Archive pour le 19 septembre, 2015

LES MICROTUNNELS DE COMMUNICATION – comment ça se passe

ARCTURIENS

Je parlerai cette fois des microtunnels de communication à l’usage des humains. Quand un humain est prêt et disposé à établir un contact, c’est par l’un de ces microtunnels que ce contact a lieu dans la plupart des cas. Ces microtunnels relient les corps hautement dimensionnels, particulièrement le corps quinquadimensionnel de l’humain, à celui de l’Arcturien ou au vaisseau arcturien par lequel le contact est établi.

Je désire aborder ici deux aspects concernant ces microtunnels :

-      la zone corporelle et le champ énergétique où ces microtunnels permettent le contact.

-      le niveau d’activité corps/esprit requis pour un contact conscient.

D’abord le premier aspect. Le contact entre un humain et un Arcturien se limite habituellement à un changement de perception chez l’humain. Il serait très inhabituel et improbable qu’un être humain rencontre un Arcturien dans la troisième dimension car il nous faut employer une énorme quantité d’énergie pour changer de dimension. Il est donc plus opportun et plus efficace d’adapter le complexe corps / esprit de l’humain afin d ‘établir un microtunnel de communication. Les Arcturiens sont des êtres pratiques qui n’aiment pas gaspiller l’énergie ni les ressources.

Quand un microtunnel de communication est établi, il modifie l’état cérébral et l’activité physiologique de l’humain. Dans votre langage scientifique, on parlerait d’une augmentation de l’activité alpha, mais celle-ci n’est que l’un des nombreux états qui se produisent durant ces communications. Le cerveau humain est très complexe et de multiples fréquences y ont lieu simultanément. Il serait simpliste et inexact d’affirmer que les états de conscience supérieurs sont liés à de plus hautes fréquences cérébrales. Cela démontrerait une grossière méconnaissance de la physiologie et du potentiel humain.

Quand un microtunnel est établi entre un humain et un Arcturien ou un vaisseau arcturien, la perception de l’humain change spontanément. Elle devient fluide. L’individu est alors conscient d’au moins deux réalités à la fois, soit la réalité humaine et la réalité hautement dimensionnelle où a lieu l’interaction avec l’Arcturien. En de très rares cas, l’individu perd contact avec sa réalité dimensionnelle. Le monde semble disparaître et la réalité arcturienne devient son seul point de focalisation.

C’est dans de tels moments que l’humain peut conclure qu’il a été amené dans un vaisseau arcturien, mais ce n’est pas le cas. C’est simplement que son cerveau a été dépassé par la multidimensionnalité de la rencontre et qu’il a cessé de percevoir la réalité tridimensionnelle.

Pour l’individu, cela signifie que son cerveau et son esprit ne reçoivent plus l’apport de ses cinq sens. Il reçoit uniquement l’apport de ce qui se passe dans la dimension où la rencontre a lieu. Dans certains cas, un Arcturien établir un microtunnel afin de communiquer avec un humain en particulier, et parfois c’est l’inverse. Ces microtunnels sont des voies à double sens. Il est possible de prendre contact avec un Arcturien ou avec un aspect de la réalité arcturienne par un changement conscient du cerveau et de l’esprit.

Ces microtunnels traversent l’hyperespace et se connectent à votre champ énergétique, que vos anciennes traditions appellent l’aura, mais plus spécifiquement à l’un ou à plusieurs de vos chakras. La plupart des humains qui prennent contact avec des Arcturiens le font par leur troisième œil ou par le chakra couronne. Le microtunnel entre dans l’un ou plusieurs des chakras et affecte l’énergie subtile générée par vos vortex (vos chakras).

Quand se produit ce changement dans le corps énergétique subtil, il s’ensuit un même changement dans le cerveau et l’esprit, qui sont contraints de s’adapter. Ce changement dans le corps énergétique subtil crée une augmentation de l’activité alpha, un état de conscience où le corps est détendu.

Lorsque s’accroît l’influence du microtunnel dans la zone de chakras, il y a des pointes de haute fréquence cérébrale non seulement gamma, mais au-delà, jusqu’au plus haut seuil d’activité cérébrale (plus de 120 hertz).

Quand un individu s’imagine qu’il a été emmené à bord d’un vaisseau arcturien, c’est que le microtunnel s’est connecté interdimensionnellement au chakra du nombril de l’individu, ce qui fait entrer en résonance tout le corps énergétique subtil avec la réalité vibratoire du vaisseau. Lorsque cela survient, l’humain vit deux expériences parallèles ; il est à la fois dans son corps et dans le vaisseau. A un certain point de la communication, il peut avoir l’impression de se trouver uniquement dans le vaisseau, la conscience ayant quitté l’apport du corps physique pour celui du corps hautement dimensionnel, lequel est dans le vaisseau. Dans cet état, l’individu peut recevoir beaucoup d’informations et acquérir d’énormes connaissances en très peu de temps puisque le principal moyen de communication est la télépathie holographique et non les mots.

Ainsi, un individu peut se sentir dans un vaisseau pendant quelques instants seulement selon le temps de la réalité tridimensionnelle, mais d’immenses quantités d’informations peuvent se télécharge dans la réalité hautement dimensionnelle du vaisseau arcturien.

Extrait du message de EKTARA – Arcturiens  retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

 

  Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

Publié dans:MEDITATION, MULTIDIMENSIONNALITE, SOCIETE |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

Le gluten peut-il nous poser un problème

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● Les apports nutritionnels du gluten

En ce qui concerne notre santé, le gluten ne nous apporte pas de nutriment indispensable que l’on ne saurait trouver par ailleurs. 

Qu’on se le dise : un régime sans gluten ne provoque pas la moindre carence… Mais une alimentation riche en gluten… Qu’en est-il ? 

● La transformation des céréales

Lorsque l’on dit que le gluten est une colle, il est facile d’imaginer ce qu’il va faire une fois dans notre système digestif : il va coller.

Le problème est d’autant plus aigu que l’industrie agro-alimentaire est passée par là. Ainsi, le blé actuel contient trois fois plus de gluten (et de chromosomes !) que le blé d’origine. Quel a été ce processus ?

« Apparu » il y a 10 000 ans dans le bassin mésopotamien, le blé comptait alors 14 chromosomes. Il y a d’abord eu les sélections naturelles bien sûr, inhérentes à toutes les espèces vivantes.

Ensuite l’homme est intervenu. Il a d’abord choisi, puis domestiqué les variétés les plus avantageuses pour l’agriculture, les plus résistantes. La logique agricole a intensifié cette sélection : seuls les plus beaux grains étaient gardés pour être replantés, d’où les premières mutations génétiques. L’homme a ensuite croisé, combiné les variétés. Si l’ingrain (le seul blé cultivé il y a 4 000 ans environ) portait un seul grain, l’amidonnier des Egyptiens en offrait déjà deux ou trois fois plus. Notre blé commun se targue de six rangs de grains…

Le milieu naturel a eu également son mot à dire : les différents sols et climats ont influencé les sélections de blé lors de leurs « voyages » d’une région, d’un pays, d’un continent à l’autre.

Aujourd’hui, on refuse de parler d’OGM pour le blé. Pourtant, bien des manipulations ont encore été effectuées depuis les années 70. Ainsi, le blé moderne présente 42 chromosomes…

● L’impact de ces transformations sur notre organisme

Deux conséquences majeures apparaissent.

D’une part, notre organisme n’a pas évolué à la même vitesse que le blé ou autres céréales à gluten. Les manipulations génétiques des céréales font que le gluten n’est jamais complètement digéré. Le Dr Seignalet souligne également que la cuisson de ces protéines entraîne des transformations nuisibles pour notre corps.

D’autre part, certaines études ou expériences montrent à quel point l’alimentation peut influer non seulement notre terrain, mais aussi notre ADN. Ainsi, deux études indépendantes menées sur l’épigénétique – par les universités de Duke (Etats-Unis) en 2010, et de Groningen (Pays-Bas) plus récemment – ont non seulement montré que notre alimentation avait un impact sur notre ADN, mais que cet impact se répercutait sur les générations suivantes… Ces études ont par ailleurs été corroborées par des épisodes historiques, comme le développement de certaines intolérances alimentaires chez les jeunes populations (1), suite aux famines subies par les mères (par exemple l’augmentation de l’intolérance au lactose suite à la disette hollandaise de la Seconde Guerre Mondiale), ou l’apparition de certaines maladies suite aux modifications des habitudes alimentaires (phénomène largement rencontré en Asie dans les dernières décennies, et bien illustré dans le film documentaire « La santé dans l’assiette »). Dans son livre « Le syndrome entéro-psychologique », le Dr Natasha Campbell-Mc Bride a d’ailleurs expliqué que les déséquilibres intestinaux (dysbioses, porosités, intolérances alimentaires, etc.) se retrouvent de façon de plus en plus prononcée d’une génération à l’autre. 

Si l’on détecte aujourd’hui plus d’intolérances ou de sensibilités au gluten, c’est donc tout simplement parce que notre organisme n’a pas eu le temps de s’adapter, que ce soit face à la quantité de gluten ingérée ou à la transformation des céréales en elles-mêmes, et que cette inadaptation s’accentue à chaque génération. Il est alors possible de se trouver face à quatre types de situations, que nous allons détailler.

Alors, gluten or not gluten ?

Face à toutes les problématiques engendrées par le gluten moderne, il est bien tentant de conseiller une éviction du gluten de l’alimentation. Toutefois, changer son alimentation sans conseil thérapeutique n’est pas forcément une bonne idée… Effectivement, les symptômes présentés par une sensibilité au gluten peuvent être communs avec d’autres pathologies. Il vaut donc mieux savoir ce qu’il en est plus exactement. Des examens médicaux permettront de faire le point.

• Si l’on pense être sensible au gluten, mieux vaut requérir les conseils d’un naturopathe. Enlever le gluten de son alimentation ne suffit pas à régler totalement un problème de santé ou retourner vers l’équilibre. Il s’agit aussi de réinoculer la flore, réparer la muqueuse (par des moyens naturels bien sûr), et tous les autres dégâts ; une chélation des métaux lourds (en toute sécurité, sans faire de bêtises) peut s’avérer nécessaire. Enfin, enlever le gluten de son alimentation ne signifie pas que l’on mange bien : respecter un bon équilibre alimentaire reste primordial.

•             Ainsi, si l’on se contente de remplacer les produits contenant du gluten par des produits sans gluten, cela peut devenir très vite onéreux : mieux vaut modifier certaines habitudes alimentaires (en limitant sa consommation de pâtes et de gâteaux, par exemple, même s’ils sont sans gluten !) Cela peut même se retourner contre nous. La mode du sans gluten faisant son apparition, nombre de produits présents sur le marché sont très peu qualitatifs, compensant l’absence de gluten par des taux de sucre, conservateurs ou colorants frisant l’indécence…

•             Si bien des problèmes de santé ont été réglés après une éviction du gluten et que l’on souhaite le réintégrer dans son alimentation, il est important de suivre certaines règles, sous peine de retrouver des symptômes de départ intensifiés. Si rien n’a été fait pour préparer le corps à ce retour du gluten, l’organisme va réagir fortement à la réintroduction d’une molécule qui a posé problème à un moment donné.

•             C’est pour cette raison que certaines personnes critiquent les régimes sans gluten. Or les problèmes de santé extérieurs qui se retrouvent lors de cette réintroduction mal menée du gluten ne font qu’illustrer toutes les perturbations internes engendrées par le gluten initialement.

• Par expérience, la question de la sensibilité au gluten est très largement présente chez les personnes que je reçois en cabinet. Je me suis aussi aperçue d’une chose : plus les personnes sont réceptives aux différentes énergies, et plus elles sont sensibles à la qualité des aliments : que ceux-ci soient liquides (qualité de l’eau), ou solides (et dans ce cas la transformation et la mutation des produits comme les céréales pose souvent problème).

Conclusion

L’intolérance au gluten n’est pas un effet de mode : l’industrie agro-alimentaire ainsi que nos modes alimentaires, nos choix de consommations, ainsi que d’autres facteurs aggravants comme le stress ou les métaux lourds font qu’un nombre de plus en plus important de personnes sont sensibles ou intolérantes au gluten.

Ces difficultés face au gluten sont difficiles à comprendre, car les effets ne sont pas forcément immédiats, et, les symptômes peuvent être très variables d’une personne à l’autre.

La sensibilité est aussi décriée parce que difficile à détecter médicalement. Les études et validations scientifiques sont encore en cours (des recherches américaines sont menées depuis février 2015). La méthode la plus fiable est celle des tests de peptidurie, qui sont toutefois peu reconnus en France et payants, car non pris en charge par la Sécurité Sociale.

Ce seront les personnes qui ont souffert de leur intolérance ou sensibilité au gluten, qui l’auront enlevé de leur alimentation et procédé aux différents rééquilibrages qui en parleront le mieux : parce que rien ne vaut l’expérience et la santé retrouvée !

Extrait du site Energie Santé, à lire en son entier sur le site : http://www.energie-sante.net/fr/nt/NT021_gluten-ou-pas.php

Publié dans:GUERISON, HUMANITE, MALADIE, PLANTES |on 19 septembre, 2015 |Pas de commentaires »

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