Archive pour la catégorie 'ENERGIES'

LIENS ENTRE NOTRE ETRE PHYSIQUE ET NOS EMOTIONS

 

téléchargement (1)«  Ne cherchez pas les causes de vos déséquilibres physiques dans le corps, mais dans votre système émotionnel «  

Voici la phrase étonnante qui apparaît en gras sur la première page du site internet de Nutri-Emotion. 

C’est la devise de Nassrine Reza, fondatrice de cette nouvelle manière d’appréhender la santé. Nos petites douleurs et mal-êtres, nos dysfonctionnements comme nos maladies graves, seraient causés directement par nos peurs, colères ou angoisses qui conditionnent l’approvisionnement de notre corps en eau.

Nassrine, pouvez-vous expliquer les liens entre émotions et eau ?

L’eau est la première source d’énergie pour le corps, puisqu’il en est essentiellement constitué. 
Aucune boisson ne peut la remplacer. L’eau ne sert pas uniquement de transporteur et de solvant, mais elle génère de l’énergie hydroélectrique indispensable au bon fonctionnement cellulaire. 

Notre corps est comme notre voiture : elle ne peut être fonctionnelle si nous ne mettons pas d’essence. Notre corps a besoin d’eau.

Dans une situation de pénurie d’eau, le corps peut être forcé à réduire ou à supprimer certaines 
de ses fonctions. Cela empêche entre autre la production d’un puissant neuromédiateur, la sérotonine. Elle est directement liée à notre état émotionnel et impliquée dans la régulation de fonctions, telles que la thermorégulation, les comportements alimentaires et sexuels, le cycle veille-sommeil, la douleur, l’anxiété ou le contrôle moteur. Mais la quantité de sérotonine dépend également du taux de stress. Plus le niveau de stress augmente plus la sérotonine baisse.

Le manque d’hydratation est-il la cause ou l’effet du dérèglement émotionnel ?

L’insuffisance hydrique à moyen ou à long terme peut sévèrement perturber les fonctions physiques, psychiques et émotionnelles. Celle-ci est autant la cause que l’effet d’un dérèglement émotionnel. L’un engendre l’autre.

S’il n’y a pas suffisamment d’énergie (d’eau) dans le corps pour l’élaboration de sérotonine (gestion de l’émotion), le système émotionnel s’en retrouve irrévocablement affecté. A l’inverse, un traumatisme psychique et donc émotionnel, entraîne la baisse de sérotonine, ce qui fait croître le stress et ce qui diminue réciproquement les ressources hydriques. 

La suite de cette excellente entrevue sur  Féminin bio

 Il y a des gens qui ont des dons exceptionnels, c’est le cas de Nassrine Reza. Sans même que l’on se soit rencontré ni même parlé, elle a fait un bilan intuitif de ma santé d’une grande justesse. Son bilan de santé était très précis, autant sur des aspects psychiques et émotionnels de ma personne, que sur les aspects physiques. Un programme d’eau personnalisé, très agréable et facile à suivre, m’a également été proposé avec le bilan. 

Voilà trois semaines que Nassrine m’accompagne dans l’aventure Nutri-Émotion depuis la Suisse où elle réside. Ce que je peux vous dire pour l’instant, c’est que je suis totalement emballée par sa méthode et dans la gratitude d’être accompagnée par cette si belle âme. 

Pour plus d’information, voici l’adresse de son site : www.nutri-emotion.com

La Nutri-Émotion est un des plus beaux cadeaux que je me sois offert à ce jour
et j’ai la très grande joie de vous partager cette découverte aujourd’hui !

Une fois de plus… Merci la Vie !!!

Isab’ailes

Publié dans:ENERGIES, GUERISON |on 31 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Les guérisons miraculeuses

 

baphomert2En un siècle et demi, 7000 guérisons inexpliquées ont été certifiées par le Comité médical international de Lourdes. De nouvelles avancées scientifiques pourraient-elles percer leur mystère ? Enquête sur le rôle du spirituel et de l’émotionnel dans ces processus de guérison.

Lourdes, juin 2012. A l’initiative des responsables du sanctuaire, un colloque réunit une quarantaine de chercheurs et de médecins,« pas forcément croyants », sur le thème de la guérison.

« A Lourdes, il est de tradition de ne pas opposer foi et science,indique le Docteur Alessandro de Franciscis, Président du Bureau des constatations médicales. C’est notamment le premier lieu saint à s’être doté, à la fin du 19ème siècle, d’un comité d’examen des guérisons, composé de médecins et de psychiatres. » Une tâche rendue ardue par les progrès de la science. « Aujourd’hui, il n’est plus surprenant de guérir d’une maladie infectieuse ! sourit le Dr de Franciscis. Il y a des traitements pour presque tout. Seules les maladies dégénératives, dont les origines sont méconnues, posent encore question. Nos experts exigent donc toutes les garanties pour vérifier qu’il y avait bien maladie, que le diagnostic était le bon, que la personne est durablement rétablie. Et surtout, qu’il n’existe pas, dans l’état actuel des connaissances, de cas similaire dans la littérature médicale », insiste le Dr de Franciscis.

Dans ces conditions, 7000 guérisons inexpliquées, ce n’est pas rien ! Sans compter celles dont les autorités du sanctuaire ne sont pas informées… A quoi peuvent-elles tenir : au simple fait d’y croire ?

« C’est un facteur », admet le Docteur Esther Sternberg, auteur de Healing Spaces : the Science of Place and Well-Being (Harvard University Press). « 30 à 90% de l’efficacité de n’importe quel traitement reposent sur notre foi dans ses vertus, indique la scientifique, reconnue pour ses travaux sur les liens entre le corps et l’esprit. Quand vous êtes croyant, vous connaissez l’histoire de Lourdes, ses légendes. Consciemment ou non, vous y venez en espérant un bénéfice. Cette attente est un ressort important de l’effet Placebo. » 

Pourtant, au Bureau des constatations médicales, on observe que dans beaucoup de cas de guérisons inexpliquées, les gens n’étaient pas venus à Lourdes pour demander leur guérison, mais pour prier pour autre chose, ou pour quelqu’un d’autre. « Intéressant ! réagit le Dr Sternberg. Cela vient confirmer le rôle d’autres éléments, tels que la compassion et l’amour altruiste, dans le processus de guérison. » 

Et à Lourdes, l’amour, ce n’est pas ce qui manque ! « Quand je suis venue pour la première fois, en 2006, j’ai été frappée par les visages des pèlerins et des bénévoles, témoigne le Dr Sternberg. Dans le métro à New York, leurs sourires sembleraient suspects, mais ici, l’ouverture du cœur est autorisée, l’empathie et la bienveillance sont prégnantes. Où que vous regardiez, vous voyez des jeunes accompagner des vieux, des valides soutenir des impotents, des malades aider des plus mal en point. Ce soutien social intervient dans la guérison. » 

De même que les émotions positives, engendrées par le lieu lui-même et ce que l’on y fait, « dont on a démontré qu’elles participent biologiquement à réduire les méfaits du stress sur l’organisme, à libérer des endorphines (les hormones du bien-être) et à stimuler les défenses immunitaires, rappelle le Dr Sternberg.Dès 1984, un article dans Science Magazine indiquait qu’entre des patients hospitalisés pour un même acte de chirurgie, ceux qui disposaient de chambres avec vue sur des arbres guérissaient plus vite, avec moins de médicaments, que ceux dont les fenêtres donnaient sur un mur. Cette étude a été maintes fois reproduite. » A Lourdes, il y a donc « la brume dans l’air, la lumière du soleil, l’eau des torrents, les courbes des montagnes », mais aussi « le parfum des bougies, la douceur des chants, le son des cloches, la beauté touchante des rituels… Plus ces expériences sensorielles sont riches et positives, plus elles aident le système immunitaire à faire son boulot. » Idem avec la prière, qui, selon le Dr Sternberg, agit sur les mêmes zones du cerveau que le yoga et la méditation. « Peu importe l’activité : nager, prier, chanter, méditer, faire du taï chi, surveiller son alimentation ou suivre une psychothérapie ! Toutes permettent de parvenir à un état mental bénéfique pour la santé. » Pour la communauté scientifique, le pouvoir de Lourdes tiendrait donc dans sa capacité à stimuler, de multiples façons, les liens positifs entre corps et esprit. Mais est-ce tout ? L’eau de la Grotte, cette eau qu’on dit miraculeuse, dont les pèlerins remplissent des bidons, n’aurait-elle pas aussi des secrets à révéler ?

Pour l’instant, son analyse n’a montré aucune propriété particulière, mais la présence au colloque du Professeur Montagnier, venu présenter ses travaux sur la « mémoire de l’eau », pourrait inciter à de nouvelles investigations. « Nous avons prouvé en laboratoire que la dilution de certaines séquences d’ADN dans de l’eau induit la formation de nanostructures, qui conservent des informations spécifiques à l’ADN et sont capables de les transférer », explique le Prix Nobel de médecine. Mais alors, de quoi serait porteuse l’eau de Lourdes ? De la mémoire d’un principe actif avec lequel elle aurait été en contact ? De « bonnes ondes » transmises par un champ électromagnétique extérieur ? Voire des pensées et énergies positives des six millions de visiteurs annuels, comme le suggèrent le Japonais Masaru Emoto ou l’Américaine Lynne McTaggart ? La théorie est séduisante, mais en l’absence d’études dédiées, ce n’est pour l’instant que conjecture.

Reste le mystère. Parmi les 7000 guérisons inexpliquées certifiées par le Comité médical international de Lourdes, 67 ont été hissées au rang de miracle par l’Eglise, parce qu’elle les juge « porteuses d’un signe. Mais ça, conclut le Dr de Franciscis, c’est une autre histoire. »

Le site du Dr Sternberg : www.esthersternberg.com »

Publié dans:ENERGIES, GUERISON |on 27 octobre, 2014 |1 Commentaire »

LE RITE ANCIEN ET PRIMITIF DE MEMPHIS – MISRAIM

 

téléchargement (4)Depuis des temps immémoriaux, il y a toujours eu et il y a encore des écoles ésotériques, des centres occultes, des ordres initiatiques où les hommes et les femmes animés du désir de percer les Secrets de la Nature sont admis au cours d’un impressionnant rituel. Le Rite maçonnique de Memphis-Misraïm compte parmi ceux-là. Dès l’Antiquité s’était forgée l’idée que le pays du Nil était la source de toute sagesse et le berceau de l’initiation. Ainsi se constitua une tradition occulte qui forme à travers les siècles la chaîne d’or de la Gnose dont les principaux maillons sont les hermétistes, les gnostiques, les templiers et les Rose-Croix. Assurant à son tour la transmission de ce précieux dépôt, le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm peut ainsi répondre aux attentes des hommes et des femmes de notre temps épris d’ésotérisme authentique Le Rite de Misraïm ou Rite d’Egypte fit son entrée en France en 1814 grâce à Marc Bédarride et à ses deux frères, Michel et Joseph, qui le ramenaient d’Italie où ils avaient servi dans l’armée napoléonienne. Il semblerait que ce Rite ait eu une ascendance commune avec le Rite de la Haute Maçonnerie Egyptienne de Cagliostro. 

Il devait ensuite revenir à Jacques-Etienne Marconis de Nègre, fils d’un officier ayant fait sous Bonaparte la campagne d’Egypte en 1798, de compiler les rituels d’inspiration égyptienne arrivés à sa connaissance et de lancer en 1838 le Rite de Memphis ou Rite Oriental. 

Dans les années 1870, en Angleterre, John Yarker fusionna les deux Rites sous le vocable de Rite Ancien et Primitif de la Maçonnerie. La Grande Maîtrise en fut confiée en 1881 à Garibaldi. Plongeant ses racines dans les mystères de l’Egypte antique, ce Rite entend se rattacher ainsi à la Tradition ancienne et primitive dont le pays des Pharaons fut l’héritier. 

Le Rite fut introduit en France par Papus en 1908. Cela marquait le retour de Memphis et Misraïm sur leur terre natale où ils avaient complètement disparu. Après le décès de Papus en 1916, son adjoint Teder lui succède brièvement comme Grand Maître pour la France. Après la guerre de 1914-1918, Jean Bricaud redonne force et vigueur au Rite. Constant Chevillon prend sa suite en 1934. La franc-maçonnerie est interdite en 1940. À la Libération, Henry-Charles Dupont remplace Chevillon qui a été enlevé et exécuté en 1944 par des miliciens de Doriot. Et c’est Robert Ambelain, son successeur de 1960 à 1985, qui va le fixer dans ses formes actuelles et lui donner un rayonnement mondial.

Les trois premiers degrés symboliques, socle commun avec la franc-maçonnerie universelle, se prolongent par les hauts grades philosophiques semblables à ceux du Rite Ecossais Ancien et Accepté du 4e au 33e. Au-delà, du 34e au 95e degré, se déploient les grades hermétiques spécifiques au Rite donnant accès au travail ésotérique le plus avancé. C’est notamment le cas des 87e, 88e, 89e et 90e degrés connus sous le nom d’Arcana Arcanorum – le mystère des mystères – qui véhiculent des secrets traditionnels concernant la constitution occulte de l’homme, son destin posthume, l’existence d’un monde astral et la possibilité d’établir des rapports entre le monde terrestre et le monde divin. 

Au total, le Rite est organisé sous forme d’une majestueuse pyramide de 95 degrés initiatiques, mais tous ne sont pas pratiqués. Kléber, le successeur de Bonaparte à la tête de l’expédition d’Egypte, avait nommé une commission de savants chargée d’étudier les relations de l’Egypte antique avec l’Afrique. Il voulait de la sorte vérifier l’assertion émise par Volney dans son récit Voyage en Syrie et en Egypte (1787). À la suite d’Hérodote, cet auteur était convaincu que les anciens Égyptiens avaient des racines africaines. Dans cette lignée afro-centrique, Cheikh Anta Diop étudia l’égyptologie en Sorbonne et obtint son doctorat en 1960. Se basant sur l’analyse de son peuplement, de la genèse de sa civilisation, de sa parenté linguistique, il soutient que l’Egypte antique a été la première grande civilisation de l’Afrique noire. En conséquence, toute la sagesse de l’Antiquité, parce qu’elle vient d’Égypte, a une origine africaine. 

Dans ces conditions, pour les Africains, le Rite de Memphis-Misraïm est d’une certaine façon le leur, et ils en sont fiers. Il est du devoir de l’honorable Société des Francs-Maçons d’accueillir les postulants présentant les qualités requises pour recevoir l’initiation. Memphis-Misraïm propose aussi cela, mais il va plus loin et possède quelque chose que les autres Rites n’ont pas. Autant ces derniers puisent leur imaginaire dans une histoire relativement récente, européenne et de filiation judéo-chrétienne, autant le Rite de Memphis- Misraïm revendique hautement une origine plus ancienne, africaine et préchrétienne. 

La Grande Loge Unie de Memphis-Misraïm est la deuxième obédience mixte la plus importante de France oeuvrant exclusivement au Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm. Créée en 2009, présente à l’international, la Grande Loge Unie de Memphis-Misraïm est une obédience tolérante qui reçoit et accueille tous les Francs-Maçons pourvu qu’ils soient de bonnes mœurs et prêt à tailler leur pierre, c’est-à-dire œuvrer sur eux-mêmes. Le Rite Ancien et Primitif de Memphis-Misraïm est déiste, spiritualiste et d’essence égyptienne. Il permet véritablement de travailler sur la voie initiatique. Il permet de nous libérer de notre conditionnement, d’apprendre à désapprendre pour vraiment devenir soi-même et non ce que l’autre voudrait que l’on soit. 

La Grande Loge Unie de Memphis-Misraïm propose dans ses loges un espace de liberté où règnent l’harmonie et le plaisir simple de se retrouver pour œuvrer ensemble à l’édification d’un monde meilleur. Un monde où la devise républicaine liberté, égalité, fraternité, soit partout mieux respectée malgré la crise et l’aune unique du dieu argent. Cela commence en loge, le dernier espace républicain où vous pouvez être sûr que lorsque vous prenez la parole, personne ne vous la coupe. 

L’harmonie et la fraternité sont deux éléments clés de ses travaux en loges. Cela est primordial pour vivre en toute simplicité mais de manière puissante ce que nous nommons l’égrégore, c’est-à-dire l’énergie du groupe engendrée par le rituel de Memphis-Misraïm. 

Pour parvenir à cette harmonie de nos loges, il faut sans cesse travailler à notre propre harmonie pour accéder à notre propre réalisation intérieure. Il est inutile d’essayer d’améliorer son voisinage ou le monde si l’on ne commence pas par soi-même. « Connais-toi toi-même » est-il écrit sur le fronton du temple de Delphes. Chaque femme, chaque homme est un diamant brut, mais encore faut-il qu’il façonne cette pierre précieuse. Avec l’initiation maçonnique, nous recevons la lumière, mais encore faut-il la faire grandir. Notre lumière intérieure se nourrit avec le rituel et l’amour fraternel des Sœurs et Frères. 

La maçonnerie donne à celui qui le demande des outils symboliques. Nous travaillons en coulisse, nous répétons nos vieux rituels qui datent de plusieurs siècles pour ensuite être vraiment à notre place sur la scène de notre existence, dans notre vie et notre présent de chaque jour. 

C’est cela le travail maçonnique, plus opératif que spéculatif comme on veut bien le dire.

Ce rituel a donné de grands hommes à la Franc-Maçonnerie. Il suffit de le suivre et de le pratiquer en toute sincérité et humilité. 

51JNyO08QCL__SY300_Selon la formule consacrée, il faut que le demandeur soit libre et de bonnes moeurs. Qu’il soit motivé pour travailler à sa propre réalisation. Qu’il rejette tout fanatisme et tout extrémisme. Qu’il soit aussi en accord en un principe supérieur agissant dans tout l’univers, une force et une énergie que nous nommons le Sublime Architecte des Mondes.

 Pierre-Louis B Historien, Magazine ESSENTIEL

auteur de « Memphis-Misraïm Une Voie d’Eveil Spirituel »

 

Publié dans:ENERGIES |on 13 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Le corps comme un temple

 

images (6)Certains parlent d’illumination, d’état extatique, de félicité… La sexualité serait un tremplin vers une dimension cachée de notre être. Reste à préparer notre corps et notre esprit à cette rencontre. 

Si le tao de l’amour repose d’abord sur une régénération de l’énergie, une amélioration de la santé et la longévité, pour in fine procurer beaucoup de bonheur avec son partenaire, c’est parce que ce concept accessible s’avère aussi le terreau nécessaire pour donner la sève qui fait pousser la branche du spirituel. Faire monter son niveau de conscience, atteindre la réalisation spirituelle, l’extase via la sexualité est en effet nettement plus compliqué à obtenir. Soyons clairs, il y a peu d’élus. Il faut compter un paquet d’heures de méditation souvent incompatible avec un travail à plein temps, sans assurance que la lumière fuse… 

Avec l’alchimie intérieure, on passe à la dimension supérieure. 

Comme dans toutes les religions ou courants spirituels, il existe une voie, une brèche qui permet de dépasser la conscience individuelle et de se relier au « tout ». À la conscience universelle, à ’immanence, à Dieu… La terminologie change selon les croyances et les cultures. Les façons d’y accéder aussi, mais on retrouve toujours les notions « d’amour universel » et « de détachement » dans le trousseau de clefs qui ouvre la « porte » spatio-temporelle de l’éveil. Le tao n’échappe pas à la règle, mais développe une notion originale, la vacuité, et une voie non moins iconoclaste pour y accéder, la sexualité. 

La vacuité à deux 

Il s’agit d’un état qui se rapproche de l’état initial, celui du nouveau-né. Prônant le non-agir, le détachement… On y accède par la méditation, des exercices précis… Et souvent dans un cadre monastique. C’est souvent plus pratique pour ne pas être en proie aux tumultes du monde* ! 

L’accès à la vacuité par la sexualité (ce qui n’empêche pas la méditation par ailleurs) participe de cette même quête spirituelle. Le corps est alors vécu comme un temple, comme un lieu de sublimation, de transformation. Les énergies corporelles sont alors transmutées en conscience. Il s’agit de faire circuler le jing pendant l’acte, comme dans la sexualité énergétique où l’homme recueille le yin de la femme avec le bout de son gland tandis que la femme capte le yang de l’homme avec son vagin. La suite est plus aléatoire… Il s’agit d’un état d’expansion de conscience qui dépasse les mots et peut-être l’entendement cartésien. On est bien évidemment très loin des sensations érotiques. 

Ouverture du canal central 

Il se manifeste comme une colonne de lumière dense et irradiante qui traverse le corps du sommet de la tête au périnée. Il s’agit d’une sorte de tremplin pour s’envoler plus haut, bien au-delà de la jouissance et même de la félicité. Les maîtres taoïstes expliquent que le canal central  s’ouvre spontanément au moment de l’orgasme ordinaire, sans que l’esprit puisse en avoir conscience. Il ouvre sur un état de conscience modifié proche de celui qu’atteignent les grands méditants, que Freud nommait aussi le sentiment océanique ; on ne ressent plus ses limites physiques, on fait partie intégrante de l’Univers. 

Concrètement: on se sert de ses organes génitaux de la même façon que les magnétiseurs ou les maîtres de qi gong qui lisent la main pour émettre et diriger du fluide pour guérir.

 En Occident, il est courant de parler d’un don particulier ; dans la culture orientale, et chez les taoïstes en particulier, les pratiques d’alchimie interne permettent de travailler justement ce qi, de l’amplifier, de pouvoir le diriger à des fins thérapeutiques ou spi rituelles. Il est souvent assimilé à de l’amour circulant. 

*À lire: Le Livre de la voie et de la vertu, Dao De Jing, traduit par Henning Strom, éditions You-Feng.

 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES |on 9 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Autour des Orbes

 

Je ne sais si certains d’entre vous l’ont remarqué de leur côté depuis quelque temps, un phénomène lumineux bien particulier se manifeste de plus en plus souvent sur des photos prises avec de petits appareils numériques.

Photographier les Orbs
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OrbsQuelques amis, des proches, et moi-même en avons récemment fait et continuons d’en faire l’expérience. Il s’agit essentiellement de l’apparition de sphères lumineuses semblables à de petits médaillons fort bien dessinés. Certaines vont jusqu’à évoquer des mandalas. Apparaissent aussi, bien que plus rarement, des sortes de triangles isocèles naissant, dans l’espace, de l’assemblage de trois points lumineux. Tout cela sans oublier, enfin, des formes plus indéterminables, moins régulières, mais sur le déplacement desquelles il semble possible d’intervenir. En appelant ces dernières, on peut parvenir à les faire se rapprocher d’une main tendue, par exemple.
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Il est à noter que les appareils numériques les plus sophistiqués ne paraissent pas capables de capter de telles images. On m’a dit à ce propos que leur technologie diffère de celle des petits appareils classiques que chacun glisse dans une poche ou un sac à main et que cette différence en est sans doute l’explication.
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Bien sûr, la première réaction de chacun face à de tels clichés est de se dire qu’il s’agit tout bêtement de reflets ou d’imperfections de la photo dus à un problème technique ou encore à l’éclairage. Cependant, leur observation, si elle est honnête, nous permet de nous rendre rapidement compte qu’il ne s’agit en aucun cas de cela mais bien de manifestations lumineuses authentiques.

OrbsDe véritables mandalas lumineux…


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L’expérience en a été faite récemment en un même lieu, au même moment, avec des appareils différents et des photographes différents placés selon des angles multiples. Les photos qui en résultent montrent les mêmes sphères et les mêmes mandalas en suspension dans l’espace, donnant la sensation de danser autour de certaines personnes.
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Ces manifestations lumineuses sont de tailles très diverses, de plusieurs intensités aussi et s’avèrent transparentes puisqu’on aperçoit derrière nombre d’entre elles la continuité du décor d’un mur, d’un objet ou encore une personne.
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Je dois ajouter qu’il faudrait être incontestablement de mauvaise foi pour n’y voir qu’une anomalie technique ou le jeu d’un quelconque « hasard », d’autant plus que la qualité des bulles de lumière et des mandalas photographiés ainsi que leur nombre varie considérablement non seulement d’un lieu à l’autre mais aussi en fonction de l’activité qui a cours ou a eu cours en ce lieu.
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La musique, par exemple, surtout lorsqu’elle génère un espace sacré, harmonieux ou simplement joyeux semble particulièrement propice à susciter des mandalas et des sphères de lumière. Il en est de même d’une atmosphère de méditation ou de soins de nature énergétique.

Intelligence…
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dscf0014En se livrant à un peu de recherche et d’expérimentation, on s’aperçoit que ces « lumières » ne se manifestent pas toujours spontanément dans des endroits ou lors de circonstances qu’on peut qualifier de profanes mais qu’elles ont plutôt tendance à se laisser photographier si on les sollicite intérieurement.
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On peut donc parler « intelligences » en ce qui concerne au moins certaines d’entre elles puisqu’elles réagissent à nos appels du dedans.
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En réfléchissant à tout cela et en multipliant les observations, il me paraît sûr que ces manifestations sont de plusieurs natures. Certaines proviennent sans conteste d’empreintes psychiques laissées en un lieu par ceux qui l’ont habité ou qui l’habitent encore de façon intense. D’autres, plus élaborées, peuvent être qualifiées de « sceaux vibratoires » émanant de présences protectrices. D’autres enfin témoignent d’autres présences, plus observatrices, visiblement attirées par l’activité et les préoccupations qui emplissent et nourrissent le lieu.
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Je me promets, en ce qui me concerne, de mener une étude plus approfondie de la question, notamment avec les capacités naturelles dont la Vie m’a doté. Ce qui je puis ajouter aujourd’hui, c’est qu’il est pour moi évident que des phénomènes de ce type et d’autres encore, bien plus significatifs, ne font que commencer à être perceptibles par nous-même si nous avons encore besoin de l’aide d’un peu de technologie pour les mettre en évidence aux yeux de tous.

Daniel Meurois www.meurois-givaudan.com

Publié dans:ENERGIES, MULTIDIMENSIONNALITE |on 1 septembre, 2014 |Pas de commentaires »

Nos failles énergétiques

 

 

images (27)Dans ce travail de libération, il faut penser aux énergies négatives émises par la personne elle-même. Ces énergies négatives ne dépendent pas de la hauteur vibratoire ni du travail de développement personnel de la personne. Elles sont produites par ce que l’on peut appeler des failles énergétiques dans l’être. Ces failles énergétiques peuvent être sur chacun des corps subtils, dans chacun des corps subtils, sur le corps physique, dans le corps physique, sur l’aura et dans l’aura. Elles peuvent également être sur chacun des chakras et dans chacun des chakras. 

Ces failles énergétiques créent des ouvertures, qui favorisent l’entrée des énergies négatives dans l’être et qui leur permettent d’entrer. Plus l’être a de failles énergétiques, moins il a de défenses vis-à-vis des attaques de l’ombre, de la dysharmonie, du non-amour. Si l’être n’avait aucune faille énergétique, l’ombre glisserait sur lui, il ne lui donnerait pas prise, mais nous sommes faits de chair, d’émotions, de pensées, et il est impossible à un être humain d’être toujours sans failles. 

Cependant nous pouvons fermer les failles anciennes et faire en sorte de fermer les nouvelles dès leur arrivée. Ainsi notre être sera plus solide, plus résistant aux énergies adverses d’ombre et de non-amour. Nous renforcerons davantage la protection naturelle de notre être contre les énergies adverses. En effet ce sont nos corps subtils et notre aura qui forment cette protection, de même que notre peau est une protection pour notre corps physique. L’intégrité de ces corps subtils, de cette aura, de cette peau est une condition nécessaire pour notre protection. L’idéal serait de fermer ces failles énergétiques tous les soirs, de même que l’on ferme les fenêtres et la porte de sa maison le soir avant de se coucher pour se protéger de toute malveillance, ainsi que du froid, de la pluie ou du vent. 

Notre être lui aussi a besoin d’être protégé et de fermer ces failles énergétiques que nous avons nous-mêmes ouvertes, de fermer ces ouvertures que nous avons nous-mêmes produites, de façon parfois justifiée, inconsciente, involontaire, mais également parfois par des causes émotionnelles difficiles à maîtriser ou par des pensées elles aussi difficiles à maîtriser. 

Les failles énergétiques sur un corps sont toujours plus légères, moins graves, moins importantes que les failles énergétiques dans ce même corps. 

Quelques exemples de failles énergétiques :

–   dans le corps physique, les failles énergétiques sont toujours produites par l’ouverture de ce corps physique : opération, accident, amputation (même d’une petite partie du corps, par exemple une phalange), même opération des amygdales ou des végétations… 

–   sur le corps physique, les failles énergétiques sont produites par des ouvertures plus superficielles de ce corps : des cicatrices, des épisiotomies naturelles ou provoquées, des coupures profondes, des scarifications car elles sont plus profondes et plus étendues qu’une petite coupure superficielle, l’excision des petites filles dans certains pays, les brûlures profondes ou étendues, les extractions dentaires mais aussi les écorchures qui saignent (exemple : des enfants qui s’écorchent les genoux en tombant). 

(Ce qui ne crée pas de failles énergétiques sur le corps physique : l’introduction d’une aiguille dans le corps physique, les prises de sang, les percings, les tatouages même étendus, les para-synthèses, la célioscopie, la circoncision, les petites coupures, les petites brûlures superficielles. Les amniocentèses ne produisent pas non plus de failles énergétiques ni dans le corps physique, ni sur le corps physique). 

–   sur le corps éthérique, les failles énergétiques sont toujours produites par un problème lié à la famille ou à un membre de la famille (un souci, une inquiétude…).

–   dans le corps éthérique, les failles énergétiques sont également liées à des problèmes familiaux mais plus importants et qui touchent davantage la personne.

–   sur le corps émotionnel, les failles énergétiques sont produites par des émotions négatives qui peuvent traverser l’être plusieurs fois par jour. Ces failles peuvent donc être très nombreuses chaque jour.

–   dans le corps émotionnel, les failles énergétiques sont produites par des chocs émotionnels petits ou grands, mais également par des émotions négatives plus profondes, plus durables.

–   sur le corps mental, les failles énergétiques sont produites par des pensées négatives fugaces, éphémères, des critiques, des pensées malveillantes, le fait de ne voir que le côté négatif d’une personne ou des événements, de ne voir que les défauts d’une personne…

–   dans le corps mental, les failles énergétiques sont produites par des pensées négatives plus profondes : des rancunes, des désirs de vengeance, des haines…

–   sur le corps causal, les failles énergétiques sont produites par des mémoires rapportées des vies antérieures, généralement de la dernière vie.

–   dans le corps causal, les failles énergétiques sont également produites par des mémoires négatives rapportées des vies passées, des mémoires négatives plus importantes, plus lourdes de conséquences.

–   sur l’aura, les failles énergétiques ne sont pas produites par la personne mais au contraire par des énergies négatives envoyées contre elle-même dans le but de lui nuire. Elles peuvent être envoyées consciemment ou inconsciemment mais, dans les deux cas, elles créent des failles sur l’aura.

–   dans l’aura, les failles énergétiques sont produites par de l’occulte négatif plus sévère envoyé sur la personne. Elles peuvent percer l’aura et atteindre l’être dans son corps physique. 

-          sur les chakras et dans les chakras, les failles énergétiques correspondent à la spécificité de chaque chakra. Là encore une faille énergétique sur le chakra est moins grave qu’une faille énergétique dans le chakra.

–   sur et dans le premier chakra, les failles énergétiques sont produites par des problèmes d’ancrage, d’enracinement, liés aux racines père et mère de l’être (par exemple : un enfant abandonné à la naissance aura des failles énergétiques importantes dans le premier chakra).

–   sur et dans le deuxième chakra, les failles énergétiques sont produites par des problèmes liés à la famille, à la sexualité, à la procréation (par exemple : pour un enfant séparation d’avec l’un de ses deux parents, décès d’un membre de la famille, rupture, séparation, pour une femme impossibilité d’avoir un enfant…).

–   sur et dans le troisième chakra, les failles énergétiques sont produites par des émotions négatives, comme pour le corps émotionnel elles peuvent être plus ou moins nombreuses et plus ou moins profondes.

–   sur et dans le quatrième chakra, les failles énergétiques sont produites par des sentiments négatifs plus ou moins graves, plus ou moins profond. Ils peuvent être tournés contre soi-même ou contre les autres (tristesse, déprime, désespoir, révolte, haine…).

–   sur et dans le cinquième chakra, les failles énergétiques sont produites par un problème de communication, par un problème d’expression orale ou d’expression de l’être.

–   sur et dans le sixième chakra, les failles énergétiques sont produites par un problème de l’expression de l’âme, par un problème de réalisation de son être, de sa mission, de ce pourquoi l’on est venu(e).

-          sur et dans le septième chakra, les failles énergétiques sont produites par un problème dans son rapport au Divin (rejet, rancune, révolte, colère…). 

 

A retrouver dans le livre : Chiffres et Formules Magiques pour Vivre Heureux au Quotidien – par MIDAHO aux Editions L’Arbre Fleuri

 

Publié dans:CHAKRAS, ENERGIES |on 30 août, 2014 |2 Commentaires »

Les arbres nous ressourcent

 

images (2)Embrasser un arbre ?

 « Une expérience insolite », assure Patrice Bouchardon pour Psy.com. Pour l’animateur de séminaires en forêt, les arbres, malgré leur silence apparent, sont vivants. Et peuvent donc nous aider à retrouver notre tonus, à mieux respirer, à développer nos sens.

Debout, l’oreille posée contre un arbre, j’écoute, comme le faisaient autrefois les Indiens avec la terre. L’expérience donne à découvrir des chuintements, des bourdonnements, des bruits de ville », raconte Idalgo, 42 ans, pourtant doté d’un esprit cartésien. Ce samedi matin, la forêt de Fontainebleau est le théâtre de curieuses expériences. Une vingtaine de personnes écoutent, touchent, hument en chœur… les arbres !

Derrière cette activité insolite se cache un homme jovial, Patrice Bouchardon, animateur de « stages nature » (renseignements au 02.47.52.62.45) pas tout à fait comme les autres. Ingénieur de formation, il a toujours nourri un vif intérêt pour les arbres qui l’a conduit à une réflexion sur notre rapport à la nature. En quoi ce contact contribue-t-il à notre équilibre ? Comment développer notre perception de ces végétaux ? Au-delà du simple engouement pour l’aventure sportive et l’écologie (91 % d’entre nous déclarent aimer la forêt, sondage Sofres 2000), notre fondu de futaies insiste sur les bienfaits des chênaies et autres sapinières.

Retrouver son tonus

« Allez vous adosser contre un arbre qui vous inspire, détendez-vous et concentrez-vous sur votre respiration, propose Patrice Bouchardon à ses stagiaires. D’où part-elle ? De votre ventre ? De votre gorge ? » Cette exploration attentive du souffle a pour effet immédiat une sensation de tonus retrouvé… qui s’explique : les arbres ont une influence positive sur la qualité de notre atmosphère. « Ce sont eux qui transforment l’oxyde de carbone en oxygène, si précieux pour notre vitalité », rappelle Jacques Fleurentin, pharmacologue.

En forêt, chaque arbre en produit environ sept litres par jour. Plus qu’il n’en faut à l’homme, dont les besoins quotidiens tournent seulement autour de un demi-litre. De plus, cet oxygène naissant au sortir de la feuille est « anionisé », c’est-à-dire qu’il est accompagné d’ions négatifs. Ces derniers présentent trois caractéristiques majeures : ils favorisent la dilatation des vaisseaux sanguins, améliorent l’oxygénation des tissus et luttent contre le stress. Pendant une séance de respiration avec un arbre, nous pouvons en quelque sorte prendre rendez-vous avec notre vitalité d’une manière plus « végétale ».

Développer ses sens

Quand le corps est noué, nos sens ne remplissent plus leur mission et nous avançons dans la vie comme des robots. Dans la forêt, narines et oreilles ouvertes, nos gestes perdent, au contraire, de leur automatisme : une étape importante pour mettre le mental au repos. Patrice Bouchardon l’assure : « Les arbres peuvent nous aider à ouvrir nos portes sensorielles afin de mieux habiter notre corps. » D’où les quatre exercices qu’il propose.

Elargir son champ de vision

« Déroulez vos pieds sur le sol et plongez votre regard dans le feuillage de l’arbre en amoureux du voir », suggère le gourou forestier. Notre vue est tellement sollicitée que nous regardons souvent sans voir. « Au début, mon regard s’arrêtait au premier rideau d’arbres, témoigne Inès, 37 ans. En découvrant les espaces entre les arbres et les feuilles, j’ai compris que l’on pouvait aiguiser sa vue et aller au-delà des obstacles. Comme dans la vie. »

Explorer le toucher

Notre peau recèle deux millions de récepteurs sensoriels. Malgré cela, le toucher est devenu tabou dans notre société : comme nous n’établissons souvent qu’un contact visuel, l’image mentale prédomine sur la sensation. Pour rendre la place qu’il mérite au premier des sens, l’exercice consiste à occulter la vue. « Yeux fermés, mains tendues, j’ai parcouru le tronc, enjambé les racines… Ça m’a rappelé mon enfance », raconte Carlos, 26 ans. C’est vrai, ces retrouvailles sont souvent de l’ordre d’une jubilation enfantine. Mais ce n’est pas seulement pour raviver nos souvenirs que Patrice Bouchardon encourage ce contact, c’est aussi « pour renouer avec la spontanéité de l’enfance et reprendre confiance dans ses capacités physiques. »

Apprendre à sentir

Sentir au lieu de penser, serait-ce le secret ? Sentez le tronc d’un arbre, les bourgeons, les feuilles. Identifiez les odeurs. Derrière chacune se cachent des images, donc des émotions. « Le cerveau de l’olfaction, appelé aussi rhinencéphale, fait partie du système limbique, le siège de nos émotions et du plaisir », explique Benoît Schaal, biologiste au CNRS. « Un jour, dans un verger de pommiers, mon corps s’est mis à pétiller, raconte Thérèse, 45 ans. Quand je suis morose, je me replonge dans cette sensation. »

Ouvrir ses oreilles

Aujourd’hui, nous ne prenons conscience d’un son que lorsqu’il nous agresse ! « Si vous posez votre oreille contre un arbre, c’est bouleversant… » Patrice Bouchardon parle de mille bruits différents : des craquements graves, sourds ou aigus. Premier bénéfice : la détente cérébrale. Le mental encombrant et trop bavard est congédié, laissant la place à notre sensibilité et à notre réceptivité. Pratiquée régulièrement, cette technique permet d’être davantage à l’écoute de soi et des autres.

Avez-vous déjà fait cette expérience ?

Et qu’avez-vous ressenti ?

Venez répondre sur «  La Vie Devant Soi « 

Publié dans:ENERGIES, NATURE |on 28 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

LA PYRAMIDE DE LA DUALITÉ

 (Explication des défis actuels)

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 La Quintessence de l’Être, l’État de Grâce perpétuelle à laquelle on accède dans la 5ème dimension, est le sommet d’une pyramide ayant pour base les quatre dimensions inférieures acceptées et intégrées : le corps densifié (état de santé physique), le corps émotionnel (état d’âme), le corps mental (état d’esprit) et le corps causal (état de conscience).

Au risque de nous répéter, chacun de ces états dimensionnels correspond à des forces et des faiblesses énergétiques inhérentes aux familles d’âmes qui les soutiennent.

Ainsi, Le Bâtisseur, celui qui se sert de sa force physique et de son leadership pour contribuer à bâtir un monde meilleur s’expose à la colère et à la frustration quand tout ne va pas comme il le souhaiterait, il peut alors devenir « Intimidateur » et se servir du contrôle ou de la manipulation forcée comme mécanisme de domination.

L’Inventeur, aussi appelé le Scientifique, se sert de son intelligence pour concevoir de nouvelles technologies et/ou élaborer de nouvelles théories tant scientifiques que philosophiques. Vivant essentiellement dans son esprit, il se peut qu’il se déconnecte totalement de son corps émotionnel, faisant abstraction de toute réalité confrontante en s’absorbant dans un profond état de négation. En devenant « Indifférent » à tout ce qui l’entoure, il refuse toute énergie environnante pour s’installer dans son propre monde, dans son univers uniquement intellectuel.

L’Artiste, de la famille des Créateurs Sensibles, vit une relation émotionnelle avec le monde dans lequel il vit. Ému par la beauté de l’univers qui l’entoure, il se sert de sa créativité artistique pour transmettre ce qu’il ressent (en peinture, en chansons ou en récits allégoriques et autres…). Toutefois, sa sensibilité étant parfois mise à l’épreuve face à la bêtise humaine et aux injustices qu’il rencontre, il peut alors verser dans la tristesse et la dépression, adoptant le pattern de la « Victime », impuissante et démunie, obligée de s’attirer compassion et reconnaissance pour survivre.

Enfin, avec l’état de conscience de ce qui est bien et bon pour l’ensemble, vient le Guérisseur, le thérapeute, le « chamane » vivant en étroite relation avec la nature et les forces énergétiques qui en sont issues. C’est celui qui, ayant de la facilité à entrer en relation avec ses semblables, peut facilement « marchander » ses faveurs ou ressentir de la culpabilité lorsqu’il fait passer ses besoins avant ceux des autres. Oubliant que sa première mission est de vivre en communion avec la Source de toute vie et de se guérir lui-même en premier, il peut alors endosser le rôle accablant du « Sauveur » ou de l’Interrogateur (celui qui remet en questions toutes les interrogations existentielles possibles).

Chacune de ces familles d’âme a son rôle à jouer sur la planète. Toutefois, la mission première de chaque individu est de vivre dans l’amour inconditionnel d’abord envers lui-même, puis envers tout être vivant. Tous et chacun de ces états dimensionnels, quoique vertueux, doivent néanmoins se vivre dans l’Équilibre. Les excès peuvent s’avérer aussi dommageables que les manques.

Dans le processus du deuil, chaque étape se doit d’être vécue et chacune de ces familles d’âmes peuvent nous inspirer dans notre cheminement vers l’acceptation ultime de qui nous sommes. Une fois que nous avons traversé le déni, la colère, le marchandage et la tristesse, nous pouvons prendre du recul face à la situation vécue et lâcher-prise suffisamment pour acquérir la Sagesse et laisser s’installer en nous la paix intérieure, voire même l’état de Grâce à laquelle nous aspirons tant : celle qui ouvre la porte de la 5ème dimension… C’est le sommet de la pyramide : la Quintessence de l’Être divin que nous sommes.

Les bases de cette pyramide sont la force physique, la stabilité émotionnelle, la clarté du mental et la communion consciente au Grand Tout Universel. Oublions un instant ce monde de dualité dans lequel nous vivons. Depuis de nombreuses vies, nous tentons de dépasser cette dualité, de la transmuter dans toutes nos cellules… sans succès!

Telle une veine fuyante, chaque fois que nous avons fait le tour d’une question, que nous croyons une blessure enfin réglée et guérie, il survient un événement douloureux qui vient raviver notre douleur. Se pourrait-il que la cause profonde de cette impossibilité à surmonter l’adversité réside dans le fait que la dualité tridimensionnelle s’appuie non pas sur deux contraires, mais sur quatre?

Les quatre étapes précédant l’acceptation et, donc la résolution du deuil, serait-elles les bases même de cette pyramide dont, pour atteindre le sommet, il importe de sortir de cette « course folle », cette « foire d’empoigne » que représentent les quatre principaux mécanismes de domination : l’intimidateur, la victime, l’indifférent et le sauveur…

Nier l’un ou l’autre de ces personnages en nous équivaut à escamoter une des quatre étapes essentielles pour parvenir à l’acceptation, l’ultime lâcher-prise nous permettant de compléter notre processus de deuil… le deuil de toutes ces limites que nous nous sommes imposées et qui nous ont emprisonnés jusqu’à maintenant!

Entrez en vous-même un instant et regardez-vous tel que vous êtes : Quel premier rôle vous êtes-vous donné jusqu’à présent dans votre vie? Celui du Bâtisseur/Intimidateur, de l’Inventeur/Indifférent, de l’Artiste/Victime ou du Guérisseur/Sauveur de l’humanité toute entière?… Et quelle partie de vous avez-vous sublimé durant toutes ces année? La colère, le déni, la tristesse ou le marchandage/culpabilité? Aspirez-vous sincèrement à boucler la boucle du malheur et vous ouvrir à l’Allégresse?

Il suffit de dire un OUI définitif à l’expression de toutes ces parties de vous-mêmes. Peu importe comment cela doit se passer. Faites confiance à votre Moi supérieur. Au Grand Sage, qui du haut de sa pyramide, n’aspire qu’à se pencher vers vous pour vous accorder toute l’aide dont vous avez besoin pour vous hisser jusqu’à lui…à VOUS, à l’Être Divin que vous Êtes!

Message de Bianca Gaïa , canalisé par Diane LeBlanc , le 14 septembre 2004, disponible aussi sur www.biancagaia.com

Vous êtes invité à faire circuler ce message à condition d’en respecter l’intégralité,

y compris ces quelques lignes. Pour vous inscrire/désinscrire de notre liste d’envoi,

commander un channeling personnalisé dleblanc@biancagaia.com

Venez en discuter avec nous sur «  La Vie Devant Soi « 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES |on 23 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

Le barreur de feu

 »

Une prière murmurée accompagnée de quelques gestes des doigts : voici le 
« médicament » qu’applique gratuitement René Blanc à ses patients. « Je fais corps avec les personnes que je soigne et à qui j’ai le plaisir d’ôter la douleur », nous dit-il. Enquête sur un barreur de feu.

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Nuit et jour, le téléphone sonne chez ce grand savoyard au regard clair, pas moins de six appels quotidiens, de France, de Suisse, mais aussi d’Espagne, d’Italie, de Belgique, et même parfois des Etats-Unis. A l’en croire, René a un secret, « le secret », comme on a coutume de dire en Haute-Savoie, pour désigner le don des barreurs de feu : quelques paroles murmurées accompagnées de gestes discrets qui peuvent atténuer le feu des brûlures et accélérer la cicatrisation, parfois à des centaines de kilomètres de distance. Pour cela, René n’a besoin que du prénom de la personne et de la localisation de la zone blessée.
« Je ne peux pas dévoiler les secrets de l’intervention, mais je sais que je suis quelquefois surpris moi-même de ce que je fais et des résultats que j’obtiens », confie le « retraité », qui travaille essentiellement par téléphone, sans connaître le visage de ceux qu’il aide et sans rien leur demander en échange.

Comme tout secret qui se respecte, celui des barreurs de feu se transmet. René tient le sien de sa mère, qui l’avait elle-même reçu d’une grande-tante. Au-delà, la trace se perd. Les parents de René avaient une boulangerie-épicerie dans la Vallée Verte, à une trentaine de kilomètres du village où il habite aujourd’hui. Quand elle n’était pas occupée à tenir la comptabilité du commerce ou à prendre soin de ses enfants, sa mère « barrait le feu », grâce à des prières contenues dans « un paquet d’enveloppes » remis sans cérémonie à son fils René, âgé alors d’une vingtaine d’années. A l’intérieur, des mots écrits de sa main, que René recopiera à son tour lorsque les feuillets commenceront à s’abîmer.

Jusqu’au début des années 70, René Blanc emploie son don « à une petite échelle ». A cette époque, il commence à travailler à l’hôpital de Thonon. C’est une religieuse qui dirige les urgences. Un jour, un grand brûlé arrive en ambulance. René Blanc barre discrètement le feu, avant que le blessé reparte vers Lyon. Le lendemain, l’ambulancier demande à la religieuse : « Qu’est-ce que vous lui avez fait au petit hier ? Sur le trajet, il ne se plaignait plus. » Elle comprend vite que René est intervenu. Par la suite, elle fera souvent appel à lui, imitée par ceux qui lui succèdent à la tête du service.
A cette reconnaissance succède une renommée, venue sans que René ne s’en rende compte. Il y a environ cinq ans, une émission de la radio suisse romande le fait connaître. Une chaîne de télévision française prend le relais. Quelques heures après la diffusion du reportage, le standard téléphonique de l’hôpital de Thonon est saturé.

Un rôle qui est pour lui une obligation parfois pesante

Beaucoup appellent pour des soins, d’autres pour connaître les fameuses formules. Ceux-là se heurtent à un mur : « Je ne veux pas donner mon secret parce que j’y tiens et parce que je pense que si je le divulguais, il aurait peut-être moins d’effet. Quant à en tirer un profit, je n’en vois pas l’utilité, j’aurais peur au contraire que ça limite mes pouvoirs. »

Ce secret, ce sont des prières, « je me concentre énormément sur la personne que j’imagine et intérieurement, je dis quelque chose qui correspond à ce dont elle souffre. » Certains appellent lorsqu’ils sont brûlés, d’autres, en radiothérapie, lorsqu’ils reviennent d’une séance de rayons. « Je fais corps avec les personnes que “je soigne”, et à qui j’ai le plaisir d’ôter la douleur. Je sens profondément ce que les personnes ressentent.»

Responsable des services d’hygiène à l’hôpital de Thonon à partir de 1970, René Blanc a également été pompier volontaire pendant 35 ans. Jeune, il a été marqué par la vision de la souffrance, motocyclistes écrasés contre des arbres, restes humains ramassés près des rails du chemin de fer. Cela lui a « forgé le caractère ». « Toute ma vie, j’ai aimé le secours, dit-il. C’est une vocation, comme celle de religieux ou de médecin. »

Il se défend pourtant d’être l’égal de ce dernier. « Je ne conseille rien, je ne demande rien, je ne propose rien. Je me retire derrière le médecin. A chacun son rôle ». Un rôle qui est pour lui une « obligation », parfois pesante. Lorsque René veut échapper aux appels téléphoniques, il laisse derrière lui son téléphone. Récemment, raconte-t-il, « je suis parti à Saint-Etienne avec un ami, j’ai laissé mon portable à ma femme, eh bien, ils ont appelé sur celui du copain. » Il arrive qu’il en ait marre, après une journée particulièrement chargée. « C’est comme une bonne course en montagne. En cours de route, vous vous dîtes – qu’est-ce que je fous là, à m’esquinter ? Et puis vous passez une nuit au refuge et le lendemain, vous êtes encore plus gonflé que la veille. »

article INREES

 

Publié dans:ENERGIES, POUVOIR |on 10 juin, 2014 |6 Commentaires »

Se brancher sur la bonne énergie

Il est aujourd’hui courant parmi les personnes engagées dans la transformation sociétale et personnelle de se référer à cette maxime fameuse attribuée à Gandhi de «devenir soi- même le changement que l’on désire pour le monde».  Je propose d’appliquer ce principe au déferlement quotidien de mauvaises nouvelles qui, jour après jours, nous rend addicts!  Grâce aux spécialistes de la publicité et de la communication, nous savons que la répétition d’un message permet de l’inscrire durablement dans notre esprit.  Ceci est largement démontré pour les produits de lessive comme pour les hommes politiques.  Nos communicants nous apprennent également que, si ces messages s’impriment si facilement, c’est uniquement parce qu’ils rencontrent un écho favorable de notre part.

La fabrique de «La Réalité»

Une question pour la santé de l’esprit s’impose donc: avec quelles informations acceptons-nous de nourrir nos esprits?  A qui, à quoi consentons-nous «de louer notre temps de cerveau disponible» si bien défini par un ancien patron de chaîne télévisuelle?  Il est inexact de dire que les informations diffusées par les médias reflètent «La Réalité».  Elles reflètent des choix, pour certains conscients et pour d’autres inconscients, basés sur des critères allant de l’audimat à la sélection de données qui confortent les systèmes de croyances dominants.  Très souvent, le choix de l’information contribue à démontrer ce que l’on cherche à priori.  Tout le reste, ce qui ne sert pas cet objectif est soit ignoré, soit pas même perçu.  C’est ainsi que dans le traitement de l’information s’opère un premier choix de sujets à fort contenu conflictuel ou problématique, souvent déprimants ou mortifères.

Reflexion

Une poubelle qui brûle

Si l’on en croit les spécialistes, les nouvelles positives et porteuses d’espérance ne suscitent pas la même excitation auprès du public puisqu’elles ne se vendent pas.  Un second choix s’opère ensuite sur le traitement de l’information: plutôt que de vouloir présenter les différentes facettes d’une situation pour un même type d’évènement, seule la facette à forte sensation émotionnelle de préférence choquante et instantanée sera mise en avant.  C’est ainsi qu’une manifestation de quelques jeunes en colère qui brûlent des drapeaux devant l’ambassade américaine fait le tour des caméras alors qu’au même moment plusieurs manifestations pacifiques d’envergure restent invisibles.  Rendre compte de la totalité des faits ou actions est impossible.  Un parti pris préside à la sélection de l’information.  Quel est- il?  Une poubelle qui brûle en banlieue retiendra l’attention alors que le travail patient de citoyens et d’associations sur le terrain n’est même pas mentionné.  Le monde entier est inondé, minute après minute, des moindres informations sur le conflit israélo-palestinien et sur les exactions des groupes islamistes violents.

Le plat de la désespérance

Qui a entendu parler des Congrès Mondiaux pour la Paix entre Imams et Rabbins qui se tiennent depuis environ 10 ans?  Les dizaines de milliers de rencontres, d’actions de transformation et de propositions positives de la société civile en pleine effervescence silencieuse passent inaperçues (lire à ce sujet le dernier numéro spécial de Kaizen sur la France en Transition) alors que la manifestation de personnes en colère contre la hausse des charges est un sujet qui fait dire que la France est au bord de l’implosion.  C’est comme si seuls la violence, la colère et le désespoir étaient des choses sérieuses ou pouvaient permettre de transformer les choses.  Si nous n’osons pas croire que l’espérance, le bonheur et les réalisations de transformations peuvent vraiment changer quoi que ce soit, alors nos médias ont raison de nous servir le plat de la désespérance, de la misère humaine et de la colère.

Je me demande souvent si les actions de transformations positives, créatrices de joie, de bonheur et l’absence de problèmes nous intéressent vraiment.  Imaginons des médias qui diffuseraient des informations constructives tout au long de la journée: seraient-ils crédibles?  Serions-nous aussi intéressés?  L’exploration de l’inconnu, du nouveau, du rêve que nous portons en nous nous mobilise-t-elle plus que l’exposition de nos souffrances?  Je ne suis pas tout à fait certain de notre réponse.  De façon consciente ou inconsciente, nous sommes devenus «addicts» à la négativité ambiante sinon comment expliquer cette consommation massive de stupéfiantes mauvaises nouvelles.

Se débrancher de l’énergie négative

Dans notre regard existe une chose qui se consolide en croisant celui des autres.  Ainsi, nous pouvons voir dans nos vies le triste ou le gai, le triste avec un regard gai ou le gai avec le regard triste, ou encore plus rien du tout.  Cela dépend de notre façon de considérer le monde: quel regard utilisons-nous et de quel point de vue nous plaçons-nous? 

«La Réalité» est une construction interactive avec notre environnement.  A quoi ressemble donc notre création?  Nous réapproprier notre pouvoir d’agir et de changer en soi et autour de soi passe par la prise de conscience de cette dépendance.  Cette prise de conscience nous amène, lorsque nous n’en pouvons plus, à nous débrancher de ce type d’énergie afin de réorienter notre pouvoir créateur vers autre chose que la triste contemplation d’un monde qui se meurt.  Dès que la porte commence à se fermer sur ces dépendances, nous sommes libres de nous intéresser aux multitudes de transformations positives et porteuses d’espérances qui fleurissent aujourd’hui sur notre planète.  Jamais nous n’avons eu autant d’informations à ce sujet. Il suffit de regarder et de choisir.  Il faut oser sortir de l’intoxication des émotions et de la pensée.

Tous co-créateurs

Mon propos n’est pas de nier que les évènements mortifères existent réellement mais de nier que ces évènements constituent la réalité.  C’est comme si, pour décrire la vie d’un quartier ou d’un village sur une journée, on concentrait en les amplifiant tous les heurts, les propos déplacés, les procès d’intention, les échecs, les accidents et les décès en ignorant tout le reste.  Objecter que changer de regard peut permettre d’ignorer ces situations mais pas de les éviter ni de modifier leur réalité est possible.  C’est oublier que nous sommes tous co-créateurs, à la fois conscients et inconscients de ce qui arrive autour de nous.  Sinon qui d’autre que nous, collectivement, a créé la société dans laquelle nous vivons?  En choisissant délibérément d’orienter notre attention, notre regard, notre pensée, notre énergie, notre action vers ce que nous voulons pour le monde, nous contribuons à le changer.  On pourrait aussi tenter de culpabiliser en pensant que la seule façon d’aider un mourant, c’est de rester à son chevet.  Certainement, mais pas en mourant avec lui…

La «Une» de demain…

Il y a un monde qui se meurt avec une partie de nous-mêmes.  C’est celui basé sur la prédation, la conquête, la guerre, le prosélytisme, la domination, les murs de séparation (homme- nature, masculin-féminin, esprit-matière, terre- étoiles), les vérités uniques, l’individu isolé du monde, l’égologie.  C’est lui qui agonise en direct sous nos yeux.  Mais il y a aussi un monde qui naît avec une partie de nous-mêmes.  Il est fondé sur l’équilibre, l’interdépendance de toutes choses, la reliance, la coopération, les vérités multiples incluses dans l’unité, la non séparation (homme- nature, masculin-féminin, esprit-matière, terre-étoiles), la paix intérieure et extérieure, l’écologie.  Ce monde ne fait pas encore la une de l’information!  Nous sommes dans le passage et il nous appartient de savoir choisir quel bout du tunnel nous intéresse.  Avez-vous choisi?

 

L’ouvrage de référence

«Les nouveaux collectifs citoyens» disponible aux éditions du Souffle d’Or (Cliquer ici
Retrouvez Ivan Maltcheff sur www.impulse.fr ou lui écrire: ivan.maltcheff@club-internet.fr

Publié dans:CO-CREATION, ENERGIES |on 27 avril, 2014 |Pas de commentaires »

Arrière-plan Astral

 

téléchargement1. Mon Arrière-plan Astral

Il pourrait être appelé un organe de votre corps astral, mais tombe plus précisément dans le classement d’un aspect. C’est la partie de vous dont vous n’êtes pas conscient ainsi que ces traits auxquels vous ne voulez pas vous identifier, en d’autres termes, il est constitué de vos vices, vos faiblesses, vos refusés toxicomanie secrets, vos taches aveugles et vos vanités.  Comme vous devenez plus conscient de tout, l’Arrière-plan recule jusqu’à ce qu’il soit complètement intégré à l’aspect conscient du corps astral. Cela se produit généralement autour de la 3DI. C’est un processus qui prend beaucoup de vies et ne doit pas être attaqué avec ambition, qui est souvent une caractéristique à l’arrière!  Vous pouvez aussi accéder à votre paysage spirituel par l’arrière. Ce n’est pas fait consciemment, mais cela se produit généralement pendant le sommeil.

2. N’importe qui peut voir mon Arrière-plan Astral dans le monde astral?

Il y a tellement de choses à voir et à vivre dans la dimension astrale que l’on remarque rarement l’Arrière-plan. Rappelez-vous que le corps astral est un organisme complexe avec de nombreux organes et les aspects que nous n’avons pas dans le corps physique.  Chez une personne qui n’a pas encore atteint le 3DI, l’Arrière-plan d’un corps astral peut prendre jusqu’à toute la moitié arrière du corps, mais ne fait pas partie de l’image de soi, donc ne fait pas partie du «visage public» ou générale une apparence. Cependant, il est facile pour quelqu’un d’examiner votre dos s’il est intéressé. Votre ange gardien se penche sur elle à peu près tout le temps. Elle a une très belle vue.

3. Que fait un Arrière-plan typique?

Ce n’est pas beau à voir, mais néanmoins intéressant. Différents traits émotionnels ont leurs apparences spécifiques.  Par exemple, la fierté se manifeste par une tache entre les omoplates sombre. La plus grande est la fierté, la plus noir et plus la tache. L’avarice peut ressembler à un bras de poulpe s’étendant à partir des aisselles. La queue d’un dragon, d’épaisseur se glisse derrière la personne qui jouit d’un pouvoir d’exercer sur les autres. Aussi, vous voudrez peut-être vous rappeler que dans votre aura des éléments aux qui se nourrit de ces énergies émotionnelles. Donc non seulement vous avez la partie arrière de votre corps astral, mais vous avez aussi des éléments liés aux sentiments suspendus autour de vous et se régalant de votre expression de ces faiblesses et les vices.

4. Que puis-je faire pour faciliter l’intégration de mon arrière-plan?

Prier fréquemment pour l’illumination sans souffrance. Demandez également à votre ange gardien sur quoi travailler. Elle a une meilleure vue que quiconque, elle peut vous aider une faiblesse à la fois. Lorsque vous demandez de l’aide et des conseils à votre arrière-plan, vous bénéficiez de plusieurs façons.

1) Puisque vous travaillez déjà sur votre subconscient avec l’aide de votre Ange-gardien, elle n’a pas besoin de faire appel à l’artillerie lourde de l’ (éveilleur) Ange Remliel pour obtenir votre attention.

2) Vos méditations quotidiennes sur ce défi obtiendront que votre chakra de la couronne soit bien réglé et bien développée.

3) Votre tuteur vous aidera à faire face à cette partie de vous-même en petites bouchées qui sont relativement faciles à gérer dans votre vie quotidienne, mais vous devez vous demander spécifiquement à cet effet.

4) Parce que votre environnement physique (y compris vos relations avec les gens) est directement contrôlée par l’arrière-plan / subconscient, vous gagnerez une influence croissante sur les événements et les interactions dans votre vie quotidienne. En appliquant, les affirmations appropriées ont finit par guérir toutes les blessures et les aberrations dans le corps astral.

5. Comment dois-je guérir un vice ou une faiblesse qui a été tapi dans mon arrière-plan en particulier?

Lorsque vous devenez conscient de la faute, elle ne se cache plus à l’arrière, mais s’intègre dans le «visage public» conscient de votre corps astral. Ensuite, vous pouvez y faire face. Les affirmations sont la médecine qui guérit et soutient le bien-être du corps astral. Dites-les fréquemment en mode positif.  Par exemple, si vous étiez à prendre conscience que beaucoup de vos problèmes relationnels proviennent de votre conviction que personne ne vous aime si ils ont vraiment appris à vous connaître, alors vous pouvez traiter la cause de la racine par une correction positive. Vous pourriez dire: «Tout le monde m’aime, tout le monde se soucie de moi, tout le monde me soutient, tout le monde m’écoute, tout le monde apprécie tout moi-même, tout le monde me croit, tout le monde m’aide à réussir à merveille.”  Comme autre exemple, disons que vous avez découvert que vos sentiments somatiques interféraient avec votre santé et votre apparence. Vous pourriez dire,  «Chaque jour, je nourris mon corps grâce à une bonne nutrition, exercice amusant, le renouvellement du sommeil et du repos, et une excellente toilettage et l’hygiène.

Lire : Arrière-plan Astral (2)

 

Publié dans:ASCENSION, ENERGIES |on 13 avril, 2014 |Pas de commentaires »

L’énergie des 4 saisons

par Genny Rivière

Notre conscience s’accorde aux moments clés de l’année. Bien suivre le cycle des saisons et adapter notre activité est un gage de bien-être. Du printemps à l’hiver, écoutons ce que nous disent la nature et notre intuition.

 

pierres_superpos__esLa Nature amuse les hommes ordinaires, elle enseigne les disciples, il n’y a que devant les Sages qu’elle dévoile ses secrets. Maître Eckart

Tous les systèmes de pensée, philosophiques ou religieux, sont fondés sur la puissance des cycles naturels. La sagesse sacrée de nos ancêtres est basée sur des correspondances et des interrelations entre l’homme et l’univers, le microcosme et le macrocosme. L’être humain, le microcosme, est une réplique parfaite du macrocosme. Nous portons en nous l’univers tout entier. Nous portons en nous cette mémoire de famille de l’humanité. Les Anciens savaient que, si l’homme voulait se rapprocher de son essence divine, il devait se ré-harmoniser aux grands cycles de la création. Le rapport étroit à la nature nous permet de découvrir que nous appartenons à un “ tout ”, que nous faisons partie intégrante des forces universelles. Nous commençons à le ressentir quand nous sommes baignés dans le clair matin d’une balade en forêt, là où plus rien ne nous sépare, dans l’intention consciente d’être dans l’instant. La nature est un être qui s’apprivoise et qui se livre progressivement.

Les quatre périodes
Parmi les grands cycles, le cycle des saisons est le plus fondamental. Il correspond aux 2 équinoxes (printemps et automne) et aux 2 solstices (été et hiver). Les saisons sont en fait de véritables étapes de transformation pour l’être humain qui reçoit ces forces énergétiques à tout moment. Les lois cosmiques nous sont ainsi révélées et enseignées. Il s’agit d’un cycle quaternaire et nous savons que le nombre “ quatre ” est associé à la matière, la structure et la croissance de l’individu. Les enseignements traditionnels reposent depuis des siècles sur une tradition orale. Ils sont expérimentés par des heures de pratique, d’observation, d’écoute, au coin du feu, sous les étoiles, la lune ou le soleil. Nous avons cette merveilleuse opportunité de recevoir aujourd’hui un enseignement théorique et pratique afin d’être en mesure de nous réconcilier avec notre Terre-mère et notre être fondamental. Naturellement et intuitivement, la conscience s’accorde à ces moments clés de l’année. Tout cela est observable par nos yeux physiques en étant attentif à la nature. Nous voyons dans l’élément naturel le symbole de quelque chose. Par exemple, si nous choisissons naturellement la période d’extériorisation pour prendre des décisions (grand ménage du printemps, etc.), nous allons bénéficier de notre propre déterminisme, mais aussi de l’énergie de la nature et de l’énergie universelle qui est en place à ce moment précis. Les forces cosmiques sont très favorables pour que nous soyons opérationnels et que nous ayons un résultat concret dans ce que nous entreprenons si nous nous ajustons à elles. Chaque saison couvre approximativement une période de 3 mois. Le début de chaque cycle est une période intermédiaire, comme un travail préparatoire à l’énergie qui s’annonce.

Premier cycle
Le printemps (mars à mai) est une saison extraordinaire de renaissance et de nouvel élan. On renaît à la vie extérieure et la nature reprend vie. Le germe, longuement préparé, sort de terre, les bourgeons éclatent, l’énergie de la vie s’exprime à nouveau. L’activité du foie est à son maximum, il a besoin d’être préparé et purifié pour assurer la circulation de l’énergie et du sang dans le vaste treillis énergétique du corps humain. C’est le moment de se dégager de tout ce qui fait obstacle pour se mettre à l’écoute de ce qui se présente et aider une nouvelle force à se manifester. On remet en action ses idéaux profonds avec optimisme et tempérance car l’impatience, l’irritabilité et la colère sont les émotions dominantes du printemps. Il correspond à l’enfance, à l’Est et aux forces du matin quand la lumière monte et éclaire. Chaque matin est un nouveau réveil avec tous ses possibles. La saison est surtout marquée par l’énergie du Bélier qui ouvre la voie et qui s’affirme.

Deuxième cycle
L’été (juin à août), la lumière est à son maximum d’expression extérieure. C’est une période d’expansion, de rayonnement et d’expérimentation. C’est le moment d’être impliqué véritablement dans le monde et dans l’action. L’été correspond au Sud, à midi, à l’intensité du soleil, à l’adulte mature. Le cœur, comme le soleil, rayonne la vie et la lumière, mais le feu du cœur doit être tempéré pour laisser place à la profonde joie d’exister. Quand on entreprend un travail d’ouverture, le taux vibratoire du corps augmente, on devient capable de se transformer et d’évoluer.

Troisième cycle
L’automne (de septembre à novembre) correspond à la période de l’assimilation et de la récolte. Il est essentiel, à cette saison, de faire le bilan de son année. Les formes extérieures commencent à se transformer et à disparaître. L’automne correspond à l’Ouest, au déclin, à la vieillesse, au soir. De la même manière, on apprend à lâcher prise, à abandonner les vieilles habitudes pour faire un tri, tout comme l’estomac et la rate extraient de la nourriture les éléments purs et se débarrassent des déchets. Dans la nature, les feuilles tombent. Il est important de rejeter la tristesse et la mélancolie car l’état dépressif fréquent à l’automne, affaiblit et bloque l’énergie des poumons qui doit être libre pour descendre vers les reins. C’est l’énergie de la Balance qui pèse le pour et le contre dans le but de s’harmoniser.

Quatrième cycle
L’hiver (de décembre à février), la nature est au repos. Il correspond au Nord, à la nuit, à la disparition. C’est une période de mort, dans le sens de mourir pour renaître dans un nouveau cycle, enrichi des expériences du précédent. Le solstice d’hiver correspond à l’éveil de la force spirituelle en soi, à l’éveil du maître intérieur. Les reins jouent un rôle de filtre et contrôlent l’eau du corps. Ils sont dépositaires du yin (principe féminin) et du yang (principe masculin) originels, la base de l’eau et du feu, d’où l’extrême importance d’entretenir leur énergie. Il est primordial de ralentir ses activités, se coucher tôt, savourer les soirées tranquilles au coin du feu, comme le gardien qui veille pour mettre en matrice le nouveau germe.

Site de Genny Rivière

Publié dans:ENERGIES |on 27 mars, 2014 |Pas de commentaires »

Légende des Couleurs

 

Rêve ta vie en couleur, c'est le secret du bonheur

légende des couleurs de l’arc en ciel

Il y a bien longtemps
Toutes les couleurs du monde ont commencé à lutter.
Chacune a voulu être la meilleure, la plus importante, la plus utile ou la plus aimée.

Le vert dit : « Naturellement, je suis le plus important. Je suis le symbole de la vie et de l’espoir. J’ai été choisi pour l’herbe, les arbres et les feuilles. Sans moi tout mourrait. Regardez les paysages alentour et vous saurez que j’ai raison. »

Le Bleu l’interrompit : Vous ne pensez qu’à la terre, mais regardez le ciel et la mer. C’est l’eau, qui est la base de toute vie et qui s’élève des profondeurs océanes jusqu’aux nuages. L’immensité du ciel prodigue la paix. Sans paix vous seriez beaucoup plus pauvre.

Mais le pourpre arrivé à maturité dit : Je suis la couleur de la force. Les ducs, les rois, les chefs de clan et les évêques ont choisi ma couleur, parce que je suis le symbole de l’autorité et de la sagesse. Personne n’hésite avec moi, tous écoutent et obéissent.

Le jaune rit sous cape : „Vous prenez tout trop au sérieux. J’apporte rire, joie et chaleur au monde. Le soleil est jaune, la lune est jaune, les étoiles sont jaunes et un tournesol apporte le rire au monde. Sans moi il n’y a plus de joie. «

Ensuite vint l’Orange se congratulant : „Je suis la couleur de la santé et du renouveau. Peut-être suis-je rare et précieux, parce que je sers tous les besoins de l’être humain. Je soutiens les vitamines les plus importantes, regardez les fruits. Je ne suis pas toujours et partout, mais quand je colore le ciel à l’aurore et au crépuscule, ma beauté est si grandiose que personne ne pense plus à vous

Finalement l’indigo pris la parole, plus tranquillement que les autres mais avec décision : „Pensez à moi. Je suis la couleur du silence. Vous tenez tous compte de moi, sans moi vous êtes superficiels. Je représente l’esprit, les idées et pensées, et les nuances. Vous avez besoin de moi pour équilibrer et contraster la vie. Pour vos croyances, pour vos moments tranquilles et votre paix intérieure. “

A ce moment le rouge n’y tenant plus s’écrie : „Je suis le chef, au-dessus de vous tous. Je suis le sang et la vie. Je suis la couleur du danger et du courage. Je suis le feu. Je suis aussi la couleur de la passion et de l’amour, des roses et du coquelicot. Sans moi la terre serait aussi morne que la lune.

Et les couleurs ont continué à se vanter, chacune convaincue de sa propre importance. La polémique grandissant tant et plus. Soudainement un éclair jaillit et le tonnerre gronda. Et la pluie tomba sur elles sans pitié et les couleurs se sont rassemblées pour se protéger.

La pluie s’est adressée à chacune des couleurs :„ « Vous toutes, stupides à lutter en essayant de surpasser l’autre. Vous ne savez pas que chacune d’entre vous a été créée pour une intention ? Chaque couleur est unique dans le monde et possède quelque chose de spécial. Serrez-vous la main et venez avec moi. »

Elles firent comme on le leur proposait. Elles se rencontrèrent et se donnèrent la main. La pluie leur dit: A partir de maintenant quand il pleuvra chacune d’entre vous se lèvera en arc dans le ciel, pour rappeler que vous pouvez vivre ensemble paisiblement.

L’arc-en-ciel est un signe d’espoir et de réconciliation. »

L’amitié est comme un arc-en-ciel – Rouge comme une pomme et tendre au cœur. Orange, comme une flamme brûlante qui ne sort jamais. Jaune comme le soleil, illuminant le jour. Verte, comme une plante, qui ne cesse de grandir. Bleu, comme l’eau si claire. Pourpre., comme une fleur commençant à fleurir et Indigo comme vos rêves remplissant votre cœur.

S’occuper d’amitié, ressemble à un arc-en-ciel.

Source > http://longbull13.wordpress.com/2011/02/16/legende-des-couleurs/

LA TRILOGIE ENERGETIQUE : les Pouvoirs de l’Etre

 

La trilogie énergétique, une assise de la projection puissante et cohérente des pouvoirs créateurs, se présente ainsi :

L’énergie de la volonté,

L’énergie de la conscience,

L’énergie de l’amour.

images (10)Ces trois manifestations de l’énergie permettent une véritable sensation, une compréhension et une utilisation concrète des pouvoirs de l’individu. Sans l’intensification de ces énergies, la connaissance seule n’en permettra qu’une utilisation minime, voire très superficielle.

La trilogie énergétique est créée par l’union des trois expressions de l’énergie dans l’être, soit la volonté, associée au chakra du hara, l’amour, associé au chakra du cœur, et la conscience, associée au chakra du troisième œil. Cette trilogie est aussi une autre représentation incarnée de la trinité de l’être. Il est fondamental d’en arriver à ressentir les vibrations.

Concrètement, nous proposons à chacun, ds le réveil, de retrouver consciemment la sensation de cette trinité. Pas simplement en tant que concept spirituel – et encore moins religieux – mais en tant que ressenti réel. Vous savez fort bien que par le passé plusieurs voies religieuses ont plutôt proposé aux hommes d’ignorer leurs sensations pour se laisser simplement diriger par une force extérieure. Or, les sensations permettent d’être en relation avec la vie, avec l’énergie circulant en soi, l’expression de l’énergie universelle. En se coupant des sensations, en ne les autorisant pas, les êtres se rendaient vulnérables aux connaissances extérieures et à l’influence de ceux qui les véhiculaient. Cependant, comme tout cela n’est pas naturel, ils ont tout de même cherché à les vivre secrètement. Il y eut donc des abus, des utilisations malsaines et la création de tabous. Par ailleurs, cet éloignement d’un élément fondamental à l’individu, la séparation d’avec les sensations, a intensifié l’impression de séparation entre l’âme et le corps. Cela a donc intensifié les peurs et entraîné l’individu dans tout un ensemble d’expériences émotives qui, elles, ont été bien ressenties.

Le chemin religieux alors proposé amenait les hommes à s’éloigner de leurs sensations profondes et à vivre plutôt des émotions. Et aujourd’hui, la majorité des humains ressentent la vie à partir de leurs émotions, en particulier sous forme de tristesse, de colère, de frustration, d’impatience, et de quelques joies occasionnelles. Ils définissent ainsi l’existence par l’émotion. Ce faisant, ils ne peuvent ressentir l’aspect pourtant le plus naturel de la vie, c’est à dire l’énergie créatrice qui, de leur hara, s’élève vers le plexus, le cœur et la couronne. En d’autres termes, plutôt que de vivre dans la sensation d’une vie qui se déploie, ils limitent leur impression de la vie à ce qu’ils captent émotivement.

Il est donc important de retrouver l’intensité des sensations que leurs corps physique et subtil ont le potentiel de vivre. Cela les guidera nécessairement vers la sensation de l’énergie, l’inspiration et la rencontre du subtil dans l’univers. Ainsi, la connaissance pertinente perçue par inspiration est nécessairement guidée par les sensations.

Notre but est la sensation des trois aspects de l’être. La trinité est, bien sûr, celle de l’âme, de l’esprit et du corps. L’être libre est dans la sensation de cette trinité en lui.

L’énergie de la volonté

Commence d’abord par la volonté d’exister. Chaque humain se présentant sur cette terre, qu’il en soit conscient ou non, est à la recherche d’une intensité existentielle, laquelle peut adopter différentes formes. Certains recherchent cette intensité dans une relation affective ; d’autres, dans l’effervescence au travail ou l’activité physique. D’autres encore s’efforcent de la trouver par une collaboration au mieux-être de ce monde. Tous les hommes aspirent à cette intensité, même s’ils ne l’expriment pas ainsi.

Or, vous serrez sans doute étonné de l’apprendre, mais l’intensité tant souhaitée est associée à une forme extatique vécue lorsque l’être s’est propulsé dans l’incarnation.

Imaginez le duo âme-esprit se propulsant dans l’incarnation. Cela rappelle en quelque sorte un objet entrant dans l’atmosphère terrestre. Cette atmosphère crée alors une résistance, et il faille soit une puissance importante pour pénétrer l’atmosphère, soit un angle particulier qui permet à cet objet, par son rythme, sa force et sa vélocité, d’y entrer. Lorsqu’il y a pénétration, il y a une friction telle que des éclats de lumière se manifestent. Nous empruntons cette métaphore pour vous amener à saisir que lorsque le duo âme-esprit se manifeste dans l’incarnation, lorsqu’il y a une conscientisation du fœtus justement, il y a aussi cette intensité nécessaire, laquelle produit un état extatique en l’être qui se conscientise. Cet état extatique, cette énergie déployée, est si important que la mère porteuse attentive et dans la sensation non seulement de son corps, mais aussi de sa propre énergie, pourra ressentir qu’il y a un passage.

L’intensité vécue à ce moment est associée à une véritable communion entre la dimension physique, concrète et matérielle de la chair, de la matière de ce fœtus, et la dimension lumineuse subtile. En d’autres termes, l’énergie se manifeste alors tant dans la matière que dans la lumière et l’individu en est non seulement témoin, mais il la ressent en totalité. Un champ magnétique important se crée aussitôt. La puissante énergie de la Présence Je Suis s’est inscrite en lui.

Ce moment est fort important, car cette intensité extatique sera désormais inscrite dans toutes ses cellules. L’être qui va naître, croître et se déployer durant toute une vie recherchera cette intensité, même inconsciemment. Il pourra en avoir perdu le sens ou la mémoire consciente, mais la mémoire cellulaire l’influencera. Parfois, ila cherchera dans la passion amoureuse ou celle du jeu, même extrême. D’autres tenteront de la retrouver dans la voie spirituelle.

Rappelons-nous que l’humain est, par sa nature même, un créateur. Ainsi, par des états d’intériorisation, il peut ressentir l’extase en ressentant l’union avec le Tout. Il peut aussi ressentir cette sensation d’union avec le Tout par le déploiement de sa puissance ou de son mouvement créateur dans une forme d’extériorisation. L’état d’ouverture à l’universel, donc d’ouverture à la fois aux plans cosmique et terrestre à partir de laquelle rejaillit une sensation de plénitude, peut être ressenti et obtenu par l’intériorisation et le parcours méditatif de même que par l’extériorisation et le parcours créateur. Et dans un parcours comme dans l’autre, l’être aura non seulement à comprendre, mais à ressentir qu’il s’agit de l’union de divers aspects de lui-même et de la vie qui l’entoure, non d’une dispersion ou du recours à des outils extérieurs en vue de provoquer artificiellement une intensité. C’est une reconnexion avec l’intensité de son propre mouvement énergétique.

Par la contemplation et la méditation, l’individu s’unit à la vie autour de lui, et cette union va progressivement lui procurer des sensations de plus en plus intenses, jusqu’à l’amener à vivre des joies, des états de grâce et des extases. S’il est vrai que divers enseignements spirituels ont proclamé l’intériorisation comme étant la voie réelle pour goûter l’intensité extatique, celle de l’extériorisation, de la manifestation et de l’expression créatrice de l’être est une voie tout aussi vraie. Chacun est appelé à emprunter les deux voies.

Cela suit un mouvement naturel : l’inspiration et l’expiration, le ressourcement et la création. D’une part, l’humain veut se nourrir, physiquement, psychiquement, émotivement, intellectuellement et spirituellement. Cette progression du type de nourriture l’entraîne nécessairement vers sa nourriture naturelle, de plus en plus subtile, celle de la lumière. L’être s’imprègne de la vie, devient l’hôte de la vie, de la lumière, et s’en réjouit.

Ainsi, l’activité du ressourcement correspond à l’inspiration. Vous cherchez à vous nourrir d’air, de prâna, essentiel à votre vie. L’inspiration vous apporte nourriture et bien-être, car elle permet non seulement la croissance, amis le développement équilibré de tous vos organes, de tous vos tissus, de toutes vos cellules. Toutefois, vous savez fort bien que vous ne pouvez pas qu’inspirer. Il vous faille aussi expirer, émettre votre souffle. L’expiration correspond au deuxième type d’activités, soit la création et l’expression de l’être. En étant bien nourri, celui-ci cherchera inéluctablement à offrir en retour. Son offrande à la vie est sa création.

Ainsi, la recherche de l’intensité est ne soi associée à une volonté profonde qui va bien au-delà de vouloir vivre ceci ou d’obtenir cela. L’énergie de la volonté est une expression de l’énergie vitale qui permet à l’homme d’exister. La force de vie ou volonté de vivre présente en chacun est beaucoup plus intense que vous ne pouvez l’imaginer. Peu importe qu’un individu vive un déséquilibre physique important, que ce soit une dégénérescence cellulaire majeur ou autre chose, car s’il n’y avait pas cette volonté de vivre, de vivre la joie, l’union, très rapidement la dégénérescence prendrait le dessus en peu d’années. Alors, lorsque vous observez quelqu’un en déséquilibre, même très avancé, sachez que la force de vie est présente en cette personne.

La quête de l’intensité est donc une expression de la volonté, laquelle es tune expression de la force de vie, de la pulsion de vie. Votre être a eu recours à l’énergie vitale pour naître et croître, et il continue à l’utiliser pour dépasser tous les obstacles – pour tenter d’aimer et d’être aimé. Sans cette force de vie, il n’y a tout simplement plus de vie.

Notre but ici est de mettre en évidence que c’est par cette même pulsion de vie que l’homme pourra créer et se guérir. La volonté est une expression du Je Suis véritable. Souvent, on associe cette force au cœur, ce qui n’est pas erroné. Toutefois, la dimension divine, christique et universelle de l’être se manifeste dans l’incarnation avant tout par l’énergie de vie, aussi appelée énergie de la kundalini. Celle-ci s’élève des entrailles jusqu’au cœur et la couronne. La sensation d’exister, de parcourir un chemin à la recherche de l’amour, est aussi l’expression du Je Suis véritable. Elle se manifeste par l’énergie de la volonté (la puissance pour créer).

La source de la volonté n’est donc pas cérébrale ; elle se situe plutôt dans le hara (bas du ventre). Pour utiliser ses pouvoris, l’individu doit ressentir cette énergie puissante de la volonté et l’intensifier.

L’énergie de la conscience

La deuxième expression énergétique qui constitue les assises des pouvoirs créateurs de l’être est l’énergie de la conscience, liée au troisième œil. Celle-ci est associée à l’Esprit (le Soi supérieur). En affirmant que l’âme (le Je Suis) se projette dans l’incarnation par l’intermédiaire de la création de l’Esprit, nous entendons que le mouvement créatif universel est ainsi orienté, qu’il a un sens et une structure. En créant l’Esprit, l’âme a donné une direction à son mouvement créatif.

images (2)La volonté est l’énergie qui permet le déploiement de l’être. La conscience lui donne une orientation, une direction afin, bien sûr d’apporter un sens à tout cela. Ainsi, l’Esprit universel se manifeste par l’Esprit de l’être et, de ce fait, ce dernier a alors accès à la connaissance de l’Esprit universel.

La notion de connaissance intellectuelle, une connaissance acquise reconnue par la société humaine, nous est familière. Elle est diffusée, entre autres, par les discours et les écritures. Or, à la source, cette connaissance est souvent inspirée d’une connaissance subtile, même si  les individus en sont inconscients. Cela explique les impressions et les intuitions qui les guident, même s’ils n’ont pas conscientisé une structure ou un logique à cet effet.

La conscience est donc ce qui permet d’être en relation avec la connaissance subtile donnant un sens à sa vie. Ce sens est essentiel afin de croître en harmonie, en équilibre et en santé. Dès que l’être, dans une sphère de son existence, vit une perte de sens, il ressent un inconfort et une contraction. Il se sentira totalement équilibré lorsque chacune de ses pensée, de ses paroles, de ses actions et chacun de ses gestes auront un sens, c’est-à-dire qu’ils collaboreront à un parcours le guidant vers ses idéaux, déterminés par sa conscience. Nous rappelons que la conscience est présente non seulement dans le cerveau, mais aussi dans toute la structure cellulaire.

Ainsi, il est important de viser à un état d’être où les différents aspects de la vie ont un sens. Plus l’individu intensifiera ce choix, plus il sera à même de développer ses pouvoirs. En d’autres termes, si un ou plusieurs aspects de la vie d’un être n’ont pas de sens, ce dernier aura de la difficulté à utiliser ses pouvoirs. Pour utiliser ses pouvoirs, l’être doit ressentir cette énergie puissante de la conscience et l’intensifier.

L’Energie d’amour

L’amour est la troisième expression de l’énergie qui constitue les assises des pouvoirs réels de l’être. Il est associé au chakra du cœur. L’amour est en soi une énergie de création. L’individu ressentira un amour profond pour lui-même lorsqu’il se reconnaître et s’autorisera à s’exprimer selon ce qu’il porte profondément en lui. Rappelons-nous que son essence est l’ensemble des dons, talents et qualités naturels qui existent en lui, même s’il en est inconscient, pour servir son mandat d’incarnation. Sa pulsion de vie, ou énergie de la volonté, stimulera son essence pour qu’il la reconnaisse.

Nous avons souvent transmis l’importance de vous aimer. Vous l’avez lu et entendu de tous les Maîtres et les Sages. Qu’en avez-vous saisi ? L’amour de soi est-il une forme d’acceptation complaisante des difficultés de l’être, de ses caprices et de ses désir,s des traits de caractère, des contractions de la personnalité, de l’individu tel qu’il se présente, ou bien plutôt une reconnaissance de tout ce qu’il port intérieurement comme lumière et beauté ? Une conviction qu’il est de nature universelle avec des talents et des qualités essentiels grâce auxquels il peut transformer les désirs et les traits de caractère de sa personnalité afin qu’ils servent justement cette essence ?

Voilà, bien sûr, qui a plus de sens, car si l’amour de soi invite l’individu à cesser de se juger, de se culpabiliser ou d’être dans le déni de lui-même, il ne signifie pas non plus qu’il doive passivement accepter son côté ombragé. L’amour de soi, c’est la redécouverte et la reconnaissance de ses aspects lumineux, et l’autorisation sans jugement de les déployer afin de dissoudre ses ombres.

Au risque d’en choquer certains, nous affirmons que sans l’amour de soi, l’amour des autres est toujours limité. Certes, un être peut aimer les autres, mais si cet amour est pur, il sera de ce fait une incitation à redécouvrir l’amour de lui-même. Il y a toutefois souvent un piège à cet amour des autres, car il cache un besoin de reconnaissance extérieure. Chaque être a à se reconnaître lui-même et, par cette reconnaissance, à s’offrir à lui-même l’expression de tout ce qu’il est.

Lorsque l’humain s’autorise à être avec ses talents et sa beauté, alors il se crée de la joie. Rappelez-vous que le besoin premier de l’humain est la reconnaissance du fait qu’il existe dans cet univers. Et lorsqu’il se sert de ses talents et qu’il déploie son essence, il se sent créateur. Et parce qu’il se sent créateur, il peut, même inconsciemment, ressentir qu’il est universel, car c’est la nature même de l’univers que d’être créateur. Il y aura une identification à l’universel, et cette reconnaissance l’amènera à ressentir la joie.

L’amour es tune énergie de création qui entraîne l’individu vers la joie pure et profonde, vers des états de grâce, et éventuellement vers des extases.

L’amour d’un autre peut servir l’être à se reconnaître, car lorsqu’il aime l’autre, il aime sa propre lumière et sa beauté, et il peut alors ressentir, par cet amour, qui il est. Cependant, l’amour d’un autre n’est pas suffisant. Il faille que l’être s’aime lui-même afin de permettre une expansion totale de l’énergie d’amour. Cette reconnaissance de lui-même, de qui il est véritablement, intensifie l’énergie de l’amour et lui permettra d’utiliser pleinement ses pouvoirs.

Intensification de la trilogie énergétique

En intensifiant la trilogie énergétique en lui, l’être fortifie les assises de ses pouvoirs réels. Pour ce fait, il en prendra d’abord conscience, puis il portera son attention sur l’énergie qui vibre en lui et qu’il peut ressentir physiquement et psychiquement. Enfin, il choisira de se laisser guider et inspirer par elle.

Chaque jour, en portant attention à ses idéaux et à ses choix primordiaux, et en s’unissant à eux, il s’ouvrira à l’énergie de la conscience.

Chaque jour, en ressentant la puissance de l’énergie dans son hara, il goûtera sa pulsion de vie, s’imprégnera de son essence, et l’énergie de la volonté s’élèvera.

Chaque jour, en reconnaissant et en nourrissant sa conviction qu’il est universel et qu’il a son essence propre, il créera de plus en plus librement pour sa plus grand ejoie et celle des autres. Il sentira en lui l’énergie de l’amour et l’émanera.

Voilà comment les assises puissantes de la trilogie énergétique permettent à l’individu de retrouver, de ressentir et d’exprimer ses pouvoirs. Allons maintenant plus avant dans ce processus en clarifiant de quelle manière l’intention, associée à l’élévation du rythme vibratoire – jusqu’à atteindre la fréquence fondamentale individuelle – et à l’amplification du champ magnétique, permettra véritablement à l’être d’entrer dans les processus de guérison, de création et de projection de sa vibration.

Ces trois processus constituent la manifestation des pouvoirs énergétiques d’une personne. C’est trois types de pouvoirs sont innés. Toutefois, rappelons ceci : pour que la personne puisse les exercer, elle devra intensifier chacune des expressions de son énergie, soit la volonté, la conscience et l’amour :

Amour / cœur : reconnaissance de sa divinité, union à l’ensemble.

Conscience / troisième œil : faire sens, inspiration et direction.

Volonté / hara : pulsion de vie, source et puissance générée.

 

Extrait du livre : MANIFESTER SES POUVOIRS SPIRITUELS – Vivre en équilibre dans un monde en mutation de Pierre Lessard aux Editions Ariane 2009

 

Publié dans:ENERGIES, POUVOIR |on 15 mars, 2014 |Pas de commentaires »

LA FRONTIÈRE ENTRE LE MONDE SENSIBLE ET LES MONDES SUPRASENSIBLES

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Pour comprendre les rapports des différents mondes entre eux il faut tenir compte de ceci. Il est fort possible qu’une force produisant, dans tel monde, un effet conforme au sens de l’ordre cosmique, puisse être opposée à cet ordre cosmique en se développant dans tel autre monde. Ainsi pour l’être humain il est nécessaire que, dans son corps éthérique, soient présentes les deux forces opposées : la faculté de se transformer en d’autres êtres et le fort sentiment du moi. L’âme humaine ne peut faire évoluer ces deux forces dans le monde sensible sans les affaiblir. Dans le monde élémentaire elles sont présentes de telle façon qu’en s’équilibrant elles rendent l’être humain viable, comme le sommeil et l’état de veille rendent possible la vie humaine dans le monde sensible. 

Jamais le rapport de deux forces de ce genre ne pourrait être tel que l’une d’elle étouffe l’autre ; mais il faut qu’il soit tel que l’une et l’autre puissent se déployer en contre-balançant leurs activités. 

Or, ce n’est que dans le monde élémentaire que le sentiment du moi et la faculté transformatrice peuvent ainsi agir l’un sur l’autre ; dans le monde physique, c’est seulement le résultat de cette action réciproque et de cette combinaison des deux forces qui peut agir en conformité avec l’ordre cosmique. Si la faculté transformatrice de l’homme agissait dans le monde sensible au même degré qu’elle doit agir dans le corps éthérique, le sentiment que l’âme humaine aurait d’elle-même ne serait pas conforme aux lois du corps physique. Dans le monde sensible le corps physique donne à l’homme son empreinte bien marquée grâce à laquelle il figure dans le monde comme une personnalité distincte. Il n’en est pas de même du corps éthérique par rapport au monde élémentaire. Ici, pour être pleinement homme, il faut savoir emprunter les formes les plus variées ; sinon on serait condamné à un isolement complet ; on n’aurait aucune connaissance sauf celle de soi-même ; on ne sentirait aucune affinité avec les êtres ou phénomènes du monde élémentaire qui seraient alors comme inexistants. 

Par contre, si l’âme humaine développait dans le monde sensible la faculté transformatrice dont elle a besoin dans le monde élémentaire, elle perdrait son individualité. Elle vivrait en contradiction avec elle-même. Pour le monde physique cette faculté transformatrice doit être une force résidant dans les profondeurs de l’âme, une force formant la disposition fondamentale de l’âme, mais ne se déployant pas dans le monde sensible. 

La conscience clairvoyante doit se familiariser avec cette faculté transformatrice, sinon elle serait incapable de faire des observations dans le monde élémentaire. Ainsi la conscience clairvoyante s’approprie, une faculté dont elle doit faire usage seulement aussi longtemps qu’elle est dans le monde élémentaire, mais qu’elle doit éteindre dès qu’elle rentre dans le monde des sens. La conscience clairvoyante doit toujours respecter la frontière des deux mondes ; elle ne doit pas agir dans le monde sensible au moyen de facultés conformes à un monde supérieur. Si, se sachant dans le monde physique, l’âme permettait que la faculté transformatrice de son corps éthérique continue à agir, la conscience ordinaire s’emplirait de conceptions ne correspondant à aucune réalité du monde physique et la vie mentale en serait troublée. La conscience clairvoyante ne peut se déployer normalement qu’à condition que la frontière entre les mondes soit respectée. 

Quand on veut atteindre à la conscience clairvoyante, il faut veiller à ce que, par la connaissance des mondes supérieurs, aucun trouble ne puisse s’insinuer dans la conscience ordinaire. 

En apprenant à connaître le « Gardien du Seuil » on sait quel est l’état de l’âme dans le monde sensible et jusqu’à quel point elle possède la force nécessaire pour bannir de la conscience physique sensible l’influence de forces et de facultés occultes qui doit en être exclue. En pénétrant dans le monde suprasensible sans être muni de la connaissance de soi-même due au « Gardien du Seuil », on peut être subjugué par les expériences dans ce monde. Celles-ci peuvent s’introduire dans la conscience physique sensible comme des images illusoires. Elles apparaissent alors avec le caractère de sensations physiques, et il s’en suit que l’âme y voit à tort des réalités. La clairvoyance normalement développée ne regardera jamais les images du monde élémentaire comme réelles dans le sens où la conscience physique-sensible doit tenir pour réelles les expériences du monde sensible. 

Il appartient à la faculté transformatrice de l’âme d’établir le vrai rapport entre les images du monde élémentaire et la réalité à laquelle elles correspondent. 

L’autre force nécessaire au corps éthérique – le fort sentiment du moi – ne doit pas non plus pénétrer la vie de l’âme dans le monde sensible comme, à juste titre, elle le fait dans le monde élémentaire. Si elle le fait tout de même elle provoque dans le monde sensible des penchants immoraux qui dérivent de l’égoïsme. 

C’est ici le point ou la science occulte découvre l’origine du « mal » dans l’activité humaine. Ce serait méconnaître l’ordre cosmique si l’on voulait admettre qu’il pourrait exister même sans les forces qui forment la source du mal. Sans celles-ci l’être éthérique de l’homme ne pourrait se développer dans le monde élémentaire des forces, qui, bonnes, à condition que leur activité reste confinée au monde élémentaire, sont cependant productrices de mal par le fait qu’elles ne restent pas tranquilles dans les profondeurs de l’âme pour y régler le rapport de l’homme avec le monde élémentaire, mais que, transplantées dans la sphère de vie physique, elles se changent en penchants égoïstes. Elles s’opposent alors à la faculté d’aimer et deviennent par là même la cause des actions immorales. 

Si le fort sentiment du moi passe du corps éthérique dans le corps physique il en résulte non seulement un renforcement de l’égoïsme, mais aussi un affaiblissement du corps éthérique. La conscience clairvoyante est obligée de constater que plus l’égoïsme est développé dans la vie physique-sensible, plus le sentiment du moi, nécessaire à l’entrée dans le monde suprasensible, se trouve affaibli. Dans les profondeurs de l’âme l’égoïsme ne fortifie pas, mais affaiblit l’homme. 

Et quand l’homme traverse la porte de la mort, l’effet de l’égoïsme, développé dans la vie entre la naissance et la mort, se manifeste de telle sorte que l’âme est rendue débile pour les expériences du monde suprasensible.

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extrait de LE SEUIL DU MONDE SPIRITUEL de RUDOLF STEINER aux ÉDITIONS ALICE SAUERWEIN

Publié dans:ELEMENTS, ENERGIES, ESPRITS, LUMIERE |on 7 mars, 2014 |Pas de commentaires »

Le paradis existe

 
selon un neurochirurgien américain

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Dans un livre intitulé Proof of heaven (Preuve du paradis), un neurochirurgien américain, jusqu’alors sceptique et cartésien, raconte sa propre expérience de mort imminente. Un voyage qui l’a convaincu de l’existence d’une vie après la mort.

 

images4Le Dr Eben Alexander, neurochirurgien américain, ne croyait résolument pas en une vie après la mort. Pour lui, tous les récits d’expériences de mort imminente n’étaient que délires et fariboles. Jusqu’en novembre 2008 où une méningite foudroyante viendra ébranler ses convictions, au point d’affirmer aujourd’hui haut et fort : « le paradis est bien réel ! » 

Une déclaration qui, le 8 octobre dernier, a même fait la Une du célèbre hebdomadaire américain Newsweek, tant cette expérience, vécue et racontée par un grand spécialiste du cerveau, prend une autre envergure. Une histoire que le médecin raconte dans un livre intitulé Proof of heaven : 

« Je suis moi-même le fils d’un neurochirurgien et j’ai grandi dans un environnement scientifique. Je comprends les mécanismes à l’œuvre dans le cerveau quand une personne est proche de la mort et j’ai toujours pensé qu’il y avait de bonnes explications scientifiques à ces voyages paradisiaques hors du corps que décrivent ceux qui ont échappé de peu à la mort. Le cerveau est un mécanisme sophistiqué et fragile. Si vous diminuez dans des proportions infimes la quantité d’oxygène qu’il reçoit, vous provoquez une réaction. Rien de surprenant, donc, à ce que des gens victimes d’un traumatisme sévère reviennent de leur expérience avec des histoires étranges…. Mais après sept jours passés dans le coma durant lesquels la partie humaine du cerveau, le néocortex, était inactif, j’ai expérimenté quelque chose de si profond que j’ai une raison scientifique de croire que la conscience survit après la mort. Je sais comment résonne aux oreilles des sceptiques une phrase comme la mienne. Aussi, je vais raconter mon histoire avec les mots et la logique du scientifique que je suis : il y a quatre ans, je me suis réveillé avec une migraine extrêmement violente. En quelques heures, mon cortex – la partie du cerveau qui contrôle la pensée et les émotions – a cessé de fonctionner. Les médecins de l’hôpital général de Lynchburg, en Virginie, où j’avais exercé, ont diagnostiqué une forme rare de méningite bactérienne qui frappe généralement les nouveaux-nés. La bactérie E.coli avait pénétré mon fluide cérébrospinal et dévorait mon cerveau. Mes chances d’en réchapper autrement que dans un état végétatif étaient faibles quand j’ai été admis aux urgences. Très vite, elles sont devenues inexistantes. Mais pendant que les neurones de mon cortex étaient réduits à l’inactivité complète par la bactérie, ma conscience libérée du cerveau parcourait une dimension plus vaste de l’univers, une dimension dont je n’avais jamais rêvé et que j’aurais été ravi d’expliquer scientifiquement avant que je ne sombre dans le coma. J’ai vécu une odyssée où je me suis retrouvé dans un endroit rempli de gros nuages roses et blancs… Bien au-dessus de ces nuages, des êtres chatoyants se déplaçaient en arc de cercle dans le ciel, laissant de longues traînées derrière eux. Des oiseaux ? Des anges ? Aucun de ces termes ne fait vraiment justice à ces êtres qui étaient différents de tous ce que j’avais pu voir sur terre. Ils étaient plus avancés. Des êtres supérieurs. » Le Dr Eben Alexander se rappelle également avoir entendu « un son, en plein essor comme un chant céleste qui venait d’au-dessus », ce qui lui a procuré beaucoup de joie, et avoir ensuite été accompagné dans son aventure par une femme.« Elle était jeune, je me souviens d’elle dans les moindres détails. Elle avait des pommettes hautes, et des yeux incroyablement bleus ainsi que des tresses châtains qui encadraient son beau visage », explique-t-il avant d’ajouter qu’ils se déplaçaient tous les deux sur les ailes d’un papillon. « En fait, des millions de papillons nous entouraient. C’était comme une rivière de vie et de couleur se mouvant dans les airs. »

Un délire ? Un dysfonctionnement cérébral ? Trop de morphine ? Le neurochirurgien, qui n’a jusqu’alors jamais cru aux EMI, assure que tout était bien réel et qu’il ne s’agissait pas « d’une fantaisie, éphémère et inconsistante »« A ma connaissance, personne n’a jamais effectué ce voyage avec un cortex complètement hors service et sous une surveillance médicale durant sept jours de coma. Les principaux arguments avancés pour réfuter les expériences de mort imminentes induisent qu’elles sont le résultat d’un dysfonctionnement minime, transitoire ou partiel du cortex. Or, mon EMI n’est pas survenue pendant que mon cortex dysfonctionnait mais alors qu’il était totalement inactif. Un fait avéré par la gravité et la durée de ma méningite ainsi que par les scans et les examens neurologiques que j’ai subis. Selon les connaissances médicales actuelles sur le cerveau et l’esprit, il n’y avait absolument aucune chance que je conserve ne serait-ce qu’une lueur de conscience ténue et limitée durant cette période. À plus forte raison, il était impossible que je sois emporté dans cette odyssée éclatante et parfaitement cohérente. Là où je me trouvais, voir et entendre n’étaient pas deux fonctions séparées. Tout était distinct et, dans le même temps, faisait partie d’autre chose comme les motifs entremêlés d’un tapis persan. Je sais à quel point cela peut sembler extraordinaire et incroyable. Si, par le passé, quelqu’un – et même un docteur – m’avait raconté une telle histoire, j’aurais été certain qu’il était sous l’emprise d’une illusion. Mais ce qui m’est arrivé est très loin d’être une illusion. C’est un évènement réel, aussi réel que tous les évènements de ma vie, y compris mon mariage et la naissance de mes deux enfants. »

Depuis cette expérience de mort imminente plus aucun doute ne subsiste pour le Dr Alexander : la conscience n’est ni produite ni limitée par le cerveau comme la pensée scientifique dominante continue de le croire, et s’étend bien au-delà du corps. « Il est désormais évident pour moi que l’image matérialiste du corps et du cerveau comme producteurs plutôt que véhicules de la conscience humaine est caduque. A la place, une représentation nouvelle du corps et de l’esprit est déjà en train d’émerger. Cette représentation, à la fois scientifique et spirituelle, donnera de la valeur à ce qui a toujours été privilégié par les plus grands scientifiques de l’histoire : la vérité. »

S’il lui a fallu des mois pour parvenir à accepter ce qui lui est arrivé et pour en parler sans détour, le docteur Eben Alexander a récemment annoncé vouloir « passer le reste de sa vie à enquêter sur la nature véritable de la conscience, et prouver à ses pairs scientifiques mais aussi au reste du monde que nous sommes bien plus que seulement nos cerveaux. »

 

Publié dans:ENERGIES, ESPRITS, LUMIERE |on 27 février, 2014 |Pas de commentaires »

La fin du stade de l’ego pour les artisans de Lumière

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Les guerres intergalactiques étaient dans une impasse avant que la terre n’entre en jeu. Lorsque la bataille s’est renouvelée sur la terre, elle s’est réellement transférée à la terre. Avec ce transfert, quelque chose a commencé à changer dans la conscience galactique. Le temps des guerres galactiques était fini.

Bien qu’elles soient restées activement concernées par l’humanité et la terre, les âmes galactiques se sont lentement retirées dans un rôle d’observatrices. Dans ce rôle, elles ont commencé à prendre conscience d’une sorte de fatigue particulière dans leur être. Elles se sentaient vides. Alors que les combats et les batailles se poursuivaient, celles-ci ne les fascinaient plus autant qu’autrefois. Elles ont commencé à se poser des questions philosophiques telles que : Quel est le sens de ma vie ? Pourquoi je me bats tout le temps ? Le pouvoir me rend-il vraiment heureuse ? En se posant ces questions, leur lassitude de la guerre se renforçait.

Les guerriers galactiques atteignaient graduellement la fin de leur stade de l’ego. A leur insu, ils avaient transféré l’énergie de l’ego et de la lutte pour le pouvoir à la terre, lieu énergétiquement ouvert à cette énergie. A cette époque, les âmes humaines commençaient juste à explorer le stade de conscience de l’ego.

Dans la conscience des guerriers galactiques, un certain espace s’est créé : un espace pour le doute, la réflexion. Ils sont entrés dans une phase de transformation, que nous décrirons en distinguant les étapes suivantes :

1)Etre insatisfait de ce qu’une conscience fondée sur l’ego peut offrir, aspirer à « autre chose » : Le début de la fin.      

2)Prendre conscience de ses attaches à une conscience fondée sur l’ego, reconnaître et se libérer des émotions et des pensées qui les accompagnent : Le milieu de la fin.

3)Laisser mourir en soi les vieilles énergies fondées sur l’ego, se débarrasser du cocon, devenir son nouveau soi : La fin de la fin.

4)L’éveil d’une conscience fondée sur le coeur, motivée par l’amour et la liberté ; aider les autres à faire la transition.

Ces quatre étapes marquent la transition d’ une conscience fondée sur l’ego à celle qui est fondée sur le coeur.

Souvenez-vous bien que la terre et l’humanité ainsi que les royaumes galactiques traversent cette phase, mais pas en même temps.

La planète terre entre maintenant dans la troisième étape. Nombre d’entre vous, les artisans de Lumière, sont aussi à cette troisième étape, en phase avec le processus intérieur de la terre. Certains se battent encore avec la seconde étape, et quelques-uns sont déjà parvenus à la quatrième et goûtent les délices de la joie véritable et de l’inspiration. 

De grandes parts de l’humanité, toutefois, ne désirent pas du tout se libérer de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne sont pas encore entrées dans la première étape de la phase de transition. Ce n’est pas quelque chose à juger, à critiquer ou plaindre. Voyez plutôt cela comme un processus naturel tel que la croissance d’une plante. Vous ne jugez pas une fleur pour être en bouton au lieu d’être en pleine floraison. Essayez de voir cela sous cet angle. Porter des jugements moraux sur les effets destructeurs de la conscience fondée sur l’ego dans votre monde provient d’un manque de compréhension des dynamismes spirituels. De plus, cela affaiblit vos  forces, puisque la colère et la frustration que vous ressentez parfois en regardant les nouvelles ou en lisant vos journaux ne peuvent pas être transformées en quelque chose de constructif. Cela ne fait que vous épuiser et abaisser votre taux vibratoire. Essayez de voir les choses avec un peu de recul, en ayant confiance. Essayez de ressentir intuitivement les courants souterrains de la conscience collective, ce que vous ne lisez ni n’entendez dans les medias.

Cela n’a aucun sens d’essayer de changer des âmes encore prisonnières de la réalité de la conscience fondée sur l’ego. Elles ne veulent pas de votre aide, puisqu’elles ne sont pas encore ouvertes aux énergies fondées sur le coeur que vous, les artisans de Lumière, souhaitez partager avec elles. Même si à vos yeux, elles semblent avoir besoin d’aide, aussi longtemps qu’elles n’en veulent pas, c’est qu’elles n’en ont pas besoin. C’est aussi simple.

Les artisans de Lumière sont très enclins à donner et à aider, mais ils y perdent souvent leur capacité de discernement. Cela provoque un gaspillage d’énergie et peut résulter pour eux en doute de soi et en déception. S’il vous plaît, utilisez ici votre capacité de discernement, car le désir d’aider peut tragiquement devenir un piège pour les artisans de Lumière et les empêcher d’achever réellement la troisième étape de la transition. (La notion d’aide est explicitée plus loin et dans le message « Pièges sur la voie du guérisseur », 2ème partie).

Nous allons maintenant conclure notre description des artisans de Lumière à la fin de leur stade de l’ego. Comme nous l’avons vu, en ce temps-là vous, parmi d’autres empires galactiques, avez interféré avec l’humanité alors que l’être humain moderne prenait forme. A mesure que vous avez commencé à jouer un rôle d’observateurs, vous vous êtes lassés de combattre.

Le pouvoir que vous aviez si longtemps cherché avait eu pour résultat un type de domination qui anéantissait les qualités uniques et individuelles de ce que vous dominiez. Ainsi, rien de nouveau ne pouvait entrer dans votre réalité. Vous tuiez tout ce qui était « autre ». Ce mode de fonctionnement avait rendu votre réalité statique et prévisible au bout d’un certain temps. Lorsque vous avez pris conscience de la vacuité du combat pour le pouvoir, votre conscience s’est ouverte à de nouvelles possibilités. Une aspiration est née pour autre chose.

Vous aviez achevé la première étape de la transition vers une conscience fondée sur le coeur. Les énergies de l’ego, qui avaient régné librement pendant des éons, s’étaient calmées et libéraient un espace pour autre chose. Dans votre coeur, une nouvelle énergie s’était éveillée, comme une tendre fleur. Une voix subtile et calme commençait à vous parler de votre foyer, un lieu que vous aviez connu autrefois mais dont vous aviez perdu la trace en chemin. Vous ressentiez de la nostalgie.

Tout comme les âmes de la terre, vous aviez fait l’expérience autrefois de l’état océanique d’unité d’où toute âme est originaire. Graduellement, vous aviez évolué à partir de cet océan en unités individuelles de conscience. « Ces petites âmes » que vous étiez alors avaient un grand appétit d’exploration, tout en gardant  en elles le souvenir douloureux d’un paradis qu’elles avaient dû laisser derrière elles.  

Plus tard, lorsque vous êtes passées au stade de la conscience de l’ego, cette douleur était encore présente en vous. Pour l’essentiel, ce que vous avez essayé de faire a été de remplir cette place vide avec le pouvoir. Vous avez cherché à vous combler en jouant le jeu du combat et de la conquête.

Le pouvoir est l’énergie qui s’oppose le plus à l’unité. En exerçant le pouvoir, vous vous isolez de l’autre. En luttant pour le pouvoir, vous vous éloignez encore plus de votre foyer : la conscience de l’unité. Le fait que le pouvoir vous éloigne de votre foyer au lieu de vous en rapprocher vous était caché pendant longtemps, puisque le pouvoir est fortement entremêlé d’illusion. Le pouvoir peut facilement cacher son vrai visage pour une âme naïve et inexpérimentée. Il crée l’illusion de l’abondance, de la plénitude, de la reconnaissance et même de l’amour. Le stade de l’ego est une exploration sans restriction de l’étendue du pouvoir : gagner, perdre, lutter, dominer, manipuler, être l’offenseur et la victime.

Au niveau intérieur, l’âme est déchirée à ce stade. Le stade de l’ego provoque une attaque contre l’intégrité de l’âme. Par intégrité, nous voulons dire l’unité naturelle et l’intégralité de l’âme. En passant au stade de l’ego, l’âme entre dans un état de schizophrénie. Elle perd son innocence. D’un côté, elle se bat et conquiert ; de l’autre, elle réalise que c’est mal d’endommager et de détruire d’autres êtres vivants. Ce n’est pas mal selon  une loi objective ou un juge. Mais l’âme réalise subconsciemment qu’elle fait quelque chose qui s’oppose à sa nature divine. C’est dans la nature de son essence divine de créer et de donner la vie. Lorsque l’âme fonctionne sur un désir de pouvoir personnel, au fond d’elle naît un sentiment de culpabilité. Là encore, ce n’est pas un verdict extérieur qui proclame qu’elle est coupable. C’est l’âme qui réalise qu’elle perd son innocence et sa pureté. Tandis que l’âme poursuit sa quête de pouvoir sur le plan extérieur, un sentiment croissant d’indignité la dévore de l’intérieur.

Le stade de la conscience fondée sur l’ego est un stade naturel dans le voyage de l’âme. En fait, il concerne la pleine exploration d’un aspect de l’être de l’âme : la volonté. Votre volonté constitue le pont entre le monde intérieur et l’extérieur. La volonté est cette part de vous qui focalise l’énergie de votre âme dans le monde matériel. La volonté peut être inspirée par le désir du pouvoir ou par celui de l’unité. Cela dépend de l’état de votre conscience intérieure. Lorsqu’une âme atteint la fin du stade de l’ego, la volonté devient de plus en plus une extension du coeur. L’ego ou la volonté personnelle ne sont pas détruits, mais s’écoulent en accord avec  la sagesse du coeur et son inspiration. A ce point, l’ego accepte joyeusement le coeur comme guide spirituel. L’intégralité naturelle de l’âme est restaurée.

Quand vous, les âmes d’artisans de Lumière, êtes arrivées à la deuxième étape de cette transition, vous avez ressenti le désir sincère de rectifier ce que vous aviez fait de mal sur la terre. Vous avez réalisé que vous aviez maltraité les êtres humains vivant sur la terre et que vous aviez empêché la libre expression et le développement des âmes de la terre. Vous avez réalisé que vous aviez violé la vie en essayant de la manipuler et de la contrôler selon vos besoins. Vous avez voulu libérer les êtres humains des chaînes de la peur et des restrictions qui avaient apporté beaucoup d’obscurité dans leurs vies, et vous avez eu le sentiment que vous pourriez accomplir le plus à cet égard en vous incarnant vous-mêmes dans des corps humains. Vous vous êtes donc incarnées dans des corps humains, dont vous aviez vous-mêmes participé à la création de la génétique, pour transformer de l’intérieur vos créations. Les âmes qui sont venues sur la terre avec cette mission avaient l’intention de répandre la Lumière dans les créations qu’elles avaient manipulées.

C’est à cause de cela qu’on les appelle « artisans de Lumière ». Vous avez pris la décision d’agir ainsi et de vous embarquer dans toute une série de vies terrestres, sous l’impulsion d’un sentiment nouveau de responsabilité ainsi que du désir sincère de prendre sur vous ce fardeau karmique, de façon à être pleinement capables de vous libérer du passé.            

  
© Pamela Kribbe 
www.jeshua.net/fr

Publié dans:ENERGIES, HUMANITE, POUVOIR |on 15 février, 2014 |Pas de commentaires »

La ROSE de l’Amour par Adonaï

 

 

Qu’est la Rose de l’Amour ?

250px-Rose_Papa_MeillandMes Amis, elle n’est autre que chacun de vous car vous êtes la fleur de l’Amour incarné. Cette merveille aux mille pétales que vous représentez éclôt au Soleil du Père-Mère-Créateur et exhale son parfum et sa beauté cristalline sans aucune attente, simplement dans la totale joie de son propre accomplissement. Ainsi est Celui qui Est. Ainsi vous êtes, chacun de vous, dans l’expression du Grand Qui vous êtes.  Mais je constate trop souvent encore, et malgré mes conseils ou ceux de mes frères et sœurs, ou plus simplement par des mots et des inspirations soufflés dans le creux de  votre cœur, que vous vous plaisez à manifester essentiellement le petit qui vous êtes. Ne voyez pas dans l’expression « petit qui vous êtes »  un reproche. Le petit qui vous êtes est un aspect essentiel du Grand Qui vous êtes, il est son support d’expérience dans le monde sur lequel vous évoluez. Sans le petit, le Grand n’est pas, et inversement. Le Grand Qui vous êtes le sait, mais le petit semble encore vouloir l’ignorer.

Pourquoi réagit-il ainsi ? Tout simplement parce que vous doutez de l’autre et de vous-même. Vous doutez de moi, de mes propos, de ceux qui les transmettent et, pour certains, vos doutez de Dieu Lui-même. A ces derniers, je demande d’imaginer un univers sans le Père-Mère et de constater s’il y reste quoi que ce soit et, si c’est le cas, d’en trouver l’origine. Mais sachez que si vous doutez de Dieu ou de moi, ni Lui ni moi ne doutons de vous et que nous vous conservons toute notre confiance : c’est cela la puissance de l’Amour et vous en êtes la gloire.

Le doute est utile quand il s’agit de mettre en pratique le discernement sur votre sphère d’illusion. Mais celui dont je vous entretiens n’est pas l’extension saine du discernement, mais plus sûrement un refus de vous reconnaître dans votre splendeur divine. Oui, mes Amis, c’est ma vision à propos des raisons qui vous conduisent à exprimer le petit qui vous êtes au détriment du Grand Qui vous êtes : vous doutez de votre splendeur divine. En premier lieu, parce qu’hier, ou dans ce que vous appelez une vie précédente, vous auriez soi-disant commis une erreur. Vous en êtes conscients s’il s’agit d’hier, mais inconscients pour la plupart s’il s’agit d’une autre vie. Pourtant, dans les deux cas, cette culpabilité vous conduit à refuser votre splendeur divine. Je ne vous invite même pas à vous pardonner à vous-même ou à l’autre. Je vous dis : SOYEZ. Car, s’il y a pardon, il y a jugement. Cela peut sembler contredire ce qui fut dis en d’autres temps, mais il n’en est rien, et de plus les temps ont changé. Est- venu celui d’ETRE.

Culpabilité, bien et mal, vous mettez tout cela à la soupe du karma et au paiement des dettes correspondantes. C’était, certes, une étape importante de vote cheminement, mais elle est aujourd’hui devenue inutile. Si vous le ovulez bine, n’en gardez que la loi de causalité où les notions de réparation, de récompense, de punition, donc de bien et de mal sont totalement absentes. Car la Loi de causalité est d’origine divine, tendis que celle que vous nommez karma est purement humaine. Vous l’avez créée.

Toute cause engendre un effet : vous n’avez qu’à bouger un petit doigt pour que l’air autour de vous soit perturbé. Vous connaissez aussi l’effet papillon. Dans la loi d’origine divine, l’effet n’a rien de positif ou négatif. Ce qui signifie que dans son cadre vos actes ne produisent ni récompense ni punition. Ainsi, si vous lancez une balle vers un mur, l’effet est que la balle rebondit sur le mur, et pas forcément vers vous mais une fois vers la droite, une fois vers la gauche. Et à chaque fois l’expérience est différente.

Sachez que les énergies universelles sont neutres et obéissent très exactement aux ordres qu leurs sont donnés. Ainsi, en essence, aucune énergie dans la Loi de cause à effet ne vous préparera une expérience bonne ou mauvaise en fonction de la nature de vos actes. Sauf si vous le demandez. Et c’est ce qui s’est produit il y a fort longtemps dans votre humanité. Un jour, usant de votre liberté de choix, vous avez désiré que vos actes et vos pensées produisent directement un effet sur vous. Et d’une nature semblable à l’acte. Cela pour vous aider à évoluer, disiez-vous… Vous avez voulu vivre ce genre d’expériences. Et comme nous ne devons pas intervenir dans vos choix, nous vous avons laissé faire. C’est ainsi que, depuis « votre balle rebondit sur le mur » pour revenir toujours vers vous, et toujours avec plus de brutalité. C’est ainsi que, dans ce cadre manichéen où vous vous complaisez, vous vous êtes créé un paradis, un enfer ou un nirvana. Car cette Loi du karma, ou du moins son principe de fonctionnement, est présent dans toutes les confessions ou philosophies, qu’elles adhèrent ou non à la réincarnation. Le seul avantage dans cette dernière croyance est qu’il y a au moins la possibilité de se racheter dans la vie suivante tandis qu’avec une seule existence, vous êtes voués à la damnation. C’est donc bien le règne de la culpabilité que vous a apporté votre choix. Un règne auquel chacun a participé en laissant quelques-uns s’approprier et déformer les conseils qui vous ont régulièrement été transmis par les envoyés de l’Amour tout au long de ces siècles.

Je sais que certains « sautent au plafond » en lisant mes propos et j’entends la pensée de l’un de vous : « Mais alors, celui qui fait le mal pourrait continuer sans jamais en pâtir » ? Toi, mon ami, qui prononce ces mots, je te propose la chose suivante pour apaiser ton courroux et ton sentiment d’injustice. Va chercher celui qui fait le mal, comme tu le dis, et conduis-le près de moi. Et pour juger ses actes je te prendrai pour exemple. Je réunirai ce que tu es maintenant, ce que tu étais hier et il y a dix mille ans. J’en ferai de même pour lui et je comparerai ce que tu es à ce qu’il est. Quand à juger et éventuellement décider d’une sentence contre celui qui fait le mal, je te laisserai ce soin…

Etre, c’est s’accepter, être c’est accepter l’autre. L’acceptation de vote passé vous autorise à avoir de nouveau foi en vous et à entrer dans la splendeur de votre divinité. Et, mes Amis, vous pouvez vous l’autoriser en vous l’affirmant haut et fort, car vous êtes de grands personnages dotés d’une vertu puissante : le courage. Et vous avez eu une foi inébranlable et totale  en vous incarnant dans cette dimension de libre arbitre, dans cette dimension où le voile de l’oubli vous a fait perdre la conscience de votre origine divine – ce qui était nécessaire – de l’être parfait que vous êtes de toute éternité.  Tout n’est qu’expérience. Ne pas oublier ce qui fut mais l’accepter comme une expérience qui vous a renforcés et construits. Autrefois, il était nécessaire d’oublier vos erreurs par le phénomène appelé mort pour pouvoir expérimenter une nouvelle incarnation. Car peu auraient supporté les souvenirs d’une existence de roi sanguinaire ou de prostituée, ou autres. Ce temps est aujourd’hui révolu, et approche celui d’entrer dans la cinquième dimension, sans le passage par la mort. Vous aurez à vous élever dans cette dimension en conservant la totale conscience de votre vie présente, mais il vous reviendra aussi en mémoire, petit à petit, les souvenirs de vos existences précédentes qui, en réalité, sont  simultanées, puisque tout s’accomplit dans l’instant. Alors mes Amis, croyez-vous pouvoir entrer dans cette dimension plus subtile sans avoir réglé votre culpabilité actuelle ? C’est impossible car cela réactiverait de façon exponentielle les culpabilités de vos autres vies. En réglant celles de la vie présente, vous réglerez toutes les autres. C’est ce que vous offre l’Ascension.  Vous pouvez retirer de votre vécu les pétales de la Rose que vous êtes et non les épines qui sont sur la tige. La Rose, c’est le résultat de votre parcours depuis des éons de temps, la tige peut être considérée comme votre parcours lui-même.

Alors, mes Amis, la meilleure façon de régler une culpabilité n’est certainement pas de travailler encore des mois et des mois sur vous, comme vous le faites depuis toujours. Pas même en disant que finalement vous êtes innocents car là où il y a des innocents, il y a des coupable,s des accusateurs et des juges. Mais plutôt en agissant à partir du cœur de vous-même comme je l’ai expliqué. Et plus sûrement encore en affirmant avec une foi totale : « Je suis » A partir de là : Vous Etes. Certains trouvent peut-être mon propos simpliste. Je le concède. Pourtant, mes mots sont simples parce que c’est seulement dans la simplicité que tout se construit solidement dans la Création du Père-Mère. C’est sur les fondations de la simplicité que peut s’asseoir véritablement la gloire cristalline de Qui vous êtes de toute éternité. Cela pour vous faire comprendre que hors de cette simplicité, rien de durable n’est possible. Pour illustrer ce manque de simplicité, je me permets de paraphraser l’un de vos contemporains, inconnu de vous mais cher à mon cœur, et qui se plaît à dire parfois : « il y a toujours un problème à la solution que vous recherchez ». Je constate que beaucoup parmi vous jugent cette phrase quelque peu dénuée de sens. Cependant, à bien y réfléchir…

Prenons par exemple le cas d’une personne en quête du bonheur. Pourquoi, je vous le demande, cherche-t-elle ce bonheur ? Parce qu’actuellement elle est malheureuse, pensez-vous ? Qu’elle est professionnellement insatisfaite, qu’elle est seule ou alors que son compagnon ou sa compagne lui manifeste peu d’amour ? Qu’elle manque d’argent ? Etc… Depuis ma vision – sui n’est pas éloignée de vous mais très proche puisque je suis en vous – je puis vous affirmer que cette personne ne vit pas le bonheur uniquement parce qu’elle recherche ce bonheur. Je m’explique. Vous savez que les énergies de l’Univers sont à votre entière disposition. Elles agissent et réagissent pour vous, en vous et autour de vous à la mesure de vos demandes conscientes ou inconscientes. D’une part, elles agissent et réagissent selon les lois particulières de votre dimension, créée pour votre réalisation, cela pour la  cohérence du tout. D’autre part, elles agissent et réagissent selon les lois particulières de votre propre monde, c’est à dire de votre monde personnel, pour être plus précis, dans le cadre et le respect des schémas de pensées, d’habitudes ou de croyances qui sont les vôtres. Vous pouvez en déduire qu’il n’y a pas deux personnes qui vivent exactement dans le même monde puisque chacune est une expression unique et originale de l’Amour.

En conséquence, les énergies de l’Univers vous font expérimenter très exactement ce que vous êtes dans votre espace individuel. Elles vous donnent ce que vous demandez et ce que vous êtes, c’est à dire ce que vous formulez, que ce soit par la parole, par la pensée, par l’ace mais aussi par l’habitude, par le sentiment ou par l’émotion, conscients ou non. Vous voyez qu’il n’est pas une seule seconde de votre vie qui ne soit demande. Alors, dans mon propos, où se situe l’explication de l’affirmation de notre fameux contemporain ? La voici : qui cherche une solution – le bonheur dans notre exemple – se voit proposer, par les énergies universelles, les défis correspondants et menant à la solution pur qu’il les relève et les dépasse afin d’atteindre ce bonheur qu’il désire… Et cela dans le cadre des lois ou schémas de son mode individuel. Et il en sera ainsi tant qu’il cherchera à atteindre le bonheur, jusqu’au jour où il acceptera que le bonheur est déjà en lui. Oui, mes Amis, le bonheur est en vous, et il vous suffit de le vivre maintenant, à cet endroit de votre lecture. Soyez heureux, en cet instant. 

Le bonheur ne dépend pas des éléments extérieurs, ce sont les éléments extérieurs qui dépendent de ce que vous êtes. Soyez le bonheur et out se transformera. En d’autres termes, les éléments extérieurs sont la manifestation de ce vous avez décidé de vivre. On prétend qu’il y a deux mille ans, j’ai affirmé : « Cherchez et vous trouverez » Encore une citation mal comprise et mal transmise. A la lumière de ce que j’ai dit dans les lignes précédentes, vous serez plutôt en droit de comprendre ceci : « cherchez et vous continuerez de chercher » Aujourd’hui, je vous dis ceci : « soyez, car vous êtes ce que vous avez toujours cherché ».

Vous tournez en rond depuis des vies et des vies après un bonheur qui pourtant est déjà là, en vous. Que celui-ci soit de rencontrer une âme sœur pour les uns, de gagner l’argent nécessaire pour vous acheter une belle voiture, décapotable ou non, pour les autres, ne change rien. De toute façon, dès que vous obtiendrez la belle voiture, il est for  à parier que vous désirerez trouver l’âme sœur qui va avec la couleur du splendide véhicule, ou alors chercherez-vous la voiture pour promener l’âme sœur quand vous l’aurez rencontrée. Entendez tout cela avec humour bien sûr, mais en gardant l’oreille et l’esprit ouverts. Un de mes frères à transmis, il y a fort longtemps, une philosophie concernant le désir et le non-attachement. Ce que j’a dit dans les paragraphes précédents est une illustration de cette philosophie, adaptée aux temps d’aujourd’hui. Bien évidement je pourrais illustrer cette philosophie par d’autres exemples. D’ailleurs, vous les avez déjà lus ou entendus sans savoir qu’ils se référaient à cela, mais dorénavant, vous les lirez et les entendrez en faisant cette fois la relation, si vous le voulez bien.  Cela ne signifie pas qu’il faut renoncer au désir, loin s’en faut. La simplicité dont je vous entretenais tout à l’heure, vous demande de vivre le bonheur et tout vous sera donné de surcroît, y compris la satisfaction de vos désirs. C’est ainsi qu’il fallait comprendre la phrase : « Donnez et vous recevrez ». Mes Amis, en vivant joyeux, en souriant, en riant, en faisant des galipettes dans l’herbe de printemps au grand étonnement du passant, alors vous donner, vous offrez aux autres une belle part de Qui vous êtes. C’est à ce moment-là Qu’il viendra à votre rencontre et vous donnera au centuple. Mais dois-je continuer sur ce sujet ? Car chacun de vous connaît le processus et le résultat d’une personne qui fait trop souvent une moue grise, n’est-ce pas ? Elle refuse le bonheur et n’aide guère son entourage et l’humanité par cette attitude. Il n’y a bien entendu aucun jugement de ma part, juste un constat de son choix dans sa liberté, choix d’une expérience respectable.

J’en vois encore beaucoup parmi vous qui font ces mines sombres, et le plus souvent sans s’en rendre compte. Parmi ceux-là, du moins chez ceux qui s’intéressent à la Cristallinisation du soi, la plupart aiment parler du travail sur soi. Et beaucoup affirment qu’ils travaillent ou ont beaucoup travaillé sur eux. A ceux-là, je pose la question : « Etes-vous heureux pour autant » ? Je voudrais vous offrir quelques conseils que vous appliquerez ou pas, selon votre vouloir : il est préférable de ne pas forcer votre comportement. Vous pouvez y porter attention bien sur, mais évitez de le contraindre, parce que, dans ce cas, la personnalité, lego et l’inconscient se révoltent automatiquement en vos imposant un mal-être, un quelconque désagrément physique ou émotionnel. Pourquoi cette révolte quasiment naturelle de la part de certains de vos aspects ? Tout simplement parce que vous avez été créés libres et que le libre arbitre es tune loi de votre existence. Ne pensez-vous pas qu’il serait bien dommage de ne pas bénéficier de cette liberté divine par votre propre volonté d’humain ? C’est pourtant ce que vous faites couramment pour et par vous-mêmes. Et aussi ce que vous acceptez des autres, qu’ils soient un seul individu, u groupe social, politique ou financier, etc. Mais puisque vous avez la liberté, vous avez celle d’y renoncer… ou de la reprendre. C’est en votre pouvoir.

Ne pas forcer le comportement signifie qu’il faut agir en accord avec votre personnalité, avec ce que vous êtes. Sinon, c’est renoncer à vous-même, renoncer à l’expression unique et originale de l’Amour que vous êtes venus exprimer et expérimenter dans l’incarnation. Ainsi, s’il est bien pour certains de méditer, ce n’est pas pour autant utile pour tous. Pourquoi vous obligeriez-vous à cette pratique si en essence vous n’êtes pas un méditatif ? Uniquement parce qu’un quelconque maître vous l’a dit ? Et si vous ne le faites pas, alors vous culpabilisez. Il en est bien d’autres des pratiques que l’on vous invite à utiliser sans vous demander si elles vous plaisent et si elles sont épanouissantes en ce qui vous concerne personnellement. Mes Amis, tout cela entre dans le cadre manichéen où vos évoluez depuis de millénaires, et il est temps de passer à une nouvelle étape. Si vous aimez les choux à la crème, devez-vous y renoncer pour des carottes râpées sous prétexte que ça rend aimable ou que c’est bine mieux pour la santé ? Ce n’est pas non plus une raison pour vous nourrir uniquement de pâtisserie – j’adore la mousse au chocolat… Je crois me souvenir qu’il a été dit que le plus important est ce qui sort de la bouche et non ce qui y entre. Croyez-moi, un ventre rassasié de ce qu’ lest et aime est bien plus lumineux qu’un ventre plein de ce qu’il ne go^te pas vraiment, donc de ce qu’il n’est pas. On n’entre pas dans le royaume en forçant la porte, ni même en la défonçant – ce qui serait le meilleur moyen de vous faire remarquer…  je plaisante, bien sûr. Je voudrais aussi préciser, et là sans plaisanter, qu’il n’y a pas vraiment de porte au royaume, sinon vous-mêmes. Vous êtes la porte et la clé à la fois.

Extrait de ADONAI transmis par Hilaïhi 2012

Publié dans:AMOUR, ENERGIES |on 12 février, 2014 |Pas de commentaires »

La préparation au retour

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Notre guide va avec nous, si nous sommes suffisamment évolués, sinon, il le fera seul, prévoir un nouveau scénario de vie ayant 3 objectifs :

1. Nous proposer une nouvelle fois l’épreuve que nous n’avons pas réussi la fois précédente. L’objectif est de passer, cette fois,  brillamment l’épreuve. Quelqu’un qui se sera suicidé, se verra proposer des situations où il sera à nouveau confronté à ce choix, bien entendu, c’est plus compliqué que cela, tous les suicidés n’en sont pas à leur 100° échec, je suis obligé de schématiser.

2. Il nous faudra réparer les souffrances que nous avons crées dans notre entourage lors de la vie ou des vies précédentes. Si nous avons été autoritaires vis-à-vis de personnes, nous aurons à subir la situation inverse. Quelqu’un qui aura fait des avortements pour gagner de l’argent et non pour soulager la détresse, devra vivre cet avortement en temps que fœtus. C’est une possibilité d’expiation parmi de nombreuses autres.

3. Dans notre nouvelle vie, il faudra aussi progresser sur des aspects non encore testés : Il faudra, par exemple, dompter l’ambition, l’orgueil, l’égoïsme. L’objectif est de progresser en amour, c’est l’indicateur majeur.

Voici les principales étapes décrites par Michael Newton  dans son livre: Un autre corps pour mon âme

La sélection d’une nouvelle identité  

Une fois la décision prise de s’incarner à nouveau, l’âme est dirigée dans un lieu de sélection des vies. Le lieu ressemble à une salle de cinéma qui va permettre aux âmes de se voir dans différents futurs possibles, dans différents environnements. C’est comme une machine à explorer le futur qui permettrait de voir les différents choix, embranchements possibles. Nous viendrons sur terre avec cette « carte », qui peut sembler parfois un peu obscure ! 

Quelqu’un qui a vécu une vie plus facile, va demander un scénario plus difficile dans la vie suivante, il prendra plus de risques afin de progresser plus vite cette fois et ne pas être distancé par les autres membres du même groupe primaire. Certains veulent aller trop vite et « ratent » leur vie du fait des trop grosses contraintes qu’ils se sont données. 

Remarquons que dès notre incarnation, nous oublions tout pour laisser libre cours à notre libre arbitre. Nous sommes libres, mais responsables de nos choix. Nous en tirerons les leçons qui nous aiderons à progresser de vie en vie.  

Le choix du corps physique 


Nous choisissons d’abord un scénario dans un lieu terrestre qui nous plaît. Ensuite il faut choisir un corps qui permettra de jouer ce scénario. Un corps handicapé est bien un choix et non pas le fruit du hasard ! Choisir un corps cela commence par choisir une famille et les relations que nous devrons « expérimenter ». 

Pour ce qui est du corps physique lui-même : un handicap, un aspect très valorisant ou au contraire éloigné des canons de la beauté peut servir le scénario envisagé. Les composantes héréditaires de la famille (déjà choisie) sont pesées et adaptées si nécessaire à la réussite de ce même scénario. Un traumatisme psychologique ou physique dans la prime enfance peut être nécessaire pour montrer les capacités d’adaptation, et parfois, les capacités de compassion de la famille d’accueil. La souffrance a une dimension karmique, c’est la réponse à la question de Grégory Lemarchal dans sa chanson « le Lien ». 
Il n’y aura pas de place sur terre pour le hasard, l’imprévu, la chance de rencontrer celui-ci ou celle-la. Le hasard n’existe pas, il est favorisé par nos guides, jour après jour, méticuleusement.  

La répétition 
Avant de s’incarner, il est nécessaire que les différents acteurs du scénario s’entendent. Michael Newton appellent la classe de reconnaissance, le lieu où se rendent les âmes « sœurs ». La pièce est répétée, chaque acteur révise son rôle pour la première. Bienentendu, nous allons oublier tout cela, en tout cas consciemment. Nous ne boirons pas l’eau du fleuve Amélès, comme dans le mythe de Er de la République de Platon, mais le résultat sera le même, nous aurons oublié..  

L’envoi en mission
Avant l’incarnation, nous retournons une dernière fois devant le comité des anciens. Ils veulent une dernière fois tester notre motivation pour cette nouvelle vie. Ils nous rappellent, une dernière fois les actions ratées des vies passées que nous devons réussir cette fois. C’est notre nouveau contrat et ils nous encouragent.  
Cette fois la nouvelle aventure commence dans un nouveau corps pour une nouvelle vie sur terre.

Nota : vous n’êtes pas obligés d’adhérer  à ces croyances pour que vous puissiez contacter vos défunts. Les contacts sont du domaine de la physique, les croyances ne sont que des croyances. 

copyright 44825 . issu du site référence AU DELA DU MIROIR http://www.audeladumiroir.fr/organisaudela.html

Publié dans:CHANNELING, ENERGIES, ESPRITS |on 11 février, 2014 |Pas de commentaires »

Les énergies pour l’année 2014

 

2014, l’année de répit par Belle des champs

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Je crois que je n’ai jamais été aussi heureuse de finir une année pour commencer la suivante… Je ne vous cache pas que je me réjouis de cette année 2014. Son énergie annonce une période de répit pour rebondir et bien achever cette décennie de transformation.

Un répit entre la décennie précédente (2004-2013) et la suivante (2013-2022). Une année pour prendre le temps de préparer les changements qui arrivent à grands pas.

Une année de répit ne veut pas dire douze mois de repos, bien au contraire. Nous allons percevoir une ambiance bien plus légère, active et constructive. Je respire quand je sens cela.

Émotionnellement nous avons été bien secoués ces 4 ou 5 dernières années. Bousculés et obligés de revoir nos projets, nos vies, nos envies, nos décisions, nos objectifs. Si vous n’avez pas compris à quel point vous deviez revoir votre copie, attendez-vous à vous prendre une sale note au prochain contrôle surprise… Alors tous à vos feuilles blanches, retournez sur les banc de l’école de la vie un stylo à la main en demandant l’inspiration divine pour vous aider à y voir plus clair.

Commencez 2014 les idées claires, c’est mieux.

Un niveau de conscience plus élevé

N’oublions pas, nous sommes dans un nouvel espace qui nous pousse dans une conscience bien plus forte qu’au siècle précédent. Beaucoup de personnes éveillées, de channeling, spirituels, écologistes, économistes… nous ont prévenus que nous étions arrivés à la fin d’un temps et que nous allions entrer dans un nouvel Univers. Même astronomiquement parlant, vous avez du entendre ou lire les propos d’Hubert Reeves, « Voyager 1 est sortie du système solaire ». Nous, êtres humains qui nous nous sommes cru seuls dans l’univers, peut-être qu’un jour, nos moyens techniques nous prouveront qu’il existe d’autres univers, d’autres systèmes planétaires… Nous vision du monde va s’élargir maintenant.

Nous ne pouvons plus nier aujourd’hui que le monde a déjà bien changé et qu’il ne pourra plus demeurer ainsi bien longtemps.

La naufrage du système économique français

J’entends sans cesse des messages sur le monde politique et sur la gestion de la France. Vu ce que je reçois, beaucoup de ministres ne doivent plus dormir sur leurs deux oreilles. La situation économique de la France est tellement catastrophique, qu’on dirait que nous sommes tous sur le plus beau paquebot du monde entrain de se naufrager tel le Titanic il y a un siècle.

On a tous fait semblant ces dernières années de croire qu’on allait pouvoir gérer tant bien que mal notre situation et rester à flot.

Mais là notre situation ressemble aux premières heures du naufrage du Titanic qui a coulé quelques heures à peine après sa collision. Il était inévitable qu’il sombre. Notre économie en est là. Le gouvernement essaye de chanter tant bien que mal pour rassurer les passagers « Plus près de toi mon Dieu » alors que d’autres se sont barrés depuis longtemps avec les bons canaux de sauvetage. Arrêtons de nous faire bercer par cette dramatique mélodie du bonheur. Écoutez vraiment les paroles. Lisez entre les lignes. Pensez à votre avenir professionnel ailleurs…

Beaucoup d’intuitifs vont comprendre en 2014 la gravité de la situation française et mondiale et ne pourront plus agir de la même façon. Les vrais informations vont remonter petit à petit à la surfaceavant de voir un peu partout des geysers qui ne s’arrêteront plus d’écouler les vérités…

S.O.S Alors comment faire?

Arriver à lancer des S.O.S autour de soi avant qu’il ne soit trop tard. C’est d’ailleurs lors du naufrage du Titanic qu’on a utilisé pour la première fois cette appel de détresse S.O.S. « save our soul » (sauvez nos âmes). Bon à l’époque c’était trop tard, tous les passagers n’ont pas pu être rescapés. Alors, cette fois ci,un siècle plus tard, j’espère que nous avons évolué et que nous allons user d’un peu plus d’humilité en mettant de coté notre orgueil pour tirer les sonnettes d’alarme le plus tôt possible dans notre vie.

Arrêtons de nous cacher la vue, enlevons nos œillères, ne chantons plus à tue tête que tout va bien. La méthode Cauet n’a qu’un effet placebo. Elle ralentit, soigne ou calme pour un temps la douleur mais ne guérit en rien en profondeur la maladie. Nous allons oser dire en 2014 que nous ne voulons plus continuer comme cela. Nous allons commencer à dire stop à notre boite qui nous exploite, à nos voisins qui nous harcèlent, à notre compagnon de vie qui nous ignore, à nos enfants qui ne nous respectent plus et à nous-mêmes qui tirons encore sur la corde…

2014, plus d’énergie positive

2014 est une année qui nous allège la tête et le cœur pour nous donner l’énergie de bâtir un monde nouveauC’est une année pour couler le socle de notre nouvelle maison. 2014 nous donne l’élan d’une autre vie. Cette année est une porte ouverte pour scruter de nouveaux horizons, développer une autre manière de travailler, de vivre, de gagner sa vie, d’aimer, d’être avec soi. On coule les fondations qu’on a préparé ces dernières années.

Notre futur se construit dans le présent en 2014

Comme cette année sera plus légère et constructive, beaucoup de personnes et d’entreprises vont inaugurer des nouveaux concepts sur des aires de renouveau enthousiasmant. Beaucoup vont surfer sur les tendances bien-être, créativité, zen attitude, entreprenariat-, bio-écolo, nature…

Ouvrez grands vos yeux et vos oreilles et ne vous lancez pas dans des aventures pour sauver la planète. La planète devra se gérer elle même. Nous devons être vigilants à nous prendre en main nous même pour transformer nos vies et vivre autrement à notre échelle pour mieux apprendre à maitriser la gestion de la santé, la famille, l’éducation, le travail, les retraites, le mieux-être.Nous devons commencer à imaginer notre vie avec un système public qui va éclater dans les 10 ans, la santé, l’éducation, l’économie, les retraites…

Comment allons nous gérer dans le futur notre présent si nous n’avons pas commencé à envisager de vivre autrement maintenant?

2014 nous aide à prendre un virage

Nous aurons l’audace de lancer de nouvelles choses, d’essayer de nouveaux concepts, de prendre un autre chemin. Attention, tout devra être envisagé durablement. Ne vous lancez pas sans fondation solide, sans avoir exploité ou analysé le terrain auparavant, sans avoir tenté d’expérience au préalable ou sans filet…

Soyez audacieux mais intelligemment, humains et intègres. Les années qui suivent ne vous laisseront pas continuer à gagner aussi facilement sur le dos des autres pour votre satisfaction personnelle.

2014 est une année de répit pour ceux qui ont travaillé avec acharnement depuis des années et ceux qui feront encore n’importe quoi en 2014.

Les années 2015 et 2016 seront là pour ébranler toutes les constructions sans solide fondation, sans intégrité, sans responsabilité, sans humanité.

2014 nous donne l’élan de bâtir autrement notre avenir ou de continuer allégrement à nous laisser berner par la crédulité de notre Ego. Notre Ego va avoir l’impression de pouvoir tout se permettre en cette période d’accalmie. 2014 n’est pas la fin de la crise.

Nous ne sommes pas en crise, nous sommes dans un profond changement de la société. Enfin. Nous vivons les prémices de ce nouveau monde tant annoncé depuis la nuit des temps. Nous avons la grande chance de participer au mouvement de fond qui va révolutionner notre manière de vivre.

2014 nous invite simplement à vivre quelque chose de nouveau pour ce siècle qui a commencé il y a 13 ans maintenant. Nous y avons réfléchie, nous avons creusé, pleuré, accusé, pardonné notre passé. Le plus gros travail de fond c’est fait sur nous-mêmes. Vous l’avez compris, c’est donc chacun de nous qui va prendre en main le changement de vie vers lequel il doit se confronter. Chacun va finir par accepter d’aller vers l’inconnu, contraint ou forcé… Les concepts s’étaient bien, maintenant, c’est l’heure des expériences.

2014 fait partie d’une grande période de changement, elle n’est que le début.

Nous devons regarder 2014 en la combinant avec les 5 ou 10 prochaines années. Nous avons toujours l’habitude de poser des buts, des projets, des engagements pour l’année qui commence. Là, nous devons poser notre regard sur la décennie entière et envisager des projets à long terme.Ce changement de fond ne peut se concrétiser en une année. 2014 est une sorte de tremplin mais si derrière c’est le grand vide et que vous avez oublié de mettre un matelas ou d’ouvrir vos ailes… Attention à la chute… Bon, je sais que vous comme moi nous y travaillons depuis pas mal de temps, n’est-il pas venu ce moment d’y aller?

Je suis sure que vous sentez cet élan comme moi!?

Source: http://voyance-autrement.com/

Publié dans:2014 - PRÉDICTIONS, ENERGIES |on 31 décembre, 2013 |Pas de commentaires »
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