Archive pour la catégorie 'AME'

Lieux d’enchantement

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Le jour de ce temps est une approche féérique de ce que la vie peut vous apporter dans votre conditionnement d’humain vivant sur terre. 

Vos images de la beauté parfois évoquent des paysages et des lieux magnifiquement beaux mais ces lieux là vous les avez aussi sur Gaia quand bien même l’homme a falsifié la beauté de sa nature et à rempli d’immeubles et de béton  les sphères particulièrement sublimées pour en faire des appâts de la société de consommation, chacun désirant acquérir un espace qui lui serait propre ou il pourrait bénéficier de l’ensemble d’une vision qui n’appartiendrait qu’a lui seul. 

Soit chers amis, cela est, et en même temps vos espaces de vies pourraient être considérés pour la majorité comme des lieux qui ne demandent qu’à s’embellir de la beauté que vous pouvez y inscrire en tant qu’être mais aussi en lui apportant la nourriture dont vous disposez pour l’embellir. 

Vous êtes nombreux à désirer quitter vos lieux de vie et vous pensez qu’ailleurs l’air est plus pur et l’image plus belle ; Bien évidemment il apparait sur Gaia des endroits magnifiquement protégés mais ces lieux doivent restés tels qu’ils sont afin que la majorité d’entre vous puissent aller s’y ressourcer. Ces lieux magiques appartiennent au domaine des esprits de la nature qui veillent à y demeurer pour que leur énergie de vie parachève l’énergie du lieu. 

Chers amis alors profitez de ces endroits de paix et d’énergie pure et apprenez à garder en vous cet esprit de pur enchantement qu’ils procurent en vous, cette béatitude et cette liberté d’être vous-même. 

Ces lieux de magnificences sont des poumons qui vous permettent de respirer la pureté et incarnent la majesté de leurs habitants de la nature, les arbres, les plantes, les animaux. 

Vous avez tous gardés au plus profond de vos êtres cette même pureté que désormais vous avez décidé en purifiant vos personnalités de véhiculer en vous et autour de vous. 

Prenez l’essence de la dimension universelle que vous êtes en train de parachever pour que tous unis  nous soyons dans la même capacité à élever nos vibrations et nous accorder au rythme de la création.  

Je vous souhaite en ces jours de repos pour vous, de rencontrer dans votre possible, cet état de pur enchantement qui vous conduira aux profondeurs d’Etre, votre âme et sa légèreté. 

La liberté vous appartient de diffuser cet écrit reçu en canalisation par Adèle, à condition de le garder intact et den donner la Source. http://www.a-d-ailes-d-ange.com 

Publié dans:AME, POUVOIR, TERRE |on 27 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

Le jugement des âmes après la mort

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     »Socrate Oui, Calliclès, à condition qu’il ait une chose que tu lui as plusieurs fois accordée, je veux dire qu’il se soit ménagé le secours qui consiste à n’avoir rien dit ni rien fait d’in juste ni envers les hommes, ni envers les dieux. Car cette manière de se secourir soi-même, ainsi que nous l’avons reconnu plus d’une fois, est la meilleure de toutes. Si donc on nie prouvait que je suis incapable de m’assurer cette sorte de secours à moi-même et à un autre, je rougirais d’être convaincu devant peu comme devant beau coup de personnes et même en tête à tête avec moi seul, et si cette impuissance devait causer ma mort, j’en serais bien fâché; mais si je perdais la vie faute de connaître la rhétorique flatteuse, je suis sûr que tu me verrais supporter facilement la mort. La mort en soi n’a rien d’effrayant, à moins que l’on ne soit tout à fait insensé et lâche; ce qui est effrayant, c’e l’injustice; car le plus grand des malheurs est d’arriver chez Hadès avec une âme chargée de crimes. Si tu le veux, je suis prêt à te faire un récit qui te le prouvera. Calliclès Eh bien, puisque tu as achevé ton exposition, achève aussi de traiter ce point. Socrate

     LXXIX. — Ecoute donc, comme on dit, une belle histoire, que tu prendras, je m’en doute, pour une fable, mais que je tiens pour une histoire vraie; car je te garantis vrai ce que je vais dire. Comme le dit Homère ‘ Zeus, Poséidon et Pluton, ayant reçu l’empire de leur père, le partagèrent entre eux. Or au temps de Cronos, il y avait à l’égard des hommes une loi, qui a toujours subsisté et qui subsiste encore parmi les dieux, que celui qui a mené une vie juste et sainte aille après sa mort dans les îles des Bienheureux ‘ pour y séjourner à l’abri de tout mal dans une félicité parfaite, et qu’au contraire celui qui a vécu dans l’injustice et l’impiété aille dans la prison de l’expiation et de la peine, qu’on appelle le Tartare. Or, au temps de Cronos et au début du règne de Zeus,les juges étaient vivants et jugeaient des vivants, le jour même où ceux-ci devaient mourir. Aussi les jugements étaient mal rendus. Alors Pluton et les surveillants des îles Fortunées allaient rapporter à Zeus qu’il leur venait dans les deux endroits des hommes qui ne méritaient pas d’y séjourner. « Je vais mettre un terme à ces erreurs, répondit Zeus. Ce qui fait que les jugements sont mal rendus, c’est qu’on juge les hommes tout vêtus; car on les juge de leur vivant. Aussi, poursuivit-il, beaucoup d’hommes qui ont des âmes dépravées sont revêtus de beaux corps, de noblesse et de richesse, et, à l’heure du jugement, il leur vient une foule de témoins pour attester qu’ils ont vécu selon la justice. Les juges sont éblouis par tout cela. En outre, ils jugent tout habillés eux aussi, ayant devant leur âme, comme un voile, des yeux, des oreilles et tout leur corps. Cet appareil qui les couvre, eux et ceux qu’ils ont à juger, leur offusque la vue. La première chose à faire, ajouta-t-il, c’est d’ôter aux hommes la connaissance de l’heure où ils doivent mourir, car ils la connaissent à l’avance. Aussi Prométhée a déjà été averti de mettre un terme à cet abus o° Ensuite il faut qu’on les juge dépouillés de tout cet appareil. Il faut aussi que le juge soit nu et mort, pour examiner avec son âme seule l’âme de chacun, aussitôt après sa mort, et que celui qu’il juge ne soit assisté d’aucun parent et qu’il laisse toute cette pompe sur la terre afin que le jugement soit équitable. J’avais reconnu ce désordre avant vous; en conséquence j’ai établi comme juges trois de mes fils, deux d’Asie, Minos et Rhadamanthe, et un d’Europe, Eaque.Lorsqu’ils  seront morts, ils rendront leurs jugements dans la prairie, au carrefour d’où partent les deux routes qui mènent, l’une aux îles des Bien heureux, l’autre au Tartare. Rhadamanthe, jugera les hommes de l’Asie, Eaque ceux de l’Europe. Pour Minos, je lui réserve le privilège de prononcer en der nier ressort, si les deux atitres sont embarrassés, afin que le jugement qui décide du voyage des hommes soit aussi juste que possible. Voilà, Calliclès, ce que j’ai entendu raconter et que je tiens pour vrai, et de ces récits je tire la conclusion suivante. La mort, à ce qu’il me semble, n’est pas autre chose que la séparation de deux choses, l’âme et le corps. Quand elles sont séparées l’une de l’autre, chacune d’elles n’en reste pas moins dans l’état où elle était du vivant de l’homme. Le corps garde sa nature propre avec les marques visibles des traitements et des accidents qu’il a subis. Si par exemple un homme était de haute taille de son vivant, soit par nature, soit grâce à son régime, soit pour les deux causes à la fois, son corps est également de grande taille, après sa mort; s’il était gros, son cadavre est gros et ainsi de suite; s’il affectait de porter des cheveux longs, son corps garde sa chevelure; si c’était un homme à étrivières et, si, pendant sa vie, il portait sur son corps les traces cicatrisées des coups de fouet ou d’autres blessures, on peut les voir sur son cadavre; s’il avait des membres brisés ou contrefaits, tan dis qu’il était en vie, ces défauts sont encore visibles sur Son cadavre. En un mot, les traits de son organisation physique pendant la vie restent tous ou presque tous visibles après la mort durant un certain temps. Il me paraît, Calliclès, qu’il en est de même à l’égard de l’âme et que, lorsqu’elle est dépouillée de son corps, on aperçoit en elle tous les traits de son caractère et les modifications qu’elle a subies par suite des divers métiers que l’homme a pratiqués. Lors donc que les morts sont arrivés devant le juge, par exemple ceux d’Asie devant Rhadamanthe, celui-ci les fait approcher de lui et il examine chaque âme, sans savoir à qui elle appartient. Souvent mettant la main sur le Grand Roi ou sur tout autre souverain ou potentat, il constate qu’il n’y a rien de sain dans son âme, qu’elle est toute tailladée et balafrée par les parjures et l’injustice dont chacun des actes de l’homme y a marqué l’empreinte, que tout y est tordu par le mensonge et la vantardise et que rien n’y est droit, parce qu’elle a été nourrie loin de la vérité, et qu’enfin la licence, la mollesse, l’insolence et l’incontinence de sa conduite l’ont remplie de désordre et de laideur. A cette vue, Rhadamanthe la renvoie ignominieusement tout droit à la prison pour y subir les châtiments qui lui conviennent.

   LXXXI. — Or ce qui convient à tout être qu’on châtie, quand on le châtie justement, c’est de devenir meilleur et de tirer profit de la punition, ou de servir d’exemple aux autres, afin qu’en le voyant souffrir ce qu’il souffre, ils prennent peur et s’améliorent. Mais ceux qui tirent profit de l’expiation que leur imposent, soit les dieux, soit les hon sont ceux qui n’ont commis que des fautes remédiables. Toutefois ce profit ne s’acquiert que par des douleurs et des souffrances et sur cette terre et dans l’Hadès, car c’est le seul moyen de se débarrasser de l’injustice. Quant à ceux qui ont commis les derniers forfaits et sont par suite devenus incurables, ce sont eux qui servent d’exemples. Eux-mêmes ne tirent plus aucun profit de leurs souffrances, puisqu’ils sont incurables; mais d’autres profitent à les voir éternellement souffrir, à cause de leurs fautes, les plus grands, les plus douloureux, les plus effroyables supplices, et, suspendus comme de vrais épouvantails, là-bas, dans la prison de l’Hadès, servir de spectacle et d’avertissement à chaque nouveau coupable qui arrive en ces lieux. - ».

Gorgias  par Platon  

Publié dans:AME, La MORT |on 21 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

Faire passer un Esprit vers La Lumière

 

Je tenais à la partager avec vous car Malory ( pseudo MaloryEveil sur youtube ) parle avec le coeur et vous explique à sa façon comment faire passer un esprit dans la lumière, sur l’autre plan et comment savoir si un défunt est bien dans la lumière ?

Amener Les Défunts Vers La Lumière

 Image de prévisualisation YouTube

http://www.youtube.com/watch?v=qsi_thv0Pn4

J’aime beaucoup sa façon de s’exprimer. Merci à Malory pour son partage d’expérience et conseils.

Savoir Laisser Partir Les Défunts

Malory a raison de nous rappeler à quel point il est important de ne pas être égoïste de vouloir garder les personnes que l’on aime prêt de nous, alors que pour ces âmes ils y a un monde bien meilleur qui les attend en rejoignant la lumière.

 

téléchargement (2)Que Sont Ces Âmes Errantes ?

Les âmes Égarées sont le lot quotidien de certains passeurs d’âmes. Elles sont de deux sortes, il y a les âmes craintives qui errent dans une dimension intermédiaire faite d’ombres et de soupirs, peu rassurante à leurs yeux donc mais dans laquelle il n’y a pas vraiment de danger.

Puis il y a les âmes qui n’ont absolument pas conscience de leur décès parfois très ancien à notre échelle pourtant, et qui continuent de se promener comme si elles étaient simplement sorties pour aller acheter le pain. Ces âmes sont d’une humeur égale à celle qu’elles avaient généralement au cours de leur dernière incarnation.

Elles se rendent vaguement compte qu’elles ont bien du mal à retourner auprès de leur proche mais une peur plus grande encore que celles qu’éprouvent les âmes craintives les empêche de réaliser pleinement leur état. Elles éprouvent un blocage énorme autant que réel à ce niveau. Ce sont ces âmes errantes qui sont les plus difficiles à faire passer dans la Lumière pour un passeur.

Par contre, elles apprécient la compagnie des médiums auprès desquels elles trouvent chaleur et confort. Elles peuvent communiquer et cela leur convient d’autant mieux qu’elles ont toujours l’impression d’être en vie. Donc elles les voient juste comme de nouveaux amis.

Ces âmes errantes ne sont pas dangereuses au départ mais elles peuvent nous faire beaucoup de peine si l’on est capable de sentir toute la détresse qu’elles parviennent à se nier.

Comment Rassurer Les Âmes Errantes Et les Aider à Monter Vers la Lumière ?

Les âmes craintives peuvent être rassurées avec des mots, de belles énergies et un appel à une entité lumineuse par exemple. Elles acceptent et sentent notre compassion à leur égard.

En revanche, il faut faire comprendre aux autres qu’elles sont mortes et cela peut s’avérer une autre paire de manches. Elles nient, s’enfuient (jamais loin), s’énervent… Elles peuvent devenir aussi dangereuses que les âmes errantes récalcitrantes dans certains cas. Ce sont tout de même les cas les moins répandus.

En général le médium parvient à faire entendre raison à l’âme qui ensuite se laisse toujours gentiment guider vers la Lumière pour un repos bien mérité avant d’envisager de reprendre le cycle des réincarnations.

Suivre le débat sur le forum : http://devantsoi.forumgratuit.org/t1389-comment-faire-passer-les-defunts-vers-la-lumiere#11117

Publié dans:AME, LUMIERE |on 18 janvier, 2014 |Pas de commentaires »

Les enfants nouveaux

 

images (7)« Comme nous vous l’avons dit maintes fois, vous êtes à une époque charnière. Vous pouvez constater qu’il y a une très grande quantité, inconcevable pour vous, d’âmes qui s’incarnent sur la Terre, venant de toutes les régions de l’Univers. Elles arrivent avec un programme bien spécifique. Il n’y a pas de bons ou de mauvais programmes, il y a ceux qui correspondent non seulement à l’époque que vous vivez mais aussi au destin de la Terre et de la vie sur ce monde.

Donc, à l’époque actuelle s’incarnent sur votre monde des âmes qui ne lui n’appartiennent pas. Elles sont innombrables et viennent pour plusieurs raisons, principalement pour vous aider de l’intérieur. Cependant toutes sont perturbées par la vibration de la Terre, par sa souffrance, par tout le vécu si difficile depuis de si nombreuses années. Certaines âmes évoluées s’y adaptent mal et trouvent même leur mission fort pénible. Cependant, avec tout leur Amour, toute leur bonne volonté elles essaient de se mettre au service et d’accomplir le programme qui a été établi pour ce monde.

Pour ces âmes, nous préférons utiliser le terme « enfants nouveaux », mot mieux adapté à la réalité que le terme « enfants indigos ».

Il s’agit souvent pour elles d’une première incarnation sur ce monde et elles sont perturbées. Ce sont parfois des âmes très puissantes, qui n’ont pas encore été soumises aux lois terrestres et qui ont d’énormes difficultés à s’y plier car elles les trouvent réellement injustes et stupides. Lorsque nous parlons de lois, nous devrions plutôt dire façons d’être et de vivre ; les lois sont autre chose.

Ces âmes voient la vie beaucoup plus clairement que vous ; bien qu’ayant été bloquées au niveau de la mémoire afin de pouvoir vivre sur Terre, elles ont encore un peu conscience de ce qu’elles ont été et ont, de ce fait, beaucoup de mal à s’adapter. 

Les seules choses que vous puissiez leur offrir sont la compréhension, l’Amour, la stabilité,ces choses que vous n’avez pas encore totalement intégrées et dont elles ont tellement besoin ! Par contre, comme elles doivent subir vos modes d’existence, il ne faut pas les laisser s’égarer dans ce monde qu’elles ne connaissent pas ; il faut leur tracer une route et, avec gentillesse et bienveillance, les aider à la suivre.

Si, au travers de l’Amour, de l’acceptation et aussi d’une certaine sévérité, vous arrivez à les stabiliser, tout au moins pendant quelques années, ces âmes pourront accomplir totalement la mission qu’elles ont choisie pour ce monde. Si, au contraire leur entourage n’est pas suffisamment stable, suffisamment fort, certaines risqueront de se fourvoyer et de ne pas pouvoir accomplir la mission qu’elles avaient programmée.

Parmi ces enfants nouveaux se trouvent également des êtres venant de toutes les régions de l’Univers et votre façon de vivre ici ne leur convient absolument pas. Ces âmes sont venues apprendre de vous, apprendre la vie, l’Amour, et tout ce que vous pouvez leur enseigner par votre comportement. Cependant elles sont très tiraillées entre leur monde d’origine, totalement différent, et leur appartenance provisoire à celui-ci. Ces êtres nouveaux venant de votre Univers, de votre galaxie, seront de plus en plus nombreux.

Vous êtes également venus en précurseurs, pour débroussailler, pour préparer le terrain, mais vous avez été beaucoup plus nombreux qu’eux car votre rôle et le leur sont totalement différents. Vous avez été beaucoup plus protégés parce que coupés de votre appartenance. Afin de mener à bien votre mission, vous êtes venus plusieurs fois sur cette planète ; il vous fallait bien intégrer la façon de vivre des êtres humains et surtout vous imprégner des énergies de la Terre. .

Actuellement, ces enfants nouveaux posent beaucoup de problèmes et font prendre conscience à ceux qui les entourent de ce qu’ils doivent devenir afin que la vie leur soit agréable en leur compagnie. D’autre part, ils les aident énormément en faisant appel à la compassion, au lâcher-prise, à la tolérance et à l’Amour.

Parmi tous ces êtres venus pour préparer demain, certains repartiront assez rapidement. Dès leur mission accomplie, la mémoire leur sera restituée et ils s’en iront avec ou sans leur corps ; souvent, ils choisiront de ne pas le quitter, ce seront ce que vous appelez des disparitions mystérieuses !

Pour ces âmes venant d’autres régions de votre Univers où elle vivaient sur des planètes où tout est parfaitement équilibré, paisible, harmonieux, où règnent fraternité, bonté et Amour, vous ne pouvez pas vous rendre compte à quel point il leur est difficile de remplir leur mission sur ce monde ou sur d’autres mondes similaires. Parfois elles se perdent, se noient, souffrent, leur révolte est souvent signe d’une grande douleur par manque d’adaptation, les énergies les perturbent profondément.Vous ne pouvez les aider qu’avec votre Amour, avec votre patience !

Cependant, il y a aussi d’autres âmes très jeunes, (nous ne dirons pas peu évoluées car le mot évolution n’a aucun sens), nous dirons très peu expérimentées. Certaines d’entre elles sont encore dans une grande violence, dans une grande révolte parce qu’elles ne comprennent pas l’Amour qu’on leur donne ; elles viennent de mondes où la conception de l’Amour est différente ; il y est rare mais néanmoins présent.

La seule chose à faire pour ces êtres nouveaux, c’est de les aider à accomplir leur mission, quelle qu’elle soit, de les aider par votre compréhension mais, aussi difficile que cela puisse être pour vous, de toujours leur laisser suivre la voie qui mène à leur mission afin qu’ils ne s’égarent pas ; demandez beaucoup d’aide, elle vous sera donnée afin que vous-mêmes puissiez les soutenir.

Rien n’est hasard, tout est prévu et fait partie du plan. Lorsqu’ils auront atteint une certaine étape de leur existence en ce monde ils se reconnaîtront et oeuvreront ensemble. L’heure n’en est pas encore venue. Les êtres nouveaux venant réellement aider, il y en a en fait de tous âges ; mais ceux que vous appelez les enfants indigos se manifestent avec beaucoup plus de puissance, beaucoup plus d’affirmation. Ils savent ce que vous ignorez encore, ils lisent dans vos pensées et dans vos cœurs.

Dites aux parents d’enfants difficiles qu’à partir de l’âge de sept ans, mais plutôt celui de douze ans, ces enfants se stabiliseront, qu’ils trouveront leur voie et comprendront pourquoi ils sont venus ; beaucoup de choses se révèleront à eux, ils seront moins révoltés ou ne le seront plus du tout car ils seront simplement dans l’Amour et dans l’acceptation ».

C’est très curieux, je vois des fils de lumière qui les relient par groupe d’appartenance.

« En effet, ces êtres sont réunis par groupes d’appartenance ayant chacun des missions bien définies à accomplir, que ce soit un travail sur la conscience humaine, sur les énergies, celles des humains comme celles de la Terre ou pour favoriser une plus grande compréhension et l’ouverture du cœur. Les groupes sont reliés à leur spécificité. Les frontières ne les arrêtent pas. Avant qu’ils puissent se connecter les uns aux autres, il faut qu’ils aient atteint un certain âge. »

Question : Quelle attitude avoir devant un enfant qui n’accepte aucune autorité ?

« L’Amour bien sûr, mais aussi la fermeté ! Il faut lui faire prendre conscience que sur chaque planète il y a des règles à respecter sans lesquelles la vie serait impossible. Un enfant ne peut pas toujours comprendre et accepter les règles, il a les siennes propres qu’il a apportées d’ailleurs.

Vous, sur Terre, vivez selon vos préceptes, vos lois, vos conventions, d’une façon qui peut être totalement différente dans un autre monde. Si on vous transportait sur une autre planète avec vos coutumes, vos principes de vie, tout ce qui façonne votre existence sur ce monde, vous seriez considérablement dérangeants pour d’autres humanités, insupportables même. En fait, hormis celles qui appliquent réellement les lois cosmiques, chaque humanité applique celles qui correspondent à son évolution. A partir d’un certain niveau de conscience mais aussi de certaines dimensions, tout devient similaire. Les différences telles que dans vos mondes de troisième dimension n’existent plus. Lorsque vous aurez atteint un certain degré, vous appliquerez uniquement les lois d’Amour, les lois établies par le Créateur de toute Vie.

Laissez à ces enfants le temps d’apprendre, d’assimiler tout cela mais soyez fermes, (pas brutaux, fermes). Essayez de les comprendre ! Plus tard, un dialogue s’installera. Avec tous ces enfants, il faut dialoguer, parler même de ce qui peut vous paraître insensé, incohérent. Ils peuvent évoquer des souvenirs de leur monde, de leur façon de vivre, de leur façon d’être. Il faut faire preuve de beaucoup d’Amour, de beaucoup de paix envers ces êtres pour leur faciliter la route ! Cela vous permet également de grandir dans l’Amour et de donner de l’Amour Inconditionnel.

Peut-être dans vos familles se trouvent également des êtres qui semblent travailler non pour la Lumière mais plutôt pour la lumière sombre ; néanmoins tout l’Amour que vous pourrez leur donner les aidera énormément et pourra également accomplir des miracles en eux. N’oubliez jamais ceci  :

L’Amour est la plus grande force. L’Amour et la Lumière font des miracles à chaque instant, en vous et autour de vous, même si vous ne vous en rendez pas compte ! Rien ne résiste à l’Amour, rien ne résiste à la Lumière.

Parfois les enfants nouveaux réagissent en fonction de leur entourage. Que celui-ci soit donc vigilant même si c’est difficile à vivre ! En outre, ces enfants sont souvent télépathes, ils lisent en vous et comprennent tout ce qui les entoure.

Votre humanité va changer complètement sa façon de voir, de penser, de comprendre et d’aimer, sa façon d’agir. Votre civilisation sera totalement différente. Tout ce qui a été vécu jusqu’à ce jour depuis des milliers d’années, voire même plus ne sera plus valable dans votre nouveau monde

Ces enfants vous y prépareront plus ou moins facilement. Selon leur programmation, certains découvriront peu à peu qui ils sont, d’autres non ; mais lorsqu’ils auront compris ce qu’ils sont réellement venus faire sur ce monde et quelle est leur mission, ils apporteront une aide précieuse à l’humanité.

L’humanité est en train de s’éveiller, de comprendre, de s’interroger, de souffrir, mais c’est la souffrance de la naissance, c’est l’accouchement du nouvel enfant, c’est à dire votre naissance à de nouvelles conditions de vie et d’existence. Vous serez éblouis de la même façon que si vous sortiez du ventre de votre mère après neuf mois d’enfermement, que vous découvriez le soleil et que vous soyez soudain libres de voir tout ce qui vous entoure, libres de vivre, de comprendre, d’expérimenter à nouveau. Vous allez bientôt renaître à vous-mêmes comme toute vie sur ce monde mais l’accouchement est long et douloureux. »

Une scène se déroule devant moi : je vois  une planète magnifique, ouverte sur beaucoup d’autres sphères où existe un échange permanent entre des êtres de plusieurs mondes. Voici deux êtres, physiquement dissemblables et dont j’ignore l’appartenance. Ils se connaissent, ils se sourient, ils s’aiment. Je ne peux pour l’instant vous donner d’autres détails. Ils entrent dans une grande salle où se trouvent beaucoup d’autres êtres différents dans leur aspect physique, dans leur rayonnement et dans leur attitude. Ils sont deux par deux mais pas en couple féminin-masculin ! Ils se tiennent côte à côte, formant des groupes bien distincts. Ils sont de plus en plus nombreux dans cet immense amphithéâtre ! Sur une estrade en demi-lune se tient un être particulièrement lumineux. Il écarte les bras, il les lève et envoie des feux d’énergie vers toute l’assistance. Il prononce des paroles que je ne comprends pas mais tous sourient et paraissent totalement d’accord.

Intérieurement j’entends qu’on me donne une traduction. L’Etre de Lumière, extraordinaire de puissance et d’Amour, est en train de préparer ses frères à apporter de l’aide dans différents mondes. Il leur précise à quel point cela va être pénible et aussi combien cela sera merveilleux. Il leur explique qu’ils vont apprendre autant qu’ils vont donner. Il ajoute cependant que la plus grande difficulté sera d’oublier ce qu’ils sont, tout au moins partiellement. Il les envoie par deux, issus de planètes différentes, afin que leurs énergies et leurs forces se complètent. Ils ont été choisis en fonction de leurs capacités différentes. Tous ces êtres, venus en grand nombre, sont très heureux d’aller sur les mondes de troisième dimension. L’Etre lumineux leur expose plusieurs manières de s’y rendre et de les aider. La première, la plus simple et la plus employée, c’est de laisser leur corps, qui restera bien protégé dans des petites pièces toutes rondes autour de cet immense amphithéâtre, de toutes petites pièces où n’entrent que deux personnes maximum. Leur corps sera maintenu là et ils pourront donc s’incarner. Sans le savoir, ils seront toujours deux pour chaque mission. Ils pourront ainsi s’aider dans l’énergie et lors de la libération de leur âme par le sommeil. Cela leur donnera la force et l’Amour nécessaires pour accomplir leur tâche.

Je vais suivre le premier groupe que j’ai croisé. Je vois les êtres, toujours de dos ; ils sont fiers et heureux de partir, d’apprendre, d’aider, de donner. Ils sont maintenant dans les petites cellules, leur corps est mis sous protection et ce que je crois être leur âme s’échappe sous forme d’une petite sphère de lumière ; elle vient sur notre monde dans le ventre d’une maman. Puis voici la naissance, les difficultés, la souffrance de ces deux êtres, ces enfants nouveaux qui, bien évidemment, ne se sont pas incarnés au même endroit, mais qui tous deux rencontrent les mêmes obstacles. Par contre, ils éprouvent une immense joie de l’Amour qu’ils reçoivent, de la beauté de ce monde, de tout ce qu’ils apprennent ; leur science et leur savoir sont immense, mais n’incluent pas toutes nos connaissances.

Maintenant ces enfants ont grandi. L’un d’eux a bien réussi son incarnation, il s’est stabilisé, il a accepté. L’autre n’a pas réussi, tout au moins pas comme il l’aurait souhaité. Il est malheureux, perturbé, il demande de l’aide mais personne de son entourage ne peut la lui donner. Il se révolte intérieurement, il regrette. La seule consolation et le seul soutien qu’il puisse recevoir, c’est lorsque, pendant son sommeil, il retrouve son frère qui, lui, s’étant stabilisé plus facilement, l’aide et l’encourage. Il lui donne des conseils tels que celui ci  : tout d’abord fixe-toi sur ce monde, expérimente, ensuite tout se passera bien.

Je ne les vois plus. J’entends : la vie suivra son cours et ces deux êtres pourront accomplir chacun une mission importante pour le plus grand bien de l’humanité :

« Ce n’est pas une histoire, c’est une vérité qui se répète en plusieurs points de votre planète, c’est l’aide que vous pouvez recevoir et dont vous n’êtes pas conscients. »

Je vois ensuite la Terre s’élever de plus en plus. Elle me fait penser à un serpent laissant son ancienne peau pour renaître. Lors de cette naissance, elle va beaucoup bouger, l’humanité aussi. C’est curieux, je ressens des énergies nouvelles, pures, fraîches, des énergies qui n’ont pas été souillées par les pensées néfastes de l’homme et qui d’ailleurs ne le seront jamais. Ce que j’entends me procure une immense joie :

« Ces énergies vont commencer petit à petit à venir sur ce monde. »

C’est d’une beauté extraordinaire, c’est tout à fait différent de ce que j’ai pu ressentir jusqu’à présent ! Ils m’expliquent que les énergies s’imprègnent parfois de ce qui les entoure, de ce qu’elles ont pu traverser dans l’espace ou de tout ce qu’elles ont pu prendre dans les mondes d’où elles viennent. Celles-ci semblent soufflées par la Source. Elles sont d’une grande pureté, empreintes d’aucune scorie, d’aucune forme-pensée et ne seront jamais altérées par leur environnement. Ce sont des énergies qui vont aider à la renaissance, à la vie. Je les sens parcourir mon corps, elles sont aussi légères que pures.

Elles sont le lien, elles sont le chemin qui nous mènera à la Source. Elle sont acceptées par toutes les énergies qui sont en nous. Il n’y a aucune lutte, aucune dualité entre les énergies de notre monde actuel et ces énergies tellement pures. Elles sont comme les émanations du Souffle Divin. Elles se fondent, elles transforment en douceur avec immensément d’Amour !

Ils me disent :

« Les énergies nouvelles que nous vous avons décrites aujourd’hui vont venir de plus en plus sur ce monde ! Elles vont aider à la renaissance, c’est la main secourable du père qui aide à l’enfantement.

Beaucoup de changements vont avoir lieu dont certains sont très proches. Préparez-vous au plus profond de vous-mêmes à ces transformations intérieures et extérieures, ces prises de conscience accélérées, ces ouvertures de compréhension ; un Amour nouveau va naître en vous. Vous allez intégrer beaucoup plus de douceur, de bonté, de sérénité, et relativiser votre propre existence. Ces énergies nouvelles vous mèneront jusqu’à la quatrième dimension, jusqu’à la transition.

Imaginez l’immense main du Père qui vous prend et qui vous fait changer d’état, de fréquence, de dimension. Il suffit simplement que vous acceptiez de vous trouver dans la main de la Source et que vous vous laissiez transporter d’un point à un autre, d’un état d’être à un nouvel état d’être, d’une dimension à une autre dimension. » 

C’est une sorte de cyclone d’une grande puissance… ce tourbillon de Lumière est au-dessus de la Terre. Cependant il n’y a ni dessus ni dessous. Je ne sais pas l’exprimer autrement ! Ils me disent :

« Nous vous demandons de vous préparer à intégrer ces énergies tellement différentes de toutes celles que vous avez pu reconnaître et aussi de les ressentir. Laissez-les vous transformer ! »

Vous pouvez reproduire ce texte et en donner copie aux conditions suivantes :

  • qu’il ne soit pas coupé
  • qu’il n’y ait aucune modification de contenu
  • que vous fassiez référence à notre site  http://ducielalaterre.org
  • que vous mentionniez le nom de Monique Mathieu
Publié dans:AME, ENFANTS |on 25 décembre, 2013 |Pas de commentaires »

LE TEMOIGNAGE d’une vie à travers les Univers parallèles

 

ENTREVUE AVEC DANIEL MEUROIS-GIVAUDAN – Il y a de nombreuses demeures.

A l’état de veille, nous rêvons notre monde, de la même façon que nous rêvons durant notre sommeil… jusqu’à ce que nous ayons totalement dépassé la gigantesque sphère vibratoire de la Maya. (article de Marie-Johanne Croteau)

La_Rebeyrolle,_(Creuse,_Fr),_sur_le_chemin_de_St.jacques

Marie-Johanne Croteau : Daniel Meurois, vous venez de faire paraître votre dernier livre « Il y a de nombreuses demeures » consacré aux univers parallèles. L’une de ses particularités est qu’il cite beaucoup d’événements ayant marqué votre propre cheminement. Pourquoi, après trente années de témoignages, nous confier pour la première fois vos expériences personnelles ?

Daniel Meurois : Je crois tout simplement que le moment en était vraiment venu. Jusqu’à présente, je n’avais pas souhaité exposer publiquement – même en privé d’ailleurs – les expériences dont je témoigne ici et qui ont marqué de l’intérieur mon parcours à cause d’une espèce de pudeur, me semble-t-il. A mes yeux, elles sont en effet de l’ordre de l’intime. Qu’y a-t-il de plus personnel que les articulations par lesquelles notre âme apprend à fleurir ?

Et puis aussi, je ne voyais pas en quoi ma propre vie, dans quelques-uns de ses aspects privés, pouvait être intéressante pour qui que ce soit. Je suis cependant heureux du franchissement de cette « ligne rouge » car ce pas de plus me rapproche sans doute davantage de ceux qui me lisent. Je n’ai jamais aimé les distances. C’est la proximité et la simplicité qui permettent d’enseigner au-delà de l’intellect. F’autre part, je crois que les anecdotes que je cite étaient indispensables pour inviter chacun à explorer la notion d’univers parallèles d’une façon différente. J’ai voulu que ce soit en prise avec le quotidien et non pas par le biais d’un échafaudage d’hypothèses. Comprendre clairement la notion des univers parallèles est capital dans une démarche d’ouverture de conscience. En fait le vrai sujet de ce livre est celui des « sphères de vie » virtuelles que nous construisons à chaque instant par notre façon d’être et de penser.

Sa fonction est de nous amener à comprendre que nous co-créons constamment les mondes dans lesquels nous tâtonnons et évoluons. Même si nous acceptons déjà cette vérité dans son principe, nous ignorons cependant la plupart du temps comment cela fonctionne et à quel point nous naviguons dans nos propres créations.

Mon intention a donc été de mieux mettre en évidence le fait que les mondes qui nous entourent sont la résultante directe de nos niveaux de conscience successifs. Avant tout, c’est ce concept, celui des « niveaux de conscience », qui est au centre de la réflexion. Vu comme cela, je conçois que le propos puisse sembler aride, mais par le biais des anecdotes qui font mon propre vécu, on s’aperçoit rapidement qu’il n’en est rien… même si nous frôlons constamment les considérations de la physique quantique.

« Il y a de nombreuses demeures » clame tout simplement que la Vie est passionnante et fantastique. Il nous suggère de la débanaliser en nous faisant pénétrer dans quelques-uns de ces rouages les plus mystérieux ; ceux de ce qu’on appelle la mort, bien sûr, mais aussi, entre autres, ceux du rêve, ceux des mondes elfiques, puis archangéliques et enfin des Archétypes. D’y exposer également quelques méthodes de travail sur soi afin de développer la perception multidimensionnelle de notre être et donc de nous rapprocher de notre véritable nous-même. Au fil des pages, j’invite à prendre continuellement une sorte d’ascenseur entre les différents degrés de notre réalité … Le but est de faire reculer, voire de faire exploser nos barrières mentales. C’est la condition de base de tout espoir de retrouvailles avec Soi. Redécouvrir notre rapport avec l’univers, c’est nous redéfinir et, ultimement, être amené à réinventer les lois de celui-ci… jusqu’à la nature de sa matérialité.

MJC : Pouvez-vous nous parler plus précisément des différentes demeures de l’âme auxquelles vous faites allusion ? Vous avez évoqué celle de la mort, mais cette dimension n’a-t-elle pas déjà fait l’objet de nombreux livres ? En quoi votre témoignage est-il différent, ici ?

DM : Oui, lorsqu’on parle des demeures de l’âme, on pense tout de suite à la mort, et dans notre culture, on évoque aussitôt, comme par réflexe, les notions de paradis, de purgatoire et même d’enfer. On y est soit récompensé, soit mis en quarantaine… soit radicalement puni… Cela tourne autour d’une imagerie très dualiste, puérile et stéréotypée qui ne nous aide en rien à grandir, ni à comprendre le vrai sens de la vie.  Mon souhait était de montrer que ces univers ne sont pas des lieux générés par le Divin »quelque part » dans l’univers et dans lesquels « Il » nous place arbitrairement après notre mort, mais au contraire des espaces vibratoires que nous générons nous-mêmes par la nature de nos propres pensées et au sien desquels nous nous persuadons vivre. En réalité, les demeures de l’après-vie sont des hologrammes issus des micro-univers qui peuplent notre âme. On peut donc dire qu’il y en existe autant que d’êtres humains.

Les anecdotes que je cite m’amènent à insister sur le fait que tous les mondes dans lesquels nous vivons, ou vivrons, sont d’abord des espaces mentaux et émotionnels. Ce sont des bulles vibratoires destinées à exploser dès que nos horizons intérieurs reculeront. Tout cela nous incite forcément à explorer le concept d’illusion, la Maya. Mon témoignage vise beaucoup à nous faire prendre conscience de la nature profonde de la matière ainsi que de notre rapport inconscient avec elle. On s’imagine facilement que seule la matière de notre univers quotidien offre les aspects du tangible. C’est faux… Toutes les demeures que j’investigue, pas seulement celles de l’après-vie mais aussi, par exemple, celles des rêves ou du monde elfique, présentent les caractères du tangible. On a simplement affaire à un autre état de la matière, à une matière qui est la projection directe de ce que nous sommes intérieurement.

MJC : Vous venez de parler de la Maya, l’illusion. Pour vous, la Maya serait donc, paradoxalement, une réalité et non pas un concept philosophique ou métaphysique ?

DM : Elle est une évidence et non pas un concept… Les expériences dont je témoigne parlent d’ailleurs de notre monde quotidien comme d’une demeure parmi d’autres. celle-ci n’est que le fruit d’un hologramme collectif traduisant notre niveau de conscience moyen commun. Les Orientaux, familiers avec cette approche de la vie, l’appellent le Bhur Loka… Que tous ensemble nous commencions à penser la matière autrement et celle-ci modifiera aussitôt sa structure atomique et ses lois. Elle s’ajustera aux horizons de notre âme, elle en traduira les nouvelles perspectives…

Tous les phénomènes qu’on qualifie de miracles sont la résultante de l’infinie malléabilité de la matière. C’est avec cette malléabilité que jonglent quelques êtres réalisés. Leur niveau de conscience les a entraînés dans une autre relation avec le monde. Pour moi, il est clair qu’à l’état dit de veille, nous rêvons notre monde, de la même façon que nous rêvons durant notre sommeil ou encore que nous rêvons nos différentes demeures de l’au-delà… jusqu’à ce que nous ayons totalement dépassé la gigantesque sphère vibratoire de la Maya.

MJC : La Maya est donc l’obstacle absolu,  celui qui nous empêche de nous réaliser…

DM : On peut la voir de cette façon. Il serait cependant plus juste de la considérer aussi comme l’outil d’élévation le plus incroyable qui soit. Il faut s’user dans l’illusion des rêves pour finalement comprendre que ce sont des rêves et souhaiter ardemment l’Eveil, c’est à dire le retour à la Maison, derrière la multitude des demeures. C’est de l’errance à travers les différentes strates de l ’ego que jaillit l’impérieux besoin de retrouver le chemin de l’Origine.

MJC : Vous nous racontez avoir pénétré, une certaine nuit, dans ce qu’on appelle un sanctum. Vous avez donc découvert votre propre sanctum ou sanctuaire personnel, celui qui traduit l’architecture idéale de votre âme, le point de lumière réclamé par votre être pour se ressourcer. Pouvez-vous en dire plus ?

DM : Un sanctum est une sorte de refuge… ainsi qu’une plate-forme à partir de laquelle l’âme peut envisager s’élever davantage. La zone de conscience qu’il représente en dehors du corps est un outil de croissance. Le sanctum est la traduction fidèle de l’espace de notre cœur et des aspirations profondes de notre être. Il m’a semblé intéressant de d’indiquer de quelle façon chacun peut se tisser une telle demeure de ressourcement car, en vérité, sa réalisation et son atteinte en tant que « point d’ancrage céleste » ne sont pas réservées à quelques personnes dotées de capacités psychiques.

Chacun de nous peut aisément se bâtir son propre sanctum dans l’ »Invisible » ou devenir conscient de celui qui existe déjà. Nous devons réaliser le fait que nous sommes tous, sans le savoir, des architectes, des maçons, des charpentiers, des sculpteurs, des jardiniers-paysagistes… bref des créateurs. Construire lucidement, dans l’Invisible, une demeure ou un espace qui nous ressemblent c’est une belle façon de consolider une démarche intérieure. Pour certains, cela peut s’avérer plus facile que de méditer ou de prier. Prendre un bain de lumière dans son propre royaume est une bouffée d’air pur que toute âme peut s’offrir afin de mieux apprendre à retrouver la mémoire.

MJC : Comment pouvez-vous expliquer que les anciens Egyptiens, ceux du temps d’Akhenaton, par exemple, connaissaient déjà tout cela ?

DM : Vous savez, plus j’avance, plus je m’aperçois que nous n’avons pas inventé grand-chose malgré les millénaires qui ont passé. Les Anciens avaient une connaissance de l’esprit humain, des lois du cosmos et de la vie en général qui était infiniment plus profonde que nous ne le supposons. Nous ne faisons que redécouvrir au grand jour – et avec nos propres mots – la nature énergétique du corps et une multitude de réalités d’ordre vibratoire qui étaient jadis de l’ordre de l’évidence. Aujourd’hui, considérer l’existence d’autres demeures de vie à travers l’univers nous demande une ouverture d’esprit qui nous marginalise… C’est tout à fait surprenant car c’est comme si une large part de notre humanité avait passé des siècles à rétrécir son champ de vision au lieu de l’agrandir. Je suis d’ailleurs surpris que nous ayons fait tant de percées sur le plan technologique alors que, parallèlement, nos consciences ont manifestement très peu évolué. Viscéralement, émotivement et mentalement notre espèce est la même qu’il y a des milliers d’années. Elle s’est technicisée mais elle n’a pas maturé.

La sagesse et la connaissance sont présentes depuis l’aube des Temps… Je crois que notre époque se singularise seulement par le fait qu’elle les rend disponibles plus aisément au plus grand nombre. Nous n’avons rien gagné en qualité ni en profondeur mais, par contre, nous avons grandi en nombre.

MJC : Dans « Il y a de nombreuses demeures », vous nous dites que la méditation est une voie privilégiée pour visiter non seulement les demeures de notre âme, mais pour atteindre « la Maison du Père ». Vous évoquez aussi la puissance de la prière, sœur jumelle de la méditation, au cours d’un passage qui est certainement l’un des plus marquants de votre livre. Pourriez-vous commenter ?

DM : Aborder le thème de la prière dans le contexte des univers parallèles peut surprendre, néanmoins j’ai voulu aller dans cette direction car mon propre vécu me pousse à parler de la prière comme d’un outil de construction, pour édifier et parfaire la demeure que représente tout être humain. A mon sens, elle constitue un lien entre le Divin et nous, un lien qui entretient ce que j’appelle Souvenance, c’est à dire notre proximité, notre parenté avec la Source. En Occident, nous avons trop souvent l’habitude de concevoir la prière comme une récitation dont on ne se sert que lorsqu’on a quelque chose à demander au « Ciel ». Elle est abordée comme une supplique et est généralement vécue comme un monologue figé que l’on prononce plutôt machinalement.

L’anecdote que je relate à son propos en fait au contraire quelque chose de vivant et de dynamique qui l’apparente au dialogue. Je raconte en effet de quelle façon, quelque part dans l’Himalaya et dans un lâcher-prise total, une véritable ligne téléphonique s’est établie entre les sphères supérieures de mon être et ma réalité incarnée. Redécouvrir le vrai mécanisme ainsi que la fonction prière de la prière peut être une clé déterminante nous amenant à faire un bond en avant. La prière nous réintroduit dans le Sacré… et son aide redevient ainsi très concrète.

MJC : Pour la toute première fois, vous nous relatez une expérience unique, celle d’avoir approché le Portail des Archanges. Vous en rapportez les souvenirs inoubliables.. Pourquoi avez-vous eu accès à ce monde et ne pas en avoir parlé avant ce livre ?

DM : Tout d’abord, il faut préciser que je n’y ai pas eu accès, mais que j’ai connu la grâce d’approcher ce Portail. C’est très différent… Pour qu’elle raison ? Parce que je crois qu’en me permettant de soulever très légèrement un coin du voile, les Présences qui guident mes pas me donnaient ainsi l’opportunité de témoigner un peu plus de l’infinitude de Lumière à laquelle chacun de nous est convié. Pour avancer vers l’Esprit, notre âme a besoin de perspectives de Lumière de la même façon que notre corps réclame de l’oxygène et d’eau pour vivre. Il faut entrevoir ce qui est, ce qui nous attend, ce vers quoi  nous sommes aimantés pour trouver la force d’avancer. Il faut également prendre conscience par tous les moyens que notre forme de vie ou d’expression de la vie n’est qu’une parmi une multitude d’autres.

Notre espèce est extraordinairement égocentrique ; elle se sent être la mesure de tout de la même façon qu’elle se conçoit au sommet de la Création. C’est aberrant ! Tels que nous sommes, nous ne représentons guère plus que quelques acteurs à demi conscients dans le tournage d’une série télévisée qui se diffuse sur un seul des innombrables canaux de vie de l’univers. Non seulement il existe heureusement d’autres films, d’autres scénarios sur d’autres chaînes télévisées, mais il y a aussi d’autres récepteurs de télévision dotés d’autres qualités ou capacités que les nôtres ou que celles que nous pouvons imaginer. Si je n’ai pas parlé plus tôt de mon contact avec le monde archangélique, c’est parce que je craignais de caricaturer des moments qui avaient été particulièrement sacrés pour moi. J’ai fait le pas parce que je maîtrise peut-être un peu plus l’écriture qu’autrefois et parce que le sujet abordé m’y poussait fortement. Il faut savoir que ma méthode de travail n’a rien à voir ici avec le 61pXeLRdG-L._channeling et qu’il y aura toujours des choses, des éléments ou informations qui ne seront pas communicables à travers des mots.

L’expérience directe sera à jamais irremplaçable. C’est cela qui me rend sensible, par exemple, à la pensée gnostique ; grandir non pas en croyant simplement mais en éprouvant, en expérimentant, donc en connaissant du dedans. « Il y a de nombreuses demeures » nous invite à ce type d’approche. N’est-il pas écrit qu’il faut demander pour recevoir ? Bous sommes la porte d’entrée conduisant à ne infinité de demeures… Pourquoi ne pas alors utiliser nos vies à tout mettre en œuvre afin d’en obtenir les clés ? Si nous voulons nous libérer, je crois qu’il convient d’abord d’apprendre à distinguer la nature des barreaux de notre prison.

propos recueillis par M.J.Croteau -

 

Publié dans:AME, PENSEE, REVES |on 24 novembre, 2013 |1 Commentaire »

Les CINQ ETAPES de la Cocréation


Les CINQ ETAPES de la Cocréation dans AME ruines-204x300Les messages des Maîtres de Sagesse sont transmis pour nous permettre de nous impliquer davantage dans l’expression de notre pouvoir personnel. Il nous appartient de les passer à l’épreuve de notre quotidien. Ce que nous expérimentons par nous-mêmes fait de nous des « connaissants » car l’expérience libère et transforme notre potentiel spirituel. Analysons comment chacun de nous peut travailler à devenir cocréateur, c’est ç dire agir en totale osmose avec les plans divins. Parmi les très nombreuses pistes proposées par les Maîtres, voici les cinq étapes qui permettent d’entrer en cocréation avec la univers :

ETAPE 1 : Respecter les choix de l’âme.

L’outil dont nous disposons pour respecter les choix de l’âme est notre amour. En réalité, les guides nous voient comme des « cœurs aimants » au service de l’âme. Nous sommes donc l’écrin qu’elle a choisi pour que s’accomplisse la volonté du Créateur. De plus, sachant que notre âme respecte toujours les conditions de vie que nous lui offrons – des plus misérables aux plus sublimes – l’obéissance à l’âme est source de joie et de plénitude. Ce cœur aimant est donc fait pour exprimer la gratitude et la reconnaissance envers une âme respectueuses de ce qu’elle a décidé de vivre. Nous pourrions dire que l’âme respecte ses engagements, quel que soit le champ d’expériences que nous lui offrons. Nous sommes son sanctuaire au cœur de l’existence humaine, le lieu où chaque méditation et chaque prière nous aident à comprendre l’enseignement qu’elle veut nous engager à vivre. Ce « saint des saints » est le lieu de l’offrande véritable ; ce que nous devenons grâce aux expériences de la vie.

ETAPE 2 : Décider de notre futur

Nous sommes cocréateurs par les qualités de notre âme, par nos valeurs et non en luttant contre les démons du passé. Pour décider de notre futur, nous devons constamment revenir à la question centrale : « Qu’est-ce que je veux vraiment et qui donne du sens à ma vie ? » Notre cerveau fonctionnant principalement par images, désirer une vie différente demande de projeter un nouveau film dans notre rêve. Nous devons retrouver notre capacité à rêver, à oser nous voir et nous ressentir selon notre désir le plus ardent. Alors les images viennent et le cerveau dispose d’un nouveau modèle pour créer la réalité désirée. Très souvent, notre façon de penser est tellement conditionnée que nous n’osons même pas envisager la moindre démarche. C’est oublier un peu vite que les forces de la vie sont toujours en train de nous accompagner et que, si nous décidons de vivre le meilleur de nous-mêmes, nous leur permettons de cocréer un nouveau décor favorable à notre réalisation. L’âme est et devient ce qu’elle regarde, disait Plotin. Décider de notre vie, c’est offrir à l’âme la possibilité de libérer les images de beauté et harmonie liée au monde divin auquel elle est toujours reliée. Nous avons tous la capacité de saisir, puis d’interpréter les synchronicités de la vie qui ne répondent qu’à notre âme. La meilleure façon d’entrer dans le processus de cocréatrion est de rêver notre futur.

ETAPE 3 : Etre présent à soi

Our entrer dans la conscience de soi, nous devons cultiver la « présence à soi » qui, au fil du quotidien, nous permet d’augmenter l’intensité de notre rayonnement par lequel l’âme agit. Pour cela, portons notre attention sur trois acitons ismples :

1. Se regarder vivre ; tout changement s’amorce quand on est capable de s’observer dans le quotidien. Constater ce qui motive nos actions est indispensable pour démêler le vrai qui émane de l’âme, du faux qui nous fait agir par intérêts égotiques.

2. S’écouter penser : une manière simple de reprendre le contrôle est de « s’entendre penser ». A partir de quelles informations intérieures et extérieures pensons-nous ? Les pensées qui surgissent nous appartiennent-elles ?

3. Réagir : passer à une action différente de celle menée avant. Cela m’évoque le livre de Stéphane Hessel, « Indignez-vous ! » et que je ramènerais à l’échelle individuelle ; qu4est6ce que je devrais changer en moi et qui perdure, Qu’est-ce qui m’indiffère en moi et agace tant les autres ? Etc. Nous devons mener cette insurrection pacifique à partir de nos propres constats.

ETAPE 4 : Accepter d’être cocréateurs

La cocréation est l’énergie intelligente à laquelle nous consacrons notre désir, nos sens, notre corps, nos prières et notre motivation. Elle est uniquement une question d’énergie à mettre en mouvement, comme le compositeur fait jaillir les notes de la mélodie qui hante son esprit. Nous sommes des énergies intelligentes liées à la Source de la Création, c’est pourquoi nous sommes des cocréateurs. Rappelons-nous que, dans tout processus de changement ou de transformation, l’acceptation est la phase psychologique qui survient après avoir traversé toutes les autres, du déni à la dépression, en passant par le chantage et la colère. L’acceptation est donc cet instant de lucidité extrême qui nous fait accueillir l’intelligence en lieu et place de l’ego !

Accepter d’être des cocréateurs du futur est une phase du processus de croissance après nous être libérés du passé et avoir fait notre bilan personnel. Nous devons reconnaître que, globalement, nous avons fait déjà un certain travail et il est possible désormais de passer à une cocréation délibérée. Notre acceptation nous place alors au cœur de cette intelligence qui, seule, donne vie à nos idées, les concrétise et nous montre un savoir-être inné. Créer le futur se fait à travers une nouvelle façon de penser, peut-être même à travers une nouvelle technologie, tant que le cœur reste relié à la Source. Même si nous devons utiliser notre trop courte vie humaine, le futur dont il s’agit concerne les 2160 ans de l’ère du Verseau, pas seulement les quelques décennies à venir.

ETAPE 5 : Pratiquer !

Pour être efficaces, nous devons pratiquer ce que nous avons dans le cœur et que notre âme nous confie. Nous ne devons dépendre ni nous préoccuper de l’opinion d’autrui, mais agir selon notre ressenti. Pas question de se laisser enfermer par toutes formes d’illusions qui en appellent davantage à notre incompétence qu’à nos talents. L’efficacité au service de l’action positive garde toujours le mensonge à distance. Le cœur est alors livre et ce que l’âme nous inspire devient une stratégie à appliquer. Notre intelligence est l’outil d’adaptation à toutes les situations auxquelles nous aurons à faire face à l’intérieur (de nous) comme à l’extérieur. Devenir familier de l’intelligence  de l’âme demande de la pratique, nous fait grandement revoir nos manques et accepter nos qualités. N’en revient-on pas au célèbre adage socratique : Connais-toi toi-même ?

Laisser agir la magie de l’âme

Notre mission de cocréateurs est donc une mission de premier plan que nous ne pouvons remplir que dans l’amour de soi et de l’autre. Elle nous demande de poser dès à présent un regard nouveau sur la réalité de notre existence afin de laisser agir la magie de l’âme.

Si l’homme est à l’image du monde par son corps, il es t l’image de Dieu par son esprit et son âme, avec laquelle il peut donner naissance à un monde nouveau. Ce que Sainte Hildegarde de Bingen nous a transmis dans la formulation suivant : « O homme, tu as en toi le ciel et la terre, fais de ce monde un ciel sur la terre ».

- SOURCE : Par J.Claude Genel, Spécialiste de la démarche mystique, des états de conscience élargis et de la quête de sens. Jean-Claude Genel s’inscrit dans la lignée de ceux qui ont su trouver, au-delà des traditons et des dogmes, l’enseignement direct du guide intérieur. Il anime depuis 1985 des activités d’éveil aux valeurs de l’âme.  Contact : www.gproductions.fr

J.C Genel reçoit en canalisation des messages des Maîtres de la Fraternité de Shambhalla. http://universite-libre-des-valeurs.fr/  

Publié dans:AME, CO-CREATION |on 22 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Les occupations dans l’Au-delà

Les occupations dans l’Au-delà dans AME 1b

Les anciens dans l’Au-delà aident les nouveaux défunts en fonction de leur histoire : un ancien suicidé aidera un nouveau suicidé, un ancien alcoolique aidera un nouvel arrivant alcoolique etc.

L’objectif est d’atténuer le choc de la mort, surtout pour les matérialistes qui pensaient disparaître avec leur corps physique, atténuer leurs angoisses

Ils aident les terriens dans leurs actions de tous les jours, encore faut il y prêter attention:

Coïncidences, messages  qui semblent bizarres, ils inspirent également les artistes, ils communiquent avec la terre pour faire connaître la survivance aux matérialistes et nous instruire sur le passage dans l’au-delà

Attention, ce n’est pas parce que vous passez de l’autre coté que vous devenez un saint; vous arrivez tels que vous êtes partis de la terre.( Messages christiques)

Il faut donc suivre de la formation, des cours pour progresser entre les sous niveaux de chaque niveau d’évolution

Et bien entendu, il reste du temps pour les loisirs. Compte tenu des capacités illimitées du corps spirituel, c’est un délire de voyages, de concerts, d’approfondissements des connaissances terrestres qui nous intéressaient ici bas.

 Les âmes errantes

Tout ce que nous vous avons dit précédemment est plutôt positif, de nature à nous rassurer sur notre vie actuelle et notre vie future après la mort. Tout n’est pas rose dans les contacts avec l’au-delà ; Je voudrais aborder un point plus délicat : les âmes errantes

 Il y a des lieux hantés, dans la première conférence je vous ai parlé des sœurs Fox et des coups frappés dans leur maison.

Il y a des entités sympathiques qui hantent certains lieux. Un médium de Colmar a acheté une maison ancienne dans laquelle « vit » encore l’ancienne propriétaire. Elle apprécie l’odeur des confitures du médium, cela se passe bien, la cohabitation est paisible.

Dans une autre demeure ancienne, la propriétaire ne veut pas laisser la place : « c’est ma maison »…la maison ne se vend pas, ou l’acheteur a développé un cancer de la gorge ! ! !!

D’autres lieux chargés d’histoires avec un grand H ou un petit. Dans la maison des ancêtres de Laurence, à coté d’Arbois, construite sur un ancien château féodal, subsistent de vielles caves voûtées. Le propriétaire actuel nous a conté ses mésaventures et nous avons fait partir les soldats qui torturaient et les victimes qui souffraient sans fin depuis cette époque !

Dans un château où ma grand-mère a été exilée en 1915 dans la Nièvre, la châtelaine était toujours là, qui attendait.

Les champs de bataille de la guerre de 14/18 sont encore hantés. Une connaissance, qui collectionne les objets fabriqués dans les tranchées se promenait souvent avec son chien sur les champs de bataille en Meuse. Son chien refusait d’aller dans un endroit précis. Une fois qu’il se promenait sans le chien, il est allé dans la zone en question et s’est senti attiré par un trou : il y découvre un crâne et faute de mieux, ce jour là, il le ramène à la maison. C’est le début des ennuis sans fin : des chutes, des accidents, la vie devient impossible.

Il pense alors au crâne et le sachant allemand, va le donner à l’ossuaire du cimetière de la zone allemande. Les ennuis s’arrêtent : l’allemand voulait une sépulture correcte pour ses restes : c’est un peu l’aventure des sœurs FOX

 Je vous ai dit également tout à l’heure que la pensée était active de l’autre coté, il faut donc que je vous parle de l’influence de ce que l’on nous a inculqué dans les religions de notre jeunesse : les dogmes. Ceux qui sont persuadés qu’ils vont dormir pour attendre le jugement dernier, vont le faire réellement. Il faudra les réveiller, pour leur dire qu’ils ont autre chose à vivre, car le jugement dernier n’existe pas.

Certaines entités égarées ou négatives vont essayer de se trouver un nouveau corps, soit pour assouvir un besoin qu’elles ne peuvent plus assouvir sans corps : drogue, alcool par exemple. Soit parce qu’elles ont peur du « jugement », qu’elles ne veulent pas affronter, elles se sous-estiment ou leurs dogme leur a dit que suicide était puni ; elles se cachent dans un autre corps.

Il est indispensable maintenant parler du plus important : la disponibilité de l’esprit appelé. Un exemple d’une femme qui veut contacter sa mère décédée à l’âge de 28 ans, alors que ses filles (dont elle-même) n’avaient que 5 ans et 8 ans : impossible ! Un autre exemple d’un père voulant contacter son fils qui s’était suicidé : pas de réponse. !

 Le p-a-s-s-e-u-r d’âmes

1. Cette mère a du dire en mourant : je ne dois pas abandonner mes enfants à cet âge, je dois rester pour m’en occuper.  Elle est donc restée coincée dans un monde intermédiaire, un monde parallèle, un monde virtuel où elle a passé 60 ans sans rien voir.

2. Ce jeune qui s’est suicidé a du dire, « je vous tire ma révérence, je ne veux plus rien voir, ne plus rien entendre de vous ».  Il va donc passer la suite de sa vie dans un espace temps parallèle ou il ne verra rien et donc pas les personnes venues le chercher pour l’emmener.

On emploi l’expression : ils ne sont pas détachés (de la terre), ils ne sont pas dans la lumière.

 L’au-delà est un lieu où la pensée est active, créatrice

Krishna enseigne dans la Bhagavad-Gitâ que les pensées, les souvenirs de l’être à l’instant de quitter le corps déterminent sa future condition…de l’autre côté

Cet espace temps est le domaine d’action du p-a-s-s-e-u-r d’âmes. Il devra faire comprendre à cette dame que ses enfants sont grands, qu’ils sont grands-parents maintenant et qu’ils n’ont plus besoin de leur mère et qu’elle peut donc partir vers la lumière avec les gens qui sont là pour l’emmener ! Cela a pris près de 2 heures !

Il va également discuter avec ce jeune, pénétrer dans cet espace intermédiaire pour lui faire comprendre qu’il est mort et qu’il doit regarder autour de lui les personnes (décédées) qu’il connait et qui viennent le chercher. En faisant un effort, il va les voir et il quittera cet espace où il était bloqué.

Dans d’autres cas, la personne était trop attachée aux biens terrestres pour les quitter facilement. Il faudra expliquer !

La pensée que vous avez en mourant crée les conditions de votre vision de l’au-delà : C’est très important d’y prendre garde. Il est donc important de leur donner la « permission » de mourir. La permission de se détacher du matériel, de se détacher de la vie terrestre. Si l’on parle souvent d’acharnement thérapeutique, il faut aussi parler d’acharnement affectif. La personne mourante n’aspire qu’à être libérée, celle qui là à coté d’elle veut la retenir à toute force : n’est ce pas aussi de l’égoïsme ? Pour sa vie future, vous avez compris qu’il FAUT l’autoriser à partir. C’est une notion très importante pour l’accompagnement en fin de vie. Accepter de laisser partir, c’est d’autant plus facile si l’on est convaincu de sa survivance future.

 . Propos issus du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AME, ESPRITS, VIES ANTERIEURES |on 13 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Chanter, c’est jouir de l’existence

 Chanter, c'est jouir de l'existence dans AME images-31

Le chant n’est pas une activité anodine. Il exprime notre personnalité profonde qui reste cachée lorsque l’on parle.. Il est aussi affaire de philosophie, de langue, de sensualité… Rencontre plein chant avec un philosophe fan de rock.

Et si je chante faux ?

 Rien n’est plus irritant à entendre. Plus troublant aussi : comme s’il y avait une faille, une fêlure dans l’âme. Il est évidemment possible d’apprendre à se corriger par des techniques de rééducation. Celles-ci ne visent pas à « normaliser », mais à aider chacun à trouver sa voix, et donc sa voie.

On a longtemps chanté à tout propos : lever, coucher, labour, semailles, récolte, naissance, mariage, enterrement, etc. L’homme moderne ne se trouve-t-il pas en manque, contraint à l’écoute passive de chanteurs professionnels ?

 Cette histoire de « passé chantant » est un vieux fantasme où l’on retrouve Rousseau et sa modernité désenchantée : il y aurait eu une humanité innocente et chantante avant notre humanité malheureuse et non chantante. En réalité, c’est faux. Nous continuons à chanter, sous la douche ou en voiture, mais aussi en groupe : il n’y a jamais eu autant de chorales. 

Vous-même, chantez-vous ?

Comme beaucoup, je voulais avoir, adolescent, un groupe de rock. C’est resté à l’état de fantasme. Je chante toujours, mais en solitaire désormais. Et j’écoute ma femme…

Peut-on savoir ce que vous chantez et quel effet cela vous fait ?

Je chante essentiellement du rock, d’où la nécessité de m’isoler. Surtout du rock arty ou « indépendant », aux textes puissants. Nick Cave a été mon dieu (il l’est toujours). Que je les entende ou les chante, ses morceaux me bouleversent et me transportent, avec un sentiment extrême de libération. C’est comme si j’avais un autre corps, à côté duquel mon corps ordinaire ne ferait que vivoter. Je ne connais pas d’autre action qui mette le corps intégral dans cet état. 

Vous semblez très agacé par l’idée que le monde se serait « désenchanté » et qu’il faudrait donc le « réenchanter »…

Exact. Si j’ai eu envie d’écrire « Chanter », c’est en particulier par désir d’en finir avec cette nostalgie un peu aigre, ce regard négatif et dédaigneux vis-à-vis de la modernité et du temps présent. La vision d’une innocence première supposée m’exaspère. Elle confond l’origine des civilisations avec notre origine personnelle – cette éternité « magique » où l’on nous chantait des berceuses – et cela véhicule des idéologies rétrogrades. Par « désenchantement du mon­de », le sociologue Max Weber, au début du xxe siècle, entendait le recul du religieux. Il est vrai que le chant était lié au religieux et que celui-ci occupait l’essentiel de la vie sociale. L’humanité moderne faisant reculer l’emprise du sacré, un monde de chants et de cantiques a commencé à se dissoudre. Mais le chant n’a pas disparu pour autant. Porté par un autre contexte social, culturel, politique, artistique, l’enchantement s’est libéré des pesanteurs institutionnelles et ecclésiastiques. Tant mieux !

Cette histoire d’« humanité chantante » et d’« humanité non chantante » semble être un mythe répandu… 

Par Vincent Delecroix

Lire la suite ici… 

 

Publié dans:AME, HUMANITE |on 12 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

L’ incarnation

L’ incarnation  dans AME images-5

Chacun de nous est véritablement programmé pour ce qu’il aura à faire ou à subir dans sa vie terrestre. Le guide recherche les futurs parents, lorsque nous avons atteint un niveau suffisant, il nous fait participer au choix. Il y a parfois contact avec la future famille, le cas le plus connu est celui de Marie, mère de Jésus, avertie par un ange.

Il existe des cas plus récents. Dans une réunion spirite, une entité contacté en juin 1909 dit qu’elle a l’intention de se réincarner. En Octobre 1909 elle donne l’endroit où elle va se réincarner, dans quel village, dans quelle famille et précise qu’elle aura une cicatrice à la naissance de 2 cm sur le coté droit de la tête. Le 15 novembre, elle annonce qu’elle cessera de venir parler en séance. L’enfant est né en Janvier 1910 dans la bonne famille avec la cicatrice à l’endroit annoncé. Il existe bien d’autres exemples

  
En 1978, aux USA le Docteur Hélène Wambach a étudié ce passage de l’incarnation. Elle a fait régresser sous hypnose 750 volontaires qui ont raconté leur incarnation, avant pendant et après leur naissance. Elle a publié ses recherches : La vie avant la vie chez RAMSAY en 1979.

En résumé : 89 % des personnes disent que leur âme n’était pas liée au fœtus avant 6 mois de gestation, ils pouvaient quitter ou entrer dans le fœtus à leur guise. De plus 5% ne se sont sentis attachés au fœtus qu’après la naissance ; ils pouvaient le quitter pendant l’accouchement ou même après la naissance. Cette question étant assez contreversée, il est intéressant d’avoir des éléments statistiques

L’esprit s’incarne donc à proximité de la naissance. Un exemple personnel, une amie a entendu en rêve, son futur bébé lui dire, que ce n’était pas l’heure, qu’il reviendrait et elle a fait une fausse couche la semaine suivante! Une autre personne, future grand-mère dans un mois a rêvé que le bébé était déjà là, il est né un jour plus tard, en avance de un mois.

Le cycle des vies successives

En synthèse de ce qui vient d’être dit, voici quelques schémas explicatifs sur l’intégration de l’âme dans le corps physique et la création du corps spirituel ou périsprit et de leur séparation lors de la mort:   diaporama

 . Issu du site AU DELA DU MIROIR 

Publié dans:AME, REINCARNATION, VIES ANTERIEURES |on 8 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Les cages de l’âme

 

Sting par Catherine Nivez

Les cages de l'âme dans AME images-9Comment une star mondiale de la musique, acteur à ses heures et père de famille nombreuse (cinq enfants) est-il arrivé à une réflexion originale sur la vie et la mort, sur le système médiatique et ses travers ? Depuis de nombreuses années, Sting nous chante son idée de l’homme et de l’âme (par exemple dans “The Soul Cages”, Les prisons de l’âme, l’album dédié à son père, mort en 1987).Un jour, au cours d’une tournée mondiale, il avait livré à Nouvelles Clés sa réflexion sur le monde et sur l’homme, sa partition interne, ses satisfactions, ses craintes… Un entretien londonien et familial dans la maison qui fut celle de Yehudi Menuhin pendant vingt cinq ans, avant de devenir celle de Sting. Du maître a l’élève… sans maître.

Nouvelles Clés : Comment vivez-vous la célébrité ?

Sting : C’est un immense amplificateur. Elle amplifie les émotions des gens, positivement ou négativement ; les gens peuvent aimer ou complètement détester ce que tu fais et les deux sentiments sont toujours exagérés. Quand on est connu, on attire toujours beaucoup l’attention sur soi et sur son travail… Si je suis en colère contre quelqu’un dans ma vie privée par exemple, ça prend tout de suite des tournures d’affaire d’État : “Oh ! Sting est en colère contre moi, c’est atroce !” Si je suis gentil avec quelqu’un, c’est aussi très important ; tout est donc plus grand que la vie. Ce qui est primordial dans ces conditions, c’est de garder un regard objectif sur soi, de rester petit à l’intérieur et de comprendre que les gens projettent sans arrêt sur vous des sentiments démesurés. Personnellement, je m’épargne cette distorsion par une connaissance réelle des mécanismes en jeu. J’ai eu de la chance, je suis devenu célèbre sur le tard. J’avais déjà vingt-six ans, un travail, une famille, un crédit à la banque, j’étais un citoyen responsable. D’autres deviennent célèbres alors qu’ils sont encore des enfants et ils n’ont pas forcément la possibilité de se développer, de grandir. En fait, le star-system encourage non pas à grandir mais à rester un enfant toute sa vie. Cela peut être très préjudiciable du point de vue psychologique. Je détesterais être complètement pris en charge et prétendre que je suis plus jeune que mon âge pour faire mon travail.

N. C. : Vous avez souvent dit que vous n’étiez ni religieux ni mystique. Pourtant, à la lecture des paroles de vos chansons, on pourrait le penser.

Sting : Vous savez, j’ai toujours été très intéressé et passionné par la symbolique des choses, j’ai toujours été très intrigué par la puissance des symboles. Mon éducation est catholique et la symbolique de l’Église catholique est très forte, très très puissante : la mort, le sang, la culpabilité, la torture, l’enfer… C’est une excellente base, une source pour la création artistique. Certains des grands artistes mondiaux viennent de ce genre d’imagerie et l’utilisent, comme
Michel Ange ! Qui plus est, les catholiques romains sont minoritaires en Angleterre…

Additionnez tous ces symboles et vous avez quelque chose de très “culte” en Angleterre. Cela me fascine et ça se sent peut-être dans ma musique. C’est aussi la raison pour laquelle je m’intéresse tant à CarI Gustav Jung. Il m’a permis de mieux comprendre la force du symbolisme. Ce que j’ai, par exemple, essayé de faire dans le disque dédié à mon père, fut de mythifier sa mort de telle sorte que je puisse l’accepter. J’ai été très choqué, affectivement et professionnellement, par sa disparition. Notre société moderne n’a, je pense, pas beaucoup de mythes, nous ne nous occupons pas de questions importantes comme la mort. Les mythes des sociétés primitives ont par contre toujours aidé à comprendre la mort en la plaçant sur un piédestal ; j’ai essayé d’avoir la même démarche : placer la mort de mon père sur un grand écran, la rendre symbolique, héroïque et de cette façon, tenter de mieux la comprendre, de la percevoir objectivement. Partant de là, je ne sais pas si je suis religieux ou pas. Certains ont dit que je faisais de l’anti-christianisme, ce qui est un non-sens absolu. Certaines de mes chansons sont pro-chrétiennes, d’autres s’inscrivent plutôt dans la recherche de vieux symboles comme la mer, la rivière, dans leur continuité et leur pérennité. Ces symboles que les anciennes religions entretenaient n’existent plus dans les religions plus récentes comme le christianisme qui a décidé que Dieu n’était pas dans la nature. C’est un nouveau concept et je ne suis pas sûr qu’il soit très sain. Si Dieu existe en-dehors de toute existence naturelle, alors où est-il ? On pourrait alors détruire la terre et ne pas commettre de péché ? Je pense qu’on est là dans l’erreur profonde et que les anciennes religions étaient plus près de la vérité.

N. C. : Êtes-vous bouddhiste ?

Sting : Je ne sais pas ce que je suis au fond de moi. Je suis un musicien, un musicien dévoué… (rire).

N. C. : Vous êtes un musicien qui s’intéresse beaucoup à l’homme et à l’inconscient. Vous avez été en analyse pendant quelques temps. L’êtes-vous toujours, et qu ‘est-ce que cette expérience vous a apporté ?

Sting : J’ai effectivement fait une psychanalyse au début des années 80, mais depuis, j’ai décidé que je serai mon propre psychanalyste. D’abord parce qu’on économise beaucoup d’argent (rire), particulièrement à New York, où les analystes sont plus riches que les avocats… et en­ suite parce que je suis un sujet intéressant pour moi-même. Je crois que pour essayer de rendre le monde meilleur, il faut d’abord se changer soi, se rendre meilleur… C’est toujours mon projet : essayer de me rendre sain dans un monde qui ne l’est pas.

N. C. : À une époque, vous avez joué, à Broadway, dans “L’Opéra de Quat’Sous” de Bertolt Brecht. N’avez-vous jamais eu envie de vraiment jouer la comédie ? Une nouvelle expérience…

Sting : J’ai plus appris avec la pièce dont vous parlez qu’en faisant douze films ! Pour l’écran, vous jouez une scène de quinze secondes que vous refaites dix fois, puis un autre scène de dix secondes etc. Ensuite, le montage donne un sens à tout ça. Sur la scène d’un théâtre, vous pouvez jouer pendant vint minutes non-stop, le public vous regarde, vous devez être drôle ou non, vous faire comprendre du premier coup ; c’est une discipline plus grande, plus exigeante. Le cinéma peut être très ennuyeux, il faut toujours attendre, le théâtre n’a rien à voir avec ça : à 20h le rideau se lève et on joue, c’est beaucoup plus proche de mon travail musical sur scène… Vous savez, quand on se sent triste ou fatigué et que des milliers de personnes vous accueillent chaleureusement pour un concert, on se sent toujours beaucoup mieux et il n’est pas nécessaire de faire semblant. Personnellement, je pense qu’il est très difficile de mentir à quelqu’un avec qui tu parles ou pour qui tu joues. C’est totalement contradictoire de se montrer en public et de se cacher du public… C’est même impossible. Mais cela n’empêche qu’il faille, dans ce métier, savoir se protéger et mettre quelquefois un masque devant les caméras. S’exposer totalement aux médias peut te détruire complètement. C’est plus sain d’avoir un masque, ce qui veut dire aussi : distance, méfiance, froid ; mais au moins, cela te permet d’évoluer et de grandir sans top de problèmes, comme n’importe quel être humain. J’ai cinq enfants, un chien, un jolie maison, une femme merveilleuse et… j’ai beaucoup de chance. Pour être très honnête, je n’ai aucune raison de me cacher ou d’être malheureux et la façon dont je me présente sur scène est cet homme-là. Je suis beaucoup plus heureux avec moi-même que je ne l’ai jamais été. Je pense que je suis plus mature, j’ai compris et réalisé qui je suis, ce que je suis et je suis plutôt heureux comme ça.

Je dois dire que ma musique a toujours été une thérapie, depuis les toutes premières compositions. Elle me fait me sentir moins seul, me met en contact avec quelque chose. Oui, c’est une bonne thérapie. Si je médite, si je me concentre profondément, je peux ensuite écrire un chanson sur telle ou telle chose. C’est ma forme de méditation. Encore une fois, je ne suis pas religieux, ni mystique ; ou plutôt, la musique est ma forme de mysticisme, ma méditation.

N. C. : Dans les années 90, vous avez séjourné en Normandie, dans la chambre d’un hôtel où Marcel Proust avait vécu… Pour I’inspiration ?

Sting : En fait, j’ai écrit une chanson dans cette chambre : “AlI this Time”, une chanson sur une rivière. Au moment de mon passage en Normandie, quelqu’un m’a dit que Marcel Proust avait longtemps vécu dans cet hôtel. Ça m’a intéressé, j’y suis allé, j’ai regardé la chambre, la mer et j’ai eu envie d’écrire cette chanson, mais je n’invitais pas Proust à venir m’inspirer. Non… ou peut être que si, finalement, je ne sais pas, mais en tout cas, ce n’était pas conscient.

N. C. : Est-ce que vous aimeriez écrire des romans ?

Sting : J’ai commencé un peu, j’ai écrit quelques nouvelles (rire). Mais ce que je semble être capable de faire jusqu’à présent est l’opposé du roman : condenser les idées dans de petites chansons alors que l’écrivain développe une idées sur la longueur. J’aimerais vraiment écrire un jour, mais je le ferai sous un autre nom; je ne ferai pas un roman de Sting, ça me tuerait.

N. C. : Avant d’être le musicien que l’on connaît, vous étiez instituteur dans le nord de l’Angleterre. L’enseignement ne vous a jamais manqué ?

Sting : Je pense que dans un sens, j’enseigne toujours. Mais dans une classe d’école, enseigner n’existe pas, c’est apprendre qui est possible. Le professeur est seulement là pour encourager l’apprentissage. Les gens apprennent à travers le jeu, à travers la joie ; je suis toujours quelque part le même enseignant que j’étais, je cite toujours mes sources, qu’elles soient littéraires ou autres, je cite toujours les références qui ont pu m’inspirer pour que les gens puissent y aller à travers ma musique, pour que mon travail les renvoie sur autre chose et leur fasse peut-être découvrir autre chose. Cela dit, je ne tiens pas à l’étiquette d’enseignant.

N. C. : Quelle est la meilleure chose que votre père vous ait humainement enseigné ?

Sting : Mon père ? Eh bien il me donnait parfois des conseils très étranges comme : “Ne te marie jamais” ou “Va à la mer”.

Il me disait ça tout le temps, “Va à la mer !”

Mon histoire a voulu que le lendemain de mon premier mariage je rejoigne la marine ; je travaillais sur un bateau comme musicien. Mais en fait, je n’ai jamais suivi les conseils de mon père, jamais…

N. C. : Vous êtes aujourd’hui le père de cinq enfants… Pensez-vous qu’il soit difficile pour un enfant d’avoir des parents connus ?

Sting : Oui, certainement. En fait, ils gèrent deux sentiments. D’un côté ils sont très fiers de moi et de l’autre, il aimeraient quelquefois que je travaille dans une banque ou n’importe ou comme n’importe quel père. Ils souffrent un peu de la distorsion du succès. Si je vais les chercher à l’école et que leurs copains de classe me demandent des autographes, ils ne comprennent pas parce que, là, je suis simplement un papa qui vient chercher ses enfants. Mais en même temps, ils sont très fiers de moi. C’est donc un peu compliqué d’avoir des parents connus. Mon père aussi était très connu : il était le vendeur de lait à Newcastle, tout le monde le connaissait, mais pour moi c’est pire : mes gosses me voient à la télévision, c’est une tare héréditaire qui s’amplifie (rire) !

Cela dit, mes enfants sont conscients de leurs privilèges ; ils voyagent beaucoup, ont déjà vu une grande partie du monde, ont un sens géopolitique très développé, sont très éduqués. Mais posez-leur la question dans vingt ans.

N. C. : Vous parlez beaucoup de votre vie de famille, de vous, de vos enfants. Comment vous imaginez-vous l’avenir ?

Sting : L’un des grands avantages de la musique est qu’il y a toujours quelque chose à apprendre. Que tu t’appelles Paul Mc Cartney ou Ravel, tu n’en sais jamais assez. J’ai rencontré l’arrangeur Gil Evans dans les dernières années de sa vie, j’ai eu une relation très privilégiée avec lui, c’était comme si j’avais trouvé un nouveau père. Il avait soixante-seize ans et a toujours gardé son esprit grand ouvert. Voilà ce que j’aimerais être : un étudiant de la musique pour toujours. Je pense que ce serait un très grand privilège.

N. C. : Vous êtes également connu pour votre engagement dans les grandes causes humanitaires, comme les droits de l’homme avec Amnesty International, l’écologie et fa protection de l’Amazonie, ou encore votre soutien aux Kurdes. La musique peut-elle être politique ?

Sting : Attention ! Je ne suis pas un politicien, je n’ai pas de solution.

images-10 dans ESPRITSCe que je peux seulement faire, c’est rassembler un peu d’argent en faisant un concert pour payer de la nourriture ou du matériel aux personnes sinistrées. Mais le problème n’est pas là, le problème n’est pas de notre ressort, il est politique. Le danger avec la musique et les problèmes politiques, c’est que les gens ont l’impression que la musique peut régler et guérir ces problèmes. Un remède pop ! “Oh, Sting donne un concert ! Super !” On pense alors qu’il n’y a plus de problème ou qu’il ne se pose plus dans les mêmes termes. Vous vous souvenez de « Live aid” ? Une manifestation merveilleuse, très médiatisée, mais qui n’a aidé qu’un tout petit peu ; les gens ont toujours faim. Ce qui manque, c’est le changement de politique des gouvernements. Pour ma part, Je n’ai qu’un très petit pouvoir et je ne suis pas un expert. Si quelqu’un prend conscience d’un problème à travers une chanson, tant mieux ! Avec un peu de chance, cette prise de conscience pourra l’amener à lire les journaux, à se renseigner sur la politique. Mais ce genre de réaction n’est pas immédiate, c’est de la prise de conscience à long terme. Il serait totalement naïf de penser que le succès peut changer le monde, mais disons qu’en s’en servant on peut éventuellement faire évoluer les choses.

Site officiel :   www.sting.com

Publié dans:AME, ESPRITS, SOCIETE |on 1 octobre, 2013 |Pas de commentaires »

Les Droits de l’Ame

Les Droits de l’Ame dans AME images-21

Devenir patient, confiant ou humble, se montrer tolérant, persévérant ou courageux, c’est changer notre regard sur notre vie en modifiant notre manière de penser et d’appréhender le quotidien. Les valeurs donnent un sens à notre existence qu’elles transforment en profondeur. Grâce à elles, nous découvrons que nous sommes non pas des êtres humains venus vivre une expérience spirituelle mais des êtres spirituels venus vivre une expérience humaine. Elles nous ouvrent à la compréhension des lois qui régissent toute vie et nous sommes amenés à découvrir que l’âme a des droits et que nous devons les respecter en lui offrant de vivre ce qui lui convient.

En restaurant les « Droits de l’Ame » dans notre vie, nous nous replaçons dans la force qui fera de notre Terre un lieu de partage et de fraternité, digne et sage. Seul l’amour permettra cela. C’est ce à quoi nous vous invitons à réfléchir maintenant à travers le développement que nous vous proposons.

Les Droits de l’Ame

Fruit d’un regard différent porté sur l’humanité, la déclaration des Droits de l’Homme a été une étape fondamentale dans la reconnaissance de notre valeur personnelle, de notre véritable dignité. Chacun doit maintenant faire valoir ses droits en tant qu’être humain. Mais ce regard continue d’évoluer puisque, grâce aux valeurs vécues en conscience, l’Homme acquiert un état d’esprit qui lui permet de se reconnaître en tant qu’être spirituel. Alors, il se pose ces questions : A quoi mon âme a-t-elle droit en ce monde et pourquoi ? Comment respecter ses droits et dans quel but ?

Les Droits de l’Ame sont issus des valeurs dont nous avons esquissé les grandes lignes. En balisant notre chemin d’éveil, elles nous ouvrent à un autre niveau de compréhension, de conscience. Elles nous permettent de sentir la présence de notre  âme, de son intelligence créatrice, et de vivre cette certitude dans tout ce que nous pensons, disons et faisons. Elles sont autant d’ouvertures vers le monde divin, de chemins à emprunter pour nous aider à comprendre ce dont l’âme a besoin pour participer à la création et la parfaire. Car il s’agit de révéler un monde d’intelligence et d’amour au cœur même du monde matériel.

Notre qualité d’être

Les Droits de l’Ame nous informent des lois spirituelles (abondance, harmonie, ordre, etc.) et de notre vraie vie en nous renvoyant à l’être spirituel que nous sommes et à l’énergie qui l’anime. Conscients de leur existence et, par conséquent, du devoir qui nous incombe, nous sommes amenés à réfléchir, à philosopher en nous plaçant dans l’énergie infinie, éternelle de notre âme. Les Droits de l’Ame jaillissent alors de notre qualité d’être et nous permettent de vivre en parfaite compréhension de ce fil d’or spirituel que nous suivons depuis notre origine. Les Droits de l’Ame nous offrent la compréhension de la foi.

Vers l’harmonie

Les Droits de l’Ame nous permettent de transcender et de sacraliser la matière. Ils sont comme une porte symbolique que les valeurs nous aident progressivement à franchir au fil de l’existence. Les valeurs installent un nouvel équilibre et nous placent en harmonie tant dans la matière que dans le monde spirituel. L’âme qui s’est incarnée pour que ses droits soient reconnus et révélés grâce à l’expérience humaine profite de cet équilibre pour la transformer, la sublimer, lui donner du sens.

Cette transformation passe nécessairement par l’incarnation. Si, comme nous le pensons, l’âme a choisi l’enseignement qu’elle veut en retirer pour son propre cheminement, notre devoir n’est-il pas de faire de notre mieux pour le lui offrir ? N’est-ce pas son droit de le recevoir afin d’atteindre l’objectif qu’elle s’est fixé pour cette incarnation et poursuivre ainsi sa propre évolution ? 

Devenir oeuvrier

Le droit fondamental de l’âme, c’est d’être libre dans ce monde en perpétuelle transformation. Pour y parvenir, nous devons rencontrer et vivre toutes les valeurs qui, en nous permettant d’étudier et de ressentir les Droits de l’Ame, nous révèlent le monde divin.

En restaurant les Droits de l’Ame, nous nous replaçons dans la force de l’univers, dans l’intelligence divine et nous réactivons en nous les lois de la création. Les Droits de l’Ame sont, à notre échelle, le droit de Dieu de réunir sa création en une seule œuvre. Seul l’amour permet cela et fait de nous des œuvriers. 

La revue de l’U.L.V. www.universite-libre-des-valeurs.com

Publié dans:AME |on 13 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

La Naissance de l’âme

(1ère partie)

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L’âme est la personne, le « je » qui investit le corps et agit à travers lui. Sans âme, notre corps ne serait rien, comme ne serait rien une ampoule sans électricité, une automobile sans moteur, un ordinateur sans programme. En vérité, ce n’est pas seulement l’être humain, mais toute chose créée qui possède une « âme ». Les animaux ont une âme, tout comme les plantes et même les objets inanimés. Chaque brin d’herbe possède une âme, de même que chaque grain de sable. Ce n’est pas seulement la vie, mais également l’existence elle-même qui a besoin d’une âme pour la maintenir : une « étincelle de divinité » qui l’imprègne constamment de réalité et de sens. Nous allons donc vous raconter une histoire vieille de quelques milliards d’années, nous allons vous raconter l’âme…

la réincarnation (2ème partie suite de la naissance de l’âme)

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Tout le monde le sait, l’homme nait et meurt, on ne peut rien y faire et c’est ainsi pour toutes vies ici bas. Quoi, notre existence ne se résumerait qu’à ce bref passage sur cette belle planète ? Face à ce concept, il existe une autre option : le corps mort libèrerait l’âme qui l’habite dans le but de suivre son évolution et pourquoi pas, d’intégrer un autre corps. On peut définir la réincarnation comme la succession de vies accomplies par une même âme dans plusieurs corps dans le but d’accomplir sa mission qui est d’évoluer. Son parcours est un chemin où l’âme devra se parfaire et s’élever au travers de ses actions, de ses pensées. Tout ce processus nous permet de grandir spirituellement de façon à ne plus voir besoin de nous réincarner. La naissance de l’âme est accomplie, désormais il va lui falloir grandir grâce aux réincarnations.

 

Publié dans:AME, VIDEOS à voir |on 11 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’âme, voie de passage entre le corps et l’esprit


L’âme, voie de passage entre le corps et l’esprit dans AME de829300

Lorsqu’on dit que l’être humain est fait d’un corps et d’une âme, on oppose un principe matériel à un principe spirituel et on identifie donc l’âme à l’esprit. Mais l’âme n’est pas l’esprit ; bien qu’invisible, elle est une substance matérielle et périssable. Seul l’esprit en tant que principe divin en l’homme est immortel. Alors comment définir l’âme ?

Si nous considérons le système des 6 corps, l’âme correspond aux plans astral et mental. Elle apparaît ainsi comme un intermédiaire entre le plan physique et les plans causal, bouddhique et atmique qui représentent le monde de l’esprit. Elle est le véhicule qui transporte les éléments du ciel à la terre et de la terre au ciel. Les relations entre le monde d’en haut et le monde d’en bas passent par l’âme, et là encore c’est l’image de l’arbre qui peut le mieux nous éclairer.

Dans un arbre aussi on considère généralement trois parties : les racines, le tronc et les branches. L’alimentation de l’arbre est assurée par un système de vaisseaux conducteurs ; au centre du tronc se trouvent les vaisseaux qui transportent la sève brute des racines vers les feuilles où elle sera élaborée, et à la périphérie se trouvent ceux qui renvoient la sève élaborée vers les racines. Ce sont donc deux courants, l’un ascendant, l’autre descendant, et ils ne se rencontrent pas. Ces deux courants sont comparables aux circulations artérielle et veineuse dans le corps humain. Eux non plus ne se rencontrent pas ; s’ils se rencontraient, il s’ensuivrait des troubles graves appelés « maladie bleue ».

De la même façon, l’âme est cette région intermédiaire que traversent les courants qui vont du ciel à la terre t de la terre au ciel. C’est l’échelle de Jacob que mentionne Moïse dans la Genèse. Cette échelle lumineuse, que Jacob vit en songe et le long de laquelle des anges montaient et descendaient, représente les circulations veineuse et artérielle dans l’univers, et c’est cela l’âme. Cette échelle est également présent en l’homme ; ce sont les deux courants du sentiment et de la pensée qui traversent les plans astral et mental et qui eux non plus n’empruntent pas les mêmes voies.

L’esprit n’a aucune prise directe sur la matière, pour l’atteindre t travailler sur elle il a besoin d’un intermédiaire : l’âme. L’âme est l’instrument dont l’esprit se sert pour agir dans le plan physique. A travers l’âme (la pensée et le sentiment) l’esprit modèle la matière, la façonne, l’organise. Tous les éléments qui font la richesse du corps physique, l’esprit ne peut les utiliser qu’à travers l’âme. Et c’est aussi à travers l’âme que le corps physique reçoit les éléments de l’esprit. L’âme possède ce double pouvoir de diluer la matière dense et de condenser les énergies subtiles ; ces deux opérations que les alchimistes appellent « solve » et « coagulaé, seule l’âme est capable de les réaliser.

Mais quelle que soit la manière dont on essaie de l’expliquer, il n’est pas tellement possible de faire comprendre ce qu’est l’âme, il faut la voir. Vous direz : « Mais comment ?…  Il est possible de voir l’âme ?… » Oui, puisqu’elle est matérielle ; d’une matière tellement ténue, subtile, qu’on la croit invisible, mais en réalité o peut la voir ; même si chez les êtres les plus évolués l’âme semble faite de pure lumière, en réalité elle est un corps. Et ce corps un jour se désagrégera, lui aussi. A plus ou moins long terme, toute matière est vouée à la disparition, ou plus exactement à la désagrégation afin d’être recomposée différemment. Quand on dit que l’homme possède une âme immortelle, en réalité c’est de son esprit que l’on parle, car la véritable essence de l’homme, son être véritable, cette quintessence divine, c’est son esprit. C’est dans son esprit qu’il est immortel et qu’il vivra éternellement.

L’âme possède la marque de fabrique de son créateur, et quelle est-elle ?

Une structure que l’on retrouve partout, d’un monde à l’autre, avec quelques ajustements ; la vision corps, âme, esprit. Pour exemple :

Prenez un œuf… Pourquoi l’œuf est-il un symbole tellement important dans la tradition initiatique ? Parce que par lui se transmet la vie, mais aussi parce qu’il correspond à un schéma universel. De l’extérieur vers l’intérieur, il y a la coquille ; puis le blanc, l’albumine ; et enfin le jaune qui contient le germe. Le jaune, au centre, correspond donc à l’esprit : le blanc, au milieu, à l’âme ; et la coquille, à la périphérie, au corps. C’est la même structure qu’on retrouve  dans la cellule. La cellule est la plus petite unité qui entre dans la constitution de tout organisme vivant, et elle aussi se divise en trois : la membrane, le cytoplasme et le noyau. Et quand la coquille d’un œuf se brise, que se passe-t-il ? Tout se déverse et la vie s’en va. Comme la coquille, le corps sert à protéger la vie, c’est à dire l’âme et l’esprit. Quand le corps « se brise », la vie s’en va, l’âme et l’esprit le quittent.

Alors qu’est-ce que l’âme ? Comme le blanc de l’œuf, l’âme transporte les éléments nutritifs nécessaires au maintien de la vie, mais la vie, elle, est dans l’esprit. Le germe ne se trouve pas dans le blanc, il se trouve dans le jaune, de la même manière, la vie, la vraie vie, se trouve dans l’esprit. C’est cette vie que l’âme soutient, alimente et fait circuler. Vous vous demandez comment j’ai su cela ? En regardant, tout simplement ; parce que c’est évident, parce que c’est la nature qui a tout étalé sous nos yeux. Dans la nature, comme en l’homme, se déroulent les mêmes processus. Donc, si on sait observer la nature, on reçoit des réponses aux questions les plus difficiles. Tous les problèmes alchimiques, astrologiques, magiques, théurgiques, vous pouvez les trouver résolus dans les phénomènes du plan physique. Il faut seulement apprendre à lire dans ce livre qu’est la nature ! 

Texte issu du livre « Et il me montra un fleuve d’eau de la vie » de Omraam Mikhaël Aïvanhov – page 71 – aux éditions Prosveta

Publié dans:AME, HUMANITE |on 9 septembre, 2013 |Pas de commentaires »

L’ÂME alimente l’Univers

L’ÂME alimente l'Univers dans AME aah-300x195

Nos âmes sont reliées aux corps dans lesquels nous vivons. Nous sommes à l’intérieur d’une machine que nous appelons le corps humain – la douleur est réelle, la joie est réelle, l’amour et la haine sont réels -. On dit qu’on n’emporte rien quand on meurt. Ce n’est pas exactement vrai. Chacun quitte la Terre avec des bagages. Toute la douleur que vous avez causée aux autres et à vous-même et toute la joie que vous avez créée pour vous et pour les autres, tout cela vous accompagne de l’autre coté. Votre âme n’a pas de prix et une énorme quantité d’énergie est dépensée pour vous, comme pour nous tous.

Une fois de l’autre coté, vous avez certaines options et des choix de vie pour votre prochaine incarnation : peut-être voulez-vous diriger un pays, être le général d’une armée, un professeur d’école, ou un concierge. Votre niveau de conscience détermine le nombre de vos choix possibles et leurs qualités. Vous pouvez aussi être quelqu’un qui n’a pas de soi, comme Mère Theresa ou bien retourner sur Terre pour aider un membre de la famille ou un ami. Après votre choix, vous serez placé dans des circonstances qui vous conduisent vers ces positions dans la vie. Ce que vous choisissez n’est jamais une garantie de succès ou de bonheur. 

Toutes les formes de vie sont des machines sophistiquées sans âme, cependant une âme est une âme, et une âme peut entrer dans n’importe quelle machine y compris des animaux familiers ou des insectes, pour toutes sortes de raisons, incluant l’amusement ou la punition. C’est la machine dans laquelle l’âme se trouve qui détermine ce que cette âme peut ou ne peut pas faire. Une vie inférieure à une vie humaine peut être une incarnation très ennuyeuse pour une âme.

Des étoiles et des planètes sont créées par milliards au fur et à mesure que nous parlons. C’est un processus qui n’a ni commencement ni fin. De nouvelles étoiles remplacent celles qui meurent, mais contrairement aux étoiles, les âmes vivent pour toujours.

Qui crée les âmes ? Un dieu ? Un comité d’êtres supérieurs ? Une machine à âmes ? Un scientifique fou ? Les âmes sont créées de la même façon que nous procréons sur la Terre, avec un amour immense. Sur Terre, il faut l’amour de deux personnes pour reproduire un corps, puis une âme y est insérée. La création d’une âme est l’œuvre d’un groupe d’âmes qui ont atteint un niveau élevé d’amour inconditionnel, et cette âme fait partie de leur communauté ou famille.

Les humains pourraient fabriquer une telle machine en clonant mais ils ne seront jamais capables de transférer l’âme d’un corps à un autre… sans l’assistance des extraterrestres. Si les extraterrestres autorisent les hommes à cloner un humain avec succès, une âme choisie par eux sera placée dans le corps. Ils utilisent depuis longtemps le clonage sur eux-mêmes et sur les humains qui travaillent pour eux.

Est-ce que les humains pourront un jour se cloner eux-mêmes pour allonger leurs vies ? Non, ce n’est pas permis ! Les humains sont placés dans des corps de bébé afin d’avoir un nouveau départ sans les distractions et les interférences des autres vies. Le suicide sans une bonne raison est inacceptable. 

L’âme a des capacités physiques au delà de ce que nous pouvons faire sur Terre. Votre âme est déjà allée sur les étoiles proches et les autres galaxies à moins que vous ne soyez « tout nouveau ». Mais les humains incarnés sur cette planète ne voyageront pas en dehors de ce système solaire tant qu’ils seront vivants, ou dans des corps humains. Ce n’est pas Hollywood, les voyages à la Star Trek ne sont pas prévus pour la Terre !

Les âmes de l’autre coté sont pure énergie et certaines émettent plus de lumière que d’autres, elles sont rayonnantes. Quand un Chrétien est en contact avec un Être rayonnant, il voit Jésus. Quand un bouddhiste voit un Être radiant, il voit Bouddha. Un musulman voit Allah, etc. même quand c’est le même Être.

L’âme ne peut pas être donnée ou prise. Votre âme vous appartient, vous êtes compagnons pour très longtemps. C’est une énergie, pas la sorte d’énergie qui nous est familière sur cette planète, mais de l’énergie tout de même. La seule différence est que certaines âmes en possèdent plus que d’autres.

Les âmes humaines et les milliards d’autres âmes qui peuplent cette galaxie, c’est l’énergie qui alimente l’Univers. Ce n’est pas ce que l’on ressent quand on est coincé ici dans le marasme quotidien, mais plus vous évoluez, plus la vue s’améliore. Une fois que l’âme a atteint un certain niveau, elle a le choix de sa réincarnation ; de plus, aux niveaux plus élevés, la vie devient agréable et sans stress, et n’a rien à voir avec ce que nous vivons ici sur Terre.

Les erreurs passées sont passées. La seule chose qui compte est ce que vous faites de cette vie-ci, ce qui détermine ce que vous ferez ensuite. Les âmes ne sont pas à vendre, vous ne pouvez même pas les donner. Nous sommes coincés avec pour très longtemps, pour les bons et les mauvais moments ; c’est comme un mariage ! Nos désirs les plus profonds ne peuvent pas être comblés par les autres. Les autres ne peuvent qu’en faciliter l’accomplissement.

Publié dans:AME |on 25 août, 2013 |Pas de commentaires »

Le même Dieu

 

Le même Dieu  dans AME 8Il est clair que le concept de Dieu sur lequel je médite n’a de limite ni dans le temps ni dans l’espace. Nous ne pouvons pas non plus borner l’Absolu à un simple processus d’évolution comme cela se fait encore, n’est ce pas? Dieu détient naturellement la liberté d’être tout ce qui peut s’imaginer et se situe au même instant au delà de toute imagination. L’Infini n’est pas que lumière ou énergie. S’il s’agit vraiment d’une conception infinie de la Vérité Absolue, Dieu peut également être une Entité Vivante multidimensionnelle, intemporelle et intellectuellement inconcevable. En tant que telle, Dieu possède une infinité de Formes et de Noms, non différents de Lui-même et qui correspondent à une qualité spécifique ou à un mouvement qui Lui est propre. Ainsi le mot « Adonaï », par exemple, définit en langue hébraïque, un Absolu qui est source de toute abondance, et le mot « Krishna » montre, dans l’ancienne langue sanscrite, le caractère résolument fascinant de la Divinité. Me suis tu?

L’âme ancestrale de tous les êtres vivants, en tant que parcelle divine, possède en partie les mêmes potentiels que Dieu et ne connaît donc aucune frontière de temps, de lieu, d’époque ou de culture. Pour illustrer cette idée, tu n’as qu’à visualiser une étoile filante qui traverserait la portion du ciel situé au dessus de l’Australie. Est-ce que cette étoile en deviendrait australienne pour autant? Bien sûr que non. De la même manière, vois tu, Dieu ne devient pas hindou, chrétien ou juif lorsque nous nous unissons à Lui dans un temple, dans une église ou dans une synagogue.

L’âme humaine n’est à aucun moment canadienne ou française même lorsqu’elle se trouve socialement conditionnée et qu’elle s’identifie artificiellement, pour quelques courtes années terrestres, à une nationalité particulière. Certains peuvent le penser, mais cela est une autre histoire. En saisissant la nature de l’âme, tu peux saisir la nature de Dieu car ces deux réalités participent de la même essence.

C’est pourquoi, mon cher ami, lorsque tu rencontres des mots qui définissent ce qu’il y a de plus sacré en nous, que ce soit « Krishna », « Christo », ou tout autre appellation de ce genre, ne soit pas tenté de refermer ton cœur, et ton livre par la même occasion… Avant d’associer le mot à une expérience vécue, prend le temps de regarder au fond de toi et vois si tu n’es pas tenté de retomber victime de vieux préjugés, ou tout au moins d’être influencé par toute une série de conditionnements sociaux. D’accord? Pourquoi donc te faudrait-il craindre des Noms Sacrés qui sont venus jusqu’à toi librement et spontanément, portés par des millénaires de sagesse universelle?

Oh, je n’ignore pas à quel point ces Noms ont pu être malmenés, jusqu’à être traînés dans la boue et quelquefois mêlés à toute sorte de circonstances. Je connais la mauvaise presse que les hommes ont pu leur donner. J’en conviens, il n’est pas toujours facile de détecter en Eux leur vérité première car Ils savent bien garder leur incroyable secret. Toutefois, Ils illuminent encore l’espace tout entier et l’amour dont ils sont gorgés, sous forme d’énergies sonores, représente sans doute le plus intriguant des mystères. Des millions de gens les ont murmurés, un jour ou l’autre, et les ont ainsi chargés de leurs bénédictions. C’est sans doute aussi pourquoi les Noms Divins semblent déborder de puissances spirituelles et d’effets curatifs insoupçonnés. Innombrables ceux et celles qui par Eux ont été soulagés, guéris, et qui le sont encore aujourd’hui.

Lorsqu’un son est émis, il met en mouvement des ondes invisibles qui ouvrent un canal entre nous et les formes subtiles qui correspondent à ce son. Cela t’explique sans doute pourquoi je tiens tant à appeler Dieu par Ses multiples Noms et pourquoi Ils apparaissent si fréquemment dans mon travail. Ils sont pour moi un passage vers la présence de l’Ange Suprême.

Je te remercie d’être touché par cette rencontre et de rester à l’écoute de toutes ces Harmonies Divines que nous connaissons déjà sur la planète Terre, ainsi que de toutes celles qu’il nous reste encore à découvrir.

Sincèrement,
Patrick Bernard : http://www.patrickbernard.com/fr/la-protection-divine

Publié dans:AME, ENERGIES |on 23 août, 2013 |Pas de commentaires »

un « regard sur l’âme »

 

un Lorsque l’on se regarde dans un miroir, celui-ci transmet notre beauté ou notre fatigue, mais jamais nous ne pourrons percevoir notre puissance spirituelle. Avec vous, dans une complicité harmonieuse, Jean-Claude Genel vous explique ce que son regard différent perçoit de vous. Il vous parle donc de vous, de votre évolution. Avec des explications simples, il transmet des images venant de vous-mêmes pour que vous puissiez, avec lucidité, déterminer votre tracé de vie sur ce long chemin terrestre.

Votre manière d’être au monde et de vous exprimer, sur le plan sentimental et psychologique, sera expliquée objectivement, un peu comme si Jean-Claude Genel se retrouvait enquêteur pour vous aider à exprimer ce que vous êtes venus réaliser sur ce plan visible. Votre âme, ce meilleur de vous-mêmes, vous donnera certains détails de ce travail alchimique que le quotidien organise à votre insu. Mais, par lui, le meilleur de vous-même ainsi dévoilé vous restituera votre place dans le spirituel de cette existence, voulu et choisi par vous.

Il est essentiel de comprendre votre véritable destin et quel trésor il représente en vous. Le Regard sur l’âme est donc une aide attendue par celles et ceux qui s’inscrivent déjà dans la compréhension spirituelle, afin de connaître le destin que leur âme doit leur permettre de rencontrer. Cette quête que vous menez sérieusement en vous-mêmes et par vous-mêmes, peut-être éclairée, comme “ balisée ” par ce que vous comprendrez à la suite de cet entretien, si vous avez la volonté, bien entendu, de travailler les qualités et les talents de l’être profond en vous.

Souvent au cours de cet entretien le guide apparaît pour délivrer le message que vous n’oublierez pas de travailler, afin que la confiance naisse en vous et ouvre en vous la porte de tous les possibles. Parfois s’offre l’opportunité suivante : votre propre âme se manifeste sous forme de message d’amour. Sa vérité ainsi formulée finit par vous donner la compréhension de votre évolution et le comportement juste à adopter. Les explications se réalisent seulement quand l’état d’esprit est bon. L’ambiance détermine la qualité de cette rencontre ; elle ne dépend que de l’état d’esprit que vous manifestez. 

Enfin, il faut savoir que, même si quelquefois cela se trouve abordé par le lien karmique, l’aspect matériel n’est pas l’objectif premier de cet entretien qui rend responsable l’être qui le sollicite. En vérité, il est toujours rappelé par Jean-Claude Genel que chacun est son seul maître et que le futur sera ce qu’il en fera, malgré ce qui pourra être dit. L’entretien enregistré est donc à travailler par vous afin de mieux vous réaliser.

 

Publié dans:AME |on 8 août, 2013 |Pas de commentaires »

Des âmes errantes que deviennent-elles ?

Les âmes errantes des morts

Des âmes errantes que deviennent-elles ? dans AME 1-300x300

A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.

Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 
Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 

Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

Article paru sur http://www.inrees.com/

incarnation et âmes

 

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incarnation et âmes dans AME 14

il semblerait que seules environ 2.140.000 âme soient de « Parcelles Divines » et seraient incarnées, les autres se trouvant entre deux incarnations.

La présence de ces Âmes d’origine Divine expliquerait ainsi très bien l’apparition de tous les prophètes, de certains enfants surdoués, des génies, et de tous les grands hommes de tous les temps… 

 Mais d’où viennent donc, et que sont toutes les autres Âmes ???? 

C’est une question qui m’a toujours perturbé. Il totalement illogique de voir l’humanité se développer ainsi de manière exponentielle, si l’on admet uniquement le principe de la réincarnation et si l’humanité a commencé par un couple (Adam et Eve), ou même par 4 millions d’Âmes selon la Kabbale… surtout si l’on pense que toutes les âmes ne se sont pas obligatoirement réincarnées, ce qui nous amène à des chiffres ahurissants… Voir également « refexions » 

Mes propres recherches, les réponses que j’ai reçues à ces questions, les chiffres transmis, les calculs, la logique et même la science semblent aller dans le sens d’une même réponse : 

Sauf exception, à chaque création d’une nouvelle vie, il y a création d’une nouvelle Âme, Âme qui ne pourra (peut-être) parvenir au « droit à la réincarnation » que si un très grand travail de développement et de « spiritualisation » est accompli (ce qui ne veut absolument pas dire « religiosité ») 

 Le point de vue de la science : 

Les toutes dernières recherches et calculs en bio-électronique permettent de démontrer que le spermatozoïde d’un homme jeune et en pleine santé provoque sur l’ovule (ayant un potentiel électrique de seulement 0,10 volts) une décharge électrique négative possédant un potentiel énorme de 480.000 volts environ (calculs vérifiés et revérifiés un grand nombre de fois). 

C’est ce potentiel énorme qui explique la neutralisation immédiate de l’ovule vis-à-vis de tous les autres spermatozoïdes (et pourtant ils sont des millions à se présenter en même temps !) 

D’après le déchiffrage d’un papyrus de la IIIème dynastie égyptienne, se référant au livre de THOT, dieu de la médecine des anté-dynastiques, Schwaller de Lubicz, égyptologues, nous indiquent la conception de la plus antique tradition sur le phénomène de la fécondation.
Selon cette tradition égyptienne, le premier spermatozoïde apporte le « Feu Céleste » chargé d’assurer la coagulation immédiate de l’ovule, devenant aussitôt impénétrable, de telle sorte que tout autre spermatozoïde se trouve subitement devant « un mur » infranchissable. 

C’est à cet instant précis que se fait la conception du nouvel organisme, du nouvel être, mais c’est aussi à cet instant précis qu’a lieu une véritable « cristallisation » de l’Énergie Universelle, créant une nouvelle « âme »… 

Le langage populaire parle bien de « l’étincelle de vie »… 

Cette « étincelle » aurait été constatée il y a plus de 10 ans en laboratoire par des généticiens russes (mais je n’ai pas la référence). 

Signalons qu’en France, les couples stériles voisinent actuellement les 20%. 

La plupart sont victimes de l’oligo-spermie, (trouble qui correspond à un rH2 trop élevé). De ce fait le potentiel électrique du spermatozoïde se trouve réduit à quelques volts (soit 10.000 fois plus bas), et « l’étincelle de vie » ne peut se produire, mais surtout l’ovule ne peut être engagé dans le phénomène de la génération d’une nouvelle vie, faute d’une décharge suffisamment puissante en volts pour être active (voir expériences de Miller). 

Ces révélations de la science coïncident parfaitement avec mes propres recherches et expériences personnelles, le travail que j’effectue depuis maintenant plus de deux ans de manière intensive, et les « réponses » que j’ai pu obtenir. 

Mais cette « explication » ne résout aucun problème et ne fait que créer de nouvelles interrogations. 

Une hypothèse : La pluralité dans l’unicité ? 
De même que les « âmes originelles » sont les parcelles « éparpillées » de la 3ème intelligence, chaque âme « nouvelle » créée par « l’étincelle de vie » lors de la conception d’un nouvel être, n’est qu’une parcelle des « Troupes » de l’Archange Gabriel, parcelle qui aura la lourde tâche de crééer sa propre énergie, et qui après son « aventure » terrestre, ira rejoindre une même et unique « âme globale ». 

Pour regagner sa place dans le « plérôme », l’Archange Gabriel doit multiplier ses forces… 

Cette hypothèse pourrait également apporter une explication « rationnelle » (si l’on peut dire !) au regroupement des âmes auquel on assiste en ce moment.

Source : http://www.ateliersante.ch/entites4_theories.htm

Publié dans:AME, VIES ANTERIEURES |on 18 mai, 2013 |Pas de commentaires »

Les âmes errantes

 Les âmes errantes dans AME 7-218x300

A chaque catastrophe entraînant de nombreuses victimes, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme au Japon après le séisme et l’accident nucléaire de Fukushima où la région serait, d’après de nombreux témoins, hantée par les défunts. Rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? Décryptage avec la journaliste et médium, Patricia Darré.

« Et les esprits des morts, que vont-ils devenir ? » Un an après la catastrophe de Fukushima, nombreuses sont les victimes dont le corps n’a été ni réclamé, ni retrouvé. Dans toute la région du Tohoku, les habitants s’inquiètent. Selon leurs croyances bouddhiques, les morts ne peuvent trouver le repos si des rites appropriés n’ont pas été respectés. Dans toute la zone sinistrée du nord-est japonais, les esprits errants des défunts, en quête de sépulture, hanteraient encore les lieux où ils périrent.
Au pays du soleil levant, beaucoup d’histoires de revenants alimentent actuellement les conversations. Certains disent avoir senti une « présence ». D’autres racontent avoir vu des entités, parfois même les avoir entendues parler. 
Chaque fois qu’une terrible catastrophe survient quelque part, des histoires d’âmes errantes refont étrangement surface. Comme après le tsunami de décembre 2004 en Thaïlande et au Sri Lanka. Alors : rumeurs ? Affabulations ? Hallucinations ? Ou réalité ? 
Dans un livre qui l’a rendue célèbre (Un Souffle vers l’éternité, Michel Lafon), Patricia Darré, journaliste à France Bleue Berry, affirme être capable de communiquer avec les esprits. Pour l’Inrees, elle décrypte ces phénomènes et tente de nous éclairer sur ces témoignages.

Selon vous, que faut-il entendre par « âme errante » ?
Ce sont des âmes perdues, angoissées. Des défunts restés bloqués dans le monde des vivants. A cela, il y a plusieurs raisons : cela peut être soit parce qu’ils n’ont pas encore réglé un problème dans notre monde ; soit parce qu’ils sont trop attachés à la matière, ne croient pas en l’au-delà, et par conséquent, ne savent ni où ils sont, ni comment sortir de cet entre-deux ; soit parce qu’ils ne comprennent pas qu’ils sont morts ni ce qui s’est passé. C’est le cas des personnes décédées avec beaucoup de violence et de brutalité : dans un attentat, une catastrophe naturelle, un accident… Comme les milliers de victimes de Fukushima, du tsunami de 2004 mais aussi celles du 11 septembre 2001. Quand je me suis un jour rendue à Ground Zero, il y avait tellement d’âmes errantes qui venaient me voir pour comprendre ce qui leur était arrivé que je ne savais plus où donner de la tête. A tel point que j’ai dû fuir ! 

Selon les croyances japonaises, ces esprits errent dans l’attente d’une sépulture. Pourquoi cela semble-t-il si important pour les défunts ?
Pour moi, la sépulture n’est pas la véritable raison de cette errance. Mais il est vrai que si le défunt vient d’une civilisation où la culture d’une sépulture est importante, comme c’est le cas au Japon, cela va le tourmenter, et l’obséder. Je me souviens être entrée en contact avec un guerrier celte dont le squelette fut découvert dans un aqueduc. Il me demandait une sépulture car pour lui, ce rituel était indispensable pour pouvoir sereinement rejoindre la lumière. 

Que faudrait-il faire pour libérer ces âmes errantes ?
Elles ont besoin d’être guidées par ceux qu’on appelle des médiums, des intermédiaires ou des passeurs d’âmes, qui vont les aider à comprendre ce qui leur est arrivé, et à passer de l’autre côté. Certains esprits peuvent attendre de l’aide et continuer d’errer durant des siècles… Ils sont comme des badauds perdus qui, en pleine nuit, demandent leur route. Chaque fois qu’on leur indique le chemin à suivre, leur soulagement est immédiat.

Magazine INREES

Publié dans:AME, ESPRITS, La MORT |on 24 avril, 2013 |Pas de commentaires »

Les 10 secrets

Les secrets du succès et de la paix intérieure

 

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Avoir un esprit ouvert à tout et attaché à rien. Croire que tout est possible si on a suffisamment de volonté. Renoncer totalement à ce à quoi on est attaché (lieu, objet, personne). Accueillir ce que nous offre l’Univers sans juger.

Jouer sa propre musique intérieure. Écouter son coeur. Prendre des risques pour sa passion. Savoir que l’échec n’est qu’une illusion et qu’il ne faut pas en avoir peur.

Vous ne pouvez pas donner ce que vous ne possédez pas. Changer ce que nous n’aimons pas en nous. S’aimer soi-même et se respecter. Trouver son but.

Adopter le silence. Découvrir la valeur du silence. Intégrer plus de silence dans sa vie. Prendre consciemment contact avec Dieu.

Renoncer à son histoire personnelle. Décrocher du passé. Vivre l’instant présent et acceptez la réalité telle qu’elle est.

Il est impossible de résoudre un problème avec le même esprit qui l’a créé. Accepter le monde tel qu’il est. Savoir qu’il existe un lien entre chaque individu, que nous sommes tous liés.

Il n’y a pas de ressentiment justifié. Accepter l’opinion des autres même si elle est différente de la nôtre. Pardonner quand c’est nécessaire de pardonner.

Traitez-vous comme la personne que vous aimeriez être. Faire partout place à l’inspiration.

Chérissez le divin en vous. Vous êtes Dieu créateur de votre vie et du monde dans lequel vous vivez.

Être positif et penser positivement.

Source : Dr. Wayne Dyer

Publié dans:AME, PENSEE |on 28 février, 2013 |Pas de commentaires »
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