Archive pour le 17 avril, 2016

Le chant de la terre, la conscience de la vie

 

 

L’univers qui nous entoure,
notre monde intérieur,
nos pensées sont vibrations.
Celles des sons, de la musique
nous réharmonisent avec la Vie.

Toute vie naît de l’harmonie engendrée par l’amour. La puissance de cette vibration est-elle présente durant toute notre vie ? Stress, peurs, deuils et autres souffrances nous placent en désaccord avec l’harmonie universelle. Nos pensées se matérialisent dans notre corps vibratoire, puis physique et font ainsi le lit de la maladie.

Rien d’étonnant, si de nos jours, nombreux sont  les thérapeutes  proposant certaines techniques de guérison incluant le pouvoir des sons : bols tibétains et de cristal, vibrations  de diapason, son de digderidoos, yoga du son, synthétiseurs etc.…
Comment distinguer celles qui vous conviennent ?
Qu’apportent-elles de nouveau ?
Sont-elles vraiment efficaces ?

chant de la tere

Une énergie active en guérison

L’usage des sons pour la guérison est un art vieux comme le monde. Chacun sait que la musique détient le pouvoir de déclencher des réactions émotionnelles. Elle contourne les barrières de nos résistances mais aussi notre logique analytique. La musique détient toutes les puissances liées au son. Elle devient une énergie active agissant au plus profond de l’être, et ouvre parfois l’accès au monde invisible. C’est pourquoi l’être entre directement en résonance avec ses sentiments. Certains  événements  enfouis profondément dans la mémoire, peuvent être libérés, puis guéris.

Les anciennes civilisations ont utilisé les pouvoirs du son. Les chamans voient dans le son un « moyen de transport vibratoire vers d’autres dimensions de l’être et de la conscience ».

Les chercheurs de vérité  ou les mystiques ont probablement été les précurseurs de nos musicothérapeutes. Des papyrus médicaux égyptiens décrivent certaines incantations destinées à guérir toutes sortes de maladie. La guérison découle alors de cette incantation prononcée sur le malade par les prêtres.
Mantras, plain-chant, prières et autres incantations dérivent de ces us anciens.

 

Un retour à l’harmonie originelle

Rappelons aussi que, selon le grec Pythagore, la terre était entourée d’une série de sphères transparentes et cristallines. Ces sphères, glissant l’une contre l’autre, émettent des sons qui se combinent et produisent une musique harmonieuse, la musique des sphères, malheureusement inaccessible au commun des mortels.

Par sa connaissance et son utilisation du pouvoir des sons, Pythagore cherchait à susciter un état d’être et de conscience universelle. Et en Orient, quel secret détient le  son  OM.  Aurait-il des  vertus thérapeutiques ?

En Inde, des textes sacrés et des  enseignements parmi les plus anciens du monde affirment que l’univers « uniforme » était à l’origine contenu dans une goutte. Un point symbolise cette origine, et c’est de ce point que retentit le OM, la note originelle de la Création, et que les mondes purent se déployer : le son précède la forme. Mystère aussi profond que le  « Au début était le Verbe ».

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Lorsque s’élève la musique du monde

D’après les enseignements védiques, c’est à travers la force dynamique féminine (Shakti), issue du grand Un divin immobile (brahman), que le premier son originel put se répandre dans le monde.

Les dernières découvertes de la physique moderne proposent  aujourd’hui  une nouvelle conception du monde qui donne raison aux Rishis des Védas et  aux maîtres éveillés qui leur succédèrent.

C’est la fameuse théorie des cordes. Que nous dit –elle ? Tout ce qui existe n’est que le résultat de quelques notes pincées sur une corde. Ce n’est pas une quelconque doctrine mystique, ni une hypothèse de musicologue, mais une théorie physique bien rationnelle. La théorie des cordes affirme que les particules subatomiques ne sont pas des particules, mais des cordes à une dimension. Ces cordes peuvent vibrer, comme celle d’un violon ; à ceci près qu’elles sont un million  de milliards de fois plus petites et enroulées de façon si serrée qu’on ne peut les voir.

De même que les fréquences d’un violon produisent des notes différentes, les diverses vibrations des cordes engendrent des particules très diverses.

Notre monde serait donc une immense vibration sonore.

Au XVIIIème siècle le physicien Chladni démontrait déjà  le pouvoir des ondes sonores à tracer des motifs harmonieux sur une plaque recouverte de sable. Certaines sonorités  font   naître des tracés harmonieux alors que d’autres n’engendrent qu’un désordre visuel.

Plus récemment, Emoto a également démontré par des travaux reconnus dans le monde entier le pouvoir de la musique et de la prière sur l’eau.

Notre corps est l’instrument de la Vie

Les cellules des êtres vivants, humains, animaux et plantes, répondent directement à la musique et aux sons primordiaux. Des changements ou des transformations surviennent quand ces mêmes cellules entrent en résonance avec certains sons. Comme un merveilleux instrument peut être réaccordé, notre corps entrant en syntonie avec le son retrouve son harmonie et sa place dans le cosmos.

La musique demeure langage pour tous les univers. Présente lors de l’initiation ou des rites de passage. Elle guide le futur initié et facilite l’expansion de conscience. Elle achemine le patient vers l’accomplissement d’une guérison profonde, en nourrissant l’âme et le corps.  Toute musique qui réharmonise devient une invitation au silence du mental  et  mène à  la plénitude intérieure.

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Patricia Menetrey

Guérir le corps, l’esprit et l’âme
Patricia Menetrey propose des méthodes efficaces : Massage intuitifs aux huiles chaudes et bains sonores, lecture d’aura, reiki, sophrologie, oracle zen par le tarot.
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Le pouvoir des sons est infini. Le thérapeute qui l’utilise se doit d’être musicien, artiste et  poète. Si le corps capte cette  résonance, une réunification avec l’univers se produit.

« Quand la conscience descend de plus en plus profond en nous, petit à petit , des instants surgissent, des instants de silence , des instants d’espace pur, des instants où rien ne bouge en nous  et où tout est calme . Dans ces moments tranquilles, nous pouvons toucher au mystère de l’existence. » Osho 

Publié dans:AMERINDIENS, GUERISON, HUMANITE, PLANETES, TERRE |on 17 avril, 2016 |Pas de commentaires »

La clairvoyance chez nos ancêtres médiums

  

 

Les documents des premiers siècles chrétiens abondent en faits de clairvoyance et de clairaudition. Lorsque Polycarpe mourut à Smyrne comme martyr, Irénée qui se trouvait alors à Rome entendit une voix résonner comme une trompette qui annonçait : « Polycarpe est mort martyr ! ». Quand à l’écriture médiumnique, beaucoup de dirigeants chrétiens d’alors avouaient avoir été inspirés par les esprits en écrivant. 

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La clairvoyance, la clairaudition, accompagnées de sensations tactiles, olfactives et gustatives étaient des phénomènes fréquents parmi les chrétiens des premiers siècles. Dans le livre d’Hermas, la clairvoyance et la clairaudition occupent une place importante. Hermas perçoit et apprend la plupart des choses par lucidité visuelle ou auditive. Une forme féminine qu’il voit et entend lui explique les vérités de l’au-delà. Elle lui sert de guide comme Béatrice servait de guide à Dante. Dante, en effet, avait vu par clairvoyance l’essentiel de sa vision épique décrite dans sa « Divine Comédie ». 

Le martyr Polycarpe vit à l’avance sa mort par clairvoyance. Il s’était réfugié dans une retraite suburbaine. Il y séjournait avec quelques amis et passait ses jours et ses nuits à prier pour toutes les communautés du monde entier. En oraison, il eut une vision trois jours avant sa capture, il vit son oreiller qui brûlait. Il s’adressa à ceux qui étaient présents et leur dit : « Dieu a décidé que je meure brûlé vif. » 

Le plus souvent, les croyants qui sont également des voyants perçoivent des visions de lieux et de formes de l’au-delà. Ils voient tout cela comme un monde semblable au monde d’ici-bas, mais spirituel et non matériel. Les voyants païens avaient évidemment des visions identiques. La  clairvoyance est un don de l’esprit humain dû à une nature particulière du fluide de son périsprit, ce qui fait qu’il voit de la même manière qu’un esprit non incarné. Ce que le voyant aperçoit est une image toute aussi réelle que les images du monde matériel qui sont captées par l’oeil. Les esprits peuvent faire apparaître ces images à volonté devant les yeux du voyant. 

La présence de l’esprit, bon ou mauvais, qui produit la vision des choses de l’au-delà dépend exclusivement de la disposition intérieure du clairvoyant. Par contre, en ce qui concerne le destin des choses d’ici-bas, il est inscrit dans le rayonnement du périsprit des créatures terrestres et peut donc être vu par tous les voyants quelque soit leur disposition intérieure. Voilà pourquoi les voyants païens pouvaient prévoir les destins d’ici-bas, aussi bien que les voyants chrétiens, même si les chrétiens leur reprochaient de côtoyer les démons. 

La formation des médiums de ce temps

La formation des médiums de l’époque consécutive à celle des apôtres était identique à celle des médiums des premières communautés chrétiennes. Elle se déroulait à l’occasion des assemblées du culte. 

Selon Hermas, l’état de « pneuma » d’un prophète survenait lorsque la communauté prie à l’unisson. La congrégation priait tandis que tous les assistants se tenaient symboliquement par la main. Le courant fluidique ainsi généré par tous les périsprits fournissait au monde des esprits l’énergie requise, soit pour former de nouveaux médiums, soit pour la transmission de message à travers des médiums déjà formés. 

Quiconque a assisté à la formation de médiums aujourd’hui comprend très bien les phénomènes médiumniques du passé. Ils sont identiques autrefois comme maintenant. Lorsque  Eusèbe rapporte que l’Eglise interdisait de se laisser former comme prophète ou de se faire prophète soi-même, ces phénomènes sont clairs pour celui qui les connaît. De même qu’un homme pouvait être formé comme médium lors des assemblées du culte, il se passait parfois la même chose lorsqu’une personne douée de facultés médiumniques se réunissait avec d’autres pour célébrer un culte privé ou se recueillait toute seule, en privé. Il n’existait qu’une seule différence. La formation d’un médium dans un grand groupe harmonieux était plus rapide qu’en comité restreint ou qu’en privé. En effet, la concentration de l’énergie fluidique d’une assemblée plus nombreuse facilite le travail des esprits sur les médiums, beaucoup plus que l’énergie fluidique produite par les périsprits des membres d’une assemblée limitée ou par celui d’une personne seule. Peu à peu, l’énergie fluidique se renforce chez les participants qui savent se recueillir. Elle devient si intense que ces personnes peuvent également être formées comme médiums, mais au bout d’un temps plus long.

Source : SOURCE : Encyclopédie Spirite – Mars 2006

Publié dans:MEDIUM, POUVOIR |on 17 avril, 2016 |Pas de commentaires »

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