Archive pour le 20 juillet, 2014

L’ARCHEOLOGIE DE L’ADN MITOCHONDRIAL

 

 

350px-Map-of-human-migrationsLes experts en génétique peuvent retracer l’évolution de l’espèce humaine en retraçant son ancienneté grâce à l’ADN mitochondrial de la lignée féminine. Cette expérience pourrait nous permettre de remonter dans l’évolution de notre espèce jusqu’au point où notre génétique fut mêlée avec celle d’une civilisation plus avancée. Ramtha fait date ce moment de notre histoire à un passé extraordinairement lointain. il fait remonter l’arrivée des Dieux Sumériens sur terre à environ 455 000 ans, date qui fait apparaître ridicules les dates d’origine traditionnellement défendues par les archéologues du principal courant de pensée : « De nouveau, certains nous conseilleront d’être vigilants et de ne pas considérer quelques exemples isolés et portant à controverse contre un nombre incalculable de preuves ne pouvant pas porter à controverse qui démontrent qu’anatomiquement les humains modernes évoluèrent assez récemment depuis les créatures plus proches aux apparences du singe – il y a environ 100 000 ans en Afrique, et comme le pensent certains, dans d’autres parties du monde également ». Néanmoins, l’intelligence dynamique guidant le processus de l’évolution lui-même, le véritable soi, ne peut être retracé ni identifié grâce à une analyse de l’ADN mais seuls peuvent l’être son voyage et son effet. 

Ramtha atteint l’illumination et la maîtrise en contemplant les qualités nourrissantes et dispensatrices de vie du sexe féminin et de la nature qui reflétaient un aspect essentiel de Dieu, la Source. Le plus grand siège que tint Ramtha et sa plus grande conquête furent d’apprendre à aimer comme une femme aime sa progéniture, afin d ‘éteindre la vie en tant que maître immortel. 

250px-Ninhursag1Ironiquement, Ramtha insiste sur le fait que le véritable Dieu de la Genèse responsable de la race humaine ne fut pas un homme, comme cela fut dépeint traditionnellement, mais une femme scientifique, Ninharsag, une Déesse appartenant à la maison d’Anu, la sœur d’Enlil et d’Enki, qui était responsable des laboratoires scientifiques en Afrique, en Mésopotamie et en Inde où fut développé un ADN qui convienne à la nouvelle espèce. Elle utilisa son propre matériel génétique et le mêla avec l’espèce originaire de la terre, créant ce qui évolue plus tard comme ce qu’on reconnaît être l’homme de Cro-Magnon. Le fait qu’elle soit également connue sous le nom de Mamy dans les anciens textes Sumériens n’est pas une coïncidence. Elle est la mère primordiale de l’espèce humaine. Son intention ne fut pas de créer une espèce qui soit asservie et utilisée, mais dont l’intérêt principal serait d’explorer et de projeter de nouvelles formes de vie, même si cela impliquant de devoir les devenir.  

Un article récent dans un magazine scientifique populaire portant sur l’ADN mitochondrial offre des informations intéressantes qui remettent en question la chronologie traditionnelle qui mena à l’avènement des structures sociales organisées capables de domestiquer les animaux, habituellement situées au cours des derniers dix mille ans : « Une analyse des différences présentes dans la séquence génétique de long d’une séquence spécifique d’ADN mitochondrial révéla trois groupes de chèvres qui naquirent de populations génétiquement distinctes. Aujourd’hui, leurs répartitions se chevauchent. Les chercheurs estiment que ces trois populations émergèrent d’un ancêtre maternel commun qui vécut il y a environ 200 000 ans ». 

Platon écrivit ses dialogues au quatrième siècle avant Jésus-Christ, longtemps après les événements mentionnés par les Sumériens. Un autre passage du   Timacus de Platon ressemble étonnamment à l’histoire de Ninharsag effectuant le croisement de la semence d’Enki et d’Enlil pour produire la nouvelle espèce. Platon poursuit le dialogue de Solon avec les prêtres Egyptiens en disant : « Cette cité fut fondée par une Déesse du nom de « Neith » en Egyptien et d’ « Athena » en Grec. Ils ont des relations très amicales avec Athène et prétendent être apparentés à notre peuple d’une manière ou d’une autre ». 

Hephaestus est l’orthographe romaine du nom du Dieu grec du feu. La référence à la semence issue de la Terre et d’Hephaestus en un parallèle clair avec la semence que Ninharsag prit d’Enki, traduit habituellement comme le Seigneur de la Terre, et Enlil, Seigneur du commandement ou Seigneur du Vent. Des recherches complémentaires seraient nécessaires pour établir un lien entre le Seigneur du Commandement Sumérien, Enlis, et le Seigneur du Feu. Néanmoins, et malgré la différence du contexte, la ressemblance évidente entre les deux récits peut se justifier par la variation due à l’écart prolongé de temps écoulé entre les deux sources. 

Extrait des livres de RAMTHA 

Publié dans:SUMERIENS |on 20 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

La Pharmacopée chinoise dans un monde occidental

Médecine ancestrale en Chine, les plantes sont l’essence même de la pharmacopée chinoise. C’est une médication préventive et curative, elle aide le corps et l’esprit à respecter l’équilibre de l’homme avec la nature et aide à régler le déséquilibre lorsque le mal est fait.

La pharmacopée chinoise fait partie des 5 facettes thérapeutiques de la Médecine Traditionnelle Chinoise, dont une que vous connaissez très certainement l’acupuncture et d’autres moins connues : la diététique chinoise, la manipulation énergétique (Qi Gong et Tai-chi) et les massages (tuina-tuifa).

Datant de 3000 ans avant Jésus Christ, cet art s’est amélioré au fil du temps, au fil des dynasties mais aussi s’est adapté à la culture occidentale.

La pharmacopée chinoise utilisait initialement des parties de  plantes telles que les feuilles, l’écorce, les racines et les graines chinoises. Arrivée dans le monde occidental, de nombreuses plantes européennes ont finalement vu le jour dans les concoctions.
Selon la Médecine traditionnelle chinoise, le potentiel thérapeutique d’une plante dépend de l’ensemble de ses caractéristiques toujours sur la théorie des 5 éléments : sa couleur, sa nature : chaude, froide, neutre; sa saveur : sucrée, amère, douce, épicée, salée; sa configuration : forme, texture, teneur en humidité; ses propriétés : disperser, consolider, purger et tonifier.

 

 9c73af78-5a1d-442f-a6d3-673ad1dd643f

 

A l’origine, la pharmacopée chinoise se traduisait par une formule faite spécialement par un thérapeute spécialisé en Médecine Traditionnelle Chinoise pour le patient à l’instant T avec un bilan énergétique de son état physique et psychique, la méthode la plus efficace.

Depuis fin 2012 un décret (décret 352 du 20 mars 2006) régie la commercialisation des compléments alimentaires dans lequel s’insère la pharmacopée chinoise. Le décret implique plusieurs problématiques auxquelles les Laboratoires Bimont ont été confrontés et ont su s’adapter grâce à leur expertise et la passion de l’ancien thérapeute qu’est Bertrand Bimont.

La première nécessité a été d’exclure les nombreuses plantes interdites sur le territoire européen, de trouver et de les remplacer par des substituts aussi efficaces. Certaines plantes ont des mentions obligatoires, d’autres limitées dans leurs dosages journaliers, un gros travail de décryptage, d’analyse, d’étude pour adapter les recettes originelles à l’usage occidental.

Les Laboratoires Bimont travaillent avec des formules ayant reçu l’accord de mise sur le marché, des formules à spectre large garantissant une totale absence d’effets secondaires, la connaissance de toutes les plantes et un dosage parfait.

Issu de la Newsletter http://www.laboratoiresbimont.fr

Publié dans:PLANTES |on 20 juillet, 2014 |Pas de commentaires »

Homosexualité dans la société |
madioucisse |
Les anniversaires des stars |
Unblog.fr | Annuaire | Signaler un abus | Sénégal Junior Intelligence
| Anglais pour non-spécialist...
| bobs3