Archive pour le 29 octobre, 2015

Quelles preuves attendre d’une réincarnation

 

RéincarnationOn n’a pas encore pu prouver l’existence de l’âme, aspect permanent de l’homme, par une démonstration indiscutable. On n’a guère plus de chances de prouver les pérégrinations de l’âme d’un corps à un autre.

L’âme n’est pas une entité objective, pouvant être saisie par les sens d’un observateur. On ne peut (jusqu’à présent) la suivre dans ses évo­lutions, d’une incarnation à l’autre. On ne connaît de l’âme que ses effets. On l’aperçoit en ombres chinoises. De même, on ne connaît de la conscience que des effets : des états de conscience, rendus possibles par le fonctionnement d’un instrument approprié — physique ou subtil. Selon toute probabilité, on ne détectera jamais de la réincarnation que des effets. Et c’est bien là le drame : des causes fort différentes peuvent produire les mêmes effets apparents. Quel que soit le cheminement suivi dans l’apparition d’une preuve, il passe toujours par un être humain — en particulier par les coulisses de son psychisme. Autrement dit, par le laboratoire le plus prodigieux dans ses capacités de production d’images, à partir de matériaux puisés dans son propre fonds, ou dans la sphère psychique collective, et sous l’impulsion des stimulations les plus diverses. 

À ce jour, on n’a pas encore prouvé l’inexistence de la réincarnation

Quand un individu apporte un témoignage de la réincarnation, il convient en premier lieu de chercher à préciser les conditions dans lesquelles il a été recueilli, et jauger la fiabilité du témoin. Et avant de conclure à la réincarnation, il faut se souvenir qu’il y a bien d’autres explications possibles, à éliminer d’abord par une critique sérieuse. C’est la méthode scientifique suivie par Ian Stevenson dans ses enquêtes.

Les ressources de la psychologie et de la psychanalyse sont à exploiter avant d’attribuer à la réincarnation les scènes (souvent violentes) vécues par un sujet soumis à l’une des techniques connues de régression dans les « vies antérieures ». L’analyse du contenu et du déroulement de ces scènes est souvent révélatrice de problèmes sous-jacents au fond de la personnalité actuelle. Certains psychiatres assurent d’ailleurs que ces problèmes ont parfois leur racine… dans l’incarnation précédente

Les expériences de parapsychologie menées scientifiquement ont confirmé l’existence de pouvoirs tels que télépathie (transmission de pensée entre deux sujets), clairvoyance (perception extra-sensorielle d’informations : objets, images, paysages…), psychométrie (perception d’images, d’événements induite par le contact d’un objet, l’atmosphère d’un lieu, etc.).

L’existence d’une trace permanente des événements, d’une sorte de mémoire de la Nature enregistrée de façon indélébile (dans la Lumière Astrale, la psychosphère de la terre, ou la noosphère nouvellement « découverte » par des Soviétiques) s’accrédite de plus en plus. Les électrons de Jean Charon viennent aussi à la rescousse avec leur mémoire de surdoués.

Résultat : un individu armé de pouvoirs parapsychologiques semble bien se trouver en mesure de pêcher des informations, là où il faut, pour « raconter une vie passée », qu’elle ait été réellement vécue par un autre, ou qu’elle soit forgée d’éléments disparates, en procédant

— a. par télépathie, en puisant dans le mental de personnes vivantes des détails « criants de vérité »

— b. par clairvoyance, en collectant à distance des images existantes, ou en pui­sant dans un livre ou un registre de mairie des informations précises pour donner du corps à un récit

— c. par lecture des archives permanentes de la Nature où est consignée toute l’histoire des hommes.

Bien entendu, le sujet peut exercer ces pouvoirs sans le savoir lui-même. On ne peut jamais écarter cette hypothèse parapsychologique, sur­tout dans les techniques de régression où ces pouvoirs sont sollicités. 

Un vivant peut être « possédé », transitoirement par ce qui semble la personnalité d’un défunt, comme lorsqu’un médium paraît complète­ment métamorphosé en une autre personne aux yeux des assistants. Il est rare que ceci arrive à l’état normal.

On peut ima­giner des situations où une personnalité vivante serait seulement para­sitée par les restes psychiques d’un défunt : elle conserverait alors son identité, tout en se sentant un peu dans la peau de l’autre personnalité qui la colonise, et en se souvenant ainsi d’une vie passée — qui est peut-être celle d’un inconnu.

Comme on le voit, avant de conclure à la réincarnation, nous avons une longue liste d’hypothèses différentes à écarter.

La vérité sort de la bouche des petits enfants. On les sait inventifs, mais pas au point d’imaginer des histoires complètes, avec une foule de détails, mettant au jour une vie antérieure vérifiable. C’est l’intérêt des cas Stevenson. À lire les descriptions qui en sont faites, on a vrai­ment l’impression qu’une ancienne personnalité a « repris du service » dans un corps neuf, à côté d’une nouvelle qui va s’affirmer petit à petit, au point d’oublier l’intruse : les souvenirs de vie passée s’effilochent avec le temps. Souvent d’ailleurs ils n’apparaissent chez l’enfant que sous l’effet d’un choc émotif (chagrin, gronderie, etc.).

Au moins dans les cas très forts, la réincarnation semble bien la bonne explication, lorsque des dizaines de points précis se vérifient.

 (Extrait de La Réincarnation, Des preuves aux certitudes Éditions Retz 1982) 

Publié dans:ESPRITS, REINCARNATION |on 29 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

Les dangers de l’obsession

 

peurLes dangers venant d’entités désincarnées sont franchement ceux de l’obsession, qu’ils soient temporaires, passagèrement permanents, ou plus durables et permanents pendant une longue période, peut-être même pendant la durée de la vie. Je vous ai déjà donné sur ce sujet une lettre que vous pouvez inclure ici. Je cherche en premier lieu à accentuer le fait que cette action d’entrer que nous appelons obsessions s’effectue en grande partie par l’attitude négative provoquée par l’emploi imprudent d’une méditation indésirable.

Dans son désir anxieux de bénéficier de la lumière d’en haut, dans sa détermination de s’introduire de force à une place où il peut contacter les instructeurs ou même le Maître, et dans son effort pour éliminer toutes les pensées et les vibrations inférieures, l’étudiant commet la faute de rendre toute sa personnalité inférieure réceptive. Au lieu de la rendre fermement positive aux facteurs environnants ainsi qu’à tous les contacts inférieurs, en laissant seulement le « sommet du mental » (si je peux employer un terme aussi insolite) réceptif et ouvert à la transmission venant du Causal ou des niveaux abstraits et même de l’intuitionnel, l’étudiant permet la réception venant de tous côtés.

Seul un point dans le cerveau devrait être réceptif, et tout le reste de la conscience polarisé de telle façon que les interférences extérieures seraient impossibles. Ceci se rapporte aux corps émotionnel et mental, bien que dans les jours actuels cela se rapporte uniquement à l’émotionnel. A cette époque particulière de l’histoire du monde, le plan émotionnel est peuplé d’une manière si dense, et la réponse du physique à l’émotionnel devient si parfaitement accordée, que le danger d’obsession est plus grand que jamais auparavant.

Mais pour vous réconforter, sachez que l’inverse existe aussi, et que la réponse à la chose divine et la rapide réaction à l’inspiration supérieure n’a jamais été aussi grande. L’inspiration divine ou cette « obsession divine », qui est le privilège de toutes les âmes avancées, sera plus que jamais comprise dans les années [2133] à venir et constituera, en définitive, une des méthodes employées par le Seigneur venant avec Ses Grands Etres pour aider le monde.

« Lettres sur la méditation occulte » Page 122 Alice Bailey  – – Djwhal Khul   Editions Lucs Trust

Publié dans:POSSESSION |on 29 octobre, 2015 |Pas de commentaires »

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