Archive pour le 20 août, 2015

Contacter les Animaux, une aide vibratoire directe

avec-cochonLeur aide est immense, par leur contact et présence physique, qui s’impriment au quotidien, mais aussi par leur simple existence : en connectant l’Esprit d’un Animal, l’Homme recueille immédiatement une certaine abolition de la peur et un irrépressible encouragement vers la liberté, sa liberté. C’est une véritable manne pour le corps, le cœur et l’esprit. En cela ils éduquent aussi l’Homme à aider et jouer le thérapeute et son propre thérapeute.

Pour une fois, ou pour de rares fois dans les habitudes humaines, ce n’est pas le mental, ce n’est pas pensé. Ça se passe. Ça passe par l’intérieur du corps, qui en est réveillé : c’est vibratoire, le contact est instantané et éternel… même si l’application pratique, quoi qu’il découle de ce contact, est libre de se dérouler à son rythme sur les différents plans de manifestation de la vie.

C’est un soin direct de la Nature. Les Animaux ont une quête, que personne ne peut falsifier, la quête d’Amour, où qu’ils soient, où qu’ils vivent, et quoi qu’ils vivent dans leur quotidien.Cette porte vers l’Amour Universel, qui à cette échelle-là n’a peut-être plus de nom, et qui transmute horreur, échec en bonheur, accomplissement et santé intégrale dans la joie, est juste Grande Ouverte chez Eux. Merci à Eux de faire fructifier la Bonté de la vie sur Terre, merci à eux de nous inviter et de nous rappeler dans ce processus :

• Pas de mélodrame
• Pas de prise de pouvoir
• Pas de peur de l’échec
• Pas de jugement

Car… pas d’idée de la vie, mais la sensation pulsée d’être en vie et de se sentir vivant, de se sentir pleinement conscient d’être un émissaire du Vivant, une particule envoyée ici, et reliée en même temps à lui, respirant à l’unisson avec tous par le Grand Tout. Pas d’identification par la pensée ou l’idée d’être ou de représenter quelque chose ; juste sentir et se savoir être une voie d’expression de la Grande Sagesse, le grand berceau de la vie, matière-corps-esprit tout plan confondu. Juste sentir vibrer et pulser le rythme offert par les mystères de la Vie, qui coule à travers chaque particule, chaque vivant… également libre de se croire et de se sentir individualité et de faire en son mieux…

Comment font les Animaux pour ouvrir leur esprit et se départir de trop de points de vue engluant ?

Le champ de conscience des Animaux et leurs capacités de perception extra sensorielles sont peut-être plus vastes que les nôtres, ce qui leur permet de se savoir connectés et en vie, en dépassant toute référence culturelle ou tout système de croyance… ou alors, tout simplement, et j’aime cette possible voie de compréhension… les Animaux savent de façon innée, de façon constitutive car intégrée, qu’ils Sont… et ils n’ont pas même besoin de preuve, y compris preuves multisensorielles. Leur quête n’en est peut-être plus là, vers une simplicité ultime… 

Quand je vous dis que nous sommes bien les Enfants de la Terre et que nous avons beaucoup à recevoir et à apprendre… bien blottis dans les bras de nos parents, toute cette Nature vivante autour de nous.

Être médium, c’est être un Tout, sans notion de quantification (petit-grand) ou de qualification (Qui suis-je ? Où suis-je ? Pourquoi suis-je ?).
•  En fait, ma tête ne sait pas,
•  Mon Cœur subodore,
•  Et mon Esprit Croît.

Si j’accepte cette trilogie, sans en préférer ni même porter jugement sur aucune d’étape, alors je suis la quintessence : l’expression à tout instant, en tout lieu, de la Vie pure. Et je suis, à l’instar du plus petit animal, libre d’exprimer, à chaque instant, tout ce qui fait que je suis en vie, de mes caractéristiques d’espèces à mes caractéristiques d’âme ou de famille d’âme, ad vitam aeternam.. car tout se vaut !

Et l’on vit un peu de cette inclusion tout animale à mes yeux, ou toute naturelle, cet accueil de la Pleine Vie à chaque échelle de l’expression de celle-ci à travers sa vie.

Et aussi, je suis soin, pour moi-même déjà, pour l’un et l’autre ensuite. Et l’Animal, dans toute sa splendeur, dit : ceci est le potentiel réalisé de Tous… mais il n’est pas obligé d’être vérité à chaque instant, à chaque pas. Alors, merci pour cette conciliance, cette douceur d’écoute que je rêve de côtoyer en moi, et ce lien si maternel que nos cœurs réclament si fort.
Et l’Animal toujours rajoute : rends-toi, et ensuite, offre-toi les moyens, inexorablement, de te proposer de vivre le bonheur : choisis d’écouter la Vie, quoi qu’il te soit arrivé dans ton (tes) histoire(s), quel que soit l’état de tes peurs et de tes doutes. Renforce ton désir de Vie, oublie tes absences de choix ou tes dénis, tu peux tout commencer maintenant.

Inlassablement, au fond d’eux et au quotidien, les Animaux expriment la Joie vivante, associée au renouveau, libre de recommencer chaque jour une vie. Pour eux, chaque seconde est l’occasion de (re) naître, c’est merveilleux ! C’est une grâce de la vie que de sentir qu’elle nous offre à chaque instant la possibilité, selon notre accueil et notre désir de dire oui, de redevenir neuf à ce que l’on croyait être et expérimenter.

Cette joie simple est pour moi une grande et profonde caractéristique de la sagesse animale ou sagesse de la Nature tout entière, qui leur confère tout naturellement un espoir sans fin et une confiance inestimable, source de clarté et de paix. Cet élan vital qui n’a aucune peur consciente, malgré les embûches, et qui exhorte vers l’accueil des mouvements de vie, en toute occasion !
Humain, rappelle-toi le Cœur de l’Animal, car c’est aussi ton Cœur et celui de la Création qui parle à travers toi ! Vois comme il est beau et plein de bonne volonté !

Extrait de Florence Emmeline Lombardini

Ostéopathe animalière de formation vétérinaire, communicante animale, claire-sentante

Facebook : Florence Lombardini

Association Wakama Nagi – Esprit Animal : www.wakama-nagi.org

Publié dans:ANIMAUX |on 20 août, 2015 |Pas de commentaires »

LES YANTRAS

 

TRACE DYNAMIQUE

Yantra est un mot sanskrit qui signifie littéralement « support » ou « instrument ». C’est une figure géométrique qui est, dans la pure tradition hindoue, la représentation linéaire des manifestations de l’ordre cosmique et la matérialisation des puissances divines. En Inde, au Népal et au Tibet, les yantras ont une fonction rituelle. Les petits yantras sont des supports de méditation et les grands yantras définissent les plans des temples. Ils matérialisent tous la dualité liant le divin, symbolisé par le point et le cercle, et le monde des contraires représenté par le carré, le premier des vingt rectangles sacrés.

Le yantra est l’équivalent graphique du mantra qui est la formulation mentale de ces notions ésotériques. Il combine le concept de l’infini, symbolisé par le cercle de l’Unité, avec celui du fini, symbolisé par le carré de la Terre. On retrouve aussi cet emploi conjoint du cercle et du carré dans l’art arabe des mosquées et dans l’art gothique des cathédrales. La rose sud de la cathédrale de Clermont-Ferrand est significative à cet égard. Elle exprime l’infini dans le monde du fini par une disposition quasi islamique des figures géométriques. Quant au mantra, c’est en quelque sorte, l’âme du yantra. Ils sont d’ailleurs rituellement utilisés ensemble. Les Orientaux disent volontiers: « Ce que l’huile est à la lampe et le corps à l’âme, le Yantra l’est à la Divinité ».

C’est pourquoi ils observent la plus grande prudence dans le maniement des yantras et les considèrent un peu comme des divinités secondaires, des moyens permettant l’approche divine. La forme du yantra produit un champ de forces (ou d’énergies) qui est celui de la divinité représentée par le yantra. C’est ce qui se passe avec les mandalas que sont les rosaces de nos cathédrales. Les Orientaux utilisent la forme du mandala pour bien donner aux limites extérieures des enceintes sacrées de leurs temples leur vraie fonction de frontière entre le monde sacré et le monde profane. Leurs temples ont le plus souvent la forme du yantra « vâstu-purusha » qui représente l’essence de l’homme, son Moi divin. Un yantra pratiquement parfait est celui constitué par le stùpa de Borobudur, dans l’île de Java.

C’est une montagne entièrement recouverte d’une multitude de temples édifiés au cours du VIIIe siècle de notre ère. Mandala signifie en sanskrit « roue d’énergie » ou « roue de vie ». Le plus connu en Occident est le mandala du tai-chi, la monade chinoise ou Yin-Yang. Mais, ce terme de mandala peut désigner toutes les formes qui, au travers des diverses traditions, ont servi à représenter l’ordre et l’harmonie du Cosmos. C’est un symbole universel remarquablement illustré par la lame 10 du Tarot intitulée la « Roue du Destin ».

On peut l’admirer sur le portail de la cathédrale de Beauvais. Les mandalas sont des formes parfaites qu’on rencontre partout dans la nature pour peu qu’on se donne la peine de regarder. Elles permettent d’accéder à la vision profonde du centre qui est en nous, la redécouverte de ce centre nous invitant à réintégrer l’Unité. Les formes parfaites des mandalas propres à la culture occidentale sont magnifiquement exprimées par les rosaces médiévales de nos cathédrales. Il n’y a d’ailleurs pas grande différence dans l’ordonnancement des espaces sacrés de l’Orient et de l’Occident.

Dans les deux cas, le centre (le point sans espace) est le point primordial d’où jaillit toute création. Étant à la fois unité et totalité, il contient en devenir toute la Création.

SOURCE LES YANTRAS Tracés dynamiques des Maîtres d’œuvre du Moyen-Age de Louis Rosier aux éditions Mosaïque 2013

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