Archive pour le 1 septembre, 2014

Récit de l’EXPERIENCE d’un Canal

 

Kryeon2 - CopieJe m’assois dans le fauteuil et c’est le silence, quel que soit le nombre de personnes devant moi. Je l’ai fait dans des auditoriums remplis, dans la cambrousse et à l’intérieur d’un cercle restreint. J’ai alors le sentiment d’être sur le point de traverser un pont, et il y a toujours une hésitation. Puis, je me sens entrer dans une indescriptible brume de réalité. Oh, on peut apprendre à canaliser, mais personne ne peut vous enseigner ce que je suis sur le pont de sentir et de voir. La brume, c’est là que se trouve l’amour, et c’est un lieu où l’on veut rester. L’esprit tridimensionnel n’y est pas préparé, et il m’a fallu plus d’une décennie pour arriver à cette pureté, à cet espace où je suis suspendu entre ce que je sais dans la troisième dimension et ce que je « sais » en tant qu’enfant de Dieu.

Comment expliquer la transformation dimensionnelle de chaque cellule qui reçoit un murmure ? Lorsque je suis en mode canalisation, ma structure cellulaire change – oh, quel sentiment ! Je garde les yeux fermés, mais soudain je n’ai plus d’yeux. D’autres peuvent canaliser les yeux ouverts. Pas moi.

L’Esprit a enlevé les filtres de la troisième dimension et m’a retiré de ma réalité, mais je suis encore dans mon corps. Personne ne peut m’enseigner cela. Il n’y a pas moyen d’enseigner cette connexion à un état de pureté et de laisser derrière soi tout ce qu’on a appris. On ne peut enseigner comment regarder qu’un côté de la dualité. On a quitté la rive et on regarde en arrière l’essence même de l’humanisme, qui ne nous concerne plus.

Lecteur, considère cela avec quiétude. Là où je suis, il n’y a aucun son. Il y a le sentiment d’une sorte de brise, d’un souffle, d’un murmure. Il y a un message que je ne peux déchiffrer, et pourtant j’y arrive. C’est une voix familière qui parle en une langue que je connais très bien mais que je ne peux me rappeler. Je ne suis pas encore en train de canaliser, ou peut-être que si. Il n’y a aucune référence temporelle, et je sens la grandeur d’autre chose. Qu’est-ce que c’est ? Quel aspect de moi suis-je sur le point de rencontrer ?

« Qui est là » ?

Le message es transmis d’un seul coup, sans aucun son, à mes cellules. Suis-je encore en train de parler dans le fauteuil ? Quelle importance ? vais-je retourner à ma réalité ? Quelle importance ? Soudainement, j’entends une voix ; elle est coupée de la réalité, mais c’est la voix de Lee ; Elle paraît étrange, puisque ce n’est que l’une de mes nombreuses voix. Mon Akash résonne avec la vérité de ce qui se passe, et la voix qui murmure prend de la force. « Salutations, très chers. Je suis Kryeon, du Service magnétique ».

Se peut-il que je ne sois qu’au début ? Je suis dans la brume depuis longtemps. Je sais où je suis. J’y suis déjà allé maintes fois. Devrais-je avoir peur ? C’est le chemin que nous finissons tous par prendre pour arriver à la lumière ; Beaucoup sont venus ici en route vers un autre endroit. Je le sais. Lorsque nous poussons notre dernier soupir, c’est là que nous allons ; Nous vivons une suspension de tout ce qui est réel ou qui l’a déjà été. Le murmure du vent commence à nous guider sur un chemin de lumière. Mais dans mon cas, il n’y a pas de chemin, car j’ai accepté d’entrer et de sortir. En fait, c’est une sorte de chemin où je m’arrête et j’attends.

Je sens l’humanité devant moi dans la salle, mais ce que je sens c’est leur Akash, et non leur corps physique ; Lee parle. J’écoute et je me rappelle ; c’est mon accord avec Kryeon. Je ne suis pas ailleurs. Je suis ici avec Lee. Mais<… oh, cette voix qui murmure « Je ne veux plus jamais partir.

Beaucoup sont arrivés ici alors qu’ils se rendaient ailleurs. Certains nient cette réalité. Certains ont l’impression d’être morts. Certains sont effrayés, mais la plupart sont très paisibles. C’est une voie à sens unique, et la brise souffle en direction de la lumière. Certains vont au bord d e la lumière, et en reviennent. Mais après avoir entendu la voix de ce vent, vous n’êtres jamais le même. Qu’arrive-t-il aux humains qui ont entrepris un voyage dans lequel la réalité de leur situation est plus forte que ce qu’ils connaissent de la réalité humaine ? Comment est-ce possible ? La réponse, c’est qu’ils aspirent au lieu « réel », même après être revenus dans leur corps. Personne ne peut vous convaincre du contraire, car vous l’avez vécu et vous savez que c’est « la ». Vous avez ressenti la réalité de votre place dans l’Univers, et la vie humaine devient un simple détour.

Depuis des années, j’ai effleuré le visage du vent, mais ce n’est qu’au cours des quatre dernières années que Kryeon m’a permis d’y rester, de le sentir, de l’écouter, et d’être absorbé par lui. La brume s’épaissit, mais je ne la crains pas. Je pratique  cela depuis deux décennies et maintenant je sais que je peux revenir en arrière. Il n’y a jamais de peur. Jamais. Lee continue de parler, et d’une façon ou d’une autre, je continue d’avoir connaissance de tout cela. Le message maintenant livré aux humains est très élémentaire. C’est l’ABC d’un alphabet quantique infini. Comment le décrire ? C’est un langage qui semble être le souffle même de Dieu. Il devient ma nourriture et ma force, le cœur de tout ce qui est. Je veux rester ici. Tout va bien, ici.

Kryeon sait quand s’arrêter. Beaucoup peuvent canaliser pendant des heures, mais pas moi. La plupart des canalisations de Kyeon durent moins d’une heure, parfois beaucoup moins longtemps. Pourquoi ? C’est la limite de ma capacité de rester dans le vent sans céder aux murmures qui me disent que je suis « à la maison ». Mes ancêtres sont ici. Plus je reste longtemps, plus la brume se dissipe. Je vois qui je suis et qui j’ai été. Mon ADN s’élargit pour me laisser « voir » le caractère grandiose de mon périple. Ceux qui ont semé les graines en moi commencent à apparaître.

Lee parle encore, mais cette fois c’est sans importance. La voix qui murmure devient musique ; Oh, s’il te plaît, laisse-moi entendre et identifier ce chant. Je le connais. Je suis sur une autre planète, sans y être ; Je suis partout, sans y être. Ce chant est plus que beau. C’est celui de « la maison ». Il y a ici de la splendeur. La division cellulaire s’est arrêtée. Le vieillissement s’est arrêté. Qui sait ce qu’il s’est arrêté d’autre ? Peu importe ; Je suis sur le point, mais j’ai encore le cordon argenté. Je sens son reflet sur mon cœur. Pourquoi dois-je retourner ? Quand je suis « à la maison », pourquoi dois-je m’en retourner ? Combien de temps ce cordon va-t-il me permettre de rester humain ?

La musique devient légèrement plus forte et je ne fais que commencer à « entendre » ce qu’elle pourrait être ; Comment la lumière peut-elle être musique ? Comment puis-je entendre la lumière ? Bon sang !

« Et il en est ainsi » Je suis revenu. Je suis dans le fauteuil. C’est terminé, et je ressens souvent une tristesse que je ne peux montrer à personne.

Beaucoup ont besoin de lire cela. Un jour, chers amis, nous parcourrons tous de nouveau ce chemin. Je le ferai, moi aussi, pour la dernière fois en tant que Lee. Lorsque cela se produira et que le cordon sera coupé, j’entendrai cette musique et je me « rappellerai » tout. J’entendrai la voix dans le vent et je connaîtrai le chant ; Puis, je serai « à la maison ».

A la mort, les éléments quantiques de notre ADN s’étirent jusqu’à toucher le visage de Dieu. Des éléments retournent à la Caverne de la création et d’autres vont à la Source créatrice même. Notre âme est vivante, plus que jamais, et libérée des liens de la fragilité du corps que nous avons portés toutes ces années. Il se produit un dégagement et une joie. Il y a une compréhension et une sagesse infinie. Nous allons tous prendre notre tour, car il en va ainsi pour nous tous ; Pourquoi est-ce que je le sais ? Parce que j’y vais souvent, et que je l’ai vu et senti. Kryeon me permet de m’asseoir, d’observer et de « savoir ».

Entre-temps, ceux qui restent derrière, en deuil, sont dévorés de chagrin, car dans leur monde, tout ce qu’ils voient, c’est le deuil, la peine et la solitude. Si seulement ils appelaient eux-mêmes l’Akash pour se rappeler – se rappeler.

La mort ne fait pas mal. Le mot même est clinique, car sur le plan de l’âme, il n’y a qu’une transition, et celle qu’on appelle la « mort » est radieuse. La vie n’est que ce qu’on en fait, mais en vérité nous sommes tous éternels.

Souvent, mes séminaires se terminent après une canalisation de Kryeon. Aux petits groupes, je demande souvent de partir ou de rester pour méditer, s’ils le veulent ; Cela me permet de « descendre » de la montagne (comme on dit) et de me recalibrer.

Dans les plus grands séminaires en équipe, je me retire souvent de la scène bien avant mon personnel. Souvent, Peggy Phoenix Dubro, Robert Coxon et le Dr Todd Ovokaitys restent. Ils dansent, reçoivent des gens, et passent une dizaine de minutes à distribuer des au revoir. Je n’en suis pas capable ; j’entends encore le vent, et j’essaie de démêler ma réalité. « C’est la première fois que j’avoue cela. Si vous en avez été témoin au fil des ans, vous savez tout, maintenant. Donc, lorsque vous me verrez quitter rapidement la scène, vous saurez pourquoi ».

Lee Carroll

Texte issu du Livre : « Recalibrage de l’Humanité – Le début d’un nouveau cycle évolutif » – TOME XI de KRYEON aux Editions Ariane 2014  - Source : http://francesca1.unblog.fr/  

Publié dans:CHANNELING |on 1 septembre, 2014 |Pas de commentaires »

Autour des Orbes

 

Je ne sais si certains d’entre vous l’ont remarqué de leur côté depuis quelque temps, un phénomène lumineux bien particulier se manifeste de plus en plus souvent sur des photos prises avec de petits appareils numériques.

Photographier les Orbs
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OrbsQuelques amis, des proches, et moi-même en avons récemment fait et continuons d’en faire l’expérience. Il s’agit essentiellement de l’apparition de sphères lumineuses semblables à de petits médaillons fort bien dessinés. Certaines vont jusqu’à évoquer des mandalas. Apparaissent aussi, bien que plus rarement, des sortes de triangles isocèles naissant, dans l’espace, de l’assemblage de trois points lumineux. Tout cela sans oublier, enfin, des formes plus indéterminables, moins régulières, mais sur le déplacement desquelles il semble possible d’intervenir. En appelant ces dernières, on peut parvenir à les faire se rapprocher d’une main tendue, par exemple.
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Il est à noter que les appareils numériques les plus sophistiqués ne paraissent pas capables de capter de telles images. On m’a dit à ce propos que leur technologie diffère de celle des petits appareils classiques que chacun glisse dans une poche ou un sac à main et que cette différence en est sans doute l’explication.
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Bien sûr, la première réaction de chacun face à de tels clichés est de se dire qu’il s’agit tout bêtement de reflets ou d’imperfections de la photo dus à un problème technique ou encore à l’éclairage. Cependant, leur observation, si elle est honnête, nous permet de nous rendre rapidement compte qu’il ne s’agit en aucun cas de cela mais bien de manifestations lumineuses authentiques.

OrbsDe véritables mandalas lumineux…


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L’expérience en a été faite récemment en un même lieu, au même moment, avec des appareils différents et des photographes différents placés selon des angles multiples. Les photos qui en résultent montrent les mêmes sphères et les mêmes mandalas en suspension dans l’espace, donnant la sensation de danser autour de certaines personnes.
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Ces manifestations lumineuses sont de tailles très diverses, de plusieurs intensités aussi et s’avèrent transparentes puisqu’on aperçoit derrière nombre d’entre elles la continuité du décor d’un mur, d’un objet ou encore une personne.
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Je dois ajouter qu’il faudrait être incontestablement de mauvaise foi pour n’y voir qu’une anomalie technique ou le jeu d’un quelconque « hasard », d’autant plus que la qualité des bulles de lumière et des mandalas photographiés ainsi que leur nombre varie considérablement non seulement d’un lieu à l’autre mais aussi en fonction de l’activité qui a cours ou a eu cours en ce lieu.
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La musique, par exemple, surtout lorsqu’elle génère un espace sacré, harmonieux ou simplement joyeux semble particulièrement propice à susciter des mandalas et des sphères de lumière. Il en est de même d’une atmosphère de méditation ou de soins de nature énergétique.

Intelligence…
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dscf0014En se livrant à un peu de recherche et d’expérimentation, on s’aperçoit que ces « lumières » ne se manifestent pas toujours spontanément dans des endroits ou lors de circonstances qu’on peut qualifier de profanes mais qu’elles ont plutôt tendance à se laisser photographier si on les sollicite intérieurement.
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On peut donc parler « intelligences » en ce qui concerne au moins certaines d’entre elles puisqu’elles réagissent à nos appels du dedans.
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En réfléchissant à tout cela et en multipliant les observations, il me paraît sûr que ces manifestations sont de plusieurs natures. Certaines proviennent sans conteste d’empreintes psychiques laissées en un lieu par ceux qui l’ont habité ou qui l’habitent encore de façon intense. D’autres, plus élaborées, peuvent être qualifiées de « sceaux vibratoires » émanant de présences protectrices. D’autres enfin témoignent d’autres présences, plus observatrices, visiblement attirées par l’activité et les préoccupations qui emplissent et nourrissent le lieu.
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Je me promets, en ce qui me concerne, de mener une étude plus approfondie de la question, notamment avec les capacités naturelles dont la Vie m’a doté. Ce qui je puis ajouter aujourd’hui, c’est qu’il est pour moi évident que des phénomènes de ce type et d’autres encore, bien plus significatifs, ne font que commencer à être perceptibles par nous-même si nous avons encore besoin de l’aide d’un peu de technologie pour les mettre en évidence aux yeux de tous.

Daniel Meurois www.meurois-givaudan.com

Publié dans:ENERGIES, MULTIDIMENSIONNALITE |on 1 septembre, 2014 |Pas de commentaires »

Histoire de la tolérance

 

Que peut-on tolérer ? Qu’est-ce qui est intolérable ? L’équilibre est sans cesse à définir. Petit parcours de l’histoire de l’idée de tolérance depuis l’Antiquité jusqu’à nos jours. 

téléchargement (3)Les Grecs et Romains étaient-ils tolérants ? C’est en tout cas ce que pense Voltaire qui fait remonter les origines de la tolérance à l’Antiquité. Il est vrai que dès qu’une société se construit, il faut faire cohabiter des opinions, des convictions, des croyances différentes… sans détruire le lien social ! La question de la tolérance apparaît dès que le consensus disparaît. En ce sens, la réflexion sur la tolérance commence avec la formation de toute société. 

La tolérance est pourtant une idée moderne. Elle émerge à la Renaissance alors que l’Europe connaît une nouvelle situation religieuse. Pour la première fois, dans ces sociétés construites autour d’ « une foi, une loi, un roi », une « hérésie » va durer et s’imposer. Au Moyen-Age, les pouvoirs civil et religieux avaient toujours réussi à endiguer les opinions divergentes, y compris par la force. Mais là, impossible de venir à bout des contestataires. Avec la Réforme, la chrétienté romaine subit un bouleversement sans précédent. 

1598, une date symbolique. Avec l’Edit de Nantes, l’idée de la tolérance se formule pour la première fois. Henri IV accorde une relative liberté de culte à la minorité prostestante. Cet édit qui vise à faire cohabiter dans la paix les différentes confessions religieuses est une exception dans l’Europe de l’époque. Et sa révocation en 1685 montre que la tolérance n’est pas encore une valeur commune. 

Au départ simple concession à l’erreur, l’idée de tolérance est peu à peu valorisée pour elle-même. En 1684, Basnage de Beauval écrit que les hérésies sont d’ « utiles ennemis », « comme des aiguillons qui aiguisent la diligence des pasteurs, ou comme des coups de marteau qui les tirent d’un profond sommeil ». Pour Spinoza, c’est seulement dans un Etat libre, où les idées peuvent se confronter, que les hommes pourront s’affranchir ensemble de la superstition et des idées fausses. Locke, Bayle, Kant développent eux l’idée qu’il faut obéir à sa conscience et que c’est là la seule manière d’obéir à Dieu. 

A la Révolution, la tolérance entre dans la sphère politique et s’inscrit dans la déclaration des Droits de l’homme et du citoyen. Les libertés de croyances, d’opinion et d’expression deviennent un droit inaliénable lié à la liberté de se déterminer par soi-même et de juger en conscience. Cette conception sera confirmée par la déclaration universelle des droits de l’homme de 1948 qui déclare : « Toute personne a droit à la liberté de pensée, de conscience et de religion » (art.18). 

Aujourd’hui, le libéralisme et le choc des cultures. Au nom de la liberté, faut-il tolérer les excès du libéralisme ? Au nom du respect des cultures, faut-il tolérer celles qui portent atteinte aux droits de l’homme ? La question de la tolérance et de ses limites rebondit aujourd’hui dans les domaines économique et culturel. Les effets d’une tolérance sans limites sont redoutés : destruction du lien social, remise en cause de l’universalisme des droits de l’homme, « loi du plus fort » dans le monde économique. Que peut-on tolérer ? Qu’est-ce qui est « intolérable » ? L’équilibre est sans cesse à définir. L’histoire de l’idée de tolérance continue !

source : http://www.croire.com/

Publié dans:TOLERANCE |on 1 septembre, 2014 |Pas de commentaires »

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