Archive pour la catégorie 'AME'

Sept perceptions de l’âme à reconnaître

 

La capacité de ressentir les perceptions de votre âme augmentera au fur et à mesure que vous l’exercerez, mais elle exige au début beaucoup de confiance en des sensations auxquelles vous n’accordiez auparavant aucune attention et que vous n’avez donc pratiquement pas développées. Nous aimerions souligner ici certaines de ces sensations afin que vous puissiez les reconnaître. Nous vous incitons à les noter quand vous les éprouverez, quel que soit votre présent niveau de développement. Certains d’entre vous y sont peut-être déjà entraînés, tandis que d’autres sont simplement sur le point de leur faire confiance ou ne font que commencer à les remarquer. Lorsque vous éprouverez les sensations qui suivent, reconnaissez-les et, si vous le pouvez, abandonnez-vous à elles pour voir où elles mènent. C’est peut-être votre âme qui vous parle à travers elles. Bien sûr, vous penserez peut-être que vous êtes en train de devenir fous, mais vous saurez néanmoins que vous êtes sains d’esprit.

perception de l'âme

  1. Toute anomalie visuelle, telle qu’une vision empreinte de couleurs ou de taches, de la luminosité autour des gens ou des objets, des formes apparaissant dans votre champ visuel, ainsi qu’une vision embrouillée ou en tunnel. Ce sont peut-être là des signes de perception d’une autre dimension ou l’indice d’une voie ou d’un sujet à poursuivre.
  2. Des sons inhabituels. Des tintements ou des voix dans votre tête, particulièrement des messages soudains et inattendus qui semblent illogiques et aléatoires. Ces sons survenant dans vos oreilles sont peut-être un moyen d’attirer votre attention. Tenez-en compte quand ils se produisent et tenez compte également de tout message particulier qui semble complètement hors de propos. Votre âme et vos guides choisissent précisément le moment où leur message peut se distinguer de l’activité habituelle de votre cerveau.
  3. Une sensation d’euphorie qui vous place inexplicablement dans un certain état ou dans une certaine situation. Il ne s’agit pas d’une sensation de lourdeur, mais de liberté et de légèreté. S’il y a une impression de lourdeur, ne vous y abandonnez pas, mais si c’est un état euphorique, allez-y.
  4. Une vision ou une image mentale répétitive de certaines personnes ou de certaines situations. Suivez cette vision pour voir à quoi elle conduit. Souvent, les images répétitives possèdent une signification spéciale pour vous ou ont pour but de vous dire quelque chose d’important.
  5. Une sensation désagréable à l’abdomen. Il peut s’agir d’un avertissement quant à l’interférence d’une énergie inférieure, et d’un appel à la protection mentale et spirituelle. Les nausées, les maux de tête et autres sensations physiques inexpliquées que vous éprouverez dans un certain lieu ou dans l’entourage de certaines personnes peuvent constituer des avertissements quant à l’intrusion de vibrations négatives ou à une surcharge de vos circuits et à la nécessité de vous éloigner.
  6. Des influx d’énergie dans le corps, souvent aux mains ou au sommet de la tête, sont l’indice d’une connexion à une source de lumière. Notez alors ce à quoi vous pensez à ce moment-là, ce que vous faites ou ce à quoi vous êtes associés. Cela signifie toujours que vous êtes connectés à une fréquence vibratoire particulière.
  7. Des intuitions concernant des gens, des lieux ou des événements. Faites confiance à l’étrange et à l’inconnaissable. Au moins, écoutez et observez. Vous n’aidez aucunement votre âme si vous ne prêtez pas attention à ce qui vous paraît inconnaissable.

Nous vous assurons que si vous prêtez attention à ces perceptions inhabituelles, vous encouragez votre âme à communiquer à un autre niveau. Ces sensations augmenteront alors et deviendront un guide précieux pour avancer. Plus vous serez conscients de votre âme et de sa connexion à diverses fréquences vibratoires, plus vous serez en mesure de créer avec pouvoir et intention. Quand votre âme vous dirigera, vous serez dans le flux du transfert de lumière. C’est dans ce flux énergétique que votre créativité peut s’épanouir. Quand votre âme sera aux commandes, vous pourrez créer sans les limites préconçues qui vous bloquent présentement la route.

Si vous suivez les sensations décrites plus haut, vous serez en bonne voie de confier la direction à votre âme. Vous pourrez alors traverser tous les blocages au niveau personnel et au niveau global. Lorsque vous imaginerez la disparition des frontières entre vous et les objets se trouvant dans l’espace-temps, votre âme sera libre de créer quelque chose de nouveau. Imaginez votre vie présente sans tous les obstacles que vous lui avez donnés. Qu’est-ce que vous créeriez? Avant de pouvoir créer quoi que ce soit de nouveau, vous devez d’abord être capables d’imaginer et de ressentir la nouvelle réalité. De plus, vous devez faire confiance aux sensations qui vous conduisent à vous fondre davantage avec ce que vous êtes. Rien n’a jamais été créé sans avoir d’abord été imaginé et éprouvé. Accordez-vous la liberté d’une aventure de découverte animique que vous n’avez jamais crue possible auparavant. Transcendez vos peurs, vos insécurités et vos doutes, et suivez les signes que votre âme vous fournit. Utilisez dès maintenant votre nouvelle connexion et vos perceptions extrasensorielles pour créer une nouvelle vision, celle dirigée par votre âme.

Sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/ Extraits du livre « Les clés de l’évolution de l’âme », de JILL MARA p. 133 à 150 Ariane Edition, 2010

Publié dans:AME, ENERGIES, ESPRITS |on 27 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

Les âmes expérimentées

 

jugementbLes âmes expérimentées vont entrer plus rapidement dans cette nouvelle énergie. Vous êtes peut-être l’une de ces âmes ayant mérité et acquis de la sagesse sur cette planète, et vous commencez à changer. Les Êtres Humains qui font partie de votre environnement vont le voir dans vos actions et attitudes. Il y aura peut-être un changement dans votre nature humaine. Ils diront :  » Tu as quelque chose que j’aimerais avoir !  » Que leur répondrez-vous ?

Vous n’aurez jamais besoin de leur donner un livre de Kryeon ! Vous n’aurez jamais à dire un mot au sujet de votre système de croyance, car ils regarderont vos actions et paroles avec les Êtres Humains. Ils verront votre amour inconditionnel envers des personnes qui sont apparemment peu aimables. Ils verront que vous vous souciez des personnes auxquelles vous n’aviez pas porté attention auparavant.

La nature humaine est de plus en plus bienveillante. Vous commencez peut-être à le constater, dans des secteurs où vous n’auriez jamais pensé voir une telle attitude. Les attitudes des politiciens vont commencer à changer. La façon dont vous faites des affaires commence à changer. Les relations personnelles deviennent plus paisibles et moins acerbes. Oh, chers Êtres Humains, il y en aura toujours qui sont déséquilibrés ! Il y aura toujours des choses que vous ne pouvez pas contrôler. Il y aura toujours le libre choix humain, et les prisons. Il y aura ceux qui s’incarnent sur la planète pour la première fois, et qui n’ont pas la moindre idée du fonctionnement des choses de la vie, sur Terre, et qui « semblent » toujours agir d’une manière inappropriée. Vous l’avez fait, lors de vos premières incarnations. Je parle d’un changement global de conscience qui se fera lentement. Cependant, les âmes expérimentées seront les premières à le constater, et ce sont elles qui vont finalement réaliser ce grand changement.

Il y a un lignage dans la salle. Il ne s’agit pas seulement de l’une de vos nombreuses vies mais plutôt de la sagesse qui vous amène à être ici ou en train de lire ces lignes. Les questions que vous posez au sujet de la conscience sociale et de la Terre sont empreintes de sagesse. Vous dites :  » Quand allons-nous tirer les leçons ?  » Eh bien, c’est commencé, mais vous devez voir les problèmes, avant de poser cette question, non ? Il y a une énorme masse de sagesse, assise ici – dans cette salle. La ressentez-vous ?

Donc, chers Êtres Humains, vous avez la possibilité de commencer à revenir à une énergie que vous pensiez avoir perdue. Une énergie où les êtres humains peuvent s’autoriser à vivre plus longtemps, sans détruire l’environnement. En outre, vous ne souffrirez pas de surpopulation, car vous serez en mesure de la gérer intelligemment et avec sagesse, au lieu d’adopter des lois désuètes et irrationnelles.

Un beau jour, vous rencontrerez des semences d’étoiles… Vos soeurs et frères de la famille des Pléiades. En fait, cette famille est ici – en ce moment – puisqu’elle est dans le domaine quantique. Vous avez des ancêtres Pléiadiens qui vivent très longtemps – dans une planète [in a planet] – car ils ont franchi l’étape qui est actuellement devant vous. Ils ont développé le facteur quantique. Ils ont également développé la bienveillance et l’énergie quantique. Voilà pourquoi ils peuvent venir ici instantanément, sans jamais déranger ou faire de l’ingérence dans votre libre choix. C’est aussi la raison pour laquelle ils n’atterrissent pas sur votre planète, afin de vous dire :  » Allô !  » Au lieu de cela, ils s’assoient en coulisse et célèbrent ce que vous avez accompli. Ils attendent, avec vous, pour célébrer le solstice de décembre 2012… Le point situé à mi chemin de ce changement de 36 ans dans lequel vous êtes engagés.

Avant de terminer, chers Êtres Humains, nous allons à nouveau vous dire que c’est un processus lent. Nous l’avons vu auparavant. Il arrive à travers les générations, à travers les enfants des enfants des enfants. Ce n’est pas quelque chose que vous allez voir aussi rapidement que la lumière d’une ampoule de flash. Il peut y avoir certaines choses qui vont faire marche arrière pendant un moment, avant de repartir vers l’avant. Toutefois, si vous regardez ensemble, ce sera comme la basse vitesse d’un navire dont le gouvernail est tenu par la sagesse. Ce navire se dirige lentement, mais sûrement, vers un temps où la haine sera une chose peu habituelle. Elle ne pourra plus se draper dans la culture ou la religion. C’est parce que l’énergie quantique est bienveillante, et les humains commencent à le voir.

Et voilà ! C’est la vérité de ce jour. C’est l’énergie de cette journée. Ce sont les potentiels que je vois, en ce moment, et c’est pourquoi nous vous apportons ce message. En partant d’ici ou en terminant cette lecture, vous aurez changé un peu. Vous en connaîtrez un peu plus, au sujet de qui vous êtes, de ce que vous avez accompli, et de ce qui est devant vous.

Je suis Kryeon, un amant de l’humanité. Et c’est ainsi.

Extraits de LES SEPT GRANDES ILLUSIONS HUMAINES DE DIEU sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME, ENERGIES, MAITRISE |on 14 décembre, 2015 |Pas de commentaires »

L’économie « primitive » de l’âme

Economie de l'âme

Tout ici s’articule autour de la pérennité du groupe considéré comme un tout vivant en perpétuel devenir : on devine que chaque membre est dépositaire, transitoirement, d’une partie de la richesse d’un groupe. Et un aspect essentiel de cette richesse est le pouvoir de vie qui anime l’ensemble des individus.

Quelles que soient les croyances professées sur la constitution de l’homme, on retrouve un élément quasi constant : l’enfant qui naît reçoit en partage un peu de la substance-de-vie qui est la propriété du tout, et il la restituera au « pot commun » lors de son décès. Générale­ment cette énergie vitale sera recyclée assez vite, éventuellement après s’être introduite dans quelque forme vivante — plante ou animal — ou être restée en suspens dans certains lieux… en attendant le passage d’une femme appelée à devenir mère.

Dans de nombreux cas, le transfert de cette énergie se fait traditionnelle­ment dans la même lignée familiale, de l’aïeul au petit-fils. Cette croyance est très répandue et, en de nombreux points du globe (pratiquement sur tous les continents en dehors de l’Europe [3]) les ancêtres « revivent » dans leurs descendants qui portent leurs noms à intervalles répétés.

La collation du nom est une opération importante dans la vie organique du groupe : il convient de préciser quel antécédent est venu dans un nouveau-né, ré-actualiser le personnage qu’il fut — et qu’il continue souvent d’être dans le monde des défunts où il occupe sa place légitime. Il arrive que la future mère soit visitée en rêve par un aïeul qui lui annonce son retour, ou la prie de le porter dans son sein. En cas d’in­certitude, l’examen du bébé à la naissance peut lever les doutes si l’enfant porte sur le corps des marques correspondant à celles d’un ancêtre connu (cicatrices de blessures, malformations, etc.). En tout état de cause, le devin, celui-qui-sait-lire-les-signes, sera consulté : l’enfant nouveau-né ne sera vraiment individualisé et reconnu comme membre du groupe que lorsqu’il aura reçu son nom.

Le nom résume l’essence et la puissance d’un être. Porter le nom d’un ancêtre permet d’accéder au monde des vivants, mais encore faut-il apprendre les promesses et les devoirs que comporte ce privilège : l’ini­tiation permettra (entre autres) d’en prendre pleine conscience.

Lorsque survient la mort, il convient que l’« âme-animante » du défunt soit convenablement restituée au groupe vivant : il faut alors procéder aux rites, souvent fort complexes, assurant, dans les bonnes règles, la métamorphose du défunt en ancêtre occupant une place assignée dans l’économie du groupe. C’est encore une initiation — parfois périlleuse pour le défunt — servant à franchir tous les obstacles avant d’atteindre la sécurité du nouvel état — on devrait peut-être dire de la nouvelle fonc­tion d’homme décédé.

La solidarité permanente entre membres du groupe exige la participa­tion active des vivants sous forme de rites et de sacrifices, pour seconder le mort dans ses mutations : par un juste retour des choses, ce dernier n’inquiétera pas les vivants par des manifestations indésirables (appari­tions effrayantes, possessions…) et, au contraire, contribuera à la protection de la tribu. Au fil des années se maintiendra le contact entre tous les participants du groupe (vivants et défunts) à l’occasion de fêtes et de cérémonies particulières.

Le tableau que nous venons de tracer — d’une manière un peu trop schématique, sans doute — nous invite à nous poser de nouvelles questions sur ce qu’on appelle souvent la réincarnation chez les pri­mitifs.

Lorsque, par exemple, les Yoruba du Nigeria saluent un bébé par ces mots : « tu es venu ! » et cherchent sur son corps des signes pour iden­tifier l’ancêtre qui est à nouveau présent parmi eux, ou lorsqu’ils appellent un garçon Babatunde (Père est revenu) ou une fille Yekunde (Mère est revenue)], quelle signification accordent-ils à ces mots ? Pensent-ils seulement à un souffle de vie qui se perpétue, une sorte de prâna, sans cesse recyclé, porteur de l’énergie des hommes du passé, ou ajoutent-ils des éléments psychiques à cette pure vitalité animale ?

La personnalité de l’aïeul est-elle présente tout entière, ou délègue-t-elle seulement une fraction d’elle-même dans son rejeton ?

On pourrait répondre, assez facilement, que dans de nombreux cas l’ancêtre semble conçu comme demeurant toujours dans son propre monde désincarné, tandis que les vivants bénéficient de son influence magnétique et ne sauraient vivre sans elle. Il arrive que plusieurs vivants portent le nom du même antécédent. Parfois même grand-père et petit-fils coexistent : l’enfant est alors considéré comme le frère de l’homme dont il porte le nom — jusqu’au jour du décès où il devient pleinement l’actualisation de son prédécesseur.

Cependant la réalité est évidemment complexe et il faut se garder de généralisations hâtives. La conception de l’homme chez le « primitif » est souvent loin d’être primitive, comme on va le voir.

(Extrait de La Réincarnation, Des preuves aux certitudes Éditions Retz 1982)

Publié dans:AME, REINCARNATION |on 14 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

Message aux Vieilles Ames

LEE Carroll

L’espace intersidéral nous invite à découvrir les merveilles spectaculaires de son immensité. Les océans de notre planète regorgent aussi de mystères puisque leurs profondeurs nous cachent encore beaucoup de choses. L’histoire elle-même se fait redécouvrir alors que la civilisation se révèle beaucoup plus ancienne que nous le pensions. Ce que nous ne savons pas prend maintenant plus de place que jamais.

Cependant, aucun champ de découvertes n’est plus grand que les aspects ésotériques de l’être humain dans la nouvelle énergie terrestre. Ce sont les vieilles âmes qui sont les plus sensibles à cette idée. La probabilité que vous en soyez une, est très grande puisque vous lisez ces lignes. C’est votre intérêt pour l’énergie d’aujourd’hui qui vous a conduit jusqu’à cette page.

Donc, chère vieille âme, si vous avez choisi de lire ceci en vous interrogeant sur son contenu, nous vous dirons tout d’abord que l’âme humaine s’apparente à un pays non découvert. Nous savons à peine ce qu’il est et où il en est, et ses rouages sont un mystère total. Kryeon nous a même dit que nous ne pouvions pas réellement l’appeler « l’âme humaine ».

La planète subit présentement une grande transformation qui change la conscience de l’humanité. Nous nous éloignons du mode survie et guérir pour atteindre un meilleur état dans lequel nous respecterons la vie davantage et créerons une société orientée vers le bien. Il s’agit d’un processus très lent, mais l’année 2015 est celle du nouveau départ temporel prédit par les calendriers des Anciens. Tout change en ce moment. L’âme s’éveille et elle commence à se révéler.

N’importe quel médecin vous dira qu’un étudiant en médecine ne peut étudier qu’un seul organe du corps même s’il veut devenir un spécialiste du fonctionnement de cet organe. Il doit connaître tout le corps et son fonctionnement physiologique. Tout est mélangé dans la « soupe de l’âme », une métaphore souvent employée par Kreyon, à savoir qu’on ne peut étudier isolément un seul ingrédient du mélange et en même temps comprendre toute la soupe. Il en va de même pour l’âme : aucun de ses attributs multidimensionnels ne fonctionne isolément.

L’âme est à la fois partout et nulle part, mais on peut en illustrer l’idée que l’on s’en fait, l’étudier et l’enseigner. Pour ce faire, il faut connaître les plus récents enseignements de Kryeon, « Les neuf attributs de l’être humain », ainsi que plusieurs autres messages canalisés dernièrement. Kryeon commence à livrer le contenu de la jarre du savoir en ce qui concerne la nature de l’âme et les raisons pour lesquelles on lui accorde plus d’importance que jamais à ce moment-ici de l’évolution de la conscience.

Est-il possible que l’âme soit beaucoup plus que ce que vous pensez qu’elle est ? Pouvez-vous communiquer avec elle ? est-elle une partie de vous ou séparée de vous ? Se pourrait-il que l’âme soit divisée et que vous n’en portiez pas en vous la totalité ? Si c’est le cas, où est alors le reste ? Ce ne sont là que quelques-unes des questions auxquelles Kryeon répond ….

Message  de Lee Carroll – dans la Préface au livre de Monika Muranyi : L’âme humaine révélée – aux Editions Ariane 2015.

 

Publié dans:AME, CHANNELING |on 2 novembre, 2015 |Pas de commentaires »

Des médecins de l’âme au Tibet

 

Héritière d’un savoir multiculturel qui se perd dans la nuit des temps, la médecine tibétaine arrive en Occident. Profondément holistique, d’une richesse prodigieuse, cette approche qui regarde l’humain dans toute sa globalité corps-énergie-esprit a certainement beaucoup à nous apprendre.

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Il est des cultures sur notre planète qui sont détentrices de connaissances immémoriales. La médecine tibétaine, un des systèmes de médecine les plus vieux du monde, regroupe certains aspects de la médecine ayurvédique indienne, de la médecine traditionnelle chinoise ainsi que de la médecine perse ancienne qui remonteraient à plus de 2500 ans. Plongeant aussi ses racines dans le chamanisme de la tradition Bön, pratiquée au Tibet avant que le Bouddhisme ne s’y installe au 7ème siècle, l’origine de son savoir se perd, en réalité, dans la nuit des temps. C’est au 8ème siècle que l’érudit Yutok Yonten Gonpo a codifié ce système de médecine qui depuis s’est propagé dans de nombreux pays d’Asie. A l’heure actuelle, la médecine tibétaine fait tranquillement mais surement son chemin vers l’Occident. Depuis leur quartier général à Dharamsala – lieu de vie du Dalaï Lama dans le nord de l’Inde -, les médecins de l’Institut Médical et Astrologique Tibétain ou Men Tsee-Khan, parcourent le monde pour enseigner ce savoir ancestral issu d’un patrimoine inouï. 

Une des sagesses de la médecine tibétaine est de ne pas séparer l’esprit du corps. Fondamentalement holistique, cette approche vise alors à restaurer la santé physique ainsi que la santé mentale du patient, considérée comme étant primordiale. Le vent « rLüng » est par exemple l’une des trois humeurs dont le bon équilibre serait nécessaire à notre bien être. Il permet la circulation des substances physiques de notre organisme mais aussi de l’énergie et de tout ce qui n’est pas physique, comme l’esprit. « Selon la médecine tibétaine, les maladies sont dues à un déséquilibre des trois Humeurs (Vent, Bile et Phlegme) qui sont la base du système médical. Le Vent, qui fait le lien entre l’esprit et le corps est le véhicule de la conscience. Il communique son énergie aux deux autres Humeurs et son action a donc une répercussion plus importante sur l’organisme qu’un simple déséquilibre de la Bile ou du Phlegme », expliquent les médecins du Men Tsee-Khang. La conscience aurait besoin de circuler librement entre le corps et l’esprit chevauchant le vent, maitre des trois humeurs. 

Basant leurs diagnostiques sur une écoute attentive du patient, sur la prise du pouls – dont il existerait 43 variations possibles -, l’examen de la langue et des urines, les médecins tibétains peuvent aussi avoir recours à l’astrologie. Ils établissent alors des thèmes astraux personnalisés qui dressent le portrait de chaque patient. Prenant en compte tous les aspects liés à la santé, l’éducation, le mode de vie, la famille, ils prescrivent des antidotes pour surmonter les obstacles inévitables de l’existence. L’astrologie intervient également dans la prédiction des jours favorables ou néfastes à la préparation des médicaments. « Dans les textes anciens, l’astrologie faisait partie intégrante de la science médicale, et certains textes datant du XIIème siècle prédisent de nouvelles maladies provoquées par l’apparition de nouvelles substances toxiques ou un changement environnemental ».

En s’appuyant sur la pharmacopée tibétaine d’une abondance incroyable, les médecins administrent des médicaments confectionnés à partir de substances naturelles. « Le Men-Tsee-Khang possède une nomenclature riche de 2993 remèdes dont 300 sont d’origine végétale. Certains médicaments contiennent des minéraux dont des pierres précieuses, de l’or et de l’argent ». Il leur arrive également de pratiquer l’acupuncture et la moxibustion tibétaine. Ces médecins de l’âme donneront aussi souvent des conseils de modification de comportements qui touchent à l’alimentation et le sommeil, mais aussi à nos postures émotionnelles et mentales de manière à faire de chaque épreuve une occasion d’ajuster notre attitude face à la vie. Aurions nous des choses à apprendre de cette approche capable de nous considérer dans notre globalité ? 

Conférence sur la médecine et l’astrologie tibétaine les 16 et le 17 novembre 2013 à Veneux-les-sablons et à Paris. Plus d’informations

 

Publié dans:AME, GUERISON, PLANTES |on 19 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

L’AME dans son cheminement

 

1varo imagePuisque beaucoup demandent d’exprimer sur l’âme, Grégory a donc tenté de la définir, tout en sachant que le vocabulaire humain ne contient pas les mots adéquats pour circonscrire pleinement ce concept. En effet, la Source qui, par essence, est ce qui est à la naissance de tout, englobe des réalités qui dépassent largement notre seuil de compréhension. Néanmoins, dans une démarche d’acquisition permanente de conscience, il peut être intéressant d’en approcher une description.

En premier lieu, la Source est conscience, c’est-à-dire qu’elle est un état d’être et non une manifestation physique. De ce fait, la Source est hors du temps et de l’espace. Dans l’intention de se connaître, la Source s’est reflétée en elle-même, en quelque sorte, et a engendré la Création, avec des interactions entre une polarité masculine et une autre féminine, entre des champs magnétiques, entre la lumière et l’ombre, entre l’amour et le non-amour, entre la Connaissance et l’ignorance. Et la matière a été créée, de la plus subtile à la plus tangible. Cette matière a introduit la notion d’espace car l’énergie tournant sur elle-même a commencé à délimiter des zones distinctes. Ces densités composées d’énergies différentes sont créé des mouvements et donc des enchaînements que l’on a appelé « temps ». Cette notion d’espace-temps appartient au monde de la matière, de la densité. L’espace-temps est une manifestation de la Source mais n’est pas la Source elle-même. C’est une séparation consciente de la Source.

Les différences de densité ont entraîné des frictions qui ont produit un « bruit ». Ce bruit est le son primordial, le OM, le fameux « Verbe » du commencement. Ce son est émanation de la pure Conscience et imprègne toute la Création, dans l’absolue éternité. Progressivement, les parties de la Source se sont cristallisées, de par cette intention initiale d’expérimenter ce qui n’est pas Unité, et se sont détachées d’Elle. C’est ainsi que sont nées les âmes, en tant que véhicules d’expérimentation de la Source.

Une âme n’a ni commencement ni fin ; pourtant ne dit-on pas de certaines âmes qu’elles sont plus anciennes que d’autres ? Ces deux aspects apparemment contradictoires coexistent néanmoins. Comme nous faisons partie de tout ce qui est, nous avons littéralement toujours existé ; pourtant, l’énergie individuelle qui est devenue « nous » s’est formée à un instant précis. Imaginons que la Source soit l’océan. Cet océan a toujours été. Maintenant, remplissons un verre d’eau en puisant dans cet océan. En cet instant, l’eau, bien qu’existant de toute éternité, s’individualise dans ce verre, en apparaissant dans une forme distincte. Voilà, de façon très imagée, comment une âme peut à la fois n’avoir ni commencement ni fin et présenter des caractéristiques temporelles.

Au sein de l’espèce humaine, il existe différents degrés de conscience de l’âme. Si l’on trouve, chez les âmes appartenant à la même bande de fréquence, une qualité de conscience commune, il y a cependant une différence au niveau de l’étendue de leur conscience. Un être dont le niveau de conscience est moins élevé n’est pas égal au sens strict du mot « égal » – à un autre possédant une conscience plus grande. Il existe véritablement une inégalité. Mais cet état est temporaire dans le flot de l’évolution.

Il est par ailleurs à concevoir qu’en répondant à cette impulsion à expérimenter la dualité, les âmes ont inscrit en elles une blessure ineffaçable ; celle de leur séparation d’avec la Source, quand bien même c’était cette envie d’expérimenter, d’agir, de comprendre, de vivre et d’inventer qui avait initié cette séparation. C’est cette même blessure qui servira d’impulsion à leur retour à la Source.

Tout au long de son parcours, l’âme s’est entourée de nombreuses enveloppes différentes avant de plonger dans le corps physique terrestre (son véhicule) c’est-à-dire avant de s’incarner dans le vêtement le plus grossier (qui passe successivement par tous les règnes – minéral, végétal et animal – avant d’expérimenter l’individualisation de l’âme humaine).

Nous sommes, pour la plupart, habitués à croire que notre participation au processus évolutif se limite à la durée d’une seule existence. Cette croyance est le reflet du point de vue à cinq sens de la personnalité. L’existence de notre personnalité n’est que l’une des myriades d’expériences de notre âme. L’âme, elle existe hors du temps. Son point de vue est incommensurable et ses perceptions ne sont pas limitées comme celles de la personnalité. Les âmes ayant choisi pour chemin d’évolution l’expérience de la vie physique, telle que nous la connaissons, ont incarné leur énergie d’innombrables fois, sous de nombreuses formes psychologiques et physiques. A chaque incarnation, l’âme a créé une personnalité et un corps différents. Cette personnalité a contribué, à sa façon, avec ses propres aptitudes et les leçons qu’elle a dû apprendre, de manière consciente ou inconsciente, à l’évolution de son âme.

L’Esprit demeure à jamais. L’âme même si elle a l’éternité pour évoluer, est cependant temporelle. Lorsque toutes les incarnations dans toutes les sphères sont achevées et lui ont permis toutes les acquisitions de conscience, alors l’âme se fond à nouveau dans la Source qui grandit en Connaissance d’Elle-même.

http://www.lasymphoniedesames.com

Publié dans:AME |on 5 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Une âme unie à un corps

ame et corpsC’est un problème qui a été de tous temps soulevé par les philosophes et qui a reçu autant de solutions qu’il y a de systèmes, de savoir comment l’âme humaine est unie à son corps.

     Les uns font du corps un simple vêtement de l’âme : de même qu’on rejette un habit que l’usage a fripé ou rendu inutilisable, l’âme, à la mort, se dépouille de son corps, et, si de nouveau elle doit s’incarner, elle se revêtira d’un autre corps, à l’exemple du civilisé qui, au cours de sa vie, endosse l’un après l’autre une série de vêtements. Mais, s’il en était ainsi, on ne comprendrait plus l’attachement égoïste et passionné que, d’instinct, l’âme porte à son corps, comme si de la conservation de ce corps, dépendait la continuité de sa propre existence,

     D’autres définissent l’âme « la forme substantielle d’un corps organisé » et il y a certainement dans cette conception de l’âme, comme forme substantielle, un élément de vérité qui a pour contrepartie la notion d’une matière venant remplir cette forme. Mais pourquoi veut-on que cette matière soit précisément et avant tout le corps auquel l’âme est unie ? Sans doute, parce que l’âme humaine est liée à un corps, elle recevra de ce corps une partie des conditions qui règlent le cours de son existence et déterminent le champ de son activité. Mais, parce que, en soi, elle est une forme, l’âme a déjà besoin, en tant qu’âme, d’une matière qui offre immédiatement une prise à ses opérations et serve de terrain à sa manifestation : l’âme possède donc, indépendamment de la matière qu’elle trouve dans son union avec le corps, une matière qui lui est propre, une matière psychique, ou elle puise les éléments de sa vie intérieure et prend conscience d’elle-même.

     En présence de ces difficultés, quelques-uns ont tenté d’établir entre l’âme et le corps une sorte d’équilibre, de correspondance ou de parallélisme :. l’âme, disent-ils, est dans l’ordre psychique ce qu’est le corps dans l’ordre matériel et tout ce qui se passe dans l’âme comme état de conscience, se passe dans le corps comme mouvement physique. Cette doctrine, qui repose sur un postulat métaphysique qui fait de l’étendue un attribut de Dieu, possédant sous des qualifications différentes la même essence que l’attribut de la Pensée, implique entre l’âme et le corps une identité de substance, dont les modalités ne se distinguent les unes des autres que dans la manifestation phénoménale. Mais, s’il en est ainsi, la destinée de l’âme doit se confondre avec la destinée du corps ; or celui-ci se dissout à la mort ; dès lors, qu’advient-il de l’âme ? On répond qu’il y a de chaque corps en Dieu une idée qui demeure de toute éternité, et, puisque l’âme n’est pas autre chose en fin de compte que l’idée d’un corps, son immortalité est assurée du seul fait que l’idée du corps demeure en Dieu de toute éternité. Si la destinée de l’âme après la mort est ainsi garantie, il ne semble pas qu’on puisse en dire autant de la destinée du corps, et l’immortalité de l’âme n’est sauvegardée qu’au détriment du parallélisme.

     Certains ont bien compris que, ni l’âme ne renferme en elle-même la raison de son union avec le corps, ni le corps en lui-même la raison de son union avec l’âme, et ils ont cherché à introduire entre l’âme et le corps un intermédiaire qui opérât cette union. Mais, parce qu’ils ont conçu cet intermédiaire comme un « lien substantiel », ils se sont fermé la seule route qui conduisît à la solution du problème. Si, en effet, ce qui doit unir l’âme et le corps de manière à en faire un tout organique et vivant est une substance, de deux choses l’une : ou cette substance est absolument différente de l’une et de l’autre des deux substances, spirituelle et matérielle, dont elle doit assurer la liaison, ou bien elle tient quelque chose de l’une et de l’autre. Mais la nature, dans la mesure où elle est accessible à notre observation et à notre expérience, ne nous présente que deux espèces de substances : la spirituelle et la matérielle, et c’est pure imagination que de supposer l’existence d’une troisième espèce de substance, dont nous ne constatons nulle part la présence. Il faut donc se rabattre sur la deuxième hypothèse et dire que le « lien substantiel », qui fait l’union de l’âme et du corps, est quelque chose à la fois de spirituel et de matériel, à la manière de ces corps subtils ou fluidiques, dont les occultistes ne savent pas bien s’ils appartiennent encore au monde de la matière, ou s’ils sont déjà une manifestation de l’esprit ; et on parle finalement de « corps spirituel », comme si ce concept hybride n’impliquait pas une contradiction dans les termes.

     Si donc nous devons chercher en dehors de l’âme et du corps la raison métaphysique qui permet d’expliquer leur union, ce n’est assurément pas dans le domaine des substances naturelles que nous la trouverons. Mais en dehors du monde de la nature, il n’y a que Dieu : tournons-nous du côté de Dieu. 

De toutes choses il y a une idée dans l’entendement divin, de celles qui sont comme de celles qui ne sont pas, et aucune chose ne vient à l’être, dans le monde de la nature, qu’elle n’ait tout d’abord été conçue par Dieu dans sa pensée éternelle et infinie, dans son Verbe. La création est précisément l’acte par lequel Dieu opère, selon les décisions de sa volonté toute-puissante et libre, ce passage de l’idée à l’être. Puisque toute chose qui est possède ainsi une double réalité : d’abord une réalité idéale en Dieu, puis une réalité existentielle dans le monde de la nature, il ne peut en être autrement de l’âme humaine. Avant qu’une âme soit posée dans l’être par l’acte créateur de Dieu, elle a déjà en Lui une existence idéale et la question est de savoir en quoi consiste cette existence idéale.

     Parce que Dieu est toute Sagesse en même temps qu’il est toute Puissance, il ne saurait rien y avoir dans la nature qui ne possède sa raison d’être et ne reçoive sa finalité. Le Cosmos est un organisme vivant, dont l’évolution est régie par une Intelligence qui ne peut pas se tromper et qui met chaque chose à sa place, de façon que chaque chose, par le rôle qu’elle joue dans l’ensemble, coopère à l’harmonie totale et aide l’univers à remplir sa destinée.

     L’âme humaine a sa part dans ce concert, et sans doute la part la plus belle et la plus importante, puisqu’il a suffi de sa défaillance à l’origine des temps, pour entraîner dans sa chute toute la nature et qu’il a fallu l’intervention d’un Dieu rédempteur pour rétablir la création dans sa pureté et sa beauté primitives.

     Et chaque âme humaine a son rôle propre à jouer sur cette scène de l’Univers où elle ne fera que passer et où sa manière de le remplir décidera de son sort éternel. C’est l’objet particulier du rôle que Dieu confie à une âme qui constitue sa personnalité, sa « persona », et qui est marqué du nom secret que nul homme ne connaît, si ce n’est celui qui le recevra à la fin des temps, en témoignage de sa fidélité à la mission dont il fut investi. La « personne » est, dans l’être humain, l’idée divine qui poursuit à travers l’espace et le temps sa réalisation au moyen de deux agents qui sont précisément l’âme et le corps 

Extrait de « L’âme humaine » par GABRIEL HUAN sur le blog de Francesca http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME |on 8 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Réunifier corps-émotion-esprit pour accueillir la Vie

 

Que faire quand notre tête nous met en déroute et nous tourmente ? Lorsqu’elle a peur de ne pas connecter suffisamment de données mentales, qui puissent l’aider à contrôler et à savoir se contrôler elle-même….

Quand et comment ramener la Paix et le Silence dans un vacarme incompréhensible de détails tellement « humains » et conceptuels ?
Comment réunifier l’Âme et le Corps, quand une seule parole surgit de votre cœur : « au secours, où en suis-je ? qui et que dois-je entendre pour me reconnecter à mon essentiel ? Qui suis-je et quels choix puis-je poser ? Je ne m’entends plus… ».

Corps-ame-esprit

Le remue-méninges humain…

L’aurez-vous remarqué… l’Homme, avec tous ses aspects beaux et sensibles, est le champion de la réflexion ininterrompue !! De sa tête peuvent sortir tous azimuts un flot de questionnements, parfois les idées se surenchérissent, donnant naissance à de nouvelles idées, au point que ce vacarme ambiant mette en péril la quiétude de notre esprit. Tout ceci nous empêchera alors parfois d’entendre, voire de reconnaître, notre Intuition intérieure. Ce concert de paroles intérieures peut nous empêcher de nous poser en tant qu’Enfant chéri de la Terre, qui reçoit abondance, sans même qu’il n’y ait de doute à poser, sans avoir besoin absolu de poser contrôle sur toute situation.

Et tout ce remue-ménage, même si en apparence il veut servir l’évolution spirituelle ou personnelle… peut même nous faire carrément divaguer car nous perdons nos sens et sommes désorientés… Nous vagabondons alors d’une idée à l’autre, sans relâche, toujours plus vite et plus pressé, avec le risque même de perdre confiance en nous, tout simplement, car nous n’entendons plus notre belle voix intérieure nous insuffler les voix qui sont bonnes pour nous, dans l’instant.
Comment, loin de nos sens, pouvons-nous encore entendre notre Intuition, claire, qui elle sait nous envoyer ses messages, à l’aide de mots, oui, mais aussi de saveurs et sensations corporelles.

Et dans ce vacarme, nous nous sentons perdus, perdus dans notre vie, qui se mène, voire se démène, et que nous tentons de ramener vers un « axe » purement conceptuel, en y posant des repères mentaux qui pourraient nous créer un semblant de direction…au lieu de sentir directement la vie nous parler, nous porter dans nos choix.

que fait alors la conscience animale ?

Et quel est donc le rapport entre l’Animal et cette discordance mental-corps, plus ou moins typiquement humaine ? Cette discordance qui peut nous fausser la route et nous faire croire à notre bon sens, alors que ce n’est que déroute. Cette discordance qui peut nous emmener loin, tellement loin, de nos objectifs et envies de cœur et d’âme, essentiels à notre réalisation et à notre bonheur. Cette discordance encore qui masque notre écoute toute naturelle de ce qui est bon pour nous, pour notre plus grand bien, et qui fait que l’on confond dramatiquement notre « petite voix » de l’Intuition, porteuse de vie toujours, et la voix artificielle de notre saboteur intérieur, qui cherche même à se faire identifier à notre mental ! Tout ceci masque notre vraie liberté, celle d’être un Être pleinement Vivant !

Comment stopper le flux incessant d’idées parasites ?

Comment alors stopper le flux incessant d’idées parasites qui tournent dans notre tête et veulent guider les pas de notre vie ?

Et si, pour nous dégager de ce carcan, nous ouvrions d’autres portes que celles de la tête, au lieu de vouloir faire le tri dans ces idées, savoir à quel plan elles appartiennent, mental (inférieur, supérieur), émotionnel, spirituel, etc., ce qui d’ailleurs nécessite analyse et jugement… donc possible erreur de discernement ! Poser un choix intellectuel sur les idées qui nous turlupinent peut mener à continuer à faire le lit de nos schémas de blocage et nous voiler la voix de notre intuition. Tant que c’est la tête qui jauge une situation, elle doit poser une analyse (étymologie : se couper de la source), donc disséquer, s’approprier une situation à distance, sans la vivre, pour la juger. Tout ce processus nous sépare du Senti direct, qui lui, vit les choses de l’intérieur, sans avoir à poser une pseudo-étiquette au sujet de telle ou telle situation ou phrase qui peuple notre tête. Par le corps, nous vivons, par la tête seule, nous imaginons.

Le corps, lorsqu’il est vivant et qu’on lui laisse la parole, vit une expérience directe. Je décide de lui faire confiance, je me relie à lui, et je sens l’impact du choix qui se dessine : la phrase clé est « comment je me sens » par rapport à tel mot, telle situation, et peu à peu, un discernement, non pas mental, mais bien direct, va se redessiner, au fur et à mesure que j’aurais redonné confiance à mon corps, suffisamment qu’il pourra se libérer lui aussi de ses peurs toutes émotionnelles ou inconscientes, et redevenir ainsi un outil de Vie.
Un discernement non pas construit par une analyse mentale, mais qui provient du corps lui-même, de son potentiel à CHOISIR LA VIE, au-delà des apparences et des croyances même sociétales. Notre corps recontacte son intelligence innée qui sait toucher directement la source de toute idée ou notion, qui sait ressentir le bien-fondé d’une suggestion et les effets d’une décision sur sa vie.

Aussi, dans ma tête, quand cela foisonne… d’où cela vient ? Ma tête, mon mental, ma véritable intuition ? Peu importe. Je lègue tout cela à mon senti corporel, qui, une fois touché par l’information, saura, lui, dire d’où cela provient et qu’est-ce que cela génère. Deux possibles que mon corps saura discerner : c’est vivant – c’est morbide. Et notre corps sent deux mouvements de vie, sans avoir à juger, à séparer, à interpréter quoi que ce soit.

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Le corps voit à travers le visible apparent et sent et sait le cœur des événements. Le corps est Animal, de Anima = souffle de vie. 

Ainsi, plus vous laisser votre corps parler et s’exprimer, plus il reconnecte lui aussi de plus en plus sa véritable nature, celle d’un officiant pour les sens de la Vie. Et notre corps humain, au lieu de s’émousser et de se croire vieux et ratatiné, redevient ce qu’il est : un « outil », si vous souhaitez, de recueil d’informations, de précisions, un hôte pour notre individualité. Nous sommes portés, aidés, en sécurité, car dans un corps merveilleux, qui se réalimente à la source de toute vie, car il croît en elle.

Et dans notre tête s’allège le fardeau des mots, jusqu’à ce que les maux disparaissent. Nous co-naissons et nous nous connaissons à nouveau, à l’issue d’un long périple d’expérience et de pratique, mais nous pouvons dès à présent goûter les effets immédiats de la joie qui suit un dialogue et reconnexion avec son propre corps. Car avec le Corps vivant, l’intégration de toute expérience libératoire est directe et non le fruit d’une réflexion. Et ainsi reconnecté, de nouvelles voies de perceptions, sans cesse, sont ouvertes et s’engagent entre le corps et ce que l’on peut appeler Esprit de vie. Un véritable mouvement vertueux fait place dans le creux de votre être, tout heureux de retrouver son autonomie, capacité pourquoi pas à nommer et retrouver ce qui est bon pour nous, simplement pour notre plus grande joie.

En pratique, comment faire ?

Le retour au corps permet de se sentir neuf par rapport à la vie, par rapport bien entendu à la rencontre avec l’animal et facilite notre échange à tous deux.
En communication Animale, il s’agit de partager des expériences corporelles et de contact sensible avec les Animaux. Nous nous focalisons donc essentiellement sur nos perceptions corporelles. Ainsi, outre le plaisir des sens, nous repartons de ces échanges avec de nouvelles clés de compréhension et de sensations pour notre propre corps.

Des contacts plus sincères, en communication animale, sur photo, puis chez vous en direct, s’offrent alors. Plus nous cultivons le langage intérieur du corps, expression de qui l’on est sur l’instant (émotion) mais aussi dans notre nature (vibratoire), plus nous serons nous-mêmes et donc plus les animaux sauront nous accueillir et nous voir. Ne vous étonnez alors pas si les animaux, et domestiques et sauvages, peuvent venir ensuite plus facilement à vous.

En posant une vraie écoute corporelle, peu à peu, vos communications se feront plus précises, posées et révélatrices non pas de vos projections mentales, mais bien de l’échange vivant qui a lieu entre vous et l’animal avec lequel vous entrez en communication. C’est aussi une plus grande confiance en vous et en la vie qui va s’en dégager progressivement. Tout cela est facilité au départ sans le contact physique cutané, qui vous remet dans des habitudes tactiles et ne vous permet pas de sentir autrement. Ainsi, sur photo, ou en se tenant à distance physique de l’animal au départ, vous retrouverez vous aussi la capacité de communiquer avec votre senti corporel et donc serez plus à l’écoute des Animaux. Vous entrez dans une véritable communication vécue et non interprétée, au cours de laquelle chacun, homme et animal, recevant de l’autre le cadeau qui lui était destiné, son essentiel.

Dans les stages de communication consciente avec les Animaux, nous ne commençons jamais par entamer des conversations intellectuelles ou de paroles avec les Animaux. Tout d’abord, et à chaque contact avec un animal, nous nous réapproprions tout simplement déjà nos perceptions corporelles. Au début, cela se fait sous forme de jeux d’écoute avec un animal, ou une plante, un ruisseau, un rocher, dans une rencontre sensible où nous offrons nos sens pour recevoir la façon dont l’animal utilise ses propres sens. Ainsi, nous posons un regard neuf, d’Écoute globale (accueil et réception sans jugement et analyse) avant même d’engager un dialogue de mots et d’informations verbales.

L’Animal, avec un peu d’expérience au fur et à mesure que nous nous laissons faire, nous fait sentir comment il voit, sent, touche, goûte, entend, tout cela à travers notre propre perception corporelle, qui alors se remet à neuf et nous permet de plus en plus de ne rien attendre et de découvrir à chaque instant. Combien de nous, Humains, sans même le savoir, n’osons employer pleinement notre odorat, notre ouïe ?etc. Par ce rapprochement des sens, non seulement nous nous mettons plus aisément à la portée de l’animal avec lequel nous souhaitons communiquer, pour l’entendre de notre intérieur par un rapprochement direct du cœur et des sens, mais en plus ce processus, via l’animal, offre de nouvelles perspectives sur nos propres sens corporels, qui se remettent à jour, se clarifient (se nettoient des mémoires ancrées qui nous obstruaient la vue), pour être plus vrai et pointus dans leurs perceptions.

Puis, tout doucement, nous glissons alors très aisément vers ce que l’on appelle perceptions extra-corporelles ou clair-senti, avec tout le remaniement d’ouverture d’esprit qui s’accompagne conjointement sur ce qui nous entoure et donc nous-mêmes aussi. Tout cela ne se pose pas comme une machine en but de performer, mais s’intègre, grâce à l’échange intuitif entre nous et un être pleinement vivant comme peut l’être l’animal, dans une symphonie de vie, un échange à la fois sensible mais aussi très sensé et donc constructif mais pas seulement intellectuellement. Ainsi, le corps ne part pas en quête de performance sans but de cœur mais il sert de lien et de liant à l’écoute des âmes qui se rencontrent, et c’est tout un univers qui se déploie, tout autant qu’il nous apporte tranquillité de l’âme et du corps. Il y a un SENS à toutes ces redécouvertes sensibles, celui de porter l’Amour en son sein, tout en accueillant les magnifiques multiples spécificités de chaque être vivant, qu’il soit humain, végétal, minéral ou animal, ou tout autre. C’est un hymne à la beauté des mondes, où chacun -soi compris !- redevient libre de rencontrer, de savourer les échanges et de porter en paix et en unité, tant dans la tête, que cela aide à clarifier, que dans les sens corporels et notre plus grand intérieur.

C’est toute une aventure, qui se déroule au contact de l’Animal en toute simplicité et innocence, de redécouverte de la Vie et de ses Mystères, pour aller vers notre allégement des rétrécissements que nous portons parfois depuis tant de temps. C’est juste bon à vivre et grandement structurant tout autant que libérateur, de pouvoir laisser parler son cœur à travers l’écoute de sa voie corporelle. Nous entrons alors dans l’aire du mouvement sacré, où tout est lié, corps et esprits, ce mouvement intentionnel qui porte véritable soin à tous les plans de vie, pour une ouverture mystique des plans de conscience tout autant que pour un équilibre émotionnel, mental, corporel et donc relationnel. Nous renforçons progressivement notre confiance en Nous et en la Vie.

L’Animal est une voie de redécouverte du chamanisme universel ou du Lien qui ne dépend ni du temps ni de l’espace pour des applications concrètes de bonheur et de mieux-être au quotidien.

Florence Emmeline Lombardini Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante Courriel : contact@terres-d-emeraude.eu

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

Caractéristique principale des Invisibles

 

 : ils ne savent pas comment se connecter à leur énergie intérieure.

des_invisibles

Il dépend donc de leur survie que de vivre aux crochets des humains, de tout simplement « se nourrir » de l’énergie des humains afin d’en tirer leur énergie de vie. On ne peut pas leur en vouloir, ce ne sont pas les forces du mal pour autant. C’est d’ailleurs la même chose avec les futurs humains qui mangent des animaux et des plantes. On ne peut pas dire qu’ils sont mauvais parce qu’ils sont à une phase de leur évolution où ils se nourrissent de plantes et d’animaux !

C’est là que réside tout le comique de la blague cosmique que nous vivons.
Nous créons et nourrissons nous-mêmes un monde qui nous asservit ensuite ! Mais plus vous comprendrez les subtilités de toute cette histoire, plus vous comprendrez qu’ils sont en fait nos meilleurs amis car ils sont là pour réveiller les guerriers immortels qui sont en nous !

Ce qui est fabuleux avec ces entités, c’est qu’elles s’accrochent à des failles de notre aura, nous montrant ainsi là où il est nécessaire de travailler.

Quant à leur complot il est là pour réveiller nos guerriers intérieurs qui sortent souvent lorsqu’ils sont en danger. Donc merci le complot, et merci aux entités de l’ombre d’être si efficaces ! C’est la même chose avec ce complot de la finance qui s’attache à la faille du système qu’est le capitalisme sauvage. Comme la planète est en danger, autant accélérer un processus de répartition des richesses de toute façon injuste !

C’est pour cela que si on veut un nouveau monde ou améliorer celui-ci, c’est aussi par les mondes de l’invisible qu’il faut commencer. Et le plus important, c’est de comprendre que ces forces se nourrissent au travers nos désirs de possessions.

La majorité des gens sont conditionnés à vouloir posséder ce qu’ils aiment… Et se rattachent à leurs possessions au lieu de se rattacher à l’intérieur d’eux-mêmes, là où ils peuvent se connecter à l’identité de leur Divinité intérieure ainsi qu’à une énergie et à une créativité illimitée !

Nous sommes sur Terre pour apprendre à aimer sans posséder !

Si tu veux posséder, tu te perds dans tes possessions au sens propre et figuré car tu te perds énergétiquement dans l’autre ! Aimer doit nous aider à nous trouver nous-mêmes, c’est ça le plus beau des cadeaux que nous pouvons apporter dans cette crise de l’Humanité. Et notre identité nous allons la trouver en aspirant l’énergie de l’infiniment petit, de nos atomes, de notre ADN, et de nos chakras…

Mais la grande difficulté que très peu comprennent c’est que pour bien sentir notre identité énergétique, il ne faut pas trop fusionner avec d’autres énergies, et notamment éviter d’avoir des contacts physiques avec des personnes qu’on n’a pas vraiment choisies. Il faut apprendre à aimer sans vouloir absolument fusionner à chaque coup !

Dans les mondes de l’invisible, imaginez deux auras qui se rencontrent. C’est comme deux bulles ovaloïdes. Elles ne se pénètrent pas l’une l’autre sans connaître d’abord les caractéristiques énergétiques de l’être et la plupart du temps elles ne fusionnent pas. Bien sûr, quand elles le choisissent elles fusionnent en ayant bien pris soin d’être sûres que l’autre le désire aussi. Lorsqu’on fait des bises automatiques, parfois, on n’a pas vraiment envie d’avoir ce contact physique, mais on le fait par obligation. Pourtant nos auras s’interpénètrent, et donc il y a échange d’identité énergétique ! C’est bien dans l’absolu, mais lorsque la majorité est endormie !

Si on n’apprend pas le shamanisme à l’école pour une certaine hygiène énergétique, il ne peut y avoir de monde libre, est-ce si difficile à comprendre ? L’apprentissage des mondes invisibles doit être la priorité absolue des scientifiques au service de l’humain.

Et le vrai shamanisme utilise aussi les plantes n’en déplaise aux Français qui sont toujours traumatisés dans leur inconscient collectif par le fait que sur le sol de France durant l’inquisition, on brûlait tous les shamans, druides, sorciers et autres guérisseurs des âmes. Et la plupart de ces êtres étaient des femmes. Ce travail doit se faire en suivant un minimum de règles parmi lesquelles…

Règle 1 : ne pas le faire en dehors d’un travail de remise en question profond en amont en aval.
Règle 2 : le faire sur le sol où la plante pousse dans l’idéal ou au moins dans un endroit où elle pourrait pousser !
Règle 3 : vous ne pouvez vous faire accompagner que par des êtres qui savent que la plupart des shamans se connectent aux faux mondes Divins, ce qu’ils appellent l’astral. Et pour connaître l’État d’Esprit des mondes Divins, c’est l’opposé de nos cultures patriarcales…

N’oublie pas que malgré les apparences nous nous aimons tous et toutes depuis l’éternité.

On va réussir à amener cette Humanité dans son âge d’Or. C’est promis !
La question c’est « veux-tu venir créer sur cette planète un paradis pour tous les êtres vivants ? » Tout ce que tu as à faire c’est lâcher le bord de la piscine…

Extrait de Claude Traks sur www.claudetraks.com

Claude Traks est également l’auteur des ouvrages :

• A la Recherche du message des Dauphins, publié aux Éditions CommuniCare
• Dernières pièces du puzzle – Objectif 2012 : La mission spirituelle de l’Europe et de la France,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Les Mensonges de la Bible, du Coran et de la Torah, publié aux Éditions CommuniCare
 Lettre au président Sarkozy et au nouvel ordre mondial de la part du monde des fées, des anges et des dragon,
  publié aux Éditions CommuniCare
• Pour se libérer de la matrice, publié aux Éditions CommuniCare

Publié dans:AME, ANGES, ESPRITS |on 25 août, 2015 |1 Commentaire »

La Symphonie Des Âmes

Entretien avec Gregory Mutombo - 

 

Gregory Mutombo, ancien militaire gradé de carrière, décrit les origines de nos blessures émotionnelles, et pourquoi nous devons d’abord les accepter et les mettre en lumière, afin de pouvoir ensuite réellement nous ouvrir à des expériences spirituelles au-delà de la matière.

 

 

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Publié dans:AME, VIDEOS à voir |on 4 août, 2015 |Pas de commentaires »

LES CLES DE l’EVOLUTION DE l’AME

 

020800481004732963Nous sommes le groupe évolutionnaire Simion, venu ici pour aider votre espèce à évoluer. Nous le ferons en transmettant dans votre dimension la vibration de notre lumière et en élevant chaque vibration individuelle, ainsi que celle de l’ensemble de la population, afin de vous préparer au passage prochain à une plus haute fréquence créatrice. Nous aimerions vous communiquer certaines connaissances qui faciliteront votre préparation à cette fréquence vibratoire supérieure. Plusieurs d’entre vous sont déjà plus sensibles qu’auparavant aux fluctuations du champ énergétique et ils écoutent leur voix intérieure qui leur dit de se préparer à ce nouvel âge de votre réalité.

Les mos mêmes de ce message ont leur propre fréquence vibratoire, laquelle est transmise à ceux qui les lisent. D’autres sources vous ont déjà considérablement informés sur l’élévation prochaine de l’espèce humaine et elles jouent toutes un rôle utile dans cette transformation. Nous vous présentons ici un autre aspect de ce transfert d’énergie et de cette élévation de la conscience.

Ceux  qui ont l’esprit ouvert et qui sont libérés des dogmes et des systèmes d pensée statiques de votre époque seront les plus aptes à évoluer harmonieusement avec la vibration supérieure. Ils excelleront dans chaque aspect de leur être, et cela, dans plusieurs dimensions simultanément. Nous espérons vous faire prendre conscience de l’unicité de votre de votre existence et de l’importance de votre rôle dans le changement de conscience qui aura lieu au cours des quelques prochaines années. Nous vous aidons à accroître le champ de lumière qui entoure votre monde matériel et qui le constitue tel que vous le percevez actuellement. Nous avons besoin de la vibration lumineuse du plus grand nombre d’âmes possible pour faciliter cette transformation de votre espèce.

La planète effectue déjà sa propre transformation, mais ceux qui seront capables de maintenir une vibration supérieure en élevant leur conscience créatrice au niveau de la dimension suivante l’y aideront grandement.

Chaque région de votre planète possède des points dans cette grille d’énergie lumineuse qui forme votre réalité manifestée. En élevant ces points énergétiques au moyen de votre lumière, vous favoriserez la transformation évolutionnaire de la planète. Vos « formes-pensée » et donc vos « formes énergétiques » sont essentielles à l’élévation de la vibration lumineuse nécessaire à votre évolution et à celle de la Terre. Peut-être vous demandez-vous de quel genre d’évolution nous parlons ici.

Nous parlons d’une élévation de votre expérience de la troisième dimension à la quatrième dimension. Puisque cette dernière existe à une plus haute fréquence vibratoire de transfert énergétique, vous devez y éveiller votre âme. Votre soi dimensionnel supérieur et vos guides vous assisteront dans cette élévation. Votre monde subira plusieurs changements sur le plan physique, et la plupart d’entre vous percevront la planète, ainsi que sa nature, très différemment de maintenant. Les bouleversements physiques mettront en lumière l’état du champ énergétique de la planète et en inciteront plusieurs à se joindre à elle dans le changement. Ceux d’entre vous qui sont branchés sur elle la suivront facilement sur la voie de l’illumination. Dans la dimension suivante, votre conscience obéira plus facilement aux directives de votre pensée. Toutefois, leur fréquence vibratoire devra être plus élevée et plus proche de votre source énergétique, qui est la même pour toute la création.

Nous aimerions souligner le fait qu’il n’y a ni bien ni mal dans cette dynamique. Toute la création est de la plus profonde énergie, celle de Tout ce qui Est. Quand votre fréquence vibratoire est plus élevée et plus légère, elle est plus compliquée dans la création consciente. Lorsque c’est le cas, la conscience cherche toujours à créer ce qui génère de la joie pour le soi. Cela ne peut qu’éliminer la discorde et ouvrir de nouvelles avenues de découverte. Pour nous et pour tous les êtres d’une conscience supérieure, tout ce qui est créé est merveilleusement beau et fournit l’occasion d’exprimer l’énergie de la force vitale qui crée tout ce qui existe. Certains lui ont donné le nom de Dieu pour tenter de partager cette expression entre les individus.

Il en découle que l’essence de la nature véritable de Dieu et le fait même que vos êtes de Dieu se sont perdus dans le rétrécissement de cette grandeur ainsi enfermée dans ce petit mot. Si vous êtes capables de voir que Dieu est tout ce qui existe, vous réaliserez alors la spectaculaire majesté de l’existence de cette énergie et vous comprendrez que vous êtes tout autant majestueux en tant qu’expression de Dieu.

Extrait du livre de Jill Mara traduit par Louis Royer

Publié dans:AME |on 16 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

TOUTE AME EST UN MAITRE

 

 « … sois une lampe dans l’obscurité et ne la maudis pas.

Et n’oublie pas Qui Tu Es
au moment où tu seras encerclé par ce que tu n’es pas. »
 
- Neale Donald Walsch.

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Toute âme est un Maître, bien que certaines ne se rappellent pas leurs origines ou leur héritage. Cependant, chacune crée, à chaque instant appelé maintenant, sa situation et les circonstances de sa vie, en fonction de son propre but et de la rapidité avec laquelle elle se rappelle.

Ne juge donc pas la voie karmique parcourue par un autre. N’envie pas le succès, ne plains pas l’échec, car tu ne sais pas ce qu’est le succès ou l’échec aux yeux de l’âme. N’appelle une chose ni calamité, ni événement joyeux, avant d’avoir décidé, ou été témoin, de la façon dont elle est utilisée. Car une mort est-elle une calamité si elle sauve la vie de milliers de gens ? Une vie est-elle un événement joyeux si elle n’a causé que de la peine ? Même cela tu ne dois pas le juger, mais toujours le garder pour toi et laisser faire les autres.

Cela ne veut pas dire ignorer un appel à l’aide, ni le besoin de ta propre âme de travailler au changement d’une situation ou d’une condition. Cela veut dire agir en évitant les étiquettes et les jugements. Car chaque situation est un cadeau et dans toute expérience est  caché un trésor.

« Il y avait jadis une âme qui se savait lumière. Comme c’était une âme neuve, elle avait hâte de faire des expériences. «  Je suis la lumière, disait-elle. Je suis la lumière ». Mais elle avait beau le savoir et le dire, cela ne remplaçait pas l’expérience de la chose. Et dans le royaume d’où émergeait cette âme, il n’y avait que de la vie. Chaque âme était grande, chaque âme était magnifique et chaque âme luisait de Mon imposante lumière. Alors, la petite âme en question était comme une chandelle au soleil. Au milieu de la plus grande lumière (dont elle faisait partie), elle ne pouvait ni se voir, ni faire elle-même l’expérience de Qui et de Ce Qu’Elle Est Vraiment. 

Alors, cette âme se mis à aspirer de plus en plus à se connaître. Et si grande était son aspiration qu’un jour, Je lui dis : « Sais-tu, Petite, ce que tu dois faire pour satisfaire ton aspiration ? »
« Quoi donc, Dieu ? Quoi ? Je ferais n’importe quoi ! » dit la petite âme.
« Tu dois te séparer de nous, lui répondis-Je, puis tu dois invoquer l’obscurité sur toi. »
« Qu’est-ce que l’obscurité, ô Divin ? » demanda la petite âme.
« C’est ce que tu n’es pas », lui répondis-Je, et l’âme comprit.

Alors, c’est ce que fit l’âme : elle se détacha du tout, mais oui, et se rendit même dans un autre royaume. Et dans ce royaume, l’âme avait le pouvoir d’invoquer dans son expérience diverses sortes d’obscurité. C’est ce qu’elle fit.

Mais au milieu de toute l’obscurité, elle s’écria : « Père, Père, pourquoi m’as-Tu abandonnée ? ». Tout comme tu l’as fait, toi, à tes heures les plus sombres. Mais je ne t’ai jamais abandonné, Je te suis toujours fidèle, prêt à te rappeler Qui Tu Es Vraiment ; prêt, toujours prêt, à te ramener chez toi.

Par conséquent, sois une lampe dans l’obscurité et ne la maudis pas.
Et n’oublie pas Qui Tu Es au moment où tu seras encerclé par ce que tu n’es pas. Mais loue la création, au moment même où tu cherches à la changer.
Et sache que ce que tu feras au moment de ta plus grande épreuve, sera peut-être ton plus grand triomphe. Car l’expérience que tu crées est une affirmation de Qui Tu Es- et de Qui Tu Veux Etre.

Je t’ai raconté cette histoire (la parabole de la petite âme et du soleil) pour te permettre de mieux comprendre pourquoi le monde est comme il est, et comment il peut changer dès l’instant où chacun se rappelle la divine vérité de sa réalité la plus élevée.

Alors, il y a ceux qui disent que la vie et une école et que ces choses que tu observes et dont  tu fais l’expérience dans ta vie sont destinées à ton apprentissage. J’ai déjà parlé de cela et Je te le redis :

Tu n’es pas venu en cette vie pour apprendre quoi que ce soit : tu n n’as qu’à démontrer ce que tu sais déjà.
En le démontrant, tu vas le dépasser et te créer à nouveau, à travers ton expérience. Ainsi, tu justifieras la vie et lui donneras un but. Ainsi, tu la sanctifieras.
« 

Morceaux choisis, Trouver des extraits du chapitre 1 de Conversations avec Dieu -Tome 1, Neale Donald Walsch 

Pour en savoir davantage sur ce livre :

Publié dans:AME |on 21 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Une rencontre insolite en voyage astral

 

images (5)Le voyage astral que j’ai fait cette nuit ne fut pas désagréable. 
Je me suis retrouvée cette fois de l’autre côté du miroir entourée d’entités diverses évoluant dans l’astral moyen. C’est dans ces sphères variées que viennent se promener, se divertir, se reposer, aider ou apprendre l’une ou l’autre leçon de vie de nombreuses personnes dédoublées pendant leur sommeil. Mais bien sûr, la plupart ne se souviendront pas nécessairement de leurs aventures astrales à leur réveil.

Une haute bâtisse qui ressemblait fort à une gare ferroviaire moderne accueillit mes pas légers. Parmi les personnes qui déambulaient avec nonchalance dans la salle d’accueil principale, un homme un peu bizarre captura mon attention. Mal rasé, mal fagoté, vêtu de guenilles trop larges pour lui, son piètre accoutrement détonnait parmi la foule anonyme. C’était l’image d’Epinal parfaite du clochard qui erre sous les ponts de Paris… D’emblée, il me parut pourtant sympathique, allez donc savoir pourquoi. Peut-être est-ce parce qu’il dégageait malgré tout un rayonnement positif. Nous fûmes donc attirés naturellement l’un vers l’autre et je n’hésitai pas à me diriger vers lui pour lui demander ce qu’il faisait dans la vie sur terre.

Sa situation n’était pas brillante. Il vivait même des moments pénibles suite à la perte de son emploi et à l’abandon subséquent de tous ses proches. Selon ses propres termes, il avait perdu tout son pognon et par extension jusqu’au goût de vivre. Il souhaitait désormais ne plus retourner sur cette terre maudite qui l’avait mené droit à la déchéance physique et morale. 

Malheureux, sans l’espoir d’un avenir meilleur, il voulait en finir au plus vite. Sa position dégradante actuelle, par rapport à la grande vie qu’il avait mené auparavant, lui étant devenue insupportable. Il s’était pourtant beaucoup investi tout au long de sa vie professionnelle mais la confiance naïve qui l’avait toujours guidé lui avait joué des tours et avait fini par le ruiner. Son univers cossu et tranquille, bâti à coup d’efforts et de sueur, s’était donc effondré. Et cela, il ne l’avait pas prévu…

De fil en aiguille, j’appris qu’il connaissait assez bien l’informatique. Je lui demandai dès lors pourquoi ne pas essayer de retrouver un emploi dans ce domaine. Ca lui permettrait de relever la tête et même s’il devait repartir à zéro, c’était toujours mieux ça que la vie de vagabond qu’il menait à présent.  Mais il n’en avait plus ni la force ni l’envie. Il était las de sa vie d’avant, de la bureaucratie et de tout ce qui tourne autour. Son ultime désir eût été de se rendre utile aux autres. Mais qui accepterait l’aide d’un pauvre clochard comme lui ?

Une idée aussi lumineuse que soudaine me vint à l’esprit. Je lui en fis part.

- Si vous maîtrisez si bien l’ordinateur, pourquoi ne pas associer ce savoir à l’aide que vous pourriez apporter aux autres? lui fis-je.

Il me toisa un instant, songeur et perplexe.

– A quoi pensez-vous ? me demanda-t-il encore incertain quant à sa réponse.

– J’ai une idée, lui dis-je.

Cette idée m’était venue car je le sentais fort réceptif avec son aura qui tirait vers le haut comme les vrais médiums.

- Pourquoi ne pas utiliser vos dons naturels pour aider les gens, lui dis-je. Je pense par exemple à l’astrologie. Vous pourriez vous procurer un logiciel astrologique et, avec l’aide des astres les conseiller et les aider à trouver leur voie. Votre intuition et vos dons de perception, qui me semblent évidents, pourraient certainement vous servir .

Son visage s’illumina enfin quelque peu. Le tilt était fait. Mon idée lui plaisait. Nous continuâmes à la développer. 
Je pris un bout de papier qui traînait dans ma poche et lui écrivis mon adresse e-mail. On ne sait jamais, me disais-je. Si d’aventure il désirait me retrouver ici-bas, il saurait où me joindre. 

- Mais que voulez-vous que j’en fasse? me lança-t-il un peu étonné. Je ne vais tout de même pas emporter ce papier avec moi lorsque je retournerai à ma vie d’en bas ! Je ne me souviendrai peut-être même plus de notre conversation. Du reste, j’ai un peu trop forcé sur la bouteille ce soir et je n’ai pas toute ma tête à moi …

Je n’avais pas pensé à cela.

- Ecoutez dis-je, concentrons-nous fortement. Ainsi, au réveil, même si vous ne vous souvenez plus de rien, subsistera peut-être au moins le désir inconscient de réaliser ce projet. Je demanderai à mes Guides de vous aider. Je suis sûre qu’ils vous soutiendront. Ils sont tout amour vous savez …
Il acquiesça. 

Une dame avait rejoint notre conversation. Elle était, elle aussi, très rayonnante et semblait curieuse de nous connaître. 
Nous discutâmes donc tous les trois un bon moment avant qu’elle ne se dirige vers un escalator qui menait au premier étage de la gare. 

- C’est étrange tout de même de voir des escalators dans l’Astral, ne trouvez-vous pas? fis-je à la dame.
– Oh, vous savez on voit tellement de choses étranges par ici. On retrouve un peu partout le double des choses. Même parfois des choses très anciennes, oubliées du monde des vivants. Les gens aiment tellement conserver leurs habitudes. Mais il existe aussi des mondes plus abstraits. Y avez-vous déjà été?

- Non, lui dis-je.

- Si vous voulez, je vais vous y emmener. Vous verrez, c’est fort différent d’ici.

J’aurais bien suivi la gentille dame mais je sentais que l’énergie commençait à me manquer et que j’allais devoir bientôt « redescendre », tout comme mon ami de passage le clochard.

Nous dûmes donc nous séparer. Ce ne fut pas facile : je me rendais compte à quel point cet homme pouvait être facilement récupéré et ça m’ennuyait de devoir le perdre de vue. Il suffisait d’un petit coup de pouce du destin pour le remettre sur le droit chemin, j’en étais sûre. J’aurais voulu dialoguer encore avec lui, le pousser à agir, connaître la suite de son histoire. Au fond, c’était un pauvre bougre pas méchant pour un sou. Il était même sensible et attachant…
Cette rencontre fortuite avait été bien chaleureuse. Dommage que notre au revoir ait le goût un peu amer d’un adieu définitif.

Je me dirigeai vers un jeune couple qui devait faire partie de mes amis astraux. Je les pris chacun par un bras et les embrassai amicalement. Que d’amour ressenti dans nos effusions, que d’amour… c’était sublime. J’embrassai une dernière fois mon ami. Il ne dégageait aucune odeur désagréable. Au contraire, il sentait plutôt bon. Je me souvenais qu’aux urgences des l’hôpitaux où j’avais travaillé j’évitais toujours les clochards. Leurs odeurs m’incommodaient réellement car j’ai le nez sensible. Mais ici, tout est différent : il y a d’autres parfums, d’autres couleurs, d’autres sons même.

Je me réveillai les membres un peu engourdis. 
Au matin, mon mari m’enjoignit à prendre note de cette aventure sympathique vécue pendant mon sommeil…

source : http://www.francelecture.net/espacepriya

Publié dans:AME, DEVELOPPEMENT, ESPRITS |on 16 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Différencier l’AME de la Personnalité

 

l'âme et personnalitéCe n’est pas que dès demain vous devez vous voir dans votre glace et vous aimer profondément comme si vous étiez amoureux de vous et que vous vous contempliez en notant tous les bons aspects de vous-même. Ce que j’évoque par l’amour de soi, c’est la paix en soi, c’est la cessation de l’autodestruction lorsque l’on n’est pas satisfait de soi, parce que l’on n’a pas conquis telle chose, réussi telle chose, parce que l’on n’a pas les yeux de telle couleur, les cheveux de telle abondance.

Pour s’aimer soi-même, l’homme doit avant tout accepter son destin. Si tu es petit accepte-le. Si tu n’es pas belle accepte-le. Si toute ta vie tu n’es qu’un ouvrier, accepte-le. Non pas par fatalité, ou parce qu’il faut plier le dos sous le souffle du destin, mais parce qu’il faut savoir venir apprendre ce que l’âme a prévu d’apprendre, et que si l’on ne donne pas d’abord à l’âme les occasions qu’elle a prévues, comment pourrait-elle faire émerger son rayonnement. Car l’émergence de son rayonnement est quelque chose qui vient en conséquence de l’éducation qu’elle a pu apprendre à travers la personnalité.

Donc, toi qui as un petit emploi et qui t’en plains, si tu veux connaître malgré tout la grande jouissance de la présence de l’âme, va à ton travail le jour qu’il faut, sois heureux d’y être, et accomplis ton œuvre. Et tu verras que même à travers ton modeste emploi, tu pourras connaître les grands principes de la présence de l’âme, par le fait tout simple et tout bête que si tu étais ailleurs il n’y aurait pas de différence. Que tu sois ouvrier, ou que tu sois un Roi, que tu sois connu ou inconnu, cela n’a aucune importance par rapport à la vie de l’âme et à l’expression qu’elle est venue chercher. Toute la différence est dans l’interprétation qu’en fait l’être humain, en tant qu’entité psychologique.

Ce qui fait la différence entre l’âme et la personnalité, ce n’est pas qu’il existe une âme et une personnalité, mais qu’il existe un être intermédiaire issu de la personnalité, issu de l’âme et étant la réunion des deux, il  juge que son âme est en haut, que sa personnalité est en bas, et qui se dit que si l’âme et la personnalité voulaient bien s’associer, on serait heureux. Mais voila, cela ne se passe pas exactement comme cela.

Tant que ce témoin dit, qu’il y a une âme en haut et une personnalité en bas, le haut et bas existeront et seront séparés et antagonistes. Sitôt que ce témoin dit, il n’y a qu’une seule et même chose, c’est moi, je suis cela, à partir de ce moment-là, que l’individu à travers son corps effectue un travail subalterne, cela n’a aucune importance, parce qu’avant tout, il est celui qui est et qui est depuis l’origine, c’est-à-dire son âme.

Ce qu’il faut donc déplacer, c’est la nature, ou la spéculation que fait le cerveau inventif de l’homme à propos de son identité. Il lui faut déplacer le « qui suis-je » comme je l’ai dit au début, et le mettre au-delà de la personnalité.

Pour s’interroger dans ce sens-là, il faut que l’individu ait énormément souffert de par sa personnalité; Car la loi occulte et la loi de la manifestation ont prouvé que l’homme n’arrive à se détacher de sa personnalité que lorsqu’elle est devenue brûlante et tellement brûlante qu’il la lâche, parce qu’il ne peut plus la tenir. C’est à ce moment-là, après s’être totalement consumée, la personnalité redevient des cendres, retourne aux cendres, et que renaissant, l’esprit issu de cette grande fusion redevient libre et arrive à retrouver sa dimension cosmique.

Mais s’il y a un chemin inévitable qui est l’involution puis l’évolution, il y a cependant des raccourcis qui font que la fatalité ne tombe pas sur la tête de tout le monde. Vous pouvez, même si vous êtes un petit disciple, même si vous êtes nouvellement initiés à toutes ces choses de la spiritualité, vous pouvez dès demain gravir l’échelle de l’initiation et obtenir plus et d’avantage que celui qui a commencé longtemps avant vous, il y a peut-être même plusieurs vies.

Pourquoi, comment ?

Tout simplement en vous mettant au travail et en ne croyant jamais ce qui parle en vous et qui vous rapproche de la personnalité. Donc il faut faire un effort constant au niveau mental. Et ceci est important à l’heure actuelle, puisque la race que nous connaissons, cette race qui vit sous le nom de race arienne et qui s’est épanouie surtout en Europe et aux États-Unis, cette race à un plan mental extrêmement développé, avec un cerveau physique très actif, capable d’abstraction, capable d’une intuition des plus fines. Il faut donc profiter de ces capacités, vous qui êtes des âmes incarnées dans ces corps-là, car elles n’existeront pas toujours. Demain sera une autre race avec d’autres capacités et pas forcément celles-ci.

Les instruments que sont les corps sont mis à votre disposition comme moyens d’évolution. Ils ne sont pas mis à votre disposition pour vivre la vie terrestre. La vie terrestre n’existe pas. Même si l’homme s’efforce de créer une société, constituer des lois, des religions, une famille, des principes, une éducation, la moralité, etc., la vie terrestre en elle-même n’existe pas, parce que n’a d’existence que ce qui a une âme.

Or la vie terrestre n’a pas d’âme, elle est une fonction, et l’âme se sert de cette fonction pour obtenir, à chaque cycle, une vie et une vitalité toujours plus grande, plus étendue, plus proche du divin qui est son origine. Donc il ne faut pas croire que vous êtes sur terre pour mélanger un peu de terre, un peu de Bon Dieu, on fait un joli pâté et on appelle cela un initié. Ça ne marche pas comme cela.

Ce qui ne veut pas dire que dès demain vous devez dire adieu à la vie terrestre, adieu à la femme ou au mari, aux enfants. Il faudra aimer avec encore plus d’amour et  c’est véritablement à travers le véritable amour que vous allez connaître la liberté qui vous permet d’aimer sans attacher l’autre, ni être vous-même attaché ou enchaîné.

Je dis que demain, il faudra être encore plus généreux, de cette générosité qui fait que vous n’êtes plus attachés à ce que l’on pourrait vous donner en retour, ou au fait que vous aller donner pour que l’on vous aime, ou pour que l’on vous regarde, ou pour être bien avec vous-même. Je dis que demain, il faudra être encore plus lumineux, non pas que ce soit un nouveau terrain à conquérir, non pas parce qu’il vous faudra éveiller des chakras, mais parce que c’est votre nature et que cela s’imposera à vous-même.

Donc, n’essayez pas d’être quelque chose de différent de vous-même, soyez simplement un petit peu plus que ce que vous êtes déjà. Vous avez de l’amour dans votre cœur, c’est très bien, alors ayez-en, encore plus. Vous sentez une flamme qui vous brûle la poitrine quand vous regardez vos enfants, un parent, vos amis, ou un être cher, ne pensez pas : «je suis attaché à ces êtres, je n’arriverai jamais au grand détachement, je n’arriverai jamais à la paix intérieure, je ne suis pas un initié.»

Simplement, quand vous sentez cette flamme dans votre poitrine, au lieu de vous précipiter sur la personne, ou au lieu de vous faire des reproches, installez-vous confortablement et entrer pleinement dans cette flamme, et servez-vous de la flamme comme un support de méditation. Entrez pleinement dans cet amour qui vient de jaillir dans votre poitrine et allez jusqu’au fond du sentiment éprouvé, de la conscience éprouvée, et vous verrez qu’en rentrant dans ce sentiment, qui à l’origine n’est qu’un sentiment, cela va développer un état de conscience, et que de l’amour éprouvé pour un enfant, pour un être cher, vous en viendrez à éprouver de l’amour pour le monde entier, et qu’à ce moment-là vous serez vraiment un initié.

imagesIl ne faut donc pas vous départager, vous séparer des choses de la vie, il faut les inclure dans votre vie de disciple comme des supports constants de méditation. Soudainement, à la vue d’un tableau, vous sentez un bien être vous envahir, une sorte de plénitude, de paix, de grande joie, ne vous dites pas que cela est ridicule, ne vous dites pas qu’en vous il y a encore des émotions et qu’il faut tuer les émotions et que le corps astral n’est pas bien. Non, asseyez-vous calmement et entrez pleinement avec la conscience dans ce sentiment et faites de ce sentiment un état de conscience.

Vous verrez qu’à force de pousser toujours plus loin, pousser vers plus de sens cosmique, les choses qui commencent à naître en vous de façon humaine, vous deviendrez cosmique. Car c’est à la base, tout ce qui est humain en vous qui doit devenir cosmique. Il n’y a pas la nature humaine et la nature cosmique, et pendant des siècles les deux se tapent dessus, et c’est à celui qui aura gagné que reviendra la couronne de l’initié. C’est ce qu’imaginent beaucoup de disciples: « Ma personnalité à encore parlé. Je m’étais promis de ne pas l’embrasser et voilà j’ai failli, j’ai encore fondu, je l’ai embrassée, je me suis laissé faire. » Il ne faut pas penser de cette façon-là. Il ne faut pas se dire: «Encore une fois j’ai échoué, je m’étais promis de ne plus être gourmand, quand est-ce que je contrôlerai cette bouche, ce corps astral et cet estomac ?»

Ce qui compte, ce n’est pas d’arriver à vaincre ses instincts, puisque nous les nommons instincts, mais de savoir reconnaître ce qui dans l’instinct est une essence divine, car c’est peut-être troublant de le dire, mais il n’y aurait pas d’instinct s’il n’y avait pas d’essence divine, car rien ne peut exister s’il n’y a pas d’âme.

Extrait source : www.conscienceuniverselle

Publié dans:AME, HUMANITE |on 14 juin, 2015 |Pas de commentaires »

L’AME DES VILLES

 

imagesEn ce qui concerne l’âme d’une ville, puisque c’est de cela qu’il s’agit dans cette question, et les âmes de toutes les villes, l’âme d’un quartier, ou l’âme d’une maison, correspond à l’intérêt des individus qui sont incarnés en ce lieu. Que l’on rajoute à cela le fait d’un tellurisme puissant, de la présence d’un centre qu’il soit du logos, de la hiérarchie ou d’ailleurs, cela n’a pas d’importance, parce que le centre agit exclusivement sur un point de vue éthérique.

C’est-à-dire, que ne seront touchés par l’efficacité, la vibration, l’énergie du centre en question, que les gens qui sont capables, du point de vue du corps éthérique, de se mettre en accord avec cette vibration et d’en profiter, donc de s’en nourrir.

Tous ceux qui n’en seront pas capables, qui, du point de vue éthérique, ne pourront pas absorber la vibration et ne pourront pas bénéficier du lieu où serait même implantée la hiérarchie. C’est pour cela d’ailleurs qu’il serait inutile que la hiérarchie, soit comme on dit très communément Shamballa, s’implante en des lieux très publics, même si elle reste sur un plan éthérique, parce que l’humanité n’en serait pas du tout touchée.

La loi occulte veut que tout ce qui est secret soit beaucoup plus puissant que ce qui est divulgué. C’est pour cela que tous les mots de pouvoir, les mots que l’on connaît dans certains rituels, ou dans certains actes de magie, sont beaucoup plus puissants lorsqu’ils sont connus et énumérés mentalement, qu’ils ne le seraient si l’individu s’efforçait de retrouver la prononciation exacte de la langue oubliée.

Il ne faut pas oublier que tout ce qui est caché est plus puissant que ce qui est ouvert, connu, su et divulgué, parce que l’homme n’est pas fait uniquement de substances physiques. Tout le monde le sait, mais tout le monde l’oublie au moment d’approcher la spiritualité, au moment d’approcher des thèmes tels que la puissance ou le rôle de l’âme d’une ville. Tout être est beaucoup plus puissant sur le plan de son rayonnement et de sa substance mentale, qu’il ne l’est sur le plan de sa personnalité.

Avant d’être incarné, avant d’être cette substance physique, avant d’être cette personnalité, l’individu qui constitue le tout, est avant tout une précipitation d’une multitude d’énergies, et ce qui va apparaître sur le plan physique, ce qui va émerger à travers la personnalité très concrète, ne sera que le millionième de ce qu’est réellement l’individu, non seulement en tant qu’esprit, mais aussi en tant qu’énergie. C’est pour cela que, quoi que vous vouliez faire, si vous voulez être réels, être vrais, être puissants, il faut vous placer avant tout à l’endroit où vous existez réellement.

Alors vous devez vous poser la question : sur quel plan j’existe réellement ? 

Où suis-je réellement ? Est-ce que je suis ici dans cette salle ce soir, ou demain à cette table en train de déjeuner, de parler avec mes enfants, ou à ma table de bureau avec mes confrères ? Où est ma véritable position ? Si je sais où je suis vraiment alors je connais ma puissance. Si je ne le sais pas, non seulement j’ignore ma puissance, mais je n’arrive jamais à la rejoindre, et ma personnalité ou ce que je peux ressentir de moi dans cette ville, dans cette pièce d’appartement, dans ce sinistre travail, n’arrive pas à se satisfaire du labeur quotidien et use ses nerfs et sa mentalité à quelque chose qui finalement ne lui convient pas.

Où dois-je donc agir, pour être utile et efficace, pour être vivant et un être humain réel ?

Je ne vais pas vous répéter ce que les Maîtres ainsi ce que les sages ont dit tant et tant de fois, depuis l’origine du monde, et pourtant, en quelques mots il faudra le redire. Je ne vais pas vous demander de prendre conscience ici et maintenant que vous êtes une âme, cela est impossible, car il faut des réincarnations et des réincarnations pour finalement s’immerger dans cette conscience; pour être exacte, je dirais même dans cette auto-conscience, dans cette autosuffisance.

Mais il faut que vous partiez persuadés, qu’au fond de vous, il y a cette particule que l’on peut appeler l’esprit, si on ne peut l’appeler l’âme, car l’âme est différente. Cette particule, qu’est l’esprit, est une projection de l’âme. C’est un peu comme le témoin, l’ambassadeur qui vient et qui doit représenter l’âme dans le corps, qui doit enregistrer, à travers la personnalité et toutes les circonstances physiques, toutes les expériences et toutes les choses qui ont lieu à travers la personnalité, pour en rendre compte à l’âme et l’en fortifier.

L’âme est le siège véritable de votre esprit. L’âme est en fait la substance qu’il ne faut non pas initier comme si elle ne savait rien, comme si elle ne venait que du noir et qu’elle cherche la lumière, mais il faut l’initier à l’action, la prédisposer à l’action, à l’initiative.

Donc, tout ce qui peut lui arriver de par sa personnalité lui sera utile pour se former à être une entité cosmique active, qui sache prendre des décisions, qui sache être canal d’une énergie, construire avec les énergies, manipuler les lois, afin que les grandes lois puissent se reposer à l’intérieur de cet individu et que l’univers se perpétue.

Tout ce que je vous demande pour pouvoir suivre le discours, c’est de capter au fond de vous-même cette certitude, même si vous ne le sentez pas vraiment, qu’il y a en vous cet atome, cette particule vibrante qu’est l’esprit. Fixez cet atome brillant et vibrant et reliez-le avec une baguette d’argent très vivante à l’âme, cette entité cosmique que vous cherchez tous, que nous avons tous cherchée. Lorsque ce pont est fait, vous serez de quel plan vous venez, sur quel plan vous êtes véritablement.

Extrait source : www.conscienceuniverselle

Publié dans:AME, ENERGIES |on 6 juin, 2015 |Pas de commentaires »

Elévation de la flamme de l’Ame vers l’Esprit

 

ReincarnationS’il y a une petite étincelle d’Amour en vous, comment cette petite flamme va-t-elle pouvoir s’augmenter ? En soufflant dessus.

Du carburant il y en a, mais vous savez bien comment on allume le feu : il faut souffler dessus, mais intelligemment, pas trop fort sinon on l’éteint. Il faut arriver à intensifier votre flamme, à l’augmenter, à la faire résonner, le fait de souffler sur l’âme est un acte mental, un acte élaboré. On est intelligent et on apporte de l’oxygène au feu, on augmente les oxydations par un acte de décision.

On apporte quelque chose de nouveau qui fait que l’âme augmente le feu de la rencontre. Petit à petit, les matières de base se réchauffent et la flamme monte, c’est naturel. Vous soufflez à l’horizontal et la flamme monte. Elle monte vers l’esprit, c’est automatique. Et quand le feu est très allumé, vous voyez que spontanément il monte. Il y a un courant qui monte. C’est à ce moment-là qu’il faut continuer à être intelligent. Si la flamme monte, c’est qu’elle s’élève vers l’esprit, vers la chaleur et la qualité de l’Univers interne. Puisqu’il y a quelque chose qui monte, c’est évidemment le moment de ramener le reste du combustible, votre corps.

Une erreur que font beaucoup de gens quand la flamme est allumée, c’est de décoller complètement et de s’envoler avec la flamme. Avez-vous vu des petites flammes comme cela au-dessus d’un briquer ? Elles s’envolent et n’ont plus de contact avec le gaz et finalement elles disparaissent. Il en est de même pour votre amour qui est devenu si léger, si inconséquent, qu’il n’a plus de carburant et la flamme meurt.

Vous voyez que la flamme peut mourir des deux côté. Soit on l’engloutit trop en dessous, soit on la fait décoller. Après avoir soufflé sur la flamme, c’est à dire après avoir fait résonner votre âme pour amplifier le feu, il faut continuer à l’alimenter en amenant du carburant. Quand le feu est allumé, il peut vraiment brûler et nettoyer beaucoup de choses. Il peut tout brûler. Tous les carburants sont bons à condition qu’ils ne sentent pas trop mauvais et ne dégagent pas des vapeurs nauséabondes ou nocives.

C’est à ce moment-là seulement que votre action mentale va permettre d’illuminer et d’allumer d’autres systèmes d’énergie, d’autres systèmes de carburant. Si vous voulez continuer à alimenter votre feu, il y aura des centaines et des centaines de figures à transférer qui vont se muter, qui vont se purifier en lumière, à condition que vous ayez un mental qui organise sans cesse l’alimentation de ce feu.

Vous pouvez recopier ce texte à la condition d’en indiquer la source  : http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:AME, ESPRITS |on 20 mai, 2015 |Pas de commentaires »

A LA VIE, A LA MORT

 

arton52igxLa mort est un processus complexe et simple à la fois. La mort est la vie et la vie est la mort. L’une et l’autre ne sont que des états différents, et restent prisonnières d’une fausse interprétation. La mort physique existe, certes mais il nous faut prendre conscience que cette mort est irréversible. Ce qui veut dire que personne ne renaîtra un jour à la vie dans son corps physiques actuel. Seule l’âme est immortelle…

Le temps n’est qu’illusion propre à notre dimension. La mort surgit et la vie se poursuit. La vie s’arrête et la mort est vaincue. C’est tout le sens de notre destin auquel personne n’échappe.

Il existe des plages de tranquillité sur le torrent de la vie, mais parfois de brusques vagues arrivent et notre vie, notre existence, connaissent de soudains débordements ; ils sont maîtrisable contrairement au torrent que seule la nature capricieuse réussit à dominer.

La vie et la mort sont semblables à cette image. C’est-à-dire qu’elles connaissent alternativement des phases de paix et de tourment. C’est ainsi que l’âme évolue comme la vague qui grossit avant de se jeter dans une immensité. L’âme se précipite aussi à l’issue de son parcours terrestre dans une immensité spirituelle où l’Amour est partout. Mais la haine l’habite également. L’un et l’autre ne sont qu’un prolongement de ce que l’âme a vécu sur la terre. L’amour et la haine s’opposent ; ils sont les ressentis les plus forts de notre monde. Les esprits sont parfois tiraillés par l’un ou par l’autre, même si la majorité d’entre eux a compris que la haine n’était plus compatible  avec leur évolution.

Cependant, certains n’entendent rien au message d’Amour de notre Père Divin, ils poursuivent leur action terrestre et sont encouragés par le mal parce qu’il est le pendant de Dieu, le pôle qui attire, l’ennemi qui convoite, le fourbe que rien n’arrête et dont l’activité nous irradie chaque jour.

L’esprit de ce que l’on appelle du « mal » est destructeur. Les souffrances qu’il fait endurer à tous ceux qui l’ont pris comme maître durant leur séjour terrestre et par la suite, sont terrifiantes. Personne sur terre ne peut imaginer leur degré d’atrocité. Parfois, elles s’atténuent avec le temps lorsque l’esprit concerné prend conscience d’une possible remontée vers la Lumière. Mais tous ceux qui n’ont pas compris le principe de descente au plus profond des enfers, se laissent enfermer comme des prisonniers dans les tombeaux les plus immondes de la nuit.

Ces âmes n’en pouvant plus de souffrir malgré leur volonté de se ressaisir demandent, à partir d’un certain niveau de souffrance, d’être définitivement libérées de leur condition insupportable. Leur demande est entendue et l’acte divin prend parfois l’initiative d’offre à ces âmes le rachat par la seconde mort. Le rachat ne veut pas dire qu’elles seront repêchées, mais tout simplement libérées d’un supplice oint par les forces du mal.

A partir de cet instant, leur vie éternelle est détruite. Il n’est plus possible à l’âme d’être reconstituée, sauf par ces quelques particules disséminées dans le champ cosmique, qui pourront être un jour les constituants partiels d’une nouvelle âme. D’où l’importance de cette mémoire cellulaire qui nous caractérise et qui agit à notre corps défendant sur notre Etre.

Nous ne comprenons pas toujours les causes de nos tourments terrestres et c’est bien naturel. Sachons que tout cela est d’une très grande complexité, et que la médecine classique est bien incapable d’en expliquer les raisons fondamentales.

Rien n’est si simple. La composition d’une nouvelle âme  à partir de ces particules éparpillées ne doit pas faire l’objet de notre éternelle recherche, nous ne réussirions jamais à comprendre. Sachons simplement qu’il est des secrets auxquels nous n’avons pas encore accès. Ce qui veut dire qu’il nous est impossible de connaître encore aujourd’hui le Grand Dessein de Dieu. Il nous faut progresser pour sonder l’immensité divine, et rien n’est plus palpitant que d’en découvrir chaque jour les trésors cachés.

Rien n’est dû au hasard, mais tout est utile pour l’équilibre des mondes.

Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AME, La MORT |on 9 mai, 2015 |Pas de commentaires »

NOUS SOMMES EN PHASE D’ALLEGEMENT

 

plume_coucher_de_soleilRestons proches les uns des autres, même si nous sommes distants et éloignés physiquement. Cet éloignement n’est rien. Libérons-nous de cette contrainte et livrons-nous au contraire à l’exercice splendide qui consiste à rester branchés ou connectés par nos pensées.

Pour ainsi dire, nous sommes déjà dans une relation spirituelle où nos corps physiques ne font que s’effacer de jour en jour. Nous sommes dans une phase d’allégement considérable où la matière tiendra de moins en moins de place dans notre vie. C’est le stade ultime de l’accomplissement : l’Accomplissement en tout. C’est la raison pour laquelle nous éprouverons de plus en plus de bonheur ; bonheur à être ensemble, bonheur à vivre ensemble, bonheur de vivre en nous et avec nous, bonheur  de vivre en Dieu. C’est cela le but de toute âme incarnée. C’est cela le but que vous nous sommes fixé et que le temps qu’il nous reste à passer sur cette terre, doit nous permettre d’atteindre.

Le corps physique n’est qu’un véhicule, nous l’avons compris. Alors, ne nous tracassons plus pour lui. Il terminera tout naturellement sa vie dans une décomposition salutaire pour la nature. Parce que rien ne se perd, tout se transforme, y compris la matière.

Tout se passera bien pour nous. Cessons de vivre dans la crainte du lendemain. Vivons sereins, décontractés et sûrs de nous. Nous ne rencontrerons pas une grosse opposition à nos idées, parce que notre force et la puissance de notre esprit dissuaderont très rapidement les éventuels agresseurs. Prisonniers de leurs contradictions, ils  n’oseront pas s’aventurer sur un terrain qu’l méconnaissent, et sortiront très souvent la tête basse de nos entretiens.

Toi… Toi… et Toi… et encore toi… tu es de ma famille parce que tu es de ma nature d’esprit, parce que tu es la sœur, le frère, la mère, le père et bien davantage pour moi. Je ne te laisserai pas sombrer. Reste ma/mon protégé, reste ma/mon grand complice pour l’œuvre merveilleuse qui nous est maintenant confiée. Ne résiste pas à savourer pleinement les fruits de l’Amour en partage. Ils sont à nous, ils te sont offerts parce que tu les mérites, parce que tu les désires, parce que tu les transcendes. Tu le rends beau, sublime, inaltérable, pur et profond. C’est ainsi que tu le donnes généreusement, et c’est ainsi que tu le recevras.

L’Amour en partage est une expression très pure et sublimée de nos âmes. L’âme qui la reçoit  est dans le même état de réceptivité, parce que cette âme est en fusion avec la nôtre. Et l’on ne peut recevoir de plus bel Amour que par l’union totale de nos âmes avec celle qui nous est destinée. Entretenons cette flamme et nous la verrons encore et toujours grandir en nous. La chaleur sortira de tous les pores de notre peau. Elle se manifestera pour la séduction de cette âme qui nous est proche, et que nous avons aujourd’hui re-trouvée.

L’âme est isolée et n’a pas beaucoup de possibilités pour exprimer son attente au mental de l’humain qui ne la reconnaît pas ; Puis, peu   à peu, la matière s’allège, les vibrations s’accélèrent, l’Ame sort le out de son nez et l’humain commence à la reconnaitre puisqu’elle est le véhicule de la conscience. Il en va de la vie de tout être humain selon ce processus qui sera, le moment venu, complètement achevée. Ce sera à cet instant la grande libération, l‘éternité promise et la vie éternelle. Mais il faut se souvenir que toute âme, quelle qu’elle soit, progressera rapidement ou lentement en direction de Dieu. Pourtant, certaines âmes éprouveront les pires difficultés pour y parvenir, et même renonceront. C’est alors que sur leur demande, une autre forme de libération sera prononcée ; il s’agit de la Mort Absolue. Cependant, nous constatons qu’une âme garde jusqu’au bout de sa vie, son libre arbitre. Elle a le choix entre lutter ou démissionner.

Notre foi restera le seul rempart efficace contre toute forme d’atteinte. C’est elle qui sera notre cuirasse contre les vibrations nocives de la terre et de certains de ses habitants. Car l’entretien de ces mondes, de notre monde, n’est pas uniquement d’ordre matériel  il est également et principalement spirituel. Les ondes les plus nocives ne pourront être tolérées très longtemps.

Tout parent, tout père, toute mère qui aime son enfant ne le laisserait pas divaguer trop longtemps. Le test de la liberté d’agir est important. Il permet de frôler le bord du précipice, mais au dernier moment, il faut intervenir et secourir cet enfant perdu et isolé dans les brumes. Il n’est pas de meilleure image pour nous faire comprendre l’enjeu dont nous sommes chaque jour les acteurs actifs ou passifs, selon notre situation ou notre désir d’investissement spirituel. Quoi qu’il en soit, le repli sur soi ou la démission n’ont jamais été propices à l’évolution positive de l’être incarné.

Notre Père divin nous montre le chemin de la Sagesse, de l’Amour et du Bonheur. Suivons son exemple et montrons-nous dignes d’être reconnus comme les garants de l’intégrité terrestre et divine qui ne sera jamais séparée.

Que chacun prenne conscience de sa mission ! Que chacun prenne conscience du sens de la vie !

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/  

Publié dans:AME, AMOUR |on 7 mai, 2015 |3 Commentaires »

Toute une aventure pour une Ame

 

Conférence-atelier sur l’internet

de Sylvie Ouellet

mercredi 13 mai 2015 à 14h30 (h. du Québec) et à 20h30 (h. de Paris)

51qtSa9hDzL._SY344_BO1,204,203,200_Naître, c’est tout une aventure pour une âme ! Que savons-nous sur ce passage ? Qu’avons-nous vécu durant notre propre incarnation ? Se pourrait-il que tout notre quotidien en soit teinté ? Comprendre le passage de la naissance nous permet de dénouer des blocages que nous vivons de manière récurrente et nous aide à découvrir ce que notre âme est venue expérimenter sur Terre. Dans ce passage, elle y a laissé des indices importants qui sont des clés de compréhensions au quotidien tant pour nous-mêmes que pour les âmes qui nous entourent.

Comprendre le voyage de l’âme

• Quels sont les objectifs de ce voyage ?

• Qu’est-ce que le « Projet Conscience ».

• Quels sont les outils dont l’âme dispose et les embûches qu’elles rencontrent sur sa route ?

La préparation à l’incarnation

• Quelle est la cause qui motive une incarnation ? Que vient-elle expérimenter ? Quelles parties de ses mondes intérieurs souhaite-elle observer ?

• Dans quel milieu (familial, social, politique, économique, religieux, etc.) désire-t-elle exécuter ces observations ?

• Comment parvient-elle à effectuer un choix définitif ?

• Est-ce que ce qui se déroule durant l’incarnation découle de la destinée ou du libre-arbitre ?

La descente sur Terre

• Quelles sont les étapes qui surviennent entre le moment où l’être décide de s’incarner et le moment de la naissance ?

• Quelle est la structure. énergétique de l’être en cours de descente vers la Terre ?

• De quelle assistance bénéficie l’être durant tout ce processus d’incarnation ?

• Existe-t-il une communication entre l’être qui s’incarne et la Terre ?

• Que vit cet être durant toute la descente vers la Terre ?

La naissance

• À quel moment survient la naissance ?

• Que vit l’être durant la traversée du col de la mère ?

• Quel est l’important de comprendre les implications des émotions et des pensées vécues durant la naissance ?

L’accompagnement subséquent

• La naissance étant un processus de transformation qui se poursuit tout au long de l’incarnation, quels sont les cycles qui s’y déroulent ?

• Quelle est l’influence des blessures fondamentales sur le quotidien ?

• Quelles sont les pistes que la naissance laisse pour découvrir sa mission de vie et pour trouver un sens aux événements du quotidien ?

Article complémentaire :

La compréhension de la naissance… un allié de taille durant l’incarnation

téléchargement

Sylvie Ouellet

Détentrice d’un baccalauréat en droit, d’un diplôme en droit notarial et d’un certificat en enseignement, elle a pratiqué la profession de notaire durant cinq ans. Elle a été enseignante et formatrice au Collège de Limoilou et à l’ENAP (École Nationale d’Administration publique). Intéressée par la psychologie, la parapsychologie et la spiritualité, elle a suivi de nombreuses formations et elle mène une quête personnelle depuis plusieurs années.

Son cheminement intérieur l’a amenée à écrire six livres, à donner des conférences, des ateliers et des consultations sur l’accompagnement de l’âme au Québec, au Nouveau-Brunswick et en Europe. Elle a été éditrice adjointe aux éditions Le Dauphin Blanc durant 6 ans. Elle rédige une chronique pour le magazine VIVRE depuis plus de 14 ans. Son travail sur la compréhension des passages de la naissance suscite de l’intérêt chez plusieurs scientifiques car il repose sur des bases concrètes, fouillées et accessibles.

Elle se spécialise dans la compréhension des divers passages de la vie du point de vue de l’âme (naissance, incarnation et mort) pour offrir des outils concrets et holistiques d’accompagnement pour les êtres en transition et trouver un mieux-être durant l’incarnation. Elle a développé ses capacités médiumniques il y a une quinzaine d’années. Ses écrits sont grandement influencés par les communications avec les défunts et avec sa guidance, mais ils proviennent aussi du fruit des recherches effectuées au fil de ces années tant du point de vue scientifique, ésotérique que spirituel.

Bienvenue sur Terre ! publié aux Éditions Le Dauphin Blanc (23 janvier 2009).

Naître c’est tout une aventure ! Le passage de la naissance est plus exigeant que le passage de la mort. En fait, la naissance est également une mort. Pour naître à la Terre, il faut accepter de mourir aux mondes énergétiques plus subtils d’où nous sommes issus. Il faut choisir les bagages de connaissances que nous y apporterons et renoncer au reste. Il faut délaisser un temps, les êtres chers que nous aimons. Ainsi, la mort et la naissance représentent les deux côtés d’une même médaille. Naître à la terre, c’est mourir au ciel, et naître au Ciel, c’est mourir à la Terre…

Elle est également l’auteur des ouvrages :
• Ils nous parlent… entendons-nous ? publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
 J’aimerais tant te parler… publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
• Après la mort, qu’est-ce qui m’attend ? publié aux Éditions Le Dauphin Blanc
• Mourir l’âme en paix, publié chez Béliveau éditeur

Sylvie Ouellet

Auteure, conférencière, formatrice Courriel : sylvie@sylvieouellet.cawww.sylvieouellet.ca

Conférence accessible en deux clics

Le mercredi 13 mai 2015
à 14h30 (heure du Québec) et 20h30 (heure de Paris) – durée : env. 1h30

APPRENDRE A DIALOGUER AVEC SON AME

 

Comment une séance se passe-t-elle ?

d3fp45sMichel Tabet et Sylvie Gavilan répondent : Avant de commencer, l’accompagnateur va aider la personne à formuler une intention claire, par exemple une problématique qu’elle souhaite éclaircir ou apaiser. La séance comporte ensuite trois phases : la relaxation, la prise de contact avec l’âme, le rêve proprement dit, et enfin la phase de retour où l’on va décrypter ensemble. La relaxation que nous proposons pour commencer va connecter la personne au Ciel (la Source), à la Terre et au chakra du cœur. L’énergie céleste et la force terrestre vont ainsi se rencontrer au niveau cardiaque et vont ouvrir le rêveur à la présence du Soleil de l’âme. Lors du rêve, le rêveur va recevoir les messages de son âme sous forme d’imageries mentales ou de perceptions corporelles. De nombreux scénarios sont alors possibles : voyager à travers des paysages, décrire des scènes, rencontrer des personnages ou des objets, retrouver des souvenirs d’enfance ou d’adolescence, rencontrer des guides, des archétypes, visiter d’autres systèmes solaires ou d’autres galaxies. Le rêveur peut alors dialoguer, se déplacer, changer de dé- cor, appeler des ressources supplémentaires, dénouer une émotion ou entreprendre toute autre action qui permettra de rétablir la paix et l’unité. Que la personne vienne travailler sur un traumatisme d’enfance, une difficulté relationnelle, financière, ou un problème de santé, ce sont toujours des parts d’ombre qui auront besoin d’amour pour être transmutées. Il s’agit de transformer la situation sur le plan subtil pour qu’elle puisse ensuite se résoudre dans la matière. Dans tous les cas, le travail consiste à passer de la dualité des opposés, ancrée dans le plexus solaire, à l’unité du cœur, là où l’alchimie est possible. On peut ainsi dialoguer avec l’énergie d’un trauma ou d’une maladie, la reconnaître, et finir par coopérer avec elle. Car toute part d’ombre accueillie comme une partie de soi en demande d’attention fi nit par devenir une grande force. Le monstre se transforme, comme dans la Belle et la Bête ! Il se peut, par exemple, qu’une énorme araignée, symbolisant un traumatisme et perçue comme terrifiante au début de la séance, se transforme à la fi n en une fleur magnifique qui deviendra une alliée et une enseignante.

TEMOIGNAGE DE JOHANNA : le rêve de Johanna Rencontrer son groupe d’âmes Johanna vient en séance avec l’intention de mieux comprendre qui elle est et d’où elle vient. Après avoir fait une connexion d’âme à âme par la relaxation, elle démarre son rêve : « Je cours vers une porte et des centaines de portes s’ouvrent, la terre est boueuse, je rentre dans un tunnel et d’énormes vagues s’abattent sur moi, elles sont profondes, au bout du tunnel, il y a un trou et on y voit clair. Je suis tranquille au fond de l’eau et je marche… Je continue à passer des portes et je croise des animaux, des milliers de gens de races différentes. Une boule de vitesse m’emmène vers un manège. Celui-ci m’emporte dans son tourbillon et je me sens plus légère pour monter. Je sors de l’eau, je suis dans l’air, confi ante. J’arrive dans un endroit où la lumière est plus éclatante que sur Terre. Des êtres peignent des choses agréables. Ils sont très lumineux et très apaisants. Ils m’accueillent avec amour. On me donne un engin, une sorte de moto, qui ne marche pas avec du carburant mais avec de l’énergie. Je monte dans des mondes de plus en plus subtils. Ils me disent que je dois aller dans un endroit qui est le mien. J’ai un corps qui est de moins en moins dense. Plus je monte, moins j’ai de besoins corporels. Je perçois surtout de la lumière qui au niveau humain serait insupportable pour les yeux. Mais mon corps se modifie  et s’y adapte. Dans cette lumière, j’aperçois des êtres qui ont un rayonnement extraordinaire, je devine une végétation, mais elle est moins visible que tout à l’heure, plus subtile. Ils me disent que j’ai quelque chose à réaliser sur Terre avec leur aide… Je suis invitée à un repas extraordinaire par des gens très beaux. On mange de l’énergie avec son corps, c’est un merveilleux partage. J’entends de la musique qui n’est pas instrumentale, je ne peux traduire ce que c’est avec des mots. Elle me met dans un état de relaxation profonde. Mes perceptions sont très vives. J’ai l’impression de recevoir plein d’informations qui sont comme des grâces, des forces spirituelles qui se concentrent dans le front et pénètrent jusqu’au cœur. Je suis allongée, je me repose et je suis guidée et programmée. Je perçois toutes les ramifications de mon corps : squelette, veines et muscles. On me dit que j’ai reçu une concentration d’énergie très forte pour un but particulier… Je vois un faisceau de lumière, comme un tube qui descend sur des kilomètres. Je m’en gouffre dedans. Il faut que je m’en aille. Ils m’accompagnent et, plus je descends, plus ça me dynamise… Je me vois sortir de cette chose, c’est très doux, je suis présente, légère et con fi ante. Ils sont toujours là fluides et chaleureux. Ils m’encouragent… » Après cette séance, Johanna a su que quoiqu’il arrive, elle rester ait reliée à son groupe d’âmes et qu’elle ne se sentirait plus jamais seule

Déprogrammer Les Mémoires Douloureuses : La transmutation de blessures héritées des vies antérieures est-elle également possible ?

Michel Tabet et Sylvie Gavilan : Nous n’allons pas chercher volontairement à ramener des souvenirs de vies antérieures. C’est l’âme qui va exprimer ce dont la personne a besoin pour évoluer. Nous avons mis au point un protocole qui permet de déprogrammer les mémoires douloureuses de vies passées tout en en tirant les fruits de l’expérience au bénéfice de la vie présente. Il se peut aussi qu’une qualité perdue dans d’autres vies nécessite d’être récupérée. Nous avons eu le cas d’une personne ayant été pendue pour avoir dit des choses interdites dans une incarnation antérieure, et qui n’arrivait plus aujourd’hui à parler, alors que communiquer était pourtant sa mission d’âme. Elle gardait en mémoire que parler pouvait l’amener à mourir. Lors de la séance de rêve d’éveil, elle a retrouvé ce souvenir et a pu se reconnecter à son message originel afin de poursuivre son œuvre. Nous pouvons ainsi soigner les blessures anciennes dans lesquelles nous nous sommes sentis rejetés, indignés, humiliés, etc., récupérer des parties de nous-mêmes et retrouver toute notre puissance.

Source : http://www.sacree-planete.com/

Publié dans:AME, EXERCICES DEVELOPPEMENT |on 10 avril, 2015 |Pas de commentaires »
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