Archive pour le 26 août, 2015

Mystérieux Crop Circles

 

CROP CIRCLE

Depuis une trentaine d’années, les crop-circles apparaissent dans les champs de céréales, de blé en particulier, au moment de leur maturité, ce végétal se prêtant particulièrement bien à l’élaboration de dessins complexes et précis. Cette manifestation n’est pas nouvelle puisqu’une gazette anglaise de l’an 1678 en parle déjà. Elle présente un dessin intitulé « Le Diable Tondeur » (The Mowing Devil) où l’on voit Satan fauchant un champ de blé. À cette époque de superstitions et de chasse aux sorcières, c’est le Diable qui était le responsable de tout ce qui était anormal. Dans les crop-circles, on peut supposer que le graphisme est répercuté dans la matière par un procédé de micro-ondes provenant d’un autre plan vibratoire. Ce niveau, de la 5e dimension, se mettrait en résonance grâce à la « lumière » provenant d’une 6e dimension, par exemple des formes-pensées.

Les rares spectateurs du bref phénomène de formation font état de la présence d’une boule lumineuse juste avant que les tiges se couchent, toutes dans le même sens, comme sous l’effet d’un coup de vent. L’extrême précision du dessin donnait une impression magique, comme les effets spéciaux au cinéma. Ils constatèrent aussi que les mouches restaient collées sur les épis, les pattes et les ailes largement écartées comme si elles avaient été électrocutées. Une des hypothèses avancées pour la formation en des temps très courts de ces agroglyphes concerne une civilisation beaucoup plus avancée que la nôtre basée sur Actarus, une étoile géante orangée dont le diamètre est 25 fois celui du Soleil. Aussi nommée Alpha du Bouvier, elle est située à 36,7 années-lumière de la Terre. Facile à identifier, elle se situe dans le pro longement de l’arc formé par les trois étoiles de la queue de la Grande Ourse.

Elle se déplace à la vitesse de 425000 kilomètres à l’heure. En magnitude, c’est la 4e étoile de notre galaxie. Lorsqu’on pénètre sur un crop-circle, on entre en résonance avec son énergie subtile. Stonehenge dans le Wilshire est situé au cœur de la zone des agroglyphes. Les symboles des chakras des Occidentaux se superposent à ceux des Orientaux et nous font obligation de s’intéresser aux autres cultures. Les Anciens nous ont transmis leurs connaissances par des symboles gravés dans la pierre. Les crop-circles en font autant dans les champs de blé avec leurs éphémères symboles géométriques. Les crop-circles communiquent entre eux dans un langage universel.

C’est un art éphémère à vivre sur place et dans l’instant. Ces formes géométriques très élaborées qui peuvent s’exprimer par plus de 420 cercles, sont au service du temps présent. Il est hors de question de les transférer dans un musée. En Angleterre, les inconditionnels des cropcircles se retrouvent à l’auberge « Barn Inn », à peu de distance du grand cheval blanc gravé sur la colline. Dans cet établissement, tous les agroglyphes apparus depuis 1990 sont peints sur les murs et le plafond. De plus, une grande carte en précise les coordonnées.

La numérosophie n’est jamais bien loin dans les crop-circles. C’est ainsi que l’année 2002 semble avoir privilégié le nombre 13. On peut voir sur l’agroglyphe du 25 août 2002 dans le Silbury Hill, près de la pyramide de terre, une grande étoile à 5 branches dotée dans son pentagone central d’une autre étoile à 5 branches avec son pentagone central entièrement piétiné. Entre chaque branche de la grande étoile, il y avait 13 triangles.

Le nombre 13, omniprésent dans cet agroglyphe, ramène au calendrier des Mayas basé sur 52 années, soit 4 fois 13. À rapprocher de notre calendrier solaire de 52 semaines.

L’année terrestre comporte 13 lunes anomalistiques de 28 jours, plus un jour, soit 364 + 1 = 365. Il y a 4 saisons de 91 jours, soit 13 x 7. Au cœur du système de calendrier des Mayas figurent la Terre, la Lune et le Soleil, mais aussi Vénus dont la révolution est de 225 jours au lieu de 365 pour la Terre. On remarque immédiatement que le rapport entre ces deux durées est en divine harmonie (nombre d’Or).

Il faut évoluer si l’on veut sauver notre civilisation. Nous sommes en retard par rapport au côté destructeur du progrès. La conscience devrait avancer de concert avec la science, mais cela n’est pas le cas. C’est même un désastre, ce terme signifiant « coupé de la lumière de l’astre ». L’homme est dépassé par ce qu’il a mis en place. Les cercles nous invitent à harmoniser les forces terrestres et les forces célestes. Le message en langage binaire du 15 août 2002 dans le crop-circle de Windmill Hill est significatif à cet égard. Il nous indique qu’il est grand temps de nous ouvrir à d’autres plans de conscience car le mental et l’ego nous éloignent de notre moi intérieur. Toutes les traditions font état d’un profond changement dans le comportement des humains à partir du solstice d’hiver 2012, le 21 décembre.

Une ère où les forces d’amour et de paix se manifesteront enfin. Mais, elles devront lutter contre les forces de haine, d’orgueil et d’égoïsme qui sont en train de tout détruire sur la planète. Sera-t-il encore temps ? Oui si l’on en croit le message du crop-circle du 15 août 2002 : « Beaucoup d’épreuves, mais il n’est pas trop tard ». Il faut aussi noter que le Soleil sera le 21 décembre 2012 à l’intersection de la Voie Lactée et du plan de l’écliptique. La Grande Croix cosmique qui se manifestera est signalée par toutes communautés spirituelles du monde. Ce qui est incontestable, c’est que nous vivons depuis 2002 la plus importante décennie de toute l’histoire de l’humanité.

SOURCE LES YANTRAS Tracés dynamiques des Maîtres d’œuvre du Moyen-Age de Louis Rosier aux éditions Mosaïque 2013

Publié dans:CROP CIRCLES |on 26 août, 2015 |Pas de commentaires »

L’amour évolue sans objectif précis

8bcd2adeL’amour évolue sans objectif précis. L’amour se meut simplement parce que sa nature est de se mouvoir.

Ces paroles du maître spirituel Adyashanti expriment l’essence de ses entretiens avec des disciples sur la nature de l’éveil spirituel lors de rencontres hebdomadiers, de séminaires de week-end intensifs et de retraites silencieuses.

« essentiellement, ce que je fais est essentiellement, ce qui vous amène ici, c’est le désir de vivre l’expérience directe de votre nature », dit Adyashanti. « Comment connaître l’Eveil si vous ne savez même pas qui vous êtes «  ? Sa transmission unique de la Vérité et de la liberté offre des tuyaux susceptibles de conduire les disciples à cette découverte : la réalisation de leur nature essentielle.

Adyashanti vit le jour en 1962 à Cupertino, en Californie, une petite ville dans la région de la baie de Sain Francisco ; on le baptisa Stephen Gray. D’après certaines anecdotes, il a connu une enfance heureuse et il aimait sa famille nombreuse et haute en couleur, qui comptait deux sœurs, quatre grands-parents et une diversité d’autres proches.

Son grand-père aimait à exécuter des danses amérindiennes de bénédiction pour lui et ses cousins quand ils lui rendaient visite. Adolescent et jeune adulte, Adyashanti adorait les courses à vélo, mais à dix-neuf ans, il tomba sur le terme « Eveil » dans un livre et fut obnubilé par une soif ardente de connaitre la Vérité ultime. Il a commencé un entrainement sous la direction de deux maîtres, Arvis Justi, disciple de Taizan Maezumi Roshi et Jakusho Kwong Roshi, discipline de Suzuki Roshi. Adyashanti s’st adonné au Zen de manière intensive pendant près de quinze ans et affirme qu’i a pratiquement connu le désespoir avant de s’éveiller à une série de réalisations profondes concernant sa nature essentielle et de vouloir se dissoudre tout attachement à une identité personnelle.

En 1996, son maître, Arvis Justi l’invita à enseigner le dharma. Ce qui au début n’était que des réunions sans prétention prit en quelques années la forme d’allocutions hebdomadaires sur le dharma s’adressant à des centaines de disciples. Le bouddhisme emploie le terme Dharma pour exprimer la Vérité ultime – la nature immanente de tous les phénomènes physiques et mentaux et la véritable destinée spirituelle de tous les êtres. Les discours sur le Dharma sont des enseignements offerts par celui qui vit cette vérité et connaît une réalisation évidente incontestée par une lignée de maîtres remontant jusqu’au Bouddha historique.

Un homme mince aux mouvements gracieux et au crâne rasé, Adya (tel que l’ont surnommé ses disciples) dégage une présence chaleureuse et est doué d’un formidable don pour établir des liens et s’exprimer avec clarté. Les disciples affirment que le regard sagace de ses yeux d’un bleu transparent désarme le mental et semble pénétrer jusqu’au cœur ;

Le style d’enseignement d’Adya est candide et direct, exempt du jargon zen, mais débordant de conseils indiquant la vérité universelle. Au fil des ans depuis son premier enseignement, plusieurs de ses disciples ont vécu des éveils grâce aux révélations de ses enseignements et à la transmission qui anime ses satsangs et ses retraites.

Un maître extraordinaire

Le style d’enseignement du Dharma d’Adya (également nommé satsang) se compare à celui des premiers maîtres chan (zen) de Chine ancienne, ainsi qu’aux maîtres de la tradition Advaita vedanta (non-dualité) en Inde. Il présente une grande affinité avec le regretté sage advaita, Nisargadatta Maharaj et à d’autres maîtres réalisés des traditions de l’Orient et de l’Occident. Même si les retraites qu’il dirige pour les disciples allient la médiation silencieuse, les enseignements sur le Dharma et des dialogues avec les disciples, son approche à l’éveil ne se fonde pas sur le développement de pratiques spirituelles ; elle tente plutôt de désamorcer et de déconstruire l’identité personnelle.

Comme bon nombre de ses disciple, en présence d’Adyashanti certains ont vécu un puissant éveil, qui les ont convaincus qu’il était un maître et découvert comment un guide est en mesure d’indiquer au mental en pagaille la porte de sortie et d’ouvrir le cœur directement à l’amour et à la vacuité rayonnante qui sous-tend l’existence.

Cette expérience est extraordinaire, profonde et ineffable ; elle anéantit tout intérêt pour la quête spirituelle et connecte ceux qui l’ont connue à un espace intérieur d’une simplicité, d’une tranquillité et d’une ouverture remarquables.

Adya incarne les infinies possibilités et la simplicité ordinaire d’une vie réalisée spirituellement. Il habite pleinement la vacuité et la liberté et fait preuve de la relation dynamique entre source et spontanéité, cœur et humour, appréciation pour les aspects avec ou sans forme de l’existence.

Francesca http://devantsoi.forumgratuit.org/ vous conseille de lire : « Conscience pure et Méditation véritable » de Adyashanti aux Editions Ariane 2009

Publié dans:AMOUR |on 26 août, 2015 |Pas de commentaires »

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