Quand l’émotion est là, que fait le médicament
Il s’agit généralement d’une substance artificielle fabriquée par processus chimique, une antique science que bon nombre d’aliénigènes en visite sur la Terre ne connaissent qu’au travers des archives historiques galactiques. Il faut savoir que les hommes sont loin de savoir utiliser les facultés de matérialisation de l’esprit. Ils ne subissent les conséquences de la matérialisation de leurs faibles pensées qu’à force de les répéter encore et encore, et ceci, sans aucun contrôle conscient au cours du processus. Et bien entendu, ils ne savent rien matérialiser s’il n’existe pas déjà un substrat matériel ou une situation sur lesquels ils puissent travailler. Seuls certains grands mages ont jusqu’à présent réussi à matérialiser quelques objets matériels à partir d’énergie spirituelle. Vous comprenez maintenant pourquoi avoir recours à cette chimie. Par celle-ci, donc, ils fabriquent des substances physiques qui théoriquement éliminent les symptômes d’une maladie (mais, bien entendu, pas sa cause).
Venons en maintenant à éclaircir ce terme. Une maladie est, en fait, le résultat de la densification d’un désordre fonctionnel quelconque. Neuf fois sur dix, dans l’humanité à son niveau d’avancement actuel, le désordre fonctionnel se situe sur le plan émotionnel et sensitif. Les hommes ont encore la fâcheuse habitude d’être totalement sous contrôle de leur nature émotionnelle. Le désordre prend généralement deux expressions de base distinctes : ou bien il provient d’une utilisation excessive d’une énergie émotionnelle donnée (ou de plusieurs simultanément), ou bien il provient de la répression de cette énergie, répression provenant du fait que l’Homme ne connaît généralement aucun autre moyen pour ne pas ressentir une émotion donnée. Comme vous le savez, l’émotion étant de nature fluide, un excès émotionnel est comparable à un torrent en furie, alors qu’une répression est similaire à une retenue artificielle d’eau, tels les barrages encore fabriqués sur Sol 4.
Plus le torrent émotionnel est puissant, plus il érode la matière dense du corps physique. Dans le cas d’une répression d’un courant émotionnel, il vient un moment où le barrage cède et où l’eau se déverse avec furie dans le monde physique. Répressions ou excès émotionnels provoquent souvent une prolifération cellulaire dans la zone affectée par l’impact fluide. Et cette zone dépend de la nature du fluide, donc de l’émotion. En effet, quand un organe reçoit un afflux excessif d’énergie émotionnelle non contrôlée, il y réagit souvent en accroissant anarchiquement la matière qui le compose, d’où cette prolifération cellulaire appelée sur Terre, cancer. Les autres impacts émotionnels peuvent affaiblir la résistance du véhicule physique et altérer l’énergie vitale du corps éthérique. De manière générale, quand une énergie émotionnelle descend dans le plan physique, par le plan vital, elle finit toujours par générer une maladie sur ce plan.
Ce que les hommes n’ont pas encore compris est que les maladies ne sont pas provoquées par les micro-organismes qu’ils appellent bactéries et virus. Ceux-ci sont de toute manière continuellement présents dans leur propre corps ou dans leur environnement immédiat, voire même directement fabriqués par l’organisme avec son matériel génétique. Les bactéries et virus restent sans effet sur un véhicule physique parfaitement sain soutenu par un corps éthérique chargé de vitalité, par une nature émotionnelle équilibrée et par des pensées positives. À l’inverse, la crainte d’une maladie virale ou bactérienne, ou la simple idée que l’on risque d’en attraper une, suffit à affaiblir la nature émotionnelle, puis par répercussion la nature vitale et finalement le corps physique.
Les bactéries et virus sont, comme il est communément connu par les aliénigènes visitant la Terre, des êtres symbiotiques qui n’affectent jamais ces derniers en raison des natures vitales et émotionnelles tellement bien intégrées au mental qu’elles sont passées sous le seuil de conscience. Les émotions existent chez la plupart des aliénigènes évolués, mais elles ne fonctionnent pas de manière déconnectée des autres composantes formelles du véhicule d’incarnation. Le corps émotionnel n’est plus chez eux qu’embryonnaire ou bien tellement étendu qu’il englobe la planète sur laquelle ils vivent. Dans le premier cas, les émotions sont gérées automatiquement par le deva émotionnel de l’être et parfaitement adaptées aux énergies mentales et vitales. (Les hommes ne connaissent pas, sauf rares exceptions, l’existence des règnes évolutifs spéciaux des élémentaux et des deva chargés sur une planète donnée de la gestion des formes. Ils sont encore à l‘école primaire de la vie). Dans le second cas, c’est l’hôte de la planète qui permet le contrôle automatique des émotions. Sur la Terre, deux êtres ont réussi les premiers et assez récemment à atteindre un niveau évolutif leur permettant une gestion saine de leur nature émotionnelle et sensible. Le premier, surnommé le Bouddha, a réduit son corps émotionnel à sa plus simple expression par le recours au mental et à l’aspect Sagesse de l’énergie cosmique d’Amour-Sagesse.
Le second, le Christ, a étendu son véhicule émotionnel à l’échelle de l’humanité et ce véhicule fonctionne maintenant en étroite relation avec la résonance émotionnelle la plus basse de Gaïa. Pour cela, il a utilisé l’aspect Amour de la même énergie cosmique.
EXTRAIT de « La Terre vue d’ailleurs » par http://www.louisecourteau.com/

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