TOUT ANIMAL SUR TERRE EST SACRE
La grande honte d’une ère civilisée et le déshonneur absolu d’une humanité totalement irresponsable et en situation de grand désarroi est la maltraitance animale et la désespérant qui l’accompagne.
Pourquoi faire payer nos erreurs ou nos difficultés à des êtres innocents sans défense ?
Les animaux ne comprennent que la tendresse et l’amour, contrairement à de nombreux humains pour qui ces sentiments ne concernent que leur compte en banque et leurs intérêts financiers ou bassement matériels. Produisez ! produisez ! … veaux, vaches, cochons, couvées… même si la maltraitance ne se limite pas à cette catégorie d’animaux.
S’il est vrai que parfois, le bien peut être confondu avec mal, il n’existe pas de confusion possible lorsqu’il s’agit de maltraiter un animal. Lorsqu’un humain agit en conscience pour une œuvre quelconque au profit de ses concitoyens ou d’autres personnes en difficulté momentanée, il pense à juste tire œuvre pour le bien d’autrui, et il est vrai que c’est la réalité. Cependant n’oublions pas que nous sommes venus sur terre pour vivre des épreuves que nous-mêmes nous sommes assignées. En conséquence, celui qui enlèverait l’obstacle placé devant lui agirait pour lui comme pour nous dans le sens du bien, mais il n’est malheureusement qu’apparent. Cependant, il n’est pas inutile d’aider puisque c’est le sens de la mission qui est la nôtre, mais aider dans le sens spirituel de la démarche.
Les animaux n’ont rien demandé d’autre en venant sur terre qu’être heureux et bien traités. Même s’ils savent qu’ils servent l’homme, l’esprit de l’animal sait ce qui l’attend. Il n’est pas un objet ni une machine à produire ou à reproduire ; c’est ce que beaucoup d’hommes croient. Mais ces gens ne sont que de simples esprits en tout début d’évolution.
Les animaux ont une âme, bien sûr. Comment pourrions-nous imaginer un seul instant que l’animal qui donne tant d’Amour à son prochain puisse en être dépourvu. Laur âme es pourtant bien différente de celle de l’humain. Elle ne comporte pas en sont sein de progrès personnel à réaliser, ou d’accomplissement quelconque que l’animal porterait consciemment. Le jugement ne l’habite pas davantage, l’âme en est dépourvue, et pour cause : aucun animal n’est jugé dans notre monde. Les animaux se prosternent tous devant Dieu dès qu’ils ont franchi la porte de leur Paradis. Le paradis animal ressemble au Paradis humain, il est harmonieux en tous points et seul l’Amour règne en ce lieu.
La condition animale est très différente de la condition humaine, même si parfois elle s’en approche de façon étonnante. Mais cela n’est qu’apparence parce que l’animal est un être dépourvu de conscience au sens humain du terme, même s’il sait parfois que son action n’est pas toujours en harmonie avec l’attente de son maître. Toutefois, c’est plus la crainte de la correction plutôt que sa raison qui le conduit à adopter un comportement opposé à son instinct. L’humain est pour eux un être reconnu, mais rarement pris en considération, sauf si celui-ci est débordant d’Amour.
Le degré d’amour distribué sans compter de leur part est différent selon les races. L’instinct animal vient souvent contrarier ce sentiment exprimé par lui. Ce qui veut dire que l’animal peut être très affectueux et docile avec certaines personnes, mais également indifférent, très agressif ou méchant avec d’autres. Cela vaut également pour les animaux entre eux. L’hypocrisie ne fait pas partie de sa panoplie sentimentale, contrairement à l’humain qui ne sait que tromper ou trahir en se voilant la face !
Certains se reconnaissent et d’autres ne se reconnaissent pas. C’est un peu le même mécanisme qui est en jeu chez l’humain, à partir de l’instant où il a dépassé toute notion matérialiste de la vie, et qu’il s’est installé dans le registre le plus sincère des lois régissant les rapports entre les hommes. Il s’agit pour l’humain d’un système de valeurs, d’une échelle qu’il gravit progressivement au fur et mesure de ses incarnations successives.
Nos animaux domestiques sont ceux qui donnent le plus d’Amour. Il suffit de les aimer pour qu’ils nous le rendent au centuple. Parfois et même très souvent ils aiment aussi ceux qui les maltraitent. Ils ont pour eux de façon instinctive, une forme de pitié parce qu’ils savent, même s’ils sont dépourvus d’intelligence au sens humain du terme que l’individu qui les frappe, les martyrise, les tue sans égard, ou qui les fait volontairement souffrir pour sacrifier à des rites ignobles, est un esprit faible et primaire. Nul esprit évolué ne peut faire de mal à l’animal, quel qu’il soit. Parce qu’il sait qu’en se rapprochant de Dieu il se rapproche aussi de toutes les créatures de l’univers qui sont bien sûr telles que François d’Assise le proclamait haut et fort : « ses frères, ses sœurs ou ses parents… »
Ils reconnaissent le fort, mais ils reconnaissent également le faible. Ils sont respectueux de l’un et de l’autre quoi qu’ils leur fassent, quoi qu’il leur en coûte, même si la vie leur est enlevée. Les animaux savent pourquoi ils sont venus sur terre, et chacun joue son rôle. Ils n’ont besoin de personne pour dicte leur conduite. Ils ont tout simplement besoin eux aussi d’exemple : cet exemple dont leurs parents ne sont pas dépourvus et qu’ils leur enseignent selon leur propre condition animale.
Tout doit être fait pour éviter de faire souffrir les animaux. Ce mal n’est pas un mal nécessaire, mais bien un mal inutile. Il ne fera grandir ni le bourreau, ni sa victime, et pour cause : l’animal n’est pas sur terre pour progresser spirituellement. En conséquence, tous les individus qui se livrent à des actes barbares sur les animaux, quels qu’ils soient, auront un lourd tribut à payer. Il serait bien qu’ils s’en rendent compte dès maintenant et qu’ils cessent leurs brutalité. Mais l’argent…. toujours lui, les rend sourds et aveugles.
Ils ne voient plus ce qu’est un animal, ils n’imaginent plus que c’est un être sensible qu’il faut aimer et surtout protéger pour la sauvegarde des espèces. Ces êtres sont ignobles, qu’ils puissent une seule fois dans leur vie se mettre à la place de ceux qu’ils font gratuitement souffrir.
Une loi spirituelle inflexible et incontournable doit être marquée au plus profond de notre âme et de notre conscience : tout acte de violence perpétré gratuitement sur quiconque est en particulier sur les êtres innocents sans défense, sera retourné à son envoyeur qui en supportera à son tour toute la douleur morale. Mais il nous faut savoir qu’elle sera amplifiée considérablement et multipliées par 10…. 100 fois. Personne ne peut éviter le retour de bâton.
Rares encore sont les humains qui se préoccupent du triste sort de ces bêtes encagées, qui subissent quotidiennement la douleur physique et morale. Les hommes qui pratiquent de telles monstruosités en seront un jour redevables. Ils seraient bien inspirés de s’en rendre compte dès maintenant.
Les animaux n’ont pas à subir la domination des hommes assoiffés de pouvoir et d’orgueil. Les animaux sont des êtes sensibles, ils doivent à ce titre mériter le plus grand respect. Laissons-les vivre en paix. Donnons-leur les meilleures conditions de vie, surtout à ceux qui nous nourrissent. Elevons-les naturellement, sans les heurter et en les aimant. Ils nous le rendront des milliers de fois au cours de leur ive et ne seront jamais épuisés par l’Amour. Ils ne réfléchissent pas sur ce qui est bien ou mal : ils aiment. Prenons exemple !
La chose bonne action dans le fait de donner la mort à un animal est dans le but de le libérer d’une maladie incurable s’il n’est plus possible de le soigner, parce que contrairement à l’humain, il ne progressera pas spirituellement par la souffrance. Dans ce cas, il nous est permis de le faire.
Lorsque tous les animaux auront disparu de la surface du globe, les hommes gémiront, se plaindront, et reconnaîtront enfin qu’ils se sont mal conduits vis-à-vis de ces créatures sensibles. Alors, ils pleureront sur leur sort et admettront leurs erreurs. Mais il sera trop tard, leurs crimes seront définitivement achevés.
Francesca du Blog http://channelconscience.unblog.fr/

Vous pouvez laisser une réponse.
Laisser un commentaire
Vous devez être connecté pour rédiger un commentaire.