L’ARCHEOLOGIE DE L’ADN MITOCHONDRIAL
Les experts en génétique peuvent retracer l’évolution de l’espèce humaine en retraçant son ancienneté grâce à l’ADN mitochondrial de la lignée féminine. Cette expérience pourrait nous permettre de remonter dans l’évolution de notre espèce jusqu’au point où notre génétique fut mêlée avec celle d’une civilisation plus avancée. Ramtha fait date ce moment de notre histoire à un passé extraordinairement lointain. il fait remonter l’arrivée des Dieux Sumériens sur terre à environ 455 000 ans, date qui fait apparaître ridicules les dates d’origine traditionnellement défendues par les archéologues du principal courant de pensée : « De nouveau, certains nous conseilleront d’être vigilants et de ne pas considérer quelques exemples isolés et portant à controverse contre un nombre incalculable de preuves ne pouvant pas porter à controverse qui démontrent qu’anatomiquement les humains modernes évoluèrent assez récemment depuis les créatures plus proches aux apparences du singe – il y a environ 100 000 ans en Afrique, et comme le pensent certains, dans d’autres parties du monde également ». Néanmoins, l’intelligence dynamique guidant le processus de l’évolution lui-même, le véritable soi, ne peut être retracé ni identifié grâce à une analyse de l’ADN mais seuls peuvent l’être son voyage et son effet.
Ramtha atteint l’illumination et la maîtrise en contemplant les qualités nourrissantes et dispensatrices de vie du sexe féminin et de la nature qui reflétaient un aspect essentiel de Dieu, la Source. Le plus grand siège que tint Ramtha et sa plus grande conquête furent d’apprendre à aimer comme une femme aime sa progéniture, afin d ‘éteindre la vie en tant que maître immortel.
Ironiquement, Ramtha insiste sur le fait que le véritable Dieu de la Genèse responsable de la race humaine ne fut pas un homme, comme cela fut dépeint traditionnellement, mais une femme scientifique, Ninharsag, une Déesse appartenant à la maison d’Anu, la sœur d’Enlil et d’Enki, qui était responsable des laboratoires scientifiques en Afrique, en Mésopotamie et en Inde où fut développé un ADN qui convienne à la nouvelle espèce. Elle utilisa son propre matériel génétique et le mêla avec l’espèce originaire de la terre, créant ce qui évolue plus tard comme ce qu’on reconnaît être l’homme de Cro-Magnon. Le fait qu’elle soit également connue sous le nom de Mamy dans les anciens textes Sumériens n’est pas une coïncidence. Elle est la mère primordiale de l’espèce humaine. Son intention ne fut pas de créer une espèce qui soit asservie et utilisée, mais dont l’intérêt principal serait d’explorer et de projeter de nouvelles formes de vie, même si cela impliquant de devoir les devenir.
Un article récent dans un magazine scientifique populaire portant sur l’ADN mitochondrial offre des informations intéressantes qui remettent en question la chronologie traditionnelle qui mena à l’avènement des structures sociales organisées capables de domestiquer les animaux, habituellement situées au cours des derniers dix mille ans : « Une analyse des différences présentes dans la séquence génétique de long d’une séquence spécifique d’ADN mitochondrial révéla trois groupes de chèvres qui naquirent de populations génétiquement distinctes. Aujourd’hui, leurs répartitions se chevauchent. Les chercheurs estiment que ces trois populations émergèrent d’un ancêtre maternel commun qui vécut il y a environ 200 000 ans ».
Platon écrivit ses dialogues au quatrième siècle avant Jésus-Christ, longtemps après les événements mentionnés par les Sumériens. Un autre passage du Timacus de Platon ressemble étonnamment à l’histoire de Ninharsag effectuant le croisement de la semence d’Enki et d’Enlil pour produire la nouvelle espèce. Platon poursuit le dialogue de Solon avec les prêtres Egyptiens en disant : « Cette cité fut fondée par une Déesse du nom de « Neith » en Egyptien et d’ « Athena » en Grec. Ils ont des relations très amicales avec Athène et prétendent être apparentés à notre peuple d’une manière ou d’une autre ».
Hephaestus est l’orthographe romaine du nom du Dieu grec du feu. La référence à la semence issue de la Terre et d’Hephaestus en un parallèle clair avec la semence que Ninharsag prit d’Enki, traduit habituellement comme le Seigneur de la Terre, et Enlil, Seigneur du commandement ou Seigneur du Vent. Des recherches complémentaires seraient nécessaires pour établir un lien entre le Seigneur du Commandement Sumérien, Enlis, et le Seigneur du Feu. Néanmoins, et malgré la différence du contexte, la ressemblance évidente entre les deux récits peut se justifier par la variation due à l’écart prolongé de temps écoulé entre les deux sources.
Extrait des livres de RAMTHA