Archive pour le 3 avril, 2016

Le mystère de l’amour

 

Qu’y a-t-il entre nous et l’amour? L’inconnu, le mystère. Ce qu’il y a de merveilleux, c’est que nous ne pouvons pas étudier ni même comprendre l’amour. Nous pouvons disséquer les formes d’amour contracté, mais nous ne pouvons pas faire l’autopsie d’un amour créateur, pas plus que nous ne pouvons comprendre la mort ou la vie. Nous pouvons cependant être témoins de la mort, de la vie, du processus d’individuation, nous pouvons être témoins de l’amour, et nous pouvons être acteurs.

L'HOMME (2)

Reconnaître que l’autre est un mystère demande d’accepter le détachement et nous délivre de la dépendance. Comment, en effet, être dépendants d’un mystère? Par contre, nous pouvons fusionner avec ce mystère afin d’expérimenter la part de mystère qui existe aussi en nous. Je dis souvent aux thérapeutes qui se sont initiés à mon approche que la clé de la guérison se trouve dans celui qui souffre, non dans le thérapeute assis en face de la maladie de l’autre. La personne souffrante a en main la clé de sa libération. Il en est de même dans le couple ou dans la relation à deux ou à trois: l’autre est habité par le mystère de l’amour. À partir de là, tout est possible.

L’amour nous porte si nous nous laissons porter par lui. Cela exige de notre personnalité, qui aime contrôler, qu’elle lâche prise. Si nous laissons l’amour nous porter, nous acceptons de perdre l’illusion de connaître l’autre et de connaître l’amour. S’il y a quelque chose de réducteur, c’est de penser que l’autre ou l’amour puisse être ramené à une connaissance. Entretenir cette idée revient à couper ses ailes à l’amour. Lorsque nous nous laissons porter par l’amour, nous avons le sentiment que « l’amour donne des ailes » et nous le disons. Nous avons ici la preuve directe que l’amour nous élève et qu’aimer nous ouvre au mystère de l’amour. Il est vrai que l’amour nous porte au sens où il nous sort des prisons dorées de la dépendance et de la souffrance. Et cela, même si nous avons quelquefois l’impression qu’il nous oublie. En fait, il continue de nous porter à travers le regard aigu auquel nous oblige la réalité quotidienne, le regard aigu que nous donne la souffrance ou la perte.

L’amour consiste-t-il à aimer l’autre? Non, car dans l’amour, l’autre n’est plus, il devient une part de nous. L’amour consiste-t-il à s’aimer soi-même? Non, car dans l’amour, nous ne sommes plus, nous sommes devenus une part de l’autre. M’aimer est l’aimer, l’aimer est m’aimer.

Marie Lise Labonté

Francesca du blog http://channelconscience.unblog.fr/

Publié dans:AMOUR, ENERGIES |on 3 avril, 2016 |Pas de commentaires »

La combinaison des fluides

  cerveau-interconnecte-fusion-mentale

La médiumnité guérissante pure, étant une exception, la guérison spirituelle est quasiment toujours la résultante d’une combinaison des fluides humains et célestes la différence et donc les résultats obtenus se trouvent dans la prédominance de l’un ou l’autre fluide. 

Tout magnétiseur, s’il sait s’élever, peut bénéficier de l’assistance d’esprits élevés et ainsi devenir médium-guérisseur. Parfois il l’est sans le savoir. Au fur et à mesure des soins, le guérisseur spirituel augmente sa sensibilité et peut parfois ressentir les douleurs de son consultant. Son intuition développée se trouvera ainsi confirmée, sa confiance, sa foi, se renforcent et engendrent une émission plus importante de fluides. 

Cette sensibilité joue aussi dans l’autre sens, ainsi il sera également plus sensible aux fluides nocifs, car ceux-ci se mêlant aux siens pour un temps, il peut ressentir des symptômes de la maladie et se mettre à tousser en ayant soigné une bronchite ou avoir les mains moites s’il a opéré sur un fiévreux. C’est pourquoi le guérisseur pourra parfois perdre quelques forces, mais il a à sa disposition d’excellents moyens d’autodéfense et sa faiblesse ne dure que peu de temps puisqu’il bénéficie de l’assistance d’esprits élevés qui sauront le remettre très vite sur pieds. 

Ne maîtrisant pas le sujet des maladies psychiques, nous ne l’aborderons que très succinctement et invitons le lecteur à chercher par lui-même les réponses à ses questions, toutefois nous en tenterons une approche approximative : 

En dehors du dérangement du cerveau, la maladie psychique peut être due à l’emprise d’un esprit malfaisant, elle revêt la forme de la fascination, de la subjugation mentale ou corporelle (obsession ou possession) L’esprit (parfois attiré par une séance de spiritisme faite dans l’inconscience la plus totale), arrive à maîtriser la personne et lui faire accepter toutes sortes d’inepties comme étant la vérité. Il paralyse son jugement et la personne, harcelée par des esprits de bas étage, voit sa vie se déchoir et s’incline devant ce qu’elle croit être la fatalité, s’ensuit alors une grande souffrance, parfois l’esprit arrive même à faire bouger le corps par sa volonté. C’est là que le guérisseur peut intervenir en tentant de dégager la personne de l’emprise psychique et/ou corporelle dont il est victime. Il lui faudra le soutenir moralement, remonter sa confiance, lui rendre son équilibre, lui redonner les forces vitales (par les gestes qu’il trouvera le plus appropriés) qui lui manquent, épurer son ambiance, fortifier sa volonté et l’engager à s’élever par une vie plus généreuse, l’amour de son prochain, l’élévation  morale, afin que les esprits si peu fraternels ne puissent plus être « accrochés » (voir la loi d’affinité). 

Au cours des soins spirituels, les forces vitales afflueront au patient chaque jour un peu plus, les mauvaises suggestions ne feront plus qu’effleurer son âme, l’angoisse s’effacera et il reprendra goût à la vie. Lorsque le patient se décide profondément à « changer de vie » avec foi en lui-même et en Dieu, l’esprit jette le masque et se dévoile, la guérison est parfois longue à venir mais au bout des efforts le succès. 

Intervention de l’esprit : « Il ne suffit pas de le vouloir il faut le croire comme vrai et prier

Dieu de donner force et courage au malade. L’esprit quant à lui, aussi réfractaire qu’il soit, devra partir expier en d’autres endroits le mal qu’il a fait, la justice de Dieu est implacable. » 

En cas d’obsession ou de possession grave, la moralisation de l’esprit peut être salutaire, parfois il est inconscient de son état spirituel et se croit encore en vie. Il s’agit alors de lui demander le pourquoi de sa haine, l’inciter à oublier les torts qui ont pu être commis envers lui par ignorance ou par faiblesse et lui démontrer que son bonheur dépend de son pardon. 

Cette « conversation » peut avoir lieu à l’insu de l’obsédé ou du possédé afin d’éviter une première réaction trop vive de l’esprit envers lui. Puisque la volonté peut donner certaines qualités aux fluides extériorisés, certaines personnes, possédant des dons psychiques et un pouvoir de concentration développé, peuvent lancer contre leur frère des fluides pernicieux. Rassurons-nous, ceux-ci sont facilement déjouables et ne sont pas sans effet sur le frère mal intentionné. 

Que la personne qui pense être victime d’un « mauvais sort » se rassure, celui-ci ne peut être effectif que si on y croit. Que le « receveur » commence par ne pas y penser : se demander si le problème existe ou si c’est untel qui en est l’auteur est déjà y penser, (chasser donc toute pensée à ce sujet même), c’est s’abaisser au niveau de la personne malveillante et ouvrir la porte à la perversion. Au contraire, la personne « envoûtée » s’abstienne d’un tel effort pour diriger ses pensées vers la bonté, l’altruisme, l’amour, la foi, Dieu. Qu’il aime sincèrement tous ceux qu’il côtoie en leur souhaitant beaucoup de bien et d’amour. Le guérisseur pourra intervenir pour libérer la personne de l’envoûtement. La « victime » pourra se libérer elle-même très facilement par la valeur de ses pensées et son élévation morale. 

Quant au « mauvais frère », par effet de ricochet, les fluides dispensés qui finalement doivent bien aller quelque part, lui reviendront tel un boomerang. 

La souffrance morale, la tristesse, la détresse, peuvent diminuer la résistance du corps à la maladie, voire la déclencher. La consolation, le calme, la confiance, l’élévation de l’esprit sont des éléments importants de rétablissement et engendrent la joie de vivre, force d’expansion et d’équilibre, qui reprend possession de notre âme, détendant les nerfs et activant les sécrétions glandulaires. Au contact qu’une personne gaie, on se sent à l’aise, le courage renaît, l’espoir grandit. Le guérisseur doit être cela, sa personnalité sera également un élément non négligeable de la guérison par effet d’imitation sur le malade. Un homme soupçonneux, mal pensant, acariâtre, critiquant amèrement déverserait des fluides néfastes. La joie est un élément important : le sang circule plus rapidement, les substances toxiques s’éliminent, la digestion se fait plus facilement, les globules blancs se multiplient, en un mot la santé réapparaît. 

Les forces vitales sont aussi atteintes par la propre pensée du consultant. Son imagination parfois déréglée exagère ses émotions, excite ses nerfs, provoque une sécrétion excessive des glandes ou la diminue, multiplie les mauvaises suggestions comme un poison dans les veines. 

Il s’agit alors de canaliser cette imagination, de la diriger en lui donnant un but supérieur et non la refouler, car refouler une tendance c’est la comprimer et décupler ses forces d’expansion (un peu comme une cocotte minute que l’on persiste à maintenir fermée, bref, contourner l’obstacle au lieu de l’attaquer de front. Angoisses, émotions réprimées, idées fixes, désarroi, moral au plus bas, provoquent de la fatigue et des troubles organiques qui se cachent adroitement avec la complicité involontaire du malade. 

Si le guérisseur joue ici aussi un rôle grâce aux soins spirituels qu’il peut prodiguer auxquels il peut adjoindre un objet magnétisé qu’il remettra au malade (anciens « gris-gris » dans des cultures ancestrales), tout le monde peut participer au bien être de la personne en prenant soin d’écouter et accompagner doucement, sans heurts et avec patience et amour, l’affligé vers le mieux-être. On peut aussi soigner les maux avec des mots, nul besoin d’être guérisseur pour cela. 

Il existe une autre forme très rare de médiumnité guérissante : les chirurgiens aux mains nues philippins. Il s’agit là d’une chirurgie sans instruments où le médium est incorporé par un esprit guérisseur qui fera l’opération à travers le corps du médium. Elle se pratique beaucoup au Brésil où la pauvreté ne permet pas l’hospitalisation et l’intervention chirurgicale de la médecine traditionnelle. Elle est très controversée, mais outre le caractère un peu trop spectaculaire qu’elle offre, il faut y voir là une médecine des plans Divins. 

Le médium-guérisseur est un guérisseur du corps et de l’âme, l’une réagissant sur l’autre et réciproquement. Plus il sera spiritualisé et de haute moralité plus son action fluidique sera puissante et plus il sera assisté d’esprits de plus haut niveau. Par le détachement matériel, le pardon, la prière, la méditation, l’humilité, l’abnégation, l’homme se détache progressivement du monde terrestre pour s’élever vers un monde lumière régi par l’amour spirituel, se déjouant ainsi des pièges de l’égoïsme et de l’orgueil. 

Le médium guérisseur ne guérit pas tout ni tout le monde et, ne pourra comme le magnétiseur ni ressusciter les morts ni avoir une action probante sur les fonctions vitales atteintes. En ce domaine, comme en beaucoup d’autres, il n’y a pas de raison sans cause, l’esprit « souffle » où il veut et Dieu seul le sait. 

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