Archive pour la catégorie 'ESPRITS'

Des êtres invisibles autour de nous

1954-tnPartout, dans les mondes de l’invisible, la plupart des êtres que vous rencontrez sont moins puissants que les humains.

Certains d’entre eux arrivent cependant à influencer les choix importants des humains en influençant leurs pensés et leurs émotions. Ils y arrivent grâce au fait que les humains ne savent pas que ces entités existent !

Mais ne croyez pas que les mondes de l’invisible soient hostiles à l’humain, loin de là !

Parmi ces êtres invisibles, il existe des élémentaux, qui sont un peu l’équivalent des animaux mais en invisible. Ils vivent très proches de la nature. Il existe aussi de nombreuses races E.T. de quasi toutes les planètes et surtout de toutes les dimensions possibles et imaginables. Ils n’ont jamais été aussi nombreux sur Terre Gaïa ! Ils viennent ici pour participer à l’une des plus grandes Alliances que cette Humanité n’aie jamais connu.

Il est en effet VITAL pour toute la création que l’espèce humaine ne s’autodétruise pas !

En effet, le corps des êtres humains est un maillon essentiel de la création qui doit et va jouer un rôle capital dans l’éveil de l’Humanité. Les corps des futurs humains vont servir de passerelles pour réunifier toute la création. En effet, les Humains ont cette faculté fabuleuse de pouvoir connecter des êtres qui ont une Conscience très élevée et d’amener ces messages dans les mondes où il y a moins de Conscience.

Ainsi l’homme va muter et va devenir vraiment Humain, de gré ou de force…

Ceux qui acceptent qu’ils aient besoin d’être guéris et acceptent au moins en théorie de vivre dans une culture qui sera quasi exactement à l’opposé des cultures dites patriarcales pourront rester sur Terre Gaïa. Les autres devront partir dans des hôpitaux en dehors de cet espace-temps car il faudra remplacer leur âme par leur âme originelle. Une âme doit être remplacée lorsqu’elle met en danger toute son espèce et qu’elle n’en est même pas Consciente ! Cela me semble être une Loi tout à fait Juste, pas vous ? C’est le cas de pas mal de gens dans cette Humanité vu qu’on vit dans un système qui sacrifie l’existence même des générations futures pour le confort de ceux qui s’appellent eux-mêmes les « adultes ». Mais ne vous inquiétez pas, tout va très bien, personne ne sera puni et chaque âme sera traitée comme un enfant Divin !

Nous vivons dans une espèce de programme de simulation de jeu vidéo interactif qui est fait justement pour jauger les âmes et voir jusqu’à quel point elles sont prêtes à « se remettre au boulot » en servant l’intérêt de l’évolution, donc de l’Amour éternel.

Ce n’est que lorsqu’on a passé cette épreuve, que l’on peut retrouver ses pouvoirs Divins. Et c’est grâce à ce stratagème, qu’il n’y a pas de dualité dans la création et que les mondes Divins sont vraiment Divins ! J’aime aussi le concept que notre réalité est une sorte de camp de vacances pour les divinités qui sont fatiguées de faire tout le temps des choix. On commence à devenir divin à partir du moment où on fait des choix !

Pour être précis ce sont les « formes pensées » issues de l’astral qui sont le grand défi des humains.

Ce sont chez les formes pensées que vous trouverez la cause de toutes les injustices et leurs remèdes !
La plupart des gens ne veulent pas voir ces jeux de force, car il leur fait peur.

En fait cela fait peur aux entités qui les influencent, car elles ont peur d’être démasquées et c’est cette peur-là que leur âme ressent !

On les appelle les « formes pensées » car ce sont des formes qui ont été pensées par les humains ! Ce sont les hommes et les femmes qui créent les formes pensées et qui ensuite les nourrissent !

Tous les futurs humains sont attachés aux formes pensées au travers de leur corps astral ! Certains en ont à l’intérieur d’eux, la quasi-totalité à l’extérieur de leur corps physique. On les appelle des formes car elles ne sont que formes sans autre identité que celle que les hommes projettent en elles ! Ce n’est qu’une image qui agit en réaction à la Lumière !

 

Extrait de Claude Traks sur www.claudetraks.com

Claude Traks est également l’auteur des ouvrages :
• A la Recherche du message des Dauphins, publié aux Éditions CommuniCare
• Dernières pièces du puzzle – Objectif 2012 : La mission spirituelle de l’Europe et de la France,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Les Mensonges de la Bible, du Coran et de la Torah, publié aux Éditions CommuniCare
• Lettre au président Sarkozy et au nouvel ordre mondial de la part du monde des fées, des anges et des dragon,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Pour se libérer de la matrice, publié aux Éditions CommuniCare

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, PENSEE |on 21 août, 2015 |Pas de commentaires »

L’effet de l’esprit sur le corps

Le secret de cette empreinte biologique serait niché au cœur de nos cellules, là où les effets du stress perturbent l’organisme en s’attaquant à l’ADN. Ce pouvoir étrange de l’esprit sur le corps, la biologiste australo-américaine Elizabeth Blackburn, prix Nobel de médecine 2009, et Elissa Epel, psychiatre à l’université de Californie, l’ont montré en 2004 en comparant l’ADN de mères d’enfants en bonne santé à celui de mères d’enfants atteints d’une maladie grave et chronique, comme l’autisme ou un handicap moteur et cérébral. Eh bien, chez ces dernières, soumises au stress psychologique chronique, l’ADN présente des signes de vieillissement précoce… Comme s’il était « rongé » par l’angoisse.

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Plus précisément, c’est l’extrémité des chromosomes qui est atteinte. En effet, au cœur des cellules, l’ADN est condensé sous forme de chromosomes, à l’extrémité desquels se trouvent des « capuchons » appelés télomères qui les protègent de l’érosion au fil des divisions cellulaires. Cependant, ils raccourcissent progressivement au fur et à mesure que la cellule vieillit. Or, chez ces mères angoissées, les télomères sont anormalement courts, reflétant un vieillissement accéléré de 9 à 17 ans ! « Nous observons ainsi un lien direct entre les émotions et ce qui se passe dans la cellule, précise Elissa Epel. Et nous avons aussi constaté que lorsque le niveau de stress diminue la longueur des télomères augmente ! » Comment le stress pourrait-il raccourcir les télomères ? « On ne comprend pas encore le mécanisme, reconnaît Elizabeth Blackburn. Nous cherchons du côté des interactions entre le cortisol, l’hormone du stress, dont le taux élevé est associé à une réduction de l’activité de la télomérase, la molécule chargée de l’entretien des télomères. »

Fixés aux extrémités de chaque chromosome, les télomères raccourcissent progressivement au fil de l’âge. Mais un stress chronique peut les réduire de manière anormale, jusqu’à accélérer le vieillissement cellulaire de plusieurs années.

Un résultat fascinant

Les changements de méthylation temporaires sont visibles sur l’hippocampe d’un rat soumis à un stress important. A dr., les groupements méthyles, en noir, sur les gènes des neurones, ont disparu.
Mais ce n’est pas tout. Car non content de s’attaquer aux télomères, l’état de stress inscrit sa marque directement sur nos gènes, modifiant de façon ciblée et durable certains de nos comportements. Cette action relève d’un phénomène biologique dont l’importance se dévoile de plus en plus aujourd’hui : l’épigénétique, terme désignant les modifications chimiques qui affectent l’ADN, autres que les mutations qui touchent la structure même de la molécule. Ces modifications épigénétiques sont comme de petites « étiquettes » – des groupements méthyles – qui indiquent à la machinerie cellulaire quels gènes elle doit utiliser ou, au contraire, ignorer. A la clé ? La méthylation empêche physiquement l’expression des gènes en se plaçant sur l’ADN (voir infographie).

Or, les biologistes constatent que stress et traumatismes psychiques entraînent des erreurs d’étiquetage épigénétique dans la zone cérébrale qui gère les émotions, l’hippocampe… Une équipe menée par Michael Meaney, à l’université McGill (Canada), l’a montré en 2004 en comparant le cerveau de bébés rats cajolés par leur mère à ceux de ratons délaissés. Le délaissement induit des modifications épigénétiques qui bloquent le gène utilisé pour produire le récepteur aux corticoïdes dans l’hippocampe. Or, ce récepteur contrôle la réponse au stress en réduisant le taux sanguin de cortisol, l’hormone libérée en cas de stress. En clair, les rats délaissés possèdent moins de récepteurs au cortisol, et sont alors moins armés pour faire face au stress. Perpétuellement angoissés, ils souffrent de troubles de la mémoire et d’un comportement dépressif. Même à l’âge adulte, le moindre dérangement prend chez eux des proportions alarmantes…

Ces deux souris Agouti sont dotées d’un gène de la couleur du pelage identique. Selon le degré de méthylation de ce gène, lié au stress, l’une est jaune, avec même une susceptibilité à l’obésité, et l’autre brune et sans problème de santé.

Ce fascinant résultat peut-il être extrapolé à l’homme ? Oui, répondent les mêmes chercheurs qui, en mars 2009, ont publié les résultats de l’analyse du cerveau de personnes décédées par suicide, certaines ayant été victimes de sévices sexuels dans l’enfance, d’autres non. Chez celles ayant subi des abus, le gène du récepteur aux corticoïdes est bloqué par une méthylation de l’ADN des neurones… de l’hippocampe, tout comme chez les rats abandonnés. «Ces personnes ont donc naturellement un taux de cortisol élevé, ce qui est souvent associé à un état dépressif majeur », explique Moshe Szyf, l’un des auteurs de l’étude. Ainsi, en affectant les gènes qui permettent de lutter contre les tensions, les traumatismes précoces altèrent durablement la capacité à surmonter les difficultés, favorisant le risque suicidaire.

Depuis deux ans, les études qui confirment le rôle de l’environnement et du vécu dans l’apparition des troubles mentaux se multiplient. En 2008, des chercheurs canadiens du Centre de l’addiction et de la santé mentale, à Toronto, ont comparé le cerveau de personnes atteintes de schizophrénie ou de troubles bipolaires à celui de témoins. Chez les premières, 40 gènes présentaient une méthylation anormale. Or, ces gènes s’avèrent pour la plupart impliqués dans le développement cérébral ou la transmission des messages entre les neurones.

Certes, les scientifiques sont encore loin de pouvoir faire la part du biologique dans les maladies psychiatriques. Mais certaines données sont troublantes : c’est parfois en remontant très loin dans l’histoire d’un individu, avant sa naissance, que l’on trouve la « source » de la maladie. Ainsi, en 2008 également, une étude danoise menée sur 1,38 million de femmes a montré que le fait d’être confronté à la maladie ou au décès d’un proche juste avant ou pendant la grossesse augmente de 67 % le risque de schizophrénie chez l’enfant à naître. En outre, lorsqu’une femme est dépressive ou anxieuse pendant sa grossesse, le bébé a tendance à présenter un marquage épigénétique anormal sur le gène du récepteur aux corticoïdes. Avec pour conséquence un nourrisson au taux de cortisol élevé, très sensible au stress. La preuve que nos gènes gardent la cicatrice des événements vécus avant même la naissance ! 

« Je pense que la plupart des maladies chroniques comme l’asthme, le cancer, le diabète, l’obésité et des maladies neurologiques (autisme, troubles bipolaires, schizophrénie) résultent en partie d’une mauvaise régulation épigénétique lors des premiers stades de développement », estime Randy Jirtle, directeur du laboratoire d’épigénétique à la Duke University, aux Etats-Unis. Alors que le génome d’un individu reste très stable au cours de sa vie, l’ensemble des marques épigénétique qui régulent l’expression des gènes – son « épigénome » – varie constamment, en réaction aux variations extérieures… Et c’est justement son rôle : « L’épigénome est une interface entre nos gènes, qui sont statiques, et notre environnement, variable », explique Randy Jirtle. Ainsi, la « partition »génétique reste la même, mais son interprétation peut varier au cours de la vie, en fonction de son marquage épigénétique.

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Des empreintes positives

Mais alors, si le marquage épigénétique est dynamique, serait-il réversible ? L’expérience de chercheurs de l’université Rockefeller, à New York, le laisse penser. Ils ont réussi en novembre 2009 à « annuler » les effets épigénétiques causés par le stress dans le cerveau de souriceaux, en leur donnant… du Prozac, un anti-dépresseur. Mieux, la trichostatine A, un médicament proche du valproate, utilisé pour réguler les troubles de l’humeur dans certaines psychoses, a permis de supprimer le marquage épigénétique anormal et de corriger le comportement de rats adultes ayant été négligés par leur mère à la naissance.

En outre, les émotions positives peuvent heureusement, elles aussi, laisser leur empreinte. En 2008, des travaux menés au Massachusetts General Hospital ont montré que huit semaines de relaxation suffisaient à modifier l’expression de plusieurs centaines de gènes, selon un profil totalement opposé à celui induit par le stress. Par ailleurs, une nouvelle étude menée à l’université de Saarland, à Hambourg, vient de montrer que l’activité physique ralentit le raccourcissement des télomères dans les globules blancs. De son côté, Elissa Epel lance une étude pour étudier les effets de la méditation sur la longueur des télomères.

« En fait, le message de l’épigénétique est optimiste. Ses empreintes peuvent être inversées, et nous cherchons maintenant à utiliser des médicaments agissant sur ce marquage pour soigner les maladies mentales », explique Moshe Szyf. Il y a aussi des chances pour que le soutien social et psychologique suffise à corriger le marquage épigénétique chez les personnes à risque ». Ainsi, contrairement à ce qu’affirmaient les scientifiques dans les années 1990, nous ne sommes pas uniquement le produit de nos gènes. Nos expériences, nos émotions, nos actions façonnent l’expression de ces gènes en permanence. Avec la certitude que rien n’est irrémédiable.

Extrait de Marine Corniou pour Source-Ressources et Science et Vie  www.source-ressource.com

Publié dans:ADN, ESPRITS |on 17 août, 2015 |1 Commentaire »

LES SIGNES DE L’AU-DELA

 

L’au-delà nous envoie des signes que les personnes sensibles et observatrices ne manquent pas de constater : coïncidences troublantes, objets déplacés, rêves, apparitions et même des courriels. On a relaté des cas de messages téléphoniques paraissant émaner de personnes décédées. Lorsque le destinataire cherche à rappeler son correspondant, il s’aperçoit que ce numéro n’existe pas.

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Mais voici un témoignage :

« Henri et Claudine, la cinquantaine, sont frère et sœur. Tous deux divorcés, ils vivent avec leur mère. Au cours du printemps de l’année 1999, celle-ci est prise de quintes de toux qui persistent malgré plusieurs traitements. On décide de la foire examiner en milieu hospitalier. Une radiographie pulmonaire met en évidence de nombreuses taches dont les biopsies révèlent un caractère malin. La mère ne vivra encore que quelques semaines.

Environ un an s’est écoulé. Henri rentre à son domicile après sa journée de travail. Son attention est attirée par un palmier dans leur propriété … Le voilà parfaitement taillé. Il se fait cette ré­flexion : « Tiens, Claudine ne m’a rien dit . . . » À son retour, sa sœur lui apprend qu’elle n’a donné aucune consigne à leur jardinier. Le lendemain Henri obtient le jardinier au téléphone et lui dit : « Nous ne comprenons pas, car ni ma sœur ni moi-même ne VOUS avons demandé de tailler notre palmier. .. » l’homme marque un temps d’hésitation puis répond : « votre mère m’en a donné l’ordre par téléphone monsieur ! » « Ma mère ? . . . Mais maman est décédée depuis un an -’ »

Interdit, l’interlocuteur ne voulut même pas être réglé pour son travail ».

Il arrive que des couples particulièrement unis restent en contact la mort de l’un d’eux. Parfois ils se promettent de se donner des signes de part et d’autre de la frontière. Ce sont généralement des sensations de déplacement d’air, de légers bruissements, des craquements et même des apparitions furtives . La communication s’opère alors au-delà des paroles .

Quelque chose passe sans être dit, mais l’information est claire. Ainsi, Marcel un homme au caractère bien trempé se manifesta auprès de sa compagne Suzanne pour lui dire que tout allait bien, qu’il aidait les âmes nouvellement arrivées à opérer le passage vers la lumière et que cela lui prenait beaucoup de temps et d’énergie.

Marcel confia également qu’il lui était difficile de se manifester à eux, car cela nécessitait beaucoup d’efforts. Ce type de message est assez fréquemment chez les êtres qui se sont beaucoup aimés au sein d’une belle complicité d’âme.

SOURCE : Dossier entités Répercussions médicales et spirituelles de Serge Fitz aux éditions SERVRANX 

Publié dans:ESPRITS, La MORT, MULTIDIMENSIONNALITE |on 13 août, 2015 |1 Commentaire »

QU’EST-CE QU’UNE ENTITE

 

téléchargementUne entité est un être désincarné en difficulté de passage dans les stades de la roue de l’existence karmique. Privé de son corps physique, il n’a pas conscience de son nouvel état. Il parle et n’est pas entendu. Il passe à travers les murs.

Sa présence peut s’avérer effrayante. De ce fait, il erre désespéré dans un monde qui n’est plus le sien. Malgré cela ne voyant pas d’autres issues, il cherche par tous les moyens à se raccrocher au monde qu’il a connu. Pour ce faire, il y puise des énergies en squattant des demeures et des personnes.

Il se sert parfois des énergies modernes celles que le téléphone ou la télévision ou encore la photo pour se manifester. L’entité se trouve dans une situation bloquée pour lui et bloquante pour les autres. Cette situation est donc préjudiciable pour les vivants et les morts. Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise entité.

Il s’agit d’âmes en difficulté qu’il est possible d’aider en leur ouvrant un chemin vers leur bonne destination. Une fois libérée, l’entité peut se réincarner rapidement ou rester dans l’au-delà pour des raisons personnelles : pour attendre un proche ou bien pour se livrer à un travail d’aide des nouveaux arrivants dans le monde invisible.

En cette matière, de nouvelles perceptions voient le jour qui modifient l’approche globale de ce sujet en ouvrant la porte vers d’autres possibilités.

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS |on 12 août, 2015 |Pas de commentaires »

États élargis de conscience

Entretien avec le Dr Olivier Chambon :

 

Le Dr. Olivier Chambon, médecin psychiatre, expose les éléments qui démontrent aujourd’hui que la conscience est indépendante du cerveau et qu’elle survit à la mort physique. Il évoque notamment les cas d’expériences de mort imminente, le chamanisme, et d’autres phénomènes qui élargissent notre conscience et permettent de l’ouvrir à d’autres réalités.

 

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Publié dans:ESPRITS, VIDEOS à voir |on 4 août, 2015 |Pas de commentaires »

La Révolution de l’Esprit

(Documentaire)

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Quelle est l’influence du psychisme sur le corps ?

Que peut-on espérer des guérisseurs et énergéticiens pour vaincre la maladie ?

Quel est le regard de la communauté scientifique sur ce type de guérisons ?

Face à ces nombreuses interrogations, des médecins, des guérisseurs et des énergéticiens reconnus, ainsi que leurs patients, apportent leurs témoignages.

 

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Ce documentaire nous parle de la puissance et du pouvoir de notre esprit (Quelle est l’influence de nos pensées sur notre corps ?), des maladies (D’où vient la maladie ?) ainsi que le pouvoir de la méditation, des médecines alternatives et holistiques (Que peut-on espérer des guérisseurs et énergéticiens pour vaincre la maladie ?) au travers le témoignages de médecins, de guérisseurs et d’énergéticiens reconnus (Quel est le regard de la communauté scientifique sur ce type de guérisons ?).

« Il faut savoir qui nous sommes. Si je crois que je suis un être de matière avec un cerveau gauche seulement qui fonctionne, j’ai une vie limitée. Si je m’ouvre, je comprend mon corps physique, mon corps émotionnel et mental, je m’ouvre au spiritisme, j’entre dans une vie de plus en plus joyeuse, agréable, et c’est ça le but, qu’on créé une humanité consciente libérée de toutes les folies et de tous dogmes du passé. » Tal Schaller

Publié dans:ESPRITS, VIDEOS à voir |on 30 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

Visiter les frontières de la mort rendrait-il plus vivant

 

Rencontre avec le Dr Jean-Jacques Charbonier

L’existence de la vie après la mort a toujours soulevé de grands questionnements depuis la nuit des temps. Est-ce qu’une partie de nous survit après la mort du corps physique? Voilà un mystère qui semblait insoluble il y a à peine quelques années de cela, mais qui commence aujourd’hui à trouver des réponses fort intéressantes.

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La science se penche de plus en plus sur cette question, entre autres par les recherches faites sur les expériences de mort imminente (EMI). L’un des fervents défenseurs de la thèse de la survie de la conscience après la mort du corps physique est le Dr Jean-Jacques Charbonier, auteur de plusieurs livres, dont Les 7 bonnes raisons de croire à l’au-delà et Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie.

 

Dr Charbonier, vous êtes aujourd’hui médecin, anesthésiste-réanimateur.

Vous vous destiniez pourtant à une carrière de médecin généraliste. Qu’est-ce qui vous a conduit vers cette spécialisation? 

Le rôle du médecin généraliste m’apparaissait être la meilleure façon d’être en contact avec les gens. En allant les retrouver dans leur habitation, je pouvais prendre en compte tous leurs problèmes familiaux. J’ai vécu une expérience durant une garde d’aide médicale en urgence qui m’a complètement bouleversé. Ce jour-là, sur les lieux d’un accident, il m’a fallu entrer dans la carcasse déformée d’une voiture par un trou qu’on avait découpé sur le toit. Je devais perfuser le jeune homme avant de pouvoir le sortir de la voiture. Du fait de mon inexpérience et de mon émotion, je n’y suis pas parvenu. C’était la première fois que je voyais mourir quelqu’un sous mes yeux en me sentant responsable de sa mort. 

J’ai vu sa pupille se dilater et j’ai senti une étincelle de vie qui s’échappait de son regard. Ici, les mots me  manquent pour traduire mon ressenti. Dans ma chair, au plus profond de moi, j’ai senti qu’une « présence » quittait son corps par le haut de son crâne. Cette présence était vivante, joyeuse. Ça peut paraître bizarre de dire que c’était vivant et joyeux, mais c’était pourtant ça. J’ai alors compris que nous sommes un esprit habitant un corps jusqu’au moment de la mort et que, lorsque la mort survient, cet esprit se libère. Je me suis souvenu du livre qu’avait écrit Raymond Moody, La vie après la vie, et j’ai su que je devais faire des recherches sur ce phénomène. En pratiquant la réanimation, je comprendrais mieux ce que vivent les gens dans le coma. J’ai donc choisi de devenir anesthésiste-réanimateur.

 

Qu’est-ce que cette prise de conscience a changé dans votre vie professionnelle? 

Avant cette expérience, j’étais complètement intoxiqué par mes études de médecine qui m’avaient fortement orienté vers le dogme matérialiste, concevant l’être humain comme une sorte de robot biologique et le médecin comme un réparateur de robot. En fin de compte, on se fout pas mal du conducteur, de l’esprit qui habite le corps, alors que c’est la façon de piloter le véhicule terrestre qui est la plus importante. Le cancer peut être considéré comme un voyant rouge qui s’allume pour nous dire que quelque chose ne va pas. Mais nous, en bons réparateurs de robots, on ne s’occupe que du voyant rouge! On va tenter de l’éteindre par la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie. On ne doit pas s’étonner de voir ensuite un autre voyant rouge surgir. On n’a fait que supprimer sa conséquence organique sans traiter la cause initiale qui appartient au domaine de l’esprit. 

L’autre défaut de la médecine pratiquée en Occident est  de déshumaniser la relation médecin /malade en créant une distance, alors qu’il faut considérer l’être vivant dans sa globalité sans toutefois « infantiliser » ce rapport soignant-soigné. 

Mes recherches sur les EMI m’ont démontré que nous sommes avant tout un esprit dans un corps et qu’il faut aussi, et peut-être même surtout, s’occuper de l’esprit. En ce qui me concerne, je m’adresse à l’esprit. Notamment, je parle à la personne dans le coma comme si elle pouvait m’entendre. Je lui donne de l’amour. Je la touche. Je dis aux familles de lui envoyer des pensées d’amour. Même par télépathie, ça peut fonctionner. Nous avons eu des retours de comateux qui nous l’ont prouvé. 

Votre vie personnelle a-t-elle été transformée aussi? 

Oui. Je suis maintenant beaucoup plus tourné vers les valeurs humaines que les valeurs matérielles. Je suis plus heureux parce que je suis plus tolérant vis-à-vis des autres. J’ai développé l’envie de communiquer par l’écriture, les conférences et les ateliers, choses que je n’avais jamais pensé faire. Et je n’ai plus peur de la mort du tout. Comme ma propre mort ne me fait pas peur, celle de mes patients ne m’effraie plus. Je peux donc mieux les accompagner. Je ne vois plus la mort comme un échec, mais comme une étape fondamentale de la vie, aussi importante que la naissance. Ce n’est pas triste du tout. Ce qui est triste, c’est la séparation qu’elle engendre. Nous pleurons sur nous-mêmes, sur la relation avec l’autre qui ne pourra jamais plus  être la même. Si les gens pouvaient se libérer de cette peur de la mort, ils seraient davantage dans l’amour, tournés vers les autres. On aurait une société complètement différente, plus orientée vers l’amour et la spiritualité. 

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Comment définiriez-vous la conscience? 

C’est un des plus grands mystères de l’humanité, bien plus important que l’astronomie, car la conscience est en nous. La seule façon pour moi de l’expliquer est forcément réductrice, mais je crois que nous avons deux sortes de conscience : une conscience analytique et une conscience intuitive. La conscience analytique est reliée à nos cinq sens; elle nous situe dans le temps et l’espace en favorisant notre réflexion : « Je suis moi parce que je suis ici maintenant… » Dès que la conscience analytique s’éteint, soit au moment de la mort clinique, du coma, du sommeil physiologique, lors de périodes de méditation, d’expansion de conscience, de stress intenses ou d’efforts physiques, une autre forme de conscience émerge reliée à toutes nos perceptions extrasensorielles. C’est ce que j’appelle la conscience intuitive qui nous permet de communiquer avec d’autres champs de conscience tels que la Conscience Divine, la conscience artistique, la conscience des défunts ou l’inspiration. 

L’intuition, la prémonition et toutes ces facultés extrasensorielles y compris la télépathie et la médiumnité seraient secondaires au fonctionnement de cette conscience intuitive. Le problème, c’est de faire taire la conscience analytique pour que nous puissions être reliés à notre conscience intuitive. 

Y avons-nous tous accès? 

Oui, à condition de pouvoir faire taire la conscience analytique qui fait un bruit aussi assourdissant que constant. Pour certains, c’est impossible, car ils sont complètement fermés à ce genre de démarche. Ils ont le potentiel de le faire, mais pas forcément la volonté d’y accéder. 

Comment abordez-vous le sujet de la mort avec vos patients?

Que dire à une maman qui vient de perdre son enfant? Je crois que la seule façon, c’est d’être là, dans la  compassion, et d’écouter sa colère, son déni. Ces émotions font partie des étapes normales du deuil d’un être cher et, parfois, elles sont vécues très violemment. Il m’est arrivé d’être attaqué physiquement lorsque j’ai  annoncé qu’un enfant venait de mourir. Je comprends cette violence. C’est une façon d’extérioriser son chagrin. J’essaie de faire cette annonce le plus calmement possible, mais le traumatisme est inévitable. Je reste avec eux et j’écoute leurs cris, leurs douleurs. C’est difficile, je ne m’y ferai jamais. Je n’ai pas de solution miracle à cette souffrance. Mais il est essentiel d’être là, simplement, en tant qu’être humain pour partager cet évènement terrible. 

Selon vous, le moment de notre mort fait-il partie de notre plan de vie ou est-il aléatoire? 

Je crois que le moment de notre mort fait partie d’un plan de vie bien établi pour chacun de nous. Nous avons aujourd’hui accès à des outils de réanimation de plus en plus puissants pour faire reculer l’échéance. Mais ce recul fait aussi partie du plan de vie de la personne. Pourquoi une personne va-t-elle vivre avec un rein greffé et mourir ensuite au bout de dix ans? Parce que ça faisait partie de son plan de vie, compte tenu de l’évolution de la technologie actuelle. Je crois que mon travail fait aussi partie du plan de vie de la personne, comme tous les soignants et les médecins. 

Pour vous, la réanimation peut-elle être vue comme une forme d’acharnement? 

Tout dépend du contexte… Ce sera de l’acharnement pour une personne en phase terminale d’une longue maladie, mais pas pour un jeune sportif victime d’un arrêt cardiaque. Autrefois, on ne faisait pas de massage cardiaque. Le coeur s’arrêtait et on faisait le constat du décès. Je crois que nous devons mettre à la disposition des gens tous les moyens possibles pour continuer le voyage terrestre. Mais l’acharnement ne s’arrête pas au massage cardiaque, il peut être subtil tel que l’acharnement affectif. Il arrive que des gens refusent de laisser partir un proche en fin de vie et l’empêchent ainsi de quitter leur corps. Une femme était venue me voir, désespérée, parce que son père n’arrivait pas à « partir » alors qu’on ne faisait presque plus rien sur le plan de sa réanimation. 

Je lui ai dit : « Vous devriez faire comprendre à votre père que vous l’autorisez à partir pour qu’il puisse se libérer.

» Elle a quitté mon bureau et elle est revenue très vite vers moi. Alors que je croyais l’avoir choquée par mes propos, elle m’a dit : « J’ai fait exactement ce que vous m’avez dit et papa est parti dans les 15 minutes. » C’était donc elle qui retenait son père alors qu’il n’attendait qu’une chose pour passer dans la lumière : l’autorisation de sa fille! Les personnes en fin de vie ont de la difficulté à partir parce qu’elles sentent qu’on les retient de ce côté terrestre par une forme d’égoïsme affectif. 

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Vous venez de publier un nouveau livre, Les trois clés pour vaincre les épreuves de la vie. Quel est son principal message?

 En montrant la façon dont fonctionne la conscience, on peut facilement comprendre comment se comporter face aux expériences qui nous semblent les plus cruelles et qui nous font néanmoins grandir. C’est plutôt choquant ce que je vais dire, mais j’ai déjà rencontré des gens qui m’ont dit : « J’ai perdu mon enfant et ça été une chance. » Il faut assurément avoir fait un sacré travail sur soi avant de raisonner ainsi, mais cette expérience terrible peut aussi ouvrir un chemin sur le monde spirituel. Je suis convaincu que dans nos plans de vie toutes nos épreuves sont là pour nous faire grandir. Je veux donc expliquer la façon dont on peut se connecter au champ des consciences par notre conscience intuitive pour parvenir à vaincre toutes ces épreuves. 

Que signifie être pleinement vivant, pour vous? 

Être pleinement vivant, c’est être dans cette forme d’amour inconditionnel dont nous parlent les gens qui ont vécu des EMI. Je n’arrive jamais à être à ce niveau d’amour inconditionnel. Je m’en suis approché quelques fois bien sûr, mais ce n’est jamais comme ils me le décrivent. Malheureusement, je pense qu’on ne sera pleinement vivant qu’au moment de notre mort. D’ici là, on peut donner de l’amour aux  autres… Ce n’est que comme ça que l’on peut se sentir pleinement vivant, existant, et surtout utile.

  • Source : Magazine Vivre de juillet 2013
Publié dans:ESPRITS, La MORT |on 14 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

Vidéo-Conférence : NDE de TECKAEL

Que se passe t-il après la mort Teckaël ?

 

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Vidéo du JEUDI 09 JUILLET 2015 à 20 H 30. Mis en ligne Enzo Venturatéléchargement (1)

Si vous avez des questions, rejoignez le Forum de Teckaël ici : http://spiritualite.forum2discussion.com/

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L’Expérience de Lucifer

 

ob_ef73a2_jfkjOui, il existe de nombreuses conceptions erronées du règne angélique. Parlons en particulier de l’une d’elles que nous aimons, parce que nous trouvons que les humains ont des conceptions tellement merveilleuses. Il est, pour nous, tellement intéressant de nous voir à travers vos yeux. Nous espérons que vous pouvez en faire de même et apprendre à vous voir à travers nos yeux. En nous regardant mutuellement de cette façon, nous pouvons évoluer et croître ensemble. En nous voyant à travers vos yeux, nous apprenons à être meilleurs dans ce que nous faisons, nous apprenons comment atteindre le mieux possible la nouvelle humanité. Vous avancez si vite en ce moment. C’est presque comme essayer d’attraper une cible volante. La conception erronée dont nous parlons concerne l’expérience de Lucifer. Nous allons vous expliquer cet événement sous un angle différent.

L’humanité est profondément plongée dans la polarité; vous êtes venus pour travailler avec la conscience de la polarité. Vous êtes venus pour travailler avec les idées contraires du style haut et bas, gauche et droite, juste ou faux, amour et peur. Vous ne voyez les choses que lorsqu’elles sont en totale opposition, et vous avez tendance à aller dans cette direction. Cependant, vous n’êtes plus pour longtemps dans ce domaine, parce que vous sortez actuellement du champ de la dualité pour passer dans le champ de la trialité (Puissance 9).

Dans la trialité, toutes ces façons de voir vont maintenant s’équilibrer grâce à un lien renforcé avec le Soi supérieur. C’est lui qui constitue la trialité dont nous parlons et il est tout-à-fait magique d’observer comme toute l’humanité change sa façon de vivre son quotidien. C’est tout-à-fait intéressant à voir, mais c’est aussi, pour vous, parfois difficile de passer par là. Mais vous agissez bien. C’est vous qui aiderez les autres. Au début, il était très important que les humains comprennent et voient le Ciel et la Source comme un reflet de la Terre. C’est pourquoi vous avez tendance à attribuer des caractéristiques humaines à l’autre côté du voile. C’est d’ailleurs la raison pour laquelle les Archanges portent des noms.

N’est-il pas intéressant qu’ils portent uniquement des noms terrestres ? Ils ne portent des noms terrestres que dans le règne qui s’occupe de la Terre. De toute manière, vous ne comprendriez pas leurs autres noms, donc faites-nous confiance.

A l’origine, pour vous donner l’illusion – dans votre champ de polarité – il nous a fallu prétendre jouer le jeu de la polarité au ciel. L’un des anges les plus grands s’est avancé et a dit : « Je vais jouer ce rôle qui consiste à être dans l’opposition. » Vous ne saurez jamais combien ce rôle s’est avéré difficile. Vous ne saurez jamais l’amour véritable qu’il a fallu pour jouer ce rôle. C’est cela, Lucifer. Il s’est levé et a accompli une mission incroyable, celle de jouer le rôle du méchant au ciel. Quelle expérience magnifique, qui vous a donné quelque chose à quoi vous référer lorsque vous tentiez de vous rappeler la Source. C’est ce qui a été accompli. Par-dessus tout, vous avez compris le concept du ciel à ce moment, du fait qu’il y avait de la polarité. Vous avez pu voir la polarité, et vous avez compris la Source pour la première fois. Ce fut là le cadeau d’un ange appelé Lucifer.

Très chers, Lucifer, c’est la Source. Lucifer a fait son travail et il est de retour, et c’est l’un des anges les plus grands qui aient jamais existé. Il est de retour à la Source maintenant, parce que les humains n’ont plus besoin du drame de la conscience de polarité. Les humains n’ont plus besoin d’une entité diabolique pour les motiver à suivre le chemin de la lumière. Vous êtes bien plus évolués que cela, maintenant.

Sachez que vous avez encore la polarité. Vous avez quotidiennement affaire à elle. Vous êtes nombreux à avoir des clients qui sont englués dans des situations ou des croyances bipolaires, dont ils n’arrivent pas à se débarrasser. Ce que nous essayons de vous dire, c’est que si vous comprenez que tout ceci se fonde sur la confiance de l’âme, c’est ce qui marche. C’est ainsi que se réalise votre potentiel. C’est le cadeau de Lucifer. Le fait qu’il lui ait été permis de jouer ce rôle, puis de revenir ensuite dans la famille et de participer à tout ce processus fut absolument incroyable, non seulement pour lui, mais pour vous aussi car cela a représenté pour vous un cadeau que vous n’auriez pas pu recevoir autrement. Vous voilà donc en train d’avancer avec ce petit quelque chose qui manque au dedans de vous.

Cherchez autant que vous voudrez, il y a toujours un petit quelque chose, lorsque vous vous regardez dans le miroir, qui vous fait dire : qui est-ce ? Qu’est-ce que je fais là ? Oû est-ce que je vais ? Que suis-je censé être ? Vous vous posez toutes ces questions afin de connaître votre destination. Comprenez d’abord le voyage, car c’est là la vérité sur votre chemin. La destination n’est que la conclusion du voyage. Vous n’arriverez pas à destination avant de revenir à la Source.

Nous ne vous demandons pas de vivre votre vie entière dans l’attente de retourner à la Source. Ce serait un bien triste voyage, parce qu’il y a tant de beauté sur votre chemin. Il y a tant de choses que vous commencez à appréhender et à comprendre sur vous-mêmes, où vous allez et ce que vous pouvez faire. Il est enthousiasmant de vous voir réaliser votre potentiel. Il y a maintenant tant de choses que vous commencez à comprendre à propos de la lumière dans l’obscurité. Votre obscurité n’a toujours été qu’un manque. Votre obscurité a toujours été un secret, une sorte de vide qui attire toute l’énergie ambiante et l’absorbe dans un gouffre que vous avez créé avec vos peurs. A présent, vous commencez à passer dans le champ de la trialité – en particulier ceux d’entre vous qui reçoivent ce message, car il y a quelques rares élus qui mènent le jeu vibratoirement et qui apportent cette énergie au reste de l’humanité.

Le Groupe par Steve Rother retranscrit par Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ANGES, ESPRITS, HUMANITE |on 7 juillet, 2015 |1 Commentaire »

La solitude n’a rien à voir avec l’isolement

 

Beaucoup d’entre nous, en quête de sens et de repères entament une démarche spirituelle. La croyance inoculée depuis des siècles que les réponses se trouvent à l’extérieur de soi, peut inciter à enchaîner les stages et séminaires les uns derrière les autres, sans se laisser le temps d’intégrer les enseignements et de les passer aux tamis de l’expérimentation en les utilisant dans la vie quotidienne.

Cette course au savoir, fait oublier que c’est dans la solitude que l’esprit se déploie librement. C’est en se tournant vers l’intérieur de soi, que nous pouvons découvrir notre pierre philosophale. Trouver le chemin qui mène à cette pierre originelle spécifique à chacune  ne peut se faire que dans le recueillement et la solitude, loin du tumulte.
 
Un processus de transmutation que les alchimistes condensaient dans le mot initiatique VITRIOL : Visita Interiora Terrae Rectificandoque Invenies Occultum Lapidem, qui se traduit par Visite l’intérieur de la Terre et en rectifiant tu trouveras la pierre cachée ou occulte. Une invitation claire à l’introspection qui indique : Descends au plus profond de toi-même et trouve le noyau insécable, sur lequel tu pourras bâtir une autre personnalité, un homme nouveau.
 
« La solitude, c’est un pont entre le monde visible et le monde invisible » Jacqueline Kelen  
 
Une solitude que je vous invite à envisager, non pas comme un isolement attristant, mais comme une pleine solitude pourvoyeuse de liberté, de légèreté et de verticalité, qui ouvre la porte de tous les possibles, en visionnant cet entretien de  Jacqueline Kelen pour RACINES.

Jacqueline Kelen et la pleine solitude

http://www.dailymotion.com/video/xbbbti

L’esprit de solitude

* L’auteure téléchargement
Après avoir produit des émissions à France Culture pendant une vingtaine d’années, Jacqueline Kelen a publié depuis 1982, une trentaine d’ouvrages. Plume atypique, elle consacre la plupart de ses livres et de ses séminaires au déchiffrement des mythes de la tradition occidentale et à l’étude de la voie mystique.

* Quelques morceaux choisis du livre

« On demandait à Diogène qui est riche parmi les hommes et il répondit aussitôt : « Celui qui se suffit à lui-même ». Au IVe siècle avant l’ère chrétienne, ce philosophe cynique allait pieds nus, vêtu d’un seul manteau, ne possédant que sa liberté et son verbe haut. Ayant réduit au minimum ses besoins et ses désirs, il avait élu domicile dans un étrange tonneau et décida même de se passer d’un gobelet le jour où il vit un petit garçon boire dans ses mains. Diogène ne vivait cependant pas loin des hommes mais, installé à Athènes ou Corinthe, il haranguait les passants, parlait avec des amis choisis, interpellait le grand Alexandre. Avant lui, Socrate qui supportait le froid et la faim mais pouvait également banqueter et boire jusqu’au matin déclarait : « S’il est un homme qui se suffit à lui-même pour être heureux, c’est bien le sage, et il est celui de tous les hommes qui a le moins besoin d’autrui ». Épicure, qui pose le plaisir comme but essentiel de l’humaine existence dans laquelle les dieux n’interviennent pas, insiste pareillement sur « l’autosuffisance comme un grand bien non pour satisfaire à une obsession gratuite de frugalité, mais pour que le minimum, au cas où la profusion ferait défaut, nous satisfasse ». Illustrant une autre tendance philosophique, le stoïcien Épictète conseille : « Va te promener seul, converse avec toi-même ». Ces divers préceptes de la sagesse grecque représentent moins une apologie du dénuement qu’une recherche de la liberté totale. Ils invitent chacun à dépendre le moins possible des circonstances extérieures et à s’ancrer en soi-même. C’est une façon aussi de savourer la vie présente, sans se plaindre et sans être suspendu à l’avenir : la frugalité par exemple n’est pas une privation, elle permet d’apprécier les choses simples et la qualité plutôt que la quantité. Et, dans ces diverses écoles philosophiques, les hommes savent alterner les temps de retraite et de conversation ; pour eux la solitude n’est pas misanthropie et la compagnie des autres n’est pas fuite de soi. »

« La solitude est un cadeau royal que nous repoussons parce qu’en cet état nous nous découvrons infiniment libres et que la liberté est ce à quoi nous sommes le moins prêts.
Solitaire je suis. Depuis toujours et plus que jamais. La solitude est ce qui me fait tenir debout, avancer, créer. C’est une terre sans limites et ensoleillée, une citadelle offerte à tous les vents mais inexpugnable. C’est la seule part d’héritage que je défends âprement, part d’ermitage qui est tout et qui est moi.
Solitaire, donc, quoique bien entourée et riche d’amitiés. Solitaire comme un défi à la banalité, comme un refus de se résigner. Solitaire pour continuer à m’aventurer, pour honorer la précarité humaine et ne pas démériter de l’Esprit. »
 
« Lorsqu’on va seul dans la vie, ce n’est pas qu’on soit méchant ou délaissé : c’est que le monde entier vous sourit et offre du sens. Lorsqu’on vit seul, ce n’est pas manque de chance ni absence d’amour : c’est que justement jamais on ne se sent seul, que chaque instant déborde de possibles floraisons.

Pour devenir soi et devenir quelque peu libre, il faut lâcher le recours permanent à l’autre, au regard de l’autre. Marcher seul. Refuser l’aide autant que l’apitoiement et la flatterie. La voie solitaire n’engage pas nécessairement à un combat héroïque, elle invite d’abord à la rencontre avec soi-même, à la découverte de cet être qui n’est pas seulement un produit de la société, de la famille, de l’histoire ou de la génétique. Et ici, le précepte du temple de Delphes, invoqué par Socrate, prend toute son ampleur : « Connais-toi toi-même, et tu connaîtras l’univers et les dieux ». Son équivalent se trouve dans la mystique de l’islam, avec ce hadith : « Celui qui se connaît, connaît son Seigneur ». Car il ne s’agit pas d’une introspection, d’une analyse psychologique, mais d’un éveil au Moi céleste, au Moi transcendant qui échappe à toute contingence, à tout conditionnement, à la mort même, et se rencontre dans la solitude, le silence, tout au fond ou plutôt au sommet de la profondeur. »
 
« Il y a en chacun de vous une solitude qui est ce que vous avez de plus précieux. Une solitude inaliélable, magnifique, qui est la solitude de l’esprit. » C’est sur ces mots que Jacqueline Kelen termine son ouvrage. L’esprit de Solitude 

 

Publié dans:ESPRITS, HUMANITE, VIDEOS à voir |on 30 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Une rencontre insolite en voyage astral

 

images (5)Le voyage astral que j’ai fait cette nuit ne fut pas désagréable. 
Je me suis retrouvée cette fois de l’autre côté du miroir entourée d’entités diverses évoluant dans l’astral moyen. C’est dans ces sphères variées que viennent se promener, se divertir, se reposer, aider ou apprendre l’une ou l’autre leçon de vie de nombreuses personnes dédoublées pendant leur sommeil. Mais bien sûr, la plupart ne se souviendront pas nécessairement de leurs aventures astrales à leur réveil.

Une haute bâtisse qui ressemblait fort à une gare ferroviaire moderne accueillit mes pas légers. Parmi les personnes qui déambulaient avec nonchalance dans la salle d’accueil principale, un homme un peu bizarre captura mon attention. Mal rasé, mal fagoté, vêtu de guenilles trop larges pour lui, son piètre accoutrement détonnait parmi la foule anonyme. C’était l’image d’Epinal parfaite du clochard qui erre sous les ponts de Paris… D’emblée, il me parut pourtant sympathique, allez donc savoir pourquoi. Peut-être est-ce parce qu’il dégageait malgré tout un rayonnement positif. Nous fûmes donc attirés naturellement l’un vers l’autre et je n’hésitai pas à me diriger vers lui pour lui demander ce qu’il faisait dans la vie sur terre.

Sa situation n’était pas brillante. Il vivait même des moments pénibles suite à la perte de son emploi et à l’abandon subséquent de tous ses proches. Selon ses propres termes, il avait perdu tout son pognon et par extension jusqu’au goût de vivre. Il souhaitait désormais ne plus retourner sur cette terre maudite qui l’avait mené droit à la déchéance physique et morale. 

Malheureux, sans l’espoir d’un avenir meilleur, il voulait en finir au plus vite. Sa position dégradante actuelle, par rapport à la grande vie qu’il avait mené auparavant, lui étant devenue insupportable. Il s’était pourtant beaucoup investi tout au long de sa vie professionnelle mais la confiance naïve qui l’avait toujours guidé lui avait joué des tours et avait fini par le ruiner. Son univers cossu et tranquille, bâti à coup d’efforts et de sueur, s’était donc effondré. Et cela, il ne l’avait pas prévu…

De fil en aiguille, j’appris qu’il connaissait assez bien l’informatique. Je lui demandai dès lors pourquoi ne pas essayer de retrouver un emploi dans ce domaine. Ca lui permettrait de relever la tête et même s’il devait repartir à zéro, c’était toujours mieux ça que la vie de vagabond qu’il menait à présent.  Mais il n’en avait plus ni la force ni l’envie. Il était las de sa vie d’avant, de la bureaucratie et de tout ce qui tourne autour. Son ultime désir eût été de se rendre utile aux autres. Mais qui accepterait l’aide d’un pauvre clochard comme lui ?

Une idée aussi lumineuse que soudaine me vint à l’esprit. Je lui en fis part.

- Si vous maîtrisez si bien l’ordinateur, pourquoi ne pas associer ce savoir à l’aide que vous pourriez apporter aux autres? lui fis-je.

Il me toisa un instant, songeur et perplexe.

– A quoi pensez-vous ? me demanda-t-il encore incertain quant à sa réponse.

– J’ai une idée, lui dis-je.

Cette idée m’était venue car je le sentais fort réceptif avec son aura qui tirait vers le haut comme les vrais médiums.

- Pourquoi ne pas utiliser vos dons naturels pour aider les gens, lui dis-je. Je pense par exemple à l’astrologie. Vous pourriez vous procurer un logiciel astrologique et, avec l’aide des astres les conseiller et les aider à trouver leur voie. Votre intuition et vos dons de perception, qui me semblent évidents, pourraient certainement vous servir .

Son visage s’illumina enfin quelque peu. Le tilt était fait. Mon idée lui plaisait. Nous continuâmes à la développer. 
Je pris un bout de papier qui traînait dans ma poche et lui écrivis mon adresse e-mail. On ne sait jamais, me disais-je. Si d’aventure il désirait me retrouver ici-bas, il saurait où me joindre. 

- Mais que voulez-vous que j’en fasse? me lança-t-il un peu étonné. Je ne vais tout de même pas emporter ce papier avec moi lorsque je retournerai à ma vie d’en bas ! Je ne me souviendrai peut-être même plus de notre conversation. Du reste, j’ai un peu trop forcé sur la bouteille ce soir et je n’ai pas toute ma tête à moi …

Je n’avais pas pensé à cela.

- Ecoutez dis-je, concentrons-nous fortement. Ainsi, au réveil, même si vous ne vous souvenez plus de rien, subsistera peut-être au moins le désir inconscient de réaliser ce projet. Je demanderai à mes Guides de vous aider. Je suis sûre qu’ils vous soutiendront. Ils sont tout amour vous savez …
Il acquiesça. 

Une dame avait rejoint notre conversation. Elle était, elle aussi, très rayonnante et semblait curieuse de nous connaître. 
Nous discutâmes donc tous les trois un bon moment avant qu’elle ne se dirige vers un escalator qui menait au premier étage de la gare. 

- C’est étrange tout de même de voir des escalators dans l’Astral, ne trouvez-vous pas? fis-je à la dame.
– Oh, vous savez on voit tellement de choses étranges par ici. On retrouve un peu partout le double des choses. Même parfois des choses très anciennes, oubliées du monde des vivants. Les gens aiment tellement conserver leurs habitudes. Mais il existe aussi des mondes plus abstraits. Y avez-vous déjà été?

- Non, lui dis-je.

- Si vous voulez, je vais vous y emmener. Vous verrez, c’est fort différent d’ici.

J’aurais bien suivi la gentille dame mais je sentais que l’énergie commençait à me manquer et que j’allais devoir bientôt « redescendre », tout comme mon ami de passage le clochard.

Nous dûmes donc nous séparer. Ce ne fut pas facile : je me rendais compte à quel point cet homme pouvait être facilement récupéré et ça m’ennuyait de devoir le perdre de vue. Il suffisait d’un petit coup de pouce du destin pour le remettre sur le droit chemin, j’en étais sûre. J’aurais voulu dialoguer encore avec lui, le pousser à agir, connaître la suite de son histoire. Au fond, c’était un pauvre bougre pas méchant pour un sou. Il était même sensible et attachant…
Cette rencontre fortuite avait été bien chaleureuse. Dommage que notre au revoir ait le goût un peu amer d’un adieu définitif.

Je me dirigeai vers un jeune couple qui devait faire partie de mes amis astraux. Je les pris chacun par un bras et les embrassai amicalement. Que d’amour ressenti dans nos effusions, que d’amour… c’était sublime. J’embrassai une dernière fois mon ami. Il ne dégageait aucune odeur désagréable. Au contraire, il sentait plutôt bon. Je me souvenais qu’aux urgences des l’hôpitaux où j’avais travaillé j’évitais toujours les clochards. Leurs odeurs m’incommodaient réellement car j’ai le nez sensible. Mais ici, tout est différent : il y a d’autres parfums, d’autres couleurs, d’autres sons même.

Je me réveillai les membres un peu engourdis. 
Au matin, mon mari m’enjoignit à prendre note de cette aventure sympathique vécue pendant mon sommeil…

source : http://www.francelecture.net/espacepriya

Publié dans:AME, DEVELOPPEMENT, ESPRITS |on 16 juin, 2015 |Pas de commentaires »

L’Ordre des Exorcistes

 

téléchargementL’exorcisme est l’action par laquelle on condamne, on adjure, on abandonne, on fait prêter serment. Dans la religion, c’est la fonction qui consiste à expulser les forces mauvaises ou les démons ayant pris possession d’un être. L’ordination à l’Exorcisme vise le corps causal. Elle favorise la volonté et donne à l’âme le contrôle le plus complet sur les véhicules inférieurs. Les apôtres reçurent le pouvoir d’exorciser de Jésus-Christ lui-même. Le Baptême est considéré comme un exorcisme ordinaire parce qu’il purifie la personne qui le reçoit.

Ignorés dans l’Ancien Testament, les récits en sont assez fréquents dans le Nouveau Testament. Ils sont relatés lors des guérisons effectuées par Jésus-Christ. Les évangiles mentionnent plusieurs cas d’exorcismes décrits dans les écritures (Marc 1, 23-26 ; 5, 1-15 ; 7, 25-30 ; Luc 13, 11-13 ; Matthieu 12, 22 ; 9, 32-33 ; 17, 14-18).

Le terme de guérison est approprié même si l’on ne distingue pas les cas de maladies ou de possessions parmi ces dernières. Après la résurrection de Jésus, les apôtres savent qu’ils détiennent également la possibilité ou « pouvoir » de guérir en chassant les démons des êtres humains. Ils savent néanmoins que ce « pouvoir » n’a rien de magique mais qu’il est conditionné par le jeûne et la prière.

L’ordination à l’exorcisme se déroule le Samedi des Quatre Temps, après la troisième leçon. Comme pour le Portier et le Lecteur, si le jour ne figure pas au Canon de l’Eglise, la cérémonie aura lieu immédiatement après l’ordination des Lecteurs.

L’évêque prononce ces quelques paroles aux candidats :

« Vous devez connaître le pouvoir que vous recevez. Il vous appartiendra de chasser les démons, de dire aux non-communiants de se retirer, et de préparer l’eau pour le Saint Mystère. Vous recevez aujourd’hui le pouvoir d’apposer les mains aux fidèles, d’y joindre les paroles des exorcismes et la Grâce du Saint Esprit et de chasser ainsi les esprits immondes des corps des possédés. Pour pratiquer l’exorcisme sans vous exposer vous-même aux attaques du démon, vous devez veiller à purifier votre corps et votre esprit de toute souillure. Apprenez à vaincre vos propres passions afin de n’avoir aucune faiblesse que puissent utiliser les forces du mal ».

L’évêque présente à chaque candidat le livre des Exorcismes, le Pontifical, le Missel ou le Rituel qu’ils touchent successivement de la main droite.

« Recevez, dit l’officiant, ce livre et gravez-en les paroles dans votre mémoire. Ayez le pouvoir d’apposer les mains sur les énergumènes, baptisés ou catéchumènes ». « Ainsi donc, dit l’évêque, en ces nouvelles fonctions où vous êtes appelés, efforcez-vous avec zèle de vous vaincre vous-même afin d’aider plus efficacement votre prochain à acquérir une domination semblable sur sa faiblesse ».

Après avoir remis aux candidats une épée et un livre, il ajoute :

« Prenez cette épée comme le symbole de la volonté et ce livre comme le symbole de la connaissance. Grâce à eux, vous serez plus fort dans les luttes de l’esprit ».

Aujourd’hui ces rituels sont pratiqués par les Prêtres qui doivent avoir une autorisation de l’Eglise. Les autres actions afférentes aux exorcistes de jadis sont également tombées en désuétude. Autrefois les tentations étaient toutes considérées comme l’œuvre du démon, mais aujourd’hui, nous sommes conscients qu’elles sont en nous à l’état latent et qu’il nous faut lutter contre leurs émergences.

Dès lors que nous progressons sur la voie spirituelle, nos instincts et nos mauvaises habitudes tentent de refaire surface pour nous éloigner de l’idéal de perfection que nous recherchons. Pour y échapper, nous devons faire des efforts constants et assidus. Ayant vaincus nous-mêmes nos passions, nous serons mieux armés pour aider notre prochain dans ce combat contre les forces du mal. Si un individu laisse son corps et son âme se faire harceler par de mauvaises choses il ne peut prétendre aider son prochain. Seul un corps et un cœur purs peuvent lui venir en secours.

source : http://chevalerietemplieretraditionnelle.fr/

Publié dans:ESPRITS, POUVOIR |on 14 juin, 2015 |Pas de commentaires »

La discipline de l’esprit

Prenez conscience de vos pensées

Preparation

Depuis le début de cette démarche, nous avons mis plusieurs moyens à votre disposition, dont un très important qui est la discipline du cœur et de l’esprit. Toutefois, plusieurs se demandent encore comment appliquer la discipline de l’esprit. Pourtant nous vous l’avons dit à maintes reprises.

Laissez-moi vous le rappeler encore une fois : C’est en prenant conscience de vos pensées que vous réussirez. Et cette prise de conscience doit se faire rapidement. Dans l’instant présent, dans la seconde même où ces pensées, ces mots, ces images intérieures se présentent. Pas lorsque cela fait déjà une heure, une journée que vous êtes dans le même marasme intérieur à tourner en rond dans des énergies d’insatisfaction et d’inconfort. La vigilance dans l’instant présent est la clé de la réussite. C’est seulement en étant dans l’instant présent que vous pouvez écouter ce qui se dit en vous. Votre ego parle sans arrêt et maintient votre mental inférieur occupé avec des milliers de pensées à l’heure.

Faites un temps d’arrêt sur vos pensées

Alors prenez plusieurs petits moments dans la journée où vous faites un temps d’arrêt des pensées. Au début, une minute suffit. Et durant cette minute, notez intérieurement ce qui se passe. Peut-être remarquerez-vous que votre mental est très actif. Et après quelques secondes, je ne serai pas surpris qu’il s’inquiète à savoir comment il saura que cela fait bien une minute. Ne le laissez pas vous déstabiliser, restez simplement à l’écoute de ce qui se dit en dedans. Au début vous n’entendrez pas grand-chose parce que ce murmure est bien enfoui dans votre inconscient. Il est aussi possible que vous ressentiez des inconforts dans votre corps ou que vous ayez des pensées de jugement ou de critique comme : C’est stupide ce que tu es en train de faire. (Jugement de l’ego) Tu n’y arriveras pas. (Encore un autre jugement de l’ego). Vous réaliserez vite que votre ego produit des pensées déstabilisantes et démotivantes beaucoup plus souvent que vous ne croyez, d’où l’importance d’être conscient dans l’instant présent.

Le meilleur moment pour prendre conscience de ce flot de pensées est lorsque vous faites une activité automatique, comme laver la vaisselle, faire le ménage, préparer un repas, jardiner. Car lorsque vous faites quelque chose d’habituel, les pensées ont la vie belle, elles profitent de ce temps pour se manifester. Écoutez-les, à chaque jour, prenez le temps de vous arrêter et d’écouter ce que vous manifestez à l’intérieur de vous. Et lorsque vous vous assoyez pour méditer ne vous battez pas contre vos pensées. Écoutez-les puis laissez-les glisser comme un morceau de bois sur une rivière. Par la pensée suivez le morceau de bois jusqu’à ce qu’il disparaisse et bientôt une autre pensée se présentera et encore une autre. Laissez-les passer sans vous y attarder, ne cherchez pas à savoir pourquoi cette pensée se présente ni ce qu’elle signifie. Plus vous leur donnez de l’importance plus elles résistent, Alors lorsque vous méditez ou faites une activité automatique n’accordez aucune importance à ces pensées. Elles sont puis elles ne sont plus. Elles viennent puis elles disparaissent. Cet exercice de la prise de conscience des pensées dans l’instant présent est essentiel pour manifester une guérison profonde à tous les niveaux de votre être, aussi bien conscient qu’inconscient.

Et comme autre activité mentale je vous suggère de vous imaginer dans la lumière durant la journée. Faites le souvent et spontanément. Et plus vous le ferez, plus souvent vous y penserez. Vous pouvez le faire 100 fois par jour simplement en manifestant l’intention de vous envelopper de lumière. Vous n’avez pas besoin de grands scénarios, vous dites simplement : Je m’enveloppe de lumière. Et l’espace d’un instant, d’une fraction de seconde vous vous imaginez dans cette lumière. C’est aussi simple que cela, puis vous continuez vos activités quotidiennes. Vous pouvez le faire lorsque vous travaillez à votre ordinateur, lorsque vous faites le ménage, lorsque vous êtes en train de manger, dans le métro ou l’autobus. Vous pouvez le faire n’importe où, n’importe quand et le plus souvent est le mieux. Deux petits exercices faciles, supers simples mais qui demandent une discipline car la répétition est essentielle pour obtenir un résultat. Si vous le faites une fois par-ci par-là ou pendant une semaine seulement puis oubliez. Ou si vous vous trouvez 56 milles raisons pour ne pas poursuivre, demandez-vous : Qui trouve ces raisons ? N’est ce pas votre mental inférieur encore une fois ? Alors allez de l’avant et disciplinez-vous. Si vous êtes ici aujourd’hui c’est parce que vous avez cette discipline du cœur et de l’esprit, alors utilisez-la dans les mois qui viendront pour stabiliser vos énergies afin que nous puissions amorcer cette prochaine étape de guérison des mémoires cellulaires matérielles dans votre corps.

Laissez passer les pensées disharmonieuses

En ce faisant vous aurez une longueur d’avance car votre esprit conscient pourra déceler les pensées disharmonieuses et les laisser passer rapidement sans s’y attarder. Et si vous vous enveloppez souvent de lumière, instinctivement, dans les moments difficiles, votre esprit pensera lumière. Et comme vous le savez, la lumière chasse l’ombre et les pensées sombres. Alors si vous appliquez les enseignements que maître Jésus vous a donnés ce matin ainsi que ces petits moyens bien matériels que je vous propose ; je suis certain de vous revoir en pleine santé physique spirituelle au printemps. Ce qui sera un grand bond en avant pour votre esprit, votre cœur et votre corps à la fois. Ne rêvez-vous pas tous de vivre le calme intérieur, la sérénité de l’âme ? Ne rêvez-vous pas de manifester la joie d’être ? Oui n’est-ce pas ? Alors osez mettre en pratique ce qui vous est enseigné et cela de façon régulière, continue, car la constance dans l’esprit est le seul et unique moyen d’y arriver.

Le futur des ateliers est en changement, en mouvement. Nous hésitons encore à vous en parler parce que beaucoup de mouvements se produisent dans l’énergie de la planète et dans l’énergie des personnes qui sont appelées à venir à ces ateliers. Très bientôt ces changements se seront stabilisés et alors nous pourrons vous annoncer de belles nouvelles pour le devenir. En attendant rester centrés sur la tâche de vous aimer dans cette expérience, de ne pas vous juger et d’accepter ce que la vie vous offre.

Merci d’être là aujourd’hui, merci de faire ce travail sur vous-mêmes, merci pour l’humanité entière, merci pour la vie divine qui coule en vous, en nous, en tous les êtres vivants.

Merci, merci, de faire grandir votre lumière.

Message du Maître Sérapis Bey par
Louise Racette et Mariette Robidas
lors d’un atelier « Être la Présence Je suis« 
qu’elles ont animé.

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net - Téléchargement libre de l’article, en .pdf

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ESPRITS, PENSEE |on 4 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Elévation de la flamme de l’Ame vers l’Esprit

 

ReincarnationS’il y a une petite étincelle d’Amour en vous, comment cette petite flamme va-t-elle pouvoir s’augmenter ? En soufflant dessus.

Du carburant il y en a, mais vous savez bien comment on allume le feu : il faut souffler dessus, mais intelligemment, pas trop fort sinon on l’éteint. Il faut arriver à intensifier votre flamme, à l’augmenter, à la faire résonner, le fait de souffler sur l’âme est un acte mental, un acte élaboré. On est intelligent et on apporte de l’oxygène au feu, on augmente les oxydations par un acte de décision.

On apporte quelque chose de nouveau qui fait que l’âme augmente le feu de la rencontre. Petit à petit, les matières de base se réchauffent et la flamme monte, c’est naturel. Vous soufflez à l’horizontal et la flamme monte. Elle monte vers l’esprit, c’est automatique. Et quand le feu est très allumé, vous voyez que spontanément il monte. Il y a un courant qui monte. C’est à ce moment-là qu’il faut continuer à être intelligent. Si la flamme monte, c’est qu’elle s’élève vers l’esprit, vers la chaleur et la qualité de l’Univers interne. Puisqu’il y a quelque chose qui monte, c’est évidemment le moment de ramener le reste du combustible, votre corps.

Une erreur que font beaucoup de gens quand la flamme est allumée, c’est de décoller complètement et de s’envoler avec la flamme. Avez-vous vu des petites flammes comme cela au-dessus d’un briquer ? Elles s’envolent et n’ont plus de contact avec le gaz et finalement elles disparaissent. Il en est de même pour votre amour qui est devenu si léger, si inconséquent, qu’il n’a plus de carburant et la flamme meurt.

Vous voyez que la flamme peut mourir des deux côté. Soit on l’engloutit trop en dessous, soit on la fait décoller. Après avoir soufflé sur la flamme, c’est à dire après avoir fait résonner votre âme pour amplifier le feu, il faut continuer à l’alimenter en amenant du carburant. Quand le feu est allumé, il peut vraiment brûler et nettoyer beaucoup de choses. Il peut tout brûler. Tous les carburants sont bons à condition qu’ils ne sentent pas trop mauvais et ne dégagent pas des vapeurs nauséabondes ou nocives.

C’est à ce moment-là seulement que votre action mentale va permettre d’illuminer et d’allumer d’autres systèmes d’énergie, d’autres systèmes de carburant. Si vous voulez continuer à alimenter votre feu, il y aura des centaines et des centaines de figures à transférer qui vont se muter, qui vont se purifier en lumière, à condition que vous ayez un mental qui organise sans cesse l’alimentation de ce feu.

Vous pouvez recopier ce texte à la condition d’en indiquer la source  : http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:AME, ESPRITS |on 20 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Le Schizophrène est un esprit évolué

 

schizophrenieEtre schizophrène, c’est être prisonnier d’un réseau de communication avec le monde invisible, qui n’est pas structuré ni organisé de façon cohérente. 

Le schizophrène est un esprit évolué, mais il est perturbé par l’utilisation anarchique et involontaire de ses facultés sensorielles, supérieures aux organes qui génèrent les cinq sens, c’est-à-dire les facultés propres à son âme. 

En conséquence, celui qui est pourvu de ce type de réseau s’en trouve très malheureux parce qu’il ne sait pas comment agir pour faire taire certains correspondants ou pour en appeler d’autres. Rester dans cet état peut en effet conduire la personne atteinte de ce dérèglement médiumnique à vivre des situations très désagréables. 

Les esprits de toutes catégories se manifestent à elle parce qu’ils cherchent toujours un canal pour s’exprimer. Cela est surtout vrai pour les esprits des fréquences inférieures. 

Le schizophrène a donc de fortes chances d’entendre plutôt ces esprits, parce qu’ils sont très proches de la terre et s’amusent comme ils le peuvent. Cependant, ils ne sont pas conscients pour certains, du mal qu’ils font en agissant ainsi. Ils échappent tous à la hiérarchie spirituelle, et se livrent aux pires excès qui vont parfois jusqu’à manipuler un être faible en le conduisant jusqu’au suicide. 

Les possibilités de guérison du schizophrène ne passent pas par l’absorption massive de médicaments chimiques écrasant l’esprit et transformant le soi-disant malade en une véritable légume afin d’anéantir ses perceptions, comme on aimerait nous le faire croire. Il faut au contraire lui expliquer ce qui se passe réellement et l’aider à gérer tout le désordre auquel il est confronté. Il faut que la personne soit sensibilisée à ses réelles possibilités de guérison si elle arrive à contrôler ces voix qui l’obsèdent, et qui pour la plupart lui font peur. Il faut que toute personne atteinte par ce problème ne soit plus en situation de faiblesse. 

Bien au contraire, le schizophrène est un être spirituellement très évolué, qui peut et qui doit s’opposer avec une grande autorité à ces esprits invisibles qui le perturbent, en leur imposant le silence et le respect. 

On peut se demander pourquoi certains esprits évolués sont désignés comme étant schizophrènes et d’autres ne le sont pas. C’est une grande interrogation, mais nous pouvons tenter d’y répondre. 

Les êtres qui sont sensibles aux voix et aux manifestations du bas astral sont des esprits prisonniers d’un douloureux passé spiritual, qui les amis dans une situation de vulnérabilité excessive. Ils ont vécu la peur dans une vie antérieure.Ils ont été placés dans les pires situations qu’un être normalement constitué ne pouvait supporter. Presque toujours, ils ont subi des sévices physiques et moraux et sont devenus des esclaves de l’esprit humain. C’est-à-dire qu’ils ont subi la domination outrageante d’êtres ignobles et sans scrupule. Ces esprit sont été affaiblis par ces expériences de vie, mais ils ont également développé de grandes facultés de résistance et de communication avec le seul être susceptible de les comprendre et les aider : je parle de leur guide spirituel ou de leur ange gardien. 

Ces expériences douloureuses les ont suivis, et les suivront jusqu’au terme de leurs multiples vies. Cependant, il faut comprendre qu’un schizophrène est souvent à la fin de sa vie spirituelle, c’est à dire de ses multiples vies  lorsque de telles souffrances se manifestent. Il est toujours fragile et se met sans en être conscient, sous la tutelle de l’autorité la plus négative du monde invisible. 

Il est plus facile d’en sortir lorsque la personne atteinte n’est pas schizophrène. Et pour cause, elle n’en perçoit que la pensée et reste donc moins facile à atteindre. Celui qui perçoit la voix de façon très claire est beaucoup plus vulnérable, parce qu’il croit se retrouver dans la situation de soumission précédemment décrite, dont le souvenir est inscrit dans la mémoire de son âme. 

Le processus de guérison est donc simple et complexe à la fois. Il passera toujours par l’écoute et par la compréhension du possédé, pare qu’il s’agit en l’occurrence d’une véritable possession. Elle n’est surtout pas à prendre à la légère bien sûr, même si les cas sont divers et ne présentent pas tous les mêmes symptômes, mais le fond du problème ou la cause est identique. 

C’est la raison pour laquelle le traitement passe obligatoirement par une compréhension objective, traduite dans les moindres détails à la personne qui souffre. C’est la seule possibilité qui s’offre à elle de se sentir soutenue et renforcée dans son propre combat intérieur qui consiste à éliminer les voix perturbatrices, et à se débarrasser définitivement des intrus qui s’emparent de façon intempestives de son esprit. L’être soumis à de telles agressions ne peut résister très longtemps, surtout si le traitement qui lui est proposé est exclusivement chimique. 

Le traitement psychiatrique doit passer par la compréhension spirituelle des manifestations. Elles ne proviennent pas du cerveau comme le pensent es médecins mais se produisent au contraire par le processus d’écoute télépathique ou clairaudient du corps éthérique. Il faut donc que le traitement soit approprié à celui qui est la cause du désordre, et non  celui qui ne l’est pas. 

Les schizophrènes sont des êtres merveilleux d’amour et lumineux dans toute leur splendeur. Ils doivent lutter eux-mêmes contre les esprits sombres qui le réduisent à l’état d’esclaves et savoir qu’en agissant avec la foi d’être vainqueurs, ils s’en débarrasseront définitivement sans aucun secours thérapeutique médicamenteux.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:ESPRITS, GUERISON, MALADIE |on 9 mai, 2015 |8 Commentaires »

Les phénomènes dits « inexpliqués » peuvent être expliqués

 

Dans certaines maisons, il se passe des phénomènes physiques sans cause apparente ; des objets qui se déplacent tout seuls, des bruits insolites, des fantômes qui apparaissent … Les scientifiques, particulièrement avertis de ces faits paranormaux les ont désignés par le vocabulaire « Poltergeist » dérivé du « Gest » (esprit, fantômes) et de « Poltern » (faire du bruit).

 Michelle Lhorence pour Spectral NewsLa vaisselle est projetée et brisée, les draps violemment arrachés, des lits qui sont renversés, les portes et les fenêtres ouvertes et refermées, les sonnettes bruyamment actionnées même en cas de coupure des fils électriques. Il arrive que des pierres soient jetées, décrivant une trajectoire anormale qui atteint un point tout à fait précis comme si  une main invisible les y avait menées.

Les bruts perçus vont du craquement au vacarme assourdissant et peuvent évoquer la chute d’un meuble ou d’une pièce de vaisselle, la fermeture d’une porte ou d’une fenêtre, un trainement de chaînes, une scie coupant du bois, des pas furtifs mêmes. Il arrive que des témoins entendent ou croient entendre des murmures, des gémissements, des sanglots, des voix humaines, des chants, des concerts musicaux. Car, suivant que ces bruits sont objectifs ou subjectifs, leur production est liée ou non à une cause physique, mécanique.

Les fantômes apparaissent toujours semble-t-il sous une forme humaine, loin d’être spectrale et de revêtir un linceul blanc, ils portent un costume du temps où ils vivaient et se présentent sous un aspect si réel qu’on les croirait vivants. Certaines fois, ils sont encore distinctement aperçus malgré leur transparence ou ne sont plus que des ombres humaines. Souvent, ils s’évanouissent sur place, en vapeur. Ou ils marchent ou ils glissent, comme suspendus en l’air.

Ils se manifestent généralement pendant plusieurs années, à intervalles longs, par intermittence ou à date fixe, sinon pendant quelques mois ou quelques jours seulement. Les précède souvent la sensation d ‘une présence qui saisit le percipient amené à se tourner vers le lieu d’apparition.

Un souffle glacé émane des esprits s’ils s’approchent et, s’ils tentent d’entrer en contact avec les vivants par la parole et par les gestes, c’est en vain car ceux-ci ne peuvent ni les entendre ni les comprendre. On peut enfin citer, parmi d’autres phénomènes anormaux, des lueurs diffuses, des sensations de froid glacial, de poids ou de pression sur quelques parties du corps, des contacts désagréables, des odeurs nauséabondes ou, au contraire des parfums subtils de fleurs.

La plupart des hantises ont une cause objective, elles sont accompagnées de faits matériels indubitables. Quant aux autres, beaucoup de spirits considèrent qu’elles révèlent la présence dans la maison d’un défunt revenu témoigner de sa survivance. Comment ?

Selon eux, l’homme serait formé de trois éléments : le corps physique qui, après sa mort, se décompose et retourne au monde matériel ; l’âme ou l’esprit, source de la conscience, de l’intelligence et de la volonté, qui est immortel ; le périsprit ou corps spirituel   , vital et énergétique, participant du fluide universel et dont la constitution se situe à mi-chemin entre la matière proprement dite et l’esprit.

Lien entre le corps et l’esprit, le périsprit  est fait à l’image du premier et lié à son apparence. C’est pourquoi, l’aura    , qui est la vision obtenue du périsprit   , porte la trace des souffrances de la chair. A la mort de celle-ci, il l’abandonne pour lui survivre plus ou moins longtemps, servant d’enveloppe et d’instrument à l’esprit. Le périsprit est de plus en plus fluidifié, jusqu’à disparaitre à mesure que l’âme ou l’esprit progresse vers la pureté dans le cours des vies successives. C’est donc par son intermédiaire que le défunt se manifesterait physiquement.

Les phénomènes recensés dans les maisons hantées ne feraient que produire son inquiétude ou son repentir qu’un interrogatoire aimable et patient sur ce qui l’agite finit par apaiser. Se conformer à sa demande entraîne généralement la fin de son expression.

Certains spirits cependant nient que le périsprit se matérialise de son propre mouvement. Ils voient dans les hantises la transmission par des âmes en errance, d’impulsions télépathiques que des médiums  rendent perceptibles par transfert d’énergie vitale.

On sait que, au nom du rationalisme, la science officielle réfute globalement les phénomènes qualifiés de « paranormaux » et pourtant, tout esprit de système mis à part, que penser de la lévitation ? de l’action à distance sur les objets ? de la prémonition ou divination ? assez couramment attestés de ces brusques impressions de déjà vécu, des réminiscences intemporelles qu’on assimile à des hallucinations ?

Considérons l’ampleur de nos potentialités qu’il reste à découvrir, développer, expliquer, car l’histoire enseigne que ce qui est tenu pour faux aujourd’hui encore, sera peut-être reconnu demain. Or, le savoir en permanente gestation ne progresse qu’à la faveur de l’examen, certes critique, des témoignages et des expériences.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/  

Qui sont les porte-parole des esprits

 

566j5pozLe  monde serait un endroit plus ennuyeux si nous avions tous le même type de personnalité et le même niveau de capacité. Tel qu’il est toutefois nous sommes confrontés chaque jour à l’évidence des différences énormes qui nous distinguent.

L’observateur curieux du genre humain reconnaitra facilement de nombreux types de personnalité ; l’impulsif et le prudent, le visionnaire et le pragmatique, le gai et le triste. Les différences individuelles sont tout aussi remarquables dans le domaine des facultés. Un enfant se sortira laborieusement et maladroitement d’un « exercice très facile pour ses petits doigts » alors qu’un autre exécutera prestement Mozart ou Prokofiev. Une personne résoudra le plus difficile des mots croisés pour se distraire, alors qu’une autre sera incapable d’établir le rapprochement entre le miaulement et un animal dont le nom s’écrit en quatre lettres. Un génie des mathématiques sera nul, face à une situation politique, alors qu’un politicien chevronné commettra gaffe sur gaffe lorsqu’il sera confronté à une information statistique.

Les parapsychologues recherchent toujours des individus dotés de pouvoirs exceptionnels. On nomme de telles personnes des « sensitifs ». Tandis que nombre d’entre nous ont ce qui semble être un flash occasionnel de télépathie, de précognition ou de psychogénèse, le sensitif lui, possède ces facultés à un niveau plus puissant et plus uniforme.  Alors que maintes études parapsychologiques enquêtent sur les facultés Psi des gens ordinaires, ce sont les sensitifs qui offrent le plus de possibilités à la recherche intensive.

Cependant, certains des phénomènes les plus intéressants dans le domaine des preuves de la survie, ce sont des sujets qui semblent posséder des facultés exceptionnelles en recevant des communications de l’autre monde.

La question de savoir où le Psi se termine et où le contact avec les morts commence est un des problèmes majeurs auxquels nous serons confrontés. Ce que les parapsychologues modernes ont appris des facultés psi peut nous aider à comprendre certains des phénomènes, mais pas tous….

Une fois de l’autre côté, comment notre chercheur communiquerait-il ses découvertes ? Là est la vraie question.

On présente l’après-vie comme une sphère de spiritualité élevée. Toutefois, ce qui passe pour être une communication avec des défunts n’est en général qu’une version abrégée de la communication humaine sur la terre. La plus simple explication… La survie est temporaire. « Quelque chose » qui est associé à l’individu perdure tout en étant soumis à un processus de détérioration. La rapidité de la dégradation varie quelque peu – peut-être en fonction de la nature de la personnalité ou des circonstances de la mort, aussi bien que d’autres éléments qui échappent à notre connaissance. Nous voyons souvent plus d’apparitions et entendons plus de voix spirituelles peu après la mort, donc pour la simple raison peut-être que ce qui survit est encore dans un état vigoureux voire intact.

Nous ne possédons pas de preuve tangible de l’ »entité » survivante elle-même, nous n’avons que l’acte de communication pour preuve. En clair, il n’existe pas de preuve directe de l’entité survivante, mais seulement de l’acte de communication.

Logiquement, nous pouvons l’accepter si nous avons choisi l’authenticité d’une communication sans être tenu d’affirmer l’existence indépendante d’une « entité ». Tout ce qui survit peut être le processus ou l’acte de communication. Nous ne sommes pas obligés de doter cet acte de communication de taches de rousseurs, d’un accent ou de son goût pour les pains au chocolat. Tout comme la preuve de la survie implique un acte de communication, elle implique aussi une relation entre les parties qui communiquent. Les défunts communiquent par l’intermédiaire des vivants.

L’idée en elle-même est fascinante. Nous avons vécu des vies antérieures et nous continuerons à en vivre. Cette succession de vies, cette disparition et ce renouveau s’inscrivent dans un système de pensée plus vaste.

Dans la perspective orientale classique, l’univers entier est soumis aux lois de la transformation. La « mort » existe mais c’est une forme de changement spécifique ; elle n’est pas plus absolue que la « naissance ». Ce n’est que dans la perspective limitée et arbitraire de l’esprit occidental que les fins sont essentiellement des fins et les commencements des commencements. L’esprit oriental plus subtil reconnaît des fins dans les commencements et des naissances dans les décès…..

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:ESPRITS, MEDIUM |on 5 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Les mystères des sciences occultes

 

sciences-occultes-rituelsLa science occulte n’est une science que dans la mesure où savoir c’est pouvoir ; la doctrine qu’elle enseigne n’a pas simplement pour but de révéler au disciple la nature vraie et cachée des choses, mais, en lui révélant cette nature, de mettre en ses mains le moyen de la dominer et de la faire servir à ses fins. Qu’il s’agisse d’alchimie, d’astrologie ou de magie, le terme à atteindre est toujours d’accaparer au profit de l’homme les forces anonymes qui agissent dans le monde et, pour cela, tout d’abord, après les avoir « désoccultées », d’en saisir la maîtrise et la direction.

Or, il est remarquable de constater que, sous tous les climats et à toutes époques, des hommes se sont rencontrés qui ont possédé sur la nature cet étrange pouvoir de domination. Et, parmi ,ces « Maîtres », grands initiés dont la chaîne se prolonge à travers les âges, il en est un à qui tous les centres d’occultisme font une place à part et rendent un solennel hommage, c’est le « Maître Jésus », le plus grand de tous en puissance et en dignité, si grand que sa venue sur la terre a bouleversé toutes les lois astrologiques qui régissaient l’Univers avant qu’il parut, un missionné de Dieu, dont chaque parole était comme l’écho d’un autre monde, dont chaque geste suffisait à dicter à l’humanité sa conduite.

     Nos investigations dans le domaine de l’Occultisme nous amènent ainsi en présence d’un être exceptionnel, qui n’a pas son semblable dans toute l’histoire, dont le nom demeure à jamais fixé dans la mémoire des hommes, dont la vie et l’enseignement ont suscité de siècle en siècle un nombre toujours plus considérable de disciples et d’adorateurs, un être qui s’était déclaré comme le Fils de Dieu, que ses Apôtres ont vénéré à l’égal de Dieu lui-même et qui a fondé une Église dont les rameaux s’étendent aujourd’hui sur toute la terre. N’est-il pas de notre devoir de nous demander quel est cet Homme, d’où il vient, ce qu’il a fait, ce qu’il a voulu et aussi ce que nous sommes pour lui et quelle conduite nous devons tenir à son égard ? Et, puisque sa vie et son enseignement ont été consignés dans des livres dont l’authenticité ne saurait plus être sérieusement contestée, ouvrons donc ces livres qui, peut-être, renferment le secret de notre destinée. L’Occultisme nous a menés jusqu’au Christ ; quittons-le maintenant pour écouter la voix de l’Évangile. 

Extrait de « L’appel du Maître » par GABRIEL HUAN

Publié dans:ESPRITS, MEDIUM, POSSESSION |on 27 avril, 2015 |Pas de commentaires »

Faire de sa vie un miroir évolutif

 


Artwork
Plutôt que l’attitude qui consiste à se conforter dans une plainte stérile face aux aléas de l’existence, la sagesse voudrait que nous considérions les obstacles comme une opportunité pour évoluer. Encore faut-il posséder quelques clés pour y parvenir. Cette bonne résolution a pour objectif de contribuer à vous les procurer…

> Je ne crois plus au hasard
Même si vous ne vous réclamez d’aucune croyance particulière, le seul fait d’être persuadé que rien n’est le fruit du hasard modifie la perspective. Cette forme de pensée a changé la vie de millions de gens de par le monde. Tout simplement parce que si le hasard est exclu, le sens peut être découvert. Et le sens est toujours évolutif puisqu’il indique une direction et ne vous laissera plus sur le bord de la route, démuni.

> Je considère le versant positif
Une fois le hasard écarté, il s’agit maintenant de relativiser. Ainsi, un événement, aussi ennuyeux soit-il, possède toujours son corollaire inversé positif. Pour exemple, un embouteillage vous met en retard mais une fois accepté, il peut se transformer en opportunité pour se recentrer. Observez simplement le flux et le reflux de votre souffle pénétrant par les narines et envahissant vos poumons. Prenez conscience de ce merveilleux véhicule que constitue votre corps. Il y a fort à parier que vous arriverez à bon port détendu physiquement et mentalement. D’autant que ce ralentissement vous a peut-être protégé d’un accident…

> Je change mon point de vue et j’avance vers la lumière
Dans le même ordre d’idée, dites-vous que l’ombre doit son existence à la lumière. L’allégorie de la caverne de Platon est très explicite sur le sujet. Dans une grotte souterraine, des hommes sont assis le dos à l’entrée. Ils ne voient donc que les ombres sur les murs, pensant que là est la seule réalité. Platon imagine que l’un d’entre eux est amené à se retourner. Ébloui dans un premier temps, il finit par distinguer la réalité et ne voudra certainement pas revenir à son état antérieur. Ainsi, regarder du côté de la lumière nécessite de sortir de ses habitudes comme on sort d’une caverne. L’ombre n’étant que le reflet d’une banale difficulté qui se trouve à un moment donné confrontée au soleil, elle perd alors son aspect lugubre. Les soucis, les peines, les douleurs sont des voiles qui possèdent leur face lumineuse. Une fois identifiés, à chacun de continuer à avancer vers la source lumineuse.

> Je ne suis plus masochiste
Faire de sa vie un miroir évolutif nécessite d’abandonner l’illusion que la vie n’est que tragédie. Pour y parvenir, aucune autre alternative : il faut sortir de la position de victime en arrêtant de se plaindre. La psychanalyse explique qu’il y a une jouissance morbide dans ce comportement, appelé « masochisme »… Or, derrière tout masochiste se cache un sadique ! Le problème, c’est qu’il empoisonne son entourage au point d’avoir encore plus de raisons de gémir, personne ne supportant longtemps ce type de relation. S’il est parfois légitime de se laisser aller à quelques plaintes, n’en faites surtout pas une habitude car aucune évolution n’est possible avec cette attitude. Préférez l’action aux lamentations éternelles.

> Je progresse grâce aux personnes désagréables
Ne croyant plus au hasard, vous envisagez les personnes désagréables autrement. Au lieu de pester contre elles, considérez-les comme des arbres qui cachent la forêt. Elles vous montrent ce que vous devez changer en vous. Votre belle-sœur est insupportable, c’est un fait. Mais en réfléchissant, vous allez pouvoir identifier des sujets avec qui vous avez été désagréable. Peut-être même avec votre belle-sœur… Sans tomber dans une culpabilité démoniaque, réalisez que ce membre de la famille vous explique qu’il ne faut pas s’identifier à lui. Finalement, il vous fait progresser, sans le vouloir, sur le chemin de la gentillesse. Ses projections n’auront d’ailleurs bientôt plus aucune prise sur vous et s’arrêteront d’elles-mêmes.

En résumé
Le terme « évolution », connu surtout grâce à Charles Darwin, renvoie à celui d’« adaptation ». Depuis les origines, l’être vivant possède en lui une adaptabilité qui lui est innée. C’est en observant votre existence tel un miroir évolutif que cette capacité s’imposera à vous tout naturellement…

source signes et sens

 

Publié dans:ELEMENTS, ENERGIES, ESPRITS |on 18 avril, 2015 |Pas de commentaires »

LE COTOIEMENT AVEC L’AU-DELA

AU DELA

Printemps 2013, un samedi matin. L’air est doux et, par les hautes fenêtres, on aperçoit un jardin entretenu avec soin, des buis taillés en boule et quelques tulipes déjà fleuries. On est en plein coeur de Paris mais la frénésie de la ville est loin. Les lieux respirent plutôt la quiétude. Nous sommes au Forum 104, qui met sa bibliothèque à disposition de l’INREES afin d’y accueillir une vingtaine de personnes. Le point commun de ces femmes et de ces hommes réunis ce matin ? Tous disent avoir vécu une ou plusieurs expériences de contact avec des défunts. Agnès Delevingne, psychologue clinicienne et coordinatrice du réseau de l’INREES, anime la matinée. Elle pose d’emblée l’enjeu de la rencontre : « L’objectif est de vous permettre d’échanger et de partager vos expériences. »

Est-ce un défunt ou le produit de mon imagination ?

Assis en cercle, 13 femmes et 5 hommes se présentent à tour de rôle. Ils ont entre entre 20 et 60 ans environ, viennent de toutes sortes d’horizons professionnels et la plupart évoquent une vie de famille. Certains ont vécu une expérience de médiumnité suite au décès d’un proche, d’autres vivent ces phénomènes de contacts depuis la toute petite enfance. Pour la plupart, ces vécus ne font aucun doute, il s’agit bien de défunts, mais pour quelques personnes comme Odette*, c’est l’incertitude qui prévaut. Après le décès de son mari en 1990, elle a été réveillée plusieurs fois par des toussotements dans sa chambre, puis par une sensation de souffle sur le visage… Était-ce son mari qui lui faisait signe, comme on le lui a dit ? Ou le produit de son imagination ? En tous cas, elle a été tétanisée par la peur.

Julie aussi a eu peur : elle voyait des morts quand elle était enfant. Elle parvint à faire cesser les apparitions mais, quand elles sont revenues à l’âge adulte, la jeune femme a craint d’être devenue schizophrène. Elle a consulté une psychiatre, qui l’a rassurée en lui disant que mentalement elle allait bien, mais qu’elle ne pouvait pas l’aider car Julie était au contact d’un monde dont elle-même, psychiatre, ignorait tout. Elle évoque la rencontre avec un médium qui a pu la guider, et met en garde contre les « cours de médiumnité » donnés par des individus qui ne maîtrisent pas le phénomène. D’ailleurs, pour les médiums que l’on a interrogés sur le sujet, la médiumnité est juste un canal qui s’ouvre mais on ne peut pas décider de l’ouvrir. Ceux qui prétendent le contraire cherchent souvent le pouvoir et tentent d’installer des relations d’emprise. Julie évoque aussi la difficulté d’être en lien avec les morts, « qui nous envahissent de leur souffrance et de leur douleur ».

Le regard des autres

Agnès Delevingne veille à la bonne circulation des échanges. Les temps de parole sont brefs pour permettre que tous s’expriment. Les uns réagissent aux propos des autres et l’intervention de Julie a déclenché plusieurs réactions. Si certains rappellent que les expériences négatives sont également formatrices, plusieurs insistent sur la nécessité de « se protéger », d’apprendre à «bloquer le phénomène s’il devient intrusif », « entrer en lien avec son guide pour obtenir du soutien ». Sabine insiste : « C’est à nous de prendre les choses en main, de nous réapproprier notre quotidien. Il faut leur parler et leur dire quand on est disponible, et quand on ne l’est pas. Il m’arrive souvent de refuser le contact. » D’autres questions reviennent : « Que faire avec ces phénomènes ? » « Comment les utiliser pour aider les gens autour de soi ? », mais surtout « Comment en parler ? », car le regard des autres est souvent vécu comme problématique. Ceux qui ont raconté leurs expériences ont souvent fait face à l’incompréhension voire au rejet. Jeanne s’est entendu traiter d’oiseau de mauvais augure pendant toute son enfance et Marine a bloqué tous ces phénomènes à l’âge de 7 ans, quand elle a été punie pour avoir parlé à ses parents d’une forme humaine qu’elle avait vue apparaître dans l’église, qui ressemblait à la Vierge et lui avait adressé un signe en lui disant qu’elle la protégeait. Chez les 2 femmes, les contacts médiumniques sont pourtant revenus à l’âge adulte, après la mort de leur propre enfant. Si un ou deux participants se présentent comme médiums, pour la plupart ces expériences ressortissent plutôt à l’intime et sont souvent cachées, ce qui génère un sentiment de solitude partagé. Dans la salle, au fil de l’échange et de la confiance qui s’installe, on peut ressentir le soulagement de cette parole libérée, qui ici ne craint ni le rejet, ni les jugements ou les moqueries. « Quand j’ai entendu parler de ces groupes d’échange, je me suis dit : « Enfin, il se passe quelque chose ! », conclut Charlotte, qui précise que ces rencontres lui ont permis de se sentir en confiance, mais l’ont aussi rendue plus humble face à la diversité des vécus.

Écouter l’extraordinaire

D’autres rencontres comme celle-ci ont lieu plusieurs fois par an autour d’une thématique spécifique : les expériences de mort imminente, les expériences psychospirituelles, le développement des capacités de guérison, etc. Elles sont organisées par le réseau d’écoute de l’INREES, animées bénévolement par des professionnels de santé (des psychanalystes, des psychologues cliniciens, un infirmier psychiatrique, une formatrice en soins palliatifs, etc.). Agnès Delevingne en précise le fonctionnement : « Nous assurons une veille bénévole pour répondre aux personnes qui souhaitent avoir un éclairage sur l’expérience qu’elles ont vécue. Il ne s’agit ni de poser un diagnostic, ni de valider l’expérience. Nous ne proposons pas non plus de suivi psychologique. Nous avons plutôt vocation à informer, et organisons aussi des réunions d’échange comme celle-ci afin de créer des liens entre des expérienceurs qui souhaitent rencontrer des personnes ayant des vécus similaires. » Patricia Serin, psychologue clinicienne membre du réseau, précise d’ailleurs que « le simple fait de pouvoir témoigner peut aider dans un cheminement personnel : quelle que soit l’expérience extraordinaire vécue, tout l’enjeu est de l’intégrer dans sa vie, de parvenir à lui donner du sens. En effet, si elle nous fascine et que l’on se cristallise dessus, l’expérience devient enfermante. Si au contraire on parvient à l’intégrer, elle peut être le déclencheur d’un épanouissement personnel. » À l’issue de la matinée, la moitié des participants quittent les lieux mais une petite dizaine d’autres s’attardent un peu dans le hall puis, après un quart d’heure de discussion, un petit groupe se dirige vers le jardin pour poursuivre les échanges. Au bout de 2 grands bassins où nagent quelques poissons, des tables et des bancs accueillent la suite de la rencontre. Déjà, des liens se tissent… * Tous les prénoms ont été changés.

Une curieuse date

« Je m’appelle Cécile, j’ai 20 ans et je suis en troisième année de licence de psychologie. Depuis l’âge de 15 ans, j’ai des perceptions auditives, j’appelle cela des connexions. J’entends des chuchotements sans comprendre ce qu’on me dit ; ma perception visuelle se trouble, je sens une ou plusieurs présences sans savoir qui c’est, j’arrive pourtant à distinguer si c’est une femme ou un homme. Puis une multitude d’images, de sensations, de bruits arrivent, c’est intérieur. J’ai le sentiment fort d’être en connexion avec des esprits. Ces connexions ont une fréquence aléatoire, environ 3 par mois. Un jour, j’ai eu un nom avec deux dates. Curieuse, j’ai cherché sur Internet et j’ai trouvé le nom et les 2 dates de naissance et de mort de cette personne. Elle était née au XIXe siècle, aux USA ! Je sais que ce ne sont pas des hallucinations car je n’ai aucun trouble du comportement, ni de maladie, je ne prends pas de drogue, je ne bois pas. J’ai mis beaucoup de temps avant d’accepter d’entendre ou de ressentir car les connexions me perturbaient. Maintenant, j’arrive beaucoup mieux à gérer et ce n’est plus du tout perturbant. Je souhaiterais vraiment que nous soyons reconnus aux yeux de la société et des scientifiques car nous ne sommes pas des fous. » - Cécile

Mon père à mes côtés

« J’étais assise depuis un quart d’heure seule sur un banc dans le parc de la maison de retraite, quand soudain je sentis près de moi une présence familière. J’eus la certitude de voir mon père décédé en 1986. Il me murmura : « N’aie pas peur, c’est papa. » Il était en tenue militaire. De son vivant, il était dans l’armée. Il me semblait transparent malgré ses vêtements. Je ressentais une chaleur qui se dégageait de son corps. Cela dura bien 10 minutes. Son silence, brusquement, me fit tourner la tête vers lui. Il n’y avait plus personne. Je n’osais pas bouger tant j’étais émue. Je restai paralysée pendant un bon moment avant de reprendre mon souffle.»- Viviane

Un étrange don

« Voilà bientôt 9 ans que ma maman est décédée. Suite à son départ, j’ai développé un don. Ceux qui m’entourent vous diront qu’il s’agit de médiumnité. Personnellement, j’ai du mal à le nommer. Je dirais plutôt que c’est un cadeau que la vie m’a fait. J’ai eu l’occasion, à plusieurs reprises, de tester ces « capacités ». Je ne veux pas que les personnes qui viennent vers moi me donnent quoi que ce soit comme information, sur elles ou sur les personnes avec qui elles veulent entrer en contact. Je demande une photo (que je ne regarde quasiment pas) et je l’appose sur mon front (cela est plus symbolique qu’autre chose, je pense que c’est une façon de m’aider à l’introspection). Je ferme les yeux, je fais le vide (rien que cette capacité à faire le vide me sidère) et j’attends. à ce moment-là, des informations commencent à arriver, que ce soit sous forme de symboles, de mots, d’images, de sensations, de ressentis. A chaque fois les gens sont vraiment surpris et moi aussi d’ailleurs. Je suis assez « seule » car je n’ai autour de moi personne ne vit les mêmes expériences. »- Linda

http://www.inrees.com/

Publié dans:ESPRITS, La MORT |on 4 avril, 2015 |Pas de commentaires »
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