Archive pour le 14 juillet, 2015

Visiter les frontières de la mort rendrait-il plus vivant

 

Rencontre avec le Dr Jean-Jacques Charbonier

L’existence de la vie après la mort a toujours soulevé de grands questionnements depuis la nuit des temps. Est-ce qu’une partie de nous survit après la mort du corps physique? Voilà un mystère qui semblait insoluble il y a à peine quelques années de cela, mais qui commence aujourd’hui à trouver des réponses fort intéressantes.

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La science se penche de plus en plus sur cette question, entre autres par les recherches faites sur les expériences de mort imminente (EMI). L’un des fervents défenseurs de la thèse de la survie de la conscience après la mort du corps physique est le Dr Jean-Jacques Charbonier, auteur de plusieurs livres, dont Les 7 bonnes raisons de croire à l’au-delà et Les 3 clés pour vaincre les pires épreuves de la vie.

 

Dr Charbonier, vous êtes aujourd’hui médecin, anesthésiste-réanimateur.

Vous vous destiniez pourtant à une carrière de médecin généraliste. Qu’est-ce qui vous a conduit vers cette spécialisation? 

Le rôle du médecin généraliste m’apparaissait être la meilleure façon d’être en contact avec les gens. En allant les retrouver dans leur habitation, je pouvais prendre en compte tous leurs problèmes familiaux. J’ai vécu une expérience durant une garde d’aide médicale en urgence qui m’a complètement bouleversé. Ce jour-là, sur les lieux d’un accident, il m’a fallu entrer dans la carcasse déformée d’une voiture par un trou qu’on avait découpé sur le toit. Je devais perfuser le jeune homme avant de pouvoir le sortir de la voiture. Du fait de mon inexpérience et de mon émotion, je n’y suis pas parvenu. C’était la première fois que je voyais mourir quelqu’un sous mes yeux en me sentant responsable de sa mort. 

J’ai vu sa pupille se dilater et j’ai senti une étincelle de vie qui s’échappait de son regard. Ici, les mots me  manquent pour traduire mon ressenti. Dans ma chair, au plus profond de moi, j’ai senti qu’une « présence » quittait son corps par le haut de son crâne. Cette présence était vivante, joyeuse. Ça peut paraître bizarre de dire que c’était vivant et joyeux, mais c’était pourtant ça. J’ai alors compris que nous sommes un esprit habitant un corps jusqu’au moment de la mort et que, lorsque la mort survient, cet esprit se libère. Je me suis souvenu du livre qu’avait écrit Raymond Moody, La vie après la vie, et j’ai su que je devais faire des recherches sur ce phénomène. En pratiquant la réanimation, je comprendrais mieux ce que vivent les gens dans le coma. J’ai donc choisi de devenir anesthésiste-réanimateur.

 

Qu’est-ce que cette prise de conscience a changé dans votre vie professionnelle? 

Avant cette expérience, j’étais complètement intoxiqué par mes études de médecine qui m’avaient fortement orienté vers le dogme matérialiste, concevant l’être humain comme une sorte de robot biologique et le médecin comme un réparateur de robot. En fin de compte, on se fout pas mal du conducteur, de l’esprit qui habite le corps, alors que c’est la façon de piloter le véhicule terrestre qui est la plus importante. Le cancer peut être considéré comme un voyant rouge qui s’allume pour nous dire que quelque chose ne va pas. Mais nous, en bons réparateurs de robots, on ne s’occupe que du voyant rouge! On va tenter de l’éteindre par la chimiothérapie, la radiothérapie ou la chirurgie. On ne doit pas s’étonner de voir ensuite un autre voyant rouge surgir. On n’a fait que supprimer sa conséquence organique sans traiter la cause initiale qui appartient au domaine de l’esprit. 

L’autre défaut de la médecine pratiquée en Occident est  de déshumaniser la relation médecin /malade en créant une distance, alors qu’il faut considérer l’être vivant dans sa globalité sans toutefois « infantiliser » ce rapport soignant-soigné. 

Mes recherches sur les EMI m’ont démontré que nous sommes avant tout un esprit dans un corps et qu’il faut aussi, et peut-être même surtout, s’occuper de l’esprit. En ce qui me concerne, je m’adresse à l’esprit. Notamment, je parle à la personne dans le coma comme si elle pouvait m’entendre. Je lui donne de l’amour. Je la touche. Je dis aux familles de lui envoyer des pensées d’amour. Même par télépathie, ça peut fonctionner. Nous avons eu des retours de comateux qui nous l’ont prouvé. 

Votre vie personnelle a-t-elle été transformée aussi? 

Oui. Je suis maintenant beaucoup plus tourné vers les valeurs humaines que les valeurs matérielles. Je suis plus heureux parce que je suis plus tolérant vis-à-vis des autres. J’ai développé l’envie de communiquer par l’écriture, les conférences et les ateliers, choses que je n’avais jamais pensé faire. Et je n’ai plus peur de la mort du tout. Comme ma propre mort ne me fait pas peur, celle de mes patients ne m’effraie plus. Je peux donc mieux les accompagner. Je ne vois plus la mort comme un échec, mais comme une étape fondamentale de la vie, aussi importante que la naissance. Ce n’est pas triste du tout. Ce qui est triste, c’est la séparation qu’elle engendre. Nous pleurons sur nous-mêmes, sur la relation avec l’autre qui ne pourra jamais plus  être la même. Si les gens pouvaient se libérer de cette peur de la mort, ils seraient davantage dans l’amour, tournés vers les autres. On aurait une société complètement différente, plus orientée vers l’amour et la spiritualité. 

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Comment définiriez-vous la conscience? 

C’est un des plus grands mystères de l’humanité, bien plus important que l’astronomie, car la conscience est en nous. La seule façon pour moi de l’expliquer est forcément réductrice, mais je crois que nous avons deux sortes de conscience : une conscience analytique et une conscience intuitive. La conscience analytique est reliée à nos cinq sens; elle nous situe dans le temps et l’espace en favorisant notre réflexion : « Je suis moi parce que je suis ici maintenant… » Dès que la conscience analytique s’éteint, soit au moment de la mort clinique, du coma, du sommeil physiologique, lors de périodes de méditation, d’expansion de conscience, de stress intenses ou d’efforts physiques, une autre forme de conscience émerge reliée à toutes nos perceptions extrasensorielles. C’est ce que j’appelle la conscience intuitive qui nous permet de communiquer avec d’autres champs de conscience tels que la Conscience Divine, la conscience artistique, la conscience des défunts ou l’inspiration. 

L’intuition, la prémonition et toutes ces facultés extrasensorielles y compris la télépathie et la médiumnité seraient secondaires au fonctionnement de cette conscience intuitive. Le problème, c’est de faire taire la conscience analytique pour que nous puissions être reliés à notre conscience intuitive. 

Y avons-nous tous accès? 

Oui, à condition de pouvoir faire taire la conscience analytique qui fait un bruit aussi assourdissant que constant. Pour certains, c’est impossible, car ils sont complètement fermés à ce genre de démarche. Ils ont le potentiel de le faire, mais pas forcément la volonté d’y accéder. 

Comment abordez-vous le sujet de la mort avec vos patients?

Que dire à une maman qui vient de perdre son enfant? Je crois que la seule façon, c’est d’être là, dans la  compassion, et d’écouter sa colère, son déni. Ces émotions font partie des étapes normales du deuil d’un être cher et, parfois, elles sont vécues très violemment. Il m’est arrivé d’être attaqué physiquement lorsque j’ai  annoncé qu’un enfant venait de mourir. Je comprends cette violence. C’est une façon d’extérioriser son chagrin. J’essaie de faire cette annonce le plus calmement possible, mais le traumatisme est inévitable. Je reste avec eux et j’écoute leurs cris, leurs douleurs. C’est difficile, je ne m’y ferai jamais. Je n’ai pas de solution miracle à cette souffrance. Mais il est essentiel d’être là, simplement, en tant qu’être humain pour partager cet évènement terrible. 

Selon vous, le moment de notre mort fait-il partie de notre plan de vie ou est-il aléatoire? 

Je crois que le moment de notre mort fait partie d’un plan de vie bien établi pour chacun de nous. Nous avons aujourd’hui accès à des outils de réanimation de plus en plus puissants pour faire reculer l’échéance. Mais ce recul fait aussi partie du plan de vie de la personne. Pourquoi une personne va-t-elle vivre avec un rein greffé et mourir ensuite au bout de dix ans? Parce que ça faisait partie de son plan de vie, compte tenu de l’évolution de la technologie actuelle. Je crois que mon travail fait aussi partie du plan de vie de la personne, comme tous les soignants et les médecins. 

Pour vous, la réanimation peut-elle être vue comme une forme d’acharnement? 

Tout dépend du contexte… Ce sera de l’acharnement pour une personne en phase terminale d’une longue maladie, mais pas pour un jeune sportif victime d’un arrêt cardiaque. Autrefois, on ne faisait pas de massage cardiaque. Le coeur s’arrêtait et on faisait le constat du décès. Je crois que nous devons mettre à la disposition des gens tous les moyens possibles pour continuer le voyage terrestre. Mais l’acharnement ne s’arrête pas au massage cardiaque, il peut être subtil tel que l’acharnement affectif. Il arrive que des gens refusent de laisser partir un proche en fin de vie et l’empêchent ainsi de quitter leur corps. Une femme était venue me voir, désespérée, parce que son père n’arrivait pas à « partir » alors qu’on ne faisait presque plus rien sur le plan de sa réanimation. 

Je lui ai dit : « Vous devriez faire comprendre à votre père que vous l’autorisez à partir pour qu’il puisse se libérer.

» Elle a quitté mon bureau et elle est revenue très vite vers moi. Alors que je croyais l’avoir choquée par mes propos, elle m’a dit : « J’ai fait exactement ce que vous m’avez dit et papa est parti dans les 15 minutes. » C’était donc elle qui retenait son père alors qu’il n’attendait qu’une chose pour passer dans la lumière : l’autorisation de sa fille! Les personnes en fin de vie ont de la difficulté à partir parce qu’elles sentent qu’on les retient de ce côté terrestre par une forme d’égoïsme affectif. 

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Vous venez de publier un nouveau livre, Les trois clés pour vaincre les épreuves de la vie. Quel est son principal message?

 En montrant la façon dont fonctionne la conscience, on peut facilement comprendre comment se comporter face aux expériences qui nous semblent les plus cruelles et qui nous font néanmoins grandir. C’est plutôt choquant ce que je vais dire, mais j’ai déjà rencontré des gens qui m’ont dit : « J’ai perdu mon enfant et ça été une chance. » Il faut assurément avoir fait un sacré travail sur soi avant de raisonner ainsi, mais cette expérience terrible peut aussi ouvrir un chemin sur le monde spirituel. Je suis convaincu que dans nos plans de vie toutes nos épreuves sont là pour nous faire grandir. Je veux donc expliquer la façon dont on peut se connecter au champ des consciences par notre conscience intuitive pour parvenir à vaincre toutes ces épreuves. 

Que signifie être pleinement vivant, pour vous? 

Être pleinement vivant, c’est être dans cette forme d’amour inconditionnel dont nous parlent les gens qui ont vécu des EMI. Je n’arrive jamais à être à ce niveau d’amour inconditionnel. Je m’en suis approché quelques fois bien sûr, mais ce n’est jamais comme ils me le décrivent. Malheureusement, je pense qu’on ne sera pleinement vivant qu’au moment de notre mort. D’ici là, on peut donner de l’amour aux  autres… Ce n’est que comme ça que l’on peut se sentir pleinement vivant, existant, et surtout utile.

  • Source : Magazine Vivre de juillet 2013
Publié dans:ESPRITS, La MORT |on 14 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

Un vent de changement souffle sur vous et vous n’y échapperez pas

 

6d261ebdb5a1c3Comme pour toutes les communications Arcturiennes, cette simple phrase se rapportait à une réalité multidimensionnelle. Si vous étiez des Arcturiens, je pourrais vous communiquer très rapidement ce qui suit. Je pourrais transférer dans vote esprit, par holographie télépathique, toute l’histoire de votre espèce, les circonstances présentes auxquelles vous faites face ainsi que les possibilités futures. Je pourrais vous communiquer tout cela simultanément, mais je suis présentement limité à l’emploi de mots rattachés ensemble par la syntaxe et par des marqueurs primitifs que vous appelez la ponctuation. Néanmoins, sans cette dernière, le sens serait difficile à  saisir.

De mon point de vue, la ponctuation ressemble aux frontières vibratoires de nos hologrammes télépathiques. Elle s’apparente à vos panneaux de signalisation. Elle vous fournit de l’information sur le territoire que vous venez de quitter ou sur celui où vous allez entrer.

Dans la conscience humaine, le langage filtre la réalité et détermine ce que vous estimez possible ou non. Ainsi, dans votre langage, s’il s’agit d’une langue indo-européenne, il y a le passé, le présent et le futur. Vous définissez ces trois temps, ces zones temporelles, de sorte que les choses se trouvent dans le présent, dans le passé ou dans le futur. Elles ne peuvent pas se trouver dans les trois en même temps. C’est pourtant exactement ainsi que nous les voyons, nous les Arcturiens.

Au moment de cette communication avec Tom Kenyon, le vent physique s’est levé tout à coup. J’ai trouvé la chose très amusante puisque je ne parlais pas de ce vent-la, même si le mot est le même en anglais. Je parlais plutôt du vent solaire.

C’est l’augmentation du vent solaire qui active l’humanité et qui la transforme sous vos yeux. L’autre élément de cette affirmation est le mot « vous ». Encore une fois, j’étais contraint par les limites d’une langue primitive et je ne pouvais pas exprimer l’hologramme télépathique intégralement et dans toute sa majesté.

Il se trouve qu’en anglais le mot « vous » s’adresse à la fois à l’individu et à la collective. Sur le plan holographique, je communiquais les deux concepts simultanément parce que l’individu ensemence la collectivité, et réciproquement. Je veux dire par là que l’individu affecte l’humanité d’une façon qui ne vous est peut-être pas évidente, mais que cette influence existe, que vous en soyez conscients ou non, et qu’en même temps la collectivité affecte l’individu. Ainsi, quand j’ai déclaré qu’un vent de changement soufflait sur vous, je voulais dire que les changements produits par le vent solaire touchaient à la fois Tom et l’humanité entière.

Lorsque suffisamment d’individus changeront leur façon de voir le monde et d’y vivre, une révolution de la conscience se produira. Cette révolution est une probabilité future qui existe simultanément dans votre présent. Si vous pouviez modifier juste un peu votre point de vue mental, vous basculeriez joyeusement dans votre futur. Par « joyeusement », j’entends ici l’euphorie d’acquérir un grand sentiment de liberté ; celle de créer de nouvelles réalités. Vous subissez une accélération temporelle à la fois individuellement et collectivement, et votre société planétaire se transforme de plus en plus rapidement. Vous êtes sur le point de découvrir d’extraordinaires technologies qui pourront améliorer ou décimer la vie sur votre planète. Il s’agit à la fois d’une très belle occasion évolutionnaire et d’un immense défi. En établissant des communications plus directes avec un plus grand nombre d’individus, nous espérons vous inspirer une vision plus large du cosmos et de la place qu’y occupe l’humanité.

La libre circulation de l’information est l’un des signes d’une société libre et intelligente. C’est l’un des fleurons de la civilisation arcturienne et c’est la norme selon laquelle nous mesurons toutes choses. Par le développement des télécommunications, le réseau Internet a grandement rempli cette fonction. Bien sûr, il véhicule un mélange d’informations précieuses et de déchets. Comme en toutes choses, il vous incombe de distinguer le vrai du faux, de faire le tri entre ce qui a de la valeur et ce qui n’en a pas. L’individu est le seul à pouvoir assumer sa responsabilité en cette matière. Sachez que les puissances qui contrôlaient le monde ancien s’adaptent au monde nouveau et qu’elles utiliseront aussi de la technologie à leur profit.

Vos technologies éolueront-elles dans le sens de l’affirmation de la vie ou deviendront-elles de plus puissants instruments au x mains des hommes d’influence qui manipulent dans les coulisses les événements mondiaux à leurs propres fins ?

Votre univers est rempli d’intelligences extraterrestres dont certaines ressemblent aux humains. Cependant plusieurs de ces êtres ne vous ressemblent pas et vous auriez de la difficulté à les imaginer, tellement ils sont étranges. Je vous conseille toutefois de ne pas juger un extraterrestre sur son apparence. Il faut aller sous la surface pour trouver la qualité de l’individu et les valeurs culturelles de la civilisation, même si cette dernière diffère beaucoup de la vôtre.

Vous êtes la royauté intergalactique, votre ADN est issu d’une myriade de civilisations intergalactique et vous êtes maintenant sur une voie rapide conduisant à votre grand potentiel évolutionnaire.

Vous vivez dans le présent, vous rachetez le passé et vous créez un futur glorieux, si c’est là votre choix. Si vous ne choisissez pas les plus hautes fréquences de votre potentiel, vous serez maudits par votre passé et il ne vaudra pas la peine de vivre dans le futur. La nature humaine renferme les semences de la véritable grandeur. Je désir vous transmettre la plénitude de mon hologramme télépathique, le futur probable de l’humanité masculine et féminine que je tiens pour véritable.

Votre futur vaudra la peine d’être vécu et votre destinée sera acclamée dans tous le cosmos.

Extrait du message de Frephios – Arcturiens  retranscrit par Francesca du blog http://francesca1.unblog.fr/

 

  Extrait du livre LE GRAND POTENTIEL HUMAIN – Les Pléiadiens, les Hathors et les Arcturiens aux Editions ARIANE.

 

Publié dans:2015 - PREDICTIONS |on 14 juillet, 2015 |Pas de commentaires »

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