les classant en termes d’efficacité et de validation. 

Certes, dans des maladies aussi graves que la psychose, le délire ou encore les hallucinations, il est indispensable de prendre des traitements médicamenteux, et cela, pendant fort longtemps. Mais, dans beaucoup d’autres cas, il faudrait « déprescrire », note ce spécialiste, qui énonce les dangers : par exemple, le risque de mourir prématurément est doublé chez les consommateurs réguliers de somnifères et celui de développer une démence de type Alzheimer augmente chez les consommateurs de tranquillisants sur une longue durée.

 * »Soigner sa tête sans médicaments … ou presque », éditions Robert Laffont, 384 pages, 20 euros. Le Point.fr - 

Publié dans:GUERISON |on 8 juin, 2014 |Pas de commentaires »

L’AME GUERISSEUSE

 

 

téléchargement (3)Sur les deux jours de la manifestation sous le signe de la pleine Lune du Taureau (Wesak) 230 personnes étaient au rendez-vous de « l’Ame guérisseuse », thème choisi conjointement par Jean-Claude Genel et son invitée Doumé Jacquier, hygiéniste-naturopathe, initiée au Ch’i Tao Ming et Motivatrice de Vie au sein de l’U.LV. Ce premier temps fort que nous allons développer fut prolongé par un concert thérapeutique avec vidéo projection, conçu et joué par le musicien Cyril Campo, assisté de Yannick Le Cam aux bols de cristal. Le troisième temps fort fut la méditation du Wesak guidée par J.C Genel. A Paris, Arouna Lipschitz, philosophe de la relation, était associée à cet événement. 

Nous ne sommes pas des êtres humains

JC a commencé son intervention en rappelant le point de vue des grands mystiques qui affirment que nous ne sommes pas des êtres humains venus vivre une expérience spirituelle, mais des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine. Cette façon de penser permet de comprendre la Création comme l’expression de la Pensée de Dieu, vaste intelligence devenue matrice d’une Ame collective dont nous serions issus. Chacun de nous posséderait donc la mémoire de ce « Commencement où Dieu poétisa » pour reprendre l’expression de Frank Lalou à travers toutes les formes de vie que représentent, dans notre système d’évolution, les différents règnes. L’auteur de « L’Ame créatrice » rappelle ensuite que lorsque nous préparons notre incarnation, l’âme que nous sommes définit essentiellement l’enseignement susceptible de l’épanouir dans la conscience de son origine. 

L’âme éprouve sa divinité

Ce choix d’en-haut détermine les meilleures conditions de son parcours terrestre. Tout au long de son incarnation, l’âme est mue par le seul désir d’éprouver et de vérifier sa divinité. En se révélant, elle sacralise la matière. L’erreur à ne pas commettre serrait d’identifier et donc de limiter l’âme à notre aspect humain. Toute la subtilité de notre vie est donc de nous ajuster à elle. J.C Genel a ensuite identifié deux phases distinctes dans une vie. Dans la première, nous subissons le monde (principalement celui des adultes). Dans la deuxième partie de vie, nous reprenons conscience de notre potentiel et comprenons que c’est en le mettant au service de l’âme que nous pouvons nous réaliser. C’est ainsi que nous offrons à l’âme le meilleur de nous-mêmes à travers la pleine expression de nos valeurs. Les valeurs garantissent une ligne de conduite, une éthique grâce à laquelle nous restons alignés sur le désir de l’âme et dans l’ordre cosmique, conscients que nous possédons les qualités du grand « Tout ». Puis, il a rappelé que les conditions vibratoires de l’année 2012 ont été propices pour nous guéri de nos maux, mettre le cap sur notre divinité et accepter que nous sommes des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine. 

Doumé, praticienne de la « médecine de l’âme ».

La matinée s’est poursuivie avec l’intervention de Doumé Jacquier qui a intéressé l’assistance à la relation de l’âme avec le corps physique. Elle insista sur la façon de maintenir l’être dans sa mission de vie afin que l’âme s’en trouve enrichie. Tout d’abord, elle a décrit son parcours parsemé de rencontres opportunes et de circonstances favorables (synchronicités). Elle a parlé de sa grande sensibilité et des convictions, fruits de ses expériences personnes qui lui ont permis de structurer sa personnalité et d’accompagner les êtres dans leur processus de guérison. Elle a rappelé que chacun de nous possède un « capital santé » dont il est responsable et que la nature offre tous les éléments nécessaires à sa préservation, voire à sa restauration. 

Dans ce monde d’énergies dans lequel nous baignons, Doumé Jacquier insista sur l’alliance qu’il nous faut maintenir avec la force vitale inscrite au coeur de notre corps. Cette intelligence sacrée prédomine non seulement au maintien de la santé mais aussi à tout processus de guérison toujours accordé au programme d’âme de l’être. Sa pratique devient alors une « médecine de l’Ame », à travers un travail de ré-harmonisation globale de l’être dans ses énergies, sa psyché, son émotionnel qui, lorsqu’ils sont perturbés, sont à la source de bien des maux. La matinée s’achève sur un partage d’idées évoquées entre les deux intervenants. 

Doumé Jacquier accueille en consultations sur Reims et en Savoie 
Courriel : jacquier.dom@orange.fr

Publié dans:AME, GUERISON |on 4 juin, 2014 |Pas de commentaires »

Le Pouvoir guérisseur

Comment agit un guérisseur ?

images (14)Comment un guérisseur s’y prend-il pour soigner ses patients, et dispose-t-il d’aides à cet effet ? Dans « Rencontres avec des guérisseurs remarquables », Alexandre Grigoriantz explique la manière dont œuvre un guérisseur aux dons exceptionnels.

Habituellement, quand un patient entre dans son cabinet, Jean-Jacques décide très vite s’il va lui demander de rester debout, à quelques pas devant lui, ou bien s’il va lui demander de s’allonger sur le lit d’auscultation. Il sent, me dit-il, une « conscience » qui l’entoure et qui le guide. Il entre alors en contact avec la personne et selon ce qu’il ressent, il décide que son intervention s’effectuera en utilisant son propre magnétisme ou sa vision de l’aura et s’il devra agir lui-même ou laisser faire les choses. (…) Comment soigne-t-il par magnétisme ?

« C’est très variable. Je peux tout simplement laisser aller mes mains qui viennent se poser à l’endroit précis où elles doivent aller. Mais le plus souvent je laisse aller ma propre énergie. »

Si la vision de l’aura du patient s’impose, Jean-Jacques lui demande de se mettre debout devant lui et il observe alors une forme ovale qui englobe tout son corps, comme un œuf transparent. A l’intérieur, il voit le corps énergétique du patient avec des couleurs et des déformations locales qui le renseignent à la fois sur les pathologies physiques ou psychiques passées, présentes ou à venir. C’est ainsi qu’il peut prévoir l’apparition d’une grave maladie qui ne s’est pas encore déclarée dans le corps physique. Il arrive que cette forme ovale soit elle-même déformée comme si elle subissait des pressions en direction d’une partie précise du corps.

Lorsqu’il intervient au travers du corps éthérique, il peut envoyer sa propre énergie, mais souvent c’est une énergie extérieure qui intervient et qui peut parfois le pousser en avant ou l’écarter violemment du patient, comme si intervenait une force étrangère dotée d’une conscience. Quelquefois, il a l’impression de se trouver sur un autre plan, dans le domaine purement spirituel où règnent des forces plus fines, plus subtiles qui opèrent en se servant de lui comme intermédiaire. « A certains moments, je n’ai même plus besoin d’intervenir, dit-il, les choses se font toutes seules. »
Cette perception qu’il a des énergies subtiles lui permet de détecter les états physiques ou psychiques de ses patients.

« Je ressens des choses, me dit-il. Certaines personnes dégagent tellement de chaleur que je ne peux pas les approcher à un mètre. Je sens une véritable brûlure en leur présence. 
Chez d’autres c’est plus calme. Je deviens leur double. Je me sens tendu ou stressé et ma vue se trouble. Je perçois l’énergie de la personne et je vois la mienne qui est attirée par certains points du corps énergétique de l’autre.
A ce propos, je dois préciser que je ne vois pas toujours l’aura entière. Il m’arrive de n’en percevoir qu’une partie, celle où se situe le problème du patient. Parfois c’est tout le contraire, elle m’apparaît dans sa globalité. Chaque cas est particulier et s’il existe un problème dans un organe ou dans un endroit bien précis, je suis « obligé » d’y aller et ma vision fonctionne alors comme un zoom.

Je suis moi-même très impressionné par ce processus, car je sens quelquefois une volonté, une force externe intelligente qui me pousse à aller vers un organe ou vers une partie spécifique du corps ou de l’aura. Je ne fais pas ce que je veux. On dirait que je ne suis pas seul à décider et que même si je me force à porter mon regard vers un autre endroit, il se passe alors quelque chose de bizarre, une volonté extérieure m’en empêche. (…)

Généralement quand je magnétise en regardant l’aura, tandis que le patient se tient bien droit, il m’arrive de voir son corps énergétique tordu en certains points et je sais que c’est précisément là que je dois intervenir. Au fur et à mesure que ma propre énergie fait son effet, je me sens mieux et ma vue, légèrement troublée au début du processus, peu à peu redevient claire. Mon corps, tendu ou crispé au début (car mes impressions sont le reflet de celles du patient) se détend. En même temps, entre mon être intérieur et celui de la personne en face de moi, il se produit une étrange connexion qui me permet de voir le film de sa vie ou de parfois entendre des voix qui me disent des choses sur elle. C’est très varié. Je ne perçois pas que des choses négatives. Il arrive que pendant que je les aide, des patients qui ont une très belle aura me conduisent dans des états spirituels intenses. Dans ces moments exceptionnels qui m’entraînent vers de très hautes vibrations, je ressens des impressions merveilleuses et plusieurs de mes patients les ressentent également. Certains voient leur propre aura ou bien ils se sentent baignés de lumière. Un jour, j’ai même décelé chez une femme qu’elle avait un très fort pouvoir de guérison. Le simple fait que nous ayons travaillé ensemble au cours de cette séance lui a ouvert des canaux pour libérer le magnétisme qu’elle avait en elle. Aujourd’hui, tout en ayant conservé son activité, elle pratique de temps en temps et je sais qu’elle est une excellente magnétiseuse.

Mes patients pourraient s’inquiéter de ces phénomènes et de mon intrusion involontaire dans une partie cachée de leur vie ou de leur personnalité. En réalité, je reste humble. Je ne demande jamais rien. Si ces images apparaissent ou ces voix se font entendre, c’est parce que cela fait partie du processus de guérison. Certains éprouvent le besoin de me raconter leur vie et je les laisse faire car je sens qu’ils en ont besoin.

Mais que l’on se rassure, après la séance j’efface tout de mon esprit. En général j’oublie 80% de ce que l’on m’a confié ou que j’ai perçu. Cependant, si le patient veut entrer dans le détail d’une chose qu’il a vue ou ressentie alors nous en parlons. C’est lui qui décide. »

Le Pouvoir guérisseur dans GUERISON couv_912Rencontres avec des guérisseurs remarquables, Alexandre Grigoriantz
Editions Trajectoire (Février 2012 ; 252 pages) 

Publié dans:GUERISON, POUVOIR |on 24 mai, 2014 |Pas de commentaires »

Soigner son âme

téléchargement (5)Le voyage chamanique nous permettrait-il de soigner nos blessures intérieures ? Dans ce dialogue avec Olivier Chambon, Laurent Huguelit explique comment une thérapie chamanique peut nous aider à reconstruire notre intégrité psychique.
 

Olivier : Alors, explique-moi ce qu’est un « voyage chamanique ». Qu’est-ce que tu fais ? Qu’est-ce qui se passe ?

Laurent : La personne se couche et je lui explique que l’écran, le support, c’est le même que celui de l’imagination ; mais ce n’est pas de l’imagination, c’est réel.

Olivier : À ce sujet, des recherches en neurosciences indiquent que notre cerveau fonctionne de la même manière lorsque nous percevons la réalité extérieure et lorsque nous effectuons une action dans notre imagination. L’imagination est donc tout à fait « réelle » et est interprétée comme telle par le cerveau.

Laurent : Néanmoins, il y a pour moi une différence subtile entre l’imagination telle qu’elle se définit dans nos cultures et le voyage chamanique. C’est quelque chose que l’on apprend à reconnaître et à discerner avec le temps, car au début ce n’est pas forcément évident. C’est une question classique qui revient souvent : « Est-ce que je ne suis pas en train d’imaginer ces trucs ? » Non, tu fais un voyage chamanique. Nuance. (…)
Pour faire un voyage chamanique, il faut un point de départ qui peut être un arbre ou un endroit avec un accès vers le bas. Il faut qu’il y ait un trou, par lequel on a accès au Monde d’en bas.

Olivier : C’est un peu comme Alice au pays des merveilles, de Lewis Carroll : tu plonges dans le terrier du lapin.

Laurent : Oui, si tu veux ; ce type de littérature est très chamanique : Alice, Le Magicien d’Oz, etc. La différence, c’est que là, ce n’est pas un livre : c’est réel. Le voyage n’est pas figé par des mots, il se crée en direct, devant tes yeux. Donc, je fais aller la personne dans le Monde d’en bas et je la fais travailler chamaniquement dès la première séance. Je lui fais rencontrer une personne de son entourage familial ou sentimental avec laquelle elle a des choses à régler. Donc la personne a déjà fait une partie du travail elle-même, alors que moi, je n’ai encore rien fait. Le but, c’est : « Vous voyez ? Vous pouvez le faire vous-même ; je suis simplement là pour vous montrer comment faire. Mais ce n’est pas moi le grand manitou qui fait la séance, c’est vous qui faites votre séance. »

La personne revient avec des informations, et ce qui est incroyable, c’est que dans la plupart des cas, sans aucun entraînement, sans forcément avoir quinze ans de pratique, les gens reviennent avec des informations épatantes, éclatantes de transparence de leur voyage chamanique, même si c’est la première fois qu’ils en font un. Ensuite, je fais un point sur la suite de la séance, qui est le soin chamanique proprement dit, où c’est moi qui entre en transe et fait un voyage chamanique. Je vois alors les différentes actions à entreprendre, si je dois faire des extractions, un recouvrement d’âme, etc. 
Précisions que les recouvrements d’âmes et les extractions chamaniques sont vraiment les deux principales techniques chamaniques, d’un point de vue thérapeutique. Les chamanes, soit ils (r)amènent des choses – recouvrement – soit ils enlèvent des choses – extraction. C’est très simple : c’est de la plomberie spirituelle.

Olivier : Dans le livre La Chamane blanche, la psychiatre revient à l’hôpital psychiatrique où elle travaille, après avoir été initiée par un chamane. Elle dit qu’il lui a expliqué que les chamanes enlèvent ou retrouvent deux types de choses. Soit c’est quelque chose qui est entré « par effraction », soit c’est quelque chose qui était perdu comme une partie d’âme qui a été prise, volée, ou que la personne a abandonnée ou laissée attachée à autre chose, etc.

Laurent : Oui, c’est très simple : tu as des trucs en trop en toi ? Le chamane les enlève. Des trucs te manquent ? Le chamane les ramène. En gros, c’est ça, la face thérapeutique de la pratique chamanique. Et pour avoir accès aux informations, nous faisons des voyages chamaniques. Tout le reste, c’est de l’emballage culturel.

Olivier : Pour reprendre la métaphore informatique, tu supprimes ou tu amènes des programmes.

Laurent : C’est ça. Ce que tu enlèves est souvent lié à des traumatismes, des intrusions, des peines, des émotions, etc. Ce que tu ramènes, en gros, c’est l’intégrité énergétique de la personne… Extractions et recouvrements sont liés, un peu comme des vases communicants.

Si tu vis un traumatisme, comme par exemple un accident de voiture, un viol ou un deuil, tu peux perdre une partie de ton âme ; elle se réfugie quelque part dans l’autre monde, pour échapper à la douleur, en quelque sorte. Cette partie que tu as perdue va être remplacée par autre chose : une drogue, une dépendance, une dépression, ou que sais-je encore ? Les possibilités sont infinies. Le chamane va enlever cette énergie de remplacement et ramener ce qui est parti, c’est-à-dire toi-même. On rebouche le trou et on referme la bouteille. C’est pour cela que c’est tellement efficace : une fois que l’intégrité énergétique est rétablie, que l’âme est entière de nouveau, les énergies de remplacement n’ont plus de raison d’être. 

Olivier : Certains physiciens diraient que les chamanes opèrent sur des champs morphiques. C’est la terminologie du biochimiste anglais Rupert Sheldrake. Ces champs morphiques sont des structures qui organisent la matière, donc quand le chamane vient retirer ce qui sévit au niveau énergétique, il y a un bout d’âme ou un bout de matrice qui revient se positionner au bon endroit, ce qui informe le corps, qui met en place un processus de cicatrisation physique et psychique… C’est dans le même ordre d’idées, non ?

Laurent : Exactement. Et tout cela fonctionne de manière très logique : ce n’est pas un délire irrationnel. Nous travaillons directement sur la structure énergétique des personnes qui viennent nous voir et de ce qui les entoure.

Soigner son âme  dans AME couv_139Le Chamane & le Psy, Olivier Chambon, Laurent Huguelit
Mama Editions (2010 ; 224 pages) 

Publié dans:AME, GUERISON |on 20 mai, 2014 |Pas de commentaires »

Le corps sait se guérir

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  par Max-Emilien Robichaud 

Son premier cœur est désormais guéri!

Avez-vous entendu parler de cette nouvelle médicale toute récente? Une intervention d’urgence sur un deuxième cœur, devenu malade, implanté, enfant, chez une fillette de11 ans, permet de constater que le premier cœur original, à la naissance dysfonctionnel, est désormais réparé. Les médecins relient désormais ce premier cœur. Comme quoi le corps peut, dans les meilleures conditions, se régénérer, se libérer, se réparer et se guérir!

Notre potentiel de guérison

Notre corps sait se réparer et se guérir si nous lui offrons toutes les conditions optimales et bien sûr un certain coup de pouce. Ainsi une pression ou un pansement sur une coupure arrête le saignement et le processus de guérison est enclenché. Un bras cassé, remis en place et plâtré adéquatement par le médecin se répare tout seul sans autre intervention extérieure. Certes le physio donnera certains exercices mais c’est vous qui allez les faire. Oui le corps peut se réparer mais il nous faut pour cela le bien nourrir, le protéger, l’exercer mais aussi le reposer avec de bonnes nuits de sommeil réparatrices mais il y a plus encore.

Il faut bien sûr apprendre à mieux gérer son stress, ses relations, son travail, ses émotions et aussi ses pensées en particulier les plus négatives qui peuvent nous miner une santé. Il y va en fait d’un plan de santé global (1) qui nous permet de vivre au mieux autant notre vie personnelle que professionnelle. Il importe de vivre l’amour, l’amitié, ses passions et ses rêves et ses projets prioritaires. Il nous faut enfin intégrer au quotidien les meilleures habitudes et routines de santé.

Notre corps fatigué ou malade nous parle!

Lorsque notre corps est malade, nous le sentons et il n’y a pas d’équivoque: nous l’entendons dire « j’ai mal, je me sens faible, je n’ai plus d’énergie, mon dos élance, ma tête veut se fendre etc. Vite, il nous faut y voir et souvent nous devons prendre une pilule pour nous soulager et d’ailleurs, oui nous n’avons pas à endurer indûment la douleur. Mais réalisons-nous vraiment que notre corps peut se guérir lui-même? Encore là, nous avons souvent tendance à oublier notre propre potentiel de guérison et donnons parfois notre pouvoir soit à la médecine soit conventionnelle, soit même aussi alternative.

Ecouter son corps dire sa fatigue

Vous arrivez du travail exténué et le souper n’est pas prêt et oui les enfants ont faim et vous crient après. Bien sûr, il nous faut manger! Mais il faut aussi aviser les intéressés de son état de fatigue et plus encore, les inviter oui à la patience mais pourquoi pas à participer à la préparation culinaire. Mieux encore, pourquoi ne pas organiser un pique-nique improvisé au salon où chacun participe à plein, motivé par une telle invitation. Il est tout à fait possible de répondre à ses besoins et à ceux qui nous sont les plus chers sans pour autant rogner sur sa santé si nous savons communiquer nos états et inviter aux compromis judicieux. Il faut parfois changer certaines de nos moins bonnes habitudes de vie et en adopter de meilleures pour vivre différemment et mieux vivre!

Vivre différemment, mieux et plus longtemps.

Il est tout à fait possible en effet de vivre autrement(2), changer ses habitudes de vie, améliorer ainsi sa qualité de vie et allonger ses années sur cette terre. Mais il faut bien commencer de quelque façon que ce soit. Chose certaine, plusieurs conviennent que le stress et la vie trépignante actuelle nuisent considérablement à la santé et contribuent au mal-être. Pour y remédier, il importe de trouver le moyen régulièrement de :

  • Apprendre à relaxer et calmer régulièrement son système nerveux;
  • Être à l’écoute de son corps pour connaître ses limites mais aussi ses messages;
  • Dégager les tensions physiques et psychiques;
  • Apprendre à respirer adéquatement et à bouger;
  • Favoriser un sommeil et un repos réparateurs

Le stress, le mal du siècle

Nous expérimentons tous, tous les jours d’ailleurs, un niveau certain de stress qui génère du mal-être. Comment le diminuer, le gérer? Comment apaiser son mental, baisser la tension, se détendre un tant soit peu, se sentir mieux dans son corps ne serait-ce que quelques instants? L’exercice physique entre autres; le mouvement corporel oui mais aussi la respiration, la détente, l’écoute attentive du corps, le massage, les étirements, l’harmonisation etc…Ma marche quotidienne, la vôtre ou toute autre activité physique sont très bénéfiques pour le corps, le cœur, l’esprit ect.. Nous le savons que trop bien! De nombreuses approches et méthodes plus spécifiques ou dédiées au mieux-être s’avèrent aussi salutaires pour la santé. La MLC© (3) est l’une d’elles.

Saviez vous justement que La Méthode de Libération des Cuirasses (MLC©) réunit tous les éléments nommés ci-haut (respirer, bouger etc.) et les conjugue à merveille pour des résultats probants! Une méthode aussi simple et accessible que puissante!(3). Étendus au sol, avec quelques accessoires simples, nous pouvons facilement jouir rapidement tous les jours de quelques instants de paix, de détente, de repos et de tous ses autres effets bénéfiques surprenants. La MLC© permet entre autres d’introduire de nouvelles habitudes de bien-être et de nouvelles connexions et réseaux neuronaux reliés à notre bien-être. Car autant le corps, le cerveau et la cellule enregistrent tout, autant ils peuvent aussi changer pour le mieux. Il y va de l’intelligence, la mémoire du corps et sa capacité de changer et même des paradigmes installés depuis la naissance et qui sont sources de mal-être.

La mémoire et l’intelligence du corps

Le corps et la personnalité se construisent dans un environnement plus ou moins favorable au cours de la vie. Très tôt, le fœtus enregistre tout, en cours de processus et le garde en mémoire: autant le type d’alimentation de la mère que ses habitudes de vie, que ce qu’elle vit physiquement et émotionnellement, que ce qui se passe dans l’environnement immédiat. Ainsi un jeune bébé reconnaîtra d’emblée et avec plaisir l’odeur de l’anis si sa mère en mangeait régulièrement durant sa grossesse. En revanche, il va aussi réagir mais négativement à une musique associée à une situation stressante ou violente, vécue, fœtus ou enfant. Dès lors son corps se contractera à nouveau pour se protéger et survivre à ce traumatisme. Mais si le phénomène se répète, se répète, la tension s’installe pour y demeurer et la personne va vivre un stress permanent. Le processus de construction se poursuit plus ou moins bien enfant, adolescent et jeune adulte selon les expériences rencontrées et selon que les peurs, les angoisses, les stress rencontrés qui sont plus ou moins bien vécus ou évacués. Mais il faut savoir que tout traumatisme est enregistré avec sa charge émotionnelle par le système nerveux et le corps, lequel, réagit pour se protéger et ramener tant soit peu les systèmes à un état le plus normal possible. Le traumatisme est-il bien vécu et se répète t il?

Le corps se contracte devant tout danger et si ce dernier se répète trop souvent; à la longue le corps maintient la garde haute même lorsque le danger est disparu. Le corps, le muscle et la cellule même enregistrent les traumatismes et leurs charges émotionnelles et les emprisonnements conséquents; mais il est possible de renverser la situation et de faire le chemin inverse soit dégager le corps, le muscle, la cellule de ses empreintes négatives. La MLC© favorise en quelque sorte cette rééducation du corps en y dégageant ces empreintes négatives et en y reprogrammant en quelque sorte une autre mémoire qui elle favorise la détente, le mieux-être et la santé. (3) C’est ainsi que le rituel proposé et répété en MLC© soit de détente, de respiration, de divers mouvements suggérés induisent un processus de relâchement, de dégagement des tensions, amenant l`être entier sur la piste du bien-être.

Capacité de changer, se transformer, se guérir: (neuroplasticité)

Depuis longtemps, très longtemps d’ailleurs nous avions intuitionné et expérimenté la capacité de changer notre vie: la possibilité de modifier nos modes de penser et d’agir, de transformer notre corps, notre vie du tout au tout et emprunter de nouveaux chemins. Il est en effet possible de vivre un mieux-être, une meilleure qualité de vie, de guérir même en fin de compte. Il s’agit de prendre conscience de ce qui va pas, de trouver les moyens de changer et de modifier sa vie en conséquence. Cela va de notre vision du monde, de son monde mais aussi de nos capacités et nos incapacités ou limites autant de notre corps que de notre psyché. Plusieurs approches offrent cette possibilité dont la MLC© bien sûr. Les témoignages, les résultats obtenus l’attestent. C’est possible avec la libération corporelle mais aussi énergétique et psychique. (4)

Par ailleurs les recherches scientifiques le confirment de plus en plus En effet les neuroscientifiques parlent désormais de la plasticité du cerveau et prouvent la capacité de changer nos paradigmes physiques et même psychiques Plusieurs expériences cliniques sont concluantes pour induire de nouvelles connexions neuronales avec des conséquentes surprenantes: ex. faire disparaître une douleur à un bras fantôme, amputé, réactiver un bras paralysé, apprendre le langage parlé avec le seul cerveau droit, le gauche étant atrophié et…Il en va de même pour modifier nos pensées, nos émotions, nos états âme notamment en ce qui concerne nos diverses sources de mal-être dans notre vie (5). Qui plus est, l’imagerie médicale montre maintenant clairement l’évolution et la morphologie changeante des différentes aires du cerveau (6). Oui il est bon de savoir tout cela mais il faut aussi l’intégrer dans sa vie. Encore faut-il se prendre en main, changer sa vie et pourquoi ne pas devenir son meilleur thérapeute!

Notre meilleur thérapeute! Notre meilleur médecin!

Notre meilleur thérapeute est à la portée de nos mains! C’est nous-mêmes en fait!(7). Oui en effet nous sommes le véritable artisan de notre transformation, de notre développement de notre guérison. Sachons que le thérapeute le plus compétent avec le meilleur outil du monde ne représentent que 20% de notre processus de libération et nous 80%. Il en est de même pour notre santé en général. Entre deux visites médicales ou avec tout autre intervenant de santé par ailleurs, qui est le mieux placé pour protéger et améliorer sa santé? Outre les interventions médicales urgentes ou plus spécifiques, ce sont nos actions, nos activités quotidiennes qui font foi de tout. Il en va ainsi aussi de tous les conseils et les exercices et outils de santé. Que faisons-nous des lectures, échanges, consultations, ateliers ou séminaires passés? Qu’avons retenu, intégré?

Ainsi nous pouvons vivre les différents exercices appris en classe, en atelier ou en séances individuelles et les poursuivre chez-nous selon notre horaire et le confort de notre domicile. Je vous propose ici la même démarche que j’ai toujours suivie: intégrer les rituels et exercices à mes routines quotidiennes. 

Max-Emilien Robichaud,
Centre Osmose : 5800 St-Denis, Suite 403
Courriel: erobichaud@centreosmose.com

 

Publié dans:GUERISON |on 10 mai, 2014 |Pas de commentaires »

Travail de l’énergie EMF Balancing Technique

Un modèle gracieux, élégant et sophistiqué 

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L’EMF Balancing Technique est la méthode énergétique conçue pour travailler avec l’Universal Calibration Lattice, une partie de l’anatomie énergétique humaine. La technique présente une marche à suivre structurée, simple et élégante, que chacun peut apprendre, utilisant l’effet d’humain à humain sur le champ électromagnétique. Il existe 13 phases de la technique, chacune conçue pour fonctionner avec l’Universal Calibration Lattice et le renforcer.

Origine de la Technique

Depuis ses premières années, Peggy a eu un désir profond de se « souvenir de Dieu ». Alors qu’elle était une jeune femme, elle a eu une série profonde d’expériences ayant pour résultat l’ouverture spontanée de tous ses chakras. Cette ouverture a produit une conscience de l’amour inconditionnel et la réalisation d’une connexion profonde de toutes les choses dans l’univers.

Son désir d’en connaître encore plus, et de vivre son quotidien dans la conscience de cet état, a mené à un parcours d’une quinzaine d’années qui a eu comme conséquence une autre ouverture profonde, cette fois une expérience inimitable provoquant la découverte de l’Universal Calibration Lattice (UCL). Au début, l’attention de Peggy était portée sur son évolution spirituelle personnelle. En travaillant directement avec la nature électromagnétique de l’UCL, elle a réalisé qu’il existait une possibilité pour développer une manière d’aider d’autres dans leur processus d’évolution. Dans sa ville natale, les résultats des sessions de Peggy se sont rapidement fait connaître par le bouche à oreille.

Après avoir travaillé régulièrement avec des clients pendant plusieurs années, et stimulée par leur demande d’en savoir plus au sujet de ce qu’elle faisait, Peggy a développé un programme de formation pour enseigner à d’autres la théorie et la méthode pour donner les sessions, et ainsi, l’EMF Balancing Technique était née. Quand ces praticiens nouvellement formés ont commencé à pratiquer les sessions, leurs résultats étaient également remarquables. Plusieurs années après, sur base de la nature positive et continue des résultats, Peggy a développé un autre programme, celui des enseignants. Peggy tranmettait maintenant à d’autres la capacité d’enseigner le travail !

Ces programmes de formation ont mené à l’état actuel du travail – Peggy Phoenix Dubro est maintenant connue dans le monde entier comme la fondatrice de l’EMF Balancing Technique, et la première autorité concernant l’Universal Calibration Lattice. La technique est maintenant pratiquée et enseignée dans 70 pays du monde entier, où les gens de cultures et de religions diverses résonnent avec l’intention originale du travail EMF – connaître et vivre sa vie aussi pleinement que possible dans une conscience de l’énergie de l’amour, de la connexion de toutes choses, et de la nature unique et sacrée de chaque humain.

Méthode

Il existe treize phases dans le système complet de l’EMF Balancing Technique, chaque phase étant reliée à une session qui présente une structure et une attention spécifiques. Dans chacune des quatre premières phases, le praticien réalise une succession unique de mouvements Tai Chi gracieux pendant que le client repose entièrement vêtu sur une table de massage. Tous les mouvements sont accomplis dans l’Universal Calibration Lattice, un système de l’anatomie énergétique, qui s’étend de l’énergie centrale à l’intérieur du corps à une zone approximative de 60 cms tout autour du corps physique. Quelques contacts légers avec les mains se font au niveau du corps physique, mais la majorité de la séance est réalisée sans toucher le client. La session énergétique associée à chaque phase facilite l’expérience de soi en tant qu’être énergétique, construisant les fondations pour une évolution de la conscience vers celle d’un Être Evolutif en constante Emergence.

Le Praticien EMF communique principalement par le langage non verbal de l’énergie, transmis par l’interaction énergétique d’humain à humain tout au cours de la session. Les schémas de la session établissent une résonance et délivrent au receveur de la session un message de force et de complétude. La plupart des mouvements sont accompagnés d’intentions très spécifiques d’encouragement et sont exprimés par le praticien au client. Le receveur de la session répond toujours à cette résonance en accord avec sa sagesse personnelle et unique. Chaque session s’adresse au coeur de l’individu, et est une invitation à évoluer vers le prochain niveau de complétude (ou du « sacré en soi »!).

Bénéfices

Le premier bénéfice d’une session d’EMF Balancing Technique est le renforcement de l’Universal Calibration Lattice – un système complexe de l’anatomie énergétique humaine avec un but simple – celui de porter la charge électrique plus grande qui est maintenant disponible à tous les êtres humains.

L’UCL est le circuit pour la charge électrique qui sert de fondation au prochain niveau de notre évolution personnelle. Ce système de notre anatomie énergétique est une prolongation de notre système nerveux sympathique et parasympathique, qui nous aide dans le développement de nos capacités à nous exprimer entièrement. N’importe qui sur le chemin de la croissance personnelle consciente tirera bénéfice d’avoir une plus grande connaissance de son Universal Calibration Lattice, puisqu’il affecte tout ce que nous faisons.

Les avantages documentés des sessions EMF incluent une paix profonde, une plus grande maîtrise dans sa vie, un bien-être amélioré, et parfois également de remarquables guérisons physiques – les avantages sont illimités alors que nous apprenons à maintenir et exprimer notre plus grande charge. Nous apprenons comment explorer, traduire, et former notre monde en tant qu’êtres multidimensionnels. Le travail renforce tout être qui souhaite continuer à se développer, du débutant sur le chemin au sage chevronné qui sait que le voyage est éternel et la croissance illimitée.

source : http://www.emfbalancingtechnique.com/index_home.php?phpLang=fr

Publié dans:GUERISON |on 5 mai, 2014 |Pas de commentaires »

Clarté pour discipliner votre Esprit

 

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1. Pourquoi le raffinement et la discipline de la pensée d’une formation importante pour le 5DI

La perfection du corps mental est la dernière préoccupation pour le candidat du 5DI. Ce n’est pas seulement l’efficacité de moyens mais aussi la sensibilisation complète des motivations conscientes et inconscientes de chacun. La formation et la pratique de cette compétence devraient commencer dès que le disciple peut choisir. C’est la clarté de ses pensées et de l’intégration de la logique dans la vie physique qui rend le corps mental mature et beau. Il doit englober de nombreuses variables et éventualités au cours d’une situation donnée. La clarté de la pensée est un processus beaucoup plus facile à maîtriser, mais il faut beaucoup de pratique pour bien et automatiquement l’effectuer.

2. Quelle est la nature du sous entendu et quand doit-il être un problème?

Le sous entendu est le sens caché derrière une déclaration orale ou écrite. Il est généralement attaché à une phrase qui exprime un souhait ralenti. Lorsqu’il est maintenu à la lumière (au sens figuré et spirituellement), nous pouvons voir que, parfois, le message sous-jacent est opposée à la fin apparente de l’expression verbalisée. Par exemple, si quelqu’un dit: «Je souhaite que ma santé soit meilleure,” le sous entendu est l’affirmation négative, «Je me sens fatigué et malade. « Si quelqu’un dit: «Je souhaite que je puisse trouver un excellent travail», le sous entendu est «Je suis malheureuse, je ne peux pas exprimer mon côté créatif, et je me sens surqualifié pour mon travail.” Vous avez l’idée. L’énonciation creux d’un souhait ne crée pas un génie pour faire votre offre. Il renforce la forme de pensée négative.  D’un autre côté, un désir pur a le pouvoir de transformation dans la vie physique. Ceci est généré par plusieurs modes d’expression possibles, mais tous ont certaines choses en commun. Le sous-entendu est toujours «Je veux améliorer constamment la qualité de ma vie ou celle de ceux qui m’entourent.” La forme de la pensée de l’amélioration est claire, chargé avec du sens émotionnel et bien droit sur l’intention. L’objectif est la réussite, la jouissance, et le progrès.

3. Corriger les déclarations de sous entendus destructeurs et empêcher un sous entendu négatif

Lorsque vous vous surprenez en parlant des insinuations nuisibles, vous pouvez modifier le processus en répétant un droit affirmatif correspondant à la forme de pensée en question. Par exemple, si votre message sous-jacent était négatif sur la santé, vous pouvez répéter l’affirmation “J’ai toujours aimé la bonne santé dynamique.” Rappelez-vous qu’il faut un minimum de cinq répétitions pour neutraliser une seule pensée négative. Le mot important est minimal. Vous pouvez avoir besoin de beaucoup plus de répétitions à détruire la forme pensée de la maladie que vous avez maintenue pendant des années. C’est la répétition et non pas le passage du temps qui crée le changement dans le corps astral. La durée de vie peut aller sans que le corps astral apporte des améliorations, et il se sent à l’aise en maintenant le statu quo.  La meilleure façon d’éviter un sous entendu négatif est d’arrêter de dire des déclarations que vous souhaitez. Vous allez développer un réflexe de parler qui est proactive, efficace, stimulant et plein de bénédiction. Voici quelques déclarations affirmatives que vous pouvez glisser dans votre pensée et dans votre discours.

• Je travaille autant que je l’aime et je fais toujours plus d’argent que nécessaire.
• J’aime être avec mon conjoint, parce qu’il / elle est favorable et la bonne humeur. Nous avons toujours aimé la compagnie des autres.
• Tout le monde dans ma famille aime toujours être une bonne santé.
• Tout le monde dans ma famille est très réussi.
• J’ai toujours beaucoup de temps pour mes activités préférées.
• Tout ce qui me rend heureux me vient au bon moment.
• J’ai toujours aimé ce que je fais.
• L’argent continue à couler dans ma vie tout le temps!
• Dans ma famille, nous apprécions toujours tout sur l’autre, et nous encourageons toujours et nous nous soutenons mutuellement.
• Dieu fournit toujours la solution à tous les défis.

4. Comment puis-je savoir ce que mon agenda est névrosé? A quoi cela ressemble dans le corps mental?

Une névrose est une pensée habituelle qui crée le malheur. Dans cet esprit, il est assez facile de chercher le trou de masquer certaines attitudes destructrices. Ceux-ci sont profondément Imberbe philosophies qui se sont développées au cours vies. Ils ont besoin de cures pointu et discipliné.  Le corps mental est encore plus complexe que le corps astral. Il aime à penser de lui-même d’une entité singulière, mais c’est aussi un environnement auto imposé soit l’illusion ou la vérité. Les formes pensées peuvent exécuter le spectre de motifs géométriques simples tout le chemin à marcher. Le domicile d’une personne dans la cinquième dimension est aussi un prolongement de soi. Nous traversons d’un point à un autre par la pensée d’une personne, entrant ainsi dans son milieu.  Une névrose se manifeste dans le corps mental comme une séquence dramatique répétitif. Parfois, elle prend des proportions de grandeur nature, parfois elle est confinée à un petit diorama dans la maison du corps mental.

http://eloviawp-live.nth.ch/

Publié dans:ESPRITS, GUERISON |on 18 avril, 2014 |Pas de commentaires »

COMMENT SURMONTER SES PEURS : rejet, abandon, échec

 

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Surmonter sa peur du REJET et de l’ABANDON

Ces deux peurs sont si apparentées qu’il n’est pas facile de les distinguer. L’une et l’autre sont très douloureuses, et l ‘un et l’autre peuvent nous donner l’impression que nous avons échoué ou déçu quelqu’un et que pour cette raison nous avons été écartés de sa vie. 

La peur du rejet et/ou de l’abandon peut interférer dans nos relations tout au long de notre vie ; Nous pouvons refuser de nous laisser approcher par les gens pour éviter qu’ils nous causent d’aussi grandes souffrances. Nous pouvons nous cramponner si fort à quelqu’un que nous l’étouffons sans nous en rendre compte, ce qui provoque en retour le rejet de l’abandon tant redoutés. Il nous arrive même de rechercher inconsciemment la compagnie de ceux-là même qui nous rejetteront ou nous abandonneront, soit pour nous prouver que notre peur est justifiée, soit pour nous prouver, ne serait-ce qu’une seule fois, qu’elle ne l’est pas toujours. 

Pour ma part, je considère que quelqu’un me rejette lorsqu’il me dit « Vas-t’en » et qu’il m’abandonne quand il me dit « Adieu ». Vous pouvez être rejeté par un inconnu, par un ami ou par quelqu’un que vous aimez, à votre lieu d e travail ou à la maison. L’abandon, de son côté, implique que de l’amour ou ce qui semblait être de l’amour a été donnée, puis repris. Dans les deux cas, cependant, le résultat est souvent un sentiment de perte dévastatrice sur le plan émotionnel. Si le rejet et l’abandon nous affectent à ce point, il ya une bonne raison à cela, une raison profondément spirituelle que nous devons comprendre si nous voulons mettre ces peurs en perspective. 

La douleur inhérente au rejet et à l’abandon nous est familière depuis que nous sommes au monde, et c’est pourquoi chaque fois que nous en faisons l’expérience sur terre nous avons l’impression de rouvrir une vieille blessure. 

Lorsque dans l’au-delà nous prenons la décision de revenir ici-bas pour une nouvelle incarnation, on nous fait passer par un processus de désensibilisation pour nous aider à atténuer le choc spirituel de la transition. D’une certaine manière, cette étape constitue le pendant inverse du processus d’orientation auquel nous sommes conviés lorsque nous quittons cette vie pour revenir à La Maison. Pendant ce processus de désensibilisation, les entités de l’au-delà, nos êtres chers, nos guides spirituels, nos âmes sœurs et nos innombrables amis et collègues s’éloignent de nous, spirituellement parlant. Ils le font par gentillesse et pour notre bien, afin que nous soyons prêts à entreprendre notre voyage. 

Imaginez que vous êtes entourés tous les jours d’une famille joyeuse, stimulante, productive et qui déclare ouvertement vous adores, ainsi que d’amis compatissants en qui vous pouvez toujours avoir confiance et qui vous aiment d’un amour inconditionnel. Vos animaux domestiques adorés sont à vos cotés et l’air que vous respirez est imprégné de la puissance et de la présence de Dieu. Votre bonheur est complet. Mais pour le bien de votre propre croissance et de votre propre développement, vous avez promis à votre âme que vous iriez à l’université ou que vous obtiendriez un poste important. Vous savez que vous avez pris la bonne décision de tous ceux qui vous aiment sont parfaitement d’accord avec vous. Vous avez déjà fait ce voyage, eux aussi d’ailleurs, vous savez donc qu’avant de quitter l’au-delà, ils doivent s’éloigner de vous. S’ils ne le faisaient pas, votre départ serait incroyablement douloureux et vous n’arriveriez pas à destination avec l’ouverture d’esprit et l’indépendance nécessaires. Poussé par la nécessité, vous entreprenez donc ce voyage loin de l’au-delà en vous sentant abandonné et rejeté, et c’est pourquoi chaque fois que vous ressentirez ces mêmes sentiments par la suite, vous revivrez dans votre subconscient les mêmes impressions de perte, de vide et de séparation qui ont rendu possible votre venue sur terre en premier lieu. Il est normal d’associer la douleur causée sur terre par l’abandon et le rejet à l’événement qui l’a déclenchée. Mais pour l’essentiel, notre douleur ne vient pas de cet événement lui-même , mais du souvenir d’une perte encore bien plus grande – quoique purement temporaire – que tout ce que nous pourrons jamais connaître ici-bas. 

Je ne cherche pas à minimiser la douleur bien réelle que peut provoquer sur terre le fait d’être abandonné ou rejeté ou encore l’importance de demander de l’aide lorsque le besoin s’en fait sentir. Je veux simplement que vous  sachiez qu’il ne s’agit pas d’une blessure récente, mais de l’aggravation d’une ancienne blessure à laquelle vous avez déjà survécu. Bien sûr, le traitement le plus efficace consiste à soigner la blessure originelle, celle provoquée par notre éloignement dévastateur, mais essentiel de La Maison. 

La clé de la réussite passe par la spiritualité. Plus nous investirons d’énergie et de passion dans notre spiritualité pendant notre séjour sur terre, plus nous nous serons en contact avec le monde et ceux que nous avons laissés derrière afin d’entreprendre ce bref voyage loin de l’au-delà. C’est le moyen le plus sûr de demeurer en contact avec ceux qui nous manquent le plus jusqu’à ce que nous soyons tous à nouveau réunis. De plus, si nous cultivons et entretenons ce lien spirituel, ceux qui nous abandonneront ou nous rejetteront sur terre ne pourront jamais nous infliger de blessures assez profondes pour que nous ne puissions les supporter. 

Comment supprimer sa peur de l’ECHEC

La peur de l’échec a pris des proportions quasi épidémiques, en partie en raison de notre mode de vie qui est de plus en plus compliqué. Grâce aux avancées constantes de la technologie, à un accès toujours plus grand à la communauté globale et à l’évolution, parfois lente mais inexorable, de l’égalité des chances pour tous, quels que soient notre race, notre sexe, notre religion ou nos préférences sexuelles, nous nous retrouvons aujourd’hui avec plus d’options que nous n’en avons jamais eues, plus d’avenues à explorer au cours de notre vie sur terre. 

Mais coupons court à toutes ces difficultés sans plus attendre. Peu importe le nombre des options qui se présentent à vous, peu importe si ces choix vous troublent à l’occasion, la véritable racine spirituelle de la peur de l’échec  se résume à une simple question, que vous en soyez conscient ou non. Est-ce que je suis mon plan de vie ?

Et la réponse est sans équivoque : oui ! 

Mais s‘il nous a été donné de suivre notre plan de vie même s’il nous arrive de tout foutre en l’air, même si nous sommes paresseux et parfois méchants, pourquoi serions-nous motivés à faire quelque effort que ce soit ? Pourquoi ne pas rester étendus sur le sofa comme des mollusques et laisser les autres se dépêtrer avec le stress, l’anxiété et les risques d’échec ? 

Rappelez-vous qu’avant de quitter l’au-delà pour venir sur terre, nous avons élaboré le plan de vie de notre prochaine existence, et nous avons choisi, pour nous améliorer pendant notre séjour, un thème de vie principal et un  thème de vie secondaire compatibles avec celui-ci. PERSONNE – pas même nous-mêmes – ne peut interférer avec ces thèmes de vie ou intervenir dans le déroulement du plan que nous avons élaboré ; Nous venons au monde dotés de cette motivation, et c’est pourquoi nous ne pouvons nous empêcher d’atteindre les objectifs que nous nous sommes donnés. En fait, croyez-le ou non, mais si au cours d’une lecture je vous apprenais que vous êtes venu sur terre uniquement pour vous prélasser comme un lézard et ne rien accomplir du tout, peut-être vous sentiriez-vous soulagé pendant cinq ou dix secondes, mais je peux vous garantir que si cette information était contraire à votre plan et à vos thèmes de vie, nous ne seriez pas capable de mener ce genre d’existence. 

Les variations que nous introduisons dans notre plan de vie sont le résultat des inévitables obstacles que nous rencontrons en cours de route et des difficultés que nous nous imposons nous-mêmes. Disons, pour prendre un exemple imagé, que selon votre plan de vie, votre but sur terre est de parcourir à pied la distance entre Los Angeles et New York. Il est absolument certain qu’au cours de votre vie vous y parviendrez. La question est de savoir comment. Allez-vous faire un détour par l’Argentine ? Allez-vous vous plaindre de votre sort à chaque pas et rendre tous ceux qui vous entourent malheureux ? Allez-vous vous entêter à porter des chaussures trop petites ou à vous attacher les jambes ensemble et à sautiller jusqu’à New York , pour vous assurer que ce voyage de six mille kilomètres soit le plus pénible possible ? Les gens que vous rencontrerez en cours de route s’en trouveront-ils mieux de vous avoir connu ? Puisque vous avez le choix, allez-vous consacrer votre temps à des gens qui vous traiteront en ami et qui enrichiront votre voyage ou allez-vous rechercher la compagnie de ceux qui se feront un plaisir de semer des embûches sur votre chemin et qui essaieront de vous convaincre que leur voyage est plus important que le vôtre ? 

En d’autres mots, vous ferez le voyage entre Los Angeles et New York, peu importe les circonstances. Vous ne pouvez pas échouer. Vous y parviendrez d’une manière ou d’une autre, donc avoir peur de l’échec, c’est avoir peur de quelque chose qui ne peut pas se produire. 

Une façon sûre de vous débarrasser une fois pour toutes de cette peur consiste à vous concentrer sur la qualité de votre voyage. Pour ce faire, vivez votre vie conformément à la promesse non écrite que Dieu nous offre chaque fois que nous quittons l’au-delà pour venir ici-bas ; «Si vous prenez soin de mes enfants, je prendrai toujours soin de vous. »  

Pour ce qui est de vous assurer que vous progressez conformément à votre plan de vie, essayez de vous asseoir une fois par mois et de prendre le temps de répondre honnêtement à ces questions de base :

-          Comment vous débrouillez-vous face à l’inévitable négativité que vous êtes venu affronter ici-bas ? Faites-vous de véritables efforts pour la surmonter, en aidant ceux autour de vous sans les juger lorsqu’ils ont besoin de vous ? Ou êtes-vous en train d e perpétuer vous-même cette négativité, en vous vautrant dedans et/ou en attirant l’attention des autres en acceptant d’en être victime ?

-          Quel usage faites-vous des dons qui vous ont été alloués ? En abusez-vous ? Les avez-vous gaspillés ?

-          A cause de vous, la vie des gens que vous côtoyez est-elle plus riche ou plus pauvre ?

-          Lorsque vous faites du mal à quelqu’un, êtes-vous capable de dire sincèrement que cela n’était pas dans votre intention ?

-          Est-ce que votre vie de tous les jours reflète vraiment vos valeurs e t vos croyances ou vous servez-vous de ces valeurs uniquement pour jauger la vie des autres ?

-          Lorsque vous commettez une erreur, en prenez-vous la responsabilité et faites-vous tout ce qui est en votre pouvoir pour vous excuser et corriger la situation ou cherchez-vous aussitôt à jeter le blâme sur quelqu’un d ‘autre ? Pardonnez-vous à ceux qui vous ont offensé aussi rapidement que vous aimeriez qu’ils vous pardonnent ?

-       téléchargement (1)   Peu importe votre âge, quand avez-vous pour la dernière fois  fait l’effort d’apprendre quelque chose de nouveau ?

-          Peu importe votre âge, prenez-vous les mêmes soins de votre santé mentale, psychique et spirituelle ?

-          Vous arrive-t-il souvent de vous arrêter pour écouter et remercier la sagesse universelle, ainsi que vos aides spirituelles dans l’au-delà, qui ne vous ont jamais abandonné, même durant les moments difficiles où vous les avez-vous-mêmes abandonnées ? 

Peut-être parce que nos vies sont compliquées, avez-vous tendance à élaborer des réponses encore plus compliquées ; mais il existe une réponse toute simple, une réponse qui nous concerne tous, indépendamment de notre plan de vie :

 Aimez Dieu, Faites le bien autour de vous, Puis taisez-vous, et rentrez à La Maison. 

Extrait du livre : ALLER-RETOUR DANS L’AU DELA de Sylvia Browne aux Editions ADA.

 

Publié dans:GUERISON, PEUR |on 30 mars, 2014 |1 Commentaire »

Soin par gémmothérapie

 

220px-Bourgeon_roseDe tout temps, l’être humain s’est soigné par les plantes. Aujourd’hui, la phytothérapie sort de l’ombre que lui ont fait les molécules de synthèse, employées en allopathie. Ces dernières ont montré leurs limites et surtout leurs effets secondaires ; elles ne peuvent se substituer au vivant. En effet, nous savons que la molécule en tant que matière seule ne fait pas le principe. Celui-ci est la résultante de molécules spécifiques certes, mais également d’un ensemble complexe de liaisons entre elles, et de fréquences vibratoires particulières. 

Le corps reconnaît et assimile davantage, des molécules végétales, préparées en conscience et respect qui gardent la signature du vivant, que des agents chimiques «étrangers et morts» que l’organisme peut analyser comme intrusifs et/ou agressifs. La phytothérapie, comme d’autres médecines dites douces, s’appuie sur une philosophie globale d’un être humain vivant en symbiose avec lui-même et son environnement. L’homme est un «écosystème» appelé homéostasie, à l’origine équilibré. Tout au long de sa vie, le corps cherche à maintenir ce parfait équilibre qui n’est rien d’autre que la santé. 

Parmi les voies de la phytothérapie, «Sacrée Planète » s’est intéressée à l’une d’elles en plein essor : la gemmothérapie, qui bien qu’existant depuis plus de 40 ans, reste encore assez peu connue.

 

QUEST-CE QUE LA GEMMOTHERAPIE ?

C’est une thérapie qui utilise les bourgeons végétaux et d’autres tissus embryonnaires (jeunes pousses d’arbres ou d’arbustes, radicelles), à l’état frais, pour élaborer des préparations thérapeutiques. 

Le mot gemmothérapie vient du latin «gemma» qui signifie, à la fois bourgeon de plante et pierre précieuse. 

«Gemme» est également à l’origine du mot «gemmule», qui défi nit la partie sommitale de l’embryon d’une graine, le germe. Récoltés au printemps, à un moment clé de leur cycle de développement naturel, les bourgeons sont préparés sous forme d’extraits concentrés. Ils peuvent être dilués dans l’eau pour être administrés par voie interne ou ingérés à l’état pur. Le but de la gemmothérapie est de prévenir et de traiter une variété de dysfonctionnement de santé. 

QUI EST A L’ORIGINE DE CETTE THERAPIE ?

L’utilisation des bourgeons dans la pharmacopée remonte au Moyen Âge, à l’ère des alchimistes. On se servait alors des bourgeons de peuplier pour fabriquer des onguents. Ces recherches empiriques disparurent assez rapidement, en partie à cause de l’imperfection des techniques de préparation (fixation des principes). 

En 1712, nous trouvons trace de l’elixir de bourgeons de cassis comme elixir de vie recommandé par l’abbé Montaran. Il faudra attendre les années 1950 pour que le docteur Niehans s’intéresse sérieusement aux cellules fraîches embryonnaires d’origine animale et relance l’intérêt des tissus embryonnaires. Dans les années 1960, le Dr. Pol Henry, médecin belge, mena ses recherches sur l’embryon végétal et publia le résultat de ses tests cliniques. 

Sa méthode est alors qualifiée de «phytoembryothérapie». Il est considéré comme le père fondateur de cette thérapie qui a été reprise et développée ultérieurement par le Dr. Max Tétau, un homéopathe

français, qui l’a alors nommée «gemmothérapie».

 

QUEL EST L’INTERET DES BOURGEONS ?

Nous pouvons qualifier la gemmothérapie de phytothérapie cellulaire énergétique globale grâce aux qualités intrinsèques des tissus embryonnaires : • Une énergie particulièrement concentrée

Soin par gémmothérapie dans GUERISON 320px-Pear-flower-budLe bourgeon ou les jeunes pousses, composés de tissus embryonnaires en plein développement, renferment le totum de la plante, toute la puissance et l’énergie de la future plante. Ils constituent donc un véritable concentré d’énergie. Cette concentration naturelle des molécules donne une  suractivation. Pour ne citer qu’un exemple, les feuilles de cassis connues pour leurs propriétés anti-inflammatoires ne révèlent pas un taux de principes actifs aussi concentré qu’à l’état de bourgeon. 

Dans le bourgeon, la matière est très réduite tant en poids qu’en volume (yin petit). Dans le yin yang, un petit yin correspond à un grand yang. Elément très petit sur le plan matériel, il est donc compensé par une grande énergie potentielle, celle de l’arbre dont il est issu.

 • Un Tout-en-un

Le bourgeon contient plus d’information génétique que les autres tissus. En plus des phyto-hormones, vitamines, oligo-éléments, minéraux… il renferme des cellules totipotentes indifférenciées : l’équivalent des cellules souches animales ! Citons dans les principes actifs des bourgeons : les flavonoïdes et les acides phénols. Le bourgeon porte en lui seul le potentiel de développement de la plante, un peu comme s’il était à la fois les racines, les tiges, les feuilles, les fleurs et les fruits. Une seule de ces cellules embryonnaires peut, in vitro, reconstituer le végétal dans son entier. Ainsi, le macérat de bourgeons de tilleul (Tilia tomentosa) possède à la fois les propriétés sédatives liées aux fleurs mais également les vertus dépuratives et diurétiques de l’aubier. Il en va de même pour l’extrait de bourgeon d’aubépine (Crataegus oxyacantha) qui possède les propriétés apaisantes des fleurs (détente) et l’action vitalisante du fruit (circulation). 

• Un atout capital : son stade «embryonnaire»

À son tout premier âge, la vie organique possède la plus grande vitalité étant donné qu’elle a tout à construire. Au stade adulte, les principes actifs sont toujours présents mais moins concentrés car le corps se maintient mais n’a plus à croître de façon si importante. Au stade embryonnaire, les principes sont plus riches en acides nucléiques et hormones de croissance que les autres tissus. Certains oligo-éléments, vitamines et minéraux contenus dans les bourgeons, disparaîtront au fur et à mesure du développement de la plante.

 • L’empreinte vibratoire du vivant

La compréhension totale du vivant nécessite d’investiguer d’autres domaines que l’analyse biochimique des principes actifs et d’aller au coeur de l’essence de la plante. Pour cela, nous avons recours au symbolisme, à l’étymologie et à la mythologie sans omettre les observations thérapeutiques anciennes. L’extrait gemmothérapie constitue un véritable concentré d’informations et renferme tout le génie de la plante ou de l’arbre. Depuis Albert Popp, physicien allemand (voir SP n°17, p.18), nous savons que nous émettons de la lumière, une énergie qui va véhiculer l’information.

Il est important de capter cette énergie dès la récolte. Les laboratoires qui travaillent en conscience du vivant mettent donc les bourgeons en solution immédiatement sur le lieu de récolte1. La  gemmothérapie est donc d’abord une médecine énergétique (énergie biologique potentielle) avec un support matériel, avant d’être une phytothérapie de principes actifs.

 

En pharmacopée de gemmothérapie, il faut 5% d’équivalent poids sec de matière dans les préparations. Dans un bourgeon, il y a davantage d’information que dans la manifestation. Par exemple, pour le chêne (manifestation) et le gland (information), c’est ce dernier qui comprend davantage d’informations que le chêne entier ! 

L’information précède la manifestation. Selon les chercheurs ayant fait des travaux sur les champs de formes, on peut supposer qu’un champ morphogénétique  important détermine la forme d’un arbre. Il est le contre-espace qui modèle dans l’invisible la forme future visible un peu comme les mains du potier (le contre-espace) lorsqu’il modèle un pot (espace).

 

FONCTIONNEMENT DE LA GEMMOTHERAPIE SUR L’ETRE HUMAIN ?

La gemmothérapie agit au niveau cellulaire. Elle stimule tout l’organisme humain et animal. Elle possède une action de drainage, active le fonctionnement cellulaire, régénère les cellules et améliore les liaisons entre ces dernières. Trois grands principes actifs sont utilisés : la régénération, la stimulation et le drainage cellulaire (désintoxication de l’organisme, circulation…). Nous travaillons  sur le terrain global qui a amène la pathologie. Dans le bourgeon, nous avons toutes les parties de la plante, cest le corps qui va lui-même prendre ce dont il a besoin. 

La gemmothérapie concentrée, par les faibles volumes ingérés et son mode de préparation, ne présente pas d’effets secondaires de type intoxications graves. Néanmoins, comme pour toute substance, alimentaire ou autre, des réactions peuvent se produire mais elles restent ponctuelles et toujours très sporadiques (avance de règles, migraines, etc.). Il s’agit davantage de réactions physiologiques excessives plutôt que d’une intoxication au produit. Elles sont du même ordre que celles qui sont observées en phytothérapie classique ou en homéopathie.

 

PREPARATIONS EN GEMMOTHERAPIE

Un processus 100% naturel qui respecte la vie est pratiqué dans certains laboratoires2. Les bourgeons sont récoltés au printemps et aussitôt stabilisés dans un mélange eau + alcool + glycérine3 sur le lieu de récolte parce qu’ils sont encore frais, et les tissus embryonnaires transmettent leur empreinte énergétique au liquide. L’énergie ainsi fixée donne l’impact vibratoire maximal. Les macérats seront réalisés par macération à froid au fur et à mesure de l’année. 

• Macérats mères unitaires de bourgeons ou jeunes pousses

À partir du macérat mère, deux types de préparation sont proposés 

- Des complexes de gemmothérapie

320px-Prunus-buds-1 dans PLANTESSi les macérats mères unitaires de bourgeons contiennent toutes les propriétés d’un seul bourgeon, les complexes de gemmothérapie, associations harmonieuses de différents macérats mères sont des combinaisons de principes complémentaires qui vont répondre à un problème ciblé. Par exemple, le complexe Arthro-Gemmo contient du Ribes Nigrum (cassis) qui grâce à son effet drainant est

bénéfique sur les phénoménes de douleur et ankylose ; il améliore la souplesse des ligaments et des tendons et procure un soulagement rapide de la gêne articulaire. Il est associé au Rubus Fructicosus (Ronce) qui améliore la trophicité4 des cellules osseuses pour préserver le capital osseux tandis que le Pinus Montana (Pin) fortifie celles des cartilages. Ces 3 macérats sont associés au Vaccinium

Vitis-Idéa (Airelle) qui reminéralise et facilite l’assimilation du calcium et donc favorisera la fixation sur les os. Le laboratoire «Herbalgem» est pionnier dans la production des complexes de gemmothérapie. Jusqu’alors, le patient faisait son propre mélange au moment de la prise. 

- À propos de la dilution homéopathique

La gemmothérapie est vendue sous forme de macérats mères concentrés car dès qu’il y a dilution, le produit est dit homéopathique et doit être vendu en pharmacie car considéré comme médicament. La gemmothérapie est vendue en boutique diététique, magasin biologique, etc, sous forme de macérats mères pour une question de législation et d’efficacité.

 

LA GEMMOTHERAPIE, UN ALLIE POUR D’AUTRES THERAPIES

Il est possible d’associer la phytothérapie classique et l’homéopathie avec la gemmothérapie. La gemmothérapie peut aider l’assimilation de compléments alimentaires par exemple. Ils forment avec certains minéraux des sels qui traversent facilement la barrière intestinale. Une fois dans le sang, les transporteurs distribuent les minéraux charriés à travers l’organisme. Ils sont électriquement neutres et leur dissociation se réalise dans les cellules cibles. La qualité du minéral transporteur et le fait qu’il appartienne au patrimoine biologique de l’organisme permet une excellente assimilation. De plus, ces transporteurs n’altèrent pas chimiquement la qualité du minéral transporté, qui conserve son état biologiquement actif.

 Article issu de Sacrée Planète   SPM AOUT / SEPTEMBRE 2010 :

Laboratoire HerbalGem

28 bihain B – 6690 VIELSALM ( Tel. : 00 32 80 41 81 54 – fax : 00 32 80 41 81 53 – www.herbalgem.com )

Publié dans:GUERISON, PLANTES |on 27 février, 2014 |Pas de commentaires »

Vers une médecine intégrative

 

De nombreux acteurs de la santé en appellent aujourd’hui à l’émergence d’une médecine qui sache tirer le meilleur de nos propres potentiels de guérison.

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A l’heure où la médecine arrive à des performances chirurgicales incroyables, où elle est capable de manipulations génétiques vertigineuses et de tours de force chimiques redoutables, nombre de médecins, de soignants, de thérapeutes, se questionnent sur les facteurs réels de la guérison. Car si les habilités développées par la science médicale doivent être évidemment louées, l’organisme humain est trop souvent réduit à des organes et des fonctions, considérés comme les pièces d’une grande machine à laquelle il faut imposer des solutions. 

Or, médecins et psychiatres s’accordent à le dire, nous sommes bien plus qu’une mécanique biochimique, et notre organisme déploie en réalité des prouesses que la science est encore bien loin d’égaler. Pour le dire simplement : l’être humain est doté de capacités d’autoguérison insoupçonnées. Et ce potentiel de régénérescence, lorsqu’il a lieu, révèle une intelligence et une finesse qu’aucune technique artificielle ne semble pouvoir atteindre. « Nous sommes les possesseurs de pouvoirs immenses dont nous ne soupçonnons pas même l’existence. Le cerveau et le corps humain détiennent des capacités inouïes que nous n’utiliserons sans doute jamais, soit par ignorance, soit parce que nous ne savons pas comment les repérer, les identifier, les développer et les activer », indique le Dr Frédéric Saldmann, cardiologue et nutritionniste. Que savons-nous alors sur ces pouvoirs immenses dont nous serions détenteurs ? Qu’est-ce qui favorise leur apparition, et quelle médecine pour les accompagner ? 

La clé de la guérison est en nous

N’avez-vous jamais été émerveillé de la vitesse avec laquelle une entaille au bout de votre doigt se cicatrise ? Instantanément, tout un processus de réparation se met en place de manière à régénérer les tissus. Au bout de quelques minutes déjà, vous pouvez constater la consolidation à l’œuvre et quelques heures plus tard, la plaie est refermée. Vasodilatation, migration cellulaire, émission d’hormones et de facteurs de croissance, élimination des déchets, formation de nouveaux tissus… Tout ce processus, fabuleusement coordonné, va produire une cicatrisation qui frôle la perfection. Au final, l’empreinte de votre doigt n’en souffrira même pas. Cela en soi est déjà incroyable, et nous ne comprenons pas encore entièrement comment cela se fait. Que penser alors de la réparation des plaies profondes ? De la capacité des os à se ressouder ? De l’habileté du système immunitaire à combattre certains virus ou bactéries nocifs pour nous ? « Une équipe de l’Institut Pasteur a mené une expérience durant laquelle ont été prélevées des cellules souches sur des cadavres vieux de 15 jours. Imaginez dans quel état ils devaient être ! Après avoir été mises en culture, ces cellules sont reparties. Les cellules souches peuvent tout faire, reconstituer n’importe quel organe. Cela illustre combien le corps humain en lui-même a des moyens de régénération incroyables » …

source www.inrees.com

 

 

Publié dans:GUERISON |on 24 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

Aux remèdes de Grands-mères

Grape Leaves

Certains crieront aux « remèdes de grand-mère », de chamane, d’apothicaire… Comment vaincre la fatigue consécutive à une maladie infectieuse ? Par la prêle des champs et l’ortie. Soulager une inflammation et remonter une tension « dans les chaussettes » ? Vive la réglisse. Restaurer l’immunité et prévenir les rechutes ? Se tourner vers l’échinacée. Récupérer physiquement tout en renforçant la production d’anticorps ? Carburer au ginseng. Dans 100 questions sur la phytothérapie, le Dr Éric Lorrain, médecin à Grenoble et président de l’Institut européen des substances végétales, montre combien les plantes sont des alliées de poids de la médecine moderne, pas seulement limitées aux « petites » maladies et à la « bobologie ». 

Chimie extractive

Le développement de la pharmacologie de synthèse a permis de copier certains principes actifs particulièrement efficaces contenus dans les plantes et de produire des médicaments (comme l’aspirine, la quinine ou encore la pénicilline) accessibles au plus grand nombre. Leur rôle a été essentiel dans l’amélioration de la santé des populations. Aujourd’hui, « les plantes sont de retour, avec un nouveau visage, dans un nouveau contexte », précise Éric Lorrain. « Alors que la chimie de synthèse piétine, la chimie extractive avance à pas de géant depuis vingt ans. » 

Cette révolution est due à la découverte de nouvelles méthodes d’extraction de tous leurs principes actifs. C’est notamment le cas des extraits fluides de plantes fraîches standardisés (EPS), répondant à un cahier des charges extrêmement rigoureux et mis à la disposition des professionnels de la santé. En pratique, la plante est d’abord congelée, puis broyée à des températures négatives. Suit une multiextraction de toutes les substances, solubles aussi bien dans l’eau que dans l’alcool. Cela donne un produit stable, cinq à quinze fois plus concentré en principes actifs qu’après une extraction traditionnelle.

Combattre plus de 80 troubles et maladies

« Depuis le début des années 2000, trois à quatre références de ces nouveaux extraits enrichissent chaque année la panoplie de cesmédicaments naturels capables de restituer au mieux le potentiel thérapeutique de la plante médicinale », note le Dr Lorrain. Les 55 EPS actuellement disponibles peuvent être mélangés sous la forme d’une préparation magistrale « pour confectionner une variété phénoménale de traitements personnalisés ». Il est désormais possible d’y recourir pour soigner un nombre croissant de maladies.

Dans son livre, Éric Lorrain apporte des réponses précises pour combattre plus de 80 troubles et maladies. Mais, attention, ces « concentrés de principes actifs » doivent être prescrits par des spécialistes correctement formés. Pour les identifier, le mieux est de s’adresser à l’Institut européen des substances végétales, dont le siège est à Paris.

100 questions sur la phytothérapie du Dr Éric Lorrain, éditions La Boétie, 222 pages, 12,50 euros.

Publié dans:GUERISON, PLANTES |on 21 décembre, 2013 |1 Commentaire »

Les soins du corps spirituel

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Au fur et à mesure des réincarnations, les corps spirituels « anciens » se condensent, sont stockés en « mémoire », car il ne peut pas y avoir 2 corps spirituels dans un même corps physique.

Cette mémoire garde toute l’histoire des vies précédentes. Les traumatismes anciens sont conservés et peuvent agir sur la vie en cours! Qu’ils soient psychologiques ou physiques

 Quelques exemples glanés au cours des lectures :

Un médecin n’arrive pas à avoir des enfants avec sa femme. En consultation, il fait des « des cauchemars » pendant lesquels il s’imagine conspirateur contre César, attrapé et vaincu. Il assiste au supplice de ses enfants brûlés sur un bûcher en présence de leur mère ! L’explication est dans cette vie antérieure, il ne veut pas revivre ce supplice de ses enfants suppliciés devant sa femme. Il lui faut prendre conscience de cette explication, pour pouvoir évoluer dans le monde actuel et enfin avoir des enfants! Ce niveau de souffrance morale a été voulu pour qu’il ne puisse plus jamais sacrifier ceux qu’il aime à la satisfaction de son orgueil: être plus fort que César !

Une jeune femme consulte car elle n’arrive pas avoir d’enfant. En régressant dans une vie antérieure à l’époque de la guerre de cent ans, elle se trouve être un homme en rébellion contre son seigneur. Celui-ci exige le paiement en nature de ses droits et comme la période est troublée, les récoltes sont mauvaises et notre paysan ne peut rien lui donner sans mettre la survie de sa famille en péril. Alors, le seigneur emmène sa femme et son fils et il ne les reverra jamais ! Ce profond traumatisme psychologique va marquer son corps spirituel. Ce souvenir va hanter ses vies successives, l’empêchant d’avoir à nouveau des enfants afin de ne pas courir le risque de se les faire enlever par une autorité supérieure.

 
Léo, un enfant de 15 ans a souvent des douleurs dans le ventre sans que les médecins ne trouvent de cause physique. Sa mère, vient de se découvrir des dons médiumniques, elle voit son fils couché sur le flan avec une hache de pierre enfoncée dans le flanc, puis des dizaines de guerriers emportent son corps et le couvrent de pierres. Cette mère dans un geste symbolique, enlève les pierres, une fois le corps dégagé, elle arrache la hache de ce ventre…au même moment, Léo le fils actuel pousse un cri: j’ai mal, maman, que m’arraches tu ? Puis la mère fait les gestes de couture et recoud la plaie virtuelle telle une dentellière.

copyright 44825 . Propos issus du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AMOUR, GUERISON |on 14 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Votre programme anti-fatigue 100 % naturel

 

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Pour soutenir une fatigue passagère, la nature a inventé bien mieux que les excitants comme le café. Kola, acérola ou encore ginseng vous boostent.

Travail, examens, transports, restauration rapide ou tout simplement manque de sommeil : nos rythmes de vie mettent notre corps à rude épreuve. Et quand le froid et la bise arrivent, nous nous trouvons fort dépourvus en énergie ! Rien de plus normal. Physiologiquement, nous ne devrions travailler qu’à la lumière du jour et l’hiver devrait être une période de repos, contrairement à l’été. Un rythme qu’adoptaient d’ailleurs nos ancêtres. Durant l’hiver, en plus de la baisse de luminosité, les contrastes de température entre nos intérieurs chauffés et le froid extérieur fatiguent notre organisme. 

Pour retrouver de la vitalité, on peut déjà commencer par marcher tous les jours au moins 30 minutes, avant le petit déjeuner ou encore à l’heure du déjeuner. Limiter le café et le thé vous permettra par ailleurs de mieux régulariser votre énergie en évitant les à-coups qu’ils provoquent. Débutez plutôt la journée par une tisane de thym ou de sarriette, à laquelle vous pouvez ajouter de la menthe. Ces plantes toniques ont un goût agréable et cumulent les avantages d’être revigorantes, digestives et antiseptiques. Autre alternative tonique du matin : le lait et les flocons d’avoine en porridge. Ils assureront rapidement, après quelques jours, un vrai regain d’énergie. Idéal pour les enfants comme pour les grands avec comme seule contre-indication les hyperthyroïdies et les intolérances vraies au gluten.

Regain d’énergie avec les produits de la ruche

Pour compenser une fatigue passagère, le Dr Jean-Christophe Charrié, médecin généraliste et enseignant en phytothérapie clinique, conseille d’alterner des cures de gelée royale, de pollens, de kola et d’acérola. La gelée royale, sécrétée par les abeilles nourricières, est l’aliment exclusif des reines. Ce superaliment riche en vitamines, minéraux et oligo-éléments est utilisé depuis longtemps pour lutter contre la fatigue, le stress, les infections hivernales et comme tonifiant général pour les convalescents. On dit que les anciens empereurs de Chine y puisaient le secret de leur longévité et leur vigueur. C’est le régénérant idéal après une chirurgie ou un accident, ou tout simplement pour se redynamiser face au froid, optimiser son immunité ou renforcer l’énergie des adolescents et des étudiants. Le Dr Charrié le recommande en cure de trois semaines, une fois par trimestre. En revanche, il le déconseille formellement aux personnes souffrant ou ayant souffert d’un cancer, car la gelée royale, selon lui, favoriserait la multiplication cellulaire. La plupart des gelées sont fabriquées en Chine et la qualité n’est malheureusement pas toujours au rendez-vous. Méfiez-vous donc des produits vendus sur Internet et préférez ceux conseillés par votre pharmacien ou votre magasin de diététique. Une bonne gelée royale doit être conservée au frais après la récolte, surtout pas congelée ni transformée.

Les abeilles ont plus d’un tour dans leurs alvéoles et le pollen sera un autre allié précieux de l’hiver, tant pour gommer la fatigue que pour soutenir l’immunité. Là encore, approvisionnez-vous de préférence en pharmacie et faites des cures de dix à quinze jours à raison d’une à trois cuillers à café le matin. Il est conseillé aux personnes allergiques, mais peut, en revanche, soutenir les personnes confrontées au cancer.

Le plein de vitamine C

La vitamine C sous la forme de comprimés d’acérola (Malpighia punicifolia) est un autre grand classique anti-fatigue très efficace. Contrairement à la vitamine C synthétisée, cette forme naturelle, issue d’une petite cerise des Antilles, s’assimile totalement et décuple l’énergie. On trouve l’acérola sous la forme de comprimés dosés à 500 mg en pharmacie ou en magasin bio, et il est généralement conseillé d’en prendre une dose le matin et éventuellement une deuxième à 10 heures si on éprouve des difficultés à démarrer la journée. À partir de 13 ans, toute la famille peut y recourir durant tout l’hiver, car nous sommes généralement tous carencés en vitamine C. De même, chaque matin, on peut commencer la journée avec une ou deux cuillers à soupe de jus d’argousier. Ce petit arbuste qui donne des baies orange est une autre belle source de vitamine C et d’oligo-éléments multiples.

Noix de kola

Plutôt qu’un café, les noix de kola pourront vous aider à réveiller votre énergie. Elles sont utilisées depuis des millénaires en Afrique pour leurs vertus tonifiantes et aphrodisiaques. Leur efficacité comme stimulant physique et mental est aujourd’hui effectivement reconnue. En revanche, les effets sur la libido restent à démontrer ! Comme le café, les noix de kola contiennent de la caféine, mais elle est combinée à des polyphénols et se libère donc plus lentement que celle du café. Au final, l’effet est moins tonique mais dure plus longtemps, ce qui permet de mieux gérer son énergie sur la durée. « Pour suivre une cure de kola, explique le Dr Charrié, demandez à votre pharmacien une préparation de gélules d’extrait sec de Kola à raison de 50 mg pour une gélule. Selon votre fatigue, vous pouvez prendre une ou deux gélules de kola chaque matin durant tout l’hiver. » Si vous souffrez d’ulcères gastriques ou duodénaux, si vous êtes nerveux ou sous traitement médical, les noix de kola ne sont pas pour vous, ou alors il faut en parler à votre médecin, car elles peuvent renforcer l’effet de certains médicaments. De même, il est inutile et dangereux de se composer un supercocktail avec de multiples boosters : vitamine C ou kola, il faut choisir ou alterner !

Cannelle, gingembre, ginseng et avoine

Le citron et la cannelle seront parfaits pour les coups de fatigue durant les épisodes de rhume, et vous pouvez tout simplement profiter de leurs bienfaits sous la forme de tisanes bien chaudes. Le gingembre râpé en infusion avec un peu de miel est également un tonifiant idéal pour tout le monde, sauf pour les personnes ayant un terrain cancéreux d’après le Dr Charrié. Tout comme l’éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus) et le ginseng (Ginseng panax), qui sont de puissants toniques à l’action très rapide, mais avec les mêmes contre-indications que le gingembre. Le ginseng est la plus énergisante des plantes : utilisée depuis des millénaires, elle est parfaite et rapide comme stimulant intellectuel et physique, lors des phases de convalescence ou en cas d’épuisement important.

La fatigue au cas par cas

Pour une action plus précise, identifiez votre fatigue et n’hésitez pas à consulter, surtout si cela persiste. Si vous êtes surmené, que vous avez tendance à prendre du poids dans le haut du corps ou que vous vous sentez près du burn-out, la rhodiola, qui est une plante adaptogène, sera votre alliée pour remonter la pente (sous la forme de gélules en cure de dix à quinze jours). Si vous êtes sujet au coup de barre postprandial (après le repas du midi), pensez tout d’abord à bien mastiquer votre repas et à limiter les graisses cuites pour épargner au pancréas un surplus de travail. Vous pouvez aussi améliorer votre digestion en adoptant la chicorée le matin, voire le midi, et prendre aussi une tisane d’aigremoine après le déjeuner.

Consultez notre dossier : Les plantes qui font du bien

Publié dans:ENERGIES, GUERISON, NATURE, PLANTES |on 14 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

la plante miraculeuse

 

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Selon la légende, c’est parce qu’il fut le théâtre d’un drame mettant en scène deux fils bravant vent des glaciers, soleil ardent, fatigue et animaux hostiles pour quérir aux sommets des montagnes pyrénéennes l’herbe qui sauve afin d’arracher leur père à une mort certaine, que le pays des Quatre Vallées a cessé de donner vie à cette plante miraculeuse…

Autrefois au pays de la Neste d’Aure – pays également appelé pays des Quatre Vallées et formé des quatre vallées : d’Aure, de la Neste, de la Barousse et de Magnoac -, on se répétait, non sans frémir, cette histoire, comme celle d’Abel et de Caïn chez les patriarches, celle de Rémus et de Romulus chez les Romains.

A l’époque primitive où tout était encore et mystère et enchantement, une famille de montagnards vivait tranquille et heureuse dans sa maisonnette flanquée en plein mont. Le père et la mère étaient unis d’une affection sainte et les deux fils grandissaient vigoureux et forts. Devant eux ils avaient le plus beau des spectacles ; les cirques de montagnes éternellement blanches et miroitantes, ou brunes. ou vertes les entouraient à perte de vue et les plaçaient dans un monde a part ; monde immense et ferme, surnaturel et splendide que les yeux, si longue que soit la vie, ne sont jamais las de contempler. La terre subvenait avec largesse tous leurs besoins, leur champ de blé tout en bas, en terrain presque plat, leur donnait plus que le grain nécessaire à leur pain : ce grain écrasé entre deux grosses meules e ! cuit ensuite dans la « fournère » sombre, derrière la maison.

Le cresson poussait au bord de la source claire qui dans leur verger était d’abord leur fontaine, et un peu plus bas leur salle de bain, puis leur buanderie. Les légumes, sans grand soin, montaient vivaces, nombreux, les fruits mûrissaient aux poiriers, aux pommiers, aux châtaigniers, aux noisetiers, sans qu’on s’en aperçût, et au printemps et en été toute la montagne embaumait de l’odeur des fraises, des framboises et des aoyous !

Les prairies naturelles où le foin n’était coupé que pour donner un regain encore plus dense nourrissaient leur bétail. Avec le lait des vaches, des chèvres et des brebis ils faisaient du fromage, et les poules, dont ils n’avaient même pas besoin de s’occuper, leur donnaient leurs œufs. Avec la laine que leur fournissait leurs troupeaux, ou la peau des bêtes, ils avaient des vêtements et des chaussures, avec le lin des champs, la mère filait à la quenouille le fil dont elle tissait la toile de tout le linge de la maison. Avec le bois des forêts sans fin, ils faisaient l’hiver des feux merveilleux.

Et les saisons se succédaient toutes généreuses et agréables, leur apportant leurs inépuisables dons et leur charme particulier. Les jours, que le grand soleil dardant les fît immenses, ou que lui absent, ils fussent trop brefs, passaient remplis d’une tâche égale, empreints d’une paix parfaite. Un bonheur régulier semblait donc devoir être le lot de cette sage famille, pendant des suites d’années, comme il l’était alors, comme il l’avait été dans le passé.

Mais, un soir, le père rentra à sa maison, le pas pesant, l’air morose, malade en un mot de cette maladie étrange qui fait qu’on est tout fièvre, tout tristesse et qu’on se sent chaque jour plus lourd sur la terre et plus près de s’anéantir. Il n’y avait pas de doute, chaque heure qui passait emportait un peu des forces du père et le laissait sur son lit plus pâle et plus alangui. Quelque temps encore et la mère au désespoir, les fils en larmes auraient à fermer ses chers yeux pour l’éternité.

Cela ne pouvait être, sans que tous trois aient au moins tenté une lutte sans trêve. On donna au malade tous les soins usités aux pays des montagnes. On mit à son bras le « sang boit », irritant emplâtre de feuilles, mais on le renouvelait sans qu’un mieux, le moindre fût-il, se produisît. On lui fit boire le vin pur, chauffé et parfumé, on lui donna du lait de chèvre et des infusions d’hysope et de racines de plantain ; mais il restait toujours blême et sans force.

La mère, les deux fils, rivaux dans leur amour pour le père vénéré, se disputaient à son chevet ; mais les yeux de la mère avaient beau fondre de larmes, ceux des deux garçons avaient beau jeter des éclairs de défi et de colère impuissante, le malade semblait comme s’effacer chaque jour davantage. Rien ne pouvait plus le sauver, rien ! et voilà qu’à l’instant où l’on s’y attendait le moins, il ouvrit tout grands ses yeux de fièvre et qu’il appela sa femme et ses fils. Pendant leur absence, était-ce un esprit des montagnes ? Etait-ce quelque vieille fée ? Mais une apparition indéfinissable ; il ne savait qui, lui avait dit, en réalité ou en rêve, que sur les montagnes, plus loin, plus haut, croissait l’herbe salvatrice qui guérissait ces âpres maux.

Aux jeunes fils vigoureux, dont l’affection pour lui était si grande, incombait la rude tâche d’aller à sa recherche. Le père en connaissait et le nom et l’aspect, c’était l’herbe « qe sauvo », si difficile à trouver, et il la décrivit si exactement aux adolescents attentifs qu’ils croyaient déjà l’avoir tenue dans leurs mains.

Pourtant, cette herbe merveilleuse était étrangement rare. Auprès d’elle, le romarin, l’herbe prime (sorte de thym), même la couronne de roi (sorte de splendide saxifrage qui ne croît qu’aux Pyrénées et tombe en pendeloques et en couronnes de roches arides) pouvaient s’oublier, et la nature sévère ne la laissait pousser qu’aux endroits les plus inaccessibles. Comme tout ce qui a une valeur très grande, elle était presque impossible à acquérir.

Rassemblant ses forces mourantes, le père apprit à ses fils les chemins de montagnes par où ils atteindraient avec le moins de peines et le moins de danger les lieux escarpés où peut-être ils pourraient la cueillir. Il leur recommanda de s’entraider. de ne se séparer que par nécessité et pour explorer plus vite deux endroits différents et non très distants. Puis, tandis que s’agenouillaient les enfants, il leva, au-dessus de leurs têtes respectueuses et baissées, ses mains défaillantes et il les bénit en leur disant adieu et leur souhaitant au revoir.

Les deux fils partirent, leur bâton de montagnard à la main, leur gourde pleine à la ceinture, sur l’épaule la courroie de leur sac rempli de provisions et leur grand manteau de laine blanche. Ils allèrent longtemps par des chemins montueux, ils franchirent des ruisseaux où l’eau transparente laissait voir les pierres de leur fond, les anguilles glissantes, les truites argentées qui nageaient et se cachaient entre les gros cailloux. L’un des deux frères, infatigable, rasséréné par cette grande espérance, par l’action qui le rendait utile, tandis qu’à la maison il n’avait plus qu’à pleurer, marchait sans relâche, entraînant l’autre qui par instant se trouvait las.

Ils campèrent peu, ils dormirent seulement quand la nuit était obscure et les chemins diminuaient vite sous leurs pieds. Bientôt ils ne rencontrèrent plus nulle part ni châtaigniers, ni noisetiers : les hêtraies vertes ou pourpres faisaient place aux chênaies séculaires, les chants d’oiseaux du départ se faisaient plus rares ; tantôt ils se trouvaient dans des espaces pierreux, tantôt ils arrivaient dans de verdoyantes prairies.

Quand les pierres déchiraient leurs pieds, l’un plus courageux redoublait ses pas pour arriver plus tôt aux tapis d herbes, mais son frère, qui l’aurait cru ? – se laissait aller à se plaindre et à trouver par trop terrible la tâche imposée. Dans les forêts de sapins sombres et silencieuses, perchés souvent sur des pentes dont un côté à pic s’enfonçait dans un précipice sans fond, empêtrés dans les fougères, écartant les plantes sauvages pour y chercher déjà l’herbe promise, ils étouffaient d’une chaleur insoutenable.

Mais soudain la forêt s’ouvrait sur un col entre de hauts pics, le vent des glaciers y soufflait, puissant et large, et un froid presque polaire faisait claquer leurs dents ; ils couraient s’abriter derrière quelque roche hors du passage du vent où une tiède température les ranimait. L’un, de plus en plus joyeux, de plus en plus ardent à la recherche à mesure qu’il approchait du but, l’autre plus maussade et plus furieux à mesure que se doublaient fatigues et dangers.

Après avoir entendu les grognements des sangliers, les grondements des ours, après avoir évité les morsures des grands scorpions, des vipères et des aspics, les deux frères n’apercevaient plus guère que quelque isard farouche ou quelque aigle planant. Ils traversaient les nuages, l’orage tonnait sous leurs pieds ou sur leur tête, ils étaient brûlés de l’ardent soleil, ils tutoyaient les abîmes sur des rebords de mont de la largeur de leurs semelles mais ils atteignaient pourtant les sommets où naissent les sources, où limpides elles sortent goutte a goutte du roc colossal et perpendiculaire, où grondantes elles jaillissent en torrent de la terre entrouverte et s’en vont bondissantes, tantôt entre des bords de marbre, tantôt entre des rives fleuries d’herbes embaumées.

Les deux jeunes montagnards saluèrent avec des cris de joie la verdure des rochers. L’un, toujours le même, suivait, sans plus s’arrêter, le long des vertes rives, ses yeux irradiés semblaient avoir acquis une double vue, ses mains prestes et habiles écartaient, fouillaient tes tiges fragiles, accrochées aux pierres branlantes, débordant de leurs fissures.

Il chercha. Longtemps, longtemps il chercha ; accroupi, penché ou suspendu lui-même aux bords des eaux et des grondants abîmes ; mais enfin, tandis que ses doigts tremblants montraient au ciel l’herbe de guérison, l’écho des montagnes, roulant joyeusement de proche en proche son cri de bonheur et de triomphe, l’apporta au fils lassé qui depuis longtemps, longtemps se reposait et qui maintenant bondissait de jalousie.

Sur son lit, le père, depuis le départ de ses fils, semblait n’avoir plus fait un geste ni plus parlé. Toujours inanimé, toujours blême il était resté dans un état absolument semblable à celui où il était à la minute même où ses enfants avaient franchi la porte. La mère, ombre inquiète et attentive, allait silencieuse du lit au seuil de sa maison et ses yeux ne quittaient le visage de son mari que pour regarder le lointain par où ses fils devaient revenir.

Des jours, des nuits interminables avaient passé sur la triste demeure et rien n’y avait apporté le plus petit changement. Mais, par ce jour d’ombre grise, ce jour où les nuages, en couronne de deuil autour des montagnes, n’avaient pas voulu se dissiper, tandis que le père, statue humaine, sans voix, sans mouvement, mettait le peu de vie qui lui restait à contempler sa femme abîmée de tristesse, la porte de la chambre s’ouvrit. Un des fils, un paquet d’herbes à la main, était debout sur le seuil, la mine sombre et le regard perdu.

 Où est ton frère ? cria la mère palpitante, en serrant son enfant dans ses bras.
– Où est ton frère ? dit le père, ranimé par la vue de son fils.
– Mon père, dit le jeune voyageur, non sans trouble, nous nous sommes séparés pour trouver plus vite l’herbe merveilleuse, je suis revenu aussitôt pour vous sauver plus vite, mon frère sans doute ne sera pas long à rentrer.

Le père, avant de saisir l’herbe, leva cette fois encore ses mains tremblantes et bénit son fils, celui à l’effort duquel il devait à son tour la vie. Et la vie lui revint en effet ; peu à peu une jeunesse nouvelle sembla s’épanouir en lui, ses membres retrouvaient toute leur force passée et son visage reprenait sa belle expression de fière énergie, mais il gardait pourtant l’empreinte d’un tenace souci. Une pensée douloureuse ne le quittait plus, le hantait à tout moment.

Un de ses fils, son fils si courageux, si vaillant n’avait pas reparu. Et cela mettait- dans son bonheur de reconnaissance envers son autre enfant, un chagrin, un regret ineffaçable. Dans quels lieux sauvages errait-il encore ? Ou plutôt, malédiction ! Sur quels rochers s’était brisé l’enfant valeureux, quelle eau traîtresse avait enseveli son jeune corps souple, quel animal malfaisant avait détruit cette vie en fleur ?

Le sombre et taciturne fils qui lui restait, pas plus que lui ne pouvait répondre ; mais, pour retrouver son autre enfant, vivant ou mort, le père referait tous les pas qu’il avait faits. Il interrogerait les échos, il sonderait les précipices, il plongerait au fond des torrents. Et seul, le père, sa gourde à sa ceinture, son sac à l’épaule, son bâton de montagnard à la main, partit à travers les montagnes à la recherche de son fils.

Il l’appela dans les sentiers bordés de châtaigniers, de noisetiers et les pommiers ; il l’appela dans les hêtraies, dans les chênaies séculaires, il cria son nom dans les forêts de sapins où tout semble mort. Il se pencha aux bords des précipices, il interrogea les eaux transparentes, mais seul l’écho répétait ses paroles.

Il parcourut en tous sens les cols où souffle le vent de glace, il fouilla chaque coin, chaque abri de rocher, il cria partout : Moun hilj, moun hilj, mon fils, mon fils ! Partout l’écho répondit : mon fils, mon fils ! mais nulle voix humaine ne se leva sur les monts. Le père, ardent à la poursuite, assuré, tant sa volonté était forte, qu’il finirait par découvrir son enfant, arriva, après un temps qu’il n’aurait pu calculer, au versant du sommet à pic où naissent les sources, où croissent les herbes rares.

Longtemps, longtemps il marcha le long des rives dangereuses ; une grande lassitude s’emparait de lui ; ses yeux pourtant interrogeaient encore l’eau, les herbes et les roches avec une telle intensité, que rien ne pouvait leur échapper. Et tout à coup il eut un choc : ses regards s’arrêtèrent sur une espèce de petite baguette d’ivoire qui gisait à ses pieds et qui semblait avoir vibré au frôlement de ses pas. Le père, qui n aurait pu dire ce qu’était cette chose blanche, lisse et creuse, la ramassa pensivement et il lui sembla tenir en ses mains quelque objet étrange et mystérieux.

Emu jusqu’au fond de l’âme et sans se rendre compte de ce qu’il faisait, il porta à ses lèvres sa trouvaille inconnue, ses soupirs y passèrent et alors une faible voix en sortit :

C’est vous, Papa,
Qui me touchez,
Qui m’appelez ?
Mon frère m’a tué
Au bord de l’eau.
Quand je cherchais
L’herbe qui sauve !

Es vous, Papay,
Que mi toucat,
Que mi sounat ?
Moun Fray m’a tuat
AI bord de l’Auvo
Quan cercavi
L’Herbo qe sauvo !

Le malheureux père, en larmes, condamné à porter désormais la vie comme une importune charge et à maudire le fils qui lui restait, mit sur son cœur cet os, la seule chose qu’il retrouvait de son enfant perdu. Et les échos des montagnes jetaient partout la lugubre plainte du fils assassiné et les gémissements paternels. C’est ainsi que, pour les races de ces monts altiers, si caché que soit le mal, si enfoui qu’il soit au fond des abîmes, il arrive à se découvrir un jour, et que l’anathème et la malédiction atteignent les coupables, sans que rien paisse les sauver.

Mais, d’un bout à l’autre de la chaîne pyrénéenne, on chercherait vainement aujourd’hui l’herbe merveilleuse qui guérissait tous les maux. Depuis ce jour de crime, elle a cessé de pousser.

Publié dans:GUERISON, PLANTES, POLTERGEISTS et LEGENDES |on 14 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’Esprit de guérison


Une autre lecture des guérisons du Christ

par Jean-Claude Genel           

L’Esprit de guérison dans GUERISON images-37                                                                            

Pour mieux comprendre le processus invisible de toute guérison, mais aussi les notions mystiques de « centre » et de manifestation de la foi, une scène de la vie du Christ peut nous aider. Il y est question de la guérison d’une femme (voir texte en fin d’article) et du « réveil » d’une enfant de douze ans, fille du chef de la synagogue. En apparence, rien ne semble lier ces deux événements, mais en entrant dans leur valeur symbolique, nous allons nous intéresser à l’action d’une trame invisible, que j’appelle l’esprit de guérison, que nous révélons aux moments critiques de notre vie.

De quelle foi cette femme, appelée l’hémorroïsse, s’est-elle revêtue en voulant toucher le manteau de Jésus ? A quel centre a-t-elle accédé pour se libérer de douze années d’hémorragies ? Jésus n’étant pas intervenu, il serait donc possible de se guérir seul. Mais quel est le sens de ces paroles : « Ta foi t’a guérie » ? Voyons comment la présence christique a mis en scène cette histoire d’âmes.

Cette femme a cru, elle a mis dans son acte tous ses sentiments, toute son intention, toute sa foi. Elle a déclenché ce mécanisme sans même s’en rendre compte. Mais elle y a pensé… pendant douze ans ! Douze années de galère dirions-nous aujourd’hui pendant lesquelles elle a consulté tous les médecins possibles et elle a « dépensé tout son avoir ». Et que lui restait-il en désespoir de cause, sinon de s’abandonner à sa foi ? Or sa foi est récompensée, Jésus arrive dans son village. Elle décide d’aller à sa rencontre malgré son impureté qui le lui empêche (selon la loi juive). Passant au-delà de cette humiliation constante vécue depuis si longtemps, elle ose le tout pour le tout. Peut-être a-t-elle pensé : s’il est vraiment le Christ, le Messie, le Fils de Dieu, il est donc amour et il passera outre à mon impureté ?

Retrouver sa dignité devant tous

Tout en elle sait qu’elle va toucher l’amour. Il est saisissant de voir d’un côté la foule inconsciente qui presse Jésus et de l’autre cette femme, seule et consciente qui vient seulement effleurer le bas de sa robe. De plus, dès que Jésus demande qui l’a touché, « tous s’en défendent », à commencer par Pierre. En réalité, le Christ sait qu’un seul être vient de le rencontrer par son âme. Et en demandant avec insistance qui l’a touché, Jésus incite la femme à retrouver sa dignité devant tous. Il l’oblige à venir devant lui, à quitter l’ombre où elle a vécu pendant douze ans pour venir en pleine lumière face à lui. D’impure qu’elle était et connue comme telle, elle redevient pure puisqu’elle s’est guérie. Elle vient témoigner de toute la foi dont un être est capable. En obéissant au Christ en elle et à Jésus devant tous, elle prend place sur le devant de la scène. Comme pour l’épisode de la femme adultère (Jean 8, 1 à 12), au milieu de la foule qui forme un cercle, deux êtres se rencontrent au centre – l’être humain et l’être divin – deux êtres témoignent de l’union des contraires – pureté et impureté. La femme qui vient de toucher son propre centre dans l’invisible est maintenant au centre dans le visible. Elle conte son histoire, se dévoile et par la même dévoile les lois divines. Elle a reçu l’amour, elle a été équilibrée dans ses polarités masculines et féminines, elle a guéri. Jésus la laisse témoigner et, au point culminant, lui dit : « Va, ta foi t’a guérie ! » À partir de ce moment tout est scellé. Elle et Jésus sont un seul être, le point dans le cercle, symbole du soleil, symbole du Christ. Dans la vibration, ils sont un couple, l’alchimie a eu lieu.

Le subtil mécanisme de guérison

Entrons maintenant dans le subtil mécanisme de cette guérison. Comment cela s’est-il passé ? Une femme erre pendant douze ans sans jamais trouver le « bon médecin ». N’a-t-elle pas fait ainsi le tour du zodiaque, un cycle complet qui la ramène au point de départ ? Ce point de départ n’est pas la maladie, comme nous pourrions le croire, mais plutôt une incapacité à accéder au véritable âge adulte, c’est-à-dire à passer des lois de Moïse (les dix Commandements) à celles que Jésus vient révéler. Les saignements périodiques font de la femme juive un être impur, ce qui l’éloigne de la communauté. Inconsciemment, l’hémorroïsse prolonge ses saignements tant qu’elle n’a pas trouvé le chemin des lois nouvelles, celles qui guérissent du passé dans lequel les peurs, les dogmes et les interdits nous maintiennent encore aujourd’hui. Au terme du cycle, du retournement complet, elle n’avait plus aucun espoir. « Elle a dépensé tout son avoir. » ! C.G. Jung affirmait qu’on guérit avec ce que l’on est, pas avec ce que l’on a. Mais « avoir » peut aussi se lire en deux mots, « à voir », comme au jeu de cartes où l’on mise son argent pour voir le jeu de l’autre. La femme a donc montré tout ce qu’elle possédait extérieurement, mais le temps est venu pour elle de découvrir ce qu’elle est intérieurement : l’essentiel symbolisé par la venue de Jésus. Elle sait qu’il vient, elle sait qu’il est la seule richesse, la richesse intérieure. Elle attend un miracle, elle le définit, elle l’organise pour qu’il se produise. Elle doit désobéir aux lois anciennes en s’approchant du Christ, mais n’ayant plus rien à perdre, elle saisit l’occasion.

A la rencontre de soi-même

Elle a mis en place tout un mécanisme de pensée et elle est partie à la rencontre d’elle-même. Aux yeux du Christ – l’être divin en soi – elle ne peut pas être impure, bien au contraire, et c’est emplie de la foi qu’elle part le toucher. Sa foi lui dicte la plus extrême discrétion pour ne pas être repoussée par ceux qui la connaissent et parvenir jusqu’à Jésus. Elle va le toucher discrètement, sans que personne ne la remarque… elle sait qu’elle sera guérie. Elle y met une foi extraordinaire, mais en même temps déclenche un processus irréversible : elle se place en elle-même, dans sa véritable richesse. Quelle est cette richesse, cette foi ? Pour moi, la foi est alimentée par les acquis de vies antérieures, elle grandit donc toujours plus. Même si l’hémorroïsse n’en comprend pas le mécanisme, à travers sa foi elle mobilise tous ses acquis pour toucher son christ intérieur, l’éveiller. C’est parce qu’elle réussit cette rencontre dans l’invisible que Jésus lui demande de l’expliquer à tous. Il révèle ainsi une scène symbolique, une parabole, capable d’être comprise de nos jours à un autre niveau de conscience.

Renversement de conscience

Le renversement de conscience inhérent à toute guérison peut aussi s’expliquer de cette manière. Le nombre 12 (douze ans d’hémorragies) correspond à l’arcane 12 du Tarot de Marseille : le Pendu. Il concerne le renversement de conscience que cette femme a su accomplir en trouvant sa vraie richesse. Le nombre 12 est composé du 1, le Bateleur, et du 2, la Papesse. D’après ces lames, la femme possède tous les outils pour lire dans son livre de vie. Et  1 + 2 = 3 (les lois divines) elle devient ces lois divines et ne peut plus être malade.

En utilisant le langage des initiés, ou langue des oiseaux, un mot résume à lui seul cette parabole. Il explique le processus de guérison ; c’est « hémorragie ». Phonétiquement, on peut alors décomposer « hémorragie » ainsi : AIME + OR + AGIT. La femme va vers le Christ, elle va donc vers l’or, vers la lumière et elle le fait par amour, elle aime. Enfin, elle va toucher son vêtement, donc elle agit.

Accomplir en soi-même le passage

Cette femme connaît les lois anciennes, celles de Moïse, et pressent les nouvelles incarnées par Jésus. Elle ne renie pas les unes pour les autres, mais s’incline au contraire devant celui qui les a dépassées : elle touche son vêtement, et pas n’importe quelle partie, la frange munie d’un fil violet (appelé également phylactère) rappelant les commandements de Dieu. Elle fait donc le lien, accomplit en elle-même le passage vers les nouvelles lois préfigurées par Jésus le Christ. Elle relie les deux triangles formant l’étoile de David et en occupe le centre, la loi de son âme. En puisant à la source, la foi, elle a su dégager les nouvelles lois des anciennes et peut en rayonner l’esprit.

Parallèlement à cet événement, une enfant de douze ans meurt. Elle est la fille de Jaïros, le chef de la synagogue. Pourquoi ces deux situations se déroulent-elles ensemble et comment les relier ?

Les lois qui nous gouvernent

L’âge de l’enfant est symbolique : 12 ans. L’enfant est donc né alors que la femme commençait à saigner. Symboliquement, le passage de l’enfance à l’âge adulte doit s’effectuer. Mais la mort de l’enfant semble venir contrarier ce plan. C’est alors que Jésus la transforme en passage vers la nouvelle vie (l’âme–or). Comme l’hémorroïsse, Jaïros vient vers Jésus, lui aussi se prosterne à ses pieds sachant qu’il est le seul à pouvoir sauver sa fille. Jaïros est le représentant officiel des lois de Moïse, mais il se tourne vers les nouvelles, opérant le renversement de conscience indispensable. Cela peut paraître étonnant de la part d’un rabbin, mais n’oublions pas qu’il est avant tout un père et qu’il s’agit de sa fille unique, symbole de l’âme des lois anciennes. Ses sentiments – les lois qui nous gouvernent – sont touchés. En se présentant devant Jésus, Jaïros libère l’âme de ses sentiments : les vertus. Et celles dont il fait preuve d’emblée sont l’humilité et la simplicité. De plus, son action permet et à sa fille de vivre son propre renversement de cons-cience puisqu’elle meurt et elle revient à la vie. N’est-ce pas ce que nous pourrions appeler une expérience de mort imminente ou N.D.E. ? C’est parce que son père accepte sa propre impuissance et regarde vers l’avenir (Jésus) que sa fille revient à la conscience. Sa fille mourante a allumé en lui la flamme de la foi et il est devenu puissant par son humilité. Il ne transgresse pas les lois mais implore Dieu. Il ose le geste et la prière, il ose la démarche pour grandir intérieurement.

De son côté, la femme aux hémorragies quitte, elle aussi, ces mêmes lois et guérit, c’est donc une naissance. Face à la demande de Jaïros, Jésus redonne naissance à l’enfant, il réveille ce qui est endormi, il donne un nouveau souffle aux lois. Pour cela il n’appelle pas l’enfant par son prénom, mais dit simplement : « Mon enfant ! » Il réveille ainsi la pureté oubliée et rappelle l’âme dans le corps, dans le temple. Il rappelle l’enfant endormi comme certaines épreuves nous rappellent les forces vives endormies en nous-mêmes.

En guise de conclusion

Je dirai qu’avec la maladie, nous ne sommes plus logiques. Nous sommes obligés de faire intervenir autre chose et ces deux guérisons le prouvent. C’est pourquoi la maladie nous élève. Certes, il y a parfois la peur de mourir, souvent la peur de souffrir, mais il y a toujours la possibilité de se transcender. La maladie n’est pas quelque chose de négatif. Cela le devient chaque fois que nous n’osons pas le changement, le mouvement qui nous conduit invariablement au centre de nous-mêmes, là où coule la vraie vie. La maladie est destinée à nous guérir totalement, et pas seulement des symptômes. Elle est aussi un chemin qui nous permet de travailler avec le cœur, de faire appel à tout ce que l’on est, à tout ce que l’on connaît et même à ce que l’on ne connaît pas de soi.

Devant la maladie, nous avons la même réaction qu’une mère dont l’enfant serait en danger. Nous sommes capables d’oublier toutes nos peurs et de dépasser tous nos blocages pour accomplir la seule chose qui compte : être sauvé, à l’exemple de la mère qui transcende sa peur pour sauver son enfant. Mais alors, quel rôle l’enfant joue-t-il ? Celui du « centre » de la mère ; parce qu’elle y met tout son amour, tout ce qu’elle possède en elle de beau et qu’elle ressent pour lui. La maladie est ce  »centre provisoire » qui fait aller à l’essentiel. C’est ce que nous sommes invités à faire chaque jour, au quotidien, pour prouver la vérité de l’esprit qui nous anime et qui fait de nous des êtres spirituels.

Encadré : Évangile de Luc 8,40-56

« A son retour, Jésus fut accueilli par la foule, car ils étaient tous à l’attendre. Et voici qu’arriva un homme du nom de Jaïros ; il était chef de la synagogue. Tombant aux pieds de Jésus, il le suppliait de venir dans sa maison parce qu’il avait une fille unique, d’environ douze ans, qui était mourante. Pendant que Jésus s’y rendait, les gens le serraient à l’étouffer.

Il y avait là une femme qui souffrait d’hémorragies depuis douze ans ; elle avait dépensé tout son avoir en médecins et aucun n’avait pu la guérir. Elle s’approcha par derrière, toucha la frange de son vêtement et, à l’instant même, son hémorragie s’arrêta. Jésus demanda : « Qui est celui qui m’a touché ? » Comme tous s’en défendaient, Pierre dit : « Maître, ce sont les gens qui te serrent et te pressent ». Mais Jésus dit : « Quelqu’un m’a touché ; j’ai bien senti qu’une force était sortie de moi ». Voyant qu’elle n’avait pu passer inaperçue, la femme vint en tremblant se jeter à ses pieds ; elle raconta devant tout le peuple pour quel motif elle l’avait touché, et comment elle avait été guérie à l’instant même. Alors il lui dit : « Ma fille, ta foi t’a sauvée. Va en paix ».

Il parlait encore quand arrivé de chez le chef de synagogue quelqu’un qui dit : « Ta fille est morte. N’ennuie plus le maître ». Mais Jésus, qui avait entendu, dit à Jaïros : « Sois sans crainte ; crois seulement et elle sera sauvée. »

A son arrivée à la maison, il ne laissa entrer avec lui que Pierre, Jean et Jacques, avec le père et la mère de l’enfant. Tous pleuraient et se lamentaient sur elle. Jésus dit : « Ne pleurez pas ; elle n’est pas morte, elle dort ». Et ils se moquaient de lui, car ils savaient qu’elle était morte. Mais lui, prenant sa main, l’appela : « Mon enfant, réveille-toi. » Son esprit revint et elle se leva à l’instant même. Et il enjoignit de lui donner à manger. Ses parents furent bouleversés ; et il leur ordonna de ne dire à personne ce qui était arrivé. »

SOURCE – G. PRODUCTIONS

Publié dans:GUERISON, JESUS, MAITRISE |on 11 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

Lamentations d’un martyr du bruit

par Marc Chevrier

Au bruit qu’elle sécrète à grande échelle, la civilisation moderne offre un contrepoison, une musique rampante et omniprésente, qui joue à toute heure, en toute situation. C’est la musique flatteuse des ascenseurs et des centres commerciaux, celle qui languit dans le cabinet du dentiste, celle qui nous afflige au téléphone ou qui bourdonne dans les gymnases et défonce les tympans dans les discothèques ou celle qui meuble nos pièces !

Lamentations d’un martyr du bruit  dans GUERISON images-21

La musique est aujourd’hui de moins en moins un acte volontaire ; elle est de plus en plus subie. La musique commerciale qui gouverne maintenant les lieux publics est une espèce de fluide insipide, jeté là pour tromper l’ennui de ces lieux ou pour masquer des rumeurs parasites. Composée pour créer une « atmosphère », elle enlève plutôt aux lieux qu’elle doit égayer leur vitalité. Au début des années 1960, l’historien américain Daniel J. Boorstin avait remarqué comment la civilisation de l’image poussait la musique à devenir une activité secondaire, servant à accompagner la relaxation, l’amour, le travail, la consommation, etc. La musique devient un « flot homogène et sans fin » qu’on n’écoute plus mais dont on se sert pour remplir nos vides.

Dans le monde désenchanté qui est devenu le nôtre, le peuple ne se presse plus à l’église pour entendre les chœurs psalmodier. Délaissée par ses fidèles qui jadis communiaient avec elle au son des kyrie et des alléluia, la religion chrétienne entre en concurrence avec une pléiade de minorités spirituelles et de thérapeutes patentés de l’âme pour capter l’attention d’un peuple incroyant, qui écoute dans son salon des chants grégoriens, des valses viennoises, du reggae et du western, Charles Aznavour, Elton John ou les Pet Shop Boys. Pendant des siècles, le christianisme avait enseigné que la spiritualité passait par une alternance de silence et de musique. La vie monastique avait porté à sa perfection cette règle de vie. Elle s’est perdue aujourd’hui. Le recueillement, la prière et le silence paraissent des pratiques surannées et la musique, émancipée du service religieux, ne connaît plus de mesure pour arrêter de jouer à toute heure grâce au miracle technique des ondes et de la stéréophonie.

Les temples de la sonocratie

Les archéologues qui étudieront dans quelques siècles notre civilisation seront peut-être frappés d’étonnement en tombant sur nos disques, nos appareils acoustiques et ces lieux vides le jour que sont les boîtes de nuit. Peut-être croiront-ils y reconnaître les vestiges d’une religion du bruit. En effet, les danses frénétiques au son du rock’n Roll, du dance music, du techno et du rap dans l’atmosphère psychédélique des discothèques hyper-équipées et les méga-concerts dans les stades avec leurs idoles lascives déchaînant une foule en transe ont remplacé les messes comme occasion de communion collective avec la musique. En fait, ce n’est pas tant la musique qu’on célèbre dans ces grands défouloirs extatiques, que la puissance technique du son portée à son paroxysme par des appareils dont le perfectionnement n’a pas de terme et auquel les chanteurs, usant de tous leurs charmes, ajoutent une charge érotique qui subjugue les foules. Ainsi s’affirment les discothèques, les bars et les salles de concert comme les nouveaux temples du bruit où s’engouffre une jeunesse sacrifiant d’emblée la virginité de ses oreilles au grand dieu Moloch crachotant ses décibels à travers des monolithes hurlants. Ce sont des équarrissoirs des sons où s’amalgament les sensations et où tous les interdits sont levés. Le délire technique des décibels crée entre les danseurs un écran sonore qui empêche toute véritable communication de se nouer et anesthésie l’ouïe.

La musique asservie à l’image

Cet écran qui abolit la parole donne néanmoins libre cours aux fantasmes. Dans la masse indifférenciée des corps en sueur assommés par le boum-boum, on joue à touche-pipi, à presse-nichons ou on décroche du monde en sniffant quelque poudre hallucinogène. Le plus souvent, la musique qui est jouée dans ces temples est d’une grande pauvreté. À preuve, pour en mousser la valeur, on la flanque de vidéo-clips clinquants et sulfureux et on exhibe sur toutes les tribunes l’image sexy de l’idole. Asservie à l’image, la musique ne vaut que par sa stridence et sa capacité de remplir les tiroirs-caisses. Tous les vacarmistes et pétaradaires qui sévissent dans les boîtes de nuit, les hebdos culturels, les studios de télé et de vidéo vous diront qu’ils officient pour la jeunesse dont ils soulagent le désarroi. Foutaise que tout cela. L’industrie du décibel est une entreprise beaucoup trop payante pour que l’on baisse le volume. Les gens « in » s’éclatent les oreilles dans des discos, enrichissent les sonocrates de leur argent de poche et se découvrent dans la trentaine des problèmes de surdité. Les gens « out » se mettent des bouchons, se font taxer de ringards ennuyeux et aspirent à l’inaccessible silence.

Le rêve d’une écologie sonore

La souffrance causée par le bruit n’est rédemptrice de rien du tout. C’est un flot de non-sens qui enlaidit notre existence et anémie notre sensibilité. Le philosophe Schopenhauer écrivait « Le bruit est la plus importante des formes d’interruption. C’est non seulement une interruption, mais aussi une rupture de la pensée ». Le bruit est plus que l’interruption de la pensée. C’est rien de moins que l’éclipse de l’humanité en nous. Consentir au bruit, que ce soit aux détritus sonores de nos machines ou à la musique « eau de vaisselle » des magasins ou à la fournaise sonore des prytanées du décibel, c’est consentir à la barbarie que notre civilisation technicienne tolère et encourage. L’enfer, c’est le bruit en nous.

Des machines antibruit

Les martyrs du bruit sont plus nombreux qu’on croit. Ils souffrent en silence, comme des animaux blessés par l’outrageuse modernité de nos mœurs stridulantes. Bien sûr, les médias, qui sont à l’affût du moindre bruit, font peu de cas de leur malheur, et les scientifiques, si prompts à montrer les effets délétères du tabac ou des hamburgers trop gras, semblent négliger cette cause si universelle de stress. Les physiciens nous annoncent que bientôt la science mettra au point des machines antibruit, qui annuleront les effets des ondes décibelogènes. Les souffrances provoquées par la technique trouveront-elles un terme avec elle ? Pour avoir la paix, faudra-t-il se promener avec un scaphandre antibruit et fonder une association des victimes d’acharnement acoustique qui intente à tous les fouleurs de bruit de méchants procès ?

Quant à moi, le paysage sonore est une dimension aussi importante de l’écologie que le paysage visuel ou la préservation des écosystèmes. Pour en être conscient, il faut tout d’abord muscler sa sensibilité, avoir le courage du silence et savoir dire non aux paillettes brûlantes du bruit. Alors, la vraie musique, celle qui est écoutée dans sa pleine mesure, qui arrive à point et qu’on a eu le temps de désirer, n’en sonnera que meilleure.

Extraits de l’article de Marc Chevirer publié dans la revue « L’Agora » (nov.déc. 1997, vol.5, n°1, Canada) et reproduit avec l’aimable autorisation de Jacques Dufresne à la PGPRODUCTION. http://agora.qc.ca/pages.php

Publié dans:GUERISON, REVES |on 7 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

La kinésiologie musicale


une nouvelle approche pour les musiciens
Par Mireille Natansson

La kinésiologie musicale dans GUERISON 01Science de l’énergie et du mouvement, la kinésiologie est connue en France depuis plusieurs années. Ses applications sont multiples dans les domaines de l’éducation, de la santé et du sport. Elle propose une nouvelle approche de la relation entre le corps et les émotions et une méthode douce très efficace contre le stress. Pour les musiciens et tous ceux qui s’intéressent à la musique, la kinésiologie musicale vient de faire son apparition en France.

La kinésiologie musicale a été créée en Allemagne par deux musiciens qui ont une formation complète en kinésiologie. Leur idée était de proposer des solutions aux musiciens stressés par des difficultés propres à leur métier : le trac, les blocages respiratoires et musculaires, le manque de motivation, les frustrations dues à la concurrence. Leur mérite est d’avoir su s’inspirer des recherches de John Diamond sur l’énergie, à la lumière de leur expérience de musiciens professionnels. Comme en kinésiologie appliquée, on utilise les outils techniques du Touch for Health (la santé par le toucher) et du One Brain (un seul cerveau). Quelques exemples vécus illustrent les difficultés rencontrées par les musiciens et les techniques proposées.


Test musculaire

C’est l’outil d’investigation de la kinésiologie qui sert à détecter les blocages. Son principe repose sur le fait que le corps est un instrument apte à montrer ses propres déficiences et en même temps capable d’indiquer comment les corriger. Les possibilités du test musculaire sont donc très nombreuses. Prenons par exemple un blocage avec une tonalités ou une note spécifique chez un chanteur :  »Je n’arrive pas à chanter cette note aiguë ». « En ré mineur, ma voix sonne plat ». Tester veut dire ici passer en revue toutes les notes de la gamme ou toutes les tonalités, le muscle deltoïde faible indiquera la note à l’origine du stress.

 Coordination des hémisphères

L’enseignement musical, contrairement à ce que l’on pourrait attendre, privilégie le cerveau gauche (analytique) en délaissant le cerveau droit (création et imagination). Pour jouer la musique avec expressivité, il ne suffit pas d’une formation technique, il faut aussi exercer l’intégration des deux moitiés du cerveau. Dans une séance avec notre chanteur, la note aiguë ne sera pas répétée des centaines de fois, ni la gamme de ré mineur, elles seront intégrées par un mouvement croisé.

L’équilibration énergétique

Il s’agit de recréer l’équilibre énergétique au niveau corporel, psychique et mental. Par la connaissance des méridiens d’acupuncture, on peut lever un blocage énergétique et retrouver l’équilibre qui est nécessaire pour donner le maximum lors d’un concert. Le concert lui-même est un phénomène énergétique où se rencontrent l’énergie du musicien et celle du public. Si les énergies sont équilibrées, le dialogue s’instaure. Dans une salle de concert, il y a d’une part des auditeurs qui attendent des musiciens un certain plaisir et d’autre part un musicien plus ou moins stressé, dont l’énergie ne peut se transmettre. La note aiguë dont le chanteur a peur perturbe son expression, le chant n’est pas libre de se dérouler pleinement. La visualisation d’une couleur pourra apaiser cette souffrance.

La réduction du stress

C’est la technique de base en kinésiologie, celle qui demande doigté et intuition de la part du kinésiologue, car il ne guérit pas, il mène son client sur le chemin de sa propre guérison. Après avoir déterminé la cause du stress, il s’agit de l’atténuer par une image forte en énergie qui ouvre de nouvelles voies. La note aiguë ou la tonalité de ré mineur peut être associée à une émotion ou à un souvenir. Pour réduire le stress, le musicien évoque cette émotion en utilisant ses cinq sens ; « uel goût a cette tonalité ? Quelle est son odeur ? Quels sont les bruits et les sensations qu’elle évoque ? Quel serait le symbole visuel qui la représente ? »

 La récession d’âge

C’est un retour vers le passé pour réduire un stress emmagasiné depuis l’enfance, par exemple un stress lié au choix de l’instrument. Comme en visitant un vieux grenier, le musicien peut retrouver les motivations de sa carrière de musicien et renouer avec ce choix dont il ne connaissait plus les origines. Les solutions sont individuelles et vont mettre en jeu les couleurs, les symboles, le mouvement, les sensations et les émotions. Le kinésiologue aide le musicien à trouver les solutions qui sont en lui et à les ancrer dans sa pratique (voir encadré). La spécificité de la kinésiologie musicale réside dans son souci de créativité. Elle propose aux musiciens de tous âges, aux élèves comme aux professeurs de renouer avec le plaisir de jouer sans stress.

Publié dans:GUERISON |on 7 novembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’aliment idéal

L'aliment idéal dans CO-CREATION images-4

Marie-Françoise Tesson, au LAPATS (Laboratoire associatif pour l’application des tests sensibles), à Frechendets, dans les Hautes-Pyrénées, travaille surtout pour l’agriculture biologique et assure des stages d’initiation à la méthode. Les tests sont faits « en aveugle » – le manipulateur ne connaît pas la provenance des produits testés, ce qui évite tout biais inconscient. A l’oeuvre depuis sept ans, Marie- Françoise Tesson résume :
« On voit très bien l’affaiblissement vital dans les produits congelés, la farine ou le sucre raffinés, le lait U.H.T., les aliments cuits aux micro-ondes, et de manière générale dans les produits issus de l’agriculture dominante. Mais on ne peut pas systématiser : il nous est arrivé d’obtenir de piètres images avec des produits de culture bio elles indiquent alors un manque de savoir-faire ou des productions trop intensives, des cultures hors-saison. »

« L’aliment idéal doit présenter un équilibre entre la force de croissance, influencée par la terre, qui se voit à la densité des stries, et la force d’ organisation, dépendante du cosmos, révélée par la netteté de la structure. Les images les plus équilibrées viennent le plus souvent des produits de l’agriculture biodynamique. La culture biologique classique donne des images d’une grande vitalité, mais qui manquent un peu d’organisation. « 

« Nous sommes toujours à la recherche de nouvelles pistes et de nouvelles comparaisons. Le domaine est immense, il faudrait que des laboratoires se multiplient et se spécialisent. La cristallisation peut révéler toutes sortes d’influences inattendues.

Par exemple, nous avons testé des pains pétris le même jour par plusieurs stagiaires. A partir des mêmes ingrédients, avec la même cuisson dans le même four, on obtient des images différentes. Certaines personnes bonifient la qualité du pain, d’autres pompent de l’énergie… « 

Bientôt, le LAPATS proposera un « label », établi sur la base de contrôles réguliers, pour les producteurs qui le désirent. Et un jour, qui sait, on pourrait voir apparaître, sous forme de vignettes sur l’emballage, des photos de cristallisation sensible. Chacun pourrait alors se faire un jugement. Même si l’interprétation fine demande une formation spéciale, l’appréciation simplement esthérique se trompe rarement : comme par hasard, les plus belles images correspondent aux meilleurs produits I

  Par Jean-Pierre Lentin

Publié dans:CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, GUERISON |on 6 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction.


Qu’est-ce que l’autocensure vient faire avec l’esprit de Séduction? C’est ce que je vais vous montrer ! 

 

 La Force de l’autocensure et l’Esprit de Séduction. dans ACCORD images-71

Les femmes sont assujetties au regard des hommes, c’est un fait, la séduction est inhérente au besoin de survivre et les femmes ont besoin -dans les circonstances difficiles des débuts de l’humanité-  de la force du mâle. De leur côté, les hommes sont habitués à obéir à leur chef de meute. Ce chef de meute peut-être un leader politique, ou leur mère, tout dépend de leur âge et du contexte !  

On peut dire que lorsqu’il s’agit d’entraide, les femmes s’imposeront l’autocensure immédiate : depuis des millénaires elles sont soumises à leurs ovaires et cette loi  de discrimination et d’infériorisation se transforme en obsession de la Séduction. Pour peu que leur famille soit axée sur l’obtention de pouvoir par n’importe quel moyen, les filles sont des instruments de valeur, des outils de séduction et d’obtention de faveurs : on leur apprend à utiliser leur corps comme moyen de valorisation de leurs compétences. Cette séduction sensuelle est ouvertement utilisée dans tous les systèmes de pouvoir et quoi qu’on dise les mœurs sur ce point n’évoluent pas  à cause  des femmes.

Les plus ardents défenseurs de la misogynie sont les femmes. Cette injustice notoire n’est pas pratiquée par des hommes mais par des femmes sur les plus jeunes, ce qui permet aux hommes de se placer aux postes d’envergure, même lorsqu’ils n’en n’ont pas les compétences : ils reçoivent le crédit moral, la récompense tandis que d’autres travaillent à leur mâcher le travail, car les femmes sont incapables de s’allier entre elles, incapables de se donner une chance les unes aux autres car trop soumises à leurs hormones, elles n’ont pas d’objectivité et de véritable égalité dans la tête quand il s’agit de comprendre les autres femmes de manière professionnelle et sans parti pris. Ce qui domine est la référence ovarienne : j’appelle référence ovarienne, l’impact des hormones de séduction sur les autres femmes qui discrédite celles qui ont un potentiel inférieur et/ou supérieur suivant la menace que ce potentiel représente pour l’auto-estime du détenteur du pouvoir.

La beauté, l’harmonie sont des facteurs discréditant lorsqu’il s’agit d’être prise au sérieux et n’importe quel homme –moins professionnel et moins compétent- recevra des femmes plus de respect et d’avantages qu’une femme dont il semble qu’elle n’a jamais suffisamment de compétences professionnelles pour recevoir le crédit moral dont elle aurait besoin pour progresser. Cette soumission à l’ancestralité est la cause des injustices faites aux femmes. Cet état de fait existe dans tous les milieux, mais plus particulièrement dans les élites, qui continuent de penser que les plus forts sont également les plus aptes à manager les autres.

Il est  pourtant évident que la force n’a plus besoin d’exister dans un monde où tout est automatisé et que l’industrie lourde disparaît progressivement de nos pays éco-labélisés. Dans ce cas, comment expliqué à nos enfants que le mariage entre personnes du même sexe et l’égalité des droits ne soient pas valables lorsqu’il s’agit des compétences professionnelles et des rémunérations ? Cela fait presque 200 ans que les femmes travaillent dans les mêmes conditions que les hommes, à des postes tout aussi variés et malgré cela, il semble encore normal à tout le monde qu’une femme ne peut pas…….la liste est trop longue et puis ça va m’énerver ! 

 En quoi une femme est-elle moins valorisable par ces aptitudes (hors mensurations corporelles) ? Pourquoi faut-il toujours préférer les paroles des hommes, leur discours surannés à la modernité et à la fluidité de la femme moderne? Femme moderne signifie hors caste sociale, qui s’est extraite des conditionnements religieux, qui s’est extraite des conditionnements sexuels et qui ne se laisse pas dominer par les tendances ancestrales à la soumission devant les hommes. La complémentarité  entre les individus existe. Elle est nécessaire et  indépendante du genre (des trucs sexués) 

Le droit de réussir une vie complète (réussite à chaque niveau de chakra) ne doit pas être réservé à quelques privilégiés : réussir une vie familiale, professionnelle, une vie solaire (extravertie) et lunaire (intuitive et réceptive) ne peut pas être réservé à l’élite des hommes. Je déplore cet état de fait dans le monde du New Age et des « avancées spirituelles » : il y a encore beaucoup trop à changer dans les têtes, qu’on se le dise, les hommes ne sont pas de meilleurs mages, ils sont simplement plus égoïstes et tournés à la réussite professionnelle exclusivement. Or, la spiritualité est un secteur où l’étape de croissance concerne les 2 sexes, les 2 énergies et 2 façons de fonctionner opposées : ceux qui n’arrivent pas à les unifier, « ensemble » dans la même pratique, ont raté l’épreuve !

Se priver d’une expression énergétique, par exemple ne pas avoir d’enfant, est une autocensure, une diminution des potentialités et cela n’a rien de glorieux. Nous sommes terriens, nous devons utiliser chaque potentiel au meilleur de ses possibilités. C’est ce que l’on appelle la « maîtrise »…au cas où certains voudraient se vanter sans en avoir vraiment les moyens. Léviter n’est pas ce que l’on nous demande, le but de l’existence est l’Harmonisation du Corps, de l’Esprit avec la transcendance spirituelle, l’éclairage de l’Intelligence Divine qui réside en soi, la partie évoluée et non-encastrable dans la linéarité du quotidien. Cette intelligence est « reseau », fluidité, légèreté et entraide. J’attends toujours d’en voir les effets!

Réagir n’est pas ma tasse de thé mais on dirait que le monde n’est pas prêt de changer à voir les habitudes sexistes perdurer…Y-a-t-il de vraies femmes modernes quelque part ? Allô ? Lila

issu du site : http://www.lilaluz.net/

Publié dans:ACCORD, ESPRITS, GUERISON, HUMANITE |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »
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