Archive pour la catégorie 'ENERGIES'

Un « ange » phénomène inexpliqué

 

 

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« Ange » filmé par la Nasa le 20 février 2013 à 7 h 48 depuis l’Observatoire solaire et héliosphérique.
Apparition du 15 octobre Zoom
Le même « ange » filmé par la Nasa le 15 octobre 2012 à 8 h 24.

Ces derniers mois, deux photographies extraordinaires ont été prises par les caméras de la Nasa. On y voit une forme ayant l’aspect d’un ange d’une taille colossale planant près du soleil. Ces photos ont été largement diffusées sur YouTube et sur des sites ufologiques mais les scientifiques de la Nasa n’ont donné aucune explication quant à la nature de ce mystérieux phénomène.

Depuis plus de trente ans, la revue Share International (Partage international pour la version française) se fait l’écho de phénomènes miraculeux et propose l’explication suivante. Alors que nombre de commentateurs associent l’objet filmé par la Nasa à un ovni, Benjamin Creme, rédacteur en chef de Share International, déclare que, selon ses informations : « Il s’agit d’un « ange », ou  « déva » ainsi qu’on les nomme en Orient. L’évolution des anges, ou dévas, se déroule parallèlement à celle des humains. De tailles variées, ils peuvent être minuscules ou gigantesques. Cet « ange » a été filmé alors qu’il se déplaçait près du soleil et dans les deux cas, il s’agit du même « ange ». Sa taille est d’environ la moitié de celle de la Terre. »

Des phénomènes inexpliqués souvent qualifiés de miraculeux se produisent en nombre croissant depuis trois décennies. Share International les met en relation avec un événement d’une importance capitale en cette période critique pour l’humanité : l’émergence d’un groupe d’enseignants spirituels, avec à leur tête Maitreya, l’Instructeur mondial. Attendu par tous les groupes religieux sous des noms différents, Maitreya ne vient pas en tant que leader religieux, mais comme un éducateur au sens le plus large du terme. Il vient pour tous les hommes, croyants ou non croyants. Son émergence est imminente. 

(Source : sohowww.nascom.nasa.gov)

Publié dans:ANGES, ENERGIES |on 30 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Des pensées de Allan Kardec

 

images (5)Celui qui ne connaîtrait en fait de magnétisme terrestre que le jeu des petits canards aimantés qu’on fait manoeuvrer sur l’eau d’une cuvette, pourrait difficilement comprendre que ce joujou renferme le secret du mécanisme de l’univers et du mouvement des mondes. Il en est de même de celui qui ne connaît du spiritisme que le mouvement des tables ; il n’y voit qu’un amusement, un passe-temps de société, et ne comprend pas que ce phénomène si simple et si vulgaire, connu de l’antiquité et même des peuples à demi sauvages, puisse se rattacher aux questions les plus graves de l’ordre social. Pour l’observateur superficiel, en effet, quel rapport une table qui tourne peut-elle avoir avec la morale et l’avenir de l’humanité ? Mais quiconque réfléchit, se rappelle que de la simple marmite qui, elle aussi, a bouilli de toute antiquité, est sorti le puissant moteur avec lequel l’homme franchit l’espace et supprime les distances. Eh bien ! vous, qui ne croyez à rien en dehors du monde matériel, sachez donc que de cette table qui tourne et provoque vos sourires dédaigneux, est sortie toute une science ainsi que la solution des problèmes qu’aucune philosophie n’avait encore pu résoudre. J’en appelle à tous les adversaires de bonne foi, et je les adjure de dire s’ils se sont donné la peine d’étudier ce qu’ils critiquent ; car, en bonne logique, la critique n’a de valeur qu’autant que celui qui la fait connaît ce dont il parle. Se railler d’une chose qu’on ne connaît pas, qu’on n’a pas sondée avec le scalpel de l’observateur consciencieux, ce n’est pas critiquer, c’est faire preuve de légèreté et donner une pauvre idée de son propre jugement. Assurément, si nous eussions présenté cette philosophie comme étant l’oeuvre d’un cerveau humain, elle eût rencontré moins de dédains, et aurait eu les honneurs de l’examen de ceux qui prétendent diriger l’opinion ; mais elle vient des Esprits ; quelle absurdité ! C’est à peine si elle mérite un de leurs regards ; on la juge sur le titre, comme le singe de la fable jugeait la noix sur l’écorce. Faites, si vous le voulez, abstraction de l’origine ; supposez que ce livre soit l’oeuvre d’un homme, et dites en votre âme et conscience si, après l’avoir lu sérieusement, vous y trouvez matière à raillerie.

Le spiritisme est l’antagoniste le plus redoutable du matérialisme ; il n’est donc pas étonnant qu’il ait les matérialistes pour adversaires ; mais comme le matérialisme est une doctrine que l’on ose à peine avouer (preuve que ceux qui la professent ne se croient pas bien forts, et qu’ils sont dominés par leur conscience), ils se couvrent du manteau de la raison et de la science ; et, chose bizarre, les plus sceptiques parlent même au nom de la religion qu’ils ne connaissent et ne comprennent pas mieux que le spiritisme. Leur point de mire est surtout le merveilleux et le surnaturel qu’ils n’admettent pas ; or, selon eux, le spiritisme étant fondé sur le merveilleux, ne peut être qu’une supposition ridicule. Ils ne réfléchissent pas qu’en faisant, sans restriction, le procès du merveilleux et du surnaturel, ils font celui de la religion ; en effet, la religion est fondée sur la révélation et les miracles ; or, qu’est-ce que la révélation, sinon des communications extra-humaines ? Tous les auteurs sacrés, depuis Moïse, ont parlé de ces sortes de communications. Qu’est-ce que les miracles sinon des faits merveilleux et surnaturels par excellence, puisque ce sont, dans le sens liturgique, des dérogations aux lois de la nature ? Donc, en rejetant le merveilleux et le surnaturel, ils rejettent les bases mêmes de la religion. Mais ce n’est pas à ce point de vue que nous devons envisager la chose. Le spiritisme n’a pas à examiner s’il y a ou non des miracles, c’est-à-dire si Dieu a pu, dans certains cas, déroger aux lois éternelles qui régissent l’univers ; il laisse, à cet égard, toute liberté de croyance ; il dit et il prouve que les phénomènes sur lesquels il s’appuie n’ont de surnaturel que l’apparence ; ces phénomènes ne sont tels aux yeux de certaines gens que parce qu’ils sont insolites et en dehors des faits connus ; mais ils ne sont pas plus surnaturels que tous les phénomènes dont la science donne aujourd’hui la solution, et qui paraissaient merveilleux à une autre époque. Tous les phénomènes spirites, sans exception, sont la conséquence de lois générales ; ils nous révèlent une des puissances de la nature, puissance inconnue, ou pour mieux dire incomprise jusqu’ici, mais que l’observation démontre être dans l’ordre des choses. Le spiritisme repose donc moins sur le merveilleux et le surnaturel que la religion elle-même ; ceux qui l’attaquent sous ce rapport, c’est donc qu’ils ne le connaissent pas, et fussent-ils les hommes les plus savants, nous leur dirons : si votre science, qui vous a appris tant de choses, ne vous a pas appris que le domaine de la nature est infini, vous n’êtes savants qu’à demi.

Vous voulez, dites-vous, guérir votre siècle d’une manie qui menace d’envahir le monde. Aimeriez-vous mieux que le monde fût envahi par l’incrédulité que vous cherchez à propager ? N’est-ce pas à l’absence de toute croyance qu’il faut attribuer le relâchement des liens de famille et la plupart des désordres qui minent la société ? En démontrant l’existence et l’immortalité de l’âme, le spiritisme ranime la foi en l’avenir, relève les courages abattus, fait supporter avec résignation les vicissitudes de la vie ; oseriez-vous appeler cela un mal ? Deux doctrines sont en présence : l’une qui nie l’avenir, l’autre qui le proclame et le prouve ; l’une qui n’explique rien, l’autre qui explique tout et par cela même s’adresse à la raison ; l’une est la sanction de l’égoïsme, l’autre donne une base à la justice, à la charité et à l’amour de ses semblables ; la première ne montre que le présent et anéantit toute espérance, la seconde console et montre le vaste champ de l’avenir ; quelle est la plus pernicieuse ?
Certaines gens, et parmi les plus sceptiques, se font les apôtres de la fraternité et du progrès ; mais la fraternité suppose le désintéressement, l’abnégation de la personnalité ; avec la véritable fraternité, l’orgueil est une anomalie. De quel droit imposez-vous un sacrifice à celui à qui vous dites que quand il est mort tout est fini pour lui ; que demain peut-être il ne sera pas plus qu’une vieille machine disloquée et jetée à la borne ? Quelle raison a-t-il de s’imposer une privation quelconque ? N’est-il pas plus naturel que pendant les courts instants que vous lui accordez, il cherche à vivre le mieux possible ? De là le désir de posséder beaucoup pour mieux jouir ; de ce désir naît la jalousie contre ceux qui possèdent plus que lui ; et de cette jalousie à l’envie de prendre ce qu’ils ont, il n’y a qu’un pas. Qu’est-ce qui le retient ? Est-ce la loi ? Mais la loi n’atteint pas tous les cas. Direz-vous que c’est la conscience, le sentiment du devoir ? Mais sur quoi basez-vous le sentiment du devoir ? Ce sentiment a-t-il une raison d’être avec la croyance que tout finit avec la vie ? Avec cette croyance une seule maxime est rationnelle : chacun pour soi ; les idées de fraternité, de conscience, de devoir, d’humanité, de progrès même, ne sont que de vains mots. Oh ! vous qui proclamez de semblables doctrines, vous ne savez pas tout le mal que vous faites à la société, ni de combien de crimes vous assumez la responsabilité ! Mais que parlé-je de responsabilité ? Pour le sceptique, il n’y en a point ; il ne rend hommage qu’à la matière.

Issu du livre d’Allan Kardec : Le livre des Esprits – Livre II

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES, ESPRITS, SOCIETE |on 25 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

Votre programme anti-fatigue 100 % naturel

 

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Pour soutenir une fatigue passagère, la nature a inventé bien mieux que les excitants comme le café. Kola, acérola ou encore ginseng vous boostent.

Travail, examens, transports, restauration rapide ou tout simplement manque de sommeil : nos rythmes de vie mettent notre corps à rude épreuve. Et quand le froid et la bise arrivent, nous nous trouvons fort dépourvus en énergie ! Rien de plus normal. Physiologiquement, nous ne devrions travailler qu’à la lumière du jour et l’hiver devrait être une période de repos, contrairement à l’été. Un rythme qu’adoptaient d’ailleurs nos ancêtres. Durant l’hiver, en plus de la baisse de luminosité, les contrastes de température entre nos intérieurs chauffés et le froid extérieur fatiguent notre organisme. 

Pour retrouver de la vitalité, on peut déjà commencer par marcher tous les jours au moins 30 minutes, avant le petit déjeuner ou encore à l’heure du déjeuner. Limiter le café et le thé vous permettra par ailleurs de mieux régulariser votre énergie en évitant les à-coups qu’ils provoquent. Débutez plutôt la journée par une tisane de thym ou de sarriette, à laquelle vous pouvez ajouter de la menthe. Ces plantes toniques ont un goût agréable et cumulent les avantages d’être revigorantes, digestives et antiseptiques. Autre alternative tonique du matin : le lait et les flocons d’avoine en porridge. Ils assureront rapidement, après quelques jours, un vrai regain d’énergie. Idéal pour les enfants comme pour les grands avec comme seule contre-indication les hyperthyroïdies et les intolérances vraies au gluten.

Regain d’énergie avec les produits de la ruche

Pour compenser une fatigue passagère, le Dr Jean-Christophe Charrié, médecin généraliste et enseignant en phytothérapie clinique, conseille d’alterner des cures de gelée royale, de pollens, de kola et d’acérola. La gelée royale, sécrétée par les abeilles nourricières, est l’aliment exclusif des reines. Ce superaliment riche en vitamines, minéraux et oligo-éléments est utilisé depuis longtemps pour lutter contre la fatigue, le stress, les infections hivernales et comme tonifiant général pour les convalescents. On dit que les anciens empereurs de Chine y puisaient le secret de leur longévité et leur vigueur. C’est le régénérant idéal après une chirurgie ou un accident, ou tout simplement pour se redynamiser face au froid, optimiser son immunité ou renforcer l’énergie des adolescents et des étudiants. Le Dr Charrié le recommande en cure de trois semaines, une fois par trimestre. En revanche, il le déconseille formellement aux personnes souffrant ou ayant souffert d’un cancer, car la gelée royale, selon lui, favoriserait la multiplication cellulaire. La plupart des gelées sont fabriquées en Chine et la qualité n’est malheureusement pas toujours au rendez-vous. Méfiez-vous donc des produits vendus sur Internet et préférez ceux conseillés par votre pharmacien ou votre magasin de diététique. Une bonne gelée royale doit être conservée au frais après la récolte, surtout pas congelée ni transformée.

Les abeilles ont plus d’un tour dans leurs alvéoles et le pollen sera un autre allié précieux de l’hiver, tant pour gommer la fatigue que pour soutenir l’immunité. Là encore, approvisionnez-vous de préférence en pharmacie et faites des cures de dix à quinze jours à raison d’une à trois cuillers à café le matin. Il est conseillé aux personnes allergiques, mais peut, en revanche, soutenir les personnes confrontées au cancer.

Le plein de vitamine C

La vitamine C sous la forme de comprimés d’acérola (Malpighia punicifolia) est un autre grand classique anti-fatigue très efficace. Contrairement à la vitamine C synthétisée, cette forme naturelle, issue d’une petite cerise des Antilles, s’assimile totalement et décuple l’énergie. On trouve l’acérola sous la forme de comprimés dosés à 500 mg en pharmacie ou en magasin bio, et il est généralement conseillé d’en prendre une dose le matin et éventuellement une deuxième à 10 heures si on éprouve des difficultés à démarrer la journée. À partir de 13 ans, toute la famille peut y recourir durant tout l’hiver, car nous sommes généralement tous carencés en vitamine C. De même, chaque matin, on peut commencer la journée avec une ou deux cuillers à soupe de jus d’argousier. Ce petit arbuste qui donne des baies orange est une autre belle source de vitamine C et d’oligo-éléments multiples.

Noix de kola

Plutôt qu’un café, les noix de kola pourront vous aider à réveiller votre énergie. Elles sont utilisées depuis des millénaires en Afrique pour leurs vertus tonifiantes et aphrodisiaques. Leur efficacité comme stimulant physique et mental est aujourd’hui effectivement reconnue. En revanche, les effets sur la libido restent à démontrer ! Comme le café, les noix de kola contiennent de la caféine, mais elle est combinée à des polyphénols et se libère donc plus lentement que celle du café. Au final, l’effet est moins tonique mais dure plus longtemps, ce qui permet de mieux gérer son énergie sur la durée. « Pour suivre une cure de kola, explique le Dr Charrié, demandez à votre pharmacien une préparation de gélules d’extrait sec de Kola à raison de 50 mg pour une gélule. Selon votre fatigue, vous pouvez prendre une ou deux gélules de kola chaque matin durant tout l’hiver. » Si vous souffrez d’ulcères gastriques ou duodénaux, si vous êtes nerveux ou sous traitement médical, les noix de kola ne sont pas pour vous, ou alors il faut en parler à votre médecin, car elles peuvent renforcer l’effet de certains médicaments. De même, il est inutile et dangereux de se composer un supercocktail avec de multiples boosters : vitamine C ou kola, il faut choisir ou alterner !

Cannelle, gingembre, ginseng et avoine

Le citron et la cannelle seront parfaits pour les coups de fatigue durant les épisodes de rhume, et vous pouvez tout simplement profiter de leurs bienfaits sous la forme de tisanes bien chaudes. Le gingembre râpé en infusion avec un peu de miel est également un tonifiant idéal pour tout le monde, sauf pour les personnes ayant un terrain cancéreux d’après le Dr Charrié. Tout comme l’éleuthérocoque (Eleutherococcus senticosus) et le ginseng (Ginseng panax), qui sont de puissants toniques à l’action très rapide, mais avec les mêmes contre-indications que le gingembre. Le ginseng est la plus énergisante des plantes : utilisée depuis des millénaires, elle est parfaite et rapide comme stimulant intellectuel et physique, lors des phases de convalescence ou en cas d’épuisement important.

La fatigue au cas par cas

Pour une action plus précise, identifiez votre fatigue et n’hésitez pas à consulter, surtout si cela persiste. Si vous êtes surmené, que vous avez tendance à prendre du poids dans le haut du corps ou que vous vous sentez près du burn-out, la rhodiola, qui est une plante adaptogène, sera votre alliée pour remonter la pente (sous la forme de gélules en cure de dix à quinze jours). Si vous êtes sujet au coup de barre postprandial (après le repas du midi), pensez tout d’abord à bien mastiquer votre repas et à limiter les graisses cuites pour épargner au pancréas un surplus de travail. Vous pouvez aussi améliorer votre digestion en adoptant la chicorée le matin, voire le midi, et prendre aussi une tisane d’aigremoine après le déjeuner.

Consultez notre dossier : Les plantes qui font du bien

Publié dans:ENERGIES, GUERISON, NATURE, PLANTES |on 14 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

ENTRE DEUX MONDES

produita493Jean-Claude Genel vient de publier son 27ème livre intitulé  »Entre deux Mondes« . Il est toujours aussi à l’aise à expliquer que nous sommes avant tout des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine, c’est-à-dire que nous sommes d’essence céleste incarnés pour manifester le divin à travers la matière. Précisions !                       

Vous dites dans ce livre que nous devons apprendre à circuler entre ces deux mondes par notre intelligence pour mieux les unir. Pouvez-vous préciser ?

Pratiquer dans la voie spirituelle que l’on choisit et comprendre ces deux mondes permet de savoir bien vivre son incarnation avec toutes les valeurs qu’elle implique. Le relais se fait par l’être spirituel qui, lui-même, s’engage à travers l’expérience de la vie. Circuler entre ces deux mondes se fait naturellement par la conscience que le monde divin s’exprime dans le « ici et maintenant » de l’incarnation.

Cet « Entre deux » donne l’idée d’une situation inconfortable.

C’est une image pour montrer que, si la vie circule librement entre ces mondes, puisqu’elle nous anime nous-mêmes, nous avons la possibilité de relier ce monde bien humain et ce monde totalement spirituel que l’on croit ailleurs. Or, nous savons que le monde divin ne se trouve nulle part qu’ici-même. Le but de l’évolution est de prendre conscience qu’à travers notre incarnation, nous avons une autre histoire à vérifier, celle de notre divinité. Le monde humain est alors une expérience qui permet à l’être spirituel d’évoluer, de s’engager, de se rapprocher du monde divin et c’est bien sur terre que l’on vient vivre l’expérience. Évidemment, on pourrait penser que c’est inconfortable car l’existence humaine soulève des questions qui ne peuvent trouver de réponses satisfaisantes et qui n’ont de sens que dans le monde spirituel.

L’un des thèmes récurrent de votre ouvrage est celui de la « rupture ».

Le monde traverse effectivement une période de rupture qui a commencé voici quelques années et qui se poursuivra encore. C’est une zone d’énergie qui permet la prise de conscience, comme si nous étions placés au pied du mur ! Ainsi, tous ceux qui ont travaillé sur eux-mêmes vont pouvoir le montrer. Cette période très spéciale correspond à la fin d’un cycle qui met fin à l’acte karmique. Elle nous libère des dettes karmiques et la liberté que nous allons trouver nous engage dans le futur, c’est-à-dire nous fait emprunter un nouveau cycle épuré de tout karma, à condition évidemment que nous soyons capables de comprendre, de vivre en étant responsables de notre incarnation. Et puis le karma laisse place à la loi qu’il engendre que j’appelle la « loi de compensation ».

Pouvez-vous définir cette loi de compensation ?

C’est une dynamique de vie qui s’enclenche dès que vous faites appel à l’intelligence du cœur et à la conscience qui vous permet de regarder où vous allez, de comprendre ce que vous faites, l’acte posé, la pensée que vous avez. Ainsi, vous développez un état d’esprit par lequel ce que vous allez faire, la manière dont vous allez vivre ou dire les choses vis-à-vis de vous-même, des autres ou par rapport à une situation n’engendrera aucun karma. C’est une loi de libération.

Si cette période de rupture permet à l’humanité de liquider le passé, il me semble qu’elle manque de visibilité quant à son futur ?

Nous partons dans un nouveau cycle, ce qui veut donc dire qu’il nous faut développer une vision différente et rompre définitivement avec le passé et sa charge de culpabilité ! Cette rupture va nous ramener à la source, à nos véritables besoins d’âme. C’est à partir de là que nous prendrons la responsabilité de créer notre futur. Là est la grande nouveauté et la réalité spirituelle est que, pour une fois, on nous laisse engendrer le futur, c’est-à-dire avoir une nouvelle vision. Cette vision dépend de là où nous en sommes. La prise de conscience que va engendrer cette rupture nous fera voir l’existence sous un angle totalement spirituel et nous allons pouvoir exprimer l’intelligence de notre âme, nous allons nous sentir forts, avoir des inspirations pour une société nouvelle.

Dans votre livre, vous dites que chacun de nous a le pouvoir de changer le monde, en tout cas d’y participer. Comment une personne isolée, qui fait un travail spirituel sur elle-même dans la voie qu’elle a choisie, peut-elle croire qu’elle a le pouvoir de changer le monde ?

Être seulement vivant est un acte divin. Si la personne manifeste au quotidien tout ce qu’elle a dans le cœur, tout ce qu’elle ressent au fond d’elle-même et qui vient de sa source, c’est-à-dire de son âme, alors elle manifeste un rayonnement qui peut transformer tout ce qui l’entoure. Une personne peut être physiquement seule et même isolée mais jamais elle ne le sera sur le plan spirituel ; son âme fait partie d’un tout. Une personne seule peut méditer, prier, travailler sur elle, lire. Tout cela pose des actes qui ont une influence : attitudes, réflexions, échanges avec d’autres même si elle est seule. Chaque fois que l’on prie, que l’on pense juste ou qu’on exprime une valeur au quotidien avec quelqu’un ou dans une situation, notre rayonnement agit et apporte toute sa puissance à l’âme collective que j’appelle aussi Inconscient collectif mystique.

Dans le propos des Maîtres, il est question de faire confiance à ce que l’on ressent. Comment être certain que ce que l’on ressent est juste ?

Une personne qui a travaillé sur elle-même est forcément passée par ses manques, ses lacunes, ses difficultés mais surtout par ses qualités, ses désirs, ses valeurs. Elle a donc appris à se connaître et elle comprend que les valeurs lui donnent l’axe par lequel elle peut enrichir son quotidien, sa compréhension, son intelligence. Dans ce cas, elle peut faire la différence entre quelque chose d’égoïste et une demande intérieure qui correspond à son évolution. Si j’accomplis tel acte par obéissance à ce que je perçois et qui vient du monde divin, de mon âme, forcément que ça va m’apporter quelque chose, j’en aurai la compréhension spirituelle. C’est de cette manière qu’on pourra faire la différence

Vous aborder souvent dans votre enseignement – et le livre s’en fait l’écho – « transposer spirituellement ».

Transposer est une invitation à prendre conscience de l’acte posé. Etre incarné est un acte, c’est vivre une histoire, celle liée à sa famille, son métier, ses amours, une manière d’être, le désir d’améliorer son quotidien, etc. L’être spirituel va essayer de définir également ce que cela peut apporter spirituellement. Si cela n’apporte rien, il le sait et se fera juste plaisir ou alors cela a une conséquence spirituelle dans son évolution. Cette manière de s’interroger le situe dans une compréhension spirituelle qui l’invite à prendre conscience et la prise de conscience conduit à l’intelligence. Transposer oblige à prendre conscience de l’acte que l’on accomplit, du comportement que l’on a au quotidien en saisissant ce que cela apporte à l’être profond.

En transposant continuellement au sens spirituel, ne risque-t-on de devenir indifférents aux événements humains ?

Je n’utiliserais pas le mot indifférent, je dirais que ça nous permet de ne plus avoir peur et ça c’est une grande liberté. Libéré de la peur, on se rend mieux compte de l’interaction permanente du monde invisible avec le visible. Ce que la peur nous voilait ou nous empêchait de penser ou de faire, la transposition ou fonction symbolique pour les « psy » va libérer des espaces dans notre cerveau. J’ai souvent dit que le cerveau est fait pour tisser les énergies de l’âme, alors que notre éducation le contraint à obéir à une vision très humaine de la vie.

En fonctionnant différemment, notre cerveau nous permettrait-il de voir le monde autrement ?

Là on va rejoindre ce qui a été dit par le grand philosophe Platon qui conseillait de se réapproprier ses pensées. Finalement, ça va bien dans le sens de ce que je viens d’expliquer pour libérer des espaces différents dans le cerveau, c’est-à-dire lui permettre de faire d’autres connexions. Quelqu’un qui va se mettre à penser différemment se replace naturellement dans sa propre vibration pour être sur son propre chemin et continuer l’aventure spirituelle. On peut et l’on doit apprendre à réfléchir par soi-même. Si on pense par soi-même, on génère une énergie qui nous est propre et cette énergie est comme un chemin de lumière que l’on peut suivre en toute confiance. Donc, cela nous rééquilibre et nous permet d’être dans la conviction de ce que l’on perçoit de soi, donc d’aller toujours plus loin et puis surtout de véhiculer une certaine intelligence

Les guides insistent tout au long de leurs messages sur l’importance de la pratique. En quoi est-ce si important ?

Quand on pratique, on est tenu de répéter jusqu’à ce que les résultats apparaissent dans notre manière de vivre. Et cela peut prendre beaucoup de temps !… En fait, si l’on en voyait tout de suite le résultat, on passerait à autre chose sans consolider notre structure intérieure et on pourrait ainsi construire une histoire fausse. Or, nous avons besoin de réfléchir, je dirais même de philosopher pour éveiller notre intelligence parce que c’est elle qui enveloppe notre vie et nous propulse vers quelque chose qui nous demandera de nous engager de nouveau. Pratiquer, c’est peut-être déjà notre victoire.

C’est la première fois que, dans les messages que vous transmettez, vous captez l’énergie où l’âme d’une sainte qui s’appelait Ma Ananda Moyî et qui est morte en 1982. Elle a insisté sur un état intérieur à vivre ui n’est ni un état de bonheur ni un état de victime. Pouvez-vous définir cet état dans lequel on peut être « partout chez nous » ?

Je dois dire que j’ai été extrêmement surpris de la visite de Ma Ananda Moyî. Bien sûr, je savais qu’elle existait et j’ai été touché lorsqu’elle est partie. Quand je l’ai aperçue, j’ai vraiment eu un choc, j’étais empli à la foi d’une joie indescriptible et d’une grande excitation. Puis, son regard s’est intensifié sur moi et m’a apporté une tranquillité propice à écouter ce qu’elle avait à dire. Son message est un message du cœur, elle a même utilisé l’expression les « dons du cœur ». Son désir intense était de nous communiquer la force de son amour et de nous aider à comprendre qu’à travers des mots simples, on peut images (6)recevoir beaucoup parce que ses mots à elle, simples, étaient chargés d’une force extraordinaire comme si chacun d’eux était pesé et chargé de la force et de la puissance de l’amour. A l’entendre, toute l’assemblée et moi-même avons perçu une très forte émotion et, d’un seul coup, nous avons été élevés par la douceur de cet entretien, élevés à un autre niveau. Nous n’avions plus besoin de nous poser des questions. L’amour, la sérénité, la paix, cette délicatesse dans les propos nous ont rendu légers, nous ont assemblés, soulevés jusqu’à elle ; ce qui fait qu’à l’heure actuelle je ne sais pas si c’est elle qui est venue ou nous qui avons été vers elle, mais peut-être aussi que déjà un portail était en place : elle a cheminé vers nous et nous avons cheminé vers elle pour qu’il y ait rencontre.

Livre « Entre deux Mondes » (avec CD inclu) disponible ici

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES, ESPRITS |on 9 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’énergie-conscience

L'énergie-conscience dans CO-CREATION images-11
Par Jeanne Guesné

Notre corps recèle une masse d’énergie qui réclame notre participation consciente pour se libérer. Lorsque nous sommes totalement à l’écoute – corps, sentiment, pensée -, cette énergie devient « dynamique » et le corps vivant. Goûtez-en la saveur une seule fois et vous en retrouverez le goût dans la vie quotidienne. Elle est le goût de l’Être immortel en nous. Le goût de l’énergie qui maintient l’unité du corps, mais en demeure indépendante.

Cette énergie est en réalité un second corps.

Lorsque je m’oublie, elle se dissout… Lorsque je suis présente au présent, elle s’identifie, s’amplifie…

La croissance de ce second corps d’énergie-conscience-connaissance est le sens même de la vie.

Par mon travail intérieur, je ne connais pas seulement un accroissement de ma faculté d’analyser, de calculer, de conclure ; c’est une amplitude de mon « espace d’investigation » de ma sensation corporelle profonde.
Elle conduit à un accroissement de mon discernement, qui peu à peu me libère de mes contraintes sociales et culturelles. Si je ne suis pas identifiée à mon corps, je peux le gérer. Si je ne suis pas identifiée à mon émotion, je peux la contrôler. Si je ne suis pas identifiée à mes pensées, je peux servir ma conscience d’être. Le vouloir de l’ego est toujours une barrière. Avoir faim et soif d’être, c’est l’aimant qui nous relie en nous-même et aux autres. La force est toujours donnée dans le présent de l’instant.

 

La clé du devenir 

Il arrive un jour où l’on sent que l’on est deux : un personnage dans un corps en correspondance avec son environnement, et quelque chose d’autre, comme un témoin invisible et muet, toujours présent. À partir de là s’opère une rupture qui brise un rythme. L’existence continue apparemment sans changement, mais plus rien n’est semblable.

On sait que le corps va mourir un jour, mais ce qui le sait en est indépendant, et la mort ne le concerne pas. Cela est une certitude inexprimable et qui ne demande aucune explication pour être. Il suffit de demeurer disponible à son expression en Soi, disponible à son écoute.

L’erreur serait de confondre cet état de paix sublime avec le calme d’un mental conciliant. D’après Ilya Prigogine, « il existe des centres de force, les uns invisibles, les autres visibles, c’est-à-dire habillés d’ondes captives matérialisées temporairement ». Vous… moi… Nous sommes tous aux centres de forces habillées d’ondes matérialisées temporairement…

Quelle perspective pour l’esprit humain à l’aube du troisième millénaire ? Le processus du développement de la conscience humaine en action dans le travail intérieur. Des niveaux de sensibilité laissés en jachère, établiront instantanément, dès lors qu’ils seront réveillés, des accords de résonance avec des expressions d’intelligence inconnues dans lesquelles nous avons notre être…

Écrit Par Jeanne Guesné

Publié dans:CO-CREATION, ENERGIES, ESPRITS |on 10 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Ce que l’exil les oblige à créer


Par Thich Nhat Hanh

Ce que l'exil les oblige à créer dans ASCENSION images-81

Commence pour la Communauté de l’Inter-Être, en exil à Paris, une période difficile et pourtant riche de potentialités insoupçonnées. D’une façon quelque peu similaire à celle des Tibétains après l’invasion chinoise de 1959, ces Vietnamiens vont se trouver dans l’obligation de créer des modes d’expression nouveaux, adaptés non seulement à leurs concitoyens, mais à tous les humains.
Au début, c’est impossible. Ils pensent à leur pays 24 heures sur 24. Et ce que les medias leur disent des boat people, qui tentent de fuir le régime communiste, ne leur laisse pas le choix : tous leurs efforts sont tendus vers le Golfe de Siam, où ils interviennent avant même l’appareillage de l’Île de lumière de Bernard Kouchner… Mais à la longue, l’impuissance les ronge (Thây ne s’en sort qu’en écrivant des poèmes et des nouvelles pour enfants). Installée en camping, dans une ferme proche de Paris, la « Communauté des patates douces », comme ils s’appellent pour rire, est menacée par l’amertume.

Leur sursaut va se faire en plusieurs étapes… D’abord, ils se trouvent confrontés à des milliers de Vietnamiens arrachés à leur pays, aux familles séparées et détruites. Beaucoup de ces gens vont si mal qu’ils se retrouvent en psychiatrie, mais sans succès. Ce sera l’un des premiers résultats frappants, en Occident, du « retour au bouddhisme originel » de Thây. Revenant aux bases de l’enseignement du Bouddha, c’est-à-dire à une méthode pragmatique pour :

• respirer consciemment,

• arrêter l’agitation et la dispersion mentales,

• regarder profondément en soi,

• y distinguer la souffrance…

• l’apaiser

• réaliser qu’il n’y a pas de coupure entre soi et le monde,

• différencier en soi les graines de la colère de celles de la conscience,

• arroser ces dernières…

le maître vietnamien réussit à remettre en selle des centaines de ses compatriotes en état de « traumatisme lourd », que la médecine occidentale ne sait comment soigner.

Qui rêverait d’une meilleure démonstration pour éprouver une technique de « développement personnel » ? – terme que Thây ne récuse pas, mais complète : « Il s’agit d’un développement personnel… et collectif ! Les trois précieux trésors ne sont-ils pas, indissociablement liés, le Bouddha (dont l’histoire prouve que tout humain peut connaître l’éveil), le Dharma (la nécessité de s’appuyer sur l’enseignement d’un grand éveillé) et la Sangha (la communauté des pratiquants, qu’ils soient moines et moniales ou laïcs) ? » Sous sa douceur légendaire, le maître n’a pas dévié d’un degré son cap vers le projet de départ : fonder une communauté nouvelle qui respecte le bouddhisme originel. La fondation d’un nouvel ordre, non sans affinité avec les Franciscains, revêtus, comme eux, d’une robe marron, signe d’humilité et d’amour de la nature. De fait, Thich Nhat Hanh va prendre l’initiative d’ordonner des moines et des moniales, hors de la stricte tradition orthodoxe (qui exigerait la présence d’au moins dix moines certifiés), faisant avec les premiers postulants le voyage jusqu’en Inde, à l’endroit où le Bouddha lui-même a enseigné et où l’ordination prend une force particulière. C’est ainsi qu’après plus de dix ans d’attente, Cao Ngoc Phuong va devenir Sœur Chân Không  – confirmant son rôle de première assistante de Thây…

Quand arrive le début des années 80, une évidence s’impose : leur exil va durer. Thich Nhat Hanh et sœur Chan Khong se mettent alors à la recherche d’un endroit propice pour édifier, en France, le monastère que Thây n’a pas eu la chance de pouvoir fonder au Vietnam. Un monastère qu’il imagine depuis longtemps : ouvert aux laïcs autant qu’aux moines ; servant de lieu de pratique sociale, autant que de centre de méditation ; en résonance avec le monde moderne, mais aussi avec les splendeurs de la nature ; où le catalyseur sera le bouddhisme, mais où les pratiquants d’autres spiritualités se sentiront à l’aise.

Leur premier voyage les amène en Provence. Mais le mistral est trop fort et rend Thây nerveux (Sœur Chân Không en rit encore). Le Bordelais et la Dordogne leur vont mieux. C’est là, à quelques kilomètres de Ste-Foy-la-grande, qu’une série de coïncidences vont leur permettre d’acheter, au fil des années, une, puis deux, puis trois anciennes fermes – baptisés Hameau du bas, Hameau du haut et Hameau nouveau. Un ensemble que Thich Nhat Hanh nommera « le village des pruniers », en référence à un arbre vénéré par les bouddhistes – symbole d’éternité – et dont il plantera mille deux cent cinquante spécimens (chiffre sacré) sur ces terres d’un monde nouveau.

Deux types de population vont se côtoyer là : d’une part des moines et moniales, observant sans faiblesse – avec, semble-t-il, plus de rigueur qu’ailleurs – les cinq préceptes définis du temps du Bouddha (pauvreté, chasteté, fraternité…)  ; d’autre part, des laïcs venus de tous les horizons, d’abord de la diaspora vietnamienne, puis de la mouvance bouddhiste française (beaucoup de soignants et de psychothérapeutes), puis du monde entier et notamment des États-Unis, où Thich Nhat Hanh n’a jamais cessé d’être considéré comme un guide spirituel de haut niveau. Peu nombreux au début, les moines et moniales sont aujourd’hui (été 2006) environ deux cent cinquante, à parts égales entre hommes et femmes ce qui représente désormais un ordre de belle importance. Les laïcs, de plus en plus nombreux, sont rarement moins de six cents, aux retraites que la Communauté de l’Inter-Être organise plusieurs fois par an…

Des retraites qui constituent une forme précieuse de ressourcement, encadrées de différentes façons :

• par l’enseignement de Thây, toujours aussi chaleureux, doux, humain, souvent axé sur les difficultés relationnelles et les souffrances amoureuses des participants ;

• par des séances de relaxation, souvent murmurées et chantées, dans un lâcher prise enviable, par Sœur Chân Không, qui a gardé une voix de jeune-fille ;

• par des rituels de salutation – les Touchers à la terre -, où chacun est invité à se prosterner sur le sol, à plusieurs reprises, prenant conscience chaque fois de ses propres ancêtres : d’abord biologiques et familiaux, puis culturels et nationaux, enfin spirituels et essentiels ;

• par des marches méditatives, souvent menées par Thich Nhat Hanh lui-même, à travers la campagne… ou en pleine ville, comme ce sera le cas, cet automne, à Paris.

Par ailleurs, Thây voyage énormément, en particulier aux États-Unis, où il a fondé deux mini-monastères (en Californie et au Massachussetts). Un peu partout, il donne des conférences, aussi bien auprès des dirigeants d’entreprises que des détenus en prison, avec un principe simple : entrer en résonance avec le type de souffrance spécifique au groupe visité. Tout le monde souffre, mais chacun à sa façon. Ainsi prône-t-il une « compassion de caméléon ». Le bouddhisme lui-même ne s’est-il pas toujours adapté aux cultures locales, tibétaine au Tibet, chinoise en Chine… ?

Le plus émouvant de ces voyages a eu lieu début 2005 et a duré trois mois. Après trente-neuf ans d’exil, le maître bouddhiste venait enfin de recevoir l’autorisation de retourner dans son pays.

CONTACT : Le Village des Pruniers : Le Pey,
24240 Thénac – www.villagedespruniers

Publié dans:ASCENSION, DEVELOPPEMENT, ENERGIES, MAITRISE |on 5 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

TOUCHER LA SOURCE DE TOUTE EXISTENCE


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Un nouveau genre de cinéma expérientiel permet maintenant aux spectateurs de faire l’expérience du Divin. L’ancien débat à propos de ce qui existe au-delà de la vie sur Terre est révolu selon Caroline Cory, productrice/directrice et fondatrice de Omnium Entertainment.

Son nouveau film intitulé « Je suis l’univers, je suis l’Amour » est un film d’animation 3D entièrement réalisé en images CG et qui traite des plans multidimensionnels de l’univers et de la Conscience. Le spectateur est transporté à travers les images visuelles éblouissantes et les sons fabuleux du cosmos, dans un voyage qui le ramène de la Source universelle jusqu’à la Terre. Ce voyage a pour but d’éveiller le souvenir de notre incarnation humaine et de notre connexion perpétuelle avec l’univers et avec la Source universelle. Ce film est unique dans le genre du cinéma contemplatif ou « expérientiel » du fait qu’il permet au spectateur d’être entièrement immergé dans les images et les sons, dépassant ainsi l’esprit analytique ou linéaire. Ce processus déclenche de multiples expériences qui vont de l’amour inconditionnel, de la guérison approfondie, et de l’éveil spirituel, jusqu’à l’état d’union absolue avec l’univers et le Divin.

Selon Caroline, la mission derrière ce nouveau genre est de créer un style de divertissement immersif qui provoque une réponse innée et naturelle, celle d’être spirituellement plus éveillé et connecté. « Avec ce film, raconte Caroline, mon intention est que les spectateurs aient du plaisir avec ce nouveau genre de cinéma afin que nous puissions, à travers le divertissement, encourager l’émergence d’une société qui soit plus altruiste, aimante et spirituellement évoluée. »

Lorsque j’ai visionné le film pour la première fois, j’ai eu l’impression vivide de me souvenir de quelque chose d’essentiel à mon être. J’ai été profondément touchée et émue par l’émergence du souvenir de la création de mon être par la Source universelle. C’est une expérience magnifique, inexplicable en paroles et surtout inoubliable. Ce genre de film expérientiel est conçu pour être visionné de multiples fois et chaque fois, il engendre des expériences différentes. Ce film entraine d’une façon naturelle un alignement parfait de tout notre être avec la fréquence de la Source universelle, il aide à rendre réelle et vivante notre connexion avec tous les êtres vivants et l’univers entier.

Pour voir la bande-annonce ou louer le film avec sous-titres français, cliquez ici : http://jesuislunivers.filmbinder.com/

Pour plus de détails sur la Méthode OMnium développée par Caroline Cory, visitez www.omniumuniverse.comVoir la section française sous l’onglet « Other Languages »

Pour d’autres informations en français sur les changements actuels et la nouvelle réalité, visitez:http://www.omnium-daretobeyou.blogspot.fr/p/articles-en-francais.html et aussi http://www.omnium-daretobeyou.blogspot.fr/p/osez-etre-vraiment-vous.html

 

Publié dans:ELEMENTS, ENERGIES, NATURE, VIDEOS à voir |on 27 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’énergie des pyramides

L'énergie des pyramides dans ENERGIES images-41

Depuis des décennies, l’énergie des pyramides a posé un certain nombre de questions à la conscience humaine.
Pourquoi ont-elles été construites ? Comment les effets produits par ces formes particulières sont-ils si « étranges » ?
Peut-on réellement utiliser à volonté cette énergie subtile, aux propriétés étonnantes ?

Autant de questions intéressantes et judicieuses qu’un grand nombre de chercheurs érudits se sont posées. Quelques fois les réponses, ou les intuitions, ressortant de ces recherches apportaient encore plus de questions et épaississaient le mystère. De nombreux livres ont été écrits, avec plus ou moins de bonheur. Certains, surfant sur la vague d’un «  ésotérisme à deux sous  », ne valent pas plus que le papier sur lequel ils ont été imprimés.

D’autres, en revanche, sont le fruit de travaux menés par des chercheurs érudits et compétents, qui nous ont fait part de leurs conclusions et interrogations. Nombre de celles-ci, si on y réfléchi à deux fois, apportent une pierre supplémentaire à l’édifice, déjà fort élevé, des mystères occultes anciens.

Le livre d’Etienne Guillé, L’Energie des pyramides et l’homme fait partie de ces ouvrages qui s’avèrent d’une grande valeur, si l’on prend bien la peine de les lire et les étudier avec soin. Les mystères entourant l’énergie des pyramides se trouvent éclaircis, tout au moins dans l’un de leurs aspects principaux. D’autres facettes des ces mystères restent encore à résoudre, mais ici, une avancée significative est faite.

Voyez ce qu’en dit l’éditeur :
« Des pyramides s’élèvent dans plusieurs régions du globe (Égypte, Mexique, Chine…). Un renouveau de la construction pyramidale s’amorce dans le monde moderne. Que symbolise cette forme ? 
Dans le cas des pyramides égyptiennes, les hypothèses sont multiples (monument funéraire, temple solaire…). Dans un foisonnement d’interprétations, une certitude existe cependant : les dimensions et les différents rapports géométriques caractérisant les pyramides n’ont pas été choisis au hasard. Ils sont homologues de structures cosmiques et humaines spécifiques et efficientes. Les pyramides égyptiennes recevaient et émettaient des vibrations permettant à l’être vivant d’être un relais essentiel entre le Ciel et la Terre.

En retrouvant dans ses découvertes scientifiques les données des anciennes traditions, Étienne Guillé apporte des solutions originales. Il a mis au point un langage vibratoire basé sur les conformations de molécules d’ADN présentes dans nos milliards de cellules. En utilisant ce nouveau langage, il montre que le tissage vibratoire – base de l’architecture énergétique de chaque être vivant – est tenu et animé par la pyramide de l’Esprit, la double pyramide de l’Ame et la pyramide du Corps.

Cette découverte des pyramides vibratoires de l’être vivant permet de retrouver en chaque individu la beauté et la grandeur de l’Égypte : le sentiment de l’Éternel et de l’Immuable, et l’idée que l’homme est à construire, car le processus vital est une succession de portes à franchir. Il nous faut retrouver des perceptions oubliées, plus subtiles, par lesquelles nous pouvons recevoir l’énergie du cosmos et nous transformer. »

Ceci résume parfaitement le contenu de ce livre qui, avec clarté et simplicité vous fera découvrir des horizons de recherches insoupçonnés. Il est nécessaire de citer aussi certains aspects bien connus des effets produits par l’énergie des pyramides, comme par exemple la momification de la viande, ou des fruits, l’affutage des lames de rasoirs émoussées, la charge positive de verres d’eau, charge faite à des fins thérapeutiques.
Sans oublier, bien sur, les phénomènes de transmissions « à distance » d’ondes de formes, à l’aide de pyramides miniatures et de pendules de Thot (ou pendule Egyptien).
Tous ces aspects sont également forts intéressants, mais celui traité par Etienne Guillé m’est apparu comme pouvant être utile au plus grand nombre, c’est pourquoi j’ai souhaité porter un certain éclairage sur ce livre qui mérite vraiment d’être lu et surtout étudié.

DC Braibant
Auteur du livre : «  les vérités interdites  »

Publié dans:ENERGIES, PYRAMIDE |on 22 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Pourquoi parle-t-on de 5 éléments ?

Pourquoi parle-t-on de 5 éléments ? dans ELEMENTS images-102

Le Feng Shui, c’est aussi le respect de l’environnement, de la nature. Et ceci passe par l’observation des 5 éléments. Les éléments font partie intégrante de toute civilisation. « Leurs rapports les uns avec les autres sont régis par une chaîne d’énergie hiérarchisée mais équilibrée, de telle sorte qu’aucun ne puisse primer sur l’autre ».

  • L’Eau, qui est l’élément n°1, est matérialisée par des formes ondulées, discontinues, de coloris bleus à noirs. Les matériaux qui lui conviennent sont le verre, le miroir. Quant aux tissus, il s’agit de satins et de tulles, de formes tie-dye, de paisley.
  • Le Feu, élément n°2, est symbolisé par des formes géométriques abstraites et formes d’animaux. Artistiquement, cet élément correspond au lever de soleil, aux tournesols, aux tons rouges. Les tissus à utiliser seront à base de soie.
  • Le Bois, qui est le troisième élément, est souvent représenté par des forêts, des fleurs, des feuilles et sa couleur est le vert. Les tissus à employer sont le coton, le lin et la rayonne. Le matériau lui correspondant est le bois.
  • Le Métal, en tant qu’élément n°4, se symbolise par des ronds, des demi-cercles, des sculptures aux formes généreuses et courbes. Ses couleurs sont l’or, l’argent, le cuivre et son matériau le métal.
  • La Terre est le cinquième élément. Cet élément est figuré par des formes géométriques carrées, rectangulaires, imposantes, dans des tons jaunes à bruns, tels les grands espaces, les déserts. Les matériaux qui conviennent sont les pierres précieuses ou semi-précieuses et les céramiques

Où se trouve votre propre harmonie et équilibre ?

D’après le feng shui, notre existence se scinde en 9 secteurs :

  • La carrière est dans le secteur situé au Nord.
  • L’amour est dans le secteur situé au Sud/Ouest.
  • La santé est dans le secteur situé à l’Est.
  • La richesse est dans le secteur situé au Sud / Est.
  • Le centre où sont situés le yin et le yang.
  • Les amis et l’aide extérieure sont dans le secteur situé au Nord / Ouest.
  • Les enfants et la créativité sont dans le secteur situé à l’Ouest.
  • Savoir et connaissance est dans le secteur situé au Nord / Est.
  • La renommée, la réputation sont dans le secteur situé au Sud.

Pour résumer, pour que le Ch’i circule librement et sans contrainte, il faut trouver le bon équilibre entre les éléments et les emplacements.

Qu’est-ce que le Feng-Shui ?
Le Feng-Shui est un art chinois très ancien basé sur la circulation du Chi, énergie vitale présente en chaque être

 

Publié dans:ELEMENTS, ENERGIES, GUERISON |on 20 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

Le même Dieu

 

Le même Dieu  dans AME 8Il est clair que le concept de Dieu sur lequel je médite n’a de limite ni dans le temps ni dans l’espace. Nous ne pouvons pas non plus borner l’Absolu à un simple processus d’évolution comme cela se fait encore, n’est ce pas? Dieu détient naturellement la liberté d’être tout ce qui peut s’imaginer et se situe au même instant au delà de toute imagination. L’Infini n’est pas que lumière ou énergie. S’il s’agit vraiment d’une conception infinie de la Vérité Absolue, Dieu peut également être une Entité Vivante multidimensionnelle, intemporelle et intellectuellement inconcevable. En tant que telle, Dieu possède une infinité de Formes et de Noms, non différents de Lui-même et qui correspondent à une qualité spécifique ou à un mouvement qui Lui est propre. Ainsi le mot « Adonaï », par exemple, définit en langue hébraïque, un Absolu qui est source de toute abondance, et le mot « Krishna » montre, dans l’ancienne langue sanscrite, le caractère résolument fascinant de la Divinité. Me suis tu?

L’âme ancestrale de tous les êtres vivants, en tant que parcelle divine, possède en partie les mêmes potentiels que Dieu et ne connaît donc aucune frontière de temps, de lieu, d’époque ou de culture. Pour illustrer cette idée, tu n’as qu’à visualiser une étoile filante qui traverserait la portion du ciel situé au dessus de l’Australie. Est-ce que cette étoile en deviendrait australienne pour autant? Bien sûr que non. De la même manière, vois tu, Dieu ne devient pas hindou, chrétien ou juif lorsque nous nous unissons à Lui dans un temple, dans une église ou dans une synagogue.

L’âme humaine n’est à aucun moment canadienne ou française même lorsqu’elle se trouve socialement conditionnée et qu’elle s’identifie artificiellement, pour quelques courtes années terrestres, à une nationalité particulière. Certains peuvent le penser, mais cela est une autre histoire. En saisissant la nature de l’âme, tu peux saisir la nature de Dieu car ces deux réalités participent de la même essence.

C’est pourquoi, mon cher ami, lorsque tu rencontres des mots qui définissent ce qu’il y a de plus sacré en nous, que ce soit « Krishna », « Christo », ou tout autre appellation de ce genre, ne soit pas tenté de refermer ton cœur, et ton livre par la même occasion… Avant d’associer le mot à une expérience vécue, prend le temps de regarder au fond de toi et vois si tu n’es pas tenté de retomber victime de vieux préjugés, ou tout au moins d’être influencé par toute une série de conditionnements sociaux. D’accord? Pourquoi donc te faudrait-il craindre des Noms Sacrés qui sont venus jusqu’à toi librement et spontanément, portés par des millénaires de sagesse universelle?

Oh, je n’ignore pas à quel point ces Noms ont pu être malmenés, jusqu’à être traînés dans la boue et quelquefois mêlés à toute sorte de circonstances. Je connais la mauvaise presse que les hommes ont pu leur donner. J’en conviens, il n’est pas toujours facile de détecter en Eux leur vérité première car Ils savent bien garder leur incroyable secret. Toutefois, Ils illuminent encore l’espace tout entier et l’amour dont ils sont gorgés, sous forme d’énergies sonores, représente sans doute le plus intriguant des mystères. Des millions de gens les ont murmurés, un jour ou l’autre, et les ont ainsi chargés de leurs bénédictions. C’est sans doute aussi pourquoi les Noms Divins semblent déborder de puissances spirituelles et d’effets curatifs insoupçonnés. Innombrables ceux et celles qui par Eux ont été soulagés, guéris, et qui le sont encore aujourd’hui.

Lorsqu’un son est émis, il met en mouvement des ondes invisibles qui ouvrent un canal entre nous et les formes subtiles qui correspondent à ce son. Cela t’explique sans doute pourquoi je tiens tant à appeler Dieu par Ses multiples Noms et pourquoi Ils apparaissent si fréquemment dans mon travail. Ils sont pour moi un passage vers la présence de l’Ange Suprême.

Je te remercie d’être touché par cette rencontre et de rester à l’écoute de toutes ces Harmonies Divines que nous connaissons déjà sur la planète Terre, ainsi que de toutes celles qu’il nous reste encore à découvrir.

Sincèrement,
Patrick Bernard : http://www.patrickbernard.com/fr/la-protection-divine

Publié dans:AME, ENERGIES |on 23 août, 2013 |Pas de commentaires »

Codage numérique des couleurs

Codage numérique des couleurs dans CHIFFRES images-36

Un dessin, une image sont constitués de différentes couleurs déposées sur une surface. Comment la transformer en une suite de nombres? Tout comme pour les sons, cette transformation comporte 3 étapes. L’image est d’abord segmentée en minuscules carrés (ou autre forme géométrique telle que losange) que l’on nomme des pixels. Ce processus est analogue à la segmentation du son, avec la différence qu’elle a lieu dans l’espace pour la couleur et dans le temps pour le son. Afin que l’oeil ne se rende pas compte de la segmentation, les carrés doivent être suffisamment petits pour être indiscernables. Le nombre de carrés par cm ou pouce s’appelle la résolution.

Prenons d’abord le cas d’une image en noir et blanc. Chaque carré de l’image se caractérise par son niveau de luminosité, plus ou moins clair ou sombre, du noir au blanc. La deuxième étape consiste à remplacer cette plage continue de luminosité par un découpage en niveaux équidistants. Plus ce découpage est fin, plus on pourra rendre compte des nuances de gris. On retient, pour les applications courantes, 256 niveaux, de 0 (noir) à 255 (blanc).

Pour représenter une couleur par un nombre, on utilise une propriété remarquable: toute couleur peut être obtenue en superposant une certaine quantité (ou luminosité) de 3 couleurs fondamentales, le rouge, le vert et le bleu (RVB). Aussi, son code numérique est-il fait de 3 nombres, les niveaux de luminosité de ces trois couleurs fondamentales. Ces 3 valeurs peuvent être combinées en une seule formule, et désignées par un seul nombre en système hexadécimal, qui est traduit en binaire.

En définitive, un pixel de couleur est défini par les 3 valeurs de luminosité des couleurs fondamentales, ainsi que par son emplacement, lui-même défini par ses deux coordonnées. (Pour plus de détails sur tous ces aspects, voir Nature et perception de la couleur).

Source 

Publié dans:CHIFFRES, ENERGIES, LUMIERE |on 7 août, 2013 |Pas de commentaires »

Sortir hors de son corps

  Folie, imposture ou voie d’Eveil ?

Par Akhena

Sortir hors de son corps dans ASCENSION images-12

 Après plus de 40 années d’expériences, doublées du contact avec des milliers d’élèves sincères et résolus, je peux affirmer que sortir hors de son corps est possible, n’est pas chose dangereuse et ouvre sur une incomparable évolution intérieure. Je suis très heureuse d’avoir choisi de me consacrer pleinement à sa pratique et à son enseignement.

La SHC nous permet d’expérimenter l’univers multidimensionnel de notre conscience. Elle n’implique pas de dons extraordinaires. Sans doute, faut-il croire que nous ne sommes pas qu’un corps physique
Ni fuite ni refuge, elle nous recale sans cesse dans notre réalité et nous demande aussi d’être enracinés dans le monde. L’une des découvertes majeures de la SHC est qu’il n’y a pas de barrières entre nous et la Vie, que les formes ne sont que transitoires et ne doivent en aucun cas nous séparer de l’autre, de l’Univers, de tous les êtres vivants. Elle nous fait prendre conscience de notre unité avec l’infiniment petit ou l’infiniment grand. Savoir d’expérience que la mort physique ne sera qu’un changement de forme et qu’une nouvelle aventure au sein de la Vie nous attend, est une force.

La SHC ne peut se produire que lorsque le corps physique est endormi. Pour reprendre des expressions utilisées par d’autres chercheurs : « corps physique endormi, conscience éveillée »(2) ou encore « dormir en étant réveillé »(3) caractérisent la SHC. Une SHC ne peut passer inaperçue car elle s’accompagne de sensations très fortes qui caractérisent ce qu’on appelle « l’état vibratoire ». Le corps physique, lui, dort paisiblement et ne court aucun danger. Elle ne peut pas non plus se confondre avec un rêve, ordinaire ou lucide. Des vérifications sont possibles. De plus en plus d’observations sont menées en milieu médical ou scientifique. Des témoignages viennent de tous les continents et de tous les âges. Aujourd’hui, la SHC est identifiée et reconnue comme une des phases essentielles des NDE (4).

Inutile de préciser qu’une SHC demande un travail assidu. Les qualités nécessaires sont motivation, détermination, goût de l’inconnu. L’état d’esprit requis est celui de l’explorateur lancé à la découverte d’un monde nouveau. 
Pas de recette magique, de « sésame, ouvre-toi » ni de bouton sur lequel appuyer. Bien sûr, il y a des grâces ! Une expérience spontanée en est une, mais une SHC isolée mène rarement à la compréhension du processus. La SHC n’est pas un but en soi mais un outil que nous devons apprendre à mettre au service de notre éveil et de notre évolution.

Trouver vous-même les réponses à vos questions existentielles, poser sur votre environnement un regard neuf, nourrir votre éveil spirituel n’est-ce pas une belle expérience ? 
Si je peux entrer et sortir de mon corps physique, je peux exister sans lui, sa mort n’est donc pas ma fin. Je peux penser, ressentir, vouloir et agir dans d’autres contextes que le monde physique. Je peux explorer le monde terrestre et l’univers, apprendre à mieux me connaître, identifier mes projections et m’en débarrasser, découvrir d’autres réalités, d’autres dimensions, recevoir des enseignements en toutes matières, revoir des êtres décédés, expérimenter directement la présence de guides spirituels, me ressourcer aux mondes de l’âme, vivre ma connexion avec l’Energie créatrice, vibrer en unité avec la Vie… ! 

– A lire : « Sortir hors de son corps, quarante années d’expériences aujourd’hui partagées » 406 pages, éditions Channel Soleil. 

En savoir plus : ici 
1 : SHC : Sortie Hors du Corps 2 : Patrick Drouot 3 : Traditions yogique, tibétaine… 4 : NDE pour « Near Death Experience » Le psychiatre américain R. Moody a recueilli pendant vingt ans les témoignages de personnes qui ont connu une NDE (cf : La Vie après la vie). Ces expériences sont maintenant étudiées par de nombreux scientifiques (médecins, cardiologues, anesthésistes, biologistes). Les apports de la SHC

Venez nous rejoindre sur le forum http://devantsoi.forumgratuit.org/

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES, POUVOIR |on 4 août, 2013 |Pas de commentaires »

Reconstituer l’univers en laboratoire

 

Dès le début, l’univers contient en germe les conditions requises pour l’émergence d’un être vivant et conscient. Comme le physicien anglo-américain Freeman Dyson l’a exprimé avec éloquence : « L’univers savait quelque part que l’homme allait venir. » 

Reconstituer l’univers en laboratoire dans CO-CREATION b2

Comment s’est-on aperçu de ce réglage extrêmement précis de l’univers en vue de l’apparition d’une vie consciente ? Il faut savoir que les propriétés de l’univers sont déterminées par une quinzaine de nombres appelés « constantes fondamentales de la nature » ainsi que par son état physique au moment de sa naissance – ce qu’on appelle les « conditions initiales ». Prenons l’exemple d’une balle que je jette en l’air. Je peux déterminer exactement où et à quel moment elle va atterrir, si je connais les lois physiques (ici la loi de la gravité, déterminés par la constante gravitationnelle) ainsi que les conditions initiales, c’est-à-dire le point et l’instant précis où la balle a quitté ma main, la force avec laquelle je l’ai lancée, etc. Selon la théorie déterministe, détenir les constantes physiques et les conditions initiales permet de déterminer toutes les propriétés de l’univers. Les constantes de la nature sont, par exemple, la vitesse de la lumière, la masse de l’électron, sa charge électrique, la constante de gravitation, qui détermine l’intensité de la force gravitationnelle, ou encore la constante de Planck qui détermine la taille des atomes. Nous avons pu mesurer expérimentalement ces nombres avec une très grande précision, mais nous n’avons pas de théorie pour expliquer la valeur qu’elles ont plutôt qu’une autre. Par exemple, nous ne savons pas pourquoi la lumière voyage à 300 000 kilomètres par seconde au lieu de 3 mètres par seconde ou cent vingt millions kilomètres par seconde. Or ces constantes déterminent non seulement la masse et la taille des galaxies, des étoiles, des planètes, mais aussi de toute autre chose dans l’univers, y compris les êtres vivants : la hauteur de l’Everest, les contours délicats d’une pétale de rose, le long cou d’une girafe ou la fine taille d’une femme. La réalité autour de nous serait toute autre si ces constantes avaient des valeurs différentes. Ces constantes, comme leur nom l’indique, ne varient ni dans l’espace ni dans le temps. Quant aux conditions initiales, il s’agit entre autres de la densité de matière et d’énergie de l’univers, ou encore de son taux d’expansion au moment du Big Bang. 

Bien sûr, nous ne pouvons pas recréer l’univers en laboratoire. L’expérience a eu lieu une fois pour toutes. Mais les astrophysiciens peuvent jouer aux dieux créateurs en construisant des modèles d’univers, chacun avec sa propre combinaison de constantes et de conditions initiales, grâce à la puissance des ordinateurs modernes. La question à mille euros qu’ils se sont posée pour chaque modèle d’univers est : héberge-t-il la vie et la conscience après une évolution de 13,7 milliards d’années ? La réponse est des plus surprenantes : la vaste majorité des univers possède une combinaison perdante de constantes physiques et de conditions initiales et se retrouve dépourvue de vie et de conscience –sauf le nôtre, dont la combinaison est gagnante et dont nous représentons, en quelque sorte, le gros lot. La plupart des univers sont stériles parce qu’ils sont incapables de fabriquer des étoiles massives. Sans celles-ci, les éléments lourds comme le carbone, briques de la vie, ne pourraient pas exister. Et sans éléments lourds, la vie et la conscience ne seraient pas possibles. Car il ne faut oublier que nous sommes des poussières d’étoiles. La composition chimique actuelle des étoiles et des galaxies est de 75% en hydrogène, de 23% en hélium, et de 2% en éléments lourds. Ces éléments lourds jouent un rôle extrêmement important, parce que ce sont eux qui permettent à la complexité de se construire. Pendant les trois premières minutes de son histoire, l’univers n’avait pu produire que des noyaux d’hydrogène (formés d’un seul proton) et d’hélium (formés de deux protons et deux neutrons). Des éléments plus complexes n’ont pas pu être fabriqués après les trois premières minutes de l’univers parce que celui-ci se diluait inexorablement, empêchant les protons et les neutrons de se rencontrer et de s’unir pour former des noyaux d’atomes plus complexes, tel le carbone, l’oxygène ou l’azote. Parce que l’hydrogène est trop simple et que l’hélium est trop stable pour réagir chimiquement, si l’univers n’avait pas inventé les étoiles qui, par leur alchimie nucléaire fabriquent les éléments lourds, les acides aminés, les molécules d’ADN n’auraient pas fait leur apparition, la complexité n’aurait pas pu se construire, et l’univers serait dépourvu de vie et de conscience. L’univers aurait été bien morne et triste : il ne contiendrait que des nuages d’hydrogène et d’hélium et n’aurait formé ni galaxies, ni étoiles, ni planètes, ni hommes. Et surtout, il n’aurait jamais généré cet objet le plus complexe qui soit connu dans l’univers, le cerveau humain composé de quelque cent milliards de neurones, autant que le nombre d’étoiles dans une galaxie, ou de galaxies dans l’univers observable !

Lire la suite ici…… 

Publié dans:CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, ELEMENTS, ENERGIES |on 26 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

L’Etat énergétique

L'Etat énergétique dans ENERGIES energetique

La partie jaune du schéma nous montre l’énergie dite spirituelle qui englobe notre univers matériel. Au-delà, la partie rouge est une énergie encore plus fine et le tout se trouve circonscrit dans une sorte de membrane de protection qui isole l’ensemble de la matrice du « cosmos » intermatriciel. Concernant ce cosmos, je voudrais indiquer que ce que j’ai nommé le cosmos intérieur, est en réalité ce cosmos là. Les paradoxes sont nombreux dans la « réalité » de la création, puisque ce qui est extérieur du point de vue de ce schéma est en fait intérieur du point de vue de quelqu’un qui s’éveille à l’énergie cellulaire, c’est-à-dire à sa propre énergie.

Partant du principe que tout ce qui est en haut est comme ce qui est en bas, il est plus aisé de comprendre que nos cellules elles-mêmes sont constituées de l’énergie qui constitue l’univers dans son ensemble. En augmentant son énergie, on arrive dans la partie jaune et en augmentant encore, dans la partie rouge. Tous les plans se trouvent donc contenus dans le cœur même de nos cellules. La manifestation matérielle étant une extériorisation, quant à la réalité spirituelle, elle est une intériorisation. Cela produit une situation inverse par rapport à ce schéma.

Ce schéma est donc une visualisation à partir de notre vision matérielle extériorisée. On peut en quelque sorte retourner la vision extérieure et l’appliquer à la vision intérieure et c’est là que nous trouvons notre porte de sortie de la matrice ou de toutes les matrices d’ailleurs. Ce que j’ai nommé « la roue » dans le troisième article de la section L’état Energétique, est une réalité énergétique constituée d’un « individu » qui se retrouve en dehors de la matrice, dans le cosmos intermatriciel, et qui a constitué une sorte de bulle de protection comme le font les matrices. L’être conscient voyageur libre, est composé de réalité énergétique, qui n’est pas vraiment circulaire comme une roue d’ailleurs, mais qui est plutôt sans forme et qui peut entrer dans des matrices de son choix pour y prendre des formes…

Afin d’être pleinement libéré de la prison d’une matrice, l’être énergétique doit non seulement connaître les plans supérieurs mais également les plans qui sous-tendent la 3D, à savoir la deuxième et la première dimension.  L’ignorance et la manipulation par des entités vampiriques ont voilé la connaissance de ces deux dimensions inférieures. S’en libérer, consiste à retrouver tous les « secrets » qui voilent notre manifestation. C’est au sein de la 1D que nous sommes maintenus prisonniers et séparés de notre âme jumelle, dépolarisés. Cette réalité étant maintenue « inconsciente » afin de nous cacher notre liberté intrinsèque. La description du périple qui m’a menée à connaître ces plans inférieurs est publiée dans la section V.I.T.R.I.O.L. : http://rapsody.unblog.fr/category/t-v-la-fin-de-la-prison/

Publié dans:ENERGIES |on 14 juillet, 2013 |Pas de commentaires »

Guérisseurs des Lieux

 

par Daniel Souque et Véronique Martin

  •  Guérisseurs des Lieux dans ENERGIES chantellle

Un jour nous avons décidé d’entrer dans l’univers étrange des phénomènes qui ne se voient pas, ne s’expliquent pas et par déduction logique : n’existent pas ! Et pourtant… cette plongée au coeur de l’impossible nous a permis de redonner vie et lumière à des habitations qui avaient perdu leur âme…

Nous nous sommes investis, tout d’abord, dans les soins et équilibres énergétiques des personnes et les circonstances nous ont amené à prendre en considération l’énergie de l’habitat comme faisant partie intégrante de la Bio Energie humaine. Ce sont les occupants d’habitations perturbées, qui nous ont incités à aller plus loin dans cette recherche. 

  Ondes inter-dimensionnelles 
Aujourd’hui, on connait mieux, grâce à la géobiologie, l’impact que peuvent avoir les perturbations souterraines sur la santé de ses occupants (eau souterraine, failles, réseaux magnétiques…). Il s’agit d’incidences liées aux courants telluriques dénommés également : ondes telluriques. 

Certaines d’entre elles sont repérables par les variations du champ magnétique terrestre. Mais il arrive que l’équilibre de certaines habitations soit bouleversé sans qu’il y ait, apparemment, de perturbation en relation avec le sous sol. Ces ondes extrêmement nocives n’appartiennent pas à la dimension physique. Elles sont, la plupart du temps, rattachées à une autre forme de lumière qui nait de la conscience et seraient du ressort de la physique quantique. 
Contrairement aux radiations électromagnétiques et d’hyper fréquences (téléphonie, micro ondes, radio) parfaitement maitrisées par la technologie moderne, aucun appareil (caméra IR, détecteurs de champ magnétiques ou d’ondes électromagnétiques) ne peut les repérer. Seul l’être humain, avec sa conscience et sa sensibilité, peut y avoir accès. 

  La terre souffre des agissements inconscients de l’humain 
Enclos, terrains, maisons et immeubles d’habitation, de travail sont directement affectés. A partir du moment où l’on accepte cette réalité, il est possible d’accéder aux différents phénomènes qui créent une rupture de l’équilibre cosmo tellurique d’un lieu, puis de les repérer afin de les traiter. Le lien entre maison et habitant est, à l’échelle individuelle, ce qu’est la Planète pour l’humanité. Les guerres, la haine, les destructions, la pollution sont le fait de l’homme et de son libre arbitre. Les lieux de vie s’imprègnent au fil du temps des actes de chacun qui s’inscrivent et parfois peuvent se perpétuer. Ce sont les mémoires des murs et des lieux. Chaque maison est unique, chaque histoire est différente. A travers nos méthodes et nos mesures nous avons établi une liste graduelle permettant de reconnaître l’énergie qui perturbe les lieux. 

  Cinq gradations apparaissent 
  Les mémoires des murs et des lieux. 
  Les présences (personnes décédées toujours rattachées à notre plan physique) perturbants mais sans malveillance. 
  Les entités négatives circulant par l’intermédiaire de vortex du monde astral au monde physique et se nourrissant du mental-émotionnel des individus. 
  Les maisons envoutées causées par des personnes pratiquant magie noire et sorcellerie dans le but d’infliger souffrance et destruction. 
  Les maisons ténébreuses où de multiples faits paranormaux se produisent séparément ou simultanément. 

  Réveiller la lumière de la Terre 
L’habitat est un lieu essentiel de vie et de régénération. Ces maisons « obscures » sont nocives, voire dangereuses pour la santé. Eliminer ces énergies polluantes, recrée des conditions de vie saines, et permet aux occupants de retrouver leur sérénité. Tout soin apporté à la Terre, lui restitue un peu de sa lumière. 

Contact : Daniel SOUQUE Bio énergéticien 

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, GUERISON, POUVOIR |on 30 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Déraciner la souffrance

Extraits du livre 

Nicole Montinéri

Déraciner la souffrance dans ENERGIES souffranceC’est par la conscience que nous pénétrons au cœur de la vie. C’est elle qui perçoit avec clarté et force, sans juger, sans exiger, sans figer ou tendre vers un but. Il nous faut découvrir cet observateur silencieux de nos pensées, de nos sentiments, de nos tensions, de nos souffrances, et comprendre que c’est l’esprit seul qui bloque ce flux naturel en s’y identifiant au point qu’il ne laisse plus aucun espace. Nous devons permettre à la conscience d’apparaître à chaque mouvement de notre intériorité et d’entrer au cœur de chaque évènement qui se présente. C’est elle qui nous dévoile la réalité et nous fait accéder à ce que la vie a de plus profond. Lorsque nous vivons en pleine conscience le silence du jour qui se lève, souligné par le trille mélodieux d’un merle, nous sommes au cœur de l’absolu. Lorsque nous regardons la beauté simple et reflétons son harmonie, lorsque nous ressentons le lien qui nous unit au cosmos, nous exprimons la vie. Tout ce qui vient à nous est une manifestation de l’énergie pure : nos joies, nos chagrins, nos rencontres, les choses les plus banales, les gestes quotidiens les plus anodins. Tous les phénomènes qui s’offrent à notre regard, à notre écoute, à notre contact, sont l’absolu qui se révèle. Voir ainsi, juste avec la conscience, sans l’interférence des pensées qui parasitent la perception pure, rend la vie plus vivante, moins terne. Tout devient radieux autour de nous, plus expressif, les couleurs des fleurs, les chants des oiseaux…

« Voir ainsi est amour. Tout autre regard reste en surface… », nous dit Krishnamurti. L’amour, c’est l’espace de la vie, silencieux, libre, sans cause et sans but. C’est l’énergie de l’univers, intemporelle, impersonnelle, qui se meut en elle-même, sans direction. Nous l’incarnons lorsque nous épousons le mouvement de la vie, lorsque nous nous abandonnons à sa totalité et offrons à tous ceux que nous côtoyons notre espace de paix. L’amour n’est pas un sentiment envers quelqu’un, encore moins un attachement. Il n’est pas l’expression de l’ego, ne résulte pas d’un processus mental. Nous le rencontrons à chaque seconde de notre existence si nous savons regarder. Il est au creux d’un regard saisi, d’une conversation anodine. Il s’exprime dans chaque petite chose ordinaire, dans la tendresse de nos gestes, dans la patience de notre écoute, dans la douceur de nos paroles, dans la simplicité de notre esprit. Il est dans le respect du chemin de chacun, dans l’attention sensible à la souffrance des autres, dans le soin à un corps affaibli, dans l’acceptation de l’impermanence au cœur des êtres et des choses. 

Il n’y a rien de personnel à vouloir. La vie est son propre but. Elle s’expérimente elle-même lorsqu’elle suscite des occasions, propose des situations, place des évènements sur notre parcours terrestre. Elle se révèle à elle-même là où nous nous trouvons. C’est l’intelligence contenue dans cette énergie universelle qui réalise en nous selon son intention, qui nous porte selon son dessein, sans que nous n’ayons rien de particulier à faire, si ce n’est calmer notre vacarme mental. Nous sommes si ignorants que nous croyons que nous avons le pouvoir de programmer notre existence ! Nous ne nous posons jamais la question : qu’est-ce que la vie attend de moi pour pouvoir se réaliser ? Non, nous nous disons : je veux faire ceci de ma vie.

Mais tout peut arriver… et arrive !

Publié dans:ENERGIES, GUERISON |on 29 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Des âmes errantes que deviennent-elles ?

Les âmes errantes des morts

Des âmes errantes que deviennent-elles ? dans AME 1-300x300

A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.

Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 
Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 

Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

Article paru sur http://www.inrees.com/

Les regrets des mourants

Une infirmière australienne, spécialisée dans un service de soins palliatifs d’un hôpital, a accompagné les personnes mourantes dans leurs derniers jours. Dans un livre paru fin 2011, elle a révélé quels étaient les regrets les plus courants que nous avions à la fin de notre vie. (Lu sur Yahoo!)

Les regrets des mourants dans ENERGIES 222 

Bronnie Ware n’est pas une infirmière comme les autres. Comme les autres, elle travaille dans un hôpital depuis plusieurs années pour venir en aide aux malades. Mais ce qui différencie Bronnie Ware de ses collègues, c’est qu‘elle a accompagné des patients lors des 12 dernières semaines de leur vie. Pendant de longs mois, elle a minutieusement relevé dans un blog les regrets qu’ils éprouvaient à l’approche de la mort. « Inspiration and Chai » a ensuite été posé sur le papier pour en faire un livre, qu’elle a sobrement intitulé « Le top 5 des regrets du mourant ». Bronnie Ware y évoque notamment l’exceptionnelle clairvoyance dont ont fait preuve ses patients avant de mourir, et comment nous pourrions apprendre de leur sagesse. Voici les 5 regrets les plus cités au cours des nombreuses années qu’elle a passées à leurs côtés.

1 – J’aurais aimé avoir le courage de vivre ma vie comme je le voulais, et non pas comme les autres l’entendaient

« C’était le regret qu’ils avaient le plus en commun. Quand les gens prennent conscience que leur vie est presque terminée et regardent derrière eux, il leur est plus facile de voir combien de rêves n’ont pas été réalisés. La plupart des gens n’ont pas réalisé la moitié de leurs rêves et vont mourir en sachant que c’est une conséquence directe des choix qu’ils ont fait, ou pas. La santé apporte une liberté dont très peu de gens se rendent compte, jusqu’à ce qu’ils ne l’aient plus. »

2 – J’aurais aimé ne pas travailler aussi dur

« Ce souhait est venu de tous les hommes que j’ai soignés. Ils n’ont pas assez vu leurs enfants grandir et n’ont pas passé suffisamment de temps avec leur femme. Les femmes ont également exprimé ce regret, mais comme la plupart étaient issues d’une génération plus âgée, nombreuses d’entre elles n’ont pas été « soutien de famille ». Tous les hommes regrettent d’avoir passé autant de temps dans leur vie à travailler. »

3 – J’aurais aimé avoir le courage d’exprimer mes sentiments

« Beaucoup de gens refoulent leurs sentiments afin de maintenir l’entente et la paix avec les autres. En conséquence, ils se sont installés dans une existence médiocre et n’ont jamais pu devenir ce qu’ils auraient aimé être. Beaucoup de maladies sont développées ou entretenues par l’amertume qui habite les patients. »

4 – J’aurais aimé rester en contact avec mes amis

« Souvent, ils se rendent compte trop tard qu’ils auraient pu profiter du soutien de leurs vieux amis dans les dernières semaines avant leur mort, mais il n’est jamais facile de les retrouver. Les gens sont tellement absorbés par leur propre vie qu’ils mettent de côté au fil des années des amitiés précieuses. Beaucoup regrettent de ne pas avoir fait assez d’effort et passé assez de temps pour les préserver. Les patients pensent souvent à leurs amis lorsqu’ils sont en train de mourir. »

5 – J’aurais aimé chercher à être plus heureux

« C’est un regret surprenant qu’ils avaient presque tous en commun. Beaucoup d’entre eux ne s’étaient pas rendus compte que le bonheur peut-être un choix. Ils sont restés coincés dans de vieux schémas et habitudes. Le soi-disant « confort » dans lequel ils étaient installés les a empêchés d’envisager les choses autrement, tétanisés dans leurs vies par la peur du changement. »

Lire l’article sur Yahoo!

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, HUMANITE, La MORT |on 22 juin, 2013 |Pas de commentaires »

Les chakras ou l’anatomie invisible de l’être humain

 

Par Christine et Michel Soenser

L’être humain est formé de plusieurs enveloppes subtiles qui l’entourent et s’interpénètrent de façon constante. 

Les trois principales sur lesquelles nous pouvons œuvrer sont : 
  L’enveloppe -ou aura- éthérique (intimement liée au corps physique). 
  L’enveloppe -ou aura- astrale. 
  L’enveloppe -ou aura- mentale. 

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Les chakras ou l’anatomie invisible de l’être humain dans CHAKRAS chakras-223x300

La vie et la conscience pénètrent dans le corps par sept courants d’énergie sonore et lumineuse. Ces sept courants ont leurs points de contact dans la tête et la colonne vertébrale de l’être humain et c’est par leurs rayonnements et par leurs vibrations qu’ils donnent naissance aux sept chakras principaux qui ressemblent à des tourbillons. Ces chakras sont activés sans cesse par l’énergie cosmique dont la fonction est d’entretenir et maintenir la vie et permettre l’expression de la conscience. 

Ces centres d’énergie étaient la première manifestation de l’énergie astrale dans la forme humaine. C’est à partir de ces centres qu’ont été construits les premières cellules nerveuses, le système nerveux et les organes. 

Les chakras sont des organes subtils, des centres d’échanges et des portes de communication avec le cosmos. _ Ils représentent également différents niveaux de conscience. 

Ils sont constitués d’éléments subtils, invisibles à l’œil physique. Chaque aura, éthérique, astrale ou mentale possède ses propres chakras.

Les chakras éthériques sont les intermédiaires entre le corps physique et les auras plus subtiles et alimentent les organes en énergie.

  Les chakras astraux sont logés dans l’aura astrale, ils sont constitués de matière plus subtile que les chakras éthérique. C’est leur stimulation qui permet à l’être de prendre conscience de l’existence des mondes invisibles ainsi que des énergies qui circulent constamment en lui et autour de lui et par là-même devenir ce que l’on appelle un « médium ». 

  Les chakras mentaux sont logés dans l’aura mentale. Ils sont constitués d’une essence encore plus fine et plus éthérée que les chakras éthériques et astraux. Ils sont d’une dimension différente, la dimension du principe intelligent dans l’homme. 
Les chakras sont séparés les uns des autres par une sorte de trame de tissus en matière subtile et éthérique très fine et très serrée. Ces barrières de protections sont plus particulièrement renforcées à certains carrefours énergétiques importants où ils constituent des portes difficiles à franchir, on les trouve au premier, quatrième et sixième chakra. Ces portes existent dans le dessein de séparer les mondes invisibles des mondes visibles pour que la vie de chaque plan ne vienne interférer de façon inappropriée dans un autre plan.

Connaître et oeuvrer sur les chakras fait partie intégrante de la compréhension de l’être humain.

Chacun de ces chakras est relié à différentes énergies ou symboles qui peuvent être : 
Un nom, un nombre, une couleur, un mantra, une forme, une huile essentielle, un animal, une glande, un ange, un élément, un principe, une planète, un sens (physique), la partie du corps qu’il alimente, etc… .

Ces centres d’énergies peuvent être en hypo ou hyperactivité ce qui peut engendrer des dysfonctionnements, dans un premier temps, psychologiques et éventuellement physiques.

Publié dans:CHAKRAS, ENERGIES |on 28 mai, 2013 |Pas de commentaires »

L’Étrangeté de la Liberté

Dana Mrkich : 

Visions Mensuelles de Mars 2012 : L’Étrangeté de la Liberté

L'Étrangeté de la Liberté dans ENERGIES 24La Terre est actuellement un peu comme une voiture de course, le pied sur l’accélérateur, elle avance à une vitesse vertigineuse vers une lumière vibratoire de plus en plus élevée qui se déverse sur nous. La lumière, et la vitesse à laquelle nous nous déplaçons, nous débarrassent de nos voiles et de nos entraves plus vite que nous ne pouvons le dire. Parfois la lumière fait que nous sommes dans une grande paix et heureux ; et peu importe ce qui se passe dans le monde extérieur, tout va bien dans notre domaine intérieur. D’autres fois, comme cela a été le cas pendant les jours qui ont précédé Mars, nous nous sentons comme des passagers malheureux agrippés à leur ceinture qui pensent à leur chère vie, les jointures blanches et crispées. En collant notre tête contre la fenêtre et en cherchant un peu d’air qui ne nous apporte aucun soulagement – nous sommes accueillis par des vents soufflant à 500 miles à l’heure qui battent nos visages. Nous regardons le chauffeur – en constatant que Madame la Terre-Mère a pris le contrôle, ce qui est étonnant pour une femme de plusieurs milliers d’année, en espérant que notre regard inquiet puisse lui inspirer de la pitié et qu’elle ralentisse. Pas de chance. Elle regarde au-dessus de nous avec une lueur sauvage et crie « Est-ce que vous n’aimez pas ce sentiment de liberté ! » Euh, c’est donc cela ?

Oui, les amis. Le nœud dans votre estomac, la peur qui s’accroche à vous et l’hyperventilation due à la panique sont les résultats d’un éveil quotidien à une plus grande liberté énergétique, ouvrant ainsi la voie à plus de liberté dans notre vie physique matérialisée. Nous n’avons plus à jouer les mêmes vieux rôles. Nous n’avons plus à répéter les mêmes vieilles histoires. Anciennes croyances ? à la poubelle. Travail et relations qui ne fonctionnent plus pour vous ? Le conseil tribal a parlé – vous pouvez les éliminer. Cela ressemble surement au paradis ? Est-que ce n’est pas ainsi que notre nouvelle réalité est censée être ? Un paradis bienheureux et merveilleux ? D’une certaine manière, nous avons oublié de lire les petites lignes de notre contrat qui était « Venez tous sur Terre au milieu du plus grand des Changements » : La liberté peut sembler légèrement plus terrifiante et complètement nous désorienter après des vies de répression générale et de limitation.

Les énergies de Liberté sont bel et bien sur nous ; et Mars va franchir un (ou mille) nouveau palier. Alors que notre Âme s’assoit au-dessus de la voiture de course en souriant comme un jockey qui va gagner le Derby Kentucky, notre ego/esprit/ancien soi est celui qui, en dessous de nous, a des moments difficiles. « Qu’est-ce que tu veux ? Quitter ton travail ? Est-ce que tu es fou ? Tu ne vas jamais t’en sortir financièrement. Qu’est-ce que tu vas faire ? Est-ce que tu penses qu’il y a une âme sœur pour toi dans les environ ? Est-ce que tu penses que tu vas changer ta vie avec tes nouvelles pensées positives / objectifs positifs / ou quoi que ce soit de positif ? Eh bien, cela va durer quelque jours comme tout le reste, tu te prends pour qui ? Tu as ce que tu appelles? Des besoins ??? tu as tes propres besoins ? Et tu veux qu’ils se réalisent ? Hahahaha , très drôle, remets-toi au travail. »

Nous faisons face à une période faite de hauts et de bas énergétiques alors que nous traversons un paradigme majeur de transition. Le besoin d’exprimer de façon authentique et créative notre vrai Soi nous sollicite avec intensité. Nous savons qu’il ne peut plus y avoir de compromis. Plus de procrastination. Plus de promesses rompues faites à nous-même. C’en est assez de retarder d’être qui nous sommes vraiment, de retarder ce que nous savons vouloir ou avoir besoin de faire. Cependant alors que cela semble excitant et exaltant à un certain niveau, cela déclenche également les tous derniers restes de schémas d’auto-sabotage intérieur – et ces schémas arrivent en miroir par le biais de situations ou des personnes autour de nous qui semblent nous bloquer ainsi que de notre propre voix intérieure critique. Il semble que le mot d’ordre soit : il n’y a qu’un seul auto-saboteur dans le bâtiment ici. Et devinez qui ?

Donc toute cette liberté peut effectivement être ressentie comme assez lourde et triste au début ; nous pouvons nous sentir déçus et désillusionnés sur nous-même, notre vie, nos rêves ou notre monde. Chaque cellule de notre corps veut ce que nous voulons ; et maintenant plus que jamais, nous savons vraiment que nous ne pouvons plus continuer à avancer dans nos vies en étant moins que ce que nous connaissons vraiment être de nous-même. Nous ne pouvons plus continuer à faire ce que nous faisions, nous ne pouvons plus revenir en arrière, ou rester où nous sommes alors que nous avons déjà bougé énergétiquement. Nous devons aller faire ce que nous avons à faire ; et il y un fort sentiment de « c’est maintenant ou jamais » à ce besoin. Pourtant il y a toutes ces choses en nous et autour de nous qui nous disent que nous ne pouvons pas le faire, que nous ne pouvons pas l’avoir, que cela ne va pas se passer ou bien que c’est impossible. Donc nous passons beaucoup de temps à être bloqués et confus – en ne voulant pas rester où nous sommes ou bien retourner d’où nous venons, tout en ne sachant pas trop comment aller de l’avant.

Nous nous sentons ainsi car le concept et la réalité de liberté illimitée nous semblent totalement étrangers. La liberté illimitée ne nous est pas étrangère bien sûr, c’est notre d’état d’être naturel. Cependant, nous avons fonctionné sans elle depuis si longtemps, ou tout du moins nous étions dans l’illusion que nous ne l’avions pas depuis si longtemps, que nous avons pratiquement oublié ce qu’il fallait faire et comment l’utiliser. Nous sommes comme des prisonniers qui viennent juste d’être libérés après des années d’isolement dans l’obscurité. La lumière d’un ciel ouvert et ensoleillé peut être aveuglante. Et c’est un fait réel que les deux tiers des prisonniers récidivent après leur libération car ils ne savent pas comment fonctionner d’une manière saine et responsable comme des adultes libres. La prison devient alors leur zone de confort.

Nous ne pouvons plus laisser notre ancienne réalité être notre zone de confort parce que, comme vous le savez, ce n’est plus du tout confortable. Oui, des aspects de celle-ci nous ont donné des choses dont nous avions besoin – la sécurité financière par exemple – donc une autre raison qui fait que nous trouvons si difficile de lâcher-prise et de sauter la tête la première avec notre Terre-Mère dans le nouveau, c’est que nous craignons que le nouveau ne nous donne pas les choses dont nous avons besoin. L’ironie est que le nouveau a le potentiel de non seulement nous fournir ce dont nous avons besoin mais également d’ouvrir des portails d’opportunités et d’expériences que nous n’aurions même jamais pensé à demander. Ces portes ne sont habituellement pas visibles à partir de la perspective de nos anciennes vies. Et comme nous aimons tant avoir des garanties avant de faire des changements drastiques, c’est souvent seulement lorsque nous nous sommes enfin engagés dans le nouveau que nos nouvelles portes apparaissent.

Comment cela fonctionne-t-il dans la vie réelle avec des factures à payer et des enfants à charge ? Demandez à ce qu’on vous montre un pont entre l’ancien et le nouveau qui va vous aider à y arriver d’une manière plus facile. ‘Juste avoir confiance’ fonctionne mais c’est plus facile à dire qu’à faire pour de nombreuses personnes. Donc si ‘juste avoir confiance’ vous semble un peu trop ‘lala’ demandez un pont. Ne demandez pas les bras croisés dans le style ‘bon, si je dois changer, prouvez-le moi, apportez-moi un pont’. L’univers ne va pas faire le travail pour vous, et votre croyance que le changement n’est pas vraiment possible remplacera votre désir sincère de l’attirer ; il fera la moitié du chemin si vous faites la première étape, mais vous devez faire les premiers pas. Le pont est pour ceux d’entre vous qui savent réellement dans le cœur de votre cœur qu’il est temps de changer dans un ou plusieurs aspects de votre vie, mais qui ne savent pas comment aller d’un point à un autre. Demandez un pont à partir de votre cœur.

Une autre raison pour laquelle nous nous sentons bloqués alors que nous faisons la transition ‘d’ici à là’ est que notre vrai pouvoir nous est devenu tout aussi étranger que notre liberté.Nous entendons la voix de nos rêves et de nos désirs qui nous appellent toujours plus fort, mais notre voix intérieure et nos croyances, qui nous disent que nous ne pouvons pas le faire, ont été très fortes pendant si longtemps. Nous avons pris l’habitude de mettre nos rêves, nos besoins et vrais désirs de côté ; et par conséquent, notre pouvoir intérieur ressemble plutôt à un ballon intérieur dégonflé.

Il y a des centaines d’outils de guérison disponibles actuellement pour répondre à ces questions sur comment s’approprier son pouvoir et sa liberté, mais une chose que vous pouvez faire dès maintenant, c’est de décider que c’en est assez. Dites-vous « Manque, je ne crois plus en toi … Limitation, je ne crois plus en toi … Partie de moi qui me dit que je ne peux pas le faire, je ne crois plus en toi. » Visualisez votre Pouvoir et votre droit à la Liberté comme s’ils étaient des amis perdus de vue depuis longtemps. Embrassez-les et dites « Beaucoup de temps a passé, et je ne peux pas vraiment me rappeler comment vous utiliser et comment tout cela fonctionne, mais je suis prêt à m’en souvenir. S’il vous plaît montrez-moi, guidez-moi ». Une autre chose qui peut aider c’est ce que je répète chaque jour : « Je suis alignée avec mon Soi le meilleur possible, avec la meilleure réalité possible et avec le meilleur mouvement en avant possible ».

Quel est votre rêve désiré ? Qu’est ce que vous continuez à mettre de côté ou bien qu’est-ce que vous vous dites que vous ne pouvez pas faire parce que … ? Qu’est-ce que vous sentez que vous devriez lâcher si vous suivez votre cœur ? Pourquoi pensez-vous que votre rêve souhaité ne peux pas répondre à ce qui avait besoin de l’être dans votre ancienne vie ? Qu’en est-il de votre rêve souhaité et ce que vous avez utilisé comme excuse pour ne pas le réaliser et le créer/l’attirer ? Prenez le temps afin de répondre à ces questions si vous êtes prêt à retrouver votre liberté, aussi étrange que cela puisse paraître.

Actuellement, il est fréquent que les gens altruistes s’éveillent à leurs propres besoins ; et cela leur semble également étranger après une vie passée à mettre les autres en premier. Cela ne signifie pas que nous sommes devenus égoïstes et sans considération, mais nous réalisons plutôt que parfois nous ne sommes pas pris en considération et qu’il est temps de le faire. Les lignes dans le sable sont tirées un peu partout, les limites sont renforcées et nous apprenons que certaines fois nous avons à dire non aux autres et à dire oui à nous-mêmes. Nous ne pouvons plus servir les autres à partir d’une position qui ne peut plus servir – notre vrai Soi. Faites que la réalisation de votre vrai Soi puisse actuellement être votre première priorité ; et cela fonctionnera comme une boussole et un aimant qui créeront et attireront les relations justes, le travail juste, le service juste et un grand nombre de choses justes dans votre vie. Cette réalisation assurera que vous soyez toujours au bon endroit au bon moment (un sujet qui concerne beaucoup d’entre nous actuellement) ; et cela vous guidera à faire le plus de bien possible pour le plus grand nombre de personnes et de la meilleure façon possible pour tous y compris vous-même. Afin d’aider à ce processus d’incarnation vous pouvez affirmer « Mes pensées, mots et actions sont alignés avec mon vrai Soi. ».

Nous réclamons notre pouvoir authentique et il peut être choquant de réaliser combien nous l’avons mis à l’écart en ne croyant pas en nous-mêmes, en ne nous affirmant pas, en n’étant pas authentique avec nous-mêmes et en ne nous aimant pas. Ces temps sont révolus. Nous entrons dans l’âge de la Lumière et de l’Amour. Non pas d’une façon éthérée style new âge, mais d’une manière réelle, pratique et en faisant ce que nous disons. Le genre de décisions, basées sur la peur et sur l’ego, prisent par nos gouvernements, médias, grandes entreprises et institutions bancaires étaient le résultat ultime d’un manque de lumière (conscience de la vérité) et d’un manque d’amour ; particulièrement l’amour égoïste que se manifeste par un manque d’amour et de considération pour les autres. Ces jours sont terminés. Ils ne peuvent plus exister de ce côté-ci du changement, pas plus que l’obscurité ne peut exister une fois que vous avez allumé la lumière dans votre maison.

Il est temps de croire en la Lumière et en l’Amour plus que vous ne croyez dans leur manque, et de croire en leur capacité de transformer notre monde – intérieur et extérieur. Alors que vous voyez et ressentez le chaos, sachez que tous les projets de rénovation sont précédés par un peu de chaos ; ayez confiance en cette capacité. Ayez confiance en vos propres capacités de créer votre propre destin et d’être une partie puissante de ce processus.

Dana Mrkich 

A propos de Dana Mrkich

Dana Mrkich est un écrivain inspiré à l’énergie intuitive; elle donne des Conférences et enseigne avec passion afin de nous rappeler notre vérité et notre essence intérieure. Ayant eu la vision d’une nouvelle réalité depuis son plus jeune âge et sous la guidance des ses frères aînés des étoiles, Dana aide les personnes à se souvenir de qui elles sont réellement afin que nous puissions tous ensemble créer la meilleure réalité possible pour nous-mêmes et pour la planète.

Publié dans:ENERGIES, LUMIERE, TERRE |on 8 mai, 2013 |Pas de commentaires »
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