Archive pour le 19 août, 2014

Contact dans le Désert

cropped-legrandchangement-e1389800562559A ne pas manquer ET à partager avec le plus grand nombre : Compte rendu GRATUIT et en français de la conférence « Contact In The Desert »…

Pour une fois que nous avons la chance d’avoir un compte rendu en français de ce genre de manifestation il me semble important de le partager avec le plus de personnes possible.

Ce sera en direct ce soir 19 août 2014 à 20h00 heure de Paris (14h00 heure du Québec) ici :

https://plus.google.com/events/cqfg6if4r4obbmm45aod8gg47q4

Cette conférence est l’une des plus grande conférence internationale sur la vie extraterrestre, les anciennes civilisations, les origines de l’humanité, les crop circles, OVNI, et expériences de contacts extraterrestres avec les plus grands noms mondiaux des spécialistes, scientifiques et chercheurs en physique quantique s’exprimant à ces sujets…

Image de prévisualisation YouTube

Important : Vous êtes invité à reproduire ce texte pour le transmettre en mettant ceci :
« Trouvé sur http://www.legrandchangement.com »
Merci !

Voilà les Mayas

 

Dans le tome IX, La Levée du Voile de Kryeon , Lee Carroll parle de son bref séjour à Xochicalco, un chantier archéologique petit et ancien, situé en territoire maya, près de Mexico….

OrbEn 2007, j’ai rencontré un ingénieur en train de recréer les circonstances ayant permis aux Mayas d’observer le ciel pour élaborer leurs fameux calendriers. En utilisant les mêmes observatoires souterrains, Jorge Baez a passé des centaines d’heures dans l’obscurité, à cet endroit précis. La caverne n’était éclairée que par un faible rayon de soleil ou de lune qui descendait de la surface, le long d’un tunnel vertical. Lorsqu’on la dirigeait par une série de petits trous que les Mayas avaient disposés sur toute la longueur, la lumière finissait par focaliser une image sur une table posée sur le sol en terre battue, où elle pouvait être analysée ; Formé à l’ingénierie, Jorge cherchait à découvrir ce que les Mayas ont vraiment vu à l’époque et comment ils ont pu l’interpréter. Les conservateurs archéologiques de Xochicalco lui avaient vraiment donné carte blanche.

Jorge a écrit un livre (en espagnol) que l’on peut traduire par « Le Secret de 2012 : l’énergie vitale du mouvement ». C’était le récit de son travail, qui consistait à rester dans ces ruines mayas pour voir ce que les Mayas voyaient alors. Malgré les limites de ses mesures, il rapporte qu’en se servant de leurs méthodes, il a vu osciller la Terre, tout comme eux. En astronomie, cette oscillation est appelée précession des équinoxes, et elle est reliée au temps fractal. Le calendrier maya était peut-être le modèle même du propos de Gregg Braden…

D’ailleurs, pour le plaisir et en guise de rappel, je mentionne encore que c’est à cet endroit même que nous avons mené l’expérience sur les orbes, dont j’ai parlé dans le tome IX de Kryeon. On peut encore le voir sur mon site Web, au www.kryon.com/orbs Peut-on vraiment créer les robes ? Que sont-ils ? Cette page Web ne répond qu’à la première question. Imaginez créer des orbes dans cet observatoire maya souterrain. Nous l’avons fait, et je vous invite à nouveau à jeter un coup d’œil à quelques photos très amusantes.

Jorge a fini par m’emmener des profondeurs de l’observatoire souterrain des Mayas vers la lumière du soleil pour y puiser d’autres leçons. Il a soigneusement montré et expliqué les glyiphes laissés sur les parois d’une petite pyramide maya. L’écriture était parfaite et très lisible (si on déchiffre le maya). C’était leur façon d’expliquer le temps fractal par un schéma répétitif de la conscience humaine potentielle. (Ce schéma était souvent représenté par des vagues de temps appelées pachacuti : une chronologie par segments de 500 ans chacun). Chaque pachacuti avait un commencement et une fin d’environ 30 ans, et constituait une période de changement immense pour l’humanité. C’est exactement là que nous nous trouvons à présent.

Le schéma était évident lorsqu’on examinait les glyphes avec le regard et l’expérience de Jorge ; les stries gravées sur les parois de la pyramide indiquaient les potentialités d’une chronologie de l’avenir dans laquelle la conscience de l’humanité avait peut-être connu des hauts et des bas, par cycles, comme l’avait prédit ce système. Les symboles et les glyphes mayas s’élançaient physiquement ver le haut et le bas d’une façon très imagée, montrant le même schéma de prédictions que leur calendrier. Je les ai photographiés et à ce jour, c’est l’une de mes images préférées parmi celles que je montre depuis des années dans mes séminaires. Cela n’était ni caché, ni mystérieux, ni dénué d’interprétations sérieuses. Quiconque savait lire le maya voyait ce qu’ils avaient prédit. D’ailleurs, il reste encore beaucoup de Mayas, et ils savent lire l’écriture ancienne ; c’est pourquoi je dis aux gens : « Si vous ne me croyez pas, demandez à un Maya ».

Cette information sur le potentiel de la conscience relative au temps n’a aucun lien évident avec notre avenir, à moins qu’on s’attarde à rassembler tout cela en compagnie d’un archéologue. Est-il possible que les Mayas aient découvert ce cycle de potentialités, celui-là même que Gregg Braden avait décrit (les moments de choix décisifs) ? Le cas échéant, pourquoi tout ce catastrophisme de la part des médias de masse ? Et pourquoi la chaîne Histoire (entre autres) vous a-t-elle dit que le calendrier maya se terminait en 2012 ?

La réponse est complexe, mais en vérité les Mayas avaient de nombreux prêtres, et ceux-ci ne concevaient pas nécessairement leurs calendriers de la même façon. Comme dans n’importe quelle culture, il y avait des complexités reliées aux personnalités, à la politique et à la structure  du pouvoir. Il est fort naïf de notre part de croire qu’ils étaient tous, tout au long de leur histoire, unanimes et soumis aux doctrines d’un roi tribal. Pourtant, c’est ainsi qu’on les a souvent dépeints au cinéma (merci Mel Gibson). En vérité, leur leadership était constamment troublé, comme chez les Egyptiens et les Romains. Ces deux cultures avaient aussi des chefs absolus au pouvoir absolu, mais en étudiant l’histoire, on apprend qu’il y avait des mésententes, des complots et des changements de pouvoir.

Les assassinats étaient courants, et on se battait toujours pour être dans les bonnes grâces de celui qui était assis sur le trône, ou en fait, pour être sur le trône ou pour éviter de se faire tuer par le type assis sur le trône.

Même dans leur clergé spirituel, il y avait donc de la concurrence. Imaginez. Ils se disputaient à propos de spiritualité ? Quel scandale. Par conséquent, notre information actuelle sur les Mayas est un mélange de toutes ces idées et ces personnalités, qu’elles soient reliées ou non au calendrier. Les prophéties les plus célèbres sont celles du Chilam Balam, le prêtre-jaguar. Sombres, elles ont été développées en marge du travail sur le calendrier, principalement dans la péninsule de Yucatan. En fait, selon le prête qu’on écoutait, il y avait différentes prophéties mayas sur la fin du monde. Alors, qui avait raison ?

Dans la Riviera Maya, ou dans des ruines mayas, on voit souvent représenté un terrain de jeu de balle. Ce terrain servait à maintes cérémonies, parfois horribles. On amenait souvent des rois et des prêtres d’autres régions pour les décapiter  au cours d’une fête victorieuse. On se livrait à des matchs pour déterminer qui allait vivre et qui allait mourir. Cette tradition permettait donc de déterminer quel prêtre avait reçu le bon « message de l’Esprit ». La question était tranchée au cours d’une partie d’un jeu d’équipe maintenant célèbre que les colonies mayas jouaient avec un petit ballon et un cerceau.

N’utilisant que la tête et les pieds, les genoux et les coudes, la première équipe qui faisait valider son information spirituelle détenait la victoire pour la journée. On utilisait donc le match pour laisse « le hasard » ou « le destin » régler le conflit et pour savoir qui allait vivre  ou mourir dans les fêtes victorieuses ; mais c’était fréquent ; cela devrait vous indiquer à quel pont étaient variables les formes concurrentes d’information spirituelle.

La partie était sérieuse (c’était une question de vie ou de mort) et n’avait qu’un seul but (qu’on marquait en faisant passer le ballon par un cerceau) : remporter la partie. Elle se terminait par une cérémonie de mise à mort du capitaine de l’équipe perdante. Je suppose que la mort était pour lui un honneur (un peu comme leur sacrifice humain était censé l’être), mais je me demande vraiment si ce type se sentait ainsi au moment de la perte, lorsque le ballon de l’autre équipe traversait le cerceau.

Alors, tout ce brouhaha autour du fait que le calendrier maya aboutissait à 2012, était dû en partie à toute cette complexité. Après tout, l’information ne concernait pas uniquement le calendrier, car elle était mêlée en grande partie à leurs jeux et à de l’information provenant de prêtres intentionnés (et parfois victorieux).

D’ailleurs, on peut voir une reconstitution édulcorée de cette partie (sans la mise à mort finale) au parc Xcaret, à Cancun, au Mexique, où des touristes vont jouer et s’amuser. Si vous allez visiter presque n’importe quelle ruine maya, vous verrez ce qu’il reste des stades véritables où on livrait les matches. Au Mexique, je les ai surtout vus à Coba, à Xochicalco et à Chichen Itza. (un lien ici :  http://www.visitmexico.com/fr/le-monde-maya )

Dans tout cela, il reste que le plus intéressant c’est que le solstice d’hiver 2012 s’avère être un moment décisif du temps fractal. C’était aussi l’année de l’alignement galactique. C’est-à-dire un point d’arrêt et de nouveau départ de la précession des équinoxes, un mouvement oscillatoire de l’axe de la planète qui dure 26 000 ans. Cet alignement commence et finit lorsque notre Soleil s’aligne parfaitement (vu de la Terre) sur le centre de notre galaxie (dans la mesure où on peut le discerner). Le solstice du 21 décembre 2012 représente donc un moment de choix du temps fractal.

Propos de Lee Carroll 

Publié dans:MAYAS |on 19 août, 2014 |Pas de commentaires »

Une année dans la Tolérance

 

images (8)Par son attitude compréhensive et son ouverture d’esprit, une personne tolérante pourra côtoyer toutes sortes d’individus s’adapter aux autres et les accepter sincèrement dénote une attitude profondément tolérante dans la vie quotidienne.

Le monde vu comme une famille au sens large peut être dépeint comme un arbre aux nombreuses ramifications. Chaque nation – symbolisée par une branche – est un frère ou une soeur par alliance, ayant sa propre famille. Ces familles – représentées par des rameaux de l’arbre – sont les diverses régions composées de toutes les religions et de tous les groupes ethniques. Lorsqu’on regarde les racines de l’histoire en plaçant les membres de la famille humaine sur un tel arbre généalogique, cette perspective montre la complémentarité existant entre tous et tend à prouver qu’une vraie coexistence est possible. Tout l’arbre puise son soutien dans des racines communes, originelles, nées d’une seule graine, et l’arbre de la famille humaine ne peut être différent. La coexistence tire son origine de la graine même d’où a jailli la vie ! Et la tolérance, qui se développe également à partir de cette graine unique, avec ses racines profondément ancrées dans le sol, s’exprime de diverses manières, notamment en enrichissant la terre et en répandant des ondées de bienveillance. 

L’objectif de la tolérance est la coexistence pacifique. En acceptant l’individualité et la diversité, la tolérance ôte les masques qui divisent et dissipe les tensions créées par l’ignorance. Elle donne l’occasion d’éliminer les stéréotypes et les préjugés associés à ceux qui sont perçus comme différents du fait de leur nationalité, de leur religion ou de leur héritage culturel. De même qu’un jardinier reconnaît les qualités et les caractéristiques de toutes les variétés de graines et prépare le terrain en fonction de celles-ci, une personne tolérante prend en considération le caractère unique de chacun. Par son attitude compréhensive et son ouverture d’esprit, elle pourra côtoyer toutes sortes d’individus ; s’adapter aux autres et les accepter sincèrement dénote une attitude profondément tolérante dans la vie quotidienne, et favorise des relations sereines et épanouies.

L’amour, graine de la tolérance, doit être semée avec compassion et bienveillance. Plus on aime et plus on partage cet amour, plus grand est le pouvoir qu’il contient. Quand l’amour fait défaut, la tolérance fait elle aussi défaut. Si un obstacle s’impose à son enfant, une mère est prête à faire face à tout et peut tout tolérer. A cet instant, au lieu de se soucier de son propre bien-être, celle-ci s’appuie sur l’amour pour affronter toutes les circonstances. L’amour rend tout plus facile à tolérer.

La famille est le premier noyau pour apprendre la tolérance, puisqu’il y a toujours des ajustements à faire pour vivre en harmonie avec les autres. L’école est le deuxième. Néanmoins, notre tolérance est mise à l’épreuve chaque jour de notre vie. Ceux qui réussissent le plus souvent cherchent à apprécier le bon côté des gens et des situations. Ceux qui ont plus de difficultés à tolérer entretiennent habituellement en eux-mêmes un certain niveau de désapprobation. Le principe est de savoir utiliser le pouvoir de la tolérance comme un bouclier de protection afin de préserver intacte sa sérénité intérieure. 

La tolérance est cette force qui permet à l’individu d’affronter et de transformer les incompréhensions et les difficultés. La méthode consiste tout d’abord à user de discernement dans la prise de décision. Puis, en cherchant profondément dans sa conscience, il s’agit de déterminer si une décision est correcte ou non ; si elle peut être bénéfique ou non; et si elle permet des acquisitions à court ou à long terme. Il en résulte des décisions prises en pleine connaissance de cause. Ce pouvoir de décision atténue les bouleversements de l’esprit, notamment ceux qui surgissent de l’opposition entre les émotions et la raison. Il ne peut alors exister de conflit avec soi-même ou avec les autres, puisque la tolérance sait fort bien apaiser l’obstination et l’emportement des autres. Même insulté, celui qui incarne la tolérance n’est jamais découragé. Connaissance et compréhension profondes lèvent automatiquement le bouclier de la tolérance de sorte que l’individu reste comblé et contenté, sans jamais se sentir menacé par les autres ou par les circonstances. Une personne tolérante est semblable à un arbre couvert de fruits. Même sous les coups de bâton et les jets de pierres, l’arbre continue de donner ses fruits.

En milieu professionnel également, le fruit des intentions et des actions peut être menacé si la tolérance n’intervient à aucun moment dans les relations avec les autres. Ceux qui ont le pouvoir de tolérer ne laissent pas les vibrations extérieures obscurcir leur esprit et créer le doute et l’insatisfaction. Ils sont contentés intérieurement et à même de voir les choses telles qu’elles sont, plutôt que telles qu’elles apparaissent, et d’agir en conséquence. 

Certaines circonstances exigent de la tolérance. Des variations atmosphériques importantes ou la douleur physique en sont des exemples marquants. L’innovation technologique a permis aux êtres humains de s’adapter à la chaleur et au froid extrême ; et la recherche médicale a accompli des merveilles pour réduire la douleur du patient. Pourtant, de tels progrès ne signifient pas que les effets indésirables soient complètement éliminés. A partir d’un certain niveau, et pour certains individus plus que pour d’autres, la tolérance devient le pouvoir indispensable pour faire face.

La tolérance permet de développer l’aptitude à s’adapter aux problèmes de la vie quotidienne. La capacité d’adaptation de tous ceux qui se précipitent à la gare le soir après une dure journée de travail, fatigués et pressés, est sérieusement mise à l’épreuve quand retentit l’annonce : Tous les trains ont été annulés en raison de problèmes techniques sur les lignes. Les voyageurs sont priés d’emprunter des itinéraires de remplacement. Pour tolérer les inconvénients de la vie, il faut parfois savoir lâcher prise, être léger, rendre les autres légers et continuer à avancer. Les montagnes se transforment en vallons, et les vallons en minuscules mottes de terre !

téléchargement (8)


Qu’est-ce que la Tolérance ? La Tolérance n’est ni concession
ni indifférence. La Tolérance, c’est la connaissance de l’autre.
C’est le respect mutuel né d’une compréhension réciproque.
Laissons-là les vieux mythes et souscrivons aux résultats des recherches actuelles : l’homme n’est pas violent par nature.
L’intolérance n’est pas inscrite dans nos gènes.
La peur et l’ignorance sont les racines de l’intolérance,
et ses mécanismes peuvent s’inscrire dans le psychisme humain dès le plus jeune âge.

Monsieur Federico Mayor,
Directeur général de l’UNESCO, 1995,
L’Année pour la Tolérance

Publié dans:TOLERANCE |on 19 août, 2014 |Pas de commentaires »

Les témoins de notre divinité

 

 images (7)« Les formes ardentes (les Pyramides) – eh bien, c’est ce qu’elles sont – furent crées comme des formes capables de capter l’énergie en leur centre ». Cette énergie défie ce qu’on appelle les lois naturelles qui étaient à l’œuvre en vérité comme on le dit. Les lois naturelles sont l’effet de non l’énergie qui les met en mouvement. La forme ardente fut créée pour être l’emblème naturel démontrant ce à quoi ressemble réellement l’homme dans son origine de lumière, car, si l’on met à part son corps, il prend une forme puissante au centre de son être capable de capter la même énergie ; Celle-ci représente réellement le Dieu intérieur. Ces structures représentent réellement le Dieu intérieur. Ce que l’on appelle les formes ardents, ou bien encore ce que vous appelez les pyramides, furent bâties pour être un témoignage pour l’humanité, une image pour l’humanité, ce qu’en vérité on appelle une statue érigée pour l’humanité, visant à lui rappeler de toujours regarder en soi, car allant en soi-même, au sien d’une forme aussi grandiose que celle-ci, ne se trouve-t-on pas captivé par la majesté de ce que l’on ressent ? Cela est certain. 

En vérité, elles ne furent pas érigées pour apporter l’immortalité aux rois qui les virent. Elles furent érigées par une remarquable entité qui était un avec l’Esprit, un avec le Père. Et, dans sa beauté, cet être savait ce qu’était le Christ intérieur. Et le Christ intérieur possédait ce qu’on appelle le feu intérieur, car il révélait toutes choses et les rendait manifestes. C’est grâce à cette vision d’une telle ampleur qu’il en vit la manifestation. La construction fut donc en vérité effectuée par la puissance de la pensée et non par celle du travail. De plus, elles ne furent pas construites pour être des tombes, mais plutôt des chambres d’éducation avancée. 

Et leur avènement visait à donner à l’humanité toute entière, dans tous les temps à venir en leur temps, une balise pour qu’ils n’oublient pas en vérité que ceci révèle et représente le Christ en l’homme, Dieu à l’intérieur, l’entité divine, et que s’il entre en lui-même, il est en vérité assuré qu’il s’en suivra paix, tranquillité et élévation du soi spirituel. Si seulement tous voyaient et n’oubliaient pas leur héritage, leur mère patrie. Elles sont là depuis l’éternité et demeureront dressées pour l’éternité. Elles sont devenues un lieu de réconfort, de protection, d’immortalité, ce qui est en fait leur signification.

 Qu’il en soit ainsi à jamais également. Les choses sont ainsi.

 Ramtha.

 

Publié dans:PYRAMIDE |on 19 août, 2014 |Pas de commentaires »

Homosexualité dans la société |
madioucisse |
Les anniversaires des stars |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sénégal Junior Intelligence
| Anglais pour non-spécialist...
| bobs3