Archive pour la catégorie 'DEVELOPPEMENT'

L’inconscient guérisseur

 

PLACEBO : Du latin « je plairai », l’effet placebo renvoie aux ressources extraordinaires de notre conscience dans le processus de guérison.

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Janis Schonfeld est une architecte d’intérieur âgée de 46 ans et vivant en Californie. Elle est au bord du suicide quand elle trouve assez de courage pour s’enrôler dans une étude clinique sur la dépression.

Après quelques examens préliminaires, elle est impatiente d’essayer ces nouvelles pilules si prometteuses. Et les promesses sont tenues: sa vie est repartie sur de bons rails, même si les effets secondaires pénibles comme la nausée sont bien présents, mais son infirmière l’a prévenue. À sa dernière visite à l’hôpital, le médecin lui annonce qu’elle est guérie de sa dépression, une authentique guérison.

Toutefois, elle fait partie du groupe contrôle de l’étude, celui qui a pris un placebo, autrement dit une pilule sucrée sans aucun effet pharmacologique. « Le seul médicament qu’elle avait reçu était une substance immatérielle et immortelle: l’espoir », écrit le neuropsychologue Mario Beauregard qui relate cette histoire dans son livre Du Cerveau à Dieu. « Dans l’effet placebo, les croyances de l’individu et ses attentes au niveau du traitement semblent influencer l’activité du cerveau dans la durée, explique-t-il.

On a donc une causalité qui s’exerce du mental au cérébral. » Et Mario Beauregard de citer une étude de l’université de Colombie britannique à Vancouver avec des patients atteints de la maladie de Parkinson (dans laquelle un groupe de neurones cesse de produire de la dopamine): « Les patients qui croyaient le plus à l’efficacité du traitement, soi-disant révolutionnaire, sont ceux dont le cerveau a produit le plus de dopamine, en quantité comparable avec des individus sains, alors même que leurs cellules à dopamine étaient détruites à 80 %. Il y a donc un lien entre ce qui est vécu au niveau mental et l’effet neurobiologique subséquent. »

L’effet blouse blanche

Tous les médicaments sont testés « versus placebo » pour démontrer que leur effet est supérieur, ce qui ne s’observe souvent qu’à la marge, comme avec les antidépresseurs. Le simple fait de voir un médecin en blouse blanche produit un effet placebo, qui peut être aussi négatif (on parle alors d’effet nocebo (contraire de placebo)).

Le Dr Bernard Thouvenin explique dans Les Voies de la Guérison que « pratiquement tous les symptômes de toutes les maladies peuvent réagir au placebo étudié en double aveugle, même le diabète, l’angine de poitrine (angor, souffrance du cœur) et le cancer. La douleur est particulièrement “placebo sensible”, même les douleurs cancéreuses, peut- être en raison de la libération d’origine psychique des endomorphines. »

Selon Mario Beauregard, l’effet placebo ne doit pas être confondu avec les processus naturels de guérison: « Il repose spécifiquement sur la croyance et la conviction mentale qu’un remède particulier sera efficace. »

Mais ce qu’il met en jeu, ce qu’il mobilise, relève bien d’une extraordinaire capacité d’autoguérison. Parmi les cas les plus spectaculaires, Mario Beauregard cite celui d’une personne invalide en raison d’atroces douleurs aux genoux, qui se retrouve guérie après une intervention chirurgicale « simulée ». On a pratiqué trois petites incisions au niveau du genou, immédiatement recousues… Lève-toi et marche ! Les sceptiques ont beau jeu d’attribuer à l’effet placebo toutes les guérisons inexpliquées, mais le problème est seulement déplacé, car encore faut-il comprendre comment il fonctionne et la réalité qu’il recouvre.

Issu du magazine Nexus 66- sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES, GUERISON |on 21 décembre, 2015 |1 Commentaire »

Prendre conscience de nos deux consciences

Car oui, chers amis, nous avons Deux Consciences qui cohabitent en nous :

La conscience corporelle et la Conscience spirituelle,
La conscience physique et la Conscience psychique,
La conscience égoïste et la Conscience altruiste, ou
La conscience du mental et la Conscience du cœur,
La conscience de la dualité et la Conscience de l’unité,
La conscience analytique et la Conscience intuitive.

Nos 2 consciences

Ces consciences sont mesurables par l’enregistrement de nos ondes cérébrales.
Ainsi lorsque nous émettons des ondes alpha, bêta ou gamma allant de 7 à 37 hertz, nous sommes dans notre petite conscience du mental qui juge et analyse. Lorsque nous émettons des ondes delta ou thêta entre 0 et 7 hertz, nous sommes en méditation ou relaxation en lien avec notre belle Conscience du cœur altruiste, spirituelle et nous sommes emplis d’amour et de sagesse.

Notre monde cartésien, rationnel est dans le jugement, la dualité. Il entretient la peur de l’autre, nous fait baigner dans une civilisation menaçante entretenue par les médias…

Mes amis privés de parole sont branchés sur leur Conscience de Cœur, de l’Unité.Ainsi lorsqu’une personne est déclarée « En état de conscience minima », seule sa conscience analytique est examinée. Alors que dans les faits cette personne est pleinement dans sa Conscience du Cœur.

Notre société donne la priorité et même l’exclusivité au cerveau. Nous sommes des humains « hautement » évolués et pouvons résoudre des équations mathématiques compliquées, planifier notre temps… Le test du Q.I. met en valeur ces fonctions de logique et d’analyse. Le temps est compté, nous avons de nombreuses activités à réaliser chaque jour. Nous sommes dans le matérialisme, posséder une belle maison, une belle voiture, amasser de l’argent pour notre futur, sont nos priorités.

Si nous considérons l’histoire de notre développement in-utero, alors oui le cœur est prioritaire devant le cerveau. Déjà, à trois semaines de vie, alors que nous mesurons quelques millimètres, notre cœur primitif bat. Notre cœur est formé bien avant notre cerveau, nos bras et nos jambes !

 

Source : http://www.energie-sante.net/

Un voyage au cœur de la conscience du moment présent

 

LE PRESENT

Il est profondément satisfaisant de savoir que le Processus de la Présence est à votre disposition. Ce processus est conçu pour accueillir toute personne qui choisit de se reconnecter avec notre Présence commune.

Le processus est sûr, doux et facile à suivre. Ses bénéfices sont réels et ses effets sont durables. C’est un voyage guidé qui nous offre des techniques pratiques et les outils de perception nécessaires pour extraire notre attention des pièges d’une mentalité basée sur le temps, qui nous permet de progressivement entrer à nouveau dans le moment présent où notre expérience se déroule.

Le processus de la Présence est le résultat d’une quête qui a commencé consciemment dans le désert d’Arizona en 1996 par Michael BROWN.

Sa première rencontre significative avec la Présence et le rayonnement de la conscience du moment présent eut lieu en 1996 dans une hutte de sudation à Tuscon en Arizona, sous la guidance d’un homme médecine indien Yaqui. Pendant les heures qui ont suivi, il a expérimenté une connexion directe avec la Présence et le rayonnement de cet ETRE vibrant dans chacune des cellules de son corps physique, qu’il nomme son véhicule pour la manifestation de la Présence.

Sa seconde rencontre avec la Présence et la conscience du moment présent eu lieu quelques mois plus tard, facilitée par l’ingestion d’une infusion de peyotl. Le peyotl est l’une des substances les plus alcalines sur la planète. C’est également, et indiscutablement, l’un des liquides au goût le plus infect que sa bouche ait jamais rencontré.

Les Amérindiens autochtones qui ingèrent cette plante comme sacrement au cours de leurs cérémonies au sien de la Native American Church (l’Eglise des Amérindiens) s’y réfèrent comme étant « la médecine ». Sa première expérience d’ingestion de cette substance fut profonde. Après une heure de malaises empirant et de nausées, il s’est éveillé en ayant l’impression de sortir d’un rêve profond et obscure dans une expérience de conscience du moment présent. Bien qu’il fut fugace, l’indéniable sentiment d’unité qui se produit en se connectant intimement à la Présence, il s’est senti physiquement présent, mentalement clair, émotionnellement équilibré et « en harmonie » vibratoire.

Il était évident que des expériences telles que les huttes de sudation et le peyotl n’étaient pas à la portée de tout le monde. Les mécanismes d’un voyage dans la conscience du moment présent doivent être aussi naturels que possible – un chemin que tout le monde peut suivre, quelles que soient les situations. L’une des questions que Mickael BROWN a posée à la présence dut donc :

« Comment la conscience du moment présent peut-elle être réalisée essentiellement par un travail intérieur au lieu de dépendre de conditions extérieures, de substances, d’outils, de cérémonies, de rites et de rituels  » ?

Il fut alors introduit à la technique évidente, mais quelque peu oubliée, de la respiration consciente et connectée. La respiration consciente et connectée est une pratique de respiration délibérée, sans pause significative entre notre inspiration et notre expiration. En d’autres mots, il n’y a pas d’arrêt entre les respirations.

Ces séances de respiration apportaient également des intuitions fulgurantes. Par exemple, en se permettant d’expérimenter des moments de détachement par rapport à ses activités routinières quotidiennes. Cette pratique de respiration naturelle l’a aidé à discerner la nette différence entre ce qu’est la Présence et le déroulement de son expérience humaine. Pour identifier cette différence, il n’a pas eu la capacité de perception avant de commencer la respiration consciente et connectée. Il était tellement empêtré dans sa vie de tous les jours que ce qu’il traversait était devenue l’alpha et l’oméga de ce à qui il s’identifiait.

Atteindre la conscience du moment présent est une manière de vivre…. Une approche quotidienne de la vie sur cette planète et pas une solution unique et rapide. C’est un voyage et non une destination.

Mickaël BROWN nous raconte son expérience dans un livre intitulé : LE PROCESSUS DE LA PRESENCE paru aux Editions Ariane – 2012 – sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

NDE : Réflexions avec Patrice van Eersel

 

Après avoir rencontré tous les pionniers de la recherche sur les NDE depuis une trentaine d’années, Patrice van Eersel a proposé quelques pistes de réflexion autour des expériences de mort imminente lors de la grande conférence INREES du 27 Novembre 2008.

NDE

Si la thématique de la mort est présente dans toutes les cultures depuis des siècles, comme dans le livre tibétain de la mort, ou dans les différents récits religieux, elle reste encore un sujet complexe et tabou pour notre société. Malgré cela, l’expérience de mort imminente est aujourd’hui en train de devenir un phénomène de masse reconnu à travers le monde notamment grâce aux progrès médicaux et en réanimation, un endroit clé des rencontres aux frontières de la mort. c’est sous cet angle que Patrice van Eersel a engagé la conférence : « Ce qui est complètement nouveau, c’est que les NDE se démocratisent parce que les techniques médicales se sont perfectionnés. Un simple accident peut nous amener dans une unité de soin intensif, et c’est dans ce temple des sociétés modernes que ressuscitent des milliers de personnes dont certaines ont vécu ces expériences »

Le film documentaire Aux frontières de la mort projeté avant la conférence nous apprenait ainsi à travers le témoignage d’Evelyn Elsaesser-Valarino, spécialiste du phénomène et membre d’honneur de l’INREES, qu’environ 20% des personnes proches de la mort traversaient une NDE selon une étude publiée aux Etats-Unis. Une statistique confirmée par les recherches de Pim van Lommel, qui après avoir mobiliser une dizaine d’hôpitaux sur une période donnée et comptabilisée toutes les personnes qui y avaient eu un arrêt cardiaque – soit 344 Personnes – a constaté que près de 18% avaient vécu une expérience de mort imminente. Une étude que n’a pas manqué de relayer Patrice van Eersel durant la conférence. « c’est très intéressant, et c’est d’un point de vue scientifique une des études les plus forte qui existe »

Le journaliste et écrivain nous rapportait également quelques anecdotes intéressantes sur le brusque changement de vie des expérienceurs après leurs NDE. « Ils reviennent souvent avec un besoin artistique, comme Oliver Sacks. c’est très frappant. Ce neurochirurgien a été pris d’une folie musicale alors qu’il ne savait pas une note de musique auparavant. » Une évolution qui peut également se traduire sous forme de cheminement spirituel, comme le décrivait l’un des expérienceurs interviewés dans le documentaire : « Actuellement j’ai trouvé un équilibre dans une vie de célibataire car le fait d’avoir eu cet expérience a eu beaucoup d’influence sur ma vie de couple, mais également sur ma vie professionnelle. j’ai une formation technique de monteur en tableau électrique. c’est un métier qui est très cartésien, et j’ai eu beaucoup de mal à intégrer cette expérience qui nous amène vers une nouvelle vision sociale, humaine et spirituelle. » 

Après avoir repris les différentes étapes d’une expérience de mort imminente – le sentiment de calme et de paix, la dé-corporation, le tunnel, le contact avec d’autres entités, le panorama de la vie, la frontière et le retour – Patrice van Eersel revenait sur une autre caractéristique frappante présentes dans les différents témoignages : cette difficulté à décrire ces expériences. « Il n’y a pas de mot. c’est ce que disent beaucoup d’expérienceurs. Ces personnes disent que la lumière était beaucoup plus fort que le Soleil, mais que ça n’éblouissait pas. qu’à côté, même le plus bel orgasme de votre vie n’est rien, ou bien que tout allait très vite, mais que c’était complètement en même temps immobile… » Voilà quelques-unes des observations qui révèlent la complexité métaphysique de cette expérience et qui montrent l’obligation d’humilité dont doit faire preuve un professionnel de santé dans l’écoute de ces témoignages. 

Et c’est justement sur ce thème qu’a continué Patrice van Eersel, revenant sur le rôle des infirmières, qui ont aidé au fil de l’histoire les personnes en fin de vie et qui ont été les premières à relever certains témoignages. Raymond Moody, précurseur de l’étude des NDE, avait d’ailleurs découvert de la bouche même d’Elisabeth Kübler-Ross que ces expériences n’étaient inconnu des soignants travaillant avec des personnes en fin de vie. « c’est à ce moment là une grande actrice de l’Acte I qui passe le relais à un jeune acteur de l’Acte II » souligne avec sourire Patrice van Eersel, profitant également de cette soirée pour saluer les travaux de l’INREES évoquant notamment le Manuel de description clinique. Le texte fondateur de l’INREES qui sera un ouvrage collectif regroupant et présentant par catégorie la totalité des expériences extraordinaires répertoriées à ce jour, ainsi que les suggestions d’approches thérapeutiques et d’écoute à paraître en 2009.

La Source noire, Patrice van EerselVan assel
LGF – Livre de Poche (Juin 1987 ; 445 pages)
 

Aux frontières de la mort 
Réalisé par Patrice van Eers
 & Denise Gilliand
AV3 DISTRI (Novembre 2007)
 

Perception culturelle du monde et chamanisme

 Pablo Amaringo

image Pablo Amaringo

Le chamanisme ne peut pas se réduire à une simple vénération des forces cachées de la nature car il se veut avant tout une manière d’envisager le monde et d’interagir avec lui. Plus qu’une voie spirituelle quelque peu abstraite, il est un modèle de vie cherchant à mettre en pratique au quotidien l’alliance avec l’univers, une sorte de fusion totale qui conduit à des notions de temps et d’espace bien différentes de celles aujourd’hui couramment admises.

La pensée sauvage refuse notamment l’idée d’un monde extérieur, indépendant et hostile à la survie de l’individu. Elle se fonde au contraire sur un principe simple, traduit ici en termes occidentaux : l’univers contient l’homme et l’homme renferme l’univers. Abolissant toute idée de lutte, l’être humain n’est pas seulement dans la nature, il est la Nature. On a trop souvent voulu réduire cette position à une sorte de soumission de l’être humain aux forces de la nature. Or, il n’en est rien. Car à l’instar de la notion de « Terre-Mère » chère à tous les Amérindiens, c’est bien de complicité ou de connivence dont il faut parler. Ainsi à titre d’exemple, la foudre qui s’abat tout près du village n’est pas perçue comme un déferlement des puissances hostiles, mais sera interprété sous la forme d’un message adressé aux hommes, lesquels en sont peut-être la cause par leurs actes récents. De même, l’ours, le loup, l’anaconda ou le jaguar, animaux capables d’attaquer l’homme dans certaines circonstances, sont systématiquement considérés comme nos proches ancêtres avec la volonté évidente de forger une alliance avec eux plutôt que de verser dans une peur irrationnelle. Ici, les légendes ne racontent pas le monde, elles sont littéralement investies du pouvoir de créer la réalité, une réalité mouvante de par le mode de transmission oral, mais une réalité à la mesure des hommes et que les anthropologues ont appelée cosmovision.

Sans cesse à l’écoute des forces qui meuvent la nature, le sauvage entretient ce lien magique qui le relie à l’univers entier. Cette vision le transcende, il n’est plus seul mais en communion avec le « Grand Tout », une sorte de confident mystique de l’univers. Humble particule d’une fresque grandiose, il a su cultiver une certaine conception de la solidarité aujourd’hui inconnue en Occident : les hommes étant reliés entre eux et avec leur environnement, toute modification d’attitude de l’un d’eux ou événement naturel influencera leur propre vie. En terre sauvage, il y a comme de la prudence ou de la précaution à ne pas gêner l’équilibre du Grand Tout et un souci constant de se fondre avec celui-ci comme pour mieux profiter de son étonnante dynamique.

La pensée sauvage refuse aussi l’idée d’un temps linéaire déroulant son intraitable empreinte sur l’espace. Aux antipodes de cette conception, les peuples de la nature affectionnent dilater l’instant présent au point d’en oublier leur passé et de ne rien attendre du futur. Par exemple, pour beaucoup d’entre eux, le premier homme est né tout au plus deux ou trois générations avant les derniers aïeux qu’ils ont connus. Etouffer la marche du temps, c’est en quelque sorte rendre à l’espace son entière puissance. On parvient alors à saisir toutes les forces de l’univers concentrées en un seul instant dilaté et omnipotent. Celles-ci dansent une sarabande éternelle et l’homme pris dans son tourbillon se doit d’interagir avec elles pour maintenir le miracle de sa vie. Sauver sa vie n’est pourtant pas le sentiment qui s’en dégage. On pourrait presque dire qu’il faut savoir donner sa vie pour qu’elle existe vraiment. Aussi, il n’est pas étonnant de constater que pour tous ces peuples, le prestige et les valeurs morales ont plus d’importance que les aspects matériels. Conséquence incontournable de cette disposition d’esprit, la vie et la mort se côtoient en permanence. L’une et l’autre sont à l’oeuvre en même temps et rien ne servirait à repousser l’une au profit de l’autre, telle la surprenante attitude des peuples premiers pour qui la notion de survie est en elle-même inconcevable.

Le chamanisme est à n’en point douter l’héritier légitime de cette façon ancestrale de penser le monde. Il se propose de plonger au delà de nos sens à la recherche de cette autre partie du monde qui nous échappe. Voyages hallucinatoires, transes extatiques, envoûtements, c’est dans une sorte de « réalité profonde » que se meuvent les chamans. Mais leurs efforts seraient vains, si tout un peuple derrière eux ne se sentait pas concerné. En terre sauvage, il est du ressort de chaque homme, de chaque femme d’aller à la rencontre des signes annonciateurs du monde total. Plus qu’un devoir, cela est devenu le sens de leur vie comme de leur mort. Car cette réalité-là est perçue comme le cadre élargi de la vie, la véritable dimension dans laquelle il faut agir pour orienter le modeste destin de chacun.

source : http://arutam.free.fr/

Publié dans:AMERINDIENS, CO-CREATION, DEVELOPPEMENT, ESPRITS |on 12 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Chacun d’entre nous a une projection de son image dans l’astral

 Astral-Project

La plupart des gens, croient que cette image, c’est eux, alors que c’est leur fantôme, leur propre ombre.

Ils ne sont plus qu’une image qui suit ou rejette les mouvements de masses, dont l’inconscient n’arrive pas à se dissocier de l’inconscient collectif, un principe d’action/réaction primaire qui ne crée rien… Même si Facebook a beaucoup d’avantages, il faut y faire très attention car on assiste à l’avènement d’une génération obsédée par son image…

Ce qu’il est très important de comprendre, c’est que comme l’homme vit de plus en plus dans sa tête

Il crée de plus en plus de formes pensées et vit de plus en plus dans leur monde qui donne à la matrice de plus en plus de pouvoirs.

Même si elles n’avaient pas été « pensées » pour cela à l’origine, les formes pensées ont fini par penser par elles-mêmes et par vouloir s’émanciper de leurs « créateurs ». Je peux vous affirmer qu’avec l’énergie des humains elles ont construit un véritable monde qu’elles ont peur de perdre si les humains arrivent à se connecter à l’énergie inépuisable de leur dimension quantique (l’infiniment petit, l’intérieur de l’atome, l’ADN, les profondeurs des chakras…).

On ne se rappelle jamais assez que chacun des atomes de notre corps détient la puissance d’une centrale atomique !

Mais pour capter cette énergie, il faut que nos attaches vers l’intérieur soient plus fortes que nos attaches extérieures. C’est pour cela que nos dirigeants sont amis avec toutes les religions qui nous font chercher ce dont on a besoin à l’extérieur de nous : chercher Dieu dehors, le grand Amour, l’autorité, etc.

Donc, la stratégie à adopter pour faire ses choix dans les mondes « matériels de la matrice » et nos « intérêts Divins », va en général dans le sens exactement opposé. Comme le disait Hermès, « la terre est le miroir du ciel ». Tout y est inversé !

Revenons-en aux formes pensées.

Ce sont des êtres qui sont créés par les hommes et les femmes sans qu’ils s’en rendent compte. Ce n’est qu’en comprenant bien l’histoire de Terre Gaïa et de ses âmes que vous comprendrez d’où viennent ces forces, pourquoi elles sont là et en quoi elles font à la fois partie du problème et de la solution !

Le monde que ces êtres de l’invisible ont créé est d’une sophistication inouïe. Ils ont notamment créé un faux « monde divin » (l’astral) dans lequel les âmes sont retenues prisonnières dans des cycles de réincarnation sans fin. Ils ont leurs faux dieux, leurs faux saints de toutes les religions patriarcales de la planète (qui sont tous les saints vénérés par les religieux).

Quel que soit leur nom ou leur culture, chaque fois qu’un être donne de l’attention à ces soi-disant saints, cela nourrit encore un peu plus leur monde. Certains appellent ce monde « la matrice » en référence au film « Matrix » mais aussi en référence à la matrice de la création. On l’appelle le monde de l’ombre notamment car c’est un monde qui ne peut survivre qu’en se cachant. Sa plus grande force réside d’ailleurs en ce que la quasi-totalité des humains ne savent pas qu’il existe. Le gouvernement mondial invisible et sa soi-disant dette en est le reflet dans la matière. Mais comprenez bien que le gouvernement invisible est théâtre de marionnettes !

Alors si tu fais partie des très rares (tu comprends très rares ?) êtres humains encore vivants sur cette planète, rejoins-nous ! Dans l’invisible ou dans la matière, rejoins-nous ! Mets-toi dans cette État d’Esprit, ferme les yeux et parle-nous : nous ta famille de Lumière sommes toujours à tes côtés !

Extrait de Claude Traks sur www.claudetraks.com

Claude Traks est également l’auteur des ouvrages :
• A la Recherche du message des Dauphins, publié aux Éditions CommuniCare
• Dernières pièces du puzzle – Objectif 2012 : La mission spirituelle de l’Europe et de la France,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Les Mensonges de la Bible, du Coran et de la Torah, publié aux Éditions CommuniCare
• Lettre au président Sarkozy et au nouvel ordre mondial de la part du monde des fées, des anges et des dragon,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Pour se libérer de la matrice, publié aux Éditions CommuniCare

LES YANTRAS

 

TRACE DYNAMIQUE

Yantra est un mot sanskrit qui signifie littéralement « support » ou « instrument ». C’est une figure géométrique qui est, dans la pure tradition hindoue, la représentation linéaire des manifestations de l’ordre cosmique et la matérialisation des puissances divines. En Inde, au Népal et au Tibet, les yantras ont une fonction rituelle. Les petits yantras sont des supports de méditation et les grands yantras définissent les plans des temples. Ils matérialisent tous la dualité liant le divin, symbolisé par le point et le cercle, et le monde des contraires représenté par le carré, le premier des vingt rectangles sacrés.

Le yantra est l’équivalent graphique du mantra qui est la formulation mentale de ces notions ésotériques. Il combine le concept de l’infini, symbolisé par le cercle de l’Unité, avec celui du fini, symbolisé par le carré de la Terre. On retrouve aussi cet emploi conjoint du cercle et du carré dans l’art arabe des mosquées et dans l’art gothique des cathédrales. La rose sud de la cathédrale de Clermont-Ferrand est significative à cet égard. Elle exprime l’infini dans le monde du fini par une disposition quasi islamique des figures géométriques. Quant au mantra, c’est en quelque sorte, l’âme du yantra. Ils sont d’ailleurs rituellement utilisés ensemble. Les Orientaux disent volontiers: « Ce que l’huile est à la lampe et le corps à l’âme, le Yantra l’est à la Divinité ».

C’est pourquoi ils observent la plus grande prudence dans le maniement des yantras et les considèrent un peu comme des divinités secondaires, des moyens permettant l’approche divine. La forme du yantra produit un champ de forces (ou d’énergies) qui est celui de la divinité représentée par le yantra. C’est ce qui se passe avec les mandalas que sont les rosaces de nos cathédrales. Les Orientaux utilisent la forme du mandala pour bien donner aux limites extérieures des enceintes sacrées de leurs temples leur vraie fonction de frontière entre le monde sacré et le monde profane. Leurs temples ont le plus souvent la forme du yantra « vâstu-purusha » qui représente l’essence de l’homme, son Moi divin. Un yantra pratiquement parfait est celui constitué par le stùpa de Borobudur, dans l’île de Java.

C’est une montagne entièrement recouverte d’une multitude de temples édifiés au cours du VIIIe siècle de notre ère. Mandala signifie en sanskrit « roue d’énergie » ou « roue de vie ». Le plus connu en Occident est le mandala du tai-chi, la monade chinoise ou Yin-Yang. Mais, ce terme de mandala peut désigner toutes les formes qui, au travers des diverses traditions, ont servi à représenter l’ordre et l’harmonie du Cosmos. C’est un symbole universel remarquablement illustré par la lame 10 du Tarot intitulée la « Roue du Destin ».

On peut l’admirer sur le portail de la cathédrale de Beauvais. Les mandalas sont des formes parfaites qu’on rencontre partout dans la nature pour peu qu’on se donne la peine de regarder. Elles permettent d’accéder à la vision profonde du centre qui est en nous, la redécouverte de ce centre nous invitant à réintégrer l’Unité. Les formes parfaites des mandalas propres à la culture occidentale sont magnifiquement exprimées par les rosaces médiévales de nos cathédrales. Il n’y a d’ailleurs pas grande différence dans l’ordonnancement des espaces sacrés de l’Orient et de l’Occident.

Dans les deux cas, le centre (le point sans espace) est le point primordial d’où jaillit toute création. Étant à la fois unité et totalité, il contient en devenir toute la Création.

SOURCE LES YANTRAS Tracés dynamiques des Maîtres d’œuvre du Moyen-Age de Louis Rosier aux éditions Mosaïque 2013

La symphonie de la Naissance

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Et ses 2 tempos majeurs

Lors du processus de la naissance, l’enfant va prendre deux décisions fondamentales pour son avenir :
– la décision de vivre pour continuer d’évoluer. Elle enclenche le processus d’accouchement
– la décision de s’engager activement dans la vie.Elle enclenche le processus d’expulsion

Je vais m’appuyer sur la première pour illustrer mes propos.

La décision de vivre


Qu’est-ce que cela représente pour lui ?

Le processus de la naissance s’enclenche lorsque l’enfant prend la décision de naître. Cela se passe, la plupart du temps, lorsque ses poumons et ses reins sont matures et qu’il est prêt à se lancer dans l’aventure de la vie sur Terre. De façon imagée, il se dit : « c’est OK, je suis prêt ! J’y vais. » Et il appuie sur le bouton qui enclenche l’ouverture de la porte.

Si ce temps n’a pas été respecté, l’enfant n’a pas intégré ce « je suis prêt ». Il peut en résulter qu’il se sent toujours bousculer, qu’il attende que d’autres lui disent que c’est le moment, qu’il n’ait pas accès à ses sensations…
Où en êtes-vous par rapport à cette sensation que tout est OK, que vous êtes prêt ?

Jusque-là, le petit enfançon s’est construit dans une matrice, véritable contenant protecteur qui lui a permis de grandir et de se créer. Cette matrice et celle qui le porte sont tout pour lui. Mais il arrive aux limites de cette matrice et, s’il veut continuer de vivre, donc de grandir et d’évoluer, il lui faut quitter celle-ci pour en trouver une plus appropriée. 

Nous passons notre temps à reconstituer des matrices (travail, couple, cercle d’amis, famille…) qui nous permettent de grandir et d’évoluer jusqu’à un certain stade. Quelles sont vos matrices actuellement ? Comment vous sentez-vous dedans :
- Quelles sont celles qui vous permettent encore d’évoluer ? 
- Celles où vous vous êtes installé dans une routine confortable ?
- Celles dans lesquelles vous vous ennuyez ou qui commencent à vous peser ?

Plusieurs choix se présentent alors à lui :

– Décider de vivre et enclencher le processus tout en sachant qu’il ébranle ainsi cette précieuse matrice (donc sa mère). Dans ce cas il écoute son vivant et fait confiance à l’autre dans sa capacité à gérer les secousses qu’il va créer. Le fait de le vivre au moment de sa naissance encourage l’enfant dans ce processus surtout si sa mère s’ouvre et se lance dans l’aventure de l’accouchement.
– Choisir de préserver la matrice (donc sa mère) en se couper de son vivant. Dans ce cas, soit on déclenchera le processus pour lui (artificiellement ou par césarienne), soit il se laissera mourir. Dans ce cas (comme dans le cas où on ne lui laisse pas le temps de sa décision), il n’a pas l’information qu’il peut être acteur et poser sa décision ou il cherchera toujours à épargner l’autre quoi qu’il lui en coûte.

Que faites-vous lorsque vous arrivez à la limite d’une matrice ? Est-ce que :
- Vous vous endormez tranquillement dans cette matrice confortable même si elle est un peu étroite ?
- Vous vous effacez et vous soumettez à tout ou partie de la matrice ?
- Vous explosez tout et cherchez une nouvelle matrice qui sera probablement similaire ?
- Vous vous positionnez avec justesse quitte à ce que l’autre se « cabre » en offrant la possibilité e faire évoluer les choses ?

Je rencontre bien souvent des personnes qui préfèrent se couper de leur vivant plutôt que d’ébranler la matrice par peur de la blesser ou par peur de se lancer dans l’inconnu et de perdre ce contenant rassurant. De quoi ont-ils besoin pour prendre de nouveau cette décision de vivre pour continuer d’évoluer au risque d’ébranler leur matrice ?

Qu’est-ce que cette décision implique profondément ?

Cette décision implique :
– d’être à l’écoute de notre vivant (donc de notre plaisir profond)ou de ce qui nous gêne (résistance, douleur…) lorsque le contenant devient trop étroit. 
– de respecter notre vivant et d’avoir suffisamment foi en nous ainsi qu’en la vie pour nous lancer dans l’inconnu.
– d’accepter l’idée d’ébranler ce qui constitue la matrice (travail, couple, cercle d’amis, famille) au risque de les blesser voire de les perdre. 
– de faire confiance à cette matrice dans sa capacité à se mettre en mouvement pour grandir elle aussi et évoluer.

L’idée n’est pas de détruire la matrice mais bien d’aller au-delà pour grandir. Lors de la naissance, l’enfant, par sa décision donne la possibilité à sa mère de grandir et d’évoluer. Il n’est pas responsable de la manière dont sa mère va se lancer dans cette aventure : si elle s’ouvre ce sera simple, si elle résiste ce sera compliqué. S’il n’ose pas la bousculer, il ne lui donne pas cette possibilité de se mettre en mouvement. 

Il en est de même dans notre quotidien, à chaque fois que nous faisons des concessions pour ne pas perturber l’autre, pour ne pas le blesser… Nous risquons de ne pas lui donner une occasion de grandir. C’est ce qui se passe bien souvent dans les couples : soit nous faisons avec (nous nous laissons étouffer par cette matrice), soit nous explosons le couple (donc nous évitons le passage qui nous permet de grandir et risquons de reconstituer une matrice similaire avec des situations qui se répètent), soit nous nous positionnons et donnons au couple la possibilité de grandir.

Ainsi, la manière dont nous avons été soutenu ou simplement respecté dans cette décision de vivre influence bien des attitudes que nous avons dans notre quotidien.

Conclusion
Plus nous accompagnerons en conscience la vie de l’être qui va venir, plus nous l’accueillerons avec une noble qualité de présence, plus la vie qu’il va construire sera l’expression de ce qu’il a reçu à ce moment précieux. Ne va-t-il pas construire le monde dans lequel nous allons vivre demain ? 

En remettant à jour ces passages dans notre mémoire cellulaire, nous transformons ce qui nous a manqué afin de nous l’apporter aujourd’hui. Ainsi les enfants d’aujourd’hui, que ce soit les nôtres ou ceux que nous croisons sur notre chemin, pourront s’appuyer sur nous pour déployer leurs ailes. N’avez-vous jamais remarqué la puissance de ce regard que les jeunes enfants posent sur nous : ils téléchargent l’information de ce que nous avons transformer. Ils cherchent en nous le fait que c’est possible ! C’est possible de vivre dans un corps humain en rayonnant la puissance de son être essentiel.

Maïtie Trélaün
Sage-femme, auteur et praticienne en coaching thérapeutique www.naitre-femme.com

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENFANTS |on 15 août, 2015 |Pas de commentaires »

L’INTÉGRATION DE LA FORCE D’AMOUR-LUMIÈRE

 

amour multidimensionnelIl ne sert à rien de vouloir décupler ces potentialités psychiques que vous assimilez à des capacités divines, si vous ne vivez pas d’abord l’Amour dans tout votre Être. L’accès à la connaissance universelle, dont les codes sont déjà gravés dans vos cellules physiques, n’est possible, je vous le répète, que dans l’Amour total. Car l’Amour est la clé qui ouvre la Porte des Univers. Lorsque vous aurez fusionné avec la Force d’Amour, c’est-à-dire quand votre véhicule physique, dans toute sa splendeur, sera en résonance avec la vibration de la flamme céleste en votre coeur, alors vous serez prêts à réactiver tous vos centres énergétiques et à recevoir la vibration solaire qui participe à l’élévation du degré vibratoire du corps humain en rééquilibrant le degré vibratoire du noyau même de vos cellules. « Comment vivre la Force d’Amour? » me demanderez-vous.

 En comprenant simplement que votre potentiel divin est déjà en activation. Chacune de vos cellules reçoit et diffuse la lumière d’Amour. Prenez conscience de cela. Vous êtes Lumière, vous êtes Amour. Et vous êtes uniquement cela! Car vos angoisses, vos peurs, vos colères ne sont pas vous! Elles ne sont que des substances que vous «croyez» être en vous alors qu’elles ne font que voiler qui vous êtes vraiment. Par l’Amour, transmuez. Par l’Amour, unifiez. Par l’Amour, fusionnez avec Dieu.

L’ouverture du coeur permet à la fois la réceptivité à la Lumière et la diffusion de la Lumière. Je souhaite vous enseigner une technique de visualisation intérieure qui favorisera une ouverture du coeur en conscience. Mais retenez bien que cela est indissociable d’une prise de conscience quotidienne de l’Amour en vous et autour de vous et qu’il est important de vivre la Force d’Amour dans votre réalité terrestre, au quotidien, et non pas seulement en méditant.

PREMIÈRE ÉTAPE: La Lumière de la Source, du Père divin, descend en un faisceau lumineux par votre tube pranique, traversant le chakra coronal, le centre Ajna, la gorge, jusqu’au coeur. Cette lumière tournoie de plus en plus vite dans votre chakra du coeur, augmentant ainsi les vibrations d’Amour- Lumière – L’intégration de la force d’Amour-Lumière à l’intérieur de votre corps physique. Cette boule de lumière dans la région du coeur s’intensifie, grandit et illumine votre poitrine entière. Diffusez alors cet Amour-Lumière aux chakras de vos mains en envoyant des faisceaux lumineux de votre coeur, par vos bras, jusqu’aux diamants des mains. Alors, avec le plus grand respect pour la Création, les paumes de vos mains tournées vers le ciel, envoyez votre Amour à la Source. Ainsi vous activez une première circulation triangulaire de Lumière divine dans votre corps physique et un échange réceptivité/diffusion d’Amour- Lumière de la Source.

DEUXIÈME ÉTAPE: Portez maintenant votre attention sur la Terre-Mère, sa lumière traversant votre tube pranique, les trois premiers chakras, jusqu’au chakra du coeur. De la même manière, la Terre-Mère gorge votre coeur de Lumière. Cette force d’Amour-Lumière grandit dans votre poitrine et vous la diffusez le long de vos jambes, jusqu’aux chakras de vos pieds. Par vos pieds, vous renvoyez alors, avec toute tendresse, toute douceur, cet Amour-Lumière au coeur de la Terre. Ceci constitue le second échange triangulaire d’Amour-Lumière. Il est important de souligner ici que la reliance à la Terre s’effectue par le premier chakra (racine) et non par les pieds comme vous avez généralement l’habitude de visualiser « l’enracinement». Le premier chakra constitue l’assise, la base, la Terre. La réception de l’énergie Terre par les chakras des pieds vous aide à prendre conscience de votre incarnation terrestre. C’est en quelque sorte un alignement énergétique Terre/Ciel très souvent employé dans vos techniques de méditation et, certes, efficace. Nous utilisons dans notre activation la réception de la lumière Terre par le premier chakra, car ceci constitue une circulation et contribue à une meilleure diffusion énergétique en tant que mouvement dans le corps.

TROISIÈME ÉTAPE : Les deux premières étapes assurent une circulation tridimensionnelle de votre Force d’Amour-Lumière à l’intérieur de votre corps physique, vers le Ciel et la Terre. La troisième constitue l’ouverture à la réceptivité de l’Amour-Lumière dans sa multidimensionnalité, c’est-à-dire la capacité de réception/diffusion de la Force d’Amour dans votre coeur durant votre incarnation terrestre de troisième dimension et dans les autres dimensions. Ainsi la lumière de votre coeur, qui tourbillonne en spirale, va former une première étoile à sept branches. Il s’agit là d’une activation de la réceptivité Amour-Lumière aux énergies des sept rayons. Vient ensuite se former une deuxième étoile qui se superpose à la première.

C’est l’étoile à 12 branches, qui ouvre le contact et la communication avec tous les Maîtres ascensionnés. Une troisième étoile se forme alors, son centre étant le même que celui des deux premières, soit la flamme divine de votre coeur. Cette étoile aux 144 000 branches grandit jusqu’à englober tout votre corps. C’est l’Étoile cosmique qui assure un échange intersidéral. Cette Une_étoile_illuminéetechnique donne lieu à une circulation intégrale de l’énergie Amour-Lumière dans votre corps physique et augmente le degré vibratoire d’Amour de vos cellules en activant la flamme de votre coeur. Ainsi préparé, votre corps physique prend conscience de la vitalité de ses différents centres énergétiques, qui acquièrent alors une ouverture plus conséquente, ce qui optimise la circulation énergétique lors des sept activations de la Porte du Soleil dont nous vous parlerons plus tard.

Prenez donc conscience de cette énergie d’Amour qui vous anime et vous unit. C’est cette Force qui permet de vaincre la dualité et de vivre la Lumière dans votre incarnation, qui vous permet aussi de réguler vos émotions parfois trop excessives et irraisonnées. La circulation triangulaire de l’énergie Amour/Lumière entraîne cette régularisation en agissant sur la tridimensionnalité de l’être humain. Nous, des Étoiles, disposons d’un système d’activation de l’énergie Amour-Lumière dans tout notre Être qui vous sera bientôt accessible, et cela facilitera votre avancement dans votre processus ascensionnel. Il s’agit d’un système complexe de rayons cristallins diffusés par des cristaux à facettes disposés à l’intérieur de cabines de forme ogivale et de taille humaine. Les faisceaux cristallins agissant sur la grille magnétique lumineuse de notre Être régulent les éventuels déséquilibres vibratoires et régénèrent notre système dans son intégralité. Vous serez amenés à utiliser ces stabilisateurs ioniques à énergie cristalline.

Nous, des Étoiles, souhaitons joindre nos énergies aux vôtres particulièrement lors de vos méditations, afin de vous aider à effectuer ce rééquilibrage intérieur de vos énergies. Faites appel à nous en conscience, et nous serons là avec vous. Vous sous-estimez encore vos capacités télépathiques, qui sont pourtant fondamentales pourrait-on dire, par rapport aux découvertes nouvelles qui vous attendent au cours des prochaines années. Alors nous vous le demandons, par télépathie adressez-vous à nous, des Étoiles, à vos frères extraterrestres et intraterrestres, à vos guides, à vos anges.

Nous sommes là pour vous aider dans votre processus d’éveil à la Lumière et d’Ascension. Permettez cet échange énergétique que nous vous proposons. D’ici à trois ou quatre de vos années, vous serez tous amenés à expérimenter et à vivre cette accélération du processus de transmutation de l’être humain. L’être humain incarné sera alors prêt à devenir l’être humain divinisé. Les trois passages primordiaux sont:

• l’intégration de l’Amour-Lumière dans votre incarnation,

• la modification de votre ADN et l’activation vibratoire de votre structure cellulaire,

• la réalisation de votre multidimensionnalité dans votre monde tridimensionnel.

Nous, des Étoiles, sommes heureux de pouvoir participer à ce grand événement que nous préparons depuis si longtemps pour les peuples de la Terre. L’intégration de la force d’Amour-Lumière Je Suis Chandra, de la civilisation ascensionnée des Incas, et je vous accompagne dans la Lumière.

 Extrait de LA DELIVRANCE PAR LE SOLEIL par Nathalie Chintanavitch aux éditions Ariane Éditions

Chercher à Etre Soi

 

 
2013-02-21-être-soiDécouvrir la Vérité de Qui Vous Êtes

« La cause originelle de la souffrance humaine est la conséquence d’une erreur tragique et pourtant simple : l’ignorance de notre nature véritable. Si nous nous identifions par erreur à un ego, à un individu séparé de la source unique qui anime toute vie, nous sommes plongés dans la confusion et vivons un calvaire indicible. Nous sommes séparés les uns des autres et de nous-mêmes. Consciemment ou inconsciemment, nous ne faisons pas confiance à la vie. Nous nous sentons seuls, nous avons peur et nous nous épuisons à rechercher désespérément une reconnaissance personnelle. Ce livre traite de la fin de cette quête. Il parle de la capacité à découvrir une fraîcheur et un accomplissement éternels dans notre propre coeur, immédiatement. »

 
L’auto-investigation

« Gangaji pose des questions qui encouragent à procéder à un examen de soi honnête et profond. Répondez-y rapidement avant que la censure intérieure n’ait le temps de s’imposer. Le but de ces questions est de faciliter votre ouverture à une self-inquiry immédiate pour explorer les concepts et les croyances que vous croyez réels et qui n’ont pas encore été examinés. Profitez le plus possible de ces occasions et des  profondes réalisations rendues accessibles. »

« Self-inquiry : processus de découverte de la vérité de qui on est, quête de soi, investigation pour découvrir qui l’on est vraiment »

 
Vous n’êtes pas qui vous pensez être

« Chacune de vos pensées à votre propos, qu’elle soit positive ou négative, est étrangère à vous-même. Il s’agit simplement d’une pensée. Qui vous êtes vraiment ne peut être saisi par la pensée, car c’est l’origine de toutes les pensées. Cette vérité ne peut être nommée ou définie. Lumière, âme, Dieu, vérité, soi, conscience, intelligence universelle ou divinité sont des mots totalement inadéquats pour décrire l’immensité de qui vous êtes en vérité. La définition de vous-même, quelle qu’elle soit – enfant, adolescent, mère, père, personne âgée, personne saine, personne malade ou souffrante, ou personne éveillée – cache la vérité à votre sujet. Elle est si proche, si intime, que vous n’arrivez pas à croire qu’il s’agisse de vous-même. Au lieu de cela, vous adoptez le conditionnement de vos parents, de votre culture ou de votre religion pour vous définir, plutôt que ce qui a toujours été présent en vous – plus proche que le battement de votre coeur, plus proche que toute pensée ou expérience.

Qui vous êtes vraiment est dénué de tout concept le définissant. Que vous vous considériez ignorant ou éveillé, sans valeur ou génial, vous êtes libre de tout cela. Vous êtes déjà libre. Seul l’attachement porté à vos définitions de vous-même vous empêche de réaliser cette liberté. Les pensées elles-mêmes ne vous empêchent pas d’être qui vous êtes. Vous êtes déjà cela. Ces définitions vous séparent seulement de la réalisation de qui vous êtes.

Je vous invite à laisser votre attention plonger dans ce qui a toujours été là,et qui attend simplement sa propre réalisation. Qui êtes-vous, en vérité ? Êtes-vous certaines images qui apparaissent dans votre esprit ? Êtes-vous certaines sensations que vous ressentez dans votre corps ? Êtes-vous certaines émotions qui traversent votre mental et votre corps ? Êtes-vous ce que quelqu’un a dit que vous étiez, ou êtes-vous celui qui se rebelle contre ce que quelqu’un a dit à votre sujet ? Ce ne sont que quelques exemples d’identification erronée. Toutes ces définitions vont et viennent, elles prennent naissance, puis elles meurent.

Qui vous êtes vraiment ne change pas ; il est présent avant la naissance, durant la vie entière et après la mort.

Un droit de naissance

Découvrir qui vous êtes vraiment est non seulement possible, mais aussi un droit de naissance. Tout ce qui vous porte à croire que cette découverte n’est pas pour vous, que ce n’est pas le bon moment, que vous n’en valez pas la peine, que vous n’êtes pas prêt, que vous savez déjà qui vous êtes – tout cela signifie que vous vous êtes à nouveau fait piéger par le mental.
Le moment est venu de remettre en question cette pensée liée au « Je » et de déterminer sa valeur réelle. Cette investigation offre la possibilité à l’intelligence consciente que vous êtes, de finalement se reconnaître elle-même. » 

Quelques extraits du livre
Le Diamant dans votre poche de Gangaji 

Publié dans:ACCORD, DEVELOPPEMENT, HUMANITE |on 30 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Mes rancœurs cachent la lumière du monde en moi

 

Un Cours En Miracles - LEÇON 69

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1. Nul ne peut voir ce que tes rancœurs dissimulent.  Parce que tes rancœurs cachent la lumière du monde en toi, chacun est dans les ténèbres, avec toi à ses côtés.  Mais comme le voile de tes rancœurs est levé, tu es délivré avec lui.  Partage maintenant ton salut avec celui qui se tenait à tes côtés quand tu étais en enfer.  Il est ton frère dans la lumière du monde qui vous sauve tous les deux.

2. Aujourd’hui, faisons une autre réelle tentative pour atteindre la lumière en toi.  Avant d’entreprendre cela pendant notre période d’exercice plus longue, consacrons quelques minutes à réfléchir à ce que nous essayons de faire.  Nous tentons littéralement d’entrer en contact avec le salut du monde. Nous essayons de voir passé le voile de ténèbres qui le garde dissimulé.  Nous essayons de laisser le voile être levé et de voir les larmes du Fils de Dieu disparaître dans la lumière du soleil.

3. Commençons aujourd’hui notre période d’exercice plus longue en nous rendant pleinement compte que c’est ainsi, et en étant réellement déterminés à atteindre ce qui nous est plus cher que tout. Le salut est notre seul besoin. Il n’y a pas d’autre but ici et pas d’autre fonction à remplir. Apprendre le salut est notre seul but. Mettons fin aujourd’hui à cette quête ancienne en trouvant la lumière en nous et en la tenant bien haut pour que chacun de ceux qui cherchent avec nous la voie et se réjouisse.

4. Très doucement maintenant, les yeux fermés, essaie de lâcher prise de tout le contenu qui occupe généralement ta conscience.  Pense à ton esprit comme à un vaste cercle, entouré d’une couche de lourds et sombres nuages.  Tu ne peux voir que les nuages parce que tu sembles être à l’extérieur et tout à fait à part du cercle.

5. De là où tu te tiens, tu ne vois aucune raison de croire qu’il y a une lumière brillante cachée par les nuages.  Les nuages semblent être la seule réalité.  Ils semblent être tout ce qu’il y a à voir.  Par conséquent, tu ne tentes pas de les traverser et de les dépasser, ce qui est la seule façon de te convaincre réellement de leur manque de substance. Nous tenterons de le faire aujourd’hui.

6. Après avoir pensé à l’importance de ce que tu essaies de faire pour toi-même et pour le monde, essaie de te mettre dans un état de calme parfait, en te souvenant seulement à quel point tu veux atteindre la lumière en toi aujourd’hui—maintenant ! 2 Détermine-toi à aller au-delà des nuages.  Tends la main et touche-les dans ton esprit.  Balaie-les de la main ; sens-les se poser sur tes joues, sur ton front et sur tes paupières quand tu passes au travers. Continue ; les nuages ne peuvent pas t’arrêter.

7. Si tu fais les exercices correctement, tu commenceras à te sentir soulevé et transporté. Ton petit effort et ta petite détermination appellent le pouvoir de l’univers à ton aide, et Dieu Lui-même t’élèvera des ténèbres dans la lumière.  Tu es en accord avec Sa Volonté.  Tu ne peux pas échouer parce que ta volonté est la Sienne.

8. Aie confiance en ton Père aujourd’hui et sois certain qu’Il t’a entendu et t’a répondu.

2 Tu ne reconnais peut-être pas encore Sa réponse, mais tu peux certes être sûr qu’elle t’est donnée et que tu la recevras.

3 Essaie, tout en tentant d’aller au travers les nuages jusqu’à la lumière, de garder cette confiance à l’esprit.

4 Essaie de te souvenir que tu joins enfin ta volonté à Celle de Dieu.

5 Essaie de garder clairement à l’esprit la pensée que ce que tu entreprends avec Dieu doit réussir.

6 Puis laisse la puissance de Dieu agir en toi et par toi, afin que Sa volonté et la tienne soient faites.

Pendant les périodes d’exercice plus courtes, que tu feras aussi souvent que possible étant donné l’importance qu’a l’idée d’aujourd’hui pour toi et pour ton bonheur, rappelle-toi que tes rancœurs cachent la lumière du monde à ta conscience.

2 Rappelle-toi aussi que tu ne la cherches pas seul, et que tu sais très bien où la chercher.

3 Ensuite, dis :

 Mes rancœurs cachent la lumière du monde en moi.
 Je ne peux pas voir ce que j’ai caché.
 Or je veux la laisser m’être révélée, pour mon salut et le salut du monde.
 Aussi, dis-toi :
 Si je garde cette rancœur, la lumière du monde me sera cachée,
au cas où tu serais tenté de reprocher quoi que ce soit à quiconque aujourd’hui.

  • Pour faciliter son stockage sur votre ordinateur ou son impression, vous pouvez télécharger ce texte au format pdf dans la rubrique Télécharger vos Méditations.
     
  • Cette méditation correspond à la leçon 69, partie du Livre d’exercices pour étudiants de l’ouvrage  Un Cours En Miracles – Foundation For Inner Peace aux éditions Octave, que vous pouvez acheter en ligne dans la Boutique Aquarienne.

Un Cours En Miracles – Leçon 95

Je suis un seul Soi, uni à mon Créateur

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1. L’idée d’aujourd’hui te décrit exactement tel que Dieu t’a créé. Tu es un en toi-même et un avec Lui.  Ton unité est celle de toute la création.  Ta parfaite unité rend le changement en toi impossible.  Tu n’acceptes pas cela et tu ne te rends pas compte qu’il doit en être ainsi parce que tu crois que tu t’es déjà changé.

2. Tu te vois toi-même comme une parodie ridicule de la création de Dieu : faible, méchant, laid et pécheur, misérable et accablé de douleur. Telle est ta version de toi-même : un soi divisé en de nombreuses parties qui se font la guerre, séparées de Dieu, et dont la précaire cohésion est maintenue par son lunatique et capricieux faiseur, à qui tu adresses tes prières.  Il n’entend pas tes prières, car il est sourd.  Il ne voit pas l’unité en toi, car il est aveugle. Il ne comprend pas que tu es le Fils de Dieu, car il est insensé et ne comprend rien.

3. Nous allons tenter aujourd’hui d’être conscient seulement de ce qui peut entendre et voir, et qui est plein de sens.  Nos exercices viseront de nouveau à atteindre ton seul Soi, lequel est uni à Son Créateur.  Avec patience et espoir, nous essayons de nouveau aujourd’hui.

4. Le fait d’employer les cinq premières minutes de chaque heure de veille à la pratique de l’idée du jour présente des avantages particuliers au stade d’apprentissage où tu te trouves maintenant.  Il est difficile à ce stade de ne pas permettre à ton esprit de s’égarer lorsqu’il entreprend une période d’exercice prolongée.  Tu t’en es sûrement déjà rendu compte.  Tu as vu à quel point tu manques de discipline mentale et à quel point tu as besoin d’entraînement de l’esprit. Il est nécessaire que tu en sois conscient, car c’est certes une entrave à ton avancement.

5. Des périodes d’exercice fréquentes mais plus courtes présentent d’autres avantages pour toi en ce moment.  Outre le fait de reconnaître que tu as des difficultés à soutenir ton attention, tu dois avoir aussi remarqué que si ton but ne t’est pas fréquemment rappelé, tu as tendance à l’oublier pendant de longues périodes de temps.  Il t’arrive souvent d’oublier les courtes applications de l’idée du jour, et tu n’as pas encore développé l’habitude d’utiliser l’idée comme réponse automatique à la tentation.

6. À ce stade, donc, il est nécessaire d’avoir une structure, planifiée de manière à inclure de fréquents rappels de ton but, et des efforts réguliers pour l’atteindre.  La régularité n’est pas la condition idéale pour la forme d’exercice la plus bénéfique en vue d’atteindre le salut.  Toutefois, elle est avantageuse pour ceux dont la motivation est inconstante et qui ont encore de lourdes défenses contre l’apprentissage.

7. Par conséquent, nous nous en tiendrons pendant un certain temps aux périodes d’exercice de cinq minutes par heure, tout en te conseillant vivement d’en omettre aussi peu que possible.  Le fait d’utiliser les cinq premières minutes de l’heure t’aidera particulièrement, puisque cela impose une structure plus ferme.  Toutefois, ne te sers pas de tes manquements à cet horaire comme d’une excuse pour ne pas y retourner dès que tu le peux.  Tu pourrais être tenté de considérer la journée comme perdue sous prétexte que tu as déjà manqué de faire ce qui était requis.  Toutefois, cela devrait simplement être reconnu pour ce que c’est : le refus de laisser corriger ton erreur et l’indésir d’essayer de nouveau.

8. Le Saint-Esprit n’est pas retardé dans Son enseignement par tes erreurs.  Il n’y a que ton indésir d’en lâcher prise qui puisse Le retenir.  Soyons donc déterminés, en particulier pendant la semaine qui vient, à être désireux de nous le pardonner quand notre diligence nous fait défaut et quand nous manquons de suivre les instructions pour les exercices de l’idée du jour.  Cette tolérance à l’égard de la faiblesse nous permettra de passer par-dessus, au lieu de lui donner le pouvoir de retarder notre apprentissage.  Si nous lui donnons le pouvoir de faire cela, nous la considérons comme une force, et nous confondons force et faiblesse.

9. Quand tu manques de te conformer aux exigences de ce cours, tu as simplement fait une erreur.  Cela demande une correction, et rien d’autre.  Permettre à une erreur de continuer, c’est faire des erreurs additionnelles, qui sont basées sur la première et la renforcent.  C’est ce processus qui doit être mis de côté, car ce ne serait pour toi qu’une autre façon de défendre les illusions contre la vérité.

10. Lâche prise de toutes ces erreurs en les reconnaissant pour ce qu’elles sont.  Ce sont des tentatives pour te garder inconscient de ce que tu es un seul Soi, uni à ton Créateur, ne faisant qu’un avec chaque aspect de la création, d’une puissance et d’une paix illimitées.  Voilà la vérité, et rien d’autre n’est vrai.  Aujourd’hui nous allons affirmer à nouveau cette vérité et nous essaierons d’atteindre le lieu en toi où il n’y a pas de doute que cela seul est vrai.

11. Commence les périodes d’exercice aujourd’hui avec cette assurance, offerte à ton esprit avec toute la certitude que tu peux donner :
 

 Je suis un seul Soi, uni à mon Créateur, ne faisant qu’un
 avec chaque aspect de la création, et d’une puissance et
 d’une paix illimitées.

3 Puis ferme les yeux et dis-toi encore une fois, lentement et pensivement, en essayant de permettre à la signification des mots de pénétrer dans ton esprit et de remplacer les idées fausses :
 

Je suis un seul Soi.

5 Répète cela plusieurs fois, puis essaie de sentir la signification que ces mots communiquent.

12. Tu es un seul Soi, uni et en sécurité dans la lumière et la joie et la paix.  Tu es le Fils de Dieu, un seul Soi, avec un seul Créateur et un seul but : apporter la conscience de cette unité à tous les esprits, afin que la véritable création puisse étendre la totalité et l’unité de Dieu.  Tu es un seul Soi, complet, guéri et entier, avec le pouvoir de lever du monde le voile de ténèbres, et de laisser la lumière en toi passer au travers pour enseigner au monde la vérité à ton sujet.

13. Tu es un seul Soi, en parfaite harmonie avec tout ce qui est et tout ce qui sera.  Tu es un seul Soi, le saint Fils de Dieu, uni à tes frères en ce Soi; uni à ton Père en Sa Volonté.  Ressens ce seul Soi en toi et laisse-Le dissiper toutes tes illusions et tous tes doutes. Voici ton Soi, le Fils de Dieu Lui-même, sans péché comme Son Créateur, avec Sa force au-dedans de toi et Son Amour à jamais tien.  Tu es un seul Soi et il t’est donné de ressentir ce Soi au-dedans de toi et de chasser toutes tes illusions hors du seul Esprit qui est ce Soi, la sainte vérité en toi.

14. N’oublie pas aujourd’hui. 2 Nous avons besoin de ton aide, de ta petite part pour apporter le bonheur au monde entier. Et le Ciel compte sur toi, avec l’assurance que tu essaieras aujourd’hui.  Partage, donc, sa sûreté, car elle est tienne.  Sois vigilant.  N’oublie pas aujourd’hui.  Tout le long de la journée, n’oublie pas ton but.  Répète l’idée d’aujourd’hui aussi fréquemment que possible et comprends que chaque fois que tu le fais, quelqu’un entend la voix de l’espoir, la vérité remuer dans son esprit, le doux bruissement des ailes de la paix.

15. Ta propre admission que tu es un seul Soi, uni à ton Père, est un appel au monde entier à ne faire qu’un avec toi. À chacun de ceux que tu rencontres aujourd’hui, assure-toi d’offrir la promesse de l’idée d’aujourd’hui, et dis-lui ceci :

 Tu es un seul Soi avec moi, uni à notre Créateur en ce Soi.

 Je t’honore à cause de Ce que je suis, et de Ce qu’Il est,
Qui nous aime tous les deux ne faisant qu’Un.

- Leçon n° 95 extraite du Livre d’exercices pour étudiants de Un Cours En Miracles (UCEM) -
 

  • Pour en savoir plus sur cet ouvrage, vous pouvez consulter la page : Un Cours En Miracles, où vous trouverez des liens vers d’autres extraits de ce livre miraculeux.

Une rencontre insolite en voyage astral

 

images (5)Le voyage astral que j’ai fait cette nuit ne fut pas désagréable. 
Je me suis retrouvée cette fois de l’autre côté du miroir entourée d’entités diverses évoluant dans l’astral moyen. C’est dans ces sphères variées que viennent se promener, se divertir, se reposer, aider ou apprendre l’une ou l’autre leçon de vie de nombreuses personnes dédoublées pendant leur sommeil. Mais bien sûr, la plupart ne se souviendront pas nécessairement de leurs aventures astrales à leur réveil.

Une haute bâtisse qui ressemblait fort à une gare ferroviaire moderne accueillit mes pas légers. Parmi les personnes qui déambulaient avec nonchalance dans la salle d’accueil principale, un homme un peu bizarre captura mon attention. Mal rasé, mal fagoté, vêtu de guenilles trop larges pour lui, son piètre accoutrement détonnait parmi la foule anonyme. C’était l’image d’Epinal parfaite du clochard qui erre sous les ponts de Paris… D’emblée, il me parut pourtant sympathique, allez donc savoir pourquoi. Peut-être est-ce parce qu’il dégageait malgré tout un rayonnement positif. Nous fûmes donc attirés naturellement l’un vers l’autre et je n’hésitai pas à me diriger vers lui pour lui demander ce qu’il faisait dans la vie sur terre.

Sa situation n’était pas brillante. Il vivait même des moments pénibles suite à la perte de son emploi et à l’abandon subséquent de tous ses proches. Selon ses propres termes, il avait perdu tout son pognon et par extension jusqu’au goût de vivre. Il souhaitait désormais ne plus retourner sur cette terre maudite qui l’avait mené droit à la déchéance physique et morale. 

Malheureux, sans l’espoir d’un avenir meilleur, il voulait en finir au plus vite. Sa position dégradante actuelle, par rapport à la grande vie qu’il avait mené auparavant, lui étant devenue insupportable. Il s’était pourtant beaucoup investi tout au long de sa vie professionnelle mais la confiance naïve qui l’avait toujours guidé lui avait joué des tours et avait fini par le ruiner. Son univers cossu et tranquille, bâti à coup d’efforts et de sueur, s’était donc effondré. Et cela, il ne l’avait pas prévu…

De fil en aiguille, j’appris qu’il connaissait assez bien l’informatique. Je lui demandai dès lors pourquoi ne pas essayer de retrouver un emploi dans ce domaine. Ca lui permettrait de relever la tête et même s’il devait repartir à zéro, c’était toujours mieux ça que la vie de vagabond qu’il menait à présent.  Mais il n’en avait plus ni la force ni l’envie. Il était las de sa vie d’avant, de la bureaucratie et de tout ce qui tourne autour. Son ultime désir eût été de se rendre utile aux autres. Mais qui accepterait l’aide d’un pauvre clochard comme lui ?

Une idée aussi lumineuse que soudaine me vint à l’esprit. Je lui en fis part.

- Si vous maîtrisez si bien l’ordinateur, pourquoi ne pas associer ce savoir à l’aide que vous pourriez apporter aux autres? lui fis-je.

Il me toisa un instant, songeur et perplexe.

– A quoi pensez-vous ? me demanda-t-il encore incertain quant à sa réponse.

– J’ai une idée, lui dis-je.

Cette idée m’était venue car je le sentais fort réceptif avec son aura qui tirait vers le haut comme les vrais médiums.

- Pourquoi ne pas utiliser vos dons naturels pour aider les gens, lui dis-je. Je pense par exemple à l’astrologie. Vous pourriez vous procurer un logiciel astrologique et, avec l’aide des astres les conseiller et les aider à trouver leur voie. Votre intuition et vos dons de perception, qui me semblent évidents, pourraient certainement vous servir .

Son visage s’illumina enfin quelque peu. Le tilt était fait. Mon idée lui plaisait. Nous continuâmes à la développer. 
Je pris un bout de papier qui traînait dans ma poche et lui écrivis mon adresse e-mail. On ne sait jamais, me disais-je. Si d’aventure il désirait me retrouver ici-bas, il saurait où me joindre. 

- Mais que voulez-vous que j’en fasse? me lança-t-il un peu étonné. Je ne vais tout de même pas emporter ce papier avec moi lorsque je retournerai à ma vie d’en bas ! Je ne me souviendrai peut-être même plus de notre conversation. Du reste, j’ai un peu trop forcé sur la bouteille ce soir et je n’ai pas toute ma tête à moi …

Je n’avais pas pensé à cela.

- Ecoutez dis-je, concentrons-nous fortement. Ainsi, au réveil, même si vous ne vous souvenez plus de rien, subsistera peut-être au moins le désir inconscient de réaliser ce projet. Je demanderai à mes Guides de vous aider. Je suis sûre qu’ils vous soutiendront. Ils sont tout amour vous savez …
Il acquiesça. 

Une dame avait rejoint notre conversation. Elle était, elle aussi, très rayonnante et semblait curieuse de nous connaître. 
Nous discutâmes donc tous les trois un bon moment avant qu’elle ne se dirige vers un escalator qui menait au premier étage de la gare. 

- C’est étrange tout de même de voir des escalators dans l’Astral, ne trouvez-vous pas? fis-je à la dame.
– Oh, vous savez on voit tellement de choses étranges par ici. On retrouve un peu partout le double des choses. Même parfois des choses très anciennes, oubliées du monde des vivants. Les gens aiment tellement conserver leurs habitudes. Mais il existe aussi des mondes plus abstraits. Y avez-vous déjà été?

- Non, lui dis-je.

- Si vous voulez, je vais vous y emmener. Vous verrez, c’est fort différent d’ici.

J’aurais bien suivi la gentille dame mais je sentais que l’énergie commençait à me manquer et que j’allais devoir bientôt « redescendre », tout comme mon ami de passage le clochard.

Nous dûmes donc nous séparer. Ce ne fut pas facile : je me rendais compte à quel point cet homme pouvait être facilement récupéré et ça m’ennuyait de devoir le perdre de vue. Il suffisait d’un petit coup de pouce du destin pour le remettre sur le droit chemin, j’en étais sûre. J’aurais voulu dialoguer encore avec lui, le pousser à agir, connaître la suite de son histoire. Au fond, c’était un pauvre bougre pas méchant pour un sou. Il était même sensible et attachant…
Cette rencontre fortuite avait été bien chaleureuse. Dommage que notre au revoir ait le goût un peu amer d’un adieu définitif.

Je me dirigeai vers un jeune couple qui devait faire partie de mes amis astraux. Je les pris chacun par un bras et les embrassai amicalement. Que d’amour ressenti dans nos effusions, que d’amour… c’était sublime. J’embrassai une dernière fois mon ami. Il ne dégageait aucune odeur désagréable. Au contraire, il sentait plutôt bon. Je me souvenais qu’aux urgences des l’hôpitaux où j’avais travaillé j’évitais toujours les clochards. Leurs odeurs m’incommodaient réellement car j’ai le nez sensible. Mais ici, tout est différent : il y a d’autres parfums, d’autres couleurs, d’autres sons même.

Je me réveillai les membres un peu engourdis. 
Au matin, mon mari m’enjoignit à prendre note de cette aventure sympathique vécue pendant mon sommeil…

source : http://www.francelecture.net/espacepriya

Publié dans:AME, DEVELOPPEMENT, ESPRITS |on 16 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Ce qui fait la différence entre le Sage et le disciple

 

le sageParce que personne a les mêmes épreuves, personne n’aura les mêmes sensations, ou pas exactement en tout cas, parce que chacun est unique. Même si les rayons sont au nombre de sept et que l’on pourrait croire qu’il n’y a que sept façons d’être divin, à l’intérieur de ces rayons, il y a de toute façon des sous-rayons et à l’intérieur de ces sous-rayons il y a une multitude de libertés que l’homme doit prendre pour vivre tous ces aspects. Donc, aucune douleur ne ressemble à une autre douleur lorsque le disciple marche sur le sentier spirituel.

Il ne sert donc à rien de chercher quelle a été la douleur de l’autre, pour savoir si votre douleur est correcte et si elle correspond à une épreuve, à un passage, à un moment, ou, si c’est parce que vous n’avez pas l’âme d’un disciple et qu’il vous faudra attendre des millions et des millions d’années avant de devenir quelqu’un. Il ne faut ni vous soucier de vous-même, de votre avenir spirituel, ni vous soucier de votre présent, c’est-à-dire de ce que vous avez, de ce que vous n’avez pas, de ce que vous passez ou ne passez pas. Vivez simplement ce qui vient vers vous, et uniquement cela.

Ce qui fait la différence entre le sage et le disciple un peu fou qui voudrait par amour de la lumière avoir un peu trop vite des expériences, un peu trop vite des résultats, parce qu’il ignore en fait ce qu’est la réalité du chemin initiatique, c’est que le sage, en voyant le bien de Dieu partout et la main initiatique du Maître partout, prend tout, autant le silence que le bruit, autant l’épreuve que l’absence de phénomènes.

Il prend tout comme étant un phénomène nécessaire à sa propre évolution. Il ne cherche pas à savoir s’il doit lui arriver cela parce que cela est arrivé à Chrisna Meurty, ou à un autre ou à un de ses amis. Il attend que cela lui arrive à lui aussi. Le sage ne cherche pas à obtenir ce qui a été l’expérience de l’autre, il attend en droite ligne avec son âme ce que Dieu a réservé pour lui. C’est complètement différent dans la démarche.

Celui qui est capable de cette sagesse, de cette attente, prouve qu’il est devenu quelqu’un d’indépendant, quelqu’un de profondément uni avec lui-même et qu’il sait que, le principe de vie qui l’anime est un principe de vie qui est en train de s’individualiser avant de devenir un principe.

Celui qui cherche à obtenir les expériences dont les autres ont parlé, que ce soit les grands Saints ou les amis du quartier, ne comprend pas qu’il cherche selon un esprit qui ne se réfère sans cesse qu’à la masse. C’est-à-dire, l’esprit de quelqu’un qui ne peut être que selon ce que l’autre a été, et si l’on ne peut être que selon ce que l’autre a été, on ne peut être soi-même, on ne peut être cette grande individualité qui signe la marque du disciple et de l’initié.

Pour être un disciple, pour être ou devenir un initié, il faut savoir vivre sa propre vie, il faut savoir vivre et supporter son propre silence, sa propre absence. Celui à qui il n’arrive rien, n’est pas quelqu’un qui a échoué, qui est sur le bord de la route et qu’au milieu de la route passent les disciples, les initiés. La caravane passe, et lui n’arrive jamais à monter, parce qu’il croit qu’il est là, qu’on l’a laissé, qu’il a échoué. « À moi il ne m’arrive jamais rien, je ne vois, je n’entends jamais rien. Je ne crois en rien, je ne sais plus où je suis. Je ne sais même plus pourquoi je suis venu sur ce chemin »

Ce n’est pas qu’il a cessé de croire, mais son cœur est trop fatigué, parce que son cœur a usé son énergie dans l’attente de quelque chose dont parlait la caravane qui passait. Mais la caravane, ce n’est pas toi, c’est les autres, c’est celui qui a vécu telle expérience, qui fait telle chose, mais ce n’est pas toi. Toi, tu as un destin qui t’attend, tu es quelqu’un de spécial en toi-même, et si tu ne t’acceptes pas, comment le chemin pourrait-il te prendre pour t’emmener ? Parce que c’est le chemin qui emmène les gens qui marchent dessus. Mais pour être sur ce chemin, pour pouvoir monter sur ce chemin, il faut que tu aies acquis par l’esprit et dans l’esprit la même vélocité, la même rapidité. Sinon, dès que tu veux monter, le tapis roulant va t’éjecter et te mettre sur le côté.

Publié dans:ASCENSION, DEVELOPPEMENT, LOI NATURELLE |on 10 juin, 2015 |1 Commentaire »

La discipline de l’esprit

Prenez conscience de vos pensées

Preparation

Depuis le début de cette démarche, nous avons mis plusieurs moyens à votre disposition, dont un très important qui est la discipline du cœur et de l’esprit. Toutefois, plusieurs se demandent encore comment appliquer la discipline de l’esprit. Pourtant nous vous l’avons dit à maintes reprises.

Laissez-moi vous le rappeler encore une fois : C’est en prenant conscience de vos pensées que vous réussirez. Et cette prise de conscience doit se faire rapidement. Dans l’instant présent, dans la seconde même où ces pensées, ces mots, ces images intérieures se présentent. Pas lorsque cela fait déjà une heure, une journée que vous êtes dans le même marasme intérieur à tourner en rond dans des énergies d’insatisfaction et d’inconfort. La vigilance dans l’instant présent est la clé de la réussite. C’est seulement en étant dans l’instant présent que vous pouvez écouter ce qui se dit en vous. Votre ego parle sans arrêt et maintient votre mental inférieur occupé avec des milliers de pensées à l’heure.

Faites un temps d’arrêt sur vos pensées

Alors prenez plusieurs petits moments dans la journée où vous faites un temps d’arrêt des pensées. Au début, une minute suffit. Et durant cette minute, notez intérieurement ce qui se passe. Peut-être remarquerez-vous que votre mental est très actif. Et après quelques secondes, je ne serai pas surpris qu’il s’inquiète à savoir comment il saura que cela fait bien une minute. Ne le laissez pas vous déstabiliser, restez simplement à l’écoute de ce qui se dit en dedans. Au début vous n’entendrez pas grand-chose parce que ce murmure est bien enfoui dans votre inconscient. Il est aussi possible que vous ressentiez des inconforts dans votre corps ou que vous ayez des pensées de jugement ou de critique comme : C’est stupide ce que tu es en train de faire. (Jugement de l’ego) Tu n’y arriveras pas. (Encore un autre jugement de l’ego). Vous réaliserez vite que votre ego produit des pensées déstabilisantes et démotivantes beaucoup plus souvent que vous ne croyez, d’où l’importance d’être conscient dans l’instant présent.

Le meilleur moment pour prendre conscience de ce flot de pensées est lorsque vous faites une activité automatique, comme laver la vaisselle, faire le ménage, préparer un repas, jardiner. Car lorsque vous faites quelque chose d’habituel, les pensées ont la vie belle, elles profitent de ce temps pour se manifester. Écoutez-les, à chaque jour, prenez le temps de vous arrêter et d’écouter ce que vous manifestez à l’intérieur de vous. Et lorsque vous vous assoyez pour méditer ne vous battez pas contre vos pensées. Écoutez-les puis laissez-les glisser comme un morceau de bois sur une rivière. Par la pensée suivez le morceau de bois jusqu’à ce qu’il disparaisse et bientôt une autre pensée se présentera et encore une autre. Laissez-les passer sans vous y attarder, ne cherchez pas à savoir pourquoi cette pensée se présente ni ce qu’elle signifie. Plus vous leur donnez de l’importance plus elles résistent, Alors lorsque vous méditez ou faites une activité automatique n’accordez aucune importance à ces pensées. Elles sont puis elles ne sont plus. Elles viennent puis elles disparaissent. Cet exercice de la prise de conscience des pensées dans l’instant présent est essentiel pour manifester une guérison profonde à tous les niveaux de votre être, aussi bien conscient qu’inconscient.

Et comme autre activité mentale je vous suggère de vous imaginer dans la lumière durant la journée. Faites le souvent et spontanément. Et plus vous le ferez, plus souvent vous y penserez. Vous pouvez le faire 100 fois par jour simplement en manifestant l’intention de vous envelopper de lumière. Vous n’avez pas besoin de grands scénarios, vous dites simplement : Je m’enveloppe de lumière. Et l’espace d’un instant, d’une fraction de seconde vous vous imaginez dans cette lumière. C’est aussi simple que cela, puis vous continuez vos activités quotidiennes. Vous pouvez le faire lorsque vous travaillez à votre ordinateur, lorsque vous faites le ménage, lorsque vous êtes en train de manger, dans le métro ou l’autobus. Vous pouvez le faire n’importe où, n’importe quand et le plus souvent est le mieux. Deux petits exercices faciles, supers simples mais qui demandent une discipline car la répétition est essentielle pour obtenir un résultat. Si vous le faites une fois par-ci par-là ou pendant une semaine seulement puis oubliez. Ou si vous vous trouvez 56 milles raisons pour ne pas poursuivre, demandez-vous : Qui trouve ces raisons ? N’est ce pas votre mental inférieur encore une fois ? Alors allez de l’avant et disciplinez-vous. Si vous êtes ici aujourd’hui c’est parce que vous avez cette discipline du cœur et de l’esprit, alors utilisez-la dans les mois qui viendront pour stabiliser vos énergies afin que nous puissions amorcer cette prochaine étape de guérison des mémoires cellulaires matérielles dans votre corps.

Laissez passer les pensées disharmonieuses

En ce faisant vous aurez une longueur d’avance car votre esprit conscient pourra déceler les pensées disharmonieuses et les laisser passer rapidement sans s’y attarder. Et si vous vous enveloppez souvent de lumière, instinctivement, dans les moments difficiles, votre esprit pensera lumière. Et comme vous le savez, la lumière chasse l’ombre et les pensées sombres. Alors si vous appliquez les enseignements que maître Jésus vous a donnés ce matin ainsi que ces petits moyens bien matériels que je vous propose ; je suis certain de vous revoir en pleine santé physique spirituelle au printemps. Ce qui sera un grand bond en avant pour votre esprit, votre cœur et votre corps à la fois. Ne rêvez-vous pas tous de vivre le calme intérieur, la sérénité de l’âme ? Ne rêvez-vous pas de manifester la joie d’être ? Oui n’est-ce pas ? Alors osez mettre en pratique ce qui vous est enseigné et cela de façon régulière, continue, car la constance dans l’esprit est le seul et unique moyen d’y arriver.

Le futur des ateliers est en changement, en mouvement. Nous hésitons encore à vous en parler parce que beaucoup de mouvements se produisent dans l’énergie de la planète et dans l’énergie des personnes qui sont appelées à venir à ces ateliers. Très bientôt ces changements se seront stabilisés et alors nous pourrons vous annoncer de belles nouvelles pour le devenir. En attendant rester centrés sur la tâche de vous aimer dans cette expérience, de ne pas vous juger et d’accepter ce que la vie vous offre.

Merci d’être là aujourd’hui, merci de faire ce travail sur vous-mêmes, merci pour l’humanité entière, merci pour la vie divine qui coule en vous, en nous, en tous les êtres vivants.

Merci, merci, de faire grandir votre lumière.

Message du Maître Sérapis Bey par
Louise Racette et Mariette Robidas
lors d’un atelier « Être la Présence Je suis« 
qu’elles ont animé.

Vous pouvez reproduire librement cet article et le retransmettre, si vous ne le modifiez pas et que vous citiez la source : www.energie-sante.net - Téléchargement libre de l’article, en .pdf

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ESPRITS, PENSEE |on 4 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Les Télépathes qui s’ignorent

Qu’elle est la différence entre la télépathie mentale et la télépathie basée sur une activité du plexus solaire ?

télépatheComme je l’ai déjà dit, la télépathie, comme tous les autres aspects psychiques de l’homme, est une et une seule, et la seule différence qui existe est dans sa qualité. C’est un peu comme avec votre poste de radio. Vous avez les ondes et sur ces ondes, vous avez différents postes accessibles, différents programmes.

Admettons que sur le poste le plus bas, vous ayez les programmes les plus bas, c’est-à-dire les moins intéressants qui font plus de bruit qu’autre chose. Et puis vous montez la gamme des ondes et vous obtenez, chaque fois que vous montez, un programme plus agréable, plus sympathique et plus instructif. Il en est de même avec tous les pouvoirs qui sont en l’homme, que ce soit la télépathie ou autre chose.

Plus vous montez dans les vibrations, et ceci est dû à vos efforts personnels, à votre évolution et à vos niveaux initiatiques, plus vos pouvoirs psychiques vont s’exercer avec qualité, pour recevoir quelque chose de qualité, ou donner quelque chose de qualité. Ce qui fait, qu’un pouvoir exercé par un homme sur le premier plan, ne va pas du tout ressembler à un pouvoir exercé sur un plan plus haut par un autre homme, et pourtant c’est le même pouvoir. Tout dépend donc de l’individu lui-même. 

Pour tous les pouvoirs, cela dépendra toujours de l’homme, de ce qu’il est initialement dans sa vibration et son niveau initiatique. Lorsque vous analysez la télépathie chez quelqu’un qui est trop centré dans l’astral, le plexus solaire, il va sembler avoir beaucoup d’intuition, parce qu’il va pouvoir supposer qu’il va pleuvoir demain, ou il va sentir que son fils ou sa fille est en danger à l’autre bout de la terre, etc.

Tout ce qui est donc du phénoménal et de l’événement, va être pour lui une connaissance dévoilée. Et puis plus vous montez dans la gamme spirituelle, dans les niveaux initiatiques, plus la télépathie va se déterminer comme quelque chose de différent. Forcément l’individu ne va plus pouvoir se rendre compte des choses du bas, mais il se rendra compte des choses du haut.Mais de toute manière, la loi veut que, tout ce qui est en haut, est comme ce qui est bas, en ayant connaissance du haut, il aura aussi connaissance du bas, dans une certaine mesure.

Tous les pouvoirs dépendent de vous-même quoi que vous exerciez, que vous soyez magnétiseur, guérisseur, astrologue, télépathe, médium, ou quoi que ce soit d’autre. Comprenez bien que pour changer, pour évoluer, vous devez avant tout faire des bilans avec vous-même et pas avec le pouvoir que vous exercez. Il ne faut pas vous dire, je veux devenir ceci, cela, parce que j’obtiendrai tel niveau de conscience, ou telle initiation.

Certaines personnes s’imaginent qu’en faisant les démarches pour devenir guérisseurs, ils vont devenir des initiés, c’est faux. En essayant de devenir télépathes, ils vont devenir des initiés, c’est faux. Vous devez faire le bilan avec vous-même, et ainsi en ayant cette authenticité, vous saurez sur quoi travailler pour développer votre pouvoir, qui à ce moment-là ne vous intéressera plus d’ailleurs comme un pouvoir, mais juste comme un service pour l’humanité.

Source : http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:DEVELOPPEMENT, POUVOIR |on 27 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Notre Elévation vers la transcendance

 

D’où vient cette alimentation du feu de l’âme ?

vibratoiresSi vous avez la chance de résonner avec un niveau d’amour, d’allumer votre feu intérieur et d’élever cette flamme qui devient une lumière communiant avec le mental puis la conscience supérieure, si vous avez la chance de pouvoir participer un moment à la qualité de l’univers, ce n’est pas la peine d’aller chercher le carburant dans des plans très profonds. Le courant d’énergie qui se crée est un courant éthérico-astral et le carburant est le réseau éthérique.

La flamme, c’est l’étoile : l’astralité stellaire, c’est votre dimension psycho-animique illuminée. Dès que vous avez en vous cet éveil magnifique de la lumière, il suffit que vous vous promeniez dans la nature, que vous soyez au milieu d’un champ où résident des choses très belles, des objets merveilleux, et vous avez des lignes de force qui se créent. Vous avez de l’admiration, de l’enthousiasme (du grec enteos, le dieu intérieur) qui se déploient en vous et sont alimentés, galvanisés de plus en plus fort par cette illumination que vous projetez et par cette lumière qui vous revient.

Si vous avez quelque chose de très beau devant vous, et qu’il n’y a pas de lumière pour l’illuminer, vous ne le voyez pas. La vie est atroce lorsque que vous n’avez aucune lumière pour illuminer ce qui vous entoure. mais si vous avez une lumière en vous, ce qu’on appelle l’esprit de bénédiction, si vous apprenez à bénir tout ce qui est autour de vous – bénir, cela veut dire vouloir du bien – si vous apprenez à émettre cette bonne disposition d’esprit sur tout ce qui vous entoure (les êtres, les objets, les formes de toutes figures, apparents ou invisibles), alors vous avez une lumière pour tout illuminer. Ce qui est beau devient encore plus beau et ce qui est dangereux vous apparaît aussi en pleine lumière, et vous pouvez vous déplacer hors de ces zones dangereuses parce que vous êtes illuminés.

A partir du moment où vous avez réussi cette illumination en vous, vous faites un voyage de la Terre au Soleil. Et si vos pieds sont à la lune avec des deux pointes du croissant, votre sexe à la Terre, et votre cœur au Soleil, votre œil peut communiquer avec le centre galactique, et le sommet de votre crâne avec la centrale intergalactique. Et c’est pourquoi cette illumination, cette flamme qui s’élève nous sort de notre engloutissement, de notre stress terrien et d’animal préhistorique. Nous entrons dans un monde de rayonnement et de communion et nous voyageons parmi les étoiles. Que fait le soleil au juste. Il ne brille pas pour lui tout seul, il illumine la Terre, et la lune tout pareil, et nous vivons de son énergie. Ce qui veut dire que si votre soleil s’illumine, vous pouvez envoyer des rayons vers le mental et vers l’esprit, dans tout votre corps, sur la vie, sur la forme.

Vous pouvez féconder tout ce qui est autour de vous. C’est cela la résonance, c’est cela l’augmentation de vos possibilités. Cet acte de bénir son environnement est peut-être l’acte le plus important que vous puissiez faire.

Il faut bien méditer sur tout cela et nous poser des questions sur la manière dont nous sommes orientés : « Est-ce qu’il y a en moi un élan ? Si oui, où se dirige-t-il ? Est-ce qu’il va vers l’extérieur, l’inférieur, l’intérieur, ou le supérieur ? Qu’est-ce qu’il détermine en moi ? « 

Si jamais un élément de notre environnement nous déclenche un élan, alors il faut le soigner, parce que c’est l’étincelle de déclenchement que nous pourrions galvaniser jusqu’à ce qu’elle gagne la totalité de notre nature, illumine notre environnement et devienne cette chaleur permanente qui s’élève vers la transcendance. Cette étincelle ne doit pas rester enfermée sur place, recroquevillée, elle doit gagner sur toute notre nature.

Si vous trouvez un objet ou un être qui peut déclencher chez vous cet élan, cette émotion, il faut essayer de l’engober aussi dans le cadre de la qualité de l’univers. Il faut donc que vous vous intégriez, vous, dans cette qualité. Il faut que vous intégriez l’être qui est votre déclencheur dans cette qualité de l’univers et ensuite que vous communiiez avec celle-ci.

D’où vient cette qualité ?

Dans tout univers, il y a des êtres qui aiment noblement, d’une manière élevée, et qui sont sensibles à cet élan. Ils sont d’un niveau inimaginable par rapport à la situation dans laquelle nous sommes, ils sont dans un état de vibration pure et absolue. Des êtres formels, des êtres subtils qui s’aiment mutuellement ou qui sont en adoration de la qualité de l’Univers et de la présence divine, il y en a dans tout l’univers.

Cette qualité vient de la communion avec ces courants d’énergie formidables, extraordinaires, qui existent. Vous sentez venir à vous à certains moments, cette qualité et vous communiez avec elle. Vous la sentez comme si elle venait d’ailleurs, parce que vous menez souvent une existence qui vous en déconnecte, il faut certains moments bénis pour que vous puissiez vous reconnecter à cette qualité.

Alors faites-le dès maintenant….

Vous pouvez recopier ce texte à la condition d’en indiquer la source  : http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:DEVELOPPEMENT, HUMANITE, LUMIERE |on 22 mai, 2015 |Pas de commentaires »

Pour pratiquer la bienveillance

 

 


Rconciliation
Le mot « bienveillance » est la traduction du sanskrit « maitri » signifiant « amitié, fraternité ». Dans le bouddhisme, cette attitude compte parmi les « Quatre Incommensurables », avec la compassion (« karuna »), la joie (« mudita ») et l’équanimité (« upeksa »). Développer cette qualité revient donc à gagner en sagesse…

> J’entre en amitié avec moi-même

Charité bien ordonnée commençant par soi-même, quoi de plus naturel que de devenir bienveillant avec son propre être profond ? Pema Chödron, dans son ouvrage « Entrer en amitié avec soi-même », explique qu’il ne s’agit pas de vouloir à tout prix se changer mais, écrit-elle, de nous lier d’amitié avec la personne que nous sommes déjà. Autrement dit, nous avons tous des qualités et des défauts qu’il faut savoir accepter. La douceur, continue-t-elle, est un sentiment de bonté à son propre égard…

> Je prends toujours l’autre en compte

Que tous les êtres soit heureux ! Qu’ils soient en joie et en sûreté ! Telles sont les propres paroles du Bouddha concernant la pratique de la bienveillance. De son côté, Matthieu Ricard insiste, dans « Plaidoyer sur le bonheur », sur la nécessité de prendre autrui en compte pour être heureux. L’altruisme représente donc la voie incontournable pour développer la bienveillance. S’il débute avec nos proches, il doit s’étendre plus largement à la société pour se déployer jusqu’aux personnes qui nous sont hostiles. En effet, la bienveillance se situe à l’opposé du fameux Œil pour œil, dent pour dent. Il ne s’agit donc pas de s’identifier à un agresseur en se comportant à l’identique.

> Je suis bienveillant à l’égard des situations difficiles

Juliette Tournand, coach et conférencière, a mis au point le concept de la stratégie bienveillante. Plutôt que de gérer les conflits, elle propose de les dépasser en partant du principe que la situation difficile est un tremplin pour aller plus loin. Afin d’illustrer son enseignement, Juliette Tournand prend appui sur sa propre expérience. Son employeur de l’époque offrait une forte résistance quant à la promotion de sa méthode. Plutôt que de lutter contre lui en développant de la malveillance à son égard, elle a accepté que cet homme n’était, à ce moment précis, pas prêt à innover. Confiante en ses capacités, elle nourrit alors le rêve de devenir son propre patron… Et elle le devint. La bienveillance consiste ainsi à accepter que tout obstacle, aussi difficile soit-il, est là pour que nous le transformions de façon évolutive, ce qui n’a rien à voir avec de la soumission…

> Je pratique la communication non violente
C’est surtout dans la communication que la malveillance œuvre de manière pernicieuse. Marshall Rosenberg, créateur de la méthode de communication non violente, explique fort justement que les mots peuvent être des murs ou des fenêtres. Sa technique repose sur l’accueil des sentiments de chacun, l’écoute empathique et l’utilisation du Je de positionnement respectueux de soi et de l’interlocuteur, plutôt que du Tu trop souvent accusateur. Exemple : la prochaine fois que votre conjoint est en retard, au lieu de lui asséner Tu n’es jamais à l’heure, tu m’exaspères, dites-lui Quand je vois la pendule tourner, je suis inquiète, j’aimerais être avertie…

En résumé

Il y a tout à gagner à pratiquer la bienveillance envers soi-même et envers autrui. Ce bon réflexe permet de savourer la magie de chaque instant de l’existence. Il tire des leçons du passé et prépare l’avenir comme un rêve à réaliser, telle la dimension spirituelle qui désire que l’Humanité prenne enfin conscience de l’incontournable nécessité de veiller chacun les uns sur les autres. Une utopie, diront les pessimistes, une réalité en devenir, s’enthousiasmeront les éternels optimistes…

 

source signe et sens

 

Publié dans:ACCORD, DEVELOPPEMENT, TOLERANCE |on 25 avril, 2015 |Pas de commentaires »

S’offrir une guidance spirituelle

 

téléchargementS’aventurer dans les méandres de l’esprit nécessite méthode et méthodologie. Carl Gustav Jung, passionné de spiritualité et psychiatre de formation, assure dans son autobiographie « Ma vie » qu’il est nécessaire de bien garder les pieds sur terre pour cheminer spirituellement en toute sécurité. D’où la nécessité d’une guidance…

Les mystiques de toutes les traditions spirituelles font état de l’importance d’un guide sur le chemin conduisant vers ce que d’aucuns nomment le « Soi ». Bénéficier d’un accompagnateur expérimenté permet d’éviter bien des écueils et bien des leurres. Une spiritualité authentique ne doit en effet en aucun cas se transformer en une fuite du réel. Elle a, au contraire, pour sens de s’incarner au quotidien et d’ouvrir des horizons de paix et d’harmonie.

Une attitude de service


Le terme guidance, anglicisme qui nous vient du Québec, insiste sur l’aspect non directif de l’accompagnement, tout en assurant les sécurités. Gilles, ésotériste, explique que quelqu’un qui se revendique de la guidance va mettre toute son humanité à votre service. Quant à la tradition spirituelle indienne, elle reste très explicite dans son symbolisme : dans la Bhagavad Gita, texte sacré hindou, le maître spirituel fait office – pour l’occasion – du rôle et de la fonction de… cocher, donc de serviteur ! Ainsi, l’élève aspirant à la Connaissance décide en dernier recours du chemin à prendre, après s’être enquis de « sa vérité » auprès de son guide. Pour Jung, ce chemin est dit d’individuation, terme à différencier de celui d’individualisme et de sa connotation égoïste. Une guidance spirituelle conduit certes à la réalisation de l’Être, mais une réalisation authentique prend toujours en compte l’entourage, le moteur de cette subtile prise de conscience restant l’humilité et la notion de don.

Le chemin spirituel du bateleur


Le jeu du Tarot de Marseille symbolise également ce que peut être une guidance spirituelle : tout au long des 21 arcanes, le bateleur, candidat à l’initiation, va devoir avancer sur son propre chemin spirituel. Une exploration de ce type est passionnante dans la mesure où ce personnage rassemble toutes les potentialités que chaque être possède en lui. Par cette médiation, le spécialiste fait en sorte d’aider son consultant à les identifier et à découvrir où il en est de son parcours. Il s’agit d’une singulière proposition de travail sur soi au cours duquel conscient et inconscient entrent en communication et s’élèvent l’un l’autre. Jung définit ce processus en tant que mouvement ascensionnel dans la flamme, la métamorphose dans la chaleur alchimique et la naissance de l’« esprit subtil »…

Comment faire preuve de discernement ?


Pour les spiritualistes, en chacun réside un écrin mystérieux où évolue l’« âme » que certains appellent leur « maître intérieur », leur « petite voix ». Cet espace est inviolable et abrite toute la Connaissance. Qu’importe donc sa dénomination pourvu que l’accompagnement vers ce joyau spirituel soit authentique ! Il peut prendre la forme d’un stage d’inspiration chamanique, d’un coaching médiumnique, voire même d’une consultation parapsychologique, l’important étant d’identifier quelques critères relevant du simple bon sens :

– une guidance spirituelle n’impose jamais rien et reste toujours propositionnelle
– elle ne génère aucune dépendance, que ce soit d’un point de vue moral ou financier envers l’accompagnateur, outre les frais de consultation et de stage habituels 
– elle permet une centration dont le sens reste une plus grande ouverture sur la vie et n’occasionne, de fait, aucune rupture avec autrui ni repli pathologique sur soi.

Ces précautions basiques étant prises, s’offrir la possibilité d’emprunter un chemin spirituel, lorsque le désir est là, constitue le début du plus merveilleux des voyages… 

Laurent Boudier du Magazine Signes et Sens

Publié dans:ASCENSION, DEVELOPPEMENT |on 1 mars, 2015 |Pas de commentaires »

Pratiquer l’archéologie intuitive

 

 

Tarot1 (1)De récentes découvertes en neurosciences permettent de mieux comprendre les mécanismes intuitifs. Ces données, adossées aux avancées de la physique quantique, et prolongées par la vision philosophique et spirituelle de l’intuition, ouvrent d’intéressantes perspectives pour apprendre à développer cette capacité universelle que Jung considérait comme « normale, naturelle et nécessaire ».

Mystérieuse intuition… Pour Einstein, elle était la « seule chose qui vaille au monde ». Faculté présente en chacun de nous, l’intuition permet de capter certaines informations sans passer par la raison. Celles-ci servent à anticiper des événements, percevoir ce qu’autrui ressent, avoir des idées lumineuses ou nous guider vers les bons choix. Longtemps reléguée aux rayons ésotériques, l’intuition fait l’objet depuis une quinzaine d’années de l’intérêt des neuroscientifiques. Pour eux, elle résulte des super-capacités de notre cerveau, capable de stocker et traiter en tâche de fond tous nos souvenirs et nos pensées, dont 80 % sont inconscients.

Plusieurs parties de l’encéphale sont en jeu dans les mécanismes intuitifs. 

Le cerveau limbique, siège des émotions, joue un rôle primordial, ainsi que la partie droite du cortex supérieur dont dépendent les processus d’imagination et de création. Le cortex moteur est également impliqué. La récente découverte dans cette zone des neurones-miroir – groupe de cellules s’activant de manière identique chez une personne en train d’effectuer une action, ou bien chez quelqu’un en train de la regarder effectuer cette même action – pourrait expliquer l’empathie et pourquoi nous sommes parfois capables de prédire les intentions et réactions d’autrui.

À la vision matérialiste de l’intuition des neuroscientifiques – qui serait cantonnée dans notre cerveau – s’oppose une approche plus spiritualiste. Ainsi, pour les philosophes, l’intuition dépasse le cadre strict de notre corps physique et dépend de notre esprit. Platon y voit la « saisie immédiate de la vérité par l’âme ». 

Henri Bergson la considère comme une voie d’accès à l’essence des êtres et des choses. Dans les sagesses orientales, l’intuition est une clé spirituelle d’accès à l’univers et aux connaissances fondamentales. Le psychiatre Carl Gustav Jung y voit une forme de communication subtile, d’inconscient à inconscient. Véritable révolution, la physique quantique ouvre de nouvelles voies de compréhension de l’intuition. Ainsi, le concept quantique de « non-localité », espace atemporel et acausal, pourrait expliquer les phénomènes controversés de télépathie, de précognition ou de pressentiment (voir à la fin de l’article).

Quoi qu’il en soit, au-delà de la nature réelle de l’intuition, nous pouvons apprendre à mieux l’utiliser. C’est un processus concret, à la portée de tous, qui passe par des pratiques particulières.

 

Pratiquer l’archéologie intuitive

Nous avons tous des intuitions, mais parfois, nous les avons oubliées ou refoulées. Réveiller son sixième sens passe tout d’abord par une réappropriation consciente de son capital intuitif. Prenez un carnet et notez les souvenirs d’intuitions qui viennent. Utilisez le temps présent, décrivez quel était le contexte, comment s’est manifestée votre intuition, si vous l’avez suivie ou pas, ce qui s’est passé, etc. Laissez-vous du temps et vous devriez voir resurgir d’anciennes manifestations intéressantes.

Mettre son cerveau pensant en pause

Pour fonctionner au mieux, les circuits intuitifs doivent s’alléger du poids du mental. Ainsi, lorsque vous vivez des intuitions, apprenez à les recevoir sans les expliquer, les juger ou à l’inverse, sombrer dans une dimension magique. Laissez-les « être », dans l’expérience de l’instant présent. Entraînez-vous à prendre des décisions intuitives, sans chercher à vous rassurer derrière une profusion d’informations. Plus nous cherchons à amasser de données sur un sujet, plus nous courrons le risque de nous éloigner de l’essentiel.

S’écouter, se comprendre

Loin d’être l’ennemi de la raison, les émotions sont nécessaires pour mener une vie normale, prendre nos décisions et avoir de l’intuition ! Il est donc primordial de se mettre à leur écoute et les vivre, tout en instaurant une juste distance avec elles. Pour cela, apprenez à reconnaître et nommer avec précision une émotion lorsqu’elle se manifeste. Il en existe cinq grandes catégories : joie, tristesse, peur, colère, désir.
 

Si vous vous sentez débordés par elles, le fait de prendre conscience de les identifier et les nommer peut suffire à les calmer.

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L’activité intérieure

Notre société ne nous incite pas à explorer les rivages de notre intériorité. C’est pourtant là que notre intuition vit, s’exprime et grandit. Méditation, yoga, sophrologie, relaxation, qi gong permettent d’investir cet espace en soi, en faisant notamment l’expérience de la lenteur et de la simplicité. Il est possible de pratiquer la marche, la course ou toute autre activité en pleine conscience, c’est-à-dire en développant son attention à l’instant présent, à nos cinq sens et aux ressentis corporels associés (sons, odeurs, goûts, textures, aspects visuels…).

Se connecter à ses intuitions du saut du lit

Durant la période de réveil matinal, notre cerveau émet des ondes longues, alpha et thêta, typiques des états de conscience modifiés, comme la méditation ou l’hypnose. Dans cet état flottant, nous pouvons accéder à des informations intuitives, comme trouver la solution à un problème préoccupant. Pour capter ces intuitions du réveil, programmez-vous le soir en vous endormant avec cette intention. Le matin, activez cette fonction dans un coin de votre tête, tout en restant endormi. Puis notez vos idées sur une feuille pour ne pas risquer de les oublier ensuite.

L’étape du travail sur soi est incontournable pour développer son intuition.

On peut le mener avec un thérapeute ou seul si l’on possède de bonnes capacités d’introspection. En comprenant mieux nos failles, nous pouvons alors déjouer les pièges des fausses intuitions. La plus répandue d’entre elles est la projection, qui consiste à plaquer ses désirs, ses peurs, ses rêves ou ses envies sur quelqu’un d’autre ou sur une situation, et l’appeler intuition. Pour intuiter vrai, il est important d’être aligné avec soi-même. Notre sixième sens ne s’épanouit en effet que dans un rapport apaisé et confiant à soi et dans la vie.

Le pressentiment prouvé scientifiquement

« L’anticipation physiologique prédictive » est le nom scientifique donné au pressentiment par les chercheurs. En 2012, le laboratoire de neuroscience et de perceptions cognitives de la Northwestern University, aux États-Unis, a analysé les résultats de vingt-six études publiées entre 1978 et 2010 sur le sujet. La conclusion est étonnante : notre corps est capable deressentir des événements inattendus sur le point de se produire – entre deux et dix secondes avant – sous forme de réactions au niveau du cœur, de la peau, des ondes cérébrales et du système nerveux. « Nos connaissances actuelles ne nous permettent pas de comprendre ce phénomène. Cependant, des découvertes récentes en biologie quantique pourraient nous éclairer », indique la chercheuse Julia Mossbridge, qui a piloté l’étude.

Isabelle Fontaine du site  http://www.principes-de-sante.com/

 

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