Archive pour le 1 octobre, 2014

L’amour est un chemin de conscience

 

images (2)« Aime ton prochain comme toi-même » a dit Jésus- Christ. Le Christ est le grand messager de l’amour tout comme le Bouddha fut celui de la sagesse. Celui qui se tourne vers sa lumière dans l’élan pur de son coeur trouvera toujours le réconfort nécessaire pour apaiser les forces tourmentées en lui. Mais le message du Christ va au- delà du réconfort et de la bénédiction individuelle. Il vise à libérer tous les êtres  à travers une force qui émane de la Source Originelle.

L’être humain développe généralement l’amour pour ses proches, les êtres et les choses qu’il connaît et apprécie. Par la loi des affinités, il aime aussi le groupe auquel il s’identifie comme son pays ou sa religion. Pour cela comme pour le reste, l’amour est généralement un courant quasi inconscient de la vie qui va faire que le médecin aimera son travail, la mère de famille aimera ses enfants et l’écologiste aimera la Terre. Tous ces comportements, même s’ils sont des manifestations de l’amour, ne dépassent pas la sphère de la personnalité. Car par ailleurs l’homme continue de se battre, de rejeter et de concentrer son énergie créatrice à des fi ns égoïstes. Il apparaît ainsi une force de séparation qui est très présente dans l’oeil humain et dans la compréhension qu’il a de l’univers et de son environnement. Nous voyons donc que l’homme n’applique que très partiellement la parole du Christ. Pourtant l’amour est la force qui maintient toutes choses unies, il est le liant de l’univers. Il est ce qui, sur le chemin de l’évolution, nous permet d’harmoniser notre être et d’avancer en conscience vers la Source. Il est donc essentiel de comprendre ce qu’est l’amour et que tous les êtres portent en eux le potentiel d’expression de ses plus subtiles manifestations. 

Les quatre degrés de l’amour impersonnel

L’amour – selon le degré de lumière – a de nombreuses vibrations. Nous pourrions considérer qu’il y a autant d’états d’amour qu’il y a d’étoiles dans l’univers, toutes étant une manifestation condensée d’un courant de vie, d’une vibration ayant pour origine la Source unique d’amour. Pour s’élever dans les sphères supérieures de l’amour impersonnel, nous retiendrons quatre états vibratoires. Toutefois le lecteur gardera à l’esprit que chaque vertu exprimée dans sa perfection est une émanation supérieure de l’amour qui le lie à son âme. Bien sûr l’amour est omniprésent sur la Terre et les quatre états évoqués ici concernent celui qui veut s’élever dans les étages supérieurs de la conscience.

Le premier état de l’amour est la compréhension

A travers la compréhension, un être a la possibilité de se relier à la Source car il est en mesure de percevoir au-delà du voile de la matière. Les apparences sont parfois la manifestation de la souffrance et de la difficulté. Il semble difficile de se relier à la Source par l’amour puisqu’il n’est pas toujours visible autour de soi. C’est la raison pour laquelle la compréhension est la première manifestation supérieure de l’amour. La compréhension permet de se relier à la Source en soi et ce, en dépit des apparences. L’être s’élève alors au-delà des blessures de sa personnalité et entre dans une perception élargie. Celui qui voit le monde qui l’entoure et ses expériences de vie en ayant compris les lois est en mesure de nourrir en lui l’amour pour la Source de cette vie. Il comprend les causes des apparences et s’éloignent de lui les forces de rejet, de trahison, d’abandon, d’humiliation et d’injustice. Il est ainsi en mesure d’aimer les êtres, car il comprend que comme lui, ce sont des âmes sur le chemin, même si leurs comportements peuvent lui sembler négatifs. Il comprend que la Loi de Cause à Effet est absolue et parfaite et qu’il y a un but derrière chaque expérience de vie. La compréhension permet de ne plus juger, elle est le premier état de l’amour.

Le second état de l’amour est l’empathie qui mène à la compassion

Par l’intelligence, l’être comprend la perfection de la vie. Par l’empathie, il oriente la force qui émane de lui vers les autres. C’est le rayon des thérapeutes, de tous ceux qui veulent aider leur prochain. La compassion est la force qui permet d’offrir. Comme une bougie peut allumer des milliers de bougies sans perdre sa propre lumière, la compassion est la force de l’amour qui donne sans jamais perdre. La compassion est une formidable intelligence. Celui qui manifeste la compassion génère une gigantesque force car un lien l’unit à la Source. La grande compassion vise à libérer tous les êtres et lorsqu’elle est orientée, cette force est toute puissante. C’est le cas du plus grand mantra du bouddhisme : « Om mani padme hum » qui signifie « le joyau dans le lotus » faisant référence à la sagesse innée qui nous relie à la réalité ultime. Ce mantra porte en lui les grandes vertus transcendantes que sont la générosité, l’éthique, la tolérance, la persévérance, la concentration et le discernement. Il est directement lié à la compassion car celui qui suit la voie de l’amour-sagesse libère les êtres. Par ce mantra la compassion est envoyée à l’univers entier. Il porte en lui la semence libératrice de tous les mondes, des paradis aux enfers. Celui qui voudra bénir l’univers entier pourra le pratiquer quels que soient sa tradition et son système de croyance. En d’autres termes ce mantra signifie : puissent tous les êtres être libérés de la souffrance. Il est le verbe fait compassion.

Le troisième état de l’amour est la joie

La joie est force de bonheur car elle amène paix et contentement. De plus la joie est communicatrice. Celui qui connaît la véritable joie n’est plus influencé par les météos de la vie. La Source en lui embrase toutes les forces qui pourraient l’éloigner du chemin de l’amour. Celui qui connaît cet état dans sa vie écarte de lui les gros obstacles et les souffrances inutiles. Il vit avec la Source et la partage autour de lui dans la légèreté. S’il vit dans cet état de satisfaction intérieure qui emplit toute sa conscience, l’être ne connaît plus le manque. S’éloignent de lui à tout jamais l’avidité et les frustrations de toutes sortes. Il est alors en mesure de vivre en harmonie avec la Création. La joie est une cause et, en tant que telle, elle n’a donc besoin d’aucune autre cause pour être. Dans le cas contraire, elle devient un sentiment qui est lié au plaisir. Le véritable bonheur se trouve dans la joie libérée d’autres causes qu’elle-même.

Le quatrième état de l’amour est le lâcher-prise

Le véritable amour est inconditionnel. Aussi le courant d’amour est par son essence au-delà de toute attente, au-delà de tout résultat. Dans le lâcher-prise, l’être expérimente la liberté. Il est dans la maîtrise car quelles que soient les conditions extérieures, il est dans la plénitude intérieure. Son amour ne connaît pas de limites. Celui qui vit dans l’amour inconditionnel est avec la Source, il est dans l’impersonnalité ; ses besoins inférieurs diminuent et sa vie est la démonstration de la divinité manifestée. En lui la séparation n’existe pas et de sa vie n’émane aucun tort. Par ses pensées, ses sentiments, ses actes et ses paroles, il apporte une activité positive qui fait grandir les vertus sur la Terre…

 

Par Raphaël Vehadi http://www.magazine-essentiel.com/

Publié dans:AMOUR |on 1 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

Quand la Nature et l’Homme vibrent des mêmes émotions

 

 images (1)Voilà bientôt 100 ans que le Dr. Edward Bach nous a quitté, pourtant son oeuvre et ses remèdes, les célèbres « Fleurs de Bach », sont plus que jamais utiles pour aider à retrouver la paix de l’esprit et baliser notre chemin de vie, en toute simplicité !

Hommage à un homme et un héritage d’exception…

Edward Bach naît en 1886 en Angleterre. Passionné de nature et mu par une empathie immense pour tous les êtres vivants souffrants qui croisent son chemin, il décide très tôt de devenir médecin. Son rêve d’enfant de découvrir une méthode de guérison simple et à la portée de tous animera sa vie. Entré à l’université à l’âge

de 20 ans, il devient, à l’âge de 28 ans, diplômé en médecine, chirurgie et santé publique. Tour à tour pathologiste puis bactériologiste, il entame une brillante carrière au cours de laquelle les consultations et la recherche médicale se mêlent intimement pour l’amener à la mise au point de vaccins injectables préparés à partir de germes intestinaux et destinés à traiter les maladies chroniques. 

Les résultats obtenus sont formidables, mais E. Bach a à coeur de développer une médecine moins agressive pour les patients. 

Vers une médecine plus humaine

Son entrée à l’Hôpital Homéopathique de Londres en 1919 marque un tournant dans sa carrière. Il y découvre les travaux d’Hahnemann (le père de l’homéopathie) qui l’amènent à mettre au point 7 vaccins préparés selon la méthode homéopathique qui feront sa renommée internationale, les « Nosodes de Bach ». Ces années de travail acharné l’épuisent mais le confortent dans l’idée que la médecine se perd en techniques complexes en oubliant ce qui est vraiment important: le malade. Sa clientèle importante lui a en effet révélé que, bien plus que la maladie, c’est la façon qu’a le patient d’y réagir qui conditionne ses chances de guérison ! Edward Bach va donc suivre l’idée qui l’a toujours habité : chercher des remèdes centrés sur la personnalité du malade et qui soient issus de la Nature, à l’opposé de ceux basés sur les germes de la maladie qu’il a employé jusqu’alors. 

Tous les remèdes sont dans la Nature

L’année 1928 marque pour Edward Bach le début de découverte de sa nouvelle méthode de guérison. De plus en plus oppressé par la ville, avide de grand air et fidèle à sa détermination habituelle, il quitte Londres, renommée et sécurité financière, pour partir à la recherche des plantes de la Nature à même de soulager les malades. Doté d’une intuition profonde, en communion avec l’énergie du végétal, véritable canal humain entre l’énergie de la plante et celle du malade, il est capable de reconnaître la plante permettant d’équilibrer telle ou telle disposition d’esprit du patient ! Car là est sa conviction : les maladies physiques trouvent leur origine dans le déséquilibre émotionnel qui affecte la personne et finit par se matérialiser dans son corps physique. Mettant au point les méthodes permettant de recueillir l’énergie des fleurs, E. Bach découvre ainsi, entre 1928 et 1936, 38 remèdes communément appelés « Fleurs de Bach ». Chaque remède avec lequel, pendant 6 ans, il va ainsi traiter ses patients, permet d’équilibrer une émotion. Les résultats qu’il obtient sont remarquables. 

La mission d’une vie

Ayant découvert les 38 remèdes à même de rétablir l’équilibre émotionnel des patients, Edward Bach s’éteint en 1936, à l’âge de 50 ans. Pour un homme dont l’un des idéaux était d’être fidèle à sa mission de vie et de permettre aux autres de découvrir la leur en usant de ses remèdes tant comme moyen de guérison que comme outil de développement personnel, on ne peut s’empêcher de penser qu’il s’en est allé une fois sa mission accomplie. Si aujourd’hui le plus connu de ses remèdes est en réalité un mélange qu’il mit au point pour les situations d’urgence – le «Rescue» – les 38 fleurs de Bach continuent d’aider les gens de par le monde à faire face aux peurs, manque de confiance en soi, deuil, colère, amour excessif,… en somme tout ce qui constitue la nature humaine. Aujourd’hui encore, des conseillers formés à la méthode du Dr. Bach par Le Centre Bach [demeure d’Edward Bach dans les dernières années de sa vie et aujourd’hui encore gérée par ses successeurs, fidèles à son enseignement] aident les personnes à retrouver la sérénité grâce à ces élixirs floraux et en suivant l’idée, si chère au Dr. Bach, de simplicité au service de l’autre. 

téléchargementSi les récents développements de la physique quantique et de ses applications aux êtres vivants permettent aujourd’hui de mieux comprendre les fondements scientifiques de l’efficacité des fleurs de Bach, tout aussi important est le message transmis par E. Bach au travers de son existence: retrouver la responsabilité de sa santé et accomplir sa mission de vie dans le respect du monde qui nous entoure est le plus sûr chemin vers la santé et le bonheur.

 

Sources : Formation de Conseiller Agréée en Fleurs de Bach dispensée par la Fondation Bach, Livre : « Les découvertes médicales d’Edward Bach, médecin » (Ed. le Courrier du Livre).

 

Publié dans:NATURE |on 1 octobre, 2014 |Pas de commentaires »

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