Archive pour le 23 juillet, 2014

LA PYRAMIDE DE LA DUALITÉ

 (Explication des défis actuels)

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 La Quintessence de l’Être, l’État de Grâce perpétuelle à laquelle on accède dans la 5ème dimension, est le sommet d’une pyramide ayant pour base les quatre dimensions inférieures acceptées et intégrées : le corps densifié (état de santé physique), le corps émotionnel (état d’âme), le corps mental (état d’esprit) et le corps causal (état de conscience).

Au risque de nous répéter, chacun de ces états dimensionnels correspond à des forces et des faiblesses énergétiques inhérentes aux familles d’âmes qui les soutiennent.

Ainsi, Le Bâtisseur, celui qui se sert de sa force physique et de son leadership pour contribuer à bâtir un monde meilleur s’expose à la colère et à la frustration quand tout ne va pas comme il le souhaiterait, il peut alors devenir « Intimidateur » et se servir du contrôle ou de la manipulation forcée comme mécanisme de domination.

L’Inventeur, aussi appelé le Scientifique, se sert de son intelligence pour concevoir de nouvelles technologies et/ou élaborer de nouvelles théories tant scientifiques que philosophiques. Vivant essentiellement dans son esprit, il se peut qu’il se déconnecte totalement de son corps émotionnel, faisant abstraction de toute réalité confrontante en s’absorbant dans un profond état de négation. En devenant « Indifférent » à tout ce qui l’entoure, il refuse toute énergie environnante pour s’installer dans son propre monde, dans son univers uniquement intellectuel.

L’Artiste, de la famille des Créateurs Sensibles, vit une relation émotionnelle avec le monde dans lequel il vit. Ému par la beauté de l’univers qui l’entoure, il se sert de sa créativité artistique pour transmettre ce qu’il ressent (en peinture, en chansons ou en récits allégoriques et autres…). Toutefois, sa sensibilité étant parfois mise à l’épreuve face à la bêtise humaine et aux injustices qu’il rencontre, il peut alors verser dans la tristesse et la dépression, adoptant le pattern de la « Victime », impuissante et démunie, obligée de s’attirer compassion et reconnaissance pour survivre.

Enfin, avec l’état de conscience de ce qui est bien et bon pour l’ensemble, vient le Guérisseur, le thérapeute, le « chamane » vivant en étroite relation avec la nature et les forces énergétiques qui en sont issues. C’est celui qui, ayant de la facilité à entrer en relation avec ses semblables, peut facilement « marchander » ses faveurs ou ressentir de la culpabilité lorsqu’il fait passer ses besoins avant ceux des autres. Oubliant que sa première mission est de vivre en communion avec la Source de toute vie et de se guérir lui-même en premier, il peut alors endosser le rôle accablant du « Sauveur » ou de l’Interrogateur (celui qui remet en questions toutes les interrogations existentielles possibles).

Chacune de ces familles d’âme a son rôle à jouer sur la planète. Toutefois, la mission première de chaque individu est de vivre dans l’amour inconditionnel d’abord envers lui-même, puis envers tout être vivant. Tous et chacun de ces états dimensionnels, quoique vertueux, doivent néanmoins se vivre dans l’Équilibre. Les excès peuvent s’avérer aussi dommageables que les manques.

Dans le processus du deuil, chaque étape se doit d’être vécue et chacune de ces familles d’âmes peuvent nous inspirer dans notre cheminement vers l’acceptation ultime de qui nous sommes. Une fois que nous avons traversé le déni, la colère, le marchandage et la tristesse, nous pouvons prendre du recul face à la situation vécue et lâcher-prise suffisamment pour acquérir la Sagesse et laisser s’installer en nous la paix intérieure, voire même l’état de Grâce à laquelle nous aspirons tant : celle qui ouvre la porte de la 5ème dimension… C’est le sommet de la pyramide : la Quintessence de l’Être divin que nous sommes.

Les bases de cette pyramide sont la force physique, la stabilité émotionnelle, la clarté du mental et la communion consciente au Grand Tout Universel. Oublions un instant ce monde de dualité dans lequel nous vivons. Depuis de nombreuses vies, nous tentons de dépasser cette dualité, de la transmuter dans toutes nos cellules… sans succès!

Telle une veine fuyante, chaque fois que nous avons fait le tour d’une question, que nous croyons une blessure enfin réglée et guérie, il survient un événement douloureux qui vient raviver notre douleur. Se pourrait-il que la cause profonde de cette impossibilité à surmonter l’adversité réside dans le fait que la dualité tridimensionnelle s’appuie non pas sur deux contraires, mais sur quatre?

Les quatre étapes précédant l’acceptation et, donc la résolution du deuil, serait-elles les bases même de cette pyramide dont, pour atteindre le sommet, il importe de sortir de cette « course folle », cette « foire d’empoigne » que représentent les quatre principaux mécanismes de domination : l’intimidateur, la victime, l’indifférent et le sauveur…

Nier l’un ou l’autre de ces personnages en nous équivaut à escamoter une des quatre étapes essentielles pour parvenir à l’acceptation, l’ultime lâcher-prise nous permettant de compléter notre processus de deuil… le deuil de toutes ces limites que nous nous sommes imposées et qui nous ont emprisonnés jusqu’à maintenant!

Entrez en vous-même un instant et regardez-vous tel que vous êtes : Quel premier rôle vous êtes-vous donné jusqu’à présent dans votre vie? Celui du Bâtisseur/Intimidateur, de l’Inventeur/Indifférent, de l’Artiste/Victime ou du Guérisseur/Sauveur de l’humanité toute entière?… Et quelle partie de vous avez-vous sublimé durant toutes ces année? La colère, le déni, la tristesse ou le marchandage/culpabilité? Aspirez-vous sincèrement à boucler la boucle du malheur et vous ouvrir à l’Allégresse?

Il suffit de dire un OUI définitif à l’expression de toutes ces parties de vous-mêmes. Peu importe comment cela doit se passer. Faites confiance à votre Moi supérieur. Au Grand Sage, qui du haut de sa pyramide, n’aspire qu’à se pencher vers vous pour vous accorder toute l’aide dont vous avez besoin pour vous hisser jusqu’à lui…à VOUS, à l’Être Divin que vous Êtes!

Message de Bianca Gaïa , canalisé par Diane LeBlanc , le 14 septembre 2004, disponible aussi sur www.biancagaia.com

Vous êtes invité à faire circuler ce message à condition d’en respecter l’intégralité,

y compris ces quelques lignes. Pour vous inscrire/désinscrire de notre liste d’envoi,

commander un channeling personnalisé dleblanc@biancagaia.com

Venez en discuter avec nous sur «  La Vie Devant Soi « 

Publié dans:DEVELOPPEMENT, ENERGIES |on 23 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

La nature ne fait pas de déchets

 

Nos villes ne savent plus quoi faire de leurs déchets. Nous dépensons des milliards pour tenter de les recycler. Et si on s’inspirait de la nature ?

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Face aux problèmes qui se posent à nous au cours de la crise environnementale présente, nous cherchons des solutions dans les leçons que nous pouvons tirer du comportement de la nature (pour les besoins de la discussion, je distingue artificiellement les activités humaines des activités naturelles). Comment est-elle arrivée à gérer aussi habilement, depuis plusieurs milliards d’années, l’ensemble des activités infiniment diverses qui se passent sur la Terre. A-t-elle des secrets que nous pourrions lui emprunter ?

Elle en a à coup sûr ! Il en est un que nous pouvons résumer ainsi : la nature ne fait pas de déchets. Elle utilise et recycle tout. Par exemple, dans la forêt, les animaux morts deviennent la nourriture de charognards et de nombreux insectes. Les feuilles mortes sont happées dans le sol par les vers de terre qui les mangent et restituent à la terre ce que nous qualifions d’excréments et qui sont de fait des éléments fertilisants. Celles qui restent en surface se décomposent sous l’action de bactéries et se transforment en humus qui nourrit les plantes mangées par les herbivores, eux-mêmes mangés par les carnivores … La chaîne est sans fin.

Chez les économistes, cet idéal s’appelle « économie circulaire ». Et notre ami Emmanuel Delannoy en est un grand partisan, lui qui dirige l’Institut Inspire pour « réconcilier développement économique et biosphère ». C’est un allié d’Humanité & Biodiversité dans les tables rondes qui abordent ce dossier. L’expression parfois utilisée « cradle to cradle » (du berceau au berceau) indique que rien ne se perd, il n’y a pas de matière inutilisée. Telle n’est pas, et de loin, la situation chez les humains.

Mexico et Rio génèrent plus dix mille tonnes de déchets par jour

La masse des déchets qu’ils accumulent atteint des proportions gigantesques et s’accroît à une vitesse telle que de nombreuses villes sont largement dépassées par la situation. Mexico et Rio de Janeiro en génèrent aujourd’hui plus dix mille tonnes par jour, ce qui représente une file de camions longue de dix kilomètres. Des décharges immenses sont souvent déjà débordantes dans plusieurs pays d’Asie et d’Afrique. Elles constituent des lieux de grande insalubrité. Ces paysages de désolation illustrent dramatiquement les difficultés des humains à gérer leur planète.

À l’échelle mondiale, la quantité de déchets a été multipliée par dix par rapport au siècle dernier et, avec la hausse du niveau de vie dans les pays asiatiques, elle pourrait augmenter d’un facteur cinq avant la fin de ce siècle si des mesures drastiques ne sont pas prises.

Plusieurs villes ont déjà décidé de s’attaquer à la situation. En Californie, San Francisco s’est imposé un objectif de zéro déchet en 2020 par réduction et recyclage. Elle a déjà atteint la moitié de son objectif. Les échanges et la réutilisation des matériaux comme le papier, le verre, le ciment et l’acier sont déjà effectifs. Mais ces activités sont encore relativement peu présentes dans les pays défavorisés qui ont la plus grande augmentation du niveau de déchets.

Ces propos ont pour but de porter l’attention sur un des aspects généralement peu connus de la crise écologique contemporaine. Le mot « écologie » se réfère à la tenue de la maison (Oikos en grec est la maison). C’est bien de notre tenue de la maison terrestre qu’il s’agit ici.

 Venez en discuter avec nous sur « La Vie Devant Soi « 

Référence de la lecture qui m’a inspiré ce billet: « Waste production must peak this century  » : Nature vol 502 – oct 2013 – page 615. Le Point.fr 

Publié dans:NATURE |on 23 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

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